« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Mary Margaret n'avait même pas remarqué le remue ménage qui commençait à prendre vie autour d'elle. En plus elle n'était pas vraiment rassurée avec les paroles de Sally et d'Angela qui commençait à lui dire qu'elle allait mourir dans leur bras. La princesse serra donc la main de Peggy, qui tentait comme elle pouvait de l'encourager, alors que le chaos s'installait. Et à côté de cela, il y avait Bodhi, stoïque, qui finit par prendre les choses en main, littéralement. Et lorsqu'il dit qu'il pensait qu'il y avait une tête qui dépassait, Mary Margaret ne pût s'empêcher d'hurler :
-Mais évidemment que c'est une tête crétin !
Mais elle n'eût pas le temps de dire le fond de sa pensée tout simplement parce que le travail s'accélérait et qu'elle devait pousser, tout cela en tuant aussi la main de la pauvre Peggy qui n'avait rien demander. Des pleurs retentirent alors et Snow ne pût s'empêcher de sourire, alors que Bodhi lui disait que c'était un garçon. Elle s'attendait à ce qu'il lui donne mais... Peggy déserta sa place.
-Questkispasse ?
Mais elle n'eût pas le temps d'en savoir plus puisque le deuxième bébé arrivait aussi. La maman prit donc une profonde inspiration, avant de pousser pour entendre les premiers cris de sa fille. Elle soupira alors de soulagement, avant d'entendre les félicitations des autres. Elle ne répondit rien, puisque de toute façon, elle n'avait même plus de forces. Elle se contenta de caresser ses bébés, que Bodhi et Peggy venait de lui donner. Elle écouta donc la question de la création divine, et lui répondit alors, dans un murmure :
-Nathan et Lily-Rose.
Mais bien vite, cet instant de paix tourna au cauchemar puisque Bodhi décréta qu'ils devaient partir... Et elle ? Elle n'allait tout de même pas croupir toute seule dans ce couloir, non ?
-Mais vous avez pas le droit de m'abandonner, si ?
Sur le coup, elle en aurait presque pleuré !
Angela Pink
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৩ T'as vraiment rien
d'Aloy... ৩
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"Beurk." avais-je laissé échapper en observant Bodhi. Il était plein de choses toutes crades sur lui. Ce n'était pas vraiment présentable.
"Tu pourrais faire attention à ne pas te salir, tu dois donner une bonne image de toi."
Je m'étais approchée de Bodhi, je lui avais retiré les bébés des mains pour les donner à Mary.
"Prenez ces choses là, c'est écoeurant."
J'avais frotté mes mains sur les habits de la jeune femme avant de revenir vers Bodhi et de commencer à lui retirer sa chemise. Il gigotait dans tous les sens.
"Arrête de bouger, tu vas m'en mettre de partout !"
Une fois retiré, j'avais commencée à lui retirer les boutons de son pantalon, mais il gesticulait de trop.
"ATCHOUUM !"
En plus l'autre m'énervait avec ses bébés.
"Tiens, prend ça !" lui avais-je dit en sortant mon portable de la poche arrière de mon pantalon et en le jetant en direction de Mary Margaret.
"Fait le 18, appelle les secours et demande leur aussi de nous apporter un nouveau costume, c'est urgent!"
Tout en m'adressant à Mary, j'avais jeté un oeil vers le Père Noël.
"Vous mettez du combien?"
Il avait la même carrure que Bodhi, n'est ce pas? Je m'étais approchée de lui avec un petit sourire, tout en commençant à le déshabiller.
"Mais laissez vous faire, j'en ai besoin pour le maire! Vous êtes bouché? J'ai dit le maire! Allez, ou on vous fait expulser de la ville!"
Sally Ragdoll
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| Conte : L'étrange Noël de Mr Jack | Dans le monde des contes, je suis : : La version Burton de Barbie
'était dommage, ils ne m'avaient pas laissé faire naître les bébés de Blanche-Neige. Il m'aurait juste fallu un coup de main pour raccrocher ma main, et le tour était joué ! Je trouvais ça quand même un peu bizarre que ce soit Bodhi qui les fasse naître. C'est un garçon. Et les garçons normalement, ils ne peuvent pas faire naître les bébés. Je ne pense pas. Ça serait vraiment trop bizarre.
Mais en tout cas, les bébés étaient vraiment mignons. Un peu sales et pleins de sang, mais ça n'était pas désagréable. Le rouge, c'est une jolie couleur. Et puis le sang, ça sent bon. J'aurai bien aimé avoir du sang qui coule de ma main, ça aurait pu dire que j'étais une vraie humaine. Au moins on était sûre que les enfants n'étaient pas des poupées. C'était un peu dommage quand même, j'aurai bien aimé avoir des amis poupées comme moi. Mais de toute façon, Blanche-Neige n'avait pas l'air d'être une poupée. Peut être que leur père en était une ?
- Ceux sont de très jolies prénoms ! Mais pourquoi vous en dîtes trois ? Ils ne sont que deux pourtant !
Déjà, avoir plusieurs enfants en même temps, ça me paraissait fou. Il n'y avait que les louves-garous qui pouvaient avoir des portées très nombreuses. Je croyais que les humains n'en avaient qu'un seul à chaque fois. Enfaîte peut être que c'était une louve et qu'elle devenait très velue une fois par mois ! Quoi qu'elle en aurait sûrement eu une dizaine au lieu de deux. Et puis une princesse qui se change en louve, ça serait tellement bizarre !
Le père noël était entrain de retirer ses vêtements ! Ou plutôt, Angela lui retirait. Mais elle était folle cette peluche ! Il allait mourir de froid ! Et puis, ça ne se faisait franchement pas de déshabiller devant tout le monde, je ne voulais pas voir les sous-vêtements du Père Noël. J'étais sûre qu'ils étaient décorés avec des lutins.
Je m'étais approché de la peluche rose et je l'avais attrapé par le bras pour la repousser. Elle était vraiment très malpolie ! C'était agaçant. Personne ne lui avait appris à être gentil et bien élevé ?
- Stop ! C'est interdit ce que vous faîtes ! Le Père Noël ne veut pas se déshabiller devant vous. Et attention ! Ou je vous caresse de nouveau la tête et comme ça, vous serez à nouveau recouverte de cœur !
J'étais prête à lâcher ma main pour qu'elle s'en occupe. Que ce que j'avais hâte de me recoudre. J'aimais bien ma main comme ça, elle me tenait compagnie. Mais je voulais pouvoir utiliser mes deux mains au bout de mes bras, pour pouvoir faire tout ce que je veux. Je me retournais vers le Père Noël et penchais la tête sur le côté, pendant que ma main tirait sur le bas de son pantalon pour attirer son attention.
- Dîtes Père Noël, comme je vous ai sauvé la vie moi aussi et que je ne vous ai pas laissé tout congelé, même si j'y ai pensé, je pourrais avoir comme cadeau du fil ? J'en aurai vraiment très très très besoin, sinon plus jamais je ne pourrais coudre ou sauver la vie d'un Perce-Oreille !
Je le méritais je trouve. Comme les autres, ils méritaient un cadeau pour ce qu'ils avaient fait. C'était la moindre des choses. Et puis ce n'était pas comme si je demandais une machine à coudre et un kit complet tout neuf. C'était juste du fil.
Je n'eus pas le temps d'avoir sa réponse que tout à coup, ma main se mit à s'agiter et à courir vers l'extérieur, toute excitée. Que ce qu'elle avait ?
- Vous croyez qu'elle est allée chercher des secours ? Ça serait bien ! Est-ce que vous avez au moins appelé avec le téléphone de la peluche ?
Ma main au moins avait l'air intelligente. Même si je n'arrivais pas toujours à la comprendre.
Tant d'agitation, c'était beaucoup pour un vieil homme, pourtant jamais de ma vie je ne m'étais senti aussi vivant! Le fait de sortir d'une sieste "forcée" y était peut-être pour quelque chose. J'aurais sans doute du m'en inquiéter. Après tout, j'avais, apparemment été enlevé. Je n'en avais aucun souvenir. Pas même une raideur dans la nuque! Et pourtant, d'après les rumeurs que cette joyeuse bande me ramenait, cela avait visiblement été assez mouvementé. Un casino? Des rennes carnivores? Mes rennes n'étaient pas carnivores! Je les avais toujours nourris aux boulettes de beurre de cacahuètes! Très bon le beurre de cacahuètes. Plein d'énergie. Surtout quand on y rajoute des cranberries et des noix de pécans. Rudolph adorait les noix de pécans. Malgré moi, j'eus un pincement au coeur en pensant à mes petits rennes d'un mètre soixante au garrot. Mes petits bébés... Enfin en parlant de bébés, voilà que l'une des femmes de la bande se mit à crier qu'elle allait en avoir, de bébé.
-Comme c'est excitant! Naître à Noël! Ils seront robustes! m'extasiais-je, alors que personne ne m'écoutait.
Il fallait avouer qu'ils avaient tous forts à faire. La Maman criait très fort, alors que l'ascensceur faisait un sacré remue-ménage. C'était presque... Le mot m'échappa. Je me tournais vers Bodhi, lui souriant à travers toute cette agitation. Peu importait qui m'avait enlever, je lui en étais presque reconnaissant. C'était si bon pour le sang, autant de bruit, de couleur, de son, de personne de...
-Psychédélique!
Le mot, revenu dans ma mémoire, m'échappa au moment où l’ascenseur ouvrit ses portes. Quel remue-ménage! J'avais l'impression d'être prit dans une tornade en plein blizzard. Ou peut-être était-ce tout simplement du au fait que mon enlevement n'avait pas vraiment prit fin. Par réflexe, je pris mes sabres, sortant de la boite de métal, en jetant des regard partout autour de nous. Ce n'était qu'un grand hall. Mais il résonnait.
-Mais faites quelque chose au lieu de... AAAAAAAAAAAAAAAH !
La Maman se laissa glisser contre un mur et soudain, ce fût l'ébullition. Tout le monde se mit en mouvement, tous se massèrent autour de la jeune femme qui semblait avoir du mal à respirer. Tout ça devenait vraiment beaucoup à assimiler, pour moi. Je ne comprenais plus. Etait-ce une bataille ou non? Mes sabres dans mes mains, je fixais l'attroupement avant de finalement, revenir vers eux.
-Par le blizzard de Mai!
Une tête, et beaucoup de rouge. C'était visiblement bel et bien une bataille, mais pas la mienne. Je n'avais pas assister à beaucoup d'accouchement, mais cela m'avait toujours fasciné. Comment les femmes pouvaient-elles être considéré comme faibles après ça? C'était incompréhensible.
-Tenez bon ma Mie!
A mon tour, je viens me poser à ses côtés, faisait de mes grosses mains des éventails pour la refroidir. Vu la rougeur de ses joues, elle devait avoir aussi chaud qu'après une sixième vodka! Et j'en savais quelque chose... Il y eut beaucoup de grognements et pas mal de couleurs et soudain, la Maman gagna la bataille. Deux bébés! C'était fascinant! J'en eus un grand éclat de rire, si fort, qu'il se répercuta sur les murs autour de nous. Des bébés de Noël. Deux petits êtres de Noël. Cela me remplissait le coeur de joie. Ces deux petits seraient sur la liste des 'Nice', ce serait certain!
Soudain, je sentis que l'on m'enlevait mon manteau. J'eus un vif mouvement pour me retourner, tout en me dégageant.
-Je ne suis pas encore gâteux au point d'avoir besoin d'aide pour me déshabiller, jeune fille! Pourquoi me déshabiller par ailleurs?
Tout allait vraiment vite, et je me sentais un peu essouflé. Il était temps d'user d'un peu de magie. Mais je n'eus pas encore le temps. Car une vieille connaissance vint aussitôt à ma rescousse. Sally, me souvins-je. Elle m'avait déjà sauver une fois. A croire que cela devenait une habitude! Je l'observais avec douceur. Elle me semblait bien plus fragile ainsi, alors qu'elle n'était plus faîtes de feuilles et de tissus. D'os et de chaire, mais si pâle. Où étaient partis ses couleurs chatoyantes? Elle était si jolie, mais elle n'avait jamais autant semblé une apparition. Je mis mes deux mains sur ses épaules.
-Du fil Sally?! Je t'offrirais bien plus!Tu m'as sauvé, encore! Et vous tous, aussi! ajoutais-je en me tournant vers l'ensemble du groupe. Vous tous, vous m'avez sauver. J'ignore encore exactement de quoi, il faudra vraiment que vous me racontiez, mais je pense que cela peut attendre. Sachez cependant que le Père Noël n'oublie jamais, et que je suis généreux! Vous aurez tous droit à un merveilleux cadeau! Tous!
M'approchant de la Maman, je lui pris la main, et ajoutais, un ton plus bas, pour ne pas l'effrayée.
-Vous ne me pensez pas Père Noël, et je peux le comprendre. Mais croyez en ma magie. Je vais vous emmenez à l'hôpital, en un clin d'oeil. Et si vous le voulez, un jour, passez me voir. Vous trouverez ma maison en suivant votre coeur. Ou en suivant vos enfants, ajoutais-je avec un sourire vers les deux petits êtres.
Mes genoux craquèrent un peu en me relevant, mais je ne perdis pas de temps. Fouillant dans mes nombreuses -trop nombreuses- poches, et y découvrant des papillottes que je tendis à la petite fille blonde qui souriait beaucoup, je finis par dénicher mes "Snow Balls Express". Comme je remerciais notre ancienne Maire de les avoir transportés avec moi.
-Reposez vous, et surtout, prenez soin de vous tous, glissais-je à la Maman, avant de laisser tomber l'une des boules de neiges en verre à ses pieds.
Aussitôt, un givre bleuâtre et violet s'éleva de l'endroit où la boule s'était fissurer. Je vis dans les yeux de la Maman qu'elle n'était pas rassurée par ma porte de sortie, mais je saisie une poignée de ce givre magique et le soufflait en sa direction. Elle s'endormit aussitôt, tout comme ses petits. Je souris en les voyant tous les trois si mignons, si apaisés. Puis ils disparurent dans le blizzard. Avant de disparaître tout court, alors que le blizzard faisait de même. J'eus un sourire satisfait, avant de me tourner vers les autres... Qui me fixaient tous étrangement. Je mis un petit instant à comprendre.
-Ahahahahah n'ayez pas si peur! Je l'ai envoyé à l'hôpital de Storybrooke, c'est le seul lieu où mes Snow Balls peuvent encore nous transporter! Je devrais peut-être demander à Regina si elle sait comment en augmenter la portée, ajoutais-je plus pour moi même que pour eux. Alors! Où souhaitez vous aller? Chez vous, au Granny? Je serais bien tenté par un chocolat chaud personnellement.
Je fis jouer les trois Snow Balls entre mes mains, attendant leurs décisions. J'aurais bien proposer à tous de venir chez moi afin qu'ils me racontent cette fabuleuse aventure, mais il me semblait plus polis de les laisser choisir. D'autant que certains me fixaient encore étrangement.
Bodhi Blu Butler
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| Conte : Rio | Dans le monde des contes, je suis : : Blu, l'oiseau rare
❝Oh oh oh... Misère !❞ Oh oh oh... on est mal barré !
Je restai appuyé contre l'embrasure de la porte d'entrée, observant d'un oeil vitreux le paysage enneigé. Je tressaillis en sentant Peggy poser sa tête contre mon épaule, mais ne fis aucun geste pour la déloger. Sa présence m'apaisait.
"C'est toujours aussi mouvementé avec vous ?"
J'esquissai un sourire à demi amusé, à demi épuisé. Je lui lançai un regard en coin. Elle devait faire allusion à notre rencontre avec le loup-garou. A cela, il fallait ajouter notre périple pour retrouver le père noel. Il n'y a pas à dire, j'avais vécu de sacrés trucs en seulement quelques jours. Si j'avais su qu’être maire impliquerait autant d'aventures, j'aurais peut-être hésiter avant de signer.
Je sentis qu'on me tirait en arrière. Je poussai un cri et découvris, sans surprise, Angela qui essayait de m'enlever mes vêtements.
"Mais qu'est-ce qui te prend, encore ?"
Mes protestations n'eurent pas raison de son entêtement. Avec une rapidité et une dextérité déconcertantes, elle parvint à m'enlever mon manteau en lambeaux ainsi que ma chemise. Je me retrouvai torse nu face à l'équipe de choc. Je lançai un regard indigné à Angela et la repoussai brutalement au moment où elle s'attaquait aux boutons de mon pantalon. "Ca suffit ! Tu n'es plus ma secrétaire ! Tu n'as plus aucun droit sur moi !" m'écriai-je d'un ton véhément.
Je m'interrompis, l'index en l'air. Que venais-je de dire ? Cela sous-entendait-il que d'habitude elle avait le droit de me déshabiller ? Je glapis et plaquai une main sur mon visage. Pendant qu'Angela s'attaquait aux vêtements du Père Noel, j'attrapai ma chemise qui gisait au sol et la remis avec difficulté. Je vis alors la main de Sally galoper à toute allure et disparaitre au dehors. "Elle coursait peut-être une araignée." hasardai-je.
Pendant ce temps, Angela continuait de tenter de déshabiller le Père Noel, qui ne s'en laissa pas conter. Il se débarrassa d'elle rapidement -j'aurais aimé lui demander comment il s'y prenait pour qu'elle obéisse avec autant de facilité- et fit disparaitre Mary Margaret et les nourrissons dans un brouillard givrant des plus inquiétants.
"Vous êtes sur que ce moyen de transport est homologué ?" demandai-je d'un ton anxieux.
Mais déjà il nous dévoilait d'autres boules magiques, prêt à s'en servir en arborant un genre de sourire trop large qui fait un peu peur. "Je ne me sens pas d'attaque pour un chocolat, sans vouloir paraitre rabat-joie... Je me sens un peu nauséeux après tout ça." dis-je en passant une main sur mon front moite. "A vrai dire... tout ce que je souhaite, c'est une douche suivie d'un bon lit."
Je ne sais pas si le Père Noël s'en rendait compte, mais j'étais toujours couvert de sang et de liquide amniotique. Et j'avais plutôt hâte de m'en débarrasser. Je vis tourner une boule magique vers moi avant que je disparaisse dans une brume glacée qui chatouillait jusque dans les amygdales.
Lorsque j'ouvris les yeux, je sentis avant de voir le jet d'eau glacé qui tomba sur ma tête et le reste de mon corps. Je poussai un hurlement et tournai en vitesse le robinet d'eau chaude. Je battis des paupières, tétanisé au milieu de ma baignoire, avec l'eau qui ruisselait sur ma chemise à moitié ouverte. "Merci bien, Père Noël..." grommelai-je d'un ton lugubre.
En tous les cas, je m'en souviendrai, de cette aventure !