« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Newt n'avait pas été compris, victime de regards noirs, alors qu'il n'avait jamais insinué quoique ce soit concernant la nature d'Edan. Il n'avait rien supposé concernant la bonté du mage de feu, mais simplement remarqué que le démon E.M.A. partageait un même arbre généalogique. Il s'était donc contenté pour la suite de limiter ses paroles, et à chaque fois qu'il parlait, il voyait une raison de ne plus recommencer, en faisant face à la haine brute, aveugle et peu réfléchie du groupe n'ayant que Stanford avec qui il pouvait avoir un échange qui menait quelque part.
Alors, les dents serrées, essayant de cacher son visage inquiet, l'ancien criquet se concentrait. A ce stade ce n'était même plus le démon qui l'inquiétait, mais la majorité du groupe qui préférait parler avec leur haine, avec une animalité sauvage qui rajoutait de la tension à un atmosphère déjà peu agréable.
Il devait donc se dépêcher. Car, la grande majorité du groupe ne rattraperait pas la situation pour aider Stanford et Newt qui semblaient pour le moment seuls à garder un sang froid nécessaire pour chercher à sortir en limitant les dégâts et sans désir de meurtre à tout bout de champs. Alors, quand Stanford partit parler à Ali, espérant avoir son aide pour rassurer le démon, Newt était concentré à traduire la suite du livre, avec la seconde page et la suivante encore.
Ce qu'il avait voulu faire, c'était aider, l'espoir d'avoir entre ses mains, dans le livre, la solution qui rassemblerait tout le monde et offrirait une porte de sortie que tout le monde saurait emprunter après avoir autant souffert dans les épreuves précédentes. Et pourtant, lorsqu'il eut traduit ces deux pages une première fois, puis une seconde fois, car refusant de croire ce qu'il put lire en premier lieu, pris d'un frisson sans pareil lorsqu'il comprit ce qu'ils devraient faire, lorsqu'il comprit ce que lui pourrait faire... une larme s'échappa des yeux du photographe.
Il avait fermé le livre, après avoir réfléchi à toutes les options. Il n'aimait aucune d'elle. Il n'acceptait aucune d'entre elle. Ni la mort, ni la tristesse, ni l'ignorance, ni l'oubli, ni la bonté... Il ne pouvait pas rentrer dévasté, perdu, et Newt voyait encore la possibilité de ne pas l'être, de ne pas se perdre lorsqu'il sortirait mais le prix l'arrachait le cœur... et il pensait à tous les autres. Que ferait Ali ? Cassandre ? River ? Edan ? Stanford ?
Quelques instants avant que Stanford ne s'approche d'Ali, il avait entendu River le répéter, qu'il voulait tuer E.M.A. après son échange avec Edan, n'ayant rien d'autre en tête. Ça ne changerait pas. Ni sa détermination à tuer E.M.A. équivalente à celle de Cassandre, ni leur haine envers Ali pour sa démence amoureuse. Le criquet le savait, ils n'avaient pas le choix.
Alors il mit un terme à toutes les querelles, et interrompant tous les dialogues tendu de la salle, avec quelques mots qui, certainement pour toujours, lui laisserait un vide qu'il serait impossible de combler.
Newt Cricket Stark. Sacrifice de bonheur, dit-il à haute voix, tremblant légèrement, la main posée sur le livre.
L'effet fut immédiat : un mince filet de lumière s'échappa du coeur de Newt, en direction du livre, un faisceau miraculeux qui dura une dizaine de secondes avant de s'estomper. Le livre finit alors par s'ouvrir de lui même sur une page vierge, et écrire, en lettre de sang à l'instar des premières pages, ce qu'il venait de dire.
La Maison trembla légèrement. Cette réaction, ainsi que les lettres de sang qui se formaient au sol, trahissait la peur de la maison :
Mais... qu'est-ce que vous faites ?
Newt ne voulut pas répondre, constatant, les yeux pleins de larmes, le trou qui s'était formé dans son coeur. Au bout de quelques secondes, à rester figer sous la tristesse, il finit par dire à l'oral, pour le reste du groupe.
J'ai oublié le jour où je suis revenu à Storybrooke pour Malakai.
Newt savait à quel point ce jour avait été important, mais désormais, il ne savait plus tous ces détails qui l'avait rendu si spécial. Le premier sourire qu'il avait fait à Storybrooke depuis longtemps, la première sensation d'être chez lui, auprès de lui, la première sensation d'être heureux depuis des années. Tout ça venait de partir de son esprit, aussi simplement qu'en une dizaine de secondes.
Trois larmes coulèrent pour tomber par terre, tandis que le photographe ouvrit le livre, toujours résolu à ne pas répondre à E.M.A. dont l'inquiétude prouvait la véracité de ce qu'il avait traduit. Il lut alors ledit texte.
"Comment forcer le retour à la forme de base.
Sacrifice de sang Laisser couler son sang jusqu'à l'article de la mort.
Sacrifice d'espoir Accepter de perdre espoir et voir la réalité sous son pire jour.
Sacrifice de savoir Sacrifier et oulier une chose importante apprise il y a longtemps.
Sacrifice d'amour Oublier complètement une personne chère à son coeur.
Sacrifice de bonheur Oublier complètement un souvenir des plus heureux.
Sacrifice de lumière Accepter de perdre sa bonté, sa bienveillance et son empathie.
En offrant tous ces sacrifices au démon, il reprendra forme humaine. Une main sur le livre, énoncez votre nom et votre sacrifice."
Il ferma alors le livre, les yeux tristes et vides vers le sol. C'est finit. Les querelles, la haine, les cri et les bagarres. J'ai sacrifié le bonheur, il faut donner au livre tous les autres sacrifices et nous serons libres. C'est tout.
Il tendit alors le livre à Stanford, qui fut la personne la plus proche de lui, avant de reculer. Newt n'avait que deux choses dans la vie, absolument pas matérialiste. Et E.M.A. avait réussi l'étonnante faculté de les lui arracher toutes les deux. Il n'y avait pas plus bas pour le criquet.
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Cassandre De Trémaine
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| Conte : Cendrillon | Dans le monde des contes, je suis : : Anastasie
Anastasie se tenait désormais derrière River, nous désirant pas être attaqué de nouveau par n'importe qui ou n'importe quoi. Même si elle ne le connaissait pas vraiment, ils avaient les mêmes objectifs. Détruire cette maison. Certes ce n'était pas pour les même raisons mais tant que le but restait le même c'était le plus important.
- J'espère aussi pour lui River...
Tandis que les deux s'hâtaient à trouver une traduction aux pages du livre, Edan avait entrepris un nouveau dialogue avec la maison. La rouquine ne cherchait pas à savoir ce qu'ils pouvaient se dire, ressentant un sentiment de ras-le-bol prendre place dans son corps. Elle ne se reconnecta aux autres que lorsqu'elle vit ses blessures sur la cuisse disparaître. Alors comme ça tout était mental hein ? Cela confirmerait donc la supposition de Newt que les meurtres fait plus tôt n'étaient pas réel. Soit, cela arrangeait la situation de savoir que beaucoup de choses étaient fausses mais cela ne pardonnait pas les choses mises en place par la Maison. Elle énonçait elle même le fait d'avoir tuer des gens. Même si elle donnait l'impression qu'elle le regrettait, cela ne l'avait pas empêcher de le faire. Tout ça pour une certaine réunification de famille. Anastasie riait jaune, qu'est ce que les gens ne faisait pas pour se faire aimer...
Newt et Stanford réussirent finalement à déchiffrer les premières pages du livre, expliquant comment la maison reprendrait forme humaine. Ils voulaient essayer que la Maison leur fasse confiance, qu'ils ne l'attaquent pas à la sortie. Mais comment pouvaient-ils avoir encore la foi en cette maison après ce qu'elle avait fait ? Cela dépassait l'entendement. Anastasie n'était pas connu pour aimer beaucoup de monde à part elle-même, alors lui demander d'être gentille avec un démon. Cela risquait d'être au dessus de ses forces. Mais Stanford semblait insisté sur le fait qu'ils devaient encore s'unir pour sortir d'ici. La remarque de Newt était pertinente aussi, la jeune femme ne pouvait le nier. Elle détestait devoir s'abaisser mais dans certaine situation elle devait faire des... concessions, du moins dans l'espoir de sortir d'ici. Le scientifique se rapprocha du grillage, tentant sans doute de raisonner ce qui pouvait lui servir de fils. Peu importe ce qu'il pouvait se passer, une chose était sûre, elle ne laisserait pas tranquillement la Maison retrouver sa liberté et ne laisserait pas Ali s'en sortir. S'en prendre à elle était s'en prendre aux noms des De Trémaine, elle ne laisserait pas cette affront impunie.
La rousse retourna son attention en direction de Newt qui venait d'énoncer à voix haute qu'il sacrifiait son bonheur. Que voulait-il dire ? Que faisait-il encore ? Il fallait de nouveau se sacrifier pour lui donner apparence humaine ? mais pourquoi feraient-ils ça après avoir vécu tout ça ? Etait-ce juste leur seule chance de sortir d'ici ? En sacrifiant une partie d'eux même ? Allaient-ils la retrouver comme les plaies qui s'étaient effacé au désir de la Maison ? Anastasie n'était pas sûre de ça cette fois. Ce n'était pas la Maison qui le demandait mais son livre. Son origine même. Etrangement, la Maison aussi semblait paniquer au vue du tremblement ainsi que du message ensanglanté. Le criquet versait désormais des larmes. Alors il avait vraiment fait un nouveau sacrifice. Cet homme devait certainement être fou. Allait-elle vraiment sacrifier quelque chose pour se libérer ? Au lieu de simplement détruire ce livre ?
Newt tandis le livre à Stanford qui énonça lui aussi son sacrifice, semblant faire confiance envers le jeune homme. Envers le livre...
- Stranford Pines, sacrifice de savoir. - Pourquoi devons-nous encore nous sacrifier après tout ça ?! Demanda-t-elle énervée de devoir encore subir un misérable chantage.
Stanford se tourna vers Anastasie, lui tendant le livre, la page encore ouverte, sans la quitter des yeux.
- Parce que c'est ainsi que nous sortirons vivant de cette Maison. Nous devons en finir... Et c'est la meilleure solution qui nous ait offerte. Pour nous tous. Accentua-t-il. - Vous êtes fou... ne pouvons nous pas simplement le détruire ?
La jeune femme voulait paraître aussi assurée que d'habitude et pourtant les remarques d'auparavant et celle du vieil homme lui mirent le doute. Avait-elle vraiment le choix finalement ? A moins de vouloir rester enfermé ici ?
- Vous savez très bien que ce n'est pas possible... Et que ce n'est pas non plus la bonne chose à faire. Disait-il d'un ton compréhensif mais grave.
Il leva le libre plus haut afin qu'elle le saisisse... Ce qu'elle fit. Elle avait de la fierté mais elle n'était pas stupide. Elle ne pouvait pas se risquer de pourrir ici... pas avec les autres notamment. Elle savait au fond d'elle qu'ils avaient raison. Elle devait faire son sacrifice comme eux tous. La rouquine ferma les yeux et s'excusa intérieurement auprès de celle qui perdrait l'une des choses les plus importantes. Elle posa la main sur le livre et fixa de nouveau Stanford.
- Cassandre Anastasie De Trémaine, sacrifice d'espoir.
Anastasie sentit un filet de lumière sortir de son coeur, se dirigeant à l'intérieur du livre. Lui donnant une part d'elle même. Elle referma les yeux et se laissa sombrer dans l'ombre de sa propre personne. Elle devait la laisser comprendre, elle devait lui apprendre ce qu'elle avait fait...
Cassandre rouvrit les yeux, Anastasie lui avait laissé la place pour qu'elle comprenne. C'est ce qu'elle avait fait. La jeune femme avait l'impression qu'on lui avait arraché un bout de son coeur. C'était fini, l'une des seules choses à laquelle elle se maintenait. Elle venait de la perdre. Des larmes coulèrent sur son visage et se laissa tomber lourdement sur le sol. Elle n'avait plus d'espoir. Elle ne savait pas comment elle pourrait s'en sortir dans ce monde sans espoir. C'était la fin, elle n'arriverait sans doute jamais à remonter cette pente qui semblait ressembler à l’Everest désormais.
La Maison se mit de nouveau à vibrer pendant quelques secondes, formant un nouveau message.
- Non non non...arrêtez ça !
Cassandre s'entailla le bout du doigts avec ce qu'elle avait sous la main pour répondre.
- Ce qui est fait est fait... nous ne pouvons plus reculer... - N'en faites pas plus... s'il vous plait ! - Si ça se trouve, nous faisons ça pour rien... Enchaîna cette fois-ci Cassandre à voix haute.
’’Your eyes, they shine so bright I want to save their light I can't escape this now Unless you show me how’’
Devant la menace du pistolet pointé sur eux, River avait protégé Edan, et Edan avait protégé River. On ne pouvait s’en prendre à l’un sans subir la colère de l’autre. Et même si je Frost avait fait promettre à son amour de ne jamais tenter de le protéger, il devait avouer que les foudres du dragon lui faisaient chaud au cœur. Lorsque la Maison les avaient tous séparés, le mage de glace s’était assis à même le sol, adossé au mur, en attendant que Newt et Stanford déchiffrent le livre. Quand son dragon était venu le rejoindre, il lui avait souri, sincèrement. « T’es vraiment qu’une tête de mule, toi… Mais j’aime beaucoup quand tu fais ton gros dragon féroce. », lui avait-il dit, tout bas, avant de lui envoyer un clin d’œil. C’est à ce moment que son amour commença à converser avec Ema. Plutôt que de se frustrer comme les fois précédente, le glaçon resta silencieux, suivant le dialogue du regard. Depuis qu’ils étaient entrés dans cette foutue maison, il avait tenté de le protéger. Il venait de réaliser que ce sentiment, ce désir de protéger celui qu’il aimait, était réciproque. Natsu devait se sentir très mal de le voir se mettre en danger pour lui sans pouvoir faire de même. Tout cela parce qu’il avait promis… Le combattant devait se rendre à l’évidence. Le dragon n’avait pas besoin d’un protecteur. Il avait besoin d’un partenaire. Il réfréna donc ses envie de le prendre dans ses bras pour l’empêcher de faire couler son sang, l’empêcher de parler à ce démon qui ne cherchait probablement qu’à l’embrouiller. Il devait tout simplement être là pour lui et lui faire confiance.
Lorsqu’Edan vint poser sa tête sur l’épaule de son flocon, celui-ci passa un bras autour de ses épaules. Il pouvait sentir sa chaleur et ça suffisait à le calmer. Mais lorsque le dragon releva les yeux vers lui, River ne put s’empêcher de donner son opinion sur ce démon. Malgré tout, Edan restait septique et il continua sa conversation. Son amour semblait vraiment mélangé quant aux intentions d’Ema. Lorsqu’il le sollicitait, le Frost donnait son opinion calmement, mais le blond ne semblait pas capable de prendre une décision aussi tranchée que lui. Il finit par dire qu’il avait toujours eu du mal à cerner les gens. « Suis ton instinct… Je te fais confiance. Ça ne veut pas dire que je vais me rallier de ton côté, mais je vais respecter ta décision. », lui dit-il finalement. Non, même si son amour décidait qu’Ema était gentille, lui ne pourrait pas renoncer à la détruire. Après tout, c’est bien un démon de Zeref qui avait tué ses parents et décimé son village. Et même si la Maison affirmait ne pas être comme Déliora, elle n’en restait pas moins un démon du même créateur.
C’est alors que Stanford leva son nez du bouquin pour annoncer au groupe ce qu’il avait traduit, avant de découvrir qu’Ema en parlait elle-même. Le pauvre, il semblait si déçu. Néanmoins, il expliqua ce que le petit groupe allait devoir faire pour sortir, aider la Maison. Évidemment Cassandre et River s’objectèrent férocement. Newt s’en mêla en disant qu’ils resteraient tous prisonniers. « Écoute, Crik… C’est toi le cerveau. Avec Ford, bien sur… Alors vous allez vous débrouiller pour nous trouver une autre solution. Parce que, pour ma part, il est absolument hors de question que je laisse un démon de Zeref en liberté, parcourir des monde et détruire des vies. Alors soit mignon et replonge ton nez dans ce bouquin pour nous trouver autre chose… », rétorqua-t-il d’un ton calme mais ferme. Peu importe ce qu’Ali pouvait faire, ce que Newt et Stanford pouvaient dire… Peu importe ce qu’Edan choisissait, le combattant savait ce qu’il devait faire. Il avait eu affaire à Déliora, non pas une, mais trois fois, et il n’avait jamais réussi à lui tenir tête. Ce qu’il n’avait pas pu faire à Déliora, il le ferait à Ema.
Les secondes semblaient passer comme des heures alors que les deux cerveaux en ébullition bossaient sur la traduction du livre. River avait resserré l’étreinte qu’il faisait à Natsu, posant sa tête sur ses cheveux blonds. C’est alors que, brisant le silence de mort qui pesait sur le groupe, Newt énonça son nom ainsi que les mots ‘’sacrifice de bonheur’’. Ça n’avait aucun sens… Le combattant tourna les yeux vers son ancien amant alors qu’un filet de lumière s’échappait se sa poitrine pour se rendre jusqu’au livre. La Maison se mit aussitôt à vibrer et son message trahissait sa peur. Le Frost se redressa, tout sourire. « Je ne sais pas ce que tu viens de faire, Crik, mais recommence. On dirait qu’elle n’aime pas ça! », lui dit-il avec les yeux remplis d’un espoir nouveau. Peut-être venait-il de trouver le moyen de la détruire de l’intérieur. C’est alors qu’il vit les larmes de son premier amour. Le combattant fronça les sourcils écoutant les révélations du criquet sur le sacrifice qu’il venait de faire. Alors, non seulement il l’avait abandonné du jour au lendemain, mais lorsqu’il était revenu, c’était pour Malakai. Il n’avait eu aucune pensée pour lui. De mieux en mieux… Et lorsque Newt fit la liste des sacrifices à faire et de la procédure, le mage de glace ne tiqua que sur un point. « Ton souvenir heureux, c’était Malakai? Et la fois où je t’ai amené voir la pluie d’étoiles filantes pour finir par faire l’amour à la belle étoile… Et la fois où tu était malade et je suis allé chez toi pour te cuisiner tous tes plats préférés… Et la fois où on est allés camper juste toi et moi… On était bien, cette fois-là… Mais non! Ton plus beau souvenir, c’est Malakai. Ça valait le coup de se donner la peine… », pesta-t-il, irrité. Puis, il tourna la tête vers son dragon. « Sérieux, si je fais plein de trucs romantiques pour toi et tu me sors que le meilleur souvenir de ta vie, c’était avec un autre gars, je te jure, je fais un meurtre. Un vrai! », ajouta-t-il, fâché. Non mais… Il avait l’air d’un parfait idiot incapable de satisfaire un homme…
Franchement insulté, River lâcha son dragon pour croiser ses bras sur sa poitrine. Il suivit néanmoins l’action. Le livre passa dans les mains de Stanford qui fit le sacrifice du savoir. Bon, un des deux cerveaux allait devenir un idiot. C’était bien leur chance. Le Frost leva les yeux au ciel en soupirant. Puis, ce fut le tour de Cassandre de poser sa main sur le livre pour faire le sacrifice qu’elle avait choisi, l’espoir. Encore une fois, la maison vibra et elle les supplia d’arrêter ce qu’ils faisaient. Cette constatation qu’Ema n’aimait pas ce qui se passait vint remettre un sourire sur les lèvres du combattant. Il serait le suivant. Il voulait, lui aussi, faire peur à la maison et lui montrer qu’elle n’était pas aux commandes. Il se leva donc, mais s’arrêta avant de poser à son tour sa main sur le livre. Il ne savait pas quoi choisir. Le sacrifice du sang était facile, mais il l’affaiblirait considérablement. Il ne pouvait se le permettre, car il avait la ferme intention de tuer le démon. Il ne pouvait donc pas gaspiller son énergie vitale ainsi que tout l’ethernano qui coulait dans ses veines. Le sacrifice d’amour, peut-être… Il y avait tant de personnes qu’il aurait aimé oublier. Juvia, entre autre, dont le souvenir l’avait empêché pendant si longtemps d’utiliser sa magie. Mais ce n’était plus nécessaire…
River tendit la main à Edan et le tira pour qu’il se lève à son tour. Il plongea son regard de glace dans les yeux émeraudes de son dragon. « Je vais faire le sacrifice de lumière, mais ne t’en fait pas pour moi. Ema ne pourra pas tut me prendre. Toute la lumière dont j’aurait besoin est ici… », dit-il en posant sa main sur le cœur de son amour. Dans un sourire, il vint déposer un bref baiser sur ses lèvres avant de poser son front contre celui de Natsu. « Tu sais ce que je ressens pour toi… Ne l’oublie pas… », lui murmura-t-il en guise du ‘’Je t’aime’’ qu’il ne pouvait pas prononcer. Puis, le Frost se retourna et posa sa main à plat sur le livre de Zeref. « River Frost, sacrifice de lumière! », prononça-t-il alors à haute voix. Comme les autre avant lui, un filet de lumière s’échappa de sa poitrine pour se rendre au livre. Celui-ci s’ouvrit et son nom, ainsi que son sacrifice, s’inscrivirent en lettre de sang sous celui de Newt, Stanford et Cassandre. La Maison vibra à nouveau.
‘’Non! Je vous en supplie, arrêtez! Je ne veux pas! Je ne veux pas!’’
River retira sa main du livre et releva la tête. Toute colère semblait avoir quitté ses traits. Il avait l’air calme et détendu, souriant même. Par contre, il manquait quelque chose. C’était comme si une étincelle dans ses yeux s’était éteinte. Il balaya la pièce du regard, s’arrêtant sur Edan, puis sur Ali. « Bon… Faites vos sacrifices que je puisse sortir d’ici. J’ai des trucs à faire… », dit-il sur un ton complètement décontracté. Il prit le temps de s’étirer avant de demander si quelqu’un avait l’heure. « Oh… Aguistin doit avoir fini son show, puisqu’apparemment, je ne l’ai pas tué. », dit-il avant d’éclater de rire. Il se massa alors le cou et le haut des épaules. « Putain, je suis vraiment tendu… Je vais vraiment aller voir Agui. Une petit gâterie, ça va me détendre. » Puis, il croisa le regard de son dragon. Le mage de glace étouffa un rire. « Oh… Arrête, mon démon… Me regarde pas comme ça. Tu devait bien te douter que ça arriverait… Merde, je suis pas un dragon, moi. Et puis, tu devrais t’estimer chanceux que je ne t’aie pas encore trompé. J’ai jamais tenu aussi longtemps à coucher avec une seule personne. » Puis, il se retourna vers Newt. « Wais, au cas où t’avais pas capté, je t’ai trompé. En fait, je ne suis même pas certain si on était censé être exclusif… Mais bon, toi t’es parti comme un con, alors j’imagine qu’on est égaux maintenant. », lui lança-t-il avec un clin d’œil. Il retourna ensuite s’adosser au mur. « Allez, vous deux… Faites ce que vous avez à faire qu’on sorte d’ici. J’ai un corbeau à aller me faire. » Et il se retourna vers Edan, une étincelle lubrique dans le regard. « Et si tu es gentil et que tu as fini de bouder, je reviendrai pour toi après. Tu vois? C’est pas parce que je baise mon pote que je ne peux plus le faire avec toi. Faut apprendre à partager, mon bébé. » Il se laissa à nouveau glisser le long du mur jusqu’à s’asseoir au sol. Puis, il tourna la tête vers la seule femme du groupe. « Tu sais que t’es vachement sexy, toi… »
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Ali Nacer
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
☾ A présent le Viking et moi, nous étions du même avis sur cet homme. Nous avions a présent le même but commun. Il n'aurait pas rédemption pour celui-ci pour moi. Il voulait qu'on s'affronte. Allons y! Sortons de cette maison pour nous entre-tuer. Si Aladdin voulait se terrer comme un rat. Offrant son enveloppe charnelle a l'agonie pour démontrer qu'il culpabilisait face a ses paroles et ses actes envers cette guilde. En les suppliant de laisser ses enfants en dehors de cette histoire. Même si entre lui et moi , nous savions que le démon de glace, avait un coeur aussi froid que la mort. Heureusement , ses enfants étaient bien entourés mais il fallait leur offrir une protection supplémentaire. Mais pourquoi tant que les couvrir ? Parce que sa progéniture, est l'amour véritable. Le seul espoir pour nous maintenir en vie. L'empêcher qu'il soit totalement moi. Parce que l'amour le sauvera de toutes les situations..C'est la différence entre lui et son frère. C'est l'amour qui fait de lui le sauveur d'Agrabah. Donc si on tue la dernière source d'amour en laquelle il croit, il ne sera plus jamais un héros. C'est pour cette raison j'étais là, pour m'assurer qui sera toujours le héros et moi le méchant pour l'équilibre. Pour garder sa part d'humanité. Parce qu'en devenant génie, nous étions mi mortel , mi démon.
Allongé sur le sol, en position foetus, on se tenait l'entre jambe. Des larmes coulaient sur nos joues. Notre visage était crispé sous la douleur instantanée, a cause de son coup bien placé dans les bijoux royaux, par la petite bourgeoise qui avait failli nous briser le poignet pour nous désarmer quand nous tenions l'arme en direction du blond. Si jamais été a la place d'Aladdin, j'aurais appuyé sur la gâchette, mais a ce moment là était en possession de son corps. Comme d'habitude la culpabilisation et le regret l'avait envahi jusqu'à ses paroles blessantes de la part de la bourgeoise et du démon de glace , Aladdin avait avaler leurs mots sans dire un mot. Mais se sentant étouffer par leurs paroles, il avait voulu faire taire cette bourgeoise, en l'étranglant. Mais celle-ci avait voulue se défendre en tirant sur Ali. Mais elle avait échouée parce que la Maison avait tenue sa promesse. C'était pour cette raison qu'a présent, nous étions dans cette situation. Et que nous attendons que la douleur s'estompe. Mais rassurez vous cette partie fonctionne encore ! A ce moment là que, les blessures d'Aladdin occasionnée par Ema , avait disparues. Meme si Ali serait décu parce qu'il aimait bien garder des souvenirs de ses aventures. Surtout de celles ou une femme le martyrisait. Pour nous c'était un avantage, parce que c'était moins incombant si on devait combattre a la fin..
Ensuite, nous étions assis dans un coin, loin de la barrière. Au cas ou on viendrait nous agresser, ou essayer de nous faire la peau. Dans nos bras, Laureline se tenait. Parce que la maison avait bien séparé la pièce. N'était pas très jalouse! Après tout Laureline était le symbole de la fidélité entre Ali et Ema. Caressant sa chevelure flamboyante, d une main et de l'autre je frottais entre nos mains le pendentif au cou de la défunte. La breloque du collier avait la forme d'un scarabée terni qui avait perdu sa brillance. Un scarabée fissuré en huits fissures. Puis j'entamais une conversation en arabe entre Aladdin et moi. Signe de folie ? Signe de possession! Mais qui j'étais par rapport a Aladdin ? Un démon qui vivait et se cachait dans le corps de celui ci, prenait Aladdin comme son hôte. Mais pourquoi ? Mon créateur ne voudrait pas que je vous le dise! Pendant que les autres désiraient accomplir le rituel de la libération d'Ema pour diverses raisons qui appartenaient a eux-même. Les autres croyaient d'Ali boudait mais non. Je prenais le contrôle de lui mais pas totalement parce que je n'avais jamais été capable d'atteindre son coeur. Pour une raison bien précise qui ne fera pas partie de ce texte parce que dans la vie, nous avons tous des secrets pour garder un peu de mystère.
Le vieil homme s'approchait de la barrière disant qu'il avait besoin d'Aladdin pour sauver Ema. Puis il ne cessait pas de dire son prénom. Mais je ne répondais pas! Parce que je n'étais pas le prénom que mon créateur m'avait donné a ma naissance. Mais il insistait a vouloir parler d'Ema. Fatiguant , je n avais pas eu le choix de lui donner mon attention. Je déposais le cadavre de Laureline dans un coin sécurisant. Lui donnant un baiser sur le front et lui promettant que je reviendrais bientot. Puis je m'approchais des barreaux de ma prison disant : mensonge que c'est pas vrai que vous voulez la sauver ! Je disais d'un ton froid et accusateur. Mon regard qui aurait dut être différent ne l'était pas parce que la magie ne fonctionnait pas. Mais il était moins chaleureux que celui d'Aladdin. Ford qui nous avaient observer longuement avant d'avoir une réponse de ma part semblait totalement perturbé par notre comportement. Serrant la mâchoire il reprenait : "Bien sûr que si. Newt est en train de chercher une solution avec le livre que tu m'as laissé. Tu m'as fait confiance en me le laissant et nous avons déjà réussi à décoder plusieurs pages." D'un ton arrogant, je lui répondais : Une solution pour qu'elle vive ou meurt? Et tu dis vouloir la sauver..mais t'es incapable de protéger Aladdin d eux . Pointant les trois personnes concernés : Le Dragon, Le Glacon et la bourgeoise. Parce que le photographe avait été le plus gentil d'entre nous donc nous voulons bien l'épargner. Stanford semblait dans la confusion totale ! "Qui... Qui ça "il" ? Aladdin... Tu parles de toi à la troisième personne ?" Aladdin a bien des symptômes de bien des syndromes, mais pas celui de Juiva de la guide de Fairy Tail. Lui crachant presque dessus, comme un serpent qui crache son venin. Je lui disais sèchement : Je ne suis fou, je ne parle pas de moi a la troisième personne! Je ne suis pas lui ! Nous partageons, le meme corps tout simplement.. Depuis bien longtemps..Bien avant ta visite a Agrabah.. Je suis a sa place parce qu'il a trop bon coeur, qui serait laisser torturer par eux. Mais toi quelle honte , tu es incapable de proteger ni Ema , ni Aladdin..ni meme ce tes petits enfants. Le vieil homme détournait la tête vers les autres. Il voyait Newt qui avait bientôt fini de traduire les pages de sacrifices. Il se retournait vers moi en fronçant les sourcils. Je le sentais curieux! J'étais celui qu'Aladdin avait parler un peu plus tot. Puis il me demandait cette fameuse question: "Qui es-tu si tu n'es pas Aladdin ?" Mais vu qu'Aladdin faisait toujours parti de nous. Je ne pouvais pas m'empêcher d'être honnête: Une entité maléfique d'Aladdin, du nom de Shadow créer dans le lieu le plus sombre d'Agrabah, le Netherworld par le Chaos, endormi depuis des siècles et réveillé par l'amour inaccessible Mais je t en dirais plus si tu fais un marché avec moi..'' . Il n'avait pas le choix, si il voulait revoir le héros.Le vieil homme accrochait une main au grillage en soufflant, perdu et perplexe. "Ali ne me l'avait jamais dit... Disait-il d'abord à part avant de reprendre. Je ne passe plus de marchés avec des entités maléfiques depuis bien longtemps. Qu'est-ce que tu veux ?"
Contradictoire, mais je ressentais cette envie d'en savoir plus, mais aussi parce qu'il avait promis de ramener Aladdin auprès de Corail et Stanley. Soudainement, je perdais le controle du corps, d'une main Aladdin traversait le grillage, déposer sa main sur celle de son père adoptif. Et d un geste doux il bougait le bout de ses doigts sur la paume de la main de Stanford pour lui faire signe qu'il était toujours présent. Puis d'un mouvement brusque, j enlevais la main qu'Aladdin avait déposer sur celle de mon père. N'aimant pas le contact physique sauf avec ceux que je voulais. Puis je prenais la conversation avec le vieil homme : Ne t inquiete pas vieil homme, je te demanderais pas de les tuer pour Aladdin, je le ferais pour lui. Tout ce que je te demande, c'est de protéger ses enfants..en échange je t'aiderais a sauver Ema ? Stanford avait regarder notre main un instant, comprenant qu'Ali était présent, quelque part. Mais il en redirigeant son regard dans le notre. Il comprenait qu'il parlait pas a Aladdin. Mais a moi Shadow ! Puis il reprenait d' un ton grave :
"Ses enfants sont en sécurité, avec Stanley et Laureline, si c'est pour cela que tu t'inquiètes. Laisse Aladdin reprendre le contrôle de lui-même et nous aider à sauver Ema. Il s'en sortira très bien sans toi, tu n'as pas à être ici."
Mensonge! Je devais etre ici pour ''Nous'' et pour ''eux'' . Parce qu'Aladdin avait pris d'énormes risques pour sauver une nouvelle princesse. Il s'était attirer des ennuis encore des sorciers aux puissants pouvoirs. En plus d'une bourgeoise qui avait sans doute des secrets. Il avait un talent pour se mettre dans la merde ! Pour lui j'allais me salir les mains..pour lui sauver la peau , celle de nos enfants mais aussi pour qu'il puisse fuir avec la Princesse. Au vieil homme, je disais : Tu crois sincèrement que ton frère, parce que Laureline ce n'est possible elle est morte. Je jetais un coup d'oeil au cadavre de notre femme. Puis je regardais de nouveau le vieil homme : Est assez puissant pour protéger ses enfants, ces vrais demons de la maison ? Si ses enfants meurent, Aladdin se laissera mourir, parce que sa volonté de vivre c'est l'amour véritable.Et je mourrais.. Et comment tu veux qu'Aladdin sauve Ema ? Avec ceux qui veulent la detruire a ses trousses.. Le vieil homme voulait se faire rassurant. On saura les convaincre si tu ne te charges pas de les tuer. Laisse-nous agir. Aladdin et ses enfants s'en sortiront sain et sauf. Tout le monde s'en sortira sain et sauf.
Puis je commençais a me donner des claques sur la tête.Et a parler dans notre langue natale. Avant d'arreter soudainement ce comportement . Et de lui balancer brusquement : Aladdin veut bien te faire confiance mais tu dois promettre que tu veilleras sur ses enfants ,mais si tu n arrives pas a les convaincre , je les tuerais.. Mais le vieil homme n'était pas pour la violence, mais la diplomatie. Abstiens-toi pour l'instant. Il n'est pas toujours utile d'employer la force pour arriver à ses fins..." Stanford ne semblait pas comprendre ma raison de ma venue. Décidément ce vieil homme n'avait pas besoin seulement de lunettes mais un peu de raisonnement. Au lieu du savoir avait il sacrifier son raisonnement ? Je lui disais :Je vais m'abstenir, si tu proteges ses petits '' Le vieil homme disait enfin ce que nous voulons entendre : Je les protégerais quoiqu’il advienne.Voila c'était simple ! Une promesse. Parce qu'une promesse peut guérir bien des maux émotionnels. Aladdin avait toujours été quelqu'un d'insécure, cherchant a se faire rassurer, comme un bébé en pleurs. Cherchant a entendre la voix de Cassim lui dire : Ne t'inquiète pas je serais là pour toi Fils !
Silence qui régnait, regard vide, puis je clignais des yeux de bas en haut. Mon père adoptif ne me quittait pas des yeux. Incertain de si il devait sauter de l'autre coté de la cloture pour que je revienne a moi. Je reculais de quelques pas, puis je fouillais dans ma poche pour sortir l'arme avec laquelle, je me mutilais. Dessus il avait de mon sang séché. Mais je ne voulais pas m'en servir pour me faire une autre coupure. Enfin pas pour le moment. Je me coupais une mèche blanche assez longue en me rapprochant de Stanford. Je lui tendais en lui disant : Assure-toi qu'a Storybrooke, quand tu sortiras de la maison, Tu iras voir Corail, tu lui demanderas qu'elle accomplisse le sortilège de Zena . Tu lui donneras ceci ! Parce que je ne reviendrais peut-etre pas. Maintenant dit moi ton plan pour Ema ? Le sortilège de Zena ? Ma mère était une sorciere qui pratiquait la magie rouge. La magie de l'amour. Étant la plus puissante des magies. Corail pourrait jetée un charme d'amour qui protegera mes enfants. Mon amour les protégera.StanFord prenait un temps de pause... Avant de prendre la mèche « Ali ? » Celui ne semblait pas comprendre ce que je faisais ! J'assurais la protection de ma descendance avant ma disparition parce qu'une maniere ou d'une autre, j'avais disparaître. Stanford devra trahir sa promesse a Stanley..
Oui c'était Ali ! Pour le rassurer a son tour je lui disais : Oui c'est moi Papa. Puis je toussais pour m'excuser. Il me sourirait puis il enchainait : « Je suis rassuré que tu sois revenu... Pourquoi ne pas m’avoir dit qu’un esprit maléfique te menaçait ? » Il s’arrêtait et reprenait en plaçant une main de lui. « Non, nous en parlerons plus tard.Dehors. J’acquiesçais parce qu'après tout Shadow et moi c'était une longue histoire ! Mais je lui raconterais parce que lui il m'avait ouvert les journaux de sa vie. J'avais a mon tour lui montrer les pages de mon histoire..Ses pages qu'Henry m avait offert il a quelques années en échange d'une bicyclette. Mais ça aussi c'est un autre chapitre de ma vie. Le photographe était en train de traduire les pages avec la solution dedans...et mon père disait ''Nous pourrons tous nous en sortir. Ema y compris.»
Le Ema compris c'était une facon de convaincre de suivre aveuglement leur plan ? Puis le photographe faisait le sacrifice en question, puis les autres..Jusqu'a Stanford qui me quittait temporairement jusqu'au sacrifice de River. Mais ne voulant pas que celui ci s'approche de moi, ni même de ma cloture. C'était Stanford qui se chargeait de la tache pour rapprocher le grimoire de moi. Je te fais confiance aveuglement..Puis je lui disais dans un murmure : Laisse moi partir avec elle, quand elle sera humaine. Selon l expression de son visage, il semblait pas approuver l'idée : Va déjà vérifier si ta femme est vivante ou non... Tu rentres à l’hôtel avec nous. Je jetais un regard vers Laureline, ayant le pré-sentiment que je n'étais pas qu'une illusion pour moi. Que pour l amour je devais sacrifier un des horcruxes de mon coeur. Alors laisse moi l'apporter la bas..pour qu'elle y soit en sécurité. Peu importe mes sentiments..
Stanford se mettait a réfléchir puis disait : D'accord ! Il était temps pour moi de briser la malédiction de sauver Ema. Quand je glissais ma main..pour le toucher. Au moment ou je déposais mes doigts sur celui-ci. A mes pieds, Ema m'écrivait un message:Non! Ali, pas toi aussi... Si tu me force a changer de forme, ils vont pouvoir me détruire. Je ne veux pas mourir... Ne fais pas ça mon amour J'enlevais ma main du trou par peur de faire une bétise. Je lisais..Elle venait encore me prendre par le coeur avec son mot tendre. Ayant toujours la lame dans mes mains. Je m'entaillais l intérieur de la main, pour lui écrire. Il m'avait fait la promesse de veiller sur mes enfants. Je ne pouvais pas le trahir je devais faire ce sacrifice pour eux. Mais je ne laisserais pas tomber Ema. Je me penchais pour lui écrire : Je n ai pas le choix de le faire pour qu'on vive une histoire amour ensemble, Stanford veut nous aider tu pourras vivre avec moi, redeviens humaine et on pourra fuir ensemble , vivre l'éternité ensemble. J'exaucerais tous tes voeux.. dit moi ce que tu veux pour vivre avec moi. Puis elle m'écrivait : "Je veux que tu protége mon livre... Et je veux rester avec mon frère... Tu feras ça pour moi? '' Je serrais mon poing pour faire couler quelques gouttes 'Je te protegerais ton coeur , Stanford ma promis qui voulait te sauver, donc ensemble on le protegera , mon amour. Ton frere je ferais tout pour que vous soyez ensemble, mais fuit avec moi. Ton frere nous rejoindra ' Est-ce que j'avais un plan ? Non ! J'improviserais..en écoutant mon coeur. Puis notre conversation se terminait sur une déclaration d'amour : Je veux bien rester avec toi, parce que je t'aime Ali. Puis je lui murmurais au lieu de lui écrire rangeant ma lame : Je t'aime Ema , et au lieu de te l'écrire, je te libérais d'un baiser..
Stanford s’accroupissait a ma hauteur, rapprochant le plus possible le grimoire. L'amour triompha toujours. Le héros renaîtra de ses cendres. Mais quel serait mon sacrifice ? Puis je murmurais : Au milieu du désert, le venin du désespoir coulait dans mes veines, mais cette ensorceleuse m'a envoutée avec sa beauté. J'ai eu un coup de coeur, mais celle-ci maudit tous les hommes qu'il l'aime. Elle m'a maudit ! Elle était l'amour inaccessible . Chaque jour la lueur d'espoir de trouver l'ame soeur, s'éteignait pour qu'un jour je n'y crois plus. J'ai pêché dans la luxure.. Parce qu'elle m'a croire que l'amour pour une femme n'allait que dans un sens. Que l'amour je le perderais toujours. Moi Aladdin (Parce que Ali Nacer n etait qu une fausse identité de la malediction de Regina) Je sacrifie l'amour inaccessible.
S'approchait mes lèvres du Grimoire. Fermant les paupières. Je déposais un baiser. Et comme je me doutais, il eut cette lumière blanche. Ce ruban de lumière qui sortait de mon coeur, quand je disais que celui-ci avait une particularité. C'était vrai! Même la caverne a tete de tigre l'avait dévoilé a Jafar. La ficelle de lumière pénétrait dans le grimoire pour y gravé mon prénom avec le sacrifice que j'avais.. Contrairement aux autres, je me sentais soulagé.. Libérer. La maison ne tremblait pas, pourquoi ? A coté de moi, un message était apparue : Je te fais confiance... Prend soin de mon frère, s'il te plait.. Je le lisais, un sourire se dessinait sur ma bouche. Je retournais sur mes pas, prenant Laureline dans mes bras. La collant contre moi ! Déposant un baiser sur son cuir chevelu. En lui murmurant : - Promis je te sauverais ma Galaxie, on pourra valser parce que notre histoire est sans fin. J'avais promis ! Une promesse c'est un espoir ! Je caressais du bout des doigts le pendentif du scarabée. Sachant ce qui allait se passer une fois a l'extérieur. Mais la magie du sacrifice aurait t elle un prix a me faire payer ?
Stanford avait donné le livre au frère d'Ema.Je le guettais attentivement! Après tout pour moi c'était un coeur. ! Le Dragon venait aussi dans ma direction, d'ailleurs pourquoi ? Il voulait enfin de moi dans sa guilde ? Il voulait qu'on devienne une famille ? J'en avais aucune idée de ce qui me voulait.. mais c'était l’occasion rêver pour accomplir le niveau suivant de ma quête. Parce qu'Aladdin ce n'est pas juste un conte, mais aussi un jeu vidéo dont je suis le héros.. Et être dans la Maison c'était comme être comme coincé dans une cassette. Ma prison disparue..
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CODAGE PAR AMATIS
Edan Sparkles
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" J'ai le swag comme ça!"
''Attend-moi, Flocon, je viens te rejoindre...''
''Ah oui? :gnia: :gnia: :gnia: :gnia: '
| Conte : Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : Natsu Dragneel
River lui a dit que c'était une tête de mule, car malgré sa promesse, Edan l'avait protégé. " C'est ma nature. Je ne peut pas la freiner trop longtemps, ça reviens toujours." Le blond commença à converser avec EMA et River lui dit de suivre son instinct, mais qu'il ne sera pas forcement du même avis que lui. Puis comme pour arrêter toute dispute Newt mentionna une sorte de sacrifice pour que tout le monde s'arrête, peu après, le photographe explique ce qu'il a fait. " Pourquoi ? Il devait avoir une autre solution." Puis River s'indigna et se retourna vers le chasseur de dragon en disant que si il faisait des trucs romantiques et qu'Edan venait à dire que ses plus beaux souvenirs, c'est avec un autre gars, le mage de mage, lui promet de faire un meurtre. " Ne t'en fait pas, mes plus beaux souvenirs, ça sera avec toi."
Cassandre faisait son sacrifice, puis River. River fait promettre à Edan que ses sentiments envers lui seront toujours et qu'il ne doit pas l'oublier. Le sacrifice du glaçon le change un peu. Il vient même à rompre sa promesse envers Edan. Celui de ne pas coucher avec son meilleur ami, alors qu'il est avec lui. Edan lui jeta un regard noir qui voulait tout dire. Mais River renchérit en disant que ça devait arriver et qu'il n'était pas un dragon. Il n'était pas du genre à avoir un seul partenaire pour le reste de la vie. " Je te préviens ! Si en sortant d'ici, tu vas le voir, je vous casse la gueule à tout les deux. Si bien que vous ne pourrez plus baisers pendant plusieurs jours. Et en plus tu ne me toucheras plus du tout." Puis Edan vient à bouder dans son coin et encore une fois, River lui dit que si il boude plus, il reviendrait s'occuper de lui et qu'il fallait qu'il apprenne à partager. C'était trop pour le dragon, même si il ne doute pas des sentiments que River à pour lui, il ne devait pas lui parler ainsi. En se retournant, Edan lui donna un coup de poing. " T'es en couple merde, tu ne vas pas voir ailleurs...Et je refuses de partager avec qui que ce soit."
Il s'en va un peu en retrait de River pour se calmer seul, pendant ce temps Aladdin fait son sacrifice. Puis Stanford lui amène le livre et lui tendit. Edan le prend, mais le pose au sol. C'était à son tour de faire le sacrifice, il voyait le livre d'EMA qu'il avait déposé à terre. Edan s'accroupit et avec son sang, il trace un message. " Ema...Ses secousses, est-ce que tu as peur ?" Aussitôt, Ema répondit: "Je ne veux pas mourir... Si vous vous retrouvez dehors avec mon livre... Vous allez me détruire... Je ne veux pas mourir..." Tout le monde à peur de mourir, même lui, Salamander à peur, c'est humain d'avoir peur de ça. Il voulait écrire, essayer de rassurer, mais River l'empêche en tirant sur sa main pour le relever.
"Allez! Arrête de faire ta poule mouillée et fait ton sacrifice, comme tout le monde!" River était énervé et avait poser de force la main d'Edan sur le livre. Edan regarda son amour, il ne voyait plus la lueur dans ses yeux. Puis il baissa ses yeux sur le livre et lit la ligne de son sacrifice ou du moins celui qui reste. Sacrifice de sang: Laisser couler son sang jusqu'à l'article de la mort. Il comprenait que si il le fait, peut être qu'il n'allait pas en sortir indemne. Est-ce que River le savait ? Est-ce qu'il savait qu'il le forçait un peu à se donner la mort ? Tout ça pourquoi ? Pour qu'Ema reprenne sa forme de base, mais elle avait peur de se faire tuer par le groupe. C'était à cause d'Edan si tout le monde était dans cette pièce, à cause de sa curiosité, si seulement il avait écouté son flocon...Mais il est trop tard maintenant.
" ....comme tu voudras, j espère juste que tu tiendras ta promesse...car si tu la tiens pas, tu risque de te retrouver tout seul" Dit-il dans un murmure que seul River peut entendre. "Tout seul? Non... Je... Tu ne vas pas m'abandonner toi aussi... Merde! Je veux juste sortir d'ici!" On dirait que le blond avait touché un point sensible chez son amour, cela lui redonne de l'espoir. L'espoir de revoir celui qui aime. " Tout va dépendre de toi, lorsque j aurais dit mon sacrifice....mais sache que ce n est pas mon choix. Car je ne souhaite pas t abandonner...je te l ai promis " Et Edan tient toujours ses promesses, il a fait comprendre à River que son sacrifice était un peu sa vie. "Je... Je vais te soigner... Je vais tout faire... Je ne veux pas que tu m'abandonne..."
Un sourire se dessina sur le visage du pompier et des larmes s'accumule au coin de ses yeux." Alors je te prie de tenir ta promesse...je t aime et je ne veux pas t abandonner...je t aime malgré ce que tu as dit. Je t aime même si j avais envie de t envoyer mon poing dans la figure" Bon d'accord, il a envoyé son poing dans la figure de celui qui aime, en espérant remettre ses idées en place. Mais il fut surpris par les paroles du glaçon. "S'il ne te faut que ça pour que tu reste avec moi, alors ça va. Je vais tenir ma promesse... Mais maintenant, fais ton sacrifice pour qu'on sorte d'ici..." Ce n'était pas ce qu'il espérer, avait-il perdu pour toujours son River, mais il se résolut à faire ce sacrifice. " Mais avant...." Edan s'avance vers l'infirmier et embrasse ce dernier, comme pour un dernier baiser. Il espérer cependant que ce ne soit pas le dernier qu'il aurait, ni la dernière image de son amour. Cela le rendait triste et des larmes coulent le long de son visage pour se rejoindre à son menton et tombaient en quelques gouttes sur le sol et malgré cela, Edan sourit toujours " T'as intérêt à la tenir...ta promesse"
Il se détacha de River et commença à marcher vers le grillage, il marchait en direction d'Aladdin. Il était le seul à disposer d'une arme, d'une lame capable d'entailler ses veines pour se sacrifice. Il accrocha le grillage avec ses doigts. " Aladdin, j'ai besoin...non...Est-ce que veux bien me prêter ta lame de rasoir...Tu es le seul qui dispose d'un objet tranchant et j'en ai besoin." Le prince d'Agrabah le regarde et s'assure que le glaçon n'est pas à proximité de la clôture. "Désolé pour tout à l'heure." Ali proposa un marché, en échange de la lame, Edan devra promettre de venir voir sa sœur a tous les jours. Le chasseur de dragons regarda du coin de l’œil River, il n'avait pas le choix, il devait faire le sacrifice, il n'y avait plus d'autre solution, c'était trop tard. " J'accepte ton marché, j'irai voir Ema tout les jours, après mon boulot...Je tiens toujours mes promesses" Edan revient avec la lame de rasoir et s'installe avec le livre, prêt à se couper les veines.
"Vas-y dans l'artère fémorale, ça va aller plus vite. Tu veux que je le fasse? Je vais pouvoir arrêter le sang avant que tu en perde trop..." Oui se couper à cette artère était quand même fatale. " Tu donnes des conseils dans un moment pareil ?" ce n'est pas contre son amour qu'il disait ça, juste un peu ironique pour Natsu, au vu de la situation, puis d'une main tremblante il lui donne la lame. "j'ai confiance."
"Je te promets que je ne vais pas te laisser mourir... Je ne vais pas te laisser m'abandonner." Puis River lui demanda de retirer son pantalon, oubliant où se trouve l'artère fémorale, le blond croisa ses bras. "Tu crois que c'est le moment de penser à ça ?" L'infirmier était sérieux " A ton avis où se trouve l'artère fémorale hein ? Aux membres inférieurs, monsieur le pompier." Edan enleva son pantalon et se retrouve en caleçon. "ça aussi faut l'enlever, sinon je ne peux pas l'atteindre" Edan le regarda. " Je ne suis pas comme toi...Je peux pas me mettre tout nu comme ça devant tout le monde." Edan remonte son caleçon à l'endroit où River devait le couper.
" Arrête de me regarder comme ça, qu'on finisse ce sacrifice." River trancha la peau du dragon, il sentait la lame froide pénétré les différentes couches de la peau pour toucher l'artère. Le sang coula sur le livre. "...Edan sparkles...sacrifice du sang." Le sang fut absorber par le livre, mais il ne s'arrêta pas. Comme stipuler, il faut du sang jusqu’à l'article de la mort. Edan commença à être blanc, il avait des vertiges, sa vision se trouble, il ne sentait plus ses extrémités, plus le sang coulait, plus il devenait faible. "je...me...sens..." Il ne put terminer sa phrase, le chasseur de dragon tomba à terre, inconscient quand le livre eu terminé d'absorbé le sang du blond. River commença aussitôt à le soigner.
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Stanford Pines
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✢ You feed the madness
And it feeds on you
✢
CHANGE is inevitable
slow and painful sometimes, but ✢ INEVITABLE ✢
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The Mystery House is open▲ Ft. de pauvres victimes d'un bâtiment vivant
Aladdin n'était pas comme d'habitude. Tout d'abord car il ne répondait pas à son prénom lorsque je l'appelais mais surtout car, lorsqu'il porta enfin son attention sur moi après avoir discuté en arabe avec le cadavre qui lui servait de femme... Son regard, alors porté sur moi, était différent. Plus sombre, vide, indifférent et froid à mon égard. Il ne me nommait pas, par ailleurs, de la même manière, comme il préférait se nommer à la troisième personne. Je finissais enfin par comprendre ce que je n'aurais pu jamais envisagé depuis ma rencontre avec le Sultan : il était possédé par une entité maléfique sous le nom de Shadow. Moi qui était de ces premiers à m'intéresser aux démons et à ce qu'ils pouvaient posséder, jamais je n'aurais pensé qu'Aladdin était victime de l'un d'eux... Si nous pouvions appelé cela un démon. Lui aussi avait donc un créateur ? Chaos ? Je gardais cette information dans un coin de ma tête et méditais sur un moyen de le sortir de cette situation, seulement, pour l'instant, je devais faire face à l'entité en question et le contraindre de laisser le contrôle à Ali. Je me méfiais autant de lui que de la peste avec le marché qu'il me proposait mais nous gardions tous les trois un même point commun : la protection d'Aladdin et des enfants avant tout. Il avait plus de cœur que bien d'autres démons que j'avais connu ce qui calma mes craintes lorsque j'acceptai sa proposition si, en simple échange, il laissait le prince reprendre possession de son corps. Lorsqu'enfin je retrouvai ce qui devait officiellement être mon fils adoptif, c'est rassuré et souriant que je lui expliquai que nous trouvions justement un moyen de libérer Ema de sa forme matérialiste, mais également de nous libérer de ses murs. Il fût heureux à son tour et me demandai ce que je devais faire. Je n'en savais pour l'instant pas grand chose et me retournai vers Newt pour être sûr que mes promesses n'étaient pas basées sur de simples illusions. Celui-ci se redressait au même moment. Je l'imitais et l'observai adresser une phrase, une simple phrase avant qu'il ne verse une larme et que sa poitrine s'illumine d'un rayon de lumière subitement absorbé par le livre. La Maison se mit légèrement à trembler puis, aussi perdue que nous, écrivit dans le sang ses inquiétudes.
"Newt... Qu'est-ce que c'était ?" Demandais-je à mon tour.
Il expliqua avoir oublié un souvenir des plus heureux, ce qui devait faire son "bonheur" autrefois mais qui, d'après les termes qu'il avait employé, a été sacrifié. Le livre toujours ouvert, il prononça à voix haute le reste des sacrifices qu'il avait pu traduire en ce lapse de temps et me tendit le livre à la bonne page. D'après ce qu'il en était dit pour libérer Ema, chacun devait faire un sacrifice. Nous avions le choix sans réellement l'avoir et lorsque je compris que c'était mon tour d'agir, je me portai simplement vers ce qui me semblait être raisonnable pour moi mais important pour les autres.
"Bien... Si Newt n'a perdu qu'un souvenir important, j'ai l'espoir que mon savoir n'en sera pas totalement détruit..."
Je posai la main sur le livre. Combien de choses avais-je appris durant toutes ces années ? Je ne pourrais les compter tellement il y en eût. Autant durant mes études dans cette université banale qui me donna deux fois plus de travail personnel, autant durant mes recherches approfondies à Gravity Falls, autant durant ces 30 années de voyages à travers les différents mondes du multiverse comme les 28 ans qui suivirent sous la malédiction. J'avais près de 70 ans de savoir et si j'étais persuadé que ce sacrifice n'allait pas tout m'enlever et que je pourrais réapprendre, je craignais à oublier. Concrètement, le savoir était une des choses à laquelle je tenais le plus. Pas les sorts et spécimens de Gravity Falls, suppliais-je intérieurement en fermant les yeux.
"Stanford Pines. Sacrifice du savoir."
Je ne vis pas le rayon lumineux sortir de mon cœur pour être absorbé par le livre mais alors que je continuai à me remémorer tout ce que j'avais pu apprendre durant ma vie (principalement à Gravity Falls), j'eus comme... un blanc. Une case manquante. Ça ne m'arrivait que peu souvent car, comme on put le deviner sans réellement le vérifier, toutes mes connaissances et souvenirs étaient rangés et triés dans ma tête comme dans des immenses étagères d'archives de bibliothèque. J'essayai toujours d'oublier le moins possible et pourtant... Cette fois-ci, ce fût le cas. J'avais comme cette impression de me trouver devant le tiroir en question sans pouvoir y trouver quoique ce soit dedans. Seule l'étiquette y apparaissait.
"Des années passées à comprendre l'homme par le biais de la psychologie... Lançais-je à moi-même en froissant mes cheveux d'une main. C'était bien la seule chose que je ne regrettai pas de mon passé maudit."
Je soufflai, assez irrité par ce vide étrange que j'aurais souhaité comblé si j'en avais plus de temps. Ford avait au moins été utile pour ça... Grâce à sa détermination de jeune homme, il avait pu apprendre tout ce qu'il y avait à savoir sur la psychologie et réussir dans la vie grâce à ça. Par la suite, lorsque la malédiction fût levée, j'avais pu à mon tour l'utiliser pour m'approcher des autres et les analyser avec facilité... De manière plus sociable. Toutes mes lectures, mes théories mises en pratiques furent comme éradiquées. Je ne me sentais plus si à l'aise que ça dans cette pièce. Passant la main à Cassandre, je la contraint à agir tout d'abord d'un regard ferme, comme si j'y avais été habituée depuis des années, puis soudainement plus évasif... Après lui avoir légué le livre en question, je plongeai mes mains dans les poches et fixai Newt, vide, Ali, perdu... Puis Cassie, effondrée lorsqu'elle eût prononcée les mots du sacrifice et qu'ils furent effet. Je remarquai que la Maison paniquait de plus en plus. Assez absent, dans ma tête, je pris du temps à réagir à ses lamentations... Jusqu'à comprendre que ce n'était pas normal. Je trempai le doigt dans les flaques de sang que Laureline laissait sur son passage, puis écrivis :
"Nous essayons de t'aider, Ema... Pourquoi nous demandes-tu d'arrêter ? -Vous ne voulez pas tous m'aider. Je le vois dans vos cœurs ! Certains veulent me détruire... Je ne veux pas mourir..."
Elle n'avait pas tort. River et Cassie avaient comme conviction de faire payer à Ema ce qu'ils ont subi entre ses murs et ils ne semblaient pas avoir changé d'avis. J'en avais discuté plus tôt avec Newt... Une fois libérés, il nous fallait mettre Ema et Aladdin en sécurité jusqu'à ce qu'il passe l'envie au garçon de glace et à la jeune femme aux cheveux roux de détruire le démon. Je comptais sur Edan pour nous y aidait... Et dompter l'un.
"Personne ne mourra. Répondis-je brièvement. -J'ai peur... Tu me protégeras ? -Oui, Newt, Ali et moi le ferons."
C'était les seules personnes qui avaient ma confiance, pour le moment.
"Alors je vous fait confiance... Ne faites pas de mal à mon frère non plus. Je l'aime et je ne veux pas qui lui arrive malheur..."
À côté de moi, mon pistolet attendait à terre, auprès de Cassandre. Je me redressai avec lui et le rangeai sous mon manteau. Derrière-moi, River venait de conclure son sacrifice : celui qui lui retirait toute part de lumière en lui. Autrement dit, il n'eut plus de dilemme entre le bien et le mal et se penchait complètement pour l'obscurité, le sadisme, l'égoïsme et l'indifférence. Seul lui-même comptait. Je tentai d'ignorer ses réflexions, qui ne m'arrangeai pas pourtant quant à la suite des événements, et attrapai le livre que je tendais à Ali.
"À ton tour Aladdin... Pose la main sur le livre et prononce ton nom complet... Suivi du sacrifice en question."
Il s'exécuta et, à la différence des autres, rapprocha la page qu'il embrassa doucement avant que son cœur ne s'illumine à son tour. Son sacrifice de l'amour n'était pas un poids qu'il devrait supporter pour le restant de ses jours comme celui de Newt ou de Cassandre. Ses traits s'adoucirent et un fin sourire se dessina sur ses lèvres. Il était libéré d'un poids. Je savais l'amour pesant parfois, c'est pourquoi je comprenais que ce sacrifice, selon la personne, était quitte ou double. Ici, Ali gagnait plus qu'il ne perdait.
Ce fût au tour d'Edan de procéder au sacrifice, le dernier : celui du sang. Le principe était de perdre son sang jusqu'à l'article de la mort. Rien de rassurant jusque-là... Je songeais à ce qu'il se passerait si jamais River venait à perdre son petit-ami alors qu'il avait déjà tant perdu autrefois, y compris sa lumière et donc sa morale. Il n'hésiterait sans doute pas à faire souffrir Ema, encore et encore, jusqu'à ce que ses membres soient autant tailladés que les nôtres le furent ici. Je ne pouvais imaginer une telle chose se produire... Alors que j'avais de moi-même promis de veiller sur tout le monde et que personne ne mourrait. Je m'engageai ainsi à aider Edan durant son combat entre la vie et la mort. Seulement... Dès l'instant où le sang fût absorbé entre les pages du livre, une lumière de plus en plus éblouissante en jailli. La Maison elle-même, de part et d'autre, se mit à s'illuminer sans que je ne pus ouvrir les yeux sans être aveuglé. Un genou à terre pour ne pas basculer face à cette perte de repère, j'attendis que la luminosité s'éteigne complètement... Le sol devenait terreux, le vent soufflait dans mes cheveux et lorsque je rouvris les yeux, c'est dans un forêt que je me retrouvais accompagné des autres, mais surtout d'Ema.
La jeune femme se redressait. Deux grandes ailes s'étiraient dans son dos tandis que sa robe blanche immaculée et légère flottait doucement, affrontant les ténèbres de la nuit. Derrière sa chevelure blonde, son regard scrutait le livre dans une parfaite distance entre nous et elle. Je m'approchai pour l'attraper sans qu'elle n'en fasse un pas. Elle semblait paralysée, presque terrifiée... Car totalement désarmée. Elle n'avait plus de remparts ni de moyen de pression pour nous empêcher de la détruire. Il ne fallait pas avoir lu 5 tomes sur "Comment comprendre l'être humain ?" pour le savoir. M'étant porté garant à sa protection, c'est d'un pas lent mais sûr que je me dirigeai vers elle et lui tendis l'objet.
"Je crois... Que ceci t'appartient."
Levant deux mains timides, elle agrippa le livre puis redressa son regard bleu pâle sur moi et me sourit. Je crois, avec gêne... Qu'il fallait sourire en retour, dans ces moments-là. Je l'imitai plus discrètement jusqu'à ce qu'elle pose sa main sur ma joue et que je n'écarquille deux grand yeux, pétrifié. Je n'étais habitué à ce qu'on soit tactile avec moi mais encore moins avec tant de délicatesse. Sans oser l'en empêcher je ne fis que prendre un certain malaise en patience. Mon regard se détourna là où il le pouvait, jonglant des arbres au sol avant de reprendre d'un ton plus ferme en me raclant la gorge.
"Bien, hum... Je pense que nous devrions tous rentrer chez nous, maintenant. Cette histoire ne doit pas s'ébruiter tant que nous n'aurons pas retrouver Zeref..."
Je savais que River et Cassandre n'allaient sûrement pas en rester là. C'est pourquoi, lorsque je tournai les talons vers eux, je restais devant la jeune femme en fixant ces derniers. Mon regard se tourna par la suite vers Newt que je suppliais intérieurement de m'appuyer. Ema avait besoin de son livre pour se protéger ce qui avait au moins l'effet de me rassurer. Seulement... La détermination de certains valaient parfois plus qu'une simple défense. Il fallait les raisonner. Que cette histoire ne prenne pas plus d'ampleurs qu'elle n'en a déjà. Edan avait déjà payé...
"River... Lançais-je d'une voix plus douce, inquiète. Je pense que nous devrions conduire Edan à l'hôpital de toute urgence."
Il fallait qu'il s'éloigne d'Ema, au moins pour ce soir. S'il venait à perdre son copain en s'occupant du cas du démon, ce n'est pas qu'elle qui subirait ses états d'âmes.
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Newt C. Stark
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Bain de minuit
en toute innocence
(ou presque)
| Conte : Mulan | Dans le monde des contes, je suis : : Cri-Kee, le générateur de chance !
Newt n'avait pas répondu à la méchanceté égoiste de River qui tendait à lui faire davantage de mal qu'il en avait eu. Son visage vide trahissait la douleur qu'il avait en lui et il n'avait plus rien dit après son sacrifice, jusqu'à la fin. Il étais donc resté silencieux, n'écoutant que d'une sourde oreille ce qui se disait ensuite, restant de son côté. Simplement, puisqu'il savait que se faisant, ils seraient libres, alors il attendait, pour pouvoir partir. Il n'attendait plus rien d'autre et n'avait rien à attendre, maintenant qu'il avait fait sa part. Il n'avait pas voulu faire attention aux mots horribles prononcés par River après sa part effectuée, et n'avait pas voulu regarder lorsqu'Edan fit la sienne, se vidant de son sang.
C'est donc toujours silencieux, sans un mot, sans une action, que Newt rouvrait les yeux dans la forêt, du côté de Stanford. Il l'observa donner le livre à la démone revêtue de sa nouvelle forme que Newt n'observait que très peu également. Newt s'était plutôt tourné vers la forêt, se sachant à Storybrooke, puis en direction de River et de Cassandre, ne voyant pas Ema remercier Stanford d'une caresse sur la joue.
Lorsque Newt s'approcha d'Edan, tout de même concerné par son sort, Ema en fit de même quand elle le remarqua. Le photographe s'était alors relevé, n'en faisant pas davantage pour la laisser faire. Il observa alors Ema arracher une plume de ses ailes devant la surprise du groupe, pour s'en piquer le doigt avec la pointe. Se servant de ses pouvoirs, elle fit voler la goutte de sang qui en sortit pour la faire grossir, multipliant les gouttes faisant grossir la sphère de sang qui volait entre elle et son frère. Alors, la grosseur d'un ballon de plage atteinte, Ema avança ses mains vers Edan, qui absorba donc le liquide par magie et alors, presque soudainement, le mage de feu se reveilla. Ema, d'un sourire fier que Newt n'aperçut qu'à peine, se releva devant cette victoire.
Newt allait s'éloigner après avoir relevé Edan, se mettant de côté comme il en avait l'habitude, mais la démone s'était approchée de lui, un regard surpris et peu ravi. Elle leva donc la main pour, là aussi, lui caresser le visage. Le photographe fronça les sourcils, se dégageant aussitôt en reculant.
Tu as mon indulgence car tuer n'est pas la solution. Tu n'as pas mon amitié. Je rentrerai, et je ne te verra plus.
(c) AMIANTE
Cassandre De Trémaine
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| Avatar : Madelaine Petsch
Who’s that sexy thing I see over there ? That’s me sending in the mirror. What's that icy thang hanging around my neck? That's gold, show me some respect.
| Conte : Cendrillon | Dans le monde des contes, je suis : : Anastasie
Cette fois-ci, ils y étaient. La fin de ce qui aurait pu être un cauchemar arrivait petit à petit. Cassandre était de nouveau éblouie mais elle savait que cela s'avérait pour tout le monde, elle ne voyait ni la Maison, ni le sang qui s'était écoulé en masse quelques instants plus tôt, ni ses compagnons... ni elle-même. Lorsqu'elle sut se restituer spatialement, elle se trouvait sur un sol terreux, l'air courant librement sur ses cheveux roux.Désormais, elle pouvait revoir tout le monde, les reconnaître même si elle n'avait pas passé la soirée avec eux. Même Elle, elle la reconnu. Contrairement à ce qu'elle avait été tout au long de cette soirée, Ema avait désormais une apparence angélique, presque irréel. Cette apparence était-elle destinée à tromper ou représentait-elle réellement ce qu'elle était ? Allez savoir... Même si Cassandre n'avait pas vécu les épreuves, un sentiment amer baignait dans tout son être. Vestige de ses autres. Pourquoi ? Ça elle n'en avait pas la réponse exacte. Même si elle se souvenait de la douleur du début et de la perte de la fin, elle n'avait pas de quoi se créer une haine vis à vis d'elle...
Stanford fut le premier à agir en tendant le livre au démon. Lui rendant ce qui était sien. Ema posa délicatement sa main sur le visage du vieil homme, sans doute comme une sorte de remerciement de sa part. Elle se dirigea ensuite vers Newt et Edan, tentant sans doute d'aider ce qu'elle considérait comme son frère qui perdait toujours son sang sur le sol. Cassandre ne put distinguer ce qu'elle faisait, toujours jonchait sur le sol, n'ayant pas encore eu la force de se relever. Même si le sang avait disparu, elle se sentait encore sale. Ne pas savoir ce qui avait pu se passer concrètement la rendait aussi nerveuse. Elle avait entendu dans le flou de sa conscience Anastasie s'excuser mais pourquoi cela était déjà ? Elle n'arrivait pas à s'en souvenir.
La rouquine releva la tête lorsqu'elle sentit une présence à ses côtés. Ema était désormais venue vers elle. La jeune fille alla chercher du sang sur son doigt où perlait déjà une goutte. Elle devait sans doute avoir voulu communiquer avec les autres avant cela. Elle se mit à écrire dans les airs avec son sang, comme elle l'avait fait si souvent en étant la Maison. Cassandre ne savait pas comment du sang pouvait se maintenir en l'air comme ça mais au vu de ce qu'elle avait été capable en tant que maison, elle se disait que cela devait être un maigre don de ce qu'elle savait réellement faire.
- Merci Cassandre, pour ton espoir... J'en avait besoin pour arriver à faire confiance aux humains. tu le retrouveras j'en suis certaine, car j'ai compris que tu n'es pas seule...
La rousse n'eut même pas la foi de sourire amèrement à cette remarque. Elle avait mis des années à créer et conserver cet espoir. Ces autres avaient été la preuve qu'elle était incapable d'en avoir seule. Et pourtant, en quelques secondes le travail qu'elle avait fait sur elle même en vivant dans un autre cauchemar que ce soir avait volé en éclat. Elle disait en avoir besoin pour faire confiance aux humains ? Et elle ? Comment ferait-elle désormais pour faire confiance à qui ou quoi que ce soit ? Cette Maison aurait sans doute du apprendre la notion d'égoïsme. Soit Anastasie n'était pas un exemple de bonté et de partage mais Cassandre savait qu'elle faisait aussi les choses pour elle.
- Et comment vais-je avoir confiance maintenant... Ana... Enonça-t-elle amèrement. On te sauvera Cassandre. Quoi qu'il en coûte. Lui répondit l'une de ses nombreuses voix internes. Voyant que le démon en face d'elle la regardait en fronçant les sourcils, la jeune femme comprit qu'elle ne pouvait toujours pas communiquer à l'oral. Elle lui tendit la main, lui faisant comprendre qu'elle avait besoin de sa plume. Ema lui donna volontiers, c'est alors que Cassandre commença à son tour à écrire dans le vide:
- Je ne l'ai fait que pour me sortir de ta prison...
La blonde prit un air triste lorsqu'elle lut le message, poussant la main de Cassandre tenant la plume. Elle essayait de lui faire comprendre qu'elle pouvait la garder. La rousse ne répondit pas, la gardant simplement serrée dans son poings. Ema baissa alors la tête et s'éloigna d'elle.
La rouquine se demandait s'ils ne faisaient pas une erreur de laisser cette chose en liberté. Peut être redeviendrait elle démoniaque, semant alors la discorde sur Storybrooke. Non pas que cela ne soit pas déjà le chaos mais avoir un énième démon en liberté n'aidait pas. Elle regarda la plume qu'elle avait dans la main. Pourquoi avait-elle voulu qu'elle garde cette plume ? Etait-ce une sorte d'excuse de sa part ? S'en voulait-elle d'avoir pris son espoir ? Peut-être. Mais Cassandre n'en demanderait pas la réponse exact. Du moins pas ce soir.
- Je ne sais pas si nous faisons le bon choix de la laisser libre. - Sous forme humaine, elle semble bien moins dangereuse... Mais je suis d'accord qu'il faudra la garder à l'oeil. Personne n'a à subir ce que nous avons subi...Dommage que Zeref n'ai pas pris ces précautions. Répondit simplement le scientifique en haussant les épaules.
Si la fille De Trémaine avait bien retenu une leçon dans sa vie, c'était de ne jamais se fier aux apparences. Dans son monde, cela ne comptait pas, tout se cachait derrière un maquillage et des vêtements de luxe. Les vrais monstres n'étaient pas toujours ceux qu'on croyait... ou au contraire ils portaient parfaitement le masque, l'utilisant à bon escient.
- Nous avons encore la possibilité de la tuer ici. Une seconde chance est-elle seulement envisageable ? - Qui ne mérite pas une seconde chance ?
Il dirigea son regard vers Cassandre. Elle se disait qu'il avait tort, rare étaient les personnes qui avaient réellement une seconde chance sans en payer le prix eux-mêmes.
- Elle...elle n'a rien fait de plus qu'agir comme elle a été conçue. Si vous souhaitez un coupable... trouvez celui qui l'a créé. - On a toujours le choix... nous ne savons même pas si son créateur est ici. Comment espérez-vous réellement le trouver ? Demanda la jeune femme, serrant ses bras autour d'elle.
Elle n'était plus sûre de rien, la jeune avait désormais l'esprit embrouillait par la fatigue et la peur. Cette soirée l'avait clairement effrayé et elle ne le réalisait que clairement. C'est pour cela que c'était toujours les autres qui géraient. Cassandre avait toujours eu peur. Elle n'aimait pas revivre ce genre de chose, elle ne voulait pas savoir ce qui s'était vraiment passé en faite. Elle voulait juste oublier et retourner chez elle.
- Enfin. Ce n'est pas mon problème. je ne veux plus être mêlée à ça... Continua-t-elle d'une petite voix. Beaucoup moins assurée qu'elle avait pu l'être auparavant dans la soirée. Je veux juste rentrer chez moi...
Sur ces mots, elle n'ajouta rien, s'éloignant d'un pas lourd du groupe qu'ils avaient pu former au cours de cette soirée. Elle n'était pas faite pour être parmi ces gens. Elle n'était pas faite pour supporter ce genre de chose. Elle voulait juste retourner dans son cocon dorée. Désormais, elle ressentait aussi le froid lui geler les bras. Elle aurait aimé avoir sa cape à ce moment là. Comment allait-elle expliquer tout ça à Nathan ? Elle l'avait laissé seul à cette fête. Il avait dû être surpris de sa disparition soudaine. Peut-être s'était-il même inquiété pour elle ? Elle ne savait pas vraiment. Tout ce qu'elle sut c'est qu'elle le vit arriver rapidement vers elle, alors qu'elle n'avait pas encore quitté la vue des autres. Le fils Crawford poussa un long soupir de soulagement avant de se rapprocher d'elle tout en lui tendant son sac à main.
- Mais bordel tu étais où ?! Tu crois que ça m'amuse de te courir après ? - Tu crois que ça m'amuse de disparaître comme ça ? Répondit-elle du tact au tact d'un ton lasse. Laissant clairement transparaître sa fatigue.
Son propre corps semblait tellement lourd à ce moment là. Elle était presque soulagé d'avoir enfin une tête vraiment connu en face d'elle. Elle avait l'impression d'avoir retrouvé la réalité. Nathan quant à lui haussa les sourcils avant de passer délicatement son bras autour de la jeune femme. Elle se laissa faire, le voyant comme un appuie utile à cet instant précis.
- D'accord. Tu veux parler de ce qu'il s'est passé ? Ou on se contente de rentrer et je te fais un thé bien chaud.
Cassandre baissa la tête. Nathan était tellement contradictoire sur certains points. Parfois il semblait la détester pour ce qu'elle était ou ce à quoi elle était associée et d'autre fois il était presque tendre envers elle. Comme ce soir là. Elle ne savait pas trop quoi penser de lui, pouvait-elle réellement lui faire confiance ? Elle l'avait fait autrefois mais qu'en était-il de maintenant ? Elle ne savait pas. Et elle n'avait clairement pas envie de réfléchir sur ce point aujourd'hui.
- Je veux rentrer. Je ne suis pas sûre de pouvoir rester sur mes jambes encore longtemps... Se confia-t-elle.
Le coréen ne posa pas d'autres questions, se contentant de la soulever, comme si elle était une princesse. Le réconfort de se geste la surpris. Ne sachant pas clairement si elle devait l'autoriser à faire ce geste vis-à-vis d'elle devant les autres. Mais après cette soirée éprouvante, elle avait sûrement dû montrer d'autres côtés d'elle, qu'elle gardait généralement enfoui.
- Tu ne dis pas au revoir à tes amis étranges ? - Tu sais bien que je n'ai pas d'ami Nathan... Je les ais déjà salué... à ma manière.
Un petit sourire en coin se dessina sur le visage de son fiancé tandis qu'il jetait un dernier regard en direction du groupe de personne qui se tenait non loin d'eux. Il rebroussa le chemin de la forêt, les amenant directement sur sa moto. Il installa confortablement Cassie avant de lui mettre son casque.
- T'inquiète, je dirais à nos parents que la soirée c'est très bien passé mais que tu étais épuisée. Tu peux te reposer, je me charge du reste. Mais tu m'en dois une, n'oublie pas.
Elle devinait que Nathan tiendrait parole, elle doutait beaucoup plus du public qui se trouvait dans la salle de fête. Ils ne devraient pas parler, sinon leur fameux mensonge risquait de tomber à l'eau. Le fils Crawford avait plutôt intérêt de trouver une excuse tangible à toute cette histoire. Il l'avait dit lui même après tout, il se chargerait du reste. Pour le moment, Cassandre ne savait pas si elle pourrait avoir de nouveau espoir, mais ce qui était sûre, c'est qu'elle pourrait sans doute faire confiance à l'homme qui l'avait obligé à monter sur cette moto. Du moins pour le moment...
- Evidemment.
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Ali Nacer
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
Peu importe ce qui m'attendait, parce qu'on avait promis de me torturer , quand nous serons libre de l'emprise de la démone. Peu importe si je devais risquer ma vie, et ce n'était pas la première fois. Beaucoup de personnes, enfin surtout des femmes voulaient ma peau. Tout simplement parce que j'étais un amoureux des femmes ! J'étais un papillon qui volait de fleurs en fleurs . A la recherche du parfum parfait ! Mais aucun n avait été assez envoûtant pour me faire revivre ce que l amour inaccessible m avait fait ressentir. Mais cette fleur, était la fleur du mal.Et la seule qui aurait pu parfumé ma peau du parfum de la mort.
Mais tous les deux, nous avions plus aucun souvenir l'un de l'autre, sauf qu' il me restait quelques souvenirs comme cette plaie sur ma joue. Cette plaie que j'avais réouvert pour Ema. Mais le sang avait séché, laissant une croûte. Mais cette blessure allait cicatriser de nouveau. Mais elle sera toujours présente car c'est sur cette joue ou elle m'avait offerte ma première gifle. Et d une claque j avais eu le coup de foudre.
Mais qu'est-ce que ca été la même chose pour Ema ? Est-ce que j'avais eu le coup de foudre encore pour une femme qui m'avait torturait? La réponse était oui ! Je souffrais peut-etre plus qu'une simple possession démoniaque. Soit que j'avais une maladie mentale pour aimer ce genre de femmes, ou soit que j'étais simplement masochiste.
Mais j'étais aussi suicidaire, parce que par amour et parce que j'avais promis que je prendrais soin de lui. Je me précipitais vers le frère de ma dulcinée. Malgré le regard froid, du démon de glace. Mais celui-ci ne se souciait pas trop de moi, quand je m’accroupissais près du blond . Parce qu'il était trop préoccupé par l'état de son amoureux. Mais sans le toucher , bien sur! Je n'étais pas complètement fou non plus, juste un peu. Mais mes doigts étaient proche de ceux d'Edan . J'avais envie de lui prendre la main juste pour lui dire de mon langage corporel, qu'en tant que beau frère il avait mon soutien. Même s' il n'assumait pas encore le lien que j'aurais avec sa soeur. Enfin même sa soeur , il ne semblait pas l'assumer. Je voulais quand même qu'il sache qui devait garder espoir parce que l'amour allait le sauver.
Mais le petit copain du mourant, tournait la tête vers moi et me disait d'un ton menaçant "Tu le touches, je te tue!" Et ensuite, il reportait son attention sur son amoureux. Très possessif, mais il n'avait rien a craindre de moi, parce que je n'avais pas la même orientation qu'eux. Et comment je le savais ? Embrasser le toon aux grandes oreilles, ne m'avait pas fait ressentir des chatouillements en l'entre jambe. Mais si je n'étais pas fermé a me faire draguer par un homme, mais je ne ferais jamais les premiers pas pour en avoir un sur le tapis.
Puis je me redressais, pour laisser les amoureux vivrent leurs derniers moments, a la Shakespeare. Je m'isolais pour m’asseoir, tenant Laureline contre moi, entremêlant mes doigts dans sa chevelure terni. Je jetais un léger coup d'oeil vers le pendentif a son cou: le scarabée. Il avait une teinte plus dorée qu'à son habitude. Et une fissure avait disparue, ne laissant voir que sept fragments, au lieu de huit. Il manquait le fragment de Minuit, a cause du sacrifice .. Mais cela voulait dire que la magie était revenue ?
Puis soudainement je devenais aveugle .Ébloui par l'éclat de la lumière. Mes paupières se fermaient, me laissant entrevoir la breloque du scarabée se craquer de nouveau . Huit je ne pourrais jamais renoncer a ce chiffre ! Mais pourquoi ? C'était un autre chapitre de ma vie .Mais Ema avait pris la place de Minuit. Cette lumière exprimait que la malédiction avait été rompue. Que l'amour avait accompli son oeuvre. Comme promis, le baiser magique avait fonctionné. Mais ce baiser n'avait pas ramener d'entre les morts Laureline. La lueur s'éteignait comme mon espoir , me laissant dans la pénombre. Ma Princesse était devenue fantôme, parce que mes bras étaient vide. Ma femme s'était éclipsée. Non ! Elle était devenue une plume.
Parce que j'ouvrais mes paupières, mon regard tempête prenait sa teinte tenebreuse. Une plume tombait dans mes mains ouverte devant moi. C'était Laureline ! Parce que son prénom symbolisait la plume. En serrant la plume dans ma main, quelques larmes coulaient sur mes joues. Puis je la faisais disparaître dans un endroit cher a mon coeur, pour la garder en souvenir . Puis autre une plume tombait du ciel, et elle frolait dams une douce caresse mon visage, pour essuyer les perles de peine . Stanford avait raison, j'allais devoir affronter la vérité en allant avec lui. Et je devrais faire acte de présence pour mes nouveaux nés. Parce que c'était le seul souvenir vivant qui me restait de leur mère.
Jetant un regard rapidement a mes poignets , les pierres précieuses de mes bracelets dorées, se mettaient a étinceler de milles et une brillance. Des plumes dansaient dans le souffle du vent, autour de moi. Laureline dansait sa derniere valse. Fermant les paupières un instant, dans une fumée dorée qui m'enveloppait comme un manteau. Mon apparence négligée se métamorphosait. Pour une allure princière, costume couleur ivoire avec des motifs Agrabanais (Demi lune, et soleil) cousus sur la tenue. Ballerines dorées aux pieds. Pendentif du scarabée qui pendait a mon cou, étant le vrai cette fois ci. La chevelure blanche laineuse, avait laissé place a une crinière de jais soigneusement peigné par l'arrière. Celle ci était recouverte de plumes blanches. Dans mon dos, on pouvait voir des ailes de pierres. Parce qu'ayant le don de me métamorphoser, j'empruntais les ailes d'une gargouille. Créature protectrice ! Après tout j'étais le protecteur, d'Ema. Sous la pluie de plumes, je me levais et tournait sous celle-ci . Je dansais ma dernière danse avec mon amour déchu. Jusqu'à ce je me sente étourdit, que mon regard désertique se pose, sur cette créature Angélique.
Sans mot ! Bouche entre-ouverte. Chevelure couleur dunes d'Agrabah, légèrement bouclée tombait en cascade dans le milieu de son dos. Joliment vêtue d'une robe couleur purification. Cette robe sirene, pailletée embrassait ses courbes fragiles que j'avais juste envie d'effleurer de mes doigts . Mon regard dérivait tout le long de son corps. S'attardait quelques secondes sur ses fesses. Puis elle se tournait. quelques fois pour que j’aperçois ce visage d'ange. Visage d'enfant. Visage d’innocence. Elle était physiquement pas plus vieille que moi.
Ne prêtant pas attention a ce qu'elle faisait avec les autres membres de la guilde. Aveuglé par cette apparence bandante. Je n'avais pas meme remarquer les faits pertinents de la situation. Comme le fait que le Dragon était vivant ! Que Stanford lui avait offert le grimoire. Ni même le départ de la bourgeoise insupportable et la visite du frère de la renarde a neuf queues, que j'avais en colocataire dans un manoir appartenant a qui déjà ? J'avais oublié ! Non j'étais m'hypnotiser par la beauté de cet ange. Que devant sa beauté je restais planté, tout en caressant mon bas de mon ventre de mouvements circulaires du bout de mes doigts. Puis dans ma tete , je laissais chanter mes pulsions:
J'avais juste prévu de rentrer Et puis sur toi je suis tombé Tu as la peau qu'on voudrais goûter Et le sourire muy caliente Comme si le temps s'était arrété Au ralentis je t'ai vue t'avancer Devant ta beauté j'restais planté Me laisse pas solo, solo J'veux pas te saouler Je veux juste un tango et te voir tanguer Est-ce que t'aime danser te balancer Arrête un peu de penser et laisse moi t'enlacer Solo, solo De toi j'suis fou eh Dis moi c'que j'dois faire pour t'amadouer On pourrait bouger se mélanger Se mettre un peu en danger oh Tu me regardes et fais ton entrée Premier regard je suis charmé Tu es un ange venu me tenter Et je pourrais bien succomber Entre nous y'a le fuego l'envie Tant de désirs inassouvis Si le désir est de la partie Me laisse pas solo, solo J'veux pas m'imposer Mais je'tai dans la peau On pourrait causer
Souhait exaucé ! Elle s'approchait de moi dans une démarche petite sirène . Elle avait de la misère a tenir sur ses deux pieds. Ca se comprenait elle avait été une maison depuis longtemps. Toujours ébloui par sa beauté. Je me mordillais la lèvres inférieure, en la regardant de bas en haut. Quand elle s'avancait vers moi dans sa robe blanche étincelante, qui trainait dans la terre. J'avais l'impression d'etre le Prince Eric, qui attendait sa sirène sur le bord de la plage. Pour pouvoir ensuite l’enlacer a bout de bras, nous faisant tourbillonner dans une valse. Et d'un baiser, changer de scène pour me retrouver a mon mariage. Entre nous il aurait Gédéon mon tigre domestique qui nous donnerait une léchouille. Marchait toujours en ma direction, quand elle allait trébucher, je me précipitais vers elle, pour la rattraper en lui souriant d'un large sourire de séducteur. Ce sourire qui en avait fait craquer plus d'une. Je l'aidais a se redresser. Je caressais discrètement son bras au passage. Elle se tenait devant moi, mais elle gardait les yeux baissés. Elle pointait ses yeux et pointait ensuite mon coeur.
Muette elle était. Quelqu'un a un coquillage magique pour lui rendre sa voix ? En faites communiquer par signe ca lui donnait un charme, qui la rendait encore plus irrésistible. Elle était en train de dire qu'elle lisait dans mon coeur. A pres tout notre coeur est un livre n'est-ce que pas ? Et que disait la finale de mon bouquin? Qu'en ce moment chaque battement de celui-ci était un mot pour lui faire la cour. De mon bout de doigt tremblant, je déposais celui ci sur sa poitrine. Pour pointer son coeur. Un frisson me parcourait. Youpi! J'ai touché le sein d'une fille, et elle ne m'a pas giflé. J'allais pouvoir noter dans mon journal intime. Puis quelques secondes après je pointais le mien. Pour lui dessiner ensuite, un coeur imaginaire entre nous deux. Pour lui dire que nous étions amoureux ! Après tout elle était vierge, ne connaissant rien dans ce sentiment.
Ensuite après mon dessin, elle relevait la tête mais elle ne me regardait pas dans les yeux. Elle était gênée! Même hésitante. Parce qu'elle me trouvait sans doute son gout. Mais ne sachant pas comment faire les premiers pas. Toute mignonne dans sa timidité ! A ce moment, dans ma tête j'entendais la chanson : Embrasse là qui résumait mes sentiments en ce moment :
Regarde-la, douce et fragile à la fois Elle ne dit rien, elle se tait Mais ton coeur brûle en secret Tu ne sais pas pourquoi Mais c'est plus fort que toi T'aimerais bien... l'embrasser Tu rêvais d'elle Tu l'attends depuis toujours Si c'est un roman d'amour Faut provoquer l'étincelle Et les mots crois-moi Pour ça, il n'y en a pas Décide-toi, embrasse-la Je suis intimidé Je n'ose pas l'embrasser Sha-la-la-la-la-la, s'il est sage Ça serait vraiment dommage Adieu la fiancée
Prends-lui la main Dans la douceur du jardin Décide-toi mon garçon Et n'attends pas demain Elle n'dit pas un mot Et n'dira pas un mot Avant d'être embrassée
Sha-la-la-la-la-la, n'aies pas peur Ne pense qu'au bonheur Vas-y, oui, embrasse-la Sha-la-la-la-la-la, n'hésite pas
Puisque tu sais que toi Toi, tu ne penses qu'à ça Sha-la-la-la-la-la, c'est si bon Écoute la chanson Décide-toi, embrasse-la Sha-la-la-la-la-la, vas-y fait vite Écoute la musique Dépêche-toi, embrasse-la Embrasse-la, embrasse-la, embrasse-la... allez, vas-y Embrasse-la
Ne voulant pas la brusquer en l'embrassant. Elle se levait sur la pointe des pieds parce qu'elle était plus petite que moi. Je déposais mes mains sur ses hanches pour vouloir la rapprocher de moi. Elle déposait ses lèvres fines sur ma bouche pulpeuse . Et elle embrassait timidement avant de tourner la tête, les joues rosées. N'ayant pas le temps de prolonger pour savourer la saveur de sa bouche .Parce qu'elle était en train d'expérimenter ce sentiment qu'on appelait amour. Le rouge de ses joues me touchait droit au coeur. Ca prouvait que je ne laissais pas indifférente ! Je rougissais a mon tour, parce que je la trouvais craquante. Par contre, le Viking sera tellement fier de moi. J'avais réussi a pecho la belle soeur de son ennemi.
Je passais une main sous son menton , pour le lever sa tête pour avoir toute son attention. Je plongeais mon regard dans le sien. Pour qu'elle lise dans mon âme ! Ma main remontait vers une de ses joues, de mon pouce je caressais tendrement celle-ci. Puis ma main de libre , se glissait derriere son dos, plus précisément en haut de ses fesses pour avoir une certaine emprise sur elle. Ensuite je penchais mon visage, vers le sien. Puis je collais ma bouche sur la sienne, pour l'embrasser plus longuement. Mon coeur s'emballait..Je l'aimais, et c'est normal. La passion t'emballe.
Vulnérable. Vierge. Elle se laissait ensorcelée par mon charme.Mais dès que le baiser se terminait, quand je détachais mes lèvres pour peut-etre aller plus loin qu'un baiser. Elle reculait, brisant mon emprise. J'enlevais ma main sur son corps.Elle se cachait avec une de ses ailes. Lui jetant un regard inquièt. Elle me fasse le meme coup que minuit m'avait fait, quand je lui avais déclaré ma flamme. Elle avait fuit ! Je m’accroupissais pour ramasser une poignée de terre. Avec ma magie élémentaire, je manipulais cette terre, en faire une rose. Je m'approchais lentement d'Ema pour ne pas la faire fuir, pour lui tendre cette fleur. Puis je me mettais a chanter , parce qu'aucune femme résiste a un prince chantant :
Qui crois-tu donc tromper, Ton coeur en feu est amoureux. N'essaies pas de le cacher, La passion se lit dans tes yeux. Pourquoi donc le nier, Je t'ai envoûté, Je t'ai ensorcelé ! Ton coeur soupire, Pourquoi mentir ? Oh, oh ! Mon coeur connait la chanson. Mais tout vacille, accroche-toi ma fille ! T'as le coeur trop fragile, Évite les idylles ! Pourquoi nier, c'est dément, Le tourment de tes sentiments ? Tu m'aimes, et c'est normal, La passion t'emballe, Tu rougis car tu ,'aimes. Lis sur nos lèvres, Lis ton coeur, car tu m'aimes ! C'est pas la peine d'hésiter car tu m'aimes !
Elle prenait la fleur , puis elle l'a mettait dans sa chevelure dorée proche de son oreille. Je lui sourirais! C'était bon signe elle avait accepté mon présent. Après tout elle aimait les cadeaux. Je lui avais offert un bracelet de cheveux et une photographie de Kenza. On l'avait découvert quand elle était sous son apparence de maison. Mais j'étais heureux que mon cadeau embellissait sa beauté Angélique.
Elle baissait son aile, mais elle ne me regardait toujours pas, trop gênée, ne comprenant sans doute pas ce que j'essais de faire: Flirter! L'amadouer pour qu'elle devienne mienne. Quelques minutes après elle arrachait une autre plume de ses ailes. et se piquait le bout du doigt pour faire saigner la même blessure. Avec la plume, elle écrivait dans les airs avec son sang ''Merci Ali, pour ton amour... Celui que tu m'as sacrifié et celui que tu me porte encore...'' Contrairement aux autres, je n'étais pas étonné que le sang flottait. Parce que la magie n'avait rien impressionnant, parce que tout était possible !
Elle avait baissée sa garde, j'en profitais donc pour capturer délicatement sa main ou elle s'était blessée. Pour porter cette main vers ma bouche. Et glisser le bout de ma langue sur son doigt, pour lecher la goutte de sang. J'aurais pu sucer son doigt, mais elle n'était pas encore prête pour ressentir cette sensation. Mais je caressais de mes doigts la paume de sa main. Avec mon pouce l'intérieur de sa main. Puis de mon autre main, je la tendais vers elle. Elle y glissait la plume..Après tout la plume est l’interprète de notre ame. J'allais donc lui parler avec mon coeur. Mais surtout parce que j'avais besoin de me rassurer pour ses intentions.. Ayant peur de l'amour a sens unique!
Ce message disparaissait. De sa plume, je me piquais versant couler une goutte de mon sang. Ce sang qui ne devait pas etre en contact avec le sien. De la pointe ensanglantée, j'écrivais dans le vent..Ne soit pas timide avec moi mon amour. Tu sais que je t'aime d'ou que tu peux ressentir mon amour. J'ai sacrifié Minuit pour toi..Mais Est-ce que tu comptes toujours tenir ta promesse ? Etre avec moi.. venir avec moi ?
Puis elle s'arrachait une autre plume, pour commencer a écrire notre histoire d'amour. Mais elle ne débutait pas par il était une fois.. Non notre récit commencait avec ses mots : ''Je veux toujours retrouver mon père, mais je veux rester avec toi aussi... Je crois que je vais continuer mes recherches, mais je reviendrai te voir entre chaque monde que je visiterai. Tu m'attendras?'' De ma pointe je lui répondais : Je comprend ta quete, moi aussi j ai longtemps chercher mon pere. Veux tu que je t aide a le rechercher ? Moi aussi je veux habiter avec toi, L hotel pourrait etre notre maison quand tu es de passage a Storybrooke.Donc je t’attendrais! Je veux t avoir pres de moi j ai eu le coup foudre pour toi. Meme si l'aider a retrouver son père ferait de moi un ennemi de la Guide Fairy Tail. Je connaissais le sentiment d'abandon, et l'espérance de voir son père en face de soi.. Pour qu'il puisse repondre a toutes nos questions. Meme si celui ci était le pire connard de la planète. Meme si j'avais Stanford en père adoptif . Il ne pourra jamais combler le vide et me donner les reponses que Cassim me devait. Je ne voulais pas laisser Ema toute seule dans cette épreuve. Et je savais que Stanford serait l'aventure... Parce que même si il était vieux, il était un aventurier comme moi ! Et il avait pris des notes dans son journal ca devait bien servir..L'Hotel sera notre guilde a Ema et moi. Ça sera notre maison. Une maison qui pourrait accueillir son frère, mais seulement lui parce qu'il avait promis.. D'etre proche d'Ema ou de moi parce que nous étions aussi de sa famille a présent.
Mon message s'effacait. l'Ange se cachait le visage avec les mains, écartant les doigts juste pour voir ce que j'avais écris. À la fin de ,a phrase, elle parait surprise et choquée, la bouche ouverte qu'elle cachait avec ses deux mains. Puis, elle écrivait. ''Le coup de foudre? Je suis désolée Ali, tellement désolée. Le choc électrique était trop fort? Tu as encore mal?'' En plus d'etre a mon gout, elle avait de l 'humour. D'un rire léger. Je me pointais de nouveau le doigt pour lui écrivait: Ne t'excuse pas ! Non je n'ai plus mal, ne t'inquiete pas ! Ton amour ma guérit ! Et Le coup de foudre c'est aimer quelqu'un des la première impression. La premiere image. Mais Si tu vis avec moi, je t apprendrais a connaitre l amour. Elle souriait en m'écrivant ''Je veux apprendre. Apprend-moi tout! Mais avant de partir, je veux seulement m'assurer que les autres vont bien. Ensuite, je partirai avec toi.'' J'étais prêt a lui apprendre tout ce je savais sur cette puissante magie qu'on appelait amour. De cette manière, si on devait vaincre son père, Ensemble ! On pourra vaincre tous les obstacles de la vie, avec l'amour. Parce que l'amour lui donne du courage ! Le Courage de ne plus etre un lache et garder espoir que l'amour véritable existe.. Parce que je l'avais trouvée en Ema. La preuve, elle me faisait assez confiance, pour mettre sa vie entre mes mains. M'offrir son coeur. Parce qu'elle me tendait son grimoire. Que je prenais entre mes mains, pour le coller contre mon torse. Puis sur la pointe des pieds, elle allait encore déposer un rapide baiser sur mes lèvres. Puis elle prenait ma main . J'entremelais mes doigts entre les siens et on s'éloignait vers les autres avec le sourire et elle toujours avec les joues rouges. Et toute facon, je ne pouvais pas partir sans la troisieme roue du carrosse : Mon Papa ! Il avait promis a Oncle Stanley , Corail et mes enfants de me ramener sain et sauf.. Mais il se doutait guère que je ramenais l'amour a la maison !
’’ Beauty always comes with dark thoughts I wish I had an angel For one moment of love I wish I had your angel’’
Aguistin avait le don d’attirer des ennuis à River et ce, même quand il n’était pas là. À cause de lui, Edan l’avait frappé et il le menaçait même de l’abandonner. Mais le Frost refusait qu’on l’abandonne encore une fois. Sa toute nouvelle absence d’empathie l’empêchait de constater que la colère de son dragon n’était que de sa faute à lui. Il ne voyait pas du tout ce qu’il avait pu faire de mal. Visiblement, Natsu était assez en rogne pour lui faire la pire menace qui soit. Il savait, pourtant, que toute sa vie, le glaçon avait été abandonné par tout ceux qu’il avait aimés. Il savait à quel point ce sujet était sensible pour lui. Alors pourquoi se montrait-il si cruel envers son flocon? Déçu par l’attitude mesquine de son amoureux, le mage de glace s’était reculé contre le mur en attendant qu’il se calme, mais aussi, qu’il fasse son sacrifice.
Le temps passait beaucoup trop lentement pour River qui s’impatienta. Il fonça donc un peu la main à Edan pour qu’il fasse le sacrifice demandé, le sacrifice de sang. Pour accélérer un peu les choses, l’infirmier lui proposa de couper dans l’artère fémorale, une des principales artères du corps, lui disant même qu’il pouvait couper pour lui. Le dragon accepta, mais il sembla oublier où se trouvait cette artère. Après un bref rappel de l’anatomie humaine, son amour accepta de retirer son pantalon, mais pas son caleçon. « Dommage, j’aurai au moins essayé… », dit-il dans un sourire, sans cesser de mater son dragon. Puis, professionnel, l’infirmier tâta l’aine de Natsu pour trouver le meilleur endroit où couper. Ceci fait, il s’approcha, la lame de rasoir en main, et il fit une première incision. Il y avait un tout petit peu de sang, mais c’était parce qu’il avait coupé les vaisseaux sanguins superficiels. Il coupa encore, creusant la chair, pendant que son amour prononça son sacrifice. Puis, il atteignit finalement l’artère. Le sang se mis à couler abondamment et le combattant dut se concentrer pour ne pas se laisser hypnotiser par le liquide vermeil qui s'échappait du corps de son aimé.
Soudainement, River entendit Edan commencer une phrase qu’il n’arriva pas à terminer, perdant connaissance. Et pourtant, ce n’était pas fini, car le livre absorbait toujours plus de sang. Mais pour le Frost, c’était trop. Il revoyait ses parents, ses amis, Ul, tous ceux qu’il avait connus et qui étaient mort en le laissant derrière. Il serra les poings alors que ses muscles se contractaient. « Ah non! Pas toi aussi! T’as pas le droit de crever! T’as pas le droit de m’abandonner! », hurla-t-il dans une voix empreinte de colère, mais dont les tonalités trahissaient sa peur. Aussitôt, l’infirmier mit ses deux mains sur la plaie pour la compresser, ce qui devrait arrêter le sang. Il ne portait plus attention à ce qui se passait autour. Il ne voyait plus rien ni personne. Tout ce qu’il savait, c’était qu’il devait empêcher Natsu de mourir. Malgré ses manœuvres habiles, il n’y arrivait pas. On ne peut compresser une artère principale et s’attendre à ce que le sang s’arrête de lui-même. Il faut des point de suture. Le mage de glace avait été trop pressé de sortir de cette Maison pour penser à ce détail. Et par sa faute, son amour se vidait de son sang. Le pauvre glaçon poussa un hurlement déchirant sous le constat de sa propre incompétence. Il venait de tuer son dragon, son amour, son univers…
Une lumière aveuglante força River à fermer ses yeux alors qu’il maintenait la pression sur la plaie, sachant bien que c’était inutile. Lorsque la lumière disparut enfin, la première chose qu’il remarqua, ce n’était pas la forêt, ou encore l’ange. Il sentit à nouveau sa magie, la glace, qui coulait dans ses veines. Très rapidement, il concentra toute sa magie dans le bout de ses doigts et il sutura l’artère de son dragon avec de la glace. Évidemment, il aurait besoin de véritables points, mais au moins, il n’était plus en danger. Doucement, le Frost retira ses mains de la plaie qui ne saignait plus. Des larmes se mirent à inonder son visage alors qu’il passait une main tremblante dans les cheveux blond de son amour. « Je suis désolé… Je suis désolé… Ne m’abandonne pas, je t’en supplie… Je suis désolé… », répétait-il tout bas, les yeux rivé sur le visage blême de son dragon. C’est alors qu’une femme aux allures angéliques s’approcha d’eux et fit voler du sang devant elle. Le combattant releva la tête juste à temps pour la voir faire grossir les bulles de sang. Puis, dans un geste doux et fluide, elle envoya le sang dans le corps de Natsu qui ouvrit les yeux. Le combattant le serra aussitôt dans ses bras, déposant des milliers de baiser sur ses lèvres encore chaudes. « J’ai eu peur… Ne fais plus jamais ça! Je t’interdis de crever, tu m’as compris? Je ne le supporterais pas… », avoua-t-il, tout tremblant.
Lorsqu’il entendit Stanford lui dire qu’il devrait conduire son amoureux à l’hôpital, River acquiesça. « Oui… Pour l’instant, c’est la glace qui tient tout en place, mais il va avoir besoin de points de suture. » Ce n’est qu’à ce moment que le Frost releva la tête et remarqua l’endroit où ils se trouvaient. « Et, évidemment, il a fallu qu’on atterrisse à l’endroit exact où je n’avais PAS laissé ma voiture! Merde! » Un type à moto arriva alors pour venir chercher Cassandre qui ne se fit pas prier pour partir. Elle se laissa même porter comme une princesse. Bien sûr, c’était beaucoup plus important de ramener la fille que le type au bord de l’exsanguination.
Après ce départ sans un seul au revoir, River vit l’ange, qu’il identifia finalement comme étant Ema, se diriger vers Ali. Le Frost ouvrit grand ses yeux de glace. Il ne pouvait pas croire ce qu’il voyait. Ils flirtaient… Une fleur, puis un baiser, et un autre, et un autre… Mais c’était du grand n’importe quoi! « Excusez-moi! J’ai Edan qui est sur le point de crever, ici. Mais ne vous dérangez surtout pas pour nous, vous vivez un beau moment… », s’indigna-t-il dans un sarcasme parfaitement utilisé. Il vit alors Ema s’approcher de lui, toujours accompagnée de son prince. Méfiant, le mage de glace tenta de lui faire comprendre par un regard sombre qu’elle n’était pas la bienvenue. Aussitôt, la blonde leva les mains devant elle comme pour signifier qu’elle ne leur voulait aucun mal. Un démon de Zeref bienveillant, et puis quoi encore… Avec une plume de ses ailes, elle écrivit dans les airs en lettre de sang. « River, tu n’as pas à te méfier de moi. Jamais je ne ferait de mal à mon frère ou à celui que son cœur a choisi. », écrivit-elle avant de poser sur les deux mage un regard rempli de tendresse. Le glaçon ne répondit qu’en haussant un sourcil, plus que septique. Elle écrivit donc à nouveau. « Merci pour ta lumière. Je suis certaine que tu la retrouveras. Mon frère t’aidera… » Le combattant tendit alors la main pour prendre la plume qu'Ema lui donna avec un sourire timide. Il put donc écrire à son tour, suivant le même procédé. « Je n’ai certainement pas fait ça pour toi, connasse! » Il prit même la peine de regarder l’ange dans les yeux avant de geler sa plume et de la faire éclater en morceau.
Excédé, River reporta son attention sur son amoureux. Il l’aida à s’asseoir doucement en l’appuyant sur lui. « Je vais devoir t’amener à l’hôpital, mon bébé… Je vais te porter jusqu’à la route et on arrêtera une voiture… » Alors qu’il s’apprêtait à se lever, Edan lui fit comprendre qu’il voulait parler à Ema. Le Frost roula des yeux tout en soupirant, mais il ne voulu pas contredire son amour déjà affaibli. Il attendit donc bien sagement que la conversation entre l’ange et le dragon se termine avant de se lever.
Une fois debout, River aida Edan à se mettre sur pied, puis il le hissa sur son dos. Il jeta un regard à ses compagnons d’infortune, accompagnant celui-ci d’un mince sourire en direction de Stanford et Newt. Puis, lorsqu’il tourna la tête vers Ali, son regard devint sombre. Il allait payer, d’une façon ou d’une autre, tôt ou tard… Il payerait…
River se mit donc en route, trainant son boulet de 71 kilo sur son dos. Il marcha un moment avant de croiser enfin une route. Il déposa donc Edan au sol, le plus doucement possible, et il se rendit au milieu de la petite route de terre dans l’espoir d’y repérer une voiture. Après plusieurs minutes, il vit une moto arriver. Soupirant, le Frost s’écarta du chemin, sachant que ça ne valait pas la peine d’arrêter une moto pour les conduire à l’hôpital. Mais la moto s’arrêta quand même. Lorsque la femme qui la conduisait retira son casque, le mage de glace poussa un cri d’horreur. Il n’avait pas crié lorsque la Maison lui avait lacéré le dos, ni lorsqu’il avait du affronter sa plus grande peur. Il n’avait pas crié lorsqu’il avait subit le choc électrique ou lorsqu’il avait tué ses amis. Et pourtant, loin de toute cette horreur, il cria. « Erza! C’est pas ce que tu crois! », ajouta-t-il sans même savoir pourquoi. Queenie était énervée et quand la colère de la reine des fées se lisait sur son visage même le plus dur des démons pliait. Une soirée... Elle avait demandé qu'on la laisse tranquille une soirée et cela n'avait pas été possible. Tout allait bien dans le meilleur des mondes, le concert avait été génial, le cocktail à base de vodka et de fraise qu'elle dégustait était succulent tout comme les paroles charmeuses de Livio. Mais non ... il avait fallu qu'elle entende la voix de Grey hurler dans son esprit tout comme celle de Nastu, qu'elle sentait à l'article de la mort. N'ayant jamais fait passer son plaisir avant celui de ses camarades de guilde, elle n'avait pas hésité une seule seconde avant d'enfiler sa veste en cuir sur sa robe courte et moulante qu'elle avait sorti pour l'occasion, filant à toute allure en se fiant à ses sens particuliers. « Cinq secondes Grey... Tu as cinq secondes pour m'expliquer ce qui se passe » Tout en parlant, elle s'était approchée d'Edan pour voir son état. River ne savait pas quoi dire, quoi faire. Il ne pouvait tout de même pas dire à Erza qu’un démon des livres de Zeref se trouvait à moins d’un kilomètre d’eux. Titania foncerait vers lui et elle serait bien capable d’oublier le chasseur de dragon qui se mourait. Il se mit donc à entortiller ses doigts nerveusement. « Heu… En fait… C’est une longue histoire… Très longue… Mais ce que tu dois savoir pour l’instant c’est que l’artère fémorale de Natsu tiens uniquement grâce à ma glace. Il a besoin de points de sutures au plus vite. Je t’expliquerai tout plus tard, mais tu dois l’emmener à l’hôpital de toute urgence. » Au moins, ça lui laisserait le temps de trouver un mensonge crédible. Se massant nerveusement les tempes, Queenie avait la folle envie de foutre son poing dans la figure de River et de le forcer à tout dire, là, immédiatement... Or, comme il l’avait si bien dit, Nastu tenait grâce à lui. « Tss… » Sa langue claqua brutalement sur son palais alors qu'elle se relevait foudroyant le brun du regard. « Je vais chercher la voiture... Je me dépêche... » Elle ne voyait pas d'autres solutions dans cette situation d'urgence. Enfourchant son bolide, elle fit le chemin jusqu'à la guilde à une vitesse folle, se fichant des limitations, du code de la route et des autres automobilistes, heureusement peu nombreux a cette heure. Son cerveau analysait à toute vitesse, une multitude de questions s'entrechoquant. Changeant sa belle moto pour son 4x4, elle était encore plus dangereuse et tant pis si un accident arrivait… La vie de son ami était en jeu. Les mains crispées sur le volant, le pied appuyé sur la pédale d'accélération, elle fit un dérapage totalement contrôlé devant River, n'ayant mis même pas une quinzaine de minutes. Le laissant faire, essayant de se contraindre, elle lança un regard néanmoins inquiet à Edan, allongé à l'arrière. Celui qui avait fait ça devait être puissant... Sans dire un mot, elle prit la route, toujours aussi follement, le compteur prêt à exploser, tout comme elle d'ailleurs. « Je veux l'essentiel Grey ... Où tu finiras dans le même état que lui, mais de ma main... », le menaça-t-elle. River déglutit difficilement, puis il soupira. « J’ai essayé de trouver un mensonge qui ferait crédible, mais t’es pas assez bête pour pas voir la vérité. Alors oui, c’est exactement ce que tu crois… On s’est encore défié… Et pendant qu’il m’envoyait son attaque des serres du dragon de feu, bah, il avait la jambe levée et tout et moi, je pratiquais mon lancé de dagues de glace… Bref, je l’ai atteint dans l’artère sans le vouloir… Mais je te jure, Erza… C’était vraiment un accident! »