« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Qu'est-ce que... Ils étaient sur un bateau, maintenant ? Absinthe regarda partout autour d'elle, avant que son regard ne s'accroche à la tenue de chacun. Des pirates. Et voilà qu'elle-même portait une tenue qu'elle trouvait tout à fait amusante, mais très inhabituelle. Le cuir, les lanières, le chapeau... Tout ceci ne lui ressemblait pas. Mais est-ce qu'on lui demandait son avis, après tout ? Bien sûr que non. Depuis qu'elle avait perdu connaissance, elle se faisait trainer de-ci, de-là. Au moins n'avait-elle plus à chercher de chats ! Car les chats avaient peur de l'eau, n'est-ce pas ? D'ailleurs, elle jeta un œil à Chess, songeant une seconde qu'elle devait se sentir bien mal à l'aise d'être ainsi sur l'eau ! Une femme – mais était-ce vraiment le Shérif Swan ?! - présenta la situation et Absinthe se sentir déglutir « Je... Je ne me bats pas, moi... Pas sans raison. » lâcha-t-elle d'une voix timide. Bien sûr, elle avait été prête à se battre à Wonderland... Mais son monde avait été en danger, à ce moment là ! Elle n'avait rien d'une guerrière, encore moins d'une pirate... Mais, peut-être avait-elle parlé un peu trop bas, car déjà, elle se trouvait devant les canons à regarder complètement ahurie Paige se prêter au jeu. Elle hurla littéralement de peur lorsqu'un canon déchira les voiles, se baissant par réflexe. Oh qu'elle aurait aimé redevenir un Loir à cet instant ! Ne serait-ce que pour aller se cacher dans un petit trou, quelque part, au calme ! Et elle n'avait personne à qui se raccrocher, puisque tous étaient occupés à tirer des canons « Je ne veux pas faire ça... » Elle était sur le point de pleurer. Elle, la petite hippie qui aimait tout le monde, s'imaginait bien mal tirer sur qui que ce soit... « Qu'est-ce que je dois faire ?! » Elle en était presque à hurler. Au moins, ici, elle en était sûre ; elle n'allait pas s'endormir ! Elle observa Dustan, puis Chess, sursautant en voyant les canons se fracasser sur le bateau ennemi, mais trouva le courage pour faire ce qu'elle devait faire. Avec beaucoup de difficulté, ceci dit. On ne pouvait pas dire qu'elle avait la carrure pour se servir d'un canon.
Et pourtant... En imitant parfaitement les gestes du Chat du Cheshire, elle fini par réussir à allumer la mèche, essayant de viser aussi bien qu'elle le pouvait, mais elle fut incapable de garder les yeux ouverts lorsque le boulet de canon partit à toute vitesse. Elle accompagna même la détonation d'un grand hurlement perçant et d'un sursaut digne des plus grandes terreurs qu'elle ai connu jusqu'à maintenant. Elle ne ressentit aucune joie d'avoir touché le bateau ennemi, aucune fierté même, contrairement visiblement à Dustan et Chess. Déjà, elle commençait à sangloter, baissant la tête pour ne pas le montrer. Est-ce qu'elle avait blessé quelqu'un en faisant ça ? Est-ce qu'elle avait mis la vie de quelqu'un en danger ? Elle avait beau se dire, à raison, que c'était soit eux, soit les autres, il n'en demeurait pas moins qu'elle était fondamentalement gentille et pacifiste. L'idée même de faire du mal à qui que ce soit, d'une quelconque manière que ce soit, sans que cela ne lui paraisse justifié lui donnait la nausée et elle se laissa glisser au sol, en espérant simplement qu'on l'oublie un peu, cette fois.
Bon et bien c'est pas le moment de rigoler, nous sommes vraiment entrain de combattre de vrai pirates, notre bateau est un peu touché, mais heureusement que mes trois autres camarades ont touchés le bateau ennemie: Chess, Abs et euh réfléchissons mais oui Dustan, il passe tous les matins devant la maison avec une tasse en plastique avec du liquide noir , une mignonne petite tasse.
Bon passons, là on est sur un bateau de pirate avec une femme à chapeau, mais elle aussi je la connais.. c'est Emma, mais qu'est ce qu'elle fait la????? Elle me reconnait pas, bon c'est pas grave.. Mon idiot de père était encore perché comme un singe sur le mat du navire. J'espère vraiment qu'il va retrouver sa mémoire et me donner une bonne raison d'avoir réagit comme ça.
Après avoir discuter au capitaine pour qu'elle évite de tirer sur mon papa de chapelier, je parti à côté de Chess, pour m'aider à charger le canon, je mis le feu à la mèche, mais malheureusement j'ai loupé encore le bateau, je me sentais pas bien, après ça, j'avais une peur naissante au fond de mon coeur. Allons nous couler dans cette mer agité sans savoir ce qui a poussé mon père dans une folie profonde. Je pris doucement la chaîne de mon collier pour soulever mon pendentif où il avait la photo de mon père et moi.. je te promets papa que je te sauverai de cette folie, mais comme tu me la dis et redis... Chaque sacrifice à un prix..... j'ai peur mais j'ai la force pour que tu sois fière de ta fille.. Sans le savoir, je me mis dans les bras de l'homme chat qui n'était pas trop rassuré sur un navire entouré d'eau.
Ha l'air marin, c'était à double tranchant, ou vous avez le pied marin et tous ce passe bien, ou vous avez le mal de mer, et là, pas de chance, vous dégobillez tout votre déjeuner par-dessus bord. Nom d'un calamar! C'était la première fois qu'il montait sur un bateau, le plaisant Dustan. Soudainement, quelque chose sembla tourner dans ses entrailles, ce n'était pas bon, pas bon du tout. Tant qu'il n'avait pas été attaqué, tous aller pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais depuis les premières secousses dues aux canons, les chose se gâtaient. Non de Zeus, alors les Shah non plus n'aimaient pas l'eau. Il vivait dans un océan...de sable fin. Un coup de canon retentit soudainement et toucha le navire. Pauvre entreprise, il n'était pas gâté avec tous ces marins d'eau douce qui couraient sur son bord. Et Jefferson qui boudait. Sérieusement, celui-là, il se tournait les pouces pendant que les autres risquaient leurs peaux. Mais de toute façon, à part s'il avait de la poussière de fée, il ne pouvait pas aller très loin, il était, sans mauvais jeux de mots, sur le même bateau. -Je préférait encore chercher des statuettes de chat en toge dans les nuages. Souffla il pour lui même, avant de se pencher à nouveau par dessus bord.
Définitivement, elle se vengerait de son ex ami nouveau ennemi. Là, ils allaient couler, pour de bon, et elle allait finir à la maille. Un chat, dans l'eau, qui se ferait dévorer par des poissons. Non, ça serait mieux si c'était une tête de chapelier, les petits mammifères marins seraient beaucoup mieux nourris qu'avec un chat, moins de gras, mais plus d'air. Parce que oui, là Chess pensait sincèrement que Jeff avait perdu son cerveau quelque part, que lui même s'était enfui de cette tête, et que maintenant il n'y avait plus que de l'air. Un grand vide intersidéral, même un trou noir avait plus de conscience que celui qui se balançait nonchalamment sur un des mats du bateau.
Une pensée cruelle passa dans l'esprit de Chess, que le bateau ennemi le touche pour qu'il tombe comme un oiseau mort et qu'elle se jette sur son corps pour le déchiqueter. Non, elle ne devait pas se laisser aller à ses pulsions meurtrières et sans scrupules de l'ex chat qu'elle était. Elle devait se concentrer sur la survie de ses amis, et surtout de son mal de cœur et aversion pour l'eau. Fermant les yeux, elle plaça les mains en horizontal pour essayer de se stabiliser, sauf que trois coups de canons violents retentirent et atterrirent dans leur bateau.
Forcément, la secousse la déstabilisa et Chess glissa au sol dans un grand fracas. Levant la tête au ciel, le chapelier de malheur était toujours à sa même place, comme une statue de cire. Génial, vraiment génial. En rentrant, elle demanderait à Douglas des cachets pour tout oublier, et un bon massage pour lui remettre en place les vertèbres qui s'étaient échappés pour rejoindre un monde plus deçant pour un chat.
Se relevant tant bien que mal en tenant son dos qui faisait un bruit très étrange, Chess attrapa Paige par la taille avant de l'amener hors des canons de mort. Elle devait l'a mettre à l'abri, que ferait elle, si la petite fille se faisait toucher où même enlever par un pirates ? Certes, elle se battrait jusqu'à la mort mais quand même. La posant au pied du capitaine, sa voix n'avait plus rien d'agréable comme au début. C'était celle d'un chat en colère, froide et dure. « Occupez vous de Paige, et je vous assure que s'il lui arrive la moindre chose, être esclave de votre ennemi sera une douce chose comparé à moi. »
Une bonne chose de faite déjà, au moins la petite fille serait un peu plus en sécurité à coté du capitain Swan. Et puis, dans le monde réel, elle avait bien vu le regard du shérif envers le chapelier toqué, alors ici ça pourrait être pareil. Elle prendrait soin de Paige. Tapant dans le dos de Dustan qui vomissait ses tripes, elle pensa que finalement elle n'était pas le seul chat à être malade ici. « Allez mon vieux, dit toi que j'ai plus de raison que toi de haïr ce bateau, mais comporte toi en homme. Faisant une semi paix pour pouvoir vaincre notre ennemi commun. »
L'aidant à le relever, ils hochèrent tous les deux de la tête. Laissant le Sha au canon, elle se rapprocha du loir avant de la prendre dans ses bras pour la bercer. Elle avait entendu les hurlements qu'elle poussait à chaque fois qu'elle tirait au canon, et même si elle avait réussi, elle savait combien cela était difficile pour elle. « On va y arriver, ne t'en fais pas, comme pour Paige, je suis là pour toi, pour prendre cette charge sur mes épaules ; Tu n'es pas obligée de faire ça. »
Le bateau tanguait, et en plus d'être plus mal à l'aise et effrayée que jamais, Absinthe commençait à avoir le mal de mer. Une petite nausée lui remuait l'estomac et recroquevillée sur le sol, elle hésitait vraiment à se lever pour vomir par-dessus bord. Mais elle préféra rester sur le sol, se couvrant les oreilles et fermant les yeux avec force pour essayer de se déconnecter de ce qui était en train de se passer. C'était une vraie bataille... Pourquoi Jefferson les mettait ainsi en danger ? Qu'est-ce qu'ils avaient fait pour mériter ça ? Elle sentit que quelqu'un l'étreignait et osa rouvrir un œil en entendant les intonations de voix de Chess. Sans réfléchir une seule seconde de plus, elle se pelotonna dans ses bras quelques secondes, cachant son visage et la serrant contre elle comme si sa vie en dépendait. Il lui semblait, d'ailleurs, que c'était le cas. Elle était incapable de répondre quoi que ce soit sur le coup, tremblant et pleurant comme une enfant. Elle était très loin d'être à sa place, ici et maintenant. Elle voulait que tout cela finisse au plus vite. « Je ne veux plus faire ça, je peux pas. » se mit-elle à geindre en se décollant de Chess pour la regarder. Et elle referma les yeux, sans même esquisser un geste pour se lever. Non, elle resterait au sol, aussi longtemps qu'il le faudrait pour que ce cauchemar cesse. Elle n'aimait pas les cauchemars, elle s'en souvenait pendant trop longtemps. « Paige est en sécurité, hein ? » demanda-t-elle tout de même, inquiète pour la petite fille, sans même savoir si Chess se trouvait là. Quelques secondes plus tard, elle entendit un nouveau coup de canon qui la fit se recroqueviller un peu plus sur elle-même. Apparemment, le Chat avait encore visé juste et elle n'osait même pas songer aux victimes sur le bateau ennemi. C'était plus que ce qu'elle pouvait endurer. Elle agrippa comme elle le pouvait le rebord du bateau pour se redresser et lâcher son petit-déjeuner par-dessus bord. Ça, au moins, c'était fait.
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Jefferson Hyde
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« Désoler chéri mais les singes sur mon mat je les embroches,tu m’abîme mon bateau, tu devient eunuque,se qui serait fort dommage avec une tête pareille. »
La seule chose qu'avait retenu Jefferson, c'était qu'il avait une belle gueule. Oh, voilà une information qu'il connaissait déjà, mais ça faisait toujours du bien à l'ego de l'entendre d'une si belle créature... Bien sûr, comme pour les autres, il n'avait aucune idée de qui il s'agissait. Ou tout du moins, de qui ce capitaine était le sosie. Sosie ou réellement le shérif Swan ? Une question ouverte, tant cette aventure avait pour maître mot « absurde »... Obstinément assis sur son mât, tout juste conscient que le bateau tanguait au fil des vagues et des coups de canons, il se retenait au bois d'une main ferme, tout en ayant son menton posé dans la paume de l'autre, avec cette mine boudeuse des enfants de cinq ans. Que voulez-vous, il est fou, il ne va pas réagir normalement... D'ailleurs, cette norme, qu'est-ce que c'était bateau ! Quel océan de non-sens, et de non-anniversaire... De non-anniversaire ? Quel rapport avec l'océan ou la norme ? Mais tout, mon cher, tout a un rapport... Tout est lié. Faîtes des liens ! Les amis c'est la vie ! Quoique Jefferson était déjà mort trois fois, tué par Alexander, tué par Absinthe, et surtout, tué par Paige. Rajoutons une centaine de morts dans toutes les situations possibles et imaginables dans l'esprit du Cheshire. Le seul qui semblait si normal qu'il en devenait fou, c'était le blond. Il semblait absent et présent, ici et là, hier et demain.
« Descend de la sinon je te tire une balle entre les deux yeux et ramène moi mon épée. »
Ouh la vilaine... Elle insultait son chapeau en plantant une épée dedans, et elle osait exiger de telles choses. Tiens, la petite fille l'empêche de tirer... Quel étrange comportement. Qu'avait-il fait pour mériter tant d'attention d'une si petite chose ? Son portrait craché, en fille, et en petit. Un mystère qui restait complet. Quoique parfois, les ressentis sont plus forts que tout. Un amnésique garde la mémoire des odeurs, des sons, des lumières. Un illuminé trouve du sens dans ce qu'il reconnaît comme faisant parti de son monde. Un possédé retrouve la raison par des procédés douteux. Mais l'essence d'une personne ne changera jamais. Jefferson est Jefferson, Jefferson est le Chapelier fou, le Chapelier fou est Jefferson, le Chapelier est le Jefferson fou, le Jefferson Chapelier est le fou, le fou est le Chapelier et Jefferson est le Chapelier. Jefferson, fou, Chapelier. Jefferson, fou, Chapelier. Jefferson, fou, papa... Chapelier ? Alors le Chapelier est le fou papa ? Ou le papa Chapelier est le fou ? Ou Jefferson est le fou Chapelier papa ? Ou le Chapelier fou est le Jefferson papa ? Ou le Chapelier papa est le Jefferson fou ? Chapelier, Jefferson, fou, papa ! Fou ! Jefferson ! Papa ! Chapelier ! Papa ! Papa ! Papa ! Papa ! Papa ! Elle avait dit papa ! Ouh la petite ! Elle avait dit Papa ! Papa Jefferson Fou Chapelier ! Quel casse-tête ! Papa ! Papa ! Papa ! Son père ? Papa !
Son cerveau fonctionnait à cent à l'heure, même pour quelqu'un comme lui, parfois, la confusion fichait un tel bazar que son crâne était sur le point d'exploser. Et les coups de canon, les secousses et les remarques désobligeantes de ces ingrats n'aidaient pas... Alors de quelques gestes précis, il retira l'épée du mât, posa le chapeau sur son crâne, et bondit aussi bas que ses jambes pouvaient supporter, un saut, deux sauts, trois sauts... pour atterir juste en face du gouvernail, où il sourit d'un air provocateur à notre chère capitaine. Sans un mot, il planta l'épée juste à côté de son pied, bomba le torse fier comme un coq et lui tourna le dos pour se rendre à une distance respectable de ses quatre « invités ». Tous semblaient désespérés, déterminés, et complètement affolés. Tant de mots en « é ». Pourquoi ne s'amusaient-ils pas ? Un bateau pirate ! Des chapeaux ! Des canons ! Ce n'était pas amusant pour eux ? La vie, la vie, voilà quelque chose de si fragile... Il fallait bien s'amuser jusqu'au bout... Son regard s'attarda sur la petite fille. Elle n'était pas contente d'être déguisée en pirate ? Pourtant les enfants s'amusaient toujours de si peu... Voilà une qualité qu'il adorait dans l'enfance. L'innocence. Cette naïveté enfantine qui faisait de l'existence un rêve. Quand avait-il été enfant, lui-même ? Avait-il été enfant un jour ? Bonne question... Ses souvenirs n'étaient qu'un enchevêtrement d'images sans aucun sens. Comme lui, tout simplement.
« Comment je pourrais être ton père, petite ?... » murmura-t-il pour lui-même.
Et bien que son expression garda cette neutralité mêlée à de la malice, une larme roula le long de sa joue, tandis qu'il ne pouvait s'arrêter de fixer cette petite fille qui lui ressemblait tant. Qu'elle était ce sentiment ? Étrange... Désolé ? Pourquoi serait-il désolé ? Il leur offrait des mondes sur un plateau, sans même savoir comment, alors pourquoi son coeur était-il serré ? Ce n'était pas lui... Jefferson n'était pas là. Ou alors, Jefferson était à l'intérieur, menant son propre combat pour récupérer sa conscience. Amnésique ? Possédé ? Fou à lier ? Qu'était-il ? C'est avec cette question étrange en tête qu'il remonta sur le pont, et recommença à grimper sur le mât ; il était toujours vexé, alors autant retourner bouder... Son coeur avait repris son rythme normal, ses joues n'étaient plus que mouillées par la pluie, et ce petit instant de doute s'était estompé. Jefferson était parti, encore une fois. Qui était cet homme qui grimpait au mât ?.. Et qui allait bientôt tomber de haut, au sens propre comme au figuré ?..
Emma Swan*
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| Avatar : Jennifer Morrison
| Conte : Once upon a time | Dans le monde des contes, je suis : : la fille de Blanche et Charmant
Tout aurait très bien pu bien se finir ,tout aurait pu se terminer rapidement mais je savait très bien que sur les eaux ,il se passait toujours quelque chose d'imprévue,quelque chose que moi même n'aurais pas pu prévoir même si sa faisait longtemps que je naviguait sur les flots,j'aurais quand même du m'en douter un peut.
Tout avait pourtant bien commencer ,les quatre petits nouveaux avaient bien commencer leur travail,on avait réussi a toucher le bateau ennemie plusieurs fois et nous aussi nous avions été toucher car malheureusement il ne fallait jamais espérer de miracle lors de bataille en mer,vue l'état de mon bateau,je me disait que si on s'en sortait vivant,se serait le premier miracle auquel j’assisterais.
Je lançais un regard noir quand l'homme qui se prenait pour un singe planta mon épée dans mon bateau,lui il allait s'en manger une,si il continuais a se comporter comme un petit garçon,j'allait d'ailleurs ouvrir la bouche pour lui montrer de quel bois je me chauffe quand il y eu une secousse qui fit trembler tout le bateau,tout de suis je m’immobilisa,c'était trop loin pour que se soit pour nous mais nous avions quand même sentit la secousse qui avait fait écho jusqu'ici.Je m'accrochais déjà a mon gouvernail,je savait très bien se qui allait se passer.
"Gamine ,tu ferait mieux de t'accrocher a moi ,sa va secouer."Disait-je a la petite fille qui m'avait été confier par l'homme aux cheveux blond.Il y eu une nouvelle secousse,j'entendit un hurlement venant du bateau d'en face."Accrocher vous tous,sauf si vous voulez finir a l'eau et croyez moi avec se qui vous attend en dessous,vous n'en n'avez pas envie."
Tout d'un coup une tentacule géante sortie de l'eau et s'abatis violemment sur le bateau d'en face,une autre se glissait déjà le long de la coque. Pas le temps de les sauvez il fallait déguerpir le plus vite possible avant que mon bateau soit le suivant,je gueulais des ordres aux autres membres de l'équipage,je tapotais la tête de la petite fille pour la réassurer,je devait veiller a se qu'elle ne passe pas par dessus bord.Nous étions déjà en train de nous éloigner vers l'île la plus proche,nous avancions rapidement,il y eu un tas d'autre hurlements,des coups de fusils ,mais contre cette créature,une petite balle ne ferais pas grand chose.
Plusieurs minutes plus tard nous avions échouer sur une île,je poussait un soupire de soulagement ,je tournais la tête pour voir que l'autre bateau avait finit par simplement être détruit,je détachais la gamine de mon corps ,ramassa mon épée puis prit la direction du côté du navire et bien au moins on allait pouvoir trouver se que j'était venue chercher en quittant le port plus tôt dans la semaine.
"Vous pouvez descendre ,on ne craint rien,le Kraken est partis."
Je leur disait puis prit une corde que je jetait dans le vide ,je m'accrochais dessus puis glissait rapidement en bas pour me retrouver sur le sable,une fois en bas je sortie une carte de ma poche.Je la tournais dans le bon sens puis me tournais vers les autres.
"Rien de casser ? Tout le monde est vivant ? Très bien ...maintenant que vous êtes coincer ici avec moi ,le seul moyen de quitter cette île est de trouver se qu'il y a dans le coffre cacher...enfin vous vous allez trouver moi je doit faire l'état des dégâts de mon bateau ...donc je vous confie cette carte,vous trouver le trésor et puis vous pouvez partir."
Je m'avançais vers le type blond au cheveux long et lui passait la carte puis faisait le tour de mon bateau pour commencer a travailler.
Mon dieu, d'un coup, un bruit sourd se fit s'entendre, et là je pris vraiment peur.. Le capitaine me conseilla de bien m'accrocher à elle c'est ce que je fis. Une tentacule géante sorti de l'eau et s'abbatit sur le navire d'en fasse, ce qui le fracasse en mille morceau, avant d'être dans l'eau, un crie aïgue sortie de ma bouche tellement que j'avais peur.
On arriva sur une petite ile déserte, le capitaine me détacha d'elle j'avais eu tellement peur que j'étais accrochée à la femme. Elle lança une corde par dessus bord pour qu'on puisse descendre, Abs descendit la première, puis c'était mon tour, malheureusement je retomba mal sur ma cheville mais ne dit rien.. Chess suivit ainsi que le blond aux cheveux longs. Je regarda où était le chapelier fou qui était mon père, je l'aperçue au loin mais bon.
Papa, j'espère que ton délire va s'arrêter bientôt car je commence à en avoir sérieusement marre de tout ça.. Qu'est ce qui a eu dans ton cerveau pour que tu te comporte ainsi.. Tu m'a sincèrement blessée tout a l'heure... Où est t'il d'ailleurs... J'ai même pas envie d'aller voir si il allait bien... j'avais les larmes aux yeux, j'en avait marre.. S'il il avait pas envie d'avoir un enfant, pourquoi avait t'il.. enfin bon l'important c'est qu'on parte de cet île..
Le capitaine nous avait laisser avec une carte, enfin la carte de l'île où nous étions, celle-ci nous indiqua le lieu d'un coffre secret qui pourrait nous aider à partir d'ici. Il se trouvait à 10 km de là où nous étions. C'était Dustan qui avait en sa possession la carte, je me dirige vers lui et lui demande:
-Excuse moi je pourrais avoir la carte pour voir dans quel direction on peut aller.. j'ai envie d'aider." lui demandant gentillement.
Nous partîmes en direction du coffre enfin du trésor, j'avais vraiment mal à marcher avec ma foulure.. j'essayais de pas le montrer que j'avais vraiment mal.. ils le remarquèrent, tous sauf un.. et oui mon père ne fit même pas attention, il parlait avec son chapeau à oreilles blanches.
Dustan regardait la carte avec attention, et nous fit remarquer qu'on était à 15 km de la où on devait aller donc 5 km en retrait. Je m'effondre, genoux au sol... J'en pleurais.. J'espère que chess ou tatie abs va nous sauver de là même Dustan.
Non d'un petit biscuit, quand est-ce que tous ceux-ci finirait. Chess proposait une trêve. Parfait, il n'était pas d'humeur querelleuse, de toute façon, ce n'était pas le moment de se chercher des noises. Dustan eut une profonde inspiration et regarda Alexander.
-Va pour une trêve. Je vais finir aussi fou que vous si cela continue trop longtemps.
Il avait dit ça sous le don d'une boutade. Souriant, le chat comprendrait surement que ce n'était pas négatif. Mais il avait une entreprise à gérer et ne voulait pas qu'on l'enferme dans un asile. Le capitaine Ordonna de s'accrocher. Elle avait senti quelque chose, elle savait ce qui allait se passer. Nom de... Dustan s'accrocha, ou il put. Et là, un monstre, digne d'Éris, sa création peut-être, ou pas, un poulpe géant, enfin, il avait des tentacules comme un poulpe. Le Kraken. Crac, Bali Balo sont sur un bateau, et là, Crack, du Crack, drogue, le Kraken drogué. Ni queue ni tête, le cavalier décapité. Trop rapide, il ne vit rien venir si ce n'est le tentacule, il ne comprit rien, si ce n'est qu'il avait du sable sous les pieds. TERRE! il était sauvé. Le capitaine lui confia une carte, la carte, de cœur ou de trèfle? Non la carte au trésor...un trésor! l’ile au trésor !
-Prends-la. Je peux comprendre ce que tu ressens.
15 kilomètres, et la pauvre s'écroula, sa cheville, c'était embêtant, si elle n'y prenait pas garde, cela pouvait empirer. Dustan tendit la carte à la fille au nom d'alcool et alla vers Paige en posant un genou à terre, lui tournant le dos.
-Je vais te porter, si tu continues à marcher comme ça, tu as encore plus te blesser.
Ils marchèrent environ 4 kilomètres, Dustan l'éspérait, en direction du trésor.
Sérieusement, un Kraken ? Jefferson les avait fait amener dans un endroit où il y avait un Kraken géant. Certes un Kraken était toujours géant, mais celui ci devait être encore plus grand. Et en plus, elle n'avait plus ses pouvoirs. Ni voler, ni devenir invisible. Oui, c'était définitif, Paige allait perdre son papa. Oh non, pas manger par le Kraken, ça serait une mort trop honorable. Ça tête finirait dans une poubelle tandis que Chess danserait autour du feu de joie qu'elle ferait avec son corps. Oui, c'était une bonne idée, s'ils arrivaient à survivre à ça.
Pour l'instant, tout le petit groupe s'accrochait du mieux qu'il pouvait aux canons en fonte. Chess tenait avec fermeté Abstinthe qui était dans ses bras au moment où la pieuvre avait décidé de leur dire bonjour. Paige était le capitaine, ce qui rassurait un peu le chat. Poussant un feulement digne d'un chat blessé quand elle se reçut une immense vague, ses idées de meutre envers le chapelier passa à un cran au dessus. S'agrippant au loir, Chess ferma les yeux et grinça des dents, en essayant de la protéger au mieux.
C'est quand elle entendit la voix du capitaine qu'elle ouvrit enfin les yeux. « Non, il y en a un qui va bientôt mourir dans d'atroces souffrances. » Réellement, Chess faisait de grands efforts pour ne pas se jeter sur l'homme à coté du capitaine. Vraiment, Douglas aurait été fière d'elle si, il l'avait vu se contenir. Secouant la tête, faisant partir les gouttes d'eau, Chess se dirigea rapidement vers Paige et l'a serra dans ses bras. Elle n'avait rien, enfin en apparence, tout comme Abstinhe. Elle se fichait particulièrement du sort de Jeff' et Dustan lui leva le pouce. C'était lui qui avait la carte. Une chasse au trésor, il ne manquait plus que ça, surtout que le soleil commençait à taper.
Ils avançaient, et reculer jusqu'à ce que Paige s'écroule au sol. Dustan qui était à coté, l'attrapa dans ses bras alors qu'elle même passa une main dans ses cheveux avant de murmurer à l'oreille du blond. « Dès que tu es fatigué, je prends le relais. » Regardant par dessus l'épaule du loir, Chess posa un doigt sur la carte. « On doit aller là pour trouver ce fameux trésor. J'espère qu'on pourra le garder ..parce que perso' mon assurance maladie ne rembourses pas les attaques de Kraken ». La marche calmait un peu les nerfs du chat de Cheshire, au moins, elle pensait à autre chose. Même si ses pouvoirs n'étaient plus là, elle avait toujours son flair. Et le petit groupe avança de deux kilomètres.
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