« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
C'était une belle matinée, fraîche mais agréable. Adam gambadait joyeusement, jouant avec un trousseau de clé. Il se sentait bien, même très bien et peu de choses pourraient gâcher ce moment. Enfin, c'est ce qu'il pensait. Il venait de terminer son travaille, laissant la place à son collègue gardien, à la banque.
Il aimait ce boulot, loin des cris d'enfants, de leurs chamailleries ou de leurs pleurs. Il n'avait jamais regretté son choix, de tout plaquer, quitter cet bâtisse infâme qu'était l'orphelinat avec ces mioches. Et il avait décidé de prendre son envole et de s'isoler dans son petit paradis.
A cette pensée, il prit une grande bouffée d'air frais. Cependant, certains événements l'avaient délicieusement obligé à revoir quelques choses concernant les enfants, il pouvait en supporter quelques uns, surtout si cela concernait ses proches et il avait eu une conscience professionnel, pour qui pouvait-on le prendre ? Un bourrin ? -A peine- Ils s'amusaient bien par moment avec les gosses, il ne comprenait pas pourquoi par moment il se mettait à pleurer, alors qu'ils jouaient simplement avec lui -Vraiment pas-
Il se secoua la tête, blasé par les attitudes des mollusques, il n'y avait rien à comprendre. Il se dirigea vers son lieu de sociabilisation préférée. Peut-être qu'il pourra discuter encore de sport avec ce monsieur, il semblait y aller souvent lui aussi. Il se faufila vers une des toilettes et se délecta du plaisir de se sentir plus léger. Il tourna son regard à l'inconnu qui vint se planter à ses côtés.
Adam fronça des sourcils, son regard changea. Il referma d'un geste agile sa braguette et alla se laver les mains, observant l'individu.
"On ne peut vraiment pas faire de rencontre convenable ici, en tout cas, pas de bonne heure" lâcha t-il, le prenant de haut.
Il passa aux côtés du jeune homme. "Monsieur Krisseeee" insista t-il sur son surnom. "Je ne vous salue gère", rajouta t-il en sortant des toilettes publics.
Il marchait d'un pas plus déterminé et s'arrêta à côté d'une femme au passage piéton.
"Hey Margo, mais que fais-tu là ? La petite n'est pas avec toi ?" demanda t-il à la jeune femme brune, lui souriant. Elle lui avait mit une nouvelle bouffée de bonne humeur.
Voici, un des rares enfants qu'il pouvait supporter, la fille de Margo, il ne pouvait pas la renier. Elle était de sa famille, il pouvait bien faire un petit effort.
Ils traversèrent, il y avait beaucoup de monde pour un matin, mais ça ne le dérangeait pas, il pouvait observer ce qui se passait. Analyser les choses, que demander de mieux. Il avait ressortie de nouveau ses clés, jouant toujours avec.
Henry D. Mills
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Les cours du matin étaient enfin finis et Henry, plutôt que de manger à la cantine scolaire, avait eu enfin de sortir durant sa pause pour aller manger avec sa mère. Parce qu'il savait que Regina avait une pause elle aussi. Et il comptait bien passer plus de temps avec elle, maintenant qu'elle était redevenue gentille.
Le gamin marchait donc assez vite, tout en rasant les murs et en souriant aux personnes qu'il croisait et qu'il reconnaissait. Parce qu'il connaissait tout de même pas mal de monde dans cette ville... C'était normal puisqu'il était tout de même le fils de la célèbre sauveuse... Et accessoirement aussi, il était le vrai croyant, celui qui pouvait réécrire les histoires des personnages des contes de fées...
Tout à ses réflexions, il ne fit pas attention en traversant la route et une voiture le klaxonna, en freinant juste à temps pour ne pas le faire passer sous ses roues. Le gamin écarquilla les yeux, tournant son regard vers l'automobiliste, avant de faire un signe d'excuse et de rejoindre l'autre trottoir en courant, comme si de rien n'était, même si ses jambes tremblaient à cause de la peur ressentie un peu plus tôt...
Il reprit alors ses esprits aux côté de l'homme et la femme qui discutaient juste à ses côtés, sans vraiment faire attention à ce qu'ils se disaient... Parce que de toute façon, ce ne le concernait pas après tout...
Tara Duncan
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Feat Adam B. Parker, Henry D. Mills, Kris Reindeer, Sébastien Dust et Margo Gru-Still
Une longue journée s’annonçait aujourd’hui. Mais pas longue dans le mauvais sens du terme. Je ne travaillais que la matinée mais, au lieu de me reposer l’après-midi, Moineau m’avait débauché pour faire du shopping. Ce n’était pas son genre et je savais qu’elle ne le faisait pas entièrement que pour elle. Elle voulait me faire sortir de l’appartement où deux monstres régnaient en maître ? Compatissante ? Peut-être un peu. Mais je suis persuadé que sa première motivation est de me détendre pour que je ne fasse pas un double homicide. Quoi ? Si vous ne le comprenez pas, allez donc passer ne serait-ce qu’une journée avec ses terreurs ambulantes. Non, je n’exagère pas du tout. Ou peut-être légèrement. Mais il y a de quoi. Ne trainant pas plus dans l’appartement, j’avais vite décamper pour me rendre à l’hôpital et commencer ma garde assez tôt pour avoir le temps d’aller manger un bout avant de partir pour une après-midi mouvementée.
Je n’avais que quelques patients durant cette matinée. Récemment envoyé en pédiatrie, je m’épanouissais totalement avec les enfants. Eux au moins, n’avait pas le mérite d’être des monstres tyrannique et… Bon, bon j’arrête. Mais même si cette partie du boulot me faisait extrêmement plaisir elle était plutôt éprouvante pour le moral. Passant dans ma dernière chambre pour un contrôle de routine, je retrouvais un petit Max, qui suite à une chute, avait perdu son seul rein. 10 ans et plein de vie, il attendait depuis plusieurs mois un rein. Le seul hic est que la dialyse commençait à l’épuiser et que ses séjours à l’hôpital étaient de plus en plus récurrents. C’est avec un pincement au cœur que je changeais son pansement et que je relevais ses constantes. « Tout va bien pour aujourd’hui Max, tu pourras surement repartir bientôt, le médecin va passer d’ici quelques minutes. » Un sourire illumina son visage tandis qu’il se tournait vers sa mère pour la serrer dans ses bras. Emu par ce moment d’émotion, je m’éclipsai rapidement pour les laisser partager leur joie.
Jetant un coup d’œil à ma montre, un sandwich à la main, je venais de quitter l’hôpital. Je m’étais changé pour une tenue plus confortable et j’avais acheté un sandwich plutôt dégoutant au distributeur de l’étage où je travaillais. Marchant d’un pas rapide, je me dirigeai vers le café où nous avions rendez-vous avec Gloria. Mon impatience de la retrouvée était entachée par ma flemme monumentale de faire les boutiques. Si j’avais pu choisir, je me serai glissée dans un lit moelleux pour dormir jusqu’au lendemain. Lorsque j’atteignis le petit café, j’eu la mauvaise impression de le trouver vide. Tiens, Moineau n’était jamais en retard, c’est étrange. Demandant la table que nous avions réservée, je suis partie m’assoir, commandant un café pour tenter de retrouver un semblant de motivation. Les minutes défilèrent et après quelques messages, je finis par prendre mon téléphone pour l’appeler. Comme je m’y attendais, les sonneries s’enchainèrent pour laisser place au « bip » du répondeur. « Salut Moineau, c’est Tara, je t’attends comme prévu au café, tu as eu un empêchement ? Rappelle-moi vite ! » Je raccrochais dans la foulée pour finir mon café, espérant n’avoir pas fait le déplacement pour rien. Occupée à regarder en face de moi les personnes parcourant les rues, j’entendis mon portable vibrer sur la table. Un seul texto de Moineau m’informant que Fabrice s’était encore attiré des ennuis à son travail et qu’elle avait dû aller l’aider. Elle ne serait pas de retour avant la soirée et s’excusait de ne pas avoir pu me prévenir plus tôt.
Soupirant une énième fois, je me levais, laissant quelques pièces de pourboire ainsi que le règlement de ma boisson. Finalement, j’aurai vraiment du rester couché aujourd’hui. Tant pis, je la verrai bien une autre fois. En attendant, je vais surement sillonnée quelques rues avant de rentrer à l’appartement. Ou peut-être simplement rester dehors. Et éteindre mon portable. Cette idée semblait plus judicieuse. Ayant l’après-midi de libre, je n’avais aucune envie de la consacrer une nouvelle fois à régler des problèmes. Je sortis du petit café, zieutant la population autour de moi.
Kris huma ouvrit ses volets. L'hiver était définitivement parti. Et ce matin le lui confirma. Teméparture matinale : 19°. Kris avait oublié à quel point il pouvait faire chaud à l'approche de l'été. Qu'est-ce que ce sera dans les prochains mois !
Malgré ça, un petit vent agréable soufflait sur Storybrooke qui vint s'engouffrer dans ses cheveux et glisser sur sa peau. La journée avait l'air de commencer plutôt bien. Cette semaine avait été plutôt agréable pour le sculpteur, ce dont Kris avait eu besoin. Il se prépara, et fila dans son camion sans prendre le temps de boire un café -ce qu'il ferait au magasin-, avant de vérifier si son voisin était chez lui aujourdh'ui, se sentant d'assez bonne humeur pour la partager avec lui et une tarte, ce qu'il ferait peut-être en fin d'après-midi si tout continuait aussi bien.
1er essai. 2éme essai. Boum ! Il n'y aurait sûrement pas de troisième essai. Kris descendit de son camion et ouvrit le capot, ce qui manqua de l'étouffer sous une fumée épaisse et odorante. La journée commençait trop bien, il fallait compenser cet étrange excès en détruisant le moteur du camion qui lui servait pour les livraisons de sculptures, bien sur. Liste du jour, premier malheur, camion bousillé. Il avait sûrement le temps d'aller réparer le moteur avant la semaine prochaine, quand il rencontrera M. Masnaa, son futur nouveau livreur.
Kris se dirigea vers son garage et l'ouvrit. Il y avait une voiture assez classe à l'intérieur. Ce n'était pas la sienne, et s'en était servi qu'une seule fois, le soir où il avait invité Louise au bal de noël. Mais les temps avaient changé. Le véritable propriétaire de la voiture n'était plus là, et ne le serait probablement plus jamais. Non, il n'était pas prêt à la conduire,et à être de nouveau sous l'emprise d'une nostalgie.
Il opta donc pour y aller à pied. Il avait jamais vraiment eu l'habitude de se déplacer à pied. Il avait toujours eu son traineau à Arendelle ou son camion à Storybrooke. Seul ses sorties en forêt ou à travers la ville en quête de ses amis d'Arendelle, à la levé de la malédiction, avait été faites à pied. Mais cela ne dérangea en rien Kris. La journée était bonne, bien qu'un peu trop chaude à son goût.
Il fit halte aux toilettes publiques (il avait horreur des toilettes publiques mais se contentait de toutes les toilettes disponibles, sans se plaindre, depuis le Bal de Noël où il avait du se soulager... ailleurs.). Un homme entra, Kris n'y fit pas attention. Puis il entendit une voix s'adresser à lui. Il connaissait cette voix et la détestait.
Il n'y avait que deux hommes que Kris ne supportait pas du tout. Hans est le premier. Et cet homme en deuxième (ou peut être aussi Sa Sucrerie, dont la voix était horripilante et dont personne ne veut pas même en entendre parler). Il se retourna vers lui et répondit a sa remarque pertinente.
C'est exactement l'idée que vous m'inspirez !
Adam se lava les mains et sortit en lui adressant de nouveau la parole.
Ne me parlez pas, simplement, et le monde ne s'en portera que mieux, Parqueuuur.
Il insista surla dernière syllabe, reflétant ainsi le dégout que lui inspirait cet homme. Liste du jour : deuxième malheur, Parker. Ou Parqueur, comme il préférait. Il avait le don de gâcher toute une semaine rien qu'avec sa voix ou son visage.
Kris sortit à son tour des toilettes et continua sa route avant d'apercevoir son voisin, qu'il salua chaleuresement, Sab' étant d'une compagnie agréable.
Sebastian Dust
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From Gold to Grave Who's making the Sandmandream ?
| Conte : Les 5 Légendes. | Dans le monde des contes, je suis : : Le Mαrchαnd de Sαble ϟ Archeron.
Sebastian fixait d’un œil suspicieux les différents éléments installés devant lui. D’abord, le sandwich. Concept des plus étranges que de caser divers aliments entre deux tranches de pain industriel, en l’occurrence ici de la salade, des tomates, un peu de fromage, du jambon et des petits grains qu’il n’arrivait pas vraiment à identifier ; Sab n’avait jamais été très doué en cuisine. Alors il renifla d’un air méfiant le sandwich, sous l’œil curieux de la serveuse qui l’observait du comptoir, avant de le prendre entre ses doigts et d’oser le porter à sa bouche. Croquer dedans tel un animal qui se lançait tête la première dans un piège narquois… Avant de se rendre compte que le piège était tout ce qu’il y avait de plus imaginaire. Une bouchée. Deux. Un sourire de sa part qui fait lever les deux pouces de la serveuse dans sa direction. Pari réussi pour elle ! Finalement, ce n’est pas si mauvais que ça.
Mais restait à voir si l’étrange boisson vert pomme et la part de tarte déposée sur un petit carton seraient eux-aussi à la hauteur de ses espérances. Le liquide coloré et pétillant fit grésiller les papilles du marchand de sable, lui arrachant une expression ravie digne des plus jeunes enfants alors qu’il reprenait une gorgée à la paille. Il n’avait jamais goûté de soda au melon, mais c’était rudement intéressant ! Même s’il s’était attendu à une boisson orange, et non verte. Les melons, c’est orange. Pourquoi est-ce que tous les adultes cherchent la complication pour quelque chose d’aussi simple que les couleurs ? C’était comme cette tarte censé être au citron… Où était donc le jaune caractéristique ? Un jaune explosant la vue et donnant l’eau à la bouche rien que d’en savoir d’avance le goût ? Il n’y avait qu’une sorte de crème épaisse dans laquelle sa cuillère s’enfonça avant qu’il ne la goûte.
Mais pas de sourire, cette fois ; juste une grimace mutine avant qu’il ne repousse la part du plat de la main. Fatalement. La serveuse leva les mains au ciel avant de déposer son front sur le comptoir et de faire mine de s’y frapper plusieurs fois la tête. Cela le fit sourire, un peu timidement d’abord, puis rire en silence en cachant sa bouche derrière l’une de ses grandes mains. Il était de nature timide et discrète, mais d’une spontanéité enfantine qui pouvait attendrir les rares qu’il osait approcher. Sebastian avait beau être chef d’une petite entreprise – la seule dans le domaine – il n’en restait pas moins quelqu’un de discret et d’un peu éloigné de la civilisation. Il préférait rêver et alimenter les songes des plus jeunes que passer du temps à s’en faire pour des problèmes de grandes personnes. La vie suivait son cours, au jour le jour. Et aujourd’hui, la serveuse n’avait toujours pas réussi à lui faire apprécier la moindre part de gâteau.
En même temps il n’y avait bien que les parts de tarte que Kris lui apportait qui lui plaisaient vraiment. Ou les gâteaux cuisinés par Sewen quand ce dernier lui rendait visite. Autrement, Sab ne jurait que par le chocolat et impossible de lui faire aimer quelque pâtisserie que ce soit ; bon, les bonbons ne comptaient pas. C’était l’un de ses points faibles, ce qui faisait bien râler Thiana. Mais le dents d’un gardien ne prenaient pas de carriers voyons. Ces dernières avaient bien d’autres choses à faire que de s’intéresser à sa bouche ! En tout cas, quand son voisin lui cuisinait quelque chose, il n’en attrapait pas.
En parlant de voisin, c’est lui que Sab vit en premier quand il sorti du petit café où il venait de passer sa pause déjeuner. Sur le trottoir d’en face, un homme leva le bras pour le saluer. Difficile de le rater, cependant il marqua un instant d’hésitation en regardant derrière lui, au cas où la salutation s’adresserait à quelqu’un d’autre. Il tenait le reste de la boisson dans un gobelet de carton, la sirotant en s’amusant à faire des bulles dedans. Ses doigts s’agitèrent en l’air pour répondre alors au jeune homme. Ses yeux dérivèrent vers les feux de circulation. Attendant sagement que le petit bonhomme passe au vert pour les piétons afin qu’il puisse traverser et le rejoindre. Il y avait beaucoup de monde dans la rue, peut-être un peu trop. Plus que ce qu’il pouvait décemment supporter, mais il faisait des efforts. Beaucoup d’efforts. La preuve.
La lampe changea pour leur autoriser le passage. Alors Sebastian s’avança prudemment sur le chemin piéton avec un temps de retard sur la foule mouvante. Une seule et même force. Un seul et même poids. Il frissonna quand on le bouscula légèrement, lui et sa grande veste claire surmontée d’une écharpe de couleur bois rose, ses doigts passant épousseter machinalement le tissu touché. Ses yeux rieurs s’amusèrent à imaginer un saut s’abattre sur l’homme qui avait fait ça et quelques grains de sable commencèrent à apparaître au-dessus du passage piéton. Sab reprit immédiatement le contrôle de ses pensées et l’éparpilla d’un simple coup d’œil. Ne pas attirer l’attention en ville, une bonne sécurité. Arrivé à la moitié du passage, il se retrouva enfin à la hauteur de Kris. Posant alors une main sur son épaule, qu’il serra un peu entre ses doigts pour lui signifier son contentement de le voir.
Aujourd'hui j'avais décidé de m'occuper de moi pour une fois. Avec un peu d'apréhension, j'avais décidé de laisser pendant 1h Lucy sous la garde de Sasha. Je ne savais pas vraiment ce que ça allait donner, mais quand ça faisait un certain nombre de mois que nous étions ensemble. Même si au départ il s'était montré un peu maladroit avec ma fille, il s'était rapidement montré attentif, voir inquiet à tout ses chouinements. Puis si je ne pouvais pas faire confiance à la personne qui partageait ma vie actuellement pour ça, je ne voyais pas comment nous pourrions construire quoique ce soit. J'étais l'exemple vivant que même avec des parents qui ne corresponde pas à ce que la société considère comme des "gens bien" on pouvait être heureuse et avoir de l'amour à plus savoir qu'en faire de la part de ses gens là. Franchement, mon père c'était Gru quand même. Donc, programme de mon heur de liberté, me faire couper ma longue cheveulure brune. Au détour d'une rue, je crois Adam; qui immédiatement m'interpelle. Je le salue à mon tour en le prenant dans mes bras.
- " Adam, comment vas tu? J'allais me faire couper les cheveux. J'ai laissé Lucy à Sasha, il a mon numéro de portable pour me joindre au moindre doute."
D'autres personnes sont autour de nous, beaucoup de gens. Je ne suis pas vraiment habitué, à part le cimetière et la maison je ne sors pas beaucoup. Pour la création de la crèche, j'échange surtout par téléphone avec la mairie... Bref, nerveusement, je sors mon téléphone pour regarder l'heure et m'assurer qu'il est bien en sonnerie, juste au cas ou...
eden
Adam B. Parker
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| Conte : Film d'animation ; Moi, moche et méchant | Dans le monde des contes, je suis : : Le chien Brutus
Adam, tout en discutant avec Margo, après avoir gentiment répondu à son étreinte. Cela aussi, chose rare avec une personne. Il remarqua un enfant qui ne faisait pas attention en traversant la route, alors que ce n'était même pas à lui de passer. Il aurait du se faire écraser, ça lui aurait servi de leçon, pensa t-il. Les gosses, ils peuvent vraiment pas faire attention un peu, toujours à rêvasser ou à être sur cet objet électronique appelé portable. Il stoppa ses pensées pour pouvoir répondre tout de même à la jeune femme.
"ça va, ça va j'ai fais des rencontre, que je me serais bien passé, mais bon, c'est la vie !" leva t-il les yeux au ciel, blasé. Le passage piéton bien entamé. "A Sasha ? Pourquoi pas, il est moins gauche que moi surement" rigola t-il. "Je t'aime bien les cheveux ainsi, mais ça ferait pas de mal un peu de changement !" finit-il par dire, mettant un pied sur le trottoir.
Certaines personnes pourraient croire qu'il agissait différemment avec la brunette, qu'avec les autres. Mais Adam n'était pas méchant et puis s'était un membre de sa famille, il l'avait connu depuis quelle était jeune, ça faisait partie des enfants qu'il avait appris à supporter quand il était un chien piranha. Enfin quand il était ainsi, s'était beaucoup plus simple et moins prise de tête, sur ces foutus sentiments humains. Franchement, qui avait inventé ça ? Dieu ? il aurait pu s'abstenir. La seule chose positif qu'il avait pu créer, c'était ce libre arbitre. Adam s'en amusait fortement de cette règle.
Il lui annonça qu'il allait l'accompagné jusqu'au coiffeur, ça lui fera une petite ballade avant de rentrer à l'appartement de June. Ses clés tournoyèrent sur elle même avec une certaine vitesse. ils discutèrent de tout et de rien, content de la voir. Ils passèrent devant un café, les gens profitaient du soleil. Adam regarda les enfants coururent un peu partout, les parents leur criant de faire attention. D'autres promenaient leur chien. Il regardait toutes ces fourmi grouillés dans le centre ville.
Il pivota sa tête vers l'autre côté et vit l'homme qui lui sortait par les yeux, même si, il fallait avouer, qu'il s'amusait fortement à exagérer les choses. Fallait bien trouver des passe temps dans la vie. Il put observer une autre personne à ses côtés. Il ne pouvait pas s'empêcher de vouloir l'embêter. Il l'aurait sans doute fait, si Adam n'était pas en charmante compagnie. Il le fera une prochaine fois, si il le croisait de nouveau.
Il porta son regard vers un vendeur de roses, il sourit et alla joyeusement à celui-ci en prenant une au passage, revenant la bouche en choeur, grand sourire, l'offrant à son amie.
"C'est pour vous chère mademoiselle" se présenta t-il, se prosternant légèrement.
Il savait que ça n'avait pas été simple pour elle, il avait fait ce qu'il pouvait pour être présent, même si, il pensait ne pas être doué pour tout cela, mais à sa manière, il se devait être là. Alors parfois, il faisait des choses un peu dites ridicules, mais qui peuvent toujours faire sourire, surtout si ça faisait rire ou sourire Margo, le reste il s'en fichait. Et puis comme il a dit, une vie sans prise de tête s'était encore mieux.
A peine qu'il se relevait, 'il se sentit partir en avant, puis en arrière, ce qui le déséquilibra fortement. Il tomba sur les fesses assez durement, ayant sentit comme un courant d'air. Il ne put voir ce qu'il se passa autour de lui, qu'une jeune femme blonde qui venait du café, atterrit sur lui, l'écrasant complètement. Il secoua la tête, la tournant, alors qu'il était sur le sol, vers Margo pour voir si elle n'avait rien. Elle semblait un peu étourdit également comme si elle avait subit cet impressionnant courant d'air, qui l'avait fait faire une belle gamelle.
Il se releva, obligeant la personne à qui il avait servit d'airbag à faire de même, la regardant.
"On dirait que je vous ai été utile !" déclara t-il s'étirant pour voir si il n'avait rien. Il sourit grandement et se mit lui tourner autour joyeusement, voyant que Margo n'avait rien non plus, il s'écria "Aaah s'était bien amusant cependant !" rigola t-il.
Il pouvait paraître un peu fou, à bouger dans tous les sens, comme si on lui avait lancé un défi. Mais tout d'un coup, il s'arrêta net. Il fouilla rapidement dans ses poches "mais roooh où je les ai mises à la fin, non pas ici, non pas là" il enleva tout de ses poches, les laissant tomber sur le sol. "Ah mais non c'est pas ça, pourtant, s'était bien là", il arrêta ses gestes et fronça des sourcils se rappelant lentement de la scène : Clés, rose, clés, courant d'air, par terre, plus de clés !"Ah non ! pas celles-ci !" cira t-il.
Il tournoya sur lui même à la recherche de l'individu. Il put remarquer qu'il n'avait pas été le seul, Margo et l'inconnu tomber de nulle part, atterrissant sur lui, également avait quelque chose qu'ils ne retrouvèrent pas. Il put apercevoir un jeune garçon, Ah tient celui qui avait failli se faire écraser ! pensa t-il et pour son plus grand malheur, le mec qui pouvait pas voir, venait sous ses yeux se faire emporter un truc.
Adam se rapprocha de l'autre trottoir, traversant sans regarder, alors qu'une voiture l'avait rasé. Une foule vint les entourer, krissee, son ami et lui même. Il ne put voir qu'un instant un bout de tissus disparaître, entendant ses clés raisonner dans ses oreilles.
La foule l'empêcha d'avancer un peu plus, il vit l'ami de celui qui ne pouvait pas voir en peinture se faire emmener par cette foule et un homme au chapeau, moustache à ses côtés. Très bizarre, pensa t-il. Il ne s'en préoccupas pas plus et aperçut vaguement l'individu qu'il recherchait.
Il cria à l'intention de tout le monde, "Je l'ai repéré, en plus il put ! Il est partie par là ! " annonça t-il, à ceux qui l'avaient rejoint et qui voulaient peut-être récupérer leurs affaires. Il se tourna vers Margo. "Tu n'as rien ? Partante pour se détendre un peu ?" s'exclama t-il, avançant d'un pas assez heureux.
Il avait été volé, certes, mais cela l'amusait, le voleur voulait jouer à cela, il n'allait pas être déçu. Il était bon en course et pour flairer les choses.
"Ceux qui veulent s'amuser, c'est par là ! ou récupérer vos machins, c'est toujours par là !" s'étira t-il. Il craqua ses doigts, son cou et ses chevilles. Le regard était devenu noir d'amusement. "A nous !" et il se mit en route vers la le dernier indice relevé, bousculant sur son passage le jeune garçon sans faire exprès.
Kris salua chaleureusement Sab', et se ravit de son sourire espiègle qui savait redonner le sourire, même au plus brutal des méchants.
Mais il ne pu le saluer davantage, que quelque chose de tellement furtif qu'il arrivait pas à voir qui ou qu'est-ce que c'était, le fit trébucher, lui, son ami, et tout le reste des gens de l'allée. Il manqua de près de se cogner la tête mais évita de justesse les dégâts. Il se releva, aida Sab' à faire de même, et regarda autour de lui.
La plupart des gens avait l'air de chercher quelque chose dans leurs poches, leurs vestes ou leurs sacs. Certains s'affolaient, d'autres plus encore. Avaient-ils perdu quelque chose ? Une grande masse mouvante de personnes encombrait l'allée, tandis que Kris sentit quelque chose dans sa poche. Ou plutôt une sensation de manque. Alors, il s'affola à son tour.
Non, non, non, non !
Il plongea la main dans sa poche, et n'y trouva rien. Le porte-clé de son frère n'était pas là. L'affolement s'intensifia. Il ne pouvait pas le perdre, c'était la dernière chose qu'il lui restait de lui. Il ne devait pas le perdre. Il ne pouvait pas le perdre.
La voix qu'il ne pouvait pas supporter s'éleva de nouveau. "Parqueur" cria à tous ceux qui avaient perdu quelque chose -manifestement environ tout le monde- de suivre le voleur. Pour s'amuser. La situation était amusante pour lui. Kris soupira.
On t'a volé quoi à toi ? J'ai perdu le porte-clé, il faut à tout prix que je...
Personne. Il avait perdu Sab' dans la foule. Kris leva la tête pour tenter de l'apercevoir, et il le vit, aux mains d'un homme qui l'emmenait plus loin. Il tenta tant bien que mal de se frayer un chemin vers lui, mais n'y arriva que très lentement. Puis il les perdit de vue. Impossible de les retrouver.
Que venait-il de se passer ? Il devait retrouver celui qui avait fait ça. Il devait... Il serra la mâchoire, car il allait faire quelque chose qu'il avait jamais cru possible. Il allait suivre l'autre dingue. Il fit demi-tour en bousculant certaines personnes, pour arriver au niveau de Parqueur, et lui lança un regard dur, l'idée de vivre quelque chose avec cet exaspérant lui déplaisant
Je te suis, lui dit-il sans vraiment de joie.
Tara Duncan
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Feat Adam B. Parker, Henry D. Mills, Kris Reindeer, Sébastien Dust et Margo Gru-Still
Vous connaissez cette impression d’échec, celle qui vous fait comprendre que vous auriez bien mieux fait de rester dans votre lit ? Eh bien c’est exactement ce que je ressens. Je sens bien que mon retour va être rapide et que je vais me plonger sous mes couvertures pour rattraper mes heures de sommeils. J’envoie un dernier message à Moineau pour savoir si tout va bien et si je peux aider Fabrice à se sortir de cette énième position gênante. Le connaissant, il a encore du engendrer une catastrophe à cause de sa maladresse. Il n’est jamais bien concentré et son patron commence surement à en avoir marre. Malheureusement, le garçon n’a pas d’autre choix que de travailler pour pouvoir payer le loyer de l’appartement qu’il occupe avec Moineau. Le seul hic, c’est qu’il a choisis au dernier moment et que, bien évidemment, il s’est retrouvé avec le dernier des boulots. Et donc, le plus désagréable. Compatissante, j’essayais de le persuadé avec Moineau de reprendre ses études pour accéder à un métier plus agréable et mieux payé. Mais têtu, il avait toujours refusé, voulant prendre la charge de l’appartement à lui seul. Ce qui était très utile puisque Moineau devait quand même travailler à côté de ses études pour l’aider à financer.
Plongée dans mes pensées, j’espérais que mes pieds me mène jusqu’à mon lit pour pouvoir enfin me reposer. Mais, les évènements n’ont pas l’air de vouloir me laisser tranquille. Après avoir payé ma consommation, je m’apprête à sortir du petit café lorsque quelque chose… Ou plutôt quelqu’un me bouscule violemment. Perdant l’équilibre, je tente de me rattraper à la première chose qui se trouve sous mes mains. Malheureusement pour moi, la chose n’étais qu’un buisson décoratif, il ne ralentit en aucun cas ma chute. Alors que je me contracte pour encaisser ma chute sur le béton, je m’écrase sur quelque chose de bien plus mou. Enfin mou, tout est relatif, simplement plus confortable que le sol. Un courant d’air me fouetta le visage. Est-ce que quelqu’un peut courir aussi vite ? Surement pas. Mais j’ai bien l’impression qu’une dose de magie était présente. Le temps de réaliser que ma chute s’est finie sur un inconnu, je me relève rapidement, une expression gênée sur le visage. « Je suis désolé, j’ai voulu me rattraper à quelque chose, mais ce quelque chose n’était pas très efficace. » Dis-je en grimaçant et en regardant les restes de plantes dans ma main. Relevant les yeux vers lui, je jouais avec mon bracelet pour occuper mes mains, comme à chaque fois où je me retrouvais dans une situation gênante. « Je ne vous ai pas fait mal ? » Sa seconde réplique me fit comprendre que non et me fit sourire. Amusant, je ne saurai pas allée jusque-là, mais c’est clair que s’était inattendu. Réalisant que mes doigts tournaient dans le vide, mon sourire s’effaça rapidement. Baissant les yeux vers mon bras, j’ai été forcée de remarqué que mon bracelet avait disparu. « Mon bracelet ! »
Il était la dernière chose qu’il me restait de ma mère, frottant frénétiquement mon bras dans l’espoir de le voir réapparaitre je commençais à paniquer en le cherchant autour de moi. Il était peut être tombé ! C’est pas possible, je n’ai pas pu le perdre, il est trop chère à mes yeux. Faisant plusieurs tous sur moi-même pour le retrouvé, le sol se présentait désespérément vide sous mes yeux. Rerentrant dans le café, je retraçais mon chemin pour tenter de le retrouver. Je devais me rendre à l’évidence, il n’était pas là. Resortant rapidement, une main coincé dans mon sac, farfouillant dans un bordel monstre, je regardais les personnes qui m’entouraient lorsque nous avions perdu l’équilibre. Il y avait bien une personne qui venait de passer et de nous voler un objet à tous. C’était décidé, si je le retrouvais, je le carbonisais. Lentement, histoire qu’il est tout le plaisir de sentir à peau rôtir. « Il vous a aussi volé quelque chose ? » Déterminé à le retrouver, je suivis le brun accompagné d’une jeune femme pour tenter d’apercevoir l’individu en question.
De l’autre côté de la rue, je ne pus m’empêcher de laisser échapper un léger rire à sa remarque. Il put. Très bien, ce détail allait surement beaucoup nous aider. Mais ça avait le mérite de détendre l’atmosphère. Malgré tout, sa réaction me laissait perplexe. Je me demandais ce qu’il avait bien pu lui voler, mais surement pas quelque chose de valeur. Il avait l’air amusé plus que déçu ou anxieux. Il y avait peu de chance qu’on le retrouve s’il continuait de courir aussi vite. Emboitant le pas, je fus surprise de voir que nous n’étions pas les seules à avoir subi ce vol. Me tournant vers les quelques individus, je demandais, curieuse : « Qu’est-ce qu’il vous a pris ? Si ce n’est pas trop indiscret ? »
crackle bones
Henry D. Mills
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Jared S. Gilmore
| Conte : Aucun | Dans le monde des contes, je suis : : Personne
Henry avait failli y passer... Tout ca pour une histoire de SMS qu'il avait envoyé à Leo... Il soupira donc en rangeant son portable dans sa poche, avant... De tomber au sol après qu'un courant d'air ne l'ai violemment bousculé. Un peu étourdi par la violence du choc, il se releva alors qu'un homme interpellait tout le monde, leur demandant q'ils voulaient retrouver ce qu'ils avaient perdu... Etait-il donc au courant de ce qu'il c'était passé bien avant que cela ne se passe ?
Quoiqu'il en soit, alors que Henry fouillait dans ses poches pour voir s'il avait toutes ses affaires, il constata avec effroi qu'il avait perdu ses clés. C'était clair, Regina allait le tuer... Il se dirigea donc vers le petit groupe, en suppliant presque :
-Moi j'ai perdu les clés de chez moi... J'vais pas pouvoir rentrer avant de les avoir...
Il soupira alors, avant que le méchant monsieur qui semblait être le chef du groupe ne s'élance dans les rues de la ville, en le poussant. Bien évidemment, le gamin tomba une nouvelle fois au sol. Mais cette fois ci, il se releva vivement, en s'écriant :
-Attendez revenez ici et excusez vous !
Et il s'élança alors à la poursuite d'Adam, bien décidé à ce que l'autre s'excuse...