« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
'avais hésité quand Monsieur le Maire avait proposé de faire demi-tour pour ceux qui voulaient partir. Si le Père Noël avait disparu, c'était pas ma faute. Il ne m'avait jamais mis de cadeaux sous un sapin, je ne voulais pas que ça m'arrive et en plus, ça ne me gênait pas qu'il lui arrive pleins de problèmes. Même que ça serait bien fait pour lui !
Mais si je le laissais mourir... alors ça voudrait dire que je serais devenue une méchante. J'aurai laissé mourir le Père Noël. Et je suis une gentille poupée, pas comme celle qui a des cicatrices partout et qui parle très mal en se baladant avec un couteau. Je ne voulais pas que les gens se mettent à m’appeler Chucky.
Alors je les avais tous suivis, en essayant toujours de suivre la fille avec les longs cheveux dorés. Blanche-Neige avait ouvert une porte, et je l'avais passé aussi. J’espérais vraiment qu'aucun dragon ou princesse endormie ne se cache derrière. J'avais failli mourir brûlé, je ne voulais pas que ça recommence. Je n'ai emmené que mon kit de couture, pas un extincteur. Il n'y avait pas eu assez de place dans la poche de ma robe.
Ce n'était pas du feu qui m'attendait. C'était presque pire. De la neige ! Il neigeait partout ! Par terre, dans le ciel... C'était comme se faire attaqué par des morceaux de cotons qui fondent. Je n'aimais pas ça. Le Père Noël avait dû nous tendre un piège pour se venger et maintenant j'étais coincé dans un endroit où il neige tout le temps et où personne ne fête halloween !
J'allais faire demi-tour, mais la porte n'était plus. Elle avait disparu, ce bonhomme en rouge nous avait vraiment coincé ici ! Je voulais pas rester, je ne voulais pas être seulement éclairé par un réverbère et encore moins vivre dans un grand château tout gelé... ça ne me gênait absolument pas le froid, mais je ne voulais pas que mes fils gèlent. C'est vraiment très dur de coudre avec un fil gelé. Et puis si le château est en glace, jamais je n'allais trouver des produits pour pouvoir le nettoyer.
- Je n'ai pas froid . Je n'ai jamais chaud. Enfaîte, je ne sens rien. Je suis insensible à beaucoup de choses, et je ne suis jamais malade !
J'avais répondu à la jolie jeune fille en lui faisant un grand sourire et en enfonçant mes pieds dans la neige pour bien lui montrer que ça ne me gênait pas. Elle avait vraiment l'air gentille. Pas comme celle avec les cheveux qui ressemblent à des flammes. Elle, elle était aussi effrayante qu'un incendie. Je ne voulais même pas m'approcher de ses cheveux.
- Le Père Noël et moi avons été capturés tout les deux par Oogie Boogie, un méchant vraiment très méchant qui a pleins d'insectes sous sa peau... ou plutôt sous son tissus, parce qu'il n'a pas vraiment de peau. Enfaîte il est un peu comme un très grand sac remplis de gros insectes qui grouillent. Sauf qu'il mange des insectes aussi, donc c'est un peu bizarre...
C'était dur de savoir aussi ce qu'était vraiment Oogie Boogie. Je n'avais jamais compris. Peut être qu'il était une sorte de poupée lui aussi... peut être qu'il était un cousin éloigné !
J'avais complètement oublié ce qu'il se passait pendant que je réfléchissais quand la femme rousse prononça le mot interdit.
- Non! Pas de feu ! Le feu ça brûle, le feu ça tue !
Je m'étais jeté entre elle et le garçon à qui elle voulait arraché les vêtements. Ce n'était pas normal de faire du feu avec des vêtements. Comment elle voulait faire ? Non, le plus important, c'est qu'elle ne prononce plus jamais ce mot. Je savais qu'elle était dangereuse !
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Bodhi Blu Butler
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Voilà que nous nous trouvions au beau milieu d'une clairière enneigée. Je me retournai, déconcerté de ne plus voir la porte. Pourtant, une porte rouge, ça ne passait pas inaperçu !
D'accord... Il va falloir trouver un autre moyen de rentrer, si je comprends bien, songeai-je.
Je sentis mes terminaisons nerveuses avoir quelques ratés. Tout ceci était vraiment trop de pression pour moi. Le gout de l'aventure, du danger... ça me donnait de l'urticaire. Pourtant, il fallait être fort. Je devais prendre exemple sur Mary Margaret, fière archère à qui on ne la faisait pas. Difficile de voir l'ombre de Blanche-Neige en elle. Elle était devenue une femme accomplie. Je me devais de faire pareil. Enfin, devenir un homme, pas une femme. Hum...
Je me dépêtrai de mes réflexions emmêlées tandis que la jeune femme me posait une question à laquelle je fus incapable de répondre. Où étions-nous ? Désolé, je n'ai pas reçu de plan avec ma lettre anonyme...
Je m'éloignai d'elle, cherchant à m'imprégner des lieux pour découvrir ce qui nous attendait. Premièrement : il faisait fichtrement froid. Je ramenai les pans de mon long manteau noir devant moi, jetant un coup d'oeil au type italien et à la brune qui allaient pieds nus dans la neige. Savaient-ils qu'on était en décembre ? Tant pis pour eux, ils n'avaient qu'à s'habiller en conséquence.
Je n'osais pas trop m'attarder sur Peggy. Je ne voulais surtout pas qu'on remarque mon attachement pour elle. Du coin de l'oeil, je vérifiai tout de même qu'elle était suffisamment couverte. Je crus la voir frissonner. Oubliant mon propre confort, je fis un pas pour voler vers elle, entrouvrant mon manteau, quand soudain...
Je sentis qu'on se cramponnait brutalement à moi. Je levai les yeux au ciel en baissant les yeux sur Angela, totalement lovée contre mon bras. Si elle avait pu, elle me serait grimpée dessus.
Je tentai de la faire lâcher prise mais elle n'était pas décidée à le faire. Le froid la mettait vraiment de mauvaise humeur car elle aboya une réponse à l'adresse de Peggy. Offusqué, je la dévisageai avant de la repousser avec plus de force. "Je ne lui ai envoyé aucune invitation !" chuchotai-je d'un ton véhément. "Tu ne vas pas t'y mettre, toi aussi ? Tu as bien vu qu'on a reçu l'enveloppe ! C'est même toi qui me l'as apportée !"
Elle s'éloigna, m'ignorant totalement. Je poussai un profond soupir qui exhala un nuage de buée devant ma bouche. L'air froid s'engouffra dans mes poumons. Je toussotai légèrement avant que mon regard ne tombe sur Peggy. J'aurais bien voulu m'excuser au nom d'Angela, mais je ne savais pas comment m'y prendre. Cela sonnait comme quelque chose de stupide.
Voilà qu'Angela s'attaquait à la brune, à présent. Cette dernière nous raconta qu'un dénommé Oogie Boogie l'avait kidnappée à l'époque ainsi que le père Noël. Très intéressant... Sans doute était-elle celle qui nous serait le plus utile durant notre épopée.
Abimé dans mes pensées, je sursautai en entendant Angela claquer des doigts devant moi. Je clignai des yeux et la fixai. Elle n'avait pas tort. Le temps était venu de se bouger. En plus, elle aurait bien plus chaud et cesserait de se comporter comme une enfant gâtée. "Mademoiselle a raison." dis-je en rejoignant la brune qui faisait bouclier devant l'italien. "On ne va bruler personne, et encore moins les vêtements de quelqu'un ! On va tenter de connecter nos cerveaux et de trouver une piste ! On n'est pas ici par hasard. Cette clairière est forcément le point de départ qui nous mènera au Père Noël."
C'est beau de rêver...
"Vous dites que ce Oogie Boogie a enlevé le Père Noel une première fois. Pensez-vous qu'il puisse récidiver ?" demandai-je à la brune.
Puis, mon instinct amical refaisant surface, je lui tendis la main pour la serrer.
"Au fait, je m'appelle Bodhi. Etant donné qu'on est dans la même galère, autant s'appeler par nos prénoms. Vous êtes ?"
J'entendais déjà Angela dire que ce n'était pas le moment de draguer... sauf que ce n'était pas une tactique de séduction. Je voulais connaitre mon "équipe". Une équipe soudée est une équipe qui gagne. Je fis de même avec l'italien, lui demandant comment il s'appelait.
"Bon, à présent, partons !" dis-je en me frottant les mains avec conviction.
Le coeur battant à tout rompre, je m'élançai en premier à travers le sentier enneigé. Je me dirigeai vers la forteresse de glace que l'on apercevait au loin. Cela semblait être la seule construction à des kilomètres à la ronde, à moins qu'un village ne se cache derrière les arbres...
Tandis que je marchais, je m'approchai subrepticement de Peggy. Je me penchai brièvement vers elle, juste assez pour lui murmurer :
"Tout va bien ?"
Oui, c'était plat. Mais en de telles circonstances, je ne voyais pas quoi demander d'autre. Si nous avions été seuls, si je n'avais pas eu si peur, peut-être aurais-je eu l'audace d'effleurer sa joue pour la rassurer ? Nous ne vivions pas dans un monde utopique. Tout ceci était interdit. Je l'avais compris. Je le vivais mal, mais je vivais quand même.
Au bout de quelques mètres, un éclair argenté attira mon attention. Je fronçai les sourcils et me détachai légèrement du petit groupe. Quelque chose était planté dans la neige. D'un revers de main, je chassai la poudreuse qui révéla cette étrange indication, gravée sur une planche de bois : Si vous les entendez, il est déjà trop tard. Visez leur nez, c'est votre seul espoir.
Les autres m'avaient rejoint. Je me tournai vers eux, indécis.
"Vous avez compris quelque chose ?"
C'est alors qu'un bruit léger s'éleva dans l'air. Je m'aperçus qu'il était là depuis un moment, mais je croyais qu'il s'agissait des flocons virevoltant dans le vent. Quel idiot... les flocons ne font aucun bruit. Pourtant, le son était chantant, comme si l'on secouait de tous petits grelots.
"Vous entendez aussi ?"
Soudain, j'écarquillai les yeux. Des silhouettes animales volaient dans le ciel. Elles me semblaient de plus en plus grosses... Elles approchaient... Non, rectification : elles fonçaient droit sur nous ! "Keskecékeça ?" fis-je bêtement en avalant de la neige.
Brusquement, je m'aperçus qu'il s'agissait de trois rennes. Avec des clochettes, des bois, et un nez rouge. Cependant, les crocs dans leur gueule et leurs yeux jaunes ne me disaient rien qui vaille. "Les rennes vont nous bouffer !" criai-je.
Des rennes carnivores ? Je n'étais plus très sur d’être au pays du Père Noël, finalement...
J'ai pas tout compris... La dame de compagnie nocturne s'est approchée de moi en me criant dessus et puis elle a touché mes cheveux... Une psychopathe je vous dis! Mais... Roh! c'était trop bon des ptite caresse! j'ai frotté ma tête dans sa main avant de lui répondre... De façon assez sérieuse: je bois beaucoup de lait et j'utilise une sorte de masque à l'oeuf, au lait et au miel! ça marche super bien... Continu de gratter steuplééééé je dis ça en mode gros chat les yeux fermé et grand sourire! mais fini les câlins, l'autre mec là il doit être jaloux... enfin bref, faut le suivre vu qu'il propose qu'on reste là... Bhe ouais un chat ça écoute jamais rien hein! un jour j'ai fais une pizza à la patté et à l'anchois car on me l'avait déconseillé... Et bien figurez-vous que c'était la pizza la plus dégueux du monde! Même l'autre clébard du quartier en a pas voulu...
Enfin bref, on monte les escaliers et allez savoir pourquoi, monsieur qui apparemment est le maire (je crois) a choisi la porte la plus flippante. Heureusement qu'on a blanche-neige avec nous! une femme presque microscopique car elle est pas grande, mais pleine de courage... Et je sais pas si elle est grasse ou enceinte, mais elle a un beau bidon! Son nouvel homme doit bien la nourrir! Mais il est surement pas très sportif au lit si il arrive pas à lui faire perdre ses Kilos en trop... Peut-être qu'il est impuissant... OH! Mais c'est qui elle?! Il y a une nouvelle nana avec nous! Elle est pieds nus elle aussi! Je l'avais même pas captée! Elle a l'air trop cool sérieux! HEY! toi non plus t'aime pas porter des chaussures?! je lui demande ça comme ça, sans même écouter le maire qui visiblement veut pas ouvrir la porte... Trompette! Heureusement qu'on a Snow! Elle ouvre la porte et BOUM BABEY! (ouais j'ai vu Kuzco il y a pas longtemps) on se retrouve à Narnia mon pote! Enfin ça y ressemble quoi. Il y a eu un film dessus et ça ressemble trop à ça! sauf que dans le film personne me demande de servir de bûche... Mais bon cela dit je peux toujours filer mes fringues à faire brûler... Puis dame de compagnie nocturne me demande de retirer mes fringues... Donc je commence à retirer ma veste et à lui jeter. Torse nu dans la neige, c'est cool comme principe! Mais L'autre nana pieds nu refuse... Pfeuh. Bhe quoi? c'est beau le feu, je me rappel un jour je suis rentré chez des bourges par effraction pour voler du poisson et je me suis foutu au coin de la cheminée... C'était cool.;; Mais bon le maire il veut pas non plus... Ils sont nul sérieux...Connecter nos cerveaux? Genre avec des câble usb? Ca se trouve le père noël il est juste venu en vacances et nous on vient le déranger... Oggie truc bidule là... Lui on peut lui foutre le feu? les insectes ça brûle non? Je dis ça mais j'ai jamais foutu le feu à des insectes... Donc le maire c'est Bodhi... On a un maire qui s'appel Bodhi... Okay. Moi c'est Gino! Il s'adresse à moi? Heu... J'en ai aucune idée. Mais bon, c'est cool ce petit bruit de grelot au loin, ça a du rythme, ça donne envie de danser quoi! Mais bon faut avancer...
Donc c'est en marchant que je commence à taper la discute avec Mademoiselle Snow Alors Potter? On a la frousse? Ou bien t'as quelques tours dans ton sac? c'est fin hein? Mais p****! On a été coupé dans notre super discussion par une saloperie d'éclaire! J'entend même plus les grelots... le nez... Ptain t'imagines tu te prends genre un coup de pelle dans le nez? ça doit faire super mal non? Et ouais c'est cool hein? Les grelots ça fou du rythme! depuis au moins 5 ou 1 minutes moi je bouge en rythme mon pote, c'est trop cool, t'avais pas capté? Mais bon, encore une fois on est coupé, sérieux ça devient lourd! je sais pas qui c'est les couillons qui font notre histoire mais ils sont pas drôles... Je suis sûr qu'on est genre commandé par des gens qui ont rien à foutre de leur soirées... enfin bon, moi des rennes carnivores qui me foncent dessus alors que je suis torse poil dans la neige c'est pas trop mon trip! quand un d'eux m'arrive dessus, Mary margaret lui décoche une flèche dans la face et je trouve dans le sol une... Pelle? genre un truc pour ramasser la poussière mais en fer ou en fonte... Okay vas pour cette arme. je lui fou un gros coup dans la truffe à la bestiole! Elle vient de se prendre deux coups, sérieux on est une équipe qui déchire! Puis on réitère la chose sur un second renne. La guerre est lancé! Cachez vos femmes et vos enfants, posez-vous devant vos télés, le fight épic va commencer!
Ciao tutti! On va les défoncer!
Peggy Cumulusss
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*machouille son crayon* Diane...en mathématique tu te débrouilles comment?
Commençais-je. Mais à dire vrai, elle avait un peu raison, non pas sur ma mémoire, j'en avais une très bonne, mais je connaissais déjà la réponse. Bien sur qu'ils devaient en savoir autant que nous, ils avaient reçu la lettre. Enfin, la brune me répondit, jamais froide? Elle ne ressentait vraiment rien?
-Je ne suis jamais malade, enfin je ne l'ai jamais été, je ne peux pas l'être je crois.
Je devais ça à ma nature divine, je pouvais être blessée, mais pas malade. ça avait du bon. Par contre, je pouvais ressentir le froid, le chaud et les autres sensations que le corps pouvait éprouver. La rousse avait aussi haussé le ton sur la brune. L'homme étrange à retirer son haut. Ho mon Dieu...même Hermès n'aurait jamais fait ça devant moi, je n'avais jamais vu le torse de personne. Je détournais rapidement les yeux pour en voir le moins possible, vers Bodhi...non, je devais trouver quelqu'un d'autre, avant de devenir rouge. J'étais à mettre chemin, mes joues commençaient à chauffer quand je revins sur le corps froid de la femme.
-Moi c'est Peggy.
Je venais de sourire, quand Bodhi attira l'attention sur les rennes qui n'avaient rien d'amical. Devait-il toujours y avoir une créature qui voulait notre peau quand je croisais Bodhi? Je tournais les yeux vers la rousse qui était dos aux rennes. Une créature s'approchait. Et alors ne me demander pas pourquoi, j'eut le réflexe de me mettre devant elle. Elle avait beau être méchante, je ne pouvais pas la laisser se faire dévorer...moi c'était...moins grâve, enfin je crois, j'espérais. Je pris deux coups au niveau du bras. ça faisait mal, je ne pouvais pas être malade, mais je pouvais être blessée. Mon visage grimaçait suite à ces deux coups portés, toutefois, je regardais la rousse essayant de sourire.
-J'en ai vu d'autres...
Oui, vu, mais pas senti, je n'avais pas été bléssée par un cavalier, pas physiquement, et les voitures, ce n'était rien à côté. Je ne réfléchissais pas vraiment pour moi en cas de danger, j'étais plus du genre à penser aux autres avant ma propre sécurité. Je n'avais pas réfléchit pour les cavaliers, je n'avais pas réfléchit pour le loup et je n'avais toujours par réfléchit pour ce fichu renne, qui m'avait mordu par deux fois au bras.
Mary Margaret n'aimait pas vraiment le fait que le maire ne savait même pas où ils se trouvaient tous. La jeune femme soupira donc, avant de laisser tomber la boule de neige qu'elle avait en main et de fixer l'autre homme, qui... Commençait à se déshabiller. Il se retrouva donc torse nu et bien evidemment, la future maman ne pouvait s'empêcher de fixer les abdos de l'homme. Elle s'approcha donc d'ailleurs de lui et posa sa min sur ses abdos, en demandant alors :
-C'est vraiment des vrais muscles ? Non parce que mon mec, ici, et bien c'est tout mou !
Encore une fois, le congélateur s'en prenait plein la tronche mais peut importait. Elle fut bien vite sortie de ses pensées lorsqu'ils se mirent tous en route et que déjà, Bodhi leur demandait de se présenter. La brune joua donc le jeu, en disant simplement :
-Mary Margaret !
Puis ce fut Gino qui prit la parole pour lui demander si elle avait la frousse. Exaspérée, elle leva donc les yeux au ciel, pour dire :
-Même pas en rêve Malefoy !
Mais elle s'arrêta bien vite en entendant Bodhi leur parler d'une enigme puis... Et bien comme Gino, elle se mit à danser comme une folle sur le son des flocons qui tombait. Mmais attendez ? Des flocons ca ne fait pas de bruits !!!! C'est alors que des rennes volants carnivores arrivèrent. La jeune femme dégaina donc son arc à la vitesse de l'éclair. Elle envoya donc une première flèche dans le nez d'un des rennes, alors que Gino prenait une pelle pour continuer le massacre. Puis elle continua avec un second renne, en criant :
-On mange du pâté de renne ce soir !
Angela Pink
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৩ Ca fait tellement... longtemps ! ৩
৩ T'as vraiment rien
d'Aloy... ৩
| Conte : Lilo & Stitch ¸.• | Dans le monde des contes, je suis : : Angel ϟ
Un coup de pelle avait été donné, une flèche avait été expédiée en plein dans le nez de ces bestioles. Déjà deux venaient de tomber. Pendant tout ce temps, j'étais resté de glace, ne pouvant plus bouger. Ils étaient sérieux? On se faisait véritablement attaquer par des volatiles de Noël? J'avais un mal fou avec les choses volantes. C'était comme les mouches à la mairie. Si on avait pas appelé ce dératiseur de mouches pour s'en occuper, je n'aurai plus pu y mettre les pieds.
J'avais jeté un regard furtif autour de moi. Les rennes semblaient s'en prendre qu'à ce type et la vieille dame. En parlant d'elle, je l'avais déjà vue quelque part. Peut être chez le coiffeur? Ses cheveux étaient tellement court qu'elle devait y aller souvent. Elle savait que ça lui donnait un côté garçon manqué. Elle ne souhaitait plus plaire à son âge? Je lui aurai bien donné des conseils, mais elle était déjà en grande difficulté et je ne voulais pas l'embêter en ce moment.
A côté de moi, il y avait toujours cette jeune femme qui semblait avoir peur autant de Noël que du feu. Elle était folle ou quoi? J'avais levé les yeux, entendant un bruit assourissant. C'était le renne ! C'était le renne !!
"Merdum !!!" avais-je hurlé avant de me tourner, de me mettre à courir, puis de faire rapidement demi tour, prendre la fille effrayée par la main et me remettre à courir en l'entrainant avec moi.
"Court ! Court ! Ne t'arrêtes pas de courir !"
Je sentais qu'au bout de quelques secondes, elle ralentissait. J'avais tourné la tête vers elle. Le renne avait attrapé un morceau de tissus de sa robe et il se laissait traînait. C'était donc ça le surpoid que je sentais?
"BOUH !!! BOUH !!!" avais-je hurlé en lâchant Sally et en me précipitant vers la bestiole en faisant de grands gestes avec les bras. Il avait d'abord reculé, avant de me sourire. Si si, je vous assure, il m'avait souris avec ses dents de prédateur. Puis, il s'était élancé vers moi et j'avais fait la chose la plus stupide que j'aurai pu faire quand il avait bondis pour me sauter à la tête. Je m'étais accroupis... Il avait atteris beaucoup plus loin.
"Yes ! Yes ! Un point pour la peluche rose !"
Je m'étais mordue les lèvres avant de jeter un regard vers Sally, qui devait toujours aller bien, vue qu'elle n'avait pas encore été prise pour cible. Si ce n'est que sa robe devait avoir pris un petit coup.
"Pas peluche ! Jamais ! Compris ?"
Elle ne devait plus jamais dire ce mot. Même si ce n'était pas elle qui l'avait dit, mais bon... mieux valait prévenir que devoir brûler vif une jeune femme. J'avais remarqué à ses pieds quelque chose qui dépassait du sol. Après avoir vue que le renne venait juste de se redresser et s'apprêtait à nous attaquer, je m'étais mise à quatre pattes et j'avais tenté de gratter la neige pour déloger l'objet qui se cachait dessous.
"C'est une pelle..." avais-je dit surprise avant d'entendre des bruits de sabots.
"C'est une pelle !!"
Cette fois ci j'avais compris quelle utilitée elle pourrait avoir. Je m'étais redressée et je m'étais tourné en prenant de l'élan avec mon bras pour donner un bon coup de pelle sur le museau de l'horreur qui nous attaquait.
"Meurs, pourriture communiste !"
Bien visé, bien fracasé... Le Renne avait été envoyée en arrière. J'avais planté ma pelle dans le sol et je m'étais frotté les mains.
"Alors? Elle te dit quoi la peluche?"
Il n'aurait pas dû ne pas me traîter de peluche.
Sally Ragdoll
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| Avatar : Gemma Arterton
| Conte : L'étrange Noël de Mr Jack | Dans le monde des contes, je suis : : La version Burton de Barbie
'avais presque enfin réussi à ne plus avoir peur de ces drôles de personnes. Presque. Celui qui m'avait tendu la main et celle avec les longs cheveux dorés avaient vraiment l'air gentil. J'avais fais un immense sourire quand Bodhi m'avait serré la main, toute heureuse de voir qu'on s'intéressait un peu à moi. J'ai l'habitude de n'avoir pas beaucoup d'importance. Et pourtant, il avait l'air d'avoir assez à faire avec la dangereuse chevelue de feu.
- Je suis Sally. Et Oogie Boogie est censé être mort, je pense que ça serait trop difficile pour lui d'attaquer le Père Noël alors qu'il a été éparpillé un peu partout...
Et puis il n'avait pas le droit de revenir embêter le Père Noël. Ça ne se faisait pas, mais alors pas du tout. Le pauvre bonhomme avait dû en garder des séquelles toute sa vie. Ça devait quand même lui faire beaucoup, tout ces enlèvements.
Je suivi Bodhi, que je considérais comme le chef de l'expédition. Il était appelé « Monsieur le Maire ». Un maire, je crois que c'est important. Alors ça doit être lui notre chef. L'autre homme était torse nu, comme si ça allait tout régler. C'était très mal polie de se déshabiller comme ça devant tout le monde.
Le château gelé était le seul lieu où nous pouvions aller, c'était logique. Donc logiquement, on devait tous y aller. Je me demandais quand même qui pouvait vivre là-dedans. Peut être que c'était la Mère Noël, et qu'elle avait juste enlevé le Père Noël pour enfin avoir un mari. Ce serait tellement romantique !
Mais les animaux de compagnie de la Mère Noël ne voulaient pas nous laisser entrer. C'était des rennes, qui avaient l'air tout mignon avec leur gros nez rouge. Pourquoi elle n'avait pas pris des chiens plutôt ? C'est beaucoup plus effrayant ! Et à HalloweenTown, certains ont des araignées géantes qui surveillent leur maison. Elles piquent et leur venin est mortel ! J'aurai beaucoup aimé en avoir une, mais le Docteur avait peur que je fasse des allergies.
Je n'avais pas compris tout de suite ce qu'il se passait. Je n'arrivais pas à arrêter de regarder le nez rouge du renne devant moi. C'était joli. Je comprenais un peu mieux pourquoi Jack avait été obsédé par Noël. Non, enfaîte je ne comprends pas. Mais quand même, c'est joli. Moins que les têtes réduites, mais quand même.
Et puis la rousse m'avait attrapé la main et m'avait fais courir. J'entendais tout le monde crié, et les grelots qui faisait ce bruit un peu insupportable. Ce n'était pas vraiment discret, pour des animaux de garde ! Je sentie tout à coup quelque chose m'agripper par la robe. Le renne voulait me l'arracher ! Le tissus se déchira sous la pression, jusqu'au niveau de ma hanche, sur le côté. Mais c'était horrible ! Il avait déchiré ma robe préférée ! J'aurai voulu m'énerver contre lui toute seule, mais la fille aux cheveux enflammés lui avait donné une correction.
- Vous êtes une peluche alors ? Moi je suis une poupée ! C'est la première fois que je vois une peluche vivante.
Son créateur devait vraiment être très bon. Il avait dû choisir pleins de bons morceaux. Je n'aurai jamais deviné sinon qu'elle était une peluche. J'allais la remercier quand j'entendis un bruit comme quelque chose qui va au galop et un grand choc dans le dos. Le renne m'avait encore attaqué ? Je voulu me retourner, mais quelque chose m'en empêchait. Je me tordis le cou pour regarder en arrière, mais je ne voyais rien. Je sentis quelque chose me faire bouger, mais ce n'était pas moi. Je crois. Je commençais même à être secouée dans tout les sens.
- Oh !
J'avais baissé les yeux, et une sorte de bout de bois m'empêchait de voir le sol correctement. Ça sortait directement de mon ventre, comme si j'avais été transpercé. Enfaîte, c'était sûrement parce que j'avais vraiment été transpercé par les bois du renne. Il m'avait attaqué ! Encore ! Alors que je ne leur avais rien fait ! Les animaux de Noël étaient vraiment méchants.
- Quelqu'un peut venir me décrocher s'il vous plaît ?
Le renne continuait à secouer la tête, sûrement pour se débarrasser de moi. Je n'étais pas lourde, mes pieds ne touchaient même plus le sol. Je ne voulais pas rester là, ça n'était pas vraiment le meilleur moyen pour aider les autres.
WILDBIRD
Bodhi Blu Butler
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| Conte : Rio | Dans le monde des contes, je suis : : Blu, l'oiseau rare
Il pleuvait des rennes ! Ou peu s'en faut. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, je me retrouvai au beau milieu d'un combat sanglant. Mary Margaret faisait chanter son arc, Gino avait attrapé une pelle et s'en donnait à coeur joie, jouant à "tape-renne" avec entrain. Peggy s'était fait mordre alors qu'elle tentait de faire bouclier devant Angela... C'était le délire complet.
J'écarquillai les yeux, incapable de remuer le moindre orteil. Le pire, ce fut quand je vis Angela s'éloigner en courant, accompagnée par Sally. Bonjour le courage... Bon, je ne pouvais pas vraiment crier au scandale car niveau héroïsme, je n'en avais pas fichu une rame. Mais j'avais une excuse : le duo de choc s'était chargé de faire de la pâté de rennes. Les créatures décharnées gisaient sur le sol, rougissant la neige de leur nez explosé, les orbites vides de leurs yeux louchant étrangement. Quelle charmante vision...
J'eus un haut-le-cœur et me tournai vers le bruit un peu plus loin. Angela jouait également à "tape-renne" avec la dernière bestiole récalcitrante. Increvables, ces machins ! Je me précipitai vers elle. Sally se trouvait pile dans le champ quand Angie envoya valser le renne zombie... dont les cornes s'enfoncèrent dans le buste de la jeune femme. Un bruit abominable et "craquant" envahit la foret. Je me stoppai net, dérapant dans la neige, mon long manteau noir devenu presque blanc. Les yeux écarquillés, je grimaçai et passai une main sur ma bouche. Là, c'était sur, j'allais vomir.
Je m'approchai lentement du corps de Sally. Il fallait faire quelque chose ! On ne pouvait pas la planter là ! Je risquais une main vers son visage, dans l'intention de fermer ses paupières pour toujours, quand elle leva brusquement la tête. Je fis un bond d'un mètre et me reculai, lâchant un juron plutôt déplacé.
"Nom d'un sapin !" me repris-je.
Aussi incroyable que cela pouvait paraitre, elle était encore vivante. Et le renne continuait de remuer, agacé qu'elle soit plantée sur ses bois. J'expirai un peu d'air, arrachai la pelle des mains d'Angela, visai le nez rouge de la créature, et tapai dessus. Un "crac" se fit entendre avant qu'un liquide rouge ne se répande dans la neige. La bestiole s'affaissa sur elle-même. Je saisis Sally par la taille avant qu'elle ne tombe dans la poudreuse et doucement, je la fis "glisser" hors des bois du renne. Un bruit croustillant et désagréable envahit mes oreilles mais je restai aussi vaillant que possible.
Enfin, je la lâchai, espérant qu'elle retrouve un semblant d'équilibre. Puis, je louchai sur le trou qu'elle avait au milieu du ventre.
"Euh... vous n'allez toujours pas attraper froid en restant comme ça, vous êtes sure ? Ca risque de faire courant d'air..."
Je m'interrogeai sur la véritable nature de la demoiselle, bien avant Storybrooke. Elle était vraiment très étonnante... et flippante. Je toussai légèrement et jetai un coup d'oeil au reste de l'équipe. "J'aurais bien envie de dire qu'on fait une pause, mais autant en finir au plus vite." dis-je en soupirant.
Je repris le chemin du sentier, gardant la pelle en main au cas où. Hormis Peggy et Sally, tout le monde semblait en bonne santé. On aurait du prendre une trousse de secours avec nous, bien que je ne voie pas comment recoudre une jeune femme avec un trou au milieu du ventre.
Arrivé à un carrefour de fortune qui serpentait entre les arbres, nous découvrîmes une maison en pain d'épices. La cheminée fumait et dispensait une odeur de sucreries entêtante. Je décidai de foncer. Marre de jouer les poules mouillées. Ca devenait dangereux, il fallait risquer un peu sa vie. Le chalet n'était pas en bois mais en rondins de chocolat au lait caramélisé. Des bonbons servaient de rideaux aux fenêtres. Lorsque j'abaissai la poignée de la porte, je m'aperçus qu'il s'agissait d'une patte d'ours à la crème.
A l'intérieur, une chaleur accueillante régnait. J'essuyai discrètement ma main collante dans le revers de mon manteau et entrai totalement, levant ma pelle pour parer toute attaque.
Déconcerté, je découvris cinq bonshommes en pain d'épices -taille réelle- prendre tranquillement un bain dans un baquet rempli de vin chaud. Ils tournèrent la tête vers nous et froncèrent les pralines qui leur servaient d'yeux.
"Eh ! Bande de voyeurs !" s'écrièrent-ils de leurs voix suraiguë.
"Désolé de vous déranger mais... on cherche le Père Noel." déclarai-je.
"Il est en train de faire du repassage dans la pièce d'à coté !" lança un des bonshommes.
"C'est vrai ?" m'enquis-je, ouvrant de grands yeux plein d'espoir.
Ils m'observèrent, clignèrent des pralines et s'esclaffèrent. Puis, l'un d'entre eux se redressa et posa ses "pattes" sur le haut du baquet, nous jetant un regard inquiétant. Enfin, il déclara d'un ton sec :
"Si vous voulez qu'on vous dise où est le gars en rouge, il faut payer. Aboulez vos effets personnels, et plus vite que ça !"
Le tir à l'arc c'était vraiment la vie. Mais Mary Margaret ne pût s'empêcher de lancer un regard noir au maire qui n'avait même pas bouger de son lieu de défense. Heureusement que Gino l'avait aidée à vaincre les rennes sinon, tout le monde serait certainement mort à l'heure actuelle. La prince récupéra donc ses flèches, les essuyant dans la neige, avant de finalement se retourner vers Bodhi, alors qu'Angela et Peggy partaient en retrait. Non sérieusement ? Quoique pour la petite blonde, c'était un peu normal vu son jeune âge. Mais pour la rousse...
Snow reprit donc son arc, le banda (), et envoya une flèche siffler aux oreilles d'Angela, attirant son attention, en lui criant alors dessus :
-Hop ! On reste ici ! C'est de votre faute à tous les deux si on est là alors vous nous sortez de là. Parce que sérieusement j'ai autre chose à faire que de me trouver là. J'veux pas que le congélateur me tue moi !
Elle soupira donc et fixa Bodhi défaire Sally du renne. Ca s'était super glauque. Elel leva donc les yeux au ciel, avant de se remettre en route, dans le froid dans la neige, jusqu'à ce qu'ils arrivent devant une maison toutes faite de friandise. Mary Margaret en saliva d'ailleurs mais se rappela de l'histoire d'Hansel et Gretel. Et vraiment, elle avait déjà assez de Regina pour avoir une autre méchante sorcière au derrière... Elle se contenta donc d'observer, avant de finalement rentrer à la suite de Bodhi et là...
Et bien elle ne pût s'empêcher d'éclater de rire. Vraiment trois petits biscuits se baignaient dans un semblant de baignoire de vin chaud. En tout cas, ca sentait bon la cannelle et la jeune femme avait vraiment faim maintenant...
"Si vous voulez qu'on vous dise où est le gars en rouge, il faut payer. Aboulez vos effets personnels, et plus vite que ça !"
Ah ouais ? La maitresse d'école cessa immédiatement de rire, avant de se diriger vers le baquet et de prendre l'un des mini pain d'épices et de le soulever, à hauteur d'yeux, tout en disant :
-Tu crois vraiment qu'on a peur d'un p'tit biscuit comme toi ? Sincèrement je viens de me battre contre des rennes carnivore volant alors un truc comme toi...
La princesse garda donc son "otage" à vue d'oeil, tout en demandant alors aux autres, histoire de faire peur aux pain de mie et qu'il leur disent où était le père Noël :
-Vous avez pas faim, vous ? Moi j'ai faim, j'me ferait bien du p'tit biscuit au vin chaud !
Peggy Cumulusss
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Dove choupette Cameron
*machouille son crayon* Diane...en mathématique tu te débrouilles comment?
Une maison en pain d'épice, c'était étrange. Nous venions de connaitre pire...vraiment? En entrant, le spectacle l'était tout autant, a vrai dire, étrange n'était pas le mot, mais je ne parvenais pas à en trouver de plus adapté à la situation. Des petits bonhommes en biscuit nous avaient...accueillit?
Bodhi engagea la discussion, j'étais personnellement pour cette méthode, mais il fallut que la femme aux cheveux courts conteste et n'engage les hostilités. Quoi? Elle ne voulait pas agir en douceur, la violence, c'était à ses yeux la seule façon de faire? Je n'en étais pas certaine, je ne le pensais même pas.
-Attendez, il faut au moins tenter de discuter.
J'espérais que les petits bonhommes soient plus ouvert d'esprit, après tout, s'ils proposaient un marché, c'était peut-être qu'il y avait un quelconque moyen de s'en sortir indemne. Mon bras était encore douloureux, mais je tentais de ne pas y penser, la poupée avait le ventre trouer, et si nous ne voulions pas plus de blessé, il fallait discuté. Les petites créatures demandèrent des objets. Je plongeai une main dans la poche de ma veste, en ressortit un mini-bloc noté, le doublent des clés de chez Angus dont le porte-clé me rappelait un caducée, symbole de mon cher Hermès. - il va falloir que je lui rende et...c'était tout ce que j'avais sur moi. Mais Mary Margaret prise l'un des petits biscuits entre ses doigts.
-Je ne suis pas certaine qu'il apprécie. Pourriez-vous...
Je tendis une main vers la princesse pour qu'elle y dépose son otage. Je vis sur son visage que ce ne fut pas de gaieté de coeur qu'elle le déposa. Je reposai le petit bonhomme où il était avec douceur.
-Moi c'est Peggy, et heumm... Le monsieur en rouge, le père Noël, il est très important pour...la plupart d'entre nous, si vous pouviez nous dire où il se trouve, nous vous en serrons très reconnaissant, je n'ai que ses objets sur moi, j'ai bien peur que cela ne soit pas très intéressant pour vous.
La plupart, c'était nous, sauf Sally, elle, j'avais bien compris qu'elle n'était pas là pour la même raison que nous, enfin, la sienne, sa vision des choses était assez particulière, je ne la comprenais pas, mais je ne pouvais pas me permettre de la juger.