« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
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Deborah & Alésia
Alésia continuait son dessin et regardait attentivement Deborah pour couché ses traits sur sa toiles quand elle mentionna sa chevelure de feu. Elle n'avait pas pu s'empêcher de secouer ses cheveux. Alésia sourit s'était pas plus mal, elle pouvait capté tout les reflets de ses cheveux. La louve appréciait cette couleur, elle n'avait pas eu l'apparence d'une rousse mais d'une blonde. Elle faisait avec son apparence physique qu'on lui avait donné. Mais, cette couleur allait merveilleusement bien à Deborah. Ca l'éblouissait. La couleur de cheveux de Deborah était une chose rare, et encore plus rare au vu du réchauffement climatique de la planète. Ce qui était bien dommage... Déjà qu'ils n'étaient pas nombreux alors là. Alésia n'avait pas de cheveux coloré en même temps quand son ancienne apparence était un loup au pelage blanc... En revanche, le fait qu'elles avaient parler de la faiseuse de malédiction ne l'avait au contraire pas laisser de marbre mais elle ne montrait pas réellement ses émotions aussi facilement. Bien que cette Regina, elle ne la portait pas vraiment dan son coeur, il n'y avait guère beaucoup de place non plus mise à part sa meute et quelques amis. Regina avait tout chambouler pour une simple caprice personnelle c'est ce que sa meilleure amie la manticore lui avait confier. Dewenty ne la portait pas du tout dans son coeur. Après tout... elle lui avait donné une apparence humaine alors qu'elle méprisait les humains. S'était un comble pour la manticore. Ce qui amusait royalement la louve. Je ne suis pas friande de cette femme au vu de ce qu'elle a fait mais du moment que je ne l'a croise pas, je m'en porte d'autant mieux. J'ai juste perdu certaines de mes facultés et pour cela je lui en veux... Elle a tout chambouler pour certains, et j ne fais pas parti de ses partisans mais, si des personnes son confiant dans le fait qu'elle ait changer c'est bien pour eux. Le sujet Regina était clos pour se focaliser d'avantage sur la déesse. Je dirais que c'est un cadeau à la hauteur du lien qui nous unit Elle ne pouvait pas dire le contraire. Ce qui voulait dire qu'elles étaient très unis dans tout cela. Alésia sourit. Et c'est tout à votre honneur je dois dire, ça prouve que vous avez une grande place dans le coeur de la déesse soyez s'en fière. Bien qu'au vu de son menton relevé elle était parfaitement fière de ce que cela représentait.
Deborah pouvait bien lui dire un mensonge ça Alésia n'avait pas le moyen de prouver le contraire. Et puis, ça ne changerait pas son mode de vie que ce soit une réalité ou un mensonge du moment que son interlocutrice se sentait valorisé de dire ça, c'était le principal. Non, je ne suis jamais allée à Olympe Elle fit une légère moue, s'était dommage peut qu'un jour se sera le cas ? Dans le monde d'Alésia, s'était un tout autre Olympe qu'elle avait s'était le domaine des loups avec des étendu à perte de vue. Ils n'avaient pas besoin de plus. Puis... on l'avait sollicité pour que les être humains ait de quoi vivre sans que le troupeau de caribou ne soit malade. S'est pour cette raison qu'elle avait accepté d'envoyer quelques uns des loups à la chasse au caribous pour que leur troupeau soit sain. Donc le mont Olympe l'intriguait d'une certaines manières. Et quelques mois plus tard, la manticore allait lui dire qu'elle avait visiter ce lieu pour que Alésia puisse faire des croquis de ce qu'elle avait pu voir la bas.
Pour le moment, il n'y avait qu'un paysage hivernal avec Deborah qui donnait à cette endroit une toute de couleur flamboyante. Alésia lui avait donc compter le fait qu'elle habitait dans un demeure hantée. Eh bien, non, je n'en ai pas entendu parler Ca arrivait. Les maisons hantées je les préfère dans les parcs d'attraction que comme habitation mais j'imagine que vous ne devez pas vous ennuyer là-bas et j'irais même jusqu'à dire que l'ambiance doit être mortelle Alésia rit. Oh non, je n'ai guère le temps de m'ennuyer, et effectivement l'ambiance y est mortelle; Chacun on une histoire bien différente. Par contre, je fais en sorte que les visiteurs ne risquent rien. Vous êtes plutôt douée avec le sens de l'humour je l'a trouve pas mauvaise. La louve avait donc compté ou elle habitait, ou il lui arrivait de prendre un thé avec les fantôme en l'occurrence s'était souvent Hélène qui mettait un point d'honneur à faire un bon petit déjeuner. Continuant son oeuvre d'art. Vous pouvez toujours vous consoler en vous disant que la malédiction aurait pu vous donner un corps beaucoup moins agréable à regarder Elle sourit et hocha la tête. Oh oui, donc je remercie cette malédiction pour m'avoir donner cette apparence physique qui me convient tout de même. Je ne m'aurais pas imaginez avec une apparence désagréable ça n'aurait pas été moi. Deborah la regardait de haut en bas et Alésia secoua sa chevelure légèrement. Vous étiez quoi avant ? La question était donc arrivé, donnant un autre coup de crayon. Elle cherchait les mots pour lui dire. comment je peux le décrire... j'étais ce qu'on peut appeler, un dieu en quelques sorte mais chez les loups. J'ai été un esprit loup. Mon nom était Amarok. Je suis la mère de nombreuse meutes de loups qui se sont rependue sur le monde pour veiller au bon déroulement des choses. Elle avait donc fait un gros résumé de la situation. Elle avait été la mère des Waheela des loups d'Alaska qui sont caché pour leur préservation. Elle chassait en solitaire les chasseurs qui ne respectaient pas la loi et qui se perdaient généralement. J'étais une louve solitaire qui chassait les chasseurs un peu trop imprudent.
Elle lui avait confier aussi ses occupations celle des poupées. Ce qui la rapprochait le plus possible de son monde à elle celui des esprits et des fantômes. Elles ont l'air... charmantes, ces poupées Elle sourit grandement. C'est un vrai musée des horreurs, chez vous, en fait. Sans vouloir vous offenser Vous ne m'offenser pas le moins du monde. Mais, oui en quelques sorte c'est ça.
Mais si vous vous décidez à faire chambres d'hôtes y a sans doute plein d'ados puceaux et boutonneux qui adoreraient faire cette expérience. Ca ne vous ennuie pas, les poupées mesquines et les esprits blagueurs ? Moi ça m'ennuierait, je n'ai pas énormément de patience C'est vrai qu'elle n'y avait pas réellement penser à être maison hôtes pour ceux en soit de frissons. C'est vrai que je n'y ait pas pensé. Mais je pourrais mettre cela dans un coin de mon esprit. Ca sera sensation forte garantis. A force on s'y habitue, moi ça ne me gêne pas tellement, ils ont chacun leur cotés plus ou moins taquins. En fait, je n'ai pas du tout de patience - sauf avec mes colocataires. Mais ils demandent tellement de patience que je n'en ai plus en stock pour les autres. Elle savait de quoi elle voulait parler. Je vous rassure c'est un peu la même choses pour moi, ce sont en quelques sortent mes colocataire. Alésia avait donc fait la silhouette de Deborah lui ajoutant ses forme. Elle était en train de travailler son radieux visage. Elle appréciait particulièrement réaliser les portraits réelle.
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Décidément, plus ça allait, plus je découvrais qu'Alésia et moi avions de nombreuses similitudes. Outre notre beauté, notre bon goût et notre mépris envers Regina Mills, voilà que nous avions un nouveau point commun : la perte d'une partie de nos facultés d'origine à cause du Sort Noir. J'opinai gravement à cette mention, comme pour lui laisser deviner que je comprenais particulièrement bien ce problème. Cela dit, je n'avais pas perdu l'essentiel : j'étais toujours Dégoût, j'étais toujours canon et j'étais toujours la meilleure. Je n'étais plus verte mais je pouvais m'en accommoder. Le vert ici bas m'aurait donné des allures de Méchante Sorcière de l'Ouest et ça ne m'aurait pas sied. Quant à ma taille microscopique, en fin de compte je pouvais encore la retrouver grâce à la télécommande que Honey Lemon m'avait fabriquée à partir des souvenirs que j'avais de celle de Bing Bong. En définitive, j'avais sans doute bien moins perdu qu'Alésia en matière de facultés et tellement plus humainement parlant. Ce qui est paradoxal à dire quand on sait qu'à présent je suis pleinement humaine - du moins, aussi humaine que peut le devenir une émotion pure. Par bonheur, mon changement (forcé) de vie ne m'avait pas privée de mes punchlines et autres jeux de mots légendaires et par chance Alésia était suffisamment fine d'esprit pour les saisir et les apprécier. - En fait, je suis "plutôt douée" en des tas de choses, la corrigeai-je gentiment en la gratifiant d'un sourire appréciateur. Vous vous en apercevrez très rapidement si nous continuons de nous fréquenter, ajoutai-je, ce qui était presque une invitation à ce que nous continuions effectivement, quoique pas une invitation à venir peindre le jardin tous les quatre matins. Quant à vous, vous n'êtes pas dépourvue d'un don certain pour saisir le beau et le subtil, conclus-je en coulant un regard en direction de son esquisse mais en songeant également à la rapidité avec laquelle, contrairement à certain, elle pouvait connecter ses neurones pour saisir la truculence de mon langage. Un autre point commun que je pouvais déceler entre Alésia et moi était la facilité avec laquelle nous apprécions notre divine apparence. Beaucoup de femmes se trouvent laides ou trop grosses (et certaines à raison) mais nous étions tout le contraire, presque au point d'être imbues de nous-mêmes. Je ne pouvais toutefois pas jeter la pierre à cette sublime créature : elle utilisait simplement ses yeux et ne cherchait pas à nier l'évidence de ce qu'elle était. Beaucoup de nos congénères devraient en prendre de la graine pour admettre leur beauté ou bien leur laideur, d'ailleurs. - C'est vrai, ça n'aurait pas été vous, concédai-je. En dépit de ses grands pouvoirs et de sa grande irresponsabilité, il y a des choses que le Sort Noir de Regina Mills ne pouvaient probablement pas changé. Le Beau en faisant naturellement partie. Ca et la dichotomie entre les victimes trop gentilles pour leur bien et le reste. Le monde se divise entre les loups et les agneaux, il en a toujours été ainsi et il en sera toujours ainsi. C'est bien connu, assurai-je. Je compris quelques instants plus tard que mon analogie était particulièrement bien choisie (car j'ai toujours le nez creux, c'est bien connu, cela fait simplement partie de la longue liste de mes talents) puisqu'Alésia était une divinité louve - ou une louve divinisée, peu importe en fin de compte. Esprit loup, c'est à peu près l'idée, de toute façon. - Amarok, répétai-je lentement pour analyser chaque syllabe de ce prénom exotique qui, curieusement, bien que drôle, ne lui allait pas si mal. C'est intéressant, commentai-je. Et étrange, ajoutai-je silencieusement, que d'apprendre que les loups sont là pour veiller "au bon déroulement des choses". J'aurais plutôt cru qu'ils étaient là pour réguler la faune locale, mais peut-être était-ce une manière plus poétique - ou moins crue - de présenter les choses. - Ca ne m'étonne pas que vous soyez une louve solitaire. Je décèle un potentiel féroce chez vous, mais aussi une certaine douceur, presque maternelle. Comme la louve mère de Remus et Romulus. Pas étonnant que vous soyez la mère de nombreuses meutes. Quant aux chasseurs imprudents... ma foi, ils ne pouvaient s'en prendre qu'à eux-mêmes, non ? souris-je, mesquine. Je n'allais certainement pas pleurer quelques idiots inconscients. A ce niveau-là, ce n'est ni plus ni moins que la théorie darwinienne qui s'exprime. Les plus aptes à la survie... survivent. C'est d'une logique imparable. J'étais un peu étonnée qu'Alésia n'ait pas (encore) songé à faire commerce de sa maison hantée, d'autant plus dans un coin aussi adepte du fantastique (et des catastrophes) que Storybrooke. Mais je fus ravie de lui avoir soufflé l'idée et lui souris, l'air de dire "y a pas de quoi, occasionnellement je joue aussi les Muses pour les plus chanceux de ceux que je fréquente". D'ailleurs, ce n'était pas totalement faux - c'était en partie ce que je faisais pour Gabriel Agreste, en tout cas pour ce qui était de son image de marque et de sa stratégie marketing. Quand je vous dis que je ne mens pas sur mes innombrables talents.... La preuve est ainsi faite ! - Des colocataires choisis ou imposés ? voulus-je savoir, étonnée par la potentialité qu'on puisse avoir envie, sciemment, de vivre entouré de fantômes et de poupées possédées. Cela dit, quand on est un esprit loup divin, le choix se fait peut-être plus naturellement, comme il m'a paru naturel de rester auprès de mes semblables émotionnels, pour le meilleur et surtout pour le pire, il faut bien l'admettre. Ne perdant jamais de vue ce qu'Alésia était en train de croquer, je m'aperçus qu'elle s'était attaquée à la plus belle et la plus délicate partie de son œuvre : moi-même. - Vous avez attaqué la clé de voûte de votre travail, si je puis me permettre, fis-je remarque. Pour le moment ça s'annonce bien mais tâchez de ne pas me décevoir, je peux me montrer particulièrement piquante quand je suis ... disons contrariée, ajoutai-je avec un sourire mesquin. - C'est vrai ce qu'elle dit, souffla une petite voix apeurée (celle de Jaspeur, évidemment, ceci n'est pas un spoiler). Elle peut même faire un peu beaucoup peur quand elle n'est pas satisfaite. Sans vouloir te... enfin... tu sais, Deb, ajouta le grand gaillard en me regardant d'un air anxieux. - Pas d'offense détectée, assurai-je en balayant ses excuses d'un revers de la main. J'assume toutes mes qualités, y compris celle-ci. Pour toute réponse, Jaspeur se contenta de mordre sa lèvre inférieure, voulant ajouter que, selon lui, ce n'était pas une qualité mais s'en abstenant. - Et donc... vous peignez, madame, commenta Captain Obvious, gêné d'être venu nous interrompre juste pour ça et incapable de trouver comment s'éclipser dignement maintenant qu'il était avec nous. Typique. - Vous savez que certaines peintures peuvent être très dangereuses pour la santé ? Parce que... si vous saviez pas et que vous pensez que vous avez peut-être des produits pouvant vous causer un cancer d'ici vingt ou trente ans, je peux vous prêter un équipement, j'ai ce qu'il faut ! D'ailleurs... Debbie... tu devrais peut-être reculer, des fois que ce soit dangereux. On est jamais trop prudent, rappela-t-il dans un murmure. - Ouais, surtout avec toi, ironisai-je, blasée.
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Deborah & Alésia
Elles allaient donc pouvoir monter un petit groupe avec leur nombreux points communs. Elle appréciait bien Deborah depuis leur première rencontre. Bien sur elle avait compris qu'elle aussi avait perdu lors du sort noir. Beaucoup avait perdu bon nombres de leur pouvoir et se retrouvait avec une faculté moindre. La preuve en était que notre chère Alesia n'était plus une divinité louve en tant que grand esprit. Bien qu'elle ait tout de même une grande influence sur les loups de ce monde. Ca faisait toujours du bien d'apprendre qu'une autre personne pouvait comprendre le même problème qu'elle. Bien qu'il lui restait encore pas mal de faculté pour contrée ce manque. Sa grâce et sa beauté en faisait partie, en plus d'avoir la faculté d'apparaitre et de disparaître. Elle n'aurait sans doute jamais imaginé devenir une humaine dans ce monde si. Même s'il y avait certain point positif, elle avait pu rencontré plein de monde grâce à cela dont Deborah, Meredith, Dewenty. Et avoir cette place en tant que conservatrice dans le musée de StoryBrooke. Il fallait voir du positif pour avancer. En fait, je suis "plutôt douée" en des tas de choses, Ca ne l'étonnait guère, elle avait cette allure pour être débrouillarde et l'exécuté avec brio. Vous vous en apercevrez très rapidement si nous continuons de nous fréquenter Elle répondit à son sourire. Et ce serait un honneur que de continuer de vous côtoyer Non vraiment, elle appréciait bien les réparti de Deborah et sa vision de voir les choses. Dès que le temps lui dirait, elle se ferais une joie de venir lui rendre visite ou même l'invité à prendre un café en terrasse, pour ne pas gêner les autres occupant de la demeure. Elle ne faisait pas que de peindre de sa journée, même si elle avait pas mal de travail quand Meredith passait dans ses toiles mais c'était plutôt rare. Quant à vous, vous n'êtes pas dépourvue d'un don certain pour saisir le beau et le subtil Naturellement. Elle était douée pour cela, elle avait cette particularité qu'on lui avait donné suite au sort noir, le talent de dessiner en faisait parti. Je vous en remercie, je dois admettre que je saisie les moindres détails quand je vois de la beauté. Elle savait qu'elle était quelques peu narcissique. Mais, à deux sa semblait plutôt normal quand ses deux femmes avaient les mêmes penchant. C'est vrai, ça n'aurait pas été vous Et non, et elle ne l'aurais certainement pas supporté. Etre l'aide ? Non ce n'aurait pas été envisageable pour elle, Alésia était faite pour briller et de ce fait être belle et élégante. En dépit de ses grands pouvoirs et de sa grande irresponsabilité, il y a des choses que le Sort Noir de Regina Mills ne pouvaient probablement pas changé. Le Beau en faisant naturellement partie. Ca et la dichotomie entre les victimes trop gentilles pour leur bien et le reste. Le monde se divise entre les loups et les agneaux, il en a toujours été ainsi et il en sera toujours ainsi. C'est bien connu Elle hocha la tête, certaines chose ne pouvait pas changer. Bien sur Alésia faisait parti des loups étant donné son ascendance. Bien évidement, il y a des choses qui ne peuvent changer et ce n'est pas faute d'essayer de les faires changer Elle le voyait bien avec Ishanee qui voyait le bien partout...
Ca en devenait lassant mais bon, elle voyait bien les croyance de cette dernière et n'avait même plus essayer de lui faire entendre raison. Nous sommes les loups Alésia ne se voyait pas autrement, et puis elle était une opportuniste aussi comme tout les loups. Et puis quand elle lui avait compter ce qu'elle était tout avait un sens réellement, comme quoi Deborah avait du nez. Amarok Elle avait l'air d'analyser son nom, cela ne la dérangeait pas. C'est intéressant Elle hocha la tête suivi d'un sourire. Ca ne m'étonne pas que vous soyez une louve solitaire. Je décèle un potentiel féroce chez vous, mais aussi une certaine douceur, presque maternelle. Comme la louve mère de Remus et Romulus. Pas étonnant que vous soyez la mère de nombreuses meutes. Quant aux chasseurs imprudents... ma foi, ils ne pouvaient s'en prendre qu'à eux-mêmes, non ? Alésia continuait son œuvre tout en répondant à Deborah. Elle avait cette particularité fascinante a comprendre ce qu'elle pouvait être. Vous me décrivez parfaitement je dois dire. A croire que vous êtes spécialisé dans les émotions je me trompe ? Elle rit légèrement à cette allusion. Effectivement et donc... c'est à moi de me charger du reste. Ils n'ont qu'à pas s'en prendre au mien. Elle aimait bien se sourire mesquin. Elle prenait note de ses suggestions que lui inspirait Deborah. Mh. disons que ce qui m'a le plus intrigué s'était d'apprendre que ce lieu était hanté donc s'était choisi que de venir habité ici. j'aurais très bien pu exorcisé la demeure mais je dois dire que le présence ne me gêne pas. Que ce soit les fantômes, les esprits frappeur ou même mes poupées possédés. Alésia continuait de faire son oeuvre rendant donc gloire à la beauté de Déborah dans ce merveilleux décor.
our le moment ça s'annonce bien mais tâchez de ne pas me décevoir, je peux me montrer particulièrement piquante quand je suis ... disons contrariée Elle porta son regard sur elle avec un sourire. Ne vous en faites pas, je sais parfaitement rendre à César ce qui est à César sur mon œuvre. De ce fait, elle n'avait rien à craindre. Continuant son dessin, elle sentit rapidement une présence son odeur ne lui était pas familière mais elle sentait qu'il avait peur. Cette personne commença à parler. C'est vrai ce qu'elle dit[...] Sans vouloir te... enfin... tu sais, Deb
Elle les laissa parler ensemble avant que cet homme très élancé ne lui adresse la parole. Et donc... vous peignez, madame Elle porta son regard sur lui. Belle observation Einstein. Vous savez que certaines peintures peuvent être très dangereuses pour la santé ? Parce que... si vous saviez pas et que vous pensez que vous avez peut-être des produits pouvant vous causer un cancer d'ici vingt ou trente ans, je peux vous prêter un équipement, j'ai ce qu'il faut ! D'ailleurs... Debbie... tu devrais peut-être reculer, des fois que ce soit dangereux. On est jamais trop prudent Elle en était parfaitement consciente mais ses peintures n'étaient pas dangereuse. Elle en savait quelques choses quand elle faisait de la restauration de peinture. Merci de me le dire, mais je sais tout ça. Je suis restauratrice d'œuvre d'art et de ce fait les produits à utiliser mais n'ayez crainte, vous ne risquez rien avec celle là. Sauf peut-être qu'elle vous explose au visage. Elle ne savait pas si elle devait donc lui compter que l'air qu'il respirait pouvait tout aussi être nuisible pour sa santé ? Après tout la pollution faisait parti des choses qui pouvait réduire l'espérance de vie non ? Qu'est-ce qui n'était pas dangereux de toute façon. Tôt ou tard l'être humains mourait de toute façon. Ouais, surtout avec toi Elle se retint de rire à cela.
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Une fois de plus j'avais fait mouche, cette fois en "décrivant parfaitement" (je cite) Alésia. Hey, what did you expect ? Evidemment que j'avais misé juste ! Je suis la Katniss Everdeen du jugement de personne. Il allait juste falloir que mon invitée s'y fasse, voilà tout. Et moi il allait falloir que j'accepte que, pour une fois, j'étais tombée sur quelqu'un capable d'assez bien me cerner. Mieux que je ne le souhaitais, en tout cas. - Spécialiste des émotions, oui, on peut dire ça, admis-je, ne pouvant pas toujours me trouver des excuses et n'étant cependant pas obligée d'épiloguer. C'est vrai que je suis suffisamment intelligente pour toutes les comprendre, les émotions, même celles que je ne suis (heureusement) pas. Mais le dégoût reste ma spécialité, d'ailleurs le dégoût reste aussi la meilleure des émotions, la plus utile et la plus subtile, si on veut être parfaitement honnête et objectif. - Vous aussi vous avez du flair, la complimentai-je en esquissant un sourire. Pour une louve, ça vaut mieux, ajoutai-je, pince sans rire. Pouvait-elle sentir qui les gens étaient ? Avait-on une odeur différente (meilleure, cela va sans dire) quand on avait été une émotion que l'odeur qu'avait un ancien chien de la rue ? Avais-je réellement envie de poser ces questions et de montrer un intérêt plus que poli à Alésia ? Pas vraiment. D'ailleurs, je n'avais pas vraiment envie de savoir si, à cause se sa nature initiale, elle pouvait littéralement me sentir ou pas. Fondamentalement, tout ce que je voulais c'était lancer mes punchlines et observer leur réception. Parfois, aussi, j'observai la peinture qui prenait peu à peu vie sous les doigts d'Alésia et parfois c'était aussi elle que j'observai. La plupart du temps, je la regardai avec appréciation, parce qu'elle était jolie et savait faire preuve d'élégance et de raffinement. Mais quand elle parlait des fantômes, des esprits frappeurs et des poupées possédées, je ne pouvais m'empêcher de pincer mes lèvres désapprobatrices. Oh, après tout, à part moi personne n'est parfait. Il fallait bien qu'elle ait des défauts - dont, manifestement celui là qui était quand même très gros. Je n'arriverai sans doute jamais à comprendre l'intérêt de vivre dans un manoir hanté (j'avais déjà parfois - souvent - du mal à comprendre l'intérêt que j'avais à continuer de vivre en compagnie de Sadie, Jaspeur et Angus) alors ça, ça ne pouvait que me dépasser. Quand on parle du loup, d'ailleurs, et doublement, si je puis me permettre, Jaspeur nous avait donc rejointes, la curiosité l'emportant visiblement sur la crainte. J'entendis presque son cœur se pincer de déception quant Alésia lui fit comprendre à l'aide d'un "Bien observé, Einstein", qu'il venait d'enfoncer une porte ouverte, lui qui avait avant tout voulu se montrer intéressé par l'artiste. Too bad, Jaspeur, la prochaine fois faudra aussi penser à dire quelque chose d'intelligent. Heureusement (non), l'angoisse n'était jamais loin quand Jaspeur était dans le coin (et ça rime) et il trouva suffisamment rapidement de quoi converser avec notre invité : la dangerosité des peintures potentiellement cancérogène. Evidemment. Quitte à nous apporter un peu de joie et de bonne humeur, autant commencer directement avec les maladies mortelles qui rendent chauves. C'était presque un miracle qu'Alésia accueille cette intervention indésirable avec autant de tranquillité et de rassurance. - Tu vois Jaspeur, y a aucun risque, assurai-je en relevant le menton. - Sauf que la peinture nous explose à la figure, me rappela t-il tout bas (selon lui) et tout haut (selon le reste du monde car il ne connait pas la discrétion). - Je suis sûre qu'Alésia ne laissera aucun tube de peinture sauvage exploser au visage de qui que ce soit, pas vrai ? demandai-je en tournant la tête vers l'intéressée, sachant sa confirmation plus que bienvenue. Mais tu peux t'éloigner cela dit si tu as trop peur, lui suggérai-je avec un sourire mesquin qui ne se cachait pas de l'être. Tu peux même carrément partir, en fait, ajoutai-je d'un ton plus nonchalant. Attrapant le bout de son fin menton, Jaspeur médita ces sages paroles quelques instants avant de s'en aller. Je croyais que nous en étions ainsi débarrassé mais il n'était pas parti depuis cinq minutes qu'il était déjà de retour, déposant près de moi, pèle même : charlotte, sur chaussure et combinaison intégrale. - Contre les taches parce que je sais que t'aimes pas ça, précisa-t-il devant l'évidence pourtant abyssale de ce qu'il venait de faire. En vrai, c'était touchant et véridique. Je déteste les taches et les personnes qui font tache (type Dyson ou Sherlock). Mais c'était mal me connaitre que de m'apporter un truc aussi hideux. - Merci Jaspeur, répondis-je pourtant, blasée, ce qui m'évitait de montrer que j'appréciais la prévenance gauche dont il faisait toujours preuve envers nous tous. L'intéressé prit ce remerciement pour une victoire (spoiler alert ça n'en était pas une) et s'en alla - enfin - sans plus demander son reste. Maintenant qu'il était certain que je n'allais ni mourir d'un cancer de la peinture, ni finir tachée par cette même peinture, il avait fait sa bonne action de la journée et pouvait s'en retourner à touuuutes ces autres angoisses. Amen to that. Quant à moi, regardant la tenue de protection d'un air dégoûté parfaitement à propos, je commentai : - Jamais de la vie je mettrai un truc pareil, plutôt mourir deux fois.
Alesia Amarok
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Deborah & Alésia
Deborah était plutôt douée pour décrire les personnes, elle avait vu juste en ce qui la concernait mais, S'était aussi le fort d'Alésia qui avait finalement compris comment elle pouvait fonctionner en large. Quand elle avait mentionner qu'elle s'y connaissait assez bien en émotion. Spécialiste des émotions, oui, on peut dire ça Alésia répondit par un sourire. Il est vrai qu'elle voyait bien qu'elle cernait certaines émotions, et il n'y en avait pas souvent qui pouvait les cerner. Vous aussi vous avez du flair Elle répondit à son sourire. Pour une louve, ça vaut mieux Oui valait mieux pour elle. Sinon comment pouvait elle guider sa meute ? Elle releva donc le menton fière de ce compliment. Oui fort heureusement. Qu'est ce que je ferais sans flair pour une louve ce serait le comble. Chaque personne avait une odeur différente qu'elle percevait, pour cette raison qu'elle pouvait reconnaître les odeurs sans même voir la personne. Elle ne pouvait pas spécialement le décrire comme ça, il fallait le vivre. Les sens lui était décupler s'était d'autant plus fort quand elle était sous sa forme de canidé. Cela l'étonnait que ça passionne autant Déborah. Bien qu'elle ait une odeur plutôt agréable. Comme elle l'avait en tête, il lui serait possible de la repéré à de nombreux mètres tout en percevant les sons de 6km à 9km. S'était des choses qu'on pouvait savoir si on se renseignait un temps soit peu aux loups mais Alésia ne cherchait pas à se mettre en valeur de la sorte pour le moment.
Alésia posa son regard sur Debbie un court instant juste assez pour percevoir cette moue désapprobatrice quand elle avait fait allusion à ses fantômes ou du moins les fantômes qui peuplait sa demeure et que ça ne la gênait aucunement. Elle avait aussi par ailleurs une collection de poupée posséder quelques choses qui faisait plus reculer qu'avancer les personnes. Par chance elles se trouvait dans une pièce spécial au sous-sols. Accessible seulement par elle quand elle s'occupait de ses protégées ou qu'elle faisait une visite pour les plus téméraire. En ce qui concernait Alésia, vivre dans la maison hantée ne lui posait pas de problème. Elle pouvait vivre avec, après tout elle avait été un esprit loup qui protégeait ses congénères du danger. Cela ne la gênait même pas et elle trouvait souvent le sommeil quand elle en avait besoin.
Quoiqu'il en soit elle avait donc perçu une nouvelle odeur, qu'elle ne connaissait d'ailleurs pas. Mais, que visiblement Debbie connaissait. A sentir tout ça, elle avait par ailleurs perçu qu'il avait l'air effrayer de ce qu'elle pouvait dire. Elle sentait sa peur à des kilomètres. Au vu de ce que pouvait lui dire Debbie, la louve en avait déduis que ca devait être quelques chose de normal. Et qu'elle n'avait rien à craindre de cet humain. Et à dire vrai, elle ne l'avait même pas ménagé. Elle était donc relativement calme, la peinture avait tendance à l'apaiser mais aussi sa nature de loup qui consistait à observer. Tu vois Jaspeur, y a aucun risqueSauf que la peinture nous explose à la figure
Je suis sûre qu'Alésia ne laissera aucun tube de peinture sauvage exploser au visage de qui que ce soit, pas vrai ? La louve sourit. Bien sur que non... et heureusement la peinture à été dresser spécialement pour cette occasion donc aucun risque qu'elle ne t'explose au visage Jaspeur, tu en as de la chance. avait-elle dit avec un sourire carnassier. Puis, Debbie parla avec Jaspeur. Mais tu peux t'éloigner cela dit si tu as trop peur...Tu peux même carrément partir, en fait Elles auraient pu penser que Jaspeur allait partir qu'il revint aussi sec avec tout son attirail à l'intention de Debbie, bien que pour ce fait, elle n'a rien à craindre la dessus. Puis, par la suite il s'en alla. Jamais de la vie je mettrai un truc pareil, plutôt mourir deux fois. Alésia se mit à rire. Non vraiment, je ne vous vois pas avec cette tenue vous méritez mieux que cela même si ça partait d'une bonne intention. Continuant son œuvre, elle avait plutôt bien avancer posant donc ses couleurs.
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Deborah Gust
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C'était bien là tout le problème : Jaspeur et Sadie étaient toujours pétris des bonnes intentions évoquées par Alésia, comme s'il y avait un concours permanent pour élire celui qui, dans ce manoir de malheur, serait le plus prévenant de la bande. Heureusement, ni Angus ni moi ne prenions part à ce jeu qui n'était que (très) rarement amusant (pour moi) et (trop) souvent fatiguant. Par chance (pour ma patience et mon manque de bonne volonté), Jaspeur n'était pas resté assez longtemps pour vérifier que j'enfilai sa tenue de protection de l'enfer - qui atterrit tout naturellement dans une partie du décor éloignée de mon champs de vision. - De toute façon c'est pas trop mon truc, les bonnes intentions. J'en ai rarement envers les autres, avouai-je dans une nonchalance déconcertante. Notez que la précision est importante, pour ne pas dire capitale, car j'ai envers moi-même les meilleures intentions du monde. Mais quand il s'agit des autres, bizarrement, la plupart du temps, j'y arrive pas. Ca m'ennuie et ça m'agace. Globalement, mon intention première envers eux est d'énoncer la vérité de la façon la plus mesquine qui soit et de me mettre en avant pour leur prouver ma supériorité (qui n'est pas bien difficile à prouver). Alésia ne faisait pas réellement exception. Depuis qu'elle était arrivée je m'employais à lui montrer à quel point j'étais géniale et, parce qu'elle avait un peu de goût et de savoir vivre, elle abondait tout le temps dans mon sens, ce qui était loin d'être désagréable. Mon but, lorsque que j'avais accepté qu'elle vienne peindre ma propriété, n'avait pas réellement été de lui faire plaisir, ce qui aurait été une bonne intention. Si j'avais accepté, c'était uniquement parce que j'y trouvais un avantage personnel, bien au-delà des desideratas de l'artiste. Cette dernière, justement, avait commencé à colorer son œuvre, signe, je l'espérais un peu (beaucoup) qu'elle aurait bientôt fini et qu'elle s'en irait alors tout aussi prestement. Il restait simplement à espérer qu'elle ne m'adresse pas, une fois sa peinture achevée, de grands yeux suppliants en annonçant qu'il fallait EN PLUS qu'elle laisse sécher sa toile chez moi pendant quinze jours. Sinon y aurait autre chose que j'allais lui sécher et ça serait sans doute douloureux. Mais comme nous n'y étions pas encore, je refusais de laisser mon esprit se focaliser sur cette éventualité et continuai de l'observer attentivement, jusqu'à ce qu'un léger mais permanent bruit de nez reniflé ne commence à sérieusement agacer mes oreilles. Dérangée, je fis soudainement volte face pour découvrir, assez peu étonnée, une Tristesse dans un pull trop long au niveau des manches et pas suffisamment moulant ailleurs qui contemplait d'un air (spoiler) déprimé la toile en train d'être colorisée par le doigté expert d'Alésia. On aurait pu croire que voir un artiste à la tâche était quelque chose d'apaisant, voire de reposant ou même, pour les plus optimistes, de positif, mais non, pour Sadie, il n'en était rien. Mais c'était quoi son problème à la fin ?! Elle pleurait la pauvre feuille qui avait jadis été un arbre majestueux dans la forêt du coin ? Elle s'interrogeait sur le consentement bafoué du jardin qui était peint sans avoir explicitement signé un accord ? Si nous avions été seules, ce sont peut-être ces questions (et bien d'autres) qui auraient franchi mes lèvres carmins mais nous n'étions pas seules et mes intentions quant à la situation n'étaient pas compatibles avec autant de sarcasme. - Allons bon, Sadie, qu'est-ce qui te fait pleurer cette fois si ce n'est pas tes allergies aux pollens ? demandai-je avec force de patience. C'est l'émotion de l'instant ? tentai-je en me rappelant que (ô misère) parfois elle pleurait aussi quand la beauté, en sens philosophique du terme, la submergeait comme la mer avait submergé le Titanic. - N... Non... c'est pas ça... Deb... Deborah, renifla Tristesse en essuyant son nez d'un revers de manche particulièrement dégoûtant qui me fit pincer mes lèvres de toutes mes forces pour ne pas qu'elles explosent de tout le dégoût qu'elles devaient subitement contenir. C'est juste que... Je suis désolée, terriblement désolée pour la dame, acheva-t-elle d'une voix à peine audible. J'arquai alors un sourcil, ne m'étant pas attendue à cette réponse. Comme quoi, même mes boulets émotionnels peuvent encore me surprendre après tout ce temps. Peut-être qu'un jour j'aurai la chance qu'ils me surprennent de façon POSITIVE. - Vas-y, développe un peu ta pensée pour voir ? l'encourageai-je en coulant un regard en direction d'Alésia pour voir à quel point elle se laissait intéresser voire distraire par cette nouvelle interruption. Les yeux à présent embués, Sadie tourna les yeux vers Alésia puis vers sa toile et finalement observa le jardin. Alors, sans raison particulière, elle fondit (littéralement) en larmes et se précipita aux pieds (littéralement encore) de la peintre en gémissant : - Pardon Madame, pardon, mais vos couleurs, même si elles sont très jolies, elles ne rendront jamais totalement justice au jardin de Dame Aryana ! Vous avez beau avoir tout le talent du monde, vous n'y arriverez jamais, c'est couru d'avance ! S'en suivit un long moment de larmes trop intenses pour toutes paroles puis Sadie se releva, renifla (trop) bruyamment et s'essuya les yeux avec autant de classe qu'une remorque en tutu avant de moucher (tout aussi) bruyamment son nez rouge dans un Kleenex qu'elle tendit ensuite à Alésia : - Tenez, si vous voulez pleurer, ça soulage. Je sais de quoi je parle, soupira-t-elle avant de se laisser tomber sur les fesses, comme si tous les malheurs du monde venaient soudain de s'abattre sur elle.
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Deborah & Alésia
De toute façon c'est pas trop mon truc, les bonnes intentions. J'en ai rarement envers les autres Alésia ne pu qu'esquisser un sourire, elle ne disait pas être mauvaise, ni trop gentille, la gentillesse ce n'était pas son fort non plus. Elle était un prédateur et dans la vie être gentil n'apportait rien. Personne n'appréciait les loups.. la plus part du temps, il était vu comme un esprit maléfique. Donc elle n'avait guère de bonne intention à l'égard des autres. Elle était méfiantes et n'accordait pas réellement sa confiance. Je vous comprend, ce n'est pas donné à tout le monde dirons nous, en ce qui me concerne je suis un loup, je ne suis pas toujours de bonne intentions et avec le temps ça ne c'est guère arrangé. Le dénommé Jaspeur avait donc mit les voiles pour sa sécurité personnel. C'était peut-être mieux ainsi. Ce qui ne l'empêchait pas de faire des compliments par-ci par-là faisant preuve de bon savoir vivre, allant dans le sens du poils et puis, comme elle avait presque les mêmes gout l'une et l'autre, ça forgeait aussi les bons procéder. Continuant son œuvre, elle n'allait pas être très longue pour le reste, Alésia avait déjà bien avancé son travail. La peinture allait donc sécher plus tard chez elle ou peut-être même dans son atelier au musée une pièce lui était accordé. Alésia n'était pas la pour importuné cette charmante personne déjà qu'elle avait eu l'immense bonté de lui avoir accordé cela. Elle serait surement aimable en retour en lui faisant un portrait de son coté, elle avait suffisamment apprit chaque trait du visage de Deborah pour l'oublier. Pour le moment elle devait se consacrer à son tableau qui se trouvait sous ses yeux.
Quelques minutes plus tard son tableau avait bien avancé les couleur étaient en train de faire leur apparition, quand elle avait entendu des jérémiades ou plutôt des reniflements. Décidément toute la famille avait décidé de sortir pour mettre un terme à tout cela ? Elle se demandait pour qu'elle raison cette personne pleurait. Chacun était des émotions précis, Jaspeur représentait bien la personne qui avait peur de tout et se méfiait de tout. Cette femme qui pleurait devait être la tristesse. Le premier homme qu'elle avait entendu hurler de l'extérieur devait être la colère et Deborah... représentait quoi ? Elle n'avait pas encore percuter la dessus. Deborah avait donc fait volte face pour regarder la nouvelle arrivante, Alésia se tourna légèrement pour voir son visage, elle portait un pull, bien qu'il ne fasse pas assez froid pour en porter un mais, chacun était frileux à des degrés différent. Reprenant donc sa tâche de terminer plus rapidement. Déborah avait donc prit la parole pour s'adresser à la prénommé Sadie. Allons bon, Sadie, qu'est-ce qui te fait pleurer cette fois si ce n'est pas tes allergies aux pollens ? Mhh... les allergies n'allaient pas tarder d'arriver, en ce qui la concernait, elle n'était pas allergique au pollens. N... Non... c'est pas ça... Deb... Deborah Ce n'était donc pas le pollen mais s'était quoi dans ce cas ? Portant son regard au moment ou elle s'essuya contre son pull. Elle sentit légèrement ses poils se dresser, ce n'était pas convenable de faire un tel geste un peu de classe. Elle serra donc les dents pour ne rien dire même si cela lui avait bruler les lèvres. C'est juste que... Je suis désolée, terriblement désolée pour la dame Désolé ? pourquoi d'avoir oser niarré sur le pull, oui fallait surement s'excusez pour un tel acte de barbarie. D'avoir interrompu son œuvre ?
Vas-y, développe un peu ta pensée pour voir ? Elle senti par ailleurs le regard de Sadie sur elle, cette dernière avait fondue à ses pieds, Alésia par reflexe avait juste eu le temps de retiré sa jambe. Pardon Madame, pardon, mais vos couleurs, même si elles sont très jolies, elles ne rendront jamais totalement justice au jardin de Dame Aryana ! Vous avez beau avoir tout le talent du monde, vous n'y arriverez jamais, c'est couru d'avance ! Alésia fronça les sourcils qu'est ce qu'elle y connaissait en art ? Elle était peintre ? Savait elle combien de couleur il pouvait y avoir sur terre ? Le mot jamais n'existait pas dans son vocabulaire, rien était impossible. Tant qu'on n'essayait pas tout. Evitez de m'approcher dans cet état là déjà, vous avez beau être une bonne personne mais votre morve ne doit pas me toucher, c'est pour votre sécurité. En ce qui concerne la peinture il y a mille et une combinaison possible en matière de couleur donc à moins que vous ne soyez une experte je ne suis pas sur que vous soyez apte en matière de couleur. Cependant, je ne cherche pas rendre justice, je suis simplement en train de peindre ma toile comme je l'entend. Et une dernière chose il ne faut jamais dire jamais sauf si vous avez tuer un ours pour vendre sa peau. Sadie était en train de pleurer tout ce qu'elle pouvait, à croire que grâce à elle on pourrait remonter le niveau des eaux et éviter une sécheresse ? Sadie lui tendit un mouchoir usager. Eurk ! Tenez, si vous voulez pleurer, ça soulage. Je sais de quoi je parle Alésia leva les yeux au ciel. Non. Gardez le.. vous en avez visiblement plus besoin que moi en matière de soulagement. A ce rythme on pourrait même sauver les océans mais, vous risquerez d'endommager cet endroit à pleurer autant à chaude larme. Elle avait poser son postérieur sur le sol continuant son activité qui était de pleurer comme si tous les problèmes du monde était sur elle. Cependant, merci de votre conseil. Alésia avait déjà tuer un ours ce qui n'était guère difficile pour la louve qu'elle était. Vous devriez faire attention tout de même à trop pleurer... ca pourrait déclencher de l'eczéma. Ce qui est le plus étonnant... c'est que chacun reflète une émotion particulière... Sadie est toujours triste.. Jaspeur tout à l'heure avait peur de mille et une façon.. et le dernier que je n'ai pas vu mais entendu avait l'air d'être en colère.
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Alésia désapprouvait les manières - ou devrais-je dire l'absence de manières - de Sadie et je ne pouvais que le comprendre. Si ça ne tenait qu'à moi, ça ferait longtemps qu'elle aurait subi un sérieux ravalement de façade et pris des cours de classe internationale. Mais ça ne tenait pas qu'à moi et Sadie préférait être une geek mal fagotée qui sortait à peine de sa chambre et codait toute la journée que de devenir une femme du monde. Qu'y pouvais-je, sérieusement ? J'avais essayé mais je savais aussi reconnaitre les causes perdues - notamment parce que je vis avec trois d'entre elles en permanence. Forcément, un tel comportement ne pouvait que révulser Alésia. Je ne pouvais même pas lui jeter la pierre, et pas seulement parce que j'avais la flemme de me baisser pour chercher une pierre et la lancer. Sadie méritait simplement ce qui lui arrivait, d'ailleurs, elle devait en avoir elle-même conscience. Quand on a choisi la life d'une victime, on sait à quoi s'attendre. - Oh... Oui... Pardon, bredouilla Sadie en reniflant (encore) bruyamment avant de reculer de plusieurs pas qui semblaient aussi difficiles à faire que si elle portait le poids du monde sur les épaules. Sadie était tellement habituée à ce qu'on la commande qu'elle ne prêta même pas attention au sens profond de ce qu'Alésia venait de dire. Reculez pour votre sécurité. Pas celle d'Alésia mais bien la sienne, à Sadie, une sécurité dont Jaspeur était essentiellement le seul, en général, à se soucier. Moi, naturellement, j'avais percuté, parce que c'est ce qui arrive quand on a un esprit brillant, mais je ne fis aucun commentaire. C'était plus marrant comme ça. Probablement moins prise de tête, aussi. - Désolée, madame, poursuivit Sadie, la tête baissée et toute penaude, ses mains jointes comme en prière. Je sais pas trop à quoi je sers... marmonna-t-elle. - A tous nous déprimer et à nous tirer vers le bas, répondis-je avec nonchalance sans même lui accorder un regard, trop occupée que j'étais à observer les cuticules de mes ongles. - Oui... Ca doit être ça..., soupira Tristesse, le cœur gros. Toujours penaude, elle écouta religieusement (après les mains jointes en signe de prière, au moins on reste dans le thème) les explications sèchement assenées par Alésia, des explications que je n'écoutais pas réellement, même si mon expression concernée pouvait donner l'impression du contraire. De toute façon, je savais déjà tout ça alors pourquoi écouter ? Même si y avait eu une interro surprise juste après j'aurais eu la note maximale. Par contre, j'étais moyennement convaincue par l'allusion finale sur la peau de l'ours, le meurtre et le jamais. Moi quand je dis jamais je le pense toujours. Un exemple très concret : jamais je n'apprécierai Dyson Parr, déjà parce qu'il porte le prénom d'un appareil ménager et aussi parce qu'il avait vraiment une tête trop moche - contrairement à Sadie qui est très jolie quand elle ne pleure pas. OK c'est rare mais ça peut arriver. Des fois, elle a seulement une tête de chien battu. Alésia avait donc raison de décliner son mouchoir. En plus des raisons hygiéniques évidentes, qui aurait rendu Jaspeur plus pâle que la mort, Sadie avait effectivement davantage besoin de cet accessoire (si tant est qu'on puisse réellement appeler ça un accessoire) qu'Alésia qui n'avait pas l'air d'une pleureuse. Toujours penaude, Sadie rangea son bien, marmonnant (encore) qu'elle avait raison et y ajoutant d'énièmes excuses dont tout le monde se fichait. Moi en tout cas je m'en fichais. Qu'elles ne me soient pas adressées n'étant qu'un léger détail sans importance. - De toute façon on peut plus rien pour les océans, même avec des larmes de crocodile, se résigna Sadie en soupirant longuement. Elle releva toutefois la tête lorsqu'Alésia, semblant se radoucir à son égard (ce qui, en soi, était un petit exploit), lui conseilla de pleurer moins pour éviter l'eczéma. C'était bien la première fois que j'entendais pareil argument. En général, je lui décrivais les horribles migraines qu'elle pourrait avoir si elle continuait sur cette voie et Jaspeur rajoutait que les migraines n'étaient pas toujours des migraines mais qu'elles pouvaient cacher des tumeurs métastasées de stade IV. Ensuite, il fallait le rassurer en le faisant souffler dans un sac en plastique et si par malheur le bruit énervait Angus la boucle était bouclée. Elle l'était aussi, pour ainsi dire, pour Alésia, qui avait fait le tour, à défaut d'une galerie d'art, de la galerie de personnages (pour ne pas dire de fous) qui vivaient au manoir avec moi (forcément, je ne me comptabilise pas dans les tarées du coin). Ses petites cellules grises avaient fait le reste, commençant à comprendre à qui elle avait affaire. Cette dernière remarque calma Sadie qui leva de grands yeux encore embués vers moi. Je lui répondis d'un regard silencieux que j'allais gérer ça, songeant qu'il valait mieux ne pas laisser ce genre de situation être géré par une autre personne que moi. - Pour vous rendre hommage, je dirais que dire "toujours" quand on rencontre des personnages, si particulier soit leur cas, et c'est vrai qu'il y en a des graves autour de moi, concédai-je sans me soucier d'être vexante puisque, de toute façon, y a que la vérité qui blesse, pour la première fois c'est peut-être se diriger vers des conclusions hâtives. Ou vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, ajoutai-je dans un sourire amusé. Vous pourriez aussi être passé le mauvais jour, surtout que vous n'étiez pas attendue. J'avais failli dire "pas invitée" mais j'avais jugé plus socialement acceptable de tourner ma phrase légèrement autrement, même si au fond c'était du pareil au même. - Mais vous pourriez aussi avoir mis le doigt sur quelque chose et je pourrais très bien vivre avec trois énergumènes qui n'ont qu'une émotion à leur palette, poursuivis-je en me satisfaisant de cette image qui faisait écho au métier d'Alésia. Est-ce que ce serait vraiment étonnant à Storybrooke ? demandai-je de manière rhétorique. Vous êtes bien une louve, observai-je avant de la gratifier d'un sourire poli. J'aurais pu m'inclure dans la démonstration, lui demander quel rôle ou quelle émotion elle m'attribuait, mais je trouvais plus amusant (en tout cas pour moi) de voir si d'elle même elle aborderait la question, puisque manifestement les habitants de ce manoir l'intéressaient autant.
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Deborah & Alésia
La louve ne pouvait rien y faire, il fallait un tout pour faire un monde et même si Sadie était mal fagoté, ce n'était pas de son ressort. Il fallait que certains paraissent mal habillé pour voir à quel point les autres pouvaient être resplendissant et ainsi les voir briller quand d'autres restait dans l'ombre. Elle ne pouvait pas nier qu'elle pouvait être doué dans certains domaine cela dit. En revanche, les mots de sa part ne l'avait pas atteint. La louve ne supportait juste pas ses manière peu raffiné. C'était ainsi voilà tout. Oh... Oui... Pardon Alésia étendit le reniflement le moins élégant de la terre entière. Sadie s'était donc reculer de plusieurs pas, si elle pouvait le faire de plusieurs mètre ça serait encore mieux. Heureusement pour elle que ce n'était pas Atlas. Elle avait entendu Sadie s'excuser aussi, bien qu'elle ne pouvait tout lui excuser, parce que bon les reniflement pareil le fait de pleurer ainsi contre elle juste non ! Ca lui rappelait aussi le fait qu'elle ne changeait probablement pas de maison, certains fantôme était aussi pot de glue qu'elle l'était peut-être pas aussi déprimé cela dit. Alésia posa son regard sur Sadie, qui avait joint ses mains pour l'implorer à la manière d'une prière. Je sais pas trop à quoi je sers... Elle avait une tête de psychologue pour lui donner cette réponse ? Ce n'était pas à elle qu'il fallait lui dire mais peut être bien à Ishanee, elle se ferait une joie de lui dire tout ça. Ai-je l'air d'avoir la tête d'une psychologue ? Ce n'est pas avec moi qu'il faut parler de ce genre de chose mais par chance j'ai la solution Dans une pochette dans un coin de sa boite de peinture elle en sorti une carte de visite. Vous pouvez composer ce numéro, elle est psy elle saura dire à quoi vous pouvez servir dans cette vie en plus de déprimer les autres. Et elle adore parler et pleurer aussi ça vous fera une super copine. Debbie avait aussi dit qu'elle servait à déprimé tous le monde. Elle n'avait pas tout à fait tord.
De toute façon on peut plus rien pour les océans, même avec des larmes de crocodile Elle se retint de rire mais, on pouvait voir son rictus sur le visage. Dans le ton de sa voix on pouvait voir qu'elle s'était radouci pour la pauvre Sadie. Lui apportant quelques conseil en matière de peau.
Elle écoutait son interlocutrice. Mh. Vous marquez un point la dessus, je l'avoue disons que je pourrais le reformuler en disant qu'elle avait l'air plutôt triste et dégoulinante. Vous avez effectivement des personnes particulière avec vous chacun à leur manière surement attachante à leur manière. Il était vrai, elle pouvait être passé le mauvais jour aussi, un jour ou tous reflétait une émotion particulière. Alésia se trompait rarement sur ses intuition cela dit. Oui, je pourrais être tomber le mauvais jour effectivement. Non effectivement, elle n'était pas sensé venir dans cette demeure, elle n'était pas peiné de ce léger pique. Mais vous pourriez aussi avoir mis le doigt sur quelque chose et je pourrais très bien vivre avec trois énergumènes qui n'ont qu'une émotion à leur palette C'était tout aussi possible mais, elle n'était pas rester assez longtemps pour voir de quoi il en coutait. Elle sourit éventuellement à la référence avec la palette. Est-ce que ce serait vraiment étonnant à Storybrooke ? Vous êtes bien une louve Non, ce ne serait pas étonnant vu tous les énergumènes qui peuple cette grande ville. Ce serait même typiquement normal. Terminant quelques couleur sur son œuvre. Mais dites moi... qu'est ce que vous êtes vous ? Moi vous en êtes conscient puisque je vous l'ai dit mais je n'ai pas eu cette information provenant de votre bouche.
Alésia avait donc osé poser la question, il y avait plusieurs palette qu'elle pouvait trouver, c'était sur qu'elle n'était pas la joie... la tristesse pouvait être prit, le peur aussi.. ainsi que la tristesse.
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Je ne m'étais pas attendue à ce qu'Alésia, qui avait l'air d'une femme bien sous tous rapports, connaissent une psychologue et encore moins qu'elle en fasse la promotion à Sadie, bien que cette dernière puisse réellement, parfois, donner l'impression d'avoir besoin d'un bon psy. Et pourtant, ce fut bien une carte de visite en bonne et due forme que la jolie louve tendit à la bleutée déprimée, lui assurant même que la praticienne et elle pourraient s'entendre à merveille. Manifestement, j'étais obligée de constater qu'il n'y avait pas que moi qui avais des connaissances qui juraient avec mon aura : c'était aussi le cas d'Alésia et de son amie psychologue qui avait l'air de sentir la guimauve vu la façon dont elle la décrivait. Sadie, quant à elle, attrapa fébrilement la carte de visite et la contempla en terminant de renifler, pas tout à fait certaine de ce qu'elle devait en faire mais suffisamment polie pour ne pas oublier les rudiments de savoir vivre : - Merci, ça me rappelle la fois où Mandy nous a donné un mouchoir usagé à la maternelle pour qu'on puisse sécher nos larmes... C'était si bien, soupira-t-elle avec une tristesse nostalgique comme elle seule était capable de produire. Le plus déprimant dans cette affaire c'était sans doute que Sadie était, en fait, excellent psychologue quand elle s'y mettait. Elle n'avait pas son pareil pour écouter les gens se plaindre de leurs mille et un malheur puis trouver les mots justes pour les apaiser et finalement les aiguiller quand moi je n'avais clairement pas la patience suffisante pour le faire. Mais force était aussi de constater que les psys ont aussi besoin de psys, Sadie peut-être encore plus que les autres. Bref, la vie c'est comme Inception mais sans Leonardo DiCaprio, il faut donc se faire une raison surtout quand on est une émotion brute particulièrement pas adaptée à la vie humaine comme c'est le cas de Sadie. Forcément, si elle avait d'autres palettes d'émotions à utiliser, on n'en serait pas là ! Mais ça, comme tout le reste, c'est de toute façon la faute d'une seule personne : Regina Mills aka la Méchante Reine, qui nous avait tous contraint à nous supporter à notre manière dans un univers autrement plus vaste que le Quartier Cérébral. J'opinai, faussement sceptique, à l'hypothèse d'Alésia. Evidemment qu'ils étaient tous attachants à leur manière : c'était une chose de le savoir mais une autre de le dire en public ou, plus simplement, de le dire à haute voix car mon jardin, aux dernières nouvelles et même s'il n'en a pas l'air actuellement, est toujours un lieu privé. J'eus tôt fait de le rappeler en indiquant à Alésia qu'elle n'avait pas forcément choisi le meilleur moment pour s'inviter et l'intéressée ne sembla pas se formaliser de cette gentille petite pique méritée. Heureusement, d'ailleurs, j'avais suffisamment de râleurs susceptibles autour de moi comme ça, je ne cherchais clairement pas à augmenter mon quota, c'eut été tirer sur la corde de ma patience déjà bien étiolée à certains égards. De toute façon, et je l'avais remarqué depuis un moment, il y avait une question qui brûlait les jolies lèvres roses d'Alésia et qui ne demandait qu'à sortir, se trouvant aussi être l'excuse idéale pour que la jeune femme continue de tisser sa toile (et aussi de la peindre) en faisant la conversation. S'offusquer de mes petites mesquineries et de leur fond de vérité n'aurait pas servi ses intérêts ou, plutôt, n'aurait pas servi sa curiosité. Alors, enfin, elle lâcha sans détour cette question brûlante que beaucoup n'osaient pas poser - ou posaient sans jamais obtenir de vraies réponses (pour la simple et bonne raison que je préfère les réponses vraies mais que trop peu de personnes ont l'âme philosophe pour s'en rendre compte). Aussi, je n'étais pas comme Alésia qui aimait manifestement un peu (trop) rappeler aux autres qu'elle était un esprit loup soi-disant supérieur aux autres (voire au mien en particulier. Je préférais savamment distiller les informations pour forcer mon interlocuteur à lire entre les lignes et se montrer suffisamment malin pour me décoder. Mon identité, il fallait la mériter, la gagner au prix de ses efforts et de sa sueur, pour peu que cette dernière n'empeste pas trop. - Si j'avais voulu que vous ayez cette information, croyez moi je vous l'aurais déjà donnée à grand renfort d'emphase et d'amour propre comme je sais si bien le faire, susurrai-je, l'air narquois. Mais vous aurez sans doute remarqué qu'en dépit d'une certaine propension que j'ai à me vanter - à juste titre, d'ailleurs - j'aime comme qui dirait cultiver mon jardin secret, poursuivis-je, pas peu fière de cette image tellement à propos. Le cœur d'une femme est un océan de mystère, après tout, pourquoi n'en serait-il pas de même pour son esprit et plus généralement toute sa personne ? J'appréciais toujours de détourner une réplique du film Titanic, surtout quand elle s'insérait aussi bien dans l'un de mes discours comme c'était actuellement le cas. Toutefois, je n'étais pas non plus cruelle, ou alors je l'étais juste assez pour que ce soit amusant pour tout le monde (et surtout moi), aussi je décidai de ne pas totalement laisser Alésia sur sa faim de loup et ajoutai : - Disons que je suis l'incarnation de la classe et de la réussite sociale, la spécialiste de la lutte contre l'empoisonnement métaphorique et littéral et, pour résumer le tout, la reine du goût et du dégoût. Vous pouvez m'appeler majesté, ajoutai-je avec un sourire courtois sans m'attendre à ce qu'elle le fasse. Je n'en aimais pas moins me présenter de la sorte car tous les mots clé pour achever de percer le mystère de ce manoir étaient dans ma réplique, de mon incarnation (au sens strict du terme) jusqu'à mon habilitation (que je ne vous ferai pas l'affront de rappeler encore une fois). - Vous avez le droit d'être impressionnée, moi aussi je le serais si j"étais à votre place, l'invitai-je alors en relevant le menton.