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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
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 Événement #101 : La Maison

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Événement #101 : La Maison - Page 2 _



________________________________________ 2018-11-19, 04:24


La Maison

River Frost & les Élus

’’Pain without love
Pain, I can't get enough
Pain, I like it rough
'Cause I'd rather feel pain than nothing at all’’

Après avoir vu Edan menacer très sérieusement un banc de brouillard, c’est en soupirant que River était entré dans cette maison étrange. Il y faisait complètement noir et on n’y voyait rien. Instinctivement, le Frost attrapa la main de son petit ami et enlaça ses doigts froids avec les siens. Il n’avait aucune idée de ce que leur réservait cet endroit, mais il ne voulait pas perdre son dragon dans les ombres comme il venait de perdre presque toute la ville dans le brouillard. Alors que le mage de glace entrait à pas feutrés, tentant de savoir à quoi ils avaient affaire, Natsu s’imposa en faisant un boucan incroyable, cherchant un coupable. Excédé par l’attitude immature de son copain, il lâcha sa main et commença à applaudir avec une lenteur sarcastique à souhait. « Bravo Sparks… Maintenant, si quelque chose de dangereux nous attendait tapis dans l’ombre, tu viens de signaler notre présence… », dit-il en terminant sa phrase dans un soupire. « Tu as de la chance d’être sexy, parce que t’es un sacré boulet quand tu t’y mets… », ajouta-t-il dans un semi-compliment.

Il y avait déjà deux personnes dans la pièce avec eux, mais River n’arrivait pas à distinguer leurs visage à cause de l’obscurité oppressante. La porte s’ouvrit à nouveau pour laisser entrer un homme, mais elle se referma avant qu’il n’aie le temps de voir son visage. Cette situation le l’enchantait pas du tout. Le mage de glace aimait voir le visage de ses ennemis avant de les écraser comme de vulgaires insectes. Encore une fois, la porte de la baraque s’ouvrit et le Frost se retourna vivement tout tenter de voir de qui il s’agissait. Mais plutôt que de s’attarder sur les traits vieillissants de cet homme, il remarqua plutôt que la porte qui s’était refermée derrière lui avait disparu. Il se dirigea vers l’endroit où se trouvait la-dite porte quelques secondes auparavant et passa ses mains sur le mur. Il n’y avait plus rien.
« On est enfermés… », constata-t-il dans un souffle. Le combattant n’était pas claustrophobe, mais l’idée de se retrouver enfermé avec des étrangers ne lui plaisait pas particulièrement. Surtout que le vieux commençait à menacer tout le monde, disant qu’il était armé. « Armé? Non mais c’est quoi ce bordel. Tu vas nous tirer dessus? », demanda-t-il sur un ton tout aussi menaçant. Il allait bien voir ce qu’il en coûte de s’en prendre à un mage de Fairy Tail. Le glaçon posa son poing droit dans la paume de sa main gauche et ferma les yeux pour concentrer sa magie dans ses mains. Mais rien ne se passa. Rien! Sa température ne baissa même pas d’un minuscule petit degré. Sa magie faisait encore des siennes. Il leva les bras en l’air, complètement excédé. « J’en ai ma claque… », dit-il avait la voix calme du gars qui en a tellement marre que rien ne peut plus l’atteindre.

C’est alors qu’un néon au plafond s’alluma, éclairant la pièce de sa lumière blafarde. River reconnu le Prince Ali qui chialait comme une fillette dans un coin de la pièce. Mais qu’est-ce que Jasmine pouvait bien lui trouver. Il n’avait rien d’un homme, en position fœtale, complètement décomposé. Le Frost haussa les épaules et s’apprêtait à ignorer royalement le prince quand Edan commença à lui gueuler dessus. Aussitôt, le glaçon envoya un petit coup de coude dans les côtes de son amoureux.
« On se calme, mon dragon… C’est un prince… », commença-t-il sans avoir le temps de terminer sa phrase pour expliquer qu’il avait peut-être la main mise sur la polices ou autres choses dans le genre et qu’il valait mieux ne pas s’attirer d’ennuis. Edan le coupa, en lui signifiant qu’il n’en avait rien à faire de son statut royal et que River connaissait déjà son point de vue sur la chose. Il se contenta de lever les yeux au ciel sans rien répondre. Il était tout de même fier que son copain ne s’en laisse pas imposer. Il préférait largement les homme qui se tiennent debout et qui se montrent fort, plutôt que les mauviettes qui pleurent dans leur coin.

River poursuivit donc son évaluation des gens présents. Il y avait Ali le pleurnichard, le vieux, une espèce de bombe beaucoup trop sexy et…
« Newt… Quelle bonne surprise… Joli déguisement… », dit-il avec un petit sourire, détaillant son ancien amant de haut en bas. Il se souvenait de leur dernière rencontre dans un café. Rencontre qu’ils avaient poursuivie dans une ruelle… Le Frost ne pouvait oublier ce bref retour dans le passé alors que le criquet lui avait fait revivre des sensations qu’il connaissait si bien. Le pauvre… Il avait vraiment cru qu’avec une bonne fellation, car on pouvait dire qu’il s’était appliqué, il allait pouvoir reconquérir le cœur du mage de glace. C’était d’une tristesse… Pendant qu’un drame se déroulait dans son dos, le combattant glissa sa main dans celle de Natsu, sans jamais quitter son premier amour du regard. « Au fait, tu connais mon nouveau petit ami, Edan? », lui demanda-t-il dans l’unique but de le faire encore souffrir. C’est ce moment que choisit son dragon pour lui demander s’il pouvait le goûter. Bon, River n’avait pas du tout saisit le contexte, mais il sauta sur l’occasion. « Bien sur que tu peux me goûter mon bébé… », dit-il dans un sourire avant de l’embrasser langoureusement. Bon, ce n’était peut-être ni le moment, ni l’endroit pour ce genre de choses, mais pour le glaçon, ce n’était pas le genre de détail qui l’arrêtait.

C’est alors qu’un cri de douleur tira River de ses pensées impures. Il détacha enfin son regard de son ancien amant pour retrouver la source du cri. Ali… Bon, il voulait faire son intéressant… Quoi qu’il semblait vraiment avoir mal. Plutôt que de ressentir une quelconque pitié, le Frost était fasciné par les expressions du visage du prince, alors qu’il se tordait de douleur. Un petit sourire s’était même dessiné sur son visage alors qu’il regardait Ali souffrir sans jamais lever le petit doigt pour lui porter secours. Oui, il était infirmier, mais les infirmiers ne prononçaient pas le serment d’Hypocrate, ça, c’était pour les médecin. Il n’était donc pas contraint de lui venir en aide. Mais alors que le prince s’écroula, dévoilant un 3 gravé dans son dos, il laissa sous-entendre qu’il comptait se laisser mourir et abandonner ses enfants. Ces paroles vinrent piquer son dragon au vif et il se mit à engueuler le pauvre Ali. Le mage de glace tenta de retenir son copain tout en riant.
« Calme-toi, bébé… T’enflamme pas ici, j’ai pas envie que tu brûle toute la place avec nous à l’intérieur… », lui dit-il pour le calmer un peu.

Soudainement, le message de sang au sol changea et le nom de Cassandre apparu. River leva les yeux vers la jeune femme rousse.
« Cassandre… Tu ne serais pas une amie d’Aguistin, par hasard? », demanda-t-il. Son meilleur ami lui avait souvent parlé d’une rousse du nom de Cassandre, mais le Frost ne l’avait jamais rencontré. Et elle était là, devant lui. Le hasard est drôle parfois. Celle-ci ne mit pas beaucoup de temps avant de pousser un cri de douleur. Ce simple cri arracha un nouveau sourire au mage de glace, sourire qui ne le quitta pas alors que la jeune femme se tordait de douleur. Elle porta ses mains à son dos qui recevait sûrement une gravure comme Ali auparavant, et lorsqu’elle les ramena devant elle, ses doigts étaient tachés de sang. Le combattant se mordit la lèvre inférieure. Le sang, la douleur, il avait ce côté sadique et masochiste que très peu lui connaissaient, et cette situation qui semblait effrayer tout le monde l’excitait plus qu’autre chose. Lorsque la jeune femme se calma enfin, signe que sa torture était terminée, River leva les sourcils. « Alors, ma belle, tu va enlever cette robe pour qu’on puisse voir ce que tu as de gravé dans le dos? » Le coup d’Edan lui arriva presqu’instantanément. « Quoi? C’est peut-être important… Je disais juste ça pour aider… », se défendit-il tout en se parant de son sourire d’ange.

Le message au sol changea encore. Cette fois, River y vit le nom d’Edan, suivit du mot ‘’démon’’. Alors que son copain s’insurgeait, le Frost pouffa de rire.
« Toi? Un démon? Mais elle est complètement à l’ouest cette vieille baraque… Il n’y a pas plus pure que toi! », s’esclaffa-t-il avant de s’arrêter net. L’expression sur le visage de son amour venait de changer pour prendre la même expression de douleur qu’Ali et Cassandre. Si la souffrance des deux premiers l’avait amusé, celle d’Edan ne lui procurait aucun plaisir. La rage l’envahissait, mais étrangement, il ne sentait pas sa magie affluer dans ses veines et menacer d’éclater. Tout ce qu’il pouvait faire, c’était tenter d’apaiser les souffrances de son dragon. Il encadra son visage de ses mains et se mit à lui parler doucement. « Ça va aller, bébé, tu es fort. Tu peux résister à ça… Je suis là, avec toi… Tu es plus fort que cette douleur, je sais que tu as connu pire que ça… », disait-il autant pour rassurer Edan que pour se rassurer lui-même. Quand tout fut terminé, River dénoua délicatement la cape du cou de son amour et s’en servit pour nettoyer le sang qui coulait dans son dos. Il appuya ensuite ses mains là où le sang continuait de couler, pour l’arrêter. Edan se calma aussitôt et lui demanda ce qu’il y avait de gravé sur lui. Le mage de glace passa ses bras autour de la taille de son bébé dragon, plaquant son torse froid contre son dos chaud. Il déposa un petit baiser dans son cou. « C’est un six… Est-ce que ça te fais du bien le froid sur tes blessures? », lui demanda-t-il sur un ton d’une douceur incroyable.

C’est alors que le message en sang changea à nouveau. Il vit son nom se former ‘’River’’ suivit du mot ‘’égoïste’’. Su le coup, River ne trouva rien à redire. Il était vrai qu’il n’avait prit soin que de son dragon, ignorant totalement les deux autres victimes de ce petit jeu sadique. Il était vrai que, depuis qu’il avait laissé les ténèbres entrer dans son cœur, il ne pensait plus qu’à lui-même. Edan était le seul qu’il considérait hormis sa petite personne. Sur le coup, la tache de sang avait raison. Aussitôt, le mage de glace lâcha son amour et se plaça à ses côté. Regardant droit devant lui, il se préparait à ce qui allait suivre.
« T’inquiète pas, mon bébé, ça va aller. Tout va bien aller, je te le promets. », assura-t-il. Il devait seulement se mettre dans le bon état d’esprit, et il savait exactement à quoi il devait penser pour passer à travers la douleur qui allait suivre. Il ferma ses yeux bleu et plongea dans ses souvenirs. Je me revois, avec mon meilleur ami Aguistin. Nous sommes sur le lit d’Agui, complètement nus. Il me prend sauvagement, et sauvagement est le bon terme, parce que la baise avec Agui est presque toujours brutale. La lame invisible commença à entailler son dos, mais River ne fit que plisser ses yeux fermés. Couché sur le dos, le plaisir qu’il me fait ressentir est décuplé par ses ongles qu’il enfonce dans mon torse. Et il n’a pas de limites… Il me fait saigner, mais je ne bronche pas. En fait, j’adore ça. Il est brutal, féroce, dominant… C’est tout ce que je veux. Je veux qu’il me fasse mal. Alors que le plaisir monte, mes cris sont étouffés par ses mains sur ma gorge. La torture se poursuit, mais le Frost ne bronche toujours pas, concentré sur ses souvenirs. Un sourire vient même étirer ses lèvres. Je sais que le moment prendra bientôt fin, parce que je le vois approcher sa bouche, ses dents, de mon épaule. C’est qu’il mord, le petit corbeau, quand il a du plaisir. Ses dents se plantent dans mon épaule et cette douleur aigue me transporte jusqu’au paroxysme de mon plaisir. River poussa alors, non pas un cri de douleur, mais un gémissement, ce genre de gémissements qu’Edan et Newt ont déjà entendu avant. Ouvrant les yeux, il quitta ses souvenirs pour revenir dans la réalité, et cette réalité lui donna des vertiges. Il dut s’accrocher au bras de son amour pour cesser de vaciller. Il prit quelques secondes pour reprendre son souffle avant de montrer son dos mutilé à son dragon. À travers les marques de brûlures en forme de X, on distinguait clairement le chiffre sept gravé dans sa peau. « T’inquiète pas, mon démon… Je vais bien… Je n’ai presque rien senti. Alors, quel est mon chiffre? »

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Bain de minuit

en toute innocence
(ou presque)

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| Conte : Mulan
| Dans le monde des contes, je suis : : Cri-Kee, le générateur de chance !

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| Cadavres : 168



Événement #101 : La Maison - Page 2 _



________________________________________ 2018-11-19, 23:26

THE BLOOD UNDER THIS ROOF
La salle dans laquelle le groupe d'inconnus arriva pouvait surprendre. Nous pas à cause de son obscurité, ou qu'elle soit complètement vide. Ca, c'était en effet étrange et notable, mais si l'on se concentrait sur l'architecture extérieure, celle de cette pièce non seulement ne correspondait pas, mais n'avait rien d'une entrée, que ce soit pour un bâtiment de ce style ou pour n'importe quelle maison.

L'instinct. L'amitié qu'il entretenait avec le detective Gryf Wilykat l'entrainait à réfléchir et ouvrir l'oeil, quelque chose qui lui a bien été imposé lors de sa... "rencontre" avec Miss Kenedy. Newt était ainsi bien plus poussé à utiliser un esprit de réflexion et de déduction. Essayer de comprendre plutôt que de fuir, comme le faisait l'homme qu'il était il y a quelques années. C'est en ce sens qu'il alignait toutes les informations qu'il pouvait avoir. Son appareil photo était donc un allié précieux, et ne manquait pas de remercier mentaement Gryf pour le lui avoir donné, même pour une simple fête d'Halloween - l'expérience actuelle démontrant bien qu'il fallait toujours être prêt même dans les situations les plus banales, bien qu'il aurait aimé photographier son ami plutôt que l'étrange phénomène qu'était cette maison.

Il ajouta donc une première photo de cette salle à la série d'image qu'il avait prit de ce début d'aventure. Car, s'il n'y avait évidemment aucun doute pour personne que la demeure était enchantée, de son apparition dans cette brume qui avait éloigner tout le reste à l'entrée mystérieuse, Newt était convaincu que les secrets qu'elle cachait renfermaient une enigme, des intentions, et donc une réponse qui saurait les guider pour résoudre le problème et les faire sortir.

Il nota cependant, en se pinçant les lèvres d'anxiété, que ses compagnons n'étaient pas tous prêts pour une telle situation ce qui était compréhensible. Une maison solitaire et obscure, dans une brume, la nuit d'Halloween ne pouvait pas rassurer les plus sensibles. Il remarqua alors les angoisses d'Ali qui errait et pleurait dans l'espace restraint qui leur était alloué, ou les colères d'Edan qui s'emportait à juste titre mais sans grande patience contre ce qui pouvait être responsable de tout ça. Il se sentit coupable de ne pas savoir quoi faire pour les aider. Mushu ou Mulan auraient pu savoir eux ! Même Gryf ! Car s'il n'était pas certain de son passé, il semblait clair qu'il avait été un héros d'une façon ou d'une autre. Il nota cependant que le plus âgé fut armé, et si Newt n'aimait pas que la constitution autorise le port d'arme, il semblait que dans cette situation ça leur serait peut être utile, s'il l'utilisait avec mesure et sagesse (et quelque chose lui disait qu'il ne portait pas une arme très traditionnelle).

Newt n'avait donc pas prononcé un mot, comme à son habitude à moins qu'il soit en présence de proches, n'étant pas la créature la plus sociable, et préférant observer pour comprendre que se précipiter en verbalités et paniquer bien trop rapidement. Cependant, lorsque la lumière revint, il fut bien plus facile de se reconnaitre. Sociabilité ou non, ils étaient un groupe, et les gens sont des ressources : autrement dit, l'unité était leur clé principale pour s'en sortir. Il vit à peu près qui était Ali, de nom pour s'interesser à la ville, il connaissait Cassandre, du milieu professionnel. Il reconnaissait Stanford qui avait une petite notoriété avec son domaine quelques peu spécial. Puis il y avait Edan, qu'il ne tarderait pas à connaitre et...

Content de te voir River, j'espère que tu vas bien, même si on se revoit comme ça, lui dit-il très sincérement même s'il était un peu géné et tout autant intimidé après leur dernière rencontre qui ne s'était pas bien passé. Comme dit, Newt n'était plus le même, arrêtant de fuir comparé à ses habitudes d'avant. Mais un tel face à face n'en restait pas moins intimidant. Il accepta le compliment avec un sourire mais détailla River de haut en bas, ne sachant pas vraiment quoi dire en retour sur son déguisement... pour le moins absent.

Lorsque River prit le temps le temps de lui parler d'Edan, se rapprochant de lui entre sourires, phrases et gestes qui ne cachaient en rien son intention, Newt sut donc très bien qu'il faisait ça pour le provoquer et lui faire du mal. Mais, fidèle à lui même, il restait sincère, souriant, car réellement ravi d'apprendre qu'il était avec quelqu'un. Je suis content de te savoir amoureux, River, lui dit-il de sa voix habituellement bienveillante. C'était vrai, car au moins cet Edan et l'amour qu'il réveillait chez River avait peut-être une chance d'éviter celui-ci de tomber dans l'égoisme, les ténèbres et la perversion du mal, ce que Newt avait redouté en le revoyant il y a quelques mois.

La Maison les avait-elle choisi pour leurs relations ? Newt, pour le moment, n'en était pas certain, bien qu'il ne rayait pas encore cette possibilité des enquêtes qu'il menait silencieusement. Mais le bâtiment ne tarda pas à donner de nouvelles pistes pour l'enquête, quand elle... "communiqua" ? avec eux, un par un.

Il prit le soin de prendre en photo les messages que le sang gravait sur le sol, gardant cependant le respect de ne pas prendre les blessures gravées à même la chair, mais les mémorisant, comprenant très rapidement le fonctionnement du processus. La maison avait un lien psychique avec eux, c'était certain, quant au chiffre... ils les reliaient certainement, d'une façon ou d'une autre. Un ordre pour une séquence encore inconnu, ou une signifique numérologique que Newt ne maitrisait malheureusement pas... il gardait l'esprit ouvert, comptant bien réfléchir le temps qu'ils seraient là. Mais pour l'heure, il appréhendait, sentant bien son tour arriver.

Il déglutit donc en voyant les lettres de son nom suivie de la mention "Renfermé". Une accusation qui le blessait un peu mais le criquait avait parfaitement conscience que ce n'était pas un mensonge. Il l'était, malgré toute l'aide que lui donnait Malakai en sociabilisation. Il ne fit pas exception, prenant le message en photo pour pouvoir mieux assembler les pièces du puzzle quand il le pourrait, tentant de faire fit de ses sentiments personnels. Il prit ensuite une grande respiration, sachant exactement ce qui venait ensuite. Il prit la hanse de sa valise à deux mains, et lorsque la peau de son dos commença à se graver jusque dans le sang, il serra les poings autour de celle-ci, autant que la machoire. La jointure de ses doigts blanchirent sous la pression, manquant d'enfoncer ses ongles pourtant bien coupés dans la chaire de ses paumes. Mais il rongea son frein, attendant que ça passe.

Le message au sol disparut lorsque l'opération s'arrêta. Il osa alors enfin respirer de nouveau, avant de lever une main hésitante sur sa blessure. Quelle ne fut pas sa surprise de constater un 7 gravé dans son dos. Comme celui de River.

Un nouveau détail de cette énigme infernale.
(c) AMIANTE
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You feed the madness
And it feeds on you



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CHANGE
is inevitable

slow and painful sometimes, but

✢ INEVITABLE ✢


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| Cadavres : 397



Événement #101 : La Maison - Page 2 _



________________________________________ 2018-11-20, 20:32





The Mystery House is open
Ft. de pauvres victimes d'un bâtiment vivant


Que l'aventure ne cesse jamais ! Moi qui pensais avoir affaire à une banale fête d'Halloween où ni gnomes, ni licornes, ni marchand de visages, ni démon n'allaient se manifester et que par "simple soirée déguisée" Stanley voulait dire.... Une véritable simple soirée déguisée. Je fus surpris de savoir le contraire, ce qui était presque agréable si ça n'avait pas été avec d'autres individus dont je ne connaissais pas l'identité et si c'était le cas, ce n'était que de nom. Après tout, cette maison dans laquelle nous nous trouvions par mégarde - je ne semblais pas me tromper en analysant le regard de chacun - n'était pas des plus charmantes et encore moins des plus sympathiques. J'eus tout d'abord confondu la bâtiment aux restes des attractions dans lesquels Aladdin jouait très bien la Banshee. C'était pour lui que je m'inquiétais premièrement car mon départ de l'hôtel et mon arrivée ici avaient pour but de le retrouver. C'était armé que je rentrai lentement dans cette maison close et obscure, tout d'abord car je n'avais pas confiance en ce lieu mais également car si c'était une mauvaise blague d'un jeune ou d'un organisateur, il avait mieux fait d'en finir maintenant. Je n'aimais pas les surprises mais plus encore, finalement, les autres n'aimaient pas m'en faire. C'est lorsque la porte se fît entendre claquer que la voix d'un jeune homme inconnu répondit à mon avertissement, suivi de la réponse d'Aladdin. Je scrutai les cinq individus de long en large avant de baisser l'arme que j'avais en main.

"Je ne tire que lorsque la situation l'oblige. À priori, vous n'avez rien à craindre."


Si je n'avais pas perçu toute la dangerosité du bâtiment aux premiers abords, j'avais toujours dans l'intention de ramener le protégé de mon frère avec l'espoir qu'il nous téléporte. Il me restait 3 minutes pour accomplir ce miracle mais lorsque je m'approchai du garçon pour lui demander les raisons de sa fuite, c'est d'une voix terne et sombre qu'il me répondit que Laureline, la jeune femme qui venait d'accoucher, était morte d'une hémorragie. Je le dévisageai, pris entre la surprise et le doute.

"Quoi ? Non... Du moins, je ne crois pas. Hésitais-je en posant une main contre mon menton. Corol... Hum, Corail nous l'aurait dit si ça avait été le cas."

Si Laureline avait été morte, après tout, ce serait en pleurs ou d'un visage bien triste et désemparée que sa servante serait venue nous annoncer la nouvelle. Or, elle ne nous confia que la naissance du couple - jusque-là plutôt heureuse - et la disparition du père - elle plutôt inquiétante. Je ne pouvais penser qu'elle nous cache une chose pareille et si ça avait été le cas, je songeais à recevoir un message de Stanley pour me prévenir de ne pas faire de maladresses... En espérant ne pas déjà l'avoir fait. Soudainement, je me sentais mal. Observant les autres, je demandais si un jeu était en cours et respectais totalement tout règlement sordide qu'il pouvait y avoir. Si j'avais bien compris une chose à Storybrooke - comme à Gravity Falls, par ailleurs - c'est qu'il ne fallait pas juger sans savoir. Cependant, même une simple hypothèse pouvait être pris pour une critique et je la regrettais vite. Ma maladresse me perdra.

"Mes excuses... Lançais-je au jeune homme torse nu déguisé en... Démon ? Je ne voulais blesser personne, ce n'était qu'une simple hypothèse pour laquelle je n'ai rien contre. C'est juste assez étrange de vous retrouver tous réunis ici et puisque c'est Hallowee-..."

Mon regard s'abaissa sur le sol, attiré par une couleur plus vive dans une pièce totalement blanche. On y lisait deux phrases simplement dites, écrites mais avec une encre qui n'en paraissait pas une fois qu'on s'en approcha. Ma tête s'abaissa sur le côté jusqu'à discerner l'épaisseur du liquide et le reflet qu'elle renvoyait face au néon du plafond. Il n'y avait aucun doute que c'était du sang et Aladdin le confirmait assez bien en... prenant goût de la substance. Je le regardais sans rien dire, acquiesçant simplement d'un vague "Effectivement" qui ne voulait pas trop en dire sur son geste. J'étais persuadé d'avoir fait pire durant mes années de recherches à Gravity Falls, alors que pouvais-je critiquer ? Aladdin poursuivit ses interprétations du message inscrit, parlant de prophétie mais également de mensonges. Je me redressais, plongeant les mains dans mes larges poches.

"Une prophétie indique ce qu'il se passera dans l'avenir, Aladdin... Or, ce message indique bien une idée du présent. Nous avons tous passé les portes de cette maison car elle nous aurait choisi, d'une certaine manière. Par un procédé inconnu, elle a fait en sorte qu'on ne puisse avoir d'yeux que pour elle. Littéralement. Je croisais les bras. C'est... Intéressant. Intriguant, effrayant mais intéressant. Finalement, je remontais un regard vers le garçon démon, peut-être que nous jouons véritablement à un jeu."

Je laissais l'un et l'autre parler du goût que nous pourrions avoir pendant que je cherchais un moyen de comprendre ce qu'il se passait. Dans cette pièce, aucun indice ne m'aidait. Le message était clair - et plutôt menaçant lorsqu'on pense qu'il a été écrit avec du sang -, seulement il n'y avait rien d'autre.

"Je ne comprends pas... Pourquoi est-ce que la Maison nous a-t-elle choisi ?"

À ce moment, la substance rouge se divisa pour former un nouveau message. Ali = lâche. Je jetais un regard sur Ali qui, comme moi, venait de lire son prénom en toute lettre avant que, soudainement, il ne se mette à crisper la mâchoire, courbé sur lui-même comme si une douleur atroce venait l'assaillir avec lenteur. Posant une main sur son épaule, je venais lui demander ce qu'il se passait mais, sans parler, c'est une camisole de plus en plus rougie dans son dos qui répondit à ma question. Lui ordonnant de retirer sa camisole, je décidais de m'en servir pour stopper l'hémorragie mais si elle cessa par elle-même un instant après, je découvris avec stupeur ce qu'il advenait de sa peau. Tailladée. Aladdin se tourna vers moi et me nomma comme jamais on ne m'avait nommé auparavant : "papa". Je pensais que c'était à cause de la douleur qu'il cherchait quelqu'un vers qui se rassurer et comme son père n'avait été que peu présent pour lui... Je me tus, le laissant finir son discours qui sonnait comme un adieu même si je n'acceptais pas que ce soit la fin. Après tout, j'avais dit que je rentrerais avec lui et ce n'était pas une parole en l'air. Qu'importait le temps, désormais. Le "démon" prit peine à interpeller les propos du prince sans quoi je soufflais.

"Je ne pense pas qu'il soit l'heure de débattre sur ce sujet. Et non, Aladdin, tu ne laisseras pas tes enfants et ta femme seule, d'accord ? Stanley compte trop sur moi pour te ramener à l'hôtel sain et sauf ! Je lui souris. Vous êtes pareil : vous ne vous avouez pas vaincu."

Sur mes dernières paroles, le Sultan perdit connaissance. L'hémorragie, au moins, avait cessé. Seulement, le message au sol se modifia et proposa une nouvelle victime qui, au moment de lire son nom, se mît elle aussi à se tordre de douleur. Cassandre = Cachottière. Je me retournai vivement vers la jeune femme qui devint aussi pâle qu'un linge. Laissant échapper un cri strident de douleur, j'en dus lâcher Aladdin pour le laisser poser au sol et me diriger vers elle. Un garçon s'en occupait sans quoi je restais légèrement à l'écart mais surtout sur mes gardes. Par la suite... Edan = Démon. La maison avait son sens de l'humour car le garçon, Edan, apparemment, était réellement déguisé en démon. Il s'énerva contre elle, s'empêchant de frapper même si l'envie devait y être, jusqu'à ce que le garçon d'à côté place une main sur son dos. Leur relation était plutôt fusionnelle. Sans dire un mot, je voyais le message se changer à nouveau. River = égoïste. Qui était-ce ? Le copain du "démon" ou l'assistance de Cassandre ? La réponse arriva mais par détails. J'avais tourné mon regard vers l'homme tors-nu, le second, et remarqua sa douleur refoulée, le regard fermé mais les sourcils froncés. Il avait mal... Mais pas tant que ça ? Impossible de le savoir jusqu'à ce qu'un gémissement insoupçonné vienne stopper ses crispations. Je ne m'arrêtai pas longtemps sur ce détail et me dirigea vers la porte.

"D'accord, ne perdons pas de temps ! S'il y a une porte, c'est qu'il y a quelque chose derrière. Nous devons l'ouvrir avant que la suite n'arrive."

Trop tard pour Newt = Renfermé. Encore un terme qui n'avait ni source, ni sens mais qui détenait pourtant sa conséquence. Je voyais le garçon ciblé s'avancer pour prendre en photo le message pendant que je cherchais à ouvrir cette porte. Pourquoi m'usais-je tant à la tâche lorsque je voyais la matière solide qui me barrait la route ? Il n'était pas possible d'agir par la force humaine dans de telles situations... Mais lorsque je voyais Newt prendre son courage à deux mains en attendant son sort, je reprenais espoir que la maison n'allait peut-être pas en finir si aisément avec nous.

"Bravo, Newt. Lançais-je à ce dernier lorsque la douleur tentait de prendre contrôle sur lui. Résiste."

Pour ma part, je m'éloignai des murs pour brandir le pistolet laser face à la porte blindée. Quelle attaque tentais-je face à quelque chose d'inconnu ? Je ne savais pas, tout simplement car cette maison ne laissait que trop peu d'indices aux projets qu'elle détenait pour nous. La seule manière pour nous d'acquérir le plus d'informations possibles étaient parfois de brusquer les choses... Et de ne pas obéir. Au sol, je finis par percevoir mon nom. Stanford = Distant. Un sourire se décrocha sur mes lèvres.

"Tu ne me connais pas."

La seconde suivante, je tirai au centre de la porte et laissai la douleur m'envahir à mon tour. Comme une lame - c'était le cas de le dire - qui venait à plusieurs reprises marquer encore et encore le chiffre qui se taillait doucement dans mon dos sans que je ne le sache pour le moment, le numéro 8. Je passai outre la mutilation que je savais temporaire pour me concentrer sur l'état de la porte en question. Elle n'avait rien et au fond, je le supposais. Le sang se dissipait dans le sol, comme s'il n'était jamais apparu, puis la maison entière se mit subitement à trembler. Je voyais alors du liquide rouge - pour la seconde fois - traverser la porte, coulant jusqu'au sol pour former plusieurs mots successivement. Je m'avançais vers le premier message qui devait me concerner.

"Méchant."

Soudain, une coupure s'entailla d'elle-même dans mon bras sur lequel je plaçai fermement ma main comme une réflexe de douleur. Mais ce n'était pas terminé.

"Violent."

"Téméraire."

"Respecte les règles."

"Je fais ça pour vous aider."

4 nouvelles coupures que je ne pouvais préméditer car aléatoires se dessinèrent tout d'abord dans ma jambe droite, sur mon torse et enfin sur ma joue. La dernière fût plus petite mais étrangement, plus douloureuse. Une goutte de sang en tomba et se mêla au message avant que tout ne disparaisse mystérieusement. J'apprenais alors que ma première hypothèse n'était pas si idiote en son sens : nous jouions à un jeu. Par ailleurs, la maison qui se décrétait être vivante pensait nous aider sans nous en dévoiler plus sur la suite des événements. Je rangeai, perdu dans mes pensées, le pistolet plus tôt utilisé. Mon regard vitreux se reporta sur la porte :

"Pourquoi sommes-nous ici ?"

C'est alors qu'elle s'ouvrit - presque trop intacte. Je n'osais tourner le visage balafré vers les autres par appréhension des regards que je pouvais en avoir mais surtout car je ne souhaitais pas m'en préoccuper. Seulement, Ali était en ce moment évanoui au fond de la pièce. Qui connaissait-il à part moi, ici ? Je ne pouvais pas me blesser gratuitement pour obtenir des informations quant à cet endroit en sachant que je devais le protéger également. Ce n'était pas responsable de ma part mais je ne regrettai pas pour les réponses que j'en obtins. Me retournant dos à l'ouverture, je me dirigeai puis m'abaissai à la hauteur d'Aladdin et tenta de le réveiller.

"Allez y... Lançais-je sans n'avoir adressé un seul regard aux autres. On vous rejoint."




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Événement #101 : La Maison - Page 2 _



________________________________________ 2018-11-21, 00:41






Description


La seconde pièce de la Maison


Le couloir


Le couloir est tout en béton blanc (comme sur la photo) et semble abandonné depuis des années. Une lumière blafarde est diffusée par trois néon suspendu au haut plafond. Il y a trois pièces à gauche et trois pièces à droite du couloir. Aucune porte ne ferme les pièces, comme si elles avaient été arrachées de leur gonds. Au fond du couloir se trouve une porte identique à celle qu'il y avait dans la première pièce. C'est une grande porte de métal qui parrait neuve, contrairement au reste de l'endroit. Elle est fermée et il est impossible de l'ouvrire. Au dessus de la porte, il y a six voyants lumineux circulaires, tous éteints. Sur le sol de béton blanc, en plein milieu du couloir, un message est inscrit en lettres de sang.
« Le courage, ce n’est pas de n’avoir peur de rien, mais de savoir affronter ce qui nous terrifie. »



Première pièce à gauche


La pièce est plongée dans le noir et on n'y voit rien. Étrangement, la lumière des néons du couloir n'aide pas du tout. C'est comme si la lumière s'arrêtait sec sur le pas de la porte. On peu voir un petit point lumineux vert qui clignote plus loin dans la pièce, mais encore une fois, même cette petite lumière ne permet pas d'y voir quoi que ce soit.



La deuxième porte à gauche


La deuxième pièce est complètement remplie d'eau, du plancher au plafond. Malgré toute cette eau, il n'Y a pas une goutte qui touche le couloir, comme si l'eau s'arrêtait magiquement sur le pas de la porte pour rester bien sagement dans la pièce. La pièce est relativement bien éclairée et elle ressemble au couloir avec ses murs et son plancher de béton blanc. Par contre, contrairement au couloir, le plafond est bas et fait du même béton, ne laissant pas une seule ouverture pour laisser passer un peu d'air. Au fond de la pièce, on voit clairement un bouton vert qui clignote.



La troisième pièce à gauche


L'accès à la troisième pièce est fermée par des fils barbelées qui passent de part et d'autre du cadre de la porte. Il serait possible d'entrer dans la pièce, mais il faudrait passer entre les barbelées. À l'intérieur de la pièce, on voit les murs de béton blanc ainsi qu'un plafond de béton très haut. Le plancher, s'il en est un, est recouvert de gazon jauni et seché ainsi que de terre battue. On peut y voir des corps qui jonchent le sol à différents stades de décomposition. Un peu plus loin, il y a un petit écriteau de bois sur lequel est inscrit un message en rouge, mais le message est beaucoup trop petit et le panneau est trop loin pour bien distinguer l'avertissement. Au fond complètement de la pièce, on voit un bouton vert qui clignote.



La première pièce à droite


Cette pièce ne comporte aucun mur ni plafond. C'est un peu comme si cette pièce était infinie. Du cadre de la porte commence un quai de bois qui semble solide. Il est long d'environ 5 mètres. Hormis le quai, il n'y a que de l'eau à perte de vue, comme si le quai se retrouvait perdu au beau milieu de l'océan. L'étendue d'eau est calme et aucune vague ne la secoue. Un ciel complètement recouvert de nuage fait office de plafond. Au bout du quai, on peut voir une masse noir informe qui est immobile. On ne voit pas de bouton vert dans cette pièce.



La deuxième pièce à droite


La troisième pièce est très étroite et séparée en deux pour former deux étroits couloirs. Les murs ainsi que la séparation des couloirs sont fait de larges barreaux de métal. On peut facilement voir que les deux couloir débouchent sur la même petite pièce, car on voit le clognotement vert du bouton que l'on regarde par un couloir ou par l'autre.



La troisième pièce à droite


La pièce commence par un étroit couloir, trop étroit pour y marcher de front. On ne peut y passer qu'en se tournant sur le côté. Sur les murs de ce mince couloir, on peut voir des dizaines de lames d'environ 5 centimètres. Elles sont incrustées dans les murs et elle pointent vers l'intérieur du couloir. Impossible de passer sans se blesser, assez pour saigner, pas assez pour mourir. On ne voit pas de bouton vert.




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Événement #101 : La Maison - Page 2 _



________________________________________ 2018-11-21, 14:40


 


Et si cette croyance Agrabanaise était vraie ? 



☾☾ La Loi Agrabanaise était sévère, mais surtout barbare parce que pour punir les crimes , la torture et les mauvais sorts étaient les moyens utilisés pour condamner les coupables.Traiter un Roi comme Edan l'avait fait méritait un châtiment. Parce que oui, l'homme glacon n'avait pas tord.  J'avais été un calife, prince successeur au trône, mais lors de mon dernier entretien avec le pere de Jasmine, celui ci m'avait succédé le Royaume en tant que souverain chef, des sept déserts Malheureusement a Storybrooke, ce titre était simplement décoratif. Parce que la ville était gouverné par un maire et son équipe. Mais leurs lois modernes, sauf peut-être quelqu'unes, n'allait pas changer ma mentalité Agrabanaise si un jour, je devais couper des têtes. Je le ferais! Mais pour l'instant, je n'étais pas comme mon frere, un tyran, parce que lui aussi il avait succédé a un trône a cause des manigances de sa mere.  Il gouvernait autrefois, le désert noir..Parce qu'aujourd'hui , il était résident de Storybrooke. Comment je le savais ? Parce que lui et moi nous avions eu un affrontement..Qui c'était conclu par un souhait et deux bracelets donc je ne pouvais pas me débarrasser. Et oublier l'idée de me couper les mains ca ne fonctionne pas !  Et mes mains j'en est besoin..C'était la partie de mon corps que je préférais. 


Après la petite crise de Dragon, on analysait  le premier message, tous ensemble. Enfin presque parce que le blondinet faisait son boulet, avec sa question amusante. Un sourire se dessinait sur mes lèvres, avant de lui dire :  Quand tu auras un petit moment intime avec ton copain, demande  lui de te goûter.  Moi je connaissais déja ma saveur. Parce que Jasmine, m'avait donnée offerte la réponse durant nos ébats sexuelles. Ensuite j'avais eu le droit au discours scientifique de Stanford..pour finalement par la suite souffrir quelques instants jusqu'à ce que je  perde contact avec la réalité. 


Et heureusement, parce que je n aurais pas supporter voir la suite des événements. Meme si c'était seulement le commencement du cauchemar. J'avais eu ma dose de souffrance, avec l'accouchement de Laureline. Voir la douleur sur le visage d'une personne qu'on aime m'avait tordu le coeur. Entendre ses cris, Entendre sous souffle halète. La voir s'accroupir pour expulser notre avenir. Etre temoin de toute la perte de son sang, me terrifiait encore. En plus j'avais du résister a cette attirance pour cela ! Mais, la voir dans cet état, te faisait réaliser que tout était ta faute. Et donnait le gout de vivre abstinent pour le sexe le restant de ta vie. Le seul moment qui avait magique durant cet événement était quand j'avais coupé le cordon de Lauralie et Maverick. Mais ce moment fut gaché par le dernier souffle de ma bien aimée. Inconscient dans les bras de Stanford. Parce que celui-ci avait le devoir de me ramener sain et sauf. Il l'avait promis! Même si son temps était écoulé..A cette heure , Stanley avait sans doute deja déclarer notre disparition. Il avait sans doute alerter les médias. Corail etait sans doute en train de s'occuper de mes jumeaux.  


Dans les vapes, les paroles d'Edan me hantaient: " Alors tu comptes les abandonnés ? Un père n'a pas le droit de faire ça à ses enfants. Les enfants n'ont pas le droit de grandir sans leur père. Alors s'ils comptent un tant soi peu pour toi, tu n'as qu'à vivre. J'entendais sa voix résonner dans ma tête. Je me revois cette scène : Assis dans un fauteuil de velours, je tenais dans mes bras Maverick, le jumeau garçon. Enroulé serré dans une couverture. Il était tellement  léger. Je le regardais avec amour, mais aussi avec mélancolie, car il était le souvenir de ma romance avec sa mère. Il était tout mignon, même physiquement, il était de la grosseur d'un rat. Et qu'il avait le teint rosé d'une petite souris. Pour ses traits pour dire il ressemblait a qui.. Je ne pouvais pas le dire , car étant  trop prématurité il n'avait pas terminer de se développer correctement. Mais le voir si calme, si silencieux, parce qu'il n'avait pas pleurer quand il avait sorti de sa mère . Ca me faisait peur ! Que j'avais peur de ne pas etre a la hauteur pour qui survive avec sa jumelle dans le meme état. Et perdre mon premier fils, me ferait mal.  Parce que depuis longtemps que je désirais un garcon, parce que mes petits champions dans mes bourses faisaient que des petites filles. Angoisser par le fait d'etre père de trois enfants..Surtout père , sans mère . J'allais devoir les assumer tout seul et ca me faisait peur. C'était pour cette raison, que je déposais le bébé sur le fauteuil, prenant la fuite. Heureusement dans l'ombre Corail veillait sur moi et récupérait l'enfant, avant de prévenir la cavalerie de ma fugue.  Cette scène m'hantait l'esprit et me revenant  en boucle tout le long ou j etais dans les pommes. Mais   Le dragon avait raison, mais avant de m'évanouir je n'avais pas eu la chance de lui dire, merci pour se rentre-dedans pour me remettre a ma place. 


Notre communauté de la maison, s'aventurait dans celle-ci .  Pas le choix, on était séquestré ! Même si j avais le choix d'y entrer volontairement, Enfin c'était plutot ma nature démoniaque qui avait été attirée magiquement par la maison. Puis le brouillard m'avait élu pourquoi? Pour m'apprendre une leçon de vie.  Pour m'apprendre a ne plus être lâche. Parce que la maison ne voulait pas que je sois a l'image de mon père biologique: Cassim. En faites la maison voulait peut-être mon bien, en voulant me torturer. 
Stanford et moi, nous étions en arrière du groupe. Nous étions dans un long couloir qui menait a six pièces, et une porte du fond. La tête adossé contre le buste de Stanford. Torse nu, parce que mon père adoptif n avait pas pris la peine de me remettre ma camisole. Il aurait dut parce que c'est le devoir d'un père survenir au besoin de son enfant. Et se vêtir en était un ! 


Je faisais a présent maintenant parti de la team des a moitié a poil ! Je tenais fermement dans mes mains, mon chandail en guise de souvenir de Laureline et de mes jumeaux. Ne voulant pas m'en séparer. Pourquoi ? Symbole d'espoir de les revoir. Parce qu'avant que tout le monde soit chiffrés, Stanford me laissait croire que Laureline avait survécu, a cause du comportement de Corail.  Mais aussi qu'il m'avait encourager a tenir bon pour  ma famille. Il savait que j'allais le faire parce que son frere et moi nous étions semblable. Le chandail était aussi un symbole de motivation pour survivre a la maison de la vérité. Je me sentais bien et en sécurité dans les bras du paternel. Mais toute bonne a une fin, j'ouvrais les yeux pour analyser la situation. De mes prunelles au teinte tempête,  j'observais sans un mot. Ensuite Stanford ayant remarqué que ma sieste était terminée. Parce que dans chaque aventure, que je vivais il me fallait mon petit moment de répit, ou je décidais de faire comme la Princesse Saiorse. Dormir n'importe ou! 


J'enroulais mon chandail autour de mon poignet gauche, pardessus mon bracelet doré orné de pierres précieuses.  Je l'attachais le chandail solidement. Puis j'analysais la situation même si je n'étais pas le type, le plus logique parmi nous. Je n'étais pas comme ce photographe ou même mon Papa qui avait un bon sens de l’observation. Mais j'avais quand même des compétences! Je me mettais a coté de lui, durant mon analyse . Il avait  Six passages, Six personne. Chacun était destiné a une porte. - Nous sommes six, il a six pieces. Je crois qu'on va devoir se séparer. Et trouver notre pièce et passer une épreuve pour ouvrir la porte du fond..


La porte était identique que la première. Donc sans doute verrouillée.. Parce que Stanford nous avait montrer que la porte était barrée tant que nous avions pas passer un niveau Parce que la maison voulait jouer.. Le premier niveau était de se faire chiffrer. Parce qu'à mon réveil, j'avais remarqué que tout le monde était tatoué d'un chiffre comme moi. 


Se séparer était une mauvaise idée! Pourquoi ? Parce que pour affronter un puissant sorcier. Il faut avoir des amis! Ça devait etre le même principe pour affronter une maison. Je n'appréciais pas être le cerveau de l'opération. Même si j'étais destiné a gouverner un peuple. J'avais toujours cette crainte, celle de ne pas etre a la hauteur de mon peuple.Et devoir m'engager a tout jamais dans le rôle du Roi ou même celui du mari parfait !  J'avais encore l'habitude du va-nu-pied, vivre en solo. Vagabonder d'aventures en aventures.  C'était pour cette raison, sans demander l'avis de personne, je m'aventurais dans l'un des passages.


 Première pièce a gauche.  Mais celle-ci me bloquait l'accès avec une barrière magique. Je mettais mes mains devant utilisé ma magie. Des rayons magiques de couleurs argentés. Mais aucune réaction ! Encore une fois ca me prouvait, que la magie n'était pas la bienvenue. J'allais devoir survivre comme autrefois, en tant que mortel.. Cette pièce ne mettait pas destinée..


Cette pièce n'est pas pour moi.. Qui veut l'essayer ? Je disais au groupe. 




Mais laquelle de ses pièces étaient la mienne? Je prenais la première pièce a droite. Je pouvais pénétrer sans problème dans celle-ci.  Pourquoi ? Parce que c'était évident ! Même très amusant de la part de la maison. Elle voulait effrayée avec une représentation de la prophétie de ma véritable mort.Ciel orageux, annonçant une tempête. Eau a perte de vue. Un eau sans vie, comme la mer morte, qui me rappelait vaguement le coin d'ou je venais et ou j'étais destiné a retourner. Parce que Storybrooke c'était temporaire !  Cette eau se faisait rassurante, pourquoi ? Parce qu'elle n'avait pas pris la teinte du sang a mon premier pas sur le quai.  Ainsi cet eau ne me rappelait pas celle, de la baignoire ou le corps de Laureline pataugeait.  J’avançais tranquillement sur le quai redoutait la fin. Sous mes pieds, le quai semblait stable. 


Heureusement parce que je n'avais pas envie d'une baignade ..Pourquoi ? Parce que j'étais seul , donc personne ne viendra me sauver de la noyade. Même pas Nessie ! Parce que je ne savais pas nager. Personne ne me l'avait appris! Tout simplement parce qu'à a part quelques exceptions. L'eau était presque inexistante dans mon Royaume. Et a Storybrooke, a part prendre une douche accompagnée de Corail. Et me servir a boire ! L'eau n'était pas la meilleure compagne pour moi.  Dès que j'arrivais au bout du quai, essayant de comprendre mon épreuve.  Ce que je n avais pas eu le temps de dire, parce qu'un vortex noir, se formait sous mes yeux, et d'une chaine de fer, avec un boulet apparaissait. Sans doute pour me capturer en m attrapant par la cheville, pour que je puisse couler dans les profondeurs. Et me noyer, parce que j'avais cette fois je n avais pas de lampe pour souhaiter entrer dans une de mes nombreuses demeures. Je décidais de retrousser chemin a la course.. Pourquoi ? Parce que la maison avait raison, j'étais un lache qui n'était pas capable d'affronter ses peurs pour guérir ses blessures du passé..Parce que l'histoire de la chaine et du boulet était une peur du passé !  Je retournais auprès du groupe, essoufflé. 


-Je crois que c'est ma pièce..Toute les pieces sont des piegés selon moi..

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Événement #101 : La Maison - Page 2 _



________________________________________ 2018-11-21, 23:34

La Maison
Cassandre et une troupe de suicidaires



Anastasie se releva une fois la douleur évanoui. Maintenant que Cassandre était endormi, les choses allaient être plus facile à gérer. Elle n'était clairement pas apte à supporter ce genre de chose. Les autres ne supportaient pas qu'elle puisse être traumatisée, ils étaient ceux qui étaient nés pour ça. En tout cas, Anastasie ne fut pas la seule à avoir reçu une marque dans le dos puisque les autres se mirent à réagir de la même manière. Elle sourit lorsqu'elle vit le tour de River. Il avait osé lui adressé la parole de manière informelle, pensant qu'elle retirerait sa combi-short mais elle avait préféré ne rien répondre à ce genre de provocation. Elle était au dessus de tout ça. Son compagnon avait l'air plus intelligent, du moins il s'adressait correctement aux bonnes personnes. Certes il devait être l'ami de ceux fameux Auguistin mais ils ne se connaissaient ni d'Eve, ni d'Adam. Et pour l'heure, il n'y avait personne qui pouvait lui être utile dans cette situation. La seule chose qu'avait pu remarquer Anastasie pour le moment était le fait que les seuls personnes ayant découvert leur dos laissait apparaître un numéro, cela devait sans doute en être de même pour elle.

Lorsque le saignement et la douleur se stoppèrent pour tout le monde, une autre pièce se fit découvrir, ou plus précisément un long couloir. Comme l'avait signalé le pervers, il y avait bel et bien six portes. Elle ne savait pas encore s'il avait bien déduit le fait de passer des épreuves pour chacun mais cela était peut être le cas. Enfin, elle semblait du moins l'hypothèse la plus probable. La rousse le regarda essayer les différentes portes, regardant simplement entré dans la sienne avant de ressortir aussi rapidement. Evidemment le mot qu'avait employé le sang semblait bien le définir. Il avait l'air lâche. Incapable d'aller au bout des choses, ce n'était que de l'eau après tout. Leur survie dépendait peut être de ça. Elle ne chercha pas à écouter l'homme à la peau rappelant le soleil, et essaya le seconde porte se trouvant à droite. Fermée. Comme la première porte qu'avait essayé Ali, elle semblait protégé par un champ de force. Elle tenta la troisième à droite, le résultat fut de même. Anastasie commença à bouillir intérieurement lorsque la quatrième porte qu'elle essaya ne s'ouvrit toujours pas.

- Mais pourquoi aucunes ne s'ouvrent ?! S'énerva-t-elle.

Ce fut hélas la dernière porte qu'elle essaya qui s'ouvre, elle avait réussit à entrer dans la première à gauche. Pourquoi n'avait elle pas testé celle ci en premier au lieu de perdre son temps sur les autres. Franchement ce jeu des pièces était stupide, il aurait directement dû mettre une indication. Cela aurait évité des humiliations inutiles sauf si c'était le but de la Maison. Lorsqu'elle tourna la poignée, elle tomba sur une pièce entièrement sombre. La rouquine ne pouvait pas distinguer ce qui se trouvait plus loin. Ça serait donc une totale surprise de ce qui pouvait l'attendre. Parmi les personnalités de Cassandre, elle était sans aucun doute la plus logique. Et sans doute la plus à même de les sortir sains et saufs de cette maison, si elle devait les autres personnes en arrière pour sauver sa peau, elle n'hésiterais pas. C'est pourquoi elle devait entrer dans cette pièce et voir ce qui pouvait l'attendre. Visiblement, la pièce voulait s'inspirer des peurs. Dommage pour elle, elle n'était pas tombée sur la bonne personnalité. Suzy avait peur du noir, mais pas Anastasie.

Elle pénétra dans la pièce, restant sur ses gardes, elle ne savait pas encore sur quoi elle pouvait tomber. Mieux valait être prudent pour le moment. Faisant résonner ses talons sur le sol, elle avança précautionneusement en posant une main sur le mur afin de ne pas perdre son chemin ou se cogner dans quelque chose. Le noir pouvait facilement la désorienté. Elle sentit qu'étrangement, plus elle s'éloignait de l'entrée et plus la pièce rétrécissait, amenant un sentiment d'inconfort. Même si elle n'était pas claustrophobe, le rapprochement des murs lui rendait le souffle court. Qu'allait-elle trouver au bout de ce couloir ? Elle sentait à travers ses doigts une substance gluante sur les murs. A l'heure actuelle, elle ne voulait clairement pas savoir ce que c'était. Le dégoût monta en elle, dès qu'elle sortira d'ici, elle aura besoin de plusieurs douches pour enlever la sensation et l'odeur de son corps. Mais elle ne devait pas faire demi-tour comme l'autre. Elle devait aller au bout et voir ce qui pouvait s'y trouver. Il devait forcément y avoir une raison. Et si cela était vraiment une épreuve. Elle devait hélas persister. Elle se tourna sur le côté afin de frôler les murs et continuer son avancée.

Par chance, au bout d'un moment l'espace revint à la normale. Anastasie pouvait désormais remarquer un point vert clignotant. Serait-ce cela ? L'épreuve était de simplement appuyer sur ce bouton ? C'était clairement trop facile. Elle se rapprocha alors du bouton pour appuyer dessus et butta contre ce qui semblait être une boîte en verre, le bouton se trouvait finalement au fond de cette boîte. Elle tripota la boîte et se rendit compte que le haut était ouvert. Elle plongea la main dedans et là... ce fut le drame. Anastasie poussa un hurlement, sentant les insectes qui se trouvait à l'intérieure de la boîte. Elle détestait les insectes, comment ce genre de choses immondes pouvait exister ? Elle retira vivement sa main alors que des insectes lui montaient dessus; elle se sentit paniquer. Elle était entré en contact avec des insectes. Anastasie perdait rarement le contrôle, mais lorsqu'il s'agissait d'insecte les choses étaient tout autrement. Elle n'avait pas seulement peur de ça, elle en avait la phobie. Elle commença à se relever pour partir en courant, pour peut être couper cette main qui avait toucher ces horreurs, entrant alors dans une phase de crise mais elle n'en fit rien. Anastasie s'arrêta d'un seul coup. Toute personne extérieure aurait trouvé cela étrange mais l'avantage, c'était qu'elle était seule ici.

Il se retourna et rejoignit de nouveau la boîte. Plongeant de nouveau cette main dans les insectes grouillants. Il enfonça son bras jusqu'au coude et réussit finalement à appuyer sur le bouton. Lorsqu'il appuya dessus, plusieurs choses arrivèrent simultanément. La lumière se trouvant sur la porte du fond du couloir s'alluma en verte. Quant à la pièce où il se trouvait, a lumière s'alluma aussi, le laissant apercevoir clairement la pièce, il pouvait désormais apercevoir les insectes, ainsi que le sang qui recouvrait son corps. C'était donc ça la sensation gluante, pensa-t-il. Un câble de cuivre se trouvait au dessus de la boîte, pendant à un fil. Un papier y était accroché "prend moi". Le blond n'attendit pas plus longtemps et prit le câble en cuivre ainsi que le papier. Lorsqu'il releva la tête, il aperçut un clown couvert de sang dans le coin de la pièce, s'avançant d'un air menaçant avec un couteau. Futile. Cours ! Il n'aimait pas qu'on lui donne des ordres, malgré le fait qu'il ait fait parti de l'armée. Il n'écoutait que ce qu'il disait mais sur ce coup là... elle n'avait pas tort. S'il ne voulait pas blessé plus le corps qu'il avait il avait intérêt à fuir.

Aaron réussit à sortir de la pièce sans problème, en se faufilant rapidement à travers l'étroit passage d'où était arrivée Anastasie. En se retournant, il constata que le clown ne pouvait pas le suivre, bloqué à l'intérieur de la pièce par une force invisible. Tiens, bizarre comme Maison. Il se disait même que le clown était là juste pour les yeux, franchement il n'avait pas vraiment été une menace. Du moins pas pour lui. Il regarda fièrement les autres. Il ne savait pas vraiment ce qui avait pu se passer avant mais cet endroit ne disait rien qui vaille. Il tendit ce qu'il avait dans les mains aux autres présents. S'ils étaient là c'était sans doute qu'ils connaissaient Anastasie ou Cassandre. Peut être faisaient-ils une fête spéciale pour Halloween ? Genre une sorte d'escape game ? Il n'était pas trop fana de ces jeux mais bon celui ci avait l'air plus réaliste que les autres.

- Bon, j'ai actuellement un morceau de papier et un morceau de câble en cuivre. Quelqu'un sait à quoi ça sert ici?


Si Anastasie avait été présente à ce moment là, elle se serait surement dit qu'il était complètement idiot pour poser ce genre de question. Pourquoi avait-il gardé le papier ?!
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Edan Sparkles
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''Attend-moi, Flocon, je viens te rejoindre...''
''Ah oui? :gnia: :gnia: :gnia: :gnia: '

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Événement #101 : La Maison - Page 2 _



________________________________________ 2018-11-22, 19:54

No end-House
Souffrir / vivre ou mourir


Tel un gosse, Edan avait fait une réflexion amusante pour lui et Ali lui répondit de demander à River de le goûter lorsqu'ils auront un moment intime, mais sans compter sur la discrétion de notre tête brûler qui au contact de la main froide de son flocon, lui demande si il pouvait le goûter. Ni l'un, ni l'autre n'avait suivit la conversation de leur moitié, mais le baiser fougueux avec la langue fit sourire le blond. "Tu as le goût d'une glace." Edan regarda le jeune homme que son amour connaissait, puis il se retourna vers le ténébreux. " Je suis désolé, je n'ai pas entendu ce que tu m'as dit." Il n'avait pas entendu les présentations de River trop occuper à sortir sa connerie. Les cris de douleur d'Ali et de Cassandre attirèrent leur attention, River se permit de demander à Cassandre de se déshabiller pour voir son numéro, jaloux Edan lui envoya un coup et le glaçon osa lui demander quoi ? C'est incroyable, pourtant, il sait que son dragon est jaloux et territoriale, alors pourquoi il faisait cela ? Est-ce parce qu'il était infirmier ? " Quoi quoi ? Tu n'as pas le droit de demander à quelqu'un de se déshabiller. quand je suis juste à côté de toi!"

Puis vient le tour d'Edan, qui eu un étrange message en lettre de sang sur le sol de la maison. Elle le traitait de démon, ce qui mit le pompier dans une colère demandant qui est la personne qui le traite de démon. Menacer des objets, c'est complètement ridicule, mais le dragon s'en foutait royalement. Puis une douleur dans son dos et des mains froide qui le rassurent, la voix calme de River le calma et Edan se laissa bercer par ce contact. Puis quand tout ce fini, River dénoua doucement la cape du démon et essuya le sang qui coulait de son dos. Et encore une fois devant tout le monde, River osa faire des gestes qui faisait que dans l'intimité. Il met ses bras gelés autour de la taille du blond et le serra contre lui. Le torse de l'infirmier contre le dos du pompier, le fit frisonner puis River osa, devant la plupart des gens qui étaient encore éveillé, déposer un baiser dans son cou. Son cou, le point sensible de notre chasseur de dragon. Natsu devient rouge et laissa un tout petit gémissement échapper de sa bouche. "Pou.. Pourquoi.. Tu....." Il ne put terminer sa phrase, car le message réapparut avec le nom de River avec le mot égoïste. Le glaçon rassura son amoureux et Edan entendit un gémissement de la part de River. " Je savais que tu étais masochiste, mais quand même... Pas à ce point." Edan passa doucement son doigts chaud que les blessures de Grey en tachant de ne pas s'attarder dessus, car il l'avait déjà brûlé auparavant. Il dessina les contours du chiffre sept. " C'est un sept."

Quand tout le monde fut marqué une porte s'ouvrit sur un couloir tout en béton blanc. Une lumière blafarde éclaire la pièce, il y a six pièces. Trois à droite et trois à gauche, en tout six et ils étaient six... Ce n'était pas une coïncidence surtout avec le message toujours en lettre de sang était sur le sol en béton. Le prince entra dans la première pièce et en sorti pratiquement aussitôt. Cassandre prit celle à l'opposer à Aladin, au bout de quelques minutes, la jeune femme ressortie montrant un bout de câble en fer et d'un morceau de papier. Elle demanda alors ce qu'on pouvait faire de ça. " La maison le sait peut-être." répondit le blond.

Edan partit accompagné de son glaçon, il essaye d'ouvrir la deuxième porte à droite, mais comme il est impulsif il a voulu l'ouvrir à coup-de-poing enflammé. Mais rien ne se passe. " Tiens, c'est bizarre. J'arrive plus à m'enflammer." Il se retourne River. " Flocon t'as du feu sur toi ?" Riv lui dit que non et que les gens normaux ouvrent les portes avec la poignet. Le blond l'écouta, mais elle resta fermée, il alla alors à la troisième porte de droite... Elle s'ouvre doucement grinçant au passage pour laisser découvrir ce qu'il s'y cache. Edan ne voyait pas le fond de l'étroit couloir. C'était oppressant de s'avoir qu'il devait rentrer là-dedans, heureusement qu'il n'était claustro, déjà qu'il est un peu fou fou mais là il serait bon pour un aller simple dans le secteur où travail son amour. Plusieurs choses dépassent du mur et brillent même sous la faible lumière. Pas de doute, c'étaient des lames. Il devait donc traverser ce terrain miné de lame pour atteindre l'autre bout ? Il respira et commença à faire un pas avant de se faire retenir. Pas besoin de se retourner, il savait que c'était River, mais le blond se retourna pour plongeait son regard de braise dans le regard glaciale du glaçon. " [color=#FE1B00]C'est ma porte, je dois y aller.[color=#FE1B00]" River ne voulait pas que son bébé dragon part dans cette pièce dangereuse. "Je dois y aller." Encore un refus, c'est alors que Natsu posa sa main sur la joue de Grey. " [color=#FE1B00]Ne t'en fais pas. Je vais revenir...Je suis un mage de fairy tail après tout et je vais revenir pour retourner au près de toi...Je te le promet mon amour[color=#FE1B00]" Puis il l'embrassa longuement, se retira doucement et tout en s'éloignant leurs mains se séparent.


L'infirmier lui dit alors de faire attention à ne pas s'entailler dans les veines et prés des aisselles, car il y avait des artères et que le blond pouvait mourir. " Je ne vais pas mourir et je te promets de faire attention." Edan entra dans la pièce sur le côté et longea le mur. Les premières lames lui entaillèrent sa peau sans ménagement comme du beurre. Elles étaient très aiguisées et les entailles apparaissaient à différents endroits : aux jambes qui entaillait également son pantalon, dans son dos en plus du chiffre de tout à l'heure puis à son torse. Encore du sang qui coulait... La maison adorait peut-être le sang du chasseur de dragon. À un moment, le dragon s'arrêta au milieu du chemin, il respira à grand coup, et il recommença à faire quelques pas grâce aux encouragements de l'infirmier. Il avait fait trois mètres sous les lames qui avaient lacérer sa peau et c'est au bout de ses trois mètres que les murs s'éloignent afin qu'il puisse marcher normalement.

Le couloir étroit débouché sur une grande pièce vide, les murs étaient blanc comme dans le couloir où se trouve le groupe. Un trou était au milieu de la pièce, il s'approcha de la fosse. Plus Edan s'approche de ce cratère dans le sol, plus il pouvait voir un fil qui pendait et qui se trouve au milieu. Ce fil ressemblait étrangement à celui que Cassandre tenait. Le dragon jugea la distance... Le trou était trop grand, il allait tomber et c'est en pensant à ça que son regard se posa vers la fosse. Il fut tétanisé, ses yeux étaient écarquillés et ses membres tremblaient par ce qu'il voyait. Ce trou était rempli de seringues... Des centaines de seringues. La peur l'avait figé...Comment de simple seringue pouvait figer l'un des meilleurs mage de fairy tail ? C'est simple, la malédiction lui a donnée cette phobie et depuis qu'elle a été levé, le blond l'avait gardé et il n'en a parlé à personne...Même pas à Grey. Plusieurs longues minutes défilent et Edan resta planter là sans bouger, ce sont les cris d'encouragement de River qui le font revenir à lui. Il baissa toujours les yeux vers le trou et remarqua alors une petite lumière faible clignotait. Devait-il atteindre cette lumière qui se trouve dans le trou remplie de ses pires ennemies ? Il fermait les yeux, sa respiration était rapide et il entend toujours les encouragements de River lui dire qu'il peut y arriver. Le blond sourit, River tenait à lui et Edan lui a promit de revenir. Il est un mage de fairy tail, il n'a pas le droit d'abandonner.

Edan sauta pour attraper le câble de fer et tomba dans le trou. Sous le choc de son poids, le verre des seringues se brise et rentre dans la peau du dragon. Il tremblait toujours et il étouffait sa douleur avec son poing pour ne pas alerter son flocon. Il voyait la petite lumière verte au fond, il essaya de donner un coup de pied pour appuyer sur le bouton, mais il rencontre quelque chose de dur...Impossible de l'actionner avec le pied car ce foutu bouton était protéger par une petite boite transparente. " Tu as pensé à tout... Tu sais, je ne m'avoue pas vaincu... Tu l'entends ?... Tant qu'il est là, j'avancerais toujours." Dit-il à l'attention de la maison. Edan se mit à genoux enfonçant quelques aiguilles dans ses coupures, il tend ses bras devant lui, ses mains tremblant. Edan agrippe plusieurs seringues, leurs aiguilles entrant dans la peau, mais c'est en allant doucement que sa peur monte et que la douleur est très présente, c'est alors que son mouvement, pour creuser se fit de plus en plus rapide comme s'il était habité par un démon qui voulait en finir et que d'autre aiguilles se plantent dans ses bras. Il parvient à atteindre la petite boite transparente qu'il ouvre doucement et appuis sur le bouton. En faisant cela, la lumière verte s'éteint et une autre s'allume dans l'autre pièce où se trouve le groupe, la dernière lumière qui se trouve au-dessus de la porte du fond passe au vert.

Le pompier remonta avec difficulté ses membres souffrait et la guérison était pratiquement comme sa magie inexistante dans la maison. Il rebroussa le chemin et du repasser par le couloir étroit parsemé de lames qui, l'entailler à nouveau. Il voyait le visage de son glaçon se rapprocher à chaque pas qu'il faisait. "Yo... Je... Suis... Revenus...." Disait-il avec un sourire voulant être rassurant, mais il s'effondre dans les bras de River lâchant le petit câble de fer qu'il avait tout de même garder.

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Événement #101 : La Maison - Page 2 _



________________________________________ 2018-11-23, 02:55


La Maison

River Frost & les Élus

’’ From the silent hill we scream loud your name
Mighty power of the dragon flame
From the mountains proud and strong
We call our dragon lord’’

Retrouvant, dans cette Maison maudite, son premier amour, River tenta de le blesser encore une fois. Sa vengeance sur le criquet n’était pas terminée, car il n’avait pas réussi à le détruire complètement. Il saisit donc l’occasion de lui prouver qu’il n’était plus rien à ses yeux en lui présentant celui qui l’avait remplacé dans son cœur de glace, Edan. Loin de le heurter comme le Frost le voulait, Newt se montra ravie de voir que River était de nouveau amoureux. Le regard dure du combattant transperçait son premier amour. Comment pouvait-il être aussi serein et sincère alors qu’il se réjouissait de son bonheur? Pourquoi ne le détestait-il pas? Pourtant, le mage de glace s’était assuré de le faire souffrir, le jour de leurs retrouvailles, dans la ruelle. Il tenta alors le tout pour le tout, alors que son petit copain lui tendait une perche sans même s’en rendre compte. Il voulait le goûter. River s’était donc empressé de capturer les lèvres de son amour, mais rien ne semblait ébranler son ancien amant. Ali suggéra même au dragon de demander à son flocon quelle saveur il avait, lorsqu’ils auraient un petit moment intime. River ne put réprimer un sourire. « Oh mais, je connais déjà sa saveur… Quoi que… Je devrais peut-être goûter encore, juste pour être certain. » Candidement, Edan qui n’avait rien suivi de ce combat à sens unique entre les deux anciens amants, demanda de quoi il parlait. « Ce n’était rien d’important… Je te présentait seulement à mon ancien… Heu… » Il tourna son regard vers le criquet. « Qu’est-ce qu’on était, au juste, Newt? Ah oui, on était amants… Parce que je ne comptait pas du tout pour toi… » Puis, il reporta son attention sur son dragon. « Alors, mon bébé, je te présente Newt. Le gars dont je t’ai parlé l’autre jour… », ajouta-t-il sans expliquer d’avantage.

Puis, tout s’enchaina rapidement, les messages en sang au sol et les gravures dans le dos. Tout le monde encaissait comme ils le pouvaient. River se mit dans le bon état d’esprit pour traduire cette douleur en plaisir et, sans le vouloir, il laissa même échapper un petit gémissement. Surpris, Edan lui avoua qu’il le savait masochiste, mais pas au point de prendre plaisir dans ce genre de douleur. Pour toute réponse, le mage de glace envoya un clin d’œil accompagné d’un sourire à son amoureux. Bon, le dragon connaissait quelques unes de ses perversions, mais il était bien loin du compte. Très peu de gens connaissaient véritablement le glaçon. Il choisissait minutieusement les gens à qui il s’ouvrait et ce qu’il leur racontait. Chacun n’avait qu’une petite partie du puzzle qu’était le Frost.

Newt encaissa la douleur sans broncher, ce qui arracha à River une expression de surprise. Il ne le connaissait pas aussi courageux. Avait-il changé à ce point? Puis, ce fut le tour du vieux, mais celui-ci refusa de subir comme tous les autres. Il pointa son pistolet sur la porte et tira. Lorsque la Maison se mit à trembler, le Frost dut mettre un genou au sol pour éviter de perdre l’équilibre. Malgré tout, l’homme se retrouva marqué, comme tout le monde, et plus encore. La Maison sembla se venger. Il se fit entailler alors que le sang bougeait pour former d’autre messages. Le mage de glace s’approcha pour lire les messages. Les trois premiers n’étaient que des insultes à l’égard de l’ancêtre, mais les deux dernière phrases l’intriguèrent. ‘’Respectez les règles’’ Il y avait des règles? La Maison jouait avec eux? ‘’Je fais ça pour vous aider’’ Mais les aider à quoi, au juste? Il n’avait pas l’impression d’avoir besoin d’aide pour quoi que ce soit…

La porte s’ouvrit alors et le vieux alla récupérer le prince un peu trop sensible au gout de River. Bon, s’ils voulaient sortir de cette baraque, ils allaient devoir avancer. Le Frost s’assura qu’Edan allait bien et il passa la porte avec lui. Ali, qui était miraculeusement revenu à lui, fit remarquer au groupe qu’il y avait six pièces et qu’ils étaient six. Chacun devait donc avoir sa pièce, chacun son épreuve. Le prince tenta d’abord d’entrer dans la première pièce à gauche, mais un champs de force lui bloqua l’accès.
« Génial… On n’a même pas le loisir de choisir notre torture… », dit-il, légèrement irrité. Lorsqu’Ali tenta de passer dans la première pièce à droite, il ne fut pas bloqué. C’était donc sa pièce. Le mage de glace l’observa attentivement alors qu’il se rendait au bout d’un quai, se demandant ce qu’il allait devoir faire. Malheureusement, il rebroussa chemin et sortit rapidement, sans rien tenter. Le combattant laissa échapper un petit rire, tout en se retournant. « Lâche… », dit-il tout bas. Cassandre, quant à elle, n’avait pas de temps à perdre. Elle essaya d’entrer dans toutes les pièces, sans succès. La pauvre ragea, ne comprenant pas pourquoi elles était toutes fermées. Jusqu’à ce que la dernière qu’elle tente lui soit accessible. Malheureusement, la pièce était plongée dans le noir total, et River ne put voir ce qui se passait à l’intérieur. Il l’entendit très clairement hurler, par contre. Puis, la pièce s’éclaira, tout comme le premier voyant lumineux au dessus de la porte du couloir. Peu importe ce qu’elle devait faire, elle avait réussi. Lorsqu’elle ressortit, couverte de sang et suivie d’une espèce de clown tueur démoniaque, le combattant lui offrit un sourire sincère. « Bien joué, ma belle! », lui dit-il aussitôt. Puis, elle montra un câble de cuivre et un morceau de papier. River s’approcha pour lire le papier. Il y était inscrit ‘’Prend-moi’’. Il pouffa de rire. « Prend-moi? Moi je veux bien, mais mon copain vient de m’interdire de déshabiller qui que ce soit en sa présence… », plaisanta-t-il, se doutant bien que le message ne voulait pas dire ce genre de chose.

Avec Edan, River passa devant les pièces pour essayer de trouver lesquelles leur étaient destinées. Arrivés devant la dernière porte à droite, le dragon tenta de s’enflammer, sans succès. Bon, au moins, ce n’était pas seulement la magie de Grey qui l’avait encore une fois quittée. C’était probablement un des effets désagréables de cette Maison. Edan lui demanda alors s’il avait du feu sur lui.
« Pourquoi je trainerais du feu? J’ai un barbecue humain à ma disposition! », lui répondit-t-il en levant les yeux au ciel. Puis, il s’attarda à ce que la pièce contenait. On ne voyait pas très loin, mais déjà, c’était horrible. Un couloir aux murs si proche qu’il était impossible de passer sans les toucher. Mais surtout, une multitude de lames sortaient de ces murs, destinées à entailler quiconque tentait de passer. Du coin de l’œil, il vit son dragon faire un pas pour entrer, mais le glaçon lui agrippa le bras. « Tu ne vas pas sérieusement entrer là-dedans! », lui dit-il sans l’ombre d’un sourire. Natsu lui expliqua que c’était SA pièce et que c’était donc à lui d’y aller. « Non! Je refuse que tu aille te tuer là-dedans. On va trouver un autre moyen! » Mais Edan insista, encore et encore. Jusqu’à ce que les yeux bleu de glace de River se remplissent d’eau. Doucement, le mage de feu posa un main sur sa joue et le Frost s’empressa de poser sa main sur celle de son amour. Il tenta de le rassurer car, après tout, ils étaient des mage de Fairy Tail. Rien ne pouvait les arrêter. Le glaçon voulu protester, mais son amoureux vint déposer un baiser sur ses lèvres tremblantes. Puis, il entra dans la pièce alors que River buta contre le champs de force. Oubliant tout ce qui se passait autour de lui, l’endroit, les gens, le mage de glace restait plaqué contre le champs de force, tentant d’encourager son amour. Même lorsqu’il n’arriva plus à le voir, il continuait à lui dire qu’il croyait en lui.

Le dernier voyant lumineux au dessus de la porte du couloir s’alluma. Il avait réussi. Il ne lui restait plus qu’a revenir. River restait là à attendre de voir son amour sortir, triomphant, de cette pièce. Lorsqu’il le vit, son regard s’illumina et il attendit d’interminable secondes avant de le voir émerger de l’autre côté du champs de force. Avec un sourire, comme toujours, son dragon lui dit qu’il était revenue, mais sa voix était faible, saccadée. C’est alors qu’il s’effondra dans les bras du mage de glace. Celui-ci se laissa tomber à genoux et allongea son amour sur le sol, posant sa tête blonde sur ses cuisses. Et il l’observa. Il saignait de partout. Les entailles étaient nettes et plus profondes que de simples écorchures. Dans certaines des blessures de ses bras, le glaçon vit même des morceaux de verre et des aiguilles. Il figea. Il sentit son corps s’engourdir et son esprit se ferma. C’était plus qu’il ne pouvait en supporter. Machinalement, l’infirmier retira les corps étrangers des plaies de son patient, car le voir ainsi était la seule façon de ne pas craquer. Il s’assura de tout nettoyer avant de se lever, déposant doucement la tête de son dragon au sol. Son regard de glace était fixe et son visage n’avait aucune expression. Il regardait fixement la pièce d’où venait de sortir son amour. Ses bras se mirent à trembler légèrement. Puis, sa tête fut prise de petits spasme. Il allait craquer…

Soudainement, le corps de River plia en deux alors qu’il poussa un hurlement venant du plus profond de son âme. Complètement déchaîné, il se mit à frapper de toutes ses forces contre le champs de force invisible.
« T’AS PAS LE DROIT!!! JE N’AI RIEN DIT!! JE N’AI PAS DIT LES MOTS!!! JE NE LES AI PAS DIT!!! », hurlait-t-il, complètement déchaîné, comme possédé par les ombres qui dormaient en lui. Sa malédiction s’était-elle déclenchée, et ce, même s’il n’avait pas prononcé les mots? Il ne pouvait pas perdre Edan. Il était sa lumière, son univers. S’il le perdait, il se perdrait aussi. Le combattant cessa de frapper cette Maison qui essayait de lui enlever son amour. Mais la rage ne diminua pas pour autant. Il devait sortir de cette maison. Il devait soigner Edan, et il ne pouvait le faire tant qu’ils étaient enfermés. Il se retourna vers ses compagnons d’infortune, semblant les voir pour la première fois. Si son dragon s’était sacrifié pour leur permettre de sortir de là, alors il n’y avait aucune raison pour que les autres ne se sacrifient pas à leur tour.

River avança d’un pas rapide et déterminé, vers Ali. Il avait la tête baissée et le regard fixé sur le prince. Dès qu’il arriva à sa hauteur, il porta une main au cou du lâche et le plaqua contre le mur.
« Toi! Espèce de sale lâche, égoïste! Edan s’est sacrifié pour nous faire sortir d’ici, et toi tu te permet de refuser ton épreuve? », lui cracha-t-il, la voix remplie de haine. De ses yeux bleu coulaient des larmes qui glissaient sur ses joues. Il avait si peur de le perdre. Si peur… Il avait besoin d’un coupable et s’il n’était pas convaincu d’avoir absolument besoin de chaque personne dans la maison pour pouvoir en sortir, il les tuerait un par un. Sans détourner son regard glacial des yeux gris-argenté du prince, il s’adressa aux autres. « On va tous devoir y passer, et il n’y a aucune raison pour que MONSIEUR de la royauté échappe à son épreuve! » Puis, il s’adressa à nouveau au prince. « J’imagine que tu voudrais faire sortir ton papa d’ici, non? Alors tu vas entrer dans cette pièce et tu n’en sortira que lorsqu’on verra un voyant lumineux s’allumer. Et j’en ai rien à foutre que tu crève dans ce lac! De toute façon, depuis que tu es entré que tu dis que tu veux mourir. Alors vas-y et passe ta putain d’épreuve! », lui hurla-t-il. Sur ses mots, River traina Ali vers sa pièce et le poussa violement à l’intérieur. Il se posta alors devant l’entrée, les bras croisée, déterminé à ne pas le laisser sortir tant qu’il n’aurait pas fini. Puis, il tourna la tête vers Newt. « Toi, Crikee, je te conseille de trouver ta pièce et de faire ce que tu as à faire maintenant, si tu ne veux pas finir comme l’autre lâche! », cria-t-il sur un ton plus que glacial. Cette Maison avait été trop loin et il était déterminé à en sortir pour pouvoir la détruire planche par planche.


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Newt C. Stark
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Bain de minuit

en toute innocence
(ou presque)

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| Conte : Mulan
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| Cadavres : 168



Événement #101 : La Maison - Page 2 _



________________________________________ 2018-11-23, 22:16

THE BLOOD UNDER THIS ROOF
Newt ne mit pas longtemps à comprendre les mécanismes de cette salle, mais pas seulement. Ce qu'il s'y passait en révélait beaucoup (sur son groupe, mais ce n'était pas le plus important) sur la nature de cet endroit. Les constatations qui le faisaient avancer dans sa petite enquête mentale pour comprendre ce qu'il se passait n'était pas vraiment rassurante, voyant là l'oeuvre d'unne entité consciente, et, dans leur cas, plutôt omniprésente, ce qui faisait de la situation une ennemie plus que redoutable. Et, en prenant conscience, il se mordit la lèvre inférieure d'inquiétude lorsqu'il vit qu'Ali n'ait pas eu la force d'affronter ses démons, de peur que la Maison ne se montre encore plus impitoyable sur lui.

Le souvenir des Huns se faisait bien lointain tout d'un coup, pour un criquet qui avait toujours considéré cette guerre comme jamais trop oubliée.

Il avait tourné des yeux inquiet vers Edan, s'attristant pour River qui avait enfin trouvé une moitié qui l'éclairait, mais se préoccupant surtout du sort de son petit ami. Il encaissa alors ses paroles, comprenant la détresse actuelle du jeune homme.

Utilise ta glace, fit Newt en premier lieu, calmement, gardant le sang froid qu'ils devaient avoir dans cette situation. Sur Edan. Tu vas stopper toutes les possibles hémorragies, bloquer ses plaies et si des corps étrangers toxiques ont pénétré son organisme, ça va les tuer. Edan est magique, il a ce qu'il faut pour ne pas succomber au froid, ça l'aidera beaucoup.

Newt se retourna contre la porte qu'il avait déjà repéré être la sienne, avant de se mettre entre Ali et River pour éloigner ses foudres du sultan. La maison, elle a sa propre conscience, puisqu'elle nous connait beaucoup trop bien. Il ne s'adressait plus à River pour la suite, levant les yeux vers les murs et le plafond, dans l'espoir d'être entendu par la structure. Je peux passer deux fois mon épreuve pour remplacer celle d'Ali. Tu t'adaptes à la personne alors... change sa pièce s'il te plait. Fais-en une deuxième, je le ferai.

Il se tourna vers River. Je ne fuis plus River, je sais que tu ne veux pas me faire confiance, mais sache que tu peux. Je te le promets.

Il regagna alors sa porte, prenant une grande inspiration, posant sa valise sur le sol, rassemblant son courage, espérant que si réussissait la salle qui lui était destinée, la maison l'écouterait et lui permettrait de passer celle d'Ali. Il ne put s'empêcher de remarquer qu'il ne reçut par de réponse, ce qui semblait compromis pour la demande qu'il avait faite.

Chaque chose en son temps se dit-il... et il savait que les prochaines minutes lui seraient remplies d'angoisses, puisque c'était à son tour de se frotter aux sombres épreuves de cet endroit. Comme dit, Newt avait compris le fonctionnement de cet endroit, et n'avait lui, pas beaucoup hésité avant de comprendre qu'elle pièce lui était dediée, sans avoir besoin de vérifier si un champ de force le bloquait ou pas. Ainsi, il était face à cette issue remplie de barbelés, connaissant leur symbole, les reliant donc facilement à ses propres inquiétudes et démons.

Il posa alors sa valise au sol, se défaisant soigneusement de la veste qu'il portait, qui lui serait trop encombrante pour passer facilement dans cette porte bouchée. Il prit une grande respiration, serrant les dents et essayant d'enlever son visage inquiet pour rassembler son courage. Il souffla alors... et s'avança finalement. Vers la guerre.

Ayant donc enlevé ses habits les plus épais, il réussissait en effet à passer les barbelés sans trop d'encombre, mais ne put s'empêcher de gémir de douleur lorsque les pointes multiples et très acérées ne lui tailladèrent à plusieurs endroits. Il manqua presque de tomber de soulagement lorsqu'il fut entièrement extirpé de cet endroit, soufflant d'un coup comme s'il avait retenu sa respiration pour entrer convenablement.

Mais il ne pouvait pas tomber. Il ne voulait pas... car le sol était plein de cadavres de soldat tombés à la guerre, mort, pour simple trace d'héroique un corps déjà froid, ignoré de ceux qui seraient possiblement encore debout qui étaient trop concentrés à n'en faire tomber que davantage chez leurs ennemis.

L'entité étrange qu'était cette demeure était intelligente. Newt ne connaissait pas cette guerre, ce type de guerre, qui semblait se calquer sur les guerres récentes du 20ème siècle. Mais, ses peurs et tristesses les plus fortes remontant du terrain de bataille, en Chine, contre les Huns, les conséquences mortelles de cette guerre ne pouvaient que lui rappeler ce conflit. Newt était fier de ce que Mulan, lui à ses côtés avec Mushu, avait accompli pour libérer le pays, mais il redoutait toujours de connaitre de nouveau une telle guerre. Après tout, il a fuit Storybrooke à cause des évènements d'entre deux feux qui ont secoué la bourgade qui n'avait plus rien de paisible...

Mais il ne pouvait pas fuir, il ne pouvait plus. Il ferma les yeux, prenant une grande inspiration. Il essayait d'ignorer les bruits de tirs incessants, les visions des balles fusantes vers d'autres corps qui tomberaient, n'apparaissant pourtant de nul part, et il pensa à ce qui lui donnait de la force. Il pensa à Malakai. A Mulan. A Gryf. A ses voyages en Afrique, en Inde et en Chine de ce monde. Trop de chemin avait été parcouru par cet être qui avait grandit sans en perdre sa bonté. Alors il avança.

Il resta toutefois prudent. Il savait qu'il devait traverser le terrain perpendiculairement, et qu'il était ici menacé par les balles, étant au milieu d'un no man's land - qui était paradoxal avec la présence d'autant de corps. Alors, il dut affronter les regards froids des morts, puisqu'il gagna le sol, rampant parmi eux, sans autres choix qui se présentaient à lui pour avancer sans mourir. Il essayait de fermer les yeux quant au spectacle horrible des morts qu'il avait à ses côtés, au sang qui coulait et aux blessures qui racontaient beaucoup trop de témoignages de la guerre par leur simple ampleur. Newt se mordait la langue, puisant sa force dans ce qui l'inspirait et le souvenir que ce n'était pas une vraie guerre.

Cependant, lorsqu'il sortit enfin du no man's land pouvant alors se relever pour quitter la compagnie des macabés, il ne put souffler et prendre du répit, puisqu'il faisait désormais face à un immense terrain de terre battue sur lequel il n'y avait absolument rien. Un écriteau juste devant le criquet le mettait en garde toutefois : "terrain miné".

Newt soupira une seconde fois, se forçant à résister, toujours, sans broncher, sans lacher. Il fit tourner son esprit de réflexion qui était bien entrainé, aiguisé et affuté, pour prendre une décision et finalement y trouver un plan. Il se servit donc des casques des soldats tombés pour les jeter sur le terrain. Il put alors détecter les bombes, avançant là où ça n'explosait pas, et repartant chercher d'autres casques à chaque fois qu'il y en avait un qui touchait une mine. Il resta assez éloigné pour ne pas se faire prendre bêtement par les deux ou trois explosions qu'il provoqua, évitant également la terre mouillée qu'elles soulevaient, et put ainsi avancer victorieusement. Lorsqu'il arriva de l'autre côté, un grand sourire plein de fierté se dessina sur son visage. Il avait réussi ! A trouver un plan efficace et vaincre ce qui le hantait depuis déjà trop longtemps, et la joie que ça lui procurait était grande, constatant ses propres capacités. Il en était capable !

Il arriva alors à bon port, trouvant le bouton vert sur lequel il appuyait dessus, avant de ramasser le fil de cuivre comme tout le monde l'avait fait. Dans la salle principale donc, le restant du groupe comprit la victoire de Newt en voyant le 3ème voyant de la porte fermée s'allumer. Newt, maintenant plus assuré, pu faire le chemin en sens inverse, n'ayant juste qu'à encaisser les nouvelles blessures des barbelés, mais s'en sortant remarquablement bien.

Mais hélas, observant la situation, Edan laissé à River après les conseils que Newt lui ait donné, mais également Ali en proie à ses frayeurs, il ne put rayonner de joie bien longtemps. Il se souvint que ce n'était pas fini. Ali n'arrivait pas, alors il était prêt à le faire pour lui... à condition qu'il sache comment. De nouveau alors, il fit carburer son esprit de reflexion, avant de se souvenir des mots qui leur avait été adressé dans la première salle... avec du sang !

Newt se tourna alors vers les barbelés, serrant les dents lorsqu'il s'entailla la paume droite, pour reculer et serrer la main, faisant tomber assez de sang sur le sol, en ignorant la douleur du mieux qu'il pouvait, cependant peu habitué à de telles mutilations. Il s'accroupit alors, pour tracer des lettres avec son doigt. JE PRENDS SA PLACE, écrivit-il en parlant d'Ali.

Le criquet avait visé juste, c'était ainsi qu'il fallait communiquer, puisque aussitôt le message écrit, le sang disparut, absorbé par les pierres, pour en voir un nouveau d'écrit : Si tu veux te sacrifier pour lui, l'un de vous devra se sacrifier aussi. Donnez-moi une chose chère à votre coeur. Une chose précieuse.

Newt fronça les sourcils, remarquant qu'il n'avait rien de précieux sur lui. Mais finalement, son regard devint triste en tournant la tête vers la valise. Il aurait aimé ne pas avoir à s'en séparer... Avec un soupir, il se leva, remit la veste de Scamander qu'il avait posé sur la valise, pour ouvrir cette dernière et prendre l'appareil photo. Il regagna l'endroit où il avait commencé à communiquer, reprenant quelques gouttes pour rédiger un autre message.
C'EST CE QUE J'AI ICI DE PLUS PRÉCIEUX.
Et, comme la première fois, il eut une réponse immédiate : Brise-le.

Il hésita un moment, se demandant s'il devait vraiment le faire. Puis il leva de nouveau un regard vers Ali qui se refusait de toutes façons à affronter l'épreuve alors... s'ils voulaient s'en sortir, peut être n'avait-il pas le choix. Tristement, il jeta l'appareil qui se fracassa sur le sol, essayant de se consoler en se disant qu'il pourrait en avoir un autre plus tard -consolation qui ne fonctionnait qu'à moitié, à vrai dire.

Alors, Newt put passer la porte initialement prévue pour Ali, l'entité qu'était la maison acceptant l'échange. Le voilà parti pour une seconde épreuve.
(c) AMIANTE
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You feed the madness
And it feeds on you



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CHANGE
is inevitable

slow and painful sometimes, but

✢ INEVITABLE ✢


| Conte : ??
| Dans le monde des contes, je suis : : Le magicien

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| Cadavres : 397



Événement #101 : La Maison - Page 2 _



________________________________________ 2018-11-24, 16:32





The Mystery House is open
Ft. de pauvres victimes d'un bâtiment vivant


Aladdin tenait le coup malgré les blessures qui lui avaient fait perdre connaissance un peu plus tôt. Lorsque notre première porte - car je doutais que ce soit la dernière - s'ouvrit, j'étais resté auprès de lui, l'aidant à se lever pour poursuivre ce jeu malsain qu'une maison vivante nous forçait à continuer. Comment pouvions-nous dire avoir cherché à le commencer ? Dehors, la brume était si épaisse que seule la maison ne se cachait pas à notre vue. Mes pas s'étaient dirigé vers elle par curiosité et pleine conscience mais si j'avais su ce qui en découlait plus tôt, jamais je ne m'y serais aventurée. Du moins, je ne l'aurais pas fait dans la pleine ignorance que je participai alors à un jeu.

Trop tard pour parler, la maison nous avait avalé moi et cinq autres participants tandis que nous suivions au tracé le chemin qu'elle nous désignait. Dans un grand et étroit couloir constitué de plusieurs portes, chacun chercha la sienne en comprenant au fur et à mesure qu'une seule leur était destiné. Ali fût le premier à trouver sa porte et s'y engagea pour revenir un peu plus tard le teint pâle (plus pâle que ça, était-ce possible ?) en affirmant que toutes ces pièces étaient un piège dont il n'avait apparemment pas réussi à faire face. Je fronçais les sourcils, intrigué en voyant le quai s'étendant dans la pièce d'Aladdin avant que la porte ne se referme. Cette maison avait la faculté de faire apparaître ce qu'elle voulait quand elle le voulait. Par ailleurs, elle avait un contrôle total de ce qui se trouvait entre ses murs, ce qui expliquerait pourquoi nous étions gravés au vif, sans nécessité d'un objet matériel capable de causer la plaie. Fasciné, je sortis de ma veste mon journal n°5 et commençais à y écrire ce que je découvrais de l'entité vivante. Pendant ce temps, c'était au tour de Cassandre d'aller dans sa pièce. Son nom était marqué auprès des autres dans mon bouquin et, lorsque je le savais, j'en marquai le numéro à côté. Habituellement, je décrivais le caractère de mes partenaires mais le temps m'était plutôt court pour m'y consacrer alors je laissai une page blanche et promis d'y revenir plus tard - si je sortais d'ici. Lorsqu'elle fût ressortie, c'est un autre regard que je découvrais de la jeune fille soudainement indifférente et lasse. Je m'approchai d'elle et des objets qu'elle avait pu récupérer.

"Excuse-moi, est-ce que je peux y jeter un œil un instant ? Ce ne sera pas long."
Demandais-je en attrapant le bout de papier et le fil de cuivre.

Je lisais en premier les deux mots inscrits sur le papier "Prends-moi". Cela devait indiquer à la personne que l'objet à récupérer était le fil de cuivre - ou bien le papier était réellement important même s'il me semblait plus indicatif qu'autre chose. Je rendis le papier à la jeune femme et gardais le câble entre mes mains que je tortillais un peu dans tous les sens, pesant le poids, analysant la taille (environ 10 à 15 cm ?) et l'état. Le cuivre est le métal parfait pour une conductivité électrique en plus d'être léger et résistant à la corrosion. À quoi pouvait-il donc nous servir ? Que fera la maison lorsque nous l'aurions tous ?

Je notais tout ce que je voyais et supposais dans mon cahier, m'appuyant sur la porte la plus proche de moi. C'est quelques secondes plus tard que je réalisai ne pas avoir senti de champ de force magique comme les autres avaient pu en parler un peu plus tôt. Intrigué, je me tournais vers cette dernière et tourna la poignée qui ouvrit alors la porte d'elle-même. Était-ce donc elle, ma pièce ? À supposer que oui, je n'eus pas le temps d'y entrer lorsqu'Edan ressortit de la sienne avant de s'évanouir dans les bras de son ami. Je m'approchai de lui dans l'espoir de l'aider mais ce dernier fût prit de tremblements, m'incitant à ne plus avancer.

"River ?" Appelais-je une première fois.

C'est alors qu'il se mît à crier, si fort que je doutais presque que la maison ne put l'entendre alors qu'elle semblait faire sa sourde depuis le début du jeu. Le jeune homme se redressa vivement en m'ignorant et empoigna le cou d'Aladdin pour le plaquer contre le mur. Il cracha sur lui tout ce qui lui pesait sur son cœur et je dus m'interposer entre eux pour éviter d'attiser le conflit. Repoussant River jusqu'à ce qu'il lâche son étreinte en finissant de parler, je jetais un œil à l'état d'Ali pour finalement me retourner vers le garçon, même si au fond, je parlais pour tous.

"Si on commence à se disputer pour des choses comme ça personne ne passera la porte de sortie et on mourra tous ici ! La partie vient seulement de commencer, d'accord ? Alors oui, on ne se connaît pas tous et certains ont plus de facilité à affronter leurs peurs que d'autres mais ce n'est pas une raison pour s'entre-tuer dès que l'un fait marche arrière. Il y a beaucoup de formes de lâcheté et celle dont vous devriez tous vous méfiez c'est de penser qu'on peut sortir vainqueur d'ici en laissant les autres se noyer ! Aladdin n'a pas réussi à récupérer le fil de cuivre mais ça ne signifie pas qu'il ne réussira pas la prochaine épreuve qu'on lui donnera. Il y a forcément un autre moyen d'avancer dans le jeu mais la seule règle la plus importante de toute est qu'on ne doit pas. se. diviser. Ça vaut aussi pour Edan. Il ne mourra pas et on fera en sorte de sortir tous indemne de cette maison. Compris ?"


Mon regard scruta chacune personnes qui se trouvait auprès de moi. Je ressentais également un lourd poids qui me fît souffler et baisser les bras le long de mon corps, mon livre dans une main et le stylo dans l'autre.

"Je ne dis pas être mieux non plus... J'ai agi impulsivement tout à l'heure lorsque j'ai tiré dans la porte sans penser aux conséquences que ça pourrait avoir pour vous. La maison a un total contrôle sur notre personne qu'on le veuille ou non. Nous ne pouvons pas nous permettre d'agir par la force."

Je n'étais pas très rassuré quant à la créature que représentait la maison et si une idée en moi commençait doucement à se peaufiner, j'avais peur d'en tirer une trop vive conclusion. Newt prit à son tour la parole en conseillant à River de protéger son ami avec de la glace. Je m'étais agenouillé près d'Edan pour observer les coupures et le taux de sang perdu entre-temps. Sans quitter le regard des plaies, je rétorquais à Newt :

"Impossible, malheureusement... La maison semble bloquer les pouvoirs de tout ceux qui y entrent. Sinon, pensez-vous, Aladdin nous aurait déjà téléporté loin de là et Edan aurait pu ouvrir sa porte avec ses flammes. Autrement dit, il est impossible pour l'un d'entre vous d'user de magie tant que nous serons ici. Il va falloir utiliser sa tête et sa capacité à survivre."

Ce fût donc au tour du jeune garçon que je savais déjà pleins de réflexions et d'idées concernant la maison de passer son épreuve. Peut-être était-ce également le temps pour moi de prouver à mon tour mes paroles en affrontant mes peurs et en récupérant cet étrange câble en cuivre dont je ne reconnais toujours pas l'utilité. Avant cela, je prenais le pouls du garçon évanoui et me retournais vers River.

"Je suppose que torse nu, la douleur devait être atroce. Les lipothymies sont rarement graves au point d'y laisser la vie...
Dis-je en portant une main à la nuque. Je suis certain qu'il ne devrait pas tarder à se réveiller."

Après un vague mouvement de tête qui se voulait rassurant, je le contournais pour entrer dans ma pièce. J'avais déjà fait le tour de cette dernière d'un vif regard la première fois que j'ouvris la porte et n'y voyais aucun danger particulier. La première chose qui me percuta, c'était les deux couloirs très étroits séparés par des barreaux en métal. Par la suite, je remarquais un clignotant vert au bout de la pièce et comprenais que ça devait être mon objectif à atteindre. Qu'importait le couloir, j'en arrivais à ce même point. Mais n'était-ce pas beaucoup trop simple, vu de loin ? L'un des couloirs devait certainement différer de l'autre et pourtant, touchant les barreaux des deux côtés, je n'en discernais aucun. Rien ne semblait être menaçant pour le moment.

"Puisque je n'ai pas le choix..."


Je choisis le couloir de droite et longeai les barreaux sur le côté, car trop étroit pour être utilisé normalement. Tout se passa étrangement bien jusqu'à mon arrivée à une cage, dans lequel se trouvait et le bouton vert que je percevais de l'entrée, et le fil de cuivre avec lequel je devais revenir. L'ouverture ronde me laissait clairement comprendre que j'avais le droit d'y plonger ma main pour récupérer ce que je voulais... Seulement, je voyais également que le câble en question était attaché à une chaîne elle-même suspendue à la cage. Impossible alors de le prendre et de partir comme si de rien n'était. Après avoir visé la maison directement au laser, je ne souhaitais pas retenter le diable pour attraper ce cuivre par la force. Alors autant jouer le jeu et appuyer sur ce qui semblait m'appeler depuis mon arrivée ici : le bouton vert. La seconde d'après, je perçus un voyant lumineux s'activer au-dessus de ma porte. Ma main n'était pas encore sortie de la cage dans laquelle se trouvait le bouton c'est pourquoi lorsque les barreaux se mirent à rougir de chaleur, je manquais de peu de me brûler et m'en retirai vivement. Il n'y avait pas que ça. Une porte de métal conséquente commençait doucement à descendre pour bloquer ma sortie et les autres barreaux des différents couloirs avaient également changé de teinte. Le couloir gauche semblait brûlant et le droit... glaçant. Je repensai vivement aux deux garçons dont les pouvoirs semblaient similaires et qui auraient sûrement accepté ce défi sans broncher. Ensemble. Or, pour ma part, j'étais seul avec un message ensanglanté qui s'affichait au mur comme une provocation à mon égard.

"Vous avez besoin du fil pour continuer, mais si tu le prends, ta main sera trop large pour passer. Accepteras-tu de te brûler la main ou trahiras-tu les tiens?

-J'ai vécu pire, ne t'en fais pas." Souriais-je sarcastiquement en sortant un gant en cuir de ma poche.

Je pouvais comprendre qu'on me reproche d'emporter avec moi mes pistolets mais il m'était inconcevable de partir sans mes gants. Lorsqu'on se retrouvait dans de telles situations, on pouvait dire que c'était utile et comme je ne cessais de le répéter tel le vieillard que j'étais : la protection avant tout. Plongeant une main dans la cage, je serrais les dents et attrapai en vitesse le fil de cuivre. Cette action ne me prit qu'une seconde et pourtant je voyais déjà l'état du cuir de mon gant se détériorer à certains endroits. La chaleur devait être importante, si bien que sans gants, c'était ma main qui se retrouvait brûlée au premier degré.

Désormais, il fallait reprendre le chemin inverse avec moins de facilité qu'à l'allée. Soit je me brûlais en m'engageant dans le couloir de gauche, soit je me brûlais d'une autre manière en empruntant le couloir de droite. C'était une manière assez subtile de me faire comprendre que je n'avais pas le choix et que dans tous les cas, j'allais souffrir. L'idée me tenta d'emprunter le couloir refroidissant que je supportais mieux que la chaleur, en général. Seulement, le métal pouvait plus aisément se tordre en étant chaud que froid et dans le couloir gauche, je pouvais alors plus aisément utiliser mon pistolet magnétique... Si seulement le temps m'était donné. Mais la porte en métal qui descendait certes doucement mais continuellement m'empêchait de réfléchir avec clarté. Si les deux couloirs étaient destinés à ce que je souffre, pourquoi chercher à éviter le sort que la maison m'a réservé ? Je n'avais pas de temps à perdre et les autres à retrouver. Mes belles paroles devaient porter leurs fruits. Ainsi, je m'engageais vivement dans le couloir de droite en supportant la douleur atroce des barreaux qui déchiraient mon manteau et ceux qui frottaient ma peau. Plus j'allais vite, plus la douleur était vive mais ce n'était qu'une illusion car dans tous les cas : j'étais en contact avec le froid. Une fois au bout, j'attrapai vivement mon pistolet magnétique que je plaqua contre la porte et l'activa de telle sorte que le système se bloque. À bout de souffle face à cette épreuve de vitesse, je m'asseyais contre un mur de la pièce, près de la porte. J'attendis ainsi une minute avant de retourner rejoindre les autres.

Newt n'était toujours pas revenu de son épreuve et j'espérais qu'il ne soit pas bloqué à l'intérieur comme j'ai failli l'être dans la mienne. Edan, lui, n'avait pas bougé d'un millimètre depuis mon départ mais je n'étais pas surpris de savoir River tout près, à s'occuper de son réveil qui devait se faire en douceur. Aladdin et Cassie figuraient plutôt à part... Dans une certaine attente de la suite des événements. Appréhendaient-ils ? Sûrement, et cela je le comprenais mais la seule chose que je pouvais faire pour les rassurer était de lever le fil de cuivre que j'avais réussi à récupérer. Newt ne perdit pas son temps à son tour et je voyais déjà l'ami du garçon torse nu ouvrir les yeux. Il devait être perdu mais surtout surpris de se retrouver à terre après cet ellipse. Je l'empêchais avec River de se lever trop brutalement car il fallait du temps à la circulation du sang de retrouver son chemin jusqu'au cerveau. Le garçon à la valise s'était, entre temps, approché des barbelés qui lui avait servi de porte - beaucoup plus difficile à traverser que les nôtres, avant de se couper la paume et d'écrire un message au mur. La maison communiquait avec nous par le biais de messages écrit avec du sang... Alors, Newt avait décidé de faire de même pour remplacer Aladdin dans cette dernière épreuve. C'était ingénieux de sa part d'avoir compris comment parler avec l'entité mais je restais hésitant quant à l'épreuve qu'il devait passer. Lorsque la maison lui répondit de prendre quelque chose qui lui était précieux, je voyais la suite venir et l'arrêtai.

"Tu n'es pas obligé de faire ça."

J'expliquai indirectement que ce n'était pas à lui d'agir au nom d'Ali. Son visage était tailladé à certains endroits, comme le mien. Pourtant, de nous deux, je me sentais le plus responsable du sultan. Newt insista néanmoins et brisa l'appareil photo lorsqu'on le lui demanda avant de se diriger vers la porte d'Aladdin, qui devenait alors sa seconde épreuve. Je me piquai le doigt dans les barbelés et écrivit à mon tour à la maison.

"Newt a déjà prouvé son courage."


Ce à quoi il répondit :

"Toutes les pièces doivent être faites."

Prêt à répondre, à provoquer s'il le fallait, je commençais à poser mon doigt coupé sur le mur mais n'arrivait à y écrire quoique ce soit. Je savais au fond qu'il n'y avait pas d'autres solutions et que si Newt voulait se sacrifier pour Ali, c'était son choix. Soupirant, je m'éloignai du mur et laissai la tâche de sang s'imprégner jusqu'à l'effacement.




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