« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Le groupe se sépara et il est vrai que laisser ta meilleure amie et Harmonix ta complix avec MM la dérangée te posait un réel problème. Tu voulus lui lancer un regard meurtrier histoire de la mettre en garde mais tu n’en eu pas le temps, obligée de rattraper Dyson et Lukas qui partaient déjà vers l’ascenseur. Tu allais monter dedans et enfin découvrir quel bon rhum pouvait bien se cacher en bas, quand la porte s’ouvrit en un grincement terrifiant –n’étant pas sans te rappeler ceux que produisait la coque en bois de l’Imaginaire. Miss-Jésus-est-notre-sauveur. Tu aurais dû t’en douter. Tu levas les yeux au ciel avant de prendre place dans l’ascenseur, faisant mine de ne pas écouter ce que déblatérait ton ainée. Monsieur Dyson, Lukas et Laure finirent enfin par monter avec toi dans la petite boîte en métal. Et alors que tu espérais que la « jeune » femme avait enfin finit de parler, elle reprit, te faisant une fois de plus rouler des yeux. Dès que le mot diamant parvint à tes oreilles, tu relevas la tête à la manière d’un suricate, en faisant même tomber tes lunettes Mickey sur ton nez. Tu déplias les grandes oreilles opaques qui en cachaient les verres pour te concentrer avec effroi sur ce que disait Laure. Le diamant, c’était l’objet qu’avait ramassé Parquet ! Jésus-est-notre-sauveur remonta tout de suite dans ton estime. Et comme Dyson le confirma, c’était bien le diamant que Park avait ramassé et il était encore plus dangereux que n’importe lequel des diamants. Tellement dangereux que le seul fait de le posséder vous plaçait sur la liste des pré-décédés. Tu t’agitas presque directement, commençant déjà à vouloir faire remonter l’ascenseur pour aller sauver Parquet. Mais comme toujours, il fallait qu’un salopard gâche tout. Cette fois ci, tu n’avais ni son nom, ni son visage, mais une chose était sûre, tu aurais sa peau –comme celle de tous ceux qui auraient l’audace de se mettre en travers de ton chemin. Dyson vous ordonna de vous coucher au sol –il allait devenir expert à force de dire cela- car des gravats vous tombaient dessus. Gravats dus à l’explosion de votre porte de sortie. Tes tatouages commençaient à clignoter, tantôt violets, tantôt rouges. Tu te relevas en faisant craquer tes articulations, cherchant sur qui passer tes nerfs. Le mur t’apparût alors comme un ange descendu du ciel pour te servir de punchingball. Tu frappas dedans, la mâchoire serrée et le sang bouillonnant. De la poussière s’envola dans l’air tandis que tu te demandais si ton poing te faisait à présent plus mal que ta cuisse ou si c’était l’inverse. Aucun doute, la cuisse remportait le concours, et les gravas mêlés à la poussière qui s’étaient engouffrés dans la plaie n’arrangeraient pas vraiment cela, bien au contraire… Tu aurais déjà pu commencer à chercher un nom pour ton infection prochaine si Dyson ne t’avait pas confié son fils, le temps qu’il saute deux mètres plus bas. Quand Monsieur Dyson reprit son bambin, se fut ton tour de sauter au sol, aidée par ton ainé que tu remercias brièvement en secouant la tête. Bon, apparemment, le bon rhum n’était pas entreposé là. Tu avais beau regarder les alentours, il n’y avait aucun escalier pour descendre plus bas, ou même pour remonter. En fait, il n’y avait aucune issue. Tu enlaças les doigts de tes mains pour ne former qu’un seul énorme poing difforme que tu plaças sous ton menton, chuchotant doucement en fermant les yeux, exactement comme si tu priais. Quand tu rouvris les yeux, Laura t’observait avec un certain contentement, enfin, c’est ce dont tu eu l’impression. Tu tentas de la faire s’éloigner avec des « Tch tch » menaçants –ça marchait avec les pigeons- ajoutant même un « Eloigne-toi de moi, vile croyante, tu ne me convertiras pas ! Jamais ! ». Tu fis des grands gestes comme pour la faire fuir avant de t’éloigner en faisant des petits bonds, boitant un peu. Une véritable folle dingue. Et comme tu l’avais souhaité un peu plus tôt, une porte de sortie, sous vos pieds. Tu murmuras un « yes » réjouit avant de chuter en souriant. Et puis bientôt, le sol qui raviva un peu plus la douleur à ta cuisse. Dyson avait raison, dans ce monde la douleur était presque inexistante, tu avais même peur d’en perdre la notion. C’est vrai, depuis combien de temps est ce que vous vous trouviez là ? Il pouvait s’être écoulé une heure comme il pouvait s’être écoulé plusieurs jours, en réalité, vous n’en aviez aucune idée. Tu te relevas en une seule fois, comme montée sur des ressorts, prête à aller sauver le rhu… ta meilleure amie. Et ce malgré la douleur ! Les couleurs, c’était un truc auquel t’avais été habituée toute ta vie, tu n’avais jamais connu la télé en noir et blanc, en fait, tout était coloré. C’était sûrement pour cela que ce monde te faisait tourner la tête. Ici, ton était gris, sans saveur, comme si un géant en avait sucé les couleurs. Mais si, arrêtez de rire, vous voyez très bien ce que je veux dire ! Quand on garde un smartie trop longtemps dans la bouche il devient blanc, non ? Eh bien là c’est pareil. Wasteland était comme un gros smarties gardé trop longtemps dans la bouche. Tu fus donc assez surprise quand tu découvris de la couleur sur les murs, c’était comme si les mines de Wasteland étaient le chocolat des smarties, quelque chose de coloré. Les murs étaient rouges et jaunes, c’était magnifique –stupéfiant même. Tes tatouages se calmèrent instantanément, comme intimidés ou même calmés par tant de beauté. Au fond, un lac d’un blanc étonnant. Il paraissait doux, comme du lait céleste. Tes prunelles brillèrent. Soudain, une voix. Enfin, plutôt un homme –très séduisant- sur une barque. Cette voix, tu l’avais déjà entendue récemment. Cet accent festif qui réchauffait l’atmosphère. Tu n’eus pas le temps d’arriver à conclusion que Monsieur Dyson s’exclama :
-José Carioca ! Je vois que tu t’es débarrassé de toute la peinture que les vaches t’ont fait ingurgiter. J’aimais bien ta forme de toon, mais celle-ci n’est pas si horrible, dis-moi.
-« Pas si horrible », répétas-tu avec un sourire en coin.
José t’aida à monter après avoir embrassé ta main. Mais ton attention n’était à présent plus portée sur l’ancien perroquet. La rame t’intriguait, tu te demandais si elle avait une conscience. Tu posas Garatéfèsse sur l’une de tes épaules, puis tu t’installas confortablement, près de José et donc de la rame à laquelle tu lanças un coup d’œil suspicieux. Tandis que Dyson et José discutaient, tu tentas de t’emparer de la rame, t’étalant la première fois de tout ton long, adressant un demi-sourire au perroquet en te relevant, frottant ton front qui avait heurté le fond de la barque. Ton second essai ne fut pas vain, si bien que tu réussis à t’emparer de la rame –pour laquelle tu avais trouvé le sympathique prénom de Serge. Sans t’en rendre compte, tu avais causé la chute de Dyson dans les eaux laiteuses du lac. Tu pris un air innocent et rendis la rame à José, comme pour te laver du pêché que tu venais de commettre. Des images défilèrent alors sur la surface, et tu fus surprise de te reconnaitre –plus jeune et avec quelques dents en moins. Ce qui était en train de se passer était horrible, tu comprenais, tu comprenais tout. Ce vide que tu avais toujours su présent était en train de se combler. Tu te rappelais à présent : autrefois, tu avais cru le vol et la piraterie capable de remplacer ce manque, mais jamais elle n’avait su égaler l’amitié qu’Oswald avait eue pour toi et que tu avais eue pour lui. Les souvenirs de Dyson continuaient de défiler sur l’eau tandis que tu savais déjà ce qui allait se passer ensuite, comme un vestige de souvenirs dans ton esprit. Tu allais l’oublier pour toujours –enfin…- et il allait se retrouver à Wasteland avec les autres esprits oubliés par d’autres enfants égoïstes. Tu n’avais pas bu l’eau donc tu n’étais pas capable de te rappeler de tout, mais tu appris en voyant les souvenirs de Monsieur Dyson que ta peur de l’eau n’était pas apparue du jour au lendemain pour aucune raison valable. Un jour, tu avais été vraiment censée, douée d’un cœur plus pur que la pureté elle-même. Mais tout avait été gâché à cause de, et par ta mère. Ou peut-être par ton père ? Tu n’en savais trop rien, peut être que tu étais coupable, ou peut être que c’était Oswald. « Mort » ce mot résonna dans ta tête comme une sentence, se répercutant sur les murs de ton esprit tel un écho sans fin, sans cesse relancé par quelqu’un de cruel. Tu restas debout face aux eaux du lac, suivant le reste de la scène avec un peu plus de détachement. Tu avais avancé depuis que tu avais appris la mort de ton géniteur. Tu étais devenue quelqu’un dont il aurait pu être fier. Tu étais populaire, talentueuse, intelligente, rusée, habile, drôle, courageuse, crainte, respectée. Jamais pirate n’aurait pu rêver meilleure fille. Et pourtant, il ne saurait jamais tout cela. Tu passas ta main dans l’eau, faisant onduler la surface sur laquelle défilait le souvenir de l’arrivée d’Oswald à Wasteland. Tu avais honte, désespérément honte. Mais ce qui te faisait le plus mal, c’était que tout le monde pouvait s’en rendre compte en regardant tes bras, tes jambes, ou tout autre partie de ton corps recouverte de tatouages. Ils clignotaient d’un vert anis –ou vert pisse- singulier, à quelques pas du vert forêt : le dégoût. En fait, ce sentiment que tu ressentais, la honte, ce n’était que le dégoût de soi-même. Le dégoût de [s]toi[/s]-même. Un frisson te parcourra, faisant s’hérisser les poils de tes bras, te picotant la peau. Dyson sortit de l’eau comme par magie, atterrissant lourdement sur la barque. Le jeune homme leva la tête vers toi, chuchotant quelques mots qui résonnèrent dans ton esprit.
-Princesse Lily de Beauregard… l’enfant le plus cher à mes yeux…
Le reste du trajet se déroula dans un silence de mort, tu baissais la tête, ayant posé la cape sur tes épaules et tes jambes pour que personne ne puisse lire dans tes sentiments. Tu ne t’étais jamais sentie aussi mal à l’aise. Tu ne savais pas si tu voulais repenser à ton père ou réfléchir à ce que tu allais bien pouvoir dire à Dyson. Ton père était mort. Avait-il seulement été mis au courant de ta naissance ? Tu clignas doucement des yeux. Quelqu’un sur cette barque pouvait avoir des informations sur ton père, quelqu’un comme José qui avait beaucoup voyagé et croisé la route de milliers d’enfants. Tu eus le réflexe de plisser le regard. Un peu plus tôt –si ce n’était pas qu’une illusion créé par ton cerveau détraqué- tu avais observé une ombre passer dans le regard de l’ancien perroquet, quand tu avais croisé son regard, juste après qu’il t’ait embrassé la main. C’était comme s’il avait vu un fantôme. Et puis il avait souri, un sourire assez faux qui prouvait qu’il n’avait jamais eu à en faire auparavant. Juste avant de descendre de la barque, tu vidas un fond de rhum –gardé en cas de crise- et mis de l’eau du lac à la place. C’aurait pu être pour torturer des toons ou même des habitants de Storybrooke, mais sur le moment tu n’avais pas vraiment goût à cela –bien que ç’aurait pu te remonter le moral- en fait, si tu gardais de l’eau du lac avec toi, c’est car tu n’étais pas sûre de vouloir te souvenir… Tu descendis de la barque et le groupe se sépara encore une fois en deux. Tu aurais voulu t’éloigner en solitaire pour réfléchir à la vie, mais tu fus contrainte de suivre Dyson et Lukas dans un soupir honteux.
-Lily…
Tu n’avais aucune envie de faire la discussion, mais si ça pouvait faire disparaître le poids qui te compressait la poitrine, tu devais faire l’effort.
-Je suis désolée de t’avoir oublié Oswald, vraiment désolée
Une lueur vacilla dans ton regard, comme une larme qui cherchait le chemin vers la sortie. Mais tu ne pleuras pas, trop choquée pour cela. Au bout d’un certain moment et après que le chemin n’ait fait que monter, tu trouvas quelque chose, une sorte de feuille de papier ressemblant à celle que Geo Trouvetou avait prise pour créer le portail qui vous avez amené. Tu la pris dans la main et commenças à l’examiner. Il y avait en tout douze dessins dont plusieurs qui se ressemblaient. Trois montres, trois téléviseurs, trois enclumes et trois pots d’encre. Tu plissas le regard et rangeas la plaquette d’illustrations dans ta cape –qui possédait une poche. Monsieur Dyson et Lukas n’avaient pas vu que tu avais ramassé la feuille, du moins, ils n’avaient rien dit. Tu poserais des questions à ton ainé quand l’atmosphère gênante qui régnait serait passée. Tu sursautas en voyant une sorte de monstre, énorme et rond, ronflant encore plus qu’Aliénor –c’était un phénomène ! Tu allais lui sauter dessus pour engager un rodéo, mais Dyson t’en empêcha, tendant son bras devant toi en chuchotant :
-Ne crie pas, et ne fais pas de gestes brusques. Sinon il va se réveiller et exploser
Tu hochas doucement la tête et reculas doucement, imitant Monsieur Dyson. Une explosion retentit alors –s’en devenait presque barbant- détruisant l’une des deux issues. A présent, la seule qui restait se trouvait derrière le monstre qui venait de se réveiller, complètement déboussolé. Tu aurais voulu lui tapoter le haut du crâne pour qu’il se calme et même lui donner un petit nom, mais il mourut avant, après avoir grossit, grossit, et grossit jusqu’à l’explosion. Une sorte de violente vague d’air vous propulsa contre les murs, te sonnant un peu au passage. Vous perdîtes une fois de plus des couleurs, et une sorte de son aiguë résonna, comme une alarme puissante. Tu posas tes mains sur tes oreilles mais ça n’arrangeait rien, bien au contraire ! Tu serras la mâchoire, ton corps tout entier te picotait, comme s’il avait conscience du bruit tonitruant. C’était une sorte d’avertissement. Et puis, le bruit s’arrêta. Lukas et Dyson t’observaient, assez surpris par ton comportement. Tu aurais pu leur expliquer, tu aurais dû mais tu avais peur qu’ils te prennent pour une malade mentale. Alors tu te relevas, boitant encore plus, lutant pour ne pas t’asseoir. Un homme se tenait devant vous, un fusil dans les mains et une expression hostile sur le visage. Tu aurais pu courir, ç’aurait même était une assez bonne idée si on prenait en compte ton état de santé actuel, mais les défis ne t’avaient jamais fait peur. Alors, tu te postas devant l’inconnu, te plaçant entre ce dernier et Dyson et Lukas. Tu posas tes lunettes de soleil Mickey sur ton nez avant de hausser les sourcils en souriant doucement, Garatéfèsse sur une épaule.
-Toi mon gars, tu vas prendre cher.
Il n’avait encore rien fait de très menaçant, mais tu avais besoin de quelqu’un sur qui te défouler. Tes tatouages clignotèrent alors en rouge vif et une lueur meurtrière s’alluma dans ton regard turquoise. Il allait connaître le sort que Lily Jones réservait aux assassins.
Dyson avait finalement décidé de nous séparer en deux groupes, il partit alors avec Lily me laissant avec Harmony et MM. Espérons qu'il ne leurs arriveraient rien. Désormais, nous nous dirigions vers la fête foraine afin de remettre en marche le mécanisme. Tandis que Mary Margaret était en tête, Harmony marchait à côté de moi. C'est alors qu'elle commença à me poser une question étrange sur le fait de vouloir uriner. Bon elle n'avait pas tort sur le fait que nous n'avions pas envie. D'ailleurs c'était étrange car nous ne ressentions pas non plus vraiment la fatigue pour le moment. Elle enchaîna alors avec le fait de prendre le diamant, je lui jetai un regard noir, sachant ce qu'elle voulait.
- Je peux le garder merci.
La princesse quand à elle continuait toujours de choisir le chemin, tandis que nous la suivions de nouveau en silence, elle descendit finalement dans un trou et au bout de quelques minutes elle nous demanda de la rejoindre afin de l'aider. MM activa alors le premier levier, mais bien évidemment il aurait fallut un miracle pour que tout se passe bien ici. C'est alors que des robots en formes de flamants roses apparurent. Nan mais c'est une blagues ou quoi ? C'était vraiment crédible ce genre de truc ?! Et comme une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, il fallait qu'il y ait un deuxième levier ! Mais pour le moment notre priorité était de nous débarrasser de ces machines. Blanche-Neige prit alors sa télécommande et tua trois robots d'un coup, même si cela semblait impressionnant, hélas ce n'était pas assez pour en être débarrassé. Je vis alors d'autres robots roses s'approcher de nous, même si la brune m'avait dit d'utiliser mon diamant, je ne pouvais pas le faire, et si son pouvoir était limité ? Je devais le garder pour un moment plus...cruciale. Je fourrai alors le diamant dans une poche et me mis à regarder les alentours pour me trouver une arme au risque de finir en sushi. C'est alors que je découvris un pistolet à eau. Je sautai alors sur le pistolet en espérant qu'il s'agissait bien d'eau à l'intérieur et...Bingo ! Voilà l'arme qui me fallait, merci mon Dieu enfin de l'eau ! Je pointai alors ma nouvelle arme de prédilection sur un robot et pressa la détente. Bon je sais, ce n'était pas aussi classe qu'un vrai fusil mais dans ce monde, avoir de l'eau était plus utile que d'avoir une balle ! Je réussis alors à dégommer quelques robots lorsqu'Harmony eut soudain une idée. Elle voulait nous assurer de sortir lorsque nous aurions activé le deuxième levier.
Sans demander son reste, Harmony s'élança afin de mettre son plan à exécution, tandis que je cherchais du regard le deuxième levier je criai à MM:
- Là haut sur la plateforme ! Le levier
Je vis dans son regard qu'elle compris ce que je voulais dire. Nous nous élançâmes alors à notre tour afin de rejoindre la deuxième plateforme. En arrivant vers le deuxième nous fûmes rattrapés par les flamants roses. Je tirais alors toujours au pistolet à eau sur ceux qui arrivait vers moi, sauf que malchance... ce qui devais arriver arriva et ma réserve d'eau s'épuisa. C'est alors que sans crier gare je fus percutée de plein fouet par un des robots me retrouvant lourdement projeté sur le sol. En me relevant, je pus constater que j'avais perdu des couleurs sur mes cheveux et sur ma cuisse. Super...celui qui s'amusait à nous faire vivre ça allait certainement mourir lorsque je le verrais.
Pendant ce temps, MM avait activé le second levier. Enfin ! Harmony nous lança alors un grappin qui nous permis de monter afin de la rejoindre au niveau des télésièges. Je jetai ensuite le grappin qui n'était plus bon à rien. Désormais en haut, nous pouvions constater que les lampadaires de la ville fonctionnait de nouveau nous permettant alors d'avoir une vue imprenable sur la ville. Vers la fin de notre ascension pour nous diriger vers la mairie, nous dûmes nous arrêter afin de pouvoir sauter. Harmony sauta la première mais hélas, elle n'avait pas vraiment l'air agile et se rétama lourdement sur le sol. Je me retins de rire en voyant la scène pittoresque. Ce fus alors à mon tour de sauter, grâce à mon agilité de renarde et à mon sens de l'équilibre, je sus me rattraper au bâtiment en face de moi pour ensuite descendre le long d'un lampadaire, et m'accrocher sur une enseigne avant d'atteindre le sol sans encombre. Une fois Mary Margaret descendu, nous reprîmes notre chemin vers la marie.
Les portes s'ouvrirent alors d'elles-même ce qui ne présageait rien de bon. Tandis qu'Harmony prenait la tête du groupe pour trouver le pinceau, nous fûmes arrêté par un homme. Harmony se posa alors la question de qui il pouvait être. Pourtant moi je le reconnus aussitôt:
- Le Savant Fou.
Je déglutis comment pouvait-il être ici avant nous ? Décidément je détestais vraiment cet homme. Il commença alors une discussion animé avec Harmony, cet homme me fatiguait vraiment là... C'est alors qu'il se tourna vers moi en regardant le pistolet à eau. D'après lui j'allais participer à la fin du monde avec ce pistolet. S'il savait ce que je pouvais faire avec de l'eau il aurait beaucoup plus peur croyez moi ! C'est alors que deux problèmes apparurent, le premier était qu'il voulait nous empêcher d'avoir le pinceau, le second était qu'il venait de faire apparaître ses chiens-chiens qui n'avaient pas vraiment l'air commodes. J'entendis tout simplement Harmony hurler " Courrez" et je n'attendis pas plus longtemps, mon sang de fit qu'un tour et je me mis à courir sans réfléchir à ce qui pouvait arriver. Nous nous séparâmes alors sans le vouloir d'Harmony. Tandis que nous courions dans le noir sans aucun but, je fis en sorte d'utiliser mes yeux de renard afin de voir plus claire, je vis alors la première porte qui passait par là et tira MM et sa fille dans la salle en fermant la porte. Je regardais alors rapidement ce qu'il pouvait y avoir dans cette pièce pour bloquer la porte mais hélas il n'y avait rien à part une vieille armoire et quelques meubles en bois cassé. Mais, mes yeux redevenus orangés, je pus distinguer sans problème la carte posé sur le mur. Il devait s'agir d'une carte de la ville avec des croix dessus. Je pris alors la carte en main et me rapprocha de la maman ainsi que sa fille.
- Je ne sais pas à quoi sert cette carte mais ici tout est bon à prendre alors on ne sait jamais ! D'ailleurs nous avons un gros problème. Nous avons sut rentrer ici pour nous protéger mais nous allons devoir nous battre pour en sortir...
Je regardais alors la fillette qui était celle qui risquait le plus de nous poser de problème dans ce combat...
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Couleur: 80 % Vie: 95 % En possession de: Chaussures à ressort, un diamant vert et un pistolet à eau
A peine les robots flamants roses étaient-ils arrivés que Mary Margaret avait calé sa fille dans ses bras, avant de pointer sa télécommande sur leurs ennemis. Trois flamants roses tombèrent alors d'un coup, alors que les filles courraient pendant qu'Harmony leur créaient un passage.
Quoiqu'il en soit, prise par son élan, la maîtresse d'école atteint rapidement la seconde plateforme pour activer le second levier alors que Park, elle tombait au sol. Au final, les télésièges se remirent alors en marche et Harmony les aida à grimper. Une fois l'ascension terminée, Snow sauta alors, essayant de protéger au mieux sa fille. Et les quatre filles continuèrent donc leur chemin vers la mairie. Une mairie qui s'ouvrit toute seule sur le savant fou... Un vrai psychopathe !
D'ailleurs, Mary Margaret n'attendit même pas qu'Harmony ne dise de fuir pour courir et elle ft brutalement tirer par Park dans une pièce à l'écart pour reprendre leur souffle. Mais déjà quelque chose clochait...
- Où est Harmony ?
Park semblait déjà plus concentrée sur une sorte de carte de la ville, qui montrait de nombreux points. Et il était hors de question que les deux femmes ressortent de cette pièce pour le moment... D'autant plus que la porte tremblaient de plus en plus sous les assauts des loups animatronics. Evidemment, Lily-Rose ne tarda pas à se remettre à pleurer alors que sa mère évaluait la situation. Déjà l'étagère vide qui lui faisait face lui était étrange. Elle s'avança donc, en caressant le dos de sa fille pour la consoler, avant de voir un encadrement.
- Park, viens m'aider !
Elles poussèrent donc l'étagère pour dévoiler une trappe que la plus vieille ouvrit sans effort. Mary Margaret laissa Park passer devant elle avec la carte et sa vision de renard... Parce que l'endroit était sombre et sans éclairage. Et c'est ainsi que les femmes se mirent à marcher. Seulement voilà, au bout de cinq minutes, du bruit se fit entendre derrières elles. Les loups avaient finit par rentrer dans la pièce. Il fallait espérer qu'ils ne trouvent pas le passage secret...
Quand à elles, elles étaient arrivée dans un endroit éclairés par quatre torches. Sauf que le chemin s'arrêtait maintenant là... Devant un grand mur sur lequel se trouvait une grande croix rouge. Snow leva les yeux vers le ciel pour voir une grande ouverture. Elle soupira et fit signe à sa camarade, en disant :
- Il va falloir grimper...
A moins que Mary Margaret ne réussisse sa téléportation ? Elle débouchèrent donc quelques instants après sur un sentier menant vers la forêt, juste à côté de la ville. La brunette se pencha sur la carte que Park tenait toujours et elle constata alors qu'elle se trouvait sur l'un des points rouges de la carte.
- Regarde on est exactement ici.
Elle montra le point sur la carte avant de montrer un autre signe qui se trouvait non loin. En réalité, elles n'avaient qu'à longer le sentier à côté de la forêt.
- Pas sûre que ce soit un pokéstop mais... Allons-y !
Alors qu'elles marchaient dans la forêt vers la crois, un bruit qui fit trembler les arbres se fit entendre... A priori, ce n'était pas un pokéstop mais un truc bien plus dangereux...
J'étais essoufflé, la douleur me parcourait entièrement, et courir était une réelle épreuve. Je boitai, j'avais atrocement mal, et je soupçonnai une de mes jambes d'être cassée. J'avais réussi à m'enfuir, mais j'avais toujours les mains liées. Cette croix rouge qui était peinte en face de moi là où j'ai été captif me hantait encore. Elle m'angoissait, et je n'étais resté devant elle que quelques secondes.
La forêt que je longeai sur un sentier à ses côtés se mit à frémir d'un bruit inquiétant, qui manquait de réveiller les arbres anormalement endormis. Il se réveillait. Je devais retrouver Géo Trouvetou et le libérer de sa croix rouge. Les autres visés étaient encore heureusement à l'abris des leurs. Il fallait que je me dépèche pour que ça reste ainsi.
Quant à Oswald et ses amis... ils étaient tous à deux doigts de la mort et je ne savais pas encore si et comment je pourrai les en sauver. Je devais essayer...
Je reçus un coup atroce à l'arrière de la tête qui se rajouta à la multitude de douleur vive qui me traversaient. Un animatronic. Ils m'avait retrouvé, je ne pouvais pas être assez rapide.
Je gémissais... Non, non, non....
Il me prit par le pied, je tranais sur le sol tandis qu'il m'emmenait, ouvrant des plaies sur mon visage, mes bras. Je voulais hurler mais je n'en avais plus la force. Je n'avais plus la force pour rien. Je commençais à l'accepter. Ma seule chance de survivre était de laisser le Savant Fou gagner.
Lorsqu'il m'envoya valdinguer à travers la petite cabane, mon dos heurta violemment le mur. Le Savant Fou entra dans la pièce. Sans doute avait-il finit avec ses affaires à la Mairie, comme avait-il dit. Je fus attaché, toujours face à cette croix rouge abominable qui me rongeait.
Je t'ai toi, je t'ai Géo... Ne m'échappe pas, j'ai déjà gagné.
Il ria, un rire machiavélique et sombre. Il ne me manque plus que cinqpersonnes. La première, ton frère. Je connais quelqu'un de Storybrooke qui saura me le rapporter. Pour Oswald... Et bien il semble que quelqu'un que je n'avais pas prévu s'occupe de lui pour moi. Je n'aurai plus qu'à ramasser les restes. Les trois autres, je sais que tu les cache. Que tu les protège...
Il sortit un fusil.
Pour faire ce que l'on veut, j'ai besoin de ton corps, pas de ta vie. Et toi, tu veux ta vie pour retrouver ton frère, alors tu vas sagement faire ce que je veux de toi. Dis moi où sont les Animaniacs. Précisémment.
Je tremblai, retenant les quelques larmes qui se battaient pour sortir.
Il pointa son fusil vers moi. Je pouvais le voir, il était prêt à me tuer. Je n'avais plus de couleur, alors ça m'atteindrait directement. J'en mourrai, s'il tirai, je le savais....
Tacko, j'ai déjà gagné. L'une des amies d'Oswald a ramassé bêtement le diamant du Fantôme. Elle se sent forte avec, elle ne se soucie de rien. Oswald, on va vite lui dire adieu. Tic ne va pas tarder à nous rejoindre. Si tu te tais, tu nous ralentis simplement, puisque je vais les trouver de toute façon. Si tu te tais, tu perds la vie, et la chance de revoir ton frère... Je suis sur le point de le faire. De le réveiller, les croix rouges sont prêtes, ne gache pas les dernières chances misérables que tu as.
Une larme s'échappa finalement.
Allez au diable... Tic ne vous le dirai pas s'il était à ma place.
C'est ton dernier mot ?
Je tremblai de plus en plus, laissant toutes les larmes s'échapper, mais je ne dis rien. Je devais les protéger, donner une chance à Oswald de tout résoudre.
PAN
......
Vie Tacko : .......
Dyson R. Parr
« Cours Dydy, cours ! »
| Crédits :Eilyam | Avatar : Tom Holland
| Métier : Aventurier, super-héros, en contrat de libraire chez Alexis et vendeur de chocolat chez Aster... et surfeur parfois
| Conte :Les Indestructibles | Dans le monde des contes, je suis :Dashiell Robert "Dash" Parr
La coalition se forme pour trouver à Aster son véritable amour
| Autres Personnalités :Icare J. Skellington - Léon Adonis - Ahsoka Tano
Il y a bien longtemps, à une époque où peu de gens y vivant le sont encore aujourd'hui, un sorcier créa les toons pour redonner de l'espoir à des enfants qui n'en avaient pas toujours. Ces toons étaient des êtres fait à base d'encre, ainsi flexibles, "incassables" pouvant encaisser tous les coups sans risquer leurs vies, en amusant leurs petits spectateurs. Ils accompagnaient les enfants pour s'assurer que leurs joies perdurent. Il est murmuré qu'à une époque, leur influence si belle sur les enfants était si forte, que sur un autre monde, quelqu'un les avait redessiné pour qu'ils puissent, de manière fictive, suivre les petits de là-bas.
Malheureusement, même les grandes magies ont leurs faiblesses, et l'existence des toons ne dérogeait pas à cette règle. C'était un procédé trop fort, les enfants ne pouvaient pas se lier à eux. Alors très vite, la Nature agissa pour rétablir l'équilibre, et écrivit elle même ses règles.
-La population des toons sera divisée en deux catégories. Les toons qui ont le devoir d'accompagner les enfants et les toons qui ne suivent aucun rôle prédestiné. -Cette première catégorie de toons ne pourra être qu'attirée par les enfants déjà dotés de sourires. Ainsi, la curiosité, l'espièglerie ou la joie d'un enfant lui permettra d'attirer un toon et d'avoir un nouvel ami -Lorsque l'enfant grandit, il oubliera le toon pour mener une vie ordinaire. Le toon subira cet oubli de manière réciproque, et aucun d'eux se rendra compte de l'oubli. -Si l'enfant subit un traumatisme sans que le toon n'ait pu l'empêcher, l'enfant sera amené, quelque soit l'âge, à oublier, de même que pour le toon. -Les rôles des toons prédestinés aux enfants ne peuvent être éternels. Arrivera un moment où un toon sera oublié de tous, qui perdra alors ses couleurs pour être envoyés dans le monde où prend source l'essence de leurs vies.
Wasteland, le Monde de la Désolation, remplit alors ce rôle, accueillant les toons oubliés ainsi que leurs tristes nostalgies qui donnèrent son nom à ce monde. Mais bien qu'être oubliés des enfants si précieux à leurs yeux les détruisait, ils comprirent rapidement qu'ils pouvaient mener leurs vies, être ensemble et tenter d'être heureux. Avec le temps, les toons qui arrivaient à Wasteland apprirent à tourner la page. Mais un jour, l'un d'entre eux, qui avait la forme d'un humain, se retrouvait en possession des sentiments que possédaient ceux-ci. Ainsi, dans le laboratoire qu'il possédait à Wasteland, il construisit une armée de robots de toutes formes, appelés Animatronics, dans le but de prendre le pouvoir sur toutes vies de ce monde. Sept toons se levèrent, les Rangers du Risques, les Animaniacs, Géo Trouvetou et Oswald, ce dernier suivi par ces amis, pour se révolter. Mais dans leurs combats, ils libérèrent la source de l'encre, la source même de toutes existences dans ce monde, avec elle une sombre entité qui fut appelée Fantôme, qui se nourrissait de Wasteland.
Bien des décennies à Wasteland
Oswald, Tic, Tac, Wakko, Yakko, Dot, Géo Trouvetou et le Savant Fou. Huit toons de Wasteland qui formaient l'équipe principale dans le combat contre le Fantôme. Le Savant Fou avait bien été obligé de rejoindre les sept premiers, désirant plus que tous avoir de l'influence sur ce monde, refusant ainsi catégoriquement qu'il soit en danger.
Après avoir étudié Wasteland pour en comprendre les caractéristiques, Géo Trouvetou avait déterminé huit endroits, placés comme la rosace des vents, qu'il marqua de croix rouges. Les huits points puissants du Monde de la Désolation qui saurait détruire le Fantôme pour l'enfermer de nouveau dans sa source. A chacune de ces croix il fallait une personne qui, de ces endroits, frapperait le Fantôme. Géo Trouvetou prit la croix du Nord, Tac, le Nord-Ouest, Tic, le Nord-Est, Oswald, l'Est, le Savant Fou, l'Ouest, les Animaniacs les trois derniers au Sud. Pendant ce temps, les toons de Wasteland s'étaient réunis pour permettre à ces huit héros de réussir, se chargeant d'éliminer les monstres d'encres. Les Animatronics du Savant Fou, les Trois Caballeros, les Revenants Solitaires, Elvire Ecoutum-Duck, les Arbres Grondants de la Forêt, d'aussi valeureux héros qui s'étaient chargés de la sécurité pendant le coup final.
C'est ainsi que le Fantôme fut anéanti, avec le rassemblement de tous les toons de Wasteland, parmi lesquels on pouvait même compter le plus detesté d'entre eux.
Aujourd'hui, à Storybrooke
Sur le pas de sa maison, un vieil homme observait les étoiles. Des frissons lui parcouraient, le grand mauvais pressentiment qui l'avait hanté une fois se manifestait de nouveau.
Harry ! Appela-t-il en fermant sa veste sous la brise nocturne, rentrant chez lui.
Un jeune homme vint à sa rencontre. Oui ?
Prépare mon atelier s'il te plait. J'ai besoin que tu vide ma table.
L'apprenti s'inquiéta, mais acquiesça aussitôt, se dirigeant vers l'arrière de la maison. Le vieil homme le suivit, et se dirigea vers une vieille armoire une fois dans ledit atelier, de laquelle il prit un grand bocal rempli d'un épais liquide bleu.
L'apprenti, une fois la table vidée, vit alors ce que son maitre venait de sortir, et le regarda avec stupeur. Vous en avez encore ? Ici, à Storybrooke ? La malédiction ne vous l'a pas enlevé ?
Le vieil homme se dirigea vers la table, y posant le récipient. La peinture est tout ce que j'ai pu retrouver. J'ai appris que certaines boutiques de cette ville possédait encore les objets que nous avions dans nos vies précédentes. Heureusement qu'aucun malheureux n'ait utilisé cette peinture là.
Le jeune garçon se gratta la tête, perplexe. Si vous voulez l'utiliser c'est pour... entendre votre création ? La dernière fois que vous l'avez fait, c'était parce que vous avez ressenti quelque chose de sombre.
Qui fort heureusement a été anéanti par les habitants. Non, aujourd'hui je pressens une menace plus forte. Le Wasteland que j'ai crée ne répond plus aux règles que je lui ai donné. Il est différent. Et quelqu'un profite de cette différence pour libérer quelque chose de dangereux, sans le savoir. Je le ressens. J'ai besoin d'en avoir le coeur net.
Sous le regard inquiet et attentif d'Harry, le faible sorcier ouvrit le bocal et versa la peinture toonesque sur la table, qui la recouvrit toute entière. Le vieil individu posa ses deux mains dans le liquide et ferma les yeux. Après quelques minutes silencieuses, il leva la tête brusquement, prenant une grande inspiration effrayée.
La source de la peinture est convoitée et seule la libération de la force mère pourra l'offrir. L'encre est sur le point de sortir une seconde fois de son habitacle. Un homme veut la peinture pour agir sur Storybrooke, un autre homme, qui prétend l'aider, convoite quelque chose de plus sombre. Il veut réveiller le Fantôme, pour dessiner sa vengeance et jubiler de pouvoir lorsque son associé rentrera à Storybrooke.
L'homme prit une autre respiration si soudaine qu'il s'écroula sur le sol, prit de spasmes. Harry se précipita à son chevet, affolé.
Les huit vainqueurs devront retrouver leurs croix rouges qui inspirera la force vengeresse du Fantôme qui se réveille petit à petit. L'un est torturé... Géo Trouvetou Le suivant est assassiné... Tac Trois autres seront menacés... Les Animaniacs Un autre sera kidnappé. Tic Le plus sombre sera volontaire Le Savant Fou Et le dernier sera assommé par les desseins de Mickey... Son rival, Oswald.
De Storybrooke l'une risquera son coeur, de Wasteland quelqu'un le perdra. De Storybrooke il sont plusieurs à mener la guerre pour sauver les toons, tandis qu'un se dessine le plan de conquête de notre ville. Le vieil homme ne lisait pas dans l'avenir, incapable d'un tel exploit. Il lisait dans l'âme de chacun, lisait leurs désirs, leurs forces. Il lisait dans les lignes de sa création, le Monde de la Désolation, et ce qu'il y lisait était effrayant.
Le sorcier, à deux doigts de la mort regarda son apprenti.
Wasteland est au bord de sa fin. Oswald est reparti là-bas, mais Tic est encore ici. Retrouve-le, cache-le, protège-le, et attends que les héros de Storybrooke et de Wasteland sauvent ce dernier.
Sur ces mots, la peinture s'effaça, et le créateur eut son dernier souffle.
Harry, endeuillé, affolé, inquiet, s'était précipité pour explorer toute la ville. Il passa les deux prochaines heures à chercher l'ancien tamias, avant de le trouver, par chance, à une adresse qu'il avait eu.
Tic ?
Le detective fronça les sourcils, personne ne l'avait appelé comme ça depuis 30 ans.
Qui êtes-vous ? Un ami de celui qui vous a créé. Ecoutez-moi, Oswald, votre frère, tous les autres, tout Wasteland est en danger. Le seul moyen de le sauver est de vous cacher. Quelqu'un vous cherche actuellement, il faut vous cacher maintenant !
L'homme le regarda pendant quelques secondes, réfléchissant.
Venez.
Ils coururent vers un abri anti atomique placé dans le jardin, que le detective ouvrit. Les deux hommes entrèrent, fermant ensuite la porte au maximum qu'ils le pouvaient.
Mais avant que l'un d'entre eux ne puisse parler, le seul se déroba sous les pieds de Tic. Harry se précipita vers lui pour le rattraper, mais trop tard. Ils tombèrent tous les deux à Wasteland.
Wasteland
Je me relevai. Lukas tremblait dans mes bras, mais à première vue, il n'avait rien. Lorsque je me retournai, je vis Lily, devant moi mais dos à moi. Quelqu'un se tenait devant elle. Je ne le reconnaissais pas, mais il me regardait d'un air assez haineux pour savoir que lui me reconnaissait. Je me rapprochai doucement de Lily.
Qui êtes-vous ? Je m'appelle Soreth aujourd'hui. Tu as ruiné ma vie, Dyson.
Je fronçai les sourcils. Rien de tout cela ne me disait quelque chose, ni même le timbre de sa voix.
J'étais sans doute la souris que tous les enfants préféraient. Et quand la malédiction m'a emporté, j'ai été enfermé ici pendant que monsieur prenait ma place dans le monde libre.
Un frisson me parcouru. Mickey ?...
Depuis que j'étais à Wasteland, je ne l'avais jamais revu, je ne l'ai jamais connu en noir et blanc, oublié. Manifestement, la malédiction avait emmené ici les toons d'enfants encore actifs avant ça. Je fus non moins surpris par ce qu'il me reprochait. D'être sorti d'ici. Et je ne le reconnaissais pas du tout aujourd'hui, habité d'une méchanceté qui frisait celle du Savant Fou.
J'ai jamais voulu ça tu sais...
Bien, c'était plus rapide que je le pensais. L'un des lapins bleus qui m'avaient suivi s'était faufilé dans les gravas pour le bousculer. Surpris, un coup de fusil partit dans le vide.
Lily viens ! Dis-je en commençant à courir, bien que cela ne m'aurait pas surpris si elle avait donné un coup de pied à Soreth avant de me suivre.
J'étais devant donc, et jetais des coups d'oeil en arrière pour voir si elle me suivait. Je m'arrêtais dans ma course. Bingo ! J'avais trouvé le générateur, mais je voyais le spectre du fil, transparent. On pouvait mettre le générateur en marche, mais on aurait besoin du pinceau pour repeindre la ligne. En espérant que les filles s'en sortent. J'ouvris le boitier, mettant en marche tous les boutons, avant de reprendre notre course avant que Mickey ne puisse nous retrouver.
Très vite, on tomba sur de la lumière. Une sortie. Je reconnus derrière elle des voix. Laure. José. On les avait retrouvé. On sortit du tunnel, mais je m'arrêtais en reconnaissant sur le mur un sigle que je connaissais. Une grande croix rouge. Je regardai autour de nous, reconnaissant à travers le paysage de Storybrooke quelques éléments du Wasteland d'origine.
On doit être au Sud Ouest de Wasteland...
Un frisson me parcouru l'échine, et ce n'était pas les bruits de pas qui s'approchaient de nous qui me terrifiaient tant. D'après Harmony, Géo Trouvetou se trouvait au nord. Au Nord. Je compris. Je compris tout, ou presque.
Le Savant Fou nous cherche tous, ceux qui ont détruit le Fantôme pour le réveiller aux huit croix rouges.
Mais dans ce cas il avait besoin de retrouver Tic et... Tac ! Il est forcément en vie !
Cause when we are good, we're grand, but when we're bad we are very bad. But I stick around 'cause the love that you're giving me is the best I've ever had. Oh, oh, oh, oh. And it's funny to me, the way that things have worked out. There's no doubt in my mind that you can't recall what this all was about. So let's give it up. Love me sweetly and completely Come and sit beside me 'cause you know I need you near. When you're wheelin' with that feelin' we'll paint the town pink 'cause baby, red is so last year.
Alors que je parlais avec José, on avait tous les deux entendus une énorme explosion et ni une ni deux, je l’avais attrapé par le poignet et nous nous étions donc mis à courir pour aller aider Dyson, Lily et Lukas. Mais une fois arrivés, on fit face à un ébouli qui bloquait littéralement le passage et ça, dans tous les sens du terme. Finalement, on le contourne afin de trouver un autre passage pour pouvoir trouver la sortie et c’est ce qui arrive rapidement. On se retrouve devant une grande croix rouge mais on est vite rejoint par Dyson, Lukas et Lily, par chance, ils n’ont pas l’air d’avoir eu trop de mal.
Des bruits de pas se font entendre non loin de nous et un homme sort ensuite. Il ne me dis rien qui vaille et vu son air menaçant, je sais que je ne me trompe pas. Dyson nous confie Lukas à qui je prends rapidement la main, mon instinct de maman sans doute et écoute avec attention ce que me dis Dyson.
« Essayez de retrouver les filles. Ensuite, allez libérer Géo Trouvetou. Il ne faut pas qu'il reste devant sa croix rouge. Et si vous y arrivez, essayez de vous diriger vers le Nord Ouest. Quelque chose me dit que Tac est en vie, là-bas. Je vous expliquerai »
Hésitante, je regarde les autres puis je le regarde, ressentant quelque chose de mauvais :
« Dyson, fais attention à toi s’il te plait. Je ressens quelque chose de mauvais et mon intuition ne me trompe jamais. »
Il me souris pour me rassurer avant de se tourner vers Lily :
« Fais attention, ta jambe est déjà bien amochée. »
Il se retourne vers l’homme en question tandis que l’on part tous les quatre de l’autre côté. En direction de la Mairie. On doit retrouver les filles au plus vite. Et la Mairie était le seul endroit où aller vu qu’elles avaient la mission de réactiver les mécanismes et tout ça se passait dans le centre-ville. Mais alors que l’on marche, la ville tremble, les arbres frémissent, un bruit inquiétant résonne.
« Il faut à tout prix qu’on retrouve les filles. Quelque chose de mauvais se prépare, je le sens… »
On s’avance donc vers la Mairie avant de se stopper net. Elle était entourée d’ombres.
« Tout sauf ça… » dis-je simplement. Je n’aimais pas ça, je n’aimais pas les ombres.
Mon don me jouait à nouveau des tours, je ressentais la présence d’invités non désirés, de créatures dont je n’avais aucunement envie de croiser la route mais également d’Harmony, elle était dans la Mairie, je le savais. Aussi, je me tourna vers les autres avant de confier Lukas à José et Lily :
« Attendez ici. Harmony est à l’intérieur. Je vais aller l’aider. Je vais la ramener. » dis-je simplement avant de lever un regard vers José. Je lui souris simplement pour le rassurer et me dirigea vers la Mairie.
Respirant longuement, je m’obstine à ne pas avoir peur des ombres et souffle longuement avant d’entrer dans la Mairie. Tout est sombre, tout est noir, il fait froid et je ne vois absolument rien. Frissonnant, je m’avance à tatons :
« Harmony ! C’est Laure ! Où est-tu ? »
Je continue d’avancer à l’aveuglette avant d’entendre des bruits étranges à ma droite. Je m’avance donc en touchant les murs et ne tarde pas à me retrouver dans un couloir. Mais je sens rapidement que quelque chose bouge, que plusieurs choses bougent en fait. N’avançant plus, je regarde devant moi et remarque très rapidement que des petits points blancs se dessinent dans le noir. Très rapidement, ils se transforment en œils avant que des grognements ne se fassent entendre.
J’avale difficilement, espérant que je sois simplement en train de rêver mais non c’était bien réel. Je me devais de continuer d’avancer, il fallait que je sauve Harmony. Je finis par distinguer des silhouettes canines…des…
« Oh putain des chats ! Minou…minou… Mais c’est quoi ça… »
Les formes se dessinent dans l’ombre, entièrement noirs, entièrement d’encre :
« Des loups ! Oh putain des loups. Là, ça commence à m’énerver les loups hein… »
Ils s’approchent de moi, je recule de quelques pas, respirant longuement :
« Rrr…ça sert à rien de grogner comme ça…pourquoi on en arrive au grognage ? »
Je les regarde. Ils vont se jeter sur moi, je le sais…
« On va s’assir… On va s’assir…Voilà…Fais dodo cola mon petit loup euh… »
Ah bah merde, ça à pas l’air de les endormir. Non parce que là, ils viennent de se relever et…Oh punaise, ils vont me manger ! Mais une porte au fond du couloir s’ouvre violement et une femme hurle avant d’envoyer du dissolvant sur les loups, les détruisant mais d’autre arrivant derrière moi, je lève les yeux et reconnaît Harmony.
Elle a le pinceau.
« Viens vite Laure ! »
Je me mets à courir et me rends dans la pièce avant de refermer la porte et regarde Harmony avant de la prendre dans mes bras :
« Je suis contente de te revoir et de constater que tu vas bien. J’ai eu peur tu sais. » lui dis-je avec un sourire. « Bon c’est pas tout ça mais ils sont derrière la porte et si on veut pas finir en pâtée pour loup, faut qu’on sorte d’ici… » je tourne la tête « La fenêtre, c’est le seul moyen. »
J’ouvre la fenêtre et on saute mais on se fait néanmoins avoir par des ombres glacées. Lorsque je me relève, je remarque que mes vêtements ont perdus de leur couleur, de même que mes avants bras qui possèdent des tâches grises et Harmony a apparemment elle aussi perdu de la couleur. Je me tourne vers Harmony :
« Viens on va retrouver les autres ! »
On se dirige vers l’avant de la mairie avant de retrouver José, Lily et Lukas et on recommence tous à marcher vers le nord pour aller trouver Géo mais alors qu’on est sur la route, un trou ne tarde pas à se former.
« Ce n’est pas un trou ! C’est un portail. »
Un homme qui m’est inconnu en sort. Et le second, c’est l’identique de Tac mais il est en couleur, il n’est pas en noir et blanc. J’ouvre la bouche puis la ferme à nouveau avant de finalement rompre le silence :
« Bonjour… » puis-je simplement dire.
Ils s’approchent de nous.
« Vous êtes les combattants de Storybrooke n'est-ce pas ? Savez vous où est Oswald ? »
Et la version colorée de Tac s’approche à son tour de nous avant de demander d’un air grave :
« Et mon frère ? Tac. »
Oh d’accord, donc c’est Tic…
« Nous sommes…les combattants de Storybrooke si vous voulez nous appelez comme ça. On était dans une grotte ou un truc dans ce genre là et Oswald est resté là bas, il voulait retenir un homme très bizarre mais j’ai peur qu’il soit en danger. »
Je me retourne vers le jumeau du Shérif :
« Vous êtes sans doute Tic alors. Je connais votre frère. La dernière fois qu’on l’a vu, il…il était sous un amas de… » je ne pu terminer ma phrase en croisant son regard.
Mais j’ignorais jusqu’alors qu’il était en vie quelque part…
Dyson était tombé dans la rivière. Bien. C'est ce que j'attendais, et un sourire carnassier avait relevé mes lèvres. Il était à présent dos à une fille, et le regard méfiant qu'il me lançait ne cessair d'écarté les lèvres d'avantages. Comme je le détestais, avec sa tête exprimant un regard doux, gentil et protecteur. C'est cela. Protège là, avant que je ruine à mon tour ta maigre vie. Je m'étais adossé contre une parois de la mine, ne cessant de jeter des regard haineux dans sa direction.
« Qui êtes-vous ? » Oh, il me reconnaissait pas. Comme j'étais touché. Il m'avait bousillé la vie et il me reconnaissat pas. J'étais déçu. Et bien alors, Oswald ? On ne reconnaît pas son vieux copain mickey ? Cette ville lui aura retourner la cervelle comme un vulgaire rat de laboratoire. Je me demande si il aurait été capable de faire pareil avec son fils. Oh non, son fils était bien trop important, bien entendue. Tout comme cette fille qu'il semblait s'acharner à protégé. N'est crainte, l'ennemie, je toucherais pas la fille. Quoi que …
« Je m'appelle Soreth aujourd'hui. Tu as ruiné ma vie, Dyson. » Oh. C'était sortie tout seul. Pourtant je suis sur que ce n'était pas ce que je voulais dire. Je mesurais mes paroles, réfléchissant dans le vide, avant de tourner un regard rayonnant vers lui. Mais c'est vrai. Ta ruiné ma vie, Dyson ! Mon esprit avait pas finis. Il continuait de faire bouger mes neuronnes. Ils voulaient s'exprimée. Parler mes grands, parler.
« J'étais sans doute la souris que tous les enfants préféraient. Et quand la malédiction m'a emporté, j'ai été enfermé ici pendant que monsieur prenait ma place dans le monde libre. » MA place.MES gosses. Pas les tiens. Qu'es ce que tu reconnais pas dans les pronoms possessifs, mon gars ? Je le regardais, exprimait toute la haine dans un visage fermés.
« Mickey ?... » Oh. Tiens donc. Il en avait fallu, du temps, pour que ces neuronnes ce reconnecte. Ce mot m'était étrangé, laissant un goût amer dans ma bouche. Il remontait à des années en arrières. Un flux de souvenirs tourbillonnait dans mon esprit, je fus pris d'un sérieux vertige. « J'ai jamais voulu ça tu sais... » Un rire s'échappa de ma bouche. Il était tellement drôle, Oswald. Il prétendait ne jamais avoir voulu ca. Mon ventre ce serrait tellement le fou rire durait.
« Tu es tellement drôle, Oswald. Les enfants auraient adorés entendre ca. » je lui faisais signe de l'index pour l'indiqué du doigt, avant de prendre un fausse airs frustrés, cachant ma bouche de ma mains pour lacher un ''Oup''. Un coup de fusil partit dans l'air, et des toons commençait à affluter de tout les coins. Je les regardais arrivés avec surprise, alors que Dyson prenait la fuite. « Oh je vois. On joue au chat et à la souris ? Je serais donc le chat. » Ricanais-je, m'apprêtant à le suivre avant de me faire bousculés par des lapins. J'en chassais un d'un revert du fusil, lui donnant un coup monumentale. J'aurais été très doué, au base ball. J'avançais en courant pour rejoindre la sortie. La lumière m'aveugla quelque seconde, avant de m'habituer à la vue. Devant l'entrée de la mine était peinte une croix rouge. Charmant. Dyson confie son fils à Lily, leur ordonnant de partir. « Tu veux pas que ton fils voit ca, Dyson ? Il serait ravit d'apprendre quel lâche est son père, pourtant. » Je lui offris un sourire, un regard malicieux allant de Dyson au groupe qui ce disperçait. J'avais caler mon fusil sur mon epaule.
« Mickey, j'ai jamais voulu te faire de mal.. » Un ricanement s'échappa de ma gorge. Des paroles, toujours des paroles. Mais jamais des actes. Teuh teuh, c'est moche, très moche.
« C'est pas beau de mentir, Oswald. Encore moins devant ses enfants. » Même si son fils était déjà partie depuis longtemps. Ah ces adultes, toujours à caché la vérité au gosses. C'est pas en les enfermant dans une irraélité qu'ils vont apprendre à ce débrouiller plus tard. Dyson leva les bras, signe qu'il voulait surement pas ce battre. Tant mieux, je pourrais encore mieux entendre ses côtes casser, comme ca. Il n'est de meilleur son que celui de la victoire.
« Je comprends ce que tu as ressenti, tu as été retiré à ta vie et ce n'est vraiment pas juste ! Mais sache qu'on l'a tous été, et on a appris à vivre ensemble, se serrer les coudes et trouver une vie convenable, ensemble ! Tu as encore cette chance, Soreth. » Il me faisait quoi ? Le spith du gentil héros, essayant d'arrêter le méchant ? Il essayait de m'arrêter avec un des belles paroles regorgés d'espoir ? C'était incommensurable. Il s'approha de moi, encore plus prêt. Il voulait vraiment pas ce battre, alors ? D'un revers de la mains, je le poussais, comme pour lui demandée de retiré son sale visage compatissant du miens.
« Tu veux m'apaiser Dyson ? comme tu apaisais tes petits enfants à ma place ? » Je m'étais à mon tour approché, pour mieux contempler son visage. Le visage d'un lâche.
« Je veux t'aider, aujourd'hui c'est ce que je fais, j'aide les gens à aller mieux. Je peux t'aider à avoir une vie heureuse » Je laissais un ricanement partir de ma bouche. M'aider ? Je reculais, trop amusée par cette phrase, le fixant d'un air moqueur. M'aider ? Pour quoi faire ? Ca veut dire quoi ca, m'aider ? Une nouvelle ruse ? Bordel mais qui à lacher des gens naïfs dans la nature ?
« Je suis ravie de voir qu'il y'a des personnes encore assez stupide pour croire à ton baratin. » déclarais-je d'un sourire.
« Pourquoi tu me veux du mal ? J'ai jamais voulu gacher la vie de personne ! Je ne t'ai rien fait ! »Et c'est pas juste, et blabla. Une ombre passa sur mon visage. Rien fait. Il n'avait rien fait. Une rage inouie s'empara de moi, et je levais des yeux haineux, tel un orage qui éclate vers lui. Il avait déclencher la foudre ? Son corps allaient en subir les spasmes.
« RIEN FAIS ? TU M'A GACHER LA VIE ! » J'avais hurlé d'une voix grave et criarde, l'echo ce repercutant dans les murs de la grotte. J'envoyais brutalement Dyson vers l'arrière d'un revers de la mains. L'adrénaline afflutait mes sens, et mes mouvements était contrôlés par la colère qui teintait dans mon esprit. Je le fixais d'un regard meurtrier. Voyez ce beau visage incompréhensible avec lequel il me fixait. Un rire ce deployait dans ma gorge. Il était tellement beau, comme ca. Dans son incompréhention qui prenait de plus en plus d'empleur quand il me regardair rigolé sans comprendre. « Tu m'a gâché la vie .. » Murmurais-je, comme ci une idée venait de remplir mon esprit d'espoir. Je lançais un regard fou dans sa direction, un mauvais rictus en lui parlant le plus calmement possible. Je retirais le fusil de mon epaule pour le contempler, comme ci je venais d'avoir la meilleur des idées. Mais oui. Bien sur.
« Et c'est normal que je me venge, non ? » Demandais-je, en tournant le regard du fusil pour le fixer lui. Je lui lançais un regard fourbe, armée d'un grand sourire. Mes muscles tremblait d'impatience. Il commença à percuté mon idée, et ce pauvre idiot tomba à la renverse de peur.
« Wowowo ! Ne fais pas quelque chose que tu pourrais regretter ! Ce n'est pas toi ça ! S'il te plait, Mickey ! » Mickey. Je regardais autour de moi. Oh, c'est à moi qu'il parlait ? Il c'était relevé, et je me raprochais un peu plus.
« Mickey ? c'est qui, mickey ? Moi, je m'appelle Soreth. » Fis-je en écartant les bras theatralement pour le désigner. Je m'approchais et lui assenais un violent coup au ventre à l'aide du fusil. Il ce plia en deux dans une plainte, lachant des grognements. oh. Regardez comme il souffre. Tu peu recrier, s'il te plait ? Recrie, pour moi. Hurle, hurle ta souffrance dans mes oreilles, pour les couvrirs d'une melodie. « Tu veux me rendre la vie heureuse, Oswald ? » Fis-je en remettant le coup de fusil sur mon epaule en prenant un air songeur. Comme ci avoir une vie heureuse pouvait être possible, tiens ! Je lui mis un coup dans les cheville pour le déséquilibrer. Il tomba sur le dos, ce tenant toujours le ventre. On a bobo, Dyson ? Tes capacité de Psy, alors ? Je suis déçu, moi qui souhaitais un rendez vous gratuit, une demonstration. Au final, t'es lamentable mon lapin. « Comme la tienne, ou tu as un merveilleux fils, une merveilleuse petite amie ? » Ajoutais-je dans un sourire en me penchant vers lui. Assener la voix à la douleur pour mieux provoquer un traumatisme. Ca lui disais rien, en tant que psy ? Je lui mis un coup dans les côtes. Il hurla de nouveau. Je mis une mains sur mon oreille pour mieux l'entendre souffrir, avec un sourire ravie. Me délectant de ce spectacle délicieux. « Ma seule vie heureuse, ce sera quand ton cadavre pendera à mes pieds ! » M'ecriais-je. Je lui assenais le coup final. Un coup du manche du fusil dans la tête. Sa tête tomba brutalement contre le sol, alors qu'un liquide pisseux pourpre tombais de son front. « Tu as raison. On ce sent toujours mieux après une consultation chez le psy. Bonne nuit, mon ami. » lachais-je d'un sourire. Ca faisais du bien. Il souffrait, il était un bon à rien. Ca faisait du bien. Mais tant qu'il aurait des gens qui l'aimait, ma vengeance n'était pas accomplie jusqu'au bout. Je remis mon fusil sur mon epaule, observant le visage inerte d'Oswald, avant de me détourné en marchant tranquillement, m'éloignant de son corps inconscient.
« Ce matin...une souris, à tuer un lapin ... » Chantonnais-je, référence au lapin et au chasseur.
Mary Margaret avançait vers la croix la plus proche - celle qui se trouvait vers le Nord Ouest. Parce qu'elle avait jugé que celle qui se trouvait vers le Nord était bien plus dangereuse puisqu'elle s'enfonçait dans la forêt. Et c'était là-bas que des bruits se faisaient entendre. Alors il était hors de question qu'elle ne mette la vie de sa fille et de Park en danger pour le moment... D'autant plus qu'un vent frais se levait sur Wasteland et rafraîchissait l'atmosphère.
Restant donc sur le sentier, la maîtresse d'école menait Park et Lily-Rose, tout en jetant des coup d'oeils vers la forêt, où tout était agité. Elle semblait avoir fait le bon choix, non ? Dans tous les cas, au bout de cinq minutes, elles arrivèrent devant une petite cabane et la brune ne laissa pas la choix à l'ancienne renarde de se mettre à couvert. D'autat plus que deux animatronics et le savant fou sortaient de la maison...
Voulant donc faire diversion, la princesse sortit sa télécommande de sa poche et tenta de viser les animatronics... Mais à priori elle était trop loin puisque rien ne se passa.
- On est trop loin...
Mais soudain, un grand bruit la fit se retourner. La cabane se mit alors à trembler sous son regard sceptique. Puis, il y eut un plus grand bruit dans la forêt et c'est toute la ville qui se mit à trembler. Snow se mordit donc les lèvres alors que le Savant Fou fermait sa porte, en pestant :
-Qu'est-ce qui se passe bon sang ? Qu'il cesse de s'impatienter ! Pourvu que la Croix du Nord ne soit pas endommagée, c'est la seule qui est opérationnelle pour sûr. Ça serait dommage d'avoir torturé cet homme pour rien...
Et sans rien dire de plus, il partit en direction de la ville. C'était trop simple, non ? Snow se tourna donc vers Park, sa fille toujours dans les bras, en disant alors :
- Il va falloir aller vers la croix du Nord... Geo Trouvetout s'y trouve, si on écoute ce que vient de dire le Savant Fou !
Sans attendre de réponse de sa camarade, la brunette s'aventura sur le chemin de la forêt, où des choses continuaient de grouiller au loin. Mieux valait rester prudente. Restant donc sur le sentier qu'elles avaient empruntés plus tôt, elles virent une bifurcation vers l'intérieur de la forêt, bordée par des lampadaires. Snow s'y engouffra alors que l'atmosphère devenait de plus en plus pesante, à cause des ronflements des arbres. De plus, plus elles avançaient, plus il faisait froid. Et les petites rires qu'elles entendaient ne présageaient rien de bon.
Et comme elle s'en doutait, ce n'était rien de bon... En effet les filles étaient maintenant encerclées par sept créatures à l'allure enfantine et aux yeux rouges.
Jamais autant de choix n’avaient étaient faits à ta place. Cela avait commencé quand Dyson t’avait ordonné de le suivre, ce que tu n’aurais pas fait en temps normal. La fuite étaient pour les faiblards, la vraie solution aurait été de prendre le fusil des mains du dit Mickey et de lui tirer une balle dans la tête. Ou encore mieux, de lui exploser le crâne avec un rocher, ou quoi que ce soit d’autre qui aurait pu mettre fin à ses jours, mais apparemment, faire partie du fan club de Dyson impliquait de soutenir ses idées pacifistes. Tu faillis suivre ton ainé sans rechigner, mais humilier Mickey encore plus qu’il ne l’était déjà t’amusait. Un coup de pied aurait été trop cliché venant de toi, alors tu lui crachas au visage, ce qui eut pour effet de créer une sorte de boue dégueulasse –grâce à la terre qu’il avait déjà sur le visage, surement due à l’explosion d’une partie de la grotte-, exactement comme si quelqu’un lui avait fait dessus. Tu ris à cette idée, adressant un clin d’œil malicieux à l’ancienne souris. Tu suivis ensuite Monsieur Dyson qui ne cessait de vérifier si tu le suivais, exactement comme si tu n’étais encore qu’une petite fille. Bientôt, une croix rouge, gigantesque, presque même terrifiante. Tu vis Dyson frissonner, et il y avait cette lueur dans son regard que tu avais déjà vue, la même lueur que quand vous étiez arrivés dans ce monde décoloré.
-Le Savant Fou nous cherche tous, ceux qui ont détruit le Fantôme pour le réveiller aux huit croix rouges.
Tu ne frissonnas pas, mais quelque chose se réveilla en toi, comme une sorte de souvenir aussi ancien que puissant, le souvenir de la guerre. C’était irréfutable, quoi que vous fassiez, ce Fantôme serait réveillé, et vous devrez vous battre. Plus vous essayez et plus vous échouez. Le plan qui avait été décidé avait pour but d’arrêter cela, d’empêcher la guerre, mais tu avais appris il y avait longtemps de cela en écoutant un fou divaguer que les guerres étaient écrites dans les étoiles. C’est là que le processus s’accéléra et que les ficelles s’échappèrent de tes mains pour aller dans celles de quelqu’un d’autre. Tu n’avais plus d’ascendance sur ce qui se passait, et ça te terrifiait bien plus que n’importe qu’elle guerre. Laure ressentait quelque chose de mauvais, et tu savais qu’elle avait raison, car même si vous ne croyiez pas en les mêmes dieux, tu ressentais la même chose qu’elle. Pour une fois dans ta vie, tu acceptais de faire confiance.
-Fais attention, ta jambe est déjà bien amochée.
Tu souris à Dyson, décidément, toutes les histoires que tu lui avais raconté sur ton passé ne lui avaient pas fait comprendre une chose essentielle : tu ne mourrais jamais. Quoi que tu fasses, où que tu ailles, tu avais toujours une chance insolente. Tu commenças à pivoter pour partir, mais tu ne pouvais pas le laisser comme ça, c’était peut-être la dernière fois que tu le voyais. Tu pris la main de ton ainé, déposas tes lunettes Mickey à l’intérieur, puis pressas sa main si fort que les lunettes furent détruites.
-Essaie de ne pas mourir, Monsieur Dyson…
Puis tu partis, tandis que le vent faisait s’envoler les morceaux de Mickey que Dyson tenait dans la main un peu plus tôt. Tu suivis le reste de groupe, frustrée de n’être pas restée avec le père de Lukas. S’il mourrait, tu te sentirais coupable, et jamais tu n’arriverais à te le pardonner. Tu ne savais que trop bien ce que son jeune fils ressentirait. Le vide, la solitude, … La Mairie était entourée d’ombres menaçantes, ça ne présageait rien de bon, mais si tes amies étaient là-dedans, tu devais y aller.
-Attendez ici. Harmony est à l’intérieur. Je vais aller l’aider. Je vais la ramener.
Tu te mis à respirer bruyamment, faisant du mieux que tu pouvais pour garder ton calme. Quand est ce qu’ils allaient réfléchir ? Quand est ce qu’ils allaient comprendre comment marchait une équipe, un groupe ?! Tu frottas tes tempes avec tes mains, serrant la mâchoire si fort que tes dents grincèrent. C’étaient tous des suicidaires, voilà la solution à cette énigme ! Des suicidaires relâchés dans la nature ! Tu fus secouée par un rire nerveux, ce monde te faisait perdre la tête. Pourquoi est-ce qu’ils ne t’avaient pas envoyée ? Vu le regard affolé de Laure, c’était sûr qu’elle avait peur des ombres, tu étais une lampe de poche humaine, tu avais des armes, tu savais te battre, … Tant de choses qui prouvaient que le choix de Laure était stupide. Tu continuais de respirer avec application, te contenant au mieux, luttant pour ne pas taper ta tête contre un mur. Bon, il fallait que tu t’occupes si tu ne voulais pas devenir dingue. Tu retiras ton t-shirt sur lequel un mickey souriant était imprimé, puis tu le posas par terre, passant ta main sur les plis pour qu’ils se tassent. Tu enfonças ensuite plus ou moins tes doigts dans ta blessure à la cuisse, te servant du sang pour dessiner sur ton t-shirt. Quand tu le remis, Mickey avait perdu son sourire, des croix rouges sur les yeux, un sourire de joker et du sang à la base du cou, comme s’il avait été égorgé. Tu avais découpé le crop top de manière à ce qu’il s’arrête sous la tête de la souris, raccourcissant monumentalement ton t-shirt et dévoilant des multitudes de tatouage, dans ton dos, mais aussi sur ton ventre. Tu remis ensuite la cape, puis tu suivis Laure qui était revenue avec une Harmonie pas trop amochée. Une sorte de secousse, puis un portail dont sortirent deux énergumènes colorés. Un portail qui menait vers Storybrooke ! Tu fus assez séduite à l’idée de sauter dedans, mais ce serait comme une fuite, et tu ne cautionnais pas ça dans le cas présent. Le premier énergumène était Tic, c’était certain puisqu’ils étaient identiques et que tu avais déjà vu des dessins animés où on voyait les deux jumeaux.
-Vous êtes les combattants de Storybrooke n’est-ce pas ? Savez-vous où est Oswald ?
Tu secouas négativement la tête, « combattant » impliquait que vous vous battiez pour Storybrooke, mais ce n’était pas le cas, tu aurais bien jeté cette ville à la poubelle pour retourner dans la forêt enchantée si tu avais pu. Mais il c’était révélé que même avec de la magie, tout n’était pas possible. Tu pris un air grave avant de couper court à la conversation :
-C’était Mickey. L’homme qui a attaqué Oswald. Et si on ne fait rien, il va mourir par notre faute, notre faute à tous.
Tu plantas ton regard turquoise, plus froid que jamais, dans ceux des membres du groupe, les uns après les autres. Les conséquences de la fuite étaient la Mort.
-Je m’appelle Harry, et… nous ne sommes pas censés être ici, à vrai dire, on tentait de s’en cacher. Des choses terribles se passent ici. Il y a 8 crois rouges qui représentent aujourd’hui les points du retour du Fantôme, à condition que s’y trouvent ceux qui l’ont détruit. Trouvetou, le Savant Fou, les tamias, les Animaniacs, et Oswald. Je crois que vous avez un rôle à jouer ici aussi. Vous savez quelque chose ?
Tu levas les yeux vers le-dit Harry, un son funeste jouait dans ta tête, sûrement celui qui serait joué aux enterrements prochains des personnes présentes.
-Geo se trouve déjà à une croix rouge, et Oswald est sûrement encore là où on l’a laissé. Et il y a là-bas une croix rouge.
Tu pris une grande inspiration, puis tu déclaras d’un air solennel, ta cape claquant dans le vent :
-Je vais chercher Dyson. Et vous devriez tous me suivre, car à votre place il n’aurait pas hésité une seule seconde.
Monsieur Dyson n’aurait pas été d’accord pour que vous retourniez le chercher, mais à ce moment-là, tu n’avais pas trop besoin de son avis, de toute manière, la guerre éclaterait. Tu partis vers la grotte dans laquelle vous aviez laissé Oswald, ne te retournant même pas pour vérifier que les autres te suivaient. Au bout d’un petit moment, José se plaça à côté de toi, tout le monde était là en fait, mais tu avais besoin de poser une question à l’ancien perroquet, une question qui te tenait vraiment à cœur.
-José. Tu as connu mon père n’est-ce pas ?
Tu tournas la tête vers lui, plantant une fois de plus ton regard dans le sien. Il hésita, alors tu argumentas, persuadée que si tu ne le faisais pas il mentirait :
-Je l’ai vu dans tes yeux quand j’ai croisé ton regard sur le lac, et je suis certaine que tu sais que mon père avait exactement les mêmes yeux que moi.
Il hocha doucement la tête, forcé d’admettre que tu avais raison.
-C’est vrai, j’ai connu ton père quand il était enfant. C’était un pirate très prometteur, il te ressemblait un peu tu sais, et pas seulement physiquement. Votre détermination, votre façon d’agir. Je le revois à travers toi, tu peux être très fier de lui, comme il aurait été fier de toi s’il t’avait connu avant sa mort.
Tu esquissas un sourire, heureuse d’apprendre tout cela, et vraiment fière d’avoir un père pareil. Tu remercias ensuite l’ancien perroquet, juste avant d’arriver devant les mines. Ce petit moment de joie fut vite balayé par la non-présence de Dyson… En fait, tout ce qu’il restait, c’était son sang…
Cause when we are good, we're grand, but when we're bad we are very bad. But I stick around 'cause the love that you're giving me is the best I've ever had. Oh, oh, oh, oh. And it's funny to me, the way that things have worked out. There's no doubt in my mind that you can't recall what this all was about. So let's give it up. Love me sweetly and completely Come and sit beside me 'cause you know I need you near. When you're wheelin' with that feelin' we'll paint the town pink 'cause baby, red is so last year.
Finalement, après les loups, nous pûmes toutes les deux sortirent presque sans séquelles de la mairie, on avait simplement perdu des couleurs. Rejoignant les autres, on ne tarda pas à recommencer de marcher et très rapidement un portail apparu avant d’en faire sortir Tac et un homme qui m’était totalement inconnu mais apparemment, d’après ce que j’avais compris, ce n’était que le début des ennuis. Bon d’après ce que disais Lily, l’homme très bizarre n’était nul autre que Mickey. Mickey la souris dessinée par Walt Disney si je me souviens bien.
Lily venait simplement de dire que si on ne retrouvait pas Dyson, il allait mourir par notre faute à tous. On ne pouvait pas laisser faire ça. Elle avait un regard sombre, il se posait sur moi un regard sombre qui me faisait presque frissonner.
« Je m’appelle Harry, et… nous ne sommes pas censés être ici, à vrai dire, on tentait de s’en cacher. Des choses terribles se passent ici. Il y a 8 crois rouges qui représentent aujourd’hui les points du retour du Fantôme, à condition que s’y trouvent ceux qui l’ont détruit. Trouvetou, le Savant Fou, les tamias, les Animaniacs, et Oswald. Je crois que vous avez un rôle à jouer ici aussi. Vous savez quelque chose ? »
Lily expliqua que Géo était déjà devant une croix rouge et qu’il y en avait une autre là bas et que Dyson était devant une croix aussi avant que je n’ajoute :
« Pas grand-chose de plus mise à part que Dyson est le toon de Lily et que José est le mien. »
Lily ajouta qu’elle allait le chercher car s’il aurait été à notre place, il l’aurait fait. Je ne réfléchis pas plus et suivis Lily mais au moment où nous arrivâmes au dit lieu, il n’y était plus. Il ne restait plus que du sang. Je me recula de quelques pas, car je ressentais quelque chose de malsain.
« Faut qu’on retourne vers le Nord, il faut aller libérer Géo comme nous l’a demandé Dyson. » dis-je en regardant Lily.
On se met donc à marcher et on finit par arriver à Mean Street et en levant la tête, je ne tarde pas à remarquer des télésièges en état de marche. Harmony nous explique que les filles se sont occupées de les remettre en marche. Harmony ajoute que si on les emprunte, il faudra sauter avant le terminus vu que Discoveryland est rempli de robots.
« Bon bah, on prends les télésièges d’accord ? C’est plus rapide pour aller au Nord. »
Je regarde autour de moi. Par où monter ? Les enseignes…Les toits. Oui c’est faisable. Je me retourne vers le groupe avant de faire un léger sourire :
« J’ai trouvé comment monter ! »
Je me dirige vers les enseignes avant de monter et m’accroche aux toits avant de monter et me relève avant de m’approcher du bord, rapidement rejointe par les autres et respirant longuement, je cours et saute avant de m’agripper aux télésièges, et regarde les autres faire de même. Très rapidement, on grimpe mais je ne tarde pas à regarder derrière nous et un animatronics nous suit et apparemment, il est très rapide.
« Animatronics derrière nous ! Dépêchez vous ! Vite ! » dis-je en hurlant avant de voir qu’on monte tous sauf Harry et Tic. « Nooooon ! » dis-je mais trop tard.
J’hésite à sauter pour aller les aider mais ils ont déjà disparus. José nous fait rapidement comprendre qu’on approche du Parc d’Attraction et qu’il faut donc sauter. Je me résigne à le faire et retombe sur le sol avant de me relever regardant autour de moi. Oui oui, ça va, n’ayez pas crainte. Je vais bien. On se mets donc à marcher et on mets environ cinq minutes avant d’arriver vers le sentier mais ce n’est pas le même que celui que j’avais emprunter.
« Géo m’a mise en garde, il faut suivre le sentier balisé mais celui là ne semble pas se rendre dans la forêt, ce n’est pas le même que j’ai emprunté quand je suis revenue. Il faut qu’on emprunte celui là, il longe la forêt. »
On avance sur le sentier avant de prendre le chemin de droite. Finalement, on finit par tomber sur le sentier. Il fait de plus en plus froid, les ronflements des arbres deviennent de plus en plus effrayants surtout dans cet univers en noir et blanc. Je balaye la forêt de mon regard avant de me tourner vers les autres avant d’entendre des ricanements malsains dans toute la forêt, je me retourne vers les autres :
« Rassurez-moi ? Vous les entendez aussi les ricanements hein ? »
Ils me firent un signe approbatif de la tête. Ça faisait du bien de ne pas se sentir seule dans cette situation. On finit finalement par tomber sur Park et Mary Margaret encerclées par d’affreux enfants qui me rappelaient que trop bien les démons que je voyais sans cesse dans mes enquêtes. Respirant longuement, je m’approcha avant de réfléchir. On devait les aider. Je regarde le groupe et m’avance avant de faire des signes des bras et finis par hurler :
« Eh les Affreux ! Venez jouer avec moi ! »
Deux des affreux qui étaient derrière elles et donc devant nous se retournent et sautent sur nous. Mais par chance, je fais un léger sourire et sors ma télécommande avant de regarder les deux affreux :
« On s’amuse pas avec Lorraine Warren l’affreux ! »
J’en touche un des deux et la décharge l’envoie plus loin avant qu’il ne disparaisse en fumée après avoir eu des convulsions. Et le second se jette sur Harmony :