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 Le Piège à poulpe | Stefan

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Honey Lemon
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Honey Lemon

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________________________________________ 2020-12-16, 00:41 « Science is magic that works. »

Honey enroula son bras autour de celui que lui tendait Stefan dans un geste élégant qui dénotait une certaine habitude en la matière, probablement. Sans doute que là d'où il venait, ce genre de comportement envers les femmes était plus courant qu'il ne l'était dans ce siècle. Pour la jeune femme, il était fort utile, même si d'ordinaire elle se raccrochait à ses personnes dont elle se sentait plus proche. Stefan et elle étaient sans doute collègues mais loin d'être des amis, ce dont témoignait, peut-être, sa posture éminemment droite et sérieuse, comme s'il présidait une cérémonie officielle.
Il ne lui parla plus de tout le reste du trajet, ce qui ne manqua pas d'interroger Honey. Elle repassa plusieurs fois la conversation dans son esprit et ne trouva pas ce qui avait bien pu produire ce soudain silence. A priori, elle n'avait rien dit de vexant. Pouvait-on véritablement vexer les gens en parlant de Marie Curie ? Elle ne le pensait pas. Estimant pourtant qu'il valait mieux ne pas briser le silence installé, Honey marcha en silence, flattée de voir qu'en dépit de ses aptitudes surhumaines, Stefan avait adapté son pas au sien, si minuscule et hésitant soit-il.
Peu à peu ils s'enfoncèrent dans la forêt, empruntant des sentiers sur lesquels, effectivement, un fauteuil roulant n'aurait pas été un moyen de locomotion approprié.
Ils marchèrent pendant ce qui sembla un très long moment, jusqu'à être entourés d'une forêt si dense qu'il semblait que la nuit avait commencé à tomber. Stefan s'arrêta à côté d'un rocher sur lequel Honey se laissa tomber sans réelle grâce, soulagée de ne plus devoir demander à ses jambes de la porter. Elle n'aimait pas montrer à n'importe qui combien marcher pouvait la faire souffrir au bout d'un moment mais estimait Stefan suffisamment intelligent pour l'avoir compris lui-même et ne prêta, de fait, pas grande attention aux émotions que traduisirent son visage quand le périple eut pris fin.
Mais très vite, Honey retrouve son sérieux, intrigué par le "tour" que lui promettait Stefan. Elle sursauta quand son sifflement fut rapidement suivi d'un hurlement lupin suivit par des bruits étouffés par les feuilles mortes qui tapissaient le sol. La jeune femme se concentra pour essayer de trouver la direction d'où provenaient ces bruits qui se rapprochaient et qui ramenaient, elle n'en doutait pas, la fameuse Lyssa.
Une louve, très certainement. Stefan avait dit qu'il pouvait communiquer avec cette espèce et, s'il avait appris à lire en Honey, se doutait probablement qu'elle préférerait le voir interagir avec un loup plutôt qu'avec des chauve-souris. Et, effectivement, la probabilité devint rapidement une certitude, lorsqu'une impressionnante louve se révéla de l'autre côté de la clairière, juste en face de Stefan.
Un lien invisible semblait les unir, comme s'ils communiquaient par la pensée, ce qui était peut-être le cas. Les yeux verts de Honey oscillèrent entre le vampire et sa louve sans oser se poser sur l'un plutôt que l'autre.
Il l'indiqua après quelques instants à l'aide de son index et Honey attendit, immobile. La louve était si sereine que l'humaine l'était également. D'une certaine façon, elle lui faisait confiance et, de ce fait, à Stefan également. Honey ne se sentait pas en danger et ne se sentit pas non plus menacée lorsque l'animal vint poser sa tête sur ses genoux, n'osant cependant ni la toucher ni bouger.
A la place, elle releva les yeux vers Stefan qui contait à présent l'histoire attristante de Lyssa.
- Oh, souffla Honey, surprise par la chute de l'histoire. Alors ce n'est pas vous qui lui avait dit de poser sa tête sur mes genoux ? Que lui avez-vous dit, en fait ? Enfin... vous... communiquez avec elle, n'est-ce pas ? C'est quoi au juste, de la télépathie ? Autre chose ?
Tout en parlant, Honey fronça les sourcils, perplexe. Elle posa de nouveau ses yeux sur la louve, aussi calme qu'un chien particulièrement bien dressé, et son énorme tête posée sur ses genoux. De ses doigts hésitants, la jeune femme se décida finalement à caresser son pelage soyeux comme elle aurait caressé Schrödinger, son chat noir et borgne. L'animal ne broncha et Honey retrouva assez rapidement son aisance avec le monde animal - même si Lyssa ne ressemblait en rien à Schrödinger.
- Vous savez fait un sacré travail de dressage, observa la jeune femme, véritablement impressionnée, tandis que Lyssa s'éloignait d'elle à nouveau.
L'instant d'après, Stefan lui demandait, à l'humaine, de tendre la main, ce que Honey accepta de faire. Maintenant c'était elle qui était dans le monde du vampire après que celui-ci n'est fait une incursion dans le monde de la scientifique. Il lui avait obéi pour répondre à chacun de ses tests, c'était maintenant à elle de faire de même.
Dans sa main tendue, Honey vit délicatement tomber un perce neige et trouva l'image poétique. Elle connaissait le langage des fleurs mais ne s'était jamais identifiée à aucune d'elle particulièrement. Cependant, la jeune femme ne put que sourire en écoutant la symbolique de cette petite fleur toute frêle.
- Je suis née au printemps, s'entendit-elle commenter, perdue momentanément dans sa réflexion. Pardon, je divague, se reprit la jeune femme presque immédiatement en secouant la tête. C'est vous que je remercie pour la fleur ou c'est Lyssa ? En général j'achète des jonquilles ou des pivoines, pas particulièrement pour leur symbolique, d'ailleurs. Mais je penserai aux perces neige la prochaine fois.
Un court instant, Honey songea que cette scène avait quelque chose de romantique, presque de féérique. Mais elle chassa rapidement cette pensée saugrenue de son esprit. Stefan ne faisait que lui montrer son meilleur tour, rien de plus. Il y avait incorporé de la poésie, voilà tout.
- J'imagine que Lyssa ne vous sert pas principalement à cueillir des fleurs, n'est-ce pas ? C'est une arme, une messagère, une amie, peut-être ? voulut savoir la jeune femme.
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________________________________________ 2020-12-16, 18:10

Dracula observait la créature chercher l’attention de la demoiselle sans, vraiment, comprendre comment elle semblait lui faire autant confiance d’un coup. Il lui avait demandé d’aller la voir, mais il pensait qu’elle aurait été beaucoup plus sur la défensive avec elle. Malgré son dressage, elle restait une louve et par conséquent préférait ne pas s’approcher des humains inconnus. Pourtant, elle semblait avoir adopté la blonde comme si elle savait qu’elle pouvait lui faire confiance. Évidemment, son questionnement ne se lisait nullement sur son visage, observant la scène avec une expression neutre.

- Effectivement, c’est elle qui a choisi d’être aussi tactile. Je lui ai seulement demandé de venir vous saluer. Je ne sais pas vraiment comment expliquer le lien qui m’unit avec ces bêtes, mais je sais qu’il me suffit de leur demander quelque chose mentalement et ils captent. Est-ce de la télépathie? Est-ce une sorte d’instinct? Est-ce eux qui peuvent lire en moi? Je n’en ai aucune idée. Merci du compliment. Il est vrai que je l’ai bien dressée. J’ai des siècles d’expérience.

Ensuite, la louve repart pour revenir avec la fleur choisie volontairement par le vampire pour sa symbolique. Pour ne pas effrayer la scientifique, il essayait d’apporter un peu de poésie dans cette expérience, afin qu’elle puisse voir les bons côtés et pas seulement les mauvais. Ils étaient, certes, peu nombreux, mais il y en avait. Connaître un vampire avait ses bons côtés.

- Quelle coïncidence que vous soyez née au printemps. Cela ne fait que confirmer mon choix. C’est moi qui lui ai demandé, elle est intelligente, mais pas assez pour connaitre la symbolique des fleurs. Dans tous les cas, vu la période, il est difficile de trouver des jonquilles ou des pivoines, mais j’y penserai la prochaine fois que je veuille vous faire plaisir... Vos suppositions sont justes, miss. Lyssa est une messagère, une amie et une arme. Je n’ai encore jamais eu besoin d’elle pour me battre, mais elle serait utile dans un tel cas. En tout cas, elle est inoffensive tant que je ne lui demande pas d’attaquer. Bref, passons à la suite de l’expérience si vous voulez bien. Il faudra vous asseoir par terre ou tenir debout une petite minute si vous voulez voir.

Il attend qu’elle s’éloigne et il approcha de l’immense roche. Il posa son regard sur la blonde avant de se concentrer sur ce qui se trouvait devant lui. Il agrippa chaque côté de la pierre, se mettant à forcer, fermant les yeux et serrant les dents. Soudain, il réussit à soulever la roche au-dessus de sa tête au bout de ses bras.

- Évidemment, je ne peux pas tout soulever. Ma force à des limites. Par exemple, je ne peux pas soulever un autobus scolaire, j’ai essayé. Mais je peux soulever une petite voiture.

Dracula s’accroupit d’un coup, portant toujours la roche, mais plus pour bien longtemps puisqu’elle alla s’écraser sur une rangée de sapin plus loin. Les arbres en tombèrent sous le poids de l’impact dans le sens inverse d’où ils se trouvaient. Il se redressa pour reposer son regard sur la blonde.

- Si un jour vous êtes en danger, appelez-moi. Personne n’a intérêt à énerver Dracula.

Lui qui était plus loin d’Honey se retrouva en quelques secondes à côté d'elle. Elle put sentir son souffle froid dans sa nuque. Il se mit à chuchoter à son oreille.

- Me faites-vous confiance, miss Lemon? Me laissez-vous vous montrer quelque chose? Il faudra me laisser faire et ne pas poser de questions. Mais je vous assure que cela vaut le détour. Si vous voulez bien, mettez-vous dans mon dos et agrippez-vous à mon cou pour que je puisse vous soulever...


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________________________________________ 2020-12-16, 20:30 « Science is magic that works. »

Honey ne doutait pas de l'expérience acquise par Stefan et pas uniquement parce qu'effectivement il avait des siècles de pratique derrière lui. Même sans cet élément clé, elle voyait bien comment agissait la louve. Elle voyait bien que, même si elle était restée sauvage, elle avait tissé avec lui un étrange lien qui permettait au vampire d'avoir une certaine emprise sur elle. A moins que ce ne soit l'inverse, ainsi que Stefan l'avait supposé. C'était probable, après tout. Tout ceci était, en tout cas, bien trop éloigné des domaines de compétences de la jeune femme pour qu'elle puisse trancher.
Lyssa avait décidé de rester auprès d'elle et Honey continuait de caresser son pelage soyeux, presque machinalement. La jeune femme adorait les animaux - les chats, en général, mais, manifestement, cette louve lui plaisait aussi qu'elle avait réussi à plaire à la créature.
Contre toute attente, Honey se sentait étrangement à l'aise, entourée de cette forêt, en compagnie d'une louve qu'elle connaissait à peine et d'un vampire qu'elle connaissait à peine mieux. Pourtant, lorsque Stefan avait proposé de lui faire étalage de tous ses pouvoirs dans un endroit plus discret qu'au cœur de la ville, elle avait paniqué. Suivre un vampire dans les bois ne lui avait pas paru une bonne idée du tout, alors même que Honey pouvait avoir la fâcheuse tendance à se montrer inconsciente. Pas cette fois-là, manifestement. Son cerveau s'était immédiatement alarmée de cette idée et la jeune femme ne comprenait pas encore pour quelle raison elle avait finalement accepté de laisser Stefan l'entrainer dans cette clairière.
Il le sentait probablement. Stefan avait l'air doué pour lire dans les émotions humaines. Il l'était plus qu'elle, assurément. Mais s'il le sentait, comme toujours, il ne laissait rien paraître. En revanche, comme à son habitude, il ne manqua pas de signaler qu'il avait pris bonne note des nouvelles informations personnelles que Honey lui avait confiées, assez naturellement, d'ailleurs et assurément pas dans l'espoir de se voir offrir des fleurs dans le futur. A quelle occasion pourrait-il bien lui en offrir, d'ailleurs ?
Honey chassa heureusement très vite cette question de son esprit, bien contente que la démonstration se poursuivit afin de ne pas être obligée de s'attarder plus longtemps sur le langage des fleurs. Tandis que Lyssa retirait sa tête des genoux de la jeune femme, cette dernière récupéra sa cane, déposée plus tôt sur le sol tapissé de feuilles et s'y appuya pour se remettre debout. Ensuite, obéissante, elle s'éloigna de quelques mètres du rocher, toujours suivie de près par la louve qui, manifestement, l'avait adoptée.
Honey se laissa tomber dans un tas de feuilles, les pans de son manteau s'étalant autour d'elle. Alors que Lyssa se laissait tomber à côté de la jeune femme, celle-ci ramena ses genoux au niveau de son menton et reprit son observation attentive des prouesses de Stefan.
En le voyant soulever ce gros rocher au dessus de sa tête comme si c'était facile, Honey regretta de ne pas en connaitre le poids. Heureusement, l'évocation de la petite voiture comme étant, a priori, le poids limite de ce qu'il était capable de soulever donnait à Honey un ordre de grandeur à rajouter dans ses notes, ce qu'elle fit dans l'instant.
L'idée lui traversa l'esprit de comparer la force de Stefan avec celle de Robert, ce dernier ayant insisté, quand ils s'étaient revus, pour qu'ils s'entrainent tous les deux (ce dont Honey, qui avait raccroché son habit de justicière au profit de la recherche pour le compte de la Magic League n'avait pas spécialement envie) mais jugea préférable de ne pas les faire se rencontrer. Elle n'avait pas spécialement peur d'une guerre des égos (encore que c'était un scénario crédible) mais estimait plutôt qu'ils n'auraient rien eu à se dire et que, de toute façon, si Robert parvenait à la convaincre de pratiquer des tests sur lui, Honey pourrait toujours comparer ses notes pour la science.
Forte de cette conclusion mentale, elle recentra son esprit sur l'exploit de Stefan et répliqua :
- Soulever une petite voiture c'est bien plus que ce dont je suis capable, comme vous devez vous en doutez. J'imagine que c'est utile pour se sortir de diverses situations difficiles ou impressionner les gens.
Mécaniquement, l'esprit de Honey cherchait une utilité ou une raison aux pouvoirs de Stefan. "Parce que c'est ainsi" n'était pas, selon elle, une explication acceptable. Dans la nature tout était normalement "bien fait", comme le voulait l'adage. En toute logique, les compétences des vampires devaient l'être également pour leur survie sinon pour quoi existeraient-elles seulement ?
Et comme pour répondre à la supposition de Honey, Stefan lança le rocher en direction d'une rangée d'arbres qui n'en ressortirent pas indemnes. La jeune femme regarda la course folle et rapide du rocher dans leur direction suivie par un impact tonitruant qui la fit tressauter même si elle l'avait pourtant anticipé. Ses yeux verts fixaient encore les arbres déracinés quand Stefan lui suggéra de l'appeler au secours si un jour elle avait des ennuis.
- Oui, je vois ça, acquiesça-t-elle, pensivement pendant qu'une partie de son esprit tentait de comprendre comment elle pourrait se mettre en danger.
Wallace veillait au grain pour qu'il ne lui arrive bien et plus les années passaient, moins Honey prenait de risques inconsidérés. Il n'y avait que dans son laboratoire qu'elle en prenait véritablement. Et peut-être fréquentant un vampire, lui souffla une petite voix dans un recoin de son esprit.
L'instant d'après, c'était un souffle glacé qui lui parvenait, celui-ci bien plus réel, qui faisait frémir sa nuque, en dépit de l'écharpe nouée à son cou. Une fois encore, Honey sursauta. Perdue dans sa pensée rêveuse, elle n'avait pas prêté attention à la probable téléportation de Stefan qui était à présent juste derrière elle. Ce n'était pas la première (et vraisemblablement pas la dernière) qu'il prenait ainsi la liberté de s'approcher dans son dos pour murmurer dans son oreille. Honey n'était pas certaine d'apprécier. C'était effectivement assez déstabilisant de le voir parcourir n'importe quelle distance dans un battement de cils, surtout si c'était pour la prendre par surprise.
Honey ferma brièvement les yeux pour faire le vide dans son esprit avant de répondre :
- Pourquoi me proposeriez vous de vous appeler à l'aide si un jour je suis en danger si c'était pour abréger mes jours deux minutes plus tard ? demanda-t-elle de façon purement rhétorique. Vous n'avez fait confiance tout à l'heure, je suppose que c'est à moi d'en faire autant. Et que j'ai probablement déjà commencé en vous suivant ici, ajouta Honey.
Elle ne voyait que cette explication pour avoir accepté de le suivre si docilement en pleine forêt et d'avoir même demandé son aide. Manifestement Stefan avait, d'une certaine façon, fait ses preuves auprès de la jeune femme.
Cette dernière, dont la curiosité était attisée par le mystérieux quelque chose qui l'attendait, obtempéra. Elle s'assit derrière le vampire (pour une fois que les rôles étaient inversés !) et passa ses bras mal assurés autour de son cou pour venir croiser ses mains sur son torse.
- Prête, annonça-t-elle alors, le cœur battant.
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________________________________________ 2020-12-16, 21:09

Satisfait qu’elle accepte, le vampire passa ses mains sous les cuisses de la blonde afin de la porter dans son dos. Ils avaient du chemin à parcourir et il doutait qu’elle puisse se tenir accrochée à lui à la simple force de ses bras autour de son torse.

- Je dois vous avertir, mademoiselle. Je vais courir à très grande vitesse. Vous devriez être capable de respirer, mais gardez un souffle stable afin de ne pas paniquer. Gardez- vous bras autour de moi et fermez les yeux si vous vous sentez nauséeuse. Vous êtes prête?

Quand il a sa confirmation, il se met alors à courir. Il traverse la forêt et semble même sortir de Storybrook. Cela doit lui prendre un bon petit cinq minutes avant qu’ils arrivent sous un bâtiment qui semble abandonné. C’est un petit observatoire d’une autre époque. L’appareil ne demandant pas l’électricité, Stefan se contente de rentré dans le bâtiment et monter jusqu’en haut de la tour. Une fois à destination, il dépose l’humaine par terre.

- Quand j’ai besoin d’être coupé de tout, je viens ici. Le télescope fonctionne très bien. Le bâtiment est abandonné depuis longtemps. C’est un vieil observatoire d’époque, donc la technologie ne demandait pas d’électricité. Je me suis dit que cela pourrait vous intéresser. Ait-je eux tort de le croire, miss Lemon? Bon… Il ne fait pas encore noir, donc on ne verra pas grand-chose, mais une scientifique telle que vous devriez reconnaître l’intérêt d’un tel endroit, j’imagine… Ah et dites le moi si vous avez froid. Je ne sais pas trop si c'est agréable ou non ici...

Il s’approcha d’une table où était déposée une lampe à l’huile qu’il alluma pour éclairer la pièce. Il y avait deux chaises en bois et il revint vers Honey pour l’aider à s’asseoir sur la première, lui prenant l’autre en face d’elle. Croisant ses doigts entre eux, il posa son menton sur ses mains, observant le visage de l’humaine. Ils sont proches. S'il se penchait, il pourrait approcher son visage du sien.

- C’est assez ironique que le surnaturel et les sciences se retrouvent tous les deux à se tester l’un l’autre. Je me demande bien ce que produirait une union de ces deux visions du monde pourtant d’apparence si différente… Maintenant que vous savez pour le surnaturel, n’avez-vous jamais songé à étudier ces phénomènes de manière sérieuse pour les comprendre? Je serais bien curieux de voir le premier manuel scientifique sur le surnaturel. J’aurais tant de choses à vous montrer, mais je préfère vous présenter ce qui devrait vous émerveiller plutôt que vous effrayer. Mon monde est rempli de choses bien étranges, mais passionnantes…


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________________________________________ 2020-12-17, 00:29 « Science is magic that works. »

Cette journée avait fini par physiquement rapprocher Honey et Stefan bien plus que la jeune femme ne le jugeait totalement acceptable - sans doute à cause des avances à peine déguisées de leur première rencontre, celles-là même qui lui revenaient sans cesse en mémoire dans ce genre de moment. Malgré tout, Honey était plus que curieuse d'élucider le nouveau mystère que le vampire lui avait laissé entrevoir, se révélant un plutôt bon maître dans l'art du teasing. Mais cette excitation de la découverte, qui s'emparait souvent de la scientifique lorsqu'elle s'apprêtait à expérimenter quelque chose de nouveau, était plus forte que toutes les autres considérations de la jeune femme et elle recentra son esprit sur ce qui devait primer, à ce moment-là. Autrement dit les conseils de sécurité.
Bien qu'il ne puisse certainement pas le voir, Honey opina à chacun d'eux avant de confirmer oralement que tout était clair pour elle :
- Entendu.
La grande vitesse, ça la connaissait. A présent son fauteuil pouvait aller à 210km/h et Honey avait eu l'occasion d'en faire l'expérience lors du combat final aux côtés de Morrigan et Star Command. La jeune femme était certes moins équipée que pour cette mission mais ne doutait pas des capacités de son estomac à tenir le choc. Après tout, cela faisait de nombreuses années aussi qu'elle se portait volontiers volontaire lors des expériences de célérité de GoGo et ça lui avait toujours très bien réussi !
Mais bien que préparée à partir très vite comme dans une attraction de fête foraine, Honey resserra instinctivement son emprise sur la poitrine de Stefan quand il s'élança. En d'autres circonstances elle se serait sans doute écriée, exactement comme elle l'aurait fait en s'élançant dans un grand huit, mais pas cette fois. En étant sur le dos de Dracula, c'eut quand même été un peu bizarre.
Le vent généré par la vitesse de déplacement fouettait le visage de la jeune femme dont la queue de cheval se balançait gaiement à l'arrière de sa tête. Honey se félicita de ne pas avoir mis de bonnet car il se serait probablement envolé. Elle songea aussi brièvement à ses lunettes car il lui était à présent impossible d'essayer de les maintenir en place. Par chance, elles étaient vraiment bien adaptées au visage de la jeune femme et ne bougèrent pratiquement pas.
Ses yeux, en revanche, se fermèrent par moments, gênés par le souffle d'air qu'ils recevaient. La scientifique songea que Stefan ne devait sans doute pas éprouver cette gêne et, malgré, put se rendre compte de la folle distance qu'ils parcoururent en à peine plus de cinq minutes, vraisemblablement.
La jeune femme ne reconnut pas l'endroit où Stefan la déposa - délicatement, un contraste d'autant plus saisissant après avoir voyagé à une telle vitesse - mais fut contente de retrouver la terre ferme sous son corps. Ou plutôt de sentir la pierre froide et dure en dessous de lui.
Et tandis que Stefan reprenait la parole pour lui expliquer où ils se trouvaient, les yeux de Honey balayèrent méticuleusement l'endroit, reconnaissant les instruments anciens et appréciant de les apercevoir.
- C'est chouette, comme endroit, commenta-t-elle non sans une certaine satisfaction. Merci d'avoir pensé à m'y amener. Vous avez bien bien fait, confirma Honey, sincèrement touchée par ce qu'elle prenait pour une délicate attention.
Puis en fronçant légèrement les sourcils, elle reprit :
- Vous savez à combien de kilomètres de Storybrooke nous sommes ? Simple... curiosité. J'imaginais, en effet, que vous pouviez être très rapide mais vous l'êtes probablement trop pour le podomètre intégré à mon iPhone.
Machinalement, la jeune femme consulta l'appareil qui, effectivement, n'indiqua rien de particulièrement intéressant vis-à-vis de sa question. En s'aidant des meubles et autres instruments d'observations dont disposait l'endroit, la jeune femme commença à y naviguer tandis que Stefan allumait une lampe à huile. Elle songea, l'espace d'un instant, qu'il était probablement plus à son aise avec ce type de technologie qui devait lui être plus familière et s'en amusa.
- Ca ira, à propos, reprit-elle. J'ai un bon manteau.
La balade l'en avait même débarrassé des feuilles mortes qui s'y étaient collées quand Honey était assise à même le sol de la forêt.
Honey se trouvait à présent appuyée sur le télescope, ses doigts l'examinant avec attention. Elle sentit Stefan s'approcher d'elle, plus lentement, cette fois, utilisant enfin une vitesse acceptable pour les humains lambda et, ayant installé deux chaises dans un coin de la pièce, la guida vers l'une d'elle.
Il avait, en dépit d'un tas de choses, parfois des manières très délicates, celle d'un gentleman d'un temps mort et enterré depuis longtemps et Honey pouvait comprendre ce que les femmes, voire les hommes, pouvaient lui trouver. Elle-même n'était jamais laissée totalement indifférente par la galanterie des hommes et se laissant docilement faire. Pourtant, Honey n'aurait pas eu besoin d'aide pour s'asseoir. Elle était autonome. Elle avait développé de nombreuses tactiques et autres nouvelles habitudes.
Stefan s'en doutait probablement, l'ayant lui-même partiellement observé. Honey préférait ne pas essayer de décrypter ses intentions en lesquelles elle lisait très mal depuis qu'ils se connaissaient. Silencieuse, elle le regarda s'asseoir en face d'elle et l'écouta attentivement, ne pouvant qu'opiner son approbation face à la première remarque qui brisa le silence. C'était étrange, effectivement. Mais que voulait-il dire en parlant d'union ? Honey fronça les sourcils, peu désireuse d'imaginer les possibles interprétations de ses propos.
- Je ne pense pas être la bonne personne pour étudier le surnaturel. Je suis trop cartésienne. Je doute d'être capable d'ouvrir mon esprit suffisamment pour rédiger ce fameux manuel. C'est plus facile pour moi d'imaginer ce qu'il y a au delà de l'ère de Planck, dans les quelques micro-secondes qui ont suivi le Big Bang, que de théoriser la magie et... toutes les autres choses que vous connaissez et moi pas. Mais j'accepte, je crois, à présent que ces choses existent. Je me dois de me fier à mon expérience empirique des phénomènes. Même si mes connaissances ne les expliquent pas. Que voudriez vous encore me montrer de merveilleux, St.. professeur Vulpesco ? reprit la scientifique. Ne craigniez vous pas mon flot ininterrompu de questions et surtout que cette introspection vous soit néfaste, en fin de compte ?
Il y avait tellement de questions que son esprit était en mesure de formuler au fur et à mesure que Honey comprenait un peu plus comment Stefan fonctionnait.
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________________________________________ 2020-12-18, 19:39



Cela n’étonnait guère Dracula que la blonde veuille savoir combien de kilomètres ils avaient parcourus au total. C’est sûr que, pour une scientifique, comprendre combien de kilomètres/heure il voulait parcourir devait avoir un certain intérêt. Ainsi, il répondit le plus naturellement du monde en allumant la lampe à huile.

- 13 kilomètres en cinq minutes, miss.

Il s’est installé sur sa chaise après avoir aidé la blonde à faire de même. Non pas qu’il ne l’en croyait pas capable, mais il voulait seulement l’aider un peu. Après tout, il imaginait que marcher devait être douloureuse et vue qu’elle avait dû marcher jusqu’à la forêt ne devait pas être une partie de plaisir. Le vampire s’intéressa à savoir si elle avait déjà songé étudier la magie de manière scientifique, mais cela ne semblait pas l’intéresser, mais elle avait d’autres questions sur lui en tout cas puisqu’elle voulut savoir s’il ne craignait que sa curiosité ne soit mauvaise pour lui.

- Je vous en prie, vous pouvez m’appeler Stefan. Pour répondre à votre nouvelle question, j’ai énormément de choses que vous ne connaissez pas. Des connaissances qui vous feraient, par contre, frissonner d’effroi. Je vous ai, je pense, présenté tout ce qui devrait être un minimum merveilleux. Le reste… C’est un sujet difficile. Si certains seraient curieux, d’autres ne le seront nullement. Par exemple, certains morts… restent piégés dans leurs corps en décomposition. N’aillez crainte, ils ne sont nullement dangereux. Ils sont seulement quelque peu effrayants puisqu’ils se décomposent, mais ils ne mangent pas. J’ai déjà rencontré une petite fille, par ailleurs, dans le cimetière de la ville. J’y vais pour lui tenir compagnie, la pauvre enfant n’a personne pour jouer à cache-cache. Ils savent bien se cacher dans les cimetières, mais si jamais vous devez vous y rendre et vous en croisez-un, n’ayez pas peur pour votre vie, voilà tout.

Le vampire croisa les jambes en observant l’humaine face à lui.

- Pour ce qui en est de vos questions… Non, je ne crains pas que cela me mette en danger. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que je peux vous faire confiance. Vous ne ferez rien pour me nuire si je ne fais aucune mort, n’est-ce pas? Alors, je ne doute pas que vous allez garder le secret. Vous posez tellement de questions… Permettez-moi d’en poser quelques-unes si vous voulez bien. Je n’ai rien à étudier en vous, sauf, peut-être, vote psychologie. Pour commencer… Qu’est-ce qui vous gêne dans le vampirisme? Ne me dites pas « rien », je ne vous croirais pas. Deuxièmement, puisque ma condition vous gêne, qu’en est-il de mon fils? Je sais qu’il tient énormément à vous. Ce serait dommage que vous le traitiez autrement maintenant que vous savez ce qu’il est. C’est un très gentil garçon. Il a toujours refusé de faire du mal à quiconque. Je l’ai toujours énormément déçu avec mon comportement envers les humains, autrefois.


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________________________________________ 2020-12-18, 20:57 « Science is magic that works. »

Comment Stefan était en mesure de calculer avec précision le nombre de kilomètres parcourus restait un mystère pour Honey qui ne posa d'ailleurs pas la question. C'était peut-être instinctif, ou alors il avait regardé sur une carte, ayant l'habitude de venir dans ce vieil observatoire. A moins que ce soit parce qu'il s'était chronométré afin de tester sa vitesse de pointe. Dans tous les cas, ce n'était pas à la portée de tout le monde d'en faire autant.
- Impressionnant, souffla la jeune femme, sincère, plus à l'aise maintenant que lors de leurs précédentes rencontres, mais pas encore totalement à l'aise pour daigner appeler le vampire par son prénom et uniquement son prénom.
Ce n'était pas tant à cause de son statut de roi des vampires - et roi tout court, a priori - car à Storybrooke les titres n'avaient plus réellement lieu d'être. Mais il était plus âgé, impressionnant à bien des égards, et intimidant. Honey ne se sentait pas proche de lui, pas de la façon, en tout cas, dont le courant était tout de suite passé entre elle et Evelyn, par exemple. Elle aurait trouvé déplacé de se montrer trop familière avec lui. Malgré tout, la jeune femme opina, les joues rosies. Par chance, on pouvait mettre leur coloration sur le compte du froid ambiant et non de la gêne qu'il continuait de pouvoir lui inspirer si facilement.
Mais de la crainte, pas réellement. Et pourtant Stefan était en train de lui laisser entrevoir les aspects les plus dérangeants du vampire, le revers de la médaille, pourrait-on dire, si tant est qu'on puisse s'accorder qu'il y en ait. Honey grimaça, désolée que son esprit imagine pour la première fois la possibilité qu'un être puisse avoir conscience de la putréfaction de sa propre enveloppe charnelle.
Imaginer l'affaire sur un corps adulte était une chose déjà horrible en elle, mais imaginer que cela arrive à une enfant était presque intolérable. Honey savait pourtant qu'elle ne pourrait rien y changer, qu'aucune science n'y pouvait rien et se doutait que la magie n'était pas d'un meilleur recours non plus.
- Je n'ai pas peur, assura la jeune femme après s'être éclairci la gorge. Je suis juste très désolée pour elle. Et pour les autres... personnes... concernées. Je ne suis pas certaine d'avoir envie de voir cela. Ca me ferait trop de peine, je pense. Mais... c'est très gentil, ce que vous faites pour elle, reprit Honey avec un timide sourire, se demandant si elle oublierait un jour l'image mentale produite par cette conversation et se doutant que la réponse était probablement "non".
C'était très étrange de rencontrer quelqu'un qui, a priori, était avant tout un beau salaud qui prenait plaisir à épouvanter ou mettre mal à l'aise les personnes et semblait se complaire dans sa monstruosité et de le découvrir si concerné par le sort d'une autre créature. Son côté paternel prenait peut-être parfois le dessus, comme lorsqu'il se montrait presque tendre et prévenant vis-à-vis de Honey.
Avant que cela ne devienne véritablement gênant, Stefan reprit la parole, affirmant qu'il n'avait pas peur pour sa vie suite à l'étude que menait la scientifique. Cette dernière opina, se rendant compte de l'imprécision de la question à laquelle il répondait. Honey avait songé que peut-être se confronter à sa véritable nature pourrait réveiller en lui d'anciennes blessures voire des regrets dont il n'aurait pas conscience. Stefan avait l'air si solide, si indifférent à à peu près tout mais il était fort possible que tout ceci ne soit qu'une carapace endossée depuis tellement longtemps qu'il ne la sentait plus.
Quoi qu'il en soit, la jeune femme ne reformula pas son interrogation et se contenta de confirmer d'un signe de tête qu'effectivement elle ne comptait pas lui nuire. Honey ne cautionnait pas le meurtre. Elle avait été désolée d'emménager dans une version des États-Unis où la peine de mort se pratiquait encore.
La scientifique ne se vexa pas que Stefan souhaite à son tour lui poser des questions et l'invita à poursuivre d'un geste de la main. C'était de bonne guerre, après tout. L'étude qu'elle menait n'était, après tout, pas véritablement officielle. Le sujet avait, de fait, droit à quelques passe-droits.
La première question fit sourire Honey, plus largement qu'auparavant. Il n'avait pas tort de ne pas croire que rien ne puisse la gêner dans le vampirisme et elle ne comptait pas le détromper. Honey se targuait d'être particulièrement honnête et comptait ne pas faillir à sa réputation.
- Vous avez raison et je ne compte pas vous mentir. Je suis d'avis que les vraies relations se construisent sur l'honnêteté et j'espère l'avoir déjà montré.
Honey soupira, les yeux rivés à la voûte au-dessus de leurs têtes, se demandant par où commencer. Finalement, elle se décida pour annoncer la chose qui la dérangeait le plus tout de go, sans préambule. C'était encore ce qu'il y avait de plus efficace :
- Ce qui me dérange le plus ce sont vos ongles. Enfin, vos griffes. Elles me mettent mal à l'aise. Entendons nous bien, je ne suis pas particulièrement fan de l'idée que vous buviez du sang humain, peut-être celui de personnes que je connais et je n'ai pas envie de savoir chez qui vous vous fournissez. Je comprends que vous deviez le faire, je comprends que c'est votre régime alimentaire. Je peux le concevoir. Il me parait peu probable que je vous vois un jour boire à la... source, si je puis dire. Vos griffes, par contre, je les vois.
Et comme pour en faire la démonstration, Honey riva brièvement ses yeux sur les mains de Stefan avant de les relever pour croiser son regard pour aborder la seconde partie de la question, celle qui portait sur Damian et qui faisait ressortir plus que jamais le père qu'était, peut-être avant toute autre chose, Dracula. Sans presque ciller, et avec une conviction qui transpirait de tous ses pores, Honey affirma :
- Ma façon de considérer Damian n'a pas changé d'un iota depuis que je sais que vous êtes parents. Je vous interdis de croire ça. Je sais déjà que c'est un garçon formidable. Je pensais juste qu'il était réellement adolescent, pas qu'il était plus vieux que moi de plusieurs siècles. Mais c'est tout. Je l'apprécie vraiment. Vous pouvez être fier de ce qu'il est devenu. Je suis désolée que vous l'ayez déçu, j'imagine que c'est difficile à admettre quand on est parent, mais d'une certaine façon je m'en félicite. Il est meilleur que vous et les parents espèrent, a priori, toujours que leurs enfants réussissent mieux qu'eux. Au risque de me répéter, vous pouvez être fier de qui il est. Indépendamment de sa transformation. Je pense vous l'avoir dit aussi, une autre fois, vous n'êtes pas obligé de vous résumer à votre statut de vampire.
Après un battement, Honey demanda, plus chaleureusement :
- Vous aviez d'autres questions, peut-être ?
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________________________________________ 2020-12-20, 15:52

Heureusement, elle ne craignait pas le garçon, cela rassurait le père qu’il était. Dracula avait bien remarqué que son fils se sentait compris par la blonde. Il semblait même la voir comme une amie. En tout cas, il était tout de même amusant de connaître ce qui lui mettait le plus mal à l’aise. Ce n’était pas les parts sombres des vampires, non… Elle mentionnait les ongles! Le vampire leva la main pour observer ces derniers avant d’éclater de rire.

- Mes ongles vous dites? J’étais loin de me douter qu’il suffisait d’un coupe-ongle pour faire votre bonheur, miss Lemon!

Le vampire jeta un œil vers la fenêtre, constatant que le soleil s’était couché. Le temps passait si vite en bonnes compagnies. Il se leva pour s’approcher du télescope et il regarda à l’intérieur avant de se redresser et poser son regard sur la jeune femme.

- On a un sublime vue avec cet appareil, si jamais vous voulez l’essayer… Effectivement, j’ai d’autres questions. Si vous êtes curieuse, je dois l’être tout autant. Surtout… Vis-à-vis de vos peurs… Vous ne craignez pas les morts, mais vous avez pitié d’eux. Être seule avec un vampire au milieu de nulle part ne semble pas vous inquiéter le moins du monde, mais ce qui vous impressionne le plus s’est regardé mes mains! Êtes –vous courageuse ou avez=-vous un dérèglement cérébral qui modifie votre instinct de survie?

Stefan retourna s’asseoir sur sa chaise, observant la scientifique. Il se tenait droit, comme un roi assis sur son trône, une habitude qui ne l’avait jamais vraiment quitté selon l’humeur du moment. Son regard se porta sur sa propre montre et il haussa un sourcil, constatant l’heure exacte.

- Il commence à ce faire tard. J’espère que votre… ami sortant tout droit du néolithique ne s’inquiète pas de ne plus vous trouver dans le laboratoire… On dirait un père interdisant à sa fille de 15 ans de sortir avec un ami masculin parce qu’il craint que sa fille grandisse trop vite. Pourquoi le laissez-vous vous mener à la baguette de cette manière? Vous êtes adultes, vous pouvez prendre soin de vous toute seule et prendre des décisions éclairées…


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________________________________________ 2020-12-20, 17:18 « Science is magic that works. »

Honey ne fut pas étonnée que la révélation qu'elle venait de faire au vampire l'amuse au rire. C'était sans doute absurde, notamment au regard de toutes les atrocités que ses capacités surnaturelles conféreraient à Stefan. Mais ne disait-on pas du diable qui gisait dans les détails ? En outre, la jeune femme ne se souvenait que trop bien de ces longs ongles qui avaient parcouru sa joue pendant ce qui lui avait semblé un moment interminable la première (et jusqu'à présent dernière) fois où Honey était entrée dans le bureau du professeur Vulpesco. C'était sans doute cette désagréable expérience qui l'avait amenée à se focaliser autant sur cette particularité physique plus qu'autre chose. La jeune femme devait bien admettre, après tout, que les dents pointues du vampire étaient, elles aussi, particulières, au moins autant que son régime alimentaire auquel elle préférait ne pas laisser son esprit songer trop longuement.
Honey était cependant prompte à rire de sa propre absurdité et ne manqua pas de glousser en entendant Stefan s'exclamait qu'un coupe ongles suffirait à faire son bonheur. Les choses n'étaient bien entendu pas aussi simples, mais, d'une certaine façon, il n'était pas long de la vérité. Honey s'était, après tout, faite sensiblement la même réflexion. Elle ne confirma cependant pas la déclaration, se contentant de suivre le regard du vampire qui de ses ongles griffus passa à la fenêtre sur l'extérieur, seul véritable indicateur dans ce lieu incongru du temps qui passait. La jeune femme put effectivement constater que la nuit commençait à tomber et constater, de fait, qu'elle avait passé la plus grande partie de son après-midi en compagnie du vampire.
L'obscurité qui se répandait de plus en plus vite sur le Maine rendait l'observation des étoiles bien plus agréable que lorsqu'ils étaient arrivés et c'est peut-être pour cette raison que Stefan se dirigea vers le télescope pour y jeter un œil. Sans doute, songea silencieusement la jeune femme, qu'il ne pouvait pas observer le soleil directement, même au travers de plusieurs lentilles, puisqu'il en craignait les rais, mais que les étoiles plus éloignées lui faisaient un moindre mal. A moins que seul l'astre autour duquel leur planète orbitait ne lui était directement interdit ? Il était probable, après tout, que les êtres de son espèce n'aient pas eu l'occasion de se confronter à la lumière d'une autre étoile que celle que l'humanité appelait Soleil depuis bien avant leur naissance à tous les deux.
Bien qu'invitée à voir par elle-même ce que l'ancien télescope avait à lui montrer, Honey ne se leva pas. Pas tout de suite, du moins. Quand elle était le sujet d'interrogations, elle préférait ne pas avoir une partie de son esprit occupé à autre chose. Comme il lui était extrêmement difficile d'anticiper les questionnements de Stefan, il était d'autant plus vital, d'une certaine façon, pour Honey d'avoir l'entièreté de son esprit disponible pour lui répondre. Ses questions, à elle, certes nombreuses et pour certaines encore silencieuses, avaient été posées dans un but strictement scientifique et visaient à répondre à l'interrogation du vampire lui-même, désireux qu'il était de se mieux connaitre du point de vue scientifique. Les questions de Dracula, en revanche, ne visaient qu'à satisfaire sa propre curiosité, comme s'ils avaient instauré un jeu de questions-réponses entre eux pour mieux apprendre à se connaitre.
Il était, après tout, possible que devenir l'objet d'une étude scientifique n'ait été qu'une ruse du vampire destinée à se rapprocher de la jeune femme et il était plus que probable, si la première supposition était exacte, que Honey se soit faite avoir. Pourtant, elle ne redoutait pas, à proprement parler, les questions de Stefan. Il venait d'un temps où certains sujets n'étaient pas directement abordés par les hommes avec les jeunes femmes et, d'une certaine façon, elle espérait pouvoir s'en tirer à bon compte grâce à l'éducation qu'avait jadis reçu son compagnon.
Pour le moment, Honey n'avait pas à se plaindre ce que Stefan trouvait intéressant de lui demander et songea même qu'elle aurait dû anticiper la question de ses peurs. La peur, après tout, était sans doute une des émotions qui nourrissaient le plus les vampires, quoique de manière métaphoriques. Ils se gorgeaient sans doute de l'effroi qu'ils étaient en mesure d'inspirer à leurs victimes, prêtes à les supplier et à marchander en échange de leur vie, en échange d'être épargné, d'être traité différemment. Rares étaient les humains qui n'étaient pas thanatophobes mais qui acceptaient que leur trépas et l'issue prévue d'avance à leur vie. C'était sans doute déroutant quand l'un de ses motifs principaux n'avait plus aucun effet sur l'autre.
- J'ai probablement un cerveau qui ne fonctionne pas de manière typique, répondit calmement la scientifique. Certains me qualifient d'inconsciente et je dois bien admettre que, parfois, c'est le cas. Mais ce n'est pas parce que je n'ai pas peur que vous abrégiez mes jours que je n'ai peur de rien. A vrai dire, je ne connais personne qui n'ait peur de rien. Vous, c'est très probable que vous ayez peur de la mort et qu'à un certain niveau cette peur vous ait, en partie, pousser à la transformation en créature immortelle. Moi... j'ai peur de perdre l'esprit mais d'en avoir encore suffisamment pour m'en rendre compte. J'ai peur d'être internée en asile psychiatrique. J'ai peur d'être dépossédée de la chose que je préfère chez moi : mon cerveau. Et... je suis astrophobe. J'ai peur des coups de tonnerre, expliqua Honey, incertaine que le nom de la phobie soit connue de Stefan. Je suis en mesure de vous expliquer les phénomènes physiques et météorologiques en action dans la formation d'un orage, je connais les bonnes pratiques pour ne pas attirer la foudre, je sais qu'un coup de tonnerre, si violent soit-il, mais j'ai quand même peur. C'est phobie. C'est par définition irrationnel. C'est donc inutile d'essayer de lui trouver une raison.
La jeune femme savait qu'il y avait de grandes chances, cette fois encore, pour que Stefan trouve cette crainte absurde et s'attendait à tout moment à l'entendre rire de nouveau. Mais comme il s'éloignait du télescope pour retrouver sa chaise et sa posture altière, la jeune femme, suffisamment reposée pour parcourir la faible distance qui la séparait du télescope, s'y dirigea afin de trouver les astres et autres phénomènes qu'elle savait observables à cette période de l'année 2020.
De ce fait, occupée que Honey était à régler le télescope, elle ne vit pas Stefan jeter un coup d'œil à sa montre, mais l'entendit déclarer ce qu'ils avaient tous deux constater en regardant par la fenêtre ou la lunette de télescope : il se faisait tard. Mais curieusement Stefan avait de nouveau mentionner Wallace qui, selon Honey, n'avait aucun rapport avec l'heure de la journée. Bien que, elle devait bien avouer qu'il pouvait se montrer protecteur et sourit de l'agacement que ce constat procurait visiblement au vampire. S'arrêtant de régler le télescope, la jeune femme, appuyée contre l'instrument, tourna la tête vers Stefan pour lui répondre :
- Des millénaires séparent Wallace et le néolithique, fit observer la jeune femme sans animosité. Mais j'ai bien compris que les styles capillaires modernes ne vous conviennent pas et je respecte. D'une certaine façon, si on prend en compte celui que vous êtes et le fait que je sois assez inconsciente, il n'a pas tout à fait tord de se méfier de vous, non ? Wallace a... une certaine prédisposition à se méfier des gens et des situations. Il me connait depuis presque dix ans, il sait que je n'ai pas la même conception du danger que lui. Mais Wallace n'est pas mon père, je n'ai plus quinze ans, et croyez moi, il ne me mène pas à la baguette. Preuve en est, je suis ici, avec vous, pas avec lui. Mais... puisque nous sommes amis, si j'en crois vos propos, peut-être m'autoriserez vous une nouvelle question ? suggéra la scientifique en revenant s'asseoir en face de Stefan.
Honey attendit d'être installée pour poursuivre et revenir sur quelque chose que le vampire avait dit plus tôt et qui l'avait interpellée, même si elle n'avait pas alors poussé la curiosité plus loin.
- Vous avez dit tout à l'heure, et je vous cite "Si un jour vous êtes en danger, appelez-moi. Personne n’a intérêt à énerver Dracula", cita effectivement Honey au mot près, sa bonne mémoire lui permettant ce genre de petit exploit de mémorisation. Mais je ne comprends pas comment cela est censé fonctionner. Vous vouliez dire... vous téléphoner ? crier votre nom en espérant que vous soyez à portée de voix ? Et ce que je ne comprends pas par dessus tout c'est ceci : pourquoi mes problèmes énerveraient Dracula ?
C'était la première fois que Honey prononçait son véritable nom, celui supposé inspirer de la terreur et une certaine révérence. Mais elle ne l'avait pas prononcé pour s'adresser directement à Stefan, plutôt pour parler de lui comme s'il était une tierce personne ce que, au demeurant, il avait fait tout à l'heure lui-même en utilisant la troisième personne du singulier. Peut-être que son statut royal le rendait aussi adepte du nous de majesté ?
Cette question ne traversa pas l'esprit de Honey mais avant qu'il ne réponde et qu'elle n'oublie de le préciser, elle ajouta :
- Si vous voulez observer Mercure, elle est à la période de son élongation maximale. J'ai réglé le télescope, vous n'avez qu'à regarder dedans, à propos.
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________________________________________ 2020-12-21, 00:27

Il laisse la pro s’occuper de télescope. Forcément, elle doit savoir où le positionner afin de voir exactement ce qu’elle voulait. Elle devait savoir ce qui serait visible du ciel actuellement puisque les planètes étaient visibles selon certaines circonstances. Il s’était intéressé à ce qui pouvait bien effrayer la blonde et elle se montra fort honnête. Elle aurait pu refuser de lui répondre. Honnêtement, cela n’aurait pas étonné le vampire qui était de ceux qui avaient du mal à avouer leurs émotions. Honey, elle, ne semblait nullement regretter de dévoiler une partie d’elle qui semblait pourtant si intime pour le vampire. Elle le disait sans complexe, sans crainte dont il puisse se moquer. Il aurait pu, mais il ne le fit pas. Il se contenta de hocher la tête, comprenant tout particulièrement sa peur de perdre la tête.

- Je pense que perdre le contrôle de son esprit est la chose la plus terrible qui puisse arriver…

Il en savait quelque chose. Il avait vu de nombreux vampires manquer de contrôle, laisser la bête prendre le dessus sur l’humain et finir par se faire tuer aussi facilement que de crier ciseau. Il craignait de finir comme eux, être incapable de se contrôler et commettre l’erreur fatale. Au fond, il n’en avait rien a faire de mourir ou de vivre, mais la seule chose qu’il voulait éviter, c’était de perdre la partie. Il se refusait d’être « le monstre » tué par un preux sauveur. S’il devait partir, ce serait de son plein gré.

- C’est bien plus qu’une histoire de cheveux, miss Lemon. Sinon, je ne vous aurais pas emmené ici et encore moins demandé de l’aide. Non… Lui, je ne l’aime pas c’est tout. L’aversion, c’est aussi foudroyant que le coup de foudre. Il arrive sans prévenir.

Comme il l’invitait à aller regarder dans le télescope, il se leva afin de regarder à l’intérieur. Ell voulait aussi comprendre ce qu’il voulait dire par "Si un jour vous êtes en danger, appelez-moi. Personne n’a intérêt à énerver Dracula". Il en profitait de son observation pour réfléchir à ce qu’il allait répondre puisque lui-même il n’était pas sûr. Ou peut-être qu’il le savait, mais ne voulait pas le voir… Stefan n’allait jamais avouer de lui-même avoir une attirance pour la demoiselle.

- Et bien, forcément… Si vous vous mettez à crier mon nom, il faut espérer que vous soyez à maximum un pâté de maisons d’où je me trouve, sinon je ne vous entendrais pas. J’ai d’immenses pouvoirs, mais ils ont leur limite. Sinon, oui, le téléphone est une idée relativement sûre…

Sans se redresser, il se retourna vers elle, gardant la main sur l’appareil.

- Pourquoi vos problèmes m’intéressent? Parce que…

Il soupira, n’osant plus le regarder, il remit son œil au niveau de la lentille agrandissant Mercure. Il pouvait y voir énormément de détails intéressants. Plus intéressants que d’exposer sa fragilité. Humaine.

- Vous êtes la seule personne qui sait ce que je suis et qui n’a pas pris la fuite. Vous êtes aussi la seule à croire que je puisse être quelqu'un de bien si je le décide.

Le vampire grimaça face à autant de vérité sortant de sa bouche. Pourquoi sentait-il qu’il devait être honnête avec elle? Il détestait cela. Il avait l’impression d’être mis à nu. Dans un silence religieux, il resta une petite minute à observer le ciel avant de se redresser.

- Bon… Je pense que nous devrions y aller. Il est tant pour les humains d’aller manger, j’imagine. Et moi… J’ai des notes à rendre.

La blonde une fois sur son dos, ils prirent le chemin inverse, rentrant à Storybrook.


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