« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Sebastian s'excusait d'avoir raté son sort mais Henry lui assura que ce n'était rien. Et puis en plus de celà, ils perdaient du temps alors que la tortue elle, finissait sa course folle sans Jefferson, qu'Emma venait d'assommer. Et d'ailleurs, cette dernière était reparti avec le Chapelier, alors qu'Henry levait les yeux au ciel. Quelle mère laisserait son fils seul avec des personnes peu recommandables comme Adam ? Mais passons...
Le gamin suivit donc tout le petit groupe à l'intérieur du centre commercial. Mais la tortue avait déjà disparue... Le gamin put alors voir au sol des empreintes de pas et du jus de fruits. "Par ici" C'était ce qu'indiquait les empreintes... Mais fallait-il les suivre ? Parce que c'était ce que Kriss et Margo faisait. Le gamin, lui, opta pour suivre Adam qui... S'arrêta d'un cou. N'arrivant pas à s'arrêter à temps dans sa course, le gamin se le prit de plein fouet, en gémissant :
-Aïeuuuuh
Mais il n'eut pas le temps de se remettre de ses émotions qu'Adam l'entraînait déjà à sa suite. Le vrai croyant se dégagea bien vite de son emprise et partit donc de son côté, seul. Et une vitrine en particulier l'intriguait... Ou du moins, les traces de pas s'arrêtaient devant la vitrine du magasin de jouet...
-Devenez testeur pour la journée ?
C'était ce qu'avait lu le garçonnet sur la vitre du magasin. Il entra donc dans les lieux, essayant de chercher des indices qui prouveraient que le voleur était passé par ici, avant qu'il ne percute quelqu'un. Il releva donc la tête, pour faire face à une gamine d'environ 6 ans qui le prit par le bras, en l'entrainant vers l'arrière du magasin :
-On zoue au papa et à la maman. Lui, c'est le papa, moi c'est la maman et toi t'es le bébé.
Le gamin l'observa alors, horrifié, avant de prendre la fuite à travers les allées du magasin, la gamine et ses amis sur ses talons :
-Tu veux jouer au loup ? D'accord, on va t'attraper !
Henry : 90 %
Sebastian Dust
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Séparation. D’accord, séparation. Réduire le groupe de six à un duo de deux, ça, Sab pouvait le concevoir. Mais… Le Centre Commercial ? Pourquoi diable est-ce que cette tortue c’était dirigée dans le pire endroit de la ville en terme de foule et de monde ? Et surtout un jour pareil où la plupart des gens ne travaillaient pas ! C’était comme s’ils s’étaient tous donnés rendez-vous au même endroit pour une immense partie de shopping. Et lui, on le balançait au milieu de cette foule gluante en lui demandant de garder son calme et de trouver un voleur ! Il se crispa un peu à l’entrée, cherchant la main de Sewen… Qu’il ne trouva pas. Bien évidemment, puisqu’il n’était pas là. Dire qu’il n’était jamais venu en ville sans quelqu’un qu’il ne connaissait, plus le temps s’écoulait plus il se souvenait pourquoi il ne réitèrerait pas l’expérience. Vraiment. Trop. Dangereux.
La jeune femme dénommée Tara l’embarque dans la dernière direction, les faufilant au milieu de l’allée centrale, entre décorations saisonnières et grandes plantes voulant donner une image naturelle de cet endroit de l’enfer. Il était fébrile, même lorsqu’elle lui parla, ne sachant pas vraiment quoi ou qui chercher en réalité. Toujours la tortue ? Une autre personne ? Oh Sewen. Sewen ?! Sab s’arrêta abruptement, créant des mécontentements dans la foule qui le suivait de près, pour être sûr de ce qu’il avait vu. Non, était-il réellement ici ? Mais… D’ordinaire il lui disait dès qu’il sortait. Enfin, la plupart du temps. Visiblement, pas aujourd’hui.
Sebastian ne vit donc pas les petits pas écrivant des « par ici » sur le sol, et n’entendit pas Tara l’interpeller sur un homme qu’elle venait de remarquer. Non. Lui était focalisé sur la silhouette qui s’éloignait et, sans plus de réflexion, s’élança à sa poursuite. S’il était ici, il devait le saluer et même lui faire un câlin, pourquoi pas ! Par contre, ne pas pouvoir parler était un peu handicapant dans ce genre d’endroit, et ce ne furent pas les bruits de grelots qui firent s’arrêter celui qu’il prenait pour son petit-ami. Bien au contraire, celui-ci s’engagea dans une boutique remplie de costumes et de chemises, laissant le marchand de sable vers l’entrée. Mince, où était-il passé ?
Le voilà ! Près des cabines d’essayages ! Sab se faufila entre les rangées et les allées de vêtements, s’apprêtant à frapper – sur un rideau, très difficile – au cas où mais au moins avec politesse. Seulement, pas le temps de s’assurer qu’il s’agissait bien du petit brun. Des mains attrapèrent la chemise du rouquin pour l’attirer brutalement vers une autre cabine. « Parfait ! Parfait, parfait ! Vous avez la carrure de mon petit ami, allez hop, essayages ! » Lui lança une femme d’un certain âge, ou d’un âge certain, en le poussant dans une des cabines. Un instant, il crut qu’elle allait lui sauter dessus pour lui réclamer une étrange partie derrière le rideau mais… Elle se contenta de lui retirer vivement sa veste et sa chemise !
« Essayez-ça, ça vous ira à ravir ! » Commença-t-elle en lui imposant une chemise bleutée aux motifs sombres. En retournant la chemise, Sebastian vu qu’il y avait une inscription vulgaire à l’arrière. Il lui lança un regard suspicieux et interrogatif, tentant de lui rendre le vêtement et de sortir de là, mais elle le repoussa clairement dans ses mains. « Pas de chichis, essayez ! J’ai besoin de vous. Et si vous n’essayez pas, je vous déshabille entièrement. » La dernière phrase avait été dite sur un ton qui ne le rassura pas vraiment. Alors il obtempéra, malgré le temps perdu et malgré l’homme qu’il recherchait un peu plus loin. Un nombre incalculable de chemises, de vestes bien taillées, de pantalons à pinces ou d’autres bermudas de luxe y passa. Elle le fit même essayer des ceintures assorties à des chaussettes ! A chaque fois, quelque chose n’allait pas, l’obligeant à se tourner pour l’observer et l’analyser sous toutes les coutures. Il était clairement mal à l’aise !
« Je vais retrouver la petite grise qu’on avait vu au départ ! Ne bouge pas, darling, je reviens ! » Fit la femme au bout d’un long moment, disparaissant de la cabine en laissant un Sab torse nu et particulièrement affolé. Il entendait son cœur tambouriner violemment dans sa poitrine. C’était une aubaine ! A être trop agréable avec les autres, il finissait toujours par se faire avoir. Donc, pour le coup, il se baissa pour récupérer ses affaires lorsqu’une ombre lui fit redresser la tête. Un homme en contre-jour se tenait là. Ce dernier leva le bras comme pour l’assommer, et Sebastian n’évita l’attaque que parce qu’il avait de très bons réflexes de survie. Il s’écarta vivement, sentant le sable fourmiller en lui prêt à répliquer. L’homme n’avait pas dit son dernier mot, il tenta à nouveau de l’attaquer et le marchand de sable répliqua.
Il avait juste mal évalué le fait d’être dans une cabine d’essayage… La personne évita sa manœuvre, ce qui fit rebondir plusieurs fois la petite boule de sable soporifique sur les rideaux et de revenir en pleine figure du propriétaire ! Sonné, il secoua la tête en essayant de repousser la personne en appuyant sur son torse pour sortir de là. Il résista, même très bien, assénant un croche-pied à Sebastian qui tomba sur le sol sans parvenir à se relever.
La suite ne fut qu’un étrange méandre d’images, sa tête ayant cogné contre le bord de la cabine. Il eut l’impression qu’on le portait, reconnaissant l’entrée par laquelle ils étaient tous arrivés au milieu de sa vision trouble. Il y eut un petit bruit métallique qui le fit tourner lourdement la tête. Une bague rebondissait sur le sol. Sa bague. La chevalière que lui avait donnée Sewen ! Il esquissa faiblement un geste pour la désigner mais, sous la fatigue et la lourdeur de sa tête, il fut bien incapable de quoi que ce soit pour la récupérer. Il fut juste capable de s’évanouir pour de bon quelques secondes plus tard.
Sebastian : 90%
A la demande d'Adam:
Tara Duncan
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| Conte : Tara Duncan | Dans le monde des contes, je suis : : Tara, la blonde à la mèche blanche qui fait tout exploser à son passage !
A bout de souffle, le petit groupe s’arrêta dans le centre commercial, chacun essayant de trouvé la bonne allée. Ce qui allait être dur en soit vu le retour que nous avions pris et surtout le monde présent dans ce petit endroit. Pas si petit, quand même, mais assez étouffant. Se disperser… Il ne fallait pas se disperser ! On n’allait jamais pouvoir se retrouver. Surtout dans un centre aussi grand, on risquait de ne pas avoir autant de chance que dans le marché. Alors que mon cerveau carburait, j’analysais les allées pour tenter d’y voir quelque chose. Un à un, les autres membres étaient partis, me laissant seul avec Sebastian. « Mais attendez ! On peut pas se séparer on va se perdre ! » Ignorant ou n’entendant pas ma voix, chacun partait dans une direction opposé, prétendant avoir vu le voleur. Soupirant, je me tournais vers Sebastian. « On est vraiment mal… » Fronçant les sourcils, je vis une silhouette se dessiner derrière lui. La reconnaissant entre mille, j’attrapais le bras du jeune homme pour l’emporter dans ma course. « Viens ! Je l’ai vu il a filé dans cette allée ! » Reprenant notre course poursuite effrénée, je suivais la direction pour l’instant unique de notre piste. Tournant la tête de tous les côtés pour vérifier que le voleur ne se serait pas dissimulé dans la foule. Apparemment non, du moins je l’espérais car sinon, nous courrions à la poursuite d’un fantôme, ce qui n’était pas très utile.
Arrivée à la première intersection, je baisse les yeux vers le sol en fronçant les sourcils. Sérieusement, il a écrit le chemin sur le sol ? Regardant, surprise, le petit mot « par ici » je m’apprête à m’élancer de nouveau. Seulement, cela serai surement trop simple si la direction avait été donnée. En regardant la deuxième allée, les mêmes mots y étaient gravés sur le sol. Lançant un regard à Sebastian, je désignais la deuxième allée du doigt. « Tu vas par-là, moi je continue ici ! On se retrouve à la sortie ! » Sans attendre de réponse, je me mis à courir une nouvelle fois quelques mètres avant de rentrer dans un magasin de valise et sac. Ralentissant le pas, je me faufilais entre les gens pour tenter de suivre une nouvelle piste invisible. « Bonjour ! Oh vous, je suis sûre que vous aimez les beau sacs ! Regardez celui-là ! Toutes les femmes classes l’aiment, son bleu fera ressortir vos yeux et vous donnera encore plus d’allure ! » Hein quoi ? En me retournant, j’aperçus une vendeuse, un grand sourire hypocrite sur les lèvres, tenant un sac en cuir bleu. Lui faisant signe que je n’étais pas intéressé, je tentais de me dérober. « C’est gentils, je ne cherche rien pour moi c’est pour… Une amie ! Mais je vais continuer ma recherche toute seule, elle a des gouts très spéciaux. » Je me dirigeais vers un autre groupe de personne, espérant la perdre dedans. Je continuais à faire le tour du magasin, cherchant une sortie de secours par où le voleur aurait pu partir. « Très spéciaux ? Mais j’ai exactement ce qu’il vous faut ! Non attendez ne partez pas. » Elle se déplaça devant moi, me bloquant le passage alors que j’essayais de filer une nouvelle fois discrètement. « Regardez cette petite merveille ! Une pure beauté et original en plus ! Je suis sûre qu’il plairait à votre amie. » Je tapais du pied, l’air impatient. « Non merci, je vous ai dit que je me débrouillerai toute seule ! » Qu’est-ce qu’elles peuvent être collante ces vendeuses. Et dire que mon voleur se faisait surement la malle en jubilant intérieurement de m’avoir laissé entre les griffes de cette femme. « Vous savez quoi ? Je viens de voir un sac parfait dans l’autre boutique. Au revoir ! » Tant pis pour ma piste, j’essaierai de la récupérer plus tard. Je sortis rapidement de la boutique, plantant la vendeuse une dernière fois.
Ouf ! Enfin tranquille. Bon, maintenant, il faut que je retrouve Sebastian. Si je prends à droite, je suis sûre que je peux tomber sur lui. J’espère qu’il n’est pas parti sans moi. Commençant à marcher vers l’endroit où il avait dû continuer ses recherches, j’aperçu du sable doré sur le sol. Ah, je suis définitivement sur la bonne piste ! Continuant mes recherches, j’aperçus une femme apeurée criant. « Il l’a emporté ! Il l’a emporté ! » Est-ce qu’elle parle de… Ni une ni deux, j’accélère une nouvelle fois le pas, zigzaguant entre les personnes. Les traces de sables finissent par me mener à l’entrée centrale, notre lieu de rendez-vous. Malheureusement, personne ne m’attend si ce n’est du sable et quelques bouts de banane. En fronçant les sourcils, j’aperçois un petit objet briller au soleil. Je me baisse pour le rattraper. Une bague ? Attendez… Ce n’est pas celle que le voleur avait pris à mon ancien co-équipier ? Génial… J’avais l’objet volé, mais de nouveau plus son possesseur. Voyant le sable s’étendre jusqu’à la sortie du magasin, j’hésitais à sortir pour suivre la piste… Mais seule, je serai surement bien moins efficace. Attendant impatiemment, je regardais les petits groupes arriver un à un avant de prendre la parole et de montrer la bague. « Kris, c’est à Sebastian ça ? Je ne le trouve plus… On a dû se séparer et il n’est pas revenu… Une femme a hurlé que quelqu’un l’avait emporter, le traces mènent jusqu’à dehors, on devrait se dépêcher ! »
Adam B. Parker
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Adam avait décidé d'ailler tout de même faire un petit tour vers le pipi room, peut-être que le voleur y était, s'était possible. Il avait fait comprendre au gosse qu'il devait l'attendre ici. Mais vu comment il était, il était sur qu'il allait encore désobéir de toute manière, rien d'étonnant, s'était qu'un enfant. Lamentable. Pourquoi avait-il traîné lui et pas Margo avec lui. Il était trop tête en l'air par moment. Trop dans son monde. Mais bon, s'était fait, pour le moment il allait se soulager, point bar. Il entra dans celle des hommes. Malheureusement pour lui, il ne pouvait qu'aller là, et faire la connaissance que de monsieur. C'était légèrement différent que celles de la salle de sport.
Il regarda un peu partout, il n'y avait personne. S'était propre mais pas une âme qui vive à part une petite mouche. Il la regarda, la suivant des yeux, suivant ses battements d'ailes, ses allés retours dans la pièce, comme si elle n'arrivait plus à trouver la sortie. Il se laissait aller dans ses pensées, se rappelant tout les détails. Il sourit, il avait compris une chose. Cela était passé en véritable jeu, il le savait, ces objets ils seront restitués à tous sans exceptions. Il se mit à son aise et se vida doucement mais surement. Il remonta sa petite braguette, d'un air excité, se lavant les mains, arrosant un peu.
"A nous !" s'exclama t-il surexcité. Il attrapa l'insecte. Il prit son temps pour sortir des WC. Il regarda la petite mouche, la relâcha "Allez va !" sourit-il. Il se frotta les mains et s'étira. Il vit le petit marchand de fruits. Il trottina jusqu'à celui-ci. Des fruits, des fruits, des fruits. Il aimait bien ça, ça désaltérait bien et une banane revigorait pour des heures entières. Il en acheta une.
Il continua à regarder ce qu'il y avait d'autres d'intéressant, sortant son petit couteau suisse, il en avait un depuis bien longtemps, il aimait bien couper ses bananes, enfin les éplucher avec un couteau, que quelqu'un dise quelque chose, il leur en ferait bouffer jusqu'à qu'il s'en étouffe, chacun ses façons. Il porta celui-ci au fruit. Mais d'un seul coup il sentit quelqu'un le bousculer.
"Hey mais la politesse vous connaissez pas !? Rah ces humains ! Tous les même!" râla t-il exaspéré et blasé par leur comportement, il n'avait même pas eut le temps de voir l'individu, qu'une petite foule s'était accourue vers le marchand. Il leva les yeux au ciel, voulant reprendre sa décapitation de banane mais, il ne sentait plus rien dans sa main. Il resta figer sur celle-ci pendant quelques secondes. Il serra de son autre poings le couteau. Un sourire sadique sur les lèvres.
il releva ses yeux de l'autre côté de l'allée et vit au loin le mioche. Il se mit à rire, il l'avait oublié lui et là ce qu'il voyait, le faisait vraiment rire, il n'arrivait pas à s'arrêter, il se faisait courser par les enfants, l'empêchant de sortir. Là il ne pouvait qu'être fier de ces gosses. Il se plia en deux. Il s'arrêta un peu, pouffant juste à chaque fois, qu'il voyait cette image. Bon si il revenait pas avec lui, y'a Margo qui allait lui dire deux mots, autant qu'il aille le chercher, lui qui faisait le fier avant, là il le fait beaucoup moins, si en plus il n'arrive pas à se dépêtrer des gosses, s'était si comique. Par contre, rien ne lui disait dans quel état il pourrait le retrouver.
Il marcha vers ce magasin...de jouets, zigzagants entre les personnes. Il entra dans celui-ci ignorant tout sur son passage. Il le repéra et vit une petite l'attraper, mais là Adam repartie de plus belle, laissant l'action se dérouler sous ses yeux. En l'attrapant, elle lui mit une claque, criant "Réveilles toi, tu n'es plus le loup!", Adam ne pouvait qu'adorer cette petite, plus tard elle deviendra une femme avec du caractère. Il se tint à la rembarbe à côté de lui, n'en pouvant plus. Il se décida tout de même à aller à sa rencontre.
"Bon allez les enfants, il faut qu'il rentre à l'orphelinat, il a des devoirs à faire" s'exprima Adam, pour que les enfants comprennent qu'il doit respecter des règles d'horaires. La petite lança un petit sourire à Adam. Celui-ci lui fit faire un give me five. Excellente. Il se tourna vers Henry "Bah alors ! Pas si doué que ça enfin de compte !" rigola t-il, le tirant vers la sortie. "Bon, il est repartie de l'autre côté, à cause de toi, on a perdu sa trace de nouveau" reprocha t-il, plutôt moqueur.
Il le tira jusqu'à l'allée centrale, vers l'entrée du centre et vit le petit groupe réunit. Il se précipita un peu plus, traînant le gosse. qu'il était fainéant. Il écoutait ce qu'il s'était passé. Son petit sablier avait été kidnappé...il vit des bout de banane sur le sol. Tiens donc...son sablier et sa banane...Adam lâcha le gosse et prit la bague.
"Allons-y ! Geronimoooo ! Petit sablier on arrive !" cria t-il pour motiver ses troupes. Nous sommes proches on dirait du but.
Il se mit à courir jusqu'en dehors du centre...il y avait des traces de fruits mais aussi de sable dorée, qui descendait la rue...vers les bois. La forêt. Il pouvait sentir ces odeurs qui agissait comme le nez au milieu de la figure. C'était même trop flagrant. On voulait nous emmener là-bas. Alors Adam se décida à la suivre. ça se finira surement là-bas.
Il se mit à courir, bague à la main, son couteau rangé de nouveau pour le moment, partant loin dans es pensées, dans son petit monde à lui, dans son objectif, atteindre le plus vite possible la forêt. Il courait vite, très vite de base. Il en oubliait presque ses comparses.
Je me retrouvais à faire équipe avec Kris qui fut rapidement hors de mon champs de vision. Je dois rester calme et méthodique. Alors que je cherche mon compagnon de fortune je m'arrêtedevant un magasin pour faire le tour du regard voir si je le vois. Mauvais plan je me suis faite repérer par deux amoureux dans une bijouterie qui me demande de les aider pour choisir une bague de fiançailles. Non mais les garsj'ai pas le temps. Au bout de 10 minutes je perd patience et je leur dis.
- " Celle avec les petite pierres! Les gros cailloux ça fait bling bling et c'est pas du tout élégant. Je m'excuses, mais je dois vraiment y aller. "
Je ne leur laisse pas le temps de répondre et repars à la recherche de mon équipier, en passant devant un stand de nourriture, le vendeur qui prend sa pause décide de me draguer, non mais c'est la journée des boulets au quoi. Je l'ignore, je viens de repérer Kris dans la boutique de chaussure, avec grande difficulté je me faufile, jusqu'à attraper la main du jeune homme que je tire, je balance un billet de 100$ pour le chaussure neuves qu'il a au pieds et nous repartons main dans la main, avec l'autre vendeur qui continue à me suivre pour me draguer. On accélère la course et enfin il me lache. Je vois au loin Adam sortir du centre commercial, et juste en montrant à Kris du regard la sortie nous nous élançons pour rejoindre mon ancien chien...
Alors qu'il essayait une énième paire de chaussure, désespérant un peu, quand Margo vint le tirer de là, jetant un gros billet au vendeur pour les chaussures que j'avais au pied.
Merci ! Dit-il rapidement à Margo en courant.
Il fallait se précipiter. Ils avaient du perdre tellement d'avance, que le voleur devait rire à l'instant même. Tara vint les rejoindre très vite, lui rendant un objet brillant.
Oui, c'est à Sab. Mais il y tient beaucoup trop, s'il l'a retrouvé, il ne l'aurait jamais laissé. Il lui est arrivé quelque chose.
Inquiet, il mit la bague dans sa poche, remerciant Tara, et redoubla de vitesse. Ce voleur allait vraiment l'entendre.
Après le marché, la salle de sport et le centre commercial, ils allèrent vers la forêt. Cet homme, ou qui que ce soit, adorait jouer avec eux. Quand ils le retrouveront, il allait voir s'il aimait jouer.
Ils devaient se dépêcher. Il n'y avait plus les objets en jeu. Mais Sab surtout. Kris tourna la tête, cherchant un moyen d'aller plus vite, quand il trouva quelque chose. C'était un peu fou, mais le camion qu'il avait sous les yeux allait en direction de la forêt. Avant qu'il ne se mette en route, Kris ouvrit les portes arrières et s'y engouffra, fermant le tout aussitôt que l'engin démarrait.
Il tomba sur de la paille. De la paille ? Kris regarda autour de lui, pour voir du foin et des animaux en cage.
Kris :80%
Henry D. Mills
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Ca c'était le bruit de la baffe que la gamine blonde venait de mettre à Henry, alors qu'elle l'avait attrapé, en lui hurlant dessus qu'ils ne jouaient plus au loup. Le gamin porta alors sa main sur sa joue, là où l'enfant avait frappé, en rétorquant :
-Ca fait mal, j'vais l'dire à mes... "Bon allez les enfants, il faut qu'il rentre à l'orphelinat, il a des devoirs à faire"
Hein ? Le fils de la sauveuse arqua donc les sourcils en se taisant, ne dévoilant pas qu'il allait tout balancer à ses deux mamans, alors qu'Adam était venu le sauver de cette situation horrible. Il fit donc la moue, avant de dire, à l'attention de la petite fille, en prenant une voix triste :
-C'est pas cool de frapper un pauvre orphelin comme moi...
Puis, sans un mot de plus, il suivit alors Adam dehors, où les autres se trouvaient déjà là. Et à peine étaient-ils tous, ou presque puisqu'il manquait le marchand de sable, dans les lieux, Adam se mit à courir. L'enfant croisa alors les bras sur sa poitrine, en lâchant :
-Non, j'ai mal aux jambes moi... Pourquoi j'ai pas un cheval comme David ?
Et c'est là qu'il le vit... Le vélo jaune poussin que... Hhey, mais c'était la gamine qui l'avait gifflé qui se dirigeait vers lui, non ? Ni une, ni deux, le vrai croyant se lança a toute vitesse dessus et grimpa à califourchon, en hurlant à la gamine, qui commençait à pleurer :
-J'suis qu'un pauvre orphelin, rappelle toi !
Et il s'élança donc à la poursuite d'Adam et du voleur...
Henry : 90 %
Tara Duncan
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| Conte : Tara Duncan | Dans le monde des contes, je suis : : Tara, la blonde à la mèche blanche qui fait tout exploser à son passage !
Courir… Toujours courir ! On ne peut pas s’arrêter un peu ? Marcher ? Bon d’accord… Un membre de notre groupe venait de se faire enlever, mais on pourrait faire une course poursuite en marchant. Ce serait bien plus reposant. Après avoir finis mon récit des évènements, Kris et Adam se jetèrent d’un même élan sur la bague. La lâchant, je leur laissais la décision du porteur. J’étais une catastrophe alors, à part perdre la bague, je ne voyais pas ce que je pouvais faire d’autre. Après le cri de victoire d’Adam, nous nous sommes tous élancé à sa suite, suivant les traces de sables et de fruit par terre. Original comme piste. Le jeune homme courrait vite, bien trop vite pour moi. Je n’allais jamais pouvoir le rattraper à ce train-là. « Ralentis on suit pas ! » Je jetais un regard à mes co-équipiers. Henry venait de trouver un vélo… La chance ! Moi aussi j’en aurai bien pris un ! Et Kris courrait après un camion. Tout est normal, c’est génial. Je suis dans une équipe de fou. Fronçant les yeux, je le vis sauter dans le camion et s’éloigner de nous. Finalement, l’idée n’était pas si mauvaise. Un objet me permettant d’accélérer.. S’il vous plait… Quelque chose. Pas vraiment croyante de nature, je fus surprise de voir un skate rouler à mes pieds. Courant à toute allure, je ne vis qu’au dernier moment le skate se glisser sous l’un de mes pieds. « Oh non ! » Avec l’élan que j’avais, le skate accéléra, m’emportant avec lui.
J’entendis un garçon crier derrière moi, incapable de me retourner, je m’agenouillais sur le skate en levant une main. « Comment on arrête ce machin ?! » La route n’étant pas des plus lisse, je skate tremblais, me faisant trembler avec lui. Tentant de garder l’équilibre je regardais le paysage défiler un peu trop vite sous mes yeux. Continuant d’entendre le jeune garçon courir derrière moi, j’essayais de me retourner avant de m’accrocher une nouvelle fois au skate, manquant de perdre l’équilibre. « Si tu m’arrêtes ce truc là je te le rend… Et je t’en achète un autre ! Ils sont où les freins ?! » Ecarquillant les yeux en voyant une grosse pierre sur ma trajectoire, j’essayais de me pencher sur le côté pour l’éviter. Malheureusement, la pierre souleva l’une des roues et me fis basculer. Un joli roulé boulé plus loin, je m’arrêtais enfin, un bout de skate à la main. « Outch, ça fait mal… » Je levai les yeux vers le garçon en lui tendant un bout de skate. « Je suis désolé… Je sais pas où est l’autre bout… Je t’en repairai un, promis. »
Je souris rapidement Kris à ses remerciements. On avait plus le temps, la mascarade n'avat qu'assez duré. En rattrapant Adam, il nous avait fait comprendre que Sab avant des soucis. Kris le confirma par rapport à l'objet trouvé par Tara. Je ne pouvais que remarquer que depuis le départ, le jeune homme accummulait les souci. Je regarde Adam, dans les yeux. La je ne rigole plus du tout, je suis inquiète pour Sab et pour Lucy. Je regarde mon chien et je murmure macho ire serrée pour que lui seul entende.
- " Maintenant on arrête, ça ne m'amuse plus du tout. On trouve Sab, on trouve nos objets et j'apelle immédiatement la Shérif. "
J'empruntais alors une trotinette rose à une petite fille, en lui promettant de lui ramener ou de lui en payer une autre. Ne laissant pas le temps de répondre à l'enfant je suivais mon ancien chien...
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Margo : 90
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Sebastian sentait… Du vent. Et des odeurs étranges, peu connues de sa part. Méconnues même, enfin pas toute, mais la plupart. Il sentis quelque chose de sec sous ses doigts, puis immédiatement du mou et de l’humide. Il se redressa en sursaut, comme effrayé à l’idée d’avoir tripoté un objet qu’il ne fallait pas, en observant alors brutalement autour de lui : une forêt. C’était une forêt. Mais que faisait-il ici ? Les bois étaient hauts et les feuillages tout autant, permettant d’observer le parterre de feuilles et de fougères sur lequel il se trouvait. Sa main gauche était noircie de la terre qu’il avait retournée entre les racines d’un grand arbre. Levant le nez, il découvrit le tronc de celui-ci, contre lequel il était adossé.
Uh, ce mouvement lui tira une grimace douloureuse, alors qu’il portait la main à son épaule pour masser son omoplate ankylosée. Depuis combien de temps est-ce qu’il… Pourquoi était-il encore à moitié nu ?! Il passa ses doigts sur l’étrange peinture dont on avait recouvert son thorax, une sorte de gribouillis d’un bleu gris absolument indéfinissable. D’ordinaire, il aimait les dessins maladroits des enfants, eux y voyaient toujours un sens caché. Il observait par-dessus leur épaule en s’émerveillant de leur imagination. Mais ici, ça n’avait rien d’incroyable ou d’enfantin. C’était presque… Effrayant.
Un bruit venant de sa droite attira son attention, le faisant sursauter. Sa vision encore floue ne lui permettait pas d’identifier clairement de qui il s’agissait mais il reconnut sans mal le manteau marron… Et le chapeau. Ce fameux chapeau dont leur avait parlé Adam ! L’étrange personnage émit des bruits bizarres, terminant de manger une banane avant d’en jeter la peau à même le sol, où se trouvait tout un tas d’autres déchets fruitiers. Il enchaina avec une pêche avant de remarquer que Sab était réveillé. Aussitôt, il se mit à s’agiter dans tous les sens en finissant par sauter de la souche où il était installé pour courir vers lui ; provoquant un mouvement de recul plus que distinct de la part du marchand de sable.
Sa tête cogna le tronc derrière lui, rajoutant une couche à sa vision brouillée par le soir tombant. Il émit un gémissement de douleur alors que du sable se mit à s’agiter autour de lui. Des bruits. Des voix. Et une main qui tenait clairement un feutre de la même couleur que le dessin qu’il avait sur le torse… Est-ce que ce serait lui qui ? Il tendit la paume en avant, comme pour l’empêcher d’approcher alors qu’il cherchait un moyen de se redresser sans se casser la figure. Cette fois, il ne semblait pas y avoir d’Adam dans le coin pour le rattraper. Le propriétaire du manteau s’agita de plus bel en s’amusant à lui bloquer le passage quand il tendait de fuir, bondissant à droite puis à gauche, tout autour de lui. Le clouant tout bonnement et simplement au même endroit sans lui laisser de possibilités de fuir.
Si ça avait été dans un autre contexte, Sebastian aurait sans doute rit de son attitude. Mais là, il se sentait plutôt coincé et oppressé. Rien de très agréable. Rien d’insurmontable, mais d’ordinaire il n’enchainait pas la foule, la ville, le centre commercial et un fou en manteau brun dans une forêt la même journée ! Et surtout, pas sans Sewen ! Là, le brun allait avoir besoin d’une sacrée dose de patience et de courage pour convaincre le marchand de sable de remettre le moindre pied à l’extérieur… S’il s’en sortait. Bon, il s’en sortait toujours, mais… Savait-on jamais. Un accident était si vite arrivé après tout.
Il se surprit à détourner le visage de justesse quand le personnage lui jeta une paire de clefs à la figure ! L’évitant de justesse, il la rattrapa à peine entre ses mains avant de voir un collier lui tomber entre les doigts. Qu’est-ce que… Un téléphone portable atterri à ses pieds et il se baissa pour le ramasser. C’était celui que tenait l’étrange type sur la tortue la dernière fois, non ? Enfin il y ressemblait. Etaient-ce ce dont parlaient les autres personnes en ville ? Mais, impossible, il… Et sa chevalière ? Où était sa chevalière ? Le sable s’agita en grondant autour de lui. Cette chevalière était précieuse, c’était un cadeau de Sewen. Et on ne touchait pas à ce qui était cher au cœur de Sab. Sûrement pas ! Si c’était cet individu qui l’avait volé, il allait rapidement découvrir de quel bois il se chauffait l’hiver !
Il lui lança un regard sombre en faisant un pas en avant, retrouvant peu à peu ses esprits au fil des secondes. La chose échangea le croupion de sa pêche pour une nouvelle banane, mordant dedans à pleines dents en montrant d’ailleurs les crocs au rouquin. Celui-ci ne se laissa pas démonter, malgré qu’un étrange rire commençait à se faire entendre tout autour d’eux. Il profita d’ailleurs que le téléphone se mette soudain à vibrer dans sa main, perturbant l’attention de son agresseur, pour laisser agir son instinct de marchand de sable. Des millions de grains dorés s’attaquèrent à la personne devant lui et l’engloutirent littéralement, la soulevant dans les airs et… Lui arrachant son manteau ainsi que son chapeau ! Dévoilant alors à ses yeux, et à ceux du groupe qui venait de faire irruption dans cette partie de la forêt, l’identité de leur voleur d’objets…