« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Surnom(s) → Appelez la Diane tout simplement. C’est le nom qu’elle s’est choisie, et elle le considère comme un surnom, au sein de sa famille si elle n’apprécie pas la personne elle lui fera directement savoir de l’appeler par son vrai nom et nom par son nom d’emprunt. La seule exception étant la pléiades de surnoms ridicules donnés par Apollon, on va du moins pire au pire en passant par Arté, Didi et Artété. Évidemment, a moins d’être un grand blond d’1m94 il est fortement déconseillé d’en user.
Age → Plus ou moins cinq millions années, rien n’est jamais sur dans l’intrigue divine de toute façon, mais en apparence elle a l’air d’être en fin de vingtaine début de trentaine.
Occupation / Emploi → Bras droit d’Olympe. C’est un peu la main du roi, le premier ministre si vous préférez en revanche si le titre a l’air prestigieux sur le papier ce n’est vraiment que sur le papier, son travail consiste généralement à maintenir la citée en ordre, payer les gardes Olympiens dans le dos de son frère, et le freiner gentiment dans ses diverses lubies. Bref, on pourrait résumer en disant simplement qu’elle est Mnémosyne à la place de Mnémosyne.
Votre personnage est-il tiré d'un conte ? : De la mythologie grecque/Hercule mais on va tout simplement l'appeler l'intrigue divine ici.
Si oui, lequel et qui est-il dedans ? : Artémis, la déesse de la chasse et la lune
Vous.
Caractère → Calme, c’est le premier adjectif pour la décrire. Artémis c’est un peu une force tranquille que rien ne semble pouvoir ébranler sauf peut-être les diverses idées farfelues d’Apollon ou bien les aventures divino/titanesques aux conséquences désastreuses. Sa patience est néanmoins à toute épreuve, n’est pas déesse de la chasse qui veut, et n’est pas la sœur jumelle d’Apollon qui veut également, il lui fallait au moins cette qualité pour réussir à le supporter depuis tout ce temps sans développer des envies de s’en débarrasser de manière définitive. Pour autant, même s’il est parfois difficile de vivre avec un boulet pareille attaché au pied, elle sait néanmoins développer des trésors de douceur et de gentillesse qu’elle partage généreusement avec le restant de son entourage.
Mais Artémis, c’est aussi la discrétion incarnée et ce dans tous les sens du terme. Si toute la ville a déjà mit un visage derrière le nom d’Apollon, rare sont ceux pouvant se vanter d’avoir pu faire de même avec elle. Outre la discrétion médiatique, elle a tendance à se faire « oublier » à se fondre dans la masse le plus possible, préférant ne pas attirer l’attention sur elle. Si Apollon a pour lui, la lueur éclatante du soleil, Artémis a pour elle, celle plus pâle de la lune. Elle est la lumière dans les ténèbres, celle qui fascine tout en étant crainte, son amitié est de ce fait plutôt compliqué à obtenir. En effet, elle ne se laisse pas approcher facilement, et si elle devait être un animal ce serait sans conteste une biche. Artémis est faites pour être admiré mais de loin seulement, comme la biche si vous l’approchez de trop près elle fuira sans un regard en arrière. Pour autant, si vous savez faire votre bout de chemin vers son coeur et fissurer sa carapace, c’est une amie loyale que vous allez gagner, on pourrait simplement le résumer par « à la vie à la mort. » Artémis, est farouchement protectrice avec les personnes auxquelles elle tiens, Apollon en tête. Elle ne supporte pas qu’il leur arrive du mal, c’est plus fort qu’elle. Ne vous y trompez pas, c’est autant une qualité qu’un défaut et souvent plus ce dernier d'ailleurs.
Au fil des siècles, elle s’est forgée une carapace autour du coeur, refusant d’y laisser réellement entrer qui que ce soit. Évidemment, il y a eu quelques couac puisque s’ils se comptent sur les doigts d’une main, des gens auxquels elle s’est attachée il y en a eu au cours de sa longue existence et ce bien avant Storybrooke. Pour autant, aucun n’a jamais réellement su qui elle était, c’est le fardeau de chaque immortel et si « Diane » est le nom qu’elle utilisait le plus souvent -pour ne pas dire tout le temps- ses « identités » ont été multiple. Nomade, elle ne restait jamais plus d’une dizaine d’années au même endroit, afin de ne pas révéler que le temps n’avait pas d’emprise réelle sur elle et que de ce fait, elle ne vieillissait pas. De ce fait, elle n’a jamais vraiment forgé de relation « durable » avec qui que ce soit, autre qu’Apollon ses chasseresses et Aphrodite bien sur, mais ça c’est une autre histoire.
Les mythes bien que divergeant d’une légende à l’autre, s’accorderont sur un point : son désir de rester éternellement vierge. Cela viendrait du calvaire éprouvée par Leto en leur donnant naissance à Apollon et elle. Comme vous vous en doutez, si comme dans chaque mythe il y a une part de vérité, la véritable raison n’est pas celle évoquée dans les livres de mythologie grecque. Déjà, sa mère ne s’appelle par « Leto ». Et elle n’est pas non plus la fille de Zeus, néanmoins on y reviendra plus tard également. Son désir de ne pas s’attacher à un individu de sexe masculin est quand à lui bien réel, mais pour les mêmes raisons qu’elle accorde difficilement son amitié : Artémis est immortelle, elle ne vieillit donc pas. De ce fait, s’attacher à un homme signifiait pour elle le voir vieillir et mourir, chose qu’elle refusait. Aussi, pour ne pas souffrir choisit-elle de ne jamais s’attacher romantiquement parlant à qui que ce soit. Mais cette interdiction qu’elle s’est imposée, l’empêche également d’avoir des enfants hors s’il y a bien une chose dont on ne se doute pas c’est son côté maternel extrêmement développé. Artémis, c’est une maman dans l’âme qui ne peut pas l’être, et c’est un peu pour cette raison que ses chasseresses ont vus le jour. Si le désir d’avoir un enfant, peu paraître un motif égoïste pour créer des créatures, sachez bien qu’elle adorait ses chasseresses. A la fois, maman, grande sœur et amie elle se fondait dans les trois rôles avec beaucoup d’aisance.
Parmi ses défauts, outre ce côté solitaire se trouve également l’orgueil couplé d’une fierté mal placée. Elle ne supporte pas quand la situation lui échappe, ou lorsqu’elle ne comprends pas quelque chose. Têtue, pour ne pas dire bornée, lorsqu’elle estime être dans son bon droit il est extrêmement compliqué de lui faire changer d’avis sans une remise en question totale, ce qui prends parfois hélas pas mal de temps. Il lui arrive également d’être particulièrement obtus sur certains sujets, si bien qu’il est souvent impossible d’en discuter avec elle.
Une Particularité ? → Diane est une déesse, de ce fait ses particularités sont multiples :
Force surhumaine : Comme chaque dieu, Diane est doté d’une force surhumaine. De ce fait, elle peut soulever de lourde charge avec une aisance qui peut surprendre étant donné son apparence délicate. De plus, si elle ne dose pas sa force, certaines choses pourraient avoir tendance à se casser entre ses mains.
Téléportation : Tous les dieux ont le pouvoir de se téléporter, mais contrairement aux sorciers ou aux créatures, un dieu peut se téléporter n'importe où dans le monde et même l'espace. C'est très pratique pour réduire les drapeaux plantés sur la lune en morceaux.
Empathie : Dotée du don d'empathie, Diane peut ressentir les émotions des gens. Depuis la mission la dernière sentinelle il lui est également capable de ressentir celles des titans, choses qui lui était impossible avant. A savoir que tout le monde a des émotions, qu'elles soient positives ou négatives, ayant la capacité de les ressentir il est très facile pour elle de deviner si une personne lui ment ou non.
Manipulation Lunaire : En tant que Déesse de la Lune, Diane a la possibilité d'en manipuler la lumière. Ce n'est néanmoins possible que dans le monde réelle et nul part ailleurs. La lumière de la lune joue également sur son physique, ses cheveux passent du blond à l'argentée et sa peau devient diaphane lorsqu'un rayon l'éclair.
Manipulation de la flore terrestre : L’élément de prédilection de Diane, c'est sans conteste la "terre" la Nature, mettez la en pleine forêt et cela deviendra un véritable terrain de jeux pour elle. Le moindre petit carré d'herbe, la moindre racine, souche d'arbre et j'en passe peut s'animer et devenir une arme redoutable. Elle a la possibilité de manipuler la flore terrestre, les racines peuvent jaillir du sol, les branches d'arbres peuvent empoigner qui elle le souhaite et évidemment, si elle décide d'utiliser le terrain pour se cacher, il est extrêmement dure voir impossible de la retrouver a moins qu'elle ne le veuille.
Manipulation de la faune terrestre : Diane la capacité "d'entrer" dans l'esprit des animaux, pour les plier à sa volonté un peu comme une sorte d'hypnose. Ce n'est néanmoins valide que sur la faune terrestre. En ce qui concerne la faune aquatique c'est le domaine de Poséidon. Ce pouvoir bien qu'étant très utile, est également plutôt gourmand en énergie, c'est pourquoi elle n'en use qu'avec parcimonie et lorsque la situation est jugée nécessaire.
Votre Vie.
Si on ouvre un livre de mythologie racontant le mythe d'Apollon et Artémis. On vous dira qu'ils sont jumeaux, et ont pour parents Zeus & Leto, que leur mère a cause de la jalousie d'Héra a endurée de multiples souffrances pour les mettre au monde, ce qui a résulté au dégoût d'Artémis pour le mariage et à son souhait de rester à jamais vierge. Oubliez cela, tout ceci n'a rien a voir avec l'histoire que je vais vous raconter ici. D'ailleurs, si vous veniez à lui en parler Diane vous répondra qu'il n'y a rien de vrai dans ce qui est raconté dans les livres de mythologies. Non la réalité est toute autre : si elle est bien la soeur jumelle d'Apollon, ils ne sont en aucun cas les enfants de Zeus & Leto. Leur mère est la Titanide Mnémosyne et comme tous les autres dieux, elle est née grâce à un rituel effectué avec des Nymphes. De sa vie avec sa mère, elle n'a aucun souvenirs en fait elle n'a strictement aucun souvenir de toute la période concernant son enfance.
️ CREDIT
Administration
→ Célébrité de votre Avatar : Claire Holt, avec Bonus Kate Winslet pour son physique "âgé" et Mia Talerico pour la version miniature → Est-ce un poste vacant ? : Même si c'est moi qui l'ai demandé, elle fait partie d'une intrigue et de ce fait est donc considéré comme tel
→ Multicompte ? : Six ou Sept personnalités
Entre nous
→ Pseudo / Prénom : Didi/Marine comme vous le souhaitez → Votre avis sur le forum : Tout le monde a déjà dût faire la vanne du "il est moche" au moins une fois alors je vais m'abstenir → Comment l’avez vous découvert : Par une pub facebook sauvage
→ Si vous deviez choisir entre héros, vilain, magique, prince(sse), ancien animal, rebelle ou divin pour votre team vous choisiriez quoi ? : Divin, puisque c'est une déesse #logique
→ Le mot de la fin : Il était une fois, il s'est passé quelque chose, fin
Diane Moon
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Divers test de signature aka bonjour je suis une emmerdeuse indécise
Spoiler:
✭ A rice ball in a fruits basket ✭
Cause they say home, is where your heart is set in stone. It's where you go when you're alone, It's where you go to rest your bones. It's not just where you lay your head, It's not just where you make your bed. As long as we're together, does it matter where we go ? Home ✭ ✭ ✭ (c) lana del rey + ÉLISSAN.
A rice ball in a fruits basket
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Arice ball in a fruitsbasket
Cause they say home is where your heart is set in stone. It's where you go when you're alone, It's where you go to rest your bones It's not just where you lay your head, It's not just where you make your bed. As long as we're together, does it matter where we go ? Home. ️ Lilie
★ A rice ball in a fruits basket ★
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☾ ☾ ☾ Cause they say home, is where your heart is set in stone. It's where you go when you're alone, It's where you go to rest your bones. It's not just where you lay your head, It's not just where you make your bed. As long as we're together, does it matter where we go ? Home.
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Cause they say home is where your heart is set in stone. It's where you go when you're alone, It's where you go to rest your bones It's not just where you lay your head, It's not just where you make your bed. As long as we're together, does it matter where we go ? Home. -byendlesslove
A rice ball in a fruits basket
>Cause they say home is where your heart is set in stone. It's where you go when you're alone, It's where you go to rest your bones It's not just where you lay your head, It's not just where you make your bed. As long as we're together, does it matter where we go ? Home
Apparemment, Elsa avait encore énormément de mal à assimiler l’un des traits principaux de mon caractère : j’étais quelqu’un de très obstiné, et en plus je n’en faisais généralement qu’à ma tête. Je ne savais même pas pourquoi, est-ce qu’elle essayait encore de jouer la carte « c’est moi la grande sœur alors tu m’écoutes. » Que je sache, la dernière fois que je l’avais écouté remontait à jamais. Quant elle avait décidé d’aller brailler Libérée Délivrée dans la montagne, et de se construire un château de glace, décidant d’y passer le restant de sa vie et de ce fait me refourguer toutes les responsabilités du royaume -comme cadeau il y avait mieux- j’avais choisit d’aller la retrouver et essayer de la convaincre de revenir et ce bien entendue, contre son avis. Quant elle avait voulu jouer à « suis moi je te fuis, fuis moi je te fuis » au levé de la malédiction, je ne l’avais pas non plus écouté -non parce que les, m’approche pas Anna je suis un moooonstreuuuuh ça allait cinq minutes-
Et aujourd’hui, alors que Melody était possiblement en danger, elle pensait réellement que j’allais l’écouter et rentrer à Storybrooke les mains dans les poches ? Hors de question oui ! Qu’elle le veuille ou non, je ne partirais qu’après avoir retrouvé mon amie. Oui, ça faisait un bail qu’on s’était pas vu, mais ça n’empêchait en rien le fait que je la considérais comme ma meilleure amie.
Suivant Tremblay, Elsa sur mes talons nous arrivâmes dans ce qui ressemblait à première vu à une cuisine. Typiquement pas le genre d’endroit que j’aurais pensé trouvé, et apparemment quelque chose était en train de cuir puisque ça sentait le homard :
- On est probablement pas tous seuls alors restons sur nos gardes.
Manquerait plus que Melmoth débarque, tel un diable hors de sa boîte. Il était suffisamment bizarre comme ça, pas la peine d’en rajouter. Et en plus, j’avais tout sauf envie de me retrouver à nouveau face à lui, il me filait la chaire de poule. Elsa ne fit pas de commentaire, se contentant de me regarder, Tremblay décida de prendre les devants en s’enfonçant dans un hangar où on ne voyait rien. Apparemment, il semblait se trimballer avec du matos sur lui, vu qu’en passant sa main dans son dos il attrapa une petite lampe de poche qui se trouvait je suppose dans une de ses poches. Dans le faisceau de lumière projeté, se trouvait plusieurs caisses que j’observais avec curiosité, mais sans plus. La priorité s’était de s’occuper de retrouvé Melody, et comme elle n’était pas là, le mieux c’était encore de continuer d’avancer.
Tremblay semblait d’ailleurs du même avis que moi, puisqu’il fit de même avant de se tourner vers l’une des caisses, avant de pointer son arme vers cette dernière. De là où j’étais, je pouvais remarquer la silhouette à l’intérieur : il s’agissait de Melmoth, les yeux fermés et une étiquette au poignet :
- Okay un code barre, et maintenant une étiquette. Déjà que je le soupçonnais de pas être très normale ce type, mais on dirait qu’il est un cran au dessus de ce que j’imaginais. Qu’est qu’on fait ? On le réveil ?
Si ça ne tenait qu’à moi la réponse était rapide puisque composé d’un seul mot « non ». Il était suffisamment dérangeant endormie, j’avais pas spécialement envie de le réveiller. Tremblay sembla hésiter à l’approcher, gardant son arme braqué en avant :
« Il n’a pas l’air endormie » Commenta-t-il avant de s’adresser à Melmoth. « Que faites vous ici ? »
Melmoth ne dit rien, en fait il bougea carrément pas.
- Il a pas l’air méga coopératif. Dis-je avec une moue dubitative. Si c’est comme tout à l’heure, je suis pas sûr que l’interrogatoire soit la meilleure solution.
Parce que hormis se la jouer perroquet, on pouvait pas dire qu’il ait été d’une grande aide niveau information. C’était d’ailleurs une des raisons pour lesquelles, j’avais pas spécialement envie de me retrouver à nouveau en sa compagnie, il y avait limite marqué « louche » en lettres majuscules sur son front. Tremblay me regarda, est-ce qu’il attendait une quelconque approbation de ma part ? Non parce que je m’étais pas autoproclamée chef d’équipe aux dernières nouvelles, chacun avait son libre arbitre. Il finit, néanmoins par s’approcher de Melmoth, après m’avoir donné la lampe torche.
Son arme toujours dans une main, il posa celle de libre sur l’épaule de Melmoth pour le faire réagir et ce toujours sans succès. Après quoi, il baissa la tête vers l’étiquette et la lu à voix haute :
« Modèle prince charmant. »
Il parut sceptique, et le toucha à nouveau mais au niveau de la tête cette fois-ci, avant de baisser sa main en direction du coeur pendant qu’on attendait. Son examen de Melmoth -ou du moins la chose qui lui ressemblait- terminé il se tourna vers nous :
« Ce n’est pas lui. C’est...Un robot ? » Fit-il surpris
Bienvenue dans notre quotidien. Même sur le coup du robot, celle-là on me l’avait jamais faite, c’était une première et j’étais pas sûr d’être spécialement emballée par l’idée. N'empêche, j'avais un peu pitié pour ce pauvre Tremblay. C'était pas tous les jours, qu'on passait de garde du corps à membre à part entière d'une énième expédition réservée aux habitants de Storybrooke -et ce qu'ils soient actuels ou ancien.
- Et si celui qu’on avait vu tout à l’heure était aussi un robot ? Ça expliquerait pourquoi il se répétait bêtement.
Aucune réponse, à la place Tremblay s’éloigna du robot pour regarder autour de lui. Apparemment, les gardes du corps ne savaient pas prendre de décision et attendaient que quelqu’un d’autres prennent les choses en main. Comme on allait quand même pas rester planter pendant 150 ans à se tourner les pouces, je décidais de lancer une idée à la cantonade :
- Booon je sais pas vous mais moi je vais pas rester planter là. Si on continue notre exploration, on finira bien par retrouver Melody.
J’avais surtout envie de mettre le plus de distance entre Melmoth et nous, même si retrouver Melody était également ma top priorité. Sasha pour sa part, jeta un dernier coup d’oeil au hangar et hocha la tête :
« Je pense que y'a rien d'autre a voir, alors allons-y. »
Aussi tôt dit aussi tôt fait, le groupe que nous formions se remit en marche. Sur le chemin, il y avait tout autant de caisses qu’avant, l’une d’elle était d’ailleurs ouverte ce qui n’était pas forcément une bonne chose. S’il y avait un Melmoth qui se baladait en liberté dans le hangar je n’avais pas spécialement envie de tomber nez à nez avec lui. Et histoire d’en rajouter, un bruit de pas rapide résonna au loin :
- Simple question avant d’y aller, Elsa au niveau de tes pouvoirs la réalisation d’objets en glace ça va tu maîtrise ou pas du tout ?
Ma sœur me regarda comme si je venais de dire une énormité. Qu’est que j’en sais moi ? Elle me faisait pas un rapport mensuel de l’évolution de sa maîtrise des pouvoirs, et la plupart du temps quand je la voyais s’en servir c’était plus pour amuser Matthew qu’autre chose alors pardon de poser la question.
« Voyons Anna... » Elle agita ses doigts afin de créer rapidement un flocon en glace, petit et avec tous les détails. Apparemment, je l’avais blessé dans son orgueil parce qu’il fallait qu’elle en fasse des tonnes
- Top. Tu penses que tu pourrais me créer une épée en glace ? Dans la foulée je me tournais vers Sasha. Est-ce que tu veux quelque chose aussi ? On est jamais trop prudent.
Pour le moment, il n’y avait que Tremblay et Elsa qui étaient armés et pour le coup, ma sœur ne pourrait pas décliner, elle était parfaitement au courant de mes compétences en escrime, et que c’était quand même sacrément pratique pour se défendre. En tout cas, Sasha se contenta de secouer la tête :
« Nan merci, ça ira. »
Elle en fit apparaître une elle-même et sur le coup, je me sentie un peu débile. J’avais bien remarqué qu’elle était comme François et comme Melody, mais j’y connaissais pas grand-chose en terme de divin. Au moins, j’avais demandé quitte à avoir l’air bête après coup. En tout cas, Elsa s’exécuta sans broncher et me tendit l’épée toute en glace qu’elle venait de créer :
« Soit prudente avec. »
- Oui chef. Lui répondis-je tout en examinant mon arme. Ça doit pas être si différent d’une normale.
Elsa se contenta de sourire, peut-être parce que pour l’une des rares fois de ma vie, j’écoutais ses recommandations.
Diane Moon
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“I love you to the moon and back”
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Artémis la déesse de la chasse et de la lune herself (même si je viens du monde réel)
→ NOM : Soma → PRENOM : Kyô → SURNOM : Koko, Kyonkyon, imbécile de chat (courtoisie de Yuki pour ce dernier) et autres joyeustés → AGE : 23 ans (24 cette année)
→ METIER/OCCUPATION : Il aide son maître et père adoptif à tenir son Dojo, notamment en dispensant des cours.
→ Tiré d'un conte ou Disney, si oui lequel? : Fruits Basket
Traits de Caractère
Défauts : Colérique, Impulsif, Dur, Rude, Maladroit, Manque de tact, Susceptible, A des humeurs très changeante, Bourré de remords et de regrets, Compliqué à comprendre, Compétiteur
Qualités : Protecteur, Souriant, Bienveillant, Taquin, Attire naturellement la sympathie des autres, Vrai, A un côté doux qu'il n'aime pas spécialement montrer, Amusant, Attachant, Autonome, Ordonné
Traits particuliers :
➣ Comme ses douze autres cousins, Kyô est maudit par l'esprit d'un animal du zodiaque chinois, dans son cas c'est le chat. Comme dans la légende, il est exclu du restant du zodiaque et a beaucoup souffert dans son enfance notamment de cet isolement. Constamment comparé à son cousin Yuki maudit par le rat, il a finit par développer une haine profonde pour ce dernier.
➣ Il déteste le poireau, les oignons vert et le miso
➣ Il porte un bracelet rouge et blanc autour du poignet permettant de "dissimuler" la véritable forme du chat.
Histoire & Philosophie
Monde des contes
Kyô est le fils unique de ses parents, sa mère a toujours été extrêmement protectrice avec lui ceci étant dût à sa condition "particulière" et avait constamment peur de ce qu'il aurait pu entendre à son sujet ainsi que sa véritable forme ne soit révélé. Selon Kyô, elle dissimulait la peur qu'elle éprouvait à son égard sous une tonne d'amour maternelle ce qu'il détestait et s'assurait plusieurs fois par jour que son bracelet était bien en place. En tant que "chat", il a toujours été isolé du restant des Soma comme si le fait d'être maudit par cet esprit en particulier était une honte dont il était l'unique responsable.
Après le décès de sa mère, et bien que les raisons l'ayant poussé à mettre fin a ses jours soient flous tout le monde, que ce soit son père ou le restant de la famille l'accusa d'en être le responsable. Aux yeux des autres, si elle avait décidé de se suicider c'était par honte de l'avoir mit au monde. Il fut receuillit par Kazuma Soma le maître en art martiaux du clan et également le petit fils du précédent maudit du chat. Néanmoins, tout ceci poussa le petit garçon qu'il était à développer une haine de plus en plus profonde pour son cousin Yuki maudit par l'esprit du rat. Si tout le monde le détestait et le traitait comme un paria c'était uniquement parce que le rat avait trompé le chat.
Sa scolarité ne fût pas des plus roses, on peut même dire qu'elle fût plutôt du genre chaotique. Kyô avait beaucoup de colère et de ressentiment refoulé en lui, si bien que sa seule manière d'exprimer son mal être était d'avoir recours à la violence physique. C'est en partie pour canaliser cette colère, mais également pour le rendre plus fort que son maître lui enseigna les arts martiaux et pour la première fois de sa vie, Kyô trouva quelque chose qu'il aimait, quelque chose qui le passionnait même et où il était doué.
Après un incident survenu peu après son entrée au lycée, Kyô s'enferma un peu plus dans une spirale de haine et de dépression, blâmant un peu plus Yuki pour être la source de ses "malheurs". Voyant à quel point il semblait brisé, son maître prit la décision de l'emmener dans les montagnes afin de l'aider à se retrouver découlant à une absence de 4 mois des radars de la part du rouquin officiellement pour "s'entraîner." A l'issu de ces 4 mois, Kyô fit un pari avec Akito : s'il réussissait à battre Yuki avant la fin du lycée, il serait officiellement accepté parmi les 12 mais si dans le cas contraire il n'y réussissait pas : il finirait sa vie dans le pavillon du chat comme les autres maudit de ce signe avant lui.
C'est ce qui l'amena un jour qui allait s'avérer être pas tant comme un autre que cela à détruire le toit de la maison de Shigure afin d'affronter Yuki dans le but de le vaincre. Malheureusement ce qui n'était pas prévus au programme fût la présence d'une certaine Tohru Honda qui en souhaitant l'arrêter, trébucha accidentellement sur un des débris traînant au sol et droit sur lui le transformant de ce fait en chat.
Cet incident marqua un tournant fort dans la vie de Kyô, qui fût contraint quelques temps plus tard d'emménager à son tour chez son cousin et progressivement, Tohru se fraya son petit bout de chemin dans la vie et dans le coeur du rouquin sans qu'il ne s'en rende vraiment compte dans un premier temps. Ce n'est qu'après l'épisode du retour de son maître et la révélation de sa vrai forme à l'adolescente qu'il prit petit à petit conscience de ses sentiments envers elle. Pourtant, lorsqu'elle lui avoua l'aimer il préféra la repousser, lui racontant ce qu'il lui avait toujours caché jusqu'ici à savoir sa présence le jour où Kyoko était morte et son rôle dans l'accident ayant coûté la vie à cette dernière et accablé de remord, il préfère s’enfuir. C'est pendant sa fuite, que subitement un nuage de fumée de couleur violette semble s'étendre sur tout l'espace, lui y compris.
Pendant et après la malédiction
La vie de Kyô à Storybrooke, n'est pas forcément plus rose que celle qu'il avait dans son monde d'origine. Ici, exit le clan Soma et la malédiction des douze mais son environnement familiale n'est pas forcément des plus saints. Son père est quelqu'un de violent, s'il n'utilise pas de violence physique, cela ne l'empêche pas de faire preuve de violence psychologique envers sa mère notamment. Rien n'est assez bien pour lui, si bien que même sans la malédiction et sans l'esprit du chat l'histoire finit par se répéter et sa mère décide de mettre fin à ses jours.
Après décision, c'est à un parent éloigné un certain Kazuma Soma propriétaire d'un dojo en ville que la garde du petit garçon est accordé. L’environnement dans lequel il évoluerait désormais fût radicalement différent que ce qu'il avait connus ses cinq premières années de vie. Kazuma s'avéra être un maître stricte mais bienveillant et surtout un père aimant. Il lui enseigna les arts martiaux afin de lui apprendre la discipline, et lorsque Kyô évoqua le souhait de faire de cette activité qu'il aimait de plus en plus son style de vie, il insista tout de même pour qu'il finisse le lycée et après il pourrait poursuivre une formation dans cette voie là si c'était là ce qu'il souhaitait toujours.
Alors, il suivit le désir de son maître et enchaîna collège et lycée sans problème particulier. Contrairement à celui qu'il fût, cette version là de Kyô n'éprouve ni haine, ni colère envers qui que ce soit et il se fait même quelques amis durant sa scolarité. Son diplôme en poche, son désir de continuer dans le domaine des arts martiaux est toujours aussi présent. Alors, avec l'air de son maître il s'inscrit dans un cursus spécial lui permettant d'obtenir le précieux sésame pour enseigner et ce tout en aidant tout de même à la vie du dojo et de ses résidents. Il faut dire que son maître étant un désastre culinaire, le rouquin a rapidement dût apprendre à se débrouiller tout seul de ce côté là. A côté de ça, il continue toujours de se perfectionner dans les arts martiaux.
Une fois la malédiction levé, il se souvient de tout : des Soma, de la malédiction, de Yuki et surtout de Tohru. Tohru qu'il a encore fait pleuré. Si Saki et Arisa ne débarquent pas pour l'écorcher vif, il s'estimera chanceux. Mais si ses sentiments envers Tohru sont toujours omniprésent, il n'ose pas aller la retrouver de peur qu'elle le déteste, de peur d'être à nouveau tout seul.
Pourtant, tout au fond de lui derrière toute cette colère, toute cette haine qu'il ressent vis à vis des Soma et de la malédiction des douze, les images de cette vie toute fabriquée grâce à la magie ne cessent de le hanter et de plus en plus il se rend compte que c'est de cette vie là qu'il veut. Ici le clan Soma est éclaté, il n'y a plus d'intérieur et d'extérieur plus de grandes résidences familiales plus d'obligation et surtout plus de pavillon du chat. Si son existence même au sein des douze est d'être pointé du doigt, et d'apporter un peu "d'espoir" aux autres en leur montrant qu'il existe bien pire qu'eux ici il décide tout simplement de rejeter cette existence.
Kyô est en colère, Kyô en veut au monde entier mais Kyô a eu six ans pour y penser et ne veut justement plus de cette existence. Que son père, Akito et tous les autres aillent donc au diable il ne sera plus jamais leur bouc émissaire de cela il en est intimement convaincu et il a bien l'intention de le faire comprendre à qui osera prétendre le contraire.
Lien avec Tohru Honda
Kyô et Tohru c'est un brin compliqué. D'un côté, lorsque l'on fuit la fille que l'on aime parce qu'on est bourré de remords et ce alors qu'elle a clairement dit qu'elle n'avait aucune rancune contre vous...Il y a de quoi sérieusement compliqué les choses. En six ans, aucun des deux n'a encore revu l'autre fait amusant quand on sait qu'ils ont tous les deux fréquenté le même lycée. Tohru n'ose pas s'imposer et Kyô n'ose pas la chercher après ce qu'il s'est passé, aussi faut-il laisser faire le hasard pour que des retrouvailles se passent.
Diane Moon
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“I love you to the moon and back”
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Artémis la déesse de la chasse et de la lune herself (même si je viens du monde réel)
→ NOM : Soma → PRENOM : Yuki → SURNOM : Prince, Yunyun, Sale rat (courtoisie de Kyô pour ce dernier) → AGE : 23 ans (24 cette année)
→ METIER/OCCUPATION : Etudiant
→ Tiré d'un conte ou Disney, si oui lequel? : Fruits Basket
Traits de Caractère
Défauts : Réservé, A peu d'estime pour lui-même, Se lie difficilement avec les autres, Complexé, Introvertie, Maladroit à sa manière, Jaloux, Désordonné, Piètre cuisinier, Isolé des autres, Paresseux
Qualité : Séduisant, Sérieux, Charismatique, Bon élève, Talentueux dans a peu près tout ce qu'il entreprend, Intelligent, Mettra tout en oeuvre pour rendre heureuse une personne qu'il apprécie, Redoublera d'efforts et de travail si une chose le passionne.
Traits particuliers :
➣ Comme ses douze autres cousins, Yuki est maudit par l'esprit d'un animal du zodiaque chinois, dans son cas c'est le rat. De ce fait, il est naturellement doué dans a peu près tout ce qu'il entreprend (minus les taches ménagères où c'est une vrai catastrophe ambulante). Il a été gardé isolé du restant de sa famille par Akito durant son enfance, subissant régulièrement des abus psychologiques de sa part. Enfant, il a dans un premier temps tenté de tisser des liens avec Kyô, isolé tout comme lui mais s'est heurté au rejet et à la haine de ce dernier, si bien que leur relation s'est détérioré au profit d'une aversion mutuelle.
➣ Il complexe sur son physique androgyne.
➣ Petit il avait de nombreux problèmes d'asthme, si cela semble s'être calmé en grandissant il a tout de même une santé plutôt fragile au niveau respiratoire.
Histoire & Philosophie
Monde des contes
Yuki, est le second fils de ses parents. Il a un frère du nom d'Ayame de dix ans son aîné, ce dernier est également l'un des douze puisqu'il est maudit par l'esprit du serpent. Étant hanté par l'esprit du rat, Yuki fût considéré par ses parents comme un moyen de servir leurs propres intérêts que ce soit en tant que status ou bien de richesse. En effet, au sein des Soma si la famille abritant le chat est couverte de honte, celle abritant le rat est extrêmement favorisé. Aussi, sa mère décida-t-elle tout simplement de le "vendre" comme compagnon de jeu à Akito leur chef, le rat étant sensé être le "plus proche" du dieu.
Les années passant, Akito abusa régulièrement émotionnellement et psychologiquement de Yuki, il se retrouvait par exemple enfermé pendant des jours dans une pièce sombre et sans fenêtres, tandis-qu'il se faisait dire que personne ne voudrait jamais de lui, et que tout le monde le détestait. Et sa première rencontre avec Kyô, ne fit rien pour arranger les choses au contraire il finit par croire aux paroles d'Akito et que tout le monde le détestait réellement. Il tenta pourtant une fois, de demander de l'aide se tournant vers son frère mais ce dernier le repoussa presque immédiatement, ce qui creusa un fossé entre eux.
Il y eu cependant une petite lueur d'espoir pour Yuki, alors qu'il était en primaire. En effet, le petit garçon réussit pour la première à se faire des amis. Malheureusement, cela ne dura qu'un temps. Un jour, pour jouer une fille se jeta sur lui ce qui provoqua immédiatement sa transformation en rat. Il fallut donc faire intervenir son cousin Hatori afin de leur effacer la mémoire et il en voulut d'ailleurs pendant très longtemps à ce dernier pour avoir obéit à Akito en dépit de ses supplications.
Il arriva néanmoins un point de non retour, où Yuki ne pu plus supporter les abus d'Akito. Il supplia son cousin Shigure qui lui vivait à l'extérieur de la demeure des Soma, de le libérer et d'accepter qu'il vienne vivre avec lui. En plus de Yuki, c'est Hatsuharu le maudit du boeuf qui demanda au plus âgé de le faire sortir d'ici, ce qu'il accepta sous certaines conditions. Ainsi, Yuki passa le concours d'entrée pour le lycée mixte Kaibara et emménagea chez son cousin à "l'extérieur." C'est quelque temps plus tard qu'il fit la connaissance d'une certaine Tohru Honda, si dans un premier temps ils firent simplement le chemin du lycée ensemble dût au fait qu'ils soient dans la même classe, c'est le soir même alors qu'ils rentraient de leur dîner avec Shigure qu'il l’aperçut rentrant dans sa tente.
Suite à un glissement de terrain emportant, ce qui faisait office d'habitation à sa camarade de classe, lui et Shigure lui proposèrent de vivre ici le temps que les travaux chez son grand père soient finit. L'installation ne se passa pas comme prévu, puisque c'est ce moment pile que choisit son cousin Kyô pour débarquer via le toit et le défier en duel. Et évidemment, tout ceci finit par la révélation de leur malédiction à Tohru.
Avec la présence de Tohru, Yuki réussit petit à petit a surmonter ses propres faiblesses, s'ouvrant un peu plus aux gens et finissant même par accepter le poste de président de l'association des élèves. Si dans un premier temps, il pensa être amoureux de l'adolescente, il se rendit compte qu'en fait ses sentiments pour elle étaient d'une toute autre nature, et il fût d'ailleurs celui qui se lança à la poursuite de Kyô, lorsque ce dernier la rejeta, histoire de lui expliquer sa manière de penser de manière musclé. Mais alors, qu'il croisa Shigure en chemin un épais nuage violet arriva droit sur eux, les enveloppant totalement.
Pendant et après la malédiction.
A Storybrooke, La vie de Yuki n'est ni meilleur ni moins bonne qu'avant. S'il n'y a plus de Clan Soma à proprement parler, cela n'empêche pas ses parents d'éprouver une indifférence quasi complète envers lui, ou bien son frère. Ayame étant un électron libre, du genre à ne surtout pas rentrer dans le moule, c'est vers lui que retombe toute la pression familiale. Car si ses parents, n'éprouvent pas spécialement d'amour filiale envers leurs deux enfants, cela ne les empêche pas d'avoir un certain statu à maintenir. Yuki doit donc être modelé selon leurs désires afin de renvoyer l'image parfaite du "fils de bonne famille."
Ce sont eux qui décident dans quel établissement il sera, presque dès son entrée à la crèche, quel sera son parcours scolaire et les études qu'il devra faire en allant jusqu'à ses fréquentations. N'ayant pas vraiment son mot à dire, il fait ce que l'on attends de lui sans protester, l'isolant par la même occasion des autres enfants de son âge. Si beaucoup de gens l'admirent, peu peuvent s'enorgueillirent de vraiment connaître Yuki. Lui, il se rend bien compte que ceux que ses parents souhaitent le voir fréquenter ont au moins autant de désir que lui de créer des liens ensemble. En somme : pas du tout.
Bien plus d'une fois, Yuki se sent lasse de toute cette comédie. Si en tant qu'enfant, il a toujours suivit les choix qu'on lui a imposé bien sagement, plus il grandit et moins il le supporte. Yuki veut-être libre, Yuki veut avoir une famille aimante et par dessus tout, Yuki veut pouvoir créer de véritable liens avec de véritables personnes, il veut ne plus avoir peur. Et contre toute attente, ce cercle vicieux est brisé par ni plus ni moins que Ayame, car cette fois-ci la main tendue par son cadet, l'appelle à l'aide de son frère, il l'a entendue. Propriétaire d'une boutique marchant plus que bien, il fait en sorte que Yuki puisse s'émanciper de leurs parents et va même jusqu'à lui prendre un appartement. S'il aurait bien voulu que son petit frère vive sous le même toit que lui, il aura rapidement comprit que ce n'était pas une bonne idée pour Yuki. Ainsi, ce dernier pût continuer sa scolarité tout en se reconstruisant.
La malédiction levée, Yuki se souvient de tout : de la malédiction des Soma, de Kyô, du lycée, de Tohru...Tout absolument tout lui revient en mémoire. Un peu bouleversé par cette "double vie" et ses souvenirs qui sont pourtant faux, il lui faut un peu de temps pour réussir à tout digérer. Et malgré son envie de retrouver ceux à qui il tient, il décide après le lycée et à présent qu'il est possible de sortir de la ville sans problème que le mieux est encore de s'éloigner de la ville quelques temps, afin de pouvoir se recentrer.
C'est Ayame qui cette fois encore intervient, il lui propose de financer la suite de ses études et de l'aider à se loger. Si dans un premier temps, l'adolescent fût réticent à l'idée de laisser son frère l'aider encore plus, ce dernier insiste tellement qu'il finit par céder. Il n'a aucune intention de demander à leurs parents ni même à qui que ce soit du clan Soma. Si à Storybrooke ce dernier a éclaté, Yuki avait déjà avant d'être emporté par la malédiction, prit son courage à deux mains afin de s'en éloigner. Maintenant que Storybrooke lui facilite encore plus la tâche, il est bien décidé à poursuivre dans cette voie là. Yuki ne sera plus jamais la marionnette de personne que ce soit ses parents ou bien d'Akito. Une fois tous les soucis d'ordre administratif remplit, il s'envole en direction de New York afin de commencer ses études là-bas.
Aujourd'hui, après six ans d'absence il se sent enfin prêt à revenir. Il a eu le temps nécessaire pour prendre du recule, pour réfléchir comme il le voulait et maintenant son souhait est bien évidemment de retrouver les personnes qui comptent pour lui, tout en continuant de surmonter ses propres faiblesses. Il ne rejettera plus jamais la faute sur la malédiction ou les Soma, plus que jamais il est décidé à continuer sur la voie de l'émancipation vis à vis de tout ça.
Lien avec Tohru Honda
Yuki a d'abord pensé être amoureux de Tohru avant de se rendre compte que les sentiments qu'il éprouvait pour elle, étaient plus de ceux qu'on peut éprouver pour une mère tant sa chaleur et sa gentillesse l'ont aidé à se reconstruire. Décidant de travailler sur ça, étant donné que ça restait un brin bizarre vu qu'ils ont le même âge, aujourd'hui il voit en elle une amie très chère. En fait, on peut même dire que s'il devait avoir une meilleure amie ce serait-elle.
Diane Moon
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“I love you to the moon and back”
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Sortie en 1994 le Roi Lion, 32ème grand classique des studios Disney est le film le plus rentable des dits studios avant d'être détrôné deux décennies plus tard par La Reine des Neiges. Chef d’œuvre pour certains, surcoté pour d'autres quoi que l'on en dise Le Roi Lion ne laisse pas indifférent, surtout quand on sait qu'a l'origine personne n'avait ve venir ce succès. En effet, personne ne se passionne vraiment pour ce film mettant en scène uniquement des animaux et même chez Disney, tous les regards sont tournés vers un autre classique d'animation à venir jugé plus noble Pocahontas une légende indienne.
Le projet voit le jour en 1989, Jeffrey Katzenberg directeur des studios à l'époque décide de monter un film sur le thème du passage de l'enfance à l'âge adulte. Dans un premier temps, c'est Thomas Schumacher qui sort tout juste de la réalisation de Bernard & Bianca au Pays des Kangourou qui s’attelle à la mise en travaux de ce projet connu à l'époque sous le nom de "Roi de La Jungle" en tant que producteur aidé de Goerge Scribner, réalisateur sur Oliver & Compagnie et Linda Woolverton, futur scénariste sur La Belle & La Bête leur tâche est avant tout de défricher les très nombreuses page de scenarios, afin de réussir à créer une histoire. Malheureusement au moment où le film entre en production, ils étaient tous à l'exception de Thomas Schumacher passé à autre chose. Et ce dernier s'étant vu confier la responsabilité du développement des films d'Animation, dût renoncer à sa présence dans le développement quotidien du futur chef d’œuvre pour ne devenir que producteur exécutif.
C'est en 1991, que le film a droit à son tout premier réalisateur Roger Allers. S'il a participé à la construction des histoires de La Petite Sirène, La Belle & La Bête ainsi qu'Aladdin entre autre, Le Roi Lion est sa toute première réalisation. Et afin de s'imprégner au mieux de l'univers dans lequel allait devoir évoluer les personnages, il monte une équipe qui s'envole en Novembre du même mois pour un voyage au Kenya dont-ils ramèneront la vision à la fois réaliste et enchanteresse qu'ils voulaient véhiculer de l’Afrique. En 1992, le projet se voit attribué un coréalisateur en la personne de Rob Minkoff entré la même année que son confrère chez Disney et qui a déjà légèrement touché à la réalisation avec les deux cartoons dérivés de l'univers du film Qui veut La peau de Roger Rabbit : Bobo Bidon et Lapin Looping.. Les deux réalisateurs continuent de planter leur décors, piochant dans les grands classique western afin de donner aux scènes de paysages un côté grandiose.
Malheureusement, si Allers & Minkoff arrivent à se faire une idée de l'univers dans lequel les personnages évolueront, pour ces derniers et pour le scénario c'est tout sauf gagné. Afin de pallier à ce problème, un "groupe d'idée" est monté par Jeffrey Katzenberg. Les scénaristes originaux ainsi que l'équipe de la Belle & La Bête sortant tout juste de la création du film sont mobilisés et tout ce beau monde s'enferme durant deux jours entiers afin de dégager un thème et une première ébauche de scenario. Les choses sont cependant loin d'être acquise, de ce groupe de réflexion ressortira surtout la relation père/fils. Il faudra attendre l'arrivée des scénaristes Irène Mecchi et Jonathan Robberts pour enfin voir le tout décoller.
Comme ce fût déjà le cas, lors de la réalisation de Bambi où Walt avait fait venir un cerf, de vrais animaux furent amenés dans les studios afin que les animateurs puissent les étudier dans des conditions moins contraignantes que s'ils avaient dût se rendre au zoo pour cela. Et en plus de pouvoir dessiner des animaux vivants, les animateurs bénéficient également d'une étude de leurs anatomies, rendant ainsi leurs manières de se mouvoir et leurs habitudes parfaitement crédible.
Mais outre l'animation des personnages, Le Roi Lion bénéficie également d'effets spéciaux et d'animation par ordinateur celle-ci est particulièrement vrai pour une scène en particulier : celle de la fameuse débandade des gnous. Si les personnages présent comme Simba, Mufasa, Scar ou Zazu sont dessinés à la main, le troupeau de gnou lui a été ajouté numériquement afin de pouvoirs les multiplier pour coller à la demande des réalisateurs, qui souhaitaient que cette débandade soit composé de centaines d'animaux. Quant aux effets spéciaux, le film en regorge mais rien a voir avec ce que l'on pourrait se représenter à la mention du terme. Qu'il s'agisse de faire tomber la pluie, de mettre le feu à un caillou de créer des ombres afin de donner une impression de profondeur, chaque effet sera au préalable dessiné à la main par le département des effets spéciaux. Mais là où Le Roi Lion est si spéciale, c'est que la technique va plus loin encore : qu'il s'agisse de l'apparition du fantôme de Mufasa, des sources géothermiques dans le cimetière d'éléphant ou bien de l'incendie provoqué par l'orage lors du finale, tout a été fait de manière à obtenir un rendu se rapprochant le plus possible de la réalité.
En plus de l'aspect visuel, ce qui fait la force du film c'est également sa musique. Pourtant, à l'origine ce film ne devait pas être un film musicale. L'équipe le voyait plus comme une sorte de documentaire à la National Géographique mais en dessin animé. Pourtant, plus la création avançait et plus l'idée que de la musique devait y être incorporé se faisait omniprésente. C'est Tim Rice, déjà parolier sur Aladdin à qui l'on fit appel pour ce travail. C'est d'ailleurs ce dernier qui eut l'idée de faire venir Elton John afin de se charger de la mélodie des chansons. Celles-ci diffèrent d'ailleurs dans leur style de ce que faisait Disney à l'époque puisque Elton John choisit volontairement de leur donner un côté moins comédie musicale et plus pop. Bien vite, l'équipe se rend compte que les chansons composés par le duo Rice/John ne sont qu'une partie d'un ensemble musicale bien plus vaste et afin d'insuffler un rythme à l'ensemble du film et lui donner un air de légende Africaine tels qu'ils le voit sollicitent l'aide de Hans Zimmer. A peine positionné sur le projet, que le compositeur s’investit afin de donner au Roi Lion sa propre culture musicale n'hésitant pas à utiliser des voix et styles musicaux sud-africains. C'est d'ailleurs de sa collaboration avec Lebo M, que naîtra l'introduction chanté en zoulou.
Pour porter ses personnages à l'écran, Disney ne fait pas la fine bouche sur le casting original avec entre autre James Earl Jones dans le rôle de Mufasa, Jeremy Irons en Scar, Whoopi Goldberg en Shenzi ou encore Rowan Atkinson pour interpréter Zazu. En France le casting n'est pas non plus prit à la légère, puisqu'on fait appel entre autre à Jean Reno et Jean Piat pour donner vie aux deux frères, l'un arrivant parfaitement à rendre la noblesse et la sagesse de Mufasa, tandis-que l'autre nous livre une interprétation inoubliable de toutes les facettes de Scar autant sur la ruse, l'intelligence que la cruauté du personnage. Le reste du casting, composé de comédien de doublage professionnel n'est pas en reste non plus et a tellement marqué les esprits, que le choix de le remplacer intégralement à l'exception de Jean Reno qui reviens donner sa voix à Mufasa lors du live action de 2019 a clairement fait débat parmi les fans de la première heure.
Sortie le 24 Juin 1994, Le Roi Lion est un succès immédiat et totalement innatendu au box office, atteignant quasiment le milliard de dollars (968 511 805 US dollars pour être plus précise) là où il n'en avait coûté "que" 80 millions rentabilisant de ce fait largement les coûts de productions. Néanmoins, ce succès fût légèrement entaché par une polémique qui naquît quelques temps après la sortie accusant Disney d'avoir plagié l’œuvre du mangaka Osamu Tezuka connu chez nous sous le titre de Roi Leo (son titre original Janguru taite signifie en réalité Empereur de la jungle).
Alors qu'en est-il vraiment ? Si sur la forme, certaines scènes ont une ressemblance troublante qu'il est difficile d'ignorer sur le fond, les deux œuvres restent néanmoins radicalement différente. Le Roi Lion s'inspire de l’œuvre Shakespirienne Hamlet, et l'on y retrouve clairement tous les éléments : Le roi assassiné par son frère jaloux, l'exil du prince, ainsi que l'apparition du fantôme du père. Il nous raconte, le passage de l'enfance à l'âge adulte a travers Simba. Le Roi Leo, quant a lui est plus une fable écologique qui fait s'interroger quant à la présence des hommes et les conséquences sur l'environnement là où l’œuvre des studios Disney est vierge de toute présence humaine. Plutôt que de plagiat, c'est "d'inspiration" dont il est question, l'erreur des studios de la souris aux grandes oreilles aura été de nier toute ressemblance avec une mauvaise foi évidente là où le simple fait d'admettre s'en être partiellement inspiré eut suffit. Si nul ne saura exactement le sentiment du mangaka décédé quelques années plus tôt, sa fille a estimé qu'en grand admirateur des œuvres de Walt Disney qui l'avaient à de nombreuses reprises inspiré, il aurait été flatté que les studios du Papa de Mickey s'inspirent à son tour de l'une des siennes.
Le saviez vous ?
Si Le Roi Lion a eu autant de mal à trouver une équipe pour le développer, c'est un peu de la faute de Jeffrey Katzenberg. En effet, lors d'une réunion rassemblant les deux projets de l'époque il a estimé que Pocahontas serait un véritable succès là où Le Roi Lion serait plus expérimentale. Résultat, personne ne voulait travailler dessus.
La scène de "Soyez prêtes" où les hyènes défilent devant Scar est une référence à un film de propagande nazie nommé "Le Triomphe de la volonté" où les troupes SS défilaient de la même manière devant le Furher ici personnifié par Scar.
Si Whoopi Goldberg double Shenzi dans la version originale du film, en français c'est Maïk Darah (de son vrai nom Marie-Christine Darah) connue pour être sa voix française officielle qui lui prête sa voix et ce ne sera pas la dernière fois que Disney fait appel à la voix française officielle d'un acteur pour le doubler dans un de ses films d'animations.
En version original, toute la partie suivant "Vous mourrez de faim pour la vie" n'est pas chanté par Jeremy Irons mais par Jim Cunnings le doubleur d'Ed. Irons ayant eu un problème de voix au moment de l'enregistrement et ne pouvait plus chanter
Il est le premier film, sans aucune présence humaine. Si elle n'est que suggéré dans Bambi, elle n'en reste pas moins l'un des thèmes du film contrairement au Roi Lion
Bien que non nommé dans le film, le nom de la mère de Nala est Sarafina
Dans une première version du scenario, ce n'est pas Simba mais un lionceau du nom de Mheetu qui devait se trouver dans les gorges, afin d'y attirer un Simba déjà adulte. Dans cette première version, il s'agissait aussi du petit frère de Nala.
Afin de surfer sur le succès du film, une série de livres nommés Le Roi Lion Six Nouvelles Aventures voit le jour permettant de faire la connaissance d'un nouveau personnage baptisé Kopa et qui s'avère être le fils de Nala et Simba. Sa disparition au profit de Kiara dans le Roi Lion 2 a donné naissance à de nombreuses théories parmi les fans. Cette absence s'explique néanmoins par le fait que les réalisateurs du Roi Lion 2 n'avaient pas connaissance de cette série de livre. Kopa n'est donc pas un personnage canonique contrairement à Kiara.