« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Sans chercher à comprendre ce qu’il venait réellement de se passer, comment ils s’étaient retrouvés dans ce port, quand il vit la terre ferme, Gaston sauta littéralement par-dessus le bateau pour se retrouver les deux pieds sur le bitume. Il était quelque peu choqué, il regarda autour de lui sans saisir ce qu’il était arrivé, puis baissa les yeux sur son tee-shirt. A la vue du sang, l’adrénaline retombant, il se sentit soudain tout patraque. Il fit deux trois pas sur le côté, puis s’appuya contre un poteau. Il avait la nausée, il ne se sentait vraiment plus bien. Il se pencha au-dessus de l’eau du port, prêt à vomir. Mais à ce-moment là une main lui agrippa le bras. Il se retourna et vit la femme rousse. Qu’est-ce qu’elle lui voulait celle-là ?
Restons groupé. Je ne pense pas que vous voudriez finir la tête tranchée par un requin affamé, alors évitez de vous approcher trop prêt de l'eau. Moui, pas faux, il recula directement du bord. Nous devrions chercher de l'aide. Frapper à toutes les portes, entrer dans toutes les boutiques... quelqu'un ici doit bien avoir un téléphone qui fonctionne.
Il regarda son petit écran noir…enfin rouge, il avait été taché de sang, Gaston ayant eu la bonne idée de vouloir sortir son portable pour filmer l’aileron de requin, croyant à une attraction. Il avait vite déchanté. Il le rangea dans sa poche en soupirant, puis répondit à la rousse. C'est vrai, trouvons un téléphone...mais pour appeler qui en fait ? ça ne montait pas très vite au cerveau de Gaston, encore barbouillé. Après tout on est où là ? encore dans le parc ? On appelle Brad ? La rousse répondit de manière cinglante. Ou on pourrait appeler les secours, étant donné qu'un drame vient d'avoir lieu et que ce parc nous a mis en danger. Décidemment celle-là, elle était vraiment casse bonbec. Elle pourrait prendre un ton plus aimable. Et qu’est-ce qu’elle avait à s’incruster comme ça ? Max, reste prêt de nous. Sa fille leva les yeux au ciel, l’air de penser "tu penses vraiment que je suis idiote au point d'essayer de jouer les ados rebelles ?.
Soudain une musique extrêmement forte se fit entendre…une sorte de musique celtique. Mais fort, vraiment très très fort ! Tout le monde se plaqua les mains contre les oreilles, le son donnait vraiment mal à la tête. Sauf Rafael, qui protégeait les oreilles de son fils, avec une tête qui laissait ressortir sa souffrance. Il hurla par-dessus la musique. Je suis sûr qu'on est en pleine séance de torture ! On a du être pris en otage par des terroristes ou des grands malades du même genre!
Gaston se tenait toujours les oreilles, la musique semblait de plus en plus forte. Mais c'est quoi ça encore !! quelle musique naze ! baissez le son ! Il regarda autour de lui, essayant potentiellement de voir d'où cela peut venir. Puis il eut une idée, parce que des fois il en avait. Il ôta un instant ses mains de ses oreilles, c’était vraiment insupportable. Il ouvrit son sac à dos, et prit des mouchoirs, qu’il roula en boule pour se mettre dans les oreilles. C’était mieux, mais le son était tellement fort que ce n’était pas encore ça. Il avait au moins les mains libres maintenant, et remis son sac sur son dos. "Doc" montra tout à coup du doigt quelque chose, du côté des bâtiments. L'un des petits magasins tout joli semblait s'être transformé. La façade est devenue celle d'un pub en pierre, dont l'enseigne indique "Into the wood". Gaston regarda, intrigué. La porte était grande ouverte, ils pouvaient apercevoir une foule à l’intérieur. Les gens s’étaient rassemblés là-dedans ! Sûrement pour se protéger !
Gaston ne réfléchit pas et réagit d’instinct. Il regarda les autres et leur fis un signe, puis il hurla Suivez-moi, on va se cacher là-bas ! on peut se mettre à l’abri !’ Et sans regarder si les autres suivaient, il fonça vers le bâtiment. Serait-ce des avertissements que les autres crièrent ? Certains auraient-ils gueulé de faire gaffe ? Il ne distingua pas vraiment ce qu’on lui dit, avec son papier dans les oreilles et la musique à fond. Il arriva en trombe à l’intérieur du bâtiment. Il retira les mouchoirs, la musique semblait s’être arrêtée. Les autres arrivèrent finalement peu après. Gaston se sentit de premier abord bien dans ce lieu, il lui rappelait sa vieille taverne : c’était un pub, un feu de cheminée chaleureux crépitait non loin du bar, il faisait bon. L'endroit était rustique, sur les murs en pierres des têtes d'animaux sont accrochés et qui semblaient les observer de leur regard mort. Cependant quasiment toutes les tables étaient prises par des gens à l'aspect pas franchement sympathiques, qui les fixaient d'un œil méchant et qui avaient arrêté de faire ce qu'ils faisaient pour les juger.
Un type au visage rougeau se leva de son siège, se planta devant Gaston et cracher à ses pieds en disant: "Foutus 'ricains! Retournez dans votre pays de merde!" Gaston le regarda avec dédain. D’abord le sang, maintenant le crachat…pas terrible ce début de journée ! Mais des bagarres de taverne il en avait suffisamment fait, il savait comment cela terminait, il ne voulait pas retourner dehors avec cette musique insupportable. Il prit donc sur lui, et essaya de ne pas s’énerver, de calmer le jeu. Ecoutez monsieur, on ne veut rien de mal, ça ne sert à rien de s'énerver, on va se faire petit... Le gars se contenta de renifler, de s'essuyer le nez avec le dos de la main -classe- et de s'en aller. Quasiment tout le monde suivit le mouvement, en jetant des regards noirs au groupe. Quel accueil, ils ne savaient pas pourquoi, ils n’étaient pas les bienvenus.
Le barman balança un torchon sur son épaule et écrasa son poing sur le comptoir: "Merci beaucoup, bande de cons !" avec un fort accent irlandais, mais une attitude laissant comprendre qu’il ne les aimaient pas non plus. Robyn ferma les yeux et murmura entre les dents: "Ô puissant seigneur des Oréos... donne moi la force de pas le noyer dans de la bière..."
Maman Rousse murmura au reste du groupe: "Nous devons nous en allez. Immédiatement. Allons chercher de l'aide hors de cet endroit, avant que ça ne dégénère." Elle fatiguait Gaston à vouloir tout commander et à la ramener tout le temps. Il la poussa, se mit devant. Mais non minette laisse ! maintenant qu'on est dans un bar on va boire un coup ! et puis dehors la musique est trop forte. Autant attendre que ça se calme maintenant. Il s'avança vers le barman, ce dernier toujours très hostile. Allez c'est ma tournée ! Bizarre direz-vous de prendre son temps pour une bière alors qu’ils venaient à peine d’être agressés par un requin, entre autre ? Gaston espérait peut-être naïvement que prendre des consos pourrait radoucir les personnes du bar, et prendre une pause pour cette bière calmer les esprits de tout le monde après l’attaque. Où était-il encore sous le choc de l’attaque et bien à l’ouest ? Cela eu au moins l’effet d’adoucir le barman, qui se dit certainement que vu le nombre ça lui ferait un peu de chiffre. Il prépara les bières, et Gaston alla s’installer à une table, suivit par peu de personnes du groupe.
A vrai dire, les Silverman ou encore la blonde qui se baladait avec sa batte et qui vénérait le dieu Oréo, ne semblaient pas enclins à le suivre. Cette dernière s’énerva même sur lui. "Mais t'as tout dans les muscles et rien dans la tête ou quoi ? Y a un type qui s'est fait bouffer par un putain de requin sous nos yeux ! On est paumés dans un pub irlandais alors qu'on devrait être dans un parc à la con ! C'est pas le moment de se poser pour se bourrer la gueule ! Vous faîtes comme vous voulez, moi je me casse d'ici et je rentre à Storybrooke en stop si il le faut. Sur ces bonnes paroles, elle se dirigea d'un pas énervé vers la porte du pub pour en sortir...Gaston resta perplexe, et embêté, et surtout bien stupide effectivement. Il n’avait peut-être pas réalisé le danger ou la bizarrerie de la situation, il s’était laissé berné par la bière…Saleté de bière ! Alors qu’il se relevait, la blonde revint dans le bar, perplexe. "Euh... Y a un problème. Le décor est pas le même là dehors. Il pleut, la nuit est tombée, y a que des baraques lugubres en pierre et la mer s'est transformée en forêt." Elle secoua la tête la tête. " C'est quoi ce bordel, putain?" Le barman qui remplissait toujours les chopes lui beugla : "Langage !"
Ce fut le coup supplémentaire pour finir d’assommer Gaston. Quoi ??? Comment se pouvait être possible ? Il sortit du bar, pour voir ce qu’elle racontait de ses propres yeux. Il pu constater qu’effectivement le port n’était plus là, qu’il faisait nuit, qu’ils étaient dans un petit village avec peu de passants, entouré d’une forêt. Ok, ce n’était vraiment plus drôle du tout, Gaston commençait seulement maintenant à réaliser qu’il se passait quelque chose de vraiment étrange… Il se retourna, le reste du groupe sortait du bar aussi. Il regarda inquiet la blonde, et les autres. Mais bordel, il se passe quoi ? Un put*** de requin !!!! du sang !!! un homme mangé !!!! de la musique tout pourrite !!! des gros irlandais méchants !!!! mais c’est quoi ce bordel !!!! rahhh !!! Ouh je me sens pas bien….je me sens pas bien du tout… Doc se rapprocha de lui, et lui fit de l’air avec la main. "Respire, mon gars. Tiens, bois un peu de bière, ça te fera du bien." La grande rouquine s’exclama : "Papa ! Je ne pense pas que ça soit une bonne idée de..." ce à quoi il répondit: "Calypso, soit je le saoule, soit tu devras lui faire du bouche à bouche." Elle grimaça, elle n’eut soudainement plus envie d’aider. Doc s’adressa de nouveau à Gaston "Alors mon grand, tu te sens faible?"
Gaston s’appuya contre lui, et apprécia le mouvement de la main procurant un peu d’air. Peu importe ce qui s'était passé la veille, il était content qu'il soit à côté de lui à cet instant. Il s’assit contre un rebord, prit la bière qu’il lui tendait, et la but pratiquement cul-sec, avant de lâcher un subtil rot. Merci Doc, j'en avais besoin je crois. La bière était finalement une bonne idée. Il se redressa, puis alla vers ses compagnons, et s’exprima d’une voix légèrement paniquée. Bon on fait quoi là maintenant ? Comment on rentre chez nous ? Ce n’est pas possible, je reste pas plus longtemps ici ! Qu'est-ce qu'on fait ? Lui n'en avait aucune idée, et espérait que l'un d'entre eux saurait avant qu'autre chose de terrible leur arrive...
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Robyn W. Candy
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PANIQUEZ PAS J'VIENS JUSTE CHERCHER UN TRUC DANS MA BOITE MP
(Et ouais du coup j'en profite pour faire un tour et mâter les profils, z'allez faire quoi pour m'en empêcher hein ?)
| Conte : Les mondes de Ralph. | Dans le monde des contes, je suis : : Vanellope Von Schweetz, ou la princesse d'un royaume de sucreries qui préfère conduire des voitures en gâteaux.
Zen, soyons zen. Du sang froid dans les veines, blablabla... Mais comment prétendre que tout allait bien se passer quand des gens se faisaient manger par des requins et que des irlandais avaient l'air de vouloir nous lyncher sur place publique juste parce qu'on avait l'accent vachement plus compréhensible d'américains pur souche ? J'étais à deux barres kit kat de la crise de nerf. Entre les téléphones qui marchaient plus, la famille de touristes complètement paumée et les décors changeant, y avait de quoi péter un câble. Limite j'aurai préféré retourner sur Méter copiner avec mon nouveau super pote Chronos. Là bas au moins, je savais à peu prêt à quoi m'attendre. Ici, tout était imprévisible. Et apparemment, quand on mourrait, on revenait pas à la vie. Paix à ton âme, petit capitaine à l'humour douteux parti trop tôt. J'espérais qu'il n'avait pas de famille proche, parce que ça risquait d'être délicat d'annoncer à ses parents qu'il s'était fait bouffer par un grand requin blanc.
- Il faut que nous trouvions un moyen de retourner au parc. Ou au moins de pouvoir communiquer avec les secours. Vous n'auriez pas un téléphone qui fonctionne ?
La rouquine version adulte s'approcha du barman aux airs de bulldog qui se serait fait percuter par un camion de plein fouet. Il secoua la tête et ricana:
- Z'avez l'impression qu'on est en lien avec la civilisation, ici ? Essayez d'envoyer un pigeon voyageur, ça sera plus simple.
Elle n'eut pas l'air de trouver sa remarque très drôle. Ses yeux bleus le transpercèrent, et il se recroquevilla derrière son comptoir, n'osant plus faire le malin. Eh bah. Valait mieux pas essayer de lui briser les oréos, à la Calypso. Elle faisait méga flipper. Son mari, le bébé dans les bras, la collait de prêt et était pâle comme une tablette de chocolat blanc. Si il prévoyait de tourner de l'oeil, ça pourrait être pas mal que quelqu'un lui prenne Pépé pour éviter que le gamin finisse en crêpe sur le sol dégueulasse du pub.
- Je suppose que la téléportation divine ne fonctionne pas dans le coin ?
La question était adressée à Aryana. Et Sasha, même si je savais pas si elle était apte à jouer les taxis divins. Vu la situation, ça aurait été logique que la déesse nous ramène illico presto au parc. Pourtant, on était toujours là. J'aimais encore moins ça.
- Téléportation... divine ?
Max-je-fais-la-gueule plissa les yeux, en nous fixant tour à tour. Ah merde. On était en compagnie de moldus, fallait peut être penser à faire gaffe à ce qu'on disait devant eux.
- No comment.
Je pris mon expression la plus sévère, coupant court à la conversation. C'était pas le moment d'expliquer à ces braves gens un peu chiants que le plus bizarre dans l'histoire, c'était nous.
- Excusez moi...
Une voix un peu timide se fit entendre derrière nous. Je pivotais dans un geste absolument pas gracieux, Lucille à la main prête à fracasser de l'irlandais si il fallait. Mais personne n'essaya de me cracher dessus en m'engueulant. Le type hésitant qui me faisait face avait même l'air plutôt sympa. Il souriait, il avait pas l'air armé et en plus, il avait pas d'accent à couper au couteau. Bon point pour lui. J'abaissais ma batte et pris quelques secondes pour l'observer de haut en bas. Sait-on jamais, ça aurait très bien pu être une figure familière genre titan ou divin crevard qui aime faire mumuse en nous foutant dans des situations pas possible. Et non, j'étais pas trop parano.
- Oui ? C'est pour quoi ?
Silencieusement, je priais le dieu des sucreries pour qu'il nous propose un téléphone. Ou de la bouffe. Voir les deux, ce qui serait encore mieux.
- J'ai pas pu m'empêcher de suivre votre conversation et... je me disais que... je pourrai peut être vous aider. On capte que dalle niveau réseau ici, mais il se trouve que je comptais quitter le coin ce soir pour rejoindre une plus grande ville. J'ai passé une semaine ici avec un pote, on a campé dans les bois et on commence à rêver de wifi même la nuit. On a un van, si vous voulez vous pouvez nous accompagner comme ça on vous déposera en ville et vous pourrez téléphoner à... je sais pas qui. Mais vous pourrez quand même utiliser un téléphone sans risque.
Il termina sa tirade par un sourire qui se voulait sûrement bienveillant. Et il l'était. Donc c'était logique de trouver ça louche, non ? Sans lui répondre, je me retournais vers le reste du groupe pour une réunion de crise rapide et efficace, idéalement.
- On fait quoi ? On suit le monsieur ou pas ?
Je préférai demander, histoire qu'on m'accuse pas de prendre des mauvaises décisions si jamais ça devait mal tourner. Si la majorité l'emportait pour rejoindre la civilisation en compagnie d'un inconnu, alors on irait. Sinon... bah on tenterait de survivre aux irlandais aussi chaleureux qu'un congélateur.
- Moi c'est Peter, au fait.
Tournant légèrement la tête vers lui, je le vis nous adresser un signe de la main maladroit. Apparemment, il était pas trop à l'aise face au troupeau de touriste que nous représentions. Et puis le sang que la plupart d'entre nous abordait devait aussi faire son petit effet. Tiens d'ailleurs, pourquoi personne nous avait demandé ce qui nous était arrivé ? C'était quoi ce manque de sympathie hyper choquant ?
Sasha Hale-Bowman
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We were happy and it was all ... a lie
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Panique (le démon vert)
Quand je soupçonnait que les choses allaient mal se tourner, j'avais sous estimé à quel point et sûrement pas imaginer un putain de requin, non je pensais plus à quelques chose de plus soft puis ensuite que les choses s'intensifie au fil de l'aventure, là on avait quand même débuté avec du lourd, quelqu'un venait déjà de mourir, comme quoi il ne fallait jamais sous estimer quoi que ce soit sinon on était bon pour être vachement surpris. Arthur avait faillis lui aussi devenir un jolie casse-croûte, par chance on réagit assez vite pour l'aider à remonter à bord, je m'étais tournée prête à plonger pour m'occuper personnellement du requin avec mon épée qui se trouvait dans mon sac, mais je n'en n'eut pas l'occasion car le décor finit par changer et nous nous retrouvions ailleurs, j'affichais une moue déçus et espérait pouvoir recroiser l'animal pour que je le plante.
Je ne perdais pas une seconde pour descendre à mon tour du bateau, rester à bord n'était pas forcément une bonne idée. J'observais les alentours puis le reste du groupe, un rictus moqueur sur le visage quand mes yeux tombèrent sur le type au yeux claire de notre groupe dont je ne connaissais pas encore l'identité mais qui semblait être à deux doigts de s'évanouir ou de vomir, je détournais les yeux pour ne pas avoir à assister à ce spectacle. Je fus tirée de ma réflexion par le déclenchement d'une musique infernale qui me fit légèrement sursauter, qui était le con qui avait décidé de se la jouer Marty McFly sans faire exploser son enceinte ? Parce que j'aurais deux trois mots à lui dire avant qu'il n'aille rejoindre son créateur. En tout les cas Mr-j'ai-du-sang-sur-mon-tshirt-au-secour-maman! finit par trouver une solution pour qu'on puisse tous s'abriter en attendant que cette torture auditive se termine.
A peine entrée à l'intérieur du pub que le mec derrière le comptoir nous agressa verbalement avant de nous traiter d'américain, nan mais alors lui si il fermait pas sa gueule, j'avais me faire un plaisir de lui enfoncer une chope dans sa gorge, ça lui ferait les pieds à cette espèce de leprechaun. Par chance pour le barman mais à mon plus grand malheur, Robyn détourna toute mon attention pour me demander et l'autre cruche si la téléportation était possible, je me retenais de ne pas me frapper à cause de ma stupidité, bien sur ! la téléportation ! quel idiote. Je me concentrais un instant sur mon pouvoir mais rien ne se produisit. “Nope.” Je tentais de faire apparaître quelques chose mais rien ne se produisit.
“Nos pouvoirs ne fonctionne pas.”Glissais-je discrètement à l’attention de Robyn et d’Aryanna pour éviter que le reste du groupe ne m’entendent avant de regarder par dessus mon épaule quand une voix se fit entendre derrière nous, un type plutôt pas mal nous informa qu’il aidait prêt à nous embarquer dans son van pour nous emmener ailleurs que dans ce trou perdu, perso je n’avais rien contre, mais la décision devait être la même pour tout le monde.“On peut toujours le suivre et s’il s’avère qu’il est pas aussi gentil que ça et bien il se mangera mon poing.”Je fit un grand sourire carnassier à notre sauveur.
“Quoi?.”Il n’avait plus l’air bien chaud pour nous aider à présent, son air effrayé m’amusais grandement, il était prévenue en tout les cas, j’haussais les épaules, je ne ferais confiance à personne d’autre que les gens de Storybrooke, toute cette situation était bien trop louche pour sous estimés n’importe qui que l’on rencontrerait dans le futur. Robyn elle fit comme si de rien n’était et pris la parole."Bien. Donc on suit le Monsieur bien sagement. Quelqu'un souhaite s'opposer à cette décision ? Oui ? Non ? En fait je m'en fous de vos avis. Je suis la shérif, alors c'est moi qui décide.” La décision n’avait pas l’air de beaucoup plaire à madame Calypso vu le regard noir qu’elle jetait en direction de Robyn tout en se plaçant devant sa famille comme pour les protégés. “On te suit.” Peter lui semblait encore hésiter de vouloir nous aider, mais il finit par se diriger vers l’extérieur et je ne perdit pas une seconde pour lui emboîter le pas, méfiante. On finit par arriver devant un van dont il ouvrit les portes pour nettoyer rapidements les banquettes qui était couverte de miettes, de bouffe et de canettes de bière, je fronçais le nez de dégoût.
”Pour l’amour du Styx.”Murmurais-je pour moi même, regrettant amèrement que mon pouvoir de téléportation ne fonctionne pas, mais je n’allais pas en faire tout une montagne.
“Euh… qui veut s’asseoir devant?.” Demanda Peter au reste du groupe.
“Moi.”Et sans plus attendre et pour éviter la moindre protestation je me glissais sur le siège avant du véhicule, déposant mon sac à mes pieds. Une fois tout le monde installer, le chauffeur installer et le moteur chauffer, on quittais enfin village moisis. Fouillant dans ma poche pendant quelques seconde, j’en retirais triomphalement ma boite de dragées surprise de Bertie Crochue.
"Vous êtes venu faire quoi ici ? Vous êtes tous en vacances ?"Je fouillais à l’intérieur de la boite avec mon pouce et mon index pour essayer de trouver une dragées qui ne me donnerait pas envie de vomir.
“On était au parc Universal Studio, on devait y être pendant trois jours, mais les choses ont déraillé et du coup on c'est retrouver dans ce trou perdu."J’attrapais enfin une dragées de couleur bleu ciel avant de la glisser à l’intérieur de ma bouche, croquant dedans, un sourire de satisfaction se dessina sur mon visage quand je sentit le goût de la mûre sur mes papilles.
Ce que j’avais dit semblait avoir beaucoup amusée Peter car il se mit à rigoler.”Universal Studio ? Genre en Floride où à Hollywood ? Qu’est-ce qui c’est passé pour que vous débarquiez en Irlande ? Votre avion s'est écrasé ?.” Pardon ?! Mais il racontait quoi lui ? Jetant un bref coup d’oeil à l’extérieur, je remarquais qu’il pleuvait à présent et que nous nous enfonçons dans une forêt.
“En Irlande ? On est en Irlande ? Et bah merde alors."Putain mais il fallait toujours qu’on atterrisse dans des endroit pas possible à chaque fois qu’on quittait cette ville de malheur. ”On était en Floride, comment peut-on se retrouver en Europe ?.”Je demandais à voix haute sans vraiment attendre de réponse mais Peter lui se contenta de rire de nouveau et cette fois-ci un peu plus fortement, il jeta un coup d’oeil dans ma direction et voyant que je n’avais pas l’air de déconner il se stoppa.
“Attendez… vous êtes sérieuse ?.”Alors que j’allais lui répondre, Robyn qui se trouvait au fond du véhicule brailla assez fort pour se faire entendre.”On à l’air de déconner ?.”Notre chauffeur perdit toute de suite son joli teint pour ressembler à présent à un fantôme, il déglutit bruyamment. “Vous êtes sur que vous étiez en Floride ? Si ça se trouve, vous confondez avec les coins un peu moins pluvieux de l’Irlande.”
“Mais on est pas con quand même ! On sait parfaitement où on était et c’était la Floride.”Je m'efforçais de rester calme même si mon ton n’avait rien d’amicale.”Putain je savais que j’aurais pas dû venir, il faut toujours que tout parte en sucette quand on quitte la ville.”Pinçant l’arête de mon nez, je laissais un soupire d’agacement m’échapper.
“Mais du coup… vous allez faire comment pour retourner en Floride ? Je vais vous emmener en ville, mais y’a pas d’aéroport dans le coin. Vous allez quand même pas faire du stop ?.”Demanda Peter timidement tandis que le véhicule quitta la route pour rejoindre un chemin boueux qui secoua tout le véhicule.
J’attrapais une nouvelle dragées tout en réfléchissant, la glissant dans ma bouche avant de la recracher quand je sentis le goût du savon, ouvrant le carreau je jetais mon paquet de bonbon sous la frustration."Je ne sais pas, je suppose qu'on verra bien une fois sur place."J’attrapais le bord de mon siège."Il y avais que ce passage la pour rejoindre la ville ?."
“On va d’abord chercher mon pote Bobby. Il est resté pour ranger le campement, on récupère nos affaires et après on va en ville.”Je tournais la tête, les sourcils froncer tandis qu’il me regardait de biais.”Je ne vous l’avais pas dit ?.”
“Non.”Avais-je répondu tout simplement tout en continuant de le fixer du regard, j'espérais qu’il n’avait pas prévue de faire tout un paquet de détour, sinon il allait voir de quel bois j'me chauffe.”Et c’est encore loin votre campement ?.”Il pouvait le sentir que je perdais patience ou pas ?.
“Vous voyez l’arbre là?”Je l’observais se pencher par dessus son volant pour me montrer un gros arbre brûlé un peu plus loin sur la route avant de poursuivre. “Vous comptez jusqu’à 100 tout pile, et on sera arrivé.” A peine eut-il terminé de s’exprimer que je remarquais dans le ciel un éclair, puis la pluie sembla s’intensifier un peu plus.
“Mouai.”Je me décidais à patienter tout simplement sans bien sur compter dans ma tête parce que c’était tout simplement débile comme idée. Je souriais devant cette météo qui semblait empirer au fil des minutes.”C’est sympa la météo par ici.” Remarquais-je sarcastiquement avant de continuer.”Votre pote il à pas peur de se faire foudroyer en restant parmi les arbres.”Ou alors lui aussi il était complètement débile.
"Jusqu'ici on a toujours eu un temps pas trop désagréable. Si on est pas du genre à se plaindre à la moindre averse." Il sourit. "Il y a une clairière non loin d'ici. Il a dû s'y mettre à l'abri."Je reportais mon attention sur l’extérieur pour remarquer que nous étions près du campement et malgré l’obscurité j’arrivais à voir que la tente était dans un sale état et que des tâches étrange la couvrait.
“J’ai un mauvais pressentiment.”Faisais-je savoir au reste de l’équipe alors que la voiture venait de s’arrêter, Peter venait de sortir de celui-ci pour se diriger en direction de la tente tout en hurlant le nom de son pote, il se précipita ensuite pour ouvrir l’intérieur de la tente avant de reculer, la main devant la bouche.
“Et merde.”J’ouvrais la porte du van, attrapais mon sac que j’enfilais sur mon dos avant de me précipiter à mon tour près de la tente pour jeter un coup d’oeil à l’intérieur, la toile de la tente est dans un sale état, comme si elle avait été déchirée par un ours ou par un autre animal sauvage avec des griffes. Une forte odeur métallique me fit grimacer, je clignais des yeux et ma vision s'ajuste peu à peu à l’obscurité pour voir que toute leur affaires sont recouverte de sang comme si il y avait eu une énorme explosion dans cette tente.
”Il faut... que je retrouve Bobby.”Je me recule pour ne plus avoir cette scène plus que dégueulasse dans mon champ de vision pour me tourner en direction de Peter qui est en larmes et dont les mains trembles, je ne lui répond rien, car j’étais presque certaine que Bobby n’était plus de ce monde.
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Aryana Cloud-Sandman
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“ Vous ne pourrez jamais comprendre.
Tout ce que je fais, je le fais pour Elliot. ”
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Aphrodite
Les voitures que nous conduisons disent beaucoup de nous.
Un requin. Une bande d'irlandais ivres. Et maintenant nous nous faisions bringuebaler, serrés comme des sardines en boîte, dans un van qui sentait la bière et le pain rassis. J'avais espéré mieux comme séjour cinq étoiles. Je n'appréciais pas du tout cette situation, surtout lorsque notre conducteur, un certain Peter, nous affirma que nous étions bel et bien en Irlande. J'avais haussé un sourcil dubitatif. Mais bien sûr. J'aurais subi une téléportation aussi importante sans m'en apercevoir ? Je jetai un coup d'oeil à Sasha mais elle semblait bien plus accaparée par la météo déplorable que par les problèmes essentiels qui nous concernaient.
Etant donné que certains de mes pouvoirs étaient bloqués -je le percevais très clairement- j'avais mis mon temps à profit pour vérifier le reste de mes capacités. Je trouvai une clé à mollette sur le sol du van, que je ramassai pour la tordre. Elle se plia entre mes mains sans aucun effort, ce qui me rassura légèrement. Pour le reste, il faudrait attendre. Je n'allais pas tester mon charme sur le vieillard à ma droite, cette simple idée me donnait la nausée. A la place, je me concentrai pour contacter Hypérion par la pensée. Puisque nous étions "bloqués" à cet endroit -peu importe où nous étions- il fallait réclamer l'assistance d'une puissance supérieure. J'étais loin de porter le titan dans mon coeur, mais aux grands maux les grands remèdes. J'inspirai profondément et composai un message neutre, empli de douceur et de volupté :
Bonsoir Hypérion ! Je suis actuellement prise au piège dans un endroit inconnu avec l'impossibilité de me téléporter. J'ai plusieurs civils avec moi dont ROBYN. Vous savez, ROBYN, celle qui vous régale avec ses ECLAIRS. J'imagine votre chagrin si elle venait à DISPARAÎTRE. Si j'étais vous, je viendrais rapidement.
Je n'obtins aucune réponse télépathique, comme si le fil de mes pensées était coupé avec le reste d'Olympe. C'était une sensation extrêmement désagréable. En revanche, le ciel devint subitement rouge et s'illumina plusieurs fois tout en émettant un bruit d'alarme. Un courant d'anxiété agita les personnes à bord du van mais je restai parfaitement calme, me contentant d'observer les étranges phénomènes dans le ciel à travers la vitre. Quelqu'un savait ce que j'avais essayé de faire, m'en avait empêché et me montrait clairement son mécontentement. Il était donc possible d'établir un "dialogue" avec notre ennemi. J'allais lui donner de quoi répliquer.
Sans prévenir, je poussai les gens assis à côté de moi pour sortir du van, fis le tour du véhicule et montai à l'avant, face au volant. Là, je verrouillai les portes et appuyai à fond sur l'accélérateur pour foncer vers Peter. Je cherchais à provoquer une réaction, n'importe laquelle. Le résultat fut décevant : le van percuta l'homme de plein fouet qui fit un vol plané avant de s'écraser contre le pare-brise, d'y laisser une traînée de sang et de glisser. Comme je continuais mon chemin, il passa sous les roues dans un bruit écoeurant. Je restai sourde aux hurlements des passagers. Dans le rétroviseur, je vis Robyn quitter sa place pour tenter de me rejoindre à l'avant, mais elle fut entravée par Emmet qui la retint par le bras.
"C'est elle la boss. C'est elle qui décide." dit-il, et sa phrase me surprit.
Il était sûrement le seul dans tout le véhicule à approuver ma décision.
"Tu crois que c'est le premier ? Tu crois que j'ai vécu cinq millions d'années sans jamais tuer personne ?" lançai-je à la jeune femme d'un ton sec.
J'appréciais beaucoup la pâtissière, mais elle ne comprenait pas que j'avais agi pour le bien de tous. Il fallait que quelqu'un fasse quelque chose. Supportaient-ils vraiment d'être malmenés sans broncher ? En tant que shérif, elle devait comprendre la notion de se salir les mains, à moins qu'elle n'ait pas encore eu à le faire ? Tant d'innocence dans ses grands yeux horrifiés...
"Bah non... Mais je pensais pas que tu étais du genre à écraser des gens sans raison. Il a même pas essayé de nous tuer, celui-là !"
Je roulai des yeux.
"On n'est pas vraiment en Irlande. On n'est pas sûr que cet homme était réel."
Je fixai le pare-brise ensanglanté en marmonnant, pensive :
"J'avais mes raisons."
Il n'empêche que j'espérais un meilleur résultat. Quand je tentais de contacter un titan par la pensée, le ciel devenait écarlate et s'alarmait, quand lorsque je tuais quelqu'un, il ne se passait strictement rien. C'était logique, d'une certaine façon. Preuve que la vie des gens que nous rencontrions n'avait aucune importance pour notre ennemi.
A cet instant, une portière claqua. La grande rousse et le vieillard sortirent du van pour aller vérifier l'état de l'homme écrasé, quelques mètres plus loin. Je leur aurais bien précisé qu'il était bien mort, que ça ne servait à rien de s'en assurer, vu avec quel acharnement je l'avais labouré avec les roues. Soudain, je remarquai depuis le rétroviseur que le vieillard faisait de grands signes comme pour nous signifier de nous rejoindre.
Je laissai échapper un soupir désabusé. Qu'est-ce qui me garantissait que ces gens étaient plus réels que le défunt Peter ? Ils ne représentaient absolument rien pour moi. Je fis donc marche arrière -en prenant soin de n'écraser personne cette fois- un léger demi tour et stoppai le van dans un brusque à-coup pour déclarer avec le plus grand sérieux :
"Ceux qui veulent consoler le vieillard peuvent descendre. Je ne m'attarde pas ici."
"Vous êtes complètement cinglée..." laissa échapper la fillette rousse. Puis fronçant le nez, elle ajouta : "C'est normal que ça sente le brûlé ?"
Je remarquai que le moteur faisait un bruit toussotant guère rassurant. De la fumée noire s'échappa bientôt du capot.
"Je veux pas avoir l'air de remettre en question ton rôle de chef, mais en général quand une bagnole fait ça, c'est pas bon signe du tout." me glissa Robyn.
Je fixais toujours le pare-brise ensanglanté d'un oeil noir, les mains sur le volant. Finalement, je soupirai, la mine sombre :
"Comme par hasard... La panne qui tombe à pic. Celui qui tire les ficelles doit beaucoup s'amuser."
Je tournai la tête vers Emmet et remarquai que son raton-laveur avait posé les pattes sur le dossier de mon siège.
"Vous n'auriez pas des notions en mécanique ? Je vous vois bien avec de l'huile sur les mains."
"T'es une déesse ? T'attends quoi pour en faire apparaître une autre ?" fit-il, presque provocateur.
C'est qu'il apprenait vite. Il était beaucoup plus dégourdi que la dernière fois où l'on s'était vu.
"Eh ! Pourquoi tu lui demandes à lui ?" s'écria Robyn, visiblement vexée.
Je l'observai, indécise, avant d'ouvrir de grands yeux. Oh. J'avais oublié qu'elle était pilote de course dans son autre vie. Je me désintéressai d'elle en voyant des étincelles sortir du capot. Je haussai un sourcil, mi-fascinée, mi-soucieuse. Bientôt, le van se mit à toussoter de plus en plus fort.
"Je te laisse regarder le moteur." dis-à Robyn.
Tranquillement, je descendis du véhicule et remontai les manches de ma chemise blanche (j'avais gardé ma cravate Serpentard en la dénouant pour que ça fasse plus décontracté). Puis me concentrai pour faire apparaître une voiture spacieuse et tout terrain. Tout le monde ne pourrait pas entrer dedans mais tant pis. De toutes façons, je soupçonnais la moitié du groupe de ne pas apprécier mes méthodes.
A la place du 4x4 de mes pensées, un gros bloc de ferraille non identifié se matérialisa. Cela ressemblait à un cube d'art contemporain. J'observai mon "oeuvre d'art" d'un air sceptique, les bras croisés. C'était bien la première fois que l'objet de mes désirs n'apparaissait pas tel que je l'avais imaginé. Preuve que quelque chose clochait ici. Tandis que j'essayais de modeler ce cube récalcitrant, sans succès, j'entendis bientôt Robyn hurler :
"Tout le monde à terre ou... courrez ! Faites ce que vous voulez mais éloignez-vous de cette bagnole !"
Du coin de l'oeil, je vis la pâtissière se réfugier derrière un arbre. Machinalement, je fis le tour de ma sculpture contemporaine pour me cacher. J'avais hésité à rester près du van afin de tester mes résistances mais ce n'était pas une bonne idée de se mettre en danger inutilement. Mon petit doigt me disait que je saurai très bientôt si j'étais toujours immortelle.
J'attendis la détonation qui ne vint pas. A la place, il y eut seulement une minuscule explosion et le van prit feu. Après un nouvel essai infructueux auprès de mon cube, je décidai d'appeler mon Marteau. C'était une arme titanesque qui avait été forgé pour Héphaïstos et qui pouvait venir à bout de n'importe quoi. Si nous n'avions pas de moyen de locomotion, je pouvais au moins assurer la protection des autres avec cette arme. Un vent de soulagement me traversa quand je sentis son poids dans ma main. Je me redressai et lançai aux autres :
"Qui m'aime me suive !"
Il n'y aurait sans doute pas beaucoup de volontaires ; je n'en avais strictement rien à faire. Ils auraient plus de chance de rester en vie auprès d'une déesse armée, mais libre à eux.
"On bouge de là. Il faut trouver un moyen de sortir d'ici."
Sans attendre, je commençai à m'éloigner sans direction précise. De toutes façons, puisque nous étions dans un endroit au "décors" changeants, il était inutile d'avoir une trajectoire précise. Je me doutais que les ennuis finiraient par nous trouver par eux-mêmes. Le but serait de frapper fort à ce moment-là, et j'avais exactement ce qu'il fallait pour ça. J'esquissai un léger sourire à mon Marteau dont le métal effleurait le bord de ma mini-jupe plissée.
lumos maxima
Gaston Hawk
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It's summer time !
| Conte : La belle et la bête | Dans le monde des contes, je suis : : Gaston
Mais quel véritable bordel ! C’était de pire en pire. Gaston regrettait presque son spa avec la petite vieille…Il avait cru entendre qu’ils étaient maintenant en Irlande, bordel, il ne savait même pas où c’était, mais apparemment loin de la Floride. Et voilà que parmi ses compagnons l’une s’était révélée des instincts meurtriers. Sans crier gare elle avait tué Peter, que Gaston trouvait bien sympathique jusque maintenant. A la vue du sang éclaboussé sur le pare-brise, il était cette fois-ci resté plutôt calme…du moins avait-il beaucoup moins paniqué. Il s’était mis en tête qu’à partir de maintenant il pouvait réellement s’attendre au pire, et que les évènements n’étaient plus dus au hasard. Il avait quand même lâché un petit cri quand la blonde avait écrasé Peter, mais vraiment petit.
Lorsqu’ils s’étaient cachés, il avait vu la blonde faire apparaître une sorte de gros marteau dans ses mains. Sans mentionner le véhicule apparu avant. Sans mentionner qu’il avait aussi entendu parler de « divin ». C’est pourquoi quand la blonde tarée décida de partir, et indiqua qu’il fallait qu’ils se bougent de là, Gaston décida qu’il allait la suivre. De un elle semblait décidément badass et plutôt un bon atout. De deux elle avait de beaux atouts. De trois il valait mieux garder une cinglée aux impulsions meurtrières à ses côtés plutôt qu’en face…regardez ce pauvre Peter.
Gaston se leva donc, décidé à la suivre, quand Doc se précipita vers lui et l'attrapa par le bras pour lui murmurer: "Il est en vie. Peter. Il respire encore. Il faut qu'on fasse quelque chose pour l'aider!" Il regardait la blonde divinité d’un air légèrement effrayé. Gaston le regarda, puis se pencha pour essayer d’apercevoir le corps de Peter, qui gisait à terre. "Tu es sûr que ça peut se soigner ? Ou est-ce qu'il ne faudrait pas plutôt abréger ses souffrances ?" Dans le premier cas, il n'était pas médecin, ils pourraient voir ça sans lui. Dans le deuxième, ce n'était certainement pas lui qui s'en chargerait. L'évidence était là. "Je suis désolé Doc, mais je ne crois pas pouvoir t'aider sur ce coup !" "Abréger... ses souffrances ?" Il devint alors tout pâle, d'une couleur presque cadavérique. Voilà que Gaston arrivait enfin à se contenir, et c’était maintenant Doc qui flanchait. "On ne va quand même pas laisser cet homme souffrir ! Il est en vie ! Faire ça, ce serait un meurtre !" "Ce serait un meurtre....enfin techniquement la fin d'un il était déjà bien entamé !"
Tout un coup un long cri d’agonie se fit entendre. Peter confirmait qu’il était encore en vie, mais en quel état ? Gaston vit le corps écrasé secoué de spasmes, tout cela accompagné de hurlement de douleurs. Doc se boucha les oreilles en secouant la tête. Il regarda Gaston, avec des yeux suppliants. "Aide moi... Aidons le.." Gaston essaya de résister, mais entre les cris et les yeux de chat potté de Doc c’était difficile. Qu’il regrettait le temps où il était simplement stupide et sans cœur ! "Rah mais c'est pas possible ! tu veux que je fasse quoi ? je suis pas médecin moi !"
Il se rapprocha à grandes enjambées du corps souffrant de Peter, Doc sur ses pas. La scène n’était pas belle à voir : un bras et une jambe à l’envers, la tête qui saignait. Gaston se mit à crier aux gens autour de lui. "Y a pas un médecin parmi nous ?? quelqu'un a des notions quelconques ?"
Soudain, il sentit une main s’agripper à sa cheville. Bordel ! Il n’agonisait pas tant que ça finalement le Peter ! Gaston essaya de tirer son pied. Mais lâche-moi !! Et ce qu’il vit alors l’horrifia. La peau de la main de Peter, de son bras…était en train de tomber. Il était en train de perdre toute sa peau. Il était vachement moins sympathique tout d'un coup. Mec fais gaffe ça va pas bien du tout là… Tout son corps se décomposait littéralement. On pouvait voir tous les détails de mieux en mieux parce que la pluie s’était arrêtée, la tempête retirée, et on voyait comme en plein jour, grâce à une énorme lune bien ronde. Les dents de ce qui était anciennement Peter tombaient, puis ses yeux, ses cheveux, ses ongles…Il ne lâchait pas Gaston, qui commençait à se débattre de plus en plus fort. Un fluide transparent mélangé à du sang coula sur ses chaussures. Yaaaa mes chaussures !!! Yaaaaaa mais c’est quoi ça ??? mais aidez-moi !! Doc resté planté à côté sous le choc, la mâchoire décrochée, dans l'incapacité de détourner le regard de la monstruosité qui se déroulait.
Un grand crac se fit entendre, un peu plus de liquide l’aspergea. Génial, il en prenait plein la gueule depuis le début. Ce crac qu’il avait entendu c’était la blonde avec la batte, qui apparemment était le shérif de Storybrooke.. Avec sa batte elle venait d’écraser le bras de Peter qui était en train de craquer et de s’allonger. Elle leur cria "Putain mais courez, au lieu de rester planté là ! Allez !"
Il resta planté deux secondes, avant de se mettre à courir avec les autres pour rejoindre l'autre blonde. Les femmes étaient décidément plus dégourdies, et surtout mieux armées que les mecs dans cette histoire. Il allait devoir se trouver son arme à lui aussi, il en avait marre d'être dans le rôle de la gonzesse en détresse.
Ils s’enfoncèrent dans les bois tous les trois, croyant avoir aperçus les autres mais ils étaient en réalité seuls. Les autres semblaient avoir disparus, ils ne les distinguaient plus. Un nouvel hurlement se fit entendre. S’ils ne finissaient pas sourds à la fin c’était un miracle. Gaston regarda derrière, et vit un monstre débouler à toute vitesse vers eux, griffes sorties. "AAAAAAaaaaaahhhh !!!" La shérif hurla "Putain de bordel de merde... Faut qu'on speede !"
Ils se mirent à courir, mais Doc était derrière eux, essoufflé, ayant du mal à suivre le mouvement. L'ancien Gaston l'aurait laissé derrière, après tout cela aurait permis de ralentir le monstre et il s'en serait sorti avec la jolie blonde. Mais il avait acquis suite à la malédiction une conscience, il courut donc vers Doc pour le soutenir et courir avec lui. "Allez Doc, après tout ce qu'on a partagé, ça ne va pas s'arrêter là !" Doc réussit à lui sourire malgré la situation et la douleur qui l'empêchait de respirer correctement. "Je savais que tu étais un..." Il ne put terminer sa phrase. Il était trop occupé à regarder les longues griffes qui venaient de lui traverser la poitrine. Il adressa un regard interloqué à Gaston, avant de se faire violemment tirer en arrière. Il eut à peine le temps de pousser un cri que la bête lui arracha la gorge d'un coup de crocs. Gaston resta stoïque, comme paralysé, devant toute cette violence.
La shérif se précipita pour essayer de l'aider malgré tout, abattant sa batte dans le dos du loup-garou penché sur sa nouvelle proie. La bête ne sembla pas apprécier le coup, et fit claquer ses mâchoires vers Robyn, qui poussa un cri, avant de reculer en se tenant le bras. Le loup les regarda de ses yeux injectés de sang, grognant comme pour nous intimer de ne pas s'approcher et commencer à fouiller avec son museau la plaie à la gorge de Doc, préférant savourer son repas que nous attaquer. Rah non Doc !!! et merde !! Il avait commencé à s'y attacher au ptit vieux. "Il faut... bordel... faut qu'on retrouve les autres. Allez viens. Tant qu'il est occupé à.... bouffer, on a une chance de s'en sortir." La shérif le regardait les dents serrés, le bras en sang, et se mis en marche. Elle avait raison, il fallait partir tant que le loup mangeait. Gaston détourna les yeux, le spectacle était vraiment peu supportable. Mais bordel ! Ils se remirent en marche, et Gaston regarda la shérif d'un œil inquiet. "Ça va aller le bras ?" Elle hocha la tête, mais sans desserrer les mâchoires.
Avec tout ce qui se passait, il fallait sérieusement qu'il trouve une arme et vite, le loup n'aurait pas fait le malin face à ses talents de chasseur. Mais pour l'instant ils erraient seuls, la shérif et lui, dans ces bois, un hurlement de loup-garou lugubre se faisant entendre au loin...
Codage par Libella sur Graphiorum
Emmet Miller
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« On est prisonnier
du Temps... ? »
« Qu'importe, vue qu'on l'est
tous les deux... ! »
| Conte : Inventé ϟ | Dans le monde des contes, je suis : : Je viens du monde réel. ϟ
Ce qu'on vivait ici était surréaliste. Ca devenait une habitude à force. On ne pouvait pas s'attendre à vivre des choses normales ou à côtoyer des gens ordinaires, quand notre propre petite amie était une sirène, demi déesse. J'avais dû encaisser beaucoup de choses cette année. Je ne pensais pas devoir un jour fuir devant un loup garou. Quoi qu'il en soit, Rocky me suivait et quand on s'était arrêté en plein milieu de ces bois, je m'étais rendu compte qu'instinctivement, j'avais suivi la personne la mieux armée qui soit : Aryana. Elle était badass, en plus d'être sexy. Mais je ne regardais ni ses formes, ni son magnifique sourire, juste le marteau qu'elle tenait en main. Ok... d'accord... une femme armée, c'était sexy. Sauf Robyn. C'était plutôt dérangeant quand elle avait sa batte en main.
« Je crois qu'on a mis assez d'espace entre lui et nous... » dis-je en reprenant mon souffle.
Rocky s'était stoppé lui aussi et s'agitait, en observant les alentours. Sentait-il le danger ? Il avait la langue pendante et il venait de tourner la tête vers la déesse. Sans doute qu'il se disait lui aussi, qu'elle notre moyen de survie. Je me demandais où les autres avaient atterris. Mais en dehors d'elle, je ne connaissais pas grand monde. Est ce qu'ils étaient réels eux aussi, ou venaient-ils de cet endroit ? Après tout, on aurait pu nous tendre un piège depuis le début.
« Ce n'est pas ce que je voulais. » répondit-elle en regardant autour d'elle, d'un air concentré. « Je veux tuer cette bête. Je veux tuer n'importe quel monstre qu'on pourra rencontrer. Jusqu'à ce qu'on tombe face à cet ennemi, et que je le tue aussi. » ajouta t'elle en tenant fermement son marteau en main.
« Okkkk... » laissais-je échapper. « Et parmi tes facultés, tu ne pourrais pas me faire apparaître un magnum ? Ou quelque chose de genre, remplis de balles ? »
« Tu te souviens ce qui s'est passé quand j'ai voulu faire apparaître une voiture ? Apparemment ça marche qu'avec les objets divins. » répondit-elle en observant d'un air pensif son marteau.
« Et une arme divine alors ? Genre un... tournevis divin. Une spatule en bois divine. Enfin y'a quoi encore en stock ? »
Elle fit mine de réfléchir.
« Parmi les objets qui m'appartiennent, il y a une ceinture qui rend fou amoureux n'importe qui dans son périmètre. J'ai également un char, mais je ne sais plus où il est. »
J'hochais la tête, faisant mine de comprendre ce qu'elle me disait.
« Je vois qu'on fait dans les objets utiles... » dis-je sans me moquer, bien que... « Bon, ce marteau est puissant ? Du coup on a rien à craindre ? Je vais quand même me prendre un bout de bois. »
Je fis la moue, avant de ramasser une branche par terre. Elle semblait solide et ça me permettrait de me défendre. Puis, penchant la tête vers Rocky, je vis qu'il était limite cramponné à mes pieds. Enfin vraiment juste à côté. Il était autant traumatisé que moi par toute cette aventure. Soudain, face à nous, apparu un escalier de marbre blanc, avec une porte en haut, ouverte, sortie de nul part.
« Je préfère le loup. » dis-je sans la moindre hésitation, avant de me tourner pour faire demi tour.
Cela dit, l'escalier apparu de l'autre côté cette fois ci, donc face à nous à nouveau. Hésitant cette fois ci, je décidais de m'asseoir sur la première marche.
« Pas question de monter là haut. » annonçais-je aussi bien à la déesse, qu'à la personne qui nous imposait cela.
« Lève toi. » me demanda gentiment Aphrodite.
Devais-je l'écouter ? Dans la profession on m'avait appris de faire gaffe à ceux qui pointaient une arme sur nous. Là elle ne la pointait pas, mais c'était elle qui avait le marteau dans notre duo. Du coup, je m'étais levé, attendant de voir ce qu'elle comptait faire. Elle leva son marteau et se mit à taper sur les marches, qui se brisèrent les unes après les autres.
« Wouah... ok... » laissais-je échapper.
C'était une bien meilleure façon d'indiquer qu'on ne monterait pas. L'escalier fini par disparaître avant de revenir à la normale. Aryana se remis à taper dessus. Il semblait plus solide qu'avant, mes ses coups étaient bien plus accentués et son marteau n'en faisait qu'une bouchée.
« Je peux continuer à faire ça toute la journée ! » lâcha t'elle en frappant encore et encore.
Ce qui était bien avec une déesse, c'est qu'elle ne semblait pas s'épuiser. Ce qui n'était pas bien avec cette déesse, c'était que dans cette tenue, en frappant comme ça, fallait que je tourne la tête. D'ailleurs, Rocky fit de même. L'escalier soupira. Mais genre, un grand soupire. Puis, il disparu. A la place, la grande porte va apparaître sous nos pieds et s'ouvrir dans le vide. On fit une chute !
« Gardez les bras le long du corps. » prononça une voix mécanique, tandis qu'on chutait grâce à une sorte d'immense toboggan sans fin. « Ne vous engagez pas à plusieurs. »
Elle était bien bonne cette blague ! Comme si on avait eu le choix, bande d'idiots ! Le parcours se sépara en deux. J’atterris au final, sur quelque chose de moue, avant que Rocky atterrisse dans mes bras. On était dans le noir le plus total. Qu'est ce qui nous arrivait encore ?
« Ca va bien ? » demandais-je à la déesse, sans obtenir la moindre réponse.
C'était bien ce que je pensais. On avait été séparé. Au moins Rocky était avec moi. Soudain, des voix se fient entendre. Féminines, mais murmurant des choses que je ne compris pas. Je n'avais aucune idée en quelles langues elles me parlaient.
Arthur Cane
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Hey you with the pretty face Welcome to the human race
A celebration, Mr. Blue Sky's up there waiting
And today is the day we've waited for
| Conte : Le Monde de Nemo | Dans le monde des contes, je suis : : Hank, le poulpe septopode !
Blessed be the new founding fathers for letting us purge and cleanse our souls, blessed be America, a nation reborn.
Il va y avoir un monstre, fit simplement Arthur, sur un ton blasé devant la tente pleine de sang.
Ridicule. On ne l'écoutait pas, parce que Aryana avait écrasé quelqu'un et tout le groupe s'en affolait, oubliant leurs vraies priorités. De son avis, elle avait bien eu raison de le faire, pour faore bouger les choses. Elle avait raison, tout ça, c'était faux, ça ne ressemblait à rien d'autre qu'une grande mise en scène dans laquelle les intervenants semblaient destinés à la mort pour leur faire peur. Pourquoi et qui etait derrière ce plan de taré, il en savait rien, mais avec le groupe qu'il se tapait, il en prendra pour son grade.
En attendant, lui, exaspéré comme jamais, les yeux vers les bois pour surveiller quelconque activité monstrueuse qui pourrait leur sauter dessus, personne ne l'écoutait alors que le danger était évident.
Bah voilà, c'était ce que j'étais en train de dire, fit-il en levant les yeux vers le ciel quand cette créature atroce fit son apparition. C'est pas comme si y avait du sang qui inonde la tente déchirée par litres.
Ils se mirent à courir, le groupe se retrouvant vite séparé à cause de la menace.
Pathétique.
Il se contenta donc de fourrer les mains dans ses poches, nullement poursuivi mais soudainement seul dans la forêt, pour marcher dans une direction aléatoire. Aryana avait raison, qu'importe où il irait, la suite lui viendra. Tout ceci n'était qu'une mise en scène certainement écrite par un réalisateur de mauvais gout.
Eh ! Grumpy Man !
Soit. Il se reconnut, le surnom était approprié. Il se retourna vers la voix de Robyn qu'il avait reconnu, quoiqu'un un peu épuisée. Elle s'approcha de lui, gardant une main compressée sur bras blessé qui continuait à saigner, et n'était pas seu, étant accompagnée de Ken en personne. Ou Gaston, mais qu'importe.
Deux survivants ? J'aurais parié un peu plus. Je dois admettre que c'est cool de vous voir.
Arthur les voyait déjà se faire bouffer, mais avait songé que la résistance des Storybrookiens était un peu plus forte. La déesse aux pouvoirs réduits était morte ? Dommage. Il notait que Gaston lui, était encore la. Dommage.
Que ce que tu fous là tout seul ? Elle est où Arya ? En train de crever, qui que ce soit, songea-t-il.
Elle précisa sa description, voyant qu'Arthur n'était pas familier de tous les prénoms du groupe.
La blonde canon mais timbrée qui écrase des gens avec des vans de hippies.
Très bonne description.
Ah oui, difficile de l'oublier. Quand le monstre est apparu, elle a fuit avec le zoophile je crois. Je croyais que Ken était avec elle, mais il est là. Et Sasha, aucune idée.
Le Zoophile ? Tu veux parler d'Emmet ? Elle fronça les sourcils, se plongeant manifestement dans une intense réflexion.
Bah... oui. 'Fin le type avec son rat quoi. Il s'en étonnait, il avait fini par penser que ce Emmet assumait pleinement sa relation tordue avec sa chose. Manifestement non.
Dégueu, murmura-t-elle au terme de sa réflexion. Bordel, c'est quoi ça encore... fit-elle alors que son regard s'était perdu derrière lui. Elle fit un signe de tête pour indiquer quelque chose qui se trouvait dans son dos. Arthur suivit son regard et... Putain ! S'écria-t-il en sursautant en voyant la statue qu'il y avait quelques mètres plus loin, entièrement en noir et blanc qui faisait une cinquantaine de mètres.
Se détachant de ses yeux qui semblaient le fixer d'un air malsain, il descendit le regard vers sa bouche grande ouverte, de laquelle sortait un brouillard suspect et épais qui glissait jusqu'au sol, léchant les pieds du trio. Une lumière éclaira alors ce morceau de la forêt : au fond de la bouche, quelque chose éclairait, dont la lumière se reflétait sur la paroi et illuminait la scène.
Arthur soupira, en levant les yeux. Bon, finissons-en. Si je perds mon bras je compte bien prendre l'argent de ce maudit parc pour me le recoudre. Parce que c'est ce qu'il veut de toute façon, que je fasse ça.
Il grimpa sans demander son reste, voyant là la suite qu'on leur envoyait manifestement. Il plongea donc finalement son bras dans la bouche béante de l'édifice, sans réfléchir davantage.
Aussitôt, il se sentit tiré en avant. Son épaule buta contre le rebord de pierre, et alors qu'il essaya de tirer son bras ou d'au moins résister, l'emprise redoubla. Merde. Bon, bah on s'retrouve, fit-il à l'intention de Robyn et Gaston. Peut-être.
La chose qui avait de l'emprise sur lui le tira à l'intérieur sans qu'Arthur ne puisse rien faire. Il finit par se laisser aller de toute façon, il savait qu'il n'y aurait aucun échappatoire à la suite de l'histoire alors... c'était inutile. La lumière cependant était dérangeante. Forte, éblouissante, elle finit par l'aveugler... avant qu'il se retrouve la vue quelque secondes après avoir été entièrement englouti.
Sauf que la lumière lui a rendu ses yeux mais sans les cônes de sa rétine, lui laissant une sorte de vision nocturne puisque tout autour de lui... était en noir et blanc. Il se trouvait dans une grande pièce au milieu de nombreux objets anciens, les pieds ancrés dans du sable. En levant la tête lorsqu'il explora attentivement son regard autour de lui, il aperçu également de grosses araignées au plafond. Arthur n'en avait pas peur, mais il était persuadé que ces conneries pouvaient être venimeuse avec la chance qu'ils avaient. En revanche, un requin de 9 mètres ne l'avait pas bouffé, c'était pas pour caner à cause d'araignées.
Robyn et Gaston ne tardèrent pas non plus à le rejoindre, constatant la même chose que lui.
C'est normal que je vois le monde en gris déprimant ? Indiana Jones en noir et blanc c'est un peu nul. Et ici, faut faire quoi ?
Il s'approcha d'un de ses objets anciens... pour le faire tomber par terre, prenant étonnamment un petit malin plaisir à provoquer la personne qui était derrière tout ça. Alors ? Un truc veut manger mes tripes ?
Qui êtes vous ?
Un homme qu'il put reconnaître sans peine cette fois-ci sortit de l'ombre, arbalète à la main pointée vers eux, d'un air suspicieux.
Par quelle magie obscure êtes vous arrivé en ces lieux ?
Arthur aurait pu remarquer à quel point c'était incroyable de retrouver un film avec un tel réalisme comme le parc Harry Potter, quoiqu'ils étaient peut-être dans le film cette fois-ci... mais à l'heure actuelle, il était surtout exaspéré par la situation.
Attention y a un truc qui va vous buter. Enfin je dis ça pour vous hein, tous les types qu'on croise on dirait des PNJ d'un jeu vidéo sans aucun sens qui vont se faire buter donc faites gaffes. C'est surement plus important que de se concentrer sur notre identité
Helsing regarda Arthur de haut en bas. Vos paroles sont incompréhensibles. Qui. Êtes. Vous ? Ne m'obligez pas à répéter la question une troisième fois, tenta-t-il de l'intimider en concentrant l'arbalète sur lui précisément.
Lui commençait à perdre patience, craquant légèrement, ne désirant qu'une chose, en finir.
Je m'appelle Oliver Queen, derrière moi y a Luke Skywalker et la terrible Natasha Romanoff. Et vous ? J'parie sur Hawkeye. Ca tombe bien vous êtes potes.
Il toucha le bord de son chapeau pour le saluer en inclinant la tête respectueusement alors qu'il les avait menacé de mort trente seconde avant. Mauvaise pioche. Abraham Van Helsing.
Non mais, ils le savaient tous que... Arthur ne releva même pas le manque d'ironie.
J'ai été envoyé par le Vatican pour détruire la menace qui se cache entre ces murs. Et vous que ce que vous faîtes là, Monsieur Queen, en si bonne compagnie dans l'une des chambres secrètes de ce château ?
Bah la même chose. La Reine Padmé du royaume de Starling City nous a envoyé sur ordre du SHIELD, pour détruire, bah "la menace entre ces murs" quoi. Vous avez une piste ? Sur la menace et la porte d'entrée par exemple.
Il se contentait juste de dire tout ce qu'il lui passait par la tête.
Et cette reine Padmé règne sur quel pays ? Il était méfiant, puisque ne voyant que le Vatican dans son monde qui pouvait enquêter sur les affaires de ce type.
Elle règne sur une province en Bretagne, trois fois rien, toute façon son mari va la buter, elle a mal prié hier soir, le prêtre lui en veut beaucoup donc elle est maudite. L'exaspération le faisait vraiment craquer, mais il voulait juste en finir avec cette histoire ridicule.
Un bruit liquide déchira le silence autour d'eux et interrompit la conversation. Tous se tournèrent vers Robyn dont le bras saignait encore, alors qu'elle avait retiré sa main de sa blessure, affichant clairement la trace des crocs marquée dans la chair. Van Helsing s'était refroidi d'un coup. Que ce qui vous est arrivé ?
Robyn ne s'attendait pas à ce qu'on lui parle. ah je me suis faîte machouiller par un type transformé en gros loup dégueulasse. Et j'ai pas l'impression que ça aille b..."
Et elle mourut sur ces mots peu glorieux. Arthur avait juste fermé les yeux surpris par le coup de revolver qui était apparu dans la main de Van Helsing dans un mouvement de cape, qui avait tué Robyn purement et simplement dans un coup à la tête. Elle s'effondra sur le sol, un trou au milieu du front, évidemment morte.
Arthur soupira, vraiment exaspéré. Mais putain t'es sérieux ? C'était une des rares qui méritaient de rester en vie. Skywalker était immobile, tu pouvais largement lui tirer dessus. Il ne s'en cachait pas, c'était pas mal chiant que ce soit elle qui soit tué. Prévisible que quelqu'un meurt mais là c'était assez ennuyant.
Arthur s'était retourné vers Gaston pour constater si la poupée ne s'était pas pissé dessus, alors que les deux hommes virent Helsing, qui n'est pas en reste, faire un pas vers Robyn, baissant la main pour lui tirer un autre balle dans le coeur. Juste au cas où. Taré.
Il profita de la situation pour frapper sa main afin de lui faire lâcher l'arme avant d’enchaîner pour un con de point au visage. Helsing savait se battre, ce con. Il lui rendit son con bien plus fort que le sien, avant de s'expliquer.
Elle était condamnée. Si elle était restée en vie, elle se serait changée en autre chose. Et elle vous aurait tous tué. Ouais non, mais je gère mon cul tout seul, ducon.
Je suis certain que vous mentez. Depuis le début. Alors vous allez rester ici, le temps que je termine ce qui doit être fait. Et nous continuerons cette conversation à mon retour.
Il se retourna sans laisser plus de temps à Arthur pour réagir, posant la main contre le mur qui s'ouvrit légèrement, lui permettant de sortir en se refermant aussitôt derrière lui, enfermant Gaston, Arthur et le cadavre de Robyn qui se vidait de tout son sang par terre, le liquide se mêlant au sable pour bien coller aux godasses si on marchait dedans.
Évitant le sable rouge, il donna un coup à la hanche de la shérif, mais elle était morte de toute façon. J'espère que ton adjoint est pas nul, parce que c'est le nouveau shérif de Storybrooke.
Arthur soupira -encore- en levant les yeux au plafond -encore- et s'avança pour faire tomber un autre objet ancien qui se cassa sur le sol, se demandant si ça allait provoquer autre chose. Il finit par découvrir, en poussant un vase surement très précieux qui se brisa sur un autre vase très précieux qui se brisa à son tour, un grand sarcophage derrière, légèrement entrouvert. Si depuis le début il voyait toujours noir et blanc, il put cependant distinguer assez de détail dans l'ouverture pour reconnaître une main momifiée qui tenait une clé.
Ah, j'ai trouvé le truc suivant qui va vouloir nous tuer, fit-il à Gaston. Si on meurt... bah tant pis. Mais dis un truc, si tu veux avoir des dernières paroles sympa.
Parce que vu les conneries qu'il disait, ça devait pas être très glorieux pour le moment. Il plongea donc sa main dans le sarcophage, arrachant la clé en sachant qu'une merde allait lui tomber dessus. Evidemment, ce qui était attendu arriva, ce qui ne fut pas une surprise. La main cadavérique dégueulasse agrippa celle d'Arthur alors que le sarcophage s'ouvrit entièrement. La Momie avait son visage découvert, lui faisant penser à Imotep en plus dégueulasse encore, poussa un râle et se pencha vers Arthur.
T'es marrante toi, tu vas pas me tuer non. Connasse.
Il voulu retirer sa main, mais ce cadavre avait une étrange force remarquable dans les bras. Elle ouvrit la bouche, bien trop grande pour respecter l'entendement, sa mâchoire menaçant de se déboîter et finit par aspirer bruyamment quelque chose dans l'air. Devant l'aspirateur dyson qui lui faisait face, le poulpe finit par se tenir de son autre bras au sarcophage, plié sous la douleur qui lui accablait violemment les yeux alors qu'il ne voyait plus rien.
Merde.
▲ Libérez la bête et purgez nos rues !
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| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Panique (le démon vert)
Je préférais oublier tout ce qui venait de se passer, aller de l'avant était une bien meilleur idée. Tout ce qui se déroulait semblait être orchestré par quelqu'un, qui et pourquoi et comment était les trois questions qui avait le plus d'importance mais dont on n'aurait pas de réponse pour le moment, alors je les notais quelque part dans mon esprit pour passer à autre chose. Pour le moment je devais surtout me concentrer pour essayer de retrouver les autres,n'importe qui, j'espérais que personne n'oserait tué Pépé, j'avais beau ne pas être fan des enfants, ça ne voulait pas dire que je voulais qu'il se fasse bouffer par un loup garou où transformer en carpette par l'autre cruche divine.
"C'est pas possible."Cette forêt était bien trop grande à son goût ou alors elle était vraiment trop petite, je choisissait une nouvelle direction au hasard, tournais à droite, puis encore à droite, tournez ensuite à gauche mais je revenais de nouveau au point de départ, ça faisait maintenant cinq minute que je tournais en rond pour me retrouver à chaque fois devant cette énorme arbre sombre et tout tordus, peut être que c'était la clé du mystère ? Je devais surement arrêter de vouloir m'en aller et plutôt voir ce que cette arbre avait de si spécial ? N'ayant personne d'autre à qui demander son avis sur la question, j'haussais les épaules avant de me diriger lentement vers l'arbre.
"Et maintenant ?"Demandais-je à personne en particulier avant de lever la main pour la presser contre le tronc, soudain une porte s'ouvrit dans l'arbre et je reculais prudemment d'un pas ou deux juste au cas où, rien de dangereux ne semblait sortir de l’ascenseur à part peut être une de ces stupide musique qui semblait vouloir a tout pris vous agresser les oreilles et ne plus jamais vous quitter le cerveau avant de bonne heures voir trois jours après et celle qui se dégageait de la cabine ne faisait en aucun cas exception. Il y avait aussi des miroirs sur les parois et des barres en métal pour ceux qui ne savait pas se tenir en équilibre même à l'arrêt, j'entrais avec prudence tandis que la porte derrière moi se fermais et l'ascenseur commençait enfin son voyage vers le bas avec une lenteur extrême, tellement lente qu'un claustro-phobique aurait déjà pété un câble au bout de cinq minutes. La musique finit par changer et tout de suite je levais les yeux au ciel.
"Ça vient même pas du studio Universal !"Mais mes protestation tombèrent sur des oreilles de sourd car la musique ne changea pas, enfin pas tout de suite, oh non, ils semblaient bien déterminer à me faire souffrir vu avec quoi ils enchaînèrent."AH NON HEIN ! MERDE ALORS AVEC CE TUBE A LA CON."Je frappais les parois sous la colère mais rien ne se produisit, la cabine continuait son voyage dans les profondeur et la musique continuais de changer au fur et à mesure."Et moi qui pensais qu'on pouvait pas faire pire que la précédente."Je me collais face à la parois avant de donner de léger coup de tête dedans pour essayer de me distraire."Vous pouvez pas passer des musiques de film au lieu de cette merde ? C'est de la torture."Peut être que je devrais prendre note et torturer les gens dans le future avec ce genre de tube à la con.
Puis la cabine s'arrêta enfin tandis que cinq bouffon Britannique commençait à chanter à propos d'une nana qui ne sait pas qu'elle est belle, je donnais un coup de pied dans la parois d'énervement tout en étant contente que le voyage se termine enfin."Je sens que je vais vomir."La porte ne semblait pas s'ouvrir et l'ascenseur ne semblait pas vouloir bouger, par contre il semblait déterminer à passer de la merde en matière de musique."Changer d'artiste, la vous faites une fixation."Comme si quelqu'un avait finalement entendu mes plaintes, la musique s'arrêta tout d'un coup et une voix grésillante s'éleva dans la cabine."Un esprit frappeur semble hanté ces lieux. Veuillez rester dans le véhicule et attendre votre évacuation."Puis ce fut le silence complet avant que trois minutes plus tard, elle se répète et encore une fois trois minute après et encore une fois, personne ne semblait particulièrement presser pour venir évacuer cette ascenseur de l'horreur.
Je m'avançais donc vers les parois de la cabine pour tenter avec ma force d'ouvrir celle-ci pour enfin sortir, mais rien ne se produisit à part que les parois était devenu lisse, donc impossible pour moi de l'ouvrir. Je poussais un soupir agacée tandis que l'autre nana continuais de répéter inlassablement son message avant qu'enfin elle ne la boucle et que les lumières ne s'éteigne, je restait de marbre pendant quelque instant avant de tendre les bras pour essayer de toucher la parois mais mes doigts ne rencontrèrent que du vide, la cabine semblait s'être évaporé et je me retrouvais juste dans les ténèbres. Traînant les pieds et chantonnant l'une des chanson à la con des cinq crétins, j'essayais en vain de trouver quelque chose dans le noir, mais il n'y avait rien, rien du tout.
"And we danced all night to the best song ever...aaaarg non, ta gueule."Soudain une lumière m'aveugla et je me dépêchais de lever mon bras pour me protéger les yeux, restant le plus alerte possible pour éviter de me faire surprendre. Quelques secondes après l'immense lumière finit par disparaître et je baissais mon bras pour voir où je me trouvais, tout d'abord je remarquais que les couleurs avait disparue pour ne laisser simplement que du noir et du blanc, ensuite mes oreilles entendirent l'orage gronder à l'extérieur et qu'en baissant les yeux je notais que j'étais attacher à quelques chose de froid et dure, surement une table ou un meuble, j'avais beau gesticuler dans tous les sens, les ceintures qui m'accrochais à la table semblait bien résistante. Je jetais un coup d’œil à présent au reste de la pièce pour voir où je me trouvais, surement dans le laboratoire d'un fou furieux car il y avait tout un tas de bocaux remplis d'organe humain.
"C'est 50 nuances qui à mal tournée."Observais-je avant que je ne sente quelqu'un me faire un massage du cuire chevelus, non merci."Hey ho Christian Grey ! Arrête de me tripoter les cheveux."Aboyais-je tout en gesticulant sur la table pour que la personne arrête de me tripoter. Tout d'un coup, un http://myscreens.fr/wp-content/uploads/2014/07/le-nom-de-la-rose.jpg aux allure d'un chef d'oeuvre de Picasso fit son apparition dans mon champs de vision, m'observant avec un air intrigués tout en continuant de vouloir me toucher les cheveux, je fronçais les sourcils tout en tentant de lui mordre la main.
"C'est pas bientôt fini oui ? Laisse mes cheveux tranquille."Visiblement ce Christian Grey de bas étages était sensible car il pris peur et se mit à pleurer en se recroquevillant sur lui même, génial, c'était le bouquet."Oh pour l'amour du Styx."Ronchonnait-je tout en levant les yeux pour ensuite pousser un soupire agacée, il fallait toujours que je tombe sur des madeleines, c'était pas possible. "Hey...arrête de chialer t'es pas un bébé, si tu m'aide à me détacher de cette table, tu pourra me toucher les cheveux, mais pas longtemps hein ? Faut pas abuser non plus."Je disais ça le plus gentiment possible, un ton que je réservais habituellement à Autumn ou Sab mais la situation exigeait que je me montre la plus douce possible si j'espérais pouvoir me casser d'ici. Mon nouveau poto semblait comprendre ce que je lui disait car il releva ses yeux noir remplis de larme pour me fixer avant de secouer le plus rapidement la tête de gauche à droite, si bien que j'entendis un craquement, pour me signaler que ce n'était pas possible.
"Mais je peux pas rester là, j'ai des gens à retrouver, il faut que je rentre chez moi."Insistais-je auprès de lui."Aller, libère moi sinon c'est moi qui vais pleurer."Ça fait réagir mon copain car une larme coula le long de sa joue avant qu'il n'avance timidement ses mains en direction des sangles quand tout à coup il se jeta au sol alors qu'une voix inconnue s'élevait dans la pièce."Igor ! Pauvre idiot ! Écarte toi du sujet !"Et tel une larve Igor s'éloigna de la table pour ramper, sûrement en direction de son maître, finalement servir Hadès semblait bien mieux que ce pauvre type.
"Je vais vraiment pleurer là."Murmurais-je entre mes dents avant de lever la tête le plus possible pour tenter de voir où se trouvait le bouffon en chef.Hey !Je suis pas une expérience scientifique alors détachez moi, espèce de tarée."Des bruits de grincement se firent soudain entendre dans toute la pièce, j'en déduisait que le type avait des chaussures vraiment pas faite pour être discrète et qu'il se déplaçait à présent dans la pièce."Pas taré."C'est toi qui le dit mon gars."Mais visionnaire."J’espérais sincèrement qu'il n'allait pas se lancer dans un monologue à deux balles avec son petit ton fier, les monologues que j'écoutais sans trop protester c'était ceux d'Hadès, les autres eux pouvaient se brosser.."Tu es le sujet numéro un de mon expérience. Grâce à toi, je vais prouver au monde que la mort n'est pas une fatalité, mais le commencement d'une nouvelle vie. Tu seras mon oeuvre, ma solution. Tu devrais t'en sentir honorée."
Je tentais par tous les moyens de détacher les sangles."Non merci Frankenstein, je me sentirais plus honoré si vous me laissiez en vie."Ma force était vraiment inutile dans cette endroit, c'était un détail que je rajoutais avec mes trois questions importante dans un coin de ma tête."Sinon utiliser quelqu'un d'autre, je connais une cruche qui serait parfaite comme premier sujet, c'est une tarée à marteau, elle manquera à personne."Pour toute réponse il y eu un grand silence.
"Quand tu parles d'une tarée à marteau... Tu fais référence à une femme blonde à l'air féroce et armée d'un véritable marteau à l'aspect ancien?"Demanda-t-il, hésitant tandis je mon cerveau enregistrais ce qu'il venait de dire, et merde."Tu connais le sujet numéro deux ?"La situation aurait pu être hilarante dans n'importe qu'elle autre situation, mais si moi même et l'autre cruche on ne pouvait pas utiliser notre force pour nous en sortir, ça voulait dire qu'on était bien plus dans la merde que je ne le pensais à présent.
"Connaître est un bien grand mot, on c'est croiser une fois ou deux comme ça, je ne suis pas sa plus grande fan." J’espérais que la situation allait s'arranger, peut être que si je me débrouillais bien, Igor finirait par m'aider ? A voir.
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Gaston Hawk
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It's summer time !
| Conte : La belle et la bête | Dans le monde des contes, je suis : : Gaston
Non, « la poupée » ne s’était pas pissé dessus devant toute cette scène qui s’était déroulé devant ses yeux. Bon ok, la situation avait été flippante quand même. Il avait été pendant cinq minute en admiration devant le mec au chapeau qui avait une allure virile et impressionnante, jusqu’à ce qu’il tire sans crier gare sur la shérif. Une de moins, puis il était parti, Gaston se retrouvait en tête à tête avec Grumpy man. Génial. Celui-ci eut l’idée débile d’aller approcher cette momie dégueu, et voilà qu’il se retrouvait le bras agrippé par cette vieille lépreuse. Gaston ne put s’empêcher de rire, mais il arrêta vite quand il comprit que l’autre avait vraiment un souci. Il était maintenant aveugle. Et la momie s’agitait un peu trop.
Gaston attrapa la batte de la shérif, qui ne pouvait plus s’en servir maintenant, et s’approcha en vitesse de la momie. Il frappa fort…et Grumpy man hurla. Oups…Etait-ce parce qu’il voyait en noir et blanc ? Il rata sa cible, et la batte frappa le bras de l’autre aveugle. Bon ben comme ça, on était sûr qu’ils n’allaient pas se réconcilier. La momie sembla se foutre de sa gueule aussi. Elle avait ouvert les yeux, ils étaient de la couleur de ceux de l’autre, c’était flippant. Elle toussota en regardant la batte dans le bras de Grumpy man, et Gaston la retira. Pas le temps de s’excuser, de la poussière s’envolait de la bouche grande ouverte de la momie. Elle venait de relâcher le bras de l’aveugle, et se dirigeait maintenant vers Gaston pour l’attraper. Elle claqua plusieurs fois des mâchoires, ses dents grinçaient l’une contre l’autre. Extrêmement désagréable.
Gaston reculait, la momie continuait d’avancer vers lui. Il balançait des coups de batte dans le vide essayant d’afficher un air fier, mais en étant intérieurement peu serein. "Allez viens te battre sale mocheté ! Viens que je t’éclate ta tronche, ça t’arrangera !" Tout en continuant à reculer, et en se priant qu’elle disparaisse toute seule, en un miracle. La momie continuait à avancer, elle manqua de trébucher sur le corps gisant de la shérif. Gaston n’eut pas le temps de se moquer, il se retrouva à marcher dans le mélange sable-sang collant sur le sol, mais vraiment collant, il se retrouva embourbé dedans. La Momie se rapprocha de plus en plus, ses bras décharnés vers lui.
Gaston se prépara et lui asséna un coup de batte en pleine tronche. "Ahah ! on fait moins la….euh ?" Cette fois-ci il avait bien visé, mais cela n’eut pas l’effet escompté. La batte sembla s’enfoncer dans le corps de la momie. Elle était engluée dedans, un peu comme les pieds de Gaston collés au sol. Il s’acharna un instant à essayer de récupérer l’arme, en tirant dessus de manière acharnée. La Momie en profita alors pour poser une main sur son épaule, et une autre sur la mâchoire inférieure de Gaston pour le forcer à garder la bouche ouverte. "Gnaaa mouaaa gnu fais ?? Gaaaaête !" La Momie refit alors ce qu’elle avait fait plus tôt avec Grumpy man, elle prit une trèèès grand inspiration, bouche grande ouverte elle aussi. Du sable voleta dans les airs, et Gaston sentit alors une violente douleur à l’intérieur de sa bouche toujours maintenues en position ouverte. Cela dura un instant, quelques secondes seulement…
Quand ce fut fini, la Momie toussota un difficilement compréhensible « merci », tout en passant sa nouvelle langue sur ses dents restantes et jaunies. Sa nouvelle langue ! Non ! Gaston ouvrit la bouche, il essaya de parler, de crier, il s’agitait dans tous les sens, mais rien ne sortait, pas un son ! Non ! Il ne pouvait pas être muet, comment allait-il pouvoir baratiner ?? Il regarda la momie, qu’allait-elle faire ensuite ? Récupérer la poitrine de la shérif ?? Mais non, la Momie se contenta de... se transformer en une centaine de scarabées bleu brillant qui vont s'effondrèrent sur le sol et qui se mirent à courir dans tous les sens et disparaître. Sous le regard dégouté de Gaston, mais qui ne put pas dire « yeurk ».
La Momie avait ainsi disparu, comme ça, après avoir volé des yeux et une langue. Saleté. Gaston, muet, regarda autour de lui effaré. On avait une morte gisante au sol, un muet, et un aveugle au bras ensanglanté qui pestait en se tapant un peu partout. Gaston ne tenait plus, il fallait qu’il sorte, ne plus parler le paniquait, il allait devenir fou dans cet endroit clos. Il fallait qu’il fasse quelque chose pour se sortir. Il se souvint qu’il y avait une clé, qui elle n’avait pas disparue avec la momie, alors que la batte oui. S’il y avait une clé, il y avait bien une foutue serrure.
Il réussit à dégager ses pieds du mélange gluant, et se mit en tête de fouiller cette espèce de grotte de fond en comble. Mais soudain, il sentit quelque chose lui agripper la cheville. Ah non, ça n’allait pas recommencer hein ! Sous les yeux effarés de Gaston, le cadavre de Robyn se releva violemment en position assise. Et elle se mit à hurler : "PUTAIN DE BORDEL DE MERDE!" Elle adressa des regards paniqués tout autour d'elle, en prenant des grandes inspirations comme si elle avait du mal à respirer. Elle avait une tâche rouge sur le front, mais la blessure par balle semblait avoir disparu. Gaston était comme paralysé, comment pouvait-elle être en vie ? C’était quoi ce bordel, un zombie ? "Que ce qui s'est passé ? Je suis morte ? C'est ça le paradis ? Pourquoi ça craint autant ? Ils sont où les oréos géants et les fontaines de chocolat chaud?" Elle releva la tête vers Gaston: "Il est où le con au chapeau qui m'a tiré dessus ?" Elle semblait pour le moment normal, outre le fait qu’elle venait de ressusciter…Gaston secoua sa cheville pour qu’elle le lâche, puis il ouvrit la bouche pour lui expliquer la situation…ah ba non, il ne pouvait pas.
Il soupira, et essaya alors de mimer le tout, de manière un peu ridicule et maladroite. Il s’agitait dans tous les sens. Il essayer de lui expliquer la situation, mais aussi de lui demander, bordel, comment cela se faisait qu’elle était en vie ! Elle le regarda s'agiter, sans rien comprendre. "Calme tes ardeurs, Musclor ! Et utilise tes mots parce que les mimes c'est pas mon truc." Mais elle capta assez vite qu'il ne pouvait plus parler. "Attends... quelqu'un t’a tranché les cordes vocales ?" Elle regarda quelque chose derrière lui. "Et pourquoi Grumpy arrête pas de se cogner contre des trucs ?" Elle essaya ensuite de se relever... mais entre temps, elle se rendit compte que son bras est de nouveau... intact ! "Putain... J'y comprends rien..." Elle vérifia l'autre bras au cas où, en se disant qu'elle s'était peut-être gourée de côté.
Gaston soupira, il arrêta de s’épuiser avec ses gestes, et il lui désigna Grumpy dépité, sil elle voulait parler à quelqu’un elle avait qu’à aller le voir, lui il avait encore sa langue au moins. Il bougea pour commencer sa quête de la serrure, et commença à farfouiller autour. S’occuper, pour ne pas paniquer, et pour calmer ses nerfs. Une fouille minutieuse. Pendant son tour, il entendit de l’autre côté d’un mur des bruits. Il approcha l’oreille, c’était comme si quelqu’un était là, juste derrière. Et cette personne se mit soudain à hurler, comme si on la brûlait vivante. Gaston recula de la paroi, le cœur battant, le sang glacé. Il laissa ce mur pour l’instant, et alla chercher vers un autre coin. Il tomba face à un grand miroir ancien. Il se regarda un instant dedans, il avait une tête affreuse et ce mélange de sang et de liquide blanc de loup-garou n’arrangeait pas le portrait…vivement la douche !
Il regarda autour du miroir, puis derrière, et se qu’il vit le ravit. La batte de la shérif qui avait disparue avec la momie était là. Il se pencha pour la récupérer et se fit soudainement crier dessus. "Mais que ce que tu fous avec Lucille ? Lâche là, elle ne supporte pas quand n'importe qui la touche !" Lucille ? la batte ? comment ça elle ne supporte pas ? C’est un objet, n’importe quoi…ou alors ? serait-ce pour ça qu’il avait raté son premier coup ? Bref, il regarda la shérif d’un air blasé, qui se relevait difficilement, ses jambes tremblant un peu.
Codage par Libella sur Graphiorum
Emmet Miller
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| Avatar : Chris Pratt ♥
« On est prisonnier
du Temps... ? »
« Qu'importe, vue qu'on l'est
tous les deux... ! »
| Conte : Inventé ϟ | Dans le monde des contes, je suis : : Je viens du monde réel. ϟ
J'étais plongé dans le noir. Que dis-je ! On était plongé dans le noir. Car Rocky se tenait toujours à proximité de moi. Je ne le voyais pas, mais je le sentais. Tout comme je sentais diverses mains se poser tout contre mon torse. Il y avait des murmures tout autour. Je ne comprenais pas ce qu'ils disaient, mais on aurait dit des voix de femmes. C'était perturbant et dérangeant ! Je tentais de me défaire de ces mains qui se collaient à moi, mais c'était peine perdu, car elles insistaient. Je me dégageais du mieux que je pouvais en reculant.
Des lumières s'allumèrent. Tout autour de moi, ou plutôt de nous. Ce qui m'entourait était en noir et blanc. Rocky se trouvait au pied de ce qui devait être un lit, quant à moi, j'étais allongé dessus, mais à la verticale. Car le lit lui même l'était. On était entouré de bougies et de murs en pierre. Il n'y avait pas de mains sur moi mais des forment qui se mouvaient sous les couvertures. Trois formes distinctes. Trois femmes. J'ôtais le drap. Dessous, il y avait rien. Je tentais de quitter le lit, mais je me sentais comme attirer vers lui une nouvelle fois. Qu'est ce qui m'arrivait ? Rocky tentait d'y voir plus clair en grattant le bord du lit. Ca n'aidait pas, mais comme ça il participait.
Je sentis une nouvelle fois des mains invisibles sur mon torse. Est ce que ça servait vraiment à grand chose de se débattre ? Jusqu'à présent, toute tentative avait été inutile. Alors autant se laisser faire et on verrait bien. Au début, ce fut délicat. De douces mains qui me caressaient le torse. Non, je n'imaginais pas Melody. Absolument pas ! Car si ça avait été elle, ça aurait sans doute était brutal. Elle avait toujours le don de rendre chaque situation un peu plus violente que la normale. Tout à coup, des ongles s'enfoncèrent dans mon épaule et me firent pousser un râle. Là, ça pouvait très bien être Mel... Je vis une main, puis des ongles descendre le long de mon torse et laisser une trainé de sang sur leur passage, provenant de ma plaie à l'épaule. Une nouvelle fois je tentais de me débattre.
« Détends toi... profite juste de l'instant. »
D'autres bras m'entourèrent et tentèrent de me détendre, mais c'était peine perdue. Comment pouvais-je me détendre ou encore me laisser faire tandis que j'avais une trainée de sang sur le corps et une main, ainsi qu'un long bras pale qui me faisait souffrir, tout contre mon torse ?
Quelque jours plus tôt...
« C'est pour une personne. » précisa la sirène en m'observant, les mains appuyés contre l'évier.
Ca faisait quelque jours qu'on habitait ensemble. Elle était venue loger chez moi, dans mon nouvel appartement. Ca changeait, car pour une fois, c'était elle qui squattait et non moi.
« Ca n'empêche pas. Rocky vient aussi. » répondis-je, tandis que le monsieur leva la tête de son pot de mayonnaise, en se léchant les babines. « Faut qu'il fasse un peu d'exercices. Ca lui fera le plus grand bien. »
L'air frais, la marche... c'était ce qui manquait à mon pote raton laveur. Depuis qu'on avait pris cet appartement, il restait pratiquement toujours à l'intérieur. Ca allait devenir un pantouflard, si il ne se bougeait pas. Peut-être que moi aussi. Car si il était toujours ici, je l'étais également. Cela dit, j'avais une excuse ! Je lui tenais compagnie...
« T'arriveras à survivre sans moi tout un week end ? »
Elle leva un sourcil. Ok. C'était une question débile. Elle avait survécue jusqu'à aujourd'hui sans moi. Et puis de toute façon, si on restait toujours collé l'un à l'autre, on finirait par devenir l'un de ces vieux couples. Mieux valait qu'on s'accorde du temps libre, loin l'un de l'autre. Pas tous les jours, mais de temps en temps. Et puis, une invitation dans un nouveau parc à thème, ça ne se refusait pas.
« Je prendrai un sac à dos. »
« Ok. »
« Et de quoi manger, au cas où y'aurait rien de bon sur place. »
« Ok. »
« Faudra aussi que je pense à de la mayo pour le petit. Le trajet risque d'être long. »
Cette fois ci, elle ne me répondit pas. Ce qui fit, que je restais quelques instants à l'observer, comme si j'attendais quelque chose.
« O - K . » prononça t'elle distinctement.
J'hochais la tête satisfait. Ca me rassurait d'entendre l'unique mot qu'elle prononçait pour me faire comprendre qu'elle était... "ok".
« J'ai mon portable avec au cas où. Et garde celui que je t'ai offert à proximité. Ne le met pas dans l'eau cette fois ci... »
C'était le je ne savais plus combientième portable que je lui offrais... Elle ne pensait jamais à ne pas plonger dans l'eau sans le retirer auparavant. C'était pas une personne qui aimait tout ce qui était technologie. A croire que les portables n'étaient pas fait pour les sirènes. Si j'en croiserais une autre un jour, je lui demanderais comment elle faisait. En attendant, je sentais des caresses tout contre mon corps et j'ouvris les yeux.
On était revenu au jour d'aujourd'hui. Je m'étais juste perdu dans mes pensées, me remémorant à quel moment j'avais décidé que je prendrais ce billet pour venir jusqu'ici. Je ne risquais rien. C'était un cadeau et un voyage qui me permettrait de me détendre. Comment aurais-je pu deviner que je me retrouverais ici, dans ce lit, avec ces mains tout contre moi. J'avais beau tenter de me débattre, je sentais toujours la pression de leur bras sur moi et ma blessure à l'épaule. Si seulement quelqu'un pouvait arriver pour me sortir de ces vacances cauchemardesques...
« C'est très gentil les filles, mais ça ira... » dis-je en tentant d'en dégager une avec ma main valide.
Mais elle s'empressa de poser sa main dessus et de m'embrasser le poignet tout en me forçant à le poser à plat sur le lit. C'était quoi leur délire ? Je vis enfin leur visages. Trois jeunes femmes. L'une brune, l'autre blonde et la dernière rousse. Voilà qu'elles se mettaient à m'embrasser sur tout le corps. C'était quoi leur délire ? Je tentais de me défaire de la rousse, tandis que la blonde s'approcha un peu plus de moi, pour m'embrasser sur le torse. Elle avait arraché mon haut, de manière à ce que mon sang s'écoule, mais directement sur mon torse cette fois ci.
« Stop ! » leur hurlais-je dessus en me débattant encore une fois.
C'est qu'elles en avaient de la force ! La brune s'approcha à son tour et se mis non plus à m'embrasser, mais à me lécher le torse. Me lécher la partie où le sang coulait. Quand elle releva sa tête, elle vit mon air écœuré, tandis que je vis ses deux dents pointues. A bien regarder, elles en avaient toutes les trois. C'était pas des femmes. C'était même pas des humaines. Du coup, il n'y avait pas de mal à tenter d'y mettre plus de force et voir même de donner des coups. En espérant que cette fois ci enfin, ça les ferait céder !