Surnom(s) → Double noir, " petit " , Arahabaki
Age → 28

Occupation / Emploi → Haut Lieutenant de la Mafia Portuaire, officiellement cadre dans une société d'exportation

Votre personnage est-il tiré d'un conte ? : Bungo Stray Dogs
Si oui, lequel et qui est-il dedans ? : Nakahara Chuuya

Caractère → Lorsque tu es né, Chuuya, tu n'étais que colère. Une haine radicalement pure, presque enfantine et capricieuse. Une rage qui s'anime facilement, s'enflamme d'un claquement de doigt et ne se tarie qu'une fois que la cause de ta rage n'a été que complètement consommé. Ta rage est similaire à ta passion : spontanée et sauvage. Tu ne réponds qu'à ce qui t'anime au plus profond de toi. Cette capacité à ne ressortir que des sentiments pures te rend infiniment honnête... pour un mafieux. Tu entres dans le vif du sujet sans prendre de pincette. Tu ne supportes pas les faux semblants ou les roublardises pour obtenir ce qu'on veut. Tu as du mal à comprendre lorsqu'une intention est dissimulé. Peut-être cela te rend-il parfois naïf... un infime partie de crédulité juvénile auxquels ont peut te prendre. Tu ne veux simplement pas l'admettre. Tu ne veux pas voir en face cet aspect de toi que tu prends pour une faiblesse. Ton orgueil et ton arrogance sont bien trop imposante pour croire que tu puisses être naïf. Pourtant, elle fait parti de toi. Autant que ton orgueil qui dévore ta peur de ne pas être à la hauteur. Tu n'as pas peur d'être décroché de ton piédestal, qu'on te frappe dans ton égo, parce que tu rendras le coup en double, mais tu as peur de décevoir. Tu as peur de voir dans le regard de tes supérieurs la honte de toi.
Ton insolence écœurante te tienne à l'écart de la plupart des remises en question. Ou alors tu les fuis. Tu as du courage, mais tu n'aimes pas voir la vérité en face, mais lorsqu'on t'attrape pour te mettre les points sur les i, tu encaisses, avec un semblant de sagesse. Tu sais faire preuve de raison, une raison modéré ou à la hauteur de ton emploi. Tu fais les bons choix pour ta communauté, pour rien d'autre. Tu vis dans un monde de brute ou tu ne peux pas te permettre d'hésiter. Trahir les siens, c'est faire une croix sur sa survie. Alors parfois, tu es dur. Froid, même. Une froideur sauvage, mais calculé.

Tu sais que tu dois ta place au sein de la mafia à ta loyauté animal et à ton sens du devoir. Tu sais aller au bout des choses, sans broncher, sans avoir peur des contre coup et de te salir les mains, tant que tu es honnête avec ce que tu as choisi. Tu es un chien de garde, des pieds à la tête et tu as appris qu'on ne mord pas la main qui vous nourrit et tu le feras payer à ceux qui ne le comprenne pas.

Une Particularité ? → Chuuya est brun de naissance, mais il se teint les cheveux en roux/rouge depuis l'adolescence et l'arbore comme sa vraie couleur. Il n'est plus très loin de croire à son mensonge... jusqu'à ce qu'il faille reprendre les racines. A côté de ça, il porte des chapeaux. Tout le temps, tout les jours. Que ce soit le matin, le soir ou ... non, pas la nuit. Il a un chapeau. Si ça ne vous plait pas, évitez quand même de lui dire en face, il se froisse facilement. Son caractère, pas son chapeau. Froissez le chapeau et vous mangez de la soupe jusqu'au siècle prochain.
Le gaillard a une fâcheuse a une petite tendance à l'alcoolisme. Il aime l'alcool et pas tant le fait d'être ivre, mais juste le goût. Il s'y connait même plutôt bien en spiritueux, le type d'alcool qu'on boit d'un coup et en petite quantité qui brûle le ventre et donne l'impression de prendre une claque. Peut-être est-ce simplement ce qu'il cherche, qu'on lui mettre les claques dont il a manqué pour qu'on le remettre à sa place. Malheureusement, Chuuya ne tient pas l'alcool. Pas du tout.
Il fume, prétendument rarement : seulement lorsqu'il est stressé ou énervé. Il est toujours énervé, à demi stressé.
Le mélange coffee and cigarette autour d'un whiskey sur fond de Sarah Vaughan vous suffirait presque à conquérir son coeur, ou du moins, à capturer son oreille. Vous pourriez presque le faire pencher en votre faveur si vous brosser son désir d'être dans une série noir des années 50 où il aurait été détective déchu... Oh mais attendez.
Il a eu un violon pour ses 14 ans, mais ne le sort que dans l'intimité. Il a un jeu extrêmement nerveux.

Les Pouvoirs → Tristesse Souillée (Yogorecchimatta Kanashimi ni) : le pouvoir de Chuuya consiste à manipuler la gravité des corps (objets, humains, tant que c'est solide vous me direz), inverser la polarité (marche sur le plafond, c'est sympathique) Les rendre plus léger, plus lourd. (Il peut vous clouer au sol ou vous rendre léger comme une petite plume) Bien dosé, c'est dévastateur. Chuuya s'en sert principalement en offensive, parce que trop tête brûlée pour réfléchir dans un premier temps en terme défensif.

Corruption (Ojoku) : Fais presque office de "pouvoir caché". C'est ce qu'on appelle la véritable forme de Chuuya : Arahabaki. Il augmente sa propre densité pour devenir un monstre de puissance. Il peut écraser un tank à une main et vous cassez un arbre avec un chop " chop ". Le pouvoir n'a de limite que sa mort et il détruira tout ce qu'il y autour de lui -jusqu'à en perdre le contrôle- et tout s'arrêtera quand les pouvoirs auront eu raison de lui. Il ne peut l'activer qu'en présence de Dazai qui est le seul à pouvoir annuler corruption, à son grand regret.

Dans son monde, à Yokohama, il était capable développer des trous noirs qui bouffent absolument tout autour, mais il n'y a plus accès. Il s'est souvenu lors de la levée de la malédiction que ça lui était possible, mais n'a jamais réussi à le faire. Les membres de la Mafia ne savent pas que cette partie de son pouvoir a disparu.

On peut pas dire que j'ai eu une vie exemplaire. On m'a parqué un démon dans le bide dans j'étais gosse et quand j'ai commencé à avoir un semblant de poil au menton, j'ai intégré la Mafia Portuaire de Yokohama.
Je ne dirais pas que c'est ma présence d'esprit qui m'a fait monter les échelons, mais plutôt ma rage et ma fidelité. Je ne suis pas un imbécile, mais je suis plus impulsif que sage. Et j'ai toujours fais bande à part. Personne n'a jamais voulu de moi. De ma naissance au banc de l'école, j'étais juste Chuuya, le gamin qui fait des bétises, Chuuya qui fait la bagare et qu'il faut séparer du reste, Chuuya qui ne ferait rien de sa vie. Je n'ai jamais été tourné vers la famille et je n'ai pas plus d'amis. La pègre sont les seuls qui ont fini par avoir un sens qui s'en rapprochait le plus. Ou au moins, un but. surement pas le meilleur, mais c'était le seul qui était bon à prendre pour moi. J'suis juste un animal enragé avec un monstre dans le bide que personne ou presque peu calmé, alors ma place n'a jamais été ailleurs. J'ai décidé de vivre pour elle, la famille. Cette grande famille avec beaucoup d'obscurité autour, mais une famille malgré tout. Parce qu'on est tous des minables. C'est comme ça, dans la pègre, on est une bande de raté sans espoir et on se retrouve parce qu'on est les même. Rejetés de partout, sans but et sans avenir.

On m'a rapidement confié les boulots crades que personnes ne voulaient faire, et mon tempéremment à ne vouloir écouter personne m'a valu une place de leader très tôt. Il y a peu de personne que j'écoute s'ils ne sont pas légitimement mes supérieurs... tant est que je les reconnaisse comme tel. J'ai toujours été le pied branlant de la table, celui difficile à contenir parce qu'il s'emballe rapidement. J'ai souvent risqué de me faire rétrograder pour insubordination, mais je reste fidèle et efficace. La seule chose en laquel je crois, c'est en l'organisation.
Parce qu'on est tous des minables. C'est comme ça, dans la pègre, on est une bande de raté sans espoir et on se retrouve parce qu'on est les même.

Je n'ai fais équipe qu'une fois dans ma vie. Une belle équipe, ma foi. Ca rendait fier le reste, mais moi, je pouvais pas le voir en peinture. Quand ce bâtard s'est tiré en nous laissant sur le carreaux, j'ai eu envie de l'étriper - j'ai toujours envie, d'ailleurs. Et je me suis juré que ce serait la dernière fois que l'un de nous nous tournerais le dos sans conséquence.

J'ai deux buts dans la vie, maintenant... Que la Mafia soit la seule entité de Yokohama et éclater de l'intérieur l'Agence des détectives.

Jusqu'à ce qu'un jour... On se mette à perdre des membres. Sans raison. Un à un, ça disparaissait. J'ai jamais été inquiet pour moi. Je n'avais pas peur de devoir me battre ou qu'on mette quelqu'un à mon rang pour préserver la Mafia. Mon égo en prendrait un coup, mais la Mafia tiendrait encore debout. J'avais peur pour eux, pour Mori, pour ce que je considérais comme des frères d'armes, en dépit des apparences. J'ai surement été un des derniers à être victime, pour être de veiller un peu plus longtemps sur les autres.

Je suis né de ces familles japonaises issue des camps de concentration américain et qui n'ont jamais pardonner à l'états américains leurs fautes. Je n'ai connu dans ma jeunesse que la culture japonaise dans ma famille et la culture de la rue par moi-même. Mes parents ne supportaient pas qu'on parle anglais à la maison. Et les seuls fois où je parlais anglais, c'était pour régler mes comptes avec les morveux de l'école qui voulait me piquer mon goûter.

Au sein du cocon familiale, on ne voyait que les autres familles japonaises, on ne parlait que japonais, on ne mangeait que japonais, on ne voulait que rentrer au Japon. Dans la rue, j'étais l'étranger. J'étais le petit qui était différent et à qui on ne voulait pas parler. Le pauvre qui ,e s'intégrerait jamais. On n'a jamais été de ces riches quartiers. On était dans la débrouille, parce qu'il fallait survivre. Je n'ai connu que ça et je l'ai copié. Chaque été, tout ce que mes parents réussissaient à économiser partait pour notre voyage annuelle au Japon, retrouver la famille et les amis. J'étais trop petit, les premières fois, pour comprendre qu'on ne rentrait pas uniquement pour se sentir de nouveau chez nous, mais qu'il était aussi question " du business ". Je voyais ses hommes en costume, qui avait l'air bien plus riche que nous et qui pourtant, nous accueillait. Je voyais ses gamins qui daignait jouer avec moi, mais qui ne me considérait ni du coin, ni de leur monde. Et en grandissant, j'ai compris... j'ai compris que pour survivre, mes parents s'étaient embarqués dans le banditisme, ou bien qu'ils en avaient toujours fait parti. Nous n'en avons jamais parlé, mais j'ai simplement assimilés que si personne ne voulait de moi nulle part sauf là, c'est surement que ma place était ici, dans la pègre.
J'ai bouffé l'éducation de la pègre sans un mot, juste en baignant dedans. Mes oreilles captaient inconsciemment que pour les gens comme moi dont personnes ne voulait, c'était ma seule solution. " T'es trop bagarreur pour ça, Chuuya ", " Ecoute ce qu'on te dit et soit sage, Chuuya " Mais je n'y arrivais pas, je ne comprenais pas. Les seuls personnes à se satisfaire de ce moi sauvage, c'était les méchants de l'histoire.

Très jeune, j'ai eu assez de cran pour me faire remarquer auprès des voyous du coin. On a toujours vécu dans le Maine, sans vraiment bouger d'Etat. Je me suis fais une réputation dans le coin : d'abord de tête brûlée bagarreur, puis de petit mâlin. J'étais pas bête quand il s'agissait de se sortir d'affaire. Je suis trop honnête pour monter des coups fourrés, mais quand il s'agit d'organiser une attaque et d'accumuler des informations, je répondais toujours présents. Les petits groupes se sont mis à me donner des petits missions, à mesure que je devenais plus utile.

Quand j'ai eu 16 ans, je me suis barré de la maison sans rien dire. Ni bonjour ni merde et surtout pas d'au revoir. Je n'ai pas revu mes parents depuis et j'imagine que c'est mieux. La raison : un billet venant de Storybrooke, un nom à coucher dehors qui me demandait devenir prouver ma valeur de chien fidèle.
On s'est retrouvé avec une bande de type aux allures improbables comme si on avait vivait à mi-chemin dans un livre noir de années 50 et des dandy européanisés du début du 20e siècle... et ça m'a plu. Ca m'a dramatiquement plu. On avait tous un point commun : on était japonais, on aimait la littérature et on était des bons à rien. Des putains de bons à rien et la seule chose qu'on pouvait faire, c'était remercier le parrain d'avoir poser les yeux sur nous et nous dire qu'on avait le mérite d'exister. La Mafia Portuaire, qu'ils s'appelaient. Un nom à coucher dehors aussi, mais qui avait le mérite d'être clair : on était sur un port, on faisait des exportations, ça payait bien, ça travaillait dur. Et on y était comme chez nous, pour la première fois.

- Tu te sens à la hauteur, petit ?
Je serrais les dents, visualisant mon poing lui dégommer les dents dans l'instant. J'ouvrais la bouche, prêt à répondre que oui, mais il s'était mis à rire. Un rire un peu trop sinistre qui avait le don de me foutre les poils, mais j'avais rien dis.
- J'aime la fougue dans ton regard. Et la violence dans ton cœur. Bienvenu à la maison, Chuuya.

- Qu... QUOI !?

Je froissais entre mes mains le petit manga, dont les pages se cornaient à une vitesse vertigineuse sous mes doigts humides. Un... manga ? Je sortais d'un... Putain de manga !? Non, non non... C'était pas rationnel. C'était juste...

Je déglutis en tremblant, l'exemplaire manquait de tomber par terre. J'étais quoi ? Un anti-héros merdique de shonen ? Un sidekick que tout le monde oublie. C'était impossible, tout ça c'était ...

- Des conneries... ? dis-je, en me surprenant à avoir une intention surprise dans la voix.

Merde, c'était quoi ça, de la peur ? J'ai peur maintenant !? Peur de quoi au juste ? La mafia portuaire existe encore, on a complètement tenu le cap sans savoir d'où on venait. On a fait main mise sur Storybrook et ça changera pas... alors pourquoi j'ai peur ? J'peux pas me permettre d'avoir peur. J'peux pas me permettre de douter. Je... je...

Je balançais la monnaie sans réfléchir sur le comptoir du libraire et partait avec le manga. Moi, Akutagawa, Mori... même ce gros con de Dazai, on était tous dedans.
On était pas seulement des bandits-grand lecteurs et qui par un heureux hasard de circonstance, fais qu'on s'était tous retrouvés dans le même camp avec des noms illustres. Mon livre préféré s'avérait n'être qu'au fond, mon identité. C'était surréaliste !
Tout se mélangeait dans ma tête : on était juste une bande de cake avec des noms d'auteurs dans un manga pour ado, et pourtant, on était dans ... un vrai monde, avec de vrais enjeux. J'avais toujours vécu ça et pour la première fois, ça me faisait peur. Comme si je réalisais dans quoi je m'étais embarqué, que tout ce que j'avais vécu exactement de la même façon me paraissait sortir d'un jeu sans conséquence. Et qui j'étais vraiment... Mes gants prenaient un gout amère.

La journée même, on a fait une réunion de crise avec les hauts gradées de la Mafia. Tout les premiers lieutenants, on a fait une démonstration de nos pouvoirs, en privée... Enfin, en partie. Sans Dazai, je ne pouvais pas en montrer l'intégralité...

- Putain... crachais-je entre mes dents, affalés sur mon lit, à regarder le plafond.

Les pages du manga étaient déchirés, roulés en petites boules nerveuses sur le tapis. Pour nous, d'une manière général, d'être des espèces de monstre plein de pouvoir, ça arrangeaient bien nos affaires. Les créanciers crachaient les billets si tu les menaçaient d'imploser. Ca nous rendait pas plus populaire et pas plus visible, mais ça nous donnait un pouvoir monstrueusement plus important.. mais moi, je restais toujours en parti bridé parce qu'il n'y avait qu'une seule tête de pipe capable de m'empêcher de crever bêtement.

CREDIT

Administration → Célébrité de votre Avatar : Baekyun → Est-ce un poste vacant ? : Euh non, mais listé dans un conte, oui → Multicompte ? : Pas encore, attendez deux minutes → Besoin d'un parrain ou d'une marraine ? : J'vais tacher de me débrouiller cette fois Entre nous → Pseudo / Prénom : Jason (prénom de beauf) mais vous pouvez m'appelez Jay (ce qui est... tout aussi beauf, à la réflexion. Pardon à mes homonymes, mais les gars, on a un prénom beauf, c'est tout.) → Votre avis sur le forum : Bah on est bien accueilli ! → Comment l’avez vous découvert : Je sais plus, j'ai du chercher un forum en mode " Comment coupler mon envie de faire un perso random dans un univers qui tient la route... oh mais attends ! " → Si vous deviez choisir entre héros, vilain, magique, prince(sse), ancien animal, rebelle ou divin pour votre team vous choisiriez quoi ? : Magique (je suis un petit magicien, rogar) même s'il est vilain aussi alors euh... Au feeling les gars. → Le mot de la fin : I’m a bad motha’ fucka in the room

Haaaaan, regardez-le, même sur son propre profil il ne peut pas s'empêcher de m'afficher à ses côtés


RE BIENVENUUUUUUUUUUUE parmi nous sur ce forum CSDCRSLCB bon sang j'ai retenu ce truc !

Je suis contente que tu aies pris Chuuya C'est un super personnage à développer et je le vois de plus en plus dans la saison 3 que je suis en train de me faire Hâte de voir ce que tu vas développer ! J'ai répondu à ton MP et j'ai hâte de RP avec toi !

Diane, je veux mon award

Re-bienvenu parmi nous apparemment ! bonne chance pour ta fiche !

Dazai Osamu a écrit:

Haaaaan, regardez-le, même sur son propre profil il ne peut pas s'empêcher de m'afficher à ses côtés

Peuh peuh dans les dents, ricanne encore et j'te fais sauter les dents devant.

Dazai Osamu a écrit:

RE BIENVENUUUUUUUUUUUE parmi nous sur ce forum CSDCRSLCB bon sang j'ai retenu ce truc !

*clapclap* Et t'as intérêt à t'en souvenir des années durant, sinon tu vas m'entendre !

Dazai Osamu a écrit:

Je suis contente que tu aies pris Chuuya C'est un super personnage à développer et je le vois de plus en plus dans la saison 3 que je suis en train de me faire Hâte de voir ce que tu vas développer ! J'ai répondu à ton MP et j'ai hâte de RP avec toi !

Diane, je veux mon award

Oh, merci j'ai du retard à rattraper sur la saison trois j'avoue, le speedrun des ace attorney et golden kamuy c'est serious business
On va être comme des oeufs en gelés

Kara Walters a écrit:

Re-bienvenu parmi nous apparemment ! bonne chance pour ta fiche !

Merci m'dame (j'essayerais de placer un easter egg pour les plus curieux)

Ooooh un petit nouveau

Bienvenue m'sieur N'hésites pas si tu as la moindre question

Je te souhaite bon courage pour ta fiche en tous les cas, je connais pas du tout ton conte donc ça prome d'être intéressant

Bienvenu à toi
en espérant que tu t'éclates bien avec nous ici

Re-bienvenue ?
Tu t'étais déjà inscrit avant ? T'étais qui ?

Ouais je suis super curieuse

En tout cas, bienvenue et surtout n'hésites pas si tu as la moindre question ou même si tu souhaites au final avec un parrain ou une marraine le temps de reprendre tes marques ^^ Un mp à un staffeur (les roses vifs là, on a pas encore réussi à faire changer la couleur ), et hop, ça sera fait.

Alexis E. Child a écrit:

Ooooh un petit nouveau

Bienvenue m'sieur N'hésites pas si tu as la moindre question

Je te souhaite bon courage pour ta fiche en tous les cas, je connais pas du tout ton conte donc ça prome d'être intéressant

Merciiii Je fais de mon mieux pour Dazai chan ce connard là
J'espère que la lecture te sera agréable !

Bran Uaike a écrit:

Bienvenu à toi
en espérant que tu t'éclates bien avec nous ici

J'ai déjà posé mon duvet et ma cafetière ! On est bien <3

Eloise A. St-James a écrit:

Re-bienvenue ?
Tu t'étais déjà inscrit avant ? T'étais qui ?

Ouais je suis super curieuse

En tout cas, bienvenue et surtout n'hésites pas si tu as la moindre question ou même si tu souhaites au final avec un parrain ou une marraine le temps de reprendre tes marques ^^ Un mp à un staffeur (les roses vifs là, on a pas encore réussi à faire changer la couleur ), et hop, ça sera fait.

Ahah, on avait rp ensemble d'ailleurs
FAUDRA ME SAIGNER POUR QUE JE LE DISE (tu parles, demain j'ai craché le morceau et dans deux semaines, il revient )
Je peux juste dire que c'était... mh... un animal avec un autre ami animal (pas bien fûté l'autre animal d'ailleurs) et qu'il fume des cigares (VOUS N'AUREZ RIEN D'AUTRE)

Merci en tout cas ! J'tiens le rose vif sous la main en cas de panique aigue !

Ooooh faut que je regarde ce manga parce que la joueuse de Dazai m'a donné envie C'est super cool de voir son conte s'agrandir je suis fan
J'ai déjà un lien avec Dazai alors ce sera avec plaisir si tu en veux un

En tout cas je te souhaite la bienvenue et bonne chance pour ta fiche

On parlait de toi dites donc
Fais moi BEAUCOUP de place, je suis TRES IMPOSANT (force de convition/20, mention honorable)
Et je ne peux qu'approuver : regarde dès que tu peux, C'EST TROP BIEN

Merci, je me montrerais digne