« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Une personne normalement constituée, lorsqu'elle se surprenait à être occasionnellement possédée par une entité maléfique, chercherait probablement l'exorciste le plus proche afin de s'expurger de ce démon intérieur, tout en prenant soin de se barricader ou paniquer comme un cinglé, au choix. Mais c'est précisément cela qui est intéressant ; comme un cinglé. Donc une personne non-cinglée qui se comporte COMME un cinglé à cause d'une banale possession démoniaque. Mais dans le cas de quelqu'un qui est déjà cinglé à la base, il se passe quoi ? Eh bien cet individu peu commun s'ennuyait ferme. On -allez savoir qui était ce « on », ce qui était génial avec ce pronom (im)personnel était qu'il désignait tout le monde et personne à la fois, un groupe d'individus, s'incluait lui-même ou non, et autres facéties de la langue française- -oui, Jefferson aimait briser le quatrième mur et se faire des réflexions de la sorte sur la langue française alors qu'il provenait d'un pays où les langues n'avaient pas de sens pour terminer dans un pays où le français était une denrée rare et précieuse-, où en était-il dans ses réflexions ? Ah oui ! On lui conseillait vivement de s'enfermer dans un coin le temps que dark-Jeff se calme et qu'il trouve une solution pour se débarrasser de son alter-ego maléfiquement farfelu. Mais rester à ne rien faire et réfléchir n'était pas la tasse de thé d'un pourtant amoureux du thé ; oh, certes, il se passait nombre de choses improbables dans un cerveau aussi nourri que le sien, mais jamais dans le sens que l'on prévoyait ni-même dans la logique des choses. Pourquoi donc se limiter à cela ? C'était logiquement absurde ! Aaah ! Les mortels et leur train-train quotidien qui ne leur apportait que grisaille et mauvais jours pour les emmener inéxorablement vers leur mort, fatale et inévitable ! Dark-Jeff au moins, lui apportait un peu de piment dans son existence -au détriment des autres, évidemment, mais depuis quand le Chapelier Fou avait-il la moindre considération pour le bien-être d'autrui ? Gagné ! Jamais. C'est donc la tête posée sur une chaise avec un air renfrogné que Jefferson prit la résolution de ne pas laisser les autres lui dicter sa conduite. Non mais ! Personne n'avait jamais réussi à le tenir en place, et ça n'était pas prêt de commencer. La seule chose qui l'empêcherait d'agir serait que ses actions entraîneraient un danger pour Grace. Le reste, pfff, mais on s'en bat les steaks à grands coups de bananier ! Saisissant manteau, chapeau, pinceau et tant d'autres magnifiques artefacts se terminant par « eau » que Jefferson se libéra du manoir pour parcourir la ville à la recherche d'une aventure, n'importe laquelle, sous n'importe quelle forme. Et c'est sous celle d'une tortue qu'elle décida de se manifester… Oui, une tortue, en plein Storybrooke, qui avait l'air de prendre ses aises au milieu du carrefour, si bien que Jefferson sentit comme un vent d'excitation l'envahir de part en part, tandis que ses pensées cessèrent de divaguer en direction d'une charmante blonde ma foi gâtée par cette gente dame qu'était Mère Nature et qui se disait Sauveuse -ou déesse magique, ou fille de Blanche et Charmant… cette femme était décidément beaucoup de choses ! Après tout, on est jamais qu'une seule chose, et Jefferson vivait de cette affirmation- pour se focaliser sur les pas lents et patauds de la grosse bébête qui filait le long de la rue comme si elle se croyait à la plage… Une carapace reluisante de douceur et qui n'attendait qu'un cavalier ! Oooh mais quelle bonne idée ! Prenant un air soudain mystérieux, bien qu'un sourire en coin trahissait sa pensée, Jefferson se glissa furtivement le long des voitures, jusqu'à atteindre la position de l'animal, de l'autre côté d'une vieille Ford qui n'allait pas tarder à rendre l'âme. Et le Chapelier ne se priva pas d'accélérer le processus puisqu'il bondit brusquement sur le capot du véhicule, au point qu'il aurait juré l'entendre tousser, avant de sauter sur le dos de Dame Tortue pour un petit rodéo au centre ville… C'était quand même plus confortable et harmonieux qu'à dos de cheval, il devait le reconnaître, bien que la Tortue fit une légère embardée, avant d'entamer un trottinement qui aurait pu paraître mignon si elle n'avait pas décidé de prendre soudainement un galop digne d'un mauvais cheval de course O_o oui mauvais, une tortue ne pouvait quand même pas égaler un beau et bon -et bonobo !- pur-sang ! Ça ne l'empêchait pas d'avancer à une vitesse que l'on aurait jamais pu se douter venant d'un animal aussi naturellement lent… Jefferson s'agrippa comme il put aux bordures de la carapace, en position couché, laissant échapper un rire tonitruant dont il avait le secret. Sur son visage se lisait un amusement certain, et s'il avait été en possession d'un téléphone portable, il aurait aussitôt appelé le Lièvre de Mars pour une petite partie de thé et de non-anniversaire à dos de tortue ou ce cher Capitaine Crochet pour qu'il le rejoigne à dos de Lièvre… Ou les deux, encore plus simple, une potion pour redonner au Lièvre ses couleurs d'antan et un Capitaine parfumé au rhum drogué façon Chapelier pour finir par une folle course-poursuite au coeur de la ville ! Oh mais que c'était génial ! Le Chapelier se traîna un peu sur le dos de la tortue, histoire d'avoir son visage à la hauteur de là où on pourrait situer les oreilles d'une telle créature, et chuchota tacitement :
« Dis moi mon brave, tu veux bien me déposer au salon de thé puis au port ? J'ai une course à faire ! »
Mais bien sûr, l'animal ne daigna pas même lui prêter attention, ce qui n'empêcha pas Jefferson de repartir dans un rire enthousiaste lorsqu'il se retrouva soudainement en possession d'un téléphone portable par un miracle quelconque. Qu'à cela ne tienne ! On lui avait vaguement expliqué comment ces trucs fonctionnaient, alors le moment était PARFAITEMENT bien choisi pour…
« But first, let me take a selfie ! »
Et c'est ainsi qu'un mystérieux téléphone portable se retrouva avec une photo supplémentaire où l'on voyait le sourire rayonnant de blancheur d'un Chapelier un peu beaucoup toqué, avec en arrière plan la carapace et la tête d'une tortue qui filait comme le vent, poursuivi par… un groupe d'admirateurs ! Ooooh des fans ! La journée ne pouvait pas être plus merveilleuse !
« Ne courrez pas comme ça ! Ne vous inquiétez pas, dès que j'ai fini ma balade, je viendrai vous donner des autographes ! »
Durant un instant, Jefferson crut reconnaître le danseur ami de Louise et le fils d'Emma, mais son attention fut bien vite détourné par le téléphone, dont il s'arma pour immortaliser les visages rouges et essoufflés des coureurs. Et une deuxième photo, une ! Bien sûr, le Chapelier était parfaitement conscient que ces individus étranges n'étaient pas des admirateurs en manque, et que toute cette situation n'était que le fruit d'un concours improbable de circonstances en tous genres. Mais comme vous le savez sans doute, rien n'est plus sucré que de déformer la réalité pour en faire ce que l'on veut !..
Bon ok; il me disais qu'il l'avait je lui faisais confiance. Et voilà que nous repartions en courrant laissant derrière nous les sumotori. J'avais récupéré mon sac et fait un clin d'oeil à Tara par la même occasion une sorte de 'y a pas de quoi' à son merci. Je sentais sérieusement que j'étais en manque d'exercices, je commençais à avoir un point de côté. D'ailleurs j'avais une hallucination. Je voyais un type à dos de tortue géant entrain de se prendre en selfie avec un portable. Wait... Une sevonde. Je fronçais les yeux... Note a moi même allez voir l'ohtalmo... Avec MON portable. Je ronchonnais alors.
- " Non mais lui il va me rendre mon portable et fi-ça! "
Je demandais quand même avant aux autres.
- "Rassurez moi, vous voyez bien la même chose bizarre, avec la tortue?"
Tout le ondes acquiesça. Alors me demandais pas ce qui m'a pris mais je me mis à courir de plus belle, je fis un superbe vol planné et fit une sorte de plaquage sur l'homme, en attrapant mon portable au passage. Je disais alors.
- " Excusez moi, mais ceci m'appartien et est le seul moyen de joindre la personne qui surveille ma fille..."
Oui, oui, j'arrivez encore à demeurer polie. Mais celà n'était pas fait pour durer. La tortue décida de se jouer de moi. Cette sale bestiole s'amusa à me faire tourner en bourrique en slalomant et accélérant, ralentissant et fatallement au bout d'un moment elle méjecta. Je fus ammorti dans ma chute par Tara. Je me relevais immédiatement, m'excusant platement. Et là comble de l'horreur, mon portable gisait au sol. Et là ce fut plus fort que moi.
- " Bord*l de m*rde! Mais c'est pas vrai puta*n!"
Mon portable ou aider Tara à se relever. Je soupirai, lançant un regard à Adam du genre 'tu peux récupérer mon celulliare'. Et j'aidais la jeune blonde à se relever...
Kris regarda, pas peu fier, les deux sumos s'éffondrer d'épuisement. Il leurs restait sûrement de l'energie, mais si faible que les deux japonais devaient frôler la mort s'ils se relevaient.
Le sculpteur tapa dans la main de son voisin. Il a été épatant -comme souvent, certes. Puis, alors que tous se rassemblèrent autour d'Adam, Kris demanda enfin :
Mais qui est ton nouvel ami ?
L'homme très étrange à ses côtés semblait perdu, confus, ou peut être effrayé. Mais il n'avait rien de normal, et tous avaient bien été d'accord sur le fait de l'appeller castor, ou homme castor, pour faire moins vulgaire -même si ce n'était toujours pas très aimable tout de même-. Cependant, Kris n'eut pas le temps de comprendre quoi que ce soit. Ni le castor, ni le dessin.
Il écarquilla les yeux en voyant une tortue géante, dévaler les rues à une vitesse bien anormale pour une tortue. Le plus étrange (peut être plus étrange qu'une tortue gêante tout de même) était qu'elle était chevauchée comme un taureau pouvait l'être, par un homme au sourire et aux yeux de fous. Kris crut le reconnaitre vaguement. Non en fait, il en était sur.
Hé ! Mais ce l'homme qui m'a drogué à noël !
A dans ce cas si c'était lui, rien n'était éttonant alors. Kris avait appris à ne plus se poser de question et faire comme si tout était normal avec les originaires de Wonderland à présent. Adam commença à se lancer à sa poursuite. Tandis qu'il essayait tout se même de clarifier les choses, le sculpteur accourut pour le suivre, suivit du reste du groupe. Margo. Margo s'était écriée que le chapelier fou avait son téléphone. Et si Kris se souvenait bien, le voleur le lui avait pris. Leurs objets perdus étaient donc avec lui ? Un regain d'énergie remonta en lui, et se mit à redoubler d'efforts pour le rattraper. Il sauta au dessus de Tara et Margo, tombée durant la chute, disant furtivement qu'il allait récupérer ce téléphone.
Il prenait de la vitesse, mais la créature étrange était rapide. Et il n'arrivait pas à le rattraper. Il jeta un coup d'œil rapide sur le trottoir. Il vit des enfants jouer. Et parmis les objets laissés par terre, quelques cordes à sauter. Il se mordit les lèvres à l'idée qu'il avait.
Je vous la raménerai, promis !
Voler des enfants. Horrible. Il s'en voulait déjà énormément. Mais il n'eut pas le temps de culpabiliser. Il noua les deux cordes qu'il avait pris ensembles, et les jeta, tel un cowboy un peu maladroit venant du Nord le tout sur la tortue. Il réussit étonnement à l'avoir. Il tira dessus pour serrer le nœud et s'accrocher. Mais ce qu'il n'avait pas prévu, c'était la course. La bête ne s'arrêta pas, et, suspendu aux cordes attachées à l'animal fantastique, Kris tomba par terre et traina très rapidement sur quelque mètres et le béton râpant. C'est en cognant violemment contre une poubelle qu'il lâcha et que sa course s'arrêta.
Raaah ! Cria-t-il, rageant de ne pas avoir ramené le téléphone, ou tout leurs objets, et s'être fait blessé encore un peu.
Kris :80%
Tara Duncan
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Emilia Clarke
GOOD FRIEND ARE LIKE STARS
YOU DON'T ALWAYS SEE THEM
BUT YOU KNOW THERE'RE ALWAYS THERE
Adoratrice auto proclamée des cochons
et surtout des Pua !
| Conte : Tara Duncan | Dans le monde des contes, je suis : : Tara, la blonde à la mèche blanche qui fait tout exploser à son passage !
Feat Adam B. Parker, Henry D. Mills, Kris Reindeer, Sébastien Dust et Margo Gru-Still
Un sourire triomphant sur le visage comme la plupart de mes camarades, nous regardions les sumos en très mauvais états. Nous étions fiers de cet affrontement, mais pas non plus fou. Ils pouvaient se relever d’une seconde à l’autre et partir me semblait l’idée la plus judicieuse. M’adressant à Adam qui était finalement revenu, sa réponse me fit hausser les sourcils. N’arrivant pas à y croire, je le retenais alors qu’il s’en allait de bon train. « Attend, quoi ? Tu m’as traité de quoi là ? » Je le regardais perplexe et étonné. Alors là pour le coup, il avait réussis à me scotcher. Ce genre de remarque me faisait grandement sourire et m’énervait à la fois. N’ayant pas le temps de discuter plus longtemps, nous nous élancions une nouvelle fois à la poursuite de nos objets perdus. Rien que d’y penser, j’en avais le cœur serré et l’estomac noué. Si la dernière chose qui me restait de ma mère partait en fumé, j’allais vraiment très mal le vivre. Et pour une fois, ça n’aura pas été de ma faute. Du moins, pas entièrement. Il sortit un papier qu’il ouvrit, d’un regard curieux, je regardais le dessin de tortue un peu étonné. Il gardait ça sur lui. N’ayant pas le temps de me venger de sa réflexion précédente, ses paroles me firent lever les yeux sur une… Une tortue ?! Restant quelques secondes plantées, je regardais l’animal galoper devant nous. Pas possible, c’était un canular, une caméra caché. Ça n’existait pas les tortues en pleine ville. Rejoignant les autres en accélérant, je ne revenais pas de ce que je voyais. Mais le pire restait à venir. Le peu de temps où j’avais perdu l’animal des yeux, un homme en avant profité pour lui grimper dessus. Répondant à la jeune femme aux lingettes, je gardais mes yeux rivés sur le spectacle. « J’espérais rêver, mais apparemment non… Et puis… C’est qui lui ? » Etonnée de voir quelqu’un d’autre qu’Adam sur la monture insolite, je me laissais distraire par le cow boy quelques instants. Instants qui furent douloureux. Alors que je continuais de beuguer sur l’homme, quelque chose se heurta à mes jambes, me faisant faire un nouveau vol plané pour ensuite rencontrer le sol une nouvelle fois.
Portant ma main à ma tête, j’attendis quelques secondes avant de me relever. « Aoutch… Ma tête… » Regardant autour de moi, le paysage tournait dangereusement alors que je commençais à me relever. M’appuyant sur Adam, je tentais de garder mon équilibre. « Ohla ça tourne… » Me tournant vers Margo, je souris légèrement, tentant de rester concentré pour garder ma stabilité. « C’est pas grave t’inquiète… » Levant les mains en souriant, mon regard dévia sur la couleur inhabituelle de ces dernières. Ecarquillant les yeux en voyant du sang, je m’exclamais avant de comprendre quoi que ce soit. « J’ai les mains en sang ! » Cherchant la douleur, ou l’origine de tout ce sang, je touchais mes bras de part et d’autre. Pourtant, aucune douleur. C’est pas possible, autant de sang ça doit bien faire mal non ? Je finis par détourner les yeux vers Adam qui s’apprêtait à repartir à la charge, j’aperçu son bras ensanglanté. « Mais c’est pas moi qui saigne… Adam, ton bras il est tout… » Je n’eus pas le temps de finir ma phrase que le jeune homme repartis de plus belle. « Mais attend ! Ça va s’infecter si tu fais rien ! » La nouvelle et la douleur n’avait absolument pas l’air de le déranger. Bon… Je suppose qu’on s’occuperait de ça plus tard. Me mettant à courir derrière lui, ma tête tournait encore dangereusement. A ce rythme-là, je ne tiendrai surement pas longtemps. Il fallait que je stoppe l’animal. Ne trouvant pas d’autre solution, j’orientais mon bras en essayant de viser la tortue pour laisser échapper un nouveau jet de magie bleu. Ne courant pas très droit, ce dernier manqua sa cible de quelques centimètres pour s’écraser sur un passant. Horrifié, j’accélérai le pas pour le rejoindre. Heureusement, pas mortel, le rayon ne l’avait que fait aller au ralentis. « Je suis désolé… Vraiment désolé ! Je… Euh.. Je sais pas comment ça marche dans l’autre sens… Et si j’essaie… Je pourrais faire une autre bêtise… Je préfère ne rien faire… Désolé ! Vous irez mieux dans quelques minutes… Ou heures… Hum… Je dois y aller… Désolé ! Désolé ! » Sautillant sur place, je reprenais bien vite ma course vers la tortue et le cavalier.
crackle bones
Tara : 75%
Henry D. Mills
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Jared S. Gilmore
| Conte : Aucun | Dans le monde des contes, je suis : : Personne
Les sumos étaient KO et le gamin ne pût s'empêcher de sautiller de joie, tout fier de ce qu'il venait de faire en en achevant un. Il les regarda donc tomber avec une légère moue sadique au visage, avant de finalement rejoindre les autres personnages du groupe.
Ils venaient en effet de tous s'agglutiner autour d'Adam, qui avait un bout de papier dans la main. Dessus, une tortue était dessinée. Et d'ailleurs... Et bien il y avait une tortue qui descendait la rue à toute allure avec... Jefferson !
Oui, le chapelier fou et plus ou moins copain de sa mère descendait la rue sur le dos de la tortue. Le gamin s'élança donc à la poursuite de la tortue folle, comme tous les autres. Mais leur tentative pour l'arrêter restaient toutes vaines. Le gamin leva donc les yeux au ciel, en lâchant :
-Faut toujours tout faire tout seul ici...
Le gamin observa donc Margo tenter de faire quelque chose contre le voleur de son portable, avant que ce dernier ne tombe au sol. Il courut donc le récupérer, puisqu'elle l'avait aidé plus tôt, avant de le mettre bien à l'abri dans la poche de son jean et de se redresser pour faire quelque chose de complètement fou. Il se mit donc à courir vers la tortue à vive allure, ne voyant pas que Sebastian usait de la magie.
Il se retrouva alors entouré de sable qui lui piquait les yeux. Il se mit donc à tenter de dissiper le nuage de sable, perdant totalement de vue le chapelier fou et sa monture...
-Vite, rattrapez le, m'attendez pas !
Henry : 90 %
Sebastian Dust
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Eddie Redmαyne.
From Gold to Grave Who's making the Sandmandream ?
| Conte : Les 5 Légendes. | Dans le monde des contes, je suis : : Le Mαrchαnd de Sαble ϟ Archeron.
Une… Tortue. Une tortue. Une tortue ! Une vraie tortue ? Sebastian n’en avait jamais vraiment vu. Enfin, si, il en avait vu pleins. Mais pas d’aussi prêt et sûrement pas dans un contexte comme celui-ci. D’ailleurs, plus il faisait perdurer son moment d’égarement, plus des petites tortues en sable commençaient à apparaître dans les airs autour d’eux, gigotant et jouant entre elle en suivant la course de la petite troupe. Elles étaient mignonnes, les tortues, en général ! Pourquoi est-ce que celle-ci… Et qui était cet étrange monsieur installée soudainement dessus ?
« Rassurez moi, vous voyez bien la même chose bizarre, avec la tortue ? » Demanda soudain une jeune femme, ce à quoi Sab ne put que hocher la tête par l’affirmative. Oui, ils voyaient tous un homme tranquillement installé sur le reptile, en train de prendre d’abord de drôles de poses face à un téléphone… Puis se mettant tranquillement à préparer du thé ! Du thé ? Pourquoi du thé maintenant ? Surtout que tout le monde sembla soudain s’exciter autour de lui et absolument vouloir s’en prendre au dit bonhomme ! Sebastian se stoppa un peu dans sa course, interloqué en voyant que tout partait plus ou moins en vrille…
Heureusement qu’il n’avait pas vu Kris voler les cordes à sauter des enfants, où ça aurait bardé pour ses fesses. Sab ne supportait absolument pas qu’on s’en prenne aux plus jeunes, pour quelle que raison que ce soit ! Mais, une chance pour son voisin, lui était bien trop occupé à faire bouger ses mains en spirale devant lui pour faire jaillir du sable dans une redoutable petite tornade ! De quoi arrêter la tortue sans trop d’efforts, normalement. Oui, normalement. Car rien ne se déroulait vraiment de la bonne manière depuis le début de cette étrange et cocace situation.
La preuve. Alors qu’il visait la tortue, se fut soudainement le gamin qui se précipita dans le sable en voulant récupérer quelque chose parterre ! Sebastian leva alors immédiatement les mains quand il s’en rendit compte, soudain surpris et désolé que le sort ne se retourne contre le seul enfant du groupe ! Sa bouche s’entrouvrit dans des excuses muettes, ne parvenant pas bien à réaliser ce qu’il venait de se passer… Attaquer un enfant ! Lui ? Impossible ! Impensable ! Complètement intolérable et impardonnable ! Il en restait les bras ballant et le cœur en miette rien qu’à l’idée qu’il ait pu faire du mal à Henry. Penaud, il fixa finalement ses mains, commençant à se poser tout un petit tas de questions existentielles sans être vraiment sûr de son coup. Depuis quand avait-il plongé de ce côté obscur de la force ? Depuis quand…
« Eeeeeeeet !!! Mais c’est le monsieur aux sacs à mains volaaaaaaaaaaants !!! » Résonna soudainement une voix provenant de sa gauche. Sebastian leva illico le nez, reconnaissant sans mal la personne qui venait de hurler en pleine rue. Ou plutôt, les personnes… Il les désigna de l’index, pointant tour à tour leurs différents visages alors qu’elles s’approchaient en courant. Les filles du restaurant ! « Je veux des petite licoooooornes doréééééées !!! » Cria encore l’une d’elles, se dépossédant de ses talons hauts pour courir encore plus vite vers lui. Ces femmes. Donnez-leur un petit jouet et elles ne peuvent plus s’en passer. Ça aurait pu le faire rire… Si ça ne lui mettait pas autant la trouille ! Voilà pourquoi il ne sortait quasiment jamais de chez lui.
Sab n’avait pas vraiment que ça à faire, de leur faire apparaître des petits objets pour les amuser. Il se mit donc à courir en direction de la tortue pour espérer leur échapper ! Oh, depuis quand est-ce qu’il courait aussi vite ? C’était comme si des ailes lui poussaient dans le dos pour fuir le danger. Il se précipita et dépassa même l’animal. Saisissant sa chance, il voulut se pencher pour l’attraper et mettre fin à cette course poursuite… Lorsqu’un individu dont il ne vit pas le visage le poussa littéralement et délibérément ! Enfin, pas si volontairement que ça, elle n’avait pas dû faire exprès. Mais tout de même, un peu d’attention, que diable !
En tout cas, ce fut suffisant pour faire perdre l’équilibre au marchand de Sable, qui se retrouva bien malgré lui à trébucher en avant. Il tendit les bras, près à embrasser le bitume et à grimacer de douleur... Et ce fut le torse d’Adam qui lui sauva – une nouvelle fois – la vie ! Il se cramponna à lui pour ne pas continuer sa chute, salissant au passage son joli costume du sang qui couvrait le bras de l’homme contre lequel il se trouvait. Oh, non ! Pourvu que Sewen ne voit pas ça et se fasse de fausses idées !
En tout cas, il se dégagea rapidement de l’étreinte en penchant la tête en avant plusieurs fois pour s’excuser. Décidément, Adam était son coussin personnel aujourd’hui !
Sebastian : 90%
Emma Swan*
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Jennifer Morrison
| Conte : Once upon a time | Dans le monde des contes, je suis : : la fille de Blanche et Charmant
J'ai du travail ,j'ai pas le temps de m'occuper de tout le monde,j'embarque l'autre sur sa tortue,circuler y'a rien a voir.Emma & Un boulet a chapeau,une tortue et des gens.
Une vie de chien
Dvd en main je me dirigeais vers ma voiture pour pouvoir rentrer chez moi,j'avais passer la moitié de l'après midi dans les boutiques pour trouver le bon DVD,celui du film "La Fiancée de Frankenstein",c'était plutôt particulier comme film ,mais on me l'avais recommander,apparemment c'était un très bon film et c'était la suite du film "Frankenstein" que j'avais vue il y a bien longtemps,c'étais des vieux films,ils étaient en noir et blanc,j'avais eu beaucoup de mal a les trouver sur DVD,surtout le second,mais par chance,une petite boutique dans le centre commercial l'avais,je m'étais empresser d'acheter la dernière copie,en espérant que le film était aussi bon que le premier.
J'ouvrais la portière de ma voiture ,jetant sur le siège passager le sac en plastique qui contenait le DVD et un paquet pour faire du pop-corn au micro onde,quand un rire familier se fit entendre un plus loin sur la route,je fronçais les sourcils avant de lever les yeux pour voir d'où venait vraiment ce rire,je m'attendais peut être a tout avec lui ,mais surement pas a cela,ma bouche s'ouvris au fur et a mesure que je le fixais du regard,j'avais presque envie de me pincer le bras juste pour vérifier que je n'hallucinais pas,je ne le fit pas car après tout le Chapelier était un spécialiste,il devait surement être en compétition avec lui même pour faire les trucs les plus débiles tout en espérant s'en sortir sans problème.Je levais les yeux au ciel avant de claquer la porte de ma coccinelle jaune,avant de passer une main dans mes cheveux blond,réfléchissant un instant,peut être que je devrais simplement le laisser continuer son délire,il finirait bien par s'arrêter ou alors la tortue finira par entrée en collision avec une voiture et il finirais encore une fois a l’hôpital a martyrisée les infirmières et a s'enfuir par la fenêtre pour enchaîner avec son prochain plan tordus,son cerveau devait marcher a la conneries.
"Oh et puis merde."Je lâchais dans un murmure avant de m'élancer a sa poursuite ,il fallait bien que quelqu'un l'arrête et si ce n'était pas les autres habitant de la ville,je le ferais,après tout j'était shérif,si il créait un accident de circulation ,sa me retomberais surement dessus parce que je n'aurais pas arrêter un chapelier sur une tortue qui s'amusait a prendre des selfies."Idiot."Je lâchais tout en essayant de le rattraper,il semblerais que la tortue soit bien plus rapide qu'une tortue normal,se qui était plutôt étrange,mais pas spécialement important pour le moment.
Durant ma course mes yeux dévièrent vers la droite pour remarquer qu'un groupe de gens c'était lancer aux trousse de la tortue aussi,apparemment je n'étais pas la seul a vouloir a arrêter le chapelier,si tout ceci ne se finissait pas en un très grave accident sa serait un miracle,j'irais même allumer une bougie a l'église rien que pour cela.Une femme fut assez courageuse pour tenter de plaquer le chapelier,je la félicitais intérieurement avant de grimacer quand elle fut éjecter de la tortue après avoir fait un léger rodéo,dans sa chute elle entraîna une jeune femme au cheveux blond,sa n'avais pas du faire du bien du tout."Jefferson ! arrête de faire l'idiot et arrête cette tortue !"Je m'écriais mais il ne semblait pas m'entendre ou alors il s'en fichais royalement ,c'était souvent le cas quand je lui adressait la parole.
"Ca va allez ?."Je posait la question au jeune homme qui avait finit près des poubelles,il ne semblait pas trop blesser,mais pour le moment je ne pouvais pas stopper ma course,je tournais la tête pour voir ou se trouvais Jefferson,quand je remarquais Henry qui lui aussi semblait avoir des problèmes,j'hésitait un instant pour voir si je l'aidais mais il cria aux autres qu'il allait bien alors je continuais mon chemin.Un objet apparue soudainement dans ma main,je baissait les yeux pour remarquer un télescope dans ma main,je me retenais de ricaner,il semblerais que nos rencontre allais souvent se terminer avec moi l’assommant et lui évanouis.
J'aurais du faire plus attention car je rentrais en collision avec quelqu'un."PARDON !."Je dépassais la tortue qui s'arrêta a ce moment la,je levais le bras avant d’abattre l'objet sur le sommet de son crane que j'avais en main,pas tellement gentil mais c'était le seul moyen pour qu'il se calme,alors que celui-ci s'amusait a boire du thé,il tomba sur le côté puis sur le bitume et la tortue repris sa route tranquillement"Toi et moi un jour on aura un moment totalement normal,mais c'est pas aujourd'hui."Je m'adressais au chapelier avant de l'attraper par en dessous de ses bras et de le tirer en arrière."Tu pèse une tonne."Je disais entre mes dents pendant que je le tirais,je remarquais que son chapeau gisait plus loin,je laissais tomber le chapelier en plein milieu du trottoir avant de récupérer son chapeau,le plaçant sur la tête avant de tourner les talons pour allez récupérer son propriétaire qui semblait reprendre conscience et divaguait déjà a propos d'une tortue ,me demandant se que j'avais foutue."Me regarde pas comme cela,il n'y a aucune tortue ,je ne voit pas de quoi tu parle,allez lève toi ,on va regarder un film et manger du pop-corn, sa nous changera des balades a cheval en plein centre ville."Je l'aidais a se relever avant de lui attraper le poignet de l’entraîner avec moi pour allez récupérer ma voiture,laissant les autres se débrouiller avec la tortue.
Tout s'enchaînait tellement vite, que je crois que mon cerveau enregistré les informations mais sans me laisser le temps de réellement les analyser. On se retrouvait donc avec le Shérif Swan qui avait embarqué l'homme qui était sur la tortue. La dite tortue c'était de nouveau carapaté en direction du centre commercial. Après l'intervention d'Henry pour récupérer mon portable et celle d'Adam, qui au passage c'était blessé, le dit portable avait de nouveau disparu. Ok je crois que les infos essentielles étaient là. Je m'approche d'adam et regarde sa blessure, j'attrape mon basique d'infirmière dans mon sac et fait le nécessaire, sur le bras de mon ancien chien, le plus rapidement possible. Il marmone quelque chose que je suis la seule à entedre. Je le répète à haute voix.
- " Faut suivre la tortue! On arrive nous attendes pas, on vous retrouveras sans soucis, j'en ai plus que pour une minute. "
Je me recentrais sur ma tâche et dès que ce fut terminé avec Adam on rattrapa les autres à la poursuite de la tortue
eden
Margo : 90
Adam B. Parker
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Max Greenfield
| Conte : Film d'animation ; Moi, moche et méchant | Dans le monde des contes, je suis : : Le chien Brutus
Adam était concentré dans son jeu, son but ultime à ce moment là, était d'arrêter la tortue et de prendre le portable qu'avait Jefferson dans la main, il connaissait cet homme, il ne se rappelait plus comment, mais il savait au moins qui il était. Il savait qu'il s'entendrait bien avec lui, tellement qu'il avait l'air décalé et ça Adam il aimait beaucoup. Comment ne pas aimer, c'est si jouissif de s'amuser ainsi, il avait envie de faire du rodéo aussi, mais gardait à l'esprit qu'il avait cet appareil, que Margo voulait récupérer par tous les moyens. Il le savait et le comprenait fort bien. Alors, il s'était mis à la tâche dès qu'il avait aperçu.
Margo avait tenté la première manœuvre, Adam se méfiait, il ne voulait pas qu'elle se blesse de trop et ce fut le cas, elle a eu de la chance et avait récupéré son bien. Il sourit tout en courant, l'aidant, ainsi que son amortisseur à se relever. Il allait prendre le portable mais le mioche l'avait fait avant lui. Mais avant qu'il ne puisse dire quoique ce soit il s'était élancé vers la tortue, voulant se la péter une nouvelle fois.
Non, mais il est bête se gosse ou quoi, le portable dans sa poche, il va tomber. Il leva les yeux au ciel, désespéré par le comportement du morveux. Pourtant il n'était pas blond, donc ça ne se révélait pas forcément vrai, que ça ne soit que les blond -note pour lui même- Il repéra le dite appareil. Il passait à côté de Krisseuuh qui était bien joliment décoré , sauf l'odeur qui laissait un peu à désirer. Il ne dit rien, même si il avait envie de rire, mais pour une fois il ne le fit pas, il se dépêchait juste avant que l'objet ne disparaisse une nouvelle fois.
Il était tellement préoccupé par ce qu'il faisait, qu'il ne faisait absolument pas attention à son environnement. Il pouvait être tête en l'air par moment, où tellement dans son monde. Il ramassa le téléphone, tout content. Il se tournait vers le petit groupe, voulant partager sa joie de l'avoir, surtout à l'attention de Margo. Cependant, soudainement, il sentie que son bras partie en avant, lui faisant perdre l'équilibre. IL regarda la cause et vit une voiture partir à toute allure. Il bougea un instant son bras, une douleur le prit sur le coup, il l'observa, il saignait. Il haussa des épaule, se disant qu'il avait eu pire. Il se releva et observa de tous les côté.
"Rahh shit , le portable!" marmonna t-il. Il regarda autour de lui, les autres poursuivaient pour certains la tortue et d'autres avaient loupé leur actions. Adam se mit à courir de nouveau, il fallait qu'il rattrape cette tortue, elle voulait courir, courons, surtout qu'il court vite habituellement. Deuxième objectif puisqu'il n'a pu avoir ce qui fallait, arrêter la tortue était primordiale.
Il se retourna et ne fit qu'un petit sourire à Tara, alors qu'elle l'interpellait pour son bras. Ce n'était rien, ce n'était guère le moment. Il courut à toute allure, passant devant une personne au ralentie. Il explosa de rire. Dommage, que ça ait raté, s'était plutôt intéressant sn pouvoir, quand ça marchait sur la bonne cible. Ne se décourageant pas et très peu essoufflé, il voulut se jeter sur la tortue pour faire du rodéo également, sautant ....
"Jefferson, il me semble, puis-je me joindre à ...." commença t-il à proclamer, mais il se fut happé, ne le laissant par terminer sa phrase, qu'il tomba sur le sol assez fortement. "...Toi" finit-il par dire sur le sol, quelqu'un sur lui. Décidément, aujourd'hui c'était sa journée..les personnes l'aimait bien comme coussin ou air bag. Son comparse se releva très vites. Adam suivit, Sebastian, il lui semblait, s'excusa un nombra incalculable de fois. Adam s'approcha de lui et lui releva le menton, le regardant dans les yeux, lui souriant. Il fit un smack rapide "Ce n'est rien petit sablier" et reprit sa course , ses membres quelque peu endoloris.
Il se stoppa, à la vue de la belle shérif qui assomma Jefferson. Quelle classe cette femme. Sans prêter plus d'attention aux autres, elle s'en alla, lui sous le bras. C'était vraiment commique cette scène. On se croirait vraiment dans un vrai film, même puet, ça marcherait. Adam avait tellement de mélange de sentiments, s'était si revigorant. Il voulait encore et encore voir tout ce qui pourrait se passer. Il baissa la tête et vit un morceau de corde avancer toute seule...enfin presque, il vit la tortue se diriger dans le centre commercial. Adam n'aimait pas se lieu, pourquoi il fallait qu'elle aille par là.
"Faut suivre la tortue! On arrive nous attendez pas, on vous retrouvera sans soucis, j'en ai plus que pour une minute. " avait crier Margo, qui se tenait aux côté de Adam.
"Margo, tu n'as rien toi ? Je suis vraiment désolé, le portable à disparut une nouvelle fois...j'ai bien l'impression qu'il y a de la magie dans l'air...je m'en veux de ne pas te l'avoir récupéré" avait déblatérer Adam déçu par lui même, il n'aimait pas échoué, surtout sur ça...il voulait tout faire pour ceux qui l'entouraient et qu'il appréciait mais là, il n'avait pu. Il sourit à Margo, la remerciant même si il s'en fichait qu'il soit blessé ou non.
"Bon allez, attrapons là ! Qu'elle nous conduise à nos objets" disait-il déterminé et d'un sourire joueur.
Il tira sa demoiselle vers le centre, ils avaient retrouvé les autres immobiles regardant les différentes allés qu'il y avait. Beaucoup de gens y étaient et cela n'allait pas être une tâche facile. Il s'étira, fit un tour sur lui même, il était prêt.
Adam n'avait même pas l'air surpris, qu'une tortue aille vite, a vrai dire, lui demander à lui si s'était bizarre, alors que avant s'était un chien piranha serait très bizarre en soi, peu de chose le surprenait alors, lui il se contentait de s'amusait et d'analyser les choses. Règle d'or dans sa vie. Avec June, cela fonctionnait, un petit jeu...avec elle s'était si intéressant. Qu'on dise sur lui, qu'il n'était pas sérieux, s'était leur soucis, tous ce qui comptait c'est qu'il soit présent pour les autres -ceux qui l'entouraient- le reste, qu'il aille chasser des bananes dansantes si ils voulaient, il s'en fichait. Ah d'ailleurs, il devait acheter une banane, il en avait envie. ça le rendrait encore plus énergique et même un petite pause pipi serait la bienvenue.
"Bon, avec tous ses blaireaux de gens, vaudrait peut-être mieus se séparer...par deux..., si indice, on se retrouve ici...." Annonça Adam...avant de partir dans une direction laissant pas vraiment le choix. Il avait repérer les toilettes et même un marchant non loin d'ici. Il s'arrêta d'un seul coup, frainant trop radicalement, puisque son comparse de route, lui est rentré dedans sans faire exprès. Il venait de voir un manteau ...marron ....Le voleur ! il se tourna vers les autres.
"Le voleur est là!" cira t-il, mais s'était trop tard, il vit tout le monde, par deux, courir dans une des autres directions. "rah mais ils sont bêtes ou quoi....il est ici....Bon viens" finit-il par dire, lui faisant signe de le suivre.
Kris se frotta la tête, quelque peu douloureuse, se relevant tant bien que mal.
Ça va, merci ! Vous inquiétez pas ! Répondit-il à la femme qui prenait le relais pour rattraper Jefferson.
Il avait cru reconnaitre Emma, la sauveuse de la ville. Il ne fit pas attention à ce qu'il se passait ensuite, essayant de reprendre ses esprits et de maîtriser sa vue de nouveau.
À peine s'en eut-il remit que Parqueur engagea la suite de la poursuite. Sans autres choix, Kris lui emboîta le pas, se souvenant que la corde de l'enfant était toujours au cou de la tortue, et qu'il avait promis de la lui rendre.
La course se poursuivit au centre commercial. Ils durent faire un effort pour de pas bousculer quelqu'un dans la foule qu'il y avait. Comme au marché, le centre était blindé de monde. Chercher un voleur là dedans était comme chercher un flocon de neige dans la tempête d'Arendelle.
Parqueur proposa de se séparer par groupe de deux. Vu la surface qu'ils avaient à parcourir, cela valait mieux. Margo était à côté de lui, Kris se mit d'accord avec elle d'un regard pour prendre l'allée de gauche, tandis que les autres paires partaient de leurs côtés.
À peine eurent-ils commencé à cherché de leurs côté se Kris reconnut la veste du voleur. Margo voyait la même chose : son téléphone ainsi que le porte-clé de Sven dépassaient d'une des poches du voleur.
Kris se retourna pour avertir les autres, mais ils étaient déjà partis.
Tant pis, on va l'arrêté tous les deux.
Ils tentèrent tant bien que mal de ne pas perdre la trace. Mais dans un lieu pareil, ce fut mission impossible. Alors ce fut évident qu'ils la perdirent.
Par ici, lut Kris au milieu de trace de pas, qui mêlaient sueur et jus de fruit. Margo et lui suivirent les traces sur quelques mètres, mais elles se séparèrent en deux. Le voleur jouait avec leurs nerfs et Kris était au bord de la colère.
Il est forcément d'un côté. Je vais à droite, prends à gauche !
À peine eut-il prononcé ces mots qu'il s'engagea. Il courir donc pour arriver dans un magasin de chaussures. Les traces s'arrêtaient là. Il entra dans le magasin, à la recherche du moindre indice. Discrètement pour ne pas paraître louche, il posa ses yeux un peu partout, ne trouvant rien. Il abandonna au bout de quelques minutes et fit demi-tour. Mais alors qu'il s'apprêtait à sortir qu'une femme l'arrêta.
Parfait ! Vous êtes l'homme qu'il me faut vous faites à peu près sa taille ! Je voudrai offrir des chaussures pour un homme très spécial. Pouvez-vous essayer cette paire pour moi s'il vous plait ?
J'aimerai bien mais je dois...
Merci beaucoup !
Kris en conclut qu'il n'avait pas le choix. S'il insistait, il perdrait encore plus de temps. Il s'asseya pour essayer les chaussures. Il espérait que Margo avait une meilleure piste. Il voulut retourner l'aider, mais Kris soupira devant la dizaine de paires de chaussures que la femme lui présentait. Il devait trouver quelque chose pour se sortir de la.