« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
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| Avatar : Madelaine Petsch
Who’s that sexy thing I see over there ? That’s me sending in the mirror. What's that icy thang hanging around my neck? That's gold, show me some respect.
| Conte : Cendrillon | Dans le monde des contes, je suis : : Anastasie
Lorsqu'Aaron sorti de sa pièce, River fut le premier à le féliciter d'avoir réussi et visiblement, personne n'avait l'air de comprendre le pourquoi de ce qu'il avait ramené. Le vieil homme lui demanda la permission de l'analyser afin d'essayer de comprendre son utilisation. Le blond lui tendit son morceau de cuivre sans chercher plus loin. Pour lui, ce n'était qu'une simple tige en cuivre, qu'il fallait juste garder jusqu'au moment propice. Réfléchir s'était pas trop son truc. Lui, il était plutôt dans l'action. C'est pour ça qu'il était appelé généralement, pour agir. Les autres se chargeaient bien assez des tâches ennuyeuses. Maintenant c'était aux autres de faire leurs épreuves.
Tandis les tourtereaux commencèrent à se battre pour ne pas que le petit chéri soit blessé, Aaron préféra s'asseoir au sol, le dos contre le mur et les jambes écartées, reposant ainsi ses coudes sur ses genoux en observant simplement la scène d'un air lasse. Heureusement pour lui, Cassandre avait opté pour une combi-short et non une robe, cela aurait été beaucoup plus encombrant pour lui de faire ce qu'il voulait avec ce corps qu'il ne percevait pas vraiment de la même manière. Il comprenait l'esprit de camaraderie des deux hommes mais leur scénette le fatiguait. Ils ne voulaient pas faire ce qu'ils avaient à faire et basta ? Dans le pire des cas il mourrait, c'était terrible, mais fallait bien que ça arrive un jour. Même si mourir ici semblait plutôt fâcheux. Pour l'heure, cette maison était comme une mission, ils avaient un but et ils devaient tout faire pour réussir. Alors les histoires de coeurs devaient passer au dessus, ils devraient savoir ça.
Edan réussit finalement à convaincre son amant de le laisser entrer. L'tait pas trop tôt. Mais si Aaron avait trouvé le temps long lors de leur dispute. L'attente pour qu'il revienne fut pire. Il avait besoin de bouger, il ne supportait pas attendre à ne rien faire. Bon, certains diraient que cela ne faisait que quelques minutes que le dragon était entré mais quand même ! Quand la perception du temps était ralentie c'était intenable ! Par chance -ou malchance- l'homme revînt en un seul morceau mais mal en point. Il s'évanouit dans les bras de son compagnon, ce qui fit littéralement perdre les pédales à River. Aaron continuait à regarder la scène du coin de l'oeil, la tête désormais reposait contre le mur lorsque le mage de glace commença à crier dans tout les sens. Il eut un rictus mauvais sur le visage lorsqu'il empoigna violemment le prince. Oui, il avait été lâche, il ne s'était pas comporté comme un véritable homme. Tout le monde avait des peurs, par chance, Aaron avait subit les peurs des autres personnalités et pas de la sienne, ce qui expliquait sa réussite plus rapide. Mais tout de même, comme Edan, un homme devait savoir prendre ses tripes. Il espérait sincèrement que l'arabe se rattraperait plus tard, sinon il ne donnait pas cher de sa peau dans cette maison.
Ce fut Stanford qui stoppa la fête. Dommage, Aaron commençait à s'amuser un peu, mais le vieux n'avait pas tort. S'ils voulaient vraiment sortir d'ici, ils devaient certainement s'entraider, comme un escadron. Newt réagit en premier, se dirigeant à son tour vers sa pièce, il voulait aussi repasser celle d'Ali. C'était...courageux, comme un véritable homme. Il regarda le dos de l'homme qu'il trouvait timide s'éloigner dans sa pièce. Le vieil en fit de même de son côté. Et le temps recommença à s'écouler longuement dans un silence pesant. River toujours aux côtés d'Edan, et Ali, semblant avoir un air pensif. Il soupira. Encore il fois il devait attendre.
Heureusement pour eux, les deux hommes ressortir victorieux, activant de nouvelles lumières à la porte du fond. Newt se décida alors à passer une seconde épreuve, communiquant à la maison à travers du sang. C'était étrange comme idée de communication mais soit, la maison semblait réagir. Aaron se releva, intriguait par ce qu'il se passait. Alors comme ça il ne fallait pas seulement se sacrifier pour une nouvelle épreuve mais aussi la chose la plus précieuse ? Cette maison aimait décidément emmerder les honnêtes gens. Mais encore une fois, le criquet fut héroïque et brisa son appareil photo qui lui semblait jusqu'à lors si précieux à ses yeux. C'était un bel acte, pensa-t-il. Il le regarda pénétrer dans la pièce d'Ali, mais pouvait-il vraiment le laisser aller seul ? Après tout il se sacrifiait, et si la maison changeait la pièce d'Ali pour une autre peur ? Aaron n'aimait pas réfléchir mais là c'était plutôt intriguant, il n'aimait pas laisser un camarade qu'il estimait dans une impasse. Et puis au moins il bougerait, il n'aimait vraiment pas rester les bras croisés ici.
Aaron s'entailla la paume de la main, afin de communiquer de la même manière qu'il avait vu faire avec Newt.
- Je passerais aussi l'épreuve. On ne peut pas laisser seul un camarade.
- Quelqu'un doit sacrifier ce qu'il a de plus précieux pour te permettre d'entrer.
Evidemment, il fallait que ce soit le même dilemme. Seulement Aaron avait beau réfléchir, il n'avait aucun objet sur lui auquel il tenait. A part le corps de Cassandre, s'il lui coupait un doigt ou lui rasait les cheveux, les autres personnalités lui en voudront toute sa vie. Même si chacun avait sa propre perception de ce corps, ce qui était fait et face aux autres dessus pouvait être visible. Cassandre ne le supporterait pas. Comment pouvait-il faire ? Devait-il renoncer à entrer et aider Newt ? Ou devait-il tout de même sacrifier quelque chose de son corps ? Après tout des cheveux repousser ? Mais pour une image publique cela n'était pas vraiment recommandé... Mince que devait-il faire ? Aaron. Ce n'est pas obligé d'être nous. Mais oui ! La maison parlait d'un sacrifice ! Pas de son sacrifice particulièrement. Il se retourna alors vers les autres.
- Non, attendez, il est peut-être préférable que ce soit moi.
- Je ne suis pas sûr de ça. A votre âge il serait préférable de vous ménager sur ce genre d'affaire. Laissez nous faire. - D'accord. Qu'il en soit ainsi. Simplement, il te faut un objet à sacrifier pour entrer dans cette pièce. C'est le prix que demande la maison. Répondit-il dans un soupir avoir mordu ses lèvres, hésitant. - C'est bien ça mon problème. A part mon corps, je n'ai aucun objet de valeur ici.
Ali s'interposa entre les hommes, lui tendant un bracelet de cheveux roux tressés. Qu'est ce qu'il allait faire de ça ?
- Tenez, même si je n'accepte pas les comportements de certains envers moi parce que je suis un incompris, Stanford a raison, il faut travailler en équipe et vu que c'était mon épreuve je vous donne une part de moi qui devrait satisfaire la maison.
Bon, au moins il remontait un peu dans son estime avec cet acte. Bien. Si cela suffisait, il était prêt à de l'action ! Ford prit le bracelet et le brûla à l'entrée de sa pièce contre les barreaux brûlants. Les cheveux prirent pratiquement aussitôt feu et il jeta le bracelet au sol et rejoignit le groupe.
- Le sacrifice est fait. - Alors la maison, c'est bon ? - Ce n'est pas ce que tu possèdes de plus précieux, ne nous mens pas. Écrivit de nouveau la maison dans un message de sang.
Ah super ! Il n'était même pas fichu de donner un objet qui était très précieux à ses yeux. C'tait bien leur veine ! Ali sorti une photo d'un enfant qu'il avait dans l'une de ses poches et la déchira. Apparemment, cela fonctionna puisque la maison accepta de lui ouvrir la porte. Enfin ! Tout ça pour une histoire de sacrifice et d'épreuve franchement il fallait pas grand chose pour les faire tourner en bourrique.
Aaron pénétra dans la pièce, rejoignant ainsi Newt. Il se retrouva rapidement au bout d'un quai, un boulet de fer noir rattaché à une chaîne était posé sur le bord et semblait attendre quelqu'un. Enfin, du moins la cheville de quelqu'un. Aaron n'avait jamais expérimenté ces prisons mais le boulet lui rappelait vaguement cette ambiance.
- J'suis v'nu t'aider.
Il se pencha au dessus de l'eau, examinant ce qui pouvait s'y trouver. Visiblement, il n'y avait pas de piège à proprement parlé, juste... de l'eau. Aaron distingua au fond du lac une lumière verte, qui clignotait comme lors de son épreuve. Bien, ils allaient devoir plonger. Ce que fit aussitôt Aaron sans prévenir son partenaire. Quant il sauta dans le lac, l'eau lui brûla le dos à cause du sel. Elle était même tellement salé que son corps flottait, l'empêchant de plonger correctement. Il se redirigea vers le quai, attrapant la chaîne du boulet.
- On flotte. On va avoir besoin de ça pour couler.
Il attendit cette fois-ci que Newt le rejoigne afin de s'enfoncer à plus de 10 mètres dans l'eau salé. Tandis que l'un éteignit le bouton, l'autre récupéra la barre en fer, plantée juste à côté dans le sable. Ils se séparèrent du boulet une fois la mission accomplit, remontant ainsi plus vite grâce au sel que s'ils avaient nagé d'eux même. Aaron remonta en premier, suivit de Newt.
- Une bonne chose de faite. Plus qu'une.
Le criquet lui sourit en même temps qu'il lui sera la main.
- Merci. - Mmf. Répondit Aaron dans un sourire qu'il lui donnait en retour.
Newt remit sa veste et ils sortirent ensemble de la pièce. Ayant désormais allumé la quatrième lumière de la porte.
- L'épreuve est faite. Maintenant River tu devrais déjà faire la tienne avant de demander aux autres.
Plus qu'une épreuve et ils pourraient changer de pièce. Plus qu'une épreuve mais qu'est ce qu'il pouvait bien se cacher derrière cette nouvelle porte ? Allait-il devoir changer sa place pour laisser le cerveau du groupe reprendre le contrôle ? Peut être. Il serait toujours là en cas d'action de toute façon.
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Ali Nacer
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| Avatar : ❤Deniz Akdeniz❤
| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
☾☾ Après quelques péripéties pénibles pour le cerveau. Le genre d'ambiance lourde qui vous donne qu'une envie vous déconnecter de la réalité. Pour vous empêcher soit de buter tout le monde ou vous mettre fin a vos jours, avec ce que vous avez sous la main. Parce que vous êtes plus capable de vivre avec vous -meme ou avec les autres. Je décidais donc de m’asseoir pensif dans un coin du couloir.
Loin de tout le monde ! Je ressentais le besoin de fuir, et penser égoïstement a moi Pourquoi ? Parce qu'avant de faire équipe et de vouloir sauver la vie des autres, Comme voulait Papa Ford. Et redevenir le héros du conte de fée. C'était impossible pour le moment ! Je devais me sauver : Moi. Pourquoi ? Parce qu'un homme qui erre comme une goule appartenant a son frère , attendant juste qu'on l’achève. Ne peut pas aider personne !
J'avais aussi besoin de faire le point sur ma vie. Et de savoir ce qui m'empêchait d'être le Prince dont tout le monde avait une version différente de mon reflet actuel . Il avait tant de raisons pourquoi je n'étais plus celui que tout le monde voudrait que je sois ...
Pourquoi ? Nous sommes plus dans ce conte de fée, que tout le monde a vu.Mais dans une version dont certains événements, ont fait que je suis devenu un homme différent, du beau voleur costumé en Prince, au coeur pur et qui avait le coeur qui battait que pour une seule femme. Ce prince là était du passé a cause de son vécu ,après la malédiction. Des rencontres, des étiquettes qu'on lui mettait sans savoir le fond de vérité. Si un jour, ce prince devait refaire surface, quelques souvenirs devront etre effacer pour changer le cours son histoire.
Mais vu que je me sentais comme un incompris pour l'équipe et que celle-ci ne connaissait rien de moi, et ne voyait que le déguisement du Prince.Et non ce qui avait au fond du coeur. Un coeur qui n'était plus aussi pur qu'autrefois. Un coeur qui souhait redevenir aussi brute d'autrefois. Mais pour y arriver il devait combattre ses démons intérieurs. Le seul être qui connaissait vraiment ce Prince était cette maison.
Alors, Pendant que River s'occupait de son ami. Que la rouquine et le photographe étaient parti faire les héros dans l'épreuve qui m'était destiné. A cause que j'avais sacrifié une mèche de cheveux de Laureline et une photographie de Kenza, l'une de mes enfants. Que Stanford,avait quelques blessures, mais que même cela n'allait pas l’empêcher d'étudier la maison.
Moi j'allais me mutiler pour communiquer avec cette maison qui avait une âme. Qui me faisait penser a Shadow. Un entité, creer par Chaos , un chat qui avait fait un marché dans le passé avec le Roi ombre de Netherworld. Un des royaumes d'Agrabah. Mais ce marché c'était quoi ? Pourir ma vie en faisant de Shadow, mon ombre. Un compagnon qui te suit toute ta vie. Et qui c'est tout de moi dans les moindres détails . Parce que c'est moi dans une autre version plus maléfique. Parce que plusieurs versions de ce Prince existent, tout dépend de comment on veut le percevoir. Mais cette maison quelle version de nous a t-elle ?
Pendant que j'étais plongé dans mes pensées tout en vidant le contenu, de mes poches. Meme les poches secrètes. Parce que quand on est cleptomane comme moi, on a besoin d'une tonne de poches, pour cacher certains artefact qui n'ont peut etre aucune valeur aux yeux des autres, mais pour moi : oui. Meme un simple trombone peut être précieux. Après avoir trouver l'objet qui me fallait : une lame de rasoir. Je remettais mon contenu de poches dans mes poches ou autre cachette ou je cachais des choses. Que j'avais une vraie caverne d'Ali Bababa vivante!
De ma lame de rasoir, je m’entaillais la peau. Visage crispé, je me mordillais la lèvre pour m’empêcher de faire un son qui pourrait alerter une présence. Surtout celle de Papa Ford qui voudrait me protéger de souffrir comme ceux qui me couvaient. Parce qu'entre vous et moi, c'est moi qui a souffert le moins dans cette maison physiquement. Parce que mentalement, c etait pas le cas ! Je regrettais que le photographe ai dut sacrifier son appareil photo pour moi ,parce que c'était mon épreuve a moi. Je regrettais aussi d'avoir voulu abandonné ce qui me tenait le plus a coeur : ma progéniture. Et d'avoir fait de la peine au dragon, qui semblait avoir vécue une histoire d'un pere qui l'a abandonné. Je ne voulais pas enlever le pansement de sa plaie émotionnel . Et le faire saigner de nouveau, enfin vous comprenez la métaphore, lui faire ce souvenir douloureux a la surface.
Mais que voulez-vous ? Moi je ressemblais peut-etre plus a Cassim, mon pere biologique. Meme si je ne veux pas me l'avouer et le nier. Et pour River,meme si il aurait pu réagir une façon différente envers moi. Je ne pouvais pas lui en vouloir, d'avoir voulu devenir ''ma pom-pom girl'' et me donner du courage pour que je fasse mon épreuve qu'une manière héroïque, mais je n'avais pas pu le prouver que j'en étais capable. Parce que les gens me croyait incapable de prouver ma valeur. Et d'avoir confiance en mes capacités héroïques. Et Incapable de croire que je peux redevenir le Sauveur. Le Prince de cette première version de moi, celui du conte de fée.
Donc pour prouver ce courage, me mutiler était ma solution miracle. Parce que peut-etre que si j'aurais fait mon épreuve, j'aurais trouvé la motivation dans les profondeurs de l'Océan, en me souvenant la cause de mon courage : Une Princesse !
Me Mutiler, ce n'était pas la première fois que je le faisais, parce que je l'avais fait pour me souvenir de Midnight. Garder un souvenir de ce qu'elle représente pour moi : Une Princesse a mon coeur. Donc pour motivation pour retrouver la version du Prince du conte de fée.
Me Mutiler était ma méthode de me faire pardonner mon comportement, retrouver mon sens du sacrifice et montrer que j'avais envie d'etre aussi courageux qu'autrefois. De retrouver l'aventurier, qui combattait des monstres, et de puissants sorciers. Et qui savait se faire des amis facilement. Sourire a la vie malgré le drama de celle-ci. Non devenir cette banshee dont j'étais déguisé pour Halloween! Mais aujour dhui il me fallait me laisser le temps de réagir. Il faut comprendre qu'on doit me secouer un peu et qu'on m"encourage ,meme si pour ca je dois manger une droite en pleine tronche de la part de River ou qu'un dragon doit me faire la morale. Parce que je n'avais pas besoin qu'on me sauve, en faisant faire mon preuve a ma place. Parce que j'étais un survivant. Jusqu'a maintenant j'avais bien survécu tout seul, en comptant que sur moi-même , quelques capacités et l'espoir de connaitre cette phrase: Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants dans leur palais.
Il fallait donc comprendre, que malgré mon jeune âge , je ne ressentais pas le besoin de me faire materner. Zena ma mère était morte. Elle était irremplaçable. Parce que ma mère a été mon premier amour. Et le premier amour c'est le plus important . Donc avoir une mère fictive, pour me couver, je n'avais connu ça. Et je n'en ressentais pas forcement le besoin. J'avais du prendre mes décisions moi meme pour vivre. Et je voulais que ca continue. Mais on avait mal interpréter mes signaux corporels . Parce que je n'avais pas refuser faire mon épreuve. Newt avait voulu jouer le role de ma mère, et m'avait couver comme un bébé, pour le protéger de son démon. Mais si on faisait cela chaque fois, pour moi. Le petit bébé ne va jamais grandir , évoluer. Mais vu que je devais devenir un homme pour pouvoir devenir par la suite un Papa .
J'étais en désaccord avec cet acte héroïque, parce que c'était moi a combattre mes démons intérieurs pour pouvoir changer. Devenir une personne que je vais aimer. Parce que je me sentais en ce moment ,comme le vaurien qu'on avait pousser dans la boue, croyant que j'étais qu'un faible incapable de s'affirmer. C'était pour cette raison que la maison, me donner les réponses que je cherchais pour devenir le Prince du conte de fée, celui qui avait le courage de combattre Jafar, pour sauver la Princesse qui me mènerait vers une meilleure version de moi.
Après une longue réflexion sur moi-même, je laissais couler mon sang le long de mon visage. J'avais décidé de réouvrir cette cicatrice, qui symbolisait Mina. Pourquoi ? Pour etre plus intime avec la maison. Vu qu'elle aimait ce qui était précieux. Ré-ouvrir une plaie qui représente un démon intérieur devrait lui plaire. Quelques gouttes tombaient sur le sol. D'un doigt, je gravais : Je veux te parler maison. Mais la blessure ne fournissait pas assez de sang. Vu que j'étais toujours torse nu, je décidais de m'entailler le torse. A l'emplacement de mon tatouage ou j'étais écris le prénom de mon épouse : Jasmine.
Pourquoi ? Parce qu'elle était responsable de l'etre que j'étais devenu. Je me penchais, appuyant sur ma plaie pour faire dégouliner le sang de nouveau sur le sol. Poussant un petit gémissement de douleur, c'était a ce moment là que Stanford lèvait les yeux de son journal et voyait ce que je faisais . Il referme son journal et s'approchait de moi , en posant un genou à terre pour être à sa hauteur. "Ali.. À quoi est-ce que tu joues ?"Je ne joue pas, je me confie. Il prenait ma lame qu'il me confisquait, comme un père qui confisquait le jouet de son enfant, pour le punir d'une mauvaise conduite. Il rangeait la lame dans sa poche puis reprenait : "Ce n'est pas une solution de se mutiler plus que ce que la maison nous fait déjà subir. Tu vas perdre beaucoup trop de sang alors garde-en pour la suite. C'est un piège que de trop parler à cette entité... Qui sait combien de litres elle nous fera perdre par la suite ?" Le sang n'est que le prix a payer, pour avoir ce que je souhaite. Et souhaiter a toujours un prix. Mais qu'est-ce que je souhaitais au juste ? Devenir un homme meilleur, pour devenir un papa exemplaire pour mes bébés. Parce qu'Edan avait raison, je ne pouvais pas faire preuve de lâcheté et les abandonner.
Dans mon sang, je gravais une question :Maison, je voudrais savoir pourquoi nous avons été choisis pour vivre tout ce que tu nous réserves ?C'est pour vous aider... Vous avez besoin de moi! Vous devez changer. La maison avait raison. J'avais besoin d'" elles'' , pensant a toutes ses démones au sens figurée, pour changer. Le message s’effaçait. Continuait de jouer dans la marre de sang. Je lui posais une autre question : Qu'est ce que je vais devoir accomplir dans la maison pour changer ? La maison répondait : Affronter la peur, surmonter la douleur et faire le choix de vivre. Pour affronter mes peurs, j'ai besoin d'etre hanter par les souvenirs fantômes . Pour surmonter la douleur, je dois croire en ce qui me sauvera, et qui m'a toujours sauvé. Pour vivre, je dois vouloir accepter ce qui m'a mené a ma perte.
Je continuais ma conversation avec la maison sous les yeux de Stanford. Est-ce que tu comptes me faire revivre ma peur pour que je l'affronte ? La maison répondait : Tu affronteras une peur plus grande encore. Je connaissais déja la réponse a cette question . Comme a chaque fois, le message disparaissait ca laissant que Stanford en témoin. Et je le laisserais aborder ses théories au reste du groupe.
Parce que tout ce que je voulais en attendant que la porte s'ouvre, c'était une confidente et essayer de comprendre cette version de moi a travers les yeux d une autre âme. Parce que la maison veille sur nous..Comme Belle veille sur sa Bete pour vaincre la malédiction du monstre. Pour qui redevienne le Prince Charmant du conte de fée.
Pendant encore un moment, je me confiais a la maison, que je commençais a apprécier plus que mes compagnons d'aventures. Parce qu'elle me redonnait l'espoir que j'avais perdue. pour retrouver la lumière pour faire fuir la noirceur. Voulant savoir ce que les autres pensaient de moi a travers la maison. Je lui posais cette question : Dites moi tous les defauts que je dois ameliorer pour devenir un homme meilleur ? Cesse de fuire, cesse de te morfondre, bats-toi pour vivre". La maison était de bons conseils. Agissait comme une amie. Elle était a l'écoute et conseillait d'un manière si sereine , que je me sentais apaiser par ses mots. Hypnotiser par sa sagesse, parce qu'elle avait réponse a tout. La maison était comme cette boule noire, que quand tu la secoues, elle te révèle une réponse.
Comment je peux faire pour me faire pardonner aupres des autres pour etre un lache ? Admets tes tords, écoute leur colère, répare les relations. Avant que Stanford remarque ma dépendance pour la maison. J'avais eu le temps d'écrire ma dernière phrase a moitié : Qu est ce qui se cache derriere ? Stanford me stoppait en prenant ma main.
« Ça suffit. Tu te fais du mal, Ali... » Sur un coup de tête : - Père , Ce qui me fait le plus mal ce n'est pas la maison c'est ce poison qu'on appel Princesse. Stranford soupirait : "Ali, cette soirée est rude pour toi, je peux le comprendre. Tu as cru perdre ta femme, tu as eu deux nouveaux-nés adorables - je suppose - puis soudainement tu te trouves enfermé dans une maison qui ne sait décidément pas ce que c'est que d'aider quelqu'un et n'a pas du voir grand monde depuis longtemps. Ce que je veux dire par là c'est que... Elle n'est pas une princesse ensorcelée comme... Comme je ne suis pas ton père. Tu peux voir Stanley comme tel et je suis toujours très heureux que tu m'appelles Oncle Ford... Simplement, ce n'est pas comme si c'était officiel. Tu comprends ?" J'écoutais le discours de Stanford : - Si c'est officiel, vous avez signé le contrat, d'etre officiellement mon père, en plus vous etes grand pere vu la naissance de mes jumeaux, a cause de mon enfant avec ma sorcière bien aimée . En signant ce contrat vous devez assumer toutes les responsabilités que mon pere n'a pas voulu assumer. Si vous rompez ce contrat selon la loi Agrabanaise, vous risquez votre tête. Si vous voulez je peux vous sortir le contrat il est dans le bordel de mes poches. Si vous voulez jeter un coup un oeil. Avez vous vos lunettes par contre ? Stanley est pour moi le reflet de moi meme quand j aurais son age..Ayant capter son attention , j'en protitais De mon autre main, pour terminer ma phrase .. La porte : Rien d'autre que la douleur me répondait la maison.
- Et Pourquoi la maison ne pourrait pas etre une princesse ensorcelée ? Après tout son but c'est de faire de moi , un Prince charmant. Une princesse a besoin d'un Prince pourquoi ? Pour la sauver, mais vu que je suis un Dijinn, une créature démoniaque attirée par les ténèbres. Je dois vaincre ma malédiction..Comment on sauve une Princesse ensorcelée et une bête qui a été hypnotiser par une enchanteresse, ? Parce que j'en est connue une, je l'ai aimer et elle m'a brisé depuis ce jour, je suis séduis par la luxure, et non par l'amour. J'ai du mal a m'engager qu'a une seule princesse. Mais je dois rompre le sort avec un baiser d'amour ? Donc pour vaincre ma part d'ombre , a cause du charme de cette sorciere. je dois etre sauvée par l'amour. L'amour peut refléter pleins de visages. J' expliquais a Stanford ma théorie de la Princesse du baiser magique qui sauvera peut-etre tout le monde si on sauve la maison-Princesse.
Puis je regardais le message de la maison en réfléchissant encore et encore..Parce que j'étais en train de faire un travail sur moi-même. Il faut bien passé le temps pendant que les autres sont occupés a soigner les blesser ou a jouer aux héros.
Pensif, je pensais a cette douleur prédit, une douleur que je vaincrais avec ce pouvoir qu'on surnommait Princesse ! C'est ce moment là , que la demoiselle et le photographe sortaient de l'épreuve. Je me levais, puis je m'approchais d'ou avec cette phrase en tête. Admets tes tords, écoute leur colère, répare les relations. Je me stoppais devant eux en leur disant: Oui j'ai fait preuve de lâcheté je m'en excuse , Oui vous etes en colère contre moi parce que tu as du sacrifier ton appareil photo. Si tu veux , je demanderais a ma maîtresse d'exaucer un souhait pour toi, en t'offrant l'appareil de tes rêves. Par contre , je veux affronter mes démons tout seul comme je l'ai toujours fait. Donc je désapprouve votre attitude héroïque, pourquoi parce que je veux etre le héros de ma propre histoire.. Puis je continuais mon chemin, en m'isolant encore une fois de tout le monde, pour courtiser cette Belle maison , qui etait en train de devenir une Princesse a mes yeux, parce qu'elle voulait me sauver. Elle voulait faire de moi un Prince Charmant.
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CODAGE PAR AMATIS
Edan Sparkles
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| Avatar : Dougie Poynter
" J'ai le swag comme ça!"
''Attend-moi, Flocon, je viens te rejoindre...''
''Ah oui? :gnia: :gnia: :gnia: :gnia: '
| Conte : Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : Natsu Dragneel
Edan était revenu, mais dans un sale état, comme s'il avait affronté un puissant ennemi et comme d'habitude, c'est avec un sourire qu'il revient. Sa respiration était saccadée et sa voix faible, les nombreuses coupures profondes, ainsi que sa phobie des seringues l'ont fait perdre connaissance dans les bras de River. Inconscient dans le noir, une odeur lui chatouille tout de même le nez, une odeur de renfermer et de sang. Il y avait une autre odeur, mais elle était moins forte que les autres et pour le chasseur de dragon, il lui était impossible de définir cette dernière odeur. Puis un bruit métallique détourna se fit entendre, ça résonner dans sa tête et une nouvelle odeur de griller se fit sentir. Au bout de plusieurs longues minutes, le pompier fronça ses sourcils et ouvrit ses yeux. Le premier visage qu'il voit, c'est celui de son flocon qui lui caresser ses cheveux blonds, puis un autre visage près de lui, les traits étaient plus vieux et le seul qui correspondait à cela, c'était Stanford, le gars qui à tirer sur la maison... Était-il plus fou que lui ? Non, vu qu'il faisait preuve de déduction par rapport au blond qui foncer droit devant lui sans penser aux conséquences. Le pompier tenta de se lever trop brusquement, c'est alors que River et Stanford l'empêche et le remette coucher. La tête sur les cuisses de son amour, Edan senti de l'eau sur ses joues, son regard se posa vers le visage du mage de glace, des larmes perlaient sur ses joues. le mage de feu porta une main sur le visage de son petit ami et essuie ses larmes avec son pouce.
" Je n'aime pas te voir ainsi. " Il garda sa main sur la joue pendant que River continuait de caresser ses cheveux. "Je tiens ma promesse, je ne t'ai pas abandonné.... Je suis résistant." Il met ses deux mains derrière la nuque de River et l'oblige à baisser la tête. Leurs lèvres se touchent et Edan l'embrassa. Il mit fin au baiser, car quelque chose le dérange et humée l'air ambiant. L'odeur de cochon grillé est toujours présente et c'est une odeur qui le gène, car son odorat est très développer, en fait toute odeur forte est un vrai calvaire pour son nez.
" Qui à fait brûler un cochon ici, ça put....limite je préfère l'odeur de la maison, mais c'est la tienne que j'aime par-dessus tout." Edan regarda autour de lui et remarqua qu'il n'y avait plus que Stanford, Aladdin, River et lui. Il ne voyait plus Cassandre et Newt, l'ancien amant de son amour " Où, sont les autres ?" On lui répond qu'ils sont partis passer l'épreuve du prince, ils ont demander la permission de la maison. Cette dernière accepte à condition de payer une contrepartie, il fallait sacrifier ce qu'on a de plus précieux. Mais comment ont-ils pu communiquer avec cette entité, d'un air interrogative, il interroge le mage de glace qui lui répondit. " okay... Donc les messages ensanglantés sont le seul moyen....C'est glauque... Mais bon, on ne peut pas juger."
Le chasseur de dragon voulut se relever, mais il sentit qu'on l'empêcher encore une fois. "Je veux communiquer avec elle. Si vous ne voulez pas me relever, redresser moi afin que je sois assis." Une fois assis, Edan réfléchit un instant à comment il allait communiquer. Se mordre le pouce pour saigner était une bonne idée, mais son compagnon l'aurait empêché. Il regarde ses bras et remarqua que sa régénération était au ralenti et que du coup du sang encore frais stagnait dans les coupures. Il prit avec ses doigts le sang et sur le sol en béton, il écrit sa première question. Une question personnelle pour commencer : " [color=#FE1B00]Pourquoi m'as-tu dit que j'étais un démon ?[color]" Chaque lettre s'inscrites dans le sol et commencent à disparaître, puis une réponse fit son apparition. "C'est ce que tu es. Tu es comme moi. Un démon..." ce fut un choc pour le blond, il secoue la tête de droite à gauche. Il n'avait pas le souvenir d'être un démon, sa famille n'était pas des démons. Son père était un dragon...Dragon et démon ce n'est pas pareil. Edan se mordit les lèvres et recommença à écrire, car il voulait contredire le message de la maison.
" Tu te trompes, je ne suis pas un démon. Mon père est un dragon et il s'appelle Igneel." Encore une fois, son message fut absorbé et un autre apparaît. " Ton père n'est pas un dragon. Ton père est un mage. Cherche la vérité, mon frère.'' Natsu les yeux rivés sur le message, serra ses dents, il tremblait de tous ses membres. Comment la maison peut-elle lui dire qu'Igneel n'était pas son père... Ses souvenirs sont bien réels et c'est Igneel qui lui a tout appris. Il était près à écrire que c'est faux, qu'elle mentait. Mais une main froide l'empêche d'écrire ses mots, Edan releva sa tête vers River qui doucement lui conseille de tenter autre chose. " Elle ment... Mon père est un dragon...Ce n'est pas parce qu'il a disparu un jour que ce n'est pas mon père." C'était la seule personne présente entre ses murs qui savait que de parler de son père, le faisait souffrir. Il sentit des bras autour de lui et son visage se colla sur le torse du mage de glace. Le chasseur de dragon sourit. "Ton odeur de neige et de sapins me réconforte."
Suivant son conseil, Edan s'éloigna un peu de son amour, mais resta à côté de lui et encore avec son propre sang, il lui demanda. : " Pourquoi nous as-tu choisi ?" Aussitôt le message s'efface et elle répondit la même chose qu'à Ali: "Pour vous aider... Vous avez besoin de moi! Vous devez changer."
Le blond regarda les personnes qui étaient présente, c'était un peu le même message que ford à eu peu de temps après qu'il est tiré sur la demeure qui se dit être un démon. Un autre message écrit avec le sang du mage de feu: "Pourquoi penses-tu nous aider ?" Et une autre réponse. "J'ai été créée pour aider. Je dois renforcer vos liens entre vous. De la peur, de la douleur, de la soif de vivre découle de l'esprit d'équipe. Je vous apprends à vous entraider, à vous faire confiance. C'est ma mission." C'est une drôle de manière d'aider les gens et de dire que c'était sa mission, mais bon, au moins elle répondait à ses questions. Edan s'arrêta là, peut-être que d'autres questions viendront par la suite. Mais une question reste quel lien les réunis ? Edan n'en voyait pourtant aucun sauf pour River et lui qui font parti de la même guilde, mais les autres ? " Esprit d'équipe... On doit agir comme une équipe. Et une équipe... Prends soin de chaque membre." Il se retourna vers son amour. " Un peu comme Fairy Tail...Si une personne s'en prend à notre famille, on fait de lui notre ennemi et on protège toujours les membres de notre famille...Faut faire comme ça... Rester unis et jamais abandonner....si une personne est à terre faut l'aider à se relever."
Il baissa la tête, c'était facile à dire quand on connaît les personnes...Mais quand on ne les connaît pas, c'est plus dur. Il se retourne vers Ali et Stanford.. " Je crois que pour sortir, on va devoir un peu se dire des choses sur nous." C'est à ce moment-là que Cassandre ( Aaron) et Newt refont leur apparition avec la tige de fer. Puis River décide de faire son épreuve, inquiet Edan le suivit jusque devant sa porte. Le mage de glace essaye de le rassurer, Edan fit un petit sourire et enlaça son flocon. " Pour te donner du courage...pense à ma chaleur... Lorsque tu reviendras, t'auras un autre câlin." Le mage de feu regarda River partir vers sa mission, puis il se retourna et vit Ali, qui s'est éloigner des autres. Il s'approcha alors de lui. " ....Aladdin c'est ça ? Si on veut sortir, tous d'ici faut qu'on reste souder. Je sais qu'on est parti sur un mauvais chemin, mais c'est mon petit caractère, il ne faut pas que tu te sentes visé. Il faut qu'on se parle tous et qu'on forme une véritable équipe...Faut qu'on apprenne tous à se connaître et ne pas être isolé... Relève toi...Montre nous qui est le plus fort." Certes, il avait entendu les paroles du prince et il avait souri montrant sa confiance. " Alors je te fais confiance."
Il attend que le prince réponde ou qu'un autre prenne la parole tout en regardant la porte de River. " J'ai confiance en lui. Nous venons du même monde et nous faisons partie de la même guilde. La meilleure de tout Fiore, même si les coups ont été durs, on a jamais renoncé... Il va vite revenir." Même si les choses vont mal, Edan voit toujours les bons côtés et les faisait partager avec tout le monde.
’’If I needed someone to control me If I needed someone to push me around I would change my direction And save myself before I drown….drown’’
River était dans un état second, il n’était plus lui-même. Il avait si peur de perdre Edan, si peur que ce soit sa faute, lui et sa malédiction. Pourtant, il ne lui avait pas dit les mots. Il n’avait pas dit ‘’Je t’aime’’ à son dragon, et il s’était juré de ne jamais prononcer ces mots, ceux qui avait le pouvoir de déchainer le malheur sur lui. Alors pourquoi la vie s’acharnait-elle à lui enlever tous les gens qu’il aimait? D’abord ses parents, ses amis, puis sa mère adoptive. Puis, à Storybrooke, il n’avait dit ‘’Je t’aime’’ qu’une seule fois, une seule et unique fois. Mais Newt ne l’avait pas entendu, et il l’avait abandonné. Tout ceux à qui il avait dit ces mots, avaient fini par le laisser seul. Certains étaient morts, d’autres étaient tout simplement partis, mais le résultat restait le même. On l’abandonnait, encore et toujours. Cette fois, avec son dragon, il avait fait attention. Il n’avait rien dit. Et pourtant, la Maison tentait de l’arracher à lui. Le Frost avait hurlé toute sa colère, sa peur, son désespoir. Si Aïsha avait été là, il aurait pu lui reprocher les blessures de son amour, elle qui avait prononcé les mots pour lui. S’il mourait, elle mourrait aussi, il s’en faisait la promesse.
Prit d’une rage bouillonnante, River s’était rué vers Ali, le seul ‘’coupable’’ qu’il avait à porté de main. Lui qui ne voulait pas passer son épreuve alors qu’Edan s’était sacrifié pour eux… Une main sur sa gorge, il avait plaqué le prince contre le mur tout en lui crachant toute sa haine au visage. Newt et Stanford vinrent s’interposer entre Ali et lui, obligeant le Frost à lâcher le cou de l’homme. Le mage de glace se recula, sans rien perdre de sa rage. Le vieil homme commença à le sermonner, lui rappelant l’importance de rester soudés et de ne pas se diviser. « Écoute, grand-père… Je n’ai jamais eu de père pour me faire la leçon, alors ce n’est certainement pas toi qui va commencer, aujourd’hui. Je n’ai aucun problème à rester soudé, mais n’oublie pas une chose : Une chaine n’est aussi solide que son maillon le plus faible. Et je ne vais certainement pas laisser un maillon faible nous entrainer dans sa chute avec lui. », dit-il d’un ton dure et glacial. Puis, il entendit Newt, s’adressant à la Maison, dire qu’il était prêt à passer son épreuve une deuxième fois pour éviter au prince d’avoir à le faire. Le combattant, pouffa de rire. « Attends… Toi? Tu vas passer deux épreuves? Laisse-moi rire! » Newt lui assura qu’il ne fuyait plus et qu’on pouvait lui faire confiance. Le glaçon s’approcha de son ancien amant dans une pose d’intimidation. « Tu n’es qu’un pauvre petit criquet apeuré et tu le seras toujours. Un pathétique petit insecte… », lui dit-il d’un ton calme, mais froid. Tout le monde semblait vouloir protéger Ali, alors qu’il en soit ainsi. « Si Edan meurt, tu seras le suivant. C’est une promesse… », dit-il au prince avant de quitter le joyeux trio pour rejoindre son amoureux.
River s’assied au sol. Il releva doucement la tête d’Edan pour la poser sur ses cuisses. Il ne savait plus ce qu’il devait faire pour l’aider. Il regardait, avec une douceur contrastant avec sa précédente rage, les yeux fermés de son amour, espérant les voir s’ouvrir. Il avait posé une main sur la poitrine de son dragon, car la sentir se soulever et s’abaisser au rythme de ses respirations l’apaisait. De son autre main, il caressait doucement ses cheveux blond. Newt émit la suggestion que le mage de glace utilise sa magie pour soigner le dragon. Il soupira, mais Stanford répondit pour lui. La Maison bloquait leur pouvoirs, alors tant qu’ils en étaient prisonniers, il ne pouvait rien faire. Stanford observait Edan et il prit même son pouls. Le glaçon le laissa ausculter son amour, lui qui était trop affecté par la situation pour faire correctement son travail d’infirmier. Le vieux lui dit alors que les blessures du blond, bien que probablement douloureuses, ne seraient pas mortelles et qu’il devrait se réveiller d’ici peu. Le Frost releva ses yeux bleu de glace vers le vieil homme et lui offrit un sourire, bien que discret et minuscule, sincère.
Pendant que Newt et Stanford affrontaient leur épreuve, River restait assis à caresser les cheveux de son amour endormi, alors que des larmes coulaient sur ses joues. Il ferma les yeux un instant, tentant de ravaler sa peine, espérant que les autres ne le voit pas comme faible de pleurer ainsi. Puis, lorsqu’il les ouvrit à nouveau, il croisa le regard de braise de son dragon. Un sourire vint aussitôt illuminer son visage. « Nat… », dit-il dans un souffle, sachant que le chasseur de dragon préférait son vrai nom plutôt que celui que la malédiction lui avait donné. Mais lorsque le dragon tenta de se relever brusquement, River et Stanford, qui avait terminé son épreuve, le recouchèrent d’un même mouvement. « Du calme, tu viens de perdre connaissance. Tu dois prendre ton temps… », dit l’infirmer, pourtant fier de voir son amour toujours aussi combattif. Edan leva une main pour venir essuyer les larmes qui envahissaient le visage du combattant. Un doux sourire grandit sur ses lèvre lorsqu’il entendit son amour lui dire qu’il ne l’abandonnait pas. « Je n’ai jamais douté de toi, même si tu m’as fait un peu peur… », dit-il dans un petit rire. Un baiser, c’est tout ce dont il avait besoin pour retrouver sa vivacité et sa combativité.
Newt, Ali et Stanford avait discuté avec la Maison, et maintenant, Edan voulait aussi s’y mettre. Mais que pouvait-il bien vouloir lui dire, à cette maison qui l’avait presque tué? Malgré tout, River ne répliqua rien à la demande de son dragon. Il l’aida à se redresser et à s’adosser au mur, puis il observa. Edan posa des questions sur le mot que la Maison lui avait attribuée : Démon. La Maison semblait penser qu’il était véritablement un démon, tout comme elle. Alors cette maison n’en était pas vraiment une… Mais lorsqu’elle commença à parler du véritable père de Natsu, qui n’était pas Igneel, le mage de feu commença à s’emporter. « Mon bébé… Tu ne vas tout de même pas commencer à argumenter avec un bien immobilier… Tu sais qui est ton père. Tu n’as pas a en douter à cause d’un simple message. Si tu changeais de sujet? », lui dit-il calmement. Il passa ses bras autour de son dragon et l’attira vers lui dans un câlin réconfortant. Edan recommença a poser des questions à la Maison qui répondait aussitôt. Ils devaient agir comme une équipe, comme une guilde. Le mage de glace soupira. « D’accord… C’est gens seront notre Fairy Tail temporaire. Je veux bien faire un effort, pour toi. »
Les deux mages se levèrent au moment où Newt et Cassandre sortirent de la pièce qui était destinée à Ali, complètement trempés. Ils avaient décidé de passer l’épreuve d’Ali pour qu’ils puissent tous sortir au plus vite. Ils s’étaient sacrifiés pour le reste du groupe. Ils avaient agi comme les membres d’une seule et même guilde. Ils s’étaient battus pour leurs compagnons. River s’avança lentement vers eux, le regard fixé au plancher. « Crik… », commença-t-il, utilisant le surnom qu’il lui donnait, avant. « Tu… Tu as brisé ton appareil photo et… Et tu as même passé une deuxième épreuve. Tu n’étais pas obligé de faire ça… » Il releva les yeux vers son premier amour, et dans son regard, on ne décelait plus aucune rage, plus de haine. « Tu as changé, Crik… Et j’aime beaucoup ce que tu es devenu. Merci… », termina-t-il dans un sourire. Puis, il se retourna vers la jeune femme. « Toi, t’es vraiment courageuse. Tu fais partie des femmes fortes que je connais, et si tu les avais vu, tu comprendrais à quel point c’est un gros compliment. » Il pensait à Erza et à Mirajane, les deux femmes, non, les deux mages les plus fortes de tout Fairy Tail. C’est alors que la rousse lui rétorqua qu’avant de demander aux autres de faire leur épreuve, il serait bien qu’il fasse la sienne. Le glaçon approuva d’un hochement de tête et se dirigea devant sa pièce.
Debout devant la pièce remplie d’eau, River ne bougeait pas. Il savait qu’il devait y aller, mais il avait peur. Il n’avait pas peur de l’eau, il avait peur de se noyer, de se retrouver piégé dans l’eau. Il avait peur de ce que Juvia lui ferait si elle découvrait que Natsu et lui étaient ensemble. La mage de l’eau était forte et elle serait capable de le noyer. Certes, il pouvait geler son eau, mais la première fois où ils s’étaient affronté, elle avait rapidement compris la tactique du glaçon et avait commencé à l’attaquer avec de l’eau bouillante qu’il n’arrivait pas à geler. Si elle était vraiment en colère contre lui, et elle avait toutes les raisons de l’être vu comment il l’avait traité durant la malédiction, comment il l’avait abandonné à la levée du sort et comme il avait caché sa présence à Storybrooke aux autre mages, elle pourrait certainement le noyer.
Les souvenirs de la malédiction faisaient aussi surface devant cette pièce. Même si River savait qu’ils n’étaient que de faux souvenirs, il ne pouvait oublier le jour de la mort de ses parents de Storybrooke. Il n’avait que huit ans. Il était avec eux en voiture lorsque son père a perdu le contrôle du véhicule. La voiture avait dérapé sur la route et fait quelque tonneaux avant d’aboutir dans un lac. Le Frost de rappelait de l’eau qui s’infiltrait dans la voiture alors qu’elle coulait tout au fond du lac. Ses parents étaient inconscients et lui, il luttait pour ouvrir la porte et s’échapper. La pression de l’eau à l’extérieur était trop forte et il n’arrivait pas à ouvrir la portière. Même si la voiture était déjà au fond du lac, le petit River avait du attendre que l’intérieur soit complètement rempli d’eau avant de pouvoir sortir. Il avait du nager jusqu’à la surface et laisser ses parents derrière lui, choisissant de vivre plutôt que de mourir avec eux. Tous ces souvenirs le martelaient.
River sentit les bras de son amour autour de lui, le serrant dans un câlin chaud. Edan lui promit qu’il aurait un autre câlin à son retour. « Alors prépare-toi, parce que je vais réclamer ce câlin! », plaisanta-t-il pour se donner du courage. Puis, il revint à la porte où s’arrêtait magiquement l’eau de la pièce. Il déglutit difficilement, mais décida d’y aller. Il retira ses chaussures et tout ses vêtements. Une fois complètement nu, le Frost prit une grande inspiration et plongea dans l’eau. Un fois dans la pièce, il se cogna contre un mur invisible. En mettant ses mains devant lui, il comprit qu’il s’agissait d’une paroi de verre, impossible à voir dans l’eau. Il était donc dans un labyrinthe invisible, sous l’eau. Il ne devait pas paniquer. C’était la pire réaction à avoir, car son corps chercherait de l’air et il se noierait. Il se concentra sur ces pensées rationnelles pour tenter de rester calme. Le glaçon nagea donc tout en gardant les mains devant lui pour comprendre le chemin à prendre. Il ne devait pas perdre le petit bouton clignotant de vu. C’était son repère, le but à atteindre. Alors il avança, tournant parfois à gauche, parfois à droite, en haut ou en bas, selon la disposition des plaques de verre servant à la ralentir. Lorsqu’il atteignit enfin le bouton, il avait déjà expulsé plus de la moitié de l’air de ses poumons. Et il devait encore refaire le chemin inverse. Le combattant se dépêcha donc d’appuyer sur le bouton vert qui s’éteignit aussitôt. Au même moment, le dernier voyant lumineux au dessus de la porte du couloir s’alluma, et la porte s’ouvrit. River ne devait pas perdre de temps. Il vit le petit câble de cuivre et s’en empara avant de rebrousser chemin. Dans sa hâte, il se cogna contre une des parois de verre. Il n’avait plus le temps pour ça. Il devait sortir. Il commençait déjà à manquer d’air. Alors il tâta à la hâte devant lui pour trouver les ouvertures. À mi-chemin, son corps commença à être secoué de spasmes. Ses réflexes le poussait à inspirer, mais il luttait de toutes ses forces contre l’instinct de survie de son corps. Il devait se rendre à la sortie. Au moment où sa main traversa le champs de force, laissant tomber le fil de cuivre sur le plancher, son corps fut prit du réflexe le plus primaire de survie. Il inspira, remplissant ses poumon d’eau. Avant de flancher, le mage de glace eu juste la force de se hisser hors de l’eau, tombant sur le plancher. Même hors de l’eau, ses poumons étaient remplis d’eau. Il se noyait. Jusqu’à ce qu’un grand coup dans son ventre lui fasse recracher toute l’eau qu’il avait avalé. Il toussa encore et encore, expulsant l’eau de ses poumons. Étendu sur le sol, complètement nu et détrempé, mais tiré d’affaire, River souriait. « Je veux… mon… mon câlin… »
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Newt avait sourit franchement à River lorsqu'il le complimenta, considérant qu'il ne méritait de toutes façons pas d'éloges particulières, puisqu'après tout, l'eau n'était en rien sa phobie, ce qui avait certainement facilité la tache, sans compter qu'il n'était pas tout seul. Il fut simplement ravi des mots que lui adressait River, qui montraient que les cicatrices de leur relation pouvaient en effet se réparer, et que le mage de glace était en mesure de chasser ses démons intérieurs si on lui montrait simplement comment appaiser sa colère.
Renfermé avait dit la maison, comme un défaut qu'elle pointait du doigt, une accusation et un reproche. Newt avait su qu'elle avait raison, sans pourtant chercher à en comprendre davantage. Et si lui aussi réussirait à améliorer le monde qui l'entoure en s'ouvrant... en cessant de fuir. Il fut satisfait de cette reflexion. Courage River, lui dit-il alors lorsque celui-ci se dirigea vers sa propre épreuve.
Et, le voyant entrer dans la pièce, le criquet s'accorda pour un instant de ne pas le regarder pour tourner la tête vers Stanford. Même si ce n'était pas la peine, je vous remercie d'avoir voulu prendre ma défense, voulut-il vraiment lui confier, se souvenant qu'il ne l'avait pas encore remercié.
**********
Et toutes les salles avaient été vaincues par ce que River et Edan pourraient nommer une nouvelle guide temporaire. Si Newt n'en était pas surpris, sachant pertinemment qu'ils auraient réussi à en sortir d'une façon ou d'une autre, il ne cachait pas sa fierté (qui ne découlait pas simplement de ses actes, mais ceux de tous, même ceux d'Ali, qui, à défaut d'avoir pu affronter ses peurs, eut prit le courage et l'intelligence d'interroger la Maison quant à sa présence ici, ce qui, le criquet l'espérait, l'aidera à faire face plus facilement à ce qui pouvait arriver par la suite).
Et la suite... allait bien leur demander du courage, de la part de tous.
Tous les voyants allumés, la porte métallique s'ouvrit, et les six personnes la traversèrent sans se faire prier, et sans même un regard derrière eux, vers les débris de cet appareil ou des gouttes de sang pleines de sens qui avaient été coulées.
La nouvelle salle était bien plus restreinte, et beaucoup plus simple, quoique davantage... lugubre. Elle était entièrement vide, si ce n'était remplie des vieux lambeaux de peintures qui s'étaient détachés par dizaines, centaines, des murs craquelés. Derrière eux, la porte disparut aussitôt le groupe entier engouffré dans la salle, laissant à la place, à un mètre du sol, un morceau de cable fait de cuivre qui pendait sur une quinzaine de centimètres.
Devant eux cependant, sur le mur justement opposé, attendait la traditionnelle porte métallique fermée, au-dessus de laquelle un unique point éteint pouvait être allumé après l'épreuve qui leur était réservée ici. A droite de la porte, une grosse poignée brillaient de la même couleur que le morceau de cable : une pièce de cuivre. Et à ses côtés, un levier accompagné d'une jauge.
Et la Maison ne serait pas la Maison s'il n'y avait pas eu ce message ensanglanté sur le mur à leur gauche : LE PLUS IMPORTANT POUR QU'U GROUPE SOIT UNI, C'EST QUE LE COURANT PASSE ENTRE SES MEMBRES.
Alors, Newt qui avait été finement observateur, formation de détective oblige, se mordit la lèvre inférieure lorsqu'il mit toutes les pièces du puzzle en place : les 6 membres du groupe qui tenaient chacun un morceau de cable trouvé dans les salles d'avant (même Ali, dont on lui avait confié le morceau de sa salle), le fil et la pièce de cuivre sur deux murs opposés, le voyant éteint et ce jeu de mot qui ne faisait pas rire Newt...
Il faut qu'on survive à un choc electrique... Newt laissa alors échapper en le comprenant. Il s'expliqua alors. Les morceaux de cuivre que nous avons récolté permettront de relier ce fil à la poignée qui se trouve à l'opposé, pour alimenter le courant et baisser le levier. Ca nous ouvrira surement la porte, mais nous n'avons pas assez de fil. Ce message nous donne la réponse. On doit les mettre bout à bout... et compléter le chemin de nos propres corps, eux aussi conducteurs.
Newt ravala sa salive de travers. Oui, il ne fuyait plus, ça ne lui empêchait cependant pas d'avoir peur. Il prit une grande inspiration, avant de se diriger vers la poignée à côté de la porte. Mettons nous à la suite l'un de l'autre. Prenons le temps de se préparer, peut être que ça ne durera pas longtemps ? Ali et Edan ont parlé avec la maison : elle ne veut pas notre mort après tout.
Il tourna alors la tête vers le levier et la jauge. Quand tout le monde sera prêt, on devra se tenir par nos morceaux de cuivre, jusqu'au fil planté dans le mur, quand je baisserai le levier. Il tourna un visage inquiet vers ses coéquipiers. C'est notre seul moyen de sortir... vous pensez pouvoir le faire ?
Alors le criquet respecta le temps de la préparation mentale de chacun, comprenant qu'il n'était pas dans les moeurs habituels de se préparer à accepter une épreuve de douleur. Lui-même n'était pas emballé par l'idée, mais ne pouvait pas dire non alors que certains avaient physiquement souffert en affrontant leurs phobies dans la salle précédantes.
Et alors, dans une prise d'inspiration générale, ils furent bien contraints à se mettre en file. Newt, près du levier, veillait ainsi sur le bon agencement de celle-ci, et se rendit alors compte, lorsque tout était en place, que la salle était assez étroite et qu'une file de 6 personnes était bien impossible : seulement 5 étaient nécessaires pour assumer le courant et ouvrir la porte, constatation qu'il partagea à haute voix avant de proposer : Les précédentes épreuves ont été éprouvantes... Edan, tu as le plus souffert physiquement avec toutes ces lames, alors si on peut s'abstenir de l'un d'entre nous, peut-être que cela devrait être toi.
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Stanford Pines
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slow and painful sometimes, but ✢ INEVITABLE ✢
| Conte : ?? | Dans le monde des contes, je suis : : Le magicien
The Mystery House is open▲ Ft. de pauvres victimes d'un bâtiment vivant
Des inconnus qu'étaient pour moi Newt, River, Edan et Cassandre à mon partenaire du passé, Ali, je gardais toujours cette impression étrange, qui se confirmait par leurs propos presque plus blessants que les lames invisibles de la maison, que... J'étais vieux. Le savoir était déjà une tragédie en soit mais l'entendre ne faisait que toucher d'autant plus mon amour-propre ! J'étais âgé, c'est vrai. J'avais passé ma vie à faire des recherches sur l'étrangeté, à combattre un démon, à traverser les dimensions tout en évitant ma famille et alors que je pouvais faire plusieurs tomes de cette simple existence par mes expériences... J'avais toujours l'impression de ne pas avoir vu passer cette vie. Après tout, je ne me sentais pas dans l'âge de la retraite, loin de là, et je ne manquais jamais un appel de l'aventure. Autrement dit, mentalement, j'avais encore la vingtaine mais en beaucoup moins naïf sans pour autant être trop méfiant. J'avais simplement... appris. Si dans la réflexion, je semblais assez bien me fondre dans le décor du groupe, on me reprochait encore d'être trop âgé pour certaines choses. Je pris mal les réflexions de River et Cassandre qui me pensaient grand-père ou simplement inaptes à faire de la plongée. Pourtant, j'avais peut-être vécu plus qu'eux dans cette histoire. Était-ce pour ça qu'on me demandait de me ménager, désormais ? Mon temps était-il passé ? À le croire ou non, je recommençais mes habitudes d'isolement pour me plaindre de ces problèmes dans mon cahier pendant que Newt et Cassandre étaient partis faire leur épreuve - que j'aurais très bien pu faire !
Observant la maison, je craignais mes analyses qui n'annonçaient rien de bon. Le bâtiment était une entité vivante qui répondait à ses propres règles, ses propres lois qui dépassent tout entendement... Jusque-là, je la pensais simplement métamorphe mais ça va bien au-delà de cette capacité. Elle semblait magique. La magie avait différentes formes, surtout ici, à Storybrooke, mais bien souvent elle gardait un intérêt concret car sinon, il était plutôt difficile de l'utiliser - ça signifierait utiliser ce qui dépasse notre entendement dans un objectif inconnu. Bien trop confus. Ce qui attardait mon attention, c'était l'origine de cette maison car si je la pensais comme étant une créature à part entière, de sa propre espèce, je ne comprenais pas pourquoi elle interagissait si peu avec nous si ce n'était pour nous donner des indications à suivre. Je n'avais pas l'impression de parler à une créature comme j'en avais rencontré bon nombres dans le passé... J'avais plutôt la sensation de parler à un programme. Une créature avec un objectif précis. Si c'était effectivement le cas, alors la maison n'a pas été conçue biologiquement mais un être humain ou une autre créature plus puissante s'est chargée de la construire dans un but précis. Si c'était effectivement le cas, je comprendrais alors pourquoi la magie vient s'affairer ici et pourquoi la maison poursuit un jeu dont elle ne comprend pas les enjeux. Qui tenait réellement les ficelles de cette histoire ? Mon stylo glissait trop lentement en contraste à mes réflexions. C'est au bout d'une page noircie que ma main lâcha prise et que je ferma les yeux un instant. Où étions-nous ?
Ali se trouvait à l'opposé du couloir, regardant pendant un instant sa main... Mon attention se porta sur lui. Il passa un moment à faire un même geste sec en serrant les dents et c'est lorsque je vis une goutte de sang tomber de sa paume que je compris. Sourcils froncés, je le vis commencer à écrire à la maison jusqu'à se couper le torse pour récolter plus de sang. Il m'était impossible de ne pas réagir à cet acte même si, en soi, ça ressemblait plus à un moyen de communiquer à l'entité qui nous avait enfermé. Mais cette façon d'envoyer des messages ne semblait-elle pas être un piège en elle-même ? Je pouvais me dire méfiant et la maison pouvait me penser distant, si elle le souhaitait, mais à la différence de tout ça, je savais surtout faire attention à ne pas me laisser aller à la tentation. Parler à la maison en était une. Plus le sang s'accumulait, plus on devenait faible et étrangement, plus il la question était longue et plus il fallait de sang ! Aladdin n'économisait pas sur les mots, malheureusement. Le prévenant pourtant, il engageait les questions desquelles je fus témoin des réponses. La maison continuait son fameux discours d'aide et de changement. C'était à peu près le même discours qu'il tenait lorsque je lui avais tiré dessus - indirectement - et c'était d'ailleurs ce qui me faisait douter dans mes hypothèses. Comment un simple programme pouvait-il souhaiter aider quelqu'un ? Et comment un simple programme pouvait-il se penser important, stipulant qu'on ait "besoin" de lui ? Je ne savais toujours pas si cette maison était une créature ou une création mais je comprenais que l'un n'empêchait pas l'autre, pour autant... Lorsque vint une énième question d'Ali, je le stoppa dans ses mouvements et commença à expliquer ce que la maison ne pouvait pas faire, elle. La famille, l'amour, les sentiments... Qu'en savait-elle ? J'expliquai à Aladdin la vérité quant à ce qui restait pour l'instant peu sûr concernant notre venue ici mais il m'apprit quelque chose que je n'aurais pu soupçonner. Sortant un papier de ses innombrables poches (j'ai tenté une fois de prévoir tous les endroits où il pouvait cacher des objets, et bien Ali m'a toujours surpris en en trouvant des nouveaux), il me tendit un papier et continua d'écrire sur le mur. Je pris la feuille en main et reconnût le contrat que j'avais signé il y a de ça des années, à Agrabah.
"Oui, je m'en souviens... C'est un serviteur à toi qui me l'a tendu. Il m'a simplement dit de signer en bas, je n'y ai pas trop prêté attention avec ce qu'il se passait et... Lisant en même temps, mon regard tomba de lui-même sur les indications de bas de page. Signature du tuteur légal ? Ali... Je ne suis pas ton tuteur légal ! Ce n'est pas moi... Cassim, l'est. Qu'est-ce que..."
Je continuai ma lecture sans prêter attention à ce que faisait Ali, pour le coup. D'après les termes de ce contrat de mariage que j'avais signé sans prétendre savoir à quoi ni à qui elle était destinée, je m'étais proclamé comme étant le père d'Aladdin et avait officialisé son statut de Sultan... Depuis tout ce temps, j'aurais été père sans m'en rendre compte ? Ou du moins, je me le serais proclamé de moi-même ? J'avais eu beaucoup de problèmes dans le multiverse donc, à défaut d'être surpris, je n'étais pas en colère, déçu, angoissé... Seulement surpris. Je pliai le bout de papier et le rangeais également dans ma veste qui n'avait pas autant de poches qu'Ali mais assez pour une lame et un contrat.
"D'accord... Je verrais comment régler ça une fois rentrer à l'hôtel... Soupirais-je. Mais je préfère que tu ne te fasses pas des idées, Ali. Je ne suis pas ton père, d'accord ? Nous sommes partenaires et... Et nous entendons bien moi, toi, Stanley, Laureline... Comme une famille, oui, mais... Pas comme un père à un fils... Je... Je ne suis pas fait pour être père. Alors, je te demanderais de ne plus m'appeler ainsi, s'il te plait."
Me redressant, mains plongés dans les poches, je tournai le regard vers le garçon que j'avais aidé tout à l'heure. Il s'était également mis dans l'idée de communiquer avec la maison ce qui me fît intérieurement souffler. Évidemment, c'était tentant de parler à celle qui nous gardait en captivité et moi-même, pour la comprendre, je mourrais d'envie de me couper le doigt une nouvelle fois et d'écrire sur les murs... Était-ce la première fois, seulement, que j'écrivais avec mon sang ? Seulement, je savais que les tentations ne menaient pas toujours au bon résultat. Je pouvais sortir d'ici sans gaspiller de mon énergie à poser des questions... Surtout quand on sait que ses moyens pour arriver à ses fins et de nous faire souffrir. Malgré tout cela, je ne pus m'empêcher de lire la réponse à la question d'Edan qui avait déjà disparu. Le message de la maison me suffit pour ressortir mon cahier en déclarant sûrement et peut-être trop fièrement :
"Je le savais ! La maison est une création, elle a un programme, une mission à accomplir... ! J'écrivais, mordillais mon stylo, réécrivais, puis réfléchissais... Qui l'a créé ? Comment ? Non, ça je le sais. C'est forcément magique... Était-ce un être humain ? Un mage ? Un génie ? Peut-être un Dieu ? Oh, ce serait tentant... Non, pas assez logique, la maison semble avoir ses défauts car vivante, avec une âme... Mais sans jugements. Elle pourrait presque paraître être un nouveau-né... Donc récente. A-t-elle été créée pour cette soirée d'Halloween, justement ? Quel en serait l'objectif ? Elle ne semble pas se lier à ça, pas à ce qu'elle dit, du moins... Je me tournai vers ceux qui avaient communiqué avec la maison. Qu'a-t-elle dit d'autre ?"
Je devais apprendre tout ce qui était nécessaire à savoir sur cette maison. Elle avait beau être plutôt agressive et avoir une idée des codes sociaux plutôt poussés, son programme me fascinait et encore plus, comment elle l'interprétait. Cette maison avait plus de raisonnement que je ne l'aurais cru, en plus de ne pas être totalement insensible psychologiquement... Je pouvais parier que son créateur n'était plus dans les parages depuis un moment, la laissant aller à ses propres règles, vaquer dangereusement dans la nature jusqu'à ce qu'elle répète ce pour quoi elle a été faite... Réunir les gens. La tentation de lui poser à mon tour une question était devenue plus grande que précédemment... Évidemment, cette envie de savoir nous touchait tous, moi le premier qui adorait depuis petit tout ce qui portait sur l'étrange. Seulement, lorsque j'empruntais ce chemin-là, ce n'était jamais sans prix... Ali le disait assez bien.
"Juste une... Lançais-je à moi-même en m'avançant vers les ronçes pour m'entailler le doigt et écrire sur le mur. D'accord, Maison, ne t'y habitues pas... Qui t'as créé ?"
Cette question pouvait en résoudre pas mal d'autres. Si je connaissais le nom de la personne en question, je pouvais déjà me centrer sur Storybrooke et sur le présent. De plus, en le connaissant, j'aurais également des informations sur ses capacités et peut-être ses projets... Qui pouvait créé un démon ? Je ne me souvenais de personne ayant cette incroyable compétence en ville... Si quelqu'un l'avait pu et que j'avais été tenu au courant, je m'en serais souvenu. Rencontrer un démon fût déjà auparavant un sujet qui me passionnait, alors en créer un...
"C'est Zeref, le plus grand mage noir de tout Earthland."
La réponse me laissa dubitatif. Encore un monde que je n'avais pas visité ? Sur les milliers de dimensions que j'avais pu traversé, il fût que ce ne soit pas lui... Quelle déception. De plus, je ne connaissais pas non plus de personne se nommant ainsi en ville, ce qui ne m'empêcha pas de le marquer tout en appelant mes coéquipiers de "jeu" sans leur porter un regard.
"Quelqu'un connaîtrait par le plus grand des hasards ?"
Newt et Cassandre étaient revenu de leur épreuve mais je ne le remarquai qu'en entendant la voix du garçon s'adresser à moi pour me remercier de l'avoir défendu. Un sourire s'esquissa également sur mon visage lorsque je réalisai m'être perdu trop loin dans mes pensées.
"S'entraider et ce qui nous fera sortir d'ici. Répondis-je me replongeant dans les pages de mon cahier. La maison l'a dit elle-même... Mais - je ne veux pas dire que c'est pas intérêt que j'ai fait cela... Loin de là. Il m'était naturel de te défendre pour t'éviter une épreuve de force en plus... Je suppose qu'on en aura assez. Pas que je le souhaite, non plus. Ce que je veux dire, c'est - Je me raclai la gorge et me repris, lassé de moi-même. De rien."
Tout le monde venait de passer leur épreuve et, lorsque River revînt essoufflé et nu, la porte métallique close finit par s'ouvrir pour nous laisser entrer dans une pièce - une énième - vide et délabrée. Les murs devaient avoir été peints à la main pour qu'elle se détériore au fil du temps, à moins que c'était une nouvelle technique de la maison pour nous faire peur. Elle devait être experte dans cette matière-là en plus de nous connaître avec une étrange précision. Qui lui avait fourni tant d'informations ? Était-ce un de ses pouvoirs de démon ? Avec la chance que j'avais et les probabilités présentes, une de ses facultés étaient de lire dans les pensées. Je ne m'engageai pas plus loin sur cette théorie car la prochaine épreuve allait suivre et Newt nous expliqua très bien le déroulement pendant que je rangeai mon cahier et m'adonnait à faire le tour de la pièce. Distant... Comme toujours. Lorsque Newt eût fini ses explications, je commentais à mon tour mes suppositions. Mon regard se redressa vers les 4 garçons et la seule fille du groupe. Certains se tenaient déjà la main... J'avais l'impression de revoir les deux moments où j'avais dû tenir la main à des personnes que je ne connaissais parfois pas dans l'objectif de réaliser une prophétie. Ce n'était pas un courant électrique qui nous traversa, cependant... Et je doutais que ça soit aussi doux.
"Hum... Oui, ça doit être ce que la maison attend de nous, présentement, et son jeu de mots signifie bien ce qu'il signifie... Je ne sais pas pourquoi elle cherche à nous réunir par la douleur mais j'ai ma petite idée de mesure quant à celle-ci. Je levai ma tige de cuivre. Je ne vais pas vous passer toutes les qualités du cuivre ce serait long et peut-être ennuyeux pour vous, mais il faut savoir qu'il est beaucoup utilisé pour faire des courants électriques... Car il a une faible résistance, en général. Plus un fil est large et petit, moins il sera résistant et c'est le cas de nos câbles de cuivre, fort heureusement. L'intensité ne sera donc pas importante car il y aura une économie d'énergie - c'est d'ailleurs la raison pour laquelle ce genre de câble est utilisé - cependant... Je levai un main à mon menton. La largeur du fil lui permet de ne pas fondre à la première décharge... Ce qui m'inquiète alors est de savoir combien il y en aura et si les intensités différeront ou non."
Je m'avançais vers les autres pour leur prendre la main lorsque nous réalisions ensemble que la pièce était plus petite qu'elle n'en avait l'air et qu'effectivement, si nous tendions assez les bras, seulement cinq personnes étaient nécessaire pour cette épreuve. Newt proposa Edan, soutenu par River. Je n'en disais rien et attendais silencieusement sa réponse qui, malgré quelques oppositions, fini par être positive alors que le garçon s'éloigna dans un coin.
"Bien... Avant que Newt n'abaisse le levier, sachez que l'électrisation dépend de pas mal de facteurs... Malheureusement, elle ne dépend pas de nous sur le moment et seul l'intensité du courant pourra confirmer certains de mes soupçons ou non. Mais rassurez-vous d'une chose : le fil qui nous lie est large et donc peu résistant, de même pour nous si nous partons du principe que nous sommes des conducteurs... Priez donc pour que la maison n'ait pas pris en compte ce détail et ne proportionne pas l'intensité face à ça. Par ailleurs... Les lésions dépendent de la durée du temps de contact entre nous. Moins ce sera long, moins vous le sentirez sur la durée - croyez-moi sur ce point - Ma voix se tût un instant, nostalgique. Je repris avec plus d'entrain. Dans tous les cas : Ne pas lâcher. Et cela même si vous sentez des pores se former dans au niveau cellulaire ou bien des brûlures sur vos tissus musculaires qui sont plus sensibles et donneront peut-être des tics involontaires par la suite. Mais finalement le plus important est -" - On a compris, papi. Tu peux la boucler maintenant. - Ça suffit, grand-père! Tu ne nous aide pas. Tu fais juste peur à tout le monde. On n'a pas besoin d'entendre ça !"
Je me tournais d'une moue vexée vers les deux personnes que j'avais réussi à énerver au bout de la troisième pièce. Raclant ma gorge une nouvelle fois en regardant le mur d'en face, je conclus avec sarcasme avant que Newt ne laisse passer le courant :
"Je voulais simplement dire que le plus important était de rester uni. Mais qui sait, peut-être que dans la prochaine pièce on vous apprendra le respect..."
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Cassandre De Trémaine
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Who’s that sexy thing I see over there ? That’s me sending in the mirror. What's that icy thang hanging around my neck? That's gold, show me some respect.
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Tss, ce prince de pacotille ne nous as même pas remercié de l'avoir fait. Aaron comprenait le fait qu'il aurait aimé le faire finalement. Mais il aurait au moins pu les remercier pour leur acte. Au lieu d'être encore à ruminer comme un enfant. Quoi qu'il en soit, les épreuves étaient passés maintenant, River avait réussi la sienne et toutes les lumières étaient désormais allumé, activant ainsi la porte pour la prochaine salle.
Cette fois-ci la pièce était différente, il n'y avait plus qu'une porte où le même système apparaissait. La salle était vide, hormis un levier, une pièce de cuivre et une jauge. Super encore une épreuve où il fallait réfléchir ! Enfin pas tant que ça en faite, la maison leur avait laissé de nouveau un magnifique texte sur le mur. Faisant par la même occasion un jeu de mot des plus douteux. Newt fut le premier à prendre les choses en main. Ils allaient devoir s'unir en utilisant leur fils de cuivre. Par chance pour Edan, il pourra éviter le supplice. Le criquet n'avait pas tort, au vue de ses blessures, il avait plus de chance d'y passer que de survivre. Même si Aaron n'avait pas de doute sur son mental d'acier et sa résistance, il ne fallait pas tenter le diable.
Tandis qu'ils commençaient tous à se positionner, Stanford commença à leur expliquer les effets. Bon, la plupart se doutaient de ce qu'il pouvait se passer mais le dire n'arrangeait pas vraiment les choses. Aaron n'était pas non plus le plus intelligent de la bande mais apprendre s'était pas son truc non plus alors écouter une monologue c'était pas pour lui. Il coupa donc le vieux pratiquement en même temps que River. Décidément, ces deux là se ressemblaient peut être plus qu'ils ne le pensaient. S'ils n'avaient pas été dans ce genre de situation ils auraient peut être pu être ami, en tout cas, il le respectait. Pour le moment.
Maintenant qu'ils étaient place, Newt commença à poser son morceau de cuivre en premier. Contrairement à ce qu'avait pu dire Stanford avant, tout le monde lâcha sa tige de cuivre lorsque le courant passa. Sans doute pur réflexe du corps humain. Celui-ci se mettait automatiquement en défensive pour la survie de chacun.
- Ah super il manquait plus que ça ! Si on arrive pas à toucher ces morceaux de cuivre on va jamais pouvoir faire passer le courant pour la suite. J'sais pas qui a dit que cette maison voulait nous rapprocher mais pour le moment j'ai plus l'impression qu'elle veut nous tuer. râla-t-il.
Le groupe retenta une nouvelle fois de se mettre en place afin de faire passer le courant. Et qui disait nouvelle tentative disait...échec. Franchement qu'est ce qu'ils allaient bien pouvoir faire si leur corps réagissait automatiquement sans leur volonté ! Une des autre chose que n'aimait pas Aaron s'était bien de perdre son temps, la patience n'était pas non plus le fort du blond visiblement...
- Qu'est ce qui pourrait bien nous être utile pour ne pas recevoir de décharge et lâcher ce stupide fils de cuivre ?! Du caoutchouc ?
Mais il avait beau regarder dans la pièce, rien ne ressemblant à du caoutchouc pouvait s'y trouver. Et les gens présents ici n'avaient pas non plus l'air de se balader avec des gants pour tout le monde. L'un des membres du groupe intervînt aussi pour lui dire que le caoutchouc était inutile, il risquait de ne pas faire passer le courant n'étant pas conducteur, cela stopperait donc l'avancée. Super.
- Du bois alors ?
Mais même résultat, s'il n'y avait pas de caoutchouc alors il y avait encore moins de bois...Hé, qu'est-ce qui pourrait éviter de nous électrocuter ? Du tissu. Du tissu ? Je fais quoi ? Je déshabille Cassandre ? Regarde de la poche de ta tenue imbécile.Décidément, toujours aussi aimable Anastasie. L'autre personnalité ne répondit pas à sa provocation. Bon tant pis, au moins il avait la solution à sa question. Il fouilla dans la poche dissimulé de sa combi-short et sorti un épais mouchoir en tissu. Cela ferait sans doute l'affaire.
- Hé ! Je pense que du tissu pourrait marcher !
Il toucha le fils de cuivre avec le tissu cette fois ci et...miracle ! Ça marche ! Evidemment.
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Newt C. Stark
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Bain de minuit
en toute innocence
(ou presque)
| Conte : Mulan | Dans le monde des contes, je suis : : Cri-Kee, le générateur de chance !
Newt a probablement été le seul du groupe à avoir écouté les paroles de Stanford, appréciant que le doyen sot en accord avec ce qu'il avait compris et proposé, et de recevoir des explications en ce sens. Le photographe a donc été facilement gêné et attristé par la sécheresse et la méchanceté des réponses qu'il eut reçut aussi rapidement, pour l'interrompre alors qu'il ne faisait qu'aider, pour rassurer et faire comprendre ce qu'il se passerait, en n'oubliant pas les conseils utiles. L'ancien criquet se réserva de faire un commentaire, comprenant bien que de tels esprits têtus ne seraient pas raisonnés par une quelconque forme de sagesse et de patience.
Newt se contenta ainsi simplement de participer à l'accomplissement du plan qu'ils s'étaient fixés sous l'évidence de ce qui se présentait à eux... pour se mordiller les lèvres en voyant que ça ne marchait pas, le corps humain naturellement trop réactif pour ne pas lâcher. Il savait qu'un courant électrique bien dosé pour figer le corps pour qu'il ne puisse plus répondre aux réflexes - mais il ne le savait pas pour avoir le mérite d'être un puits de sciences comme Stanford, il en avait le simple souvenir d'un des films d'Iron Man lorsque le héros de fer avait sauvé tout un groupe de personnes qui chutait du ciel après l'explosion d'un avion. Une idée se forma alors rapidement : si il arrivait à manier l'intensité grâce à la jauge de la salle, peut être qu'il saurait annihiler les réflexes du groupe. Plusieurs problèmes se posaient alors : - Il n'était pas certain que cette jauge soit équipée d'un régulateur, puisqu'elle semblait n'être là qu'à titre indicatif. - Il serait de toutes façons bien incapable de trouver quelle serait la bonne intensité. - Et quand bien même il y arrivait, il ne pourrait pas rétablir la bonne intensité par la suite s'il était figé.
Il soupira donc, abandonnant cette première idée avant même d'avoir ouvert la bouche pour en faire part au groupe. Il baissa donc les yeux vers son fil de cuivre, tandis que chacun se demandait comment faire (ou s'énervait tout simplement sans forme de réflexion, c'était selon les différents tempéraments). Le maniant entre ses doigts le temps de trouver une idée pour ce simple problème, il remarqua alors qu'il fut capable de le tordre comme du fil de fer. Une nouvelle lumière s'alluma au dessus de son crâne.
Je pourrais avoir vos fils, s'il vous plait ? Demanda Newt avant de les récolter, sous l’œil curieux et interrogateur du groupe. Je avoir une piste une peu plus simple.
En effet, si les fils étaient flexibles, ça voulait également dire qu'ils pouvaient se tordre pour s'attacher entre eux. Alors, Newt s'approcha du fil qui pendait du mur à l'autre bout de la salle, pour y attacher bout à bout les six morceaux offerts par la maison (ou plutôt gagnés lors de ses épreuves). Puisqu'on ne peut pas tenir nos fils à cause de nos réflexes, on à qu'à se tenir par la main, et laisser les fils tout au bout ! Puis, un air embarrassé passa sur son visage. Mais quelqu'un doit quand même tenir le bout... Décidément, lui qui avait fait preuve d'ingéniosité jusque là commençait à sécher.
Fort heureusement, Stanford s'approcha pour compléter le projet du criquet, et montra qu'il y avait assez de longueur pour enrouler l'extrémité autour du doigt de celui qui serait en dernier dans la file : s'il lui était attaché, il n'aurait pas à le tenir. Le visage du photographe s'illumina alors, ravi que le scientifique ait trouvé comment résoudre le problème.
Mais qui doit prendre le risque de les tenir ? Questionna Newt, toujours embarrassé. Mais alors qu'il fut prêt à se désigner, se disant que c'était ce qu'il fallait faire pour ne pas se montrer égoïste, River prit la parole.
Moi je propose Ali! Après tout, il est le seul qui n'a pas encore souffert. C'est son tour!
Newt se mordit de nouveau la lèvre inférieure, n'aimant pas réellement cette logique qui avait certes une forme de justice, mais qui n'en avait pas vraiment de bienveillance.
J'accepte, mais pas pour le plaisir de River, ni pour le votre non plus. Parce qu'est-ce que vous savez de ma souffrance ? Peut-être être avec vous c'est déjà une torture pour moi. Je le fais tout simplement parce que je veux sauver la maison de son enchantement. Parce qu'elle au moins elle au moins elle est gentille avec moi.
Newt ne répondit pas, tendance à fuir lorsque la tension commençait à s'élever, toujours un peu triste de voir des disputes éclater. Cette dispute-ci ne semblait pas trouver d'autres issues en tout cas, puisqu'Ali avait tout à fait ses raisons de vouloir prendre cette place. Alors, se renfermant un peu pour ne pas alimenter le conflit, considérant que ne rien dire finirait par le terminer, Newt reprit sa place, tandis que le prince se faisait attacher par Stanford.
Tout le monde se plaça alors : Ali attaché aux fils de cuivre, tendant la main de River, puis de Cassandre, de Stanford et enfin de Newt qui avait sa main posée sur la poignée de cuivre. Il fit donc signe de la tête à Edan qu'il pouvait actionner le levier. Les cinq prirent ainsi une grande inspiration... puis le mage de feu leva le mécanisme.
Newt serra les dents lorsque le courant commença à passer immédiatement, silencieux mais désolé de serrer la main de son aîné sous la choc. Cependant, c'était d'abord par surprise plus qu'autre chose, puisque l'intensité, comme montrée par la jauge, était encore assez faible pour ne pas être trop douloureuse. Ca aurait pu s'arrêter là, mais hélas, le criquet voyait le voyant de la jauge évoluer tout doucement, alors que les cinq compagnons le ressentaient également.
Lorsque l'indicateur arriva à moitié, le courant avait la bonne intensité pour figer tout le groupe, muscles paralysés, trop contracté pour permettre le moindre mouvement. Si les muscles de son visage ne l'étaient pas aussi, Newt aurait souri, ravi de savoir que sa théorie qu'il tenait d'Iron Man (qu'il avait regardé grâce à Malakai) était correcte.
Mais l'envie de sourire passa puisque l'intensité augmenta, jusqu'à 10 ampères, augmentant chaque seconde la douleur qui traversait leurs corps. Mais la limite maximale ne dura que quelques secondes, puisque le voyant de la porte finit par être bien alimenté et s'allumer, ouvrant alors leur seule issue, suite à quoi Edan abaissa le levier pour éteindre le courant et soulager le groupe de cette sensation, reprenant le bon contrôle de leur muscle.
Ça va ? S'inquiéta Newt, essoufflé, en voyant Ali remarquer une brûlure là où le métal était accroché sur sa peau.
Au moins, ensemble, ils avaient triomphé de la deuxième épreuve.
(c) AMIANTE
Ali Nacer
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
☾☾Notre récit continue avec cette histoire de cochon brûlé. Une histoire qu'Aladdin ne comprenait toujours pas après de longues minutes de réfléxion, parce que du regard, il n'avait pas aperçu de cochon. Heureusement parce qu'il n'appréciait pas qu'on fasse grillé du porc en sa présence. Les cochons c'est sacré ! Et il n'en mange pas. Lui aussi il est comme son ami Viking. Certains animaux ne font pas parti de son guide alimentaire. Ensuite le Dragon se mettait a jacasser sans cesse avec son amoureux Il était pire que Igao lui ! Pendant qu'il interrogeait la maison, je faisais de même. Mais nous avions pas le même but. Lui il voulait savoir comment sortir ? Et moi je voulais connaître plus intimement celle-ci. Tout en parlant avec Stanford, qui était comme Cassim dans le fond, un père qui ne s'assume pas. Il voulait qu'on régle ce détail a l'Hotel, pourquoi pas ! Espérant que Stanley soit de mon coté, et réussit a convaincre son jumeau des bienfaits d'etre mon père. Après le départ de River et l'arrivé de la rouquine et du photographe. Le perroquet blond pénétrait dans ma bulle en me parlant. Relevant la tête vers lui , parce qu'il avait capté mon attention , et parce que j'étais curieux de savoir ce qui avait envie de me dire : Aladdin c'est ça ? Si on veut sortir, tous d'ici faut qu'on reste souder. Je sais qu'on est parti sur un mauvais chemin, mais c'est mon petit caractère, il ne faut pas que tu te sentes visé. Il faut qu'on se parle tous et qu'on forme une véritable équipe...Faut qu'on apprenne tous à se connaître et ne pas être isolé... Relève toi...Montre nous qui est le plus fort.
J'écoutais son petit discours d'excuses et d'encouragements, attentivement avant de lui répondre : Oui c'est bien ça mon prénom, ou Ali si tu préféres. T'inquiète je ne t'en veux pas, tu avais raison d agir de la sorte avec moi, je ne pouvais pas faire preuve de lâcheté envers mes enfants c'est le seul souvenir qui me reste de leurs mères. Parce que même Kenza l'ainée avait perdue sa mère. Enfin ce que je croyais parce que ma gouvernante. Corail était en faites un déguisement. Une fausse apparence, car sous ce déguisement, c'était la mère de Kenza. Par contre, ton copain tu vas devoir le calmer, si tu veux qu'on soit soudé. Parce que je ne suis pas son souffre douleur. Non je m'acceptais pas son comportement avec moi. Malheureusement si son copain ne faisait rien. Entre le glacon et moi ca allait peut etre finir en duel. Après tout selon mes souvenirs, River aimait se battre. Je l'avais vu a l'oeuvre avec Krane. Donc je connaissais mon adversaire. Ta envie de me connaître..
A ce moment, là je glissais ma main dans mon pantalon. Le Dragon pouvait entendre un bruit de fermeture éclair. Puis je sortais ma main de celui-ci, avec un carnet . Tel pere adoptif, Tel fils adoptif, moi aussi j"avais mon journal intime. Puis je me relevais pour aller dire un mot aux héros de mon épreuve. Mais avant de faire le premier pas vers eux, d'un geste de main, je collais contre torse du blondinet le livre de toutes mes pensées intérieures. Puis je lui disais : La- dedans t'aura quelques détails de ma vie..
Puis je continuais mon chemin vers la demoiselle et son compagnon d'épreuve. Qui me tentait un fil de cuivre. Je le touchais faisant une grimace exprimant une lègère douleur, puis lachait un gémissement de surprise , lachant par réflexe, la récompense de l'épreuve. Le morceau de cuivre tombait aux pieds du jeune homme au physique vampirique. J"enlevais donc mon soulier pour enlever une chaussette. Puis je remettais ma chaussure a mon pied. Avec mon bas, je prenais le fil de cuivre. Au moment Stanford s'exprimait : "Quelqu'un connaîtrait par le plus grand des hasards ?"
Connaître qui? Je n'avais pas vu le message ensanglanté de Stanford. Je ne préferais pas répondre a cette question, ne connaissant pas doute sa réponse. Puis je m'en allais plus loin, pour examiner la lègere brulure dans l'intérieure de ma main. Rien de grave parce que la quantité de sel n'était pas assez importante. Essuyant toute trace de sel sur ce cadeau empoisonné. Que je garderais en souvenir de la maison. Tout en observant pendant un petit moment, Stanford faire les cents pas et se parler tout seul devant nous.
Jusqu'a ce que River revienne de son épreuve, aussi déplumé qu'un Igao déprimé. Étape suivante. Étape ou il fallait se creuser les méninges. J'allais passer mon tour. Pour faire quoi ?P arler avec la Princesse. Mais j'avais un problème Stanford m'avait confisqué ma lame de rasoir. Donc en mode de Roi des voleurs, je me faufilais près de Stanford qui faisait son discours scientifique. Ce qui était parfait, parce qu'il n'avait même pas réaliser que j'avais préoccupé mon jouet coupant. J'allais m’asseoir en retrait de la guilde. D"enroulant mon chandail autour de mon poignet, je m'en servais pour me le glisser entre les dents pour mordre dedans, a cause de la douleur ressenti chaque fois, que je m'entaillais le bras gauche pour me faire saigner et discuter. Je laissais mes plaies couler sur le plancher. Et chaque fois, qui manquait de sang, je recommençais mon geste de mutilation.
Heureusement a Storybrooke, Corail pourrait me guerir avec sa sorcellerie ou des potions guérisseuses. Trempant mon doigt dans mon sang , je lui demandais si elle avait un prénom, après tout elle nous lui connaissait par nos prénoms. Et j'avais marre qu'on considere la Princesse comme une maison. Tout ça a cause que quelqu'un l'avait ensorcelée une raison encore inconnue. Sur le plancher, je pouvais voir apparaitre son message. A ce moment là, son message me faisait sourire. Elle se confiait a moi : "Je ne pense pas en avoir. Mon père ne m'en a pas donné avant de m'abandonner. Je suis seulement l'Etherious Maison Angélique. E.M.A. C'est peut-être mon nom. Voudrais-tu que je m'appelle Ema?" Décidément les pères de nos jours, ont un problème d'engagement envers leur progéniture. Lecon du jour: L'abstinence ca vous évitera bien des problèmes pour la suite. Parce que la contraception c'est pas tout le monde qui connait ! Son histoire d'abandon de Père me faisait un point en commun avec elle. Mais heureusement le mien , avec ma mère m'avait offert un prénom. Ensemble , elle et moi nous venons de la baptiser. Elle voulait que je l'appelle Ema, ce qui me faisait plaisir, parce que je me sentais encore plus intime avec cette Princesse.
Je lui répondais de nouveau: Si ce prenom te plait a toi, Parce qu'il devait lui plaire avant tout, avant de me plaire a moi. Je veux bien , que tu t'appelles Ema.. C'est vraiment jolie ca ressemble au prenom de la sauveuse. Ayant une bref pensée pour Emma Swan. Après tout la maison avait un point commun avec la Sauveuse. Elle voulait que trouve la rédemption comme Mademoiselle Mills. Physiquement, elle lui ressemblait peut-être. Meme si elle était blonde c'était juste un détail pour moi.
La conversation s'en suit avec pleins de questions personnelles.Est-ce que tu as toujours été une maison ?Comme tous les démons créés par mon père, j'ai deux formes. Celle que tu vois, la maison, c'est ma forme Etherious, ma forme la plus puissante. Mais ma forme de base est très différente. Donc elle avait un don de métamorphose comme moi. Mais elle semblait prisonnière de cette forme. Comme moi avec mon apparence de Banshee. Parce que la maison en me retirant mes pouvoirs de Dijinn avait séquestré dans l'une de mes apparences qui réflétait mon coeur. "Ta forme différente est-elle humaine?' Je reste un démon, mais oui, mon apparence ressemble à celle des humains. Nous avions donc un point en commun, nous avions une forme humaine. Moi c'était parce que j'étais moitié mortel. Même si en realité, si la malédiction ne réduisant pas la puissance de nos dons. J'aurais pu avoir une forme vaporeuse. Me transformer sous ma forme de démon. Parce que moi aussi j'étais un démon. Enfin qu'a moitié..Parce que je n'étais pas né du feu sans fumée comme mon ami le Génie. J'ai envie de te connaitre veux tu me raconter ton histoire ? A cette question, je commencais a me sentir étourdit, que je m'allongeais sur le coté.
Mon histoire? C'est la première fois qu'on s'intéresse à moi et mon histoire. J'ai été créée pour aider les gens à se rapprocher, mais mon père n'a pas aimé mon travail. Je l'ai déçu... Et il m'a abandonné. Depuis, j'èrre dans les différents mondes et j'essaie de m'améliorer pour le jour où je retrouverai mon père. Je me pratique à rapprocher les gens. Quand je retrouverai mon père, je veux qu'il soit fier de moi et qu'il m'aime.J'étais touché par son histoire.
Moi je m'interesse a toi Ema, tout comme tu t'es intéressée a moi. Nous sommes semblables toi et moi, mais tu dois deja le savoir. Moi j'ai envie de t'aider..dit moi comment je peux le faire ? Survis! Survivez tous! Ça me brise le coeur quand les gens meurent dans mes épreuves.. Cette phrase me prouvait qu'elle ressentait donc des émotions humaines. Pour vérifier je lui posais la question suivante : Donc tu ressens les émotions humaines ? Es tu deja tomber amoureuse ?
''Amoureuse? Ma mission est de rapprocher les gens, mais moi, je n'ai jamais pu me rapprocher de personne. Les gens ont peur de moi, ils me détestent. Moi j'aime les gens... J'aimerais avoir un ami. Veux-tu être mon ami, Ali? Elle ne connaissait pas l'amour. Et pour la sauver, je devais lui faire connaitre. Parce que si l'amour n'avait pas réussi a faire fuir la mort. Peut etre que l'amour pourrait la délivrée de cette forme . Elle me demandait si je voulais etre son ami. Pourquoi refuser ? Après tout elle semblait m'apprécier plus que les autres, a part Stanford parce que lui je savais qu'il m'aimait meme si il ne voulait pas assumer son role de père et de grand père. Du bout de mes doigts j'écrivais : Oui je veux etre ton ami , et peut etre plus que ca . Est-ce que j'avais eu le coup de foudre ? Oui parce que je cherchais a me consoler de la mort de Laureline ? Réussis les épreuves et je te retrouverai à l'extérieur. C'est promis !
A cette parole mon coeur s'emballait. Elle me venait de me proposer un rencart en quelque sorte. Je commencais a fatigué, lentement j'écrivais ces quelques mots. J'ai confiance en toi Ema, Promis je vais les reussir pour toi, parce que tu mérites d etre aimer, si ton pere est incapable de le faire, je le ferais pour lui. Mes paupières commencaient a etre lourdes. Je commencais a voir lègèrement flou, mais je continuais de lui écrire et a lire :Trouve mon livre et protège-le. Mon livre, c'est toute ma vie. Le livre, c'est moi. C'est ma vie. Il est quelque part à l'intérieur. Trouve-le pour moi. Dans un dernier effort je lui écrivais : Princesse, si c'est votre vie, ce livre, je le trouverais. Je veillerais sur lui en le gardant pret de mon coeur, le temps de trouver comment vous rendre une forme humaine. A sa derniere reponse fut :Merci Ali! Et mes derniers mots étaient : On se voit bientot Ema, je vous promet , que je vous ferais connaitre l'amour, parce que l'amour brise toute les maledictions, répare tous les coeurs brisés quand on trouve le bon. Mais qui était mon véritable amour a moi ? Je fermais les yeux pendant plusieurs minutes. Avant que ..
Les plus brillants d'entre nous, avaient trouvés la solution pour déverrouiller la porte. Stanford venait me réveiller. J'avais pris le temps de remettre mon chandail autour de mon poignet. Puis je me placais a ma place. Et d'une brulure au doigt, on scellait mon alliance avec Ema. Sans le savoir la guilde m'avait fiancé avec la maison. Parce que le cuivre , plus la décharge de l'électricité ayant pénétrés chacun dans nos corps. Pour que le courant passe entre nous pour déverouillé la nouvelle porte, m'avait brulé la peau du doigt faisant fondre ma peau en l'emplacement d'ou était attaché la tige de cuivre. Malheureusement, vu que je m'étais sacrifié pour prendre le cable, pour sauver Ema. Pour lui rendre sa forme humaine. Et j'avais ressenti ce malaise de me retrouver a coté de River a poil.
Le levier avait été baissé pour nous électrocuter. Contrairement aux autres je m'évanouis sans mot. Tenant de force sur mes jambes. Le bras pendu encore au cable. J'avais perdu contact avec la réalité. Stanford se précipitait vers moi pour détacher. Mais mon corps, inconscient et lourd, tombait dans ses bras. C'était pour lui, le moment d'agir comme un père. Prendre soin de moi. Il avait appuyé contre un mur, voyant mes entailles tout le long de mon bras. Je n'avais pas résisté a la décharge parce que j'étais déjà affaiblit par la perte de mon sang.
Quelques instants plus tard, je prenais connaissance, paniquant un peu. Demandant qu'est-ce que je faisais ici ? Pourquoi je n'étais pas a l'Hotel ? Ou était mes nourrissons ? Pourquoi River se tenait a poil devant moi ? J'avais perdue quelques secondes la mémoire mais heureusement pour moi Stanford m'expliquait la situation dans un long discours. Mais avant de franchir la porte, j'avais récupéré la tige de cuivre pour la mettre dans une de mes poches.
Après quelques instants, on traversait la porte. Celle ci disparut a notre passage. Aucun retour possible. Stanford me soutenait pour m'aider a marcher. La pièce où on avait entré était etait assez vaste et bien éclairée. Sur le mur d'en face, il y avait une autre porte de métal. Il n'y avait pas de voyant lumineux au dessus de la porte, cette fois ci. Sur la porte, il y avait six serrures alignées l'une à côté de l'autre. Sur le mur de gauche, on voyait Eugénie de Trémaine enchaînée au mur par les deux poignets et le cou. À côté d'elle, il y avait ce corbeau, Aguistin Marban qui n'était pas venu discuter avec moi, lors de la mort Laureline. Sans doute parce qu'il était ici, enfin peut-etre ou pas parce que c'était peut-etre une illusion. Parce que est-ce que vous avez déja essayer d'attraper une chauve souris ?
Pourquoi Ema aurait commis cela ? Kidnappée , séquestrée et peut etre même torturer ces personnes qui avaient une place priviligée dans notre coeur Un peu plus loin, Malakai Zhulong, que je connaissaos que de vu, pour etre pompier de la Ville. Tous était attachés de la même façon. Sur le mur de droite, il y avait , Stanley Pines, donc Stanford m'avait menti il n'était pas a l'Hotel en train de s'occuper de mes jumeaux avec Corail. Non il avait désobéit. Il était venu pour jouer au héro , parce que maintenant le délai était dépassé depuis longtemps.
Sur le même mur Stella Eurfield et Laureline d'Arelaune étaient présentes. Non c'était impossible ! En voyant ma femme , j'avais ce doute que tout cela était un mensonge. Parce que je l'avais vu donner son dernier souffle, au moment ou Maverick poussait son premier cri. Ema essayait de me faire passer un message, mais lequel ? Peut-etre celui ci : Au milieu de la pièce, il y a une vieille table en bois. Sur la table, il y a une dizaine de couteaux à l'âme droite de différentes longueur et épaisseur. Sur le sol, devant la table, il y a le message de sang « La clé de notre liberté se trouve dans le cœur des êtres aimés. »
Les victimes enchaînées étaient toutes conscientes et, des que Laureline m'avait vue. elle s'agitait et commencait à me supplier de la sortir de là. Impossible, Laureline, ne me suppliait pas ce genre de choses. Non Laureline était une femme débrouillarde. Elle n'était pas une Princesse en détresse. De marbre, quelques secondes, je la dévisageais fondant en larmes. Elle avait la même apparence du dernier souvenir que j'avais d'elle. Chevelure de feu trempée, enmêlée a cause de la sueur. Teint fantomatique, ayant perdue sa couleur peche. Nuisette violette mouillée, tachetée de sang. Parce qu'elle avait donnée naissance, dans la baignoire. Entre ses jambes, on pouvait voir le cordon ombilical pendu entre ses cuisses. Parce qu'elle était morte, sans avoir expulser le placenta de notre dernier bébé. Après quelques secondes, a l'analyser. Stanford me conduisait vers elle, me laissant seul avec elle . Je prenais son visage entre mes mains, pour l'embrasser. Elle prolongeait le baiser. Mais au fond de moi, je savais que ce n'était pas, la véritable femme que j'avais aimée. Parce que jamais de son vivant, elle n'aurait abandonnée nos jumeaux. Elle aurait donnée sa vie pour les protéger. Et a premier vu, il n'avait pas de nourrissons dans la pièce.
Ema essayait seulement de me liberer de ma culpabilisation d'avoir été impuissant face a sa mort. Parce que même un baiser magique, n'avait pas fait fuir la mort. Ema voulait sans doute me liberer du fantome de Laureline qui me hanterait chaque fois que je verrais , le visage de Maverick, qui était la cause de la mort de sa mère..Parce qu'elle ne voulait pas que j'abandonne mon enfant. Je devais me libérer de cet amour pour faire mon deuil. Et peut etre avec le temps, découvrir que mon véritable était EMA.
’’Tell me I'm frozen but what can I do? Can't tell the reasons, I did it for you When lies turn into truth, I sacrificed for you You say that I am frozen but what can I do?’’
River était étendu sur le sol de béton, nu et trempé, et il ne respirait pas. Ses poumons étaient remplis d’eau et, malgré le fait qu’il aie réussi à sortir de la pièce submergée, il se noyait. C’était ce que l’ont appelait une noyade sèche. C’était ridicule de mourir de cette façon. Il méritait mieux comme mort, mais voilà, on a rarement le loisir de choisir son départ. C’est alors qu’un grand coup dans l’abdomen lui fit recracher juste assez d’eau pour pouvoir recommencer à respirer. Edan était là, à ses côtés, et il venait de lui sauver la vie. Après avoir recraché toute l’eau qui engorgeait ses poumons, le Frost fut à nouveau capable de parler. Il réclama son câlin, et le dragon s’empressa d’accéder à sa demande. Puis, avec le câlin, vint un baiser dans lequel le mage de glace mit toute sa passion, si heureux d’être encore assez vivant pour pouvoir le faire. Puis avec le baiser vint… La triste réalisation qu’ils n’étaient pas seuls dans la pièce. Soupirant, le combattant se leva, aidé par son amour, et il se dirigea vers la porte qui s’était ouverte. Sa main dans la main chaude de son dragon, celui-ci le tira légèrement vers l’arrière. « Ce n’est pas que ça me dérange, mais tu ne crois pas que tu devrais te rhabiller? », lui proposa Edan tout en lui tendant ses vêtements qu’il avait gardé avec lui tout au long de l’épreuve. Le glaçon sursauta et baissa les yeux pour constater sa nudité. « Quoi? Je n’avais même pas remarqué que j’étais tout nu! », dit-il tout en reprenant ses vêtements qui étaient tout chaud. Cette chaleur était tellement agréable qu’elle lui fit presque oublier qu’il venait de se noyer.
Une fois rhabillé, River et Edan se dirigèrent vers la porte, lorsqu’ils furent interpellés par Stanford qui demandait si quelqu’un connaissait celui dont parlait la maison. Las, le mage de glace se retourna juste à temps pour voir le nom de Zeref écris en lettres de sang. Il se figea, ouvrant de grands yeux. « Bébé… Tu as vu ça? », demanda-t-il d’un calme olympien, ce genre de calme qui annonce la tempête à venir. Sa mâchoire se crispa tous comme ses muscles. Sa respiration était plus forte. « Alors c’est Zeref qui a créé cette Maison… Le plus grand mage noir de notre monde... Celui qui apporte la mort partout où il passe… Celui qui crée des démons pour les envoyer semer le chaos et la destruction… Il faut la détruire! Dès qu’on sortira d’ici, et on sortira je vous le garantie, Edan et moi on mettra cette maison en pièce, même si on doit la démonter planche par planche! », affirma-t-il sur un ton dur qui ne laissait aucune place à l’argumentation. Fâché de savoir qu’il était pris au piège à l’intérieur du création du plus grand ennemi de son monde, il se dirigea d’un pas décidé dans la pièce suivante. « C’est pas vrai… On a beau changer de monde, cet emmerdeur trouve encore le moyen de… De nous emmerder! », grommelait-il pendant que les autres le rejoignaient dans la pièce. Le combattant se sentait déjà pris au piège, sensation qu’il détestait, sauf dans une circonstance bien précise, mais de savoir que cette maison était un démon de Zeref le rendait encore plus angoissé.
Dans la pièce suivante, le défi en était un d’équipe, et il était assez facile à comprendre. Ils devaient, tous ensemble, résister à un choc électrique. Le cerveau de l’infirmier se mit à rouler très rapidement. L’électricité pouvait causer des brûlures internes, la contraction des muscles qui pouvaient paralyser les voies respiratoires, sans compter les convulsions et la mort. Génial! C’était parfait… Zeref avait trouvé le moyen de se débarrasser de Natsu et Grey bien tranquille. Non! Il ne devait pas penser de la sorte. Il ne devait pas être aussi défaitiste. Il devait absolument sortir de cette maison pour la détruire et envoyer les morceaux au mage noir dans un joli paquet cadeau. Il devait se concentrer sur cet objectif. C’est alors que Newt décida de se creuser la tête pour trouver comment sortir de cette pièce. Il proposa que tout le monde se tienne par les fils de cuivre afin de faire passer le courant à travers leur corps. Avant de se placer, le mage de glace s’approcha de son dragon et plongea son regard dans le sien. « Ça va aller, mon bébé? Tu penses pouvoir tenir le coup? » Après avoir été rassuré par son amour, River lui prit la main et ils se placèrent dans la fil. Mais voilà, avec les fils de cuivre, ils constatèrent qu’ils pouvaient amplement se passer d’une personne. Le combattant s’apprêtait à ouvrir la bouche pour suggérer que son dragon reste à l’écart, mais le criquet fut plus rapide, faisait la même suggestion. Le glaçon le regarda, surpris par sa générosité. « C’est… gentil de ta part, Crik… », dit-il timidement. La lumière du criquet commençait-elle à déteindre sur le mage? Personne ne s’opposa à cette idée. Personne, sauf le principal intéressé. « Écoute, mon bébé, je sais que tu es fort. Je sais que tu peux le faire, mais tu es blessé. Alors arrête d’écouter ton orgueil et écoute ton infirmier. Ton corps à besoin d’une pause. Tu ne guéris pas aussi vite que d’habitude et ça doit être à cause de ce con de Zeref. Alors, s’il te plait, reste à l’écart pour cette fois… », lui demanda-t-il doucement. Ses paroles eurent l’air de faire effet, car le dragon accepta enfin de ne pas prendre part à cette épreuve. D’un rapide baiser, il le remercia et retourna se placer. C’est alors que le vieux décida de miner le moral de tout le monde en décrivant tous les effets possibles d’une électrocution. Le Frost le coupa net en même temps que Cassandre. Décidément, il l’aimait bien cette fille. Stanford se résigna à arrêter de parler, mais il lança tout de même une pique sur le respect. « Grand-père, peut-être que je manque de respect, mais toi, tu manque clairement de savoir vivre. On s’apprête à subir un choc d’une intensité qu’on ne connait même pas. Toi, tu trouve judicieux de venir énumérer les conséquences possible. C’est pas comme si on avait d’autres choix. Tout ce que tu fais, c’est faire peur aux autres. Tu as l’air bien savant et tout, mais il faudrait aussi réfléchir aux conséquences de tes mots avant de parler… », dit-il sans la moindre trace d’arrogance. Il voulait, non, il devait réussir l’épreuve pour sortir de cette maison, alors il ne voulait pas laisser le vieil homme leur mettre des bâtons dans les roues.
La première tentative de courant échoua lamentablement due aux réflexes du corps. Ils devaient trouver une autre solution. Cassandre se mit à chercher de quoi empêcher de recevoir une décharge. Trouvant un morceau de tissus, elle prit le fil et ne fut pas électrocutée. « Ma belle, je ne vais pas te faire un cours de physique électrique, mais si tu ne reçois pas de décharge, c’est que le courant ne passe pas dans ton corps. S’il ne passe pas à travers ton corps, il ne passera pas d’un bout à l’autre de la pièce. Il faut trouver autre chose. » Après moult réflexions ils trouvèrent enfin la solution en attachant les câbles ensemble et le bout au doigt de l’un d’entre eux. River proposa tout bonnement Ali, non pas par méchanceté, mais par pure justice. Celui-ci accepta, mais il précisa que ce n’était pas pour lui, mais pour la maison, parce qu’elle, au moins, elle était gentille avec lui. « Elle, au moins? Stanford est aux petits soins avec toi, Newt et Cassandre ont passé ton épreuve pour t’éviter de te noyer, Edan est venu discuter avec toi et moi je ne t’ai pas défoncé la gueule quand j’en ai eu l’occasion. Alors je crois que tu devrais arrêter de faire ta princesse et t’ouvrir les yeux. Tout le monde est gentil avec toi. » Pour qui il se prenait à faire ses caprices? Ceci dit, tout le monde se plaça à nouveau. Edan s’apprêtait à tirer le levier. « T’en fais pas pour nous. Même si on a l’air d’avoir mal, ne coupe pas le courant avant qu’il se soit passé quelque chose. Promis? » Le levier s’abaissa et le courant passa à travers leur corps. Au début, c’était simplement déplaisant, mais l’intensité augmenta jusqu’à bloquer complètement tous les muscles du combattant. Il avait mal, mais il tenait bon. De toute façon, il ne pouvait plus bouger. Il sentit Ali, de qui il tenait la main, perdre connaissance, mais il ne pouvait pas tourner la tête pour le regarder. Quand finalement, le courant cessa, le mage de glace tomba à genoux. Il tremblait, mais il allait bien. De tous les effet que pouvait avoir l’électricité sur le corps, il n’en avait aucun. Par chance! Il se tourna vers le prince qui s’était évanouie et tenta de le réveiller. Stanford vint le rejoindre et s’occupa de lui remémorer les récents évènements. « Il a perdu trop de sang. Il doit arrêter de parler à la Maison. Ça va le tuer… », dit l’infirmier à Ford.
Finalement, River se leva et alla rejoindre son amour. Il vint poser son front contre celui du dragon. « Tu as été parfait! Bon travail! », lui dit-il, sachant qu’Edan aimait avoir l’approbation et les compliments des gens, lui qui était sans arrêt critiqué à la guilde, dans leur monde. Ce fut donc avec un sourire que le Frost passa la porte qui venait de s’ouvrir, souhaitant sans grand espoir qu’elle mènerait à l’extérieur. Mais non, il y avait encore une pièce, encore une épreuve. Avec méfiance, le combattant s’avança dans la pièce. Il remarqua le message, puis la table où se trouvait les couteaux. Puis, il balaya les murs du regard. Il y vit une jeune femme qu’il ne connaissait pas, un autre vieux, Lucy… Il fronça les sourcils. Qu’est-ce qu’elle faisait là? Mais aussitôt, le mage de glace détourna le regard. Il devait se détacher de ceux qui pouvaient le faire culpabiliser. Pour garder sa magie, il devait se détacher de son ancienne guilde, ne plus rien ressentir pour eux, à l’exception de Natsu. Il continua son balayage de la pièce. Il y avait une autre femme qu’il ne connaissait pas, Malakai, le meilleur ami de Newt, et… Aguistin… « Et bah putain ... C'est pas trop tôt franchement ! C'est quoi cette soirée de merde là ! Vous voulez que je vous dise combien de temps j'attends ? Vous n'avez pas honte ? » Aguistin rigola avant de reprendre toujours aussi enjoué. « Oh Cassie ! T'étais pas avec Nate ? Ne me dit pas qu il t a abandonné ce connard ... Enfin c'est mon avis ... Putain River ! Ta soirée elle craint de ouf quand même .... Y a rien à bouffer en plus et c'est quoi ça ? Normalement c'est toi que j'attaches pas l'inverse ! » Estomaqué, River s’avança vers son meilleur ami, le détaillant de la tête aux pieds. Il ne put empêcher un sourire en coin de se glisser sur ses lèvres alors que son regard restait accroché sur les entraves qu’il avait au cou et aux poignets. « Woa… Agui, t’es vachement sexy attaché comme ça… », dit-il, légèrement excité par la situation. Ça donnait le goût d’en profiter, mais le glaçon ne céda pas à ses pulsions.
« Non mais toujours ! Il faut être prêt dans n'importe quelles circonstances ! » Aguistin fit un petit clin d'oeil à River avant de reprendre. « Bon comme je disais ta soirée est vraiment nulle ... Je t'aime beaucoup mais oser me gâcher Halloween c'est vraiment pas sympa ! J'peux savoir ce que je fais dans cet endroit de plouc ? »
« Tu dis ça comme si c'était ma faute! D'abord, je ne savais même pas que tu étais là! Et puis, ce n'est pas MA soirée, ni MA maison. C'est quoi cette idée de tout me remettre sur le dos? Tu n'avais qu'à pas venir, c'est tout! »
« Alors jusqu'à preuve du contraire tu t'appelles bien River hein ? Non parce que si t'as changé d'état civil faut me le dire ... Parce que me faire kidnapper pour une personne que je ne connais ni d'Eve ni de Satan ... non merci ! Et puis règle simple : c'est toujours la faute des autres par principe ! »
« Tu m'énerve... » Puis, en regardant tous les couteaux et le message, il réalisa ce qu’il allait devoir faire. Il revint à Agui, mal à l’aise. « Heu... Je ne sais pas comment te dire ça, mais je crois que je vais devoir te faire mal... Avec les couteaux et tout... Le message parle de coeur. Merde, je vais devoir te planter un couteau dans le coeur? »
Aguistin éclata d un rire étrange, tirant un peu sur ses poignets tout en levant la tête pour regarder dans la direction de River. « Whesh ! Moi aussi je veux le faire ! Vas y on fait à tour de rôle ! Genre tu commences comme ça en même temps tu me libères de ces putains de chaînes parce qu'entre nous niveau confort j'ai vu mieux ! Et après je te le fais parce que c'est marrant ! Enfin non je te pousse à le faire parce que j'suis pas très fan de me salir les mains sauf si je peux avoir tes yeux ! Dit tu me les passeras hein ?! »
River se fâcha. « Non mais qu'est-ce qui ne tourne pas rond chez toi? Je ne vais pas te planter un couteau dans le coeur. Faut pas avoir fait des études en médecine pour savoir que c'est plutôt mortel comme passe-temps! Et puis il est hors de question que tu me le fasse. Pourquoi tu cherche toujours à me voir mort? T'es chiant! »
Un soupire s'échappa de la bouche du jeune homme en même temps qu'il levait les yeux au ciel. « Ah River ... tu as Alzheimer mon pauvre ou quoi ? C'est a force de t'attraper la tête et de te la frapper contre les barreaux du lit ça ! J'ai du te faire perdre quelques neurones... » Il gloussa quelques instants avant de reprendre. « Donc petit humain... réapprend ceci... J'ai peut être la même apparence que toi mais je ne suis pas toi et encore heureux ! Beuh un humain ... sans déconner ... Je suis un corbeau ! Le plus grand des corbeaux même ! Et je peux pas mourir.. tu sais pourquoi ? Si tu le sais je te l’ai déjà dit mais tu n'écoutes pas ! Parce que j'incarne les angoisses de la mort ! Enfin j'ai d’autres tâches parce que je suis tellement badass que je suis mieux qu’un couteau suisse ... attend je vais te redire ce que Madame La Mort m'avait dit un jour ! » Le vilain garnement fit mine de réfléchir quelques instants avant de sourire, dévoilant toutes ses nombreuses dents pointus, prenant une voix un peu plus aiguë. « Mon cher oiseau de malheur ! Toi qui pressent là où je vais frapper ... fait en sorte que ces pauvres âmes ne se rendent compte de rien, montre leur l'Eden tant promis et embarque les sur ton chemin salvateur ... C'est bon t’as compris ou tu veux une traduction ? Non je vais te la faire ... Je suis une créature démoniaque qui doit te faire comprendre que le but de ta misérable existence d'humain s'arrête et que tu es né pour mourir parce que c'est comme ça ! Mais je dois être subtil en fait et te rendre le plus heureux possible quand Tiberius viendra chercher ton âme ! D'ailleurs c'est toujours super cool c'est mon moment préféré ! »
« Écoute, cervelle d'oiseau, je sais très bien que tu es immortel, mais c'est pas une raison... Merde! T'es mon meilleur ami. Je ne peux pas planter un couteau dans le coeur de mon meilleur ami! » Il s'approche pour lui parler tout bas. « Et puis, on en avait parlé. Ça ne devait pas être toi, mon premier meurtre, même si tu ne meurs pas vraiment... »
« Roooh mais quelle chochotte celui là... Déjà de un c'est pas un vrai meurtre hein vu que je vais revenir .. Bon là couteau dans le coeur si tu me fais ça rapidos sans trop de dégâts dans 3 min hop on se tape la causette genre la parlotte hein pas la causette des Misérables ... De deux ... franchement qui ne l a pas fait ? Livio m a tué un nombre incalculable de fois et pourtant c'est mon grand frère ! Même sil est vraiment casse couille avec sa morale à trois chocapics qu'il respecte même pas ... Parce qu'entre nous niveau dépravation meutre sanglant sexuel gore horrifique il a un super level dans le game .. Bah on s'aime ! Ce sont des choses qui arrivent ! En mode oups j'ai glissé sur la savonette t'étais derrière et bam je suis dans ton cul ! Bah là c'est pareil ! Oups t as glissé sur le sol qui est vraiment deguelasse et bim couteau dans le coeur ! Bon par contre tu me rachètes un pull parce que le sang ça part pas sur la laine ! »
River se retourna pour s’approcher des couteaux. Il les observa un instant, avant de baisser les bras. Il ne pouvait pas faire ça. Même s’il savait que le corbeau était immortel, ils étaient dans une maison créée par Zeref. S’il avait pu bloquer tous leur pouvoir, peut-être que l’immortalité d’Agui ne fonctionnerait pas. Peut-être qu’il le tuerait vraiment. Il devait y avoir une autre solution. Les poings serrés, devant la table des armes, le Forst gardait la tête basse. Il ne pouvait pas. Il était lâche. Il ne pouvait pas risquer de tuer son meilleur ami…