The day of
the Dead

Belle journée pour une fin !
.

J'étais sur et certaine que je trouverais un moyen de l'affaiblir dans son château. J'y avais déjà été une fois, quand il avait triché lors de notre parie sur Maria et Manolo. Je m'étais retrouvée dans ce royaume froid, poussiéreux et désolant. C'était l'une des choses que je n'avais jamais désirée, et pourtant il m'avait fait encore un coup bas. Jusqu'a ce que Manolo vienne me prévenir qu'en réalité, c'était moi qui avait gagner ce foutu parie. Qu'elle idée de mettre un parie sur le dos des gens. Surtout que quand c'est deux royaumes en jeux. En ce temps là je me déplaçais avec ma super vitesse, je n'avais encore jamais vraiment pris le chemin qu'avait du prendre Manolo. Mais à présent je me rendais compte à quel point il avait du passer par de lourde epreuve pour rejoindre Maria. Je pris la tête du groupe, connaissant ce monde sur le bout des doigts, sachant par quel chemin il fallait passer. Mais tout le monde était silencieux, et j'en étais la première. Voir qu'on avait réussit à m'atteindre par le biais de ma meilleure amie m'avait rafraichit. Je supportais pas qu'on la touche. Elle m'était trop chère, tout comme Glène l'avait été. Mais plus maintenant. Et comprendre que j'ai été tuée, utiliser juste pour des désirs m'abattait complétement. Mais comme le disait Diane et Maria, je ne devais pas me laisser faire. L'heure de la revanche avait sonnée. Xibalba avait voulu jouer, alors très bien. Jouons. Et j'étais sur et certaine de gagner cette partie là. Du moins, si j'arrivais à retirer cette foutu médaille. Pourquoi, mais pourquoi je l'avais mise sur moi ? Dans un sens, je pouvais enfin voir ce qu'était devenu mon royaume.

Dans un autre, ca me privait littéralement de la chose avec laquelle je ne faisais qu'un : Mes pouvoirs. Redevenir humaine comme je pouvais le contaster n'était pas fait pour moi. Ce défendre, ne compter que sur une arme. Non. Je comptais trop sur mes pouvoirs. Je les aimais trop. J'en avais besoin. Alors j'étais prête à tout pour les retrouver, même si je devais me battre. Un tremblement au niveau du sol me fit redresser la tête. Trop tard. Je dévalais la pente en perdant l'équilibre avant de me cogner contre un mur. Je relevais la tête, un peu étourdis et portant une mains moite à mon front. Ouille. Et en plus j'avais plus ma super vitesse pour me réequilibrer ! J'avais l'habitude de voir les choses venir lentement, ce qui me permettait d'agir rapidement. Mais sans, je perdais toute mes facultés. C'était comme essayer de gommer du feutre. Oui bon. Très mauvaise metaphore. J'avais jamais été en metaphore moi … peu importe. Je me relevais, alors qu'un tremblement revint de nouveau secouer les parois du canyon... attendez, canyon ? Tout changea d'aspect, et je remarquais que j'étais seule. Je regardais autour de moi, le cœur battant à une vitesse irrégulière dans ma poitrine. J'avais perdu les autres ! Non non pas ça ! Je pouvais pas les laisser seule ici ! Pas avec Xibalba dans les parages, ni avec ces oubliés qui trainait ! C'était pas le moment. Et j'avais perdu ma meilleure amie. Encore. Un bruit derrière moi me fit faire volte face. Je me retournais pour voir une boule géante avec des motifs de crâne arriver à toute allure vers moi.

▬ « Oh non, quel imbécile j'avais oublier ces foutus epreuves ! » Me plaignit-je, alors que je reculais et que je me suis mise à courir droit devant moi. Si seulement j'avais mes pouvoirs, j'aurais pu courir avec ma super vitesse et sortir d'ici en une seconde. Ou bien traverser les murs, même si contrôler cette faculté m'était encore difficile. Je pris sur moi, essayant tout de même d'utiliser mes pouvoirs. Tout était question de médaille. La garce ! Elle me les bloquait, par moment elle me les débloquait … elle jouait sans cesse avec ! Mon regard ce rembrunis, alors que j'essayais d'augmenter ma vitesse pour courir. Mais plus j'essayaus d'aller vite, plus je sentais mes poumons brûler, me crier d'arrêter ce supplice, qu'il allait me lacher. Je tournais à droite, alors que le sol penchait légérement. C'était les epreuves pour pouvoir traverser la grotte de la vie. C'était les epreuves pour voir si on en était digne. Le gardien n'était pas fou. Il savait trier les gens. « Allez ! » M'ecriais-je, forçant sur mes pieds. Je commençais à venir à bout de mon souffle, et mes muscles menaçait de me lacher à toute instant. Je sentais ma vitesse ralentir et la boule me rattraper. Mais je me concentrais, poussant sur mes efforts, désireuse d'aller plus vite. « Aller, encore plus vite ! » Ajoutais-je, claquant des pieds sur le sol, effectuant des petits bond en avant. Puis soudain, je me sentis portés au pas qui suivit, augmentant ma vitesse à toute allure. Je voyais les couloirs danser devant mes yeux, alors que tout devint un tunnel flou autour de moi.

▬ « Haha ! Oui ! » M'exclamais-je en effectuant un bon joyeux. La boule disparu derrière moi, alors que je tournais la tête de nouveau. Je voyais les nouveau traits signicatifs de ma super vitesse : les pétales rouges transformer en eclairs bleus depuis Poseidon. Mais par contre, le choc qui suivit je ne l'avais pas prevu. Je heurtais un mur dur comme de la pierre, et tombais sur le sol. Mes muscles criait à l'agonie, ma tête bourdonnait avec une douleur fulgurante et je voyais des tâches noirs dans ma vision. J'essayais de me relever, à bout de souffle. Mais je retombais, mes jambes ne me tenait plus. Je relevais la tête, la boule arrivait à toute vitesse vers moi. C'était finit. J'allais mourir ecraser. Je fermais les yeux, me demandant comment pouvait être ce supplice, de ce transformer en crêpe Nutabel. Ca devait faire vachement mal d'être aplatit ! Enfin comme on est aplatit justement … Non, pas question que je meurs aplatit sur le sol ! Je méritais mieux ! Je me relevais en m'agrippant au mur, titubant à moitié. La boule s'arrêta soudainement et repartie en arrière avant de ce bloquer sur un sol noir, collant et elastique. Ah ! Même pas morte !

▬ « Jez 1, boule zéros ! Ta vraiment cru que tu pourais venir à bout de moi aussi facilement ? Pfff, on ce débarasse pas de la Muerte aussi facilement ! » Déclarais-je à la boule, effectuant un petit moonwalk triomphale sur le sol de pavé. Un mecanisme s'enclencha, me figeant sur place. « Oh oh … J'aime pas ce bruit. » En effet. Dans les films ce genre de bruit ne finissait jamais bien. Je me forçais à tourner la tête en direction du mur. « Wooow ! » M'ecriais-je en voyant une boule de feu ce diriger à toute vitesse vers moi. Eh mais attendez … Je crains pas le feu moi ! Je suis insensible au flamme et ... « Ahhhwww ! Mince ca fait mal ! » Oui bon. J'avais aussi perdu cette faculté là apparemment. Je me frottais l'epaule, alors que je sentais le feu ce répandre dans ma peau et me la ronger petit à petit. Misère de misère, j'étais même plus résistante au feu. Ignorant les douleurs, les cris de mon corps en agonie face à temps d'exercice et de blessure, je contournais la boule en me plaquant au mur pour me glisser dans le peu d'espace qu'elle me laissait. Je tournais dans une nouvelle direction, reconnaissant la fin du labyrinthe. J'avais trouvé ! Ha ! Et mais les autres … Bon d'abord on sort du labyrinthe, en suite on retrouve les autres. Je m'engageais dans le couloir, alors que le sol tremblait de nouveau pour me laisser entre voir une boule arrivant à toute vitesse face à moi.

▬ « Mais c'est pas possible, elles prenne jamais de jour de congé ? » Soufflais-je, dépité. Je reculais, réfléchissant à toute vitesse. Je revins sur mes pas pour me plaquer contre le mur qui servait de tournant. La boule passa à toute vitesse, manquant de me frôler. Une fois partie, je repris le couloir qui menait dehors, mais la boule n'avait pas dit son dernier mot. Elle fit demi-tour, et revint vers moi dans une vitesse encore plus rapide que la normal. Laissant echapper un cris digne des chochottes des films d'horreur, je plaquais les mains sur ma bouche et courrais à toute vitesse vers la sortie. Il fallait juste que je sorte … Et elle me laisserait tranquille ! Je courais aussi vite que je pouvais, mes poumons menaçant de ressortir dans ma gorge, la respiration à bout de mes capacités, les jambes titubantes. Elle ce rapprochait, et je sentais la peur gagner mes mouvements, dépassant mes limites. Je sautais hors du labyrinthe, attérissant lourdement sur le sol alors que la boule s'arrêta, repartant dans les longs couloirs vide. Je tenais une mains sur ma gorge, essayant de reprendre ma respiration qui ce faisait trop forte. A quatre patte au sol, je relevais la tête bien que les vertiges me montrait un sol vacilliant sous mes yeux. Le gardien ce mit alors à s'animer, parlant dans une voix grave et raisonnante.

« La Muerte. Vous avez passer cette epreuve avec brio. Mais sauriez vous résister à la deuxième epreuve ? » Claironna t-il, ces yeux s'illuminant à chacune de ces paroles.

▬ « Deux secondes, je suis en train de mourir là ! » Rétorquais-je, déclarant ces mots avec beaucoup de difficulté.

« Passée cette epreuve et vous aurez accés à la grotte de vie. » Ajouta t-il, d'un ton royal.

▬ « Attend mon gros, j'ai un peu paumée mes amis là ! J'arrive pas à croire que tu sois encore actionner avec tous ce qui ce passe. C'est vrai quoi, tu prend jamais de vacance ou quoi ? » Fis-je en me relevant, les mains positionner sur mes hanches et un sourcils froncer.

« Jezabel Chapman. Passer cette epreuve et vous aurez accès à la grotte de vie. » Répéta t-il d'un ton agacer.

▬ « Ah donc maintenant on fait dans la familiarité ? C'est plus La Muerte ? Ah je savais pas qu'on était aussi proche. Non vraiment. » Répondit-je le ton plein de sarcasme et d'amusement. Alors que ses mots ce chantaient presque dans ma gorge, le gardien ce souleva, prenant une hauteur digne de la tour Eiffel. Je le regardais grandir, perdant tout mes moyens face à ce spectacle. Je le fixais avec ma bouche qui formait un grand O. Il avait l'apparance d'un homme à présent, et tenait cette épée.

« Si votre cœur est pur, alors vous aurez accès à la grotte de vie ! » Ehn. Attend quoi ? Un cœur pur ? Je sais pas si j'avais le cœur pur moi. Je savais pas ce qui s'en suivait d'ailleurs. Il allait faire quoi, me le prendre ? Du remue ménage derrière moi me fit tourner la tête. Oh ! Ils étaient de nouveau là ! Diane, Pitch, Amelia, Krystal, Reira, Callio, et euh … L'homme crochet ? Je croyais qu'il était restée avec Carmen lui … Maria arriva la dernière, à bout de souffle et les yeux sombre, avec une lueur de peur. Mais je prenais pas le temps de relever, pointant le doigts vers le gardien qui c'était dressée sur ces pieds et abattu son épée droit dans notre direction. Une épée géante allait nous ecraser. Bien bien, les ennuies continu.

▬ « Ah vous tomber bien ! Lequel d'entre vous n'a jamais voler quoi que se soit, à toujours écouter maman papa ? Non baisse la mains Callio ! » Dis- je à celle ci, qui allait surement la levée juste pour rire. Je voyais l'épée qui s'approcha dangereusement et agit au quart de tour. J'attrapais la blonde qui venait d'arriver, et la positionna pile ou l'épée tomba sur elle. Mais elle ne fut pas toucher, et l'épée tomba en morceau. Bingo ! On l'avait échappée belle quand même. Le gardien tomba en morceau, avant de redevenir une simple statuette qui nous ouvris un passage au niveau de sa bouche. Ca avait un effet Aladdin avec la caverne au merveille vue d'ici … Oui, Callio me montrait des disney. Elle disait que j'avais passez de culture cinématographique. « Ouuuf, l'étais moins une ! Si t'aurais pas eu le cœur pur on ce serait fait ecraser par l'épée ! » Fis-je à Krystal. Mais non c'était pas du meurtre ! C'est pas parce que je l'avais mise sous une épée que c'était du meurtre ! Vous aurez voulu que je glisse Pitch peu être ? Tout le monde sait qu'il aime les bisounours Pitch, et que son cœur est remplit de paillette ! Levant les yeux au ciel à ma propre bétise, je m'engageais sur les escaliers, entrant dans la grand statuette. Il faisait sombre, et nos pieds marchait sur un sol noirs et poussiéreux. Tout autour de nous était grisée, noirs. La grotte de la vie. Il ne nous restait plus qu'a trouver Chandeleur !

▬ « Chandeleur ! Ouhouuu, Chandeleur ! C'est moi ! C'est La Muerte ! Chandeleur ! » Hurlais-je dans la grotte, alors que le sol était envahis d'une brume. Je ne le voyais nul part. D'habitude il venait aussitôt avec le livre de la vie. Il acceuillait toujours les visiteurs. Je ne le voyais nul part, et un air inquiet envahis mon visage. Qu'avait fait Xibalba ? « Chandeleur ! » Répétais-je alors que l'évidence nous tournais autour. Je me stoppais, serrant les points pour contenir la rage qui bouillonait mon sang. « Il a interêt a ne pas lui avoir fait de mal ... » Grognais-je d'une voix grave glaciale qui ne me ressemblait pas. Comment accéder au royaume de Xibalba sans le Chandeleur ? Je ne savais pas quoi faire. Je regardais l'immense étendu déserte, avec des cendres qui pleuvait et qui ornait le sol. Il fallait marcher, marcher dans cette grotte de cendre. Marcher sans aucune lumière. Je ne savais pas combien d'oublier pouvait dériver ici. Plus on approchait du royaume de Xibalba, plus je savais que le danger allait nous tomber sur le coin du nez. Je me tournais vers les autres, observant chaque visage déterminée, perdu, cherchant à comprendre ce qu'il ce passait. D'habitude c'était le chandeleur qui nous conduisait sur la plate forme, mais il n'était pas la pour l'actionner.

▬ « Xibalba a encore touchée quelque chose qu'il ne fallait pas. » Déclarais-je amèrement. « S'attaquer au Chandeleur, c'est s'attaquer à moi. » Les dents serrers, j'essayais de contenir l'ebullition qui menaçait d'exploser comme un volcan. Maria savait de quoi je parlais. Elle semblait aussi boulversée que moi de sa disparition. Je savais ou était la plate forme, mais saurais-je l'actionner ? Je fis un signe au autre de me suivre, alors que des bruits de chaines commençaient à remuer dans la grotte. j'avalais difficilement ma salive, sachant qu'avec le nombre d'oubliés qu'elle habitait, elle pouvait ternir le morale de n'importe qui.

Jez : 90%

The day of
the Dead

Lights will guide you home And ignite your bones And I will try to fix you

.

Je courrais, courrais pour ma vie. Je courrais, fuyant le danger. Qu'était-ce le danger ? Etait-il morale ou physique ? Une boule géante roulait, s'engageant dans le couloir à toute vitesse, alors que je dévalais les gravier de toute mes forces. J'ignorais tout en cette instant. Mes membres qui menaçait de tomber. Xibalba qui m'avait fait encore plus de mal que ce que je l'en croyais capable. Quel monstre ce ferait passer pour votre mari afin de vous détruire ? Mon cœur criait encore à l'agonie, ronger par les larmes blessantes, qui coulait d'un acide déchirant. Je voulais fuir la boule. Mais je fuyais lui aussi. Il était quelque part dans ce labyrinthe, en train de ce delecter de la scène. Que ce serait t-il passer, si ma machette ne l'avait pas atteint ? Aurait-il tenter des choses méprisables ? Aurait t-il mis fin à ma vie ? Et cette machette, pourquoi quand je la touchais je ne ressentais rien ? Elle pesait dans mon dos. Elle pesait autant physiquement que mentalement. Et je me disais que j'avais de la chance de l'avoir. Je me sentais abattu. Tiraillée entre l'espoir de retrouvée Manolo, et de l'avoir perdu à jamais. Il n'y avait qu'un endroit qui allait me fixer sur cette question qui me brûlait les poumons, qui me consumait l'esprit à petit feu. Etait-il toujours ici ? Etait-il encore parmit les vivants des Âmes chéries, ou avait-il vraiment disparu pour toujours ? Cette réalité était trop frappante, je me laissais encore recroquevillés dans ce doux espoir qu'était de le revoir un jour. Mais si la réalité me rattrapais et qu'il n'était plus là ? Alors ca allait faire mal ce jour là, très mal.

Frottant ma joue séchée par les larmes, je jetais un coup d'oeil à Chuy qui courrait autant qu'il pouvait à mes cotés, alors que son regard vague indiquait qu'il ne c'était pas encore remis du coup de Xibalba. Et moi je courrais tellement, que je sentais ma vision devenir flou de temps à autre, et que les vertiges me prenait. Alors que je croyais que j'allais rentre mon dernier souffle, les poumons brûlant et la gorge sèche, je tournais dans une intersection, avant de me stopper net, posant mes mains sur mes hanches, presque accroupie tellement je n'arrivais pas à reprendre mon souffle convenablement. Mais mes yeux s'ecarquillèrent d'horreur alors que je voyais un mur ce dresser devant moi. Mon cœur broyait ma poitrine, alors que je fis volte face à la boule qui arrivait à toute vitesse. Je jetais un œil vers Chuy qui confirma mes pensés les plus sombres. On ne pouvait pas s'en sortir. On allait ce prendre la boule, et tout serait finit. Je retrouverais peu être enfin Manolo, qui sait … Pourtant, alors que mon regard ne lachait pas la chose qui allait me couper la dernière partielle de vie pour de bon, elle s'arrêta brutalement, alors que je fixais la matière rocheuse me toucher le bout du nez. Tremblante, je lachais un profond soupire en positionnant mes mains sur ma bouche, sous le choc. Je reculais précipitemment, cognant ma colonne vertébrale au mur, alors que des larmes de choc ce déversais silencieusement sur mes joues. Chuy fit une tête aussi choquée que moi, avant de venir taper son groing contre mon molet.

▬ « Tous va bien. » mentis-je. Non, rien allait. La boule c'était bien arrêter, mais j'entendis un clic! du coté droit. Je tournais la tête trop tard, alors qu'une boule de feu sortis à toute vitesse pour venir me toucher. Mon premier réflexe fut de positonner mes mains sur mon visage, alors qu'elle atteignait mon poignet. Un hurlement etouffer s'echappa de mes lèvres alors que je fixais mon poignet brûlant, rongés par les flammes qui crépitèrent, déclechant une douleur poignante. Mes dents entrèrent brutalement en contacte avec mes lèvres, mordant de toute mes forces pour faire partir la douleur. D'un revers de la mains, je chassais les dernières larmes qui c'était mêlé au sang de ma pomette, donnant un affreux mélange de guerrière. Reprenant une grande inspiration, je me risquais à faire un pas de coté tout en fixant la boule avec beaucoup de méfiance. Au cas ou elle ce remettrait en route, et ne m'ecraserais. Mes talons claquèrent sur les pavés, seule bruit accompagnés des sabots de Chuy dans ce silence trop lourd à mon goût. Je passais entre le mur et la boule, tournant dans une nouvelle direction, le visage dur et déterminée. J'allais retrouver Manolo. J'allais aider La Muerte. Xibalba ne pourra m'en empêcher. Ma joie explosa dans mon ventre quand je découvris la fin de ce tunnel. Le calvaire des murs qui ce ressemblait et du silence pesant était enfin finis. A bout de souffle, je m'arrêtais pour tourner la tête en direction des autres qui c'était retrouvés. Je les rejoignit en quelque enjambée, avant de me figer sur place face au géant de pierre qui levait une épée droit sur nous. « Ah vous tomber bien ! Lequel d'entre vous n'a jamais voler quoi que se soit, à toujours écouter maman papa ? Non baisse la mains Callio ! » 

▬ « Le miens ne te saura d'aucune utilité en ce moment. » Déclarais-je d'une voix sombre et grave. Je l'avais déjà perdu, à vrai dire. Mais cette épreuve me revenait en mémoire. Manolo m'avait raconté qu'il avait lui aussi subit ces deux epreuves pour me retrouver. L'epreuve du labyrinthe, l'epreuve du cœur pur. Le sien l'avait été assez pour que le géant de pierre le laisse passer. Et je dois dire qu'il était impressionnant. Je ressentais une certaine terreur face à cette statuette des plus imposantes et à son épée qui filait dans l'air. Jezabel prit la blonde, qui devait être Krystal je crois. Et la positionna pile ou l'épée vint s'abattre. Mais ce fut l'épée qui ce broya. Je pu retenir un hoquet de surprise face à ce choix des plus brute. Elle l'avait prise et placée, sans ce soucier si elle allait survivre ou pas. J'avalais très mal cette action, c'était inconcevable. « Ouuuf, l'étais moins une ! Si t'aurais pas eu le cœur pur on ce serait fait ecraser par l'épée ! »  Ca ne t'es jamais arrivée d'attendre la réponse des autres avant de les jeter dans la gueule du loup ? Je lui lançais un regard mauvais, bien que Diane dit à voix haute ce que je pensais tout bas. On ne mettait pas les gens en danger comme ça. Ca ne ce faisait pas. Soupirant, lachant l'idée d'essayer de comprendre La Muerte, je grimpais les marches deux à deux en suivant les autres. Si le paysage désertique avait été clairs et presque tape à l'oeil, la lumiosité de la grotte était très sombre, et j'avais du mal à voir le chemin dans lequel nous emmenait Jezabel.

Tout était de gris, de noir. Les cendres pleuvait dans l'airs, et j'avais la net impression que la grotte pleurait ses cendres avec un air mélancolique. Cependant les mauvaises ondes de cette espace froid et désolant ce ressentais beaucoup. Si j'avais pu être assez froide, glaciale et sombre dehors, je me sentais autant plus à présent. Je n'aimais pas cette endroit, et nul doute qu'il sera encore pire quand on ce rapprochera de Xibalba. ▬ « Chandeleur ! Ouhouuu, Chandeleur ! C'est moi ! C'est La Muerte ! Chandeleur ! » La voix solitaire de La Muerte retentit dans la grotte, laissant une raisonnance parmis les parois. Je m'attendais à voir débarquer cette homme barbue joviale, joyeux et amusant. Je cherchais des yeux sa lumière orange significative comme les pétales qui signifiais la morte mexicaine qu'était Jezabel. Sauf qu'une fois la voix de celle ci perdu dans le silence, il n'eu aucune apparition. Elle redoubla d'effort, appelant de nouveau le gardien du livre de la vie. Aucune réponse. Elle ce stoppa, je fis de même, le regard inquiet. Ou était t-il ? Je ne voyais pas ce monde sans le Chandeleur. On avait besoin de sa bonne humeur. On avait besoin de son amusement, de sa décontraction. Le simple fait de savoir qu'il avait disparu me fit froid dans le dos, et j'avalais difficilement ma salive alors que ce fut encore un coup dur. Le trio mortuaire du mexique n'était plus. Il en manquait un. « S'attaquer au Chandeleur, c'est s'attaquer à moi. » S'attaquer au Chandeleur ? Mais pourquoi s'attaquer à lui ? Je croisais le regard de Jezabel, elle semblait aussi boulversée que moi par cette nouvelle.

▬ « Je n'imagine pas cette endroit sans lui. C'est inconcevable. » Je rejoignais ces paroles à celles de La Muerte, posant mon regard dans certains endroit qui semblait bouger, avec des silhouettes inquiétantes. Et pour cause. Un cris dans la mêlés me tourner la tête d'un coup sec, alors que je me surpris presque à sursauter. Son doigt désigna un troupeau d'oubliés. Contractant la mâchoire, je me retenais d'aller planter mon épée dans leur physique disgracieux. La Muerte nous intima de courir, et à contre cœur je les rejoignis alors que ma mains avait automatiquement fait ce que je ne lui avais pas encore ordonnée : Sortir ma machette. Elle était la seule qui pouvait les atteindres. Je suivis les autres, même si mes muscles criait à chaque pas que je franchissais. Mes talons entrait en contacte avec un sol encore plus dur que celui de la grotte. Devinant qu'il s'agissait d'une plate forme, je fixais La Muerte qui paniquait, cherchant un moyen de la mettre en marche. Les oublés approchait et ma machette fendit l'air pour venir frapper l'un deux. Les cendres tombèrent en morceau dans un petits tas. J'en touchais un autre, mais j'arrivais trop tard pour ce qui était celui qui venait de toucher Pitch et Calliope. Je plantais ma machette dans son ventre, le transformant en tas de cendre. Bien qu'il était trop tard pour Pitch et Calliope. Les couleurs de leur visage ce ternisse, devenant un peu plus foncés et prenant des couleurs vertes et grisâtres. Jezabel, toi, et moi, on va s'associer, et on va donné à ton ex la raclée de sa vie Déclara Diane, avant que Jezabel ne lui frappe la mains en retour avec un air satisfait. Puis elle ce remit à toucher la plate forme, avant que sa mains ne ce positionne sur une tête de mort. Les motifs s'allumèrent dans une lumière aveuglante. Je cachais mes yeux de ma mains, alors que les oubliés autour de nous partirent directement en cendre.

▬ « La lumière ! Elle les atteint ! » M'exclamais-je, remarquant ce détail des plus primordiales. Je sentais la plate forme vibrer sous mes pieds, avant de voir le plafond de la grotte s'ouvrir pour nous monter directement vers celui ci. Je fixais le sol s'éloigner de mes pieds, avant qu'on attérrie dans une grandes salles remplit de bougie allumer, d'autre éteintes. Jezabel sauta de la plate forme pour rentrer dans la salle, son regard cherchait quelqu'un, mais elle fut déçu de voir qu'il n'était pas là. La salle était avait des cascades qui tombait de chaque cotés. Je trottinais jusqu'à La Muerte en replaçant la machette dans mon dos. Elle désigna sept bougie éteinte.

« Ca, c'est nous. Nos vies. Eteintes. » expliqua t-elle. Mon visage s'assombris, sentant comme un coup tranchant dans mon cœur. Es ce qu'on allait revenir à la vie ?

▬ « Je suis sur qu'on trouvera un moyen de revenir, et de te retirer ça. » Fis-je en touchant la médaille verte coincée sur elle. Je lui fis un sourire qui ce voulait rassurant, mais moi même je n'étais pas sur de ce que je pensais, doutant que la résurrection était encore envisageable. Et surement pas avec Xibalba. Je regardais la salle, touchant un peu les parois avec curiosité, avant que Jezabel ne ce place face à l'une des cascades. Je la regardais d'un air intriguer, me demandant si on allait devoir ce mouiller. Si c'était un passage. Elle s'engagea à l'intérieur, sa silhouette disparaissant parmis les litres d'eau qui pleuvait. Respirant un bon coup, je retins ma respiration instinctivement, presque sur que j'allais ressortir mouiller. Mais quand je passais à travers, j'attéris dans ce qui ressemblait de nouveau à la grotte de la vie. Mais je regardais avec surprise mes vêtements qui n'était pas trempée. Pas une goutte d'eau. Pendant un instant, je laissais place à l'emerveillement, alors que je tournais la tête vers Jezabel qui semblait fixer autre chose. Je prolongeais mon regard pour découvrir ce qui semblait être le royaume de Xibalba. Un château en forme de tête de serpent tronait au milieu de lave. Je fus effrayée, voir horrifiés de cette vision. Comment pouvait t-on vivre là dedans ? Je comprenais mieux pourquoi Xibalba occupait les âmes chéries. Il y avait un long chemin entourés de lave qui conduisait à celui ci. Un peu plus loin s'etendait le fond de la grotte, avec des oubliés qui disparaissait en cendre, portés par le vent. Mon cœur ce serra à cette vision.

▬ « Tous ceux qui ne demeure plus dans le souvenir de leur proche finisse comme ça ? » Demandais-je d'un ton triste, le visage attristés et peinée. Je ressentais de la peine pour eux. Finir comme ça … Jezabel suivit mon regard, avant de le baisser, aussi touchée que moi.

« Oui. J'y es vécu un petit moment ici, et je suis pas prête de recommencer. » Déclara t-elle, avant d'emprunter le chemin. Ne m'attardant pas à tous ça, évitant de regarder les hommes oubliés, qui n'avait plus la force de bouger et qui volait dans le vent en cendre. Plus on ce rapprochait du château, plus sa structure en forme de serpent me faisait froid dans le dos. J'avais l'impression d'en avoir des vrais devant moi, et je me rappelais soudainement le sceptre identique de Xibalba. Le chemin fut entourés de lave, et la chaleur que dégageais celle ci me donnait affreusement chaud. Je me demandais si on allait trouver Xibalba ici. Ou si nous allions réussir à trouver quelque chose pour l'atteindre dans son propre château. Ou si nous allions trouvés Manolo … On pouvait refaire un monde, avec des si. Et le mien n'en serais pas des plus déplaisant. Arrivés au bout du chemin après un long moment, le sol ce transforma de nouveau en dalle, et Jezabel ne ce fit pas prier pour ouvrir les portes sur château. On arrivait dans un immense hall, avec plusieurs portes et des meubles de toutes part. La déco laissait à désirer, c'était macabre et glauque. Comme un Halloween. Je me positionnais au cotés de Diane. J'aimais bien cette personne, elle ce battait pour ce qui était juste et je l'appréciais beaucoup.

« Eparpiller vous, Xibalba ne viendra pas avant un bout de temps et le château est immense. Faites juste attention, il a tendance à jouer avec nous par moment. » Fis Jezabel en l'observant d'un œil mauvais et méfiant. J'hochais la tête en faisant un pas sur l'une des dalles. Elle s'enfonça dans le sol, avant de s'ouvrir pour laisser apparaître un trou. Je me sentis basculer dans le vide, le sol ayant quitté mes pieds. Quelque chose agrippa ma mains, alors que je relevais la tête pour voir le visage de Diane. J'essayais d'attraper les parois du trou, mais mon corps bascula le sien en avant et on tomba toutes les deux dans le vide noirs. J'avais l'impression de perdre mes organes, avant que je percute le sol avec douleurs. Allonger, un gémissement s'echappa de ma gorge, alors que je relevais la tête. La vison de décupla, dansant devant mes yeux. Je voyais un chemin … Non deux …. Ou un seul ? Je me relevais en me frottant la tête, poussant un gémissement de douleurs. Mes muscles claquèrent dans mon corps, et j'avais peine à tenir debout. Je tournais la tête vers la déesse, l'aidant à ce relever. Je fixais l'endroit ou on avait attéris. C'était un long couloirs.

▬ « Ou sommes nous ? » Demandais-je. Diane ce mit à grimacer, regardant le couloirs.

« A première vue on dirait un long couloirs. » Fis t-elle. Elle ce mit à grimacer, comme pour ce rendre compte de l'evidence. « Je sais brilliante déduction de ce qui saute au yeux. » Ajouta t-elle. Un rire s'echappa de ma gorge, alors qu'un bruit dans notre direction attira notre attention. Je me figeais, seul les battements de mon cœur vint pertuber le silence. Je regardais autour de moi, cherchant à toute vitesse un moyen de ce cacher avant d'être vue. Je repérais un petit trou dans le mur, que je designais du doigts.

▬ « Cachons nous là ! »Je m'abaissais pour passer la tête, puis je rentrais mon corps en marchant à quatre patte, la machette dans le dos. Au début ce fut assez large pour que Diane passe aussi, et je regardais des pieds passer dans le couloirs. C'était des oubliés. Un soupire de soulagemment s'échappa de ma gorge, alors que je remarquais que le chemin continuais légérement. Je commençais à m'inquiété sur ce château. Et si Xibalba l'avait piégé et savait qu'on était à l'intérieur ? C'était pas très net toute cette histoire, j'avais l'impression que quelque chose de gros ce préparais. Quelque chose de trop gros, même. Mais pourtant, je sentais qu'on touchait à la fin de cette histoire. Qu'on allait peu être mettre la mains sur quelque chose qui nous aiderait. Ou bien Xibalba allait tout simplement nous tuer. Mais je n'oubliais pas la vision de ma machette qui avait entailler son torse d'humain. Ca voulait peu être dire que je pouvais le tuer avec ? Une lueur d'espoir et de détermination brillait dans mon regard. Je me laisserais pas faire. Je me battrais, surtout que maintenant j'avais l'avantage avec cette machette qui semblait attiser sa colère.

« Tu préfère passer la première ou bien j'ouvre la voix ? » Demanda Diane en m'indiquant le chemin. Je cessais mes songes pour tourner mon regard vers le tunnel sombre qui s'offrait à nous.

▬ « Tu veux dire qu'on pourrait trouver quelque chose d'interessant ? » Questionnais-je, en fixant le tunnel sombre. Peu être que sa conduisait dans un endroit qu'on était pas censée découvrir ? Diane prit un instant de reflexion, alors que je sentais clairement ma curiosité devenir en feu, ne pouvant plus attendre.

« Si il y a bien une chose que la chasse m'a apprise, c'est qu'il ne faut négliger aucun détail. » Déclara t-elle. Un sourire illumina mes lèvres juste un instant. Me retrouver avec elle me rassurait sur un certain point. C'était que quoi qu'il ce passe, je pourrais compter sur sa présence. Je n'avais malheureusement plus aucune personne sur qui comptait, et je ressentais un certain manque. Mettant fin à ses pensés sombres, je pris les devants en sortant la machette.

▬ « J'ouvre la voix, si un oubliés est dans les parages il va gouter de la machette. » Fis-je sur un ton déterminée. Je rempais d'une mains à quatre patte, ne voyant pas grand chose et sentant des files s'empourprer dans mon visage. Je les dégageais d'une mains, devinant qu'il s'agissait d'araignée. J'aimais pas trop les araignés et l'idée que je me traine dans un endroit ou il pouvait en avoir des tonnes me terrifiais déjà. J'avançais, sentant mes genoux me lancer sur ce sol dur et rocailleux, le dos presque vouter. J'avais du mal à avancer d'une mains et me rendant compte qu'il n'y avait pas grand monde dans ce tunnel étroid, je remettais ma machette dans mon dos. Ca faisait bien de marcher avec les deux mains, mais je commençais à me fatiguer et j'ai cru que je n'allais jamais voir le bout. Rester dans ce tunnel sombre ne me faisait pas vraiment peur, puisque que je n'étais pas seule. En revanche, ca incitait au pensés négative, et je m'empêchais de penser au choses qui me tranchait le cœur depuis le début. En revanche, je ne me fis pas prier pour partager une des choses interessante que j'avais appris.

▬ « Xibalba n'a pas peur de la machette. Il a peur que ce soit moi qui l'es. Quand il l'a touché, ça la blessée et fait fuir. » Je me demandais encore comment cela avait pu arriver, taisant le reste des souvenirs qui me revenait en mémoire. Voir ce rustre utiliser le corps de mon mari pour me faire du mal … c'était trop tordu, et je me sentais encore affliger par les dégats qu'il avait causés. Un petite lumière finit par s'afficher dans ma vision, j'accélérais la cadence et aperçus une grande salle sombre, avec une cage attachés au plafond. Je me relevais, levant les yeux vers la personne retenu dans ce petit endroit, entre les barreaux. Mon cœur s'arrêta de battre, alors que j'entendis clairement ma voix affectés et raisonnante.

▬ « Manolo ! » Je fis un pas dans sa direction, mais je me stoppais dans mon elan, avant que mon regard ne prenne un air méfiant. Je sortais ma machette et la pointais vers lui, désireuse de voir si il s'agissait encore d'un tour de Xibalba. Bien que de devoir menacer mon propre mari de ma machette me blessait plus le cœur qu'autre chose. « Prouve moi que tu n'es pas encore lui ! » Crachais-je, sentant mes mains trembler face au mauvais souvenir qui refaisais surface. Ma salive ce bloqua dans ma gorge, alors que je sentais mon monde basculer de nouveau et s'ecrouler.

Maria : 90%