Comment ça Leÿlin s’y croyait ? Heureusement que la rouquine n’avait pas eu le malheur de lui dire ça tout haut, autrement il y aurait eu une volée de dents. Les personnes critiquant la jeune femme avaient toujours tendance à voir leur arriver des tuiles… preuves ? La grand-mère qui vivait en face de chez la brune, elle était subitement tombée malade après que sa ‘charmante voisine’ aka elle-même ne lui ait offert une boîte de chocolat. Merci les laxatifs.

Non mais elle l’avait cherché, et si cette Hope Bowman ne voulait pas se retrouver avec le même sort – ou pire – elle avait tout intérêt à se tenir à carreau. Hein ? Petite ? PETITE ?! Elle osait la traîter elle, la grande, la magnifique, la toute puissante Leÿlin Anderson-Jones de petite, alors qu’avant même la naissance de cette fille elle faisait les 400 coups à Neverland ? Non, là c’était le lama qui se foutait du crachoir ! Et le pire, c’est que cette fille avait l’air sincère même si le fait qu’elle papillonne ainsi du regard donnait plus envie à la brune de lui coller une bonne droite que de se tenir ‘c’est beau l’amouuur’ non, elle avait réellement trop envie de lui rentrer dedans.

« Tu vas voir si je te le colle dans les dents ce ‘hochet’ comme tu dis la bimbo ! » marmonnait Leÿlin, juste quand cette fille embarquait madame la fleur dans son sillage.

Cette pauvre fille n’avait d’ailleurs pas eu l’air de vouloir se battre… c’était affligeant, plus personne n’avait d’honneur de nos jours, pas même au point d’accepter un duel. Peut-être qu’en lui mettant un camouflet… ? Non mais vraiment, cette tradition s’était perdue dans le pays des contes aussi ou quoi ? Pfeu…un jour elle aurait son duel, parole de pirate, fille de pirate, petite fille de… oops… l’abus de dessins animés nuit gravement à la santé ! (surtout la mentale chers enfants !)

Enfin de toute manière, pendant que Bimbonita et Fleurtila se donnaient en spectacle – d’une manière qui arracha une grimace dégoutée à la brune – une personne entrait dans la pièce. Son Llama ! Non, pas celui qui a plein de poil et qui crache !

Potion ? Quelle potion ? Non, elle n’avait pas bu de potion pour la simple et bonne raison que maintenant, Leÿlin décrétait ne vivre que d’amour et d’eau fraîche ! [quand les effets de cette potion seront passés, cette simple idée risquait de la faire afficher une mine tellement dégoûtée que l’on pourrait en faire un Meme sur le net] et dans le but unique de faire plaisir à Llama, d’ailleurs, elle était certaines que ces filles allaient repartir en pleurant comme de pauvres filles, alors qu’elle, elle allait s’installer ici et dominer le monde ! Oh… peut-être pas, mais au moins profiter de la demeure et de la présence de son futur mari ! Son père allait être ravi, aucun doute là-dessus ! Qui pourrait ne pas aimer Llama ? Il avait tant de prestance ! Puis il était riche, son code génétique était attiré par la richesse !

Wait… pourquoi Margarine Blanchard venait d’embrasser son fiancé ? Pour lui cracher dessus en plus ? Non mais elle avait la cafetière fêlée celle-là ?! Ni une ni deux, loin de se démonter – elle n’était pas en kit /le narrateur vient de se faire assommer, en attendant, voici un reportage passionnant pour vous occuper : ici / vous êtes toujours là ? Bien reprenons./

Après qu’il soit revenu de son état d’inconscience, le narrateur vit donc que Leÿlin s’était apparemment jeté sur la compagne de prince Charming après avoir essuyer le visage de Llama avec un mouchoir (propre !) qu’elle avait dans son sac ; Les filles ont réellement tout dans leurs sacs, c’est stupéfiant !

« Dis ‘haaa’ Llama ! »

Et hop, un chewing-gum pour le petit Llama, parce que malgré tout, il ne sentait pas l’herbe fraîchement coupé là-dedans ! Puis pouf… on pivote vers Snow Burk et on passe en mode ‘tuer’ car là, hors de question de laisser passer ce genre de comportement.

« Et tu comptes t’excuser à la nouvelle année peut-être ? Non parce que là… tu ne crois pas que t’as abusé la vieille ? Ça y est, c’est princesse et ça se pense au-dessus de tout le monde. Avant de parler de guerre, tu devrais apprendre le respect non?»

« Les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît. »

Oulah, ça devenait carrément chaud dans la salle. Entre Camellia qui encourageait la blonde à la tripoter et les deux furies qui se disputaient le Llama, j'étais servie ! On se serait presque cru au Rabbit Hole un soir de grande affluence. Autrement dit, ce genre d'ambiance ne me traumatisait pas outre mesure. En plus, j'étais presque en tenue de scène.

Je sautai donc en bas de la table et me dirigeai d'un pas décidé vers Llama. En chemin, je trouvai un pistolet à eau par terre. Je me précipitai dessus et vérifiai qu'il était chargé. Parfait. Je ne m'interrogeai pas sur la présence d'un tel objet en ce lieu. Après tout, nous étions chez Llama Groove et son intelligence supérieure ne permettait aucune question.

Je poursuivis ma route jusqu'à l'homme de ma vie, offrant un regard meurtrier à mes deux principales rivales. D'un geste raide et digne de Terminator, je levai mon arme en plastique et tirai sur la jeunette aux chewing-gums. Je découvris alors que ce n'était pas un simple pistolet à eau : c'était une véritable mitraillette, un engin de guerre ! Des salves d'eau mitraillèrent la gamine. Imperturbable, j'enchaînai avec Blanche-Neige qui reçut l'équivalent d'une tasse d'eau dans l'oeil. Aie, ça devait faire mal !

Je leur adressai un regard profondément dédaigneux.

"Amateurs." commentai-je en posant mon arme sur mon épaule façon repos du guerrier.

Puis je passai mes bras autour de mon Llama, sans lâcher ma précieuse mitraillette à eau, et me collai contre lui, sentant avec délice sa chemise en lin ou en soie contre ma peau nue.

"Plus rien n'entravera notre amour ! Si une nana ose t'approcher, je la pulvériserais !"

Et pour illustrer mes propos, je levai mon arme et visai la blonde qui me semblait trop sage. Peu soucieuse de voir le résultat de mon méfait, je serrai davantage Llama contre moi et l'embrassai à pleine bouche. Il sentait bon la menthe et l'eucalyptus, un peu comme un koala. Jamais personne ne m'avait embrassée comme ça. J'avais l'impression que sa langue faisait des kilomètres. O_o

Après quelques instants, je me reculai enfin, mâchouillant son chewing-gum en lui lançant un regard pétillant. Puis je jetai un coup d'oeil à la jeunette brune et lui lançai, désinvolte :

"Merci pour le chewing-gum !"

Mes bras étaient toujours passés autour du cou parfait de Llama. Je m'imaginais déjà vivre auprès de lui, porter ses enfants... Pleins de petits lamas qui gambaderaient partout dans le manoir... J'en étais toute excitée.

"Bon, on se marie quand mon chou ?" lui demandai-je, impatiente. "Parce que je veux que ça soit avant le mariage de Raiponce et Eugène. Ils vont être verts de jalousie !"

Don't say no, no, no, no-no; Just say yeah, yeah, yeah, yeah-yeah; And we'll go, go, go, go-go. If you're ready, like I'm ready. Cause it's a beautiful night, We're looking for something dumb to do. Hey baby, I think I wanna marry you.

Mon cœur était dévasté. La belle brune aux yeux de biche n'avait même pas l'air intéressé par moi, préférant se battre avec une certaine Mary-quelque-chose. Je restais sans bouger, dans un coin, à regarder la plupart de ces femmes se crêper le chignon sauvagement et sans gêne. Elles n'étaient pas de sang royal, pour être aussi peu distinguée. Et puis, quand on veut faire bonne impression devant la personne que l'on aime, il ne faut pas se comporter des animaux. Je croisais les bras sous ma poitrine, en boudant un peu et résistant pour ne pas quitter la pièce, en pleurs. J'avais enfin la force d'avoir des sentiments pour quelqu'un, et bien entendu on me rejetait encore.

Je n'avais pas envie de faire attention aux autres, j'étais trop triste, trop renfermée. La rousse qui aguichait une autre jolie brune ? Rien à faire. Elles ne m'intéressaient pas, et ne se comportait pas comme des adultes. Comment pouvait-on se montrer aussi indécente, à se... se tripoter devant tout le monde ! Je me concentrais plutôt sur le mur en face de moi, le regard perdu dans le vague, ma lèvre inférieure en avant me donnant un petit air boudeur.

La brune qui dansait avec la rousse apparue tout à coup devant moi, attrapa mes mains et les posa... sur sa poitrine ?!? Le yeux écarquillés, je n'arrivais pas à décrocher mon regard de ses attributs féminins. Je me sentais plutôt mal. Un contact aussi rapproché, ce n'était pas ma tasse de thé, premièrement. Ensuite, elle m'entraînait dans une démonstration trop personnel pour être faîte devant tout le monde. Et puis... je ne voulais pas qu'elle fasse devant l'autre brune que je n'arrivais pas oublier.

- Je... je vais vous rafraîchir. Mais s'il vous plaît, on peut éviter de se toucher comme ça ?

Voulant l'aider quand même, je me concentrais et sentie ma peau ainsi que l'air tout autour de moi commencer à se rafraîchir encore plus. Je ne voulais pas aller dans l'extrême, de peur qu'avec la chaleur qui se dégageait d'elle, elle ne tombe malade ou que son corps l'assimile mal. Et puis, c'était la première fois que j'avais... chaud. La jolie fille était si brûlante que même moi je pouvais le sentir. Instinctivement, intriguée, je fis remonter mes mains jusqu'à ses épaules, pour ensuite redescendre. C'était tellement bon comme sensation, cette chaleur qui courrait le long de mes bras...

J'étais tellement hypnotisée par la fille de feu que je sursautais en entendant Llama. Quand il attrapa ma main, je dû me retenir pour ne pas le repousser et toucher de nouveau ma source de chaleur. Non qu'elle m'intéresse, mais elle venait de me faire découvrir une merveilleuse sensation.
Ses paroles firent pourtant écho dans mon esprit. Il nous avait fait boire des potions... pour qu'on tombe amoureuses de lui . C'était dégouttant ! Et ça me rappelait le verre que j'avais bu... et les sentiments que j'avais ressenti tout de suite après.

Je n’eus pas le temps de creuser plus en profondeur mes réflexions, car la brune à l'arc (ça en fait beaucoup de brunes!) me poussa pour un collé/serré avec Llama. Elle avait l'air dangereuse, même complètement folle. Je fis un pas pour m'éloigner d'elle et essayais de garder une bonne distance avec toutes ces femmes sous l'emprise d'une potion. Llama était tout sauf un gentlemen, comme il le prouvait une fois de plus...

Mon esprit arrêta de suivre ce qui se passait dans la pièce, et je fus comme en transe. Comme si j'étais de nouveau au Pôle Nord. Un bon moyen pour avoir l'impression de partir sans pour autant vraiment être parti, si vous voyez ce que je veux dire.

Un liquide contre ma peau me « réveilla ». Je passais une main sur mon visage pour sentir de l'eau sur mes doigts. Je relevais la tête pour voir la rousse bouclée au bras de Llama et quelque chose à la main qui semblait rempli d'eau. Je ne savais pas pourquoi elle avait ça... mais j'en avais marre. J'étais énervée, agacée, fatiguée, triste... tellement de sentiments noirs en moi. Un léger bruit de verre qui éclate résonna à mes oreilles. J'avais gelé les gouttes d'eau qui coulaient le long de ma peau et ma rage froide était si forte que la glace avait brisé.

Je relevais la tête de façon royale et tendis la main devant moi, visant la rouquine. Hope, je crois. Un bloc de glace emprisonna rapidement ses pieds, l'empêchant de bouger. Je fis la même chose sans tarder à la brune à l'arc et l'autre brune folle de Llama, l'éclat bleuté entourant le bas de leur jambe pour s'éteindre seulement lorsque la glace avait fait son travail. J'avais épargné Llama lui même, la brune de feu et la belle brune de mes pensées. Oui, il y a beaucoup trop de brunes dans ce concours, je suis d'accord.

- Il faut que ça s'arrête !

Certes, ma phrase ne risquait pas d'avoir un grand impact sur eux, vu que les jeunes femmes étaient sous l'emprise d'un sort et que Llama... était Llama.

- Vous ne pouvez pas choisir et laisser les autres partir ? Et pourquoi pas donner un antidote à ces filles. Quand elles se « réveilleront », je ne pense pas qu'elles auront envie de vous épouser... Vu comment elles pratiquent l'arc, ça risque même d'être dangereux.

Je voulais jouer la reine sage et sympathique, mais non, en réalité, ça n'allait pas. Il suffisait pour ça de regarder les flocons qui envahissait la pièce. J'étais plus perturbée que je ne voulais le laisser croire. Si je ne me calmais pas tout de suite, je risquais surtout de tout geler dans un rayon de un kilomètres.

Je m'étais retrouvé à mâcher un chewingum. Très bon d'ailleurs, goût menthe. Ca rafraîchi. Elle était gentille et ferait sans doute une très bonne épouse. En plus elle me nourrissait, que demander de plus? Peut être une fille qui se jeterait sur moi pour m'embrasser et me piquerait mon chewingum, laissant un goût encore meilleur dans ma bouche?

J'étais à deux doigts de répondre à Merida que c'était elle, que j'allais l'embrasser, mais de la brume avait envahit la pièce. Oh mon dieu, je vais me faire tuer par Judah, on ne devait pas faire une mission qui reviendrait aussi chers. Combien ça allait me coûter toute cette brume? Combien? Les joueuses ne pensaient vraiment pas à tout... Quoi qu'il en soit, plutôt sexy la fille qui avait fait ça. Je lui avais fait un petit clin d'oeil sans pour autant l'écouter de parler... Car oui, elle parlait, parlait, mais ça me fatiguait. Mais qu'est ce qu'elle était belle!

Le discours que j'avais entendu par contre était celui de Jasmine. Mon dieu, qu'est ce qu'elle était belle elle aussi et qu'est ce qu'elle disait vrai dans son discours. J'étais à deux doigts de laisser couler une petite goutte. Après tout c'était vrai. C'était pas un amour sincère et pur. Elle avait tellement raison. Ca m'avait fait mal au coeur de sortir de le petit boitier de ma poche et d'appuyer sur le grand bouton rouge qui avait ouvert une trappe sous elle. Ben quoi? Elle ne m'aimait pas c'était évident. Amour réel ou non, fallait au moins qu'il y en ait un des deux. Là aucun. Adieu Jasmine (oui tu as rep après la fin du délai. ).

"Bon bon les filles, on va se calmer. Enfin la blonde là va déjà vous libérer histoire que vous puissiez user à nouveau de vos charmes."

J'avais fait un lèvement de sourcil à Blanche, regardé Leylin avec un petit regard en coin. J'avais remué des lèvres en direction de Hope. Et... c'est tout.

"Quand à toi vieille harpie, la potion va perdre ses effets de toute façon et là on saura qui m'aime vraiment, car je sais qu'il y en a une. Et je parie que tu as dit ça juste par jalousie parce que tu veux gagner! Alors je vais te laisser autant de chances qu'aux autres de me prouver que tu m'aimes."

J'avais avancé mes lèvres et fermé les yeux.

I'll say will you marry me I swear that I will mean it I say will you marry me ▬ Jason Derulo

La guerre était déclarée et Snow était vraiment prête à tout pour épouser son Llama. D’ailleurs, l’autre brune qui l’avait frappée, venait de lui répliquer qu’elle était presque sûre et certaine que tout ca était un coup de sa part. Que Llama était son amant et qu’elle avait organisé cette rencontre pour leur mettre la honte. L’institutrice éclata alors de rire, en lâchant :

▬ Mais n’importe quoi ! C’est lui qui nous a invitée !

Elle leva alors les yeux au ciel, avant de remarquer que la rousse embrassait Llama à son tour. Non mais ho ! Elle se croyait où celle là. C’est donc rapidement que la princesse déchue se dirigea vers l’autre archère et la poussa, avant de se retrouver clouée au sol, à quelques mètres de son chéri…

▬ NON ! Dégèle moi, toi !

Elle lanca alors un regard malsain à la blonde qui venait de la geler sur place, avant que le Llama ne décide finalement de faire en sorte qu’elles soient toutes dégeler et que la première qui le veuille l’embrasse. Voyant qu’elle n’aurait aucune concurrence avec les autres filles, qui étaient toutes initéressante, la jeune femme s’avança, prit le Llama dans ses bras et posa ses lèvres sur les siennes, pour un baiser passionel.

▬ J’ai gagné ! On va s’marrier !

Elle lança un regard circonspect aux autres prétendantes, en leur disant, sur un ton froid.

▬ Z’êtes nulles !

© By Halloween sur Never-Utopia

J'avais ré ouvert les yeux après cet intense baiser, mon dieu que c'était doux, que c'était soyeux, pareil à du moltonel! Un rêve devenu réalité. Puis, j'avais découvert qui se tenait devant moi. Là, c'était moins marrant.

"Toi? Oh... Ben oui, pourquoi pas!" avais-je dit sans trop de conviction. Fallait dire qu'aucune d'entre elles m'intéressaient vraiment. Merida avait de grandes hanches, Elsa avait un grand nez, Leylin avait un menton un peu bizarre, Jasmine quelques rides au coin des yeux et Camellia... C'était pas une couleur de peau naturelle, si? Non, vraiment aucune m'allait, mais fallait bien se marier, et Mary Margaret, à part son look de grand mère, elle assurait quand même. Ou du moins j'espérais.

"Mouahaha ! MUSIQUE !" avais-je hurlé à Serge. Puis, tout a coup, une belle musique s'était mise en route...

Oh baby, baby
How was I supposed to know
That something wasn't right here
Oh baby, baby
I shouldn't have let you go
And now you're out of sight, yeah
Show me how want it to be
Tell me baby 'cause I need to know now, oh because

Du Britney? Non mais il était sérieux?

"Arrête, stop! Pas ce cd là, l'autre!"

Ca y est, c'était enfin la bonne musique! Un hymne à l'amour, une chanson qu'on passait à chaque mariage. Ta da ta ta, ta da ta ta... Mon dieu, j'adorais cette musique. Je m'étais avancé vers Mary Margaret et j'avais sortit de ma poche une petite boite. Genou à terre, je l'avais ouverte et on pouvait y apercevoir la bague la plus scintillante de la création. Puis, j'avais refermé le boitier et je m'étais levé.

"Attend, ça va pas. Elles ont perdu, donc j'ai une petite surprise pour elles!"

J'avais sortit une télécommande avec un grand bouton rouge!

"Mouahah! Et voilà! A la trappe les filles !!!" avais-je dit en appuyant dessus avec un sourire sadique et en voyant Mary Margaret tomber dans un grand gouffre.

"Noooooooooon! Pas cette trappe là!!!"

Je m'étais approché du trou où on ne voyait pas grand chose.

"Ma chérie? Ma femme? Mary?"

Aucune réponse...

"NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !"