« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Là, tout n'est qu'ordre et beauté, luxe calme et volupté
Deborah & Alésia
Alésia passait le plus clair de son temps dans le musée de Storybrook ou elle en prenait grand soin et faisait attention à ce que personne ne s'approche de trop prêt des œuvres sauf peut être Meredith quand elle faisait des escapades dans les tableaux. Bien sur, elle lui disait toujours avant de ne pas trop écailler la peinture, elle ne voulait pas à avoir à le restaurer une nouvelle fois. S'était une note de prévention, elle savait très bien que la nounou ou la nouvelle gérante de l'orphelinat faisait attention. La encore, elle se trouvait dans le musée ou elle s'était monter un petit coin pour faire quelques restauration bien que les plus grosse elle les faisait chez elle. Vu qu'elle avait plus de place et beaucoup plus de matériel pour cela. Elle était en train de restaurer un tableau ou elle était en train d'applique doucement la nouvelle couche de peinture. Alésia faisait attention elle avait cette minutie depuis très jeune et elle n'avait même pas besoin de lunette pour cela. La louve attendit que la peinture prenne un peu. Puis elle mit la touche de vernis pour le préserver. Elle porta son regard sur l'heure. S'était le temps de rentrée, elle savait qu'il y avait tout une équipe derrière. Et la conservatrice du musée pouvait bien s'accorder une après-midi pour trouver l'inspiration pour une nouveau tableau. Alésia n'allait pas aller dans la réserve aujourd'hui, s'était bien d'aller en Alaska mais s'était toujours quelques peu loin bien qu'elle puisse trouver rapidement un jet privé grâce à ses relations. Et donc pour le moment, elle allait faire le tour des patelins de maison. Elle allait faire une petit tour du coté Nord, et peut-être pas la suite irait prendre un café si Dewenty se trouvait chez elle bien sur. Elle avait un manoir quelques particulier elle aussi. De son coté Alésia n'habitait pas dans ce quartier là, elle était un peu plus éloigné pour avoir de la place pour sa demeure.
Elle trouvait que certains maison ou manoir était pas mal avec de belle décoration. Et puis certaines architecture lui plaisait énormément, la plus part du temps s'était pour ses tableaux vu qu'elle n'allait pas acquérir plusieurs maisons cela ne lui servirait à rien. Une seule était bien suffisante. Continuant donc sa ruée vers l'or ou plutôt d'inspiration. En tout cas dans le coin, il n'y avait pas trop de lieu hantée ce qui était pour le coup moins amusant dans le sens ou elle pouvait s'ennuyer très vite, le cimetière était plus amusant ou elle avait pu faire la connaissance d'Ambroise. Bien qu'il soit assez bavard il était sympathique. Et n'était pas déçu de cette rencontre quand elle était aller apporter des fleurs avec Dewenty sur la tombe de son premier enfant. Pour le coup Alésia n'avait pas eu d'enfant dans cette vie là ou du moins sous forme humaine. En revanche dans son monde elle en avait eu plusieurs. Et elle ne savait guère s'ils se trouvaient ici ou s'ils étaient rester dans son monde pour veiller au bon déroulement de l'écosystème qu'elle avait mit en place quand elle avait passé un accord avec les humains. Sortant de ses pensées, elle était donc dans le quartier Nord et avait vu une maison blanche. On aurait presque pu croire être à la maison blanche sauf que le style n'était pas tout à fait le même. Cette maison lui plaisait pas mal s'était plutôt harmonieux. là, tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Baudelaire aurait été conquis lui aussi. Alésia s'était donc approcher de la maison, ou elle pouvait voir un peu plus loin, un grand lac vite fait, mais surtout des fontaines. Ca s'était encore plus intéressant pour elle. Bon elle n'allait pas s'introduire en fumée en se téléportant ce n'était pas très courtois.
Elle était donc arrivé devant la demeure et son doigt manucuré appuya sur la sonnette. Dans son sac se trouvait toujours de quoi dessiné et la elle allait surement trouver de l'inspiration. Ce n'était pas ce qui manquait selon elle. Portant tout de même attention à sa montre, peut que ses personnes travaillaient ? Au pire elle pourrait toujours repasser une autre fois. Si personne ne lui ouvrait la porte.
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Deborah Gust
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Noël s'était aussi bien passé qu'un Noël peut se bien passé quand on le fête avec trois boulets émotionnels comme c'est mon cas. Tout le monde avait apprécié ses cadeaux, il n'y avait presque pas eu de pleurs (les larmes de joie étant tolérées) et encore moins de cris, si bien qu'en fait tout le monde avait passé un bon moment. Sadie, fidèle à elle-même, était seulement triste que la fête soit déjà terminée et qu'il n'y ait pas eu de neige. Alors que ce n'était pas faute de nous être établis dans le Maine, un état fédéral bien plus similaire au Minnesota que la Californie où Papa et Maman nous avaient fait déménager. Qu'à cela ne tienne, au moins personne n'aurait les pieds trempés ou ne glisserait sur une plaque de verglas sournoise ! C'était bien aussi comme ça. Le bon goût ne prenant toutefois pas de vacances, ce n'était pas parce que nous n'allions rien faire de spécial pendant quelques jours, le temps pour 2021 de se terminer paisiblement avant de rattaquer sur les chapeaux de roue, que je n'étais pas élégante comme si j'avais prévu de sortir. C'est donc en pull blanc en cachemire que je profitai de la douceur de la cheminée du salon, parcourant le dernier numéro de Vogue tandis qu'Angus lisait son journal et Jaspeur son nouveau dictionnaire médical histoire de se tenir au courant des dernières avancées médicales alors que Sadie pleurait sur un roman à l'eau de rose que le Père Noël (moi, en fait) lui avait apporté pour Noël (logique). Bref, il ne se passait rien de spécial, nous n'attendions personne et c'était très bien comme ça. J'ai beau être une femme du monde, j'aime bien avoir la paix, au moins une fois de temps en temps, surtout vu la majorité de débiles et de laids qui peuplent la ville. Et pourtant on sonna à la porte, de façon totalement impromptue, tant et si bien qu'Angus perdit le fil de sa lecture et tapa rageusement du poing sur l'accoudoir du fauteuil afin de se calmer (ou au moins d'essayer de se calmer). - BON SANG DE BONSOIR SI JE CHOPPE LE DEBILE QUI M A FAIT PERDRE MA LIGNE JE LUI FAIS LA TETE AU CARRE ! Suite à un cri aussi fort que soudain, Jaspeur bondit et laissa tomber son gros dictionnaire pile sur son petit orteil. Résultat : il hurla également et sautilla sur son autre pied, les yeux embués de larmes de douleur. - Tu devrais pleurer si ça te fait mal, tu verras, ça te fera du bien, conseilla Sadie d'une voix si basse que personne ne risquait de l'entendre (à part moi - s'entend) elle et son précieux conseil, murmuré en relevant à peine le nez d'un chapitre particulièrement dramatique à en croire les grosses larmes qui embuaient ses grosses lunettes rondes. - C'est bon, j'ai compris, décrétai-je solennellement en refermant ma revue. C'est moi qui vais ouvrir. Et, joignant le geste à la parole, je me levai gracieusement du canapé pour me diriger vers l'entrée. - ET TU DIRAIS BIEN A CE CONNARD QUE JE L EMM..., beugla Angus jusqu'à ce que je ferme la porte derrière moi. Je pouvais assez bien imaginer ce que Colère voulait dire à la personne de l'autre côté de la porte. Il ne plaisantait pas quand il lisait le journal. Jamais. Quelques instants plus tard, j'ouvris la porte et constatai, avec étonnement, que c'était Alésia, la nouvelle conservatrice du musée, qui avait frappé chez nous. Curieux, songeai-je. Je me rappelais certes l'avoir rencontrée lors de la soirée d'Halloween et je me rappelais même qu'elle m'avait fait une bonne impression (notamment parce qu'elle était jolie et que pour une fois Meredith ne copinait pas avec quelqu'un dont le prénom ressemblait à "beurk") mais je n'avais pas souvenir que nous avions prévu de nous voir. D'ailleurs, maintenant que je la détaillai avec attention, l'observant de la tête aux pieds sans m'en cacher pour analyser son allure, je constatai qu'elle semblait presque aussi étonnée de me voir. Ce qui était d'autant plus bizarre qu'elle avait quand même sonné à la porte de MON manoir. OK le manoir qu'Aphrodite nous a laissés à tous les quatre mais que, dans les faits, je gère d'une main de maitre. - Alésia ! m'écriai-je en me fendant d'un sourire avenant. Ca pour une surprise ! Mais dites moi plutôt quel bon vent vous amène ? Vous ne faites quand même pas le tour de la ville pour dire joyeux Noël aux habitants ? J'espérais pour elle que ce n'était pas sa dernière lubie parce que sinon je la plaignais du fond du cœur.
Alesia Amarok
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Deborah & Alésia
Alésia ! Cette dernière d'ailleurs était aussi surprise que celle qui avait ouvert la porte, elle ne s'était pas attendu à ce que ce soit Deborah qui lui ouvre la porte. Mais, surprise positive du coup. Ca pour une surprise ! Mais dites moi plutôt quel bon vent vous amène ? Vous ne faites quand même pas le tour de la ville pour dire joyeux Noël aux habitants ? Alésia sourit. Deborah, effectivement pour une surprise ça l'est, je ne m'attendais pas à tomber sur vous. Non rassurez vous, je ne sonne pas à toutes les portes pour souhaitez un bon noël, même si j'imagine que vous ayez passé de bonne fête ? Du moins je l'espère, du coup bon noël ? Ce qui l'emmenait ici, et bien la maison en terme général en fait, l'architecture de la maison la passionnait et puis, elle voulait voir si s'était possible l'intérieur de la demeure ou du moins le jardin en priorité. Pour voir de plus prêt ces belles fontaines. Ce qui m'a conduit ici, c'est votre maison en fait, j'étais en train de me promener, histoire de profité un peu de la journée. Et je suis tomber sur votre splendide demeure avec un blanc immaculé. Et ça à eu pour effet de m'inspirer. Part ailleurs de son coté, elle n'avait pas fêter noël avec des amis.. Pas qu'elle n'en avait pas mais n'avait pas eu réellement le temps de penser au fête. Elle était donc parti en Alaska pour profité de sa meute. Mais peut-être pour la prochaine année, ce serait différent, du moins elle l'espérait peut-être. Alésia avait généralement tendance à être solitaire.
Mais ça reste une agréable surprise de finalement se recroiser de nouveau. Le hasard fait parfois bien les choses si je puis dire. Et du coup en me baladant j'ai aussi cru voir des fontaines ? Cela dit, elle n'avait pas non plus mentionner le fait qu'elle avait entendu les voix à l'intérieure de la demeure, étant donné qu'elle avait l'ouïe très fine. Etant donné qu'ils n'était pas très loin maximum 100 mètres. Mais elle n'en fit pas qu'à du coup. Est-ce que ce serait mal venu si... à tout hasard je demandait à voir de plus près vos fontaines ? Elle ne mentionnait pas le fait de vouloir éventuellement visité la demeure, ça ne se faisait peut être pas. Et puis, elle ignorait si il y aurait aussi des statues blanche assez ancienne.
Elle porta son regard du coup sur Deborah, qui par ailleurs avait toujours une belle prestance. Elle espérait néanmoins, ne pas la déranger ou qu'elle ne soit pas en repas de famille. Certains repas pouvait durée parfois des heures et des heures. Comme par exemple chez Ishanee bien qu'elle se trouve très gentille voir même trop. Quand tu allais manger chez elle tu ne ressortait pas avant 16h de l'après midi. Ish avait toujours peur que les personnes manque de quelques choses alors elle faisait des plats ... et des plats. Pourtant c'était réellement très bon mais... si les repas pouvait être abrégé. Il est vrai qu'elle n'était pas comme tout le monde, Alésia ne faisait pas autant de fête, préfèrent surement travailler mais, elle respectait les envie de chacun. J'espère ne pas etre venu au mauvais moment ou que vous soyez en repas familial ou autre ? Sinon, je peux toujours repasser une prochaine fois si c'est possible pour faire quelques croquis d'inspiration pour certains tableaux.
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Deborah Gust
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- Joyeux Noël à vous aussi, répondis-je d'un ton presque mielleux, pas encore tout à fait décidée si j'étais agacée qu'Alésia se soit pointée chez nous sans s'annoncer ou, au contraire, si je trouvais la distraction bienvenue. Je savais qu'une quantité de raisons aussi diverses que variées pouvait amener les gens à frapper chez moi : les livreurs d'Amazon et consort (et nous en recevions énormément, de toutes sortes), les visites médicales à domicile (pour Jaspeur), les pompiers (toujours pour Jaspeur ou pour nous vendre leur calendrier que je n'achetais jamais si c'était moi qui leur ouvrait), la police (pour rappeler Angus à l'ordre), les meilleurs traiteurs du coin (pour faire plaisir aux papilles de tous mais surtout aux miennes), les âmes en perdition en quête de conseils ou d'un coup de pied au derrière (voire des deux) pour espérer faire quelque chose de leur vie qui venait me consulter, le postier, le livreur du journal, les amis (surtout les miens car j'étais la seule ancienne émotion sociable), les scouts qui vendaient des biscuits dégoûtants (ou similaire) etc. etc. Mais c'était bien la première fois qu'on frappait à notre porte parce qu'on trouvait notre manoir splendide - même s'il l'était, au demeurant. C'était même encore plus bizarre quand on savait que la personne qui avait toqué à notre porte n'était pas non plus une totale étrange. Mais bon, j'imagine qu'à Storybrooke, ce genre de choses est presque normal. - Je comprends que cette vision vous ait inspirée, répondis-je en relevant fièrement le menton. Y a de quoi, quand on sait que ce manoir est anciennement celui d'Aphrodite, la déesse de l'amour en personne. Forcément, on ne peut qu'aimer cet endroit. J'appuyais volontairement sur ces derniers mots pour sous-entendre subtilement quelque chose comme "tralala lalalère c'est moi qui ai le plaisir immense d'y vivre, pas toi". Mais j'allais finir par croire, tant Alésia se montrait curieuse, qu'elle avait décidé de me racheter la propriété ou bien qu'elle me prenait pour une agence immobilière. Car non contente de complimenter la blancheur immaculée du manoir, voilà qu'elle me parlait à présent des fontaines avec un intérêt non feint me donnant presque l'impression d'avoir chez moi un authentique Van Gogh sans jamais m'en être aperçue. Alors que ce n'était absolument pas le cas. La fontaine était certes ornée de cygnes finement ouvragés mais ça s'arrêtait là, c'était seulement une fontaine, pas de quoi en faire un plat ! Ou peut-être si quand on s'appelle Alésia et qu'on adooooooooooore l'art au point de gagner sa vie en restaurant des tableaux et qu'on a pour coutume de frapper à la porte des gens pour quémander de visiter leur propriété. Comme si tout le monde habitait dans un musée, quoi, et qu'il suffisait de demander ! J'étais sciée qu'on puisse frapper chez quelqu'un et formuler pareille idée le plus naturellement du monde et encore plus ahurie qu'on puisse même proposer de prendre rendez-vous pour ce faire si jamais la première fois qu'on avait frappé à la porte ne s'avérait pas être le moment opportun. Pourtant, je ne demandai pas à Alésia si elle était sérieuse dans sa question car tout, de son intonation jusqu'à son regard, m'affirmait qu'elle ne plaisantait pas. - Le moins que l'on puisse dire c'est que vous n'avez pas des demandes très conventionnelles, commentai-je, bras croisés sur la poitrine, sans avoir pour le moment décidé si mon immense mansuétude allait l'emporter sur la bizarrerie de cette demande. Je devais aussi penser aux autres émotions afin de préserver leurs nerfs fragiles en anticipant leurs angoisses et leurs questionnements. - Certains pourraient même vous faire remarquer que votre prétexte de faire un tour du jardin pour dessiner la fontaine, les cygnes et les arbustes et idéal pour ensuite préparer un cambriolage. Sachant que nous sommes dans le quartier nord et que vous êtes amatrice d'art, forcément, vous comprendrez que la question puisse se poser ? susurrai-je. Sans compter que c'est bien gentil de vouloir investir mon jardin pour faire vos petits croquis de fontaine mais, concrètement, j'y gagne quoi dans tout ça ? C'est vrai que je suis parfois autocentrée mais je pense que cette fois en particulier la question était plus que justifiée. Pour quelle raison devrais-je accepter qu'on vienne squatter dieu sait combien de temps dans mon jardin pour son bon plaisir ? Et si jamais ça inspirait d'autres personnes ? Où disparaitrait notre tranquillité tant méritée ? Alésia m'avait certes fait une bonne impression lors de notre rencontre mais ce n'était pas suffisant pour que j'accepte d'accéder à ses moindres lubies simplement parce qu'elle posait la question sans même préciser combien de temps ça lui prendrait et si elle comptait en faire une habitude. Car il était hors de question qu'on entre dans cette propriété privée comme on entre dans un moulin !
Alesia Amarok
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Deborah & Alésia
Joyeux Noël à vous aussi Comme dis, Alésia ne faisait pas réellement noël. Je vous remercie. Bien que dans ses faux souvenirs, dans sa famille bourgeoise, ils avait fêté noël et tout le cérémonial qui allait avec. En retrouvant ses souvenirs, elle avait apprit à avoir de nouvelle croyance et puis, si réellement les esprits présent encore dans ce monde désirait faire noël alors, elle pourrait très bien le faire avec eux mais sinon elle n'en voyait pas réellement l'utilité s'était plus quelques choses pour marqué le coup ou bien un prétexte pour voir les personnes qu'on avait point l'habitude de voir. S'était encore pire pour le nouvelle an. Envoyer des messages aux personnes qu'on parle plus depuis des mois et des mois et subitement en faisant un copié colle on pensait à elle. Alésia, envoyait des message mais, seulement au personne proche d'elle ou bien des clients. Alésia avait un caractère quelques peu solitaire. La louve blanche connaissait certainement des personnes qui avait du passé dans le coin... Ceux par exemple avec qui elle avait eu des conflits quelques mois plus tôt. Ceux du Sylver & Gold l'un d'entre eux était pompier. De son coté, Alésia avait aussi souvent de la visite du moins pour son musée situé au sous-sol de sa demeure. Ou il y avait bon nombres d'objets possédés et quelques entité peu recommandable. Qui savait se tenir seulement en présence de la louve, bien sur en cas de cambriolage, ce n'était pas la même. Pour en revenir au sujet initial, le manoir ou résidait Deborah avait quelques choses que d'autre demeure n'avait pas. Je comprends que cette vision vous ait inspirée Bien sur que cela l'avait inspirer elle avait déjà quelques idées de croquis bien encrer dans sa tête. Y a de quoi, quand on sait que ce manoir est anciennement celui d'Aphrodite, la déesse de l'amour en personne. Forcément, on ne peut qu'aimer cet endroit. Aphrodite, ce n'était pas rien. Elle comprenait un peu mieux pourquoi ça l'avait intéresser maintenant. Il y avait quelques de divin la dedans. Elle ne savait pas comment l'expliquer mais, elle ressentait quelques chose au sein de cette demeure. Elle hocha donc la tête. Oh, je comprend mieux pourquoi, j'ai eu une affinité avec cet endroit. Elle avait maintenant beaucoup de questions en tête qu'elle aimerait poser à Deborah. J'aurais mainte question à poser à ce sujet mais, vous avez beaucoup de chance qu'elle vous l'ai laissé. La louve n'était pas envieuse, mais ce n'était pas rien qu'une déesse ait été ici, bien qu'elle aurait apprécié que ce soit la demeure d'Apollon, bien que cela ne lui aurait rien apporter de plus puisqu'il n'était surement pas dans le coin pour parler Art.
La louve appréciait les détails que lui offrait les sculptures. Elle appréciait aussi aller les chercher elle même. Même si parfois il y avait beaucoup de danger. L'avantage s'était peut-être le fait qu'elle pouvait passer au travers. Alésia se doutait que les fontaines n'allaient peut-être pas être ancienne mais, elle allait faire des esquisse si cela pourrait lui être possible. Il était vrai qu'elle était peu conventionnel et allait souvent droit au but. Elle avait le mérite d'être franche, bon elle n'avait pas prit les méthodes plus courtoise. Le moins que l'on puisse dire c'est que vous n'avez pas des demandes très conventionnelles Elle esquissa un léger sourire. Je vous prie de m'excusez si mes méthodes vous déplaisent, je ne voulais pas vous froisser, je vais souvent droit au but. Surement le coté loup solitaire. Elle porta son regard sur Deborah qui avait toujours les bras croiser sur sa poitrine. Elle voyait bien qu'elle n'était peut-être pas très ouverte à la conversation, elle était plutôt fermer. Certains pourraient même vous faire remarquer que votre prétexte de faire un tour du jardin pour dessiner la fontaine, les cygnes et les arbustes et idéal pour ensuite préparer un cambriolage. Sachant que nous sommes dans le quartier nord et que vous êtes amatrice d'art, forcément, vous comprendrez que la question puisse se poser ? Voler ? Alésia ne faisait pas cela.. ce n'était pas réellement son truc, elle avait suffisamment d'argent pour elle. Dans une vie passé oui, elle avait peut être voler l'argent de certaines personnes en quelques sorte du moins de façon détourner en leur vendant des copies d'œuvre d'art. Le passe-temps qui avait durée un temps, personne n'avait l'œil assez aiguisé pour cela, Alésia avait la facilité de reproduire à l'identique les œuvres du passé. Une part de sa vie qu'elle avait laissé derrière elle maintenant mais, elle était très doué pour restaurée les œuvres. Je vous assure que mes intentions sont bonnes, je ne me permettrait pas de volé. Oui, je suis amatrice d'art mais je ne vole pas les choses, généralement je les achète ou les acquière de façon légal. Ou peut-être même les louer pour un temps. Vu qu'elle tenait le nouveau musée de SB, elle n'avait pas l'envie de céder sa place et comptait bien faire comme figure pour les années à venir.
Sans compter que c'est bien gentil de vouloir investir mon jardin pour faire vos petits croquis de fontaine mais, concrètement, j'y gagne quoi dans tout ça ? Elle fronça légèrement les sourcils, elle ne pouvait pas s'attendre à de la gentillesse, l'être humains était ainsi elle n'allait pas le changer. Ce n'était pas sa bonne grâce qu'elle attendait en tout cas. Elle n'allait pas faire de pub non plus vu que ça ne servirait peut-être à rien pour elle. Et bien je pourrais vous dédommager si vous le souhaitez ? Cela n'allait pas durée longtemps si ça peut vous rassurez une quinzaine de minutes le temps que je fasse des esquisses et que je regarde simplement de plus prêt. Mais, si cela vous gène, vous n'êtes pas obliger d'accepter je comprendrais. Devenant plus calme, posant ses mots. Après tout ce n'était pas souvent qu'on voit une personne toqué à la porte et qui plus est intéresser par l'art et l'architecture, je conçois que cela puisse être étrange. Pas tout le monde n'a la chance de vivre dans le demeure de la déesse Aphrodite ou du moins qu'elle vous l'ait laisser. Cela doit être une grande responsabilité et vous devez en prendre soin, je comprend que vous ne laissiez pas entrée grand monde et je m'en voit excusez de vous paraître étrange. Cette maison à quelques choses de réellement fascinant c'est peut-être pour cela que ça me plait autant et d'en apprendre d'avantage sur la déesse aussi parce que vous deviez être très proche pour qu'elle vous fasse un tel cadeau.
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Deborah Gust
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J'aurais préféré qu'Alésia ait "maintes questions", ainsi qu'elle le formulait (sans déconner, elle habitait dans un livre écrit au XVIIe siècle ou c'était juste une impression ?), à mon sujet plutôt que sur le manoir mais, manifestement, elle était davantage passionnée d'architecture et d'aménagement de jardins que de moi. La pauvre, elle passait à côté d'un splendide sujet qui aurait éveillé bien moins de méfiance (légitime) de ma part. Je m'empressais toutefois de la détromper rapidement quand Alésia imagina que j'étais froissée par sa façon de demander si franchement ce qu'elle voulait. - J'ai dit que c'était peu conventionnel, pas que ça me froissait qu'on soit direct. Au contraire, j'aime bien, ça change des ronds de jambe qui durent deux heures trente. Mais je n'ai pas encore décidé si j'allais répondre positivement à ta demande, ajoutai-je mentalement. Forcément, à la question "votre demande de visiter les jardins trahirait-elle une envie par la suite de cambrioler la maison" reçut pour raison quelque chose du genre "évidemment que non, je ne suis pas une voleuse". Car il faudrait vraiment être débile pour admettre qu'il s'agissait d'une ruse et qu'on était, en fait, un cambrioleur hors pair. C'était au moins la preuve qu'Alésia savait connecter ses neurones. Quant au reste, j'observai les micro expressions de son visage pour comprendre - plutôt facilement étant donné ma véritable nature - les émotions qui traversaient la jeune femme et juger ainsi de son honnêteté à laquelle je décidai de croire, campant toutefois sur ma position volontairement fermée. J'ai jamais dit que j'étais avenante, de toute façon. Et c'est une chose de networker mais c'en est une autre, bien différente, d'accepter des gens qu'on connait à peine chez soi. Si je n'étais pas spécialement étonnée qu'Alésia propose un dédommagement (que je supposais financier, sauf à ce qu'elle préfère me faire envoyer des fleurs ou des chocolats), je n'en étais pas moins un chouia déçue. C'était vraiment tout ce qu'elle avait à offrir en échange de mon temps si précieux ? Rien de plus original ? Pas de meilleure répartie ? Ma seule consolation était de savoir qu'elle ne comptait au moins pas s'éterniser des heures sinon des jours pour colorier chaque fleur du jardin sous six ans différents. Ouf ! - Vous comptez réellement dessiner tout le jardin en quinze minutes top chrono ? demandai-je, un peu étonnée. Ou alors vous avez vu une seule et unique chose qui a capté votre intention ? J'espère pour vous que ce ne sont pas les cygnes, ils sont méchants, ajoutai-je en songeant que ça ne les rendait pas moins gracieux à mes yeux. Evidemment, l'avis de Jaspeur était quelque peu différent. Une fois il avait voulu les nourrir avec du pain sec et s'était fait pincer les doigts avant d'être coursé par l'un d'entre eux. Forcément, son avis sur les cygnes en avait pris un sérieux coup et, depuis, il prenait toujours soin d'être à bonne distance d'eux et de regretter que nous n'ayons pas plutôt des canards. Que nous avions pourtant parfois en magret aux repas. Pour le moment, toutefois, je n'étais pas nourrie mais abreuvée de compliments sur la maison mais aussi sur moi, qui en avais la responsabilité, une méthode comme une autre qu'employait sans doute Alésia pour parvenir à ses fins. Je n'allais pas la blâmer : je n'étais évidemment pas contre m'entendre dire qu'Aryana et moi étions proches (car c'était vrai), que j'avais de la chance de vivre ici (car c'était aussi vrai) et qu'avoir hérité de son manoir me conférait de sacrées responsabilités (car ça aussi c'était vrai, surtout quand on voit à quel point les autres émotions sont mauvaises en tout et bonnes en rien). Là où Alésia péchait un peu (mais c'était sans doute normal car nous nous connaissions mal) c'était quand elle demandait - indirectement - à en apprendre davantage sur Aphrodite au lieu de me parler de mon sujet préféré : moi-même. Forcément, elle perdait des points. Mais je finis par décider qu'elle m'avait suffisamment brossée dans le sens du poil pour mériter quinze de mes précieuses minutes pour faire deux trois dessins, surtout s'ils étaient beaux. Car si elle avait le même style que Dali ou Picasso je déchirerai tout et tant pis pour elle. On était quand même encore chez moi, non mais ! - Je crois, ma chère Alésia, qui vous avez suffisamment montré votre bonne volonté dans votre longue tirade pour vous offrir ce joli dessin que vous avez envie de faire dans mon jardin. Peut-être même que j'accepterai de répondre à vos questions si vous êtes sage, ajoutai-je avec un sourire narquois sans réellement le promettre. Je ne comptais toutefois pas EN PLUS la faire passer par l'intérieur de la maison et m'improviser guide touristique. Une telle chose aurait été bien trop dégradante pour une femme de mon standing. Je m'excusai donc quelques instants auprès de mon hôte surprise : - Veuillez m'excuser, je reviens dans quelques instants. Je refermai alors la porte derrière moi et retournai au salon où l'on m'avait trouvée bien longue à la porte. - Si c'était encore cette débile de Clarisse j'espère que tu lui as dit d'aller se faire f... ! s'écria Angus en roulant son journal pour s'en servir afin de taper aussi violemment que possible sur l'accoudoir de son fauteuil. - Non, c'était pas elle, mais si ça avait été le cas, je lui aurai dit, soupirai-je en levant les yeux au plafond, lasse. - C'était qui alors ? demanda Jaspeur en feignant la nonchalance. - Alésia, une connaissance qui croit que nos jardins sont publics et veut visiter pour faire du dessin, résumai-je en ne rendant volontairement pas totalement justice à la façon dont la jolie blonde avait présenté son étrange requête. Et dans ma GRANDE mansuétude, j'ai accepté, repris-je avant que l'un d'entre eux n'ait eu l'occasion de poser la question. Ca devrait pas être très long, mais ne soyez pas surpris si vous allez dans le jardin et que vous voyez une blonde que vous ne connaissez pas. Le reste, je gère, conclus-je d'un ton sans appel avant de tourner de nouveau les talons vers l'entrée. Je rouvris la porte de l'entrée quelques grandes enjambées plus tard et souris à Alésia, qui avait sagement patienter. - Venez, c'est par là, indiquai-je après avoir claqué la porte de l'entrée, clés en poche, pour descendre le perron et contourner la maison sans un regard en arrière pour m'assurer qu'elle me suivait bien. Elle le faisait forcément puisqu'elle voulait dessiner mon jardin. - Comme vous le voyez parce que vous avez des yeux comme moi, ici c'est la mare aux cygnes avec des cygnes et de l'eau comme son nom l'indique, là-bas y a la fontaine avec des cygnes aussi, mais des sculptés, pas des vrais, et sinon... la pelouse, les arbres et les fleurs qui ne poussent pas réellement vu la saison. Bref, je vous laisse choisir le coin qui vous inspire, conclus-je, décrétant intérieurement que j'avais suffisamment joué les guides touristiques pour le reste de ma vie. Au moins.
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Deborah & Alésia
La louve regardait donc Deborah, cela dit elle avait fixé son dévolu sur l'architecture, elle ne s'était pas réellement intéresser au être humain. Bien que ça pourrait lui arrivé quelques instant plus tard pour apprendre d'avantage sur Deborah comme par exemple ce qui avait pousser donc la déesse à lui filer sa demeure. Quand on restait de nombreuses heures dans un musée on était généralement bloqué dans certaines années ce qui fait qu'elle avait un parlé différent. J'ai dit que c'était peu conventionnel, pas que ça me froissait qu'on soit direct. Au contraire, j'aime bien, ça change des ronds de jambe qui durent deux heures trente. Elle sourit. Oui elle était différente des autres, ce qui n'était pas plus mal de ce qu'elle disait donc. Ah, j'en suis ravi alors. Je tacherais de m'en souvenir. Et puis, je dois dire que vous m'intriguiez aussi d'une certaines manière, de façon positive bien entendu Si l'envie de cambrioler la demeure lui était venu elle ne se serait pas empresser de venir parler avec Deborah mais serait directement rendu dans la nuit pour venir se servir. Ce n'était pas le réelle soucis, et puis, Alesia n'était pas une voleuse, plus une opportuniste, elle avait néanmoins suffisamment d'argent. A la rigueur elle pouvait refaire des copie pour les revendre par la suite. Alésia laissant donc ses expressions humaines faire le reste, elle était sincère dans ce qu'elle disait. Lui offrir un dédommagement surement, à moins qu'elle préférait une vie sauve si jamais elle se rendait en foret ou il y aurait une meute de loup ? Elle ne serait peut-être pas dévorer. Elle restait très territorial en ce qui concernait sa meute. Pas sur que ce traitement de faveur soit réellement bien à dire.
Vous comptez réellement dessiner tout le jardin en quinze minutes top chrono ? Bien qu'elle ait une mémoire photographique, elle n'était intéresser que par la fontaine même si le décor était tout aussi beau. En 15 minutes s'étaient suffisant pour faire tout ça. Elle avait comme un talent innée pour faire les choses rapidement. Oh, je vous rassure, que je ne vais pas faire tout votre jardin. En 15 minutes ça serait peut-être juste même si j'ai le talent nécessaire pour le faire. Ou alors vous avez vu une seule et unique chose qui a capté votre intention ? J'espère pour vous que ce ne sont pas les cygnes, ils sont méchants Il y a bien la fontaine avec quelques plan de décor avec la végétation hivernal. Bien que cela serait peut-être encore mieux au printemps ou ce serait tout fleuri. Avec des cygnes ? C'est encore mieux ! Les cygnes méchants ? Oui pour certains cas, généralement elle s'entendait bien avec les animaux. Bien sur sous forme humaines sous sa forme de loup disons qu'elle intimidait pas mal les autres animaux. Vous avez aussi des cygnes ? Ca rendrait encore mieux au paysage. Oh vous savez, généralement ils se montrent agressive quand il protège quelques choses mais ils n'en reste pas moins gracieux. Sous sa forme de louve un simple coup de dent et le cygne aurait découvert l'au-delà. Bien que les cygnes soient le cadet de ses soucis, il y avait aussi les oies qui étaient pas mal dans cette catégorie. Certaines personnes s'en servaient de oie de garde.
S'ensuivit qu'Alésia avait donc mentionner que Déborah avait de la chance de demeurer ici dans un lieu aussi magnifique que celui-ci. Par chance, Alésia appréciait l'art mais elle n'était pas fan de Picasso. Et elle avait en horreur Piet Mondrian, ses carrés colloré non.. juste non. Je crois, ma chère Alésia, qui vous avez suffisamment montré votre bonne volonté dans votre longue tirade pour vous offrir ce joli dessin que vous avez envie de faire dans mon jardin. Peut-être même que j'accepterai de répondre à vos questions si vous êtes sage Alésia lui sourit grandement. Oh comme c'est aimable de votre part vous êtes parfaite ! Et vous le serez encore d'avantage si vous répondez à mes questions mais déjà c'est merveilleux
Veuillez m'excuser, je reviens dans quelques instants. Elle hocha la tête, la laissant faire. Elle avait donc refermer la porte, et en attendant, la louve était en train de regarder son téléphone voir si elle avait des messages ou si s'est poupée posséder ne faisait pas trop de dégâts dans la pièce qui leur était dédiée. Dans l'ensemble ça se passait plutôt bien, même si parfois, elles voulaient lui faire des blagues de mauvais gout mais bon. Quand les fantômes ne faisait pas des siennes aussi. Mais rien à déclaré et finalement Deborah était revenu ouvrir la porte. Venez, c'est par là Elle hocha la tête et suivi donc la propriétaire actuelle de la demeure. Elle suivait donc derrière elle. Comme vous le voyez parce que vous avez des yeux comme moi, ici c'est la mare aux cygnes avec des cygnes et de l'eau comme son nom l'indique, là-bas y a la fontaine avec des cygnes aussi, mais des sculptés, pas des vrais, et sinon... la pelouse, les arbres et les fleurs qui ne poussent pas réellement vu la saison. Bref, je vous laisse choisir le coin qui vous inspire
La louve était en train de regarder autour d'elle, un coup à droite puis à gauche et finalement son idée première avait été d'aller la fontaine avec des cygnes ce qui n'allait pas l'empêcher de faire en plus gros pour incorporé le lac. Je penche donc pour la fontaine, ce qui ne changera rien au décor, je pourrais toujours rajouter le lac dans le fond dans le dessin. Elle releva la tête et sorti son carnet avec plusieurs dessin, beaucoup de portrait aussi, elle tourna les pages pour arriver sur une blanche ou elle allait pouvoir dessiner au crayon. Le paysage serait encore plus parfait si au niveau du lac, je pourrais vous dessiner ? Bien sur si vous ne voulez pas votre visage ce n'est pas un soucis Elle avait donc commencé par la fenêtre. Et je vois que cet endroit à de la chance de vous avoir, vous embellisse les lieux. Aphrodite vous à bien choisi pour veiller sur ce lieux. Comment l'avez vous connu ? Bien que je me doute qu'elle a du voir votre splendeur. Continuant de dessiner la fontaine donnant des coup de crayons précis et rapide, passant sa gomme rarement. Faisant des ombrages ce qui mettait donc en valeur la profondeur de la fontaine.
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Deborah Gust
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- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
- C'est bon, je démissionne, j'en ai marre des débiles.
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Alésia aurait tout intérêt, si elle espérait conserver mes faveurs, à se rappeler que j'ai horreur des "ronds de jambes qui durent deux heures trente". Car quand on commence à me faire perdre mon temps si précieux j'écourte la rencontre au plus vite sans me soucier des conventions sociales. De toute façon, je suis Dégoût, les conventions sociales, c'est MOI qui les fais. Ma règle numéro 1 c'est de ne jamais perdre mon temps, tant pis si ça en froisse deux trois au passage. Ils n'ont qu'à distribuer davantage de French kisses, ça leur apprendra peut-être à tourner leur langue sept fois dans leur bouche avant de parler. Sauf si c'est pour me parler de moi en des termes élogieux puisqu'alors on parle de mon sujet de prédilection et que j'ai toujours le temps pour lui. Alésia semblait l'avoir compris et être décidée à se laisser "intriguer" par ma personne. Que voulez-vous que je vous dise sinon qu'elle avait bien raison de l'être ? Naturellement, je ne comptais pas percer mon propre mystère trop vite mais lui répondis d'un sourire satisfait. Elle gagnait des points sur mon échelle de l'importance, tout le monde ne peut pas s'en vanter. Alésia, par contre, sait aussi se vanter, sinon elle n'aurait pas affirmé avoir le talent pour dessiner tout le jardin en seulement 15 minutes, commentaire qu'elle avait fait aussi naturellement que si je lui avais demandé l'heure. Naturellement, je n'étais pas impressionnée. Par pour l'instant, en tout cas. Sainte Deborah ne croit que ce qu'elle voit, surtout quand on lui promet monts et merveilles. En l'occurrence, Alésia promettait une rapidité presque équivalente à celle de la lumière - et pas pour faire des gribouillis de moyenne section, non, non, non, pour faire de l'art. Quant à moi j'avais totalement involontairement mis dans sa tête l'idée que le jardin était plus joli au printemps voire en été. En soi, c'était totalement vrai. Le jardin a toujours été plus beau à la belle saison (qui, d'ailleurs, ne s'appelle pas "la belle saison" pour des prunes, justement parce que les prunes, leur saison, c'est plutôt l'automne) mais ça ne veut en aucun cas dire que je prévois d'organiser des portes ouvertes pour que tous les artistes et pseudo artistes du coin viennent le peindre. Loin. De. Là. Je comptais sur Alésia pour en avoir conscience même si c'était peut-être mal barré puisqu'elle trouvait que sa peinture serait "encore mieux" avec les cygnes... alors que je venais justement de lui dire qu'ils étaient mesquins. Mais après ça la regarde. S'ils lui mordent la croupe, ça sera pas de ma faute. - Nos cygnes sont les plus gracieux, assurai-je avec véhémence, toujours prête à défendre les miens (au sens très large dans ce contexte précis) et à les présenter sous leur meilleur jour. Mais je me méfierais quand même si j'étais vous, la prévins-je, estimant qu'au moins je le lui aurai dit une fois et qu'après elle pouvait très bien faire sa vie comme elle l'entendait. C'était les cygnes d'Aphrodite et y a pas que sa grâce qu'ils essayent de copier. Quelques instants plus tard, nous étions dans le jardin, j'avais présenté sommairement les lieux à l'artiste et je la laissai décider de ce qu'elle voulait faire. Le suspense était in-te-nable (non). Finalement Alésia décida de peindre la fontaine et, telle la présentatrice des Oscars quand le prix n'est pas remis à la célébrité qui selon elle le mériterait mais doit quand même faire semblant que le résultat la remplit de joie, ma réplique sonna aussi juste que les meilleures répliques du septième art : - Merveilleux ! Je sais d'avance que cette peinture sera fa-bu-leuse, ma chère ! Et je ponctuai ce dernier commentaire d'un sourire engageant, n'envisageant pas particulièrement de rester dans ses pattes - notamment parce que je pouvais la surveiller de plus loin sans qu'elle ne se sente épiée. Et puis Alésia proposa de me peindre au niveau du lac, ce qui, si j'acceptai, allait forcément m'obliger à réviser mes projets immédiats. Car quand on est moi et qu'on s'aime vraiment beaucoup, ce n'est pas évident de refuser l'occasion d'être immortalisée sur une peinture. Sauf si le peintre qui en fait la proposition est vraiment très mauvais, auquel cas il faut refuser direct. Mais quelque chose me disait qu'Alésia n'avait pas seulement beaucoup d'assurance, elle avait aussi du talent. Paradoxalement, ça rendait presque ma décision plus difficile parce que j'ai quand même un peu (beaucoup) de fierté et que je m'étais d'emblée décidée à voir ces projets de peinture d'un mauvais œil. C'était donc pas pour changer d'avis du tout au tout dix minutes plus tard parce qu'elle voulait me peindre comme ses Françaises. Heureusement, Alésia avait amené les choses d'une façon qui me permettait de me faire mousser et de jouer la carte de la grande mansuétude plutôt que d'admettre que j'adore être élevée au rang d'œuvre d'art. - Eh bien, repris-je lentement, c'est vrai que le jardin est encore plus parfait quand JE suis dedans et que quitte à être totalement inédite en ouvrant mes portes à une artiste, je devrais sans doute permettre à ladite artiste de peindre la perfection. C'est si rare de la voir, après tout. C'est donc pour cette raison que j'accepte de vous servir de modèle près du lac, conclus-je, menton relevé, avec emphase. Finalement, j'étais donc bien partie pour rester auprès d'Alésia qui croquait la fontaine, gommait peu, et parvenait à alimenter la conversation tout en noircissant sa feuille. Mais ce n'est pas surprenant car les femmes savent toutes faire deux choses en même temps, contrairement aux hommes. J'aurais juste préféré qu'elle pose une autre question que la sienne, non pas que je sois mal à l'aise avec l'idée de mentir. Au contraire, quand c'est nécessaire, je n'hésite jamais et, dans le cas présent, je ne pouvais décemment pas me montrer totalement honnête sur ma véritable identité. Ca ne regardait pas encore Alésia, elle n'avait pas encore prouvé qu'elle méritait cette confidence hors du commun. Ironiquement, elle non plus ne me disait pas tout, ne me parlant pas de sa meute et de la louve qu'elle était, mais ça, je n'en avais aucune idée. Et même si je l'avais su, c'est pas dit que ça m'aurait franchement passionnée, là, tout de suite. - J'ai connu Aphrodite quand je suis arrivée en ville, expliquai-je, servant au passage un mensonge par omission : nous nous étions surtout connu quand le plan de Riley et Joie nous avait expédiés dans d'autres corps et qu'une fameuse télécommande y avait également expédié de vrais humains - ensuite nous avions pris peau humaine et j'étais devenue cette beauté renversante. C'était en 2016, à cause des errements passés de cette dinde de Regina et puisque ma famille et moi n'avions pas d'autre endroit où aller et qu'il y avait déjà un excellent feeling entre Aryana et moi - il faut dire que nous avions vécu une sacrée aventure ensemble - elle nous a offert un étage de son manoir. Quelques années plus tard elle a décidé de retourner à Olympe et nous a laissé le manoir - à moi, plus particulièrement parce que je suis plus avisée que mes compères pour gérer ce genre de bien. La dernière partie était la vérité pure, sans omission si ce n'est celle par déférence pour la vie privée d'Aryana qui était bien normale. Alésia n'avait pas besoin d'être au courant de la complexité des relations divines et de la façon dont Aryana n'a pas son pareil pour rajouter des complications au tout. Elle est bien la seule que je ne jugerai jamais. - Et chez vous, alors, c'est comment ? demandai-je en observant mes environs, afin de continuer la conversation et, peut-être, d'apprendre quelques informations qui me seraient utiles plus tard. Vous avez déjà peint votre petit coin sous tous les angles alors maintenant vous faites du porte à porte ? J'imagine que votre demeure n'a pas une histoire aussi divine que la mienne et que vous êtes probablement comme plein de gens arrivée avec le Sort Noir, pas après. C'est pas grave, ça ne vous rend pas moins unique, assurai-je avec un sourire. Des histoires intéressantes à raconter ?
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Deborah & Alésia
Alésia pouvait donné des compliments et elle savait aussi se lancer des fleurs. Elle savait pertinemment qu'elle était une personne assez égocentrique sur les bords. Ca ne faisait pas de mal parfois de se venter sur centaines choses. En 15 minutes, elle savait qu'elle pourrait le faire seulement si, elle ne cherchait pas à conversé avec Deborah. Elle avait le talent de dessiner et sa mémoire faisait le reste. Avec les années, elle a pu perfectionner son art et d'aller de plus en plus vite dans ses délais pas pour rien qu'elle avait voulu être la meilleure dans ce domaine. Elle se faisait donc connaître rapidement en tant que restauratrice d'œuvre d'art. Tout ça grâce à son ancienne vie quand elle était faussaire répondant au nom du Lycaon. Bien sur maintenant, elle ne le faisait plus. Quoiqu'il en soit elle suivait Déborah, et avait bien prit conscience de ce qu'elle disait au sujet des cygnes, elle n'était pas intimidé. Nos cygnes sont les plus gracieux Elle voulait bien la croire surtout si ces derniers appartenait à Aphrodite. Mais je me méfierais quand même si j'étais vous Je veux bien vous croire que vos cygnes sont les plus gracieux, s'ils demeurent ici c'est qu'ils se sentent bien entouré de beauté. Merci pour la prévention, je ferais attention. C'était les cygnes d'Aphrodite et y a pas que sa grâce qu'ils essayent de copier Elle sourit, ça ne l'étonnait même pas. Même au niveau du caractères ? Est-ce que ses cygnes ont le même caractère que la déesse ? Elle ne connaissait pas la déesse donc elle ne savait pas si les cygnes voulait copier aussi le caractère en plus de la grâce de la déesse. Elles étaient finalement arrivé au jardin au paysage plutôt hivernal. Peut-être qu'avec de la chance à l'arrivé des beaux jours elle pourrait faire des esquisses du paysage. Merveilleux ! Je sais d'avance que cette peinture sera fa-bu-leuse, ma chère !
Alésia sourit grandement, naturellement qu'elle allait être fabuleuse s'était elle qui allait la faire. Et puis avec un modèle parfait l'œuvre serait encore plus charmante. la louve était réputé dans le milieu en plus d'avoir une maison hantée. Et un musée au sous-sol avec des poupées possédé. Eh bien, c'est vrai que le jardin est encore plus parfait quand JE suis dedans et que quitte à être totalement inédite en ouvrant mes portes à une artiste, je devrais sans doute permettre à ladite artiste de peindre la perfection. C'est si rare de la voir, après tout. C'est donc pour cette raison que j'accepte de vous servir de modèle près du lac Naturellement, elle donnait une touche de charme au jardin qui était déjà bien joli mais avec le décor éteint. Vous rendez le paysage encore plus parfait, vous éclairer le site grâce à votre couleur de cheveux de feu. Je vous remercie de me permettre ce privilège. C'est un honneur pour moi. Elle sourit. Alésia n'était pas facilement distraite quand elle confectionnait une œuvre s'appliquant comme toujours dans son travail, s'était ce qui pouvait la rendre vivante, elle avait trouver de quoi ce distraire dans le dessin ou de restaurer des œuvres inestimable.
Alésia savait combiner la parole au geste, elle était une femme, même si en premier lieu, s'était un loup et en l'occurrence le premier loup apparu sur terre qui a donc engendré de nombreuses meute. La louve avait donc posé une question plutôt anodine pour elle mais, elle ne pensait pas que cela soit compliqué à répondre pour son interlocutrice. J'ai connu Aphrodite quand je suis arrivée en ville Elle hocha la tête, continuant de faire son oeuvre. C'était en 2016, à cause des errements passés de cette dinde de Regina et puisque ma famille et moi n'avions pas d'autre endroit où aller et qu'il y avait déjà un excellent feeling entre Aryana et moi - il faut dire que nous avions vécu une sacrée aventure ensemble - elle nous a offert un étage de son manoir. Quelques années plus tard elle a décidé de retourner à Olympe et nous a laissé le manoir - à moi, plus particulièrement parce que je suis plus avisée que mes compères pour gérer ce genre de bien. Elle sourit, elle ne pouvait qu'approuvée, elle ne l'avait pas souvent vu en face d'elle mais elle n'était guère apprécié au sein de la ville. Après tout, il était très bien dans leur univers respective pourquoi diable les avoir retirer et leur mettre divers forme. Alésia en avait payer le prix puisqu'elle avait prit une forme humaine bien qu'elle soit parfaite son enveloppe charnelle. Elle préférait sa forme originel. Ah oui.. bon nombres ne la porte guère dans leur coeur pour ce qu'elle a fait de cette malédiction. Heureusement qu'elle a été la pour vous venir en aide, c'est vrai que cela n'a pas été facile pour tout le monde. Et si le feeling passait bien entre vu c'est encore mieux. Elle vous a fait un sacré cadeau, cette demeure est somptueuse. Elle espérait savoir qu'elle aventure elle a pu avoir ensemble. Alésia était elle aussi en manque de sensation forte. Partir à l'aventure lui manquait mais, elle adorait son travail.Vous le valez bien. Olympe cet endroit doit être pas mal à voir aussi, vous y êtes déjà aller ?
Et chez vous, alors, c'est comment ? Noircissant un peu le décor, elle reporta son attention sur son interlocutrice. Comment ça demeure ? Elle sourit et stoppant son coup de crayons quelques instant. Je vie dans une demeure assez ancienne aussi dans le style des maison du 19ème. Elle ne savait pas si elle était au courant que sa maison était connu pour être hantée. C'est la maison hantée, si vous en avez entendu parlé ? Après tout, s'était pas faux vu qu'elle vivait avec eux constamment. Bien qu'elle voulait garder son intimité donc chacun avait déjà leur pièce respectives, ce qui par ailleurs ne les empêchait pas de venir lui rendre visite. Vous avez déjà peint votre petit coin sous tous les angles alors maintenant vous faites du porte à porte ? J'imagine que votre demeure n'a pas une histoire aussi divine que la mienne et que vous êtes probablement comme plein de gens arrivée avec le Sort Noir, pas après. C'est pas grave, ça ne vous rend pas moins unique
Oui c'est un peu ça, bien que j'ai tout de même pas mal de travail au musée mais pendant mon temps libre je me promène et c'est la ou je suis tomber sur votre maison. Oh non ma demeure n'a pas une histoire aussi divine que la votre même si je dois dire que les énergumène qui réside à l'intérieur son chacun particulier. Ma demeure à donc quelques fantômes qui font des farce à certains visiteur. Elle sourit reprenant son coup de crayon, la fontaine était maintenant terminé qu'elle avait déjà commencer à faire le lac avec les cygnes. En ce qui me concerne, le sort noir à changer ma morphologie je n'étais pas humaine, d'ailleurs ça m'a assez mit mal à l'aise au début d'avoir une telle enveloppe charnelle.
Elle s'occupait de faire les ondulations de l'eau que faisait les cygnes avec leur patte palmé. Des histoires intéressantes à raconter ? Mhh.. elle réfléchissait. Oui, j'ai quelques poupées dans mon musée au sous sol, un musée avec plusieurs poupées qui sont posséder. Elles sont d'ailleurs protéger et je fais en sorte que les visiteurs ne les approchent pas de trop près. Et il y a donc une de mes poupées qui à visiblement fait surchauffer le téléphone d'un visiteur par ce qu'il n'aurait pas demander la permission. Il faut toujours demander l'autorisation pour ne pas avoir de représailles et encore moins de ce moquer de l'une de mes poupées. Ensuit, j'ai bien certains des fantômes qui font de siennes.
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L'honneur que de me peindre était, effectivement, pour Alésia. Moi j'allais devoir rester immobile pendant un moment certain, le temps pour l'artiste de m'immortaliser sur sa toile. Dit comme ça, ça sonnait davantage comme une corvée ou une punition. Mais que ne ferait-on pas pour se faire mousser grâce à des compliments amplement mérités ? Quand Alésia mentionna ma chevelure de feu, je ne pus m'empêcher de la secouer, comme pour la gratifier d'un plaisir supplémentaire, celui d'admirer ma flamboyance d'encore plus près. Il y avait bien des choses que j'appréciais dans l'apparence humaine que ma nouvelle vie m'avait donné, à commencer par ma grande taille élancée et mon visage expressif, mais la rousseur de mes cheveux comptait parmi mes trésors physiques les plus chers et je me délectai de savoir cette couleur de cheveux la plus rare sur la planète, portée par environ 2 % de l'humanité (si on ne compte pas toutes les tricheuses qui se teignent en rousses, évidemment). J'étais, après tout, unique en mon genre, plus précieuse qu'un diamant et plus rare qu'une étoile filante. Il n'était donc pas surprenant que ma chevelure soit à l'image de celle que j'étais. Les cheveux de Regina, en comparaison, étaient aussi noirs que son âme mauvaise, comme quoi, on n'a que ce qu'on mérite (même s'il faut bien avouer que la méchante reine était toujours parfaitement coiffée). Mon invitée peintre, quant à elle, ne s'arracha pas les cheveux (qu'elle avait jolis, même si elle n'était que blonde) en comprenant, sans détour, que je ne portais pas Madame Mills dans mon cœur (mais, en même temps, je porte très peu de personnes, triées sur le volet qui plus est, à cet endroit de mon âme) et ne réagit pas spécialement, comme si la conversation la blaisait (ce que je pourrais comprendre pour l'avoir moi-même eue un nombre incalculable de fois). Par-fait, ça voulait dire qu'au mieux la sorcière la laissait indifférente ou qu'au pire elle la méprisait sensiblement autant que moi. Dans les deux cas, la situation m'allait très bien : il ne manquerait plus que j'ai ouvert ma porte et accordé mon temps à une farouche défenseuse de cette femme, le pire étant que c'était parfaitement possible car, au fil des années, Regina Mills avait su se constituer une petite armée de fidèles, de personnes plus ou moins intelligentes prêtes à jurer qu'elle avait changé et que, pire encore, maintenant elle faisait partie des héros. De mon point de vue, elle pourrait être la cheffe des Avengers en personne que mon opinion ne changerait pas la concernant. Elle m'avait pris ce qui comptait le plus et qu'elle lance les boules de feu qui la démangeaient sur des méchants plutôt que sur les gentils comme auparavant n'y changerait jamais rien. Je décidai donc de ne pas lui accorder davantage de salive, puisqu'elle ne le méritait pas, et ne répondit qu'à l'affirmation d'Alésia qui concernait Aryana (qui, au contraire, mérite toutes les louanges dont je suis capable et dieu sait à quel point je suis douée en rhétorique - et en plein de choses). - Je dirais que c'est un cadeau à la hauteur du lien qui nous unit, répondis-je sobrement sans toutefois m'empêcher de relever le menton. C'était loin d'être la vérité mais ça, Alésia n'avait absolument pas besoin de le savoir. J'imaginais toutefois qu'Aryana nous appréciait suffisamment pour avoir jugé acceptable voire logique de nous laisser son manoir, mais je songeais surtout qu'elle nous l'avait laissé parce qu'en tant que déesse elle en avait parfaitement les moyens et que les choses étaient plus pratiques ainsi. Nous n'étions pas non plus les meilleures amies du monde (bien que ça ne m'aurait pas dérangé du tout) et n'appartenions au mieux qu'à sa famille de cœur - et d'émotions, cela va sans dire. - Non, je ne suis jamais allée à Olympe, répondis-je ensuite sans prendre la peine de retourner la question puisque la réponse était implicite dans la demande d'Alésia. L'endroit devait être intriguant mais je n'étais pas du genre à demander une visite guidée. Je comptais sur un divin, peu importe qui, pour organiser, un jour prochain, un événement là-bas en haut, ce qui me permettrait d'y jeter un œil en toute discrétion. Quelle ne ferait donc pas ma surprise quand un barbecue serait organisé à Olympe, quelques mois plus tard, pour me donner enfin l'occasion d'une petite visite, certes partielle. En attendant, nous étions dans mon somptueux jardin hivernal, Alésia le peignait et elle me parlait de sa maison style XIXe siècle. J'écoutai, plutôt attentive, une fois n'est pas coutume, et peu étonnée qu'elle ait choisi un style ancien pour sa demeure. Alésia avait l'air d'une vieille âme, même si elle était parfaitement intégrée à ce siècle. Mais elle avait l'air résolument tourné vers le passé, que ce soit à cause de son prénom de bataille historique ou bien de son métier qui consistait, pour ainsi dire, à sublimer les vieilleries d'un autre temps. Je découvris cependant ce jour-là que son appréciation du passé ne s'arrêtait pas à des particularités conventionnelles (mais qui est réellement conventionnel à Storybrooke ?), allant jusqu'à avoir fait le choix de vivre dans une maison hantée. - Eh bien, non, je n'en ai pas entendu parler, admis-je. Les maisons hantées je les préfère dans les parcs d'attraction que comme habitation mais j'imagine que vous ne devez pas vous ennuyer là-bas et j'irais même jusqu'à dire que l'ambiance doit être mortelle, ajoutai-je, pas peu fière de mon subtil trait d'humour que j'accompagnai d'un sourire complice adressé à mon invitée. Cette dernière continuait toujours de peindre et venait de mettre le dernier coup de crayon à la fontaine en face de nous. Je devais bien admettre que c'était pas mal du tout, mais gardai (pour le moment) ce commentaire pour moi. Alésia avait des choses bien plus intéressantes à livrer, comme le fait qu'elle n'avait pas toujours eu cette apparence pourtant charmante. Ah tiens donc, songeai-je en arquant un sourcil, presque plus intéressée par ce fait que par le nombre de fois qu'elle prenait le thé avec Casper toutes les semaines. Mais pas décidée à parler de ma véritable identité pour autant. - Vous pouvez toujours vous consoler en vous disant que la malédiction aurait pu vous donner un corps beaucoup moins agréable à regarder, commentai-je en la détaillant de haut en bas pour m'assurer qu'elle n'était pas subitement devenue laide avant que je ne parle. Vous étiez quoi avant ? demandai-je naturellement puisqu'elle évoquait son passé librement, apparemment sans complexe. Je supposais qu'elle avait été un animal, restait à savoir lequel. Une lionne peut-être. Quelque chose d'imposant et d'assuré, sans doute, ce qu'elle était aussi sous sa forme humaine. Je ne désespérai pas d'apprendre ce qu'elle avait été mais en attendant je me farcissais les poupées possédées. Certes, c'était intéressant, d'un certain point de vue, mais je n'étais pas particulièrement friande de ce genre de choses. Jaspeur non plus, d'ailleurs, parce qu'il en avait une peur bleue (ou violette, le concernant). Dieu merci il n'avait pas d'oreilles bioniques et ne pouvait pas avoir entendu cette histoire. Il n'en ferait donc pas des cauchemars pendant deux semaines, merci pour moi. - Elles ont l'air... charmantes, ces poupées, commentai-je, ironique, les lèvres pincées de dégoût. C'est un vrai musée des horreurs, chez vous, en fait. Sans vouloir vous offenser, ajoutai-je en passant. Mais si vous vous décidez à faire chambres d'hôtes y a sans doute plein d'ados puceaux et boutonneux qui adoreraient faire cette expérience. Ca ne vous ennuie pas, les poupées mesquines et les esprits blagueurs ? Moi ça m'ennuierait, je n'ai pas énormément de patience, commentai-je, laconique, les yeux levés au ciel. En fait, je n'ai pas du tout de patience - sauf avec mes colocataires. Mais ils demandent tellement de patience que je n'en ai plus en stock pour les autres.