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 [Fe] Le Monde de la Désolation - Événement #67

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[Fe] Le Monde de la Désolation - Événement #67  - Page 7 _



________________________________________ 2016-08-08, 11:18



Wasteland
Ta tête rebondit doucement sur le sol, c'est la dernière chose que tu pus percevoir. Oui, en effet, ces sons dans ton esprit, c'était comme si on frappait à la porte, comme si elle s'ouvrait en coup de vent sur quelque chose qu'on avait jamais cru capable. Nous pensions tous que lorsque tu aurais perdu tes couleurs, ton énergie vitale, la mort s'en suivrait. Mais la réalité n'est pas toujours le reflet de nos pensées, et cette fois-ci, elle fut bien plus rose.
Oh Lily chérie, si tu nous savais cette peur que tu nous as fait. Nous avions cru disparaître dans un zip bruyant de fermeture éclaire, comme tu les détestes, mais au lieu de cela, nous avons vu la lumière.
Tu es tombée de toute ta hauteur, complètement inerte, comme morte. Le monde extérieur l'a cru et ce soir-là, des bourrasques macabres fouettaient les branches des arbres. Nous pensions déjà aux chants joyeux que nous pourrions faire sur toi, aux jolies rimes et aux moments heureux. Pardonne ma douce nostalgie, mais je pensais aux pirates qui murmureraient ton nom avec respect, mais qui brayeraient d'une voix modifiée par la rhum des chansons faisant tes louanges. Je rêve beaucoup, désolé, et c'est peut être mal d'avoir pensé à ta mort avec un sourire aux lèvres, mais tu vois, j'étais si heureux de penser que tu aurais laissé toi beaucoup de belles choses que je me suis laissé emporté par mon enthousiasme.
Ton regard était fixé sur une étrange substance, l'intérieur du corps du fantôme. Quelqu'un était-il inquiet de te voir ainsi, morte à leurs yeux ? Tu l'ignorais et nous l'ignorions aussi, après tout, peut être que je m'étais fait des idées et que tu n'étais pas si importante que ça...
De notre côté, à l'intérieur, nous observions cette porte ouverte avec une envie canalisée seulement par la crainte de disparaître. Je repensais à la mort, j'en suis bien désolé, mais je me demandais si en passant cette porte, nous mourions vraiment. Mais l'envie était trop forte ma Lily, et c'est ainsi que moi, Lily la nostalgique, je franchis cette porte.
Ton corps ce secoua comme parcouru par de l'électricité, tes yeux étaient grands ouverts, ta bouche aussi, comme si tu cherchais à reprendre ta respiration. Ta bouche était déjà asséchée par cette fausse mort, et ta peau était pâle, froide. Jamais personne ne t'avait vue comme cela, dénudée de toute la vie qui t'agitait habituellement, te faisant faire des choix que d'autres n'auraient jamais eu l'audace de faire, te mettant dans des situations aussi embarrassantes qu'amusantes.
Tu avais frôlé la mort de nombreuses fois, mais jamais ses contours ne s'étaient tant précisés, tu étais comme suspendue au dessus de sa gueule, trou béant prêt à t'avaler. Tu pouvais donner avec certitude le nombre de ses dents, vraiment définir son apparence.
Mais nous t'avions sauvée, enfin en quelque sorte... Enfin, c'est ce que nous essayions de faire.
En effet, la porte m'avait simplement recrachée. Je savais pourquoi, et ça m'attristait. Je n'avais pas une grande place dans ton coeur, ma petite Lily, bien au contraire d'ailleurs, mais c'était sûrement mieux après tout, il ne fallait pas ruminer le passait, ça empêche d'avancer. J'avoue avoir eu un peu d'espoir avec les événements récents. Un papa que tu aurais voulu mieux connaître, mais surtout, le retour d'Oswald dans ta vie. Je me souviens de ces journées entières passées à jouer dans la cabane. Vous riiez si fort qu'on pouvait vous entendre de l'autre côté du royaume. C'était des rires francs, des comme on en fait beaucoup moins maintenant. J'adorais ça t'entendre rire aux éclats, moi aussi je riais dans ces moments-là, tu sais, je crois que tout le monde riait dans ces moments-là. Tu étais comme nous t'avions toujours souhaitée... Heureuse.
Je m'écrasais sur le sol dur, essuyant une larme qui perlait au coin de mon oeil. Ton corps m'avait rejetée, mais qu'est ce que j'y pouvais après tout ?

***

Ce fut à mon tour d'essayer, je savais que je n'avais pas non plus beaucoup de chances, tu n'avais jamais porté beaucoup d'importance à tes études, riant en cours au lieu d'apprendre à faire des choses qui te passaient au dessus de la tête. C'est pour cela que la Lily studieuse que j'étais avait sûrement encore moins de chances que la Lily nostalgique.
Quand je pénétrais dans la porte, un souvenir joyeux me revint en mémoire, un souvenir parsemé d'éclats de rire, un souvenir comme on les aime.
Tu étais assise à ton bureau près de la fenêtre, tandis que la prof se dandinait lentement, cherchant sûrement à attirer ton attention. Mais au lieu d’exaucer ses souhaits, tu coinças un crayon entre tes lèvres et ton nez, et luttais pour le faire tenir. Un "Lily Scarlett De Beauregard !" comme Aliénor savait en faire -elle adorait dire ton nom en entier, à croire que c'était amusant- te fit rire, ce qui provoqua la chute du crayon. Tu juras tandis que la prof s'approchait de toi, te forçant à sentir son haleine de Yack.
Oh, je ne devrais pas insulter tes professeurs, ils ont fait de toi une gentille fille, n'est ce pas ?
Enfin je reprends, elle t'avait tenu à peu près ce discours: "Ma pauvre Lily, ce n'est pas en lâchant des insultes à tout bout de champs que tu vas trouver un métier".
Tu t'étais relevée d'un coup, comme montée sur des ressorts, et tu avais éclaté de rire, debout sur ta chaise, un pied sur ta table qui faisait office de gibier. "Ma pauvre Lucinda -car c'était son nom-, ce n'est pas en essayant de me faire courber l'échine que je vais attendre quoi que ce soit. Et pour le métier, je n'en ai pas besoin enfin, je trouverais un mari riche, ou bien... je vivrais aux frais de ma mère ! Ou alors je serais voleuse, ou..." tu avais pris ton menton dans ta main, faisant mine de réfléchir, mais tu conclus avec entrain, t'accroupissant pour que la prof soit la seule à l'entendre: "Quoi qu'il en soit, je ne finirais pas comme vous ma pauv' dame". Et tu bondis de table en table comme un petit cabri hystérique qui aurait pris des champignons hallucinogènes. Tu donnais des coups de pieds dans les cahiers et tu froissais les feuilles, ce qui te valait des regards assassins d'élèves bien trop studieux. Au final, tu avais gueulé: "Le cours est terminéééé !" Et tous les élèves ou presque s'étaient échappés, jetant leur sac sur leur dos avant que la prof puisse faire quoi que ce soit.
Sur le coup, je l'avoue, je n'avais pas été très fier de toi, mais en entendant les autres Lily rigoler, je m'étais laissée aller aussi.
Et comme je l'avais prédit, la porte me recracha avec animosité. Je faillis pleurer comme nostalgie, mais le choc était moins rude, j'avais su dès que cette porte était apparue, que je ne pourrais pas la traverser...

***

Ce fut encore au tour de beaucoup d'entre nous, les personnalités minimes, celles qui n'ont pas une place assez importante pour avoir une véritable place, et comme vous vous en doutez, nous échouons toutes...
Puis vint le tour des vraies personnalités, celles qui pourraient à coup sûr contrôler ton corps.
Il y avait Dark Lily et Lily la folle. Nous, les personnalités minimes, aurions aimé te protéger, mais n'ayant pas une place assez importante dans ton coeur, nous n'en étions pas capables...

***

Je pris donc le relais, ces idiotes ne pouvant s'en charger. Quand je m'approchai de la porte, tout le monde m'observa avec des yeux exorbités, sûrement terriblement étonnés et effrayés. Je me tournai vers la petite assemblée et lâchai un "Bouh" qui en effraya une bonne partie. Puis, j’éclatai d'un rire sinistre avant de me laisser tomber, mon regard noir fixé sur l'autre personnalité puissante, celle qui pourrait essayer de me prendre la place.
Mais comme je l'avais prédit, je pus remettre ton corps en marche.
Cette possession débuta par la transformation de tes yeux, une sorte de flaque noire sortit de tes paupière et commença à se rependre sur tout ton oeil à la manière d'un rideau terrifiant. Même dans un monde en noir et blanc, c'était terriblement anormal, mais je trouvais ça... Magnifique. Tes tatouages se mirent ensuite à clignoter de plus en plus vite jusqu'à enfin rester allumés. C'était ce flux magique qui t'avait enlevé à la mort, mon enfant. Tu avais décidément une chance insolente.
J'enlevai le morceau de plastique qui recouvrait ton poignet pour dévoiler ton nouveau tatouage en réprimant une sorte de grognement désapprobateur. Comment pouvais-tu ignorer tant de choses ? Mh, j'oubliais, tu n'es qu'une enfant n'est-ce-pas ?
Le tatouage était magnifique mais ne me correspondait pas, il te correspondait, c'était ce que tu étais devenu depuis alarmant depuis que tu étais à Storybrooke. Guerrière sonnait comme Héros, et tu n'aimais vraiment pas cela, mais tu avais pour habitude de ne faire tatouer que ce qui te semblait réel... Il était noir, mais il brillait d'une façon absolument pas naturelle.
Je déposai un baiser dans la paume de ta main, et la portai jusqu'à ton front sur lequel tu l'appuyas en murmurant:

-Good night, Little Sunshine...

Après quoi je me relevai, saisissant l'épée encore chaude des combats qui se trouvait juste à côté de moi, et laissant échapper un rire des plus diaboliques. Maintenant, tu m'appartenais.
Je sortis la plaquette d'illustration de ta poche et utilisais une enclume sur la paroi afin de pouvoir t'échapper du corps de cet affreux fantôme qui ressemblait plus à un nuage de poussière. Il fallait couper les tentacules pour ne pas se faire tuer ? Oh quel dommage, je devais partir pour... un voyage d'affaire ? Si on considère que faire le mal est un business bien sûr...
Tes cheveux améliorés par ma possession étaient devenu extrêmement lisses et avaient dû prendre deux teintes plus foncées. Je ne contrôlais pas très bien ton corps pour le moment, mais c'était juste le temps que je m'y fasse, après tout, personne ne sortait du ventre de sa mère en dansant la polka. C'était un peu comme si tu sortais du ventre de ta mère. Il fallait que tu apprennes à faire tes premiers pas.
Tu ne te débrouillais pas si mal que ça, si on oubliait le fait que tu ressemblais un peu à un zombie. Ta peau mortifiée, tes bras tendus en avant car je n'arrivais pas à me stabiliser autrement, et tes jambes peu coordonnées...
Dès que je passai la porte que j'avais moi même ouverte dans la parois, je fus zipée. Pour changer. Cette fermeture ne respectait vraiment personne, et elle subirait à coup sûr la colère de Dark Lily Scarlett Jones De Beauregard -et encore tu ne portais pas le nom de ton père.
Toi et moi, ou plutôt, ton enveloppe corporelle et moi, nous retrouvâmes à la porte du Nord Ouest, dans une sorte de cabane au sol qui grince. Tic et Tac -je ne savais qui était qui alors on les appellera X et Y-. X essayait de soulever Y qui avait les yeux grands ouverts. Mh, il n'était donc pas inconscient. Mais ça pouvait changer très vite en ma présence...
Je caressais l'idée de les décapiter d'un coup de pied -si tenté que ce soit possible- quand X m'adressa la parole. Je regardai à droite, puis à gauche pour vérifier que c'était bien à moi qu'il parlait, mais c'était le cas.

-Vous venez de Storybrooke, vous ? On doit arrêter quelqu'un qui vient de là-bas : le maire, Aloysius.

Je hochai la tête à la première question, je venais plus ou moins de Storybrooke, mais toi ma Lily, c'était certain, tu en étais originaire.
Ces deux gars devaient quand même être pas mal débile pour demander mon aide, parce que c'était ce qu'ils faisaient, non ?, ils n'avaient donc pas remarqué tes yeux entièrement noirs ? Je secouai la tête. Ah, naïveté quand tu les tiens.

-L'arrêter ? Oh oui oui, bien sûr que je vais vous aider.

J'avais prononcé ces mots avec une ironie non dissimulée, me demandant secrètement si les deux hommes le remarqueraient...
Voilà qu'ils traçaient pour moi un chemin parfait: le chemin du mal, de la discorde et du chaos.

Feat les autres gens

Code de Frsoty Blue de Never utopia


Couleur: 0%
Vie: 75%
En possession de: Un manteau de pirate sans manches - une épée qui brille - LA plaquette d'illustrations (moins une illustration encre invisible, une montre et une enclume) - LA gourde remplie d'eau du lac


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[Fe] Le Monde de la Désolation - Événement #67  - Page 7 _



________________________________________ 2016-08-08, 17:40

Le Monde de la Désolation

Harmony & Les méchants pas beaux

Pour faire court, c'était la merde. Mais genre la vraie merde. On réussit tout d'abord à battre les gamins puis on reçut une bouteille de la part de Dyson qui nous exposait son plan. Nous dûmes nous séparer et je fus alors accompagnée par l'un des Revenants solitaires à la croix du sud est pour trouver Yakko. on réussit à le trouver sans grands problèmes et je le libérais de ses liens. Il se présenta et peu après une masse noire apparut et il tomba dans les pommes -petite nature-. la masse noire s'éleva au ciel pour en rejoindre d'autres et je vis devant mes petits yeux ébahis, l'incarnation du Fantôme. Et Yakko reprit connaissance -de toute façon, je comptais pas le réanimer, alors tant mieux pour lui-. Je pus entendre alors la suite du plan de Dyson. Je me mis sur la croix et je vis que le fantôme n'avait pas l'air bien qu'on essaye de le tuer.

-Bon j’espère juste que les puceaux qui me servent de compagnons ont bien suivis le plan. Je compte pas me mettre en danger pour rien.

J'allais être matérialisé dans son corps. Je n'avais aucune envie de risquer ma vie mais bon, apparemment c'est ce que font les héros. Comme si je faisais partie de ce groupe de personnes en collants. J'avais déjà perdu mes couleurs, je ne comptais pas perdre mon cœur.
Je fus matérialisé et me retrouva dans un grand espace fait d'encre, circulaire. Au milieu de cet endroit se trouvait des sortes de tentacules d'encre qui montaient pour aller s'enrouler autour d'un cœur. C’est ce qui le maintenait en vie. Mais pour détruire son cœur, il fallait détruire ces tentacules. Je reconnus assez facilement le point faible des tentacules (une grosse pustule) qui étaient aussi visibles que ceux des boss dans les jeux vidéos. La première est juste devant moi et elle fut détruite en quelques secondes. Je marchais un peu et en découvrit une autre, à portée elle aussi. elle fut détruite. Une troisième tentacule survint alors et se rapprocha de la paroi avant de s'engouffrer dans un tunnel. Elle y trouva sa base au fond. La dernière pustule se trouvait là bas. Mais, il y avait des monstres étranges en forme de boule qui dormaient. Je fus intrigué par ça mais ne sus pas reconnaître ce que c'était et courut alors vers la dernière pustule sans me soucier du bruit que je faisais. Les monstres grossirent alors, jusqu'à exploser, me faisant énormément mal, mais fort heureusement ils éclatèrent aussi la pustule. la tentacule détruite, elle libéra un passage dans le tunnel à huit balais d'encre lanceurs de dissolvant. Je fis alors demi-tour jusqu'à la salle principale où je découvris Laure.
les huit balais avancèrent et je réussis à en effacer un avec le pinceau. j'avais finalement décidé de l'utiliser, sachant que c'était le combat final et que l'on n'en aurait plus besoin ensuite. Laure en assomma un avec l'électricité que je finis ensuite. J'eus alors une idée et maintient mon jet de peinture sur un des balais avant qu'au lieu qu'il ne m'attaque, il attaque un de ses amis et le tua sur le coup. Un sourire apparut. il y avait un espoir. Je me pris quand même un peu de dissolvant dans un moment de distraction. Je les tua et les derniers s'entretuèrent. A la fin du combat épuisant, je vis que le coeur n'avait plus aucune tentacule pour le protéger (je me doutais que c'était Park qui avait du s'occuper de la dernière). Il était maintenant à notre portée, mais sans que j'eus le temps de faire quoi que ce soit, nous fûmes entourer d'encre et je perdis connaissance...

DEV NERD GIRL



Couleurs : 0%
Vie : 25%
En possession de : Garatéfèsses ; Ben et Nuts ; 27 billets verts ; Le super-pinceau


Aloysius Black
« Before we begin, I must warn you... NOTHING here is vegetarian. »

Aloysius Black

| Avatar : Mads Mikkelsen

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Sweet dreams are made of this...

[Fe] Le Monde de la Désolation - Événement #67  - Page 7 Jvux

Who am I to disagree ?



| Conte : Le roi Lion
| Dans le monde des contes, je suis : : Scar

| Cadavres : 386



[Fe] Le Monde de la Désolation - Événement #67  - Page 7 _



________________________________________ 2016-08-08, 22:22 « Before we begin, I must warn you... NOTHING here is vegetarian. »

Le monde de la désolation
“Il n'y a rien de plus difficile à consoler qu'un paysage désolé”

La patience avait toujours été l’une de ses vertus maîtresse. Calme et patience, tout arrivait à point à celui qui savait attendre, peu importe le nombre de sacrifices et d’années qu’il fallait accepter. Il avait fallu un bon nombre d’année pour destituer ce Mufasa et de tenter de prendre une revanche sur le lionceau qu’était Simba. Il avait fallu attendre plus de 28 ans pour devenir maire une première fois et plus d’un an pour qu’on le supplie de reprendre ses fonctions… Alors ce n’était pas quelques minutes, quelques heures à attendre dans le bureau de la mairie de Wasteland qui allait le départir de sa bonne humeur, ni de sons sourire triomphant. Le Savant Fou lui avait demandé d’attendre dans son bureau, en attendant « qu’il ouvre la voix pour lui permettre d’obtenir ce qu’il veut ». Le lion avait acquiescé et depuis… il attendait son retour, un signe ou quelque chose.

Ce monde était fascinant. Il en avait profité pour observer le bureau sous tous ses angles, regarder au dehors pour observer la ville… ces touches de couleurs et de noir et blanc, tout était si similaire à Storybrooke et pourtant si différent… C’était comme de vivre un rêve éveillé, où la cohérence et la pertinence des paysages se mêlaient au fantasque et au différent. Le bureau de mairie lui-même témoignait de cette différence… il était loin de ressembler à celui d’Aloysius, prenant plutôt les goûts de décorations du Savant fou. Jamais le psychiatre n’avait eu le temps d’observer ce monde correctement. Il avait trouvé une porte par le plus grand des hasards et avait traversé, sans penser qu’il mettait ainsi à plat les plans d’un autre méchant qui aurait pourtant désormais besoin de lui. Le lion ne s’était même pas assis sur le fauteuil de son « ami »…Il n’en avait pas besoin… il aurait bientôt tellement plus…

Il venait d’avoir cette pensée et un petit ricanement lui avait échappé lorsque soudain le bureau tout entier s’était mis à bouger, la terre s’était mise à trembler, plusieurs fois. Tentant de se retenir à une table non loin, le lion s’était accroupi, l’oreille aux aguets, ses réflexes d’ancien animal éveillés au maximum. Si le savant cherchait à le berner ou à le tuer, il s’en prenait à la mauvaise personne et Scar ne saurait que trop bien lui montrer. Mais lorsque la mairie se teinta en rouge et qu’une partie de la structure se déchira totalement, l’homme compris soudain que cela ne devait rien avoir avec le toon. Les yeux grands ouverts, Aloysius se relevait lentement en observant le ciel se déchiqueter, laissant une étrange entité s’en détacher.

Le psychiatre ne pouvait pas en croire ses yeux. Etait-ce bien là le Fantôme ? Cette entité que le Savant lui avait pourtant dit avoir péri ? Elle semblait bien vivante, là, sous ses yeux et un sourire machiavélique s’étira sur ses lèvres. Son « ami » ne lui avait-il pas dit que ce monstre sommeillait autrefois dans la source de l’encre ? Si tel était le cas, cela signifiait que son but n’était pas loin… et que le Savant ne lui était plus d’aucune utilité. Visiblement ce fantôme était un danger imminent, une faille dans le plan de son « alter ego » mais Aloysius s’en moquait bien : que les habitants de c lui meure, que toon perde tout ce qu’il espérait avoir, pour lui était enfin arrivé le moment de la victoire. Une porte s’était ouverte et lentement, le lion s’était dirigé vers elle, la tête haute et le sourire triomphant. Enfin… ENFIN.

La porte avait donné sur la forêt, fortement similaire à celle de Storybrooke et le maire s’y était enfoncé sans la moindre peur, sans le moindre doute. Il avait déjà marché quelques minutes lorsqu’une grotte apparu et, après un moment d’hésitation, il décida d’y entrer. Au fond de celle-ci se trouvait deux sphères, assez particulières, qui flottaient dans les airs. Une bleue et une verte. Visiblement, les sphères étaient en verre, seul le liquide colorait les parois. Il lui fallait a bleue, pour que tout lui obéisse, pour qu’il ait le monde qu’il désirait. Sa main se rapprochait dangereusement de la boule, il la frôla du bout des doigts quand soudain…

- Ne t’approche pas de ça !

Un rictus à la commissure de la bouche, Aloysius se tourna lentement pour faire face à la voix.

crackle bones
https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t8516-soyez-pretes-pour-le-c https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t8684-je-patauge-dans-limbecillite


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[Fe] Le Monde de la Désolation - Événement #67  - Page 7 _



________________________________________ 2016-08-09, 18:34


Le monde de la Désolation




Le sol ce mettait à trembler. Alors que je savourais ma douce vengeance qui ce réalisais peu à peu, une vibration ce mit à faire trembler mon corps. Je levais le regard vers huit colonne rouges qui ce dressait à mainte endroit de Wasteland. Putain de bordel de merde, l'abrutie était réveillé. Il était en train de détruire Wasteland ! Je vais le buter. Il peut ce ramener, mais pas détruire le monde des autres. Tant mieux pour lui, il a sont petit Storybrooke, qu'es ce que ca peu lui faire ? Le ciel passait du gris à un noir tellement intense, que mon fusil glissa du bras lorsque je levais la tête avec surprise. Ah ouai, il était vraiment en train de me bousiller Wasteland. Lachant un juron, je fixais les masses d'encres s'elever dans le ciel. Alors qu'a L'Est, les masses d'encres venait de former un monstre Titanesque. Tiens donc. Le fameux Fantôme. Si j'aurais cru le voir un jour.

Je m'approchais des rues, le fusil bien crampé sur l'epaule, alors que des cris fusèrent dans tout les sens. Je poussais un regard intrigué, pour voir avec effroie des monstres dans les rues, à l'allure enfantine mais avec des cheveux longs, sales et blancs, des dents pointus, des yeux rouges et des griffes. Genial, vraiment de mieux en mieux. L'un d'eux ce jeta sur moi, et j'eu le réflexe de lever mon fusil et de le receptionner à la manière d'une batte de base ball. Alors que le premier poussa un hurlement en tombant dans le sens opposé, je donnais un coup de pied prononcé dans le ventre de l'un d'eux. Une plainte s'échappa quand des dents aiguisée ce plantait dans mon bras avec acharnement. Il lachait un grognement des plus humains, et sa sale gueule dégueulasse était flippante. Il avait décidé de me bouffer ? Et bien soite.

«  Tu vas me lacher, connard ? » Lachais-je d'un ton sévère, expulsant toute ma rage dans ses mots que j'aurais très bien pu prendre et le lancer dans leur sale tronche de mort vivant. Je remuais le bras, avant d'aplatir sa tête avec la crosse de mon fusil. Il lacha un juron, alors que l'un d'eu m'escaladait la jambe dans une vitesse surprenante. A quel point ces sales vermines étaient rapide ? Au point qu'ils commençaient à être plusieur sà me grimper dessus, plantant leur dent autant qu'il le pouvait dans mon genoux. «  Mais putain, lachez moi ! Allez bouffer Dyson ! » grognais-je, les expulsant à l'aide du fusil, shootant dans le ventre avec toute la force d'on jétais capable. La créatures s'eleva dans les airs, ce prenant la porte d'une maison.

« Attaquez ! »
Hurla une voix, alors que je me debattait avec une creature qui m'avait tomber à la renverse. Le fusil bloquait ses puissante mâchoire qui claquait non loin de mon visage. Un toons bleu lui sauta dessus, ce lançant dans un combat acharner. Au bout de quelque instant, j'étais entourer de toons bleu qui ce battait avec les creatures. Je fronçais le sourcils, la bataille était tellement hard que je ne reconnaissais même plus les toons, donnant un melange noir et bleus dans de la poussières. Je me retournais, reconnaissant Donald et ..;Putain non il c'est pas fait dévorer par les creatures. Fais chier. Dyson. Ils avaient des battes de base bal entre les mains. Chacun son arme, j'ai envis de dire. Dyson s'approcha avec sa gueule d'ange. Il allait faire quoi ? S'excusez à nouveau d'être un triple blaireau ? Demander la paix à l'aide des quelque fleurs rare de Wasteland ?

« Soreth, il va falloir s'entraider maintenant, pour notre survie à tous ! Je peux t'ammener à Storybrooke après tout ça si tu veux, où tu pourras être libre et approcher tous les enfants, et on aura le loisir d'avoir tout le temps pour se friter là-bas, mais pour le moment, on doit vraiment s'aider pour survivre ! » Oh le discours du vaillant héros, le voilà. Je lui offris un sourire cynique, alors que mon visage exprimait clairement ce que je pensais. Je m'approchais de lui, le regard sombre et remplis de haine. Maheureusement, ce traitre avait raison. J'étais peu être un sale connard, mais pas au point de laisser son monde crouler sous des creatures demoniaque.

« Mon très cher Dyson. Je vois que tu as la tête tenace. Je me defend pour mon propre compte. » Répondit-je en lançant mon fusil sur mon epaule d'un air insolent. Donc oui, en clair je marchais dans son plan. Mais j'irais pas courir dans les champs en lui tenant la mains. Certainement pas. Je me jetais en suite dans la melasse, donnant des coups de fusil à la manière d'un base balleur dans la tête des monstres. Au fur et à mesure qu'on avançait, les rues étaient balayer de toute esprit demoniaque. Je prenais soin d'ecraser leur petite mains, d'abattre la crosse dans un coin de leur tête. De me transformer en footballeur pour les faires voler dans le ciel. A nous trois à l'aide des toons, les rues furent nettoyer.

« Et maintenant ? » demanda Donald en ce tournant vers Dyson. Oh. Qui a dit que c'était le chef de la bande ? Je me transformerais pas en gentil toutout obeissant. Dès qu'il aura le dos tourner, ce sera la crosse de mon pistolet dans sa jolie nuque de petit lapin.A près tout, c'est de là que venait le coups du lapin, non ? Juste un coup de crosse, pour lui détacher les cervicales, et éteindres toute traces de vie dans sa sale petite âme pourrie jusqu'à la moelle.

« Donald, j'ai besoin que tu reste près de la croix, il faut qu'un toon reste sur chaque croix pour détruire le Fantôme de l'extérieur quand ils l'auront fait de l'intérieur. Je dois aller m'occuper d'une dernière chose, il y a encore quelqu'un ici qui garde ses mystères. Soreth, il est fort probable que le combat ne soit pas terminé. Tu veux venir avec moi ? » Non ? Oh attendez. Aller avec lui. Ca voulait dire tout seul. Tout seul pour l'abattre comme un vulgaire chien. Tout seul pour l'etrangler, le tuer, le massacrer. Puis je refusais de voir quelqu'un d'autre s'occuper de son cas. Je me le réservais personnellement ! Y'a que moi qui peut tuer Dyson.

« Il est hors de question que quelqu'un te tue à ma place. Allons y ! » Déclarais-je le visage remplie d'insolence. Je jetais le fusil sur mon epaule, suivant le lapin. Tout bon chasseur ce doit de connaître sa proie et de suivre sa piste.

« Aloysius, voyons ce que tu cache. »
Fis Dyson.


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[Fe] Le Monde de la Désolation - Événement #67  - Page 7 _



________________________________________ 2016-08-09, 18:36

Les secours étaient arrivés plus vite que Mary Margaret ne l'avait espéré. Et alors que les loups étaient tous mis hors d'état de nuire, Mary Margaret sprinta alors jusqu'à sa croix, ne bougeant plus, tout en fixant le Fantôme. Fantôme qui parut un moment déstabilisé. Puis soudain, le décor autour d'elle disparut...

La princesse venait de se retrouver dans un grand espace circulaire, rempli d'encre. Au milieu de cette salle des tentacules barraient le passage. D'après Laure, c'était les points sensibles à abattre. Ou du moins, les pustules qui se trouvaient sur ces tentacules...

La première des pustules se trouvait juste devant elle et l'ancienne princesse n'hésita pas une seule seconde avant de frapper dedans pour la détruire. Ça en faisait donc une en moins. Elle tourna la tête pour apercevoir la seconde pustule, cinq mètres plus loin. La jeune femme s'y précipita donc pour la détruire. La dernière tentacule se trouvait dans la paroi, en pente. La maîtresse d'école finit donc par suivre la tentacule, afin de trouver la base de la pustule.

Après un moment de marche, Mary Margaret arriva donc devant un gouffre de dissolvant. Autant dire que sans ses couleurs, elle risquait sa vie si jamais elle tombait là-dedans. Elle releva alors la tête pour apercevoir des plateformes. Et la tentacule qui prenait sa base non loin. Mary Margaret prit donc son élan pour sauter sur les plateformes, avant qu'un jet de dissolvant ne la prenne par surprise. Heureusement pour elle, elle se retrouva sur une autre plateforme... Sonnée certes, mais en vie !

Elle en profita donc pour détruire la dernière pustule et anéantir la tentacule, avant de refaire le chemin en sens inverse. Harmony et Laure étaient déjà présentes et Mary Margaret leur fit un pouce d'encouragement. Puis Park les rejoignit. Snow allait se précipiter sur le coeur du Fantôme mais tout se mit à tournoyer autour d'elle et l'encre les encercla. Puis ce fut le noir total...

Lorsqu'elle se réveilla, il faisait noir. Tout était noir. Et pourtant, Mary Margaret pouvait distinguer Harmony, Laure et Park... Mais il manquait quelqu'un, non ?

- Où est Lily ?

Mais elle n'eut pas le temps d'entendre de réponse qu'une ombre se matérialisé devant eux. Le Fantôme était là et les avait suivi. Et il avait leur taille à tous.

- Bienvenue dans ma tête ! Je trouve que vous n'avez pas la place près de mon coeur...

Il s'approcha alors doucement du groupe, menaçant, avant de rajouter, sur un ton froid :

- Je vois que vous avez tous trouvé une arme à Wasteland ? Bien... Vous voulez me battre ? Faites le... dans ma propre tête !

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________________________________________ 2016-08-09, 19:53






Le monde de la désolation

« Un ranger du risque ? »




Hey !

Une voix lointaine semblait se battre contre le bruit incessant de la douleur toute entière qui avait coloré tout ce noir. Il était seul, il n'était rien, il se sentait n'être rien. Il ne savait pas réellement qui il était, il avait simplement quelques souvenirs.
Un souvenir dessiné de larmes, un autre de regrets, le suivant de nostalgie et de tristesse. La douleur avait été provoqué vivement mais restait dominante sur tout cela.

Réveille toi !

Cette étrange voix qui berçait l’abîme se faisait plus précise, était plus distincte à travers le flou sonore des abysses dans lesquelles il semblait être piégé. Il crut ressentir, en parallèle, un mouvement dans cette dimension obscure dans laquelle il divaguait sans but. Il se sentait vide, il avait peine à écouter cette voix qui voulait percer l'obscurité, il ne savait pas réellement s'il en avait envie. Il voulait juste dormir, dormir sans fin...

S'il te plait !

La voix devenait alors de plus en plus suppliante, ce qui attira finalement un peu sa curiosité. Peut-être était-ce important ? Cette voix semblait si familière, si agréable... Etait-ce la libération de tant de souffrances ? Etait-la fin d'un long, très long chapitre triste ?

TAC !

* *
*

Je me réveillai soudainement, prenant une grande inspiration. Je reconnu la croix rouge devant moi, et vit à travers la fenêtre juste à côté un ciel bien plus noir qu'il n'était censé l'être, habité par une étrange tempête qu'un être terrifiant controlait.

Le Fantôme... chuchotai-je avec horreur.

Tac, tout va bien, je suis là maintenant.

Je tournai la tête pour voir, accroupi, un homme. Le même visage que le mien, la même voix que la mienne, avec cette lueur plus responsable cependant dans le regard et la plus grosse différence étant toutes les couleurs.
Tic ! Tu es là ! Criai-je en riant de soulagement, me précipitant pour le prendre dans mes bras.

Le Savant Fou.. il m'a tiré dessus, comment suis-je...

Les couleurs, coupa le detective. Ici on perd d'abord ses couleurs avant de perdre la vie

Je fronçai les sourcils d'incompréhension. Mais je n'ai plus de couleur...

Tic me souris alors.

Aucun d'entre vous ne l'a remarqué tant elles étaient cachées, à part celles du dissolvant et de la peinture. Wasteland toute entière, et tous ses habitants sont colorés. Très peu, et si discrètement que vous ne l'avez vous même pas remarqué.

Mais comment ?

Ici, les couleurs sont pour la plupart les souvenirs de ceux qui sont en dehors de Wasteland, c'est pour ça qu'elle n'en avait pas... avant. Depuis 2 ans, certaines couleurs se sont réveillés au plus profond de vous et pour cause : Oswald et moi sommes sortis de Wasteland, et la malédiction s'est ensuite rompue. Vous nous êtes reparus. On s'est souvenu de vous, en dehors.

Je lui souris alors, grandement, comprenant que c'est toute l'importance que je portais dans son coeur qui m'avais sauvé la vie. Le Savant Fou n'a fait qu'affecter quelques unes de mes couleurs restantes...

Puis un nouveau tremblement de terre, avant qu'une vague acide ne nous engloutisse.
Lorsque je rouvris les yeux, me relevant en toussant, je vis Tic, privé des couleurs qu'il portait quelques secondes plus tot.
Et maintenant, c'est définitif, il n'y a plus aucune couleur... dis-je tristement.

Je tournai la tête vers la fenêtre. On a trop longtemps été sur les croix rouges, le Fantôme, il est réveillé, il faut...

Oswald est ici avec des amis qui vont le détruire, ne t'en fais pas. Mais on doit les aider. Il y a une autre personne que le Savant Fou qui a une grande part de responsabilité sur les événements actuels.

L'étranger...

Il s'appelle Aloysius Black, c'est le maire de notre ville... de Storybrooke je veux dire. Il est arrivé ici je ne sais comment et je ne sais pas pourquoi, mais on doit l'arrêter.

J'hochai la tête. Il semblerait qu'un plus grand combat que le premier soit ouvert à Wasteland et a lié une part des destins de ce monde et de ce Storybrooke.
Tandis que Tic m'aidai à me relever, quelque chose apparu soudainement en face de nous. Quelqu'un plutot.
Je reconnaissais cette jeune femme, elle était du groupe d'Oswald.

Vous venez de Storybrooke, vous ? On doit arrêter quelqu'un qui vient de là-bas : le maire, Aloysius. Demanda Tic.

L'arrêter ? Oh oui oui, bien sûr que je vais vous aider.


C'était au fond de la forêt que les talents de pisteurs de Tic nous emmenèrent. Mais bien plus loin que nous avions l'habitude de voir, vraiment vraiment plus loin, vers une partie de la forêt que nous ne connaissions pas avant.
On descendit dans une grotte qui s'enfonça vers... Je reconnus finalement l'endroit. Il s'était métamorphosé à l'apparence de ce Storybrooke, mais je finis par reconnaitre l'endroit où l'encre, et ses créations, la peinture et le dissolvant, prenaient sa source. La où le Fantôme et l'encre avaient été enfermé avant que le Savant Fou ne le libère de nouveau.

Et un homme se tenait là, s'approchant victorieusement de la sphère qui contenait la peinture.

Ne t'approche pas de ça ! Lui lançai-je.

Oh oui, je vous conseille de l'écouter. Et vous allez nous expliquer que diable faites-vous là.

On tournai la tête. Derrière nous, Dyson et un homme que je reconnus comme Soreth étaient là, le regard sévère planté sur ce mystérieux Black.



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________________________________________ 2016-08-11, 19:54

Le fantôme étira un sourire en coin pas du tout défaitiste. Lui, il venait de prendre la grosse tête. Et pourtant, le quatuor était armé jusqu'au dent. Aucune chance donc que le méchant de l'histoire ne gagne cette partie. Mais cette andouille se permit de lever les bras, l'air triomphant, en disant :

- Vous, Blanche-Neige, je vois dans vos souffrances qu'il y a un enfant abandonné.

Pourquoi à chaque fois fallait-il que cela revienne tout le temps sur le sujet de la conversation ? Snow arqua donc les sourcils, prête à se jeter sur le Fantôme de toutes ses forces mais l'espace noir commençais à dessiner autre chose. Et la princesse se retrouvait maintenant dans la cour de son château, à une seule différence près, tout était noir et blanc...

- C'est quoi ce bordel ?

Mais à peine eut elle le temps de faire cette réflexion peut utile que des tâches d'encre au sol se métamorphosaient. Et devant elle se trouvait des chevaliers noirs de la méchante reine. Ils étaient huit au total et chacun de ses compagnons de galère en avait deux à abattre. Mary Margaret n’hésita pas une seule seconde à brandir sa télécommande. Mais l'un des deux cavaliers lui blessa le bras. Voyant son sang sans couleur goutter sur le sol, la jeune femme appuya sur la zappette et désintégra les deux cavaliers qui redevinrent alors de l'encre.

Soudainement, une voix se fit entendre... Le Fantôme les surveillait mais était invisible aux yeux de tous :

- Vous résistez ? Je n'ai pas dit mon dernier mot. Je vois... une malédiction !
- Oh non...

Le même nuage que celui de la malédiction de Regina - alors qu'il était noir maintenant - recouvrit alors tout l'environnement. Mary Margaret grinça des dents. Ils étaient de nouveau dans cet espace vide de noir. Mais cela ne dura pas longtemps puisque tout se redessina bien vite pour créer Storybrooke en noir et blanc. Un Storybrooke bien plus organisée que le Wastebrooke de départ.

- Vous Harmony. Dans votre passé je vois... un hôpital !

Tout redevint alors noir...

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________________________________________ 2016-08-12, 16:42


Le monde de la Désolation





Plus on avançait dans cette forêt, plus je me disais qu'au final, cette Aloysius avait bien définit son plan. Cacher au plus profond de la forêt, personne ne viendrait le déranger, ca c'était sur. Je préférais me taire pendant le trajet, j'avais aucunement envie de parler ou de sympathiser avec Dyson. J'avais pas envie de lui demander ses gouts et ses couleurs. Marcher à coté de lui sans pouvoir le frapper m'était insupportable. Je sais pas combien de temps on allait marcher comme ca, mais lorsque je pensais qu'on ce trouvait au cœur de la forêt, par sa longueur au niveau des arbres et par le manque de vent, on tomba sur une grotte. Je m'arrêtais en fronçant les sourcils. Ah je vois. Malin, le petit Aloysius. Quand on dit que les bêtes possèdent une grotte, en fait, c'est pas une blague. Je laissais Dyson passer le premier – quelque fois qu'il ce casserait la tête et en mourrait- avant de m'agripper au parois et de me laisser glisser.

C'était humide, et on entendait quelque goutte tomber des roche pendante au dessus de nos tête. Nos pas retentissais sur les pierres incrutés dans le sol . J'aurais tout donnée pour un whisky, là tout de suite maintenant. En fait, pourquoi je les aidais ? Jusqu'à maintenant, j'étais chez moi, je ne m'occupais que de moi et de ma vengeance, et ca m'est très bien aller ainsi. Il y avait fallu que ces sales fouineurs viennent tout bousiller. Alors qu'on avançait, deux sphères finirent par ce découper au fond de la grotte. Je plissais les yeux. L'une était verte, l'autre bleu. Dissolvant, peinture, non ?Donc tout était là depuis le début ? Oh, tout prenait un sens logique dans mon esprit à présent. Je devais avouer que le noir et le blanc, ca commençait à me lasser. Je pouvais même pas choisir mes habits, tout étant de noir et de blanc.

Un homme, dont je notais qu'il avait toute ses couleurs, s'approcha de la peinture. Ah d'accord. Parce que lui il a le droit à toute ses couleurs, mais nous par contre on peu aller ce brosser ? La colère qui m'animait ne venait plus de l'amiosité que je ressentais pour Dyson. -Oh, on ce calme, ce gars là, je me promet de me venger- mais le fait de voir mes précieuses couleurs croupir dans cette sphère avait de quoi déclencher ma colère. L'Homme s'approcha afin de la toucher, lorsqu'une voix l'en empêcha. Je tournais la tête pour voir la bande des joyeux sept nain débarquer. Tac, Tic, Lily. Genial, non seulement ils étaient arrivé devant nous,mais en plus les jumeaux infernaux étaient présent. Quoi la prochaine fois ? La danse de la joie, dans une ronde animé avec les Aloysius ? Leur façon de ce comporter en héros me donnait envie de vomir. J'avais envie de les frapper, je sais pas pourquoi. Leur courage m'était horripilant, à tous.

On finit par les rejoindres, et Dyson vint ce placer devant le fameux Aloysius. Oh oui pardon, je ne vous l'ai pas dis n'est ce pas ? Cette homme, c'est Aloysius. Hola mon petit lion ! Dyson lui ordonna de s'expliquer. Avec son air insouciant, il me donnait envie de rire. C'est fou ce que les héris parfois peuvent être ridicule dans leur envie de connaître la vérité. Lily voulu lui sauter dessus et l'attaquer, mais Dyson l'en empêcha, en retorquant que Aloysius devait s'expliquer.

«  Oh par pitié, le laisser pas gagner du temps comme ca, bouger vos miches ! » m'exclamais-je avec lassitude. «  Ta jamais compris que demander des explications, ca servait à rien ? Il va te divulguer son plan et après ? Tu crois que ton spitch va l'attendrir ? Il va juste tous vous ecraser en le mettant bien profond ou il le pense, ton sptich.» Lachais-je avec une expression faciale des plus insolente, montant mon grin de voix le plus haut possible en m'exprimant d'une manière theatrale. Monsieur Aloysius, je vous en prie, tuez cette bande de misérables tout de suite, et qu'on en finisse. J'ai un verre de whisky qui m'attend au barre. Moi, j'avais beau avoir la présence physique avec Dyson, mon mentale n'en restait pas moins seule.

Un tremble de terre provoca alors des vribations sur les parois de la grotte. Mes pieds ce mirent à trembler, provoquant une sensation assez desagreable dans mes jambes. Une tâche vint s'ecraser sur ma mains. Avec curiosité, je fronçais les sourcils, tout en levant les yeux vers le plafond. Des gouttes d'encre en tombait. Je reportais mon attention vers Dyson qui venait de dire je ne sais quoi à Miss parfaite. Elle décampa aussitôt avec les deux barjos, nous laissant seule avec le sadique et l'insouciant. Genial. Et mon verra de whisky, pendant ce temps ? J'observais un moment Aloysius. Nous servant de magnifique parole ambitieuse sur un petit plat sadique, appuyant très bien sur la sauce du danger. A quel point sa craignait ? Oh point que là, même si ca me faisait pas plaisir, mon esprit s'échappait de mes doigts pour aller ce mettre avec Dyson. Foutu conscience, putain.

« Quel beau connard infinie. » Lachais-je entre deux sourires provocateurs. J'avais toujours mon fusil sur l'epaule. Sa compagnie commençait par m'être familière, et même si les balles manquait, il était hors de question que je m'en sépare. Je pensais l'appeler Bucky, c'est mignon non ? J'aime bien, Bucky. Bucky le fusil. Je m'avançais avec un regard sérieux, n'effaçant pas ce sourire evocateur et narquois. Toute la tension figurais par le simple regard que je soutenais à Aloysius. Le parfait connard illustré. Un vent s'engouffra dans la grotte, soulevant quelque mèche de cheveux du sadique. Fallait dire qu'il en avait une sacré, de tignasse. Qu'elle jolie, misérable petite fille. Dyson ce mit à sourire, comprenant ce qui était en train de ce passer.

« Mes amies sont à deux doigts de détruire le Fantôme de l'intérieur. Vous ne réussirez pas Aloy » Lacha Dyson . Je me retournais vers lui en manquant de frapper Aloysius accidentellement avec Bucky.

« Je crois que ton plan ce casse la gueule ! » Fis-je en revenant face à Aloy, les mains ecarté avec un sourire espiègle. Alors que je pensais que tout ce réglerais vite fait, une mains ce posa sur l'epaule de Dyson. Il ce retourna, pour voir avec effroie une sombre version de Miss parfaite. Elle lui administra un coup tellement violent au visage, qu'une grimace s'échappa de mon visage. «  Outch. » Commentais-je. Je lachais un soupire lassé. « Moi qui pensais que je pourrais retourner boire mon verre de whisky, je suis déçu. Vous êtes tous vraiment chiant. » mais c'est vrai ! A cause de leur connerie, beh je devais attendre pour boire mon verre. Puis bon, elle est sympa la pirate fille – d'ailleurs qui a eu l'idée de laisser une fille devenir pirate?- mais elle venait de frapper Dyson. Hors, y'a que moi ici qui puisse frapper Dyson. C'est ma vengeance, bordel de merde. Je l'ai assez crier pour que tout le monde le comprenne non ? Pourquoi est ce qu'elle s'acharnais, peu importe la version d'elle, à me voler la vedette là ?

« Bon. Je m'ennuie. » déclarais-je, avant de me tourner vers Aloy en levant Bucky et en l'assaillant dans son visage. Bordel, comme ca faisait vachement du bien ! Sauf que bien entendu, quand il fallait que je sois en train de gagner la partie – c'est toujours comme ca, dans les films- le sol ce mit à s'ouvrir en dessous de nous. Sa gueule béante nous avala, et je voyais que tout tournais autour de moi et Aloy. Je ne savais plus distinguer si mon êstomac était en haut, ou en bas. Dans tout les cas, je serrais Bucky – hors de question de le lacher!- et un flash lumineux vint me brûler la rétine. Je sais pas si j'étais mort. Mais j'avais le cerveau bien lourd. Je sais pas si on pouvait m'entendre gémir comme une fillette, mais tout semblait lourd en moi, et l'horrible impression que le sommeil pesait sur mes paupières pour m'emporter.

J'étais sacrément dans les vappes. Tellement, que j'avais comme une sensation de nouveau, en moi. Comme ci mes couleurs revenaient. Je sais pas quel coup j'ai du prendre, mais putain, les vappes, c'était pire que le whisky.


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________________________________________ 2016-08-12, 17:42



Wasteland
Je suivis les jumeaux jusqu'au fin fond de la forêt puisque ayant toujours le contrôle de ton corps, il fallait attendre le moment propice pour se débarrasser d'eux, mais pour le moment ils faisaient trop attention à ta présence pour que je puisse manigancer quoi que ce soit.
Finalement, nous arrivâmes dans une grotte où un homme était déjà présent, je jurais intérieurement, cette cavité isolée aurait été parfaite pour cacher les corps. Tant pis, après tout, peut être que j'allais apprendre des choses intéressantes.
Il y avait deux sortes de sphère, l'une remplie de dissolvant, enfin c'est ce que je supposai vu la couleur verte du liquide. L'autre était remplie d'un liquide bleu: la peinture. Mes yeux noirs brillèrent,tout cela avait l'air très important pour Wasteland, je me demandais quel impact ça aurait sur ce monde si je détruisais ces sphères. Mais la question la plus intéressante restait encore: comment Dyson réagirait si tu détruisait son monde ? Un sourire malsain s'étira sur mes lèvres tandis que l'un des deux jumeaux empêchait l'inconnu de toucher la sphère de peinture. Le-dit homme se retourna et je pus voir son visage, c'était le maire de Storybrooke, tu le trouvais désirable mais je le trouvais juste intéressant de par son côté mauvais. J'étais tout ce qu'il y avait de plus mauvais ici, plus mauvaise encore que le nuage de poussière qui menaçait de détruire Wasteland, plus mauvaise encore que Raven, alors c'était normal que je perçoive cette qualité chez les autres.
Et soudainement, quelque chose se passa, ce fut assez douloureux mais je savais que ça allait arriver, quelqu'un prit ma place. Il ne lui fallait qu'une chose pour qu'elle y parvienne, c'était une raison, un appel extérieur, dans ce cas-là, l'appel avait été la voix de Dyson.

***

La noirceur de tes yeux se retira comme la mer se retire de la plage, l'un reprit une teinte des plus naturelles -devenant donc décoloré- mais l'autre brilla d'un rose singulier, visible malgré la décoloration que t'avait fait subir Wasteland. Apparemment, ce monde n'était pas assez fort pour te tuer, même si ton énergie vitale était la couleur.
J'avais maintenant pris le contrôle de ton corps, il ne serait pas forcément plus sain que celui de Dark Lily, mais tu ne serais plus un danger pour les autres, seulement un danger pour toi même. C'est amusant, mais je savais que c'était ce que tu aurais voulu, j'ai bien vu comment tu les regardais, ton armée, tes amis, ces gens qui étaient prêt à sacrifier leur vie. Tu as beau te cacher derrière des masques et jouer les insensibles en envoyant des gens se faire tuer, mais tu ne peux rien me cacher ma Lily.
Tu joues les égoïstes, mais tu te jetterais dans les combats autant de fois qu'il le faudrait pour sauver les vies innocentes. Je suis cette facette de toi, l'impulsive, celle qui écoute ce que lui dicte son cœur, celle qui ne réfléchit jamais, celle qui agit.
Je savais que les personnalités minimes retiendraient Dark Lily le temps qu'il faudrait, mais ça ne pourrait pas durer, la seule façon pour qu'elle se cache à nouveau, c'était que toi tu reviennes, et pour cela il fallait commencer par partir d'ici.

-Dyson !

Je me jetai littéralement dans les bras de mon ainé, heureuse qu'il ne soit pas mort.

-Lily ! Tu va bien ? chuchota t'il à mon intention, tout en observant Aloysius.

Je me décrochai de lui et répondais avec le plus de naturel possible que oui j'allais bien. Enfin, tout était relatif bien entendu, tu étais comme morte, j'étais une folle qui prenait le contrôle de ton corps, les choses auraient put aller mieux.
Le jeune homme baissa la tête vers moi, plantant son regard décoloré dans le mien et répétant sa question:

-Lily ? Ca va ?

J'allais être forcée de répondre à sa question, de tout lui expliquer, mais l'un des jumeaux me sauva en s'adressant au maire de Storybrooke, je n'eus alors qu'à me détourner de Dyson et faire mine que je n'avais pas entendu sa question.

-On sait que vous avez fait affaire avec le Savant Fou. Pourquoi ?

J'éclatais de rire, chose que tu aurais sûrement évité de faire, mais bon, je n'étais pas capable d'empêcher mes réactions naturelles... Et puis, est ce que Tac croyait vraiment qu'Aloysius allait lui dire un truc du genre "viens par ici mon petit, je vais te montrer mes plans et tout t'expliquer en détail". Je me raclais un peu la gorge et regardais ailleurs d'un air innocent. Dyson en rajouta une couche, mais cette fois-ci c'était différent, il y avait quelque chose, je ne savais pas si c'était dans sa voix, mais quelque chose me fit penser que le maire ne lui était pas inconnu.

-Qu'est-ce que vous voulez ? Qui êtes-vous vraiment ?

Mh, il pourrait sûrement répondre à la seconde question si l'envie lui en prenait, mais la première faisait écho à celle de Tac. Je commençais à sortir les illustrations de ta poche, autant en finir avec le vioc maintenant. Mais Dyson, en grand défenseur de la vie des autres, me conseilla d'arrêter. Enfin peut-être que c'était un ordre, mais je partais du principe qu'il avait la décence de ne pas me donner d'ordres:

-Laisse le parler. Je crois qu'il nous doit des explications

Un sourire malicieux étira mes lèvres et je répliquais avec un petit "non" insolent après avoir fait mine de réfléchir. Le jeune homme fronça les sourcils ce qui me fit abdiquer, non sans afficher une moue boudeuse. Je ronchonnais:

-De toute façon c'est même plus drôle si je le tue maintenant, t'as gâché toute la surprise.

Sadisme bonjour. Mais c'est vrai que je m'amusais d'un rien, et assassiner le maire m'aurait bien éclatée. M'enfin tant pis, je trouverais quelqu'un d'autre à assommer quand Dyson regarderait ailleurs.
Le sol trembla soudainement, j'espérais secrètement qu'un bloc rocheux s'écrase sur Aloysius, ce après quoi j'aurais pu clamer que je contrôlais les éléments, mais au lieu de cela, quelques gouttes d’encres tombèrent sur le front de ton ainé. Je fronçais les sourcils, déçue, mais je ne loupai pas pour autant l'espèce d'ombre qui passait dans le regard de Dyson, cela n'augurait rien de bon...

-Le Fantôme a la même capacité que les toons d'ici : ils voient le passé d'une personne. Enfin pas exactement, il voit ses sentiments passés. Mais à la différence des toons, lui va jouer de ça pour les déstabiliser. S'il te plait, j'ai besoin que tu retrouve le téléphone dans lequel tu as parlé pour leur faire entendre ta voix afin qu'ils ne se perdent pas dans son imagination tordue.

Je hochai vivement la tête. Mon ainé se tourna ensuite vers les jumeaux en leur ordonnant:

-Tic,Tac, partez avec elle.

Pendant ce court instant, je remarquais la présence de Mickey, échappant un cri surpris, puis l'engueulant:

-Mec, faut faire des appels de phare quand tu te fonds aussi bien dans le décor !

Il m'observa d'un air curieux, ce à quoi je répondis en lui tirant nonchalamment la langue.
Le regard décoloré de Dyson s'arrêta à nouveau sur moi, je m'approchai de lui tandis qu'il déclarait:

-Je vois que tu n'es plus toi même, mais je crois en toi.

Waouh, sans déconner, tu avais un œil rose qui était l'une des seules choses colorées dans ce monde, même un aveugle aurait pu se rendre compte que tu n'étais plus toi même.

-J'ai retrouvé qui j'étais vraiment lorsqu'on s'est parlé la première fois. A mon tour de faire de même. Tu me rendras cette pièce quand son se retrouvera.

Cela t'aurait fait sortir de tes gongs, tu aurais gueulé "gniiiiii un cadeau est un cadeau" et tu aurais probablement claqué la tête de Dyson contre un mur, mais puisque j'avais le contrôle de ton corps tu ne pus rien faire de tout ça. Quoique, la lueur rose de ton œil faiblit légèrement, comme pour montrer que tu étais là, quelque part, et je ressentis une tristesse que jamais je n'avais ressentit auparavant. Je serrai le poing et souris à Dyson. Dark Lily allait bientôt reprendre le contrôle, pour le moment les personnalités mineures avaient réussit à l'en empêcher mais cela ne durerait pas longtemps, elle les balayerait facilement, mais j'avais encore le temps d'agir...
Je plantais mon regard vairon dans celui de mon ainé et déclarais avec un sérieux qu'on ne me connaissait pas:

-Monsieur Dyson, si mes yeux deviennent complètement noirs, faites ce qu'il faut pour me mettre hors d'état de nuire. Cette personne sera prête à tout pour vous tuer, alors ne lui laissez même pas le temps d'en avoir l'idée.

Si j'avais parlé avec tant de sérieux, c'était parce que ce n'était pas moi. C'était toi, l'espace de quelques secondes...
Je partis donc avec Tic et Tac pour rejoindre la croix du Nord où tu avais laissé le téléphone. Il me suffit de siffler pour qu'il se pointe, un peu plus terrifié qu'avant, mais toujours entier.
Il ne fallait pas forcément trouver les mots justes, il fallait simplement que tes amis sachent que tu étais là. Je décidais alors de raconter une anecdote que j'adorais. Les personnalités ont toutes un souvenir qu'elles préfèrent, heureux, malheureux, qu'importe, un souvenir est un souvenir après tout.
Je décrochais le téléphone et commençai à parler:

-Je vais vous raconter une petite blague qui a été inventée par les pirates. Je crois. Aloooors, Bali et Balo sont sur un bâteau, Bali tond Balo/tombe à l'eau qui reste sur le bateau ?

Je me tournais vers Tic et Tac qui se regardèrent avant de proposer à l'unisson:

-Bali ?

Je secouais la tête et reprenais:

-Nop, les deux restent sur le bateau. Parce que Bali tond couic couic Balo.

J'entendis un soupir, sûrement un soupir d'exaspération, mais je continuai en souriant de plus belle:

-Dans mon ancien équipage, quand j'étais pas encore capitaine, on avait un gars qui s'appelait Balo, vraiment, je suppose qu'il était non désiré... Enfin bref, on lui faisait cette blague à chaque fois qu'on le croisait, et un jour, il est tombé à l'eau pour de vrai, mais y a que le mec qui lavait le pont qui l'a vu. Moi et les autres on était en train de manger. Alors il est entré en hâte et il nous a gueulé: "Balo est tombé à l'eau !" Alors on rigolait tous un peu en lui expliquant qu'il savait pas raconter la blague et qu'en plus de ça c'était pas drôle quand Balo était pas là. Y m'a chopée par le bras et m'a trainée sur le ponton pour me montrer Balo qui se débattait dans l'eau. J'ai éclaté de rire, juste avant qu'il se fasse noyer et bouffer par un requin ou un truc dans ce genre. Et le seul truc que j'ai trouvé à dire à ce moment-là fut: "Oh bein c'est ballot..."

J'éclatais alors d'un rire franc, espérant que ça repousserait Dark Lily, mais ça ne l'empêcha pas de prendre le contrôle... La porte me recracha et elle prit ma place...

***

Maintenant que je m'étais plus ou moins débarrassée des personnalités mineures, je pouvais reprendre le contrôle. C'est donc ce que je fis. Eh oui mes petits, la mer revient toujours sur la plage à un moment donné. Tes yeux devinrent noir comme les plumes du corbeau qu'avait été Raven, et tes cheveux extrêmement lisses.
J'eus vite fait d'assommer les jumeaux, il ne me restait plus qu'à tuer Dyson et tous tes amis pour que je garde le contrôle pour toujours. Mais avant ça, un peu d'humour ne ferait de mal à personne, si ?
Je repris le téléphone et demandais en riant:

-Tic et Tac sont sur un bateau, Lily se pointe, qui reste sur le bateau ?

Les gens auraient beau chercher un jeu de mot là-dedans, ils n'en trouveraient pas. Je répondis étant donné que personne ne pourrait le faire à ma place:

-Bein Lily voyons, je fis une pause le temps qu'ils assimilent la blague, puis repris d'un air réjouit: Maintenant je vais rendre une petite visite à Dyson...

Je laissais le téléphone tomber au sol, m'éloignant dans un rire sadique.

-Prêt à finir noyé, Monsieur Dyson ?

Feat les autres gens

Code de Frsoty Blue de Never utopia


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Vie: 75%
En possession de: Un manteau de pirate sans manches - une épée qui brille - LA plaquette d'illustrations (moins une illustration encre invisible, une montre et une enclume) - LA gourde remplie d'eau du lac


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________________________________________ 2016-08-12, 19:19

Black and White
Cause when we are good, we're grand, but when we're bad we are very bad. But I stick around 'cause the love that you're giving me is the best I've ever had. Oh, oh, oh, oh. And it's funny to me, the way that things have worked out. There's no doubt in my mind that you can't recall what this all was about. So let's give it up. Love me sweetly and completely Come and sit beside me 'cause you know I need you near. When you're wheelin' with that feelin' we'll paint the town pink 'cause baby, red is so last year.



Après que je sois ressortie avec des brûlures et des hématomes de cette foutue bagarre avec les hommes verts (à noter que le dissolvant peut avoir la couleur qu'on veut alors chut), j'avais fini par détruire la tentacule et je commençais littéralement à saturer donc j'avais bien le droit à une petite pause non ? Aussi je me pose contre le mur et me laisse glisser, respirant longuement. Alors que je ne m'y attends pas, je suis très rapidement rejointe par Harmony. Puis tout m'a sembler aller très vite. Les filles m'avait sans doute écouter vu que le monstre avait l'air d'être mal en point. Très vite, on se retrouva dans sa tête. Je n'aimais pas mais pas du tout la situation dans laquelle on se trouvait. Surtout que je n'avais qu'une envie, c'était rentrer chez nous et oublier toute cette histoire. Mais le fantôme ne semblait pas de cet avis vu que rapidement une fumée noire nous enveloppa avant que l'on se retrouve dans le jardin d'un château. Celui de Blanche Neige apparemment ou peut être bien celui de Regina. Enfin bref, des soldats noirs vinrent à notre rencontre. Des vieux trucs visqueux plein d'encre oui ! L'un d'eux m'attaque et je ne pu l'éviter mais ma télécommande me permis néanmoins de les ramener tous les deux à l'état de flaque d'encre. Nananère. Puis tres rapidement, un épais nuage noir nous encercle, causant le noir autour de nous.

« Je commence sérieusement à en avoir marre là ! »

Lorsque le nuage se dissipe, on se retrouve à Storybrooke mais tout est en noir et blanc mais alors que je pense être sortie d'affaire, très rapidement je remarque qu'un vide se crée sous mes pieds et je tombe, Park et Harmony également. Lorsque je lève les yeux, je remarque rapidement qu'au dessus de nous, un ciel se dessine toujours en noir et blanc mais en bas se trouve un labyrinthe.

« Sérieusement ? »

Mais je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soit de plus que je remarque qu'Harmony s'est stoppée la mais Park et moi on continue de tomber. Le noir nous envahie rapidement et je tarde rapidement à ne plus voir Park.

« Je n'aime pas ça. Je n'aime pas ça du tout ! »

Lorsque le noir se dissipe, je tombe lourdement sur le sol et me relève avant de voir une scène se dessiner autour de moi. Je me retiens d'hurler. Les fenêtres, la croix sur la cheminée, les fauteuils placés de cette manière...

« Le salon des Perron... »

Très rapidement j'entends les pleurs d'une petite fille, ma petite Judy, je reconnaîtrais ses larmes entre mille. Des bruits de pas sur le plancher qui grince. Je ressens la tristesse et toutes les présences sombres autour de moi. Je me mets les mains sur les oreilles, je tombe à genoux tellement c'est insupportable et insoutenable. Je ressens la tristesse, la douleur et toutes les présences sombres. Je regarde face à moi, les larmes aux yeux:

« Je vous en prie...non...tout mais pas ca... »

Je tente d'arrêter la douleur mais elle demeure, ma vue commence à se brouiller et je commence lentement à sombrer mais très rapidement une voix parvient jusqu'à mes oreilles. C'est la voix de Lily. Je rouvre les yeux mais ne parvient pas à distinguer tous ses mots, elle paraît si lointaine mais elle me permets de me raccrocher à moi même et de ne pas tomber dans les pièges du fantôme. Les pleurs s'arrêtent, je réussis à me relever et vois la scène se détruire. Un sourire né sur mes lèvres et je me retrouve rapidement dans l'étendue noire avant de voir que MM est là aussi. Je tourne le regard vers elle et souris:

« Ça fait plaisir de voir un visage qu'on connaît. »

Entre nous deux se trouvait un cœur, un cœur rouge qui maintient le fantôme en vie. Je regarde la princesse avant de lui faire comprendre qu'il faudrait qu'on détruise le cœur. Aussi, je tendis ma télécommande face à moi et un flux en jaillit avant de frapper le cœur de plein fouet tout comme celle de la brune et très vite la moitié du cœur fut détruit. On se retrouve subitement devant la tour de l'horloge de Wastebrooke. On tourne toutes les deux la tête et très rapidement le fantôme qui prédomine encore tout semble vraiment affaiblit.

« Je vous en prie les filles. Ils faut que vous réussissiez », dis-je en espérant que Park et Harmony allaient-elles aussi triompher.





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