« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
’’ This is not my home I think I'm better off alone Home This house is not a home’’
Le mage noir referma son livre dans un mouvement brusque qui fit lever la poussière autour de lui. Malgré son apparence très jeune, il avait vécu bon nombre d’années et accumulé plus que sa part de souffrance. La solitude était pour lui la pire des torture, car combinée à l’immortalité, elle ne donnait à sa très longue vie aucun espoir auquel s’accrocher. Malgré les années, malgré l’expérience qu’il avait accumulé, le pauvre mage noir n’avait que très peu de contrôle sur la magie qu’il exerçait, magie qu’il n’avait pas choisi, mais qui lui avait été imposée par la vie. Contrairement à ce que l’on pourrait croire de par les stéréotypes sur les gens pratiquant la magie noire, il n’était absolument pas méchant. Il n’était pas égocentrique ou avide de pouvoir. Il n’adorait pas le chaos et les ténèbres. Le pauvre avait un visage d’ange malgré son sourire qui avait disparu depuis plusieurs décennies. Il était d’une douceur incroyable, d’une gentillesse sans borne, d’une bonté presque naïve. Le problème résidait dans sa magie. Son pouvoir de mort pouvait se déclencher à tout moment sans qu’il ne puisse le stopper, arrachant la vie à tout ce qui se trouvait trop près de lui. Cette magie noire avait même son côté ironique. Plus le mage qui l’utilisait était cruel et méchant, plus le pouvoir s’avérait faible. Et inversement… Alors pour le pauvre mage noir, si doux et gentil, si respectueux de la vie, son pouvoir avait une force destructrice incroyable.
Le mage noir soupira en regardant le livre qu’il venait de terminer, espérant que tout se passerait bien pour une fois. En relevant la tête, il vit une petite tête blonde qui l’observait de derrière un arbre, au loin. « Tu as terminé? », demanda la jeune mage, sans s’approcher. Le mage noir posa à nouveau ses yeux sur le livre qu’il avait passé plusieurs jours à écrire. « Oui… Je crois que c’est bon… », soupira-t-il. La jeune mage aux cheveux blonds sortit complètement de derrière l’arbre en sautant de joie. « C’est merveilleux! J’ai tellement hâte de voir la Maison! J’espère qu’elle sera jolie, avec du rose, du blanc, du violet… », commença-t-elle perdue dans ses rêveries. Le mage noir la coupa. « Mavis… Ne t’emballe pas trop vite… Je ne sais pas à quoi elle ressemblera. », lui dit-il sans l’ombre d’un sourire. La jeune femme cessa ses sautillements, mais elle ne perdit rien de son sourire. « Je suis certaine qu’elle sera parfaite, Zeref », lui répondit-elle aussi, toujours portée par un espoir sans borne.
Zeref se leva, son livre en main. « Je ne sais pas si elle sera jolie, la Maison. Je me suis plutôt attardé sur ce qu’elle devrait faire… » « Nous permettre de nous rapprocher… », termina Mavis avec une toute petite pointe de tristesse dans la voix. Elle savait à quel point ses amis avaient peur du mage noir, pour avoir vu sa magie à l’œuvre sans qu’il ne puisse rien y faire, tuant végétation et animaux autour de lui. Ils avaient peur, mais cette peur était parfaitement justifiée. Mavis était la seule assez brave, ou téméraire, pour oser s’approcher de Zeref sans crainte. « D’ailleurs, tu as prévu quelque chose pour que ta magie ne puisse pas se déclencher à l’intérieur? », demanda la blondinette, toujours avec le sourire. Zeref lui expliqua qu’il n’avait pas trouvé le moyen de modifier ses formules pour ne bloquer que sa magie, alors il avait du bloquer toutes magies à l’intérieur de la Maison. « Moi, ça me convient! Bon, peut-être que Precht sera un peu grognon, mais ne t’en fais pas. Il est toujours comme ça. », plaisante la jeune mage. Puis, elle demanda à son ami s’il avait prévu une maison assez grande pour accueillir six personnes. Il l’avait fait, pour ne pas contrarier Mavis, sa seule amie, mais un certain malaise l’habitait. « Écoute, Mavis… Je dois te dire quelque chose d’important. C’est à propos de Zera… », commença-t-il, sans avoir le temps de terminer. La blonde le coupa aussitôt. « Oui! Zera! Elle va être tellement contente quand je vais lui raconter notre projet! Je vais lui en parler de ce pas! Merci Zeref, je savais que tu y arriverais! » Sur ces mots, Mavis tourna les talons et se mis à courir pour retrouver sa meilleure amie, Zera. Le pauvre mage noir resta en plan. « Zera n’existe pas… Elle n’est qu’une illusion… », murmura-t-il dans un soupire. Quelqu’un allait devoir, un jour, révéler la triste vérité à Mavis.
***
La Maison finit par apparaître après quelques jours, une fois que toute la magie concentrée dans le livre aie terminé d’agir. Les six mages, ou plutôt cinq, se tenaient debout devant la bâtisse, Zeref restant à une distance sécuritaire des autres. Elle n’avait rien de la jolie maison imaginée par Mavis. Elle semblait décrépie, vieille et maudite. « C’est peut-être plus beau à l’intérieur… », suggéra la blondinette en invitant les autres à entrer. Le petit groupe entra donc, suivit par le mage noir qui passa la porte le dernier. Malheureusement, ce n’était pas plus beau à l’intérieur. À travers les cris et les larmes de ses amis, Zeref tentait de réécrire les formules, mais sa magie ne fonctionnait pas entre les murs de la Maison, comme il l’avait souhaité. Ils allaient devoir en trouver la sortie eux-mêmes. Plutôt que de les rapprocher, les épreuves que la Maison leur faisait subir les divisa toujours un peu plus. Precht, Yuri et Warrod remettaient la faute sur Zeref, alors que lui tentait de ne pas blâmer Mavis. Il essayait de leur expliquer qu’elle avait insisté pour que la Maison soit faite pour six personnes, même s’ils n’étaient que cinq. Et plus ils avançaient, plus ils se demandaient comment ils allaient réussir à sortir de la Maison avec une personne de moins que prévu.
Après moult souffrances, le groupe parvint à sortir de la Maison. La pauvre Mavis n’arrivait plus à sourire, fixant le vide de ses grands yeux éteints, et sa robe était couverte de sang. Warrod refusait de parler à qui que ce soit, préférant s’abriter dans la forêt. Yuri était recroquevillé sur lui-même et il ne pouvait s’arrêter de trembler. Precht tenait son visage ensanglanté, lui qui avait perdu un œil dans cette maudite Maison. Zeref se tenait debout devant la porte de sortie, serrant son livre si fort que ses doigts en étaient devenus blancs. Avant que la porte ne se referme, il lança, de toutes ses forces, le livre à l’intérieur de la Maison. De rage et de désespoir, il hurla alors que des larmes commençaient à inonder son visage. Il essuyait encore un autre échec. « VA-T-EN! DÉGAGE D’ICI! JE NE VEUX PLUS JAMAIS TE VOIR! », hurla le mage noir à la Maison qui disparut lentement. Honteux, Zeref prit la fuite, incapable de faire face à ses amis après ce qui venait de se passer dans cette monstrueuse Maison.
***
Halloween était enfin arrivée! La petite ville de Storybrooke était sans dessus dessous et tout le monde se préparait pour les grandes festivités. La communauté hétéroclite aimait se rassembler pour festoyer et toutes les raisons étaient bonnes. Halloween était le moment parfait pour organiser une grande fête. Sur la Grande Place, on avait installé plusieurs kiosques de jeux où les plus adroits et les plus forts pouvaient gagner des peluches. Il y avait des stands de nourriture dispersés dans la place illuminée de guirlandes de lumières. Sur une estrade, on pouvait voir défiler les habitants qui venaient montrer leurs déguisements. On avait même quelques manèges pour les petits et les grands. Il y avait une grande roue qui offrait une vue imprenable sur la ville, un carrousel aux allures d’époque, et même une maison hanté. Cette attraction, comme toutes les autres, attirait la foule, mais il y avait un problème. La Maison était fermée et personne ne semblait avoir de clé pour ouvrir la porte. Les gens commençaient à se demander qui était le responsable de cette attraction et pourquoi ne l’ouvrait-il pas. On avait beau questionner les organisateurs de l’évènement, personne n’avait la moindre idée de qui avait installé la Maison. C’était un peu comme si elle était apparue là comme par magie.
Voyant qu’il n’y avait rien à faire et que la Maison s’obstinait à rester fermée, les gens commencèrent à s’en désintéresser. La Maison, de par son apparence délabrée et glauque, donnait à la fête d’Halloween un ton encore plus sombre. C’est alors qu’elle s’anima. Les ampoules sur le porche en décomposition s’allumèrent, prenant par surprise les curieux qui observaient toujours la Maison. Puis, semblant s’échapper du pas de la porte, des fenêtres aux carreaux brisés, des espaces entre les planches de bois pourri, de sous la Maison, un épais brouillard s’éleva. Il ne fallut qu’une minute au brouillard pour recouvrir la Grande Place, faisant disparaitre les manèges, les kiosques, les gens, tout. Tout… À l’exception de six personnes. La Maison les avait choisi…
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Ali Nacer
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
☾☾ J'étais spectique a fêter Halloween, pourquoi ? À cause de mon frère Mozenrath. Fruit d'un adultère, entre mon père Cassim et une sorcière du prénom de Shakata. Pour lui Halloween serait l’occasion de démontrer sa facette maléfique, avec son talent pour la nécromancie et de libérer ses larbins goules dans la ville. Plus précisément a cette fête foraine ! Mais ses esclaves mangeurs de chair ne serait qu'une diversion qui lui arracherait un mince rictus de satisfaction, au coin des lèvres. Dans l'ombre, il convoitait un artefact bien plus précieux que la peur des habitants de Storybrooke. Un bain de sang était qu'un événement minime pour lui !Avide, il voulait la source de puissance, qui l'empêchait de mettre un terme a notre affrontement sans fin . Il souhaitait ma mort, pour devenir le fils préféré, du Roi des voleurs. Parce que depuis longtemps, sa mere jalousait Zena, ma mère parce qu'elle était le véritable amour de Cassim. Donc depuis le décès de celle-ci, j'étais devenu le dernier souvenir qui restait de son existence. Parce que notre progéniture est la trace d'une romance dont on veut se souvenir .
Mais pour me vaincre , et même torturer mon âme sans fin, il fallait que mon frère m’arrache ce qui rendait mon coeur pur : Kenza, Symbole de ma croyance de l'amour. Elle était ce qui me maintenait dans la lumière. Parce que l'ombre était séductrice. Mais me laisser séduire ferait trop plaisir a mon frère. Parce qu'il trouvait un allié, non un ennemi. Mais je préférais me suicider que lui ressembler c'était pour cette raison , que mon enfant était ma motivation pour vivre. Elle était ma motivation pour être un héros. Parce que même si l'amour me tue a petit feu, je préférais me brûler, que m'éteindre. Connaissant les intentions de mon frère, pour Halloween parce que selon le calendrier des sorciers, c'était un événement ou la source du mal régnait. J'avais donc décidé de confier mon enfant a sa marraine fée. Et celle-ci c'était envolée vers l'étoile qui menait vers le Neverland. La bas, elle serait protégée et cachée..
Mais ce que je me doutais guère c'était que ma conscience ne serait pas apaisée en ce jour d'Halloween. Parce que ce soir, le corbeau ne reviendra pas se nourrir de mon chagrin inconsolable. Le corbeau ne viendra pas me tourmenter pour me faire culpabiliser d'avantage. Non ce soir, c'était une bouteille de vin qui aurait ce rôle..Mais pourquoi ?
***
Pour m'empêcher de ruminer, mes meilleurs amis m'avaient conseiller de me changer les idées. Malheureusement ceux -ci avaient déjà des projets. L'Anglais et la guerrière Viking s'étaient organisée une soirée cinéma horreur, au Palais. Krane lui avait réussis a avoir un rencard avec son amour de jeunesse : sa poule. Leur soirée beuverie, allait sans doute se terminer dans le foin du poulailler de leur fermette . Génie, lui il allait sans doute danser toute la nuit, dans les clubs branchés comme celui de Magnus Banes. Jasmine, je préférais m'abstenir de me glisser dans ses draps, pour cette nuit. Et je préférais ignorer son projet, pour cette fête, a cause de la tentation. Mais aussi pour la protéger de mon frère qui me guettait sans doute avec sa boule de Cristal. C'était aussi cette raison, que pour le moment mon entourage était aveugle face a notre liaison secrète. Par la même occasion le secret, ça pimentait nos retrouvailles.
Donc si tous mes amis étaient occupés..Qu'est-ce que j'allais pouvoir faire ? Ma solitude, était venue aux oreilles de Stanley Pines. Comment ? Corail ma gouvernante qui se mêlait toujours intimement de ma vie. Qui veillait toujours sur moi, sans que je sache ses véritables intentions. Mais j'avais une confiance aveugle en elle, parce qu'elle me semblait familière, sans que je comprenne pourquoi ! Elle était sans doute aller le voir pour lui parler de ma détresse en ce jour..
Mais qui est Stanley ? Un homme qui pourrait être le portrait de moi-même, si la glace d'un miroir avait le don de me vieillir. Ce qui n'était plus possible maintenant. Il était la figure paternel qu'autrefois le petit garcon en moi avait toujours espéré avoir. Mais il n'était pas trop tard pour combler le vide que Cassim avait laissé dans mon coeur. Mais ce qui était étrange dans cette histoire, c'était le frère jumeau de Stanley: Stanford qui avait autographier mon contrat de mon mariage avec Jasmine. Faisant de lui , mon tuteur légal ..Mon père adoptif. Pour que je puisse épouser la Princesse. Parce qu'a l'époque, je n'étais qu'un garçon mineur aveuglé par l'amour. Et qui c'était engagé précocement dans un mariage. Puis la vie avait suivi son cours. Nos chemins s'étaient séparés à cause d'une malédiction . Jusqu'à ce qu'un démon triangulaire, fasse de moi son ingrédient pour un rituel pour libérer une source de malheur. Pourquoi moi ? Parce que depuis ma conception, j'étais un bébé a prophéties. À ce moment là , Père et Fils nous étions réunis pour sauver notre avenir. Mais quel avenir ? Celui de se rapprocher grâce mon talent d'architecte.
Parce que pour accueillir le peuple et la famille Pines a Storybrooke. J'avais utilisé ma magie pour créer un hôtel, a l'image Gravity falls. Pourquoi ? Pour que le peuple se souvienne d'ou ils viennent..Et qu'il ne soit pas déraciné, comme je l'avais été en perdant tous les souvenirs de mon premier amour, ma mère. Parce que la malédiction m avait arraché a mon foyer.
Ce soir Stanley m'avait invité a venir passer Halloween a l'Hotel. J'avais donc accepté, même si j'avais accès en tout temps a l'endroit. Privilégier , je possédais l'étage digne des Rois. Je possédais le sommet..
***
Ce soir là, malgré son état et les restrictions de la sage femme dut a sa grossesse fragile, Laureline m'avait accompagnée a la fête. J'avais refusée, mais vous connaissez mon genre de femmes ? J'ai cette tendance a fréquenter des demoiselles qui me tiennent par les bourses et font ce qu'elles veulent ..Et désobéir elles le faisaient souvent . Et ce que Laureline avait fait . Mais pourquoi ? Parce que je lui manquais ! Parce que ces derniers temps, elle me trouvait distant..mais il avait une raison, mon coeur était indécis. Au début de la fête, nous profitons des petits plaisirs de la vie comme le buffet, les activités et le plaisir , pour nous retrouver.
Tout se passait bien, jusqu'a qu'elle prenne ma main pour aller danser. Nous valsons dans nos tenues princières, sous l'immense lustre de la salle de réception. Jusqu'à, le visage de la Princesse se crispe sous la douleur . Dans son regard, les étoiles scintillantes de ses prunelles bleues d'azures s’éteignaient . Elle s’accroupissait sur elle-même, se tenant le ventre. Mon regard inquiet croisait celui de Corail, qui dansait avec mon ami Sullivan. Celle-ci se précipitait vers la Princesse Galactique. Corail, s'approchait de moi, et d'un geste rapide , elle m'arrachait la clé de ma couche pour se précipiter avec Laureline, la-bas. Confus par la situation , je restais de marbre et tremblant , ne sachant pas comment réagir. Je baissais la tête, pour regarder mes souliers trempés. Laureline, venait de perdre les eaux..Elle allait accouchée de nos jumeaux. Trop tôt ! Dans le feu de l'action, Sullivan me tirait par le bras pour que je le suive la-haut pour assister a la naissance de mes jumeaux.. Mais il eut quelques complications..
...
Enveloppé dans un manteau de brouillard aux nuances de gris , devant la porte. Mon apparence n'était plus la même. Chevelure blanche, aux reflets couleur jais. Teint fantomatique, cernes creusées sous mes yeux. Regard nuageux et vitreux a cause de cette tempête de larmes qui régnait dans mes prunelles. Des perles roulaient sur mes joues. Mais pourquoi je pleurais ? A cause de toutes ses images qui se bousculaient dans mon esprit. Mais quel genre d'images ? Des souvenirs d'elle et moi ! Vêtue différemment , je portais un chandail couleur amour, mais celui-ci était souillé et trempé par la teinte de la mort. Le sang s'était imprimé aussi sur ma camisole, qui se trouvait en dessous. Sur ma peau caramélisée, plus précisément entre mon coeur et ma gorge, était tatouée une main ensanglantée. On pouvait apercevoir la trace de doigts longs et fins dépassés de mon chandail. Par dessus mon chandail , je portais une veste couleur sable qui me camouflait du froid de la fin de l'automne, car en me quittant, elle avait laisser la froideur de l'Hiver s'installer dans ma vie. Mais qu'est-ce que je faisais dehors ? Pourquoi je n'étais pas au chevet de la femme que j'aimais ? Pourquoi je ne tenais pas dans mes bras mes nourrissons?
Parce que j'avais fugué encore une fois mon engagement, fuit ma responsabilité envers elle. J'avais marcher et marcher, laissant mon attirance pour le surnaturel guider mes pas. Bouteille de vin, a la main que je tenais enfermement , m'avait mené devant cette porte. Je portais a ma bouche, l’élixir du désespoir . Je me noyais dans plusieurs gorgées pour me sentir moins coupable et tout simplement oublier. Oublier que l'amour n'existait plus autour de moi . Il avait juste, cette maison, moi et ma culpabilisation parce que tout était de ma faute. Je posais ma main, sur la poignée , pour pénétrer dans cette maison. D'un pas je franchissais le seuil de la porte, tout simplement parce que je me sentais incapable d'affronter mon démon intérieur. Je refermais derrière moi cette porte.. Parce que même l'amour ne pourra pas venir me sauver! .
CODAGE PAR AMATIS
Cassandre De Trémaine
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| Avatar : Madelaine Petsch
Who’s that sexy thing I see over there ? That’s me sending in the mirror. What's that icy thang hanging around my neck? That's gold, show me some respect.
| Conte : Cendrillon | Dans le monde des contes, je suis : : Anastasie
Cassandre se regarda une dernière fois dans le miroir de sa coiffeuse. Avait-elle correctement réussit son maquillage ? En avait-elle trop fait ? Elle sentait la nervosité monter en elle de plus en plus. Cela faisait tellement longtemps qu'elle n'avait pas affronté le public seule, qu'elle ne l'avait pas affronté lui.
- Tu es sûre que tu ne veux pas venir avec nous Eugénie ? - Cassandre, tu sais très bien ce qu'a pu dire Mère. Tu dois te montrer en public avec lui seulement. Comme ci s'était un rendez-vous galant. - C'est justement ça le problème. Comment est-ce que je dois me comporter avec lui ? La plupart du temps nous nous chamaillons. - J'aimerais vraiment t'accompagner Cassie, mais Mère m'a formellement interdit de bouger de cette villa pour venir avec vous. Dit-elle, posant ses mains de part et d'autre des épaules de sa soeur. - Mais, imagine, je change de personnalité en plein milieu à cause du stress ?! Il pourrait tout découvrir.... - Ne t'inquiète pas. Il ne te connaît pas assez pour ça. Il pensera juste que tu es... bizarre ? - Ou Folle.
Les jumelles se regardèrent un moment à travers le reflet du miroir...avant de lâcher un rire complice. Elles avaient toutes les deux imaginé ce qui pouvait arriver au cours de cette soirée. Maintenant, il ne restait plus qu'à espérer que cela se passe d'une manière comique si ça devait arriver. La rouquine sentit son coeur s'alléger, heureusement que sa soeur était là pour elle. Elle se leva de son petit fauteuil en cuir et se dirigea vers son dressing pour prendre une paire de cuissarde faites spécialement pour l'occasion. Elle ne savait pas encore comment serait costumé le fils Crawford. Pour sa part, se fut Eugénie qui lui avait aussi conseillé le personnage, trouvant que cela collait parfaitement à sa chevelure rousse. Poison Ivy. C'est vrai que le personnage pouvait plutôt bien lui aller en fonction de qui elle était. Elle ne s'attarda pas plus longtemps à l'intérieur et retourna près de sa soeur afin de finir ce qu'elles avaient commencés. Ses cheveux seraient totalement lâchés ce soir, mais Eugénie avait tout de même insisté pour les faire onduler un minimum. C'était donc elle qui se chargeait de sa coiffure.
La sonnette d'entrée retentit quelques temps plus tard, Cassandre regarda l'heure. Et bien, il est ponctuel. Elle prit la cape de velours verte qu'elle avait posé sur son mannequin et descendit les escaliers menant jusqu'à l'entrée. Elle prit le temps d'analyser la tenue du jeune homme. Deadpool... voilà de quoi révéler une part de sa personne. Même pour Halloween ils se ressemblaient sans pourtant faire parti totalement du même monde… Elle se dirigea vers lui et lui tendit la main.
- Bonsoir Nathan.
Le fils Crawfrod ne se fit pas prier et prit sa main avant de la porter à sa bouche. Cassandre pouvait clairement deviner que Nathan avait remarqué la présence de sa mère en haut des escaliers. Ne prenant pas la peine de descendre pour le saluer.
- Bonsoir Cassandre.
Ils ne dirent pas un mot de plus, se regardant à peine. Ils commencèrent à sortir tout aussi silencieusement.
- Bonne soirée Mère. - Bonne soirée les enfants.
Lady Trémaine fit demi-tour aussi rapidement qu'elle était apparu pour disparaître dans ses appartements. Les domestiques refermèrent la porte sur eux. Cette fois, ils étaient enfin seul. La rouquine suivit le jeune homme silencieusement jusqu'à arriver sur le trottoir.
- Je ne vois pas ta voiture, ton chauffeur serait-il reparti ?
Nathan rit à sa remarque. Elle ne voyait vraiment pas ce qu'il pouvait trouver de drôle.
- Chauffeur... Tu sais, je sais conduire et notre véhicule est là.
Il se dirigea sur ces mots vers une moto noir, sortant ainsi deux casques. Vraiment ? Elle allait devoir monter sur une moto ? Elle ne comprenait toujours pas pourquoi il ne pouvait pas simplement avoir un chauffeur comme tout le monde !
- Tu veux dire que nous allons là-bas en moto ? Je ne suis jamais montée sur ce genre d'engin.
Et elle aurait bien voulu ne jamais y monter. Si les habitants la voyait arriver là dessus son image risquait fortement d'en pâtir !
- Une première fois à tout. Monte sinon tu vas à pied Cassandre. Et mets ça sur ta tête.
Il lui tendit l'un des deux casques. En plus elle allait ruiner la coiffure qu'Eugénie lui avait faite ! Cette soirée commençait très mal mais avait-elle vraiment le choix ? Elle ne pouvais pas rentrer en disant à Mère qu'elle n'avait pas voulu monter sur son engin à deux roues. Cela serait parfaitement ridicule. Cassandre afficha une moue de mécontentement.
- Très bien. Mais je te préviens, tu as intérêt d'aller doucement ! - Je respecte les limitations t'en fais pas.
Il afficha un petit sourire avant de lui faire signe d'avancer pour lui mettre le casque sur la tête.
- Attache le.
La rousse attacha le casque comme il lui avait demandé et s'installa à l'arrière de la moto, calant sa cape sous ses fesses. Heureusement qu'elle n'avait pas opté pour une robe. Les hommes ne faisaient vraiment pas attention aux détails.
- Comment puis-je me tenir là dessus ? Il n'y a ni ceinture, ni poignée.
Nathan poussa un long soupir avant de prendre ses bras et de les enrouler autour de sa taille.
- A moi. T'en fais pas je ne mords pas.
C'est toi qui le dit. La jeune femme ne broncha pas à sa remarque et le laissa démarrer en direction de la fameuse fête. Elle n'aimait pas vraiment les contacts physiques, elle espérait qu'ils seraient bientôt à destination. Lorsqu'ils arrivèrent, elle descendit en première, tendant le casque à Nathan pour qu'il puisse le ranger.
- Tu me donneras ton bras ton bras avant que l'on entre dans la salle.
Il prit le bras de la jeune femme en lâchant de nouveau un soupire. Elle non plus n’était pas enchanté d’être là mais il pourrait au moins faire un effort pour garder ses soupires pour lui.
- Je hais faire semblant. D’ailleurs, ton costume est pas mal. - Comme ci nous avions le choix. Le tiens n’est pas trop mal non plus.
Ils entrèrent alors dans la grande salle, des regards se tournèrent vers eux. Le problème de la célébrité que voulez vous. Mais cette fois, si elle faisait une erreur avec Nathan, si elle changeait de personnalité, tout le monde le verrez… Sans le remarquer bouger, son cavalier prit sa main pour la serrer dans la sienne. Il se pencha vers elle avec un sourire pour lui murmurer.
- Sois naturelle et jouons aux amoureux si on veut pas que nos parents nous tombes dessus.
Plus facile à dire qu’à faire. C’était quoi être naturelle pour elle ?
- Tu as raison.
Elle s’avança dans la salle, main dans la main avec Nathan, affichant un sourire radieux dont elle avait le secret. Bien, cette soirée devez bien se passer. Ils commencèrent à passer la soirée ensemble, s’échangeant des mots amicaux et essayant de jouer leur rôle correctement. Cela aurait sans doute continué toute la soirée si un brouillard n’avait pas commencé à emplir la pièce. C’est alors que tout commença à disparaître, le décor, les gens, Nathan… Malgré le fait qu’elle le touchait à cet instant, son corps disparu comme s’il était devenu un simple fantôme, laissant son contact s’estomper. Qu’est ce qu’il se passait ? Qui avait dit que cela allait être une soirée normale ?!
Cassandre se trouvait désormais en face d’une maison qu’elle n’avait jamais vu. Elle essaya de s’éloigner, mais la maison ne bougeait pas de place. Qu’allait-elle faire maintenant ? Ce n’était pas l’alcool qui faisait cet effet n’est pas ? Ou alors la chaleur l’avait fait s’évanouir ? Peut être. C’était la seule explication possible pour le moment ! Bon, si c’était un rêve et que la maison ne bougeait pas, c’était peut être qu’elle devait entrer dans la maison non ? Son esprit ne voulait peut être pas qu’elle aille ailleurs ?
La rousse ne chercha pas à continuer de s’enfuir et décida d’entrer lentement dans la maison.
’’Halloween, in the death of the night, hear me scream I'm coming, I'm coming Halloween, is the fear that I fight, in my dream Keep running, keep running’’
Enfin! Halloween était arrivé et River était dans son appartement de la guilde pour se préparer à cette grande soirée. Il était seul dans sa chambre, pour la première fois depuis qu’Edan lui avait avoué son amour et que lui, toujours aussi faible, n’avait pu faire de même. Certes, le dragon lui avait assuré qu’il comprenait et qu’il attendrait que le glaçon soit prêt, qu’il ne le forcerait jamais à lui dire les trois mots. Malgré tout, River s’en voulait de ne pas pouvoir prononcer ces mots tout simples. Aussi, il avait passé la dernière semaine à prouver son amour au chasseur de dragon autrement qu’en parole. Bon, pour le Frost, il n’y avait qu’une seule façon de démontrer son amour, et c’était en faisant l’amour. Le dragon ne s’en plaignait pas et le mage de glace ne pouvait tout simplement pas résister à son sourire et ses yeux émeraudes. Ils avaient donc dormi ensemble toute la semaine et la simple vue d’un lit sans que le blond ne soit dans la chambre avec lui était plutôt déstabilisante pour le glaçon. Au moins, il n’allait pas se coucher, il ne faisait que se costumer avant d’aller rejoindre son étincelle.
Le costume était ajusté, mais très confortable, puisqu’il n’était pas en cuir véritable. Le pantalon vert foncé lui allait comme un gant, mais le haut était plus difficile à porter. Il comportait de nombreux laçages, montait haut dans le cou et était affublé de manches longues. Un costume en tous points semblable à celui de Green Arrow, le super héro. Même si, en se regardant dans le miroir, River trouvait qu’il avait vachement de la classe habillé de la sorte, il se doutait bien qu’il ne supporterait pas de garder le haut bien longtemps. Les vieilles habitudes ont la vie dure… Fin prêt, le Frost sorti de son appartement au deuxième étage de la guilde pour aller rejoindre son petit ami au rez-de-chaussée. Déguisé en démon, Edan était magnifiquement sexy. Le mage de glace se mordit la lèvre tout en approchant pour l’embrasser. « Tu sais que j’aurais bien envie de t’enlever ce costume… », commença-t-il dans l’espoir de pouvoir s’amuser un peu avec son dragon, mais ce dernier refusa. Pris au dépourvu, Grey insista et argumenta même avant de commencer à négocier. Finalement, les deux hommes arrivèrent à un compromis qui laissait à River le droit de faire une petite gâterie à l’élu de son cœur tant qu’il ne prenait pas trop de temps. Edan tenait vraiment à aller à cette fête. Une gâterie, même rapide, c’est toujours mieux que rien…
***
« T’es sérieux, Flame Brain? », demanda River, mi-amusé, mi-fâché alors qu’il venait de fermer les dents sur le vide. « C’est la troisième barbe-a-papa que j’achète sans que j’arrive à y goûter! Tu aurais pu m’en laisser un morceau! La prochaine, c’est toi qui la paie! », ajouta-t-il tout en se dirigeant vers un stand à nourriture pour la quatrième fois depuis qu’ils avaient quitté la guilde. Pendant que son dragon achetait la barbe-a-papa, le Frost consulta son téléphone pour voir si Lucy allait bientôt les rejoindre. Malheureusement, elle ne viendrait pas à la grande fête. « Je viens de recevoir un texto de Lucy. Elle ne viendra pas, elle est malade, clouée au lit. », expliqua-t-il à Edan qui revenait avec la nourriture. Alors qu’il s’apprêtait à répondre, le combattant le coupa, brandissant devant lui un doigt accusateur. « Je t’avertis! Si tu t’avise de lui déraciner un putain de cerisier, je te le fais bouffer! » Oui, il était jaloux, le glaçon, mais il le vivait bien. Et puis, Edan n’avait qu’à se tenir tranquille et personne ne serait blessé.
Le couple allait de kiosque en kiosque pour essayer tous les jeux. Malgré ses dix-neuf tentatives consécutives, River n’arrivait pas à battre son amoureux au concours de force et il finit par accuser le pauvre forain d’avoir truqué la machine ou encore, le marteau. Finalement, il décida de se rabattre sur les jeux d’adresse. Il devait lancer une balle pour faire tomber une pyramide de bouteilles. Ça parait facile, comme ça, mais les bouteilles du bas restaient obstinément fixées à la plateforme. Après trois tentatives infructueuses, le Frost eut une idée. « Ça y est! J’ai compris le truc… Donne-moi trois autres balles. », dit-il au forain en déposant un autre billet sur le comptoir. Il lança sa première balle et fit tout tomber. La deuxième balle fut tout aussi gagnante, tout comme la troisième. En fait, le combattant n’avait pas comprit comment faire. Il ne faisait que lancer, en même temps que sa balle, de toutes petites billes de glace qui se chargeaient de faire tomber les bouteilles récalcitrantes. Mais bon, ça, personne n’avait besoin de le savoir, et il espérait seulement que Natsu n’avait rien remarqué. Souriant et fier, Grey prit la peluche qu’il avait gagné, une jolie peluche de dragon rouge avec de très grands yeux, et il l’offrit à son amoureux.
Ensemble, mais en prenant soin de ne pas se toucher en public, le couple visitait la grande fête, s’arrêtant à chacune des attractions, excepté les manèges, évidemment. River aurait bien voulu visiter la maison hantée, mais elle semblait fermée. C’était dommage, mais surtout ridicule. La fête n’était là que pour une soirée, ils auraient pu prendre la peine d’ouvrir toutes les attractions. Soupirant, il tourna le dos à cette maison qui semblait pourtant vraiment intéressante. C’est alors que le brouillard se leva. En fait, s’était un brouillard d’une densité que le Frost n’avait jamais vue auparavant. Tournant sur lui-même pour observer les alentours qui disparaissaient dans la brume, il constata que le brouillard sortait de la maison. « Regarde ça, bébé… C’est bizarre… », remarqua-t-il en fronçant les sourcils. Mais plus étrange encore, le brouillard semblait avaler tout ce qui se trouvait autour des deux mages. Les gens disparaissaient, les stands, les manèges aussi haut soient-ils. Tout disparaissait, à l’exception de la maison. Deux personnes entrèrent dans la maison l’un après l’autre. Le sourire aux lèvres, il se retourna vers son copain. « On se croirait de retour dans notre monde, pendant nos missions, tu ne trouves pas? Avec une magie inconnue, des gens potentiellement en danger… On se refait ça en souvenir du bon vieux temps? », proposa River qui, l’espace d’un instant, s’était senti redevenir le Grey qu’il avait été. Aussi fluidement que toujours, il retira son haut qu’il envoya balader dans le brouillard qui l’avala aussitôt. Il posa une main sur son pectoral droit, là où se trouvait son tatouage de la guilde. « Comme avant, pour Fairy Tail… », dit-il en attendant une approbation de Natsu. Puis, il se dirigea d’un pas déterminé vers la Maison. L’excitation de se retrouver en mission comme lorsqu’il était à la guilde dépassait largement la peur de ce qu’il pourrait trouver de l’autre côté de la porte. Il tourna donc la poignée et entra comme on entre chez soi, son bébé dragon juste derrière lui.
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Edan Sparkles
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''Attend-moi, Flocon, je viens te rejoindre...''
''Ah oui? :gnia: :gnia: :gnia: :gnia: '
| Conte : Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : Natsu Dragneel
Halloween !!! C'était le soir d'Halloween, le temps passait si vite depuis qu'il était en couple avec River. Le blond était heureux et il le montrait à son amoureux qu'il a surnommé son flocon, il le rassurait en disant qu'il attendrait. Il comprenait l'infirmier et ne voulait surtout pas le forcer à dire les trois mots. Alors ils faisaient l'amour, même quand les journées étaient durent, ils faisaient l'amour. Natsu, même s'il habite dans la même guilde que Grey, il garda sa manie de rentrer par effraction dans la chambre du mage de glace et de se glisser sous les couvertures pour le réveiller en douceur. Des fois River se réveiller et d'autre, il faisait semblant de dormir et Edan finissait par l'embrasser ou le mordre.
Ce soir, c'était Halloween et en plus, ils allaient fêter cela ensemble. Et qui dit Halloween dit forcement costume qui fait peur... Forcement. Edan était déjà dans son costume de démon, cornes, pantalon noir, chaussures noires et un cape noir déchiré et le revers rouge. Le haut ? Il n'en avait pas et c'était une manière de faire tourné la tête à son glaçon. Il savait pertinemment que River n'allait pas résister, il le connaissait trop bien. Assit dans le canapé, Edan regardait l'heure sur l'horloge et il regarder la grande aiguille et la trotteuse faire défiler les secondes qui se transforment en une minute. Il attendait que River descende dans son costume pour enfin aller à la fête. Franchement à quoi ça sert de mettre autant de temps pour enfiler son costume si c'est pour finir torse nu ? Oui, car le chasseur de dragon savait qu'avant la fin de la soirée, son amour allait retirer son haut... Du bruit le détourna de l'horloge et il posa ses yeux émeraude vers River qui avait mit un costume d'archer vert.
" Franchement...Arrow ne fait pas peur, mais..." Il analysa de bas en haut, puis de haut en bas l'archer. " C'est moulant et sexy." Grey s'était approché de lui pour l'embrasser et lui dit qu'il enlèverait bien son costume, Natsu se recula, fronça un peu les sourcils. " Ha non ! Pas maintenant !" Grey insista un peu "Je veux aller à la fête, si on commence, on va plus s'arrête et Halloween va être fini. Je veux fêter Halloween ! " Oui, le chasseur de dragon était vraiment un gosse quand il le voulait. Il s'ensuit alors une longue négociation ou Edan finit par céder par une rapide gâterie. Décidément, il n'arrivait pas réellement à s'imposer face à River sauf lorsqu'il décide de le mordre, là le glaçon était à sa merci. C'est donc par une rapide gâterie que leur soirée d'Halloween commencer.
*********
Alors qu'ils marchaient côte à côte, Edan approcha sa tête vers une friandise que River avait achetée et croqua dedans. C'était la dernière bouchée de la barbe à papa que le glaçon avait acheté tantôt. River sur un ton mi-amusé et mi-colère lui reproche de manger toutes ses barbe à papa sans lui laisser un seul morceau et Edan le regarda avec de grosses joues à cause de la nourriture, puis il avala avant de lui répondre en fronçant les sourcils.
" Ce n'est pas ma faute si j'ai faim, t'as qu'à être plus rapide pour manger ..." Il s'arrêta tout en regardant le glaçon, se demandant ce qu'il avait de mal. Puis réagissant au quart de tour en voyant un micro sourire sur les lèvres de l'infirmier, le pompier avait le rouge qui, lui monter au niveau des joues. " Je sais très bien à ce que tu penses et non, je ne mangerai pas ça maintenant !" C'était facile pour lui de deviner ce que Grey avait en tête et surtout quand ils étaient à la guilde, le mage de glace voulait changer les plans et dévêtir le chasseur de dragon. Edan soupira et regarda le stand de barbe à papa, il n'était pas loin, depuis tout à l'heure les amoureux faisaient des aller-retour d'une cinquantaine de pas entre l'endroit où ils étaient et le stand de friandises. Le blond sortit de la poche de son jean noir, un portefeuille. Il l'ouvre pour regarder s'il a suffisamment de petites monnaies pour une quatrième barbe à papa.
" C'est bon, je vais en chercher une....Tu crois que si je menace le vendeur, j'en aurais une triple XL ?" Demanda-t-il avec un grand sourire. Puis avant que le ténébreux lui répond, Edan était déjà parti. Il essayait de menacer le forain gérant de barbe à papa devant l'amusement de certain, Edan en rajoutait des caisses, puis la menace des policiers refroidit notre petite tête blonde eu une barbe à papa standard. Ne jamais dire à un forain que vous allait foutre le feu à son stand même si c'est pour rigoler. Ça n'apporte que des ennuis, surtout si vous en sortez vainqueur... Il y aura toujours un emmerdeur pour appeler les flics dans ce monde. C'est donc avec une pauvre petite barbe à papa que le pompier revient vers son amoureux. Ce dernier lui annonce une mauvaise nouvelle, Lucy est cloué au lit et ne viendrait pas. Le mage de feu allait ouvrir la bouche et River s'emporta en pointant son doigt accusateur vers lui. Il lui averti que s'il déracinait un cerisier, il allait le lui faire bouffer. Mais pourquoi il remet l'histoire du cerisier sur le tapis ? Edan croisa les bras : " Je suis peut-être con, mais pas au point de savoir qu'un cerisier ça ne fleurit qu'au printemps. Non...Là, j'aurais plutôt pensé à une blague en lui offrant ce genre poupée digne de succéder à Chunky et Annabel." Edan riait en imaginant la terreur sur le visage de Lucy, puis il regarda Grey dans les yeux... Il venait de comprendre quelque chose...Il en a fallu du temps pour que ça monte à son cerveau. " T'inquiètes t'auras ton.... Comment tu as dit déjà... Ah oui ! .... Ton foutu cerisier. " Entre temps, le pompier avait mangé la moité de la barbe à papa et tendis ce qui reste à River. " Désolé, je t'avais dit que j'avais faim." Disait-il en voyant la tête dépiter de l'archer.
Le couple allait de stand en stand. Des stands de tout genre, de la décoration, au maquillage réaliste, au divination chelou, aux jeux... Bref, il y avait des stand pour tout les goûts... Pour les gens normaux et ceux pour tout ce qui touche au gore et au malsain...C'était l'enfer au paradis pour ces derniers. Ils ont décider de s’arrêter pour faire un concours de force. C'était juste histoire de se défier gentiment... Gentiment ? Connaissant ces deux-là, on peut s'attendre à tout quand ils ont décidé de se défier. Chaque fois que le démon gagnait, l'archer le défier une nouvelle fois et ce pendant dix-neuf fois. Le glaçon s'en est pris au forain, lui disant qu'il truquait sa machine ou le marteau et Edan était obligé de calmer le jeu en se mettant entre eux, car sinon l'infirmier allait recevoir des patates de forains dans son visage.
Le démon attendait à un stand de chamboule-tout, l'archer avait voulut jouer, ne lui donnant aucun motif, peut-être pour calmer ses nerfs... Malheureusement, c'était pire. Ils sont restés longtemps sur ce stand et à force le forain était heureux, car avec eux, il se faisait beaucoup d'argent. Edan regarda pendant ce temps de l'autre côté en entendant des cris provenant d'un manège à sensation et très vite la nausée lui venait. Heureusement, en entendant la joie du glaçon, le pompier réussit se reprendre et il voyait en face de lui, une mignonne petite peluche de dragon de couleur rouge avec de grands yeux. Le glaçon avait fait toutes ses tentatives pour lui gagner une peluche et en plus une peluche en forme de dragon. Edan aurait voulu sauter au cou de River pour le remercier de ce cadeau, mais pour le moment, ils avaient conclu de ne pas se toucher en public de peur que d'autre membres de la guilde soit à Storybrooke.
Les amoureux reprirent le chemin avec une peluche en plus dans les bras d'Edan. Ils s'arrêtaient devant les animations, les attractions. Et les manèges dans tout ça ? C'était hors de question ! Pourquoi ? Parce que Edan avait amené avec lui son mal des transports, il était malade dans toute sorte de transport motoriser et ça allait aussi pour les manèges. Leur pas les conduisit alors vers la dernière attraction, une veille maison. River semblait déçut de ne pas pouvoir entrée, la porte refuser de s'ouvrir. Alors qu'ils commençaient à rebrousser, chemin, un étrange brouillard se leva. Il était très épais et engloutissait tout. River fit remarquer à Edan que le brouillard provenait de la maison. La brume engloutissait les choses, plus les rires et les cris diminuaient jusqu'à laisser un silence qui ferait glacer le dos. Un étrange silence qui , laisser planer un sentiment de malaise. Il n'y avait plus rien autour d'eux... Rien sauf la maison. Est-ce que cela faisait partie d'une mise en scène...Edan n'avait pas le temps de réfléchir que la brume avait engloutit le dragon peluche, ce qui mit le mage de feu en colère et explosa, faisant apparaître ses flammes. " RENDS MOI LA PELUCHE OU JE VAIS TE BOUFFER. " Oui... Il était désespérant... Je vous l'accorde, bouffé de la brume et puis quoi encore.
Deux personnes entrèrent dans la maison... Étrange puisqu'elle était fermée plus tôt. Les deux mages de fairy Tail se regardèrent et une étincelle se vit dans leurs regards. River sourire aux lèvres, lui dit que ça rappelle les missions qu'ils effectués ensembles à Fiore et demanda au mage de feu s'il était partant. Il ne fallait pas dire deux fois à la salamandre de fairy tail qui fit un grand sourire. " Je m'enflamme ! " C'est alors que River enleva son haut, Edan le savait que ce haut n'allait pas rester en place longtemps, même si pour le moment, l'infirmier avait battu son propre record. " Pour Fairy Tail ! " Déterminés, les deux mages se dirigent vers la maison qui cette fois, les laisse entrée. Il faut être discret... La discrétion ne fait pas parti du vocabulaire de notre enflammé. " BON !!! C'EST QUI LES NAZES RESPONSABLES DE CE MERDIER ?"
acidbrain
Newt C. Stark
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Bain de minuit
en toute innocence
(ou presque)
| Conte : Mulan | Dans le monde des contes, je suis : : Cri-Kee, le générateur de chance !
C'était d'instinct que Newt avait pris une photo de l'entrée de cette maison, juste à la porte après l'avoir ouvert pour essayer de prendre en cliché l'obscurité sur laquelle elle donnait. Etait-ce d'instinct qu'il s'était approché avec ce même appareil de cette maison ? Il n'avait pas réellement eu le choix, à vrai dire, mais une autre version de lui aurait pu se contenter d'attendre devant la maison. Ainsi, l'instinct, il y en avait un peu. Il n'avait pas poussé la porte juste parce qu'on le lui avait imposé. L'instinct, la curiosité, l'enquête... il s'était retrouvé dans ce dernier monde depuis peu de façon un peu... brusque, guidé ensuite par son ami Gryf qui avait bien été content d'ailleurs.
Mais ce n'est pas dans le fil de cette journée, journée que Newt avait senti, grâce à son instinct, particulière. Encore par son instinct, avant même d'approcher de cette maison qui occupait le seul décor accessible, Newt avait observé les seules personnes qui avaient resisté au brouillard, prenant soigneusement en photo quand elles traversaient la porte. Il avait tout de même pris le temps de les photographier déjà avant qu'elles ne s'approchent de la maison. Tout avait disparu, sauf ce groupe de personnes. Alors il avait pris, d'instinct, l'appareil photo qu'il avait gardé dans sa valise, pour photographier ce qui semblait être une enquête particulière, n'oubliant pas la personne plus âgée qui entrerait certainement après lui, et remarquant avant ça un homme qui ressemblait à... River ? Peut être une illusion, d'optique ou d'effet secondaire à cet étrange enchantement. Ou peut être vraiment lui, tout simplement ? Ne pas s'en alarmer, l'enquête passait avant tout, Gryf le lui avait dis au début du mois, après tout.
Il avait su que fuir le brouillard n'aurait servi à rien. Le fuir, résister, s'abriter, se protéger... lorsque l'épais nuage était soudainement apparu, il avait attiré la curiosité de Newt. Bien qu'il avait su que ce n'était certainement pas une manifestation bienveillante, Newt avait bien retenu depuis la malédiction que les nuages étaient plus forts que ceux qu'ils visaient, et plus rapide. Et si Storybrooke l'avait oppressé au début, il avait retenu la leçon : les jours ensoleillés finissaient toujours par venir après les nuits pluvieuses. Il aurait aimé rester avec Malakai cependant. Il pensait que le nuage ne les aurait pas séparé, et son absence allait lui manquer pendant les nombreuses et longues heures qui suivraient. Mais pendant que le brouillard frappait, il n'en savait rien - sinon, il aurait voulu parler à Kai, comme un dernier mot qu'on voulait s'assurer de prononcer, bien que le criquet savait qu'il le reverrait.-
Et puis, il était attentif. Gryf lui avait dit de l'être ! Juste avant le brouillard, alors que Malakai et lui se dirigeaient, il était venu pour ça. Gryf l'avait intercepté en l'attrapant par l'épaule, pour forcer le photographe à se retourner vers lui.
Désolé mon pote, je te laisse avec ton petit copain, je viens juste te donner te donner ça ! Newt n'eut pas le temps de revenir sur le terme petit copain, puisque le detective Willycat mettait brusquement un appareil photo dans ses mains. Il n'eut même pas le temps de lui demander comme avait-il son appareil avec lui. Je sais que tu travaille pas mais maintenant que Newt Criquet Stark connait un peu des ficèles du detective, je ne peux pas prendre le risque de le laisser sans appareil. Tu n'as qu'à le ranger dans ta valise -chouette déguisement d'ailleurs- pendant que tu profite de la fête. Et si tu trouve quelque chose, tu auras de quoi faire une photo. Merveilleux, tu peux retourner à la fête, mon pote !
Suite à quoi Newt avait haussé les sourcils, surpris d'un tel discours rapide et furtif. Plusieurs interrogations lui venaient, comme pourquoi parlait-il de lui à la troisième personne alors qu'il était devant lui. Mais il s'était contenté de demander Tu n'es pas déguisé ?
Tu rigoles, je me suis laissé poussé la barbe !
S'il était à peu près sûr que ça ne fonctionnait pas comme déguisement, Newt avait décidé de le saluer pour aller avec Malakai profiter de la fête, ce qu'il n'avait pas pu faire à cause du brouillard qui s'était abattu à ce moment là. Pourtant, ils avaient été prêts à profiter, et surtout grâce à Kai, généralement le guide du criquet dans... les habitudes qu'il n'avait pas. Quand le criquet et le dragon étaient arrivés à la fête, Newt avait souri en regardant l'ambiance qui les entourait, mais ne bougeait pas pour autant, se contentant de regarder. Après un instant, il avait finit par demander à Mushu : Et on fait quoi à une fête ?
Kai savait certainement, il suffisait de voir à quel point il était content d'être là, regardant tout autour de lui avec encore plus de joie maintenant qu'il en avait eu en entendant parler de la fête. Il souriait (sauf si on se moquait de son costume, là il pouvait mordre !) avant de regarder Newt pour lui répondre. Et bien on peut manger, ou boire quelque chose si tu veux. Ou faire un tour de grande roue si tu préfère, je te laisse choisir.
Le regard de Newt s'était illuminé à cet instant, en entendant parler de la grande roue. Ah, je veux bien ! Ca a l'air bien ! Ce qu'il ne saura pas, puisque, après que Gryf l'ait intercepté, le brouillard s'était abattu avant de profiter de quoique ce soir.
Le début de la journée ne laissait pas présager une tournure aussi sombre, mais Newt avait déjà eu tout de même ce préssentiment étrange concernant ce jour. Perdu dans ses pensées, essayant de réfléchir sur ce qui pouvait bien réveiller une telle sensation, Malakai l'avait sorti de ses idées étranges en arrivant dans la pièce en furie, à toute vitesse, avec une excitation qui n'étonnait pas le criquet qui était habitué. Tout content il était venu trouver son ami et collocataire, lui sautant presque dessus, provoquant sursaut mais sourire chez celui-ci. Alors, le dragon s'était mis à prononcer tout un discours à une vitesse étonnement rapide pour un humain (ou un presque humain), parlant de fête et d'Halloween, mais de façon trop rapide pour que le photographe en comprenne vraiment chaque mot. Attendri et amusé, même s'il n'avait pas tout compris, il sourit en répondant calmement. D'accord ! Puis, après un instant de reflexion, il rajouta : Comment on doit s'habiller pour une fête comme ça ?
Associer des vêtements particuliers à des évènements particulliers n'était pas du tout le fort de Newt, se reposant toujours sur les conseils de Kai pour ça, même pour Halloween. Celui-ci d'ailleurs avait sautillé sur place quand Newt avait accepté, se calmant que lorsqu'il fallut réfléchir à sa question. Ah oui c'est vrai les costumes... par tous les ancêtres, j'avais oublié. Il se frappa alors le front, avant de penser, avec toute l'attention curieuse de son ami. Pas les super-héros, c'est trop classique, tout le monde fait ça... en guerrier chinois ? Non les tenues seraient trop lourdes à porter. T'as une idée toi ? Tout sauf citrouille ou araignée, finit-il par demander en lui jetant un coup d'oeil.
Newt l'avait regardé avec des yeux curieux, avant de répondre après un moment. Un criquet ? Mais il prit le temps pour se regarder et tirer légèrement sur ses vêtements. Je suis un peu grand pour un criquet...
Malakai rigola, amusé. Oui tu n'as plus vraiment la carrure pour te déguiser en criquet, dit-il en lui tapotant l'épaule.
Sinon je peux m'habiller comme Newt, il est très bien habillé, c'est le monsieur qui s'appelle comme moi et qui a une valise avec des animaux magiques dedans.
Kai fronça les sourcils, en essayant de trouver de quoi il parlait avant de claquer des doigts quand il se souvint. Newt Scamander des Animaux Fantastiques... pourquoi pas ! Approuva-t-il en hochant la tête. Par contre j'y vais en quoi moi ? Tina ?
Newt sourit alors immédiatement, tout content. Pourquoi pas !
Et les costumes avaient été choisis. Une nouvelle fête qui permettrait à Kai d'apprendre à Newt à s'amuser comme tout le monde... ou presque. Car finalement, il était bien là, devant l'obscurité de l'entrée de cette maison qu'il avait pris en photo après avoir ouvert la porte. Il était bien là, se disant que la compagnie de Malakai le manquait déjà beaucoup, mais, poussé par son instinct... il décida d'entrer, déterminé.
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| Conte : ?? | Dans le monde des contes, je suis : : Le magicien
The Mystery House is open▲ Ft. de pauvres victimes d'un bâtiment vivant
L'hôtel du Mystery Shake était, en ce soir d'Halloween, "Totalement blindé !", comme le disait mon cher frère lorsqu'il me fît parcourir à bout de doigt la feuille de comptes. À vrai dire, je ne pouvais que confirmer ses propos car même s'il avait pour habitude d'exagérer les choses, et encore plus lorsque ça le concernait, c'était bien le terme exact. L'hôtel était plein et l'ambiance assez festive, ce qui ne faisait que ramener d'autant plus de monde. Désormais, nous poursuivions dans un cercle vicieux d'invités entrants et sortants qui découvraient un parc d'attraction attirant, vu de loin. Certains, dont les clients y vivant, restaient pour danser, boire, manger ou simplement parler. En tout cas, le rez-de-chaussée était réservé à cet usage mais je ne pouvais pas en dire autant des autres qui devaient être un parc de jeu pour les clients souhaitant faire leur propre soirée privée. J'avais prévenu Stanley de faire surveiller ces allées mais il ne m'écouta pas - puis-je m'en étonner ? - et laissa faire histoire de n'embêter personne. Heureusement que cet hôtel ne m'appartenait pas réellement à l'heure qu'il était car sinon j'aurais renvoyé tout le monde chez soi en imitant une bombe de basse qualité et en activant le système d'alarme ultra-protégé - puisque programmé par mes soins. Là, il y aurait eu de quoi avoir peur ! N'était-ce pas le principe d'Halloween ? Peu trouvaient mes surprises drôles et c'est d'ailleurs pour cette raison que je n'aimais pas cette fête. Les personnes souhaitent avoir peur mais se mettent dans tous leurs états lorsqu'on les surprend et parlent alors de "limites". Je trouve leurs limites bien peu élargies pour ce qu'on peut faire en cette soirée de sorcières et de fantômes. Avec le temps, je devais bien me rendre à l'évidence : Halloween n'était destiné qu'aux enfants ou aux personnes sans grand projets qui trouvaient une excuse pour boire, s'amuser, peut-être redevenir enfant ? Je ne faisais partie d'aucun de ces cas et c'est pourquoi à la fête de l'hôtel...
"Tu fais tâche, Stanford."
Stanley s'exprimait plutôt bien ce soir ! C'est la première fois que je le cite tant. Alors qu'il buvait son troisième verre d'alcool, il m'avait lancé cette critique comme une provocation pour que j'aille me déguiser. Je ne portais rien de plus qu'hier. Pour dire vrai, je n'avais pas changé mon style vestimentaire depuis que j'avais recouvert la mémoire. Variant les pulls du marron au rouge, des jeans noirs ou bleus foncés, même ma veste ne me quittait pas que ce soit en été ou en hiver ! Si ça en surprenait quelques-uns, il faut savoir que dans mon monde, c'était normal, et que, pour ma part, chercher à accorder mes habits étaient le dernier de mes problèmes. De même, savoir en qui ou en quoi j'allais me déguiser n'était pas franchement le centre de mes réflexions. Si j'étais venu, c'était pour Mabel, Dipper et le sosie qui me servait de frère. Je retrouvais également des personnes intéressantes à rencontrer et à analyser tout comme de bonnes vieilles connaissances, comme Aladdin. La dernière fois que je l'avais vu, par ailleurs, c'était en train de danser avec sa petite-amie, Laureline, que je ne connaissais que vaguement de Gravity Falls lorsque Bill les obligea à participer à ses sombres desseins. Tout finissait bien pour eux, heureusement, et ce n'était pas faute de m'inquiéter car je savais la jeune femme enceinte de jumeaux. Désormais, sa grossesse se voyait distinctement. Je n'avais pas très bien compris comment Ali était passé du mariage avec Jasmine qu'il supposait être la femme de sa vie à la demoiselle rousse mais je respectais son choix, car je savais au moins l'amour comme étant une affaire bien compliquée.
"Ne pense pas que j'irais me changer simplement pour entrer dans les normes de ta fête, Stanley."
Mains plongées dans mes poches, je niais tout ce qu'il pouvait me répondre et me concentrai sur les invités. L'un d'eux sortit de nul part avec ce que j'imaginais être un bébé dans ses bras. C'était une jeune femme très bien costumée pour l'événement. Je la reconnaissais justement pour sa coiffure très travaillée : elle était la servante proche d'Aladdin, Corail. Stanley le confirma en l'appelant par son nom tandis que je restai muet à écouter ce qu'elle souhaitait nous dire.
"Laureline a accouché de jumeaux...
-Vraiment ? Mes félicitations à elle et à Aladdin. C'est une excellente nouvelle ! Confiais-je d'un sourire agréablement surpris.
-Quoi ? Maintenant ?! S'emporta alors mon frère. Elle va bien ? Où sont-ils ? Quand est-ce que ça s'est passé et pourquoi n'ai-je pas été prévenu ?!"
Il en faisait trop, comme toujours. J'avais l'impression qu'il avait cette faculté à exagérer ses sentiments et d'ailleurs, je travaillais encore dessus. Néanmoins, je savais également que Stanley appréciait autant Aladdin qu'ils avaient de points en commun. Ainsi, savoir que celui qu'il pourrait nommer son "fils" est père - encore une fois - devait le combler intérieurement de joie. Je n'en dis rien.
"Laureline est dans sa chambre. Souriait Corail en berçant de droite à gauche ce bébé qui ne devait alors pas avoir connu le monde depuis longtemps. Cependant, Aladdin est introuvable... Il a déserté l'hôtel.
-J'ai compris. Stoppa Stanley d'une main directive avant de prendre l'enfant dans ses bras, comme si on l'avait initié toute sa vie. Il tourna un regard vers moi et je me figeai sur place. Stanford, tu vas prendre l'enfant et aider Corail avec le second. Je vais retrouver Ali et le ramener."
Mon sang ne fît qu'un tour lorsque je vis le nourrisson s'approcher de moi. C'est dire, j'en reculai de deux pas. Observant le nouveau-né de mes yeux ronds, j'allais jusqu'à deviner sa taille sous sa couverture. Pas loin de celle de ma main, à quelques centimètres près. L'enfant devait avoir dans les 30 semaines.. Peut-être un peu plus ? Dans tous les cas, je le savais fragile et moi bien trop maladroit pour me risquer à en prendre la responsabilité. Des créatures, j'en avais vu de tous les genres et d'une certaine manière, je savais m'y faire... Lorsqu'il s'agissait de les mettre dans des bocaux de formol ou, pour les cas plus imposants, dans des espaces sécurisés vides, sombres. Assez brièvement, je pouvais confirmer que les enfants et moi donnaient un ensemble hétérogène et même dangereux à allier. Je le fis comprendre assez vivement aux deux habitués en tournant les talons d'un air déterminé vers la porte de sortie, comme si une mission venait de m'être donnée.
"Je m'en occupe ! Aladdin sera de retour dans moins de 10 minutes et si je ne tiens pas parole, je fais serment sur mon déstabilisateur quantique que je me déguiserais pour votre événement infantile."
C'était une promesse risquée mais je faisais confiance à mon instinct. Aladdin, perdu dans ses pensées, allait peut-être se rendre dans un endroit qui lui ferait oublier ses problèmes. J'avais pensé à bien des lieux mais en songeant au temps qu'il lui fallait pour se rendre d'un point à un autre - sans me concentrer sur sa capacité à se téléporter - je décidais d'envisager ce qui venait alors à être le plus prêt après son palais : la fête d'Halloween à Storybrooke. Si je me souvenais bien de ce que m'avais lu Mabel, enjouée que le grand jour arrive, elle se trouvait sur la grande place. C'est à pas vifs que je m'y rendis pour retourner à l'hôtel à la même vitesse. J'imaginais déjà les enfants être tenu au courant par leur oncle que j'avais autorisation - même obligation - de me déguiser. Dipper me comprendrait sûrement, mais pouvais-je en dire autant de sa sœur ? Non, il y avait plus que ça de toute manière : lorsque je promettais quelque chose, je tenais ma promesse. Puis, je n'aime pas perdre.
Arrivant sur les lieux, je commençai à traverser de long en large les stands et les attractions de la fête. Tout avait sa forme d'étrangeté mais c'était normal en un soir d'Halloween. Je fus particulièrement intrigué par une maison typique de ce genre d'événement - il semblait qu'elle avait été construite pour - et restai un instant hypnotisé devant elle. Le regard fixe sur la porte puis sur les fenêtres brisées, se fût comme si j'attendais quelque chose de sa part. Un fantôme ? Une sorcière ? Un zombie ? N'était-ce pas pour cela qu'elle était ici , après tout : Nous faire peur ? Le temps passait et rien ne bougeait à l'intérieur comme à l'extérieur.
"Je n'ai pas le temps de jouer à ça... Soufflais-je dans mon col. J'ai un Sultan à retrouver."
Sans perdre un instant, je tournais le dos à ces enfantillages et marchais dans une direction opposée à la maison en question. Ali ne semblait pas être ici et je commençais à m'inquiéter pour la parole trop vite prononcée. Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour éviter de porter un enfant ? Je m'en voulais presque sur le coup, mais je n'eus pas le temps de me plaindre qu'un brouillard d'une épaisseur anormale accrochait le sol jusqu'à moi. Vivement, je suivis le chemin de cette dernière jusqu'à sa source et fût surpris de remarquer que c'était la vieille maison en question. Peut-être n'était-elle pas si étrange pour rien, finalement ! M'avançant vers elle comme attiré par un aimant, je ralentissais doucement en observant qu'autour de moi, tout se dissipait également. Je ne voyais plus rien qu'une épaisse couche de fumée avec la maison duquel elle s'en émanait. Avais-je alors d'autres choix que d'y rentrer ? Loin de ne pas trouver ça tentant, j'en restai de plus en plus méfiant. Plusieurs secondes s'écoulèrent avant que je ne décide enfin d'ouvrir la porte d'une poigne assez puissante pour que cette dernière s'éloigne sans que je n'ai besoin de passer le seuil. J'observais avec un sérieux presque absurde l'intérieur sombre dont je n'arrivais même pas à tracer les limites. En plus de ne pas aimer Halloween, j'avais omis de préciser que je n'aimais pas également qu'on me fasse peur... Tout simplement parce qu'à la fin, c'était moi qui blessait quelqu'un en sortant mon pistolet laser en guise de défense. À quoi fallait-il s'attendre ? Je n'étais qu'un homme avec peu d'humour qui avait vécu l'apocalypse et encore bien d'autres choses. Nous n'avions pas la même définition de Surprise !.
"Je vous conseille de sortir maintenant de votre cachette si vous souhaitez repartir avec tous vos membres à la fin de cette soirée... Lançais-je en guise de réel avertissement, une main sous le manteau dans lequel se cachait le pistolet. Je suis armé..."
Suivi de deux pas et d'une arme en main, j'entendis dans mon dos la porte se claquer doucement. Lorsque je me retournai pour tenter d'attraper la poignée, elle n'existait plus. Je n'eus le temps d'en bégayer quoique ce soit qu'un néon s'alluma derrière-moi et que je pus discerner alors tous les traits de la pièce dans laquelle je me trouvais nous nous trouvions. Je n'étais pas seul, comme je le pensais ! Encadrant la sombre pièce, je retrouvai deux autres jeunes hommes déguisés et torses nus, une jeune femme vêtue d'une robe verte et un énième garçon en costume. Mon regard perplexe se retourna sur le dernier individu dont je ne reconnus que les bracelets symboliques du génie. Si ça n'avait été ce détail qui me mit la puce à l'oreille, j'aurais pris du temps à le discerner derrière ses cheveux blancs aux mèches brunes et à sa tenue délavée, abîmée et tachetée.
"Aladdin... On te cherche partout à l'hôtel. Du moins... Ta femme. Je reluquais un instant les autres avant d'en revenir au costume étrange de mon ami. Qu'est-ce que vous faites ? C'est une sorte de jeu... ?"
Sur le carrelage blanc bien peu éclairé se trouvait un liquide rouge épais que je ne pris pas de temps à identifier. Les tâches étaient remarquablement bien réparties jusqu'à former un message vers lequel je m'abaissait, tout d'abord pour le lire mais aussi vérifier à vue d'œil que nous voyons bien la même chose : du sang.
"On ne choisit pas d'entrer dans la Maison. C'est la Maison qui nous choisit..."
Je ne doutais plus de la composition initiale du liquide qui assombrirent mes traits. Me redressant lourdement en prenant appui sur les genoux, le pistolet toujours en main, je fixai chacun des individus avec soupçon et méfiance. Toute cette histoire ne ressemblait pas à un jeu. Et si c'était le cas... Alors le jeu était sordide et devait cesser maintenant.
"Qu'est-ce qu'il se passe ici ?"
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Ali Nacer
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
☾☾ Quand j'avais refermé la porte derrière moi, celle-ci avait disparue. Séquestré, je me retournais pour voir ce phénomène qui en aurait effrayé plus d'un. Mais ce phénomène surnaturel, ne me frayait pas. Parce que ce soir, j'avais vécu bien pire.. Donc je ne paniquais pas, tout simplement ,parce que je me sentais épuisé de vivre dans cette réalité qui ne ressemblait rien a un conte de fée. Parce que chaque fois, que j'étais proche de ma fin heureuse, la vie faisait en sorte que je m'en éloigne. Mais la vraie raison, c'était plutot, ce sortilège qu'une enchanteresse avait jetée sur ma lignée. Tous les hommes seraient maudit , par rapport a l'amour. Pourquoi ? Pour nous punir d'avoir cette habitude génétique. Celle d'etre un papillon. Ce papillon qui butinait de fleurs en fleurs. Mais chaque fleur a sa source de malheur. Ce soir, l'une de ses fleurs s'étaient fanée sous mon regard. Et je ne voulais pas me faire a cette idee que j'avais perdue Laureline. Qu'elle était morte en donnant naissance a ce qui devait être notre avenir.. Maintenant nos enfants étaient que le reflet de nos souvenirs ensemble.
Prisonnier de la maison, je ne cherchais pas a m'échapper. Ni même a ouvrir l'unique porte de la pièce. Parce qu'il n'avait rien d'autre dans cette pièce, même pas pour une carpette pour m'apaiser un peu. J'étais dans une pièce, entouré de murs sans décoration, plongé dans le noir, avec moi-même. Parce que la seule compagnie que je possédais était disparue en pénétrant dans cet endroit. La maison n'avait pas envie de supporter un homme bourré ! Et vu que j'étais malheureux, être dans cet état là. Ça allait être pire ! Parce que je me lamenterait sur mon sort. Encore plus que maintenant. En réalité, j'étais seulement affecté, je marchais en zigzagant vers un petit coin dans la piece. Étourdi, j'enlevais mon manteau pour me faire un oreiller. J'enlevais aussi mon chandail taché du sang de ma concubine et de mes bébés. Je n'étais pas nu il restait ma camisole avant de dévoilé mon torse. Parce qu'on n est pas tous River a se balader a moitié nu dans une maison. Je m'allongeais sur le plancher, la tête sur mon manteau. Je me mettais en position fœtus, tout en collant mon visage le parfum de la mort et de la vie des êtres chers a mon coeur. Je laissais couler quelques perles sur mon visage anéanti. Puis je me mettais a le lamenter avec des pleurs qui ressemblaient a des cris, tel une Banshee.
Jusqu'a l'arrivée d'un fantome. J'entendais des pas, ressemblant a des coups de talons. A ce bruit, je me taisais. Et le silence régnait a nouveau jusqu'a qu'elle brise de nouveau le silence, en disant -Il y a quelqu'un ? Je ne répondais pas . Je me redressais pour m’asseoir, tenant toujours le chandail contre moi comme un bébé, me balançant vers l'avant et l’arrière. Je me berçais ! La demoiselle, marchait devant moi . Au premier coup d'oeil, je croyais voir ma défunte femme. La demoiselle devant moi, avait une chevelure flamboyante. Celle ci était soigneusement peignée, dans une coiffure qui aurait pu être fait de ma main. Parce que j'ai cette tendance a vouloir coiffer, les femmes que je met dans mon lit. Et a choisir leur tenue.. Donc cette tenue moulante et brillante aurait pu être un de mes choix, pour vêtir le fantome de Laureline qui me hantait. Mais dans le noir, les détails de l'apparence de la femme était nébuleux. Donc je ne pouvais pas savoir si c'était une hallucination, un fantome, ou un effet de l'alcool dans mon systeme. La demoiselle ignorait ma présence, enfin presque. Elle allait se réfugier dans un coin, croisait les bras contre elle. Elle me jetait des coups d'oeil , inquiétant. Intrigué, je rampais a quatre patte vers elle, pour prendre place a coté d'elle , traînait mon chandail avec moi. Je glissais une main doucement dans ses cheveux roux. Caressant une de ses mèches du bout des doigts. -Laureline ? Elle se reculait brusquement en m'encartant sl main avec son bras. D'un ton sèche et effrayant parce que les femmes de son genre font peur. C'est le genre de demoiselles qui donnent des baffes. Elle me disait : " On ne se connaît pas. Merci de ne pas me toucher." C'est a ce moment la que j'avais pu apercevoir les détails de son magnifique de l’étrangère qui avait troublé ma solitude et mon deuil. Ce n'était pas Laureline, mais une des filles De Tremaine Étant un ancien mannequin, je connaissais la réputation de cette famille et leur entreprise de mode. Préférant ne pas manger une claque, pour cette fois . Meme si mes joues avaient développé une certaine résistance aux baffes. Je m'éloignais d'elle , sans un mot. Je retournais dans mon coin, et elle restait de son coté jusqu'à l'arrivée de quelques nouveaux visages dont deux qui me semblait familiers. L'un était l ennemi juré de mon meilleur ami Viking. Et ''connaissance intime'' de mon meilleur ami Anglais. C'était une longue histoire ! Mais je ne savais pas le temps de m'attarder sur les nouveaux venus, que mon Papa venait a ma rescousse, pénétrait dans la maison disant qu'il était armé. Connaissant celui-ci , il était surement armé de son pistolet laser. - On se calme Papi ! On n'est pas dangereux.. a part peut-etre la Mademoiselle.
En effet, il ne faut jamais faire confiance a une femme. Surtout moi je ne leurs faisais pas confiance dut a mon expérience personnelle. Même a celles qui faisaient parti de mon quotidien. Je parle aussi par expérience, pour avoir deja été victime du lancer du vase de Jasmine qui se ressemblait a Cléopatre dans ces moments, ou en tant qu'homme vous avez juste le gout de prendre la fuite, parce qu'elle voulait votre peau. Stanford analysait tout le monde du regard, a moi il semblait hésiter. C'était sans doute a cause de mon accoutrement qui reflétait le fond de mon coeur. Après quelques minutes de confusion dans son regard, il avait reconnu mes bracelets de Dijinn. Des bijoux qui avaient longuement étudier pour comprendre ma nature. Parce que a cause de ceux-ci et d'un souhait de mon ami l'Anglais j'étais devenu un sang de melée. Moitié mortel, Moitié Démon. Parce que les génies dans les légendes Agrabanaises, sont des créatures démoniaques. Puis Stanford s'exclamait :"Aladdin... On te cherche partout à l'hôtel. Du moins... Ta femme''
Dans sa voix, il semblait soulagé de m'avoir retrouver. Pourtant je n'étais pas parti longtemps. J'étais simplement en cavale et recherché, ce n'était pas la première fois. Tout j'espérais c'était que Stanley, ne mettent pas des affiches partout de moi dans la ville avec une récompense en dessous. Comment ça ma femme me cherchait ? Quelle femme ? Jasmine, il l'avait vu dans le passé, mais il n'était pas au courant que notre relation Roméo et Juliette, du moment. Laureline, même si c'était impossible je l'avais vu mourir.. Corail c'est pas ma femme , juste ma gouvernante, même si on avait quelques écarts de conduites l'année dernière. Il m annonçait qu'on me cherche partout dans l'hotel. Donc tous les habitants de Gravtiy falls , jouait a trouver Ali ? Ça me touchait de leur attention. Mais je m'étais simplement enfui parce que je ne peux pas m'occuper de mes jumeaux. Parce qu'elle était morte par ma faute, parce que je l'avais mis enceinte.
- Stanford de quelle femme parlez-vous ? Vous savez qu'en tant que Sultan, j'ai plusieurs femmes ou prétendantes..Et si vous me dites Laureline c'est impossible.Elle est.. J'étais hésitant mais il devait le savoir, après tout son cadavre était sans doute encore a notre Hotel, dans ma baignoire. Parce qu'elle avait donner naissance a nos enfants, dans l'eau. D'ou ma panique quand j'avais apercu l'eau changer de teinte. Elle est morte d'une hémorragie. Enfin ce que je croyais.. morte en donnant naissance a nos jumeaux.
Je baissais la tête, retenant mes larmes a cette révélation. Confus par la situation.Puis il me posait une question, dont je ne comprenais pas le sens. Est-ce que Stanley avait donner des bonbons magiques a son frère ? Qu'est-ce que vous faites ? C'est une sorte de jeu... ?
Ce que je fais ? J'essais de vivre dans mon deuil en paix, pour trouver la volonté d'élever mes deux bébés prématurés. Mais vous tous.. Vous avez décider de venir troubler ma paix, et si vous venez pour la récompense, vu que vous etes quatre, a m avoir retrouvé il va vouloir vous partager la récompense . Stanford, je ne joue a aucun jeu.. Si je voudrais a un jeu, je jouerais avec des amis, pas avec des étrangers ou connaissances de mes amis. Regardant River a cet instant.
A ce moment la , une lumière s'allumait au plafond pour nous illuminer tous. D'un mouvement de main, je détournais la tête pour me cacher de la lumière qui me faisait mal aux yeux. En détournant la tête, ma chevelure blanche suivait le mouvement, pour camoufler une partie de mon visage. Mon regard se posait sur cette flaque de sang aux pieds de Stanford . Puis le vieil aventurier, posait la bonne question, qu'est-ce qui se passait ?
Je me penchais vers le message, pour mettre trempé ma main dans la flaque de sang et goûter a celui-ci pour identifier le sang. Glauque ? Oui ! Mais c'était a cause de ma nature démoniaque. - Je vous confirme au gout c'est du sang humain ! Stanford lisait le message tout haut,'' On ne choisit pas d'entrer dans la Maison. C'est la Maison qui nous choisit..." Après la lecture de mon ''Sauveur'' . Je m'exclamais : On dirait une prophétie , enfin une prophétie mensongère, parce que j'ai choisis d'entrer dans la maison, parce que je la trouvais a mon gout cette demeure. A cause de ma nature, de génie me sentait attiré par tout ce qui touchait le surnaturel. Et les endroits qui avaient l'air des Taudis ou les demeures magiques, comme mon Palais ou meme le manoir de Mina. - La Maison nous a choisit.. dans le fond la maison nous trouvent a son gout ? Je jetais un oeil a la demoiselle. - Je vous l'accorde la maison a bon gout !
C"était a cet instant, que le message se brouillait, pour écrire un nouveau message aux pieds de Stanford, un peu trop pret de la flaque de sang. Les lettres se métamorphosaient en mon prénom Ali.. et ce mot lache. Cette flaque était plutôt insultante ou avait un fond de vérité. Au même moment, je sentais une douleur familière. Une douleur dans mon dos..Mon visage se crispait..Je me mordillais fortement la levre inférieure pour m’empêcher d hurler. Je serrais mon morceau de tissus dans ma main. Le chandail qui avait le sang de Laureline et des enfants dessus. Une force surnaturelle et invisible était en train de me tatouer, un chiffre. Je me couchais sur le sol, me laissant mutiler. Après tout ce que n'était pas ma première mutilation,dans le passé j'avais deja été fouetter, et je m'étais déja marqué au poignard par amour pour Midnight. Et ce chiffre ne serait pas ma dernière cicatrice. Mais comment je savais que c'était un chiffre ? Parce que ma race avait inventé les mathématiques, donc les chiffres ! Non parce qu'avec mes prétendantes, apres fait l'amour, je jouais a leur dessiner des symboles invisibles avec mes doigts..Et quand quelques occasions, je sortais un pinceau pour tatouer leur peau du inné. Une encre temporaire ! Et elle devait deviner le dessin..
Un liquide chaud coulait de mon dos , puis glissait sur le coté de mon corps. Mon sang continuait sa course vers la flaque de sang, avec le message. Je laissais échappé un cri de douleur et de peur, d entre mes lèvres: Reculer ca va exploser. Mais quand mon sang touchait celui de l'humain inconnu , il n avait aucune explosion. Aucune réaction ! Cela voulait dire que la magie avait disparue. Parce que mon sang avait des propriétés magiques au contact du sang humain. Malgré le fait qu'il avait un infirmier dans la piece, il n etait pas question qu'il pose ses mains sur moi. Comme il avait poser ses mains sur mon meilleur ami Darcy. C'était pour cette raison, que c'était Stanford, qui me secourait, en m’assoyant me tenant parce que je commençais a me sentir faible, a cause de la perte de sang. Je commencais a fermer les paupières, gardant mes dernieres forces pour tenir le morceau tissus dans ma main. Stanford m'enlevait ma camisole, mouillé a cause du sang de ma mutilation, faisant une pression dans mon dos pour arreter l'hémorragie. Je dévoilais un torse musclé , caramélisé, et tatouer a l emplacement du coeur, avec le prenom de la Princesse Jasmine, et le bas de mon ventre un papillon. Parce que le papillon était un symbole qui voulait dire bien des significations. Le tatouage avec le prenom de mon épouse, 'était une folie que j avais commise, après mon aventure au Royaume d'or. Un Royaume chantant. Dans mon dos, pour ceux qui le voyait, on pouvait voir le chiffre 'de l'adultère. Le chiffre qui symbolisait le triangle. Le chiffre d un coeur lache incapable de choisir une femme. Le chiffre trois était gravé comme si on m avait sculpter au poignard. Dans un murmure je disais au vieil homme : - Papa laisse moi rejoindre Laureline, au Palais des songes..Veille sur mes bébés ! Prend soin de Jasmine , Mina et Corail pour moi . Je le mérite de mourir, pour l'avoir tuer..
Je venais d'avouer a Stanford, une vérité. La vérité qui se retrouvait en petit caractère en bas de mon contrat de mariage avec Jasmine. En signant ce contrat il devenait mon père adoptif, qui me permettait en toute légalité d'épouser Jasmine, selon les lois Agrabanaises. Je perdais connaissance dans les bras de mon papa., parce que j'étais épuisé a cause de tous ses événements . Au meme moment, le message ensanglanté se brouillait.. A qui le tour de se faire tatouer un chiffre et recevoir un fond de vérité vexant?
((PS: Laureline n est pas vraiment morte, mais Ali le croit, c'est une excuse rp oour expliquer son absence j ai eu la permission de Gwen pour l utiliser en pnj , ce message sert a alarmer personne))
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CODAGE PAR AMATIS
Cassandre De Trémaine
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| Conte : Cendrillon | Dans le monde des contes, je suis : : Anastasie
Lorsque Cassandre pénétra dans la maison, elle fut étonnée de seulement voir un homme recroquevillé sur lui même, se balançant d'avant en arrière. Cela n'annonçait rien de bon visiblement. Elle ne savait pas où elle était et en plus elle devait être en présence d'un étranger qui ressemblait plus à un fou. La jeune femme préféra alors se poser contre un mur à l'opposé de la pièce, préférant éviter tout contact avec cet être étrange. Elle croisa les bras, sentant la chair de poule monter. Si c'était vraiment un rêve, elle détestait la tournure qu'il pouvait prendre.
L'homme se décida au bout d'un moment à bouger...pour avancer vers elle à quatre pattes. Cette fois, elle n'avait plus de doute cet homme était fou ! Si elle n'avait été collé contre le mur elle aurait fui. Celui-ci porta un main à ses cheveux, se sentant répugnée, elle écarta violemment sa main, pouvant enfin se libérer de son emprise. La rouquine devait reprendre son sang froid, le contact avait été bien trop réel. Et il l'avait appelé par un autre nom.
- On ne se connaît pas. Merci de ne pas me toucher. Dit-elle d'un ton qui se voulait calme et tranchant.
Il s'éloigna alors d'elle sans un mot. La jeune femme commençait désormais à paniquer dans cette pièce avec lui. Mais qu'est ce que je fais maintenant ?! Tu attends.Cassandre essaya de se calmer en regardant d'un coin de l'oeil l'homme qui avait osé la toucher. Elle se nota dans un coin de l'esprit qu'elle devait s'en méfier comme de la peste.
Plusieurs hommes entrèrent à la suite après ça. Certains étaient silencieux, d'autres s'animés déjà beaucoup trop à son goût. Certains avaient l'air de se connaître, d'autres non. Visiblement, elle faisait parti de la seconde catégorie. Le visage des cinq hommes était pour elle parfaitement inconnu. Bien. Elle n'avait plus qu'à espérer qu'ils ne soient pas comme tous comme le premier qu'elle avait pu rencontrer. Comment s’appelait-il déjà ? Le grand-père avait semblait dire Aladdin... C'était peut être cela.
La lumière s'alluma d'un coup sur les individus présents dans la salle. Les laissant découvrir en même temps la flaque qui se trouvait non loin du vieillard. L'inconnu étrange goûta, attestant qu'il s'agissait de sang. La chair de poule reprit de plus belle sur les bras de la rouquine. Cassandre se rapprocha alors du groupe, essayant de distinguer comme les autres le message écrit par le sang. Elle préféra tout de même rester un peu en arrière, de peur sans doute, que quelque chose ne lui arrive en restant trop près. Un premier message apparut, et ce fut encore une fois l'homme qui la lut:
- On ne choisit pas d'entrer dans la Maison. C'est la Maison qui nous choisit...
On ne choisit pas d'entrer dans la maison ? Elle était celle qui les choisissait ? Mais que voulait dire ce message ? Cela n'augurait rien de bon. Si s'était une blague pour Halloween, celle-ci était de très mauvais goût. A en voir les autres têtes, personnes n'avaient vraiment l'air de saisir la situation. Ce qui était de moins en moins rassurant. J'ai peur... Ça va aller. Nous sommes là.
Le message de sang s'effaça au bout de quelques minutes, réapparaissant plus tard avec le nom de quelqu'un. Lui associant le mot "lâche". Cassandre ne savait pas lequel parmi eux ce nommait Ali mais elle le devina lorsque l'homme fou commença à gesticuler bizarrement, commençant à saigner de manière totalement incohérente. Personne ne l'avait touché, comment pouvait-il perdre autant de sang ? C'est alors que le sang recommença à bouger, faisant disparaître le mot. La rousse reconcentra son attention dessus. Au bout d'une minute, il reforma de nouveaux mots. ''Cassandre = Cachottière ''. Cette fois-ci, ce fut au tour de la jeune femme de devenir plus pâle qu'elle ne l'était déjà. Qu'est ce que ce message voulait dire ? Il la connaissait ? Une douleur fulgurante la lançant dans le dos à cet instant. Comme ci on essayer de lui labourer la chair à l'aide d'un couteau. Elle sentit quelque chose se graver, sans savoir ce que cela pouvait être. Elle laissa échapper de ses lèvres un cri strident, son visage se tordant sous la douleur. Elle porta automatiquement la main à son dos mais le vêtement n'était pas déchiré. Seulement, elle sentit un liquide chaud entre ses doigts, elle les ramena lentement devant son regard. Du sang ! La douleur était donc belle et bien réelle. Ça ne pouvait pas être un rêve ! Ce qu'ils vivaient été sans doute bien réel ou alors c'était un cauchemar bien trop encré dans son corps. Elle se sentait devenir faible, les entailles quant à elles étaient profondes. Ce qu'elle ne savait pas, c'était que le chiffre 4 était désormais incrusté dans sa peau. La rousse sentait le sang se déverser sur son corps en même temps que ses larmes sur son visage. Cassandre restait pourtant là, au sol à fixer sa main, choquée. Elle sentit une présence apparaître à ses côtés. Elle releva la tête et put finalement reconnaître quelqu'un. Il s'agissait d'un photographe qu'elle avait pu voir lors de rencontre professionnelle. Elle le regardait et pourtant elle s'était désormais recroquevillée dans son fort intérieur. Mon dieu je ne sais pas où je suis. J'ai mal. Tellement mal. Je veux partir... aidez moi... Je prends le relais. Désormais, sans que personne ne puisse le remarquer, Cassandre n'était plus Cassandre.
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Edan Sparkles
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" J'ai le swag comme ça!"
''Attend-moi, Flocon, je viens te rejoindre...''
''Ah oui? :gnia: :gnia: :gnia: :gnia: '
| Conte : Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : Natsu Dragneel
Edan avait suivi River dans la maison, pensant qu'ils allaient participer à une mission comme au bon vieux temps. À peine entrée, le jeune homme déguisé en Démon, constata l'obscurité ambiante. Une veille baraque décrépit, l'obscurité qui entourer les occupants. Rien de telle pour foutre la pétoche le soir d'Halloween. Malgré le noir, on pouvait un peut distinguer les silhouettes des personnes qui ont osé pénétrer ce lieu maudit.
Edan croisa les bras tout en écoutant les conversations entre le papi et l'homme qui s'appeler Aladdin. Il regarda un instant le glaçon qui était à côté de lui. " Sérieux, on a l'air de s'amuser ? " Puis Aladdin raconta son histoire et demande aux autres s'ils sont là pour lui et pour la récompense. Non, mais pour qui il se prend celui-là ? Edan ne savait pas qu'Aladdin était sultan et s'il le savait, il s'en foutait royalement. Il décroisa les bras avant de parler :
"Hé ho, nous, on n'est pas là pour toi okay !" Un petit coup de coude de la part de River dans ses côtes, lui indique qu'il faut se taire et que c'est un manque de respect pour une personne de haut rang." Je m'en fous Riv... Sang royal ou non, c'est la même chose et tu connais ma façon de penser." Oui River, alias Grey savait que Edan qui n'est autre que Natsu s'en foutait royalement des bonnes manières à avoir face à un sultan, mais c'est également, car il n'aimait pas vraiment les gens qui croit être important pour tout le monde...À près tout, lui-même avait menacer le conseil magique et le royaume de son pays que si ils faisaient du mal à fairy tail, ils allaient le regretter.
Puis la lumière s'alluma, le blond mit sa main devant pour se protéger les yeux et cligna des yeux pour les réadapter à la lumière. Edan put distinguer les visages des autres personnes prisonnières dans cette maison mystérieuse et surtout à la personne à qui il avait parlé durement, mais il ne s'en formalisa pas et n'allait pas se confondre en excuses... Ce n'était pas son genre. Enfin, Edan se rapprocha au même titre que la personne qui a voulut se la jouer tonton flingueur, Aladdin et une jeune femme aux cheveux roux. Un message glauque était apparu en lettre de sang sur le sol. Étrange, car, il n'était pas là avant, en même temps, la pièce était dans l'obscurité donc personne ne pouvait voir le sol. Là, il vit le sultan léché le sang et confirmait qu'i appartenait à un humain. " T'es complètement malade de faire ça." Bon, il pouvait parler, lui, il léchait bien le sang de River quand il le mordait.
Le message en lettre de sang indiqué : "On ne choisit pas d'entrer dans la Maison. C'est la Maison qui nous choisit..." Stanford, c'était comme ça qu' Aladdin l'avait appelé. Le sultan dit alors que c'est impossible et que c'est lui qui a décider d'entrer dans la maison. Puis il finit par dire que la maison nous a choisit car elle nous trouve à son gout. Bon il n'a pas fallu plus pour que Edan exerce son côté complètement idiot. " Ohhh !! Et quel goût on a ? " Il sentit des regards se poser sur lui, comme si sa question n'aurait pas dû être posée. Mais que voulez vous... On ne peut pas corriger Edan " Bhen quoi ? Je voudrais bien savoir quel goût, on a ? " Il se retourne vers River. " Je peux te goûter ?"
Un cri de douleur se fit entendre et le blond se retourna vers Aladdin qui se tenait son dos. Du sang coulait le long de son dos pour aller rejoindre le sang de l'inconnu sur le plancher. Le sultan était paniqué pendant quelques minutes puis "son papa" vient à son aide. Un chiffre trois était gravé sur sa peau. Le pompier l'entend dire de prendre soin de ses jumeaux car il voulait mourir. Edan ne supportait pas les gens comme ça, des pères qui abandonnent leurs enfants ou les enfants qui parlent mal à leur père. Il fit quelques pas.
" Alors tu comptes les abandonnés ? Un père n'a pas le droit de faire ça à ses enfants. Les enfants n'ont pas le droit de grandir sans leur père. Alors s'ils comptent un tant soi peu pour toi, tu n'as qu'à vivre. " Il pouvait être dur, mais quand on connaît le passé d'Edan dans son monde d'origine, on savait ce qu'il pouvait ressentir lorsqu'il voyait ce genre de situation. À près tout, lui, il avait du grandir son Igneel, son père. Ce dernier avait disparu du jour au lendemain sans rien dire. River essaya de ramener son petit ami au calme pour lui éviter des ennuis.
Le message change et ce fut au tour de la rousse de se faire entailler au même endroit. Puis,les lettres de sang recommencèrent à bouger pour former un autre message qui cette fois, lui était destiné. " Edan = Démon". Ce mot le mit hors de lui et essaya de faire des provocations qui se percutent dans le vide.
"Comment ça Démon...Qui traites-tu de démon ? "
Il y avait son prénom à côté et il ose demander qui est le démon. Dans son monde, il se faisait souvent appeler monstre à cause de sa magie de chasseur de dragon de feu, car il pouvait avaler le feu et se régénérer en un rien de temps. Monstre... Démon... Cela le mettait hors de lui, il était juste un humain, certes pas véritablement normal, mais il était un humain. Et puis il n'y avait que River qui avait le droit de le surnommer démon.
Une douleur insupportable et cuisante lui lança dans le dos. Il sentit une sorte de lame invisible s'enfoncer dans sa peau chaude. La lame invisible était froide, encore plus froid que la peau de River, quand il lui caressait ou lui massait le dos. Un liquide rouge coulait le long de son dos. Il ne savait pas encore que cette lame invisible lui tailler dans sa chaire un six ensanglanté. Un six qui est le début du chiffre du diable. Le commencement d'un nombre démoniaque et surnaturel. Le début d'un nombre qui signifiait rien de bon. " Qui que tu sois je vais t'éclater !" Il sentit des mains froides sur sa peau chaude. Ce froid était rassurant comparé à l'autre qui lui avait entailler sans ménagement son dos. Et ces mains froides avaient le dos de le calmer " Qu'est-ce qui est marqué ? "