« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
’’If I told you what I was, Would you turn your back on me? And if I seem dangerous, Would you be scared?’’
River était toujours agenouillé par terre, essayant de comprendre ce qui se passait. Il venait de tuer Aguistin alors qu’il croyait que c’était tout simplement impossible. Un simple couteau dans le cœur n’aurait jamais du mettre fin à la vie du corbeau. Au bout d’un petit moment, il sentit la chaleur d’Edan, alors qu’il passait ses bras autour de son flocon. Le dragon semblait tout aussi secoué que lui et il se confondait en excuse, alléguant que c’était sa faute. Le Frost aurait voulu lui dire qu’il n’avait rien à voir dans cette histoire, que ce n’était en rien sa faute, mais il ne pouvait que répéter encore et encore qu’Agui ne devait pas mourir. C’était comme si le fait de répéter cette phrase allait réécrire le passé et faire revivre celui qui n’aurait jamais du mourir. Mais ça n’arriverait pas… Le glaçon allait devoir apprendre à vivre avec cet acte qu’il venait d’accomplir. Apprendre à vivre sans son meilleur ami… Le temps passa, mais le mage de glace restait obstinément dans les bras de son dragon, sans bouger. Il ne pleurait plus, il n’était plus secoué de sanglots, le choc était passé. Il ne savait tout simplement plus quoi faire à partir de ce moment.
Puis, River entendit la voix de son amour qui l’appelait, prononçant simplement son prénom, comme dans un rêve. Il décida donc de sortir de son petit cocon et d’affronter la réalité. Il releva son regard de glace et observa tout autour de lui. Il vit le corps de Malakai qui pendait mollement au mur, lesté de son cœur. Il vit les deux jeunes femmes qu’il ne connaissait pas mais qui semblaient chères à Ali et Cassandre, inertes et sans vie. Il observa l’homme plus âgé attaché au mur qui regardait Stanford d’un air résigné. Il savait qu’il allait mourir, et ça ne lui faisait pas peur. Puis, lorsque le pistolet de Ford détonna, perçant un trou dans la poitrine du prisonnier, le combattant sursauta. Il ne restait plus que Lucy. De tous les prisonniers enchaînés aux murs, il n’y avait plus qu’elle qui respirait encore. Lucy, l’épreuve d’Edan… C’est alors que le dragon hurla qu’il ne tuerait personne. Non, il ne le devait pas, il ne le pouvait tout simplement pas. Tuer, ça changeait l’âme à jamais. Et l’âme de son dragon était pure. Il était sa lumière et il ne pouvait pas la laisser s’éteindre pour une simple épreuve. Non… Le glaçon ne le permettrait pas…
Newt s’approcha d’eux et s’adressa au dragon. River se leva doucement en même temps que son amour, écoutant avec attention les paroles de son premier amour. S’il disait vrai, ce n’était pas véritablement leurs amis qui se trouvaient dans cette pièce avec eux. Ou bien ils n’étaient que des copies, ou alors la magie de la Maison les ferait revivre, car ils n’avaient pas été choisis. Le Frost jeta un coup d’œil à Aguistin, souhaitant de tout son cœur que le criquet dise vrai. Mais Edan restait sur ses position. Il ne tuerait personne. Doucement, sans le brusquer, Newt insista pour qu’il passe l’épreuve et, au grand étonnement du mage de glace, le dragon finit par prendre un couteau. Non, c’était impossible! Il ne pouvait pas le laisser perdre sa lumière. « Non! », s’écria-t-il aussitôt. « Non… Ne fait pas ça… Tu n’es pas comme ça. Tu n’as jamais tué personne et tu ne le feras jamais… Je vais le faire pour toi. » Le combattant prit le couteau dans les mains tremblantes de son amour. Edan leva les yeux vers lui, mais son regard était vide. Il s’éteignait doucement… Le Frost, lui, était déjà baigné de ténèbres, alors cet autre meurtre n’allait rien changer à son âme qui était déjà noire.
Mais les ténèbres n’étaient pas encore complètement attachées à River et la lumière des gens autour arrivait toujours à déteindre sur lui. Pourtant, s’il voulait arriver à tuer à nouveau après le meurtre d’Agui, et qui plus est, tuer une personne qu’il connaissait si bien, il devait se laisser sombrer. Il devait se couper de ses émotions, de sa culpabilité, de son empathie. Certes, depuis que les ombres recouvraient son cœur, il ne ressentait presque plus ce genre d’émotions restrictives, mais quand son dragon était près de lui, sa lumière l’éclairait. Il redevenait vulnérable. Il devait empêcher ça et plonger au plus profond de ses ténèbres pour arriver à le protéger. Il se retourna donc vers son amour et plongea son regard de glace dans le brasier de ses iris émeraude. « Promet-moi que tu m’aimeras, peu importe ce qui arrivera… Promets-le moi… », lui demanda-t-il doucement. Le dragon vint poser sa tête contre le torse froid de son amour. « Je… Je te promet de t’aimer… Toujours… Qu’importe ce qui arrivera… », lui répondit-il, hésitant. Le combattant se permit de sourire. C’était tout ce qu’il avait besoin d’entendre.
Avant de sombrer complètement, River se tourna vers Newt. « Crik… Je ne peut pas le laisser perdre sa lumière, c’est trop précieux. » Il marqua une pause avant de poursuivre, la tête baissée. « Tu n’aurais pas du sacrifier la tienne non plus… Je l’aurais fait pour toi, si tu me l’avais demandé… », avoua-t-il timidement. Puis, il releva son regard vers le criquet. « J’ai besoin de toi, Crik… Garde Edan loin de moi, et assure-toi qu’il ne regarde pas. Il est fort et il peut encaisser beaucoup de chose, mais pas ça… Tu peux faire ça pour moi? Tu pourras me détester autant que tu le voudras quand on sera sorti d’ici, mais pour l’instant, fais ça pour moi. Non… Fais-le pour lui, je t’en pris… », lui demanda-t-il alors, comme si toutes les méchancetés qu’il avait pu dire ou faire à l’encontre de son ancien amant n’existaient plus. Newt le regarda un moment sans rien dire, puis il posa délicatement une main sur l’épaule d’Edan, acceptant sa requête. River vint déposer un rapide baiser sur les lèvres de son dragon. « N’oublie pas ce que je ressens pour toi… », dit-il avant de se retourner vers Aguistin. Il allait pouvoir se laisser sombrer.
River regardait le cadavre de son meilleur ami, tentant de faire abstraction de tout ce qui se trouvait autour de lui. Il ne se concentrait que sur le sang qui imbibait son pull. S’approchant rapidement, il leva le couteau qu’il avait pris à son amour et, en un coup sec, il déchira le pull de haut en bas et l’ouvrit pour découvrir le torse de son meilleur ami, transpercé au niveau du cœur. Le Frost passa ses doigts doucement dans les rivières de sang qui coulaient de la plaie. Le sang était encore chaud et cette simple constatation étira les lèvres du combattant dans un sourire sadique. Puis, lentement, il porta un doigt à sa bouche, laissant le goût métallique du sang couler sur sa langue. Bon, il avait fait une plaie, mais il devait toujours aller chercher le cœur qui était protégé par la cage thoracique. Aucun remord… Aucune émotion… « Désolé Raven, ce n’est pas contre toi. Je fais ça pour mon bien… », expliqua-t-il au corps sans vie avant de laisser échapper un petit rire. Puis, le combattant prit un bon élan et envoya son poing directement sur la plaie qu’il lui avait faite au couteau quelques minutes auparavant. Il recula son poing et frappa à nouveau. Il frappa encore et encore dans la chair morte jusqu’à entendre un craquement. « Voilà! Tu vois quand tu veux… », dit-il a son meilleur ami, comme s’il le félicitait de s’être laissé briser les côtes. Le mage de glace fit entrer ses doigts des deux mains dans la plaie avant de tirer de toutes ses forces, jusqu’à déchirer la peau. Puis, il plongea sa main dans le corps d’Aguistin, écartant sans ménagement les bouts de côtes brisées. Il put donc facilement attraper le cœur d’Agui. Il n’eut qu’à tirer un bon coup pour faire céder les artères et sortir l’organe du corps. Complètement perdu dans son monde de ténèbres, le mage de glace n’était plus lui-même. Plus d’émotion… Plus de retenue… Une liberté totale… D’un coup, il planta ses dents dans le cœur de son meilleur ami et tira pour le déchirer. Puis, il entendit un petit tintement. Il ramassa donc la petite clé dorée qui était tombée au sol et la mit dans une poche de son pantalon.
Le bas du visage, le torse et les mains couverts de sang, River se retourna vers Stella. « À ton tour, maintenant… », dit-il à la jeune femme avec, au visage, un sourire des plus carnassiers. Passant près de la table, il attrapa un couteau au hasard, ne quittant pas la blonde du regard. « Grey… Arrête! Tu ne vas pas sérieusement me tuer… Grey… », dit Lucy, morte de peur. Le mage de glace éclata de rire, une fois devant elle. « Qu’est-ce qui se passe, blondasse? Tu fais moins la fière quand tu n’as pas tes chers Esprits pour te protéger… », dit-il en riant. « Grey! Arrête! Ne fais pas ça, je t’en supplie! C’est… C’est pas toi ça… » « Oh oui! C’est moi! C’est le moi qui est libre de faire ce qu’il veut. Alors tu peux crier si ça te chante, mais ça ne changera rien. Je vais quand même te tuer, que tu le veuilles ou non. », répondit le Frost d’un ton particulièrement détaché. C’est alors que la jeune femme se mit à pleurer. « NATSU! NATSU! AIDE-MOI!!! », hurla-t-elle. Derrière lui, Edan cherchait à venir aider son amie, à répondre à ses supplication. Mais il savait qu’il ne devait pas intervenir. Impuissant devant la détresse de Lucy, le dragon se laissa tomber à genoux, luttant contre son instinct protecteur. River se rapprocha du visage de la jeune femme, prenant bien soin de passer un genou entre ses jambes pour l’empêcher de lui donner des coups de pieds. « Il ne viendra pas… Parce que c’est pour lui que je fais ça… Eh oui… Il ne t’aime pas et il ne t’aimera jamais. Il est à moi! », lui murmura-t-il. Il se délecta un instant de sa terreur, puis il recula. « Au revoir, Lucy… » Puis, sans prévenir, le combattant donna un grand coup de pied dans le sternum de Lucy. Un craquement se fit entendre, mais la jeune femme était toujours en vie. Elle hurlait et pleurait. Elle appelait Natsu. Sans aucune once de pitié dans le regard, River donna un autre coup de pied, puis un troisième. Après un sursaut, la jeune femme ferma les yeux et son corps pendit mollement aux entraves. Elle était morte. River s’approcha donc pour déchirer son chemisier. Il lui fit une longue entaille dans la peau, entre les seins. Plongeant sa main dans le corps de la blonde, le mage de glace en ressortit le cœur, en piteux état. Il était transpercé de toutes parts par des bouts de côtes cassées. À l’aide du couteau, le glaçon ouvrit le cœur et en sortit un petite clé dorée couverte de sang. Sans hésitation, il mit la clé dans sa bouche pour la nettoyer et la recracha une fois propre.
Fier de ce qu’il venait d’accomplir, River se retourna vers Newt et Edan. Aussitôt, son cœur manqua un battement. La tension dans ses muscles se relâcha et, plus il s’approchait de son amour, plus il sentait une chaleur remplir son âme. Lorsqu’il arriva à sa hauteur, il se plaça devant son dragon, oubliant complètement qu’il avait la bouche, le torse et les bras couverts de sang. Il leva une main et la posa délicatement sur la joue de son amour, le tachant du liquide écarlate. « C’est fini, mon bébé… J’ai ta clé… », dit-il avec une douceur qui contrastait drastiquement avec l’apparence qu’il avait. Il lui tendit la petite clé argenté qu’il avait nettoyé. Il remercia Newt ave la même bienveillance qu’il avait eut envers son dragon. Il soupira avant de lever les yeux vers la porte. « Sortons d’ici… » Cassandre, qui s’était approchée des deux hommes avant que le mage de glace n’arrive, semblait bien déterminée à détruire la Maison dès qu’elle en aurait l’occasion. Le Frost la regarda avec un sourire. « Oh, mais ne t’inquiète pas, ma belle. Non seulement tu as mon consentement, mais tu auras mon aide. On va la mettre en pièce. », dit-il, plus déterminé que jamais. Puis, il prit la main de son amour et l'entraîna vers la porte. Il sortit sa clé de sa poche et l'essaya dans la deuxième serrure, mais ça ne fonctionna pas. Il l'essaya donc dans la troisième serrure, et cette fois, la clé tourna.
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''Attend-moi, Flocon, je viens te rejoindre...''
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Stanford lui a dit qu'il fallait tuer les personnes qui nous tenaient le plus à cœur et il rajouta pour le réconforter que les personnes devant eux ne sont qu'une illusion, qu'une pâle copie. Pourtant son odorat développer ne le tromper pas, Stella, avait la même odeur qua la véritable Lucy. Il ne pouvait pas et le mage de feu, continuait de dire qu'il ne pouvait pas commettre un tel acte. Puis Newt, doucement, arrive à le convaincre qu'Ema allait en quelques sortes les faire revenir à la vie , car les prisonniers n'avaient pas été choisi, seul eux 6. C'est alors hésitant que le mage de feu prend le couteau et plus il pensait à ce terrible acte qui allait commettre, plus il s'enfonçait dans de profonds abîmes sans lumière. River comprit la détresse de son amour et décida de tuer Lucy à sa place. Le glaçon prend le couteau des mains du dragon. Avant de commettre l'affreux acte, River fait promettre à son amour de l'aimer qu'importe ce qu'il s'apprête à faire. Hésitant, Edan lui fait la promesse. Hésitant, car il ne savait pas comment réagir face à ça.
Newt posa une main sur son épaule pour l'emmener plus loin, loin de River et de la future scène de boucherie. River lui dit alors de ne pas oublier ce qu'il ressent pour son dragon." Je n'oublie pas."
Éloigner de la scène, Edan ne réagissait plus. On lui parlait, il ne répondait pas. C'était horrible, il entendait Stella hurlait son nom et son instinct de protecteur reprenait le dessus, il voulait l'aider. Il cherchait des moyens pour lui venir en aide et c'était une torture pour le pompier. Si sa magie avait été encore là, il se serait enflammé et cramer complètement cette foutue baraque miteuse. Très rapidement, le blond s'effondre, genoux au sol, ses ongles enfonçaient dans la peau de ses mains. Le pauvre chasseur de dragon était impuissant face à la détresse de son ami. Il ne pouvait que rester là, à terre complètement anéanti, Edan entendait Stella le supplier d'aller l'aider, mais le blond était tétanisé, la dernière fois qu'il avait été dans un état ainsi, c'était sur dans son monde, lors de sa première épreuve pour devenir un mage de rang S. Il avait affronté le meilleur mage de leur guilde et s'est rendu compte qu'il n'arriverait jamais à le vaincre.
Ici, devant le regard de ses compagnons et devant cette lourde tâche de tuer son amie, le pompier s'était rendu compte qu'il n'aurait pas su le faire. Son monde s'effondre alors, si ce n'est pas une illusion, comme Queenie va-t-elle réagir en apprenant que pour sortir vivant d'une maison démone, ils avaient sacrifiés la constellationniste. Pas besoin de réponse à cela, elles les auraient massacrés. Edan n'entendait plus rien, il ne voyait pas son amour revenir prêt de lui, s'accroupir devant lui. Il sentit cependant quelque chose de tiède et humide sur sa joue droite. Il reprit lentement ses esprits, retrouvant peu à peu une étincelle dans son regard, mais ce n'était pas encore comme d'habitude.
Il était de surpris de sentir le contact de la main de River, mais quelque chose n'allait pas, au lieu d'être froide, elle était tiède. Une forte odeur de fer lui gratter le nez. Reprenant ses esprits, le pompier vit le regard du combattant. Le visage de River était taché de sang, son torse également, ainsi que ses mains. Le mage de glace lui montre une petite clé dorée, en lui disant que c'est sa clé. La clé qui se trouvait dans le cœur de Lucy. Edan posa son regard sur la clé que River lui tendait, mais très vite ses yeux se braquèrent sur le corps en piteux état de sa partenaire. La voir ainsi, rendait fou le dragon, qui serra les dents, il aurait voulu envoyer la clé au loin, cette foutue clé, l'objet qui a causé la mort de sa meilleure amie.
La colère fit place à la tristesse, dans ce lieu, il lui restait plus qu'une seule personne et elle était devant lui. Ne prenant pas en compte le sang sur le glaçon, Natsu vient se blottir contre lui. Le sang ne le gêner pas, car il voulait garder près de lui, la seule personne qui lui reste.
River l'aide à se relever, il répond à Cassandre qui avait annoncé qu'elle allait détruire la maison quand tout le monde sera sortie et River lui dit qu'il aura son aide. " Je la...Réduirais en cendres, s'il le faut." Le mage de glace prit son amour par la main et l'emmène vers la porte aux six serrures. Alors que River essaye les serrures, Edan en fit de même, en introduisant la petite clé dans la première... Elle n'entre pas. Il essaye la deuxième et un déclic se fit entendre quand le pompier tourna doucement la clé. Leurs compagnons de soirée introduisent également leurs clés. La porte s'ouvre sur un couloir mal éclairé. Il y a une porte de bois au bout du couloir. Elle est en mauvais état et on peut sentir un courant d'air passer entre les planches. En avançant dans le couloir, sur le mur de gauche, Edan voit une autre porte de bois semblable à celle au bout.
"STOP! Il y a une porte ici aussi. On l'ouvre ?" Demanda-t-il tout en ouvrant la porte en question.
La porte grince et s'ouvre sur une toute petite pièce, toute faite en vieux bois. Au centre de la pièce, il y a un très grand coffre de métal. Il y a deux poignées à l'avant du coffre, deux autres derrière le coffre et une de chaque côté. N'écoutant pas les autres, comme fasciné par cet étrange coffre, Edan s'approcha et passa sa main sur la totalité du coffre. Il lui fallait pas grand chose pour lui faire oublier les épreuves que le groupe avait traversé.
" Qu'est-ce qu'il renferme ? " dit-il tout en donnant des petits coups dessus.
"Sérieusement, bébé ? Il te faut juste une petite distraction pour que tu oublies tout ce qui vient de se passer ?" Demanda River qui rentre dans la pièce. Edan arrête de frapper le coffre et le pointe du doigt. " Ça ne t'intrigue pas ? " Mais River lui répond autre chose. "Moi, je veux juste sortir d'ici..." Même si le dragon voulait sortir aussi de ce démon qui se dit être sa sœur, Edan resta devant le coffre. " Moi aussi...mais, il m'intrigue."
..Grey ?
acidbrain
Ali Nacer
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
La pomme roulait, roulait jusqu'a heurter le pied de Stanford. Mais pourquoi choisir une pomme empoisonnée pour commettre le meurtre de ma bien aimée ? Au début c'était pour moi ! Une tentative de suicide , parce que c'était une mort digne d'un drama romantique , comme Roméo et Juliette. C'était aussi le fruit d'un sommeil éternel. Seul un baiser d'amour véritable pourrait rompre la malédiction de Morphée. La pomme était aussi aphrodisiaque pour moi. C'était le fruit du désir ! Parce que si vous connaissez le légendaire Capitaine Crochet. Vous savez qu'il est un Don Juan. Un Don Juan qui a une technique indétrônable pour draguer de la poulette comme dirait Krane, un de mes meilleurs amis. Le Pîrate m' avait enseigné, il y a très longtemps la technique de la noix de coco. Mais au lieu d'utiliser ce fruit, la pomme etait devenue ma signature. Pourquoi ? Toute personne qui avait une connaissance en magie, savait que ce fruit surtout celui d'une teinte rouge était un ingrédient pour la magie rouge. La magie de l'amour. Pour moi l'amour était l'ingrédient de la purification de mon coeur, mais aussi un poison. Un venin qui m'empoisonnait tranquillement jusqu'à j'agonise et que je finisse par mourir. Parce que souvenez-vous de la chanson des nuits d'Arabie.. L'amour c'est fatale ! C'était pour cette raison, que d'une croquée ma Princesse s'était endormie éternellement, dans mes bras. Sur le sol apparut un message en sang: ''J'ai tenu ma promesse, à toi de tenir la tienne..."
Ema avait tenue sa promesse. En échange de la mort de la mère de mes jumeaux. Elle la libérait par magie, de ses liens. Son corps était tombé lourdement dans mes bras. Alors que j'étais assis au sol, profitant de ce moment de répit a la recherche de forces pour survivre. Mais survivre de facon indépendante. Parce que même si mon père adoptif me soutenait a sa manière. Je ne voulais pas etre un fardeau pour lui. Parce que plus je gardais ce contact étroit avec Ema. Plus que je m' affaiblis. Et j'avais besoin de force pour pouvoir porter Laureline dans mes bras. Parce qu il était hors de question, que je l abandonne. Qu'elle soit une illusion ou non ! Je lui avais fait une promesse. Et par amour, j'étais pret a noirci mon coeur. Et a ternir l'image du Scarabée dorée !
Je serrais contre moi, le corps inerte et mutiler de Laureline. Sans me soucier des autres personnes présentes, ni même de la réalité. Je déposais un baiser sur les lèvres froides de ma Princesse. Comme je me doutais aucune réaction. Parce qu'Ema me permettrait jamais de sauver Laureline , d'un baiser. Passant ma main dans sa chevelure mouillée et rouillée pour lui donner de douces caresses. De ma main de libre, s'enroulait le cordon ombilical de notre enfant inexistant, autour de mon bras. Parce que pour me séparer d'elle, il faudra couper le lien et me la prendre contre mon gré.
Ensuite, j'écoutais d'un oreille attentive les conversations de tout le monde pour savoir qui me suivrait dans ma quête de sauveur. Et qui je devrais combattre ..Parce que comme Ema, savait une mission, celle de veiller sur sa vie. Si je le faisais, elle pourrait m'accorder quelques faveurs. Profiteur ? Non ! Je le faisais pour lui donner une chance de vivre une vie meilleure et différente de celle que son père avait choisit pour elle. Mais je le faisais aussi pour mon avenir avec Laureline. Je devais survivre pour mes enfants.
La boucherie semblait terminée parce que tout le monde s'était approché pour mettre sa clé dans sa serrure. Je me redressais , tenant Laureline dans mes bras. Je la collais contre mon buste nu. Lui donnant un baiser sur le front, avant de me diriger vers la porte . D'une main s'arrachait ma chaine a mon cou pour insérer ma clé dans la dernière serrure. La porte s'était déverrouillée..Laissant derrière nous tous ses cadavres sauf le mien. Mais avant de quitter la pièce, j'effleurais la blessure encore fraiche de Laureline. Mes doigts tachés de sang, j'écrivais sur le mur : Merci je t'aime, pourquoi je suis la derniere serrure ? Le message disparut pour faire place a sa reponse : Chaque serrure a sa propre clé. Tu as la dernière serrure, mais tu es le premier dans mon coeur
Un sourire se dessinait sur mes lèvres. Ema était amoureuse de moi..Puis je quittais la pièce.Derrière nous, la porte disparaissait..Aucun retour possible ! On avait donc l'option de continuer dans ce couloir peu éclairé et de choisir une porte. Les amoureux avaient choisis leur porte. Curieux, je jetais un coup d'oeil a la pièce qui avait été ouverte. Il avait un coffre de métal , moins usagé que le reste de la maison. Et qui n avait aucune poussière dessus. Je me doutais de ce qui se cachait dans le coffre. Le coeur d'Ema. La Source de sa magie. Après tout, pourquoi nous avions été choisis par Ema ? Parce qu'elle connaissait notre coeur. Notre coeur était le lien central de cette aventure. Et moi je savais que celui-ci était spécial.. Enfin j'espérais qu'il le soit encore..
Curieux, Je décidais de poser ma main sur la poignée de cette autre porte. Je l'ouvrais. Cette porte mènait a l'extérieur. Menait a l'arrière de la maison. C'était la porte patio ! Mais oubliez l'idée de sortir, parce que le brouillard était encore présent. Et je ne prendrais pas le risque de traverser le seuil de la porte. Parce qu'Ema pourrait me punir. Et je ne voulais pas perdre ma confiance envers elle. Je ne prendrais pas le risque de perdre le cadavre de Laureline. Et parce que je lui avais fait une Promesse. Homme de paroles! Et en plus, elle m'avait promis un rencard. Mais pour cela je devais accomplir toutes mes épreuves.. Il restait une : Le Coffre !
Mais avant Stanford qui était derrière moi. Semblait intrigué.. Parce que la porte patio était déverrouillé. Mais connaissant Ema , elle ne laisserait personne sortir sans sa permission. Mais il fallait quand même qu'on explore une théorie. Je demandais a Stanford de fouiller dans la poche droite de mon pantalon, et de prendre mon trousseau de clefs. Pensant a la meme chose que moi, il lançait l'objet a travers la brume. L'objet en question atterissait sans dégat , sans réaction de la part d'Ema sur le gazon. Parce qu'a cet époque de l'année, nous avons pas encore de neige. L'expérience c'était plutot bien passé! Mais il n'était pas question que je sois le cobaye humain pour la suite de l'expérience. A-t-il un volontaire ? Non tout le monde était dans la pièce du coffre. Dommage, j'aurais pu pousser quelqu'un, a l'extérieur. Mais ce n'était pas notre priorité de tester sur les humains. Pas la mienne ! Parce que je n'étais pas un grand scientifique comme Stanford, qui était en train de prendre des notes dans son carnet. Je refermais donc la porte patio.. Je pénétrais dans la pièce du coffre. Stanford nous rejoingnais quelques minutes après..
Je m'approchais du coffre, je l'analysais..Puis je disais a la communauté de la maison : - Il a six poignées! Donc tout le monde devra prendre sa poignée quand je le dirais. En cet instant, je faisais preuve de leadership. En faites, c'était le coté Sultan qui se réveillait. Je déposais délicatement Laureline contre le coté du coffre. Je m’accroupissais près d'elle mais aussi d'une des poignées de coté. Parce que je voulais être un peu a l'écart du groupe pour communiquer avec Ema. Après tout c'était sa mission de nous aider, en disant la vérité. Donc elle pourrait me révéler ce qui se cachait dans ce coffre. Tremplant de nouveau mes doigts sur la blessure de ma Princesse. Devant moi j'écrivais a Ema : Mon amour dit moi est-ce que ton grimoire se trouve dans le coffre?
La Maison se mettait à trembler, mais une secousse beaucoup moins forte que les précédentes. Comme si la maison vibrait. Surpris, pour ne pas peur perdre l'équilibre je me tenais a la poignée du coffre. Jetant toujours un regard sur le sol pour voir un message : J'ai peur, mon amour... Mon livre est à l'intérieur. Je le protége comme je le peux... Mais j'ai besoin de toi... S'ils le prennent... S'ils le détruisent. La Maison vibrait un peu plus fort..Que je me tenais plus fermement sur ma poignée, de mon autre main je tenais le cadavre de Laureline. Puis le tremblement se stoppait. Ensuite je me relevais, laissant ma Princesse morte là ou elle était. Je m'approchais de mon père adoptif en lui murmurant : - Stanford, -vu qu'il ne voulait pas que je l'appel papa- j'aurais besoin de votre pistolet.. Ne pose pas de questions. Faites moi juste confiance. Aveuglement il me faisait confiance, me tendant son fusil, que je glissais a ma ceinture. Maintenant j'avais un arme pour défendre Ema, le temps de récupérer ma magie du Cosmos. Parce que j'avais promis a ma ''petite-amie en détresse'' que mon amour la sauverait.. Ne dévoilant pas ce qui se cachait dans le coffre. Je retournais près du coffre : - Il va falloir l'ouvrir tous ensemble pour découvrir ce qui a l'intérieur.. Ca pourrait nous aider a sortir de la maison. C'était la moitié d'une vérité ! Sur le bout de mes doigts, il avait encore du sang, j'écrivais de nouveau a Ema: Fait moi confiance bébé je le protégerais, mais si tu veux que je te protege d'avantage il faut que tu me dises comment récupérer mes pouvoirs, ou me dire comment je peux t'aider, si tu es capable de prendre les objets, es tu capable de me fournir des armes ? Le message disparaissait pour laisser place a sa reponse : "Tu auras tes pouvoirs quand tu sortiras... Et avec tes pouvoirs, tu n'auras pas besoin d'armes..." Donc je devais récupérer le grimoire, pour sortir ensuite par la porte patio. Mais qui va s'emparer du grimoire ? Peu importe ! J'étais prêt a faire la peau au premier, qui touche au coeur d'Ema.
Le moment était venu d'ouvrir le Coffre. - Aller tout le monde met sa main..Tout le monde était d'accord. Après tout qui avait mieux a faire ? Peut-être moi, parce que je m ennuis je trouve toujours une idée plaisante pour m'occuper. Au contact de nos mains, on voyait un clavier numérique apparaître sur le coffre. Donc le coffre.. c'était un coffre fort ! Il fallait trouver la bonne combinaison de chiffres.. Parce que personne avait de la dynamite dans ses poches..ou était capable de faire un tour de magie. Touchant une de mes plaies encore fraîches, je mettais du sang sur le coffre. Pour lui écrire : Mon amour il faut que tu me donnes le code du coffre. Elle me répondait :''Vous avez déjà le code..." Tout le monde pouvait lire son message pour m'aider a réfléchir.. Le code devait être nos chiffres tatoués dans notre dos. - J'ai besoin des chiffres de tout le monde , tout le monde tout nu.. La bourgeoise, me foudroyait du regard : - C'est une blague Elle n'avait pas confiance en moi. Moi non plus ! Elle ne m'appréciait sans doute pas. Moi non plus ! C'était le genre de femmes, dont je devais rester à l'écart. Même si physiquement, elle plairait . Mais a cause de son caractère , je restais indifférent. Et toute facon, Ema était plus de mon genre.. Vous allez dire que c'est un manque de respect envers Laureline de vouloir plaire a d'autres demoiselles ? Non pas du tout ! De son vivant, elle respectait mon statut Sultan. Et moi je la laissais voir Robert ''Valerian'' quand elle avait envie.. On était un couple libertin ! Mais qui sait peut-etre un jour, ma facon de voir La FEMME changera un jour. Il faut juste que je trouve la cause, du pourquoi je ne suis plus le Prince charmant du conte de fée.
Vu que la rouquine ne faisait pas confiance a aucun homme de son âge. Parce qu'elle était pudique ou nous prenait tous pour des pervers. C'était Stanford qui se dévouait la tache. Quelques minutes plus tard, nous avons le chiffre de tout le monde. Tout le monde remettait sa main sur sa poignée. Et de ma main de libre j'écrivais sur le clavier : 3-4-6-7-7-8 ..Mais ca ne fonctionnait pas ! Qui a envie d'essayer ? Je regardais Newt et Stanford..Après tout c'était les deux cerveaux de la guide !
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Stanford Pines
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| Avatar : Harrisson Ford
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And it feeds on you
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CHANGE is inevitable
slow and painful sometimes, but ✢ INEVITABLE ✢
| Conte : ?? | Dans le monde des contes, je suis : : Le magicien
The Mystery House is open▲ Ft. de pauvres victimes d'un bâtiment vivant
La clé qui avait été éjectée par la force du rayon laser était celle qui, quelques secondes plus tôt, trônait comme fusionnée dans le cœur de mon frère... Que j'avais froidement tué. Je ne pouvais, après cela, dirigé un regard vers son corps transpercé et m'occupai simplement de rejoindre la clé humide de sang dans la serrure qui m'était désignée. Observant les six serrures, une frayeur me frappa : Et si toutes les serrures allaient avec toutes les clés ? Et s'il n'avait fallu tuer qu'une seule personne pour obtenir une clé et ouvrir toutes les serrures ? Ça aurait été d'autant plus cruel de la part de cette Maison, surtout nous laissant tuer nos proches pour que nous n'apprenions qu'à la fin le sort qu'ils auraient pu éviter. Angoissé à cette idée, je tentai la cinquième serrure, au hasard, mais ne réussis pas à tourner la clé. J'en fus presque rassuré lorsque j'insérai la clé dans la quatrième qui finalement semblait être la bonne.
"Je préfère ça..." Murmurais-je à moi-même, déjà bien irrité par ce que nous faisait subir ce démon.
Je sortais mon journal sans quoi je ne savais où poser le regard et commençai à écrire l'évolution du "jeu", si nous pouvions seulement appeler ça ainsi. Je me disais surtout que nous n'étions qu'un simple test de plus, une recherche pour la Maison qui souhaitait simplement connaître la valeur de la vie pour l'homme. Je notai d'ailleurs avec rigueur ce que j'avais appris d'elle avant de la laisser dans le doute que nous l'abandonnions. Elle n'avait pas compris pourquoi toutes les personnes l'abandonnaient alors que n'importe qui aurait pu se poser la question. Était-elle seulement dotée de réflexion ou se contentait-t-elle du programme ? Si le programme est lui-même erroné... N'est-ce donc pas la faute de son père, Zeref ? River et Edan m'avait confié qu'il était un mage très puissant. Comment pouvait-il se tromper sur un système de mesure de la valeur de la vie ? Avait-il tenté de créer cette être dans l'idée de comprendre quelque chose qui lui échappait ? Avait-il compris, d'ailleurs, après avoir abandonné la Maison ? Je me doutais bien que non, sinon elle ne chercherait pas toujours à l'aider, ce pour quoi elle a été initialement créée. Méditant sur ces questions, j'entourais plusieurs fois au rouge le nom de Zeref tandis que dans la pièce, j'entendais River se proposer pour tuer leur amie à la place d'Edan qui n'osait le faire. C'était, à vrai dire, tout à son honneur... J'aurais souhaité avoir autant de courage que lui. Tuer son proche pour se sauver c'était comme privilégier sa vie au lieu de la sienne. Même si j'avais dû mourir avec Stanley, je l'aurais fait sans hésiter simplement parce que je ne pouvais pas me résoudre à l'abandonner, ni même vivre avec la culpabilité de l'avoir laissé. Si cette croyance permanente qu'on ne pouvait pas greffer une clé dans un cœur et donc que ces personnes que nous avions tué n'étaient pas nos véritables proches ne m'avait pas contraint à agir, je me serais sûrement tourmenté d'autant plus à trouver une énième solution. Mais puisque tout le monde se laissait croire que nous tuions de simples illusions, je me laissais porter au jeu sadique de la Maison. J'aurais pu, également, tuer cette Lucy qu'Edan souhaitait protéger d'un simple coup de pistolet.
"Si vous voulez, je peux..."
Mais non, je me coupai. Du moins, je me permis de me couper lorsque je vis River prendre un couteau et s'approcher d'un sourire sadique de Lucy. Perturbé, je ne quittai pas de mes yeux plissés ses mouvements de couteau, sa position face à Lucy mais aussi, j'écoutai attentivement chacun des mots qu'il lui disait. Froidement. Le doute ne se posait plus que River avait été atteint par quelque chose qui lui avait retiré cette sensibilité à laquelle nous faisions tous face. Était-ce récent ? Car, alors qu'il pleurait pour le sort de son meilleur ami, il se décidait pourtant avec joie à tuer cette jeune fille qui le connaissait, quoique pas si bien qu'elle l'aurait pensé. Lorsqu'il lui donna un coup de pieds et lorsque j'entendis le craquement de ses os se briser, j'hésitai à m'approcher pour l'empêcher de la faire souffrir mais m'ordonna intérieurement de ne pas bouger et le laissa conclure ses coups avant d'entailler sa poitrine et d'attraper le cœur. Ce fût à ce moment que je grimaçai et détournai les yeux... Lorsqu'il arracha la clé de l'organe. Frémissant, je sentais la situation complètement m'échapper avec la sombre impression qu'E.M.A n'était pas la seule personne dont je devais me méfier. Je restai à l'écart lorsqu'ils proposaient chacun de tuer la Maison, même si Newt et Ali s'y opposaient. Ali m'inquiétait également, par ailleurs... Il avait décidé de transporter le cadavre de sa femme par principe de ne pas vouloir l'abandonner. Comment avait-elle été relâchée ? Était-ce... Elle ? Tout le monde avait passé la porte menant à un couloir dont je n'avais pas encore observé le bout. Je me plaçai près du sol pour récolter le sang giclant de cette scène de meurtre et écrivis un message à la Maison. L'idée de rester enfermer ici me rendait de plus en plus inquiet quant à ce qu'il pouvait se passer. Il ne manquerait plus que ce démon nous demande de nous entre-tuer. Qui lancerait le premier coup ?
"Tout le monde t'abandonne parce que tu fais souffrir tout le monde, mais tu peux encore arrêter ça ! Libère-nous ! -La porte est juste devant toi. Tu n'as qu'à sortir..."
Juste devant moi... ? Parlait-elle du bout du couloir ? Je me redressai pour pénétrer dans le couloir et laissai la porte disparaître derrière moi. Celle-ci ne m'intéressait plus avec la nouvelle que je découvrais au bout car, entre-ouverte par Ali, j'y retrouvais le brouillard qui m'avait conduit ici.
"Ali, attends, ne sors pas ! Criais-je. C'est peut-être un piège !"
Nous étions tous les deux d'accord pour tester ce qui semblait être notre porte de sortie et, trouvé dans l'une des nombreuses poches d'Ali, nous lancions un objet qui atterrissait sur le sol à peine visible à cause de la brume mais cela sans déclenchement d'un quelconque piège. Je sentais l'air de l'extérieur, celui que j'évitais presque en restant cloîtré dans mon laboratoire ou à l'hôtel à faire des recherches plus théoriques que pratiques. Je me disais qu'il était peut-être tant de changer cela...
"Nous ne saurons ce qu'il se trouve dehors que si nous nous y rendons..." Lançais-je d'un regard vers le prince.
J'étais tenté, forcément. Mais comment pouvais-je savoir si la Maison ne mentait pas ? Si je ne me souviens pas qu'elle l'ait déjà fait auparavant, je savais néanmoins jusqu'où elle pouvait aller pour atteindre ses objectifs. Elle souhaitait des résultats et j'étais persuadé que ce couloir était un test, encore une fois. Si jamais je passais cette porte... Allais-je être considéré comme une personne qui tient à la vie ? Ou qui cherche les ennuis ?
''Ne crois pas que c'est un piège, mais que nous pourrons y aller le moment venu, quand elle l'aura décidé et conseillé, ne contredis jamais une femme. Ça t'apportera que des ennuis. M'avait-il sagement répondu. -Mais justement Ali... J'avais baissé d'un ton, comme si nous pouvions être entendu. J'ai demandé à la Maison... Elle m'a dit que si je souhaitais sortir, la porte m'était ouverte... - La porte est ouverte, elle a raison, mais ça ne veut pas dire qu elle va vous laissé sortir... et pour sortir vivant, Ema m'a fait promettre que je devais accomplir toutes les "preuves"."
Sans un mot de plus, sans que je ne sache quoi répondre, il partit vers la porte qu'avait découverte Edan mais dont je ne connaissais pas la destination. Je me doutais déjà que c'était une épreuve de plus à passer "ensemble" pour qu'elle s'enchaîne sur une suivante et encore une autre et encore une... Et si la réussite de cette épreuve se trouvait ici, devant moi ? Et si le véritable test était celui de passer cette porte pour ne plus jamais avoir à retourner dans cette maison ? Là où échouerait le démon, si jamais je la quittais, ce serait d'avoir tenté de nous rapprocher et c'est d'ailleurs pour cette raison que je n'osai simplement faire qu'un pas, patientant une, deux puis cinq secondes... Avant de reprendre ma position initiale, à la frontière. Si jamais elle échouait dans ses essais pour nous réunir, qui tuerait-elle ? Celui qui a échoué au test, forcément. Si Stanley n'était peut-être pas mort, je ne pouvais pas me permettre de mourir à mon tour. Pire que cela, je ne pouvais pas me permettre de laisser Ali seul avec des gens dont je ne savais définitivement pas tout. Le comportement de River me rendait méfiant à son égard, je fus surpris par la capacité de auto-dissuasion de Newt, Cassie se comportait étrangement de temps en temps et Edan... Était peut-être la seconde personne pour qui je m'inquiétais le plus. Et pour toutes ces raisons qui pesaient le pour et le contre dans ma tête, je tournai les talons en soupirant et rejoignais les autres, les mains plongés dans mes larges poches de manteau.
Ils venaient de découvrir un coffre à six poignées que chacun tenait fermement sous les ordres d'Ali. Il semblait qu'il ne manquait plus que moi... Observant d'abord la boîte rectangulaire métallique (1m x 50cm - et 1m de profondeur), je me demandais autant ce qu'il pouvait contenir que ce qu'il fallait faire pour le savoir. Est-ce que six poignées allaient-elles donc suffire ? Souhaitait-elle que nous soyons tous réunis avec cet appât pour nous éviter de la quitter en empruntant l'autre porte ? Tant de questions... Et peu de temps. On me pressait. D'un coin de l'œil, je voyais Ali agenouillé à l'autre bout du coffre sans savoir ce qu'il faisait exactement. Je me redressai pour le rejoindre de son côté mais il se redressa avant d'un sourire, souhaitant mon pistolet laser.
"Quoi...? Attends Ali... Je ne sais pas si c'est une bonne idée..." Dis-je en posant justement une main sur l'arme.
Il me demanda de lui faire confiance et après quelques secondes de regard échangés, je décidai de lui confier l'arme. Je n'étais pas habitué à ne pas avoir mon pistolet sur moi mais au moins, je savais désormais qu'il pouvait se défendre et être - peut-être - plus en sécurité. C'est bien la seule chose qui me rassura lorsqu'ensemble, nous décidâmes d'attraper notre poignée. Sincèrement, je m'attendais à tout comme me faire électrocuter ou faire surgir des gnomes tyranniques (c'est à prendre plus au sérieux que ça en a l'air...) qui nous aurait bien fait regretter nos erreurs. À défaut de percevoir tout ce que je pouvais imaginer, un écran numérique s'activa sur la dessus du coffre et demandait un mot de passe composé de six chiffres. Je lâchai la poignée pour m'y approcher mais l'écran disparût alors... Il ne pouvait apparaître qu'au toucher de tous les participants. Ali se baissa pour écrire à la Maison. Sa position était la même que celle de toute à l'heure... Depuis quand lui écrivait-il ? Alors qu'il lui demandait, ici, quel était le code -comme si elle allait le lui dire - elle répondit que nous le connaissions déjà. Je frémis.
"Nos chiffres... Depuis le début, ils avaient comme but d'ouvrir ce coffre." Lançais-je par pure réflexion.
Il fallait que nous dévoilions chacun le chiffre qui eût été gravé dans notre dos et cela n'allait pas être simple puisque tout le monde ne l'avait pas montré. Je connaissais celui de River, d'Edan et d'Ali... ceux Newt et Cassie restaient un mystère. Quant au mien... Je ne sus savoir exactement quelle forme avait formé les coupures. Si Cassie se refusait de laisser un des garçons retirer le haut de sa combinaison pour découvrir son chiffre, elle accepta néanmoins que je m'en charge. Je devais être comme... un compromis dans ce qui lui était proposé, ce que je comprenais. Allant dans un coin de la pièce, elle se tourna pour que je retire les croches qui fermaient sa tenue. Puisque nous nous séparions du groupe, je décidai de lui parler en privé - peut-être serait-ce la première et la dernière fois -. Si cette femme avait l'étrange faculté d'être tantôt craintive, tantôt active, tantôt bavarde et tantôt froide, je savais au moins qu'elle agissait avec logique et sens. Et j'avais besoin de l'opinion de quelqu'un.
"La porte au fond du couloir est une sortie... Je sais que ça a l'air d'être un piège mais j'ai pu la passer sans problème avant de revenir... J'ai peur que la Maison se serve de notre méfiance pour rester ici et peut-être rater notre seule échappatoire... Ce qui se trouve dans ce coffre est-il réellement si important ? - Je n'en ai aucune idée. Je pense que nous devons tout de même vérifier. Mais la maison est bien là pour nous faire des sales coups. Ce que nous découvrirons ne fera sans doute pas plaisir. - Un seul choix risque d'être possible... Si nous ouvrons ce coffre, il n'y aura sûrement pas de retour en arrière. - Sans doute. Mais depuis le début tous les éléments qu'elle nous a donné étaient vraiment utile pour avancer. Même si nous ne l'aimons pas, elle n'a pas l'air assez intelligente pour nous rendre ce genre de piège. Elle reste une création. -J'espère que vous avez raison... Conclus-je en lisant le chiffre dans son dos avant de rejoindre à nouveau les crochets entre eux. 4."
Revenant au coffre et à la combinaison, je retirai ma veste et levai le haut de mon tee-shirt pour qu'Ali note le chiffre. Le numéro 8... Il eût l'idée, que je trouvais intéressante, d'ordonner les chiffres selon leur arrivée. Seulement, ça ne fonctionnait pas. J'avais noté les chiffres manquants à côté des prénoms puis commençais les combinaisons possibles.
"Avec une combinaison à 6 chiffres de permutation simple... Soit la connaissance des nombres en question, ça nous donne... 720 combinaisons possibles."
Je ne sentais pas aider le groupe en disant cela à voix haute et pourtant, j'avais déjà cherché des codes plus complexes que ça. Je commençai à m'amuser en écrivant les possibilités "logiques" avant qu'Edan ne propose son idée : Taper chacun son chiffre. Je ne comprenais pas très bien ce que ça pouvait changer à la manœuvre mais après tout, le coffre n'était-il pas sensible à notre présence ? Au point où nous en étions arrivé, que ne fallait-il pas tenter...
"Avec la même combinaison ? Mmmh... Eh bien, pourquoi pas."
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Newt C. Stark
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Bain de minuit
en toute innocence
(ou presque)
| Conte : Mulan | Dans le monde des contes, je suis : : Cri-Kee, le générateur de chance !
Newt renfila la chemise et la veste de son costume, s'habillant de nouveau une fois que son chiffre, le 7, fut confirmé auprès des autres, restant en retrait durant les tentatives toutes vaines de ce code hasardeux. Le criquait comprenait toutefois l'enjeu, car si la porte de la sortie semblait être si facile d'accès, il était évident, en regardant l'état du monde extérieur, que cela les mènerait nul part, qu'il serait sans issu comme lorsque la Maison était apparue. Cette Ema était aussi vicieuse que mauvaise en faisant croire qu'il y avait un choix là où elle n'en offrait aucun.
Newt comprenait aussi l'enjeu qui se présentera à eux lorsqu'ils trouveront l'intérieur du coffre. Si, comme semblait le déterminer la certitude collective, le livre et coeur du démon était bien ce qui se trouvait à l'intérieur, le groupe serait face à une nouvelle situation qui posera problème. La moitié était assoifée de revanche à cause d'une colère qui leur était totalement compréhensible, face au désaccord des trois suivants. En revanche, si Stanford rejoignait Newt sur la nécessité de ne pas prendre revanche par le meurtre, ce dernier rajoutant aussi que la justice devait l'enfermer pour purger sa peine sans pour autant la détruire comme elle semblait vouloir le faire pour eux... Ali était lui guidé par une cécité, une naïveté poussée qui anéantissait toute sa capacité de réflexion et de jugement, croyant simplement à cet amour factice. Le criquet en avait conscience, le plus grand danger du groupe ne résidait pas dans la majorité qui voulait tuer le démon, mais en l'ancien prince qui refusait de réfléchir correctement à propos de l'entité, ce qui pourrait les nuire ou les enfermer pendant une éternité. Si Newt ne voulait pas prendre de revanche dans le sang, il savait que le Syndrome Bonnie et Clyde d'Ali (en terme plus scientifique, son hybristophilie) nétait ni saine, ni rassurant : car l'hybristophile (ou Bonnie) était attiré par un criminel (un Clyde), mais pouvait aller jusqu'à devenir son complice par amour.
Alors, pour analyser la situation, Newt aurait préféré que ce soit Stanford qui prenne le contenu du coffre pour aviser de la situation, plutôt qu'Ali aveuglé par cet amour hybristophile ou l'une des trois personnes enragées et assoifées de vengeance (ou même lui, considérant qu'il était loin d'avoir la sagesse de Stanford ou ses compétences en leadership). La décision la plus facile et plus sage aurait été de laisser le contenu du coffre, enfermé dans le coffre, mais Ema ne serait ainsi jamais amenée devant la justice et surtout, le groupe semblait n'avoir aucune réelle issue s'ils ne faisaient rien (puisqu'il n'y avait rien d'autre dans ce nouvel espace).
Alors les voilà sans aucun autre choix pour le moment que de trouver le code dont l'ordre était encore mystérieux, malgré les quelques propositions qui semblait en effet évidentes. Et Newt pouvait bien carburer et passer par toutes les idées, il n'avait aucune piste à exploiter pour utiliser ces chiffres dans un ordre ou une utilisation particulière.
Alors que certains devaient certainement s'impatienter devant le coffre, Newt resta toujours fidèle à lui même : silencieux. Il recula de quelques pas, pour regarder la salle, comme en quête d'un indice, puisque l'observation était la première force de Newt et de son esprit de déduction forgé par son ami et détective Gryf. Cependant, si son œil était minutieux et regardait plusieurs fois chaque recoin, la porte de sortie était le seul détail extérieur au coffre qu'il pouvait regarder. Ce qu'il fit donc, toujours dans tous ses détails, avant de regarder sa poignée.
Fronçant les sourcils en songeant à quelque chose, Newt effleura cette poignée du bout des doigts, avant de se retourner vers le mur en face, là où se trouvait une porte.
Je ne pense pas comprendre... mais j'ai peut être une idée, se fit-il enfin entendre après tant de minutes silencieuses, n'ayant pas parlé depuis son dernier échange avec Cassandre.
Il s'approcha alors du coffre, et tapa le code qu'il avait en tête. 7 - 6 - 7 - 8 - 4 - 3 Juste pour être sûr, peut être devrions nous tenir les poignées dans le même ordre que nos chiffres, dans l'hypothèse que ce soit cet ordre ? Le premier 7 est le mien, précisa-t-il pour River.
Et le visage de Newt s'illumina d'une petite joie et fierté lorsque le coffre s'ouvrit grâce au code que Newt avait eu bon !
Je me disais bien que l'ordre des serrures de la porte précédente était un peu trop stricte pour que ce soit normal.
Le cadran disparut alors quand le couvercle du coffre fit de même pour révéler son contenu. Et comme ils semblaient tous s'y attendre, c'est un livre que le coffre refermait. Un livre classique, aux couvertures rigides, toutes brunes. Sur la première, les lettres E.M.A. étaient écrites en noir.
Attendez ! Newt s'empressa de prendre le livre avant quelqu'un d'autre : il voulait éviter qu'Ali ne le prenne pour suivre ses mauvais instincts d'amoureux exploité, ou que River, Edan ou Cassandre ne le détruise sans aviser la situation avant de le faire, risquant ainsi également de faire une erreur.
Il se retourna alors, et le tendit vers Stanford. Avant de s'emporter en besogne, il faut comprendre comme le livre peut nous permettre de sortir de là.
Cependant, personne ne put, dans l'immédiat, argumenter, puisque la maison se mit à vibrer continuellement, d'une force moins élevée que les fois précédentes, mais cette fois-ci sans s'arrêter. Newt s'approcha alors de Stanford, à qui il avait donné le journal, dans le but de l'ouvrir et de voir ensemble s'il y avait une réponse qui les aiderait à l'intérieur. C'est ainsi qu'il vit, en regardant la quatrième de couverture en premier lieu, l'inscription écrite au dos :
Etherious Maison Angelique par Zeref Dragneel
Ce Zeref n'était pas talentueux en magie, se dit Newt, si son projet était "angélique" à la base. Mais Newt haussa les sourcils en remarquant un tout autre détail.
Dragneel ? Edan, tu t'es présenté en tant que Natsu Dragneel dans la pièce précédente, non ? Tu es de la même famille que cet homme ? Un frisson parcouru l'échine de Newt. Tu es de la même famille que E.M.A. ?
De son côté, cette dernière intensifiait les vibrations de plus en plus remarquables, désagréables et... menaçantes.
(c) AMIANTE
Ali Nacer
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
☾ L'amour rend aveugle. Est-ce qu'elle était vraiment amoureuse de moi , ou essayait-elle de combler le vide que Laureline avait laissé dans mon coeur ? En flattant mon manque d'amour en flirtant avec moi. J aurais que ma reponse a la fin de cette aventure. Parce qu elle m'avait promis un rencart. Est- ce que je pouvais la considérer comme ma petite amie ou comme un divertissement ? En pensant divertissement, le seul que nous avions en ce moment était de trouver la combinaison du coffre fort, enfin pour ceux qui voulait sortir de la maison. Parce que l autre option qui restait c 'était de se donner du plaisir. Ema n avait pas l apparence d une maison close. Elle ne ressemblait pas a la demeure de mon voisin de forêt. Parce que le chapelier coquin organisait des superbes orgies. Dans l'une d'elle, j avais conçu Kenza, ma première enfant. Meme si j'étais convaincu que certains seraient partant pour tenir une autre sorte de poignée. On ne pouvait pas parce que la bourgeoise et mon père adoptif seraient contre ce divertissement . Comme je le pensais c etait le photographe qui trouvait le code caché. Et vu qu'il savait qu'il était plus brillant que nous tous. Il profitait de cette intelligence pour profiter de la situation et s'emparer du grimoire. Mais comme vous le savez que le grimoire n était pas qu'un simple livre mais le coeur d'Ema. Il ne devait pas etre dans les mains dans celui-ci , car Ema n'avait pas son coeur a celui-ci. Ni même a Stanford parce que le photographe après avoir observé l'artefact devant tout le monde. Ce qui me créait une certaine jalousie. Confiait le livre a mon père, parce que celui ci avait un raisonnement plus neutre. Je désapprouvais cette décision. Tout simplement parce que..
Ce grimoire devait se retrouver dans mes mains. Il m'appartenait. C'était a moi qu'Ema avait offert son coeur. J'étais son premier amour. Un premier amour ca ne s oublie pas en quelques jours,même quelques heures selon Igao. Ce perroquet aux paroles sages ! Même la Maison essayait de faire comprendre ce message au reste de la Guilde. Parce qu'elle avait commencé a vibrer de toute ses forces, quand le photographe avait pris son coeur.
A cause du tremblement, je m'étais assis pour avoir une meilleure posture pour mon équilibre. Je me tenais fermement d une main avec la poignée. Laureline était solidement attachée a mon bras avec le cordon ombilical de Maverick, le dernier né. Comprenant les ressentis d'Ema. Je me penchais vers Laureline , de ma main libre j’enfonçais deux doigts dans sa poitrine. Parce que j avais besoin d'encre pour calmer , rassurer Ema. J'écartais les jambes, pour écrire un message entre celles-ci sur le sol: Mon amour , cesse de trembler, qu est ce que tu as ? Confie toi a moi. Comme a son habitude, le message s’effaçait pour laisser place a une reponse : J'ai peur... Ils veulent me détruire... Je ne veux pas mourir. Je n avais pas envie qu'elle meurt non plus.. Je m'étais attaché . Je savais qu'elle avait une âme. Meme si elle écrivait qu'elle était un démon. Elle n'était pas si différente de nous. Nous avons tous un coté démon en nous. C'était notre part d'ombre . Mais nous avions aussi un coté humain. C'était notre part de lumière. Même un démon peut choisir d'etre neutre. Le Dragon et moi en étions une preuve. Mais c'était la croyance en l amour qui faisait de nous cet etre neutre. Parce que l amour n est ni blanc, ni noir mais gris. Le message s’effaçait et j'écrivais de nouveau : Tu ne mourras pas, Je vais recuperer ton coeur, meme si je dois tuer mon pere pour le faire , ou meme les autres. Est-ce que j allais le faire ? Peut-etre ! Qu est-ce qui me retiendrait ? Laureline ? Non elle était morte. Et a cause de sa mort, j'étais devenu un meurtrier, donc si j'étais capable de tuer un etre cher a mon coeur. Pourquoi je serais incapable de tuer de nouveau ? Et en plus eux, depuis le début qu'ils étaient sur mon cas. Tout ca parce que j étais un incompris comme Emma.
Il n'y a qu'en toi que j'ai confiance, mon amour...Moi aussi je n avais confiance qu'en elle. Et Stanford . Mais je ne pouvais pas la protéger seulement avec un pistolet , elle devait m aider. Je lui écrivais de nouveau : Alors aide moi a te protéger, soit ma complice, aide moi a recuperer ton grimoire, tu es une demonne, tu as sans doute de grands pouvoirs pour les empecher de te nuire. Le message s effacait et elle me repondait : Tu as raison... Tant que vous êtes dans la Maison, c'est moi qui contrôle tout. Personne ne pourras me détruire si vous restez ici pour toujours...
Soudainement La porte de bois de la pièce se fermait et elle se transformait pour devenir une porte de métal comme dans les autres pièces. Mais il n avait aucune serrure. Aucun signaux lumineux. On nous gardait prisonnier sans doute jusqu a ce qu'on m'offre le grimoire. Je lui écrivais : Mais est-ce que tu as vraiment besoin d eux pour etre heureuse? Parce qu'en nous piegeant tous ensemble, tu nous condamnes a nous entre-tuer mon amour', mais si tu veux que je les tue pour toi je le ferais comme ca on pourrait vivre notre amour ensemble. En discutant avec Ema , j avais compris qu elle ne voulait pas se sentir seule. Elle repondait :Je n'aime pas que les gens meurent dans ma Maison... Mais je ne veux pas qu'ils détruisent mon livre. Assure-toi que personne ne me fera de mal.'' Je lui écrivais encore : Je te le promet mon amour, mais si eux me font du mal quand j essais de te proteger il arrivera quoi ? Apres tout il était plus nombreux que moi. Oui je savais me battre. J etais meme plutot douer, parce que je m entraînais depuis de nombreuses années , avec des chasseurs d ombres et mon meilleur ami Viking, mais je n etais pas le seul combattant de la guide. Et sans mon pouvoir Cosmos j etais plus mortel que démon. Je te protégerai aussi. Elle venait de me garantir protection. Donc sans crainte je pourrais affronter les vrais démons de cette Maison. Ceux qui veulent m enlever ce que j avais de plus précieux : L'amour. Pour Terminer notre conversation de lui écrivais c'est quelques mots : Je t'aime. Puis elle arretait de trembler.
Ensuite j'écoutais la conversation attentivement entre le photographe et le Dragon. Selon le grimoire, Le Dragon avait un lien de parenté avec Ema. A ce moment là, pour une derniere fois, je prenais encore un peu de sang de ma Princesse pour vérifier cette théorie : Mon Amour quel est ton lien avec l'homme Dragon ?Il est mon frère, mon grand frère. Le premier fils de mon père.
Apres avoir eu ma reponse. Une reponse qui allait peut etre me servir pour manipuler cette game. Je détachais Laureline de mon bras. Puis je disais aux autres dans la piece : Ema veut que le grimoire m appartienne, en échange de votre liberté. Parce qu'elle me fait confiance. Donc on ne pourra pas sortir tant que Stanford ne m offre pas le livre. Je tendais la main vers Stanford. Mon pere refermait le livre qu'il gardait en main et me fixait en souhaitant s'approcher, une main devant lui. Il disait "Aladdin... Comment peux-tu être certain que ce livre va réellement nous rendre notre liberté ? Regarde le coffre, regarde le code ! Elle a tout fait pour qu'on atteigne cet objet, Ali. C'est forcément pour une raison... Rien n'est laissé au hasard, ici."
Elle a confiance en moi, j ai confiance en moi. Elle m accorde ce que je désire, si je lui prouve mon amour. Laureline en est la preuve. Elle nous a guidée jusqu a son livre, parce qu elle veut que je la délivre de son enchantement. Il faut que j apporte le grimoire dehors pour qu elle prenne forme humaine.. Parce qu elle veut etre avec moi, et son frere je suis sur. Il feuillette les pages du livre pour voir si ce que tu dis est vrai, reprenant en même temps : "Une forme humaine... Difficile de le savoir avec cet étrange alphabet mais... Il remonte le regard vers toi Laisse-nous le temps de déchiffrer ce livre et on donnera forme humaine à la Maison, Ali. Tu n'as pas besoin d'être contre nous pour être avec elle. Nous pouvons agir ensemble.
Serrant les poings, mon regard gris était moins doux que d habitude. Ma facette démoniaque voulait prendre le controle. Stanford ne m oblige pas, a lui laisser la place. Ce grimoire c'est son coeur, c'est sa vie son histoire. Donc forcement son histoire est écrite. Si tu veux le déchiffrer laisse moi l avoir, je pourrais y demander de le déchiffrer pour nous. Si tu veux qu elle ouvre cette porte, donne le moi
Aladdin... Il fronçait les sourcils Lorsque je tu m'as demandé de te passer le pistolet laser... Je t'ai fait confiance et je te l'ai donné. Je sais que je ne suis pas le père digne que tu aurais pu avoir et je suppose que tu aurais préféré Stanley mais... Je te le demande, s'il te plait. Fais-moi confiance à ton tour. Ema ne nous laisse pas partir parce qu'elle se sert d'êtres humains pour mesurer ce que vaux la vie et aider son père. On peut l'aider tous ensemble si tu nous en laisses la chance !"
Hésitant parce que son discours était quand même convainquant. - Je te fais confiance, mais je ne fais pas confiance aux autres. Elle me fait confiance a moi. Et si jamais il arrive un malheur a Ema , tu en seras le seul responsable. Et tu verras le demon qui sommeille en moi. Je te renierais comme j ai renier Cassim. A cet instant j avais eu une pensée pour le Dijinn amoureux qui faisait parti de moi a cause de ce maudit chat du nom Chaos. La guide etait en train de faire sortir le mauvais coté de moi..
Il soufflait : "Je me porte garant de la sécurité d'Ema si c'est ce que tu veux. Laisse-nous seulement le livre..." Je lui repondais d une voix seche et vexé : Je te donne ta chance, comme tu m as donné la mienne. Mais sache que c'est pas un livre c est le coeur de ma petite amie que tu as entre les mains. Stanford acquiescait.
Ensuite le photographe me disait : "Ali, l'important ce n'est pas ce que tu es, mais ce que tu fais. Ce n'est pas parce que tu es un ange que tu es bon, pas parce que tu es un démon que tu es mauvais. Ema est mauvaise par ses actes, pas sa nature. Je lui disais d'une voix séche : Ema n'est pas mauvaise, enfin avec moi, elle ne l'est pas . Si elle l'est avec vous c'est que vous etes méchant avec elle. Elle m offre une nouvelle chance d etre heureux. Parce que Laureline m'a abandonnée..Jasmine aussi.. Et même Mina..
Trois femmes. Trois prénoms. Chiffre Trois.. Chiffre fatal. Cétait au tour du Glacon de repliquer. Sur le visage de l homme on pouvait lire une froideur, une colere. C'était pas nouveau depuis le début il avait envie qu on se batte. Ce qui me dérangeait pas parce que Krane serait fier de moi. Apres tout il avait coucher avec sa jumelle. Est-ce que c etait mal de coucher avec la soeur de son ennemi ?
Et tu vas en faire quoi de ce livre, hein? Il faut le détruire! Arrête de t'imaginer des trucs, c'est juste un démon!''Je m'imagine rien du tout, Ema est incapable de mentir. Si elle m aime c'est que c'est la vérité. Ton petit copain est un demon aussi non ? Je suis devenu un démon moi aussi a cause de mes bracelets, mais on a un fond d humanité comme Ema.Elle eprouve des sentiments. Donc si je suis ta logique, juste parce qu on est demon on devrait se faire detruire. Si je dois sacrifier ma petite amie, tu vas sacrifier le tien.. Parce que c est des demons. Ce que je vais faire de ce livre, c est pas un livre c est le coeur d'Ema. Ce coeur m appartient parce qu elle me la offert elle m aime.
Sans prevenir, le Glacon colérique s'élancait vers moi pour qu'on laisse parler la testostérone. Mais je n avais pas envie de me battre. Tout ce que je voulais c'était le coeur de ma bien aimée. Pour lui faire comprendre, je sortais d'un geste vif le pistolet de mon pere. Je le pointais sur son petit ami. L'homme froid s'arrêtait en voyant l'arme et se précipitait devant le Dragon pour le protéger. Pour le rassurer je lui disais : T'inquiete pas le glacon, je ne tirais pas sur mon futur beau frere, par contre toi t es un malade, tu es pret a vouloir detruire la soeur de ton petit copain au lieu qu on forme une jolie famille ? C'était pas le but d'Ema de nous rapprocher ? Former une famille c'était un rapprochement entre nous.. Meme si le photographe et la bourgeoise n'était pas vraiment de la famille.. Mais ils seront au moins témoins de cet union. Et par la même occasion Krane serait fier de moi, parce qu'a la fin de cette histoire c'était moi qui coucherait avec la Soeur.
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CODAGE PAR AMATIS
Cassandre De Trémaine
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| Avatar : Madelaine Petsch
Who’s that sexy thing I see over there ? That’s me sending in the mirror. What's that icy thang hanging around my neck? That's gold, show me some respect.
| Conte : Cendrillon | Dans le monde des contes, je suis : : Anastasie
Tout devenait de plus en plus étrange dans cette maison. Ils avaient certes réussi à finir leur épreuve en "tuant" tout ceux à qui ils tenaient, passé leur clé dans la serrure respective et pourtant, comme l'avait prédit sans vraiment le vouloir Anastasie, l'épreuve suivante et sans doute la dernière serait la pire. Ils devaient enfin ouvrir le coffre final, ce qui leur permettrait sans doute de sortir et de détruire cette fichue maison. La rouquine avait seulement autorisé Stanford de voir son dos. Elle n'avait pour l'heure pas vraiment confiance aux autres et elle avait sans doute bien raison. Elle avait parlé lui avec celui-ci, mais avec le recul peut être avait-il eu raison. Peut être auraient-ils dû prendre la porte plutôt que de se concentre sur ce stupide coffre. Ça ils ne le sauront jamais.
Pour l'instant, ils avaient réussi à ouvrir le coffre grâce à Newt, leur permettant ainsi de découvrir un livre. C'était peut être ce qu'ils leur permettraient de détruire la Maison ! En tout cas vu la réaction d'Ali cela était peut être le cas. Anastasie se rapprocha de Stanford pour regarder au dessus de son épaule, effectivement, le livre était bel et bien incompréhensible pour eux.
Quant à Ali, il avait complètement perdu les pédales, en soit cela n'était pas le problème de la jeune femme mais il mettait tout le monde en danger avec ses idioties. Ils n'avaient pas vécu tout ça pour perdre leur liberté au dernier moment par un fou trimbalant le cadavre de sa femme de manière totalement inhumaine. Il avait peut être remonté dans l'estime d'Aaron et légèrement dans le sien lorsqu'il tua sa femme mais là il était retombé au point le plus bas. Il était désormais tellement aveuglé par ce qu'il appelait "amour" qu'il était sur le point de tirer sur Edan et River. Elle ne pouvait plus le laisser agir ainsi. Ils allaient tous se perdre à cause de lui et ses lubies. La rousse appela intérieurement Aaron, il devait reprendre le dessus. Même s'il risquait de ne rien comprendre à la situation il devait l'en empêcher.
Comme prévu, Aaron sorti de l'ombre pour entrer dans la lumière. Analysant rapidement la situation, il comprit étonnement vite ce qu'il se passait. Ou du moins que ses camarades étaient en danger. Alors que l'attention d'Ali était concentré sur River, le blond s'élança et saisie lui poignet d'Ali, le tordant, forçant les nerfs de ses doigts à lâcher l'arme comme il l'avait appris à l'armée. Il récupéra celle-ci avant qu'elle ne tombe au sol et se dirigea vers ses compagnons.
- Tu ne devrais pas pointer ce genre de chose sur tes camarades. Tu es un traître. - Un traître ? C'est lui, dit-il en pointant River du doigt, il a voulu m'agresser parce qu'il veut tuer sa belle-soeur. C'est moi le méchant ? Il a tué deux personnes et veut en tuer un troisième.
Le blond ne comprenait rien à cette histoire de belle soeur mais il savait qu'Anastasie ne l'avait pas appelait pour seulement régler des histoires de famille. Son but avait été de le désarmer. Il l'avait fait point.
- Sa belle-soeur ? Je sais pas de quoi vous parlez mais c'est pas mon problème.
Laisse tomber Aaron. Je reprends la suite. Compris. L'homme ressombra alors pour la deuxième fois dans l'ombre. Anastasie tendit le pistolet laser en direction d'Ali. Cette fois, elle ne comptait pas lui faire de cadeau. Même si elle essaya de rester modérer dans ses propos. Il devait reprendre raison.
- Maintenant Ali, tu arrêtes de te leurrer et tu nous laisses faire. La maison n'est pas gentille et ce n'est pas ton amour. Si les femmes d'avant t'ont abandonné c'est que c'était toi le problème. Non une fatalité que tu inventes. Tu devrais apprendre à agir réellement comme un homme et non un idiot écervelé. - La maison est moins démoniaque que toi. Je préférerais que tu crèves, qu'Ema crève. Qu'est ce que tu sais de l'amour toi ? Oui c'est toujours moi le problème mais je ne serais plus bientôt un problème.
Et bien, si c'était ça l'amour, la rouquine ne voulait clairement pas le connaître. Cela rendait les gens tellement stupide. L'arabe s'élança alors en direction de la jeune femme, lui sautant dessus. Anastasie visa et tenta de tirer dans sa jambe, seulement elle le manqua. La maison venait de créer une lumière aveuglante, obligeant Anastasie à fermer les yeux. Ali atterrit de toute sa lourdeur sur son corps et tenta de l'étrangler. Par pur réflexe elle lui lança un coup de genoux bien placé dans ses fameux bijoux royaux, l'obligeant ainsi à lâcher prise. Elle se releva rapidement et se posta derrière River. Elle était peut être téméraire mais pas stupide au point de se refaire attaquer par ce moins que rien.
- T'inquiète, je suis là et je vais te protéger. Il ne te touchera plus ce malade ! Répondit River face à son geste.
Dès qu'ils se séparèrent, la maison créa un grillage entre les deux, divisant ainsi la pièce en deux. Ali se retrouvait désormais seul de son côté, les autres se trouvant en face. Cette dernière fit alors apparaître la même phrase partout sur les murs ainsi que le sol.
- Arrêtez de vous battre !
Anastasie se pencha sur le plancher en lisant les écritures. Elle appuya sur sa plaie à la main qui était encore douloureuse, et laissa du sang ressortir. Communiquant de nouveau avec la maison.
- Alors laisse nous sortir. - La sortie était devant vous. Vous pouviez sortir ! Mais vous avez choisi de rester pour me prendre mon livre et me détruire. Je ne peux pas vous laisser me détruire. - Tu nous as mis le code sur le dos. tu voulais que nous le trouvions. Pourquoi dire le contraire maintenant ? Tu es en train de nous mentir. - C'était pour que vous sortiez le livre de la maison. Pas pour le détruire... je vais être libre , mais tant que le livre reste caché ici, à l'intérieur de moi. Je suis prisonnière de cette forme. - Tu aurais dû y penser avant de nous faire vivre tout ça. Tu as créé ta propre perte. Comment voudrais-tu que nous t'excusions et te laissions en vie ? Surtout que ton amant semble vouloir nous tuer pour toi. - Puisque tu veux à ce point me détruire, tu resteras prisonnière ici. Si je n'ai pas drtoi à ma liberté, je ne te rendrai pas la tienne. - Alors nous détruirons le livre. Une liberté se gagne. Tu n'es pas en position de force. - Tu te trompes. Sous cette forme, tant que vous êtes à l'intérieur de mon corps, j'ai tout les pouvoirs !
La peau de la rouquine se marqua par deux coupures à la cuisse. La maison voulait lui montrer sa puissance ? Bien. Les De Trémaine n'étaient pas habitué à perdre. Elle trouverait forcément une solution pour sortir d'ici. Son humeur massacrante n'avait peut être pas arrangé les choses avec la maison mais au moins s'ils détruisaient le livre ils étaient libres. Si la maison ne voulait pas qu'ils le trouvent elle aurait dû leur enlever les marques. Ou alors ne pouvait-elle que faire sans annuler les effets. Ce qui était fort possible. Elle se redressa lentement à cause des nouvelles coupures et lança aux autres.
- Dépêchez vous de déchiffrer ce fichu bouquin. Visiblement elle compte me garder ici et prouver qu'elle a tout les pouvoirs.
Ford feuilletait toujours le bouquin rapidement.
- Ça ne doit pas être bien compliqué... La Maison doit comprendre que nous ne sommes pas forcément contre elle... Si seulement elle coopérait. - Concrètement nous irions sans doute plus vite à détruire ce bouquin. Nous sommes contre elle Stranford et vous le savez très bien.
Anastasie ne comptait pas se rabaisser à de la pitié et de la clémence pour sortir de cette maison.
’’We make ashes just with matches To ignite the flame And all the hopes of the youth Deemed fuckin' insane’’
Lucy était morte. Aguistin était mort. Tout le monde était morts, exceptés les six élus de la Maison. Si River avait cette soif de vengeance qui le poussait à vouloir détruire cette baraque qui les retenait prisonniers, ce n’était rien face à la rage de son dragon. Edan ne trouverait pas le repos tant qu’il n’aurait pas réduit cette maison en cendre. Ils devaient sortir de là au plus vite afin d’apaiser les tourments de son amour. Lorsque la porte s’ouvrit sur un couloir menant à une porte d’où on pouvait sentir l’air extérieur, le combattant se dit qu’enfin, ils allaient pouvoir quitter cet endroit maléfique. Mais, bien sur, c’était sans compter sur la curiosité enfantine de son bébé dragon. Plutôt que de se diriger vers la sortie. Il avait bifurqué à gauche, ouvrant une autre porte pour savoir ce qui pouvait bien se trouver derrière. Le Frost avait bien essayé de lui dire que ça n’avait aucune importance et qu’ils devaient tout simplement partir, c’était trop tard. Edan avait jeté son dévolu sur le mystérieux coffre qui se trouvait dans la pièce et il voulait absolument savoir ce qui se cachait à l’intérieur. « Mais, mon démon… On s’en fout de ce coffre… On sort d’ici… Allez… », insista-t-il, sans succès. Il n’y avait rien à faire, quand Natsu avait une idée en tête, il était impossible de lui retirer. Soupirant, le mage de glace s’avança et feignit, sans aucune crédibilité, de s’intéresser au coffre. « C’est vrai que c’est bien mystérieux tout ça et je me demande vraiment ce qu’il y a là-dedans… Bon, on s’en va, maintenant? », demanda-t-il encore une fois.
Les uns après les autres, tout le monde finit par entrer dans la pièce et sembla s’intéresser au contenue du coffre. « Mais la sortie est juste là! Vous êtes tarés ou quoi? L’endroit vous plait et vous songez à vous y installer? », demanda River avec cette petite pointe de sarcasme. Certes, il aurait pu tourner les talons et partir, mais il était hors de question qu’il sorte sans son dragon. Il décida donc de suivre le groupe, à contrecœur. Il posa la main sur une poignée lorsqu’on le lui demanda, tapa son chiffre, remis sa main sur la poignée. Il suivait toutes les consignes de ce groupe qui n’était visiblement pas doté du sens des priorités, non sans rouler des yeux et soupirer bruyamment. Finalement, Newt fut celui qui trouva la bonne combinaison pour ouvrir le coffre. Bon, la curiosité l’emporta et le Frost plongea son regard à l’intérieur de la grande boite de métal. Il n’Y avait rien, à l’exception d’un bouquin. Un livre de Zeref… Le mage de glace ouvrit de grands yeux, sachant qu’il avait devant lui l’objet à détruire. Détruire le livre détruirait le démon.
Mais avant qu’il ne puisse s’emparer du livre, Newt le prit et, aussitôt, la maison se mit à vibrer. Ce n’était pas les gros tremblement qu’elle avait eu avant, mais tout de même, c’était étrange. Newt avait donné le livre à Stanford, disant qu’il renfermait peut-être la clé pour sortir de ce cauchemar. « C’est pourtant simple. Tu me donne le livre, je le détruit, ça détruit la Maison et boum! Nous voilà libérés! Pourquoi toujours vouloir se casser la tête… », demanda-t-il, excédé. Il en avait marre. Il voulait retourner à la guilde, prendre une bonne douche froide et aller dormir dans les bras de son amour. Ce n’était pas trop demandé! Newt et Stanford feuilletaient le livre et le retournaient. C’est alors que Newt tiqua sur le nom de Zeref. Zeref Dragneel… Il était vrai que le combattant en connaissait très peu sur le mage noir, mais s’il était certain d’une chose, c’était bien qu’il n’avait rien à voir avec son bébé dragon. « Non! C’est impossible! », commença-t-il, mais sa voix était peu assurée. Il tourna son regard de glace vers son amour, ne sachant trop comment réagir. Se pouvait-il qu’Edan soit réellement lié à Zeref et Ema? Il voulait se convaincre que c’était faux, mais tous les éléments étaient là…
Soudainement, Un mouvement de la Maison fit sursauter River. La porte de bois qui était restée ouverte se referma et se transforma pour devenir une de ces lourdes portes de métal. Ils étaient à nouveau enfermés. Aussitôt, la colère s’empara du Frost qui serra les poings et la mâchoire. C’est alors qu’Ali, qui avait terminé sa conversation avec la Maison, se releva et exigea de prendre le livre. Stanford s’opposa avec un calme désarmant, mais Ali insistait. Newt tenta à son tour de le raisonner, mais sans succès. À bout de nerf, le mage de glace expliqua, sur un ton plutôt brutal, au prince qu’ils devaient détruire le livre pour détruire le démon qu’était Ema. Ali lui répondit que si les démons devaient être détruits, alors Edan aussi allait devoir mourir. « Il n’est pas un démon! », hurla le combattant, fou de rage qu’il se permettre de menacer son dragon. Aussi, il s’élança vers le prince, les poings bien fermés, prêt à frapper, mais il s’arrêta net. Ali avait prit le pistolet que lui avait gentiment donné Stanford et, plutôt que de le pointer sur son assaillant, il visait Edan. Aussitôt, le glaçon se plaça devant son dragon. « Comment oses-tu le menacer? », cracha-t-il froidement. Ali tenta de le rassurer en lui disant qu’il n’allait pas tirer sur le dragon, vu ses liens avec Ema. La mâchoire et les poings toujours serrés, il n’en fallait pas beaucoup pour que le mage ne sombre à nouveau. Il baissa la tête un moment, pris de spasmes. Puis, tout son corps se détendit. Lorsqu’il releva la tête et planta son regard de glace dans celui d’Ali, il souriait. « Oh, mais ne t’inquiète pas… Je ne te laisserai pas vivre sans ta dulcinée. Quand je l’aurai détruite, je te tuerai aussi. Tu pourras la rejoindre en enfer… » Il fit un pas en avant, sans craindre le pistolet, sachant qu’il ne pourrait atteindre son amour puisqu’il faisait barrage. « Je vais te mettre en pièces, Ali. Je vais congeler ta peau, pour que tu sentes la morsure du froid, avant de congeler ton sang, un membre à la fois. Je vais m’assurer que tu souffre longtemps. Je vais continuer jusqu’à ce que tu me supplie de t’achever. Et à ce moment-là, je continuerai encore à te torturer. Et quand j’en aurai assez d’entendre tes cris et tes pleurs, à ce moment-là seulement, je te tuerai. Tu menaces mon dragon, c’est ce que tu récolte. Et si tu t’avise de le toucher, je te jure que cette lente agonie sera le dernier de tes soucis après ce que je ferai subir à ceux que tu aimes. À tes enfants… », le menaça-t-il, à nouveau plongé dans ses ténèbres. Plus il se laissait sombrer, plus ça devenait facile.
Sans que personne ne s’en attende, Cassandre profita de ce moment où toute l’attention du prince était sur River pour l’attaquer et récupérer le pistolet. Elle le traita de traitre, mais Ali remit la faute sur le glaçon, rappelant qu’il venait de tuer deux personnes et qu’il s’apprêtait en en tuer une troisième. « Et une quatrième si tu ne ferme pas ta gueule! Cette Maison n’est pas une personne! Si tu savais tout ce que les démons de Zeref ont fait dans mon monde. Si tu avais vu… », il s’arrêta alors que ses bras se mirent à trembler et de petites perles d’eau s’accumulaient au coin de ses yeux. Le mage de glace tourna la tête un instant et passa son avant-bras sur son visage pour éviter qu’une larme ne coule. « Si tu avait vu Déliora… Tu es prêt à protéger ce genre de monstre! Ça fait de toi un monstre. Tu es bien pire que moi… », cracha-t-il froidement
Cassandre tenta de raisonner Ali, mais sans succès. Il était fermé comme une huitre. Il s’élança donc vers elle, mais River ne put voir ce qui se passa ensuite, car une lumière aveuglante venait d’apparaître derrière le prince. Le Frost plaça donc une main devant ses yeux, détournant la tête, mais il entendit tout de même un tire du pistolet. « Cassandre! », cria-t-il, espérant que la rousse ne soit pas blessée. Lorsque la lumière disparut, le glaçon put voir la jeune femme se relever alors que le prince reculait, visiblement blessé autant physiquement que dans son orgueil. Elle vint se placer derrière le combattant qui leva un bras comme pour faire barrière entre elle et Ali. Mais une véritable barrière se dressa, séparant le prince du reste du groupe et Ema les somma tous d’arrêter de se battre. Maintenant éloignés de ce malade, le mage de glace put prendre le temps de suivre la conversation entre la Maison et la rouquine, conversation qui se termina par deux marques qu’elle reçu sur la cuisse. Le combattant s’accroupit près d’elle. « Ça va? », lui demanda-t-il doucement. « Je suis d’accord avec toi, qu’il faudrait détruire le livre, plutôt que de tenter de le lire en entier, mais je viens de réaliser un truc. On détruit les démon avec la magie. Malheureusement, la magie ne fonctionne pas, ici. Alors on peut bien déchirer le livre et s’essuyer le derrière avec les pages, je ne pense pas que ça nous aiderait à sortir d’ici. J’ai bien peur que notre seule chance, ce soit les deux cerveaux, là-bas… Miser ma survie sur deux intellectuels… Si Agui était là, il se foutrait bien de ma gueule… », termina-t-il en riant un peu. Il s’assied par terre, adossé au mur, remontant un peu les genoux. « T’inquiète pas, ma belle. On va tous sortir d’ici. Et j’espère pour le prince qu’il court vite, parce que je vais lui faire la peau… »
Finalement, River décida de donner un coup de main aux deux cerveaux qui travaillaient. Il n’était pas celui qui perdrait du temps à déchiffrer le message, mais il se souvenait d’avoir vu Levy faire, dans son monde. Elle, elle aurait déchiffré le livre en entier en quelques minutes. Aucune écriture ne lui résistait bien longtemps. Il se souvenait de l’avoir entendu expliquer à Lucy les procédé d’analyse des langues inconnues. « Heu, les gars… Je dis peut-être n’importe quoi, mais bon, ça pourrait vous aider. Une fille trop balèze dans ce genre de chose, dans mon monde, m’avait déjà expliquer que pour déchiffrer un code alphabétique, il fallait commencer par repérer les lettres doubles. Deux symboles identiques collés, parce qu’il n’y en a pas beaucoup, des lettres qu’on peut doubler. Et il faut aussi trouver le symbole qui revient le plus souvent. C’est presque toujours un E. Ou une voyelle, en tout cas. C’est tout ce que je peux faire pour vous. »
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Edan Sparkles
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" J'ai le swag comme ça!"
''Attend-moi, Flocon, je viens te rejoindre...''
''Ah oui? :gnia: :gnia: :gnia: :gnia: '
| Conte : Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : Natsu Dragneel
L'idée d'Edan ne fonctionnait pas, c'est alors que Newt repensa à l'ordre des clés de la salle précédente et fit un lien avec les numéros. L'idée de Newt était la bonne, le coffre s'ouvre sur un livre, très vite le photographe le prend en main et regarde la quatrième de couverture. Il interpella Edan en lui demandant si il s'était bien presenter sous Natsu dragneel dans la pièce précèdente. " Ouais, pourquoi ?" Le photographe demanda si il avait un lien avec cet homme et si il faisait partit de la famille d'Ema. Edan s'approcha, mais il avait senti le doute dans la voix de Newt, comme si le criquet devait avoir peur lui. " Je ne sais pas pourquoi ce type à le même nom de famille que moi, d'accord. En plus il a vécu, il a plus de 400 ans. J'ai était élever par un dragon du nom d'Igneel, j'ai rien avoir avec ce type." Dit-il en pointant du doigt le livre. " En plus je ne suis pas un monstre, ni un démon. Je n'ai pas de lien avec Ema."
La situation dégénère peu à peu et Ali vient menacer Edan. River ne voulant pas perdre la personne à qui il tient le plus se mit devant son amoureux et à son tour menace le prince. Ali lui dit alors que si il devait sacrifier Ema, River devait lui aussi dire au revoir à Edan. " Mais t'es malade, dans quelle langue je dois le dire pour que vous me comprenez à la fin. JE ...NE...SUIS...PAS...UN...DÉMON...." dit-il en détachant chaque mot pour que tout le monde puisse bien les imprimer dans leur tête. "JE SUIS UN DRAGON SLAYER. ET JE NE SUIS PAS DE LA MÊME FAMILLE QUE LA MAISON." Puis Edan pointa Ali du doigt. " Si tu tire sur River, je te promet qu'on va tous insister à un barbecue, car tu menaces des personnes de la guilde Fairy Tail et chez nous c'est oeil pou oeil, dents pour dents." Tout s'enchaina vite et la maison sépara le groupe en deux, en les sommants de s'arrêter.
Peu à peu, la tension redescend d'un cran pour redevenir plus que silence. La maison, EMA, attendait que les six personnes redeviennent sage en les séparant en deux groupes, comme si les élus étaient des sales garnements qu'il faut essayer de matter. Enfermé, Edan commençait à faire les cents pas, il n'aimait pas être prit entre quatre mur comme un animal dangereux. Il n'allait pas loin et rester plutôt près de River, puis il s'adossa à un mur et se laissa lentement glisser, jusqu'à ce que ses fesses touchent le sol. Combien de temps vont-ils attendre de la sorte ? Jusqu'à ce que les deux intellos du groupe, arrivent à décrire tout le livre ? Si seulement Lévi était là avec eux, ce bouquin aurait était déchiffrer en peu de temps qu'on pourrait dire maisonnette. Ou un des deux camps pardonne à l'autre ? cela risque de prendre du temps. Edan regarda par terre et à ce moment, le blond vit un message toujours en lettre de sang apparaître et qui lui était destinée. Cela faisait longtemps qu ' Ema ne lui avait pas adressé la parole. Le chasseur de dragon, ne comprenait pas pourquoi, la maison voulait encore lui parler alors qu'elle sait que le blond ne la portait pas vraiment dans son coeur...mais peut-être qu'au fond, a part Ali, Edan était la deuxième personne en qui elle voudrait placer sa confiance.
"Onii-chan, tu dis que tu ne veux tuer personne, et je te comprends. Je refuse de tuer, moi aussi. Mais dans ce cas, pourquoi cherches-tu à me détruire? Toi et moi, nous sommes les seuls démons créés pour faire le bien. Même si tu t'en sors mieux que moi, je ne mérite pas de mourir..." Edan n'aimait pas se faire appeller ainsi surtout que pour lui, le seul pere qu'il à connut était un majestueux roi dragon, Igneel. Il n'aimait pas non plus le fait qu'on lui dise que c'est un démon. Il regarda son pouce, le sang avait formé une petite croûte et du coup, le dragon l'enleva avec ses dents " Arrête de dire que je suis un démon. Je n en suis pas un. " Mais malgré cela, la détresse l'interpeller et il essayait de comprendre pourquoi...pourquoi elle dit ne vouloir tuer personne alors qu'elle fait souffrir beaucoups de gens. "Tu ne tue peut être pas. Mais t oblige les gens à le faire et là limite on était entrain de s entretuer " Lentement les lettres de sang s'efface et une réponse se fit tout de suite."Onii-chan... Que tu peux être bête parfois... Vous n'avez tué personne. Du moins, pas réellement... C'est l'essence même de ma magie, regarde par toi même..."
Juste après avoir dit cela , les coupures dut aux lames des couteaux et aux seringues disparaissaient à vu d'oeil, jusqu'à laisser sa peau sans aucune trace traces. Edan fut surpris...alors c'était un peu dans leur tête ? La douleur s'était leur cerveau qui émetter des messages...Le mage de feu ne comprenait plus rien et il faut peu de chose pour perdre totalement le dragon de Fairy Tail. " heuu...je ne sais pas quoi dire...merci...peut tu guérir les autres aussi. Il verront que tu n est pas entièrement démoniaque...." Edan lui demanda si elle pouvait guérir les autres, car peut être que ça allait tous les réconcillier. "Mais, je ne t'ai pas guéri, puisque tu n'as jamais été blessé... Mais puisque tu y tiens..." Les blessures causées par la Maison, y compris les chiffres gravés dans tous les dos, disparaissent. Pour en être sûr, Edan regarda le dos de River qui s'était installé prêt de lui depuis le début de la conversation. " Tu n'as plus ton numéro, elle vous a guérit."
Ali, qui était de l'autre côté tout seul, comme une pauvre âme en peine, ne disait rien, rester silencieux, comme si il n'avait pas entendut le dragon. Cassandre qui était avec Stanford, Newt, River et le dragon, demanda pourquoi la maison les a soigné. Le dragon approuva de la tête et la rousse lui demanda: - "Hé bien si elle t'écoute tu pourrais peut être nous faire sortir de là. " Stanford avait redresser la tête, perplexe... puis dit en se replongeant dans les recherches : « Elle semble plus nous faire confiance qu’on ne lui fait confiance. » On dirait que le scientifique avait raison et qu'Ema placer une confiance sans faille envers eux.
" je te remercie quand-même car tu n étais pas obligé, même si c était des illusions. Agit par toi même et pas parce qu on ta dit ou programmé pour faire ça . " Edan remercie quand même le bien immobilier, car elle n'état pas obliger de faire ça, mais elle l'a fait quand même. Pour lui c'était normal de dire merci. Puis il lui conseilla d'agir par elle même et elle lui répondit aussitôt sur un air de confidence. "Je voudrais bien, mais j'ai beaucoup de mal à aller à l'encontre du but que papa m'a donné. Sous cette forme, je n'ai aucune liberté, ou presque..." Ema se confiait à lui et de ce sentiment de mal être si elle allait à l'encontre du but pour laquelle à été créée, mais à force de penser cela, elle ne sera jamais libre...libre d'être elle même. Edan essaya de lui faire comprendre doucement " c est difficile, pas besoin d etre un demon pour comprendre...tout le monde passe par là pour se libérer un peu. Pour être un peu soi-même." Puis il se rapella que la maison avait dit qu'elle n'était pas libre sous cette forme et Edan pensa alors que sous son autre forme, elle aurait plus de liberté. Il s'empressa de lui demander: " Attend tu dis sous cette forme, mais est ce que sous ton autre forme, tu as plus de liberté ?"
River était rester près du blond, avait-il eu peur lorsque son amoureux a commencer à répondre à Ema. Le glaçon ne faisait rien, il restait près du chasseur de dragon à regarder la conversation écrite entre Ema et Edan. Le blond posa sa tête contre l'épaule du glaçon, mais à ce moment Ema lui répondit: "Sous mon autre forme, ma forme de base, je suis libre. Je n'ai pas besoin de piéger des gens. Je peux faire ce que je veux. Mais je suis coincée dans cette forme à cause du livre." Edan comprenait que le livre la retenait et la bloquait dans cette forme, qu'elle n'aimait pas, car elle ne voulait pas faire de mal aux gens et les faire souffrir. " D'accord, donc le livre te maintient prisonnière. Tu vas me trouver exaspérant. Es-tu différente de la lullaby et de déliora ?" Le blond voualit savoir à quel type de démon Ema appartenait, alors il prit exemple sur les deux demons de son monde qu'il avait déjà rencontrer. Edan avait hésité au sujet de Déliora et avait regarder son flocon pour voir si tout aller bien tout en lui prenant la main. Ema répondi : "Différente? Différente comment? Eux, ils sont très grands et monstrueux, alors que moi, sous ma forme de base, je suis toute petite et délicate. " Ema ne comprenait pas, mais en même temps le chasseur de dragon n'avait pas expliquer d'avantage, alors il écrivit : " non, je ne veux pas dire différents sous forme de monstre. Mais leur façon de penser, détruire et tuer les êtres humains et toute vie animal et végétale."
La maison essaya d"expliquer calmement , si on peut dire ça vu qu'elle l'écrit et il n'y avait rien de menaçant dans son explication. "Je te l'ai dit, onii-chan... J'ai été créé pour faire le bien. Je ne peux rien détruire avec mes illusions. Et même si je le pouvais, je ne veux pas semer le chaos comme Déliora, ou la mort comme Lullaby. Je veux seulement aider les autres et avoir des amis." Au moins elle n'était pas comme eux, c'est déjà ça. Edan regarda River pour voir comment il va réagir. Ce dernier lui dit : "Voyons, bébé, tu ne vas pas me dire que tu la crois! C'est un démon de Zeref. Le seul but de ce mage est de semer la mort. Pourquoi il aurait créé un gentil démon? C'est n'importe quoi!"
" Pourtant elle a "soigner" les blessures qu'elle nous a infligé...et elle m'a dit qu'on avait pas tuer personne...A vrai dire....Je suis perdu...je n'arrive plus à discerné ce qui est vrai ou non " Edan essaya de faire comprendre que peut-être la maison veut changer, la rédemtion existe aussi pour elle. Mais il avoue qu'il était perdu, car à chaque fois qu'il croyait que leur ennemi a changé, c'était un mensonge. Il en avait marre de se tromper sur eux, pourtant il rester optimiste. River lui répondit alors : "Elle te manipule... C'est ce qu'elle fait depuis le début. Elle joue avec nous." Pour c'était certain que la maison le manipule à cause de sa naïveté et qu'elle joue avec eux, du coup faut pas lui faire confiance. Il avait sans doute peur qu'à un moment son dragon, se comporte comme Ali et leur tourne le dos pour protéger la maison." Laisse moi, encore quelques questions ou essaye toi. " demanda t-il à l'élu de son coeur.
Edan recommença alors à écrire et il reprit alors un mot que River avait dit. Il devait savoir si c'était de la manipulation ou non, puis il lui demanda si ils pouvaient tous sortir et qu'est-ce qu'elle attendait vraiment de lui "Manipules tu quelqu'un ? Peut-on encore sortir tous ensemble ?......qu'attend tu vraiment de moi ?" Ema répondit à sa première question sur la manipulation. "Manipuler? Non, voyons... Je ne ferais jamais une chose pareille.. "
Ensuite il se passe quelques minutes avant qu'elle ne réponde à la deuxième question. Cela a permit entre temps à ceux aui était à proximité du message à réfléchir sur ce qu'elle avait écrit. "J'aimerais tous vous laisser sortir. Onii-chan, tu dois me croire. Mais j'ai peur... Si je vous laisse sortir, maintenant que vous avez mon livre... Je ne veux pas mourir... Et je sais que certains d'entre vous voulez me détruire. L'élu de ton coeur... Et la jeune femme au coeur mélangé... Ils veulent me détruire..." River et Cassandre voulaient détruire le livre, mais chose étrange c'est qu'elle ne mentionne pas Edan. Savait-elle que des fois, il lançait des menaces en l'air ? Puis Ema répondit à sa dernière question. "Et ce que j'attend de toi... J'aimerais seulement que tu sois mon grand frère, que tu m'aimes comme moi je t'aime depuis que je t'ai trouvé. J'aimerais que tu sois libre d'être toi-même, le démon que tu as toujours été. " Edan avait du mal et ne croyait toujours pas en Ema sur ses liens de famille, même si on lui avait mit sous le nez le nom de famille de Zeref qui était le siens. Non pour lui c'était impossible, depuis enfant, il ne connaissait qu'Igneel et personne d'autre. Mais avant qu'il n'eut le temps d'écrire quelque chose, River, qui était à côté de lui prit la parole.
''Elle a raison sur un point. Dès que je trouve le moyen de sortir d'ici, je vais la détruire. Y'a que moi qui a le droit de t'appeler mon petit démon!'' Certes, il n'y avait que le glaçon qui ait le droit de l’appeler ainsi, mais c'était surtout à cause de se qui se passe dans leur relation. " C'est surtout parce que je te mord et je te griffe que tu dis que je suis un démon, mais je le répète, je n'en suis pas. " River soupire. ''Mais... Tu la crois vraiment? Tu pense vraiment qu'elle n'est pas méchante?'' Edan est penseur " je ne sais pas. Je me fait souvent avoir quand nos ennemis se repentisse. Certain sont sincère et d'autre ne le sont pas."
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The Mystery House is open▲ Ft. de pauvres victimes d'un bâtiment vivant
J'étais en train d'écrire les chiffres dans mon journal tandis que Newt longeait la pièce avant d'avoir une idée. Je me laissai guider par ses ordres et finalement, poignée en main, le coffre s'ouvrit dès le premier essai de sa part. Il expliqua avoir comparé l'ordre des chiffres à celles de nos serrures, dans la pièce précédente, qui ne l'avait pas laissé indifférent. Je ne pouvais qu'acquiescer sa découverte en rayant mes codes et en notant le bon. Un sourire s'afficha sur mon visage tandis que je refermais mon livre que je gardai dans une main.
"Effectivement, Newt. Je n'y aurais songé qu'après avoir tenté les ordres les plus simples mais celle-ci est d'autant plus logique... Rien n'est laissé au hasard."
J'avais confiance en cette personne plus qu'à ceux que je venais de rencontrer - car je ne comptabilise pas Ali dans ce groupe -, et cela à mon plus grand étonnement. Faire confiance à quelqu'un, ce n'était pas si simple et encore moins à prendre à la légère. Autrefois, je faisais confiance aux mauvaises personnes et ne voyait pas celles qui me tendaient vraiment la main... Lorsque Newt me tendit l'épais livre qui se trouvait dans le coffre, je comprenais qu'il me faisait également confiance et cela même si j'étais le "père" de celui qui souhaitait s'en emparer. Aladdin souhaitait ce livre car, comme je m'en doutais, il avait écrit à la Maison, Ema, un peu plus tôt et ne cessait de lui vouer un amour méconnaissable. J'avais vu toutes sortes d'amour dont le sien lorsqu'il s'était marié avec Jasmine mais depuis... Je n'ai pas dû suivre avec précision ses conquêtes car il semblait qu'il élargissait un peu trop ses relations. Non que je le jugeais ! Je m'inquiétais surtout ce qu'il advenait de lui. Sa femme - ou du moins ce qui la représente - est morte mais il tenu à prendre le cadavre avec lui, enroulant autour de son poignet le cordon ombilical de son dernier enfant né. Il n'était pas comme d'habitude, c'était certain, et je n'avais pas besoin de Stanley pour me le faire remarquer. C'est avec tout le respect que j'avais pour le garçon qui se trouvait devant moi que je lui expliquais la nécessité de ce livre et les possibilités qu'il pouvait nous offrir. Ce que je prenais en considération, surtout, c'était qu'il avait mon pistolet dans sa poche et qu'il pouvait le sortir à tout moment. Je lui faisais confiance, comme il me l'avait demandé, mais son cas s'empirait et de la confiance était peut-être ce dont il avait le plus besoin pour le moment. Je m'étais déjà fait avoir une fois... Je ne le ferais pas une autre. Ali ne pouvait pas me trahir, ou bien ce ne serait pas le Ali que je connais. Lorsque je plongeai mon regard dans le sien, je le voyais disparaître lentement. Le temps pressait.
Il m'accordait une chance et je me jetai à terre où je déposai le livre et mon journal à plat sans perdre une minute car pour les autres... Ce n'était pas le même refrain. Newt me rejoignait après avoir expliqué à Ali ce que signifiait être bon ou mauvais... Et je souris en me remémorant les paroles de Mabel après sa rencontre avec les licornes. "Le bien et le mal sont des notions relatives" avait-elle dit, fière et quelque peu décoiffée. Je ne savais pas quand j'allais la retrouver, elle, Dipper et Stanley. Il semblait que ça faisait une éternité que j'étais enfermé ici alors que seulement quelques heures devaient s'être écoulés. Le temps... Je ne devais pas en perdre. J'ouvrais le livre à la première page, comptabilisant le fait que le nom de famille de l'auteur soit le même que celui de Natsu, comme avait pu en juger Newt. Il le niait mais d'un point de vue objectif, un lien familial était possible. Il ne fallait retirer aucune option. Je commençai à "lire" la page, ou du moins à en discerner les grands traits. Cet alphabet m'était méconnu et pourtant je voyais diverses ressemblances avec des alphabets africains anciens... Seulement, avec ce que je savais, aucune lettre ne formait un mot. Je dus changer de technique.
"Bien... Passons aux hypothèses. Les première lettres et celles du titre ont un triangle à côté... Je laisse supposer qu'elles servent alors à la majuscule. La ponctuation est laissé pour le point mais les phrases sont désorganisées... Elles semblent revenir à la ligne même quand il n'y en a pas. De ma main droite, je notais l'alphabet sur mon journal. Bien. Le titre est en trois lettres, avec des points et toutes en majuscules... C'est donc un sigle. E.M.A... Je trouvais difficile à expliquer que le mage nomme sa création programmée d'un simple prénom, surtout en l'abandonnant par la suite. Bien, nous avons donc trois lettres, ce qui est remarquablement efficace pour la suite qui devrait être plus simple."
Je poursuivais le code, découvrant le mot "démon des - assez simple à deviner - sa..i.i.es". J'avais la drôle d'impression de jouer au pendu dans un moment qui n'était pourtant pas très approprié. Je laissai un instant mon esprit vagabonder vers tous les mots possibles puis tournai la page pour découvrir un autre texte. Je remarquais également qu'à la différence des autres pages, celles-ci particulièrement avaient été écrites d'une autre couleur... D'un rouge séché, presque marron. Moi-même savait comment pouvait être absorbé le sang sur du papier car moi-même avait déjà écrit avec auparavant. Ce livre me rappelait de bien vifs souvenirs que je tentais de nier, sur l'instant.
"Ces pages, précisément, ont été écrites avec du sang... -Le sang du créateur ? Demanda Newt, agenouillé à mes côtés. -"Impossible... Ema avait justement dit qu'elle s'entraînait à faire survivre les autres justement pour que son père soit fier d'elle lorsqu'elle le retrouverait... Elle n'a jamais menti sur ce point-là... Du moins je ne crois pas. Sinon ce livre cacherait bien plus que sa protection. -Mais si c'était avec ce livre que son père l'aurait crée ?"
C'était fort possible vu l'épaisseur du livre mais également le sujet qui semblait être dédié à cette Maison. Je soupirais, néanmoins...
"Dans ces cas-là il s'est passé quelque chose pour qu'il n'est plus assez d'encre et doive écrire avec son propre sang... -Ce doit être plus important... le message de ces page doit avoir quelque chose de particulier."
À qui appartenait ce sang ? Et pourquoi n'apparaissait-il que sur ces pages-là ? La seule manière de le savoir était de déchiffrer ce qu'il y était indiqué. C'est pourquoi, tentant de ne pas prêter attention à la confrontation qui manquait toujours de peu de nous marcher dessus, j'attrapais des mots au vol qui détenaient le plus de lettres sous notre connaissances, et cherchais à les compléter. À deux, heureusement, nous allions plus vite et lorsque ce n'était pas moi qui devinais le mot en question, Newt le faisait. Nous nous coordonnions assez vite pour obtenir non seulement des passages de cette seconde page, mais également le titre entier de la première.
"E.M.A Démon des sacrifices."
Sacrifices ? Quel terme étrange... Qui n'assurait absolument rien de bon. Newt semblait penser comme moi puisqu'il partagea ses frayeurs en bloquant sur le même terme.
"Serait-elle prête à nous sacrifier pour la fierté de son père ? -Elle n'aime pas tuer les personnes qui se trouvent sous son toit... C'est plutôt paradoxale. Je me mordillai la joue intérieure en empêchant mon esprit de divaguer. Impossible de savoir tant que nous n'avions pas tous les éléments. Retournons à la seconde page et comblons les blancs... On doit en avoir le cœur net... Mon regard dévia vers Ali, Cassandre, River et Edan. Avant que les autres ne finissent par s'entretuer."
C'est Newt qui tourna la page, se concentrant immédiatement à la tâche. Il comprenait comme moi la gravité de la situation si nous ne faisions rien. Les clans se formaient et finalement, dans le lot, nous étions ce no man's land qui ne demandait que la trêve. Et la compréhension. Avoir un camp ne me dérangeait pas tant que je comprenais et l'un, et l'autre. Pour le moment, nous ne nous forgions que d'à priori et de suppositions, de préjugés qui ne tenaient pas debout. Personnellement, seule la Vérité comptait et j'étais déterminé à l'obtenir.
La tension grimpait dans la pièce et - à notre plus grand surprise - c'est la Maison qui y mit fin en séparant la pièce en deux par un grillage. Je redressai la tête en essayant de me remettre à jour dans la situation réelle mais me replongea vite avec Newt avec un texte que nous avions presque totalement traduit. Finalement, ce n'était pas l'auteur qui écrivait... Mais la Maison elle-même. Il nous fallut moins de deux minutes pour comprendre la suite :
"Le paradoxe du livre Tant que le livre est dans la maison il est protégé. Seule la magie peut le détruire. Je veux reprendre ma forme mais je ne laisserai pas mon livre à qui pourrait le détruire. Privée de ma forme de base privée de ma liberté. Tant que le livre est entre mes murs je suis prise dans ma forme étherious."
"Il faut la convaincre de reprendre forme humaine... si elle veut retrouver son père -qui a des chances d'être à Storybrooke s'il s'appelle Dragneel- peut-être voudra-t-elle quitter cette forme ? -Si elle s'est retrouvée ici, son père ne doit pas être bien loin également. Mais je pense que reprendre forme humaine est justement son objectif. Ça pourrait expliquer pourquoi elle nous avait donné le code du coffre... Avant de paniquer et de le confier à Ali. J'haussai les épaules en dirigeant mon regard vers Newt. Elle a peur. -Elle a peur... Elle se sert des sentiments d'Ali pour assurer sa préservation. Il faut lui montrer qu'elle peut vivre, si on veut sortir !"
Je me redressai avec mes débuts de traduction marqués sur mon journal vers le groupe. Edan écrivait justement à la Maison alors que je commençais :
"La Maison souhaite reprendre forme humaine grâce au livre mais tant que nous nous disputerons pour le détruire, elle ne saura qui faire confiance et nous enfermera ici simplement pour le protéger !"
Je scrutais le sol dont le sang formaient les lettres de la Maison. Elle se confiait justement sur ce même sujet que nous avions passé dix minutes à traduire. Perplexe -et assez déçu- je baissai les bras et me raclai la gorge, cahier ouvert face à moi.
"Oh, je vois... Vous êtes déjà au courant. Mon regard divagua de haut en bas. Bien... Ça valait le coup de passer du temps sur les pages qu'on pensait importantes."
Je voyais Newt poursuivre la traduction à d'autres pages - à encre noire cette fois-ci - qui lui semblait important. Laissant mon journal avec l'alphabet dedans, je me tournai vers Ali... Puis vers River.
"Ne comprenez-vous pas ce que ça veut dire ? La Maison nous libérera si nous l'aidons en retour. Ali, tu avais raison ! Dis-je en m'accrochant au grillage. Elle ne veut pas notre fin ni même que nous souffrions. Nous pouvons lui faire comprendre que nous ne lui voulons aucun mal et elle nous fera sortir avec le livre. Nous pourrons l'aider à reprendre forme humaine, à retrouver son père, et tout rentrera dans l'ordre..."
Mon regard se tournait finalement vers River de qui j'attendais également une réponse. Il était celui qui répétait sans cesse son souhait de détruire le livre et la Maison sans savoir exactement ce qu'elle souhaitait ou non. Finalement, nous découvrions doucement la vérité alors que la situation dans l'équipe évoluait à l'opposé... Pour rien, finalement. Les conflits partaient toujours de rien...
"Oui on avait compris ça... Rétorqua Cassandre avant les autres. sauf qu'après ce qu'elle nous a fait vivre tu crois vraiment que nous allons l'aider à gentiment retrouver son papounet ? -Mais oui... Réunissons Zeref et toute sa bande de joyeux démons, et ils pourront détruire le monde tous ensemble comme une belle famille unie... Non mais tu me prend pour un con?"
Je n'arrivais pas à croire quelle bande de tête de mules j'avais acquis dans cette aventure. Malgré tout ce qu'il se passait, ils ne comprenaient pas que c'était notre moyen de sortie la plus simple mais également la plus juste dans cette histoire. Je ne disais pas être seul à souhaiter agir pacifiquement, mais je m'inquiétais de plus en plus quant à ce qu'il se passerait une fois dehors.
"Dans ce cas vous ne sortirez pas. Faire preuve de courage signifie aussi faire preuve de sang froid et de comprendre la situation. Lança Newt sous mon soutien. -Newt a raison... Que vous le souhaitez ou non, je ne crois pas que nous ayons beaucoup de choix. La Maison doit nous faire confiance pour qu'elle nous laisse sortir."
La jeune femme croisa les bras avant de reprendre avec entrain :
"Et comment nous fera-t-elle confiance après qu'on veuille la tuer ? Je préfère vous laissez gérer ça plutôt que de perdre mon temps. -Écoutez, engagea à nouveau River, vous lui racontez ce que vous voulez. Moi, quand je sortirai d'ici, je la détruit, et vous ne pourrez pas m'en empêcher !"
Je soupirais, posant une main sur mon front pendant que je me tournais vers Newt à qui je murmurais gravement :
"On doit trouver un moyen de protéger la maison si jamais nous finissons par tous sortir d'ici... -Ali. C'est le seul qui est d'accord avec nous pour ne pas la tuer, et de nous trois, c'est le seul avec de la magie. Il faut pouvoir lui parler et lui demander de se préparer à utiliser la magie pour emmener Ema loin d'eux dès qu'elle sera humaine. -Il ne semble pas dans son état normal... Contredisais-je en me mordant la lèvre. J’ai peur que sa magie dégénère et que ce soit lui qui fasse du mal aux autres... -Juste une téléportation, ça devrait suffire ? -C’est le livre dont je m’inquiète... Il semble réellement destructeur. Nous devons absolument le garder en sécurité. -Il nous faudra le cacher, le temps de savoir quoi en faire ? Gryf et moi sommes amis avec un sorcier, si jamais il faudra confier le livre à quelqu'un de sûr. -Je pense que oui... Mais dans cette maison nous ne devons pas le quitter des yeux jusqu’à ce que la situation se stabilise. J'hochais la tête d'un retard entendu avant de me redresser lentement. Je vais voir Ali."
J'entendais Newt dire qu'il n'allait pas quitter des yeux le livre d'Ema. Nous savions tous les deux ce qu'il fallait faire... Mais pour le moment, ce qui comptait, c'était Aladdin. Je connaissais ce garçon depuis si longtemps et pourtant, jamais de toute ma vie je ne l'avais vu ainsi. Si... Sombre, influencé, silencieux et horriblement inquiétant. Je m'approchai au plus près du grillage qui nous séparait et tentais d'attirer son attention.
"Aladdin... Aladdin. Tu dois nous aider. Nous devons sauver Ema..."