« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Vous n’allez pas me dire qu’on était pas dans un jeu vidéo sérieux ? Le village, la bouffe, les soins, la marche en forêt et l’autel entouré de statue ! Bon je n’arrivais pas bien à mettre un nom précis sur le scénario mais ça sentait fort bon les quêtes à retrouver et à valider ça. On venait de franchir le point de sauvegarde et on attaquait une nouvelle partie de l’histoire ! Bon au moins on n’avait pas fait disparaitre Loupiot, personne n’avait décidé de faire un reset de la partie et il ne manquait aucun des personnages à l’appel. Je tendis mon index devant moi pour compter pour m’en assurer, au cas où, mais ils semblaient tous bien présents ; même le PNJ récupéré au passage était de la partie. Comme quoi faut toujours en prendre soin quand on joue, ils peuvent être très utiles et avoir des talents cachés ! Comme faire la cuisine quand personne d’autre ne s’y colle. Ou entrer dans une maison abandonnée et en ressortir avec un ordinateur comme si c’était parfaitement normal en forêt ! Je ne savais même pas si cet endroit captait l’électricité, alors la wi-fi… Mais comme tout le monde semblait se dire que c’était normal, je pris le parti de me mordre la lèvre pour ne rien dire. La logique avait un peu foutu le camp depuis un moment de toute façon alors, autant prendre comme ça venait ?
Je posais les yeux sur l’ordinateur que la grande blonde venait d’abandonner. Hmm… Personne n’était volontaire ? Sérieusement ? On allait le laisser de côté sans rien faire, ni même essayer ? « Moi j’sais allumer un player sur les ordinateurs. » Commentai-je tout haut et, remarquant que personne ne semblait s’intéresser à la vieille machine, je décidai de m’y lancer. C’était ça ou explorer une maison hantée alors tant qu’à faire, je préférais me raccrocher à la technologie un peu plus moderne quand même. Attrapant l’ordinateur, je m’installai à même le sol en tailleurs et vit le loup se poser à côté de moi. Je rouvris l’écran et tombait sur une page noire avec pour seule indication : password ? Je haussai un sourcil. « Ils ne pouvaient pas faire plus imaginatif ? Copier NCIS, quelle honte… » J’essayai un mot, puis un second… « Bon, pas flamenco non plus… Brasero peut-être ?... Saltimbanque ? Domino ? » J’essayai encore quelques mots avant de pousser un soupir et d’appuyer simultanément sur plusieurs touches pour faire apparaître une petite fenêtre noire bordée de blanc. Pianotant plusieurs phrases de codage, je validai et pu enfin faire apparaître le bureau principal… Et sa collection de fichiers classés dans un joyeux bazar monstrueux. « Et bien voilà ! Tu vois quand tu veux ! Au passage, chihuahua c’est vraiment on mot de passe pourri… »
Bon, et maintenant, je faisais quoi ? Levant le nez vers les autres, occupés à se disputer ou bien à réfléchir entre eux, je rebaissais les yeux vers l’écran. Trouvant rapidement le menu et avisant des centaines de fichiers, je décidai de me concentrer sur les derniers fichiers ouverts. Dans les séries policières ils faisaient toujours ça : consulter les derniers appels ou le dernier numéro ! A tous les coups ça fonctionnait donc, pourquoi ça ne serait pas le cas ici ? Décidant de faire confiance au flair irréprochable des séries américaines, je cliquai sur un dossier, puis sur un fichier dénommé « pierre magique » « Le type qui avait cet ordi manque cruellement d’imagination… Ca peut pas être une femme ça c’est sûr. » Ronchonnai-je en fixant le loup, attendant que le logiciel ne se décide à me révéler ce que le fichier contenait. « Pierre magique, de couleur jaune… Dimensions on s’en fout mais ça à l’air de ressembler à un poing humain. » Je fermai mes doigts pour aviser de la taille que ça faisait. Oui mais si c’était le PNJ qui le fermait ce n’était tout de suite pas la même dimension ! Comment on faisait pour savoir laquelle était la bonne ? On tirait au hasard et on priait pour que ça marche ? … ça me plaisait je faisais souvent ça en général. L’aléatoire et la spontanéité, il n’y avait que ça de vrai dans la vie ! Esquissant un soupir amusé, je repris ma lecture : « Magique, oui sinon tu n’aurais pas appelé ton fichier comme ça, permettrait de soigner une maladie rare apparue il y a quelques dizaines d’années… Condamne les gens… Aucune guérison… Pierre magique la solution ? Guérirait toutes sortes de maladie… Pas la connerie visiblement, mais soit. Introuvable. » Oh, vraiment ? Ca sonnait un peu comme une elixir de jeunesse ça, non ? Nicolas Flamel, Harry Potter et Voldemort, toussa… On allait basculer dans le monde des sorciers ?! Vite, je voulais une cape verte moi, et une baguette ! J’avais toujours rêvé d’une baguette !
J’entendis un grand bruit de craquement provenir de la maison et sursautai. Ah bah, qui avait déjà brisé la pierre philosophale ? Je pinçai mes lèvres avant de voir que quelqu’un entrait à l’intérieur pour aviser des dégâts ; tant mieux pour une fois ce ne serait pas moi qui allait me faire gronder ! Ca changeait ! Souriant soudainement, je fermai le fichier sur la pierre et m’intéressai aux documents suivant. « Fleur brillante… Sérieux mais il s’ennuyait à ce point que même son cerveau avait pris des vacances ? » Je sentais que ça allait devenir kitch tient. Cliquant à l’aide du workpad dessus je vis apparaître un texte couplé de photographies de terre, de graines, puis de bourgeons et d’une fleur opalescente. Il s’improvisait jardinier ? « L’ai planté… Ne sait pas à quoi elle sert… C’est vrai que l’expression « culture de l’inutile » prend soudain tout son sens ! Porte bonheur ? Plante vivante ? Porte malheur ? Symbole de mauvais œil ? Empoisonneuse ? Guérisseuse ? Permettant de prendre possession d’un hôte ? Et pourquoi pas Terminator aussi ? » Je poussai un soupir peu convaincu en regardant à nouveau une photo. « Moi tout ce qu’elle m’inspire, c’est la plante de Raiponce… Pourquoi il a pas essayé de la manger ? » Je remarquai qu’un homme venait de revenir vers nous, tenant une plante dans ses mains qui ressemblait étrangement à celle des photos. Il était fort en plagiat, ou bien il n’y avait pas assez de texture pour que les deisgners remette la même de partout sur la map ? « A ne surtout pas déterrer, risque de déploiement de ses pouvoirs néfastes… » J’écarquillai les yeux, relevant le nez vers l’homme. L’ordinateur. L’homme. L’ordinateur. « Spécimen unique, mort assurée si n’est plus en terre. »
Je bondis aussitôt, repoussant l’ordinateur sur le côté pour me précipiter vers Nolan et lui retirer la fleur des mains. « Laissez passer, urgence printanière ! » M’excusant quand même auprès du gars, je sorti précipitamment de la cabane et m’agenouillai sur le sol. Grattant la terre à toute allure, j’essayai rapidement de faire un trou pouvant la supporter. « T’inquiète pas, j’ai pas la main verte mais je sais creuser. Un peu. On va te replanter tu vas voir ! Mieux que la chirurgie esthétique, t’auras une petite cicatrice mais rien de méchant okay ? Promis ! » Je la levai devant moi après une minute à gratter le sol et m’apprêtai à la remettre en terre… Lorsque ses racines se mirent à bouger de manière totalement autonome ! Que quoi ? Vivante ? Ayant un léger mouvement de recul je vis alors les racines s’enrouler d’abord autour de mon poignet puis progressivement grimper sur mon bras. Mon épaule. Je me relevai dans un bond en voyant qu’elle s’étendait désormais sur mon torse et il ne lui fallu que quelques secondes pour recouvrir jusqu’à mes hanches, puis mes jambes ! « Euh, Houston ? On a un problème… » Couinai-je en m’immobilisant, les bras tendu autour de moi de peur que cela ne la fasse encore réagir. Les racines ne serraient pas vraiment, elles étaient juste accrochées. Bien accrochées même, car quand je tentai d’en retirer une elle s’allongea comme un élastique et revint illico en place. Bon, c’était quoi ça encore ? Un truc extraterrestre ? Ca serait pas étonnant après l’autel et les statues…
« Qui a activé la porte des étoiles de Stargate ? » Demandai-je en fixant ceux qui étaient désormais dehors à regarder la catastrophe. J’allais encore me faire taper par Lara moi… « J’ai rien fait j’ai juste voulu la replanter ! » Je désignai du menton la fleur encore brillante qui se trouvait au niveau de mon avant-bras droit, tranquillement installée. « Tu veux pas retourner en terre ? Je te promet que tu y seras bien tu verras. Une petite cure thermale en bain de boue, ça va rafermir tes pétales ! » La plante bougea un peu comme si elle comprenait le sens de mes paroles et j’eu l’espoir, un instant, qu’elle allait obtempérer. Perdu, elle bougea ses racines comme pour mieux s’installer et je les sentis entourer l’une de mes paumes, se glissant entre mes doigts. Brr… « J’espère qu’elle a pas touché à ma guitare, j’en ai besoin… » Mais après rapide vérification, il s’avérait que non. Ouf. C’était déjà ça de gagné, ou presque. « Quelqu’un peut aller regarder sur l’ordinateur et me dire comment on enlève cette plante ? » C’était un peu tout ce qu’il me restait comme option, puisque je venais de tenter de la chatouiller sans que ça n’ai le moindre effet. Qui ne tente rien n’a rien, hein ! Mais vu les regards qu’ils s’échangèrent, je déduisis que personne n’avait la moindre idée de quoi faire… ou presque. « Laissez-moi deviner… Personne n’a jamais déterré cette plante ni tenté de la replanter, n’est-ce pas ? Ca m’apprendra à jouer les apprentis jardiniers, je savais que je n’avais pas la main verte en plus ! Elle est rose, comme tout le monde. Et je suis en train de me transformer en Groot alors, pas que l’idée ne soit pas cool… Mais quelqu’un saurait quoi faire ???!!! »
Un peu plus et j’allais devenir un refuges pour animaux et plantes abandonnées ambulant.
* * * * *
Antropy : 90% Loupiot : 75%
Expérience : 2 points + 55% Objets : Une guitare , une boîte d’antidouleurs, une rapière... Et une plante lumineuse
Tout le monde s'était précipité sur elle alors qu'elle venait de se faire tirer dessus. Mais c'est Nolan qui agit le premier en la relevant et en l'amenant un peu plus loin, à l'écart de tout le monde, histoire de la soigner. Elle le laissa donc faire, restant adossée contre l'arbre, avant qu'il ne lui dise de se reposer. Sérieusement ?!? Ils étaient poursuivis par une bande de psychopathes et elle voulait qu'elle se repose ?!?
- Non, mais... Attends moi !
Mais c'était trop tard, il était déjà parti après l'avoir embrassée. La princesse soupira donc, avant de se relever, se sentant déjà beaucoup mieux. Elle retrouva donc le petit groupe devant un ordinateur, lorsque Nolan revint avec une plante lumineuse. C'était quoi ce truc ?
- J'aurais été toi, j'aurais laissé ce truc à sa place...
Bon, en tous cas, la plante lumineuse n'était plus dans les mains de Nolan mais dans celle d'Antropy. Et elle commença à se déplacer pour se poser sur son bras. La brune lança donc un regard en coin au Chasseur, se demandant bien ce que la plante allait faire. Non parce que si elle était du genre carnivore...
Il fallait donc agir rapidement non ? Snow s'empara alors d'un de ses couteaux discrètement, avant de tourner son regard vers l'ancien tigre, en lâchant :
- Désolée Antropy, mais je ne veux pas qu'elle te mange !
Elle leva alors le couteau et l'abattit de toute ses forces vers la plante. Sauf qu'au lieu de couper la plante et bien... Elle se fit expulser 5 mètres plus loin en arrière, tombant sur l'herbe fraîche de la forêt...
- C'est quoi cette plante mutante ?!?
Bon d'accord, gardez à l'esprit de ne plus s'en approcher. En tout cas, elle s'était pris un séreux coup sur l'arrière du crâne en tombant et elle saignait... Elle retourna donc auprès de Nolan, lui rendant sa hache, en disant alors :
- Tu as bien fait de lui refiler au moins, c'est pas toi qu'elle mangera !
Il fallait voir le côté positif, non ? Elle lança donc un regard désolé à Antropy. En tout cas, pour elle, il n'y avait rien d'autres de vraiment utile dans ce coin ci de la forêt. Elle soupira alors, tout en reprenant la tête du groupe, Nolan près d'elle. Mais au bout d'un moment, elle ne pût que constater quelque chose : ils tournaient en rond depuis un moment. Elle retourna donc vers Rosalie, lui demandant la carte, la tournant dans tous les sens. Il y'avait un problème...
- On est plus du tout sur la carte...
Bon, il faudrait donc retrouver le nord, ce qui serait déjà plus facile pour se situer. Elle sourit donc à Nolan, amusée. Parce que le Chasseur lui avait apprit à se repérer en forêt par le passé en la poursuivant. Elle mit donc son index dans sa bouche puis le leva, histoire de chercher la direction du vent. Mieux valait être face au vent pour éviter que les créatures peuplant les lieux ne les sentent.
- Finalement, il faut croire que jouer à cache-cache et au jeu du chat et de la souris ça peut être utile... Hein Nolan ?
Elle alla finalement près des arbres, regardant l'orientation de la mousse. Et rapidement elle retrouva le nord et reprit donc la tête du groupe, sûre d'elle. Et après un long moment de marche, ils retournèrent vers le camp.
- On n'est plus perdu déjà ! Maintenant, voyons la carte !
Quelque chose lui sauta alors aux yeux. Sur la carte, elle pouvait voir un gros point rouge non loin. C'était là que devait se trouver le point le plus important non ? 'Mais plus les minutes passaient et plus Mary Margaret avait l'impression de tourner en rond. Elle décida donc de s'arrêter, avant de voir une silhouette, un peu plus loin.
- Tous aux abris !
Sans même attendre une seconde de plus, l'homme tira alors une balle que Mary Margaret n'eut pas le temps d'éviter. Mais ne disait-on pas jamais deux sans trois ? t puis il fallait croire que sa journée était totalement merdique puisqu'elle glissa sur une flaque de boue, tombant dedans. Bon niveau camouflage, ca pouvait peut être marcher non ?
A priori non, puisque l'autre homme venait de lui tomber dessus - littéralement - et qu'il commençait à l'assommer avec son pistolet. Non mais il était malade ce mec ?!?
Expérience : 60% (level up) MM : 70 % de vie Arc + carquois remplis de flèches Pistolet avec munitions 4 couteaux
Eloise A. St-James
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Eva Green
| Conte : Hercules | Dans le monde des contes, je suis : : Athéna
Les infos commençaient à pleuvoir et ils en apprenaient un peu plus sur le possible endroit où le groupe de cinglés allait tenter de sacrifier la femme à la pierre. Eloise laissa le groupe discuter et alla fouiner un peu dans le camp, cherchant à trouver des armes pour remplir un peu plus son arsenal qui n'était composé que de couteaux pour le moment. La déesse trouva rapidement ce qui ressemblait à un glock 9mm avec des munitions. Un sourire ravi naquit sur ses lèvres quand elle le prit en main et le rangea sur elle. Puis elle trouva divers matériaux qui lui seraient sans doute utiles pour la suite.
Quand le groupe démarra, ils mirent du temps à arriver à destination car la Princesse n'était pas très douée avec l'orientation. Quand ils trouvèrent l'autel, un coup de feu résonna et Mary-Margaret fut touchée. Ça aurait pu être marrant si leur survie ne dépendait pas de la présence de tout le monde en bon état... Par la suite, Rosalie trouva des morceaux de carte et les apporta à Jonah, ayant sans doute retenu le fait qu'il valait mieux confier les cartes à ceux d'ici. Le groupe suivit son nouveau guide et ils débarquèrent près d'une cabane. Les gens entrèrent tous à l'intérieur et la déesse chercha l'entrée d'une cave ou d'un truc y ressemblant. Mais elle ne trouva rien, jusqu'à ce que son regard se porte sur un petit local à l'extérieur. Curieuse, la déesse y alla rapidement et dut s'y reprendre à deux fois pour crocheter la serrure.
Mais à l'intérieur, c'était le noir complet... Aussi fabriqua-t-elle un moyen d'éclairer tout ça avec les matériaux qu'elle avait pris au camp de Jonah. Enfin, elle tenta... Parce que la jeune femme ne parvint pas à ses fins. Elle réussit à faire des petites étincelles qui lui montrèrent du matériel de jardin dont elle se saisit rapidement. Parce qu'entre temps, Eloise avait entendu Antropy gueuler qu'il fallait lui retirer la plante... Il s'était encore fourré dans quoi celui-là ? En attendant, la guerrière décida de fabriquer un truc pour aider le guitariste. Elle réussit à faire une fourche, espérant que la plante s'agripperait là-dessus plutôt que sur le chanteur. Mais quand elle rejoignit les autres et qu'elle tenta de placer la fourche sous la plante, elle fut projeter dans les airs à cause d'une espèce de dôme protecteur autour de la plante.
- Merde. Grinça-t-elle quand elle se releva, se frottant discrètement le côté, s'étant mal réceptionnée.
Par la suite, Eloise suivit tout le groupe sans poser de question, se demandant encore ce qui protégeait la plante, vu que la magie n'était pas censée exister dans ce monde. Quand ils arrivèrent au milieu de nulle part et que Mary-Margaret leur cria de se mettre à l'abri avant de se faire encore tirer dessus, la brune oublia tout le reste. Elle sortit son arme et s'apprêtait à viser quand on la blessa dans le dos. La déesse grimaça de douleur mais tenta tout de même de viser l'homme qui s'en prenait à la Princesse. Non qu'elle appréciait celle-ci, mais ils devaient se serrer les coudes ici... Sauf qu'Eloise, distraite par sa douleur dans le dos, manqua sa cible. La balle eraffla même Mary-Margaret. Bon, c'était pas prévu ça au départ, mais après tout...
La déesse décida par la suite de changer de cible, ayant un compte à régler avec l'homme qui l'avait blessé. Mais là encore, elle se manqua... Une certaine colère commença à s'emparer de la jeune femme face à tant de mal chance. Merde, depuis quand elle ne savait plus tirer ?!!! Son agresseur recommença à la viser mais cet abruti la rata et glissa dans une flaque de boue, comme le gros c*n qu'il semblait être. Un "crac" se fit entendre et Eloise eut un sourire mauvais en voyant qu'il s'était fait une fracture ouverte de la cheville. Avec ça, il allait les laisser tranquille non ? Peut-être pas... En le voyant remuer, Eloise soupira. Mais un homme de Jonah vint lui filer un coup de main en cognant le type au sol. Cool... De mauvais grâce, la guerrière lui adressa un hochement de tête en guise de remerciement. Fallait pas trop en demander non plus... En voyant son agresseur qui recommençait à bouger, n'ayant pas compris la leçon, Eloise leva son arme et le toucha au genou, lui tirant un cri de douleur au passage.
- Sois gentil, reste tranquille...
Eloise : 90% Expérience : 1 point et 20% Ennemi : 60% Objets : 7 couteaux, 1 kit de soins majeur, des munitions, une arme et des matériaux
*Violette Parr
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Danielle Campbell
*Quelle belle bouche. STOP ! ARRETE DE PENSER*
| Conte : Les Indestructibles | Dans le monde des contes, je suis : : Violette Parr
La carte dans les mains de Jonah conduisit le groupe nouvellement formé vers une petite maisonnette en ruine. Rosalie suivit une partie de groupe qui avait décidé d’entrer dans la maison qui semblait complètement abandonné. Et pourtant, dans la deuxième pièce qu’ils visitèrent, il y avait un ordinateur !! Un ordinateur qui semblait fonctionner. C’était trop bizarre ! Elle prit sa mitraillette, prête à défendre si jamais quelqu’un arrivait. Car pour elle, c’était trop bizarre qu’un ordinateur soit là. Allie essaya d’accéder à la session utilisateur de l’ordinateur. Malheureusement il y avait un mot de passe…ça c’était logique ! La blondinette n’arriva pas à trouver le code et abandonnant assez rapidement. Elle sortit même de la pièce pour se rendre dans la première…Ok. Un peu rapide. L’ordinateur contenait certainement des informations importantes !! Il ne fallait pas abandonner. Alors Rosalie allait se proposer mais Opy’ fut plus rapide. Et c’était mieux ainsi. En effet, Rosalie savait utiliser un ordinateur…mais de là à trouver un mot de passer ou hacker un ordi, non. Rosalie observa Antropy faire. Elle se mit derrière lui, observant par-dessus son épaule. Après plusieurs essais, il trouva le mot de passe. Rosalie lui fit une petite tape amicale sur son épaule en le félicitant. « Yeah ! Bien joué ! » En tout cas, c’est clair, le mot de passe était pourri ! « Il doit y avoir des documents intéressants ! » Face aux remarques du rouquin, Rosalie ne put s’empêcher de sourire. D’un côté il n’avait pas tort. La personne à qui appartenait cet ordi ne cherchait même à cacher ses fichiers dans son ordi ou à les renommer. Apparemment il avait une confiance aveugle en son mot de passe. Dommage pour lui, Opy’ l’avait trouvé ! Et c’était tant mieux pour eux car il y avait plusieurs informations. D’abord sur une pierre magique…puis sur une plante un peu bizarre. Sans aucun mot, contrairement à Antropy, Rosalie lisait les notes et regardait les photos qui s’affichaient sur l’ordinateur. Tout d’un coup, Nolan revint avec une plante dans les mains…une plante qui justement ressemblait à celle qu’ils avaient vue ! Rosalie se dirigea vers Nolan pour lui demander où il l’avait trouvé mais Antropy déboula rapidement vers le petit groupe en arrachant la plante des mains de Nolan. Mais qu’est-ce qu’il lui prenait ?
Rosalie courut dehors pour essayer de le suivre, cherchant à savoir ce qui n’allait pas. Elle le retrouva à la sortie de la maison, agenouillé au sol…essayant de replanter la fleur. Urgence de plante ? Mais pourquoi ?! Rosalie le regarda plutôt intrigué, levant un sourcil. Mais elle ne préféra pas le déranger. Sauf qu’une chose complètement improbable se produisit ! La plante était vivante ! Elle venait de prendre racine autour d’Antropy. Il commençait à devenir la plante humaine. Il fallait faire quelque chose pour stopper ça, pour ne pas qu’il se fasse bouffer par ce truc ! Elle avait une sorte de dette envers lui. Il était venu la voir quand elle n’allait pas bien, alors elle se devait de l’aider. C’est pourquoi lorsqu’Antropy donna l’idée d’aller voir sur l’ordinateur, elle courut vers la seconde pièce. Elle se mit derrière l’ordinateur et commença à chercher de nouvelles réponses. Malheureusement, mis à part des mises en garde sur la plante et qu’il ne fallait surtout pas la déterrer, elle ne trouva aucune solution. Rosalie retourna là où elle avait laissé le groupe. Elle lança un regard désolée à Opy’. « Il n’y a absolument rien sur l’ordinateur… » Mary Margaret et la grande brune semblaient avoir essayé aussi, sans succès. Et tous semblait abandonner. Mary Margaret était revenue vers Rosie pour lui demander la carte. Ok. Il n’y avait peut-être plus rien à voir mais on ne pouvait pas laisser le rouquin dans cette situation ! Apparemment si puisque tout le monde se remit en route. Rosalie resta à côté d’Antropy, se voulant rassurante. « Ne t’inquiète pas. On trouvera une solution. » Elle ne préféra pas lui dire promis. Elle n’aimait pas promettre alors qu’elle n’en savait rien. Elle voulait être rassurante, mais elle-même avait peur pour la suite, en ce qui concernait cette plante.
Le groupe suivit Mary Margaret qui avait endossé le rôle de leader pour conduire le groupe au…campement du début ? Ils venaient de faire demi-tour ? Mais pourquoi revenir en arrière ? La leader du moment prit une nouvelle direction, voulant aller vers un gros point rouge de la carte. Mais pareil, Rosalie avait l’impression de tourner en rond. C’était légèrement énervant. Disons que Rosalie n’aimait pas se sentir perdue. Mary Margaret s’était arrêté, alors la brunette en fit autant. Apparemment elle avait aperçu quelque chose. Un homme se mit à tirer sur MM. Ils étaient tombés dans une embuscade ! Pendant que Mary se faisait attaquer par un homme et qu’Eloïse aussi, Rosalie eut également l’honneur de se faire attaquer. Il essaya de la frapper au niveau de ses organes vitaux. Sérieusement ? Il voulait carrément la tuer ? Mais impossible pour Rosie de prendre son arme pour en faire de même. Elle avait encore du mal à encaisser ce qu’elle avait fait à l’homme du campement. Elle décida donc de l’esquiver rapidement pour se retrouver derrière son adversaire. A ce moment-là elle le frappa au niveau des côtés, lui coupant légèrement la respiration. Puis elle profita de son moment d’inattention pour lui donner un gros coup à la tête, le mettant KO. Il était assommé, amoché mais vivant ! Ouf ! Elle ne l’avait pas tué. Maintenant qu’elle s’était débarrassée de celui qui l’embêtait, elle pouvait se concentrer sur quelqu’un d’autre pour essayer de lui soutirer des informations. Cette fois, Rosalie prit sa mitraillette légère puis pointa son arme vers le premier homme qu’elle aperçut. « Bon, maintenant on arrête les conneries ! Dites-nous qui vous êtes et où est la fille brune aux yeux bleu !! Sinon je tire. » Une menace qu’elle-même ne prenait pas au sérieux. Mais il le fallait. Il fallait qu’elle se montre forte. Aussi, lorsqu’il rigola face à sa menace, Rosalie décida de tirer en visant à côté de lui. Elle voulait simplement que la balle frôle son corps et vienne se planter dans un arbre au fond. Elle voulait simplement lui faire peur, mettant en action sa menace. Malheureusement, savoir viser ne faisait pas parti de ses compétences. Rosalie le toucha donc à l’épaule, ce qui eut pour conséquence de l’énerver. Il sortit son couteau et fonça sur la jeune femme qui, surprise par cette réaction si soudaine, laissa son arme retomber sur elle (ayant toujours la bandoulière). Il lui entailla légèrement le bras. Mais Rosie grimaça à cause de la légère douleur que cette couture lui donna. « Méchant ! » Bon d’accord, elle l’avait bien cherché et elle lui avait quand même tiré dessus !
wild bird
Rosalie : 65% Barre d'expérience : 25% (+ 5 points) --> 12 réussites sur ce tour Objets : Mitraillette légère + Petit poignard + Miroir + Kit de soin mineur
Homme n°1 (celui qui a attaqué Rosie) = 40% et assommé Homme n°2 (celui sur lequel elle a tiré) = 90%
Mary-Margaret, Lara, Hans, Rosalie, Allie, Antropy et Eloise
Les choses s'étaient enchaînées très rapidement. Un moment il avait la plante, le moment d'après, Antropy la lui avait prise et courrait pour la remettre en terre. Ne comprenant rien, Nolan suivit le rouquin derrière et vit alors que celui-ci n'avait pas été assez rapide. La plante avait commencé à déployer ses racines et à s'enrouler autour de lui. Merde alors ! Mary-Margaret puis Eloise essayèrent de faire lâcher la plante, la première en tentant de la découper en deux et la seconde en tentant de déloger doucement la plante à l'aide d'une fourche. Mais rien à faire, l'une comme l'autre furent envoyées dans les airs. À son tour, le Chasseur tenta. Il parla doucement à la plante, et si elle desserra légèrement son emprise sur le rouquin, cela n'alla pas plus loin.
- Désolé... Murmura-t-il au guitariste.
Désolé de l'avoir mis dans cette situation et désolé de ne pas pouvoir l'en sortir. Il ne voyait pas comment il pourrait réussir à faire entendre raison à la plante... Tout le groupe se mit en marche par la suite et ils arrivèrent plus ou moins rapidement après avoir eu la sensation de tourner en rond dans un endroit où ils se firent attaqués. Mary-Margaret, Eloise et Rosalie furent bizarrement les cibles privilégiées, à croire que ces hommes étaient de véritables lâches. Mary-Margaret tomba au sol et Eloise, après s'être occupée de son assaillant, tenta de tirer sur celui qui bloquait la Princesse mais elle se manqua et toucha légèrement celle-ci. Nolan foudroya la brune du regard avant d'aller aider sa compagne. Il parvint avec difficulté à bouger l'homme puis à attraper sa rapière pour lui en mettre un coup. Mais le Chasseur se loupa. Et quand son adversaire tenta de l'attaquer à son tour, il se planta aussi, se blessant méchamment au bras. Nolan retenta de le frapper avec sa rapière et parvint à le blesser assez pour que l'homme lâche son arme. Le brun mit la pointe de sa rapière sous la gorge de son adversaire pour le forcer à rester en place.
- Où sont la fille et la pierre ? Demanda-t-il d'une voix sèche. Comment vous avez su où nous trouvez ? L'interrogea-t-il.
Mais rien à faire. Cet imbécile ne fit que le narguer et l'insulter. À bout de patience, Nolan tenta de l'assommer, mais se loupa, trébucha et se rétama sur Mary-Margaret. Si en soit, il n'avait pas de problème à proprement parler concernant le fait d'être allongé au sol avec elle, là, ce n'était pas vraiment le moment et il n'aimait pas lui tomber dessus. Son adversaire en profita pour lui filer un coup derrière la nuque qui sonna pas mal le Chasseur. Mais celui-ci ne se laissa pas démonter. Tirant son pistolet de sa ceinture, il tira sur l'homme, le tuant sur le coup. Tant mieux, parce que là, il commençait à ne plus pouvoir tenir. Toujours se battre pour sa vie, ce n'était pas sa façon de vivre... Apercevant le second agresseur de Rosalie, Nolan lui tira dessus, le blessant au passage. Puis il se releva et releva sa compagne au passage.
- Désolé, mais je crois que je tombe pour toi. Lança-t-il en plaisantant, lui caressant tendrement la joue.
Quand il regarda aux alentours, il remarqua que le reste de leurs agresseurs avait été neutralisé. Bien, parfait !
- Profitons de l'accalmie pour se barrer. Je ne sais pas qui a la carte, mais c'est le moment de nous guider !
Nolan : 90% Ennemi de MM : Mort Ennemi n°2 de Rosalie : 80% Expérience : 60%
Objets :
- 1 rapière - 1 briquet - 1 arme à feu - Des munitions - Des plantes médicinales - Des plantes vénéneuses
Toucher une plante inconnue était fortement déconseillée.
Nolan et Oppy n'avaient pas semblé de cet avis.
Jonah délaissa la paperasse avec un léger soupire avant de rejoindre le roux qui n'était toujours pas dégagé de cette plante collante. Deux avaient essayé de la manière forte et s'étaient fait jeter plus loin. Nolan lui avait tenté la manière douce. Aussi surprenant que cela pouvait être, celle-ci se dégagea un peu. Jonah tenta également de discuter mais n'obtint rien de bon. Au lieu de se le libérer elle l'étreignit un peu plus. Jonah regarda Oppy l'air un peu navré.
"J'espère pour toi que ce truc va pas te tuer...je n'ai jamais eu affaire à cette chose. Bonne chance."
Non il n'allait pas non plus partir sans rien tenter de plus. Et puis après mure réflexion, la plante était bien accrochée. À L'évocation du fait qu'elle allait être replantée, celle-ci c'était plus accrochée à Oppy, comme si elle comprenait et refuser ce qu'ils voulaient faire d'elle. "On va l'emmener avec nous, si on la replante elle va serrer encore, donc il faut l'emmener avec nous, pour le moment on n'a pas le choix, ne panique pas, pour le moment elle n'a rien d'une tueuse. Elle est juste un peu trop Caline... Hugy...a défaut de connaitre le véritable nom de cette plante ça sera Hugy.
Il se détourna d'opy pour suivre Mary Margaret et ceux qui avaient commencé à avancer. Mary Margaret fut de nouveau attaquée. Cela commençait à devenir agaçant, les mots "attaquez-moi" n'étaient pourtant pas marqués sur son front. C'était quelque chose quand même cette fille. Nolan et elles semblaient particulièrement proches. Rosalie fut également attaquée, comme tout le monde d'ailleurs. Jonah remarqua un homme qui venait de se jeter sur lui et eut le temps d'esquiver l'attaque. Jonah parvint à immobiliser l'homme entre ses bras. Il avait pris le poignet droit de l'homme et avait mis son bras droit derrière son dos puis avait collé l'intérieur de son coude sous sa gorge en le serrant assez pour qu'il ne tente pas de bouger et pour le laisser parler. "De quels camps tu'es? Pourquoi tu nous as attaqués?" Demanda Jonah prêt de l'oreille de l'homme. Celui-ci tenta de se débattre mais ne parvint pas à se défaire et obtempéra en répondant à la question. Tout en riant
"Aucun. Notre groupe dirigera la forêt. Vous n'avez rien à faire ici. Vous devriez mourir avant la suite des événements."
Jonah fronça les sourcils sans libérer l'homme tandis qu'à côté, ils semblaient avoir engagé le combat. C'était peut-être eux qui voulaient la fille et la pierre. Ils désiraient peut-être la sacrifier pour faire revivre un prétendu Dieu qui leur servirait à soumettre les autres. La fille pouvait également servir d'hôte. Jonah aimait de moins en moins cette perspective, ce n'était là qu'une supposition. Il tenta d'en faire avouer plus à l'homme mais celui-ci avoua préféré mourir qu'obtempérer ce qui agaça Jonah qui préféra l'assommer. Un mort suffisait amplement dans cette expédition. Le coup porté à l'homme allait lui permettre de dormir très longtemps, on pouvait compter en jours, pas sur qu'il se réveillerait de bonne humeur par contre.
Jonah trouva pourtant son silence utile. Il avait préféré mourir c'était donc qu'il savait beaucoup de choses importantes, cela pouvait bien indiquer qu'ils se rapprochaient du but et que tous étaient liés. Suivre cette piste fébrile était pourtant comme avancer sur une corde suspendue dans le vide. Ils n'étaient pas à 100% certains d'être sur la bonne voie. Mais à défaut d'avoir autre chose, il valait mieux poursuivre dans une direction floue que ne pas avancer du tout.
Mary Margaret avait la carte, Nolan proposa un repli avant que d'autres hommes attaques à leur homme. Par-dessus l'épaule de Mary Margaret, Jonah vit la carte et parvint à les situer. Il les mena jusqu'à la croix rouge; Il n'y avait rien d'apparent, juste une végétation plus dense et une croix rouge sur un arbre. Il s'en approcha, observent attentivement l'arbre puis la végétation pour trouver des traces de pas. Elles se concentraient dans une petite partie du lieu. Les traces se faisaient plus rapprochées, comme des piétinements.
vie : 100 Exp : en calcul
Eloise A. St-James
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Eva Green
| Conte : Hercules | Dans le monde des contes, je suis : : Athéna
Le temps qu'elle se charge de son propre adversaire et toute la troupe d'agresseurs avait été neutralisé. Nolan proposa alors un repli stratégique, tant qu'ils le pouvaient encore et Jonah prit les choses en main. Il les guida jusqu'à une espèce de petite clairière dont l'arbre le plus gros était peint d'une croix en rouge. Non, sérieusement ? C'était ça l'endroit qu'indiquait la carte ? Perplexe, Eloise fit le tour de l'endroit, cherchant une piste, mais elle ne réussit qu'à tourner un peu en rond et à rejoindre Jonah près de traces de pas très nombreuses mais qui n'allaient nul part ailleurs. Alors la déesse se mit à chercher une grotte ou un endroit qui indiquerait une cachette secrète, mais rien à faire... Soit il n'y avait rien, soit elle n'était pas au bon endroit pour chercher... Soudain, la brune trouva un sentier.
- Par ici, j'ai trouvé un sentier ! Indiqua-t-elle aux autres.
Puis persuadée d'avoir trouvé le bon chemin, la guerrière mena le groupe sur le sentier. Malheureusement, quand ils arrivèrent à la fin de celui-ci, rien... Le groupe se sépara pour chercher dans chaque recoin, mais il n'y avait vraiment rien du tout ! Et alors qu'Eloise allait râler contre l'un d'eux qui n'avait sûrement pas bien cherché, ce fut le noir total. La déesse ne le perçut pas, mais tout le monde tomba inconscient. Quand elle ré-ouvrit les yeux, ils étaient tous enfermés dans une espèce de cellule, séparément.
- Fais chier ! Maugréa-t-elle avant de tenter de crocheter sa serrure.
Ça aurait pu être si simple... Mais non, rien à faire, elle n'y parvint pas. Frustrée, la déesse se saisit de son arme qu'ils ne lui avaient pas enlevé et tira sur la serrure, faisant un bruit monstre. Persuadée que les gardes ne tarderaient pas à venir, Eloise se dépêcha d'aller bloquer la porte avec sa fourche. Celle-ci était pas mal abîmée, mais elle tiendrait un peu le coup... Le temps qu'elle revienne vers les autres, certains d'entre eux c'était déjà échappé de leurs cellules. Mais il y en avait un qui aurait eu beaucoup de mal à se libérer tout seul, vu que l'une de ses mains était occupée par une plante... La guerrière soupira et se mit à la tâche, crochetant la serrure de la cellule d'Antropy. Quand elle y parvint, elle l'ouvrit en grand.
- Allez, sors de là rapidement ! Lui lança-t-elle. Il faut qu'on se tire d'ici, c'est sans doute un piège...
Bah oui, qui aurait été assez fou pour leur laisser leurs armes à portée de main ?
Eloise : 90% Opy : délivré, libéré Expérience : 1 point et 70% Objets : 7 couteaux, 1 kit de soins majeur, des munitions, une arme et des matériaux
Nous étions partis, laissant le camp dernière nous. J’aurai préféré mourir plutôt que d’avoué que cela ne me laissait pas indifférente. J’aurai aimé rester un peu plus longtemps pour revoir tout le monde, mais tant de choses avaient changé, au point que je n’avais presque pas reconnu le camp. Beaucoup de choses avaient du se passer, j’espérais avoir un jour l’occasion de le savoir. Et peut être de changer les choses. Mais cela n’était envisageable que si je restais ici. Chose qui allait être surement difficile. Je n’avais surement plus ma place.
Distraite, je marchais, suivant le mouvement du groupe en espérant à ne pas à avoir à le regretter plus tard. Ce qui allait surement arriver, connaissant la bande de bras cassé qui avait atterris avec moi ici. La voix de Jonah me sortis de mes pensées. Sa question me laissa muette quelques secondes. Je n’en avais aucune idée. - Je ne sais pas Jonah… On verra déjà si on retrouve la pierre pour rentrer chez nous… C’est même pas sûre, si jamais on ne la retrouve pas, la question ne se posera pas.
Ne pas prendre de choix, être obligé d’en suivre un, voilà ce que j’aurais aimé comme fin à cette aventure. Dans n’importe quel choix, je regretterais mon acte, être obligé à suivre l’un des deux me faciliterait grandement la tâche, je devais bien l’avoué. Malheureusement, je ne comptais pas trop là dessus non plus.
Après avoir laissé la brunette à l’arc prendre le chemin de la forêt, nous étions tombé sur quelques statues et statuettes, comme un autel à l’effigie du dieu que devait vénérer les membres du village. Les dieux, quelle invention débile. Les hommes ont besoins de croire en quelque chose, de se donner une raison d’être bon. En m’approchant de la statue principale, qui devait très certainement représenter cette divinité en laquelle les hommes croyaient tant, je vis les marques de sang. A en voir la forme et les traces, on aurait dit que quelqu’un avait tenté de s’accrocher à la statue, laissant ses doigts ensanglantés glisser contre la pierre.
J’essayais de faire abstraction des conclusions qui me venaient à l’esprit pour expliquer cette marque en me concentrant sur ce qu’il y avait autour. Faisant le tour tout en laissant mes doigts courir sur l’ensemble des statues pour essayer d’y desseller une encoche, un bouton ou quoi que ce soit qui pourrait me donner quelques maigres informations. A peine eu-je fais le tour de la statue que Rosalie interpella le groupe pour nous montrer sa trouvaille. Un carte, voilà quelque chose qui serait utile.
Je m’apprêtais à les rejoindre lorsque mon doigt butta contre une partie de la statue. Revenant sur mes pas, j’analysais de plus près l’encoche. Sortant un petit couteau de ma poche, je l’insérais dans le petit retranchement pour essayer d’activer un petit mécanisme. Rustique, un simple petit bout de pierre se délogea, laissant apparaître un trou ainsi qu’au fond, un petit bout de papier. Glissant mes doigts à l’intérieur, je l’ouvrais distraitement en lisant les quelques mots qui étaient indiqué dessus. Apparemment, ce message était bien destiné à une personne en particulier. Dommage, il ne verrait surement jamais ce bout de papier. Prenant le temps de replacer le petit bout de pierre, je me dépêchais de rejoindre les autres, déjà sur une autre piste menée par Jonah.
Peut être que cette fois on avait plus de chance de tomber sur des résultats concluants. Suivant une nouvelle fois le groupe, je tentais de rester concentré pour me souvenir du chemin que nous empruntions. Non pas que je n’ai pas confiance, mais dans le pire des cas, je serai bien contente de pouvoir revenir en arrière. Malheureusement, le travail de réflexion que j’avais commencé depuis que nous étions partie de la statuette finis par être vain puisqu’au bout de plusieurs dizaines de minutes, j’étais incapable de retrouver le chemin. Qu’elle idée de marcher aussi longtemps et surtout de rester buté à l’idée que nous sommes sur le bon chemin ? Il n’avait pas changé.
Dieu soit loué, une petite maison tombant en ruine nous arrêta finalement. Qui sait jusqu’où nous serions aller si elle ne s’était présenté à nous. Rapidement, le groupe se divisa une nouvelle fois pour enquêter. J’entrais dans la maison à mon tour, laissant échappé un soufflement agacé en voyant le nombre de papier présent dans la maison. Ce n’est pas possible d’être aussi bordélique, ça ne facilite pas les recherches.
Après avoir mené une petite enquête, je tombais sur un petit carnet de bord régulièrement tenu par l’habitant de cette maison. Cela rejoignait apparemment les trouvailles des autres concernant une autre pierre magique. N’importe quoi. Comme s’il existait d’autres pierres magiques sur ce continent ou même dans ce monde. A moins qu’un nouveau type de pierres ne soit venu d’un autre monde. Mais dans ce cas là, comment aurait-elle pu arriver ici ? Et comment cet homme en serait-il au courant. Levant les yeux au ciel, je refermais le carnet. Rien qu’un vieillard amoché par l’âge, surement rien de concret et qui pourrait nous intéresser.
Absorbé par ma lecture, je n’avais pas fait attention au désastre et au bordel que les autres avaient mis. Pour la discrétion de notre passage, c’était raté. Espérons que nous ne nous attirerons pas les foudres de l’homme vivant ici. Je pense qu’on a assez d’ennemis comme ça. Regardant les autres continuer leur recherche, mon attention se détourna sur Nolan qui entra dans la pièce, une grande plante dans les mains. Ecarquillant les yeux, je pris la parole. - Mais t’es pas bien ? Pourquoi tu déterres une plante ? Qu’elle idée, tu pouvais pas juste nous appeler pour nous la montrer au lieu de faire ça ?
Mais quel bande de… Pourquoi, pourquoi il fallait toujours que je tombe sur des gens comme ça. Pourquoi ne pas utiliser un minimum ses méninges avant de faire une catastrophe pareille. Quoi qu’une catastrophe, je n’en savais rien, mais il allait falloir m’expliquer le délire de voir une plante et de vouloir la déterrer. - Non mais sérieusement, c’est bien d’avoir les muscles, mais faut faire fonctionner un peu les neurones aussi.
Gardant le petit carnet, je le glissais dans ma poche arrière avant de sortir de la maison pour rejoindre les quelques hommes qui nous avait accompagné. Il n’y avait rien d’utile dans cette baraque, autant continuer nos recherches. Sur ce coup là, j’allais pouvoir avoir de quoi faire chanter Jonah. Tout comme les autres hommes. - Du nouveau ?
Mon regard se leva vers l’homme qui venait de parler. Dans le même genre que Jonah, il faisait une bonne tête de plus que moi, baraqué et imposant. Soufflant, je croisais les bras sur ma poitrine pour de nouveau fixer la porte en espérant les voir sortir et se remettre sur le chemin. - Absolument rien.
Les hommes étaient déjà agacés, mais ce fut bien pire par la suite. Ce fut à ce moment précis que le roux décida de sortir en courant avec la plante magique dans les bras, direction l’arrière de la maison en braillant. Soufflant, je pris un air renfrogné en haussant les épaules. - Ca va être long… Très long.
Si j’avais su… Quelques secondes passèrent, juste le temps pour que le roux fasse une nouvelle bêtise. Il revint vers nous… Ou plutôt une plante géante revint vers nous. Il couina sous les racines de la fleure qui semblait s’être installer confortablement sur lui. Désespéré, je secouais la tête en le regardant, une main sur le visage.
- C’est pas possible… Tu le fais exprès ?
Non mais vraiment, au moins, l’autre avait les muscles, mais si lui n’avait ni les muscles, ni l’intelligence, on allait pas aller loin. Je sortis le petit carnet de ma poche pour le feuilleté de nouveau. Bon, quelque chose sur les plantes, s’il vous plait, histoire qu’on puisse s’en sortir. C’est vers le milieu du carnet que l’homme commença à raconter ses péripéties avec la plante. C’était digne d’un film d’action son truc. A part l’arroser tout les jours et lui dire des mots d’amour, ça n’avançait pas à grand chose. Bon, au pire, il finissait ses jours comme ça, ce n’était pas si ennuyeux, au moins, il pourrait se vanter de ressembler à un personnage de film.
En retrait, je regardais avec un grand sourire en coin les membres du groupe essayer un à un et se vautrer comme des crêpes. Entre la brunette à l’arc et Eloïse, leurs essais laisseraient surement quelques marques, mais c’était plutôt divertissant à regarder, je devais l’avouer. Une fois que chacun eu finis ces petites expériences, Mary Margaret repris la route. Je lançais un dernier regard au roux avant de partir.
- Dis toi que tu es en train de faire une nouvelle expérience unique au monde.
Laissant apparaître un petit sourire, je continuais en avançant. - Essaye de lui parler comme tu le fais avec nous, elle aura surement envie de fuir loin après ça.
En tout cas, si elle a ne serais-ce qu’une once d’instinct de survie, il devrait en être débarrassé assez rapidement. Ce tempérament lui servirait surement à quelque chose… en espérant qu’elle ne se mette pas à encore plus l’apprécier, sinon, il était mal barré. Une chose était sûre, elle était peut être encombrante, mais elle était bien pratique si personne ne pouvait plus l’attaquer.
C’était reparti pour un long… Un très long moment de marche. Après avoir fait l’allé dans le mauvais sens, il fallait faire le retour. Du moment qu’on arrivait à se retrouver, tout pourrait recommencer sur un nouveau pied. Mais encore fallait-il se retrouver. La brune qui nous avait emmené jusqu’au premier autel repris la tête du groupe. Elle avait l’air d’avoir un assez bon sens de l’orientation, ce qui ne m’avait pas dérangé. Accélérant le pas pour arriver jusqu’à la hauteur de Jonah, je laissais échappé. - J’avais oublié à quel point tu étais bon en orientation.
Amusée, je fixais les autres devant moi, un léger sourire sur les lèvres. Il allait falloir attendre un petit moment pour que j’oublie cette démonstration de talent. S’il pensait que je n’en prendrais pas compte, il me connaissait mal.
Après un bon moment de marche, le camp se dessina devant nous. Le camp ? C’était gentil de vouloir nous y ramener, mais ce n’était certainement pas là que nous allions trouver la pierre. Soufflant légèrement, je m’arrêtais en même temps que le groupe. - Retour à la case départ… Autant faire une sieste la prochaine fois plutôt qu’une balade en forêt.
La pause fut plutôt courte, puisque gardant la carte avec elle, elle bifurqua pour essayer à son tour de trouver la fameuse croix rouge. Serrant les points, j’essayais de garder mon calme. Bon, encore un essais et je leur arrachais cette foutu carte des mains. C’était bien gentil de faire du tourisme, mais ma patience avait des limites. Limites qui se rapprochaient dangereusement.
Quelques minutes après avoir quitté le camp, nous marchions à bonne allure, je l’espérais, vers la fin de nos soucis. Absorbé par la route, la jeune femme ne fut pas attentions aux possibles pièges que les hommes auraient pu nous tendre. Evidemment, niveau hostilité, les forêts de Storybrook n’atteignait pas la cheville de celle là.
Une silhouette bougea non loin de moi, caché derrière un arbre. Sur mes gardes, je me stoppais pour analyser le reste du paysage. J’hésitais entre prévenir les autres directement ou essayer de le faire discrètement. N’ayant pas le temps de leur en parler, les hommes sortirent de leurs cachettes pour nous tomber dessus. La main sur l’arc, je le sortis rapidement, dégainant une flèche pour l’encocher. Cette dernière fusa vers l’homme qui se rapprochait dangereusement de moi. La flèche se logea dans sa poitrine, profondément ce qui lui suffit à le stopper net.
Un autre homme à ma droite dégaina un couteau trop rapidement pour que je puisse me décaler. Sa lame m’entailla profondément le bras, laissant échapper un râle rauque de ma gorge. Je me tournais vers lui rapidement pour bander mon arc dans sa direction. Reculant rapidement, je le visais, fermant un œil sur les deux. Dans l’action je ne réussis pas aussi bien mon tir que le premier puisque la flèche se logea dans la cuisse de l’homme. Elle avait surement touché l’artère, ce qui était bien assez suffisant pour le stopper.
Me retournant, je suivais les autres rapidement pour m’éloigner de l’affrontement. Certains finissaient seulement alors que d’autre nous attendait déjà ou était allé porter secours à leur proche. Ce fut Jonah qui prit rapidement les rênes du groupe. On avait plus de temps à perdre, il fallait vraiment qu’on arrive à trouver ce que l’on cherchait. La forêt était devenue plus hostile que dans mes souvenirs. Ce n’était plus les loups qui causaient problèmes, c’était les hommes.
Suivant la carte, il finit par nous mener dans une petite partie de la forêt où la végétation était bien plus dense. Un gros arbre était planté en plein milieu, portant une petite croix rouge sur son écorce. M’approchant pour le regarder, je finis par me tourner vers Jonah. - T’as peut être pas totalement perdu ton instinct.
Les recherches commencèrent, et la majorité du groupe se recentra sur une même piste en suivant les pas des hommes. L’herbe était écrasée à plusieurs endroits, ce qui témoignait que les traces étaient plutôt fraiches. Mais alors que tout le monde semblait sur la même piste, Eloïse nous interpela autre part. Un autre sentier, un peu à l’écart. Fronçant les sourcils, je me demandais si se disperser sur deux entrées possibles était une bonne idée. En trouver une serait déjà pas mal. Mais la jeune femme avait l’air tellement sûre que je finis par la rejoindre, accompagnée des autres.
Je n’eu même pas le temps de commencer mes recherches qu’un solide coup derrière la tête me fit perdre conscience. Lorsque j’ouvris de nouveau les yeux, la lumière était tamisée et le sol dur et froid me laissait déjà deviné que nous étions une nouvelle fois dans de beaux draps. En me relevant, le paysage avait nettement changé. Des cellules. Encore des cellules. Génial. Mais personne à l’horizon, c’était quand même étonnant. Tâtant mes poches, j’eu le temps de sentir chacune de mes armes, ce qui me laissait encore plus dubitative.
Je finis par me relevant, sortant ma lame pour essayer de crocheter la serrure. Grimaçant, je tentais d’enfoncer ma lame pour jouer avec le verrou, mais ma première tentative fut malheureusement veine. Serrant les dents, j’entrepris un deuxième essais en croisant mentalement les doigts pour ne pas à avoir à sortir une arme à feu qui attirerait surement bien trop l’attention. La serrure finit par céder, laissant la porte s’ouvrir.
Sortant de cette dernière, je levais les yeux vers Eloïse, l’arme braquée sur la serrure. - ATT…
La détonation résonna dans toute la pièce, bruyante à souhait pour rameuter l’ensemble des gardes surement présents dans ce bâtiment. Fulminant, j’envoyais un regard noir à la jeune femme, complètement inconsciente. - La discrétion tu connais ? T’avais pas mieux comme idée pour rameuter les hommes sérieusement ?
Je restais toujours aussi étonnée devant la stupidité de certains actes. Il allait falloir se dépêcher, parce que clairement, les gardes n’allaient pas se faire prier pour rappliquer. Me dirigeant vers les dernières cellules, j’aidais les derniers à sortir en me dépêchant. Problème, la salle restait désespérément calme et silencieuse, si on oubliait les coups de feu que la jeune femme s’amusait à tirer sans cesse. A moins qu’il n’y ait un problème où qu’on nous ait mis au fin fond de la forêt, à ce moment là, des gens serait censé venir essayer de nous maîtriser. M’approchant de la porte, j’enlever la fourche que la brune avait mise. Impossible de l’ouvrir, forcément. Mais aucune serrure. Un simple code à trouver. Avec surement seulement trois essais possibles, au mieux.
Je commençais à essayer de chercher une combinaison possible quand un bruit d’aération rompit le silence. Une épaisse fumé sur dégagea des conduits d’aération, menaçant d’englober très rapidement la totalité de la salle et de nous étouffer. Prise de cours, je tentais de forcer la porte, aidé par les autres. Malheureusement, elle était bloquée et bien trop lourde pour que nous puissions faire quoi que ce soit. Prenant quelques secondes de recule, je sortis le papier que j’avais trouvé précédemment dans la statue. Il parlait d’un code… Peut être que.
Je me frayais un passage pour rejoindre le boitier du code. Une main sur le visage, la fumé venait d’arriver à notre niveau et chacun commençait à tousser dangereusement. Tapant rapidement le code, j’arrivais au dernier chiffre. - C’est pas possible, c’est trop demandé de bien écrire ?!
Je regrettais bien vite d’avoir ouvert la bouche puisqu’une quinte de toux me gagna, rauque et irritante. Obligée de prendre rapidement une décision, j’appuyais sur le dernier chiffre, priant qu’il s’agisse du bon. Une petite lumière verte s’alluma, déverrouillant la porte.
Tout le monde sortit, débouchant sur une plus grande salle. La fumée s’échappa, laissant plus d’air libre. Rapidement, lorsque tout le monde fut passé, je refermais la porte en dégageant les restes de fourche qui bloquait la porte, pour ne pas laisser passer l’épaisse fumée. Prenant une grande bouffée d’air, je soufflais doucement. Ok, ça, c’était fait.
Me retournant, je regardais la grande salle se présentant à nous. Génial, pas de sortie à l’horizon et pas de lumière du jour. Regardant l’un des membres de notre groupe commencer à avancer pour analyser la salle, mon regard se posa sur l’une des dalles, légèrement plus renfoncé que les autres. - STOP !
La personne se stoppa juste au bon moment. Attrapant son bras, je la fis reculer de quelques pas. Devant son regard interrogateur, je pris un bout de la fourche pour l’envoyer sur la dalle. Lorsque cette dernière s’enfonça, elle activa un piège situé juste au dessus. Une sorte de lance fut libéré du plafond, dégringolant jusqu’au sol pour s’y enfoncer. La lame était aiguisé à souhait et aurait pu s’enfoncer dans un crâne comme dans une motte de beurre.
Levant les yeux vers les autres, je pris une légère inspiration. - Comme si ça pouvait être si facile.
Passant les membres du groupe un par un, mon regard s’arrêta sur le roux, toujours avec sa plante. La plante qui le protégeait. Et qui ne laissait rien l’atteindre. C’était une sorte d’armure non ? - Je propose d’envoyer Antropy en éclaireur !
Le regard du garçon se décomposa en me regardant. En réponse, je lui fis un grand sourire en lui désignant la salle. - T’es le plus paré d’entre nous.
Lara :85% Expérience :20% - en cours
*Violette Parr
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Danielle Campbell
*Quelle belle bouche. STOP ! ARRETE DE PENSER*
| Conte : Les Indestructibles | Dans le monde des contes, je suis : : Violette Parr
Une fois les hommes neutralisés pour quelques instants, Nolan jugea raisonnable de prendre la fuite dans un autre coin de la forêt. Il n’avait pas tort ! En effet, c’était préférable de partir pendant qu’il en était encore tant. D’autres hommes risquaient de venir, en surnombre ! Ce fut cette fois-ci Jonah qui reprit les rennes du groupe. Il prit la carte et décida de conduire le groupe vers une croix de la carte. Sauf que l’endroit où ils avaient débarqué ne semblait pas être un lieu truffé d’indice. Mis à part un gros arbre avec une croix rouge. Pourquoi un gros arbre avait une croix sur lui ? Rosie se sépara quelques instants du groupe, qui menait ses recherches dans la zone. Elle se rapprocha de l’arbre en question puis en fit le tour. A ce moment-là elle trouva un trou dans l’arbre, un petit trou. Sans réfléchir, elle se baissa pour regarder dedans. Il y avait un petit papier ! Cool ! Un indice ! Rosalie mit sa main dans le trou pour prendre le papier. Elle le déplia. Sur ce petit papier, elle put lire plusieurs rangées de nombre. Il y en avait 15/20 sur chaque rangée. Et dans chaque rangée, un chiffre était entouré en rouge. Toute cette série de nombre faisait mal à la tête ! Rosalie n’essaya pas de comprendre de quoi il pouvait s’agir.
De toute façon, la grande brune imposante leur indiqua qu’elle avait trouvé quelque chose, une direction dans laquelle aller ! Rosie rangea son indice dans la poche et décida de rejoindre le groupe vers le sentier. Ils marchèrent alors quelques minutes. A la fin du sentier il n’y avait absolument rien. Le groupe se sépara en deux pour trouver un nouveau chemin, ou des indices supplémentaires. Rosalie n’eut pas le temps de commencer à chercher dans les alentours qu’elle sentit un gros coup sur la tête. Il fut tellement violent qu’elle tomba comme une mouche, lourdement sur le sol. Puis ce fut le trou noir.
Lorsqu’elle ouvrit les yeux, Rosalie se trouvait enfermée dans une cellule froide et sombre. Elle se redressa doucement, sa tête lui faisant encore mal. Doucement, elle observa autour d’elle. Ses compagnons de mésaventure étaient également dans des cellules. Tous essayaient d’en sortir. Et étrangement ils avaient leur arme avec eux ! Comment cela se faisait-il ? Rosie mit sa main dans sa botte puis ne put s’empêcher de sourire en constatant qu’elle avait toujours son poignard. D’ailleurs, elle avait également sa mitraillette sur elle. Leurs agresseurs étaient complètement débiles. Les enfermer avec leurs armes…c’était comme les enfermer avec la clé pour ouvrir la cellule. Mais qu’importe, autant en profiter ! Rosalie décida de sortir son poignard et d’enfoncer la fine lame dans la serrure afin d’essayer de la crocheter. Premier essai, elle n’arriva qu’à faire bouger la serrure mais ce n’était malheureusement pas assez pour déverrouiller la porte de la cellule. Pas cool ! Mais rien ne l’empêcher de retenter. Elle ne pouvait pas rester sur un échec. Ainsi, elle tenta une deuxième fois. Deuxième essai et elle réussit à ouvrir la porte de sa cellule !
Chacun avait réussi à sortir, pas forcément dans une grande discrétion. En effet, Eloïse, la grande brune imposante avait décidé de tirer sur son verrou pour le faire sauter. Rosalie se rapprocha alors de Lara. Elle plaça sa confiance en elle. C’était la plus débrouillarde du groupe, que ce soit au niveau du combat qu’au niveau des investigations. Et même si Lara la détestait depuis qu’elle avait tué son ami, Rosalie préférait rester à ses côtés. Le groupe se trouva face à une porte n’ayant aucune serrure. Pire ! Il s’agissait d’une porte avec une serrure à code. Immédiatement, Rosalie pensa à son indice avec les chiffres. Mais elle n’eut pas le temps de le sortir que Lara essaya des combinaisons. Et à ce même moment, une fumée épaisse commença à sortir par les conduits d’aération. Immédiatement la brunette mit sa bouche dans son bras, essayant de respirer le moins possible pour éviter d’inhaler la fumée. Elle observa attentivement Lara, prête à sortir son papier. Mais elle semblait avoir une idée. Elle aussi tenait un papier dans sa main. Et victoire ! Elle avait trouvé le bon code ! Rosalie se pressa de sortir. Elle regarda derrière elle, observant les autres sortir à leur tour. Une fois la porte fermée, la jeune femme prit une grande bouffée d’air. Que c’était bon de respirer correctement !
Sans réfléchir, Rosalie voulait sortir le plus rapidement de cet endroit sombre, humide et froid. Elle voulait revoir la lumière naturelle du soleil. Aussi, elle empressa le pas pour analyser la salle et trouver un moyen de continuer vers la bonne voie. Mais elle s’arrêta net lorsqu’elle entendit la voix de Lara. « STOP ! » Elle avait l’art et la manière de faire arrêter tout le monde. Rosalie se figea sur place, la jambe levée. Elle sentit une pression sur son bras. Rosie observa alors Lara qui le fit reculer de quelques pas. Lara lança un bout de la fourche sur l’endroit où Rosalie allait mettre le pied et fit déclencher un piège complètement morbide ! Une lance, venue du plafond, tomba, s’enfonçant dans le sol. Ok. Rosalie était passée à 2 doigts de la mort encore une fois ! Et comme on disait, jamais 2 sans 3 ! Il fallait réellement qu’elle fasse gaffe à ses fesses ! « Merci Lara ! » Pour quelqu’un qui détestait Rosalie, elle avait réussi à mettre sa rancœur de côté pour sauver la brunette. C’était gentil. Et cela renforçait la confiance que Rosalie avait placée en Lara ! D’ailleurs, cette dernière avait un plan pour la suite. Utiliser Opy comme bouclier humain ! Rosie fit les yeux ronds à Lara, n’étant pas forcément d’accord avec elle. « Mais tu es complètement folle ! Pourquoi tu ne t’envoies pas toi à la boucherie ? » Mais en reposant son regard sur Opy et la plante qui l’entourait, la jeune femme comprit pourquoi Lara avait proposé cette folle idée. « Tout compte fait, Lara n’a peut-être pas tort ! Opy, la fleur qui t’enroule te protège. Elle a envoyé valser Mary-Margaret quand elle a voulu lui donner un coup de hache ! La fleur semblait t’apprécier, elle te protègera des attaques. J’ai l’impression qu’elle fonctionne comme mon don. » Don qu’elle aurait aimé avoir à cet instant-là ! En effet, son champ de force aurait repoussé les attaques et aurait protégé Rosalie ainsi que le groupe entier, si jamais elle en avait eu la puissance et le contrôle ! Rosalie décida de s’expliquer. « J’ai l’impression que la fleur agit en faisant une sorte de champ de force qui repousse toutes les attaques. Mais si tu n’as pas envie de risquer ta vie, ça se comprend Opy’ ! Personne ne peut t’obliger à y aller, pas même Lara. » Rosie lança un regard noir à la leader du groupe. Elle était vraiment hautaine et avec un très mauvais caractère.
Rosalie fouille ses poches, à la recherche des papiers. Le premier était le mot écrit par les hommes du camp…puis le deuxième c’était la succession de chiffre. Elle décida de montrer sa trouvaille à Lara, car ça restait une des personnes en qui elle plaçait sa confiance. Peut-être que ça les aiderait à avancer sans problème ? Elle avait l’impression que le nombre de rangé de chiffre et le nombre de chiffre correspondait à la salle. Mais elle n’en n’était pas sûre. Alors autant en avoir le cœur net, voir si Lara pensait la même chose. « Toute à l’heure, j’ai trouvé ce papier dans l’arbre où il y avait une croix rouge. J’ai l’impression que ce papier rempli de chiffre peut nous aider à avancer sans mourir » Elle le tendit à Lara. La brune le regarda attentivement mais assez rapidement. Soit elle s’en fichait, soit elle avait déjà vu ce genre d’indice. Quoi qu’il en soit, son comportement était bizarre. « Oui. C'est possible. Les numéros correspondent aux nombres de dalles. » Rosalie ne put s’empêcher de sourire ! Elle avait peut-être trouvé le moyen de sortir de la salle sans se blesser ou pire. Elle arracha le papier des mains de Lara pour continuer à mettre son plan en exécution.
Comment vérifier si elles avaient juste ? Rosalie tata sa poche. Elle sentit son petit miroir de poche. Rosie décida de le lancer sur une dalle qui était entouré en rouge sur son petit papier. Rien ne se produisit. C’était donc une bonne case ! Rosalie sauta de joie. Contente d’avoir trouvé. Sauf que Lara et son mauvais caractère revint au galop. « Tu penses vraiment que c'est avec un petit miroir de poche que tu vas activer un piège, son poids ne suffit pas à activer un piège. Je suis toujours pour envoyer le roux pour tester la piste. » Son air blasé était blessant. Mais Rosie ne se laissa pas décourager par Lara. Elle ravala sa peur de lui tenir tête, elle prit son courage à deux mains et décida de mettre un terme au règne de Lara. Ce n’était pas parce qu’elle venait de ce monde qu’elle devait se comporter ainsi. « Bah vas-y-toi ! Tu es si forte et si rapide ! » Dans ce petit pique lancé, elle pensait réellement ses paroles. Au fond d’elle, Rosalie admirait Lara pour sa force, sa rapidité, son agilité. Mais clairement, elle ne voulait pas lui avouer pour le moment. Elle risquait d’avoir les chevilles plus grosses que sa tête ! Mais ce petit pique était une mauvaise idée. Car la réaction de Lara ne se fit pas attendre. Elle eut un rire assez mauvais. « Je n'ai rien dis de tel, j'ai juste un minimum de neurone actif. Et sans moi, vous seriez mort depuis longtemps alors ravale ta salive et tourne sept fois ta langue dans ta bouche avant de parler et d'agir. » Déjà, ces paroles étaient méchantes et blessantes mais l’acte qu’elle fit juste après était complètement inconscient ! Sur ces mots, Lara la poussa. Elle tomba sur les fesses, sur la dalle où son miroir était posé. Elle avait entendu un petit crac sous son poids. Ce n’était pas un mécanisme qui venait de s’enclencher. Simplement le miroir qui s’était cassé. Mais cette dernière était complètement horrifiée face à ce geste. Peut-être que la théorie n’était pas correcte et que Rosalie aurait pu se faire tuer. Mais apparemment, Lara s’en contre fichait. A croire qu’elle lui en voulait à mort pour ce qu’elle avait fait à son ami. Sans doute était-elle trop idiote pour comprendre qu’elle s’était simplement défendue. Lara ré-ouvrit la bouche pour annoncer que c’était bon. « C'est bon on peut y aller. » Rosalie lança un regard noir à la leader. « Tu es complètement cinglée !!! » Rosalie aurait pu mourir et elle s’en fichait. La brunette se releva, déçue par le comportement de celle en qui elle avait confiance. « Non, juste déçue qu'elle n'est pas explosé » Là, elle l’avait profondément blessée et déçue. Mais elle n’avait pas envie de se battre avec elle. La seule chose qu’elle voulait c’était retourner à Storybrooke et que cette Lara reste dans son pays de cinglé. C’était son souhait le plus cher, à cet instant précis !! Pour les autres, Rosalie enfouit sa colère envers Lara pour guider les autres. Elle marcha sur les dalles qui étaient entouré en rouge sur son papier. « Suivez bien mes pas si vous ne voulez pas mourir… » En disant ses phrases, elle pensa très fort au fait qu’elle serait bien contente si Lara se foirait. Cela la ferait sans doute redescendre d’un piédestal. Rosalie arriva à passer tous les pièges. Elle se retourna afin d’observer le reste de l’équipe…voir leur progression.
wild bird
Rosalie : 65% Barre d'expérience : 25% (+ 5 points) --> En cours de calcul Objets : Mitraillette légère + Petit poignard + Miroir + Kit de soin mineur
Il était clair que Lara n'était même plus dans l'estime de Mary Margaret après qu'elle ait insulté Nolan. Elle lança donc un regard noir à la jeune femme originaire de ce monde, tout en murmurant à Nolan :
- Ne lui répond pas, tu vas l'instruire !
Et puis de toute manière, le temps n'en était pas aux querelles de ce genre puisqu'ils venaient de se faire attaquer. Et que tout alla bien vite puisqu'Eloïse manqua de lui tirer une balle dans la jambe. La brunette se retourna alors vers la déesse, tout en lui criant alors :
- Je sais bien que tu me déteste mais ce n'est pas une raison pour me tirer dessus ! En plus, pour une fois, j't'ai rien demandé !
Oui, vraiment, la déesse ne méritait pas encore qu'elle fasse un pas vers elle. Et puis en plus, à cause d'elle, elle venait de glisser sur une racine et de s'étaler dans la boue, sur le dos. La princesse tenta donc de se redresser avant d'avoir le second effet : Nolan venait de s'écraser sur elle, la faisant retomber dans la boue.
- Tu m'écrases...
Il se releva bien vite, la tirant de cette endroit poisseux, avant de lui dire qu'il tombait pour elle. Mouais... Il tombait SUR elle aussi ! Même si techniquement leur position ne lui avait pas franchement déplu...
- La prochaine fois que tu veux un câlin dis le moi au lieu de me tomber dessus. Et puis franchement c'est pas mon fantasme de le faire dans la boue...
Oh purée ! Elle venait vraiment de dire ce genre de chose ? Elle détourna donc son regard de Nolan, rougissant comme pas possible avant d'aller chercher de nouveaux indices. Et lorsqu'Eloïse finit par tous les rappeler parce qu'elle avait soit disant trouver un chemin, Snow resta en retrait. Hors de question qu'elle suive la déesse meurtrière qui lui avait tiré dessus. Elle s'éloigna donc du groupe, cherchant un autre chemin. Ce n'est qu'une bonne quinzaine de minutes plus tard qu'elle revint vers le gros arbre à la crois rouge et... Il n'y avait plus personne !
- Nolan ?
Pas de réponses... Ils l'avaient tous vraiment abandonnée ? Sérieusement ?!? Rageuse, elle donna un coup de pied dans le premier caillou qu'elle rencontra. Pauvre petit caillou qui ne lui avait rien fait...
- Eloïse par ci, Eloïse par là... Pffff Qu'est ce que je la déteste ! J'suis sûre qu'elle a fait exprès de m'abandonner...
Bon, de toute manière, rien ne servait de s'énerver, car il faudrait les retrouver, non ? Et puis de toute manière, Nolan ne l'aurait jamais abandonnée comme ça non ? A moins que ce qu'elle lui avait dit plus tôt l'avait fait fuir ?!? Mais qu'est ce qu'il lui avait pris de lui parler de ses fantasmes ? La jeune femme se tapa donc le front de sa main, avant de pousser un soupir et de remarquer des traces de pas toutes fraîches dans l'herbe. Ben la voilà sa piste !
Elle la suivit donc, avant de lever les yeux au ciel avant de voir un mégot de cigarettes. Qui prenait donc un malin plaisir à polluer les lieux ? Bon, en tout cs, les traces de pas disparaissaient d'un coup, à l'endroit que Jonah avait découvert plus tôt. La brune arqua les sourcils, en murmurant alors :
- Et ? Ils se sont téléportés ensuite ?!?
Sauf que c'était chose peu probable puisque la magie ne fonctionnait pas dans ce monde-ci. Et d'ailleurs, en s'approchant, elle venait de remarquer un endroit d'herbe un peu plus vert, comme plus frais.
- Trop facile !
La princesse fit donc la chose la plus débile qui lui vint à l'esprit : sauter. Et la chute fut plutôt rapide, en réalité. Et ce n'est qu'une fois au sol, sur le dos, la chute sur le sol froid lui ayant coupé le souffle qu'elle prit conscience qu'elle avait hurlé pendant tout le long de la chute. Peut être que ce genre de chose attirerait les gardes ?
Elle se releva donc et étudia la situation. Elle se trouvait dans une petite salle, sombre. En face d'elle se trouvait une porte... Fermée par un mécanisme de code... Qu'elle n'avait évidemment pas. Elle poussa donc un soupir, se rapprochant du boitier de code, avant de constater que la première touche était plus abimée que les autres. Donc plus utilisée, non ? Bingo ! Elle appuya donc dessus, dans un sourire triomphant mais...
- TUUUUUUUUUUUUUUT
Visiblement, ce n'était pas le bon code. Elle leva donc les yeux au ciel, avant d'entendre un cri. Se retournant, elle ne vit personne. Mais les cris continuaient de l'autre côté de la porte. Elle se colla donc à la porte, l'oreille collée contre le battant, avant d'entendre Rosalie et Lara se gueuler dessus ! Sa porte de sortie !
- NOLAN ! LARA ! ROSALIE ! JE SUIS BLOQUEE DE L AUTRE COTE ! IL ME FAUT UN CODE !
Elle resta collée à la porte alors qu'elle n'entendait plus rien. Merde ! Ils étaient déjà repartis ? Elle inspira alors un grand coup avant de retenter le coup :
- LARA ! IL ME FAUT UN CODE!
La voix de Lara se fit alors entendre et elle tapa le code en vitesse, ouvrant la porte et commençant à mettre un pied en dehors de la porte :
- STOP !
Ca c'était Lara qui venait d'hurler à son attention. La princesse se stoppa alors, en arquant les sourcils. Qu'est ce qu'il y avait encore ? Elle compris bien vite qu'il devait y'avoir quelque chose de grave et Lara lui annonça que des pièges se trouvaient dans l'endroit et qu'elle devait suivre ses pas. Bon, d'accord, s'il n'y avait que ça... Et c'est ainsi que tout le groupe se retrouva donc dans un nouveau couloir, en cul de sac celui-ci... Mais déjà Mary Margaret voulait mettre les choses au point...
- Merci de m'avoir abandonnée vraiment... Fallait me le dire si vous ne vouliez plus de moi...
En tout cas, elle avait retrouvé Nolan et c'était à peu près tout ce qui importait. Elle lui sourit alors, avant de passer devant lui et d'observer les alentours. Un cul de sac. Et des portes à foison des deux côtés. Elle haussa donc les épaules et ouvrit la première porte à sa droite, entrant dans un nouveau bureau, très sobre. Un placard de rangement dans un coin et... Des papiers sur le bureau. eut être que la solution était là ?
Mais elle eut à peine le temps de poser sa main sur la feuille de papier que la porte se referma violemment sur deux hommes. Du moins, c'est ce qu'elle croyait avoir vu alors que l'homme le plus baraqué venait de lui donner un coup de poing en pleine figure. Elle entendit alors un CRAC retentissant et ses deux mains se posèrent sur son nez, ensanglanté.
- Mais merde ! Allez vous attaquez à ceux qui ont des muscles !
Elle laissa tomber son nez qui saignait et attrapa le pistolet qu'elle avait trouver plus tôt, visant au hasard. Elle n'entendit qu'un cri de douleur et son agresseur recula. Elle se précipita alors vers la porte, encore sonnée et voyant la pièce tanguer, alors que l'autre homme venait de l'attraper et de la bloquer contre le mur. Elle tenta de se débattre mais c'était peine perdu puisque l'autre avait bien plus de force qu'elle. Et puis en plus, le deuxième homme - celui qui lui avait donné le coup de poing - s'approchait un couteau à la main. Et il n'hésita pas un instant pour lui enfoncer dans l'épaule.
Prise de panique, la brune donna un coup d'épaule la brute épaisse qui la retenait, avant de se retrouver libérée et de pointer son arme sur l'homme au couteau, appuyant de nouveau sur la détente. La balle alla alors se nicher dans le ventre de l'homme qui recula alors que la princesse, elle, courait sur la porte, toujours fermée, en hurlant :
- A L'AIDE !
Expérience : 20% (level up) MM : 45 % de vie Homme qui a donné un coup de couteau à MM : 80 % Homme qui a fermé la porte et attrapé MM : 100 % Arc + carquois remplis de flèches Pistolet avec munitions 4 couteaux