« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Événement #117 : La Valse de l'Hiver

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Anastasia Romanov
Dewenty Maanteekor
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Jessie James
« Jessie never gives up,
Jessie finds a way! »


Jessie James

Événement #117 : La Valse de l'Hiver  Cnxt

Elle va être sympa cette mairie, j'le sens bien... On va s'entendre copains comme cochons...


Événement #117 : La Valse de l'Hiver  V27a

Edition Août-Septembre 2020

| Conte : Toy Story
| Dans le monde des contes, je suis : : Jessie, l'écuyère

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Événement #117 : La Valse de l'Hiver  _



________________________________________ 2019-12-18, 08:23 « Jessie never gives up, Jessie finds a way! »

La Valse de l'Hiver
“Celui qui n'a pas Noël dans le coeur ne le trouvera jamais au pied d'un arbre”




L
a porte de l’entrée claqua à la volée. En un instant, elle était partie, comme le battement d’aile d’une hirondelle. Le vieil inventeur ressentait déjà son absence. Elle n’avait laissé derrière elle qu’un grand vide et la morsure terrible de la désillusion. Il avait échoué. Mais tout n’était pas perdu. La jeune femme était tout de même venue décorer le sapin, bien qu’à contrecœur. Elle avait aussi accepté d’être présente à ce « stupide » bal. Elle avait promis de mettre une jolie robe et de nouer ses cheveux dans un joli ruban coloré. Drosselmeyer savait qu’elle faisait ça bien plus pour satisfaire les envies d’un « vieux fou » plutôt que parce que son cœur pouvait encore s’émerveiller aux premiers flocons de neige. Et pourtant, il était temps de se hâter car les premiers flocons faisaient désormais leur apparition sur la vitre de la fenêtre de l’atelier.
I
l faisait froid dehors et la nuit commençait à tomber. L’inventeur ne cessait de penser à Marie, à tous ces jouets qui peuplaient son atelier, qui la faisait autrefois rêver et dont elle s’était à présent détournée. Avec un soupire, ses yeux se posèrent sur son calendrier : 23 Décembre. Le lendemain serait la veille de Noël. Un moment magique, mystique, d’attente… qui sait ce qui pourrait arriver alors ? C’était un moment que Drosselmeyer connaissait bien, un endroit dans le continuum espace-temps où les rêves et la réalité ne faisaient qu’un, où la magie et la raison s’allier dans une danse enflammée, où la joie et l’amour surpassait la tristesse et la haine. Ce 24 Décembre serait sa victoire, il le savait.
A
vec un petit rire qui venait du plus profond de sa gorge, Drosselmeyer entendit le délicieux clic du mécanisme qui fermait l’œuf. Il avait achevé son œuvre. Non peu fier de son accomplissement, il observait à présent les œufs de Fabergé qui se tenaient devant lui. Ils étaient au nombre de six et malgré leur taille égale, ils étaient tous bien différents. Il y avait des colorés, des brillants, des chaud et des froids, certains avaient des odeurs, d’autres ramenaient à un passé glorieux et oublié. Ils étaient parfaits. Tout comme ses invités. Il les avait choisis avec soin. Ils étaient la clé, il le savait. Avec une douceur infinie et un amour sans borne, l’homme les avait posés dans un petit panier, sur un coussin de velours rouge. Il s’était ensuite dirigé vers un coffre-fort de son invention, au mécanisme extrêmement complexe et les y avait déposés. Ils y reposeraient jusqu’au lendemain, jour où ils seraient placé au pied des différents sapins. Il était en attendant hors de question qu’il puisse en manquer ne serait-ce qu’un. Pas un couinement, pas une souris ne viendrait déranger le repos de ces précieux présents.
L
a nuit était pleinement tombée à présent et Drosselmeyer s’était dirigé vers la fenêtre avec un sourire satisfait. La neige continuait de se déposer mollement sur les rues, comme un grand manteau de sucre glace. Avec ses yeux qui n'avaient cessés de rêver, il observa au loin la cathédrale tout illuminée et colorée. Les lampadaires étaient à présent allumés et la lumière des feux se reflétaient sur le manteau blanc avec une certaine sensualité, comme une danse passionnée. La fatigue commençait à se faire sentir pour le vieil homme, mais il n’était pas encore l’heure d’embrasser Morphée. Revenant  son bureau, il sortit de son secrétaire son plus beau papier et sa plus belle plume. Avec soin, il déboucha l’encrier et se mit à tracer des lettres, plus des mots et enfin des phrases. Plusieurs phrases. Toujours les mêmes. Sur 6 papiers différents. Et à mesure qu’il écrivait, son sommeil grandissait et sa joie explosait. Il allait triompher, il le savait.



    Mon cher ami, ma chère amie,nous ne nous connaissons pas encore et pourtant, nous allons devenir des alliés précieux. J'ai l'immense honneur de t'annoncer que tu as gagné le concours d'un inventeur de jouets quelque peu farfelu qui se révèle n'être personne d'autre que moi. Je t'invite donc à me retrouver dans mon manoir, aujourd'hui à la tombée du soir, afin que nous fêtions ensemble le plus merveilleux des Noël. Munis-toi de tes plus beaux apparats ainsi que de ton œuf, véritable laissé-passer pour mon monde.Des mets merveilleux t'attendent et la plus grande des quêtes se trouve sur ton chemin. Ton aide m'est primordiale et j'espère de tout cœur que tu accepteras mon invitation. Mais, si j'en crois mon avis, qui n'est pas malavisé, je sais que tu es la personne idéale pour relever ce défi. Rejoins-moi à l’orée du bois de Storybrooke, derrière le lac gelé.Je suis impatient de te recontrer.A très vite,Drosselmeyer.




Bienvenue dans La Valse de l'Hiver


©️ nightgaunt
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Anastasia Romanov
« Men are such babies »

Anastasia Romanov

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Événement #117 : La Valse de l'Hiver  Sans_t20

Événement #117 : La Valse de l'Hiver  210704080453538741

| Conte : Anastasia
| Dans le monde des contes, je suis : : Anastasia Romanov

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Événement #117 : La Valse de l'Hiver  _



________________________________________ 2019-12-19, 20:03 « Men are such babies »

Le 24 décembre s'était d'abord annoncé comme une veille de Noël ordinaire, un jour doux de vacances où l'on se prépare à la fête. Le Noël des Romanov, même s'ils n'étaient pas nombreux, était prêt à commencer, d'ici quelques heures, ce qui était à la fois peu et terriblement long, surtout pour la petite Abigaëlle, pressée de découvrir les cadeaux qu'elle recevrait par milliers (façon de parler).
Anastasia s'accorda une grasse matinée bien mérité et s'extirpa de dessous les couettes après dix heures, le ventre affamé et l'esprit encore embrumé, si bien qu'elle ne prêta pas attention au nouveau cadeau qui avait fait son apparition au pied du sapin. Elle se dirigea presque machinalement vers la cuisine où elle petit déjeuna avant d'aller s'apprêter dans la salle de bains et finalement de retourner au salon, cette fois plus réveillée - suffisamment, en tout cas, pour apercevoir le gros œuf de Fabergé déposé entre les autres cadeaux.
- Dimitri ????
Sans réfléchir plus loin, c'est son fiancé que la jeune femme appela, en quête de réponse, s'assurant que sa voix portait bien dans tout l'appartement pour qu'il rapplique rapidement lui fournir un début d'explication. Parce qu'entre lui, les deux chiens de la famille et Abigaëlle, il avait assez peu de personnes pour trimballer un truc aussi lourd et le poser au pied du sapin. C'était forcément un de ses idées. Quand quelque chose faisait écho au passé grandiose des Romanov, ça venait toujours de lui, le passionné d'étiquette et d'Histoire.
Le jeune homme ne tarda pas à venir au salon, un peu interloqué de trouver Anastasia qui lui désignait le gros œuf.
- Tu peux m'expliquer pourquoi y a un œuf de Fabergé dans le salon ? demanda Anya, presque impatiente, un peu frileuse que ce soit encore une surprise ou un fantôme du passé (héhé, la référence) venu pour elle.
- Comment tu veux que je le sache ? répondit-il sur la défensive.
- Ca serait pas la première fois que tu cherches à faire comme avant... Bien que je ne vois vraiment pas qui pourrait fabriquer un machin pareil ici, ajouta la rouquine, un peu intriguée mais aussi méfiante.
Elle s'accroupit devant l'arbre de Noël et prit l'œuf entre ses mains, d'un air songeur. Elle voulait bien admettre que ce ne soit pas l'œuvre de Dimitri. Mais si ce n'était pas une idée de ses idées - ou de sa grand-maman qui l'aurait mis dans la confidence - cela pouvait signifier un tas d'ennuis en perspective pour toute la famille. Apparemment, les ennuis aimaient bien venir aux alentours de Noël...
- Admettons que tu n'y soies pour rien. C'est quand même étrange qu'un œuf de Fabergé se retrouve sous mon sapin juste avant Noël. Non ?
La grande duchesse tournait déjà la tête vers Dimitri quand, une chose en entrainant une autre, l'œuf qu'elle soulevait fit tomber une enveloppe assortie.
- On dirait qu'une partie du mystère est sur le point de prendre fit, commenta Dimitri d'un air narquois.
Anya l'ignora et déchira le haut de l'enveloppe sur lequel son nom était écrit (confirmant que l'œuf était pour elle) pour en extirper une bien curieuse missive qu'elle partage avec son amoureux :
- Moi je dirais que le mystère s'épaissit, ajouta-t-elle, trop contente de le contredire. Une quête. Un lac gelé. Ca te rappelle rien ? Mais pourquoi ils choisissent toujours Noël ?
Anya roula des yeux avant de continuer à observer l'œuf entre ses mains. Il était jaune pâle, orné d'un beau ruban bleu clair et sentait vaguement un mélange d'amande et de vanille, pas désagréable, semblable à l'odeur d'un thé bien chaud un soir d'hiver. Sa surface lustrée et peu ornementée contrastait avec les œuf qu'Alexandra, sa mère, recevait souvent de la père de son père, le tsar Nicolas II. D'autant plus que ceux de maman n'étaient pas agrémenter d'une espèce de serrure en forme d'étoile dont, évidemment, on n'avait pas donné la clé ! Pratique, songea la jeune femme en s'assurant que l'enveloppe ne l'aurait pas laissée échapper, des fois que.
Il s'agissait probablement d'une clé aussi belle que l'objet, ou alors son constructeur avait mal fait son travail. Anastasia s'imaginait un objet presque d'art qu'elle aurait forcément vu sur le plancher s'il avait été là lui aussi.
La rouquine ne pouvait pas nier que la présence d'un objet aussi lié aux us et coutumes de sa famille l'intriguait. Paradoxalement, elle devait bien admettre que la perspective d'aller danser chez un inconnu pour l'aider dans dieu seul savait quelle aventure ne lui disait rien de bon. Malgré tout, elle relut la lettre une dizaine de fois, les sourcils froncés.
- Tu devrais y aller si ça t'intrigue autant, commenta Dimitri.
- Mais c'est le réveillon ! On est censés le passé en famille, pas à un "merveilleux Noël" avec qui sait quel inconnu. Puis j'ai jamais gagné de concours d'invention. Je le saurais sinon.
- Comme tu veux, reprit Dimitri en quittant la pièce. Mais tu vas avoir des regrets si tu vas pas y jeter un œil.

***

Anastasia détestait des tas de choses. Les transports en retard. Avoir les mains creusées par le froid. Le thé tiède. Mais par-dessus tout elle détestait quand Dimitri avait raison ! Evidemment qu'elle était intriguée ! Et d'autant plus qu'elle avait trouvé une robe assortie à son cadeau déposée sur son lit par dieu sait quelle magie (noire) et qui n'était pas sans rappeler d'autres souvenirs. Qui que ce soit, cet inventeur était manifesté renseigné sur la jeune femme ! Ou très perspicace, mais la rouquine en doutait. Là c'était quand même gros et elle comptait bien lui dire deux mots, surtout si c'était une brillante idée de Raspoutine, lui aussi parfaitement au courant de la tradition des œufs de Fabergé dans la dynastie Romanov.
Pour l'heure, cependant, elle jouait le jeu en se rendant au lieu dit, dans sa tenue de bal, pas du tout adaptée à l'occasion, pour constater qu'elle était seule, à l'orée de ce foutu bois après ce foutu lac gelé.
- J'ai pas l'air fine, déguisée en princesse avec un œuf sous le bras, commenta-t-elle entre ses dents. C EST BON TU PEUX TE MONTRER JE SUIS LA ! appela-t-elle sans résultat.
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Dewenty Maanteekor
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Dewenty Maanteekor

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Que le spectacle commence...

Événement #117 : La Valse de l'Hiver  Dewent11

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Événement #117 : La Valse de l'Hiver  _



________________________________________ 2019-12-20, 00:11

La Valse de L’hiver Dewenty dans casse noisette !


24 décembre
Lune 12, semaine 3, jour 2



La jeune femme s’était réveillé doucement dans son lit au côté de Leo, quand elle avait entendu du bruit. Sans vraiment attendre, elle enfila une chemise de nuit. Déposant un baiser sur son front, ce dernier dormait. Visiblement, il n’avait pas que ronchonner avant de retourner dans son sommeil. La manticore se dirigea donc dans le salon, quand elle remarqua une chose pour le moins étrange prêt de son sapin de noël. L’ange de noël en haut de son sapin était tordu. Le remettant en place, cet ange était la plus belle pièce de son sapin. Elle avait deux grandes ailes blanche et de longs cheveux. On ne va pas vous mentir les ailes de la manticore lui manquait terriblement, mais elle faisait avec. Dewenty avait remarqué qu’il y avait quelques choses de nouveau chez elle. Un oeuf, la manticore amatrice de décoration et d’objet de valeur avait remarqué que c’était un œuf de Fabergé. Elle s’accroupit doucement, pour prendre L’œuf fermer dans sa main. Il avait une couleur assez particulière, on ne pouvait pas bien décrire la couleur selon Dewenty, cet œuf avait des reflets particuliers. Tantôt bleu pâle, tantôt argenté. Elle le tourna doucement dans sa main pour remarquer chaque détail. Il était composé de 139 perles et de plusieurs diamants impossibles à compter tellement il y en avait - 3300 mais chute -. De l’or ornait cet œuf. La jeune femme trouvait cet œuf vraiment magnifique une pièce rare, qu’elle en avait le souffle coupé. Dewenty cherchait une clef qu’elle ne trouvait pas, mais il y avait bel et bien une serrure particulière en forme d’étoile. Une odeur de cannelle et de vanille. Quand elle remarque une enveloppe. Une personne avait donc déposé ce cadeau ici, mais qui ? Reposant l’œuf délicatement, elle décachète l’enveloppe. La manticore commença sa lecture.

[...]

Un inconnu lui envoyait une lettre ? Et alliées en plus ? Ils ne se connaissaient pourtant pas, qu’est qui lui disait que cet homme n’était pas un menteur ? Cela dit il lui avait offert tout de même un œuf de fabergé… Ce n’était pas rien. Esquissant un sourire en lisant le mot farfelu, visiblement cette personne lui plaisait déjà. Il avait eu l’art de donner les bons mots pour la convaincre. Déglutissant doucement, ce soir ? Son regard s'était tourné vers sa chambre ou Leo devait encore dormir. Elle allait donc devoir le laisser seul. Mais cet homme avait besoin d’elle. Passer Noël avec un inconnu était vraiment étrange, seulement, elle ne pouvait pas laisser une personne en détresse. Elle voulait accomplir quelques choses de bien pour noël et cet homme allait la voir apparaître cet nuit certes, à contre-coeur puisqu’elle devait laisser son petit ami. Ce Drosselmeyer allait donc compter sur elle. Un défi de plus qu’elle allait relever. Reprenant son œuf dans les mains. Il était donc un passage pour le monde de cet homme. En revanche sans la clef, elle ne pouvait pas faire grand chose. Et que pouvait bien cacher cet œuf ?

Ses pas l’avaient conduit dans sa chambre, quand ses yeux s’étaient écarquillés une robe gigantesque était posé sur sa chaise ancienne qui se trouvait près de sa coiffeuse. Elle s’avança vers la robe en question, on aurait dit une montage de cascade, cette robe était de couleur bleue, ses doigts étaient en train de parcourir le tissu avec de la dentelle fine qui mettrait son élégance en valeur. Elle avait une coupe plongeant au niveau de la poitrine, mais ça ne pouvait qu'exploiter ses formes parfaites. Une robe digne de Cendrillon elle-même. Elle ne pouvait qu'exclamer sa joie dans un cri. Cet homme inconnu savait donc ce qui lui plaisait et la mettait en valeur. Un grognement s’était fait entendre du lit. - Leo n’était pas matinal visiblement - Elle tournait la tête vers lui pour déposer un baiser sur ses lèvres, attendant tout de même qu’il émerge pour lui annoncer qu’elle ne sera pas là à partir de ce soir et qu’un homme inconnu portant le nom de Drosselmeyer avait besoin d’elle pour le réveillon de noël. Et comme, elle s’y était attendu ça n’avait pas l’air de lui plaire, surtout quand elle avait mentionné le mot “homme” et “besoin d’elle”. Trouvant cette attention adorable, elle lui expliqua qu’elle devait bien se montrer plus humaine pour aider les autres au lieu de les empoisonner pour certain. Et qu’elle saurait se faire pardonner à son retour. Visiblement, ce n’était pas un très grand succès… Leo même endormi avait montré les crocs. La jeune femme l’embrassa une nouvelle fois, en murmurant contre ses lèvres.

“Je te promets de me faire pardonner à mon retour, je veux vraiment aider cette personne… Il n’aurait pas pris la peine d'écrire si ce n’était pas urgent. Et pour une fois que je désire aider un humain.”

Hmm… Oui qui offre des œuf de fabergé à Noël ? Personne sauf lui ! Elle lui montra l’œuf en question mentionnant quand même au passage que ce n’était pas elle qui l’avait pondu. Remarquant un autre message “18 h ne soit pas en retard” posées sur son oreiller. Il prévoyait tout cet homme ? Et tout ça pendant que Leo dormait. Enfin, en même temps, il avait le sommeil très lourd. Elle ne devait donc pas être en retard.

[...]

Elle avait tout de même jouer des pieds et des mains pour rassurer Leo que rien n’allait se passer de bizarre. Elle portait sa robe bleue qui lui allait à ravir. Il faisait tout de même froid, elle avait penser a prendre un manteau assorti à sa robe pour couvrir ses épaules. La jeune femme avait laissé ses cheveux détachés et un maquillage léger qui la mettait en valeur. Au fond d’elle, Dewenty était tout excité à l’idée d’aller à ce fameux repas. Ne vous en faites pas, elle ne mangera pas les invités... Elle portait avec elle l’œuf de fabergé. Pour cette occasion Dewenty avait pensé à mettre des échasses comme dirait Kot. L’heure approchait doucement, il fallait donc qu’elle soit au rendez-vous pour dix-huit heures pétante. La brise était des plus douce, pour un temps hivernal, ce n’était pas réellement ça. Ou peut-être qu’elle avait fini par s'acclimater, elle qui d’ordinaire préférait les climats sec et chaud. On parlait tout de même de lac gelé… Donc, elle avait dû sûrement finir par s'habituer. C’est ainsi que les pas du Grinch l’avait mené vers ce lac, sous un air de musique entraînante.

Une fois arrivée au lac, la jeune femme avait repéré une silhouette plutôt féminine et au vu de son parfum… ça ne pouvait-être qu’une femme. Se rapprochant prudemment tout de même, d’ailleurs elle parlait plutôt toute seule, son regard avait fait tilt en voyant qu’elle avait elle aussi un œuf de Fabergé. Mais différent du siens.

“ Ne vous en faites pas, nous allons être deux dans ce cas-là…” Dit-elle avec amusement. La robe de Dewenty était un peu plus meringue que celle de la femme en face d’elle. “ Vous avez, vous aussi reçu cette lettre, je présume…”

Donc en résumé... Elles n'allaient surement pas être seules... Mais comme on dit, plus on est de fou, plus on rit non ? - De toute façon on s'en fou, ça fera nourriture à volontés ! -


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Jessie James
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Événement #117 : La Valse de l'Hiver  _



________________________________________ 2019-12-22, 01:27 « Jessie never gives up, Jessie finds a way! »


C’est la veille de Noël. Un temps de mystères, d’attente,
qui sait ce qui pourrait arriver ?
Jessie se réveilla ce matin-là avec une grosse langue bien râpeuse et humide sur la joue. Pil-Poil, son berger belge avait commencé ses premières semonces par des grognements, rapidement suivit par un aboiement roque qui avait fini en cette léchouille peu gracieuse et appréciable dont la rouquine s’était dépatouillé en repoussant le chien, avec un grognement digne d’un Grizzli.

- PIIIL-POIIIL !

Se retournant pour lui tourner le dos, elle avait tenté de continuer et de terminer sa nuit mais c’était sans compter sur l’animal qui n’avait pas décidé d’en rester là. Sautant hors du lit, il avait contourné le meuble avant de prendre la couverture que tenait Jessie à pleine gueule et de la lui soutirer. L’écuyère grognant de plus belle, s’asseyant sur le lit avec un empressement qui lui donna le tournis. Tout en se grattant la tête, elle observa le chien, les yeux encore mi-clos.

- Mais c’est pas vrai, qu’est-ce que t’as !!

La jeune femme constata que la lumière filtrait à travers les volets et un rapide coup d’œil sur le réveil lui annonça qu’il était 10h du matin. Depuis qu’elle n’était plus un jouet, Jessie dormait. Elle dormait beaucoup. Et elle n’avait plus le risque de se faire réveiller par un enfant de 6 ans qui souhaitait jouer avec elle. Résultat des courses, en plus de dormir beaucoup, elle dormait longtemps. Pourtant, son chien avait l’habitude et jamais jusqu’alors il lui était arrivé de la réveiller de la sorte, ni pour manger, ni pour promener, pas depuis qu’il était adulte. Il se passait donc forcément quelque chose.

Avec la brusquerie qui était sienne, doublée par une colère sous-jacente, elle sauta hors de son lit, remettant son pantalon de pyjama qui était tombé sur ses hanches. Elle aimait dormir dans des pyjamas amples, avec une chemise comme haut, mais le matin, elle était toujours trop fortement débraillée. Baillant sans retenue, elle traîna des pieds jusqu’à la cuisine. C’était pas bien difficile dans son petit studio, mais la taille lui suffisait. Elle avait déménagé de chez Sebastian peu de temps auparavant, ne souhaitant pas le déranger plus longtemps. C’était jamais évident de savoir si on se tapait l’incruste ou non lorsque son hébergeur était muet doublé d’une gentillesse à tout épreuve. Alors Jessie, dans le doute, était partie pour lui redonner sa vie.

- Tu mérites même pas d’avoir les super bonnes croquettes sac à puces ! Mais c’est la veille de Noël alors je vais être concili… quoi ?!

Apparemment, la folie de Pil-Poil n’était pas terminée puisque l’animal se débattait à présent avec le bas de son pantalon pour l’attirer vers la partie salon avec une insistance à toute épreuve. Posant le sachet de croquette, elle finit par le suivre docilement vers le micro sapin qu’elle avait posé sur une commode qu’elle avait trouvé à la déchetterie. Après un petit ponçage et un bon coup de peinture, elle était désormais comme neuve et le micro sapin trônait fièrement dans le plus joli des coins, avec ses micros boule et sa micro guirlande lumineuse, unique. En-dessous du sapin se trouvait un œuf magnifique, une espèce de cadeau qui devait au moins faire la taille du sapin, ainsi qu’une jolie enveloppe au papier épais et de couleur écru.

Intriguée, Jessie commença par prendre la lettre, la tournant et retournant afin d’avoir des indices sur son destinataire. N’en trouvant pas, elle décida d’ouvrir l’enveloppe. Ses yeux s’agrandirent à mesure que ses pupilles parcouraient le papier. Ce Drosselmeyer avant apparemment besoin d’aide et elle était, semblait-il, la personne idéale. Elle échangea un regard avec son chien avant de prendre l’œuf dans les mains. Il avait trois pattes en or pour le soutenir et était d’un rouge éclatant, tout aussi rouge que son chapeau de cowgirl. Tout autour de lui se croisaient des gravures en or qui semblaient représenter des cordes qui lui rappelaient celle de ses lassos. A chaque croisillon entre deux cordes se trouvaient une petite étoile de shérif. L’objet était magiquement ouvragé et Jessie l’observa un long moment, les yeux pétillants. Il avait une espèce de serrure au dos en forme d’étoile mais la rouquine avait cherché autour du sapin et dans l’enveloppe, la clé n’était apparemment pas présente. C’était sans doute pour cela qu’elle devait se rendre au rendez-vous avec l’œuf, pour recevoir la clé.

En le sentant la première fois, l’objet avait une odeur de cuir, de grande étendue de verdure, de corde aussi, tout ce qui lui rappelait l’écuyère qu’elle était mais son « Père-Noël » semblait bien la connaître et savoir qu’elle retournait toujours deux fois vers une odeur car la seconde fois, il dégageait à présent une odeur de chocolat noir, de café et de cannelle. Avec un sourire ravie, Jessie observa son chien et se dirigea vers la cuisine en chantonnant :

- Allez viens Pil-Poil, t’as gagné les super-croquettes !

La jeune femme petit déjeuna en quatrième vitesse tout en pensant aux recherches qu’elle allait faire sur Drosselmeyer quand elle arriverait au poste de police. Après tout, ils n’avaient rendez-vous que le soir, cela lui laissait tout le temps de faire ses devoirs. Elle fonça rapidement dans la salle de bain pour faire sa toilette et enfiler un jean, une chemise et ses bottes. Elle fut alors surprise de constater en sortant de la petite pièce que quelque chose de nouveau l’attendait sur son lit. C’était une magnifique robe rose pâle qui semblait sans doute couter cher. Elle avait un beau tissu et des perles brodées. Sa vision eu le don de faire rougir Jessie jusqu’aux oreilles. Les robes, c’était pas trop son truc. Elle n’en avait jusqu’alors jamais mise, ni en poupée de chiffon ni à présent qu’elle était une humaine. Il arrivait peut-être à son double de malédiction d’en mettre mais tout cela restait désormais très flou. Elle toucha le tissu pendant quelques instants d’un air songeur avant de lire le nouveau mot et de remercier le ciel d’avoir des chaussures plates en posant les yeux sur les ballerines aussi rose que la robe au pied du lit. N’hésitant plus une seule seconde, elle sortit de son appartement en coup de vent, fonçant droit vers le poste de police.


17h30. La langue tirée légèrement à la commissure de ses lèvres, Jessie mettait en place la dernière pince à cheveux. Elle avait regardé au moins 10 000 tutoriels sur le sujet avait recommencé une quinzaine de fois sa coiffure et appelé à l’aide une coiffeuse qui était venu domicile pour le plus gros mais elle y était. Son maquillage avait également était réalisé par l’ange gardien qu’était cette coiffeuse et ce qu’elle voyait à présent dans le miroir, c’était une jeune femme qui ne lui correspondait pas vraiment, les cheveux noués dans une espèce de chignon/queue de cheval retenu par un ruban de satin rose, sa mèche de devant avait été bouclée pour l’occasion. Son teint était digne de celui d’une porcelaine et elle ne portait u’un léger rose sur ses yeux, ses joues et ses lèvres, agrémenté d’un crayon gris et de mascara. Elle avait l’impression de suffoquer dans sa robe qui mettait en valeur des aspects de son physique qu’elle n’avait pas l’habitude de montrer. Après un dernier soupir et à moitié tremblante, elle avait attrapé le petit sac rose en velours et en forme de bourse qu’une vendeuse en ville lui avait vendu. Elle y fourra l’œuf ainsi que les deux lettres et se dirigea vers la sortie, Pil-Poil sur les talons.

Au volant de son pick-up rouge, elle appuya sur l’accélérateur en passant devant la grande horloge de la ville. Il était presque 18h et il était hors de question d’être en retard.

- Foutu parking toujours blindé !

Elle ne parvenait pas à comprendre pourquoi le parking du lac était toujours aussi bondé mais elle parvint à se garer après avoir tournés quelques minutes. Claquant la porte un peu plus violemment qu’elle ne l’aurait voulu, elle s’interdit de fumer, se rappelant qu’elle n’avait de toute façon pas prit son paquet avec et accéléra le pas en voyant que Cendrillon était quelques mètres avant elle. Avec une tenue pareille, soit elle allait au même rendez-vous qu’elle, soit elle allait à une soirée costumée mais derrière un lac, à la lisière du bois, on pouvait clairement en douter. Elle n’avait rien trouvé sur ce Drosselmeyer dans les archives de Storybrooke mais avait trouvé en revanche des informations sur internet. Il était apparemment inventeur dans un conte appelé Casse-Noisette, un bon gars en somme qui semblait être à l’origine d’un Noël fabuleux.

- Hé les filles !

Elle avait couru sur les derniers mètres, rejoignant deux jeunes femmes dans des tenues époustouflantes qui la firent rougir de nouveau. Elles avaient un maintien et une classe qui dépassait largement la sienne. Elle se trouvait affreusement tarte engoncée dans sa robe, sans avoir vraiment toute faculté sur ses mouvements.

- Vous aussi vous êtes invitées par Monsieur Drosselmeyer ? Vous êtes drôlement jolies…

Elle s’apprêtait à se présenter lorsqu’elle reconnut la rouquine.

- C'est Anastasia c'est ça ? Ta photo est sur le tableau des effectifs de la police ! Je suis encore nouvelle dans le milieu mais j'ai essayé d'apprendre au moins le visage et le nom de mes collègues !
- La version pimpée mais c'est bien moi. Et toi c'est Jessie !

Elle affirmait plus qu’elle ne demandait mais cela n’empêcha pas l’écuyère d’acquiescer avec un grand sourire. Elle demanda ensuite l’identité de Cendrillon qui révéla s’appeler Dewenty.

- Pas mal ta robe. C'est marrant parce que quand j'étais petite ma maman avait exactement la même. Elle te va bien.
- Oh… merci…

Jessie vira à l’écarlate. L’envie de s’enterrer se faisait désormais bien sentir. Elle avait fait des recherches sur Anastasia, comme sur tous ses collègues afin de mieux les connaitre et parce que c’était aussi ce qui lui était demandé lors de ses exercices de recherche et elle avait trouvé, en plus des rares informations sur la base de données de Storybrooke que Anastasia avait apparemment eu une vie également dans cette réalité et que toute sa famille avait été décimée par un soulèvement populaire… et voilà qu’à présent elle portait une robe similaire à celle de sa mère. Pouvait-on réellement faire pire ? Comme pour l’aider, Pil-Poil se manifesta par un petit aboiement avant d’avancer un peu plus vers le groupe :

- Oh ! Je vous présente mon chien, Pil-Poil ! Comme je ne sais pas combien de temps va durer cette mission et que je n’ai personne pour le garder je l’ai amené avec moi.


La jeune femme était bien trop heureuse d’avoir un sujet pour détourner l’attention du moment de gêne que son volume sonore avait augmenté brusquement. Et comme si ça ne suffisait pas, un bruit derrière se fit entendre, révélant qu’ils n’étaient toujours pas au complet sur la liste des invités de Drosselmeyer.


Spoiler:

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Événement #117 : La Valse de l'Hiver  _



________________________________________ 2019-12-22, 21:50


La valse de l'hiver

Noël au balcon, Pâques au tison.
La veille de Noël n’avait jamais été un jour spéciale pour Aster. Là où la plupart des gens avaient prévus un grand repas avec toute leur famille, et éventuellement d’ouvrir des cadeaux si jamais il n’y avait pas d’enfants croyant encore à son (pas) très estimé collègue Santa lui, n’avait jamais rien fait de particulier. Déjà parce que Noël, c’était pas sa fête. Et ensuite, parce que ça lui tapait plus que royalement sur le système de voir à quel point on en faisait des caisses « juste » pour ce moment là de l’année. Aux dernières nouvelles on investissait pas tout l’argent de la ville dans des illuminations et des décorations quand c’était Pâques, on ne vrillait pas les tympans des gens avec des chorales composés d’enfants chantant plus ou moins juste, on ne mettait pas en avant tout un tas d’aliment spécialement pour cette période de l’année.

Néanmoins, si le dernier Noël, il l’avait passé avec une personne appréciant tout autant cette fête que lui, cette année les choses étaient un peu différente. Déjà, parce que Nightlight avait décidé de faire un retour dans sa vie. Et si, elle ne ressemblait plus en rien à ce qu’il avait connue lorsqu’il avait fait sa rencontre en terme de physique, au niveau de la mentalité elle n’avait pas beaucoup changé. Elle était toujours fidèle à elle même : joyeuse, monté sur ressort comme si elle avait il ne sait combien de litres de café avant, et toujours prête à bousculer son quotidien. D’habitude il ne prenait pas la peine ni d’acheter un sapin ni même de décorer chez lui. Cette année, Nyx avait décidé de se ramener avec la panoplie complète et ce bien évidemment sans lui laisser la possibilité de dire quoi que ce soit -en même temps c’est pas comme s’il était foutu de lui dire non-

En plus de tout ceci, il avait aussi eu droit à une invitation en bonne et dût forme à passer les fêtes avec elle, parce que soit disant personne ne devrait être seul à ce moment là. Et évidemment, elle avait eu l’air tellement emballée qu’Aster n’avait simplement pas pu se résoudre à lui dire non, aussi avait-il accepté avec (beaucoup) de réticence mais accepté quand même, histoire de faire plaisir à Nyx.

Le 24 au matin, il n’avait pas dérogé à ses habitues et encore moins son rituel matinale. S’il ouvrait la boutique plus tard et la fermait plus tôt que d’habitude, ça ne l’empêchait pour autant pas de travailler jusqu’à 16h minimum, le temps que les retardataires viennent chercher leurs commandes de chocolat. Évidemment, comme tous les ans, il bossait seul à cette période laissant généralement à la rouquine la journée afin d’être avec sa famille.

Néanmoins, avant qu’il ne parte de chez lui pour se diriger en camionnette, il remarqua quelque chose d’étrange sous le sapin. Suffisamment étrange pour attirer son attention, et qu’il ne décide pas de partir laissant ça en plan pour plus tard. En effet, sous l’arbre de Noël, avait été déposé un œuf. Sauf que ce n’était pas n’importe quel œuf, déjà il avait la taille de ceux qu’ils fabriquaient à la boutique pour Pâques, mais en plus de cela, il semblait être fait en porcelaine, sans parler des arabesques peintes dessus qui à son humble avis, n’avait pas seulement la couleur de l’or mais devait également en être. S’approchant légèrement, il remarqua en plus de l'odeur de chocolat qui s'en dégageait une serrure en forme d’étoile et comme de bien entendue aucune clé pour l’ouvrir évidemment, c’eut été beaucoup trop facile.

Cependant une question demeurait : Qui pouvait bien avoir déposé pareille objet sous son sapin ? Pas Santa, il était trop pingre pour ça -et de toute façon il aurait refusé un quelconque cadeau venant de lui- Frost, était également à rayer de la liste des suspects, idem Nyx. Ce machin devait coûter une blinde, et il imaginait mal La Luciole trouer son porte monnaie pour lui offrir un truc pareille -il ne le lui aurait jamais permit de toute façon, qu’elle soit généreuse okay mais il y avait des limites-

La réponse à sa question, se trouva sous la forme d’une lettre accompagnant l’oeuf. Perplexe, il relut la lettre deux fois et ce avec énormément de précaution des fois qu’elle soit imbibé d’une substance totalement inconnu -l’histoire de zombification avec Amazon lui avait suffit-, afin d’être certain qu’il ne pouvait pas y avoir d’erreur possible, qu’elle n’était pas adressé à quelqu’un d’autres que lui. Parce que soyons honnête, qui viendrait chercher Le Lapin de Pâques pour l’aider dans une quête se passant le Jour de Noël ? C’était comme d’aller voir Santa le jour de Pâques -quoi que Santa peu importe le jour, ne serait probablement pas méga enclin à aider qui que ce soit ci ce n’est lui. En plus de l’oeuf et de la lettre il remarqua la tenue complétant le tout. Formidable, parce qu’en plus de se trimballer un œuf qui coûtait une petite fortune il allait en plus devoir avoir l’air ridicule. Soupirant, il se décida à emporter le tout avec lui. Comme il ne se servait pas de l’arrière boutique aujourd’hui se contentant de la partie vente, il n’aurait qu’a les fourrer là-bas en attendant 18h, heure du rendez-vous.

Attrapant œuf, lettre et tenue, il les installa à la hâte sur la banquette arrière de sa camionnette avant de grimper à son tour et de prendre le volant direction le centre ville.

La journée fût égale à elle même, les clients étant uniquement des gens venus prendre des commandes, Aster n’avait pas eu droit à des indécis qui prenaient trois ans à se décider entre prendre des pralinés au chocolat au lait ou au chocolat noir ce qui avait tendance à le gonfler sérieusement. Il adorait son boulot, mais les pas doués qui mettent des heures à se décider beaucoup moins. Et finalement, l’heure de se rendre au rendez-vous arriva presque. Aussi troqua-t-il sa tenue de chocolatier contre celle confié par ce fameux « Drosselmeyer. » Évidemment, il prit bien soin pendant qu’il se changeait d’attraper son téléphone et de chercher rapidement dans la liste de ses contactes, Nyx qui avait hérité du nom de « Luciole » dans cette dernière afin de taper un texto lui indiquant qu’il se retrouvait très probablement encore embarqué dans une histoire made by Storybrooke, que non il ne se défilait pas promis, et qu’il ferait son maximum pour être rentré à temps et si jamais la tâche se révélait impossible, elle pourrait l’embarquer dans n’importe quelle activité de son choix du moment que cela n’inclut pas de lui trouver une petite amie ou de devoir se déguiser en Pascal le caméléon.

Il sécurisa néanmoins au cas où, sous sa veste la sacoche qu’il se trimballait partout et qui contenait le seule « vestige » de sa vie d’avant aka son boomerang. Une fois affublé de son costume, il prit l’oeuf sous le bras afin de se rendre à l’endroit du rendez-vous afin de remarquer qu’il n’était pas le seule, puisque trois jeunes femmes dont une qui ne lui était pas inconnue étaient déjà présente :

- Vous aussi, vous venez pour la réunion des possesseurs d’oeufs anonymes ? Grommela-t-il en désignant celui qu’il avait sous le bras.

Il en profita également pour adresser un bref signe de tête à Anya en guise de salut.


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*Laisse moi faire quelque chose pour toi pour une fois...*

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*bug...*

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Événement #117 : La Valse de l'Hiver  _



________________________________________ 2019-12-24, 00:59

La Valse de l'Hiver

C’est la veille de Noël. Un temps de mystères, d’attente, qui sait ce qui pourrait arriver ?



Noël. La période de l'année que je préférais par dessus tout. C'était l'époque de la neige, des cadeaux, des sucres d'orge, des sapins et des guirlandes électriques. Les gens semblaient plus heureux, plus gentils, plus insouciants. Comme si tous les problèmes de l'année étaient oubliés. Les miens semblaient l'être en tout cas. Viktor avait enfin cessé de me fuir. Il avait même prévu un dîner, rien que pour nous deux, ce soir. J'avais toujours était empli de joie à l'idée du réveillon de Noël, l'attente des cadeaux, la distribution des cadeaux. Ou du charbon dans mon cas. Je n'avais jamais aimé distribuer ce minéral mais j'adorais découvrir les sapins illuminés, l'odeur du pain d'épices et des oranges. Tout était si beau et sentait si bon que ça rendait les choses presque irréelles.

J'avais découvert il y avait peu, avec la fin de la malédiction que le père noël existait dans plusieurs mondes différents. Il y avait donc plusieurs Santa Klaus et cette nouvelle m'avait réellement surpris. J'avais cru qu'il y aurait d'autres pères fouettards mais jusqu'à présent je n'en avais croisé qu'un seul et il s'agissait de mon propre père. Père que j'évitais comme la peste depuis que je travaillais pour Théo. C'était triste quand on y pensait. Noël était normalement la journée pour nous rassembler mais il y avait longtemps qu'elle nous divisait au contraire. Je ne cherchais même plus à faire d'efforts, il n'en valait pas la peine.

J'avais passé la journée au bureau, je venais de terminer mes derniers achats de noël lorsque je passais la porte de mon appartement. Je fermais les yeux, respirant l'odeur du sapin, du pain d'épices et de bonbons qui se dégageait. J'étais enfin chez moi après une journée harassante et il fallait que je me prépare pour la soirée qui aurait lieu dans quelques heures chez Viktor. Le sapin immense était illuminé dans un coin de la pièce à côté de la cheminée, il y avait des guirlandes au dessus et autour de la rambarde des escaliers. J'étais resté relativement sobre cette année, j'avais seulement craqué pour des attaches de chaise en forme de pomme de pin. Mais il fallait avouer qu'ils étaient vraiment trop mignon. Je m'installais sur le canapé face au feu avant que mon regard ne s'arrête sur un objet qui n'était pas là lorsque j'avais quitté mon appartement la veille au soir.

Je me levais et m'approchais de ce qui ressemblait fortement à un œuf de Fabergé. C'était un œuf vert émeraude et des entrelacs dorés en forme de nœuds de cadeau, de houx, de bonhommes de neige et de flocons de neige. Il était maintenu par un trépied en forme de trois sucres d'orge en or. Une odeur de pain d'épices, de cannelle, d'orange, de chocolat chaud, de sapin et de sucre d'orge. Je le reniflais avec avidité. Je doutais réellement que ce soit un vrai, il sentait trop le bonbon. C'était peut-être un cadeau d'Elias pour avoir gardé Melchior hier. Je léchais donc le dessus de l’œuf pour voir quel goût il avait avant de grimacer sous la sensation de fraîcheur. Nope ! Ça se mangeait pas. Et visiblement, ça s'ouvrait, il y avait un trou en forme d'étoile. Comme si une clé pouvait y entrer et l'ouvrir en deux. Je poussais un soupir et le reposais où je l'avais trouvé à côté de l'enveloppe.

Wait ! L'enveloppe ? Elle était pas là toute à l'heure si ? Sans doute que si... Je la saisis et l'ouvrais pour la lire. Ok. Dix-huit heure. Il était... C'était dans une heure. C'était jouable. Mais la question était pourquoi je raterais un rencard avec Viktor pour un type que je ne connaissais même pas ? Déjà parce qu'il avait le même nom que le type dans Casse-Noisette. Et c'était trop la classe. Ensuite parce que c'était Noël et qu'il avait besoin d'aide. Et puis... il venait de m'offrir un œuf qui coûtait la peau du cul. Je pouvais au moins faire ça pour lui. Je me dirigeais donc vers ma chambre pour trouver une tenue adéquate lorsque j'avisais les vêtements qui attendaient sagement sur mon lit.

Est-ce qu'une seule seconde je me posais la question de savoir comment ils étaient arrivés là ? Non. Est-ce que j'envisageais que quelqu'un était entré par effraction dans mon appartement de luxe, hyper sécurisé pour y déposer un œuf d'une valeur inestimable et une tenue sortie tout droit de l'époque victorienne ? Non. Surtout que rien n'avait disparu à vu d’œil. Je pris une douche et m'habillais avec un soin tout particulier avant de me téléporter sur le lieu de rendez-vous. J'étais apparu silencieusement derrière le petit groupe qui s'était déjà formé avec un grand sourire aux lèvres. J'avais bien sûr pris soin d'emmener mon œuf et ma lettre avec moi.

"Bonsoir ! Je vois que je ne suis pas le premier sur les lieux. Et pas le seul. Je me présente, Jean-Balthazar. Enchanté. Et joyeux noël."

Je leur adressais un grand sourire avant de sortir des sucres d'orge de ma poche.

"Vous en voulez ?"

J'en déballais un de son emballage plastique et l'enfournais dans ma bouche. Je ne savais pas exactement ce qu'on attendait mais je commençais à avoir froid. C'était pas hyper chaud ce costume, il manquait clairement un manteau et des gants.





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Événement #117 : La Valse de l'Hiver  _



________________________________________ 2019-12-24, 15:13


La valse de l'hiver

C’est la veille de Noël. Un temps de mystères, d’attente, qui sait ce qui pourrait arriver ?




Olaf était passé partout… Observant sa liste –énorme- de cadeaux à distribuer, il avait fait tout le monde … avec plus ou moins de classe… Il avait dû utiliser sa petite tête pour ne pas se perdre, et … tout le monde savait qu’il n’avait pas le sens de l’orientation. Il était en train de vérifier à nouveau sa liste en souriant comme un bienheureux … Aujourd’hui il avait fait des cadeaux… et il était l’exemple même des personnes qui adoraient faire des cadeaux …. Le bonheur d’offrir était pour lui bien plus grand et important que de recevoir … qu’importe au fond, qu’il ne reçoit rien de personne … tant qu’il a réussi à faire sourire quelqu’un. Ses pensées allèrent rapidement vers les « grinch » qu’il connaissait … espérant réussir à décrocher un sourire à Eris, ou encore à Gabriel … Il avait ce besoin vital de faire plaisir, et de donner plus d’amour que ce qu’il ne le pouvait.

Ce n’était pas pour rien qu’il s’était écroulé de fatigue le mois dernier, ou était ce le mois d’avant ?, dans tous les cas …. Ce n’était pas pour rien … parce qu’il essayait de donner beaucoup trop … d’énergie … de temps … tenant sur des nerfs qui depuis longtemps avaient craqués … mais ce n’était pas grave. Qu’il tombe, il se relèvera toujours et pourra continuer tout simplement ce qu’il faisait. Cette histoire de distribution de cadeaux, en kigurumi père Noël, se déroula le 23 au soir … parce qu’il se doutait que le 24 et 25 pas grand monde n’aura besoin de lui …Il avait bien reçu une invitation d’Anna, mais il ne se sentait toujours pas d’aller voir Elsa … Elle le sentirait non ? Elle sentirait qu’il était un monstre sans cœur, qui avait tué…. Elsa ne lui pardonnerait pas … c’était en tout cas ce dont il était sur alors qu’il rentra chez lui la nuit du 23… S’écroulant dans son lit… il prit son oreiller et le serra fort contre lui alors qu’il se mit à pleurer.

Seul, il pouvait pleurer autant qu’il le voulait … et il ne se gênait pas …encore moins quand il se souvenait de ce qu’il avait fait… tuer Deliora et Lullaby… Peut être que les deux entités démoniaques auraient pu apprécier Noël et changer ? Ce soir là, Olaf, comme tous les soirs, s’endormit en larmes contre son oreiller… avec la certitude que demain, il allait devoir faire encore plus pour se faire pardonner … L’humanité méritait un homme bien plus fort que le bonhomme de neige qu’il était … serrant son oreiller encore plus, comme une bouée à tout cela … Il savait que ses rêves ne seraient que cauchemars, et que son sommeil n’allait pas du tout le reposer.

Le matin d’ailleurs, il n’était absolument pas reposer alors qu’il entendait les sons de la rue. Une voiture klaxonna alors qu’il fit un bond dans son lit. Observant son lit un instant, il savait qu’il devrait remettre les draps dessus…. Mais n’y pensait pas alors que la fatigue le gagner. Encore quelques minutes … Ouvrant alors les yeux d’un coup, à nouveau, il sauta du lit pour voir son réveil éclaté sur le sol. L’heure ne s’y affichait plus … Courant dans la cuisine, il alla devant le micro-onde et essaya d’enlever les tâches de lumière qu’il avait alors qu’il lu « 10h45 ». Sautant, il couru dans sa chambre pour trouver des habits, mettant son pantalon tout en essayant de mettre sa chemise. Il arracha une carotte de son potager de salon pour la croquer –oui avec la terre- avant de courir pour aller ouvrir le glacier … Il n’avait pas vu que sous sa branche de Noël, une branche de sapin de Noël synthétique trouvait dans la rue, un cadeau se trouvait. Il les avait pourtant tous distribué hier … mais ça, lui ne le remarqua pas alors qu’il couru en oubliant totalement de fermé sa porte à clé … comme d’habitude.
La journée se passa alors qu’Olaf essayait encore de donner le maximum pour rendre heureux les quelques fous désirant manger une glace en pleine hiver … autant dire qu’ils étaient peu nombreux … et Olaf avait l’impression de ne pas réussir à leur transmettre la chaleur qu’il voulait de son petit cœur …

Son impression d’inutilité était très forte … et il se félicita d’être passé par le centre commercial après son travail. Le glacier fermait plus tôt en hiver. Dans le centre commercial, il avait rencontré une fille trop gentille nommait Evangeline, et il avait pu lui venir en aide. Si cette B.A. aurait pu être suffisant pour beaucoup, pas lui … Il avait l’impression de n’avoir pas fait « assez » en cette journée …Rentrant bredouille chez lui, il soupira en se jetant comme un phoque sur son canapé.

- Ulysse, Diego, Trissy, Quentin, je suis fatigué.

Il parle à ses carottes … Ce matin, il avait mangé Corentin, le frère jumeau de Quentin. Donner un nom à ses carottes n’était peut être pas la meilleure des idées …. Lui qui pourrait en prendre pitié et finir par ne plus rien manger … mais pour le moment, il accepté de se nourrir de ses légumes. Alice était parti en laissant des choses dans le frigo, mais il n’avait envie de rien… alors qu’il tourna la tête pour observer sa branche de Noël, il fit un nouveau bond. –ça devenait une habitude-

Événement #117 : La Valse de l'Hiver  81349810

Là, au milieu de tout, un œuf était posé. Un œuf qui n’avait rien d’un œuf normal … parce que les œufs normaux étaient ou beige ou en chocolat… Il n’avait même pas idée de ce que ça pouvait être, pour lui c’était un œuf et c’est tout. S’approchant, il sourit en le prenant dans les mains. L’œuf était chaud. Il ressemblait à un œuf en métal, mais au toucher il n’y avait rien de tout cela. Olaf le porta à ses narines alors qu’il cru sentir de la barbe à papa. Souriant alors que l’odeur n’était pas imaginée, il s’étala sur le sol, et finit par tourner l’œuf pour en regarder les contours. Un œuf. De la forme d’un œuf. Mais coupé en deux. Les deux côtés, haut et bas étaient des vagues de couleur arc en ciel étrange. Comme un œuf pour enfant, où l’on aurait jeté les couleurs dessus pour amuser… Il y avait du vert, du bleu, du rose, du jaune. L’arc-en-ciel était sur cet œuf … et Olaf continuait de penser qu’il ressemblait à un œuf de pâques … et il aimait Pâques… aussi allé trouver une fête qu’il n’aime pas…. Il vu alors le papier sur le sol, alors même qu’il n’avait pas du tout compris que l’œuf pouvait s’ouvrir. Il la lu, toute en rajoutant des commentaires par-ci, par-là.

- Oh une lettre. Pas encore, je veux un câlin, je me demande si je pourrais … Allié, Ami, y a deux lettres pareil, c’est pareil ! OHHHHH J’ai gagné un concours ??? TROP BIEN.

Il était à présent debout sur son canapé, alors qu’il avait l’œuf dans une main, et la lettre dans l’autre, il continuait de lire.

- Aujourd’hui .. aujourd’hui de quel jour ? Aujourd’hui là ? Tombé du soir ? C’est pas une heure ça …. Je veux aider !!!! Bien sur que j’accepte … mais c’est où ça le lac gelé … on a un lac gelé ici …. OH LE LAC !!! Celui là. En faite on en a un… mais qu’est ce que je vais mettre ? Il me faut un sac avec tout dedans, et aussi plein de kit de survie… et …

Événement #117 : La Valse de l'Hiver  Tenue10

Il énumérait tout ce qu’il pouvait prendre alors qu’il se jeta dans sa chambre pour s’habiller … s’arrêtant alors sur l’habit noir qui était dans son lit dévasté … Une tenue noire, sobre… sauf si on y regarder de plus prés … des broderies étaient cousus un peu partout et faisait comme des formes … comme pour l’œuf, Olaf n’avait pas de mal à imaginer des formes dansantes, il pouvait s’imaginer des visages, des animaux, des choses et d’autres, qui mixaient avec les couleurs pouvaient donner une quantité d’histoire. Dans une des broderies, il cru voir un ange de Noël, un casse-noisette, peut être une ballerine ? Le monde des broderies ne s’arrêtait pas à un dessin… et posant l’œuf à proximité, Olaf ne pouvait que remarquer que l’objet lui donnait la même sensation que la tenue…. Une aventure, une histoire, un conte à raconter au coin du feu … prenant l’habit, il lit le nouveau message …

- 18heures … AUJOURD’HUI ????

Olaf finissait le service à 14h, le temps de toute cette affaire … L’heure du rendez-vous approcher à grand pas .. Il se mit à courir un peu partout, prenant brosse à dent et brosse à cheveux. Se trompant dans l’utilité des deux … reprenant sa préparation alors qu’il se dépêcha pour ne pas être en retard. Sa tenue était tout à fait trop belle, et quand il la passa, il eu l’impression de mettre un kigurumi tout doux … il était dans un nuage. Il allait pouvoir se rattraper du peu de bonheur qu’il avait donné dans la journée … il allait pouvoir aider monsieur le nouvel ami. Courant, l’œuf dans la poche, mais le tenant en plus dans ses mains, pas question qui le perdre, il couru plusieurs minutes dans le mauvais sens … avant d’arriver dans l’autre sens… Se jetant entre les voitures pour passer, s’excusant des bousculades… alors qu’il avait l’impression que son cœur allait exploser par sa course… Un vent froid le fit relever les yeux.

Si Olaf n’avait pas de pouvoir, il avait une affinité avec le froid qu’on ne pouvait négliger … et là, le froid lui disait qu’une zone très fraîche se trouvait non loin de là. Courant alors qu’il entendait les 4 premiers coups de l’horloge, il se mit à courir encore plus vite … Jusqu’à se prendre une branche ou une racine, ou qu’importe.. et à s’étaler de tout s… Bah non en faite, il ne s’est pas étaler de tout son long …. Il flotte. Posant le nez sur un tissu bleu éclatant, qui ressemblait à un gros oreiller tout mou, il remonta les yeux vers une jeune femme très belle. Il lui fit un grand sourire.

- Bonsoir ! Je suis Axel, je peux vous faire un câlin ?
- Ai-je le choix ?
- heu … oui, sinon je ne poserais pas la question … je crois …

Il se mit à réfléchir en remontant la tête vers la jeune femme et fit un nouveau sourire. On pouvait voir écrit « je suis un enfant » sur sa tête. La jolie dame soupira et le tends qu’Olaf fasse le tour pour être en fasse d’elle, il eu son câlin. Trop content qu’il était il sourit en la serrant doucement. Alors qu’il se recula, il vu Anya à proximité et fit un grand coucou de ses deux mains, dont une tenant l’œuf, pour lui dire bonjour … Axel savait que la jeune femme n’apprécierait pas qu’il lui saute dessus pour un câlin … même s’il en avait envie. Il y avait d'autres personnes dans le milieu et Axel s'empêchait -à peine- de leur sauter dessus ... mais à peine...


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« Jessie never gives up,
Jessie finds a way! »


Jessie James

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Elle va être sympa cette mairie, j'le sens bien... On va s'entendre copains comme cochons...


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| Conte : Toy Story
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Événement #117 : La Valse de l'Hiver  Sherif10

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Événement #117 : La Valse de l'Hiver  _



________________________________________ 2019-12-25, 23:25 « Jessie never gives up, Jessie finds a way! »


   
C’est la veille de Noël. Un temps de mystères, d’attente,
qui sait ce qui pourrait arriver ?



Jessie avait accepté le sucre d’orge que Jean-Balthazar lui avait tendu avec un grand sourire. Elle aimait les sucreries donc pourquoi refuser quand c’était proposé si gentiment ? Elle avait retiré le papier et avait enfourné un morceau de canne dans sa bouche tout en observant l’équipe au grand complet. Les filles avaient l’air gentil et calme, la rouquine avait un port altier qui lui rappelait un peu une princesse qu’Emilie avait eu un jour à Noël. Les garçons étaient élégants, Jean-Balathazar semblait avenant et le grand brun semblait légèrement agacé par l’ambiance générale. Pourtant, il était là, ce qui signifiait qu’il avait forcément bon cœur. Enfin, un jeune homme au costume aussi sobre que, paradoxalement, multicolore, s’était jeté sur Dewenty pour lui faire un câlin. Il avait l’air d’avoir une part de lui qui était restée en enfance et Jessie se sentit immédiatement bien en sa présence. Avant qu’elle ne put ouvrir de nouveau la bouche, l’horloge de Storybrooke venait de sonner son dernier coup et une fois se fit entendre derrière eux, la faisant sursauter au passage et se retourner brusquement.

- Vous êtes donc bien tous venus… je suis tellement heureux de vous voir.

Un homme d’un certain âge s’était avancé vers eux, lui aussi en tenue d’époque, comme les autres garçons. Il portait un bandeau sur l’un de ses yeux et avait le sourire malicieux. Sans laisser le temps à l’un d’entre eux de parler, il se mit à les pointer du doigt les uns après les autres tout en énonçant leur nom, preuve qu’il les connaissait.

- Anastasia, Dewenty, Jessie, Aster, Jean-Balthazar et Axel bien sûr. Je m’appelle Monsieur Drosselmeyer et je suis ravi de faire votre connaissance. Tout le monde a bien apporté son œuf ?

Pour toute réponse, Jessie se contenta de lever les mains pour lui montrer le sien. Elle avait déjà hoché la tête en signe d’approbation lorsqu’il avait donné son nom. Il était plutôt intriguant de savoir d’où il venait. Avait-il attendu dans la forêt pendant tout ce temps ? Comme pour répondre à sa question, l’homme leur fit un signe de la main pour les inviter à le suivre. Ils s’engouffrèrent alors dans la forêt et marchèrent pendant un certain temps. A mesure que le temps passait, le temps se faisait plus frais mais aussi plus sec, la neige s’épaississait et les pins émettaient une odeur bien plus présente. Lorsqu’ils ressortir du bois, Jessie eu l’impression d’avoir traversé le temps. Deux voitures hippomobiles les attendaient avec des cochers qui levèrent leur chapeau à leur apparition. Drosselmeyer les invita à entrer dans les voitures et il prit lui-même place à côté de l’un des cochers. Les deux hippomobiles roulèrent un petit temps et soudain un manoir apparut devant eux. L’inventeur tendit poliment sa main pour aider les femmes à sortir des voitures et leur demanda de les suivre… vers une petite porte, loin de l’entrée principale. En voyant le regard de l’écuyère, l’homme eu un petit rire :

- Ne vous inquiétez pas ma chère, vous êtes bel et bien mes invités et je ne cherche en rien  vous cacher. C’est juste que mes petites mains n’ont pas encore terminé les ultimes préparatifs pour la fête de ce soir et je ne souhaite pas vous gâcher la surprise d’un lieu de fête magique. Nous allons passer par les cuisines, je vais vous montrer vos chambres.

- Nos… chambres ?
- Et bien oui, vous ne pensiez-tout de même pas que j’allais vous faire dormir dans une étable ? Je sais que nous sommes la veille de Noël mais tout de même… c’est pousser les traditions un peu trop loin, non ?

Il lui lança un clin d’œil avant d’ouvrir une porte en bois et les inviter à entrer. Sans un bruit mais en regardant autour de lui, le groupe se pressa de le suivre à travers l’immense cuisine digne du début des années 1900 et monta ce qui semblait être un escalier de service jusqu’à un couloir richement décorés de tableaux et de boiseries, à la moquette somptueuse et épaisse. Drosselmeyer leur proposa alors trois chambres : deux sur la gauche et une en face, sur leur droite.

- Voici une chambre pour les femmes et une pour les hommes… il y aura malheureusement une chambre mixte, mais je vous rassure chacune des chambre est équipée de deux lits…

Il venait en parlant des filles de montrer les deux premières devant lui, à savoir Dewenty et Anastasia, de même pour les garçons il avait montré Aster et Jean-Balthazar. C’est donc naturellement que Jessie avait hoché des épaules en rejoignant Axel.

- Je prends la chambre avec Axel, ne vous inquiétez pas.
- Parfait, je vous laisse prendre possession de vos chambres alors. Vous pourrez rejoindre la fête une fois que vous serez prêt, il suffit d’avancer tout droit jusqu’au bout du couloir et de descendre l’escalier. Ah… j’ai failli oublier… je me suis permis de vous offrir un petit quelque chose entre chaque cavaliers.

Avec surprise, Jessie vit l’inventeur tendre trois boîtes vernies et magnifiquement peintes aux femmes du groupe. Sur chacune, en lettre d’or, était inscrites deux noms : « Anastasia et Axel » ; « Dewenty et Jean-Balthazar », « Jessie et Aster ». Lorsque la rouquine eu ouvert sa boîte, elle découvrit une magnifique pivoine rose pâle attachée à un bracelet qui était sans doute destiné à son poignet. Il y avait également une autre pivoine de la même couleur qui devait sans aucun doute servir à la poche du costume d’Aster. Jessie lui tendit sa fleur avec un sourire et rejoignit Axel dans la chambre.

Le lieu était tout aussi somptueux que le reste de la maison. Ils avaient chacun droit à un lit deux places qui semblaient être d’un confort dépassant toute attente. Ils avaient une salle de bain pour deux avec tout le nécessaire de toilette et un pyjama était posé sur chacun des lits. Jessie se dirigea vers celui dont l’étiquette indiquait son nom et découvrit un pyjama comme elle les aimait mais en satin rouge. Un peu perplexe, elle préféra le déposer et lança à son compagnon de chambrée :

- Bon ! Je vais rejoindre Aster, à tout à l’heure Axel !

L’homme l’attendait déjà dans le couloir. Il était élégant et sa stature était quelque peu impressionnante. Elle attrapa son bras comme la coutume le demandait et tous deux se dirigèrent vers la fête. Jessie avait beau adorer les fêtes et danser, elle ne pouvait s’empêcher de se sentir paniquer à l’idée de tenter cette nouvelle expérience. Elle ne savait pas danser ce genre de danse et elle ne connaissait pas son cavalier.

- Tu as déjà fait ça toi ? Je veux dire... un bal comme ça ?
- Non, c'est une première. C'est pas mon registre habituel, mais ça doit pas être si compliqué que ça. Il suffit de copier de ce que les autres font. Et puis au pire un bal c'est fait pour s'amuser alors qu'on ait les talents d'un danseur professionnel ou pas on s'en moque.

Elle l’observa les yeux brillant, un sourire soulagé sur les lèvres :

- T’as raison, on va faire ça !

De nouveau extrêmement motivée par ce qui l’attendait, elle prit soin de prendre un pan de sa robe dans les mains pour descendre le grand escalier. A première vue, la salle du dessous donnait sur un grand hall, elle reconnaissait la porte d’entrée. De chaque côté se tenaient fièrement deux petits sapins. Une mezzanine permettait de voir grâce à un balcon le hall en dessous et de chaque côté de la pièce se tenait un grand escalier qui faisait un virage vers le centre de la pièce. Arrivés en bas, Aster et Jessie purent constater qu’une grande porte à double battants se tenaient sous la mezzanine et lorsqu’ils y pénétrèrent, un immense sapin magnifiquement décoré trônait au milieu de la salle ou valsaient un nombre de couple incalculable. Comme Aster lui avait proposé, les deux se mirent en position et tout en observant les autres aux alentours, ils se mirent à valser. C’était agréable, Jessie avait l’impression que tout le décor autour d’elle était en train de vriller. Elle sentait l’air frais de la danse, mélangé aux odeurs des épices et du sapin de Noël.

- Tu penses que nous allons devoir faire quoi ? Pour l’instant monsieur Drosselmeyer est resté plutôt... discret sur l’aide qu’on doit lui apporter...
- Ca concerne forcément les œufs qui nous ont été envoyés et le fait qu'ils aient une serrure. Peut-être contiennent-ils quelque chose d'important et qu'on doit en trouver les clés afin de l'aider. C'est que des suppositions, mais ce ne serait pas étonnant de toute façon, vu ce qu'on a l'habitude de vivre à Storybrooke...

Maintenant qu’elle y pensait, elle avait laissé son œuf dans sa chambre. Elle espérait que cela ne poserait pas de problème. Mais sa réflexion fut rapidement coupée court par un petit garçon qui ne devait pas avoir plus de 6 ans et qui leur fonça dedans, leur manquant de perdre l’équilibre. Instinctivement, Jessie plaça sa main derrière la tête du garçonnet pour éviter que son cou fasse un faux mouvement. Il y avait aussi beaucoup d’enfants à cette fête et comme  chaque fête de Noël, ils jouaient, couraient partout en riant, heureux de savoir que parfois la vie pouvait être aussi douce que l’innocence.

- Oh pardon monsieur, pardon madame... j’allais chercher ma petite sœur... il y a un jeu dans le labyrinthe, vous venez jouer ? Allez venez jouer !


Sans même leur laisser le temps de se prononcer, l’enfant avait attrapé la main d’Aster et la main de Jessie et les traînait vers les grandes fenêtres de la salle de bal qui étaient entrouvertes et menaient vers le jardin. Avec un petit rire insouciant, Jessie se laissa faire et fut heureuse de constater qu’Aster les suivait également.

   
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Anastasia Romanov
« Men are such babies »

Anastasia Romanov

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Événement #117 : La Valse de l'Hiver  Sans_t20

Événement #117 : La Valse de l'Hiver  210704080453538741

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Événement #117 : La Valse de l'Hiver  _



________________________________________ 2019-12-26, 18:39 « Men are such babies »

Comme sa collègue, Anastasia avait accepté la sucrerie sans trop se faire prier - parce que les bonbons, elle avait toujours adoré cela et que celui-ci avait l'avantage également d'occuper ses mains nerveuses. Et aussi parce qu'ils étaient tous dans la même "galère". Difficile de croire que quelqu'un qui avait probablement aussi d'autres projets pour la veille de Noël ait des intentions malveillantes à son égard, encore plus parce qu'ils ne se connaissaient pas.
Ils ne connaissaient pas non plus le drôle de Drosselmeyer qui ne tarda pas à apparaitre et les inviter à venir avec lui, mais de lui, la rouquine se méfiait encore pour le moment. Ce qui ne l'empêcha pas de le suivre et même de sourire à son trait d'humour sur la Natalité - parce que c'était bien vu. Mais qu'il ne prenne pas cela pour une soudaine déclaration d'amitié ! Anastasia était avant tout venue pour comprendre pourquoi autant de signes la ramenaient aux Romanov et notamment à sa dernière aventure dans leur monde d'origine, se souvenant aussi d'une sublime réception et de partage de chambre.
A l'époque, elle avait été logée avec son fiancé mais cette fois-ci elle partagerait la chambre d'une parfaite inconnue aux allures de Cendrillon. Alors une fois la répartition faite, et tandis que les deux femmes découvraient l'endroit immense où elles allaient parfaitement pouvoir cohabiter, Anastasia lui tendit la main afin de se présenter :
- Moi c'est Anya. Anastasia, en fait, mais Anya ça suffit. Ravie de partager ta chambre. Sauf si tu ronfles, ne put-elle s'empêcher d'ajouter en esquissant rapidement un sourire pour préciser qu'elle plaisantait.
- Ravie de te rencontrer je suis Dewenty Maanteekor et ne t'en fais pas ... Je ne ronfle pas, dit elle avec le sourire. Et je suis ravie de partager cette chambre avec toi.
Anya opina, satisfaite, et songea que les deux femmes allaient sans doute pouvoir cohabiter sereinement. Mais Grande Duchesse ou pas, Anastasia avait et avait toujours eu une sacrée poignée de main, capable même de faire grimacer Dimitri et oublia d'essayer d'être moins ferme au moment de la donner à Dewenty. Elle omit également de demander d'où venait un prénom aussi exotique car c'était probablement grossier.
C'est pourquoi elle préféra, après avoir fait le tour du propriétaire, s'intéresser à la boite qu'on lui avait remise un peu plus tôt. Jessie avait ouvert la sienne devant tout le monde pour dévoiler une pivoine pour elle et son cavalier, aussi, Anastasia s'attendait-elle à trouver sensiblement la même chose.
Et ce fut le cas, sauf que les pivoines d'Aster et Jessie étaient remplacées par des lys et des rubans bleus assortis au nœud dans les cheveux d'Anya ainsi qu'à sa ceinture. Tiens, un autre emblème, marmonna Anastasia en enfilant son bracelet avant de récupérer délicatement la boutonnière pour Axel puis quitter la chambre pour aller à la sienne et lui donner son dû.
- Salut, dit la rouquine quand Axel lui ouvrit, l'air tout heureux de la trouver face à lui. Nous aussi on va être assorti, poursuivit la jeune femme en montrant son poignet puis l'ouvrage dans sa main droite. T'as gagné une boutonnière avec des lys. Attends bouge pas, je vais te la mettre.
Avant de répondre, Axel bomba le torse d'un air important et solennel :
- Je suis content que tu sois la aussi. Et d'être avec toi ! Je veux bien que tu la mette. J'en ai jamais eue. Je saurais être à la hauteur ! s'exclama-t-il.
La jeune femme opina d'un air un peu amusé pendant qu'elle s'affairait à la tâche qui n'était pas bien compliquée.
- Parfait, tu es prêt pour le bal, déclara-t-elle ensuite. Normalement les gens s'y rendent bras dessus bras dessous, précisa la jeune femme en arquant son bras droit pour l'inviter à y passer le sien.
Il ne se fit pas prier mais ajouta :
- Je dois te prévenir que je ne sais pas danser... sauf la ronde. Mais j'apprends vite.
- T'en fais pas, je gère, le rassura la princesse avant qu'eux aussi ne descendent.
La salle de bal était, il fallait bien l'avouer, plutôt impressionnante, mais comme elle a déjà été décrite dans le post d'avant, nous ne nous y attarderons pas. Anastasia et son cavalier prirent place au milieu des autres danseurs et la leçon commença.
- Tu verras, la valse, c'est pas trop compliqué. Tu mets tes mains là et ici, indiqua la jeune femme en plaçant correctement les bras très longs d'Axel, l'une autour de sa taille, l'autre dans sa main. Et ensuite ça se danse en trois temps. Le mieux pour commencer c'est que tu regardes mes pieds. On va y aller doucement et je vais guider la valse. Normalement c'est l'homme qui le fait mais on est presque en 2020 donc je pense qu'on peut s'en foutre. Prêt ?
Axel n'était pas mal à l'aise de tenir sa cavalière par la taille. Il était aussi toujours aussi content mais ce n'était pas réellement une surprise.
- Prêt ! annonça-t-il en réponse à sa question.
Anastasia donna donc l'impulsion au mouvement, disant les temps pour guider son novice de partenaire et coulant de temps en temps un regard vers leurs pieds pour voir s'il s'en sortait.
- C'est pas mal pour un début, l'encouragea-t-elle après un temps.
Axel, pour toute réponse, sourit, ce qui le déconcentra un petit moment. Mais le danse reprit bientôt normalement pendant un temps jusqu'à ce que Drosselmeyer ne vienne les observer :
- Vous êtes très bon professeur ! commenta-t-il en souriant.
- Merci, je crois que mon élève n'a pas à s'en plaindre, en effet.
Anastasia était un peu prise au dépourvu, s'attendant à revoir leur hôte mais pas à ce genre de commentaire. On la disait un peu trop directive et c'était vrai qu'elle continuait de mener en tâchant que les choses, plutôt la danse, soient faites comme elle l'entendait. Mais Axel, qui était une bonne pâte, avait l'air du même avis que le vieil homme.
Et pourtant ils avaient cessé de danser à l'arrivée de leur hôte. Tandis qu'une femme invitait Axel à continuer de valser, non sans quelques compliments sur ses pas de danse (qu'Anya prit également pour elle qui lui avait tout appris) et sa superbe tenue (à laquelle Anastasia par contre ne pouvait rien), dans un rire, Drosselmeyer poursuivit la conversation :
- Je crois bien qu’on vient de vous vouez votre élève... trop bon professeur peut-être ? plaisanta-t-il en lui adressant un clin d'œil.
Anastasia haussa les épaules, songea qu'Axel et son air avenants avaient sans doute fait le gros du boulot, tandis que leur hôte poursuivait :
- Je cherchais justement une apprentie pour m’aider à descendre les jouets, vous voulez bien m’aider ?
- Et ne pas continuer d'enseigner la valse à qui en aurait besoin parmi vos nombreux invités ? Bon, soit, décréta la jeune femme. Je vous suis si vous me dites pourquoi avoir choisi l'œuf de Fabergé pour nous convoquer chez vous.
- Un esprit bien affuté ! commenta-t-il après un nouveau rire. Je ne regrette pas de vous avoir choisie ! Les œufs de Fabergé sont ma carte de fabrique, ce sont les premiers jouets que j’ai mis au point, des casses têtes pour enfants audacieux...
L'homme fit un nouveau clin d’œil et commença à avancer avant de se tourner vers elle qui n'avait pas encore décidé si la réponse lui convenait :
- Vous aviez promis ! l'invita-t-il.
- On va dire que la réponse me satisfait pour le moment, annonça la jeune femme avant de le suivre dans une pièce dépourvue de tout sauf d'un trou et d'un escalier en colimaçon qui descendait vers l'atelier et qu'ils empruntèrent tous les deux.
Une fois dans l'immense atelier de jouets qu'Anya examina en tournant la tête, la jeune femme s'arrangea pour croiser le regard du fabriquant de jouets.
- Eh bien qu'attendons nous ? L'apprentie copie le maître, non ? Alors allez-y, montrez moi. J'apprends vite, vous en faites pas.
- Les cadeaux sont par ici, indiqua le fabriquant en indiquant un endroit de son atelier où était empilés différents paquets.
Puis il montra un passe plat et enchaina :
- Nous allons les remonter par là.
Anastasia commença son devoir tout en marmonnant dans la barbe qu'elle n'avait pas qu'il aurait certainement réussi à faire tout ça lui-même. Ca donnait pas envie d'être réellement apprenti quelque part à moins qu'Anya fasse preuve de mauvaise volonté. Elle devait bien reconnaitre que l'atelier était assez grandiose. De quoi faire rêver n'importe quel enfant et faire renaître celui que les adultes avaient un jour été (ici l'auteure s'est auto félicitée de sa formulation poétique), avec ses jouets aux mécanismes plus ou moins complexes, ses œufs ouverts et autres merveilles du monde enfantin.
On pouvait mettre environ cinq cadeaux en même temps sur le passe plat avant qu'il ne soit plein et doive monter. On entendait alors une cloche qui signalait son arrivée puis le passe plat revenait, vide, et il fallait recommencer. Danser était sans aucun doute plus intéressant que cette tâche répétitive qui faisait se demander à la rouquine si Drosselmeyer avait conscience de demander un truc pareil à une grande duchesse.
Oui, quand Anastasia était agacée, elle pouvait vraiment l'être beaucoup, au point d'avoir des réflexions qu'elle ne se faisait d'ordinaire pas. Mais le ton doux d'un Drosselmeyer légèrement gêné par la façon dont il brisait le silence fit oublier à la jeune femme sa mauvaise tête, curiosité oblige :
- Pardonnez mon impolitesse... mais je me demandais... comment avez vous surmonter la mort de vos parents ? Vous étiez jeune il me semble...
- Il vous semble bien. J'avais huit ans. Mais je sais pas s'il y ait eu quelque chose à surmonter. Si vous vous êtes renseigné, et à mon avis vous l'êtes, vous savez sans doute que je me suis cogné la tête et que je suis devenue amnésique. On n'a pas besoin de surmonter une perte dont on ne se rappelle pas, conclut la jeune femme en continuant de travailler, consciencieuse, mine de rien. Pourquoi ça vous intéresse ? Vous les connaissiez ? en tournant la tête vers Drosselmeyer pour la première fois depuis le début de leur entreprise.
- Ooooh non mais croyez moi que j’aurai aimé les rencontrer..., assura--t-il non sans la gratifier d'un regard triste. Je vous demande uniquement car je connais quelqu’un qui se trouve dans cette situation et je ne sais pas comment lui rendre le sourire... mais enfin... je ne perds pas espoir puisque vous êtes là., ajouta-t-il plus énergique en lui tendant une nouvelle pile de cadeaux.
Anastasia prit le relais tout en gardant un air songeur.
- Evitez de lui dire des trucs du genre "tu verras ça va passer, tu seras moins triste bientôt". Ces conneries, ça marche jamais. Si j'étais vous, j'essayerais de lui montrer que tout n'est pas morne et gris dans le monde, même si elle en a l'impression pour le moment. Et je lui donnerais du temps. Enfin, vous pouvez essayer l'amnésie aussi, mais je déconseille, plaisanta Anastasia en envoyant un nouveau passe plats plein vers l'étage supérieur.
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Dewenty Maanteekor
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Dewenty Maanteekor

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Événement #117 : La Valse de l'Hiver  _



________________________________________ 2019-12-27, 23:02

La Valse de L’hiver Dewenty dans casse noisette !

Dewenty était en train de voir du monde arriver ce qui n’était pas plus mal en soie. Plus on était mieux c’était ? Et s’il n’y avait pas de nourriture les humains pourraient très bien être son repas ? Non, il fallait cesser cette mauvaise habitude ! C’était noël on ne mange pas les humains… les humains sont nos amis… on y touche plus. Un autre humain s’était avancé avec un costume qui lui allait plutôt bien avec un haut de forme, se faire de nouvelle connaissances c’était plutôt bien, Anastasia avait l’air gentille, elle avait une très belle robe au passage et l’autre qui répondait au nom de Jessie avait une robe de couleur rose qui lui allait à ravir. puis, un autre homme avait fait son entrée, un costume d’époque victorienne. En tant que couturière, elle était très friands de certaines époques et celle-ci lui plaisait particulièrement. Et il proposait des sucres d’orges, des bonbons ? Dewenty n’était pas une grande amatrices des friandises, mais pour faire plaisir au dénommé Jean Balthazar, qu’on va appelé JB pour faire plus court. Elle accepta donc le sucre d’orge en le remerciant gentiment. On mens un peu, Dewenty n’est pas une amatrice de sucreries mais, dès que y a le paquet sous ses yeux, elle en mange. Elle n’avait donc pas compter le petit “gentillet” qui s’était affalé sur sa robe… Avec sa bouille de bébé, il lui rappelait Leo, deux vrais gamins s’était charmant. Son lion lui manquait déjà, mais, elle devait se montrer à la hauteur de cette aide, pas qu'elle n’ait riquer les choses pour rien. La jeune femme avait donc finalement fait un câlin à l’humain qui avait l’air ravi.

Elle aurait presque eu envie de l’adopter au manoir en plus de Kot et de Leo. Il aurait son propre petit lit douillet et serait très bien dorloter chez maman. Oui bon, on se doute bien que la jeune femme avait un instinct maternelle assez développés. Enfin bon… L’horloge de SB s’était mise à retentir, heureusement que ce n’était pas les douze coup de minuit Cendrillon se serait retrouvé fine dans sa robe. Une voix l’avait donc mit en déroute, plutôt masculine à l’entendre. Tiens… il avait un cache sur son oeil… qui aurait pu lui crever l’oeil ? un chat ? comme ce pauvre Nick Fury ? Une soeur ? peut-être comme dans Thor ? Trop de mystère à éclaircir en une soirée. Il était tout de même bien présentable cet homme. Et très élégant, on va dire que Dewenty raffolait beaucoup des vêtements qui paraissait ancien, et il fallait l’avouer que ce Drosselmeyer avait bon goût en la matière. Visiblement, il connaissait bien leurs noms à tous, et ce qui était amusant… c’était aussi par ordre d'arrivée qu’il les avaient cité. Et la question fatidique tomba si tous avaient porté leur oeuf. Bien évidemment… la jeune femme avait hâte de savoir ce qu’elle pouvait bien trouver dans son propre oeuf. Donc la solution avait été de l’apporter bien évidemment. Jessie avait tout de même prit la parole pour lui montrer qu’ils les avaient tous. C’est que mine de rien sur les bras, son oeuf commençait à peser. heureusement Monsieur Drosselmeyer les invita à le suivre, parce que près du lac c’était bien mais, le froid était bien présent et ce n’est pas son petit manteau qui allait la réchauffer non plus. Ils se déplacèrent tous en s‘engouffrent dans la forêt, génial sa robe allait prendre un sacré coup… La neige se faisait plus épaisse à mesure qu’ils avançaient. L’odeur des pins étaient néanmoins très agréable en cette période malgré le froid. Une fois sorti de la forêt, on aurait dit que le temps s’était arrêté et qu’on se trouvait à une tout autre époque. Une époque ou Dewenty aurait voulu vivre. Deux voitures les attendaient, on pouvait voir des étoiles dans les yeux de la jeunes femmes, La manticore ne s’était pas laissé prier et elle monta dans la voiture, certes avec un peu de difficultés car sa robe prenait tout de même pas mal de place en étant assise. En regardant au loin dès que la voiture s’était mise à avancer, elle aperçu un manoir. Il était plutôt éblouissant et devait être super bien entretenue en tout cas. Une fois arrivé à la demeure de Drosselmeyer surement. L’homme aida les femmes à descendre, la brune d’ailleurs ne s’était pas laissé prier pour accepter l’aide, elle prit volontier sa main pour descendre de la voiture, tenant donc un pan de sa robe pour ne pas tomber. Elle releva la tête pour regarder chaque détail du manoir.

Encore une fois, ils marchèrent en suivant le maître des lieux docilement, il pourrait très bien les emmener pour tous les tuers et qu’ils finissent en tarte ça aurait été pareil… Pourquoi en tarte ? Parce que les tartes c’est trop bon. Nous marchons gaiement vers notre champs de bataille. Arrivé devant une petite porte et donc loin de l’entrée principal… Vous voyez ils vont finir en tarte. L’homme se remit à ouvrir la bouche pour parler. Quel petites mains ? Il embauchait de la main d’oeuvre au black ? C’était pas bien de sous-exploité ses salariés monsieur. A c’était pour pas gâcher la surprise. Dewenty était friande de surprise c'était toujours amusant. passer par les cuisines… quelle brillante idée ! Ils pouvaient manger dans les bras en secrets ? Non bien sur que non. Et puis l’odeur n’allait pas alterné celle des vêtements ?

Une petite dose d’humour dans tout ca ? Heureusement que Dro plaisantait, la manticore n’aurait jamais voulu dormir dans une étable, il faisait pas assez chaud pour elle. Elle aurait sans doute fait demi tour. Les manticore n’était pas fan du climat froid, de préférence elle se trouvait dans des endroit désertique et chaud. Les traditions ? Ohh… il devait parler du petit Josué… euh.. pardon Jésus. Voilà que cet homme faisait des...Hmmm, il clignait des yeux ? enfin de l’oeil parce que l’autre était caché ! ou alors il faisait un clin d’oeil passé inaperçu. Puis la suite de la visite, ils entrèrent. Les cuisines étaient plutôt agréable un peu comme les meme époque de 1900. C’était charmant, le temps semblait avoir été figé. Les chambres étaient donc au nombres de trois. Super, elle allait partager sa chambre, étrange procédé. Promis elle n'allait pas manger son partenaire. Au vu de ce que disait leur hôte, Dewenty allait donc partager sa chambre avec Anastasia, pour toute réponse elle hocha la tête.

Ils allaient donc rentrée dans leur chambre le temps d’un petit moment avant de regagner la fête, elle était curieuse de voir les lieu en tout cas et elle n’avait pas d’affaire de rechange de toute manière. des cadeaux ? entre cavaliers ? Hmm c’était louche tout de même. est-ce que Leo allait apprécié ? hmm peut-être pas. Mais elle ne voulait pas gâcher la fête des autres, C’était noël et peut-être des choses sans grand importance pour elle. Elle prit donc l’ecrin que lui tendait drosselmeyer et se dirigea dans sa chambre avec Anya, d’ailleurs elle était plutôt sympa cette chambrée, deux lit et un pyjama parfait pour elle. Elle n’allait surement pas rester longtemps ici, juste pour souffler un peu avant d’aller à la fête. Au passage la jeune femme répondant au nom d’Anastasia lui avait adressé la parole.

“ Moi c'est Anya. Anastasia, en fait, mais Anya ça suffit. Ravie de partager ta chambre. Sauf si tu ronfles” dit-elle avec un sourire.

Au moins elle avait le sens de l’humour, Dewenty lui répondit

“Ravie de te rencontrer je suis Dewenty Maanteekor et ne t'en fais pas ... Je ne ronfle pas",dit-elle avec le sourire "Et je suis ravie de partager cette chambre avec toi.”

Elle savait qu’elle allait s'entendre avec Anya, Dewenty n’était pas du genre à se lier tout de suite, mais il fallait avouer que la rousse avait l’air sympa. Reportant son regard sur l’écrin pour passer ses doigts dessus, elle n’avait pas fait attention que deux noms étaient écrit « Dewenty et Jean-Balthazar », Elle allait donc danser avec cet homme au sucre d’orge. Et non pas avec son petit ami. Ce n’était qu’une danse, personne n’allait en mourir. La jeune femme connaissait presque toutes les danses, même si elle n’était pas très fan de danser, surtout avec des totales inconnus. En ouvrant son écrin, elle avait remarqué des fleurs différentes des autres, pas une pivoine, ni même un Lys, mais des orchidée de couleur blanc. Un bracelet et une boutonnière. Elle avait donc mit son bracelet d’orchidée blanc assorti à sa robe pour le coup.

La jeune femme s’était donc dirigé vers la chambre de son cavalier pour ainsi lui mettre la boutonnière en place.

“Je me permet de la placer moi même” dit-elle simplement, une fois en place, elle pouvait être plus calme.
“Pas de soucis. Je te laisse faire.” avait-il dit en se laissant faire avec un sourire charmeur malgré lui, que Dew n’avait pas vraiment remarqué, trop prise par son activité. Se permettant de l’accrocher elle même. légèrement maniaque sur les bords et surtout sur la symétrie.

"voilà c'est bien comme ça... Tu porte très bien l'orchidée" dit elle en souriant "Jean-balthazar c'est ça ?"

Il esquisse un sourire amusé.

"Merci. Et oui c'est ça mais appelle moi JB. C'est plus simple." avait-il dit lui adressant un clin d’oeil complice, pas le même effet que monsieur Drosselmeyer puisque JB avait ses deux yeux. "Et toi c'est Dewenty, donc ? C'est joli. Mieux que Jean-Balthazar en tout cas."

Il éclate de rire et lui tend son bras pour l'emmener jusqu'à la salle de bal. Elle hésita puis lui prit le bras et s’était donc dirigé en compagnie de JB, elle le faisait pour cette mission, peut-être qu’elle allait avoir un nouvel ami, il avait l’air plutôt gentil pour un humain.

"JB oui.. plus simple, je te remercie mais c'est très joli ton prénom.. c'est original et j'apprécie l'originalité"

"mouai si on veut."avait-il lâché en haussant un sourcil et en marmonnant.

"tu devrais être fière de ton prénom c'est ce qui te différencie des autres JB"

C’est donc à deux qu’ils rejoignent le couloir, pour descendre les grands escaliers, en descendant on aurait dit une princesse sur le point de faire son entrée dans le monde. Gardant un sourire sur les lèvres, parce que bon, elle n’allait pas faire la tête non plus. Arriver en bas des marches. JB incline légèrement le buste tel un gentleman, Dewenty était plutôt amusé par sa façon de faire. La manticore souffla un bon coup avant d’accepter sa requête. Prenant sa main et posant l’autre sur son bras. Gardant une distance entre leur corps néanmoins. Elle savait parfaitement danser donc une valse ne serait pas bien difficile. Et visiblement cet homme en connaissait les pas aussi. C’est donc au rythme de la musique qu’ils s’étaient élancé sur la piste de danse avec les autres cavaliers. Une manticore qui s’était donc prise au jeu. Suivant les pas de son cavalier au même rythme. Cela faisait un moment qu’elle n’avait pas danser, ce n’était pas si désagréable finalement et JB était un bon cavalier mais, son regard s’était donc poser sur une fille non loin d’une horloge. Elle continuait de suivre les pas de son cavalier sans vraiment la quitter des yeux. Elle se demandait pour qu’elle raison elle ne ne quittait pas cette horloge des yeux. Elle était plutôt étrange. L’horloge ne fonctionnait pas ? cette horloge était d’ailleurs bien jolie, elle ferait une décoration parfaite pour son salon…

La tête de la petite fille était levé vers le cadran et elle ne bougeait pas d’un iota comme hypnotiser. elle entraînait donc JB en direction de cette petite, finissant pas lui lâcher la main pour parler a cette enfant, Jb se tenait pas loin d’elles.

"Bonsoir, petite, est-ce que vous allez bien ? Cela fait un petit moment que je t'observe et tu reste figée sur cette horloge..."

Tournant la tête vers elle, incrédule et cligner des yeux avant de regarder sa robe et lui dire avec les yeux qui brille « t’es une princesse ? » Une princesse ? qui elle ? Hmm autant faire rêver la petite avec un petit sourire elle hocha la tête.

"oui je suis une princesse mais, toi aussi tu dois l'être pour être aussi mignonne"

Sur cela, la petite fille rit doucement pour lui dire finalement « non moi je suis pas une princesse, je suis une petite fille. J’attends les bonhommes ! » elle va pointer du doigt l’horloge

“Les bonhommes ? quels bonhommes” suivant son doigt du regard “Ohhh… ceux de l’horloge”

La petite fille hocha la tête et lui indiqua de se taire en mettant son doigt devant sa bouche pour lui murmurer un “regarde” Dewenty relevant la tête vers l’horloge, elle allait bientôt afficher une heure pile. L’horloge retentit, et elle pouvait voir les personnages s’animer. des petits personnages sortis donc un soldat habillé en rouge, un ange de noël, un lutin et le père noël... C’était tellement adorable… Elle appréciait vraiment, mais au milieu de tout ça… une clef ! de couleur or qui pourrait très bien être assorti avec leur oeuf ! En une fraction de seconde, la jeune femme avait réfléchi pour elle s’était mort, elle était beaucoup trop petite 1m60… L’horloge était à 1m80… Sans même le temps de réfléchir elle avait prit la main de JB en lui indiquant rapidement la clef. C’était pas plus simple de demander au grand de prendre la clef ? Non, elle voulait y arriver par elle même avec un trépied pour être plus grande.

“JB fais moi la courte échelle pour la récupérer” dit-elle, se dernier regarda la clef et lui proposa finalement.
"Tu préfères pas que je l'attrape pour toi ?" dit-il, Dewenty secoua la tête de gauche à droite, elle désirait le faire elle même.
"noooonnnn je tiens à l'attraper moi même ... "
"Euh... bon... Ok." dit-il en la saisissant par la taille et la soulever pour qu'elle puisse attraper la clé.

Elle essayait de récupérer la clef avant qu’elle ne disparaître et qu’ils doivent attendre une heure de plus. Sa fine main se faufilait malgrès les rouages pour ne pas abimer non plus les personnages et en faisant attention le temps défilaient ! Au dernier moment la jeune femme réussit à attraper la clef se piquant tout de même au passage la main avec le soldat.

“aie !, hmm je l’ai tu peux me faire descendre” dit-elle en faisant attention de ne pas tomber non plus. “J’ai réussi de justesse à avoir une clef !” Une belle clé en or, extrêmement ouvragée ! Elle est magnifique. La redescendant finalement, on se serait presque cru dans une scène du roi lion… mais pas pareil. En observant la clef que Dew tenait dans sa main.

“Elle sert à quoi ?”
"aucune idée ... Peut être à l'un des œufs...? Ou une porte ?"
"Ah oui. On peut aller essayer sur nos oeufs alors ! T'as le tien ?"
"non je l'ai laissée dans ma chambre..."
"On y retourne alors ?"
“Oui, on va voir si ça fonctionne”

A ce moment la petite fille c’était de nouveau manifesté avec tout ça… Dewenty l’avait momentanément oublié.

“Oooooh une clé !” dit-elle en tapant dans les mains gaiement et heureuse. “Monsieur Drosselmeyer adore faire des jeux de pistes chez lui, il y a toujours des trésors à découvrir”

la jeune femme tilta au mot trésor c'était plutôt intéressant, elle garde l’idée dans sa tête, remercia la petite fille pour cette information et reporta son attention sur JB pour lui dire qu’ils pouvaient aller récupérer les oeufs pour voir si la clef pouvait les ouvrir ou non...

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