« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Tout se passait très vite ici, je n'arrivais plus fraiment à suivre, mais je voyais les deux femmes s'effondrer. Puis tout comme si c'était normal, les hommes ajoutés du piment dans leur alcool. Bientôt mon employeur fut mis au défi de boire cette fichue boisson. Je marmonais. ❝ Suis pas certaine que ça soir malin de relever le truc. ❞ Mais Monsieur Jones ne semble pas l'entendre ainsi, il relève le défi et je le vois lui aussi s'effondre comme les deux autre femme, apparemment le rhum au piment, il le tient pas bien. Et voilà que maintenant ils se mettent à chanter, extrêmement fort et surtout très faux. L'un des hommes a une voix super aiguë. C'est franchement insupportable. Mais il peut pas la fermer ce castra au rabais. Je ne tiens plus, et tant pis s'ils m'assomme pour ce que je vais dire, au moins je l’entendrai plus! ❝ Mais tu peux pas te taire! C'est... ❞ Un truc se coince dans ma gorge en pleine réplique, je regarde les gens, je suffoque. Je cherche désespérément de l'oxygène, et alors je vois qu'il manque un bouton au castra nullissime, alors que je m'écroule, par manque d'air...
La première, chose, que je remarquais, en ouvrant les yeux, fut que je n'étais définitivement, pas à Téménos. J'étais morte, il y n'y avait pas de doute là-dessus. En, revanche, j'ignorais, totalement, l'endroit où je me trouvais. Néanmoins, je ne tardais, pas à être rejointe, par d'autres personnes. Il, y avait déjà une brune, que je ne connaissais pas, une autre fit son apparition, bientôt, suivit, par la Pâtissière et Jezabel. Cette dernière, se précipita d'ailleurs, sur l'une des deux inconnues, en hurlant son nom « Calliope », avant de plus ou moins l'enguirlander. Un, sourire triste étira mes lèvres, lorsque Jezabel, finit par se tourner vers moi, me demandant si ça allait :
- Disons, que je me sens, comme quelqu'un qui viens de mourir. Mon, regard se tourna, vers son amie : Calliope, comme l'une des muses d'Apollon dans la mythologie, c'est un très jolie nom que vous avez là, j'en connais un qui aurait adoré.
Mon regard se voila, une seconde, tandis-que je pensais à mon frère jumeau, resté à Storybrooke. J'étais tellement, désolée, de lui imposer ça. Je, n'avais pas prévus, que cette médaille, « bloquerait » ma régénération. Généralement, les objets magiques ne pouvaient rien contre nos pouvoirs divins. Les choses étaient faites ainsi, le divin, dépassait le magique, mais était à son tour, dépassé, par le titanesque.
Je soupirais, et voilà, que je recommençais, la flagellation, mentale. C'était tout moi ça. D'un côté, je ne pouvais, m'empêcher, de m’inquiéter, pour ceux, resté dans le monde réel. Qui s'occuperait, d'eux, si je n'étais pas là pour les protéger ? On, formait, un bloque, avec Apo', tous les deux, à vouloir, sauver le plus, de vies innocentes possible, alors que la plupart, des autres, de nos frères et sœurs, n'hésiteraient, pas à en sacrifier le plus possible.
A nouveau en retrait, je laissais, Jez, discuter, avec la petite brune à la peau halé. Elle, n'était, pas des plus accueillante, c'était le moins que l'on puisse dire. Était-ce donc une coutume locale que de pointer des armes sous le nez des gens ? Non, parce que si c'était le cas, je pense, qu'ils devraient, très franchement, en changer. Néanmoins, je ne perdis pas une seule miette, de ce qui ce passait. Ce royaume, était donc, autrefois, celui de Jezabel, ça je l'avais compris, elle l'avait dit en arrivant. Et apparemment, il ne ressemblait, pas à cela quand elle l'avait quitté, le laissant sous la tutelle, d'un certain « Xibalba » à qui nous devions, tous notre venue ici. Bien formidable. Apparemment, je n'en avais pas finit, avec les imbéciles. Après mon frère, l'ex de Jezabel. Gaïa, devait particulièrement, m'aimer en ce moment, pour que j'ai droit à tout ça :
- Bien, dans ce cas là, je pense que la suite des opérations est simple : on va allé trouver ce Xibalba, et lui faire très clairement, comprendre à qui il a à faire, lui botter l'arrière train, et trouver, un moyen de revenir, en chair et en os à Storybrooke.
Oui, parce que, je n'avais pas l'intention, de rester morte. Il, devait forcément, y avoir, un moyen de contrer cette médaille, et de revenir à la vie....Enfin du moins, je l'espérais. Parce, que je ne voulais, pas détruire, mon frère, et je ne voulais, pas que Louise soit triste. J'avais promis, de protéger ma famille, il était donc, plus qu'hors de question, que je reste ici :
- Tant qu'à faire, autant finir les présentations : je m'appelle Diane
Oui Diane, il était assez rare, que j'utilise mon véritable prénom, en compagnie d'une certaine majorité de personnes inconnus. Et d'un côté, je n'aimais pas réellement, me présenter en tant qu'Artémis, la déesse de la chasse et de la lune, je trouvais ça...trop pompeux. Alors, Diane, suffirait largement. Je connaissais, déjà le fiancé de Diana, à qui j'adressais un hochement de tête polie, de vu. Pour les autres, hormis, Jezabel et la pâtissière, j'ignorais, qui ils étaient.
Un, bruit de course me fit me retourner, pour découvrir, la dernière personne, qui nous avait rejoint : Pitch. Je déglutis, faiblement. Alors, lui aussi....Je restais, sur place, mes pieds semblaient soudainement, peser une tonne. J'aurais voulu, partir, me dérober, à la caresse, mais, je ne me sentais, pas le courage de le fuir à nouveau. Pas maintenant. C'était justement, ce que je voulais, éviter, ce regard cette douleur, dans ses yeux. C'était de ça, que j'avais souhaité le protéger, en m'éloignant. Mais, il semblerait, que même, si je le voulais, je n’arriverais, jamais lui à l'éloigner de moi :
"Je pensais t'avoir perdue pour toujours..."
Qu'est que je pouvais dire ? « Tu ne me perdras jamais », serait un mensonge, on en avait eu, la preuve. Il, y avait des choses, qui échappaient, encore à notre connaissance, que ce soit à lui ou bien à moi. Et pourtant, notre vie était très longue :
- Mais, je suis là dis-je simplement
J'aurais aimée, le rassurer, sauf, que j'étais rarement, doué avec ce genre de choses, et sans l'empathie, ça devait quelque peu handicapant, de savoir comment m'y prendre. Alors, oui, c'est vrai, ce dont était assez gênant. Il suffisait, que les gens, ressentent, des émotions, de manière trop intense, pour que cela me donne une véritable migraine, et je l'avais toujours trouvé trop intrusif. Sauf, que c'était maintenant, alors qu'il était très certainement, lui aussi bloqué, par cette médaille, que je me rendais compte, qu'au final, il me manquait.
Même, si j'étais généralement, du genre à me crisper, quand il s'agissait, d'étreinte, cela faisait trop, longtemps, que je côtoyais, Pitch, pour avoir encore ce réflexe. Cela, n'empêchait, que je n'étais, toujours, pas très à l'aise, avec les effusions, en publique. J'avais, toujours été quelqu'un de discret, c'était d'ailleurs, pour cette raison, que peu de personnes, étaient réellement, au courant, que je fréquentais quelqu'un. Je, les choisissais, soigneusement, sachant parfaitement, qu'elles n'étaient pas le genre à aller le crier sur tous les toits :
- Je suppose, que j'aurais beau faire tous les efforts du monde, tu ne te laisseras pas évincer aussi facilement, soupirais-je une fois l'étreinte finit. Alors tu dois savoir une chose, on est tous en danger, parce qu'il est libre, et que nous n'avons aucun moyen concret de le stopper. Je souhaitais, juste t'éloigner, de ça et t'en préserver. C'est dangereux de nous côtoyer, et trop de gens l'ont appris à leur dépend.
Si on avait été seule, nul doute, que j'aurais été un peu moins froide. Mais, nous, ne l'étions pas, et nous avions, certaines choses à accomplir avant. Néanmoins, je m'accordais, quelques secondes, pour doucement, lui caresser la joue, et lui sourire, avant de me détourner. Jezabel, nous faisant signe, de la suivre. Je supposais, qu'elle souhaitait, voir son royaume de plus prêt. Ce, n'était pas difficile, à deviner, elle avait eu l'air perturbée en arrivant. Alors, nous embarquâmes, tous dans un engin en forme de crâne. Retenant, de justesse le haussement, de sourcil, à sa vue. Je m'étais installé, à sa droite. Mais, je ne m'attendais pas à ce que cela, ne soit propulsé à pleine vitesse. Oui, je n'étais pas une grande adepte des montagnes russes, et autres attractions, à sensation, qui étaient, ce à quoi, ça me faisait penser.
En, revanche, pour un royaume des morts, je devais admettre, qu'il était vraiment, magnifique. Bon, je n'étais jamais descendus aux enfers -Hadès, n'étant clairement, pas mon frère préféré-, mais je me doutais bien que ça ne devait pas être aussi accueillant, qu'ici. Pour autant, quelque chose semblait clocher. Les gens, n'étaient pas heureux, au contraire, ils semblaient triste, il n'y avait aucun sourire, sur leurs visages, et au vu de la tête de Jezabel, ce n'était pas comme ça que ce devait être :
- Ne t'en fais pas, dis-je en lui posant ma main sur l'épaule, on s'occupera de ça aussi. Néanmoins, si j'ai un conseil à de donner à l'avenir : tu devrais sérieusement, revoir tes goûts en matière d'hommes
C'était bien rare, que je me laisse aller à faire de l'humour, néanmoins, j'essayais, au mieux de détendre l'atmosphère.
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Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »
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Propriétaire de La Pelle à Tartes : La vie, c'est pas du gâteau mais la pâtisserie, si !
| Conte : Le Roi Lion | Dans le monde des contes, je suis : : Diku
A son grand étonnement, Amelia se réveilla. Morte mais consciente, donc. L'ancienne lionne n'aurait jamais cru que cela fut possible. Mais apparemment, quand on avait Storybrooke pour point de départ, tout devenait subitement possible. Ainsi, la jeune femme en conclut qu'elle avait atterri dans un royaume de la mort ou quelque chose du genre. Une chose était en tout cas sûre, elle n'y était pas allée seule puisque la jolie blonde, la brune encastrée et d'autres personnes qu'elle ne connaissait pas étaient là également. Par contre, l'endroit ne ressemblait en rien à ce qu'elle s'était imaginée après la mort. Et pour cause, là d'où elle venait, le paradis était sensiblement différent. Moins de maisons colorées en forme de crâne et plus d'étoiles et d'esprit. Ceci étant dit, le monde qui entourait Amelia avait quelque chose de fascinant - quoiqu'il soit aussi glaçant. Il n'en était pas moins un nouvel endroit à explorer et après tous les dangers qu'elle avait déjà affronté en si peu de temps, Amy était parée à l'aventure, pour le coup, presque contente de voir autre chose, pour une fois. Bien sûr, si elle avait pu visiter sans mourir, elle n'aurait pas dit non. Parce que se sentir mourir, mine de rien, ce n'était pas ce qu'on pouvait qualifier d'agréable, bien au contraire. Surtout quand on meurt de peur. Enfin, dans l'absolu, Amelia n'en savait rien. Il ne s'agissait après tout que de sa première mort. Elle était assez novice en la matière. Mais de toute même, elle n'avait pas hâte de retenter, si toutefois cela serait un jour possible. Et pour le moment, les choses étaient mal engagées, parce qu'ils avaient atterri ici d'une part mais aussi parce qu'ils avaient apparemment changé de tête. Amelia s'en était aperçue en découvrant qu'elle avait rejoint les autres. Elle avait bien sûr pu les reconnaitre, mais leur métamorphose ne lui avait pas échappé ! C'est pourquoi elle décida quand même de sortir son miroir de poche et de voir ce qu'elle était devenue. - Eh bah dis donc, commenta t-elle à haute voix, plus pour elle que pour les autres. Ca change. Amelia referma ensuite son miroir de poche et le rangea, incapable de dire si elle aimait ou non son nouveau physique. Il était différent, c'était certain, mais plaisant ? L'ancienne lionne ne pouvait se décider. Rejoignant le groupe, la jeune femme se mit instinctivement en retrait, ne voulant pas troubler les retrouvailles de la brune encastrée avec la femme qui s'appelait Calliope. Nul doute qu'elle venait aussi de chez eux, d'ailleurs, mais Amy préféra ne pas demander tout de suite et laisser les deux femmes à leur bonheur. S'engageant ensuite un dialogue entre la brune encastrée et une troisième femme, toute aussi inconnue que Calliope, auquel Amelia ne comprit qu'une chose : la brune encastrée était la Muerte, chef du royaume où ils avaient atterri et l'autre, qui tenait soit dit en passant une machette et semblait d'humeur à s'en servir, ne la croyait pas et s'appelait Maria. De mieux en mieux, je capte plus rien, songea Amelia en regardant les autres dans l'espoir de ne plus se sentir seule. Heureusement, la jolie blonde prit la parole et lança une idée qu'Amy fut en mesure de comprendre. Elle se retint donc d'applaudir son idole ressuscitée - enfin, presque - mais ne l'en approuva pas moins vivement : - Moi je vote pour ! s'écria t-elle en levant la main. Sa main ne tint pas longtemps dans les airs et retomba mollement le long de son corps. Amelia souhaita alors se changer en rat pour se faire toute petite, sentant bien qu'ils allaient commencer à croire qu'elle était dérangée. Ceci étant dit, l'idée de la jolie blonde était vraiment bonne, notamment pour une mère de deux enfants très attachée à sa famille comme l'ancienne lionne. Par chance, la jolie blonde choisit cet instant de gêne pour se présenter : Diane. Un très joli prénom, nota mentalement Amy. Puis suivant son exemple, elle dit : - Moi c'est Amelia. Ou Amy, comme vous voulez. L'ancienne lionne sourit à tout le monde, comme pour les encourager à utiliser son surnom tandis que l'homme de leur groupe les rejoignait. Lui, bien sûr, ne fit pas grand cas de son prénom, se focalisant exclusivement sur Diane, son amoureuse. Elle les observa s'enlacer pudiquement, ne pouvant détourner les yeux d'un amour si pur et chaste. En somme, il ne manquait que les violons pour qu'Amelia se croit au cinéma. D'ailleurs, le décor valait largement ceux de Spielberg. Le groupe se retrouva en effet bientôt sur des montagnes russes, haut, très haut. Amelia avait l'impression de tomber à chaque mouvement. Le décor lui coupait le souffle pourtant quelque chose la déprimait. Pourquoi était-ce si terne ? La Muerte avait, il lui semblait, dit que son royaume avait changé. Mais pourquoi ? Etait ce aussi le cas de la Terre des Lions ? Y régnait-il pareil malaise ? Soudain, Amelia eut la nausée et ne trouva rien de mieux à faire que d'approuver ce que Diane lança à la Muerte. - Diane a raison, on va trouver une solution à tout ça. Vous savez, je n'y capte vraiment rien à ce qui se passe ici et à qui vous êtes mais je veux bien vous aider parce que c'est chez vous et que si mon chez moi d'origine était dans cet état j'aimerais bien qu'on m'aide.
Calliope Lloyd-Webber
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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| Conte : Coraline | Dans le monde des contes, je suis : : Coraline Jones, la fillette trop curieuse et qui a deux mamans
La mort, ça doit être une sacrée aventure. Je crois que c'est Peter Pan qui a dit ça. Ou quelque chose dans ce genre là. Ou alors ce n'était pas du tout lui. En tout cas, je suis sûre d'avoir déjà entendu quelque part parler d'une aventure appelée la mort. Moi, je l'ai toujours vu comme ça. Comme une grande et nouvelle aventure. Quelque chose d'inconnu, où je trouverais enfin le repos éternel. Ce n'est pas pour rien que j'ai essayé de dire adieu à la vie autant de fois. Ça doit être reposant.
Eh bah publicité mensongère ! Remboursée, je veux être ! J'étais censée connaître la paix pour toujours, à la place, je m'étais réveillée en me sentant toute bizarre. Allongée sur le dos, avec une flèche rose recouverte de liquide noirâtre à mes côtés, et l'étrange impression de m'être faîte arnaquée. Où était les plages de sables dorés ? Les bars avec les mecs sexy en slips de bains ou même rien du tout pour cacher leur virilité se jetant sur moi avec un verre de cocktail à la main ? Où était donc mon paradis personnel ? Si c'était la mort, je voulais bien redevenir vivante. Je suis une fille très têtue. Si jamais Dieu existe et qu'il s'occupe vraiment de cet endroit, je serais capable de le forcer à me ramener à la vie. Personne ne peut me résister.
Je venais à peine de me relever quand quelqu'un se jeta sur moi. Mais pas de beau gosse. Mieux. Jezabel. Elle se jeta à mon cou, et j'en profitais pour la serrer de toutes mes forces contre moi, en fermant les yeux. Enfin ! Elle allait bien ! Ou pas, enfaîte. Vu les circonstances...
- Attends ! Si tu es là aussi... ça veut dire que tu es morte ! Comment est-ce que tu peux mourir, tu es censée être la mort ! Aaahhh mais je suis tellement contente de t'avoir retrouvée ! Faut vraiment que je te raconte toute l'histoire par rapport à cette flèche, tu vas mourir de rire ! Oui bon j'avoue, elle était nulle celle là. Mais pour une fois, je peux t'assurer que je n'ai embrassé absolument personne. Et j'ai même pas dragué ! Enfin pas vraiment. Tu crois qu'échanger des regards ça marche dans une technique de drague ?
C'est dingue comme la retrouver me remettait à l'aise. J'étais de nouveau dans mon élément. Enfin... pas tout à fait. Cet endroit était... triste. Voilà ce qui correspondait le mieux. Pourtant, ça se voyait que ça aurait pu être joli. Mais tout était terne et gris. Pas le genre d'endroit où j'aimerais passer l'éternité.
- Oh merci... Diane. Enfin quelqu'un qui a de la culture, jamais personne n'a compris la référence.
J'adressais un sourire à la blonde. J'avais choisi ce nom parce que j'étais une fana de mythologie quand j'étais enfant. J'avais eu pleins de bouquins sur le sujet, et vu que le chant était une de mes passions secrètes...
- Eh mais c'est... Pitch ! Ma brioche préférée ! Non je plaisante, ne me fais pas les yeux sombres s'il te plaît. Je suis... contente de te revoir.
Même si on s'était connu dans des circonstances que je préférais effacer de ma mémoire. Je tiens à dire que c'était vraiment bizarre de le voir être aussi... proche de quelqu'un. Et attendez... il venait de pleurer là, non ? Waouh. Cette fille devait vraiment être importante pour lui. Lui le maître des cauchemars avait vraiment une petite copine ? Mais... il l'emmenait parfois au cinéma ? Voir quoi ? Sûrement pas une comédie romantique. Ok, je devais vraiment éviter de l'imaginer devant Crazy Stupid Love à manger du popcorn.
- Attendez deux secondes ! Tous ! Déjà, on est où ici Jez ? C'est là où tu vivais avant ? Mais pourquoi on est là ? Ensuite, est-ce que c'est normal qu'on est tous cette tête bizarre ? J'aime bien le style, mais j'adorais ma tête d'avant. Plus question de se maquiller si ma tête ressemblait à un masque coloré comme les autres. Je ne m'étais pas encore vue, mais je supposais que c'était la même chose pour les autres. Je me tournais vers Jez, en haussant un sourcil.
- Déjà, cette Maria, c'est qui ? Une pote à toi ? Oh d'ailleurs, merci d'être morte écrabouillée à ma place. C'était super sympa de ta part. Mais surtout... surtout... C'est qui ce Xibalba ? Qui apparemment, serait ton amant. Tu as eu un amant. Et tu ne m'en as parlé. Je suis vraiment déçue par ton comportement.
Je reniflais légèrement, en tournant la tête vers la femme qui disait s'appeler Amélia. J'aimais bien tout savoir concernant les histoires de mecs. C'est pas ma faute. Ce genre d'histoire, je m'y connais super bien. Et puis quand même. Un amant qui s'appelle Xibalba. Vous en connaissez beaucoup, des mecs avec un nom aussi bizarre ? Ma pauvre Jez.
Je penchais la tête par dessus la route qui descendait de manière... vertigineuse. Était-ce vraiment une route ? Je fis un pas prudent. Je me sentais comme la route arc-en-ciel dans Mario Kart. Sauf qu'ici, tout était gris. Comme si ce... monde était recouvert de cendre.
Je venais juste de me pencher pour regarder plus attentivement un bonhomme à la peau grisâtre avancer d'une démarche voutée quand le sol céda sous mes pieds. Et ceux des autres. J'entendis très distinctement mon hurlement. À moins que je n'étais pas la seule à brailler. J'étais sûre que ce « AAAAAHHHHH » ne venait pas de moi.
Lights will guide you home And ignite your bones And I will try to fix you
.
Manolo m'avait toujours dis que quand tu mourrais, tu finissais dans un magnifique monde appelés les Ames Chéries. Il m'avait tout raconter, les couleurs, les gens charmants. Les fêtes qui durait vingt quatre heure sur vingt quatre. Dans ca bouche, ca sonnait tellement magnifique. Il avait raconter ca avec beaucoup de brilliance dans les yeux, comme ci il visualisait chaque scène. J'étais soulagé de savoir qu'après la mort, j'allais finir dans un monde comme celui ci. J'étais rassurer, et ce sera avec lui. Mais plus maintenant. Si j'aurais su que les choses aurait tournée comme ça, je m'y serais mieux préparée. Mais que voulez vous que je vous dise, on ne peu avoir connaissance du futur. Et dans un sens, temps mieux. Je sentais un mal de tête ce propagée dans mon esprit, menaçant de s'exploser en plein dans mes neuronnes. Je pensais pas que je finirais comme ceci. Sauvant la fille d'une vie inconnu. Me prenant une pierre à sa place. Et pour tout vous dire, c'était calculé d'avance. Dès que la terre c'était mise à trembler et que les rocher tombait, j'ai su que je n'aurais que ce moyen pour récupérer Manolo. Mourir. Et sauver la vie d'une âme innocente en passant. Je savais que je n'arriverais à l'atteindre que de cette manière. J'avais longtemps réfléchis, plus d'une fois pendant que ce foutu maire reprenait les rennes de la ville. Je savais, au fond de moi que c'était la seule solution. Mais j'avais refusée d'y faire face, encore persuader que j'avais une autre chance. Et plus les jours passait, plus je désespérais à trouver la solution. Jusqu'a ce qu'elle paraisse évidente et que mon cœur finisse par l'accepter. Mourir. Pour le récupérer. Mourir, pour le sauver.
J'ouvris les yeux sur un ciel sombre, dégradé entre un bleu nuit et un gris terne, avec des cendres qui tombaient doucement sur le sol. Des cendres vertes. Je portais une mains à ma tête alors qu'un gémissement rauque s'échappa de mes lèvres. Encore un peu trop sonnée, je mis un certain temps à comprendre ou j'étais. Je me relevais, les yeux cherchant du regard la personne que j'espérais trouver. Mais bien sur, elle n'était pas là. Ce serait trop facile. Je reculais vers le grand chêne. Il était à l'entrée de la ville, normalement. Pourquoi je me trouvais à ses cotés ? Je me retournais, pour aperçevoir un paysage à me couper le souffle. Ces lumières, ces couleurs ternes. Ces immeubles et ses maisons construites tel des édifices mexicaine. Ces ballons qui flottait dans les airs, montant, descendant avec des peintures sur leur surface. Je plissais les yeux. Ce n'était pas ce qu'on m'avait dit. Il n'y avait pas de musique, pas de fête, pas de confetis pour vous acceuillir. Tous semblait mort. Alors que je tentais en vint de comprendre, je fus surprise par l'apparition soudaine d'une blonde, d'une brune, et de la fille que j'avais sauvé. Je les regardais en reculant le long de mon chêne, les yeux ecarquiller et méfiant. Leur tête était colorés, des têtes mexicaines et traditionnelles du deux novembres. Celle des morts. Celle que possédait les Sanchez quand ils nous avaient aider pour la bataille avec Chacal. Alors moi aussi ? Je me précipitais vers la flaque d'eau et reçu un choc en découvrant la mienne. Elle était bleutés, avec des formes. Je me tournais en suite vers les inconnus. Ils n'étaient pas habillés comme chez nous. Ils avaient une drôle manière de parler. Je ne savais pas d'ou il venait, bien que la théorie du saut dans le temps commençait à naître dans mon esprit futé.
Et puis une nouvelle brune apparu. Celle ci semblait très affectés par les tournures qu'avaient pris le royaume. Son visage torturer par la vision qu'elle avait de ce monde. Je la regardais s'effondrer au sol sans comprendre. Ce Royaume appartenait à La Muerte. Je ne comprenais pas ses paroles, pourquoi elle était aussi détruite. Au fire et à mesure, des personnes apparaissait en long en large. Cela ne m'étonnait pas, avec l'armée de Chacal. Mais aucun visage connu des habitants. Juste ceux des étrangers. Alors que chacun fêtait leur retrouvaille, je me sentis légérement seule face à ça. Une boule à la gorge, je sortais ma machette de son fourreau et la pointais vers eux d'un visage grave et des yeux méfiants. Ils n'étaient pas du Mexique. Qu'es ce qui me disait qu'ils étaient pas dangereux ? La brune s'avança vers moi, en prononçant mon prénom. Je sursautais soudainement surprise, figé. Comment elle connaissait mon prénom ? Je ne me souvenais pas l'avoir déjà vue quelque part. Je plissais les yeux alors qu'elle révéla son identité. Je le reçu mal, très mal. Ce faire passer par La Muerte, une personne tout à fait charmante et très sage, qui avait su nous défendre malgrès les régles était tout à fait inappropriée. Et parler d'elle en son nom alors qu'elle avait disparu m'affectait beaucoup. Je pointais la lame de mon arme rageusement sur sa carotide. Je ne comptais pas lui faire du mal. Je n'étais pas une mauvaise personne. Mais au bout d'un moment les mensonges sa suffisait. J'en avais reçu assez comme ça dans ma vie.
▬ « Mensonges ! La Muerte à disparu depuis longtemps ! » Déclarais-je en croisant son regard, la dévisageant. Elle sembla blessée, j'aurais presque remarquer ses yeux ce lever au ciel. ▬ « Maria je te jure que c'est moi ! Sous une autre forme ! J'ai été emportée par un brouillard et emmener dans un autre monde. C'est trop long à expliquer, mais je te jure que c'est moi ! Regarde ! » Je suivis son doigt qui vint tapoter... la médaille. Non. C'était impossible. Un lot de question ce bousculait dans mon esprit, alors que je ne savais pas quoi penser, complètement perdu. C'était un imposteur ! Envoyer par Xibalba pour s'en prendre à moi ! J'insistais un peu plus en la fusillant du regard. C'est drôle parce qu'elle ne ripostait pas, comme ci elle savait ce qu'elle faisait. Pourtant, une partie de moi croyait à cette histoire. C'était logique, elle avait disparu soudainement on ne sait pas comment. Et le fait d'avoir été autant affecté par la vision de ce royaume habituellement en fête … Je rangeais mon épée dans son fourreau, bien que je n'avais pas terminée avec les questions.
▬ « La médaille a été remise à Xibalba par Joaquin ! Tu ne peu pas l'avoir, c'est pas possible ... » Pourtant elle était bien là. La brune ce rapprocha, alors que je continuais de la fixer, toujours aussi méfiante. Quand un ami de longue date finis par tuer votre propre père, vous recevez une vague froide au visage et ne fait plus confiance en qui ce soit. J'essayais de trouver le moyen de la croire. Qu'elle puisse être La Muerte, qu'elle soit enfin de retour … Mais non. J'y arrivais vraiment pas. ▬ « Maria, je peu pas trop te faire de démonstration avec mes pouvoirs, parce que la médaille me les bloque. Mais crois moi, je suis La Muerte ! Dans l'autre monde ou je suis, je me fais appeler Jezabel. Ou est Manolo ? Pourquoi il n'est plus là ? Qu'est ce qu'il c'est passée ? » Je tressaillis au prénom de mon mari. Une douleur sans fin qui s'insinuait dans mon esprit et dans mon cœur. Un regard sombre, ma lèvre inférieur tremblais légérement, menaçant de laisser des larmes remonter et s'engouffrer sur le chemin de mes pommettes. Joaquin était partit, juste après la victoire. Il voulait continuer de sauver des villes. Mais il n'est jamais revenu sauver la notre. Un goût amère dans la bouche face à cette rencoeur à son égare, je me contentais de baisser les yeux de cotés. Il me l'avait pris. Xilbalba m'avait pris mon mari. Raviver ces souvenirs douloureux comme ça n'était pas très bon pour mon morale, je forçais de les garder au fond de moi jusqu'à ce que je craque et que je devienne des plus mauvaises. Il ne fallait pas ce laisser engouffrer par la haine, jamais. Pourtant, j'étais prête à tout pour le récupérer. Il était encore là quelque part, je le savais.
▬ « Xibalba a emmener Manolo. Il voulait ce venger parce qu'il a réduit ses plans à néant. Le pari, vous vous en souvenez ? Et comme ca chère et tendre Muerte n'était plus là pour l'arrêter, il a tout pris sous sa coupe. » Je crachais ses mots comme un venin. Tout avait commencée par leur faute à eux. Oh, ca ce croit puissant avec des pouvoirs magiques, un royaume de mort et une influence des plus grandes sur la vie courante. Mais quand ca fou le bazar chez les autres, y'en a pas un pour réparer ces tords. La Muerte avait beau être une personne aimante, avec une extrême gentillesse, c'était quand même de sa faute si Xibalba avait perdu la tête. Il ne la trouvais plus.
Flash back.
Il me faisait danser, sa mains positionner sur ma fine silhouette alors que son sourire illuminait mes pupilles. Un rire amusée sortait de mes lèvres, alors que je penchais vers lui pour le faire tourner. Les gens applaudissait, nous regardant avec fascination. Sa mains dans la mienne, chaque battement de mon cœur suivait le sien, courant tout les deux dans une courses frénétique au son de la musique. Je me sentais vivante. Je me sentais bien. Les paroles de sa chanson illuminait mes journées, créant son propre soleil à lui et le partageant avec les autres. La musique s'arrêta, alors que je bondissais sur mon pied pour capturer ses lèvres, l'enlaçant. Et puis un drôle de bruit retentit dehors. Je me tournais vers la grande porte qui conduisait à l'extérieur de la ville. Manolo fronça les sourcils et décida de jeter un coup d'oeil. Je le suivis en lui emboîtant le pas. Dehors, il faisait nuit complet et seule les lampadaires éclairait la grande place. Je jetais des coups d'oeil méfiant au alentours, quand ils débarquèrent. En nombre. En armées. La…
« Tribu de Chacal ! » S'écria une femme en pointant son doigts dans leur direction. Manolo ce tourna vers moi, tout deux avait la même pensée : Comment ? Pourquoi ? Et puis des pas plus lourd provoquais un tremblement au niveau du sol. Je fis les quelque pas qui me séparais de Manolo, alors que sa mains ce positionna droit sur moi, me barrant la route. J'avais horreur quand il faisait ça. Je pouvais me défendre toute seule. C'est pas parce que je ne suis pas un homme que je suis plus faible.
« Ce n'est pas possible. » Murmura Manolo. Je suivis ces yeux pour découvrir avec frayeur la cause de son choc : Chacal. Vivant. Ricanant.
▬ « Il est mort. Il ne peut pas revivre ! La Muerte l'aurait jamais acceptée ! » répondit-je, follement inquiéte. Il s'arrêta devant nous alors que ces yeux malicieux rejoignait celles de son armée. Il voulait juste nous détruire, ca ce lisait dans son regard. Un traits noir ce déplaça dans l'air et apparu devant le gros sauvage qu'était Chacal. Il prit forme et mon cœur rata un battement en reconnaissant le physique hideux de Xilbalba. Mais sur son visage il n'y avait aucun plaisir, juste une inquiétude folle. Il nous regarda tour à tour, avant que ce tourner bien entendu vers Manolo. Je ne comprend même pas pourquoi cela me surprenait. Je le fixais en lui lançant un regard des plus noirs. Je ressentais énormément de haine et de colère en son égard. Il avait tuée Manolo. Il avait essayée de me tuer également. Je ne pouvais plus voir son visage sans ressentir le besoin de lui en coller une. Manolo murmura son prénom comme une horrible blessures soudaine et dégaina ses deux épées pour les mettres en avant.
« Garçon. » Lacha t-il avec dégout. Il scruta les visages des habitants qui ne perdait pas la scène une seconde des yeux. « Ou est t-elle ? » cracha t-il, les têtes de morts rouges dans ces yeux positionner au milieu pour former des pupilles. Manolo croisa mon regard alors qu'on essayait de comprendre tout les deux de quoi il parlait. Qui ça, elle ?
« Qui ça ? » Demanda Manolo, cherchant autant que moi à comprendre de quoi il parlait. Xibalba serra les dents alors qu'on pouvait très bien aperçevoir ces chandelier s'enflammer au fire et à mesure que sa colère augmentait.
« La Muerte. Elle a disparu. Elle est partit mais elle n'est jamais revenu.Toi ! » Hurla t-il soudainement alors que nous tentions de digérer la nouvelle. La Muerte ? Plus ici ? Qui va veiller sur son royaume ? Xibalba saisie Manolo par le col et le souleva à terre. « Si je n'avais pas perdu ce foutu parie, rien de tout cela ne serais arriver ! C'est de ta faute ! Mais dans un sens je te remercie. J'ai enfin pu avoir ce que je voulais. Le Royaume des Âmes chéries pour moi seul. » Un sourire creusa ces horribles lèvres, déclenchant un frisson. Je m'approchais en me saisissant de l'épée de Manolo pour frapper Xibalba et délivrée mon mari de son emprise. Sauf qu'il claqua des doigts et que des mains fermes ce ressérèrent autour de mes bras. La force qui m'empêchais de continuer était tel que je n'arrivais pas à me débattre.
▬ « Lachez le ! » Hurlais-je en sa direction. « Nous y sommes pour rien ! C'est de votre faute si tout à déraper, pas la notre ! » Tonnais-je, mauvaise. Xibalba eclata de rire, ce qui eu vite fait de me faire monter la poudre au nez. Je le fixais méchamment, recevant ce rire infecte avec haine.
« Tu vois, petite, il doit payer pour ce qu'il a fait. » Répondis t-il avec un visage malicieux. Puis il ce tourna vers les sauvages. « La ville vous appartient, j'ai ce qu'il me faut. » Puis sans prévenir, sa mains traversa la poitrine de Manolo. Un crie d'horreur s'échappa de ma gorge, alors que tout les sauvages envahissais les maisons et que les gens hurlaient de frayeur, ce bousculant dans les ruelles. Manolo ce mit à hurler, le visage endoloris. Mon cœur entamait une course dans ma poitrine, alors que je sentais la panique me gagner et les larmes rouler le long de mes joues. Je tirais de toute mes forces pour me délivrer de cette emprise infernal, mais j'avais beau me débattre, c'était trop féroce. Je respirais bruyamment alors que je regardais impuissante le cœur de Manolo au creux des paumes de la mort.
▬ « Manoloooo ! » Je l'avais perdu, encore une fois. Je le regardais s'effondrer au sol dans un dernier gémissement de douleur. Je suivis son mouvement en m'ecroulant de mêmes, tremblante et folle de rage. Ils me l'avaient retirer. Encore. La douleur qui explosait mon cœur en mille morceau me terassais comme une trainée de poussière. Et Xibalba ce mit à rire, alors que je n'arrivais plus à me contenir. Je me débattais rageusement, je sentais la force me tenir en joue, alors qu'ils essayait de m'immobiliser de nouveau. Ses sales petits sauvages. Je tombais à genoux, trop essoufler, à bout de souffle. A bout de nerf. Je levais les yeux vers la silhouette de mon mari défunt qui partit avec Xibalba. Il me l'avait pris. Il me l'avait emmener. Je n'avais plus rien. Un océan de douleur m'envahis de nouveau, alors qu'on m'avait relacher. Je courais à l'endroit exact ou ils avaient disparu. Quelque chose brillait dans le sable. Curieuse et chassant les larmes de mes joues, je creusais un peu plus la terre, les yeux bouffis et rouge. Mes doigts butèrent contre quelque chose de dur. Je sortais alors l'objet pour découvrir avec surprise et fascination une machette. D'ou elle venait ? Je serrais la poigner, avec un air déterminée au visage.
▬ « Je te retrouverais. Je te le promet. » Déclarais-je pour moi même comme une promesse emportée par le vent.
End.
Déjà, cette Maria, c'est qui ? Une pote à toi ? Oh d'ailleurs, merci d'être morte écrabouillée à ma place. C'était super sympa de ta part. Mais surtout... surtout... C'est qui ce Xibalba ? Qui apparemment, serait ton amant. Tu as eu un amant. Et tu ne m'en as parlé. Je suis vraiment déçue par ton comportement. La voix de la brune me sortit de mes pensés. Je tournais les yeux vers elle, faisant un hochement de tête pour seule réponse. Encore bousculés par les souvenirs qui m'avait envahis. Ils ce présentèrent tous, mais je n'avais pas le cœur à la présentation. La Muerte, semblait amusée par les paroles de Calliope, je crois. Elle leva les yeux au ciel, bien que le statut de Xibalba semblait la gênée. Je la comprenais. Qui pourrait être en couple avec cette horreur ? Je ressentais une légère rencoeur à son propos. A cause de leur petit jeux de morts, on en payait les conséquences. Je détournais les yeux au retrouvaille de la blonde et de son petit ami. Cela me rappelais trop de choses.
« Ex, s'il te plait ! On va dire que c'était une légère erreur du passée. » Déclara La Muerte. Légère ?
▬ « Si je puisse me permettre, ce n'était pas que ''léger.'' Il a été très affecté par votre disparition, au point que ça la rendu encore plus mauvais ! » Intervient-je en passant entre les deux pour aller me positionner vers un chemin qui piquait droit dans le vide. Après quelque minute, elle finit par appuyer sur quelque chose qui fit monter un espèce d'engin en forme de crâne du sol. Je regardais avec surprise le drôle de petit compartiment. On aurait dit un char. Tout le monde grimpait dedans et je me positionnais à l'arrière. Mais alors que le petit char démarrais à peine, je me sentis d'un coup piqué vers le sol. Mon crie rejoignit celui des autres alors que j'avais l'impression que mon estomac me lachait. J'avais une horrible pression dans la tête alors qu'on remontait droit devant nous à toute vitesse, que le char ce penchait de gauche à droite, le tout dans une vitesse qui me donnait des nausers. Je serrais profondément la petite barre, priant pour que cela ce finisse rapidement. Mon cœur enchainais les tourbillions, bien que j'eu l'impression de le sentir dans ma gorge. Les gratte ciels étaient quand même magnifique, et l'intérieur du royaume malgrès les couleurs coupait le souffle. Je ne savais pas ou donner de la tête, alors que le char sauta pour quitter le sol et attérir sur un autre chemin. Je tournais le regard vers les gens qui semblait fade, déprimée. Manquant de vie. Il nous regardait avec un regard vide et un visage triste. Un gros bruit me fit détourner les yeux pour rejoindre la route. Elle venait de s'effondrer. Un nouveau crie sortait de ma gorge alors que la voiture plongeais dans le vide. Une enorme secousse me fit décoller de mon siège. Je volais dans les airs, alors que je me sentis tomber et que mes mains attrapèrent la seule chose que j'aperçus : Le rebord de l'autre route. Les pieds dans le vide, les mains maintenant fermement le rebord, j'essayais de remonter mais je glissais de plus en plus. Non. S'il vous plait je peu pas finir comme ça ! Pas fracasser en mille morceau sur un sol. Je n'avais même pas essayer de sauver Manolo. Ma mains attrapa une autre personne qui avait faillis tomber dans le vide. Le poid de son corps agissait énormément sur la seul et unique mains qui nous maintenait dans le vide. Elle glissais dangereusement du rebord. La peur finit par me gagner, afflutant sur tout mes sens alors que je j'hurlais de frustation fasse à cette scène comique. Ironie du sort.
▬ « Non non non non ! » Paniquais-je alors que ma mains glissais pour de bon dans le vide. Pourtant, une poigne ferme ce referma autour de mon poignet, tentant de me remonter moi et la personne que je maintenais fermement.
- Attendez deux secondes ! Tous ! Déjà, on est où ici Jez ? C'est là où tu vivais avant ? Mais pourquoi on est là ? Ensuite, est-ce que c'est normal qu'on est tous cette tête bizarre ? J'aime bien le style, mais j'adorais ma tête d'avant. Ehhh mais il est cool le maquillage ! Moi j'étais contente de le retrouver ! Si si mais je me serais pris en photo même si j'aurais pu ! Mais bon c'était pas le moment de déconner. C'est dingue dès que Callio était présente je déraillais facilement. Il fallait que je me concentre. Il fallait que je face payer à Xibalba. Je laissais un rire s'échapper à la remarque de ma meilleure amie. Oui, c'était là. J'adorais cette endroit. Je l'avais gagner au court d'un pari avec Xibalba. Malheureusement il n'est pas vraiment rester sur sa défait et un peu plus tard on a remis nos royaume en cause avec un nouveau pari. Tout avait reposé sur le choix de Maria. D'ailleurs cette dernière semblait éprouvé une certaine rencoeur. Je ne pouvais que la comprendre. On avait quand même un peu chambouler sa vie. Et quand je regardais maintenant, mettre le pari sur le dos d'une fillette n'était pas très intélligent. Bravo Jez, voilà seulement que tu le comprenais, une médaille ? Ah ! La bonne blague, j'en avais déjà une. Je fis un sourire narquois, à cette pensée des plus déconcertante.
▬ « Ca, c'est mon royaume. Le royaume des Âmes Chéries ! Il était plus beau avant, je vois que Xibalba a bien profité pendant mon absence. On est là parce qu'on est mort. Tant qu'on ce souviens de nous quelque part, on demeure ici. Mais dès l'instant ou on nous oublie, on finit dans le royaume des oubliés, le royaume de Xibalba. » Je grimaçais au souvenir du petit séjour que j'avais passée là bas. Tout n'était que désolation. Les gens déprimait, et partait en fumée dès qu'on ce souvenait plus du tout d'eux. J'eu un pincement au cœur en pensant au pauvre âmes oubliés de tous. C'est la voix de Callio qui sortit de mes pensés. - Déjà, cette Maria, c'est qui ? Une pote à toi ? Oh d'ailleurs, merci d'être morte écrabouillée à ma place. C'était super sympa de ta part. Mais surtout... surtout... C'est qui ce Xibalba ? Qui apparemment, serait ton amant. Tu as eu un amant. Et tu ne m'en as parlé. Je suis vraiment déçue par ton comportement. Un nouveau rire s'échappa de mes lèvres. C'était tellement bon de la retrouver ! Je me sentais entière. Mon pillier était de nouveau avec moi. Tout allait aller pour le mieux. Tant qu'elle était là, tout irait bien.
▬ « Ex, s'il te plait ! On va dire que c'était une légère erreur du passée. » [/i] me frutrais-je. Je haussais un sourcil en observant Maria. Elle avait sauvée Callio ? Je lui vouais beaucoup de reconnaissance. Bien que si ma moitié tarée ce trouvais ici c'était qu'elle avait quand même trépasser. Maria passe entre nous deux d'une humeur sombre. Me coupant la parole alors que j'allais la reprendre. « Si je puisse me permettre, ce n'était pas que ''léger.'' Il a été très affecté par votre disparition, au point que ça la rendu encore plus mauvais ! » Elle me laissa mijoter là dessus, alors que je ressentais sa colère en ebullition. Pas que j'étais télépathe, mais il fallait pas être nouille pour le comprendre. Quand un Xibalba affecté j'avais du mal à y croire. J'étais sur et certaine qu'au contraire cela l'arrangeais parce qu'il avait possession de mon royaume. Ce qui me fit me mordre la lèvre. Pas question que je le laisse entre les mains de ce tricheur. « Maria c'est une connaissance de mon passée. Je te raconterais ça plus tard, il est temps d'aller faire mordre la poussière à Xibalba ! » Déclarais-je avec un sourire et un ton déterminée, cliquant sur un mecanisme qui fit apparaître une voiture en forme de crâne. « Un petit tour de manège ? » Fis-je en leur présentant mon engin. Je grimpais à l'avant, suivis de Diane qui ce plaça à coté de mois et des autres qui montèrent derrière. « Finis les vacances mon gros, Tatie Muerte et de retouuuuuur ! » Ma vois partit dans les aigus en même temps que le wagon plongeais dans une descente à m'en faire palpiter le cœur. Ma voix raisonna au plus profond du royaume, me faisais sourire et priant pour qu'il l'ai entendu.
La vitesse, c'était énorme. C'est l’accueil que je réservais au mort quand il entrait pour la première dans mon royaume. Oui bon, normalement y aussi les habitants en joie, les char somptueux avec des danseurs et des confettis. Le wagon tourna à gauche, penchant presque tout le monde dans le vide, avant de ce remettre correctement sur le route et de pencher à droite. Je me tenais sévèrement à la barre, sentant l'adrénaline ce répandre dans mon sang. C'était géniale ! Ah comme j'avais eu une trop bonne idée ce jour là. Ce manège claquait sa mère. Je l'aimais. J'y attachais une très grande importance. Je l'aurais peu être embrasser même, si personne ne ce trouvais avec moi … Des cris afflutèrent un peu partout autour de moi. Pourquoi ils criait ? Elle était géniale cette attraction, pas de quoi crier ! Ah je leur offre une petite douceur et il l'a refuse. La prochaine fois que les mets sur des chevaux, c'est sent fois pire avec eux parce que tes fesses tapote contre leur dos et tu es agités dans tout les sens. J'aperçus le visage des habitants. Leur couleur était un dégradé entre les miennes et celle de Xibalba. J'eu soudainement le morale zappé. Cela me faisait beaucoup de mal de les voirs comme ça. Je n'étais plus là pour entretenir leur joie. Ils leur manquèrent l'élément clé. Diane posa une mains sur mon épaule, me faisant détournée la tête vers elle. Ne t'en fais pas, on s'occupera de ça aussi. Néanmoins, si j'ai un conseil à de donner à l'avenir : tu devrais sérieusement, revoir tes goûts en matière d'hommes Un rire sortit de ma gorge, je me sentais un peu mieux et je trouvais ca gentil qu'elle essaye de me rassurer. Je l'aimais bien, elle n'était pas comme les autres qui ce foute de ta vie. J'allais lui répondre, quand la route explosa en mille morceau, révélant un gros trou qui menait droit dans le vide.
▬ « Oh oh ... » Fis-je avec une mimique. C'était comme la dernière fois avec cette Elsa. Les rails d'un train avait lachés et ont avait volés toute les deux en cœurs dans le vide. Une secousse nous firent voler hors du manège. Je voyais dangereusement le sol arriver à toute vitesse vers moi. J'hurlais de toute mes forces en agitants les bras. « AHHH No no no no non ! » Je me concentrais super fort, pour essayer de planer et d'amortir ma chute. Je sentais la médaille devenir brilliante, alors que je cru pendant un léger moment me réausser vers le haut, avant de tomber subitement, ma tête heurtant le sol. Une explosion de lumière et un choc douloureux ce répandit à travers ce qui me restait de neuronne. Aille ? J'avais un peu mal partout et je me retournais à plat ventre pour lever la tête. Tout le monde semblait ici, attendez Callio, Diane, Pitch, Amelia, le pirate bizarre avec le crochet hyper cool – j'en veux un aussi- Oh Maria et l'autre brune ! Je me relevais d'un coup en entendant des protestements qui venait d'en bas. Je m'arrêtais à la limite en aperçevant une mains qui lache le rebord. Je la rattrapais aussitôt alors que je me sentis happés vers le vide moi aussi. Je tirais de toute mes forces, comprenant qu'elle tenait la petite brune au nom de Reira et que leur poid à deux me plongeait aussi dans leur chute vertigineuse. Heureusement Diane vint directement m'aider et je sentis comme un soulagement m'envahir quand elle les attrapa à son tour. Grimaçant sous l'effort, j'attrapais Maria et Diane Reira. Je me laissais tomber sur le dos en ecartant les bras, à bout de souffle et les poumons en feu. Maria fit de même et je croisais son regard soulagé et fatiguée.
« Pile au bon moment. » Déclara t-elle la voix saccadé. Je lui adressais un petit sourire, tentant moi aussi d'articuler convenablement.
▬ « Je te dois bien ça ! » répondit-je en entreprenant de me relever. La tête me tourna un peu, avec des tâches qui obscurcissait ma vision. Puis tout redevient parfaitement normal. Mon jouejoue venait d'être détruit. « Oh … Je l'aimais tellement ce manège... » Mumurais-je triste. Je tournais le dos au vide pour revenir vers les autres et me précipiter vers Callio. Je me suis mise à la tripoter pour voir si ca allait. Pas question qu'elle soit blesser ! « Ca va ? » Demandais-je, arrêtant de la toucher en me rendant compte que tout allait bien. « Tu devrais retirer cette flèche particulièrement flippante. » Indiquais-je en pointant la flèche du doigt. Non mais ces couleurs me faisaient franchement peur. C'était pas très viril comme arme quand même pour un mec. Et comment tu veux tuer qui que se soit avec ça ? Une idée germa dans ma tête. J'avais récupérer une dague ! Je plongeais la mains dans la petite poche de mon fourreau contenant le fleuret de Melody et lui tendis l'arme avec un gros sourire, toute fière de moi. « Tiens, avec ca tu vas pouvoirs taper plein de tronche et tu sera aussi badass que Maria ! » Declaraist-je alors que cette dernière levais les yeux au ciel. Beh quoi c'est un compliment ! Tout le monde c'est que Maria elle est super badass quand elle ce met à taper des gens aussi.
Puis je m'engageais dans la rue, les pavés au sol habituellement si colorés détendais, ainsi que les maisons. Les gens nous regardait passer en nous suivant des yeux. Ou était leur joie ? Je soupirais, alors qu'une oubliée ce tenait au milieu du chemin. Je positionnais mes mains de chaque cotés, arrêtant le groupe d'un seule geste. Un regard méfiant obscurcissait mon visage. Qu'es ce qu'il faisait là ? Xibalba en aurait t-il amené quelque un avec lui ? Etait-ce leur présence qui affectait beaucoup les habitants de mon royaume ? De chaque cotés des oubliés apparurent. Ils étaient tout gris avec leur sombrero et leur yeux rouge nous fixais. Il avait une démarche molle, complétement déconnecter de la vie. Il ne connaissait que tristesse et désolation. La joie leur était inconnu. Celui de notre route ce mit en marche vers nous, la mains tendu pour nous toucher.
▬ « Ne les laisser pas vous toucher ! Ou vous finirez pas devenir triste, déprimant, comme eux ! Maintenant je comprend mieux pourquoi mon royaume déteins. » Dis-je à toute vitesse en les obligeant à reculer. Il fallait que je passe. On ce trouvait en plein milieu de la ville. Je pris un pot de fleurs entre mes mains et le lançais en plein dans la tête de l'oubliée. Il tomba à la renverse, alors que le peau à ces cotés devint tout gris. Que se soit n'importe quoi, même une épée, ca n'a aucun effet. Il n'y avait qu'une chose à faire. Courir. Maria dégaina sa machette et frappa dans la tête de l'un d'eux. « Nonn Maria arrête tu vas devenir comme eux ! » Pourtant, je fus surprise de découvrir que la machette n'avait pas pris la couleur grise. Stupéfaite, je m'avançais vers elle sans comprendre. Je chopais un baton que je frappais sur le corps de l'oubliée. Je du le lacher aussitôt parce qu'il devenait gris. « Comment ta fais ? C'est pas possible que ta machette reste normal ! » décrétais-je. Maria observa son arme quelque minute avec un sourire approbateur. La machette n'était pas vraiment normal. Elle avait des petits symboles sur la lame. Ces symboles me disait quelque chose. « Mais c'est à Xibalba ! » M'ecriais-je.
« On va dire qu'il m'a laissée un petit cadeau quand il a enlevé mon mari. » Déclara Maria. Cela tombais sous le sens. Elle ne semblait pas affecté par les oubliés.Tricheur jusqu'au bout. Des nouveaux oubliés vinrent derrière nous et courait dans notre direction, interrompant la conversation. « Courez ! » Hurlais-je en m'élançant sur le chemin. Et c'est dans ses instants là que le manque de mes pouvoirs ce faisait ressentir. Je pouvais pas courir vite, je pouvais pas lancer de boule de feu. Cela me laissa un mauvais goût dans la bouche. On galopait sur le chemin, quand je du m'arrêter parce qu'il y en avait qui devant. Toute une floppé. Paniquant, j'indiquais à tout le monde de tourner à droite. Ils étaient là. Je reculais jusqu'à l'une des maison en forme de guitare, me plaquant contre le mur alors qu'il nous encerclait. On était piégés. Je voulais pas avoir le morale zappé. Je suis quelqu'un très joyeuse, je me verrais pas au tient gris avec une tête à m'en déchirer le cœur. Non je veux pas. Pourquoi mes pouvoirs marchais pas ? Je sentais ma respiration s'accélérer, alors que Maria s'efforçait de donner des coups de machette à gauche, à droite, mais plus elle en tuait, plus il apparaissait. C'était finit, dans quelque minutes on allait déambuler dans mon royaume pour l'éternité tout morose et triste. Je l'avais un peu mauvaise de finir comme ça. Après tout ce que j'avais vécu, j'allais finir toucher et envouter avec un esprit déprimant. Le contraire de ce que j'étais vraiment. Le contraire de la joie, la tristesse. Ironique.
Je sentis une poigne ferme ce resserer au niveau de ma taille. Un cris de surprise s'échappa de ma bouche alors qu'on me tira vers le haut. J'agitais les bras avant de rentrer par la fenêtre de la maison et de tomber sur les fesses. Je reculais alors que la pièce était sombre pour voir le visage de mes kidnappeurs. Un grand soulagement m'envahis quand je les reconnus.
« La Muerte est de retouuuuuur ! » s'écria Carmelo de sa grosse voix bourru. Je me relevais à toute vitesse, un grand sourire au lèvres et trépignant sur place.
▬ « LES SANCHEZ !! » Une explosion de joie dans mon ventre, c'était géniale. Je les avais complétement oubliée. Et ils m'avaient reconnu. Bien sur, ils m'avaient déjà vue sous cette forme. C'était mes meilleurs habitants. Ils étaient tous là, les jumelles, Carmen, Carlos, la grand mère, Roré, Louis … Je me précipitais vers eux, folle de joie en embrassant Carmen, tout le monde. Les autres firent une espèce de courte echelle et pêchait tout le groupe, jusqu'à ce que tout le monde soit dans la grande maison. J'arrivais pas à contenir ma joie et mon soulagement en les voyants. Maria fut folle de joie aussi, elle embrassa sa famille, qui était aussi ravie qu'elle de la voir. Je fis quelque pas pour les présenter au groupes.
▬ « Les Sanchez, je vous présente Calliope ma meilleure amie, La déesse Diane, Pitch le meilleur sorcier au monde, Killian le pirate super cool avec un crochet, Reira, Amelia. » Fis-je en les pointant du doigts chacun leur tour.
« Oh La Muerte ! On vous croyait disparu, on c'est inquiété ! Xibalba a élu domicile dans votre château et il a Manolo ! » Déclara Carmen la mine grave.
« Manolo ?! » Déclara Maria. ▬ « Mon château ? » Ajoutais-je à mon tour. Il m'avait prit mon château ? Ca n'allait pas le faire, pas du tout. Je serrais les points folle de rage, tournant la tête vers la fenêtre. MON royaume. MON château. MON monde. Il allait pas s'en tirer comme ça ! Je faisais tout mon possible pour contenir la rage qui menaçait de m'engloutir.
« On y va ! » Décréta Maria. Je l'arrêtais en lui prenant le bras, elle tourna la tête vers moi, son visage et son expression décrivait parfaitement sa détermination. Et je savais à présent que je n'allais pas pouvoir la retenir longtemps.
« Les oubliés partiront pas avant un moment. » Fis Louis. « Vous n'avez qu'a rester avec nous en attendant ! » S'exclama Carmen qui partit directement dans la cuisine. « Je vais faire des Churros ! » Carmelos releva aussitôt la tête au mot Churros.
« CHUUUROOOOS ! » S'ecria t-il de sa grosse voix d'ours.
« Non, toi tu vas tout manger, haute tes sales pattes du plat ! » Gronda Carmen. Un rire s'échappa de ma gorge, heureuse de les retrouver. Ils n'avaient aucun couleur de Xibalba sur le visage, il était comme avant. Les seuls joyeux du royaume. Les seules qui bougeait. Les plus fort. Mes chouchous. Je les pointais du doigt pour les désigner au groupe.
▬ « Voilà comment sont les vrais gens de mon royaume. » Aussi hyper actif, joueur et joyeux ? Tout à fait ! « On va attendre que les oubliés reparte et on trouvera un moyen d'accéder au château. Carmen ! J'ai à vous parler ! » Je me dirigeais vers la cuisine pour essayer d'en apprendre un peu plus.
Jez : 95%
Diane Moon
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Claire Holt + Mia Talerico pour Le Berceau de la vie
“I love you to the moon and back”
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Artémis la déesse de la chasse et de la lune herself (même si je viens du monde réel)
Si, Jezabel, avait l'air d’adorer, son « manège », j'admettais, que c'était un peu trop « remuant » à mon goût. J'appréciais le calme, c'était d'ailleurs pour cette raison, que l'on me trouvait bien plus, souvent du côté de la forêt, que de celui du centre ville. Il, était trop bruyant pour moi. Je, ne m'y rendais qu'en de rares occasions. Lui, préférant, les alentours :
« Oh oh ... »
Oh oh ? Comment, ça oh oh ? Généralement, c'était l'un des signes avant coureur, d'une catastrophe, et effectivement, c'était le cas. Les railles, venaient d'exploser, laissant, place à un grand trou noire. Et, qui dit trou noire, dit forcément chute. C'est, donc, comme au ralentit, que je vis, notre « wagon » quitter, le sol, nous projetant, par la même occasion, dans les airs, le tout, pour atterrir parterre. Si j'avais pu, nul doute, que je me serais, téléporté. Néanmoins, si ça avait été possible, il y a longtemps, que j'aurais trouvé, un moyen de me rendre chez moi. Sauf, que ce n'était malheureusement, pas possible. Ma rencontre, avec le sol, se fit toute fois, sans trop de casses. Je réussis, largement, à me rattraper, et à ne pas avoir, comme dans les dessins animés, des étoiles, dansant, autour de ma tête :
- Tout le monde va bien ? demandais-je après m'être relevée et épousseté
Nous, avions l'air d'être au complet, Pitch, Amélia, le fiancé de Diana, et Calliope avaient l'air d'être tous plus ou moins en bonne santé. En revanche...Il en manquait deux. La jeune femme Mexicaine -Maria d'après ce que j'avais compris- et l'autre brune.
Immédiatement, je me tournais, dans la direction de Jezabel, elle avait été plus rapide que moi à évaluer la situation, et tentait, tant bien que mal, de les rattraper. Maria, se tenait comme elle pouvait, au rebord, tandis que de son autre main, elle essayait de retenir, l'autre brune. Pas, le temps de tergiverser, elles n'allaient, pas tenir, très longtemps, aussi, vins-je prêter main forte, pour les ramener vers le sol. Je restais, d'un point de vu physique, la personne ayant, le plus de force, de cette expédition. Je, pense, qu'à présent, nous pouvions, l’appeler ainsi. Étant, donné que tout le monde, avait plus ou moins été d'accord, pour aller montrer à ce Xibalba, qui était le patron ici.
Nous, arrivâmes, finalement, à les remonter toutes les deux, et tandis-qu'elles essayaient, toute plus ou moins de reprendre leur respiration. J'en profitais, pour essayer, de faire le tri, parmi toutes les informations, donnés. Jezabel, s’appelait, en réalité, La Muerte, elle était à la tête de cet endroit, nommé le Pays des Âmes chéris. Elle, avait manifestement, eu pour amant, un homme extrêmement, charmant, vu tout ce qui en a été dit, du nom de Xibalba. Donc, le méchant de l'histoire, c'était lui, ça je l'avais bien compris. Maria, quant à elle, semblait connaître, tout ce petit monde, et on lui avait enlevé l'homme qu'elle aimait. Sur, ce dernier point, je pouvais aisément, comprendre sa rancoeur. Si quelqu'un, s'amusait à m'enlever Pitch, je ne serais pas, non plus, du genre à me montrer extrêmement heureuse, et à sourire à tout va.
Tandis-que Jezabel, se mit à discuter, avec Calliope, je m'approchais, pour ma part de Pitch -qui s'était relevé entre temps- avant de doucement, entrelacer nos doigts et de lui sourire. Pas besoin, de parler, je voulais, simplement, le rassurer. Je, ne l'avais pas vraiment tout à l'heure, et mon décès, l'avait éprouvé, cela se voyait. Je, ne pourrais pas le fuir, éternellement, tôt ou tard, il serait certainement, venu me demander, des comptes. Le problème, avec moi, c'était que j'avais tendance à fuir les problèmes, plutôt que de les affronter. Enfin, quand il ne s'agissait pas de problème d'ordre « divin » tout du moins :
- On discutera plus tard lui promis-je en voyant la propriétaire légitime des lieux, reprendre son chemin, j'éprouvais, de l'empathie, pour Jezabel, c'était chez elle, après tout, et de revenir, et de voir, que rien n'est comme il doit être, ça doit être affreux. Inconsciemment, cela me fit penser, à cet endroit, que j'étais la seule à connaître. Là où tout est fait de marbre, aux couleurs blanche et argentée, et où au centre, trône la sépulture, de mes filles. Je, ne m'y étais pas rendu, depuis un long moment, peut-être devrais-je y retourner. Enfin...Si, nous arrivions à trouver un moyen de revenir, en chair et en os à Storybrooke. Parce que les masques colorés, c'était très jolie, je ne disais, pas le contraire. Néanmoins, j'aimais bien ma vrai tête moi aussi :
« Ne les laisser pas vous toucher ! Ou vous finirez pas devenir triste, déprimant, comme eux ! Maintenant je comprend mieux pourquoi mon royaume déteins. »
D'accord, ne pas se laisser toucher, par les « morts » avec les yeux rouge, c'est noté. Je pense, que j'étais, déjà suffisamment, du genre à déprimer en général, il n'y avait pas besoin, d'en rajouter, encore une couche. Aussi, lorsque l'ordre, de courir fut donné, ne me le fis-je pas dire deux fois, et suivit le mouvement. Sauf, qu’apparemment, eux aussi étaient du genre ultra coriace , et alors que nous avions, tourné à droite, nous fûmes bloqués, dos à l'une des nombreuses maisons. Je voyais, Maria, donner, des coups de machette, aussi attrapais-je mon arc, que j'avais mit dans mon dos, tout en prenant une flèche dans mon carquois. L'attaque à distance, il n'y avait que ça de vrai. Impossible, que l'on soit touché. Je, n'étais pas sur, qu'une flèche purificatrice, face un quelconque effet. Je veux dire, si j'avais bien écouté, les discussions entre Maria et Jezabel, il s'agit des « oubliés » cela ne dépendait donc pas de moi.
Un coup d'oeil sur ma gauche, m'informa que la propriétaire des lieux, n'était plus là...Une minute, où était passé, Jezabel ? D'accord, est-ce que la situation pouvait encore s'empirer ? On, était dos au mur, et privé de notre guide. Levant, mon regard, je pus voir, une drôle de chose se produire, en effet, les personnes, habitant, manifestement, cette maison, nous firent signe d'approcher, et commencèrent, une espèce de courte échelle, pour tous nous attraper, un par un. A nouveau, je restais, un peu en retrait pendant les embrassades. Me, contentant, d'observer les gens, qui nous avaient sauvés, tout en retenant de justesse une grimace, quand Jezabel, fit les présentations. J'aurais dût la prévenir, que je n'avais pas spécialement, envie que l'on sache qui j'étais réellement. Enfin, c'était fait, maintenant, inutile de se prendre la tête pendant cinquante ans. Lorsque Carmen, annonça qu'elle allait, faire des Churos, je saisis l'occasion d'en savoir plus et la suivit :
- Excusez moi, Carmen j'aurais quelques questions à vous poser si ça ne vous dérange pas. Voilà, j'ai bien compris, que ce royaume appartenait à la Muerte et qu'elle l'avait plus ou moins laissé à un certain Xibalba. Néanmoins, j'aimerais savoir, qui il est vraiment, ce qu'il représente
"Xibalba représente le royaume des oublier, c'est un royaume noir, désespérant. C'est la mauvaise mort, si cela peut vous situer. Le contraire de La Muerte. C'est un être abject, tricheur, calculateur..."
Apparemment, on dirait que la matriarche, des Sanchez, avait une grosse dent, contre lui. Je la remerciais, retournant, là où étaient les autres. Je m'apprêtais, à demander, un peu plus d'informations à Jezabel, quand tout à coup, je « captais », une immense tristesse, mêlée à de la détermination. Mon empathie était revenus ! Pour combien de temps, ça je l'ignorais. Mes pouvoirs, avaient actuellement, tendance, à apparaître, et disparaître à leur guise. Mais, autant en profiter. Je balayais, la pièce du regard pour savoir qui ressentait ça. La petite brune Mexicaine, j'aurais dût m'en douter.
J'avais promit d'être plus mature, d'aider les autres. Lorsque j'étais revenu d'Atlantide, en voyant Neil, c'était une promesse, que je m'étais faite à moi même. Celle, d'être un peu moins froide, de ne pas constamment, rejeter les gens. J'avais ma famille, et je souhaitais, les protéger. Mais...La situation, de la jeune femme me rappelait, un peu la mienne. Privé, de la personne la plus importante pour soit, sans savoir, si on la reverra un jour. Prenant, mon courage à deux mains, je m'approchais d'elle :
- Excusez moi, Maria, puis-je vous parlé un instant ?
Elle, sembla méfiante, et je ne pouvais pas lui en vouloir, néanmoins, je sentais, qu'elle n'en resterait pas là, et je suppose qu'au fond, je voulais l'empêcher, de se lancer, toute seule à la recherche de Manolo.
- Écoutez...Je sais, que l'on ne se connaît pas, et, vous avez toutes les raisons du monde de vous méfier de moi. C'est un sentiment, que je comprends, parfaitement, étant moi même, quelqu'un d'extrêmement, méfiant à la base. Mais, si je puis me permettre. Ne vous lancez, pas toute seule, à la recherche de l'homme que vous aimez. Laissez La Muerte, laissez nous vous aider. Cela, n'en a peut-être pas l'air, mais...je comprends votre situation. Là d'où je viens, j'ai un frère, un frère jumeau. Il, est à la fois mon frère, mon meilleur ami, et mon pilier. Nous partageons, un lien unique, et sommes indissociable l'un de l'autre. C'est pourquoi, il est je dirais la personne la plus importante pour moi, à égalité avec Pitch. Mais, pendant vingt et un an, je l'ai perdu, je n'ai eu de cesse, jour et nuit, de le chercher, je ne voulais pas renoncer, je ne voulais, pas croire, que plus jamais je ne le reverrais. Au final, on me l'a rendu, mais pas de la manière dont je l'espérais. J'ai cru qu'à peine retrouvé, on allait à nouveau me l'enlever. Je vous parle de ça, mais je sais aussi ce que ça fait, d'aimer quelqu'un. Je suis très âgée, plus que je n'en ai l'air, et je n'ai jamais, été amoureuse, excepté, depuis que j'ai rencontré Pitch. C'est le seule et unique à qui, j'ai ouvert mon cœur. Et, je sais, que si on me l'enlevait, je ferais tout ce qui est nécessaire, pour le retrouver, comme je l'ai fait pour mon frère. Mais, j'ai également apprit, de mes erreurs, c'est pour cela, que je vous demande, de nous laisser vous aider.
Je captais sa douleur, je captais sa tristesse, aussi me permis-je de lui demander une chose :
- Maria, je ne peux pas faire disparaître, votre douleur, c'est impossible. En revanche, si vous m'y autorisé, je peux l'apaiser, si vous me laissez, entrer dans votre tête, si vous me laissez, voir, ce que vous avez vécus, alors je peux l'apaiser. Peut-être, cela vous permettra-t-il de reconsidérer, les choses que je viens de vous dire, sous un autre angle.
made by pandora.
Artémis : 95%
Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »
| Avatar : Alyssa Milano
Propriétaire de La Pelle à Tartes : La vie, c'est pas du gâteau mais la pâtisserie, si !
| Conte : Le Roi Lion | Dans le monde des contes, je suis : : Diku
Amelia avait été contente de ne pas être la seule à clairement s'étonner de leur nouveau visage. Calliope avait aussi fait une remarque avant qu'ils ne montent dans le wagon et elle lui avait souri en lui tendant son miroir de poche, des fois qu'elle ait envie de voir ça de plus près. Après tout, ce n'est pas tous les jours que votre visage se pare de mille et une couleur ! - Personnellement, j'arrive pas à savoir si ce nouveau look me plait ou pas, avait-elle lancé en récupérant son miroir. Après quoi, les choses redevinrent plus sérieuses mais aussi plus claires. La Muerte parla de son royaume, celui des Ames Chéries où ils se trouvaient actuellement. Elle confirma sans prendre de gants l'évidence, à savoir qu'ils étaient tous morts. Mais pas oubliés, ce qui était déjà une bonne chose puisqu'apparemment les âmes oubliées atterrissaient ailleurs, dans un royaume rien que pour elle bien plus terrifiant. Amelia frémit. Et s'ils restaient coincés ici et que les gens finissaient par l'oublier ? Et si elle atterrissait dans ce royaume de désolation ? Bon, ce n'était pas le bon moment pour paniquer, mais quand même. Amy n'avait pas envie de découvrir que, passés quelques mois, plus personne n'en aurait rien à faire d'elle ! Mais comme elle n'y était pas encore, l'ancienne lionne avait décidé de remettre ces idées à plus tard et de se concentrer sur le pays qu'ils visitaient. Terne ou pas, il n'en était pas moins fascinant, même si la jeune femme aurait préféré le visiter dans un moyen de locomotion plus stable puisqu'il n'y avait qu'à Disneyland qu'elle aimait les sensations fortes et que ces sensations étaient presque garanties sans risque, ce qui n'était pas le cas au royaumes des Ames Chéries. En effet, après un virage à gauche particulièrement effrayant, le wagon quitta les rails, propulsant ses passagers dans les airs. Par chance, Amelia atterrit sur le plancher des vaches ou du moins dans une flaque d'eau où elles auraient ou s'abreuver. Pile au moment où mes vêtements avaient séchés, constata mentalement la jeune femme en se relevant aussi gracieusement que possible. Par chance, elle ne mettait jamais ses beaux habits en semaine, leur préférant un jeans, des chaussures plates et un haut en coton, plus confortables pour travailler dans sa boutique ou, en l'occurrence, donner des cours de cuisine aux enfants de l'hôpital. Les dégâts étaient docn minimes, ce qui n'empêchait pas Amy d'en avoir marre de finir trempée ! Se faisant, la jeune femme avait tout loupé, ou presque, du sauvetage héroïque de Maria et de l'autre fille brune par la Muerte et Diane. Comme quoi, le femmes aussi possèdent une certaine force physique, fut-elle contente de constater en voyant que tout le monde allait bien en dépit de cette chute périlleuse. Mais bien sûr, le repos était voué à n'être que de courte durée car déjà des personnages au visage terne s'approchaient de la petite bande. Des Oubliés, à en croire la Muerte. Elle devait mieux s'y connaitre que n'importe qui, c'est pourquoi Amelia prit ses jambes à son cou quand elle leur ordonna de fuir. Pas question de devenir terne, plutôt mourir ! Enfin... Amelia n'était pas encore habituée à sa condition de morte et comptait bien revivre au plus vite. Elle était donc envahie de pensées paradoxales et surprenantes, mais du moment que les cauchemars ne revenaient pas, elle s'en accoutumait bien. Mais hors de question de perdre son éclat ! La joie et le rire - ainsi que la nourriture - étaient les moteurs de l'ancienne lionne. Sans eux, Amelia préférait encore atterrir dans le néant. Autant courir très vite et ne pas jouer de malchance, donc. Manque de bol, le groupe se retrouva bientôt acculés contre une maison à Maria et sa hachette s'efforçaient de créer un passage. Sans grand succès, malheureusement. Les Oubliés, pour leur part, se rapprochaient toujours plus et la maison était bien trop haute pour qu'ils sautent par dessus. Cependant, la solution vint tout de même des cieux, du moins, d'en haut. En effet, les habitants de la maison trouvèrent le moyen de les y faire entrer par le haut, grâce à un ingénieux système de courte échelle. Ah, enfin des personnes aimables dans ce monde ! songea Amelia en atterrissant dans la maison où une nouvelle séance de présentations eu lieu. La jeune femme sourit poliment en entendant son nom, saluant d'un geste de la main, mais resta relativement en retrait à regarder la maison pour s'empêcher de trop penser à ce qu'elle venait d'entendre, à savoir que Diane était une déesse. Eh bah ça alors... Bon, en même temps, elle est tellement cool et impressionnante qu'elle ne pouvait pas être n'importe qui ! Mais de là à penser que c'était une déesse ! ... D'ailleurs, quelle déesse ? Voyons voir, songea Amelia en repassant dans sa tête ce qu'elle connaissait de la mythologie. Elle s'appelle Diane et elle a un arc... Donc c'est Artémis, tout simplement ! Ca ne peut qu'être elle, même si mes livres la dépeignaient autrement ! De toute façon, ils se trompent tellement souvent quand ils parlent de mythes... Face à cette révélation, Amelia avait presque oublier d'écouter les autres. Pourtant, un mot la ramena à la réalité présente : churros. La femme qui s'appelait Carmen allait faire de la pâtisserie. Enfin, quelque chose que je sais faire ! songea la jeune femme en se disant que si on pouvait toujours cuisiner après la mort, c'était déjà ça de gagner. Une fois que la mexicaine eut répondu aux questions de Diane, Amelia s'approcha de Carmen qui était déjà à l'entrée de la cuisine et demanda : - Dites, ça vous embêterait d'avoir un peu d'aide ? Je suis pâtissière là d'où je viens, ajouta t-elle en agitant sa pelle à tarte, et j'ai toujours eu envie de m'intéresser à la cuisine mexicaine. Carmen sourit et lui indiqua la cuisine où les deux femmes disparurent un moment. Amelia n'assista donc pas à l'échange entre Diane et Maria, trop occupée à reproduire les gestes de sa professeur d'un jour. Après un moment, les deux femmes revinrent parfumées d'un légère odeur de sucre et de friture.
Amelia : 95%
*Pitch Black
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Conte : Les 5 légendes | Dans le monde des contes, je suis : : Pitch Black
Pitch était pensif, trop pensif, d'un même côté il venait d'expérimenté la désagréable impression d'avoir tout perdu, et surtout, d'avoir peur pour une personne qu'il aimait. Celui lui était déjà arrivé dans le passé, lorsque Yen Sid avait transformé Maara et l'avait retournée contre lui. Et ce n'était pas une expérience agréable, Pitch cilla, supprimant difficilement sa peur avant de prendre en compte les détails que sa panique lui avait fait manqué, déjà il avait un tout nouveau look, certes étrange, mais pas désagréable. Le monde des âmes heureuses? Intéressant... C'était cependant troublant de voir où allait les âmes des personnes que j'enterrais, ici où dans le monde des âmes oubliées, qui était dirigé par Xi... Par un homme au nom étrange. Et puis n'oublions pas le plus important, Diane avait tenté de me protéger, et Chronos était revenu. En voilà une bonne nouvelle, je... Devais admettre que ma première réaction avait été de déjà prévoir des plans pour aider Diane, et que je venais de comprendre pourquoi elle avait voulu m'éloigner. J'étais prêt à affronter un être plus puissant que le panthéon réuni, la simple logique aurait dût m'empêcher de penser ainsi mais... Mais j'étais tout de même prêt à le faire. Et Diane le savait, donc elle avait voulu garder le secret. Bon... C'était un peu "mort" (si vous m'excusez l'expression) pour le coup, mais c'était mieux ainsi, j'étais suffisamment raisonnable pour ne pas tenter quelque chose de trop dangereux. Enfin bref, j'étais incroyablement heureux qu'elle soit de nouveau à mes côtés, et sa présence m'aidait à me reconcentrer sur l'instant présent. Chronos et ses plans attendront plus tard. Le fossoyeur se redressa de toute sa taille avant de croiser les mains dans son dos, son visage était changé de nouveau, et un nouvel arrivant n'aurait put deviner qu'il avait massacrer une petite armée en quelques minutes avant de mourir, il se présenta aux rares personnes que ne le connaissait pas. Souriant à Callio qui semblait ne pas m'en vouloir pour les événements du manoir, ce qui me toucha énormément. Et sa présence m'aida à sourire, bien, tout allait mieux maintenant. Bien, reprenons, il fallait trouver ce Xil... J'avais réellement du mal avec son nom... Et lui faire comprendre qu'il venait de déranger les mauvaises personnes. Enfin passons, cette Maria qui... Avait l'air d'avoir dépassé le stade de la tristesse pour se plonger dans celui de la haine et de la rage. Pitch lui jeta un regard en coin avant de soupirer et de monter dans le drôle de véhicule qui venait d'être créer, le croque-mort s'installa confortablement, profitant de la présence de Diane... Avant de partir dans une montagne russe qui ne respectait aucune limitation de vitesse. Et Pitch leva les yeux au ciel, c'était rapide au moins, même si certain ne dirait pas non à quelque sac à vomi. Mais passons, l'atterrissage fut... Désagréable, je réussi a me rattraper en me posant sur un nuage de sable vert, rattrapant aussi le pirate au passage. Hey, entre seul représentant de la gente masculine, nous devions nous entraidez. Mais passons, je vis Diane aider Callio et Maria à se relever alors que je regardais la ville dans laquelle nous nous trouvions. C'était gris. Et déprimant. Misère...
Alors ce n'était pas comme ça avant? Heureusement, car là je ne ressentais aucune peur, rien. Juste du désespoir et un écrasant sentiment de vide. Ces... Êtres étaient tellement triste qu'un simple contact risquait d'absorber toute notre joie, misère. Un contact le tira de sa triste rêverie et le fossoyeur sourit de son tour à sa bien-aimée. Profitant de la chaleur de son sourire et de sa main dans la sienne.
"- On discutera plus tard"
Oui, Chronos, tout cela attendra un autre jour, un autre moment. Cela n'allait pas être un discussion agréable mais ça allait être nécessaire. Mais pour l'instant ce simple contact me rassurait, me promettant que tout allait aller pour le mieux à un moment où un à autre. Il fallait juste attendre un peu. L'instant fut brisé lorsque Maria nous informa que toucher les morts n'étaient pas une bonne idée. Et je me refusais à utiliser mon pouvoir, il était déjà suffisamment instable comme cela, alors je ne voulais pas que mon sable rentre en contact avec ses morts. Alors nous étions de nouveau pourchassé et en sous nombre, misère. Nous étions de nouveau acculé contre un mur, lorsque la porte nous laissa entrer pour révéler un spectacle qui sortait de l'ordinaire. Enfin plus que d'habitude. Ces lieux d'une insondable tristesse cachait donc une poche de joie et de lumière? Intéressant, c'était des amis de la Muerte, de bons amis même. Et elle nous présenta un par un et...
"...Pitch le meilleur sorcier au monde..."
Pitch fit un léger mouvement de tête à l’audience. Merci. Et maintenant il fallait se préparer, c'était devenu une mission de conquête et de sauvetage. Virer ce Xib..Xil... Virer l'amant de Jez du château et libérer Manolo, qui semblait être un brave type pour qu'une fille de la trempe de Maria soit prête à retourner terre et ciel pour retrouver son bien aimé. Je comprenais parfaitement son sentiment, je serais capable de faire la même chose après tout. Pitch laissa échapper l'un de ses rares sourire en voyant que Diane parlait avec Maria, la raisonnant un peu, et le fossoyeur fit apparaître sa faux avant de prendre une chaise et de s'installer confortablement. Pitch passa une main sur l'arme, profitant de ce cours instant de répit pour aiguiser sa lame, se préparant à... A la suite, qui risquait d'être un bain de sang. Pitch resta silencieux, et aucun des habitants n'approchait le fossoyeur pensif, c'était peut-être mieux ainsi... J'avais un mauvais pressentiment... Et tout le monde savait que je n'aimais pas ça.
Lights will guide you home And ignite your bones And I will try to fix you
.
Le poid de la femme m'entrainait petit à petit vers le fond du précipice. Avec inquiétude, je regardais les poignes de fer ce refermer à mon poignet. J'aperçus la tête de La Muerte qui tira de toute ces forces, mais son poid de plume était trop minimum face au notre. Elle glisse lentement, alors que je croyais vraiment qu'on allait l'entrainer dans notre chute. Un moment, mon cœur rata un battement et une seconde poigne ce prêta à celle de Jezabel. Je crois qu'elle avait dit ça. Jezabel. Curieux prénom. C'est déjà moins long que La Muerte, en soit. Je battais des gens, jusqu'à ce qu'elle ce cogne contre la roche. Puis enfin, avec un effort, Diane attrapa la brune de son coté, alors que Jezabel me tira du siens. Je tombais sur le dos, des taches noirs dansaient devant mes yeux, et j'avais la respiration saccadé. Pendant un instant, j'avais vraiment eu peur de finir en bas. Je n'arrivais pas à ecarter le goûte de peur qui circulaient encore dans mes veines et qui faisait battre mon cœur à mes tempes. J'essayais de former des mots dans ma bouche, pour la remercier, faire quelque chose. Mais à chaque fois que j'entrouvrais mes lèvres, c'était pour libérer un grand nombre de souffle saccadé, ravalant une nouvelle goulée dans mes poumons. Je sentais la fatigue envahir mes muscles, mais je me contentais de l'ignorer, comme je l'avais toujours fais. Enfin, je sentais le son de ma voix revenir petit à petit, sentant l'essoufflement diminuer pour rester de nouveau normalement. J'étais sur la terre ferme, tout allait bien. Je n'allais pas replonger dans ce vide intersidérale. J'allais sauver mon mari.
▬ « Pile au bon moment. » Finis-je par déclarer. Ce n'est pas parce qu'elle m'avait sauvée que ca allait altérer mes pensés. Pour moi elle était tout aussi responsable que Xibalba de ce qui ce passait. Et ce n'allait pas changer la rancoeur que j’éprouvais. « Je te dois bien ça ! » Je reçu la phrase assez mal. Je l'avalais durement, sentant mon esprit réveiller par les flammes d'une futur tirade. Mais je reprennais mes esprits, faisant le vide dans ma tête. De toute évidence oui, elle pouvait bien me le devoir. Je préférais me relever et tapoter mon dos pour sentir avec soulagement ma machette. Elle était encore là. Tant mieux. C'était un tresors de guerre. Une chose précieuse que Xibalba n'aurait jamais du oublier. Et j'allais bien lui rappeler. « Tiens, avec ca tu vas pouvoirs taper plein de tronche et tu sera aussi badass que Maria ! » Je coulais oblique vers les deux brunes qui semblait parler de moi avec beaucoup d'admiration. Exaspérée, je préférais levée les yeux au ciel. Si j'étais aussi Badass, -quoi que je n'avais aucune idée de ce que voulais dire ce mot, surement une admiration- c'était parce que je n'avais pas le choix. Cette histoire commençait à me déplaire, mais quelque part au fond de moi, j'étais quand même rassurer de savoir La Muerte présente. Xibalba ferait moins le malin devant elle, il a jamais oser ce confronter frontalement avec elle. Et puis le temps qu'il soit surpris par la présence de sa bien aimée, j'aurais le temps de délivrer Manolo.
Je suivais alors le groupe, plonger dans mes songes les plus noirs. J'avais enfin la chance de délivrer la personne que j'aimais, et je ressentais une certaine appréhension. Et si tout ne ce passait pas comme prévu ? Et si Xibalba avait le dessus sur nous ? Je ne me laisserais pas faire. A la vie, a la mort. Les gens nous observait, déprimant, le visage triste et sombre. Alarmant mes sens, je préférais suivre les autres de près et de les regarder avec inquiétude. Qui savait ce qui pouvait nous arriver si on s'approchait d'eux ? L'halte de La Muerte me coupa de mes pensés. Je jetais un œil devant nous, curieuse de découvrir de quoi elle pouvait bien encore parler. Un homme grisée, le visage renfermé et les yeux d'un rouge vif nous regardait avec envie. ▬ « Ne les laisser pas vous toucher ! Ou vous finirez pas devenir triste, déprimant, comme eux ! Maintenant je comprend mieux pourquoi mon royaume déteins. » Triste, déprimant comme eux ? Cela n'altérera pas ce que je ressentais en ce moment. Tristesse, rage, rancoeur. C'était des choses qui me tenait éveiller chaque jours et qui m'empêchait de flancher. Aussi, les voirs nous entourer et plonger leur mains funeste vers notre visage était suffisant pour savoir que même sans les toucher, il fallait avancer. La démonstration de La Muerte prouvait bien qu'un seul contacte pouvait être fatal. Bien. J'allais pas attendre sagement de trouver une solution alors qu'il s'approchait dangereusement vers nous. Peu importe ce qui m'arrivait, j'allais retrouver Manolo. Morte ou vive.
« Nonn Maria arrête tu vas devenir comme eux ! » Sortant la longue lame recourbée de mon fourreau, je donnais un coups brutale dans la tête d'un des morts. Sa tête vola aussitôt de sa gorge et partit en cendre, suivis de son corps qui s'écroula à terre. Je m'attendais à des représailles, à un léger changement en moi. Mais je me sentais normal. Je regardais ma machette avec surprise. « Comment ta fais ? C'est pas possible que ta machette reste normal ! » En effet, le baton qu'elle souleva pour fracasser l'un de ses hommes morts confirma ses dire. Il était grisée. Ma machette était parfaitement normal. Alors que l'un des oubliés s'approcha sur ma gauche, je lui donnais un coups dans le ventre, avant de la retirer dans un elan de force et de regarder les grins gris s'etendre par terre, et de ce faire soulever par le vent. « Mais c'est à Xibalba ! » Très certainement. J'aurais pas pu le cacher très longtemps avec elle dans les parages.
▬ « On va dire qu'il m'a laissée un petit cadeau quand il a enlevé mon mari. » Déclarais-je d'une voix sombre. J'étudiais la machette, tournoyant la lame de gauche à droit, les lumières jouants avec le métal. Je reconnais ces motifs sur le lame. C'était le chapeau de La Muerte avec les ailes de Xibalba. Une tête de mort mexicaine trônait également au bout de la lame. Je l'aimais bien, cette machette. Elle a été là pour m'aider à me défendre, elle représente mon but depuis un mois : retrouver Manolo. Même quand j'allais abandonner, elle était toujours à me remémorer ce sale souvenir qui pleuvait dans mon esprit comme des gouttes de poisons. « Courez ! » Interrompu dans le cours de mes pensés, je tournais la tête avec surprise face au groupe de mort qui s'approchait de nous. Je me fis pas prier et suivis le groupe tout en rattrapant La Muerte devant. Je donnais des coups de Machette par ci, par là, essayant de dégager le chemin autant que possible alors que mes jambes menaçait de me lacher tellement je ployais sous l'effort. Les poumons en feu, je m'arrêtais en dérapant légérement, le visage effrayer par le troupeau d'oubliés qui nous attendait devant de pied ferme. La Muerte désigna une seconde route sur la droite dans laquelle on s'engageait aussitôt. Mais ils étaient là. Une question. Les oubliés ne sont pas supposer habiter le royaume de Xibalba ? Pourquoi sont-il ici ? Je reculais contre la grande maison en forme de guitare. Le cœur froissé parce cette représentation qui rappelais fortement celle de mon mari.
▬ « On peu pas finir comme ça ! » La voix déterminée, je décidais de m'attaquer à eux. Je frappais d'un coté, créant des cendres de toutes part. Des restes de personnes oubliés. Mais ils étaient trop nombreux, comme ces maudits homme de Chacal. Plus tu les tues, plus ils débarquent en nombre. On ne voyait jamais le bout du chemin. Une force me captura de toute part et je regardais avec stupéfaction le sol s'éloigner de moi. Je fus entrainer par l'arrière avant de tomber au sol à mon tour, frottant l'arrière de mon crâne qui ce cogna brutalement contre le mur. Je jetais un regard affolé autour de moi, remarquant que tout le monde était là également. Et maintenant, quoi encore ? ▬ « LES SANCHEZ !! » Hein ? Ce fut le choc qui remplit mon visage alors que Carmelo ce précipita vers moi et m'enveloppa dans ses gros bras pour me soulever du sol et me serrer à m'en étouffer. Je me suis mise à suffoquer alors que j'entendis clairement la voix de Carlos lui ordonner de me lâcher, qu'il allait m’étouffer. Je fus remis sur mes pieds, alors que je voyais des tâches noirs danser devant mes yeux, sentant encore son calin destructeurs au niveau de mon ventre. Repérant Carmen dans le lot de ma belle famille, je me précipitais vers elle et la serrais dans mes bras. Mon cœur battait de joie, cela faisais énormément longtemps que je ne les avais pas vue. Leur présence me réconfortait un peu, mais accentuait la tristesse qui ce propageais.
▬ « Oh Carmen ! Je suis si heureuse de vous revoir tous ! » M émerveillais-je en laissant filtrer une larme que je chassais de ma joue. La mère de Manolo me regarda de haute en bas, avec un sourire avant de poser sa mains sur ma joue. Je plongeais dans ces yeux doux et maternelle qu'elle m'adressait.
« Maria ! Comme tu as l'air d'être devenu forte …Tu ne devrais pas être ici ! » Sa voix qui qui me faisait la leçon de morale déclencha ce que je n'avais pas fais depuis un long, long moment : Un rire. Juste un rire. Depuis quand n'avais-je pas ris ? J'avais passée la moitié de ma vie à rechercher un moyen de trouver Manolo. Préférent me renforcer sur mon habilité au combat. Carmen s'adoucis en me regardant avec compassion. « Je ne peu que comprendre ton choix. Vous avez tout deux suivit des parcours similaires. » Je la fixais, tandis que la référence me vint aussitôt en tête. Manolo avait également parcouru les Âmes Chéries pour me retrouver. C'était le même scénario qui ce répétait encore et encore. « Oh La Muerte ! On vous croyait disparu, on c'est inquiété ! Xibalba a élu domicile dans votre château et il a Manolo ! » aussitôt ce fut le déclique quand ces paroles et le nom de mon bien aimée sortait du bout de ces lèvres. Comme un incendie qu'on allumait. Un déclique. La Muerte eu la même reaction que moi. Mais je fus la première à saisir ces paroles.
▬ « Manolo ?! » Ma voix s'ecria avec surprise dans la pièce. Je fixais Carmen avec vitesse, évaluant la situation. Il était là. Il était tout prêt. Je voyais enfin la fin de ce but qui m'aura ronger le cœur petit à petit. Je voyais enfin de la lumière dans les ténèbres de mes pensés sombres. Le cœur affoler, je savais que je ne devais pas perdre de temps. C'était évident pour moi. Je n'allais pas rester les bras croisés alors que nous étions si proche. Je devais aller le retrouver. Je n'arrivais pas à canaliser le besoin qui ressortais à travers mes traits. [color:38c1=182c66]« On y va ! » Lançais au groupe, dégainant ma machette et me dirigeant vers la porte. A ce moment, je sentais une poigne m'attraper le bras et m'arrêter dans ma conquête. Je tournais la tête vers la personne qui voulait surement me retenir. La Muerte. Bien sur. La détermination et la frustration qui ce lisait dans mes yeux ce fit ressentir. Mais à mon grand étonnement, ce fut grand père Luis qui prit la parole. « Les oubliés partiront pas avant un moment. » Ca voulait dire …« Vous n'avez qu'a rester avec nous en attendant ! » Mon esprit brulait de courir à cette instant dehors, de me lancer à sa recherche quitte à combattre un ou deux oubliés. Même une armée. Je ne pouvais plus attendre. C'était impossible. Comment je pouvais rester ici, alors que lui était à quelque mètre de moi ? Par pitié non, vous pouvez pas m'imposer ça ! C'est à contre cœur que je regardais tout le monde s'ecarter pour s'occuper. Carmen faisait des Churros avec Amelia, frappant les gros doigts de Carmelo qui plongeais dans pâte sucrée. La déesse posais également des questions à Carmen avec La Muerte.
▬ « Non je ne vais pas rester assise les bras croisés. » Murmurais-je, la voix manquante de clarté sous le coup de l'émotion brulante qui me faisait bouillir de rage. Ils savaient pas. Ils savaient pas ce que c'était de perdre un être que l'on chérissait. Ils ne ressentaient pas le manque qui m'habitait depuis un certains temps maintenant. Ils ne ressentaient pas la douleur qui s'installait petit à petit mon âme. Alors non. Je n'allais pas rester les bras croisés, alors que Manolo était au château avec ce traitre. Je rangeais ma machette dans le dos et tournais le dos au autres, le visage obscurcit de pensées et de douleur. Si personne ne voulait m'aider, et bien j'irais le chercher moi même. Après tout, j'étais toute seule depuis le début non ? Je les voyais encore les gens qui me disait qu'il n'y avait plus d'espoirs, que je devais tourner la page et refaire ma vie. Que je devais arrêter de me torturer jour et nuit avec une cause perdu. Elle n'était pas perdu. Il était encore là. Ma mains ce posa sur le poignet de la porte. Excusez moi, Maria, puis-je vous parlé un instant ? Je me retournais pour faire face à la personne qui voulait me voir. C'était la déesse. Je la regardais avec une certaine méfiance. J'avais déjà eu assez de soucis avec La Muerte et Xibalba, alors avec une déesse ? Pourtant, un soupire s'échappa de mes lèvres, jetant un coups mélancolique à la porte. Puis je fis les quelques pas qui nous séparait, en penchant la tête emplit de curiosité. Qu'es ce qu'une déesse pouvait bien avoir à me dire ? J'étais insignifiante, rien de plus.
▬ « Je vous écoute. » Dis-je en levant les mains en signe de capitulation. Ils ne me laisseront pas sortir aussi facilement, à ce que je pouvais constater. Aucun d'eux ne me laissera m'aventurer seule sur le chemin de pavé terne. Alors tanpis. Ils avaient gagner, j'allais rester tranquille. Mais si une chose devait arriver à Manolo parce qu'on a trop tarder ...- Écoutez...Je sais, que l'on ne se connaît pas, et, vous avez toutes les raisons du monde de vous méfier de moi. C'est un sentiment, que je comprends, parfaitement, étant moi même, quelqu'un d'extrêmement, méfiant à la base. Mais, si je puis me permettre. Ne vous lancez, pas toute seule, à la recherche de l'homme que vous aimez. Laissez La Muerte, laissez nous vous aider. Cela, n'en a peut-être pas l'air, mais...je comprends votre situation. Là d'où je viens, j'ai un frère, un frère jumeau. Il, est à la fois mon frère, mon meilleur ami, et mon pilier. Nous partageons, un lien unique, et sommes indissociable l'un de l'autre. C'est pourquoi, il est je dirais la personne la plus importante pour moi, à égalité avec Pitch. Mais, pendant vingt et un an, je l'ai perdu, je n'ai eu de cesse, jour et nuit, de le chercher, je ne voulais pas renoncer, je ne voulais, pas croire, que plus jamais je ne le reverrais. Au final, on me l'a rendu, mais pas de la manière dont je l'espérais. J'ai cru qu'à peine retrouvé, on allait à nouveau me l'enlever. Je vous parle de ça, mais je sais aussi ce que ça fait, d'aimer quelqu'un. Je suis très âgée, plus que je n'en ai l'air, et je n'ai jamais, été amoureuse, excepté, depuis que j'ai rencontré Pitch. C'est le seule et unique à qui, j'ai ouvert mon cœur. Et, je sais, que si on me l'enlevait, je ferais tout ce qui est nécessaire, pour le retrouver, comme je l'ai fait pour mon frère. Mais, j'ai également apprit, de mes erreurs, c'est pour cela, que je vous demande, de nous laisser vous aider.
Ce fut des paroles qui m'emmenait dans un autre monde. Je fus captivée par sa voix et son récit. Touchée par ce partage qui ne m'appartenait pas, et qui avait décidé d'être révélé. Je ne lachais pas une seconde ses phrases, buvant ces paroles avec avidité. Une chance unique qu'elle avait là. J'aurais aimée pouvoir partager moi aussi mes pensés avec quelqu'un qui m'étais proche. Ressentir les moindres sensation de son corps et de ses émotions. Et quand il s'agissait d'un être fraternel, c'était deux fois plus intense. Je n'avais pas de frère et sœur. Fille unique d'un maire à présent défunt. Je n'avais jamais partagé les joies d'être deux dans une maisons et de jouer ensemble, de ce soutenir en cas de moment difficile. Son amour pour Pitch était sincère également. Et nos situations semblables étaient tel que je n'étais plus méfiante. Je me sentais plus à l'aise, surprise de rencontrer quelqu'un qui savait exactement ce que je ressentais. - Maria, je ne peux pas faire disparaître, votre douleur, c'est impossible. En revanche, si vous m'y autorisé, je peux l'apaiser, si vous me laissez, entrer dans votre tête, si vous me laissez, voir, ce que vous avez vécus, alors je peux l'apaiser. Peut-être, cela vous permettra-t-il de reconsidérer, les choses que je viens de vous dire, sous un autre angle. Non, personne ne peu faire disparaître une douleur. La mienne était ma force, la chose qui me disait de me lever le matin, qui me redonnait espoirs dans mes recherches. J'inclinais légérement la tête, laisser quelqu'un rentrée dans mes pensées ? Soulager une douleur était t-elle possible ? Je me méfiais, j'hésitais. Tous ce bousculais dans ma tête alors que je repassais ses paroles en vues. Elle n'était pas mauvaise. Sinon elle m'aurait jamais confier ça. Aller, pour une fois tu peu bien faire confiance à quelqu'un ?
▬ « Ca doit être extraordinaire de ne jamais ce sentir seule. D'avoir toujours une présence dans notre esprit. Une personne de confiance qu'on ne peu ce refuser à quitter. Vous avez beaucoup de chances d'êtres entourés de personnes qui vous aimes. Ne les laissez jamais s'échapper, parce qu'une fois qu'on perd quelqu'un à qui l'on tenais, c'est trop tard. Il est impossible de faire demi-tour. » Pour une fois, j'étais douce dans mes dires. Très curieuse et impressionnée aussi. Je n'avais plus personne qui tenait à moi dans le monde des vivants. Chaque jours je me sentais de plus en plus seule. « Allez y, de toute manière personne ne me laissera sortir d'ici. Et si cela peu vous aidez pour Xibalba, alors aller y. » D'un hochement de tête, je laissais un sourire ironique m'étirer les lèvres. Les Sanchez seraient capable de clouer les fenêtres pour pas que je m'échappe. Aussitôt, je sentais quelque chose me titiller l'esprit. Un léger courant d'air étranger qui cherchait à s'introduire dans mes pensés. Je sais pas pourquoi j'eu le réflexe de bloquer mes pensés. Peu être parce que je n'avais pas l'habitude, et que c'était nouveau pour moi. Puis tout doucement, je laissais le brouillard disparaître, ouvrant mon esprit à celui de Diane. C'était très bizarre à décrire comme sensation. Je n'étais pas seule. Je sentais quelque chose venant d'ailleurs présent dans ma tête. Quelque chose qui ce mit à lire en moi comme dans un livre. Et ses souvenirs, je me suis mise à les revisiter avec elle. Absolument tout.
Je revoyais nos jeux d'enfant avec Manolo et Joaquin, je revoyais Chui que j'avais décidé de sauver du boucher. Mon cœur ce serra un peu plus à la vision de mon père. Il était encore vivant. Je revoyais ces mots, capable de moi même les citers quand il m'avait envoyée en Espagne. Je me souvenais également de la gare quand j'avais rendu une nouvelle guitare à Manolo. Et Chui qui allait devenir pour de bon mon compagnon de vie. Il était encore à San Angel, j'espère qu'il allait bien. Les souvenirs de l'Espagne laissait toujours le même sentiment en moi : L'emerveillement. Ce pays était juste parfait. La culture. Les livres. La Poésie. La cuisine. Jamais je me lasserais de ses souvenirs. J'étais heureuse d'y être allée, j'avais appris des tonnes de choses comme l'escrime et le kung fu. Et c'était partis. On passait en revue mon retour avec Manolo et Joaquin qui ce battait clairement pour moi. Mon cœur ce fracassa un peu plus quand Diane s'aventura dans les souvenirs du balcon. La boule dans ma gorge menaçait de s'engloutir au coin de mes yeux, tentant de rester forte. Je les avais enfouis au plus profond de moi pour ne jamais avoir à les revivres. C'était trop,douloureux.Je me revoyais encore faire face à l'armer de Chacal et Joaquin les faires fuirs. La scène du chêne avec sa demande en mariage me fut plus fatal. J'avais serrer les dents alors que la douleur faisait rage.
Le serpent de Xibalba, preuve de sa tricherie. La morsure et le noir totale. Le reveil avec Joaquin et mon père au pied du lit. Mon paternel, qui jouait avec ma conscience pour epouser Joaquin. Pour le bien de la ville qu'il disait. Mais j'avais été forte. Pour qu'il reste et que ma ville ce porte bien, j'étais prête à faire des sacrifices. Et celui là en avait été un très gros. Le mariage, bien que je n'avais aucunement le cœur à ça. J'avais beau être devant l'hotel, au bras du mauvais mari, ce jour là je n'avais jamais été aussi désemparer. Et encore une fois, toujours la même personne. Chacal, dans la ville. Avec un Joaquin absent et des habitants tremblant sous l'influence de celui ci. Mon discours, qui avait rebeller tout le monde pour le combattre. Joaquin et sa médaille. Ma joie intense quand Manolo était revenu d'entre les morts. Et enfin, pour la première fois je les avais vues. La Muerte, sous sa forme d'autrefois. Xibalba, à ses cotés. Bien que je détestais sa présence et que je savais qu'il n'était pas clairs et net. Chandeleur, un homme que je ne connaissais pas mais qui faisait partis du trio de mort. La guerre entre la ville et Chacal, la tristesse que j'avais ressentis quand j'avais cru Manolo mort, le soulagement de le voir vivant grâce à la médaille. Et enfin, le plus beau jours de ma vie. Mon mariage. Non. Non non non. Trop de souvenir douloureux, je n'arrivais plus à suivre le fil et les tremblement de mon corps exprimait fortement mon chagrin. Sa musique, son sourire. Et puis les pires. L'armée de Chacal de retour, Xibalba qui capture Manolo et lui arrache le cœur avant de disparaître avec la machette qui tombe au sol après sa téléportation.
Le visage de Diane réapparu. Je me sentais vidée. Le visage mouillés par les durs souvenirs ressassée. Pourtant, j'avais l'impression d'aller un peu mieux. Je sentais encore la douleur présente comme une blessure ouverte. Mais ce que je ressentais c'était comme une pommade qui venait recouvrir la surface infecter. J'étais plus calme, plus sereine. Je regardais un moment le vide, mon esprit vagabondant, avant de croiser le regard de la déesse.
▬ « J'ai l'impression d'être mise à nu. » Commentais-je, essayant de me remettre encore de l'expérience. « C'est très perturbant. » Ajoutais-je, un peu agacé. Mais je l'avais voulu. « Es ce que cela vous a un peu plus aider pour Xibalba ? » Demandais-je en suite. Carmen fit un bon à coté de moi. Je jetais un coups vers celle ci qui nous tendais une tasse de thé avec un Churros.
« Allez mange, toi ta besoin de grossir ma petite ! » M'enguirlanda t-elle gentiment. Je regardais le Churros qui me faisait clairement pas envie, mais que j'acceptais pas politesse. Je jetais un coup d'oeil derrière elle. La Muerte mordait à plein dent dedans le regard illuminée et hyper active dans ses gestes. Je me tournais vers Diane, des questions brûlante au lèvre. « D'ou venez vous ? La Muerte est différente. Celle de mes souvenirs était calme, sage et plutôt mature. Je ne la reconnais pas. » Fis-je en indiquant Jezabel d'un regard appuyé. Il me semblait ne l'avoir jamais vue hyperactive, ou aussi dégénérée d'esprit. Mais cela ne changeais pas la rancoeur que j'avais envers elle. C'était à cause d'eux si tout ça était arrivé. Eux et leur pari. Es ce qu'on avait changée sa personnalité quand elle avait disparu ?