« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Qu’est que c’était que ce merdier ? C’était la question qui passait quasiment en boucle dans la tête d’Aster. Non seulement, on les avait emprisonné dans des cages, mais en plus on leur demandait manifestement de se donner en spectacle. Il y avait pas marqué « artiste de foire » sur son front. Et pour être tout a fait honnête, il n’avait positivement AUCUNE idée ce qu’il pourrait bien faire. Il n’était pas spécialement connus pour pousser la chansonnette, la danse c’était pas spécialement son truc non plus, et il n’avait clairement pas les talents de conteur d’Olaf, ça c’était clairement plus Nyx qui adorait raconteur leur histoire inlassablement aux enfants. Lui, il était le Lapin de Pâques, le Gardien de l’espoir. Il faisait très bien le chocolat, mais en toute franchise il était moyennement convaincu qu’il puisse en faire là tout de suite. Aussi, son seul « espoir » résidait-il en son œuf, peut-être trouverait-il à l’intérieur quelque chose lui permettant de l’aider. C’est ce moment là, que les gardes décidèrent d’emmener JB hors de sa cage, c’était apparemment son moment dans la « fausse aux lions. »
« C’est quoi ça ? » Demanda un garde en désignant le sceptre dans la main du jeune homme
- Pour le spectacle évidemment. Répondit Aster, comme si c’était l’évidence même et que les gardes étaient juste trop bête pour l’avoir compris.
Une fois le cortège partis, Aster enfonça la clé dans son œuf et tenta de la tourner sans grand succès. C’était la bonne, il le sentait mais quelque chose faisait barrage. Et après avoir tenté de forcer comme un bourrin, il décida d’examiner l’oeuf voir s’il y a pas un truc qui bloquait de l’extérieur
« Tu es sure que c’est la bonne clé ? » Lui demanda une petite voix
Relevant la tête, il croisa le regard de Mary qui s’avançait rapidement vers lui. Des soldats semblaient l’avoir amené pour sa partie du spectacle. Et apparemment, ils s’étaient fait plaisir l’affublant d’une robe ultra coloré pleine de rubans et d’horribles froufrous, ce qu’il n’appréciait pas vraiment. Ce n’est pas tant l’agression visuelle qui l’agaçait mais plutôt que l’on fasse subir ça à Mary. Comme si la pauvre n’était déjà pas suffisamment malheureuse comme ça. Ses cheveux étaient bien trop bouclés, on dirait qu’on lui avait forcé à mettre des bigoudis sur la tête avec un flot de couleurs. Sans parler du maquillage, digne d’une youtubeuse make up débutante -il remercierait Anna plus tard pour la comparaison- il ne fit néanmoins aucun commentaire, il voyait bien que la pauvre Mary était déjà morte de honte et il était hors de question d’en rajouter.
« Apparemment on passe ensemble... »
Son ton sonnait plus comme une excuse qu’autre chose, et il préféra dans un premier temps revenir à la question qu’elle lui avait posé :
- Ça a l'air, En tout cas je sens que c'est elle mais il y a comme un truc qui fait blocage et impossible de savoir ce que c'est.
Il prit un air pensif, réfléchissant à ce qui pouvait bien empêcher son œuf de s’ouvrir
- J'tavoue que c'est plutôt à moi de m'excuser sur le coup. J'suis pas spécialement doué dans les domaines artistiques, sauf si ça concerne Pâques ou le chocolat. J'ai bien peur que tu te traîne un boulet.
Il pouvait faire preuve d’un véritable esprit créatif pour réaliser ce qu’il vendait dans sa boutique ou bien lorsqu’il s’agissait d’organiser la grande chasse à l’oeuf de Pâques. Événement qu’il organisait tous les ans à l’aide de bénévole depuis que la malédiction avait été levée, mais passer ça, il avait pas franchement fait l’école du cirque ni même envisagé de se lancer dans la chanson ou de prendre des cours de danse.
« Tu veux que j’essaie ? » proposa gentiment Mary « je suis sûre que tu es meilleur en plein d’autres chose que juste Pâques et le chocolat... tu es gentil par exemple... »
Elle lui sourit, mais perdit bien vite ce sourire d’une lèvre tremblante avant de continuer
« Toi au moins tu ressembles pas à un œuf de Pâques... »
- Ça ne coûte rien d'essayer et puis en plus, t'es sûrement plus délicate que moi. C'est p'tetre ça le problème, j'suis trop brutale.
Il l’observa quelques instants, réfléchissant à la meilleur manière de faire revenir son sourire et reprit :
- Hé, c'est très jolie un œuf de Pâques et j'en sais quelque chose. T'y es pour rien si ceux chargés des finitions ont autant de bon goût que les costumiers d'un groupe des années 70. J'suis sûr qu'avec quelques retouches tu seras le plus jolie œuf de Pâques qu'on ait jamais vue
Mary tenta à son tour d’ouvrir l’oeuf sans plus de succès que lui, mais apparemment son commentaire avait fait mouche puisqu’elle regagna un peu son sourire qui se fana à nouveau quelques instants plus tard alors qu’elle semblait au bord des larmes :
« T’es gentil... » un larme coula sur sa joue. « Je veux pas y aller... j’ai trop peur... »
- Tu sais, c'est normal d'avoir peur surtout dans ces moments là. Mais tu n'es pas toute seule j'suis là. Même si on arrive pas à ouvrir ce foutu oeuf on trouvera bien une solution. Tout ce qu'il faut c'est garder l'espoir.
Elle le regarda comme si elle voulait croire à ce qu’il disait mais que c’était bien trop bizarre pour elle. D’un coup ses yeux s’agrandirent de terreur et Aster remarqua quatre soldats de plombs qui se dirigeaient vers eux. Deux s’emparèrent de Mary, alors que les deux autres le sortirent de la cage et l’emmenèrent sur scène. Ils arrivèrent au centre du chapiteau qui était noir, totalement noir jusqu’à ce que brusquement une lumière ne s’allume sur eux. Après un silence, il entendit des chuchotements. D’abord, indistincts et puis finalement suffisament fort pour qu’il comprenne ce qu’il se disait :
« Mon dieu comme elle est mal habillée... et tu as vu ses cheveux ! Pourquoi se maquiller autant, qu’est-ce qu’elle a à cacher ? »
Le brouhaha s’amplifia de plus en plus et bientôt les moqueries laissèrent place à des rires cruels. Lui faisant crisper sa mâchoire alors que Mary se sentait de plus en plus mal à l’aise et qu’une espèce d’aura se faisait de plus en plus visible au niveau de Mhysa. Comme si plus Mary se sentait mal et plus il gagnait en puissance. Mais le harcèlement ne s’arrêta pas, les moqueries et les rires ne suffirent plus, voilà qu’ils jetaient de la nourriture sur la jeune fille comme si elle n’était rien de plus qu’un simple animal de foire. La petite fondit en larme au point de tomber à genoux aux proies aux démons alors que Mhysa ne cessait de devenir plus fort. Déjà qu’Aster était de méchante humeur, cela n’arrangea en rien cette dernière bien au contraire, il bouillonnait d’une rage mal contenue :
- Ça vous amuse ? Aboya-t-il à qui voulait bien l’attendre. Bien sur que ça vous amuse suis-je bête, c'est que les gens comme vous adore : se repaître de la souffrance des autres. Mais vous voulez que je vous dise, vous êtes juste une belle bande de lâche. Vous préférez vous en prendre à elle, parce que c'est ce qu'il y a de plus facile. C'est vrai : elle est déjà terrorisé et au bord des larmes, alors pourquoi ne pas en rajouter encore un peu plus en l'humiliant. Mais vous savez quoi, Si vous faites tout ça, c'est qu'au fond vous avez peur !
Il se mit à genoux aux côtés de Mary afin de la soutenir du mieux qu’il pouvait et reprit d’un ton radoucit à son encontre :
- Mary, ne les laisse pas faire. C'est justement ça qu'ils cherchent, à te mettre au plus bas mais tu vaut cent fois mieux qu'eux. Contrairement à ce que cet affreux rongeur a dit être adulte, ne veut pas forcément dire que le monde devient entièrement gris, c'est faux.
Elle continua de pleurer et de renifler :
« Mais je veux bien faire... je veux pas être un monstre, être différente ... »
- Mary, tu n'es pas un monstre. Le seul monstre que je vois ici moi, c'est le roi Mhysa. Tu sais comment ça s'appelle lorsqu'une personne comme lui décide de ce qui est mieux pour les autres sans que les autres en question n'ait leur mot à dire ? Une dictature. On peut être adulte, et pour autant rester quelqu'un de joyeux. Je suis un adulte, et je crois encore à l'espoir en la joie, l'émerveillement et toutes ces choses que Mhysa rejette.
Il entendit une nouvelle voix, plus âgée appartenant vraisemblablement à une femme :
« Tu as dit que tu étais un adulte... pas un lapin... »
Il vit son œuf rouler vers lui, et la scène autour de lui fût comme figé. Mary était toujours dans la même position parterre et la foule autour de lui ne bougeait ni ne pipait mot. Attrapant l’objet dans ses mains, il remarqua que la clé était à quelques pas de lui, dans le sable de la piste. Il la prit, et l’enfonça dans la serrure afin de vérifier si cette fois-ci ça allait marcher ou non. Et effectivement, avant même qu’il n’ai tourné la clé, sur la tranche de l’oeuf un message apparût :
« Ceci n’est pas un œuf. »
- Qu'est que tu es alors ? Marmonna-t-il pour lui même, curieux tout en tournant la clé
L’oeuf s’ouvrit, et laissa apparaître un petit cadre semblant renfermer un miroir, en tout cas ça y ressemblait même si il ne reflétait que du flou pour le moment, il n’y avait qu’un message :
« Et ceci n’est pas un lapin »
Il tourna un petit mécanisme sur le côté, et un reflet apparût, son reflet mais le reflet de celui qu’il était dans le monde des contes. Non, son reflet de celui qu’il était à Storybrooke. Un autre que lui, n’aurait probablement pas comprit ce que cela voulait dire. Et trouverait très certainement l’intérieur complètement naze et sans aucune utilité. Mais lui, il comprenait parce que ce n’était pas d’un objet particulier dont il avait eu besoin, mais simplement d’apprendre une leçon sur lui même : il n’avait pas nécessairement besoin d’être E. Aster Bunnymund, le Pooka* unique représentant de son espèce, le Lapin de Pâques et Gardien de l’Espoir. Il pouvait aussi être « juste » Aster, il se battait et défendait Mary parce que ça allait avec ses principes à lui en tant que personne, pas juste en tant qu’un des Gardiens de l’Enfance.
- C'est vrai, je ne suis pas définit que par une seule chose, d'ailleurs personne n'est définit que par une seule chose, on est ce que l'on choisit d'être
Et brusquement, tout sembla s’accélérer comme si il revenait à la réalité, dans la foule il aperçut une vieille sorcière lui faire un signe de tête comme pour lui dire qu’il avait compris. Mary à ses côtés était toujours en pleur alors que l’espèce de vermine répondant au nom de Mhysa devenait toujours plus fort et qu’une grosse boîte à musique arrivait avec Jessie et le Casse Noisette
« Aaaah les amis, ça va être l’heure de la fin ! »
Jessie tenta de lui hurler quelque chose mais avec tout le brouhaha environnant il avait du mal à comprendre :
- Quoi ? Jessie, parle plus fort j'entends rien ! Tenta-t-il en haussant la voix
Elle lui mima quelque chose en articulant et il comprit ce qu’elle avait tenté de lui dire jusqu’ici : Mary est toujours la reine, cette fameuse reine dont Quenotte entre autre espérait tellement le retour
- Mary, c'est toujours toi la reine et il y a encore des gens qui espèrent ton retour, pour les libérer de l'emprise de Mhysa. Quenotte, par exemple elle n'est pas heureuse et ne le sera jamais vraiment si Mhysa continue de régner, elle ne pourra jamais être réellement elle-même.
Jessie s’agitait derrière sans qu’il ne comprenne très bien pourquoi, et Mary ne semblait malheureusement toujours pas convaincu par ses paroles :
« Mais... je peux pas... »
« Bien sûr qu’elle ne peut pas... elle ne peut pas se battre contre moi... elle ne peut pas se battre... contre elle. » Intervint Mhysa avec un sourire diabolique.
Et d’une manière ou d’une autre, Aster se promit que cette espèce de rat, il allait le lui faire bouffer son sourire à la con.
*C’est le nom de son espèce BTW pour la majorité ne connaissant pas les bouquins ayant donné « vie » au film les 5 légendes:adios :
Jessie James
« Jessie never gives up, Jessie finds a way! »
Elle va être sympa cette mairie, j'le sens bien... On va s'entendre copains comme cochons...
Edition Août-Septembre 2020
| Conte : Toy Story | Dans le monde des contes, je suis : : Jessie, l'écuyère
Jessie annonçait cela avait tellement de désinvolture. On sentait bien que c'était un jouet de base car elle en avait vraiment l'âme - comme l'avait prouvé son discours qui avait de quoi faire verser une petite larme d'émotion, ce que bien sûr Anastasia s'était refusée à faire. L'autre rouquine ayant bien envie de rentrer chez elle, elle était cependant prête à jouer si c'était pour la bonne cause et vu les circonstances, ça l'était. Mais on ne pouvait pas dire qu'Anastasia était la meilleure inventrice de jeux, alors elle s'en remit à celle qui devait s'y connaitre le mieux : - Rappelles moi les règles de "s'amuser pour pas mourir" je les ai plus bien en tête ? demanda-t-elle, vaguement amusée par sa propre question, sans doute parce que le danger de mort n'était pas imminent. - Qu’est ce qui t’amuse , toi, Anya ? répondit Jessie en souriant. Tout ce qui te rend joyeuse nous aidera à pas mourir ! On est dans le royaume de l’amusement dooonc... déjà ça serait bien de redonner à ce cirque une magie bien moins morbide t’en penses quoi ? C'était vrai que question agréabilité au regard, le décor aurait pu être amélioré. Les tenus aussi, si on y réfléchissait un peu. C'était comme visiter le palais impérial de son enfance avant cette drôle de danse tout droit venue des fêtes impériales passées qui avait redonné, seulement de façon temporaire, un peu de vie et de couleur à l'endroit qui avait vu Anastasia grandir. Et c'était la seule chose à laquelle elle pouvait penser, n'ayant que de rares souvenirs de ce que c'était que jouer quand elle était enfant. On ne joue pas réellement dans les orphelinats russes. Par chance, Abigaëlle ne connaitrait pas cela et comme la petite fille aimait beaucoup les princesses, il était sans doute temps de demander que l'assistance soit parée de jolis costumes : robes immenses et colorées pour les dames et costumes trois pièces pour les messieurs. - Mary, j'y connais vraiment rien en mode mais je crois que le concept de "tout le monde s'habille pareil tout le temps" c'est démodé depuis 1934. Tu penses pas pouvoir faire quelque chose ? Je verrais bien de jolies robes de princesse, des costumes très classes pour les hommes, de la couleur, de la matière, de... l'unicité ! conclut Anya avec un lueur espiègle dans le regard. C'était qu'elle se prenait au jeu, manifestement. - Euuuh ok on fait ça ! répondit Mary un peu perplexe. Elle ferma les yeux et on entendit rapidement un oh d'admiration qui émanait de l'assistance. Jessie tapa dans le dos d'Anya avec autant de ménagement que si les rôles étaient inversés : - Ca c’est du bon boulot ! s'écria-t-elle. Anastasia aurait adoré s'en vanter, expliquer le pourquoi du comment de son acte mais il y avait des lions qui approchaient et l'invitaient à revoir rapidement ses priorités en faisant claquer sa mâchoire un peu trop près d'elles. Heureusement que Jessie avait eu des réflexes pour la faire reculer. - Euuuh un truc pour le lion Mary ? l'encouragea-t-elle. - Mais quoi ? paniqua la jeune fille. - Je sais pas, tu peux pas essayer de les transformer en chatons tout mignons ? Et très bébés pour que s'ils essayent de mordre ça fasse pas mal du tout ? suggéra Anastasia en donnant vraiment la première idée qui lui passait par la tête. C'était sans doute débile mais là, tout de suite, elle n'avait pas mieux. - Eeeuh oui d’accord !! accepta pourtant Mary. Elle s'exécuta et l'un des anciens lions menaçant se jeta dans les bras d'Anastasia pour... lui faire un câlin. Anastasia répondit favorablement à son envie soudaine de douceur (car c'était bien plus avenant que deux minutes auparavant et tout le monde adore les chatons) mais le relâcha bientôt en entendant l'appelle du Casse-Noisette : - Quelqu’un pour m’aider ? - Ca vient ! lui répondit Anya en s'élançant vers lui. Le Casse-Noisette était dans sa jolie boite qui lui collait à la peau. Façon de parler. - Mary, à tout hasard, tu ne peux pas souhaiter qu'il ne soit plus collé ? demanda la poupée russe. Ou qu'il y ait un mécanisme que je puisse actionner pour le libérer ? En se retournant, Anastasia se demanda si Mary arrivait à l'entendre. Mais au mot "mécanisme" Casse Noisette s'éveilla et retint toute l'attention de la rouquine : - Oui il y en a un ! Je n’y ai pas songé au moment où votre amie était avec moi car aucun de nous ne pouvait l’actionner mais vous oui ! Regardez donc à l’arrière de la boîte il doit y avoir un petit bouton caché qui vous permettra de me déloger ! Anastasia ne perdit pas un moment pour contourner la boite et chercher le mécanisme. Par chance, elle avait déjà possédé ce genre d'objets qui lui était familier et elle savait à quels endroits il était probable de le trouver. Et elle le trouva, un petit bouton qui, quand elle le poussa, fit entendre un petit déclic qui permit à leur allié de se libérer. Il sauta hors de la boîte pour revenir vers elle : - Il faut qu’on sorte d’ici ! Et je crois qu’on va avoir de l’aide, indiqua-t-il. Les gardiens des quatre royaumes arrivaient effectivement pour leur prêter main forte, notamment la Mère Gingembre avec un fouet à la main appelait les clowns matriochka à les rejoindre. De son côté Mysha semblait affaibli mais toujours bien entouré de ses soldats de plomb ! - Il faut les rejoindre et vite ! Plus facile à dire qu'à faire. Entre les soldats de plomb et l'armée de Mère Gingembre, il commençait à y avoir un vrai bain de foule. Et si justement c'était ça leur avantage ? Anastasia attrapa la main de Casse-Noisette et ils se frayèrent un chemin dans la foule, essayant se faire discrets dans la pagaille sans perdre leur objectif de vue. Mais une fois atteint il fallait continuer à se battre pour améliorer le monde de Mary et sa vision des choses était-elle qu'ils avaient beaucoup de pain sur la planche ! Anastasia ne perdait pas espoir, surtout maintenant qu'ils étaient aussi nombreux. Mais la rouquine fut quand même bien contente de voir des chevaux à bascule descendre du ciel. Dans n'importe quelles autres circonstances, Anastasia se serait posé des questions sur sa santé mentale, mais pas ici et maintenant, pas avec Mary sur l'un d'eux qui leur criait : - Montez ! On s’en va ! - Je dis pas non, répondit Anya en montant sur l'un des chevaux à bascule. Comme il y en avait moitié moins que de personnes en demande, la rouquine se retrouva en compagnie du Lapin de Pâques, songeant qu'Abigaëlle aurait adoré cette image. -Au fait, d'où ça sort, les chevaux de bois qui volent ? reprit la jeune femme en recroisant le regard de Mary. - Ben, c'est moi qui les ai créés ! répondit Mary. Anastasia sourit. - Très beau travail. On dirait que tu y prends goût ! Mary sourit timidement et Anya lui rendit son sourire avec un soupçon d'encouragement en plus. - Merci... oui... j’essaye de m’inspirer de vous... C'était pas tous les jours qu'Anya apprenait qu'elle inspirait quelqu'un. Dommage que Dimitri n'allait pas l'entendre. - Bah continue dans ce cas, ça a l'air de marcher. Et si après tout ça on est pas mort, tu pourras imaginer comment on rentre chez nous, songea la jeune femme.
Jean-Balthazar Trapp
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*Laisse moi faire quelque chose pour toi pour une fois...*
*bug...*
| Conte : L'étrange Noël de Monsieur Jack et les légendes urbaines | Dans le monde des contes, je suis : : Le fils du Père Fouettard
C’est la veille de Noël. Un temps de mystères, d’attente, qui sait ce qui pourrait arriver ?
Les chevaux de bois sortirent comme de nulle part et Marie nous invita à monter sur leurs dos. Je me retrouvais à chevaucher l'un d'eux, Jessie dans mon dos, enserrant ma taille et hurlant dans mes oreilles.
"Youhouuuuu c’est trop cool ! T’as géré à fond Marie !"
J'allais finir sourd avant l'heure si elle continuait... J'esquissais néanmoins un sourire, grisé par ma chevauchée. J'avisais Axel et Dewenty sur un cheval et Marie et le Casse-Noisette sur un autre. Les chevaux prirent de la hauteur et nous sortîmes du chapiteau, alors que nous quittions le monde de l'amusement, je pus voir la couleur se répandre partout autour de nous, rendant ses couleurs à ce monde. Le carrousel se remit en marche, le cirque retrouva sa joie de vivre et la Mère Gingembre, en contrebas nous fit un signe de remerciement avant de reprendre son monde en main. Ses vêtements ayant retrouvés leurs couleurs eux aussi. Je pus entendre les rires de joie de Marie et ils me redonnèrent le sourire, nous étions venus pour cela après tout. Mais la joie fut de courte durée, d'énormes chauves-souris percèrent la toile du chapiteau et nous foncèrent dessus. Elles étaient chevauchées par des soldats souris, des soldats de plombs et le roi des souris lui-même qui semblait très très très en colère. Jessie me hurla d'ailleurs à nouveau dans l'oreille.
"Faut les semer !!"
Je hochais la tête et d'un serrement de cuisse et d'un mouvement de hanche, je fis accélérer mon cheval tout en lui faisant faire des loopings dans les airs pour tenter de perdre nos assaillants. Jessie se serra plus fort contre moi pour ne pas tomber mais elle était morte de rire, clairement amusé par nos cabrioles aériennes.
"Fonce là dessous !!"
Elle me désigna les énormes sapins qui délimitaient la frontière avec le pays des flocons de neige. Je fonçais donc sous les sapins, zigzaguant entre les troncs, me servant de leurs tailles pour nous dissimuler aux yeux de nos ennemis. Nous finirent par nous poser, tout le monde était là et heureusement pour nous, les chauves-souris ne nous avaient pas suivis. Nous pouvions enfin souffler. Les chevaux à bascule continuèrent leur chemin au sol et nous menèrent jusqu'au village du royaume des flocons de neige. Mais plus nous approchions et plus un bruit sourd se faisait entendre. C'était inquiétant et j'étais sur mes gardes quand Givre débarqua en courant et tout tremblant.
"Les amis... ils détruisent tout !!"
Ils... Les souris. Nous ne les avions absolument pas semés, ils nous avaient distancés. Et maintenant, ils étaient en train de détruire le royaume de l'hiver. Il était hors de question que je laisse faire ça.
"Mais faut les arrêter ces fils de..."
Je m'arrêtais juste à temps et glissais un regard vers Marie, elle avait encore de chastes oreilles. Pas la peine de hurler des grossièretés devant elle.
"... ces méchants."
Je terminais donc ma phrase in extremis et je courus vers le village en poussant un cri de guerre, mon sceptre droit devant moi. J'allais bouffer de la souris, ils allaient voir s'ils pouvaient s'en prendre à des villageois sans défenses. Mais au moment où j'entrais dans le village, une chauve-souris s'éleva devant moi tenant dans une patte le gardien des flocons de neige. Je serrais la mâchoire de rage en avisant le roi sur le dos de la bestiole, il me lança un regard dédaigneux.
"Si j’étais toi je me calmerai avant de blesser quelqu'un..."
Je lui rendis son regard dédaigneux. Je n'allais clairement pas me laisser dicter ma conduite par un roi de pacotille.
"Tu te crois puissant, méchant et sans pitié. Mais j'en ai connu des plus féroces et des plus affreux que toi dans le monde d'où je viens."
Je me redressais et pris appui sur mon sceptre pour défier un peu plus le roi souris.
"Tu me fais juste pitié en fait. Petite souris usurpatrice qui se prend pour un grand. Mais tu n'es rien. Et tu vas disparaître dans l'oubli."
Je le provoquais clairement, je voulais le pousser à descendre de son perchoir. J'esquissais un sourire narquois avant de me pencher en avant pour prendre de la neige. J'en fis une boule compacte et la jetais sur la chauve-souris dans un grand éclat de rire.
"Bataille de boules de neiiiiiiige."
Je voulais encourager les autres à suivre mon exemple pour contre le roi par de la joie mais la chauve-souris resserra son étreinte sur le gardien et commença à l'étouffer. Givre hurla.
"Papa !"
Le cri de Marie se mêla au sien.
"Non !"
Et dans une condescendance innommable, le roi des souris se sentit obligé d'en rajouter une couche.
"Tu sais que je vais le faire Marie... tu le sais que c’est ce que tu dois voir..."
Marie commença à paniquer et Jessie décida de m'aider en lançant une boule de neige à son tour. La chauve-souris serra alors d'un coup violent le gardien et le lâcha d'un coup. Il s'écrasa mollement au sol alors que le roi des souris et ses sbires s'éloignèrent en volant sur une dernière phrase assassine.
"Un bon traître est un traître mort."
J'allais le buter ce petit bâtard. Pour qui il se prenait ? Je bouillonnais de rage, trop enragé pour réagir tout de suite quand Givre, Marie et Jessie foncèrent droit sur le Gardien. Je m'approchais à mon tour pour constater qu'il ne bougeait plus, il respirait encore un peu difficilement et fixait son fils les yeux mis-clos avec un faible sourire. Je posais une main sur l'épaule de Givre et la serrais doucement.
"Je suis... désolé."
Tout ça... C'était ma faute. Si je n'avais pas provoqué le roi des souris, rien de tout ceci ne se serait produit. Et je m'en voulais énormément. Marie semblait être prise d'un cas de conscience également puisqu'elle fixait le Gardien les lèvres tremblantes.
"Je l’ai tué.. c’est le roi qui a fait ça... j’ai créée le roi... tout est de ma faute."
Givre se mit à pleurer et le gardien prit faiblement la parole.
"Je n’ai jamais été le vrai gardien, pas de ce monde.. j’étais juste TON gardien... jusqu'à ce que tu sois prêt..."
Givre secoua la tête, le visage baigné de larmes.
"Ne pars pas... tu ne peux pas me laisser... je peux rien faire sans toi... j’ai peur de tout !"
Son père rit et toussa dangereusement avant de reprendre la parole d'une voix faible.
"Tu as tellement tort mon fils. La peur fait partie de la vie. Il faut que tu aies peur pour grandir... et tu n’as plus besoin de moi, tu es grand maintenant. Bien mauvais est le parent qui ne t’apprends pas à vivre sans lui..."
Je me sentais tellement impuissant devant cette scène. J'aurais voulu faire quelque chose. Il y avait forcément quelque chose à faire, ce n'était pas fini. Je refusais de le croire. Je tournais alors la tête vers Marie, pris d'une idée soudaine.
"Si j'ai bien tout compris, tu as le pouvoir de le sauver. C'est toi qui a créé ce monde et tout ses habitants. Tu as le pouvoir de le guérir si tu le souhaites. C'est ton royaume. Tu es leur reine. Toi. Et toi seul. Il n'est rien si tu ne lui donnes pas d'importance."
Elle me fixa tristement.
"Je ne peux pas le sauver... il... il doit mourir."
J'écarquillais les yeux de surprise avant de la détailler. Je pouvais sentir la tristesse en elle mais aussi sa détermination et son calme. Elle semblait avoir compris quelque chose qui m'échappait encore. Jessie posa une main sur l'épaule de la jeune fille et me fixa.
"Les gens meurent et on y peut rien. On ne peut pas les sauver dans la vraie vie. On peut juste apprendre à vivre avec leur absence."
Et je compris, je fis le lien. Tout ça... Cette scène... Marie faisait le deuil de ses parents. L'acceptation. Je fermais les yeux et hochais la tête.
"Oui... Je... Oui, tu as raison."
J'inspirais profondément avant d'enserrer l'épaule de Givre en marque de soutient.
"Je ne veux pas que tu sois triste, tu m’entends ? Je veux que tu vives et que tu fasse de ce monde le meilleur de tous les mondes."
Les dernières paroles d'un père à son fils. Et je songeais intérieurement que mon père n'aurait jamais ce genre de mots à mon égard. Je n'étais qu'un faire-valoir, un héritier qui devait perpétuer une tradition dont je ne voulais pas. Givre le corps secoué de sanglot trouva la force de répondre.
"C’est promis papa !"
Le gardien des flocons de neige expira son dernier souffle, son corps s'éleva lentement dans le ciel et Marie enserra Givre dans ses bras. Ils observèrent tous deux le corps être touché par les rayons du soleil et se transformer en flocons de neige qui s'envolèrent au loin avec une brise de vent. Givre tremblait de tout son être, la douleur de la perte d'un être cher, c'était ce que Marie avait vécu et elle venait de faire son deuil, elle venait de l'accepter avec la mort du père de Givre. Elle avait extériorisé en laissant le roi souris agir sans tenter de sauver son gardien. Elle acceptait la mort et son inéluctabilité. Elle grandissait. Et maintenant le nouveau gardien devait se démarquer de son père, faire son propre chemin. Et ce n'était pas facile, je n'avais jamais réussi à me démarquer de l'ombre de mon paternel. Il avait beaucoup trop d'emprise sur moi. Malgré mon départ de l'entreprise familiale, malgré les décisions des derniers mois. Il avait encore cette emprise sur moi, il continuait de me hanter et de me terroriser. Mais je venais de comprendre, je pouvais prendre le chemin que je souhaitais. Je devais vivre ma propre vie. Même si elle ne lui plaisait pas. J'étais en âge et en droit de voler de mes propres ailes. Il était temps. Fier de cette résolution, je m'approchais et le pris dans mes bras pour le réconforter.
"Je suis désolé. C'est difficile. Mais la vie continue. Tu es le nouveau Gardien du royaume de l'hiver. Nous devons lui rendre ses couleurs. Tu as une idée ? Ton père n'aurait pas voulu que tu te morfondes. Il faut continuer à rire, à vivre, à espérer et à aimer. Même si c'est dur."
Je savais parfaitement que c'était plus facile à dire qu'à faire. Le deuil pouvait être long, très long et douloureux. J'avais vécu celui de ma mère, il y avait des milliers d'années de cela mais la douleur était encore parfois très vive. Quoiqu'il arrive, je me souviendrais d'elle toute ma vie et des images me la rappelleraient. Mais avec le temps, la joie remplaçait la peine. La nostalgie et la douceur des bons moments venaient recouvrir la douleur de l'absence. Je fouillais dans mes poches et en sortis les sucres d'orge que j'avais ramassé en arrivant et en tendit à tout le monde.
"Le sucre ça aide parfois. Et les jeux aussi..."
Je fixais la neige avec un sourire malicieux.
"Ça vous tente une bataille de boules de neige ?"
Jessie sembla vouloir m'aider puisqu'elle s'exclama de façon beaucoup trop enthousiaste pour que ce soit totalement honnête.
"OH OUIIIIII"
Et sans crier gare, elle balança une boule glacée sur Givre. La bataille s’entama timidement mais petit à petit je pus voir que le flocon, qui se forçait au début, prenais vraiment du plaisir à la fin. Tellement qu'il eut même une idée.
"Faudrait qu’on crée une machine à boule de neige sur cette place ! Ce sera l’endroit des batailles de boule de neige !! Vous en pensez quoi ?"
Marie hocha la tête visiblement enthousiasmé par l'idée.
"C’est une excellente idée !"
Mais elle ne fit rien pour mettre en place l'idée. Bon... je sautillais donc sur place pour marquer mon enthousiasme à mon tour.
"Oh ouiiiiii une machine à boules de neige et aussi un arbre à sucre d'orge et un carrousel avec des chevaux de bois et une patinoire !!! C'est trop cool le patin à glace !!! Et aussi une chorale de chants de noël et de la luuuuuge. Et des marrons chauuuuuuds."
Marie éclata de rire.
"Je suis presque d’accord pour tout ! Mais les sucreries doivent rester aux sucreries st les caroussel au monde de l’amusement ! Pas de concurrence entre les mondes !"
Mais elle ne fit toujours rien pour mettre les idées en applications. Cela dit, j'étais outré. Comment ça pas de sucres d'orge ? C'était la vie les sucres d'orge, Madame. Et il n'y avait pas de raison pour que seul les sucreries en profite namého !
"Maiiiiiiiiiiis les sucres d'orge c'est pas des sucreries. C'est l'esprit de l'hiver. Et bon... hum sinon... ce qui pourrait être cool aussi c'est des traîneaux et des chiens de traîneaux."
Je fixais la jeune fille avec un grand sourire enthousiaste dans l'attente qu'elle fasse quelque chose mais... toujours rien...
"On se met au boulot alors ?"
Je l'encourageais presque subtilement à bouger et elle hocha la tête avec un grand sourire dans ma direction.
"Et bien on t’attends !"
Je haussais un sourcil perplexe.
"On m'attend ? Moi ?"
Comme si c'était moi qui avait créé ce monde tient... Le sourire de Marie s'agrandit.
"Ce monde est lié à l’esprit de Ded Moroz... c’est à lui de le réinventer ... avec ça."
Elle pointa le sceptre que je tenais dans la main et je le détaillais un sourire béat sur le visage. C'était à moi de jouer alors ? Un immense sourire s'esquissa sur mes lèvres alors que je visualisais exactement ce que je voulais dans ma tête avant de tendre le sceptre devant moi. La machine à boules de neige de matérialisa à côté d'un grand terrain pour délimiter la zone de guerre. Un peu plus loin une immense patinoire apparut et des stands de Bretzel et de marrons chauds. Et l'odeur du chocolat chaud s'éleva également. Des chants de noël se firent entendre en même temps qu'une chorale apparaissait. Des lumières brillaient partout, un kiosque gelé apparut pour les couples amoureux. Ils pourraient danser. Et puis, des rênes se baladaient dans la ville librement. Un traîneau tiré par des chiens nous dépassa à toute vitesse et je riais aux éclats alors que je fis apparaître un immense sapin de noël scintillant. Je fis apparaître une immense étoile de noël à mettre au sommet et la tendit à Dewenty.
"Est-ce que tu voudrais bien la mettre au sommet s'il te plaît ?"
D'un mouvement de mon sceptre, je transformais ses ailes d'ange en ailes de glace qui lui permettrait de voler comme elle le souhaitait. Je lui adressais un immense sourire avant de faire apparaître une montagne et une piste de luge, et des pistes de skis et des boutiques de décorations de noël et des boutiques de jouets en bois. Le village sentait bon l'activité, la joie et noël. Ça sentait l'orange, la cannelle et les marrons chauds. Un air de béatitude extrême s'exprima sur mon visage, j'avais enfin accompli ce que j'avais toujours rêvé de faire. J'étais devenu ce que j'avais toujours rêvé d'être. Mais le rêve touchait à sa fin, tout ça, toutes ses merveilleuses choses étaient gravées à jamais dans mon cœur mais je savais aussi que toutes les bonnes choses avaient une fin. Je gravais mon oeuvre au plus profond de ma mémoire avec la certitude que je ne reviendrais jamais ici. Mais ce n'était pas grave. Ce n'était pas mon monde, j'avais accompli mon devoir. Le royaume des flocons de neige avait retrouvé ses couleurs. Je me dirigeais vers Givre et lui tendis mon sceptre avec un grand sourire.
"Il te revient. Tu es le gardien de ce royaume, prends en soin en mon absence. Soit mon représentant. Fait perdurer l'esprit de Ded Moroz."
Je lui adressais un grand sourire. Même sans sceptre, je savais qui j'étais dans ce monde et je savais où je voulais aller et qui je voulais être. L'avenir s'annonçait radieux et nous allions pouvoir rentrer à la maison bientôt. Lorsque tous les royaumes auraient retrouvés leurs couleurs.
Dewenty Maanteekor
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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Que le spectacle commence...
| Conte : Folklore & Mythes | Dans le monde des contes, je suis : : Manticore
Résumé rapide de l’épisode précédent, Ils avaient donc réussi à rendre l’amusement dans ce royaume Marie était toujours la reine de ce monde, et elle en avait fait la démonstration, en changeant des éléphants en bulles s’était adorable mais, un gaspillage de nourriture, bon certes… la matière ne devait pas être comestible pour l’ange. Ensuite, les tigres et les lions étaient devenu des modèles plus réduits des bébés lions pour certains. Dewenty, avait eu envie d’en récupérer un. Elle l’avait prit dans ses bras.
“Ohhh mon bébé lion, maman prendra soin de toi, on peut le ramener ?” Le bonhomme de sucre répondit "Leo serait jaloux" Tout en pensant que ce petit lionceau était adorable au passage.“Mais non au contraire ça fera notre premier bébé, je suis sur qu’il sera content regarde il a ses yeux.” Olaf était en train de faire un reboot system en comprenant qu'elle connaissait Leo, mettant sa main sur son bras en disant “je sais que les adieux seront déchirant mais il le faut. Tu vas pas le séparer de sa famille.” Dewenty serra le lionceau contre elle et déposa un baiser sur la petite truffe du lionceau “maman t’oubliera jamais” Le reposant au sol, le regardant gambader pour retourner auprès des siens. “Tu as raison Axel… et puis je t’ai toi” Elle lui sourit, ce dernier répondit à son sourire “ moi je suis toujours là tout le temps. Pour des glaces ou des câlins suffit de me chercher je serais la” Olaf avait l’air tout content après ça.
ils avaient donc réussi à sortir du royaume de l’amusement à dos de cheval à bascule c’était pas trop étonnant tout ça ? Bien sur que si et c’était ce qu’on pourrait qualifié de dément ! L’ange s’était donc mit en selle rapidement mettant Olaf devant elle pour ne pas qu’il ne tombe. Elle avait peur que les bras de chocolat noir ne tienne pas la cadence. Ce qui ne l’avait pas empêché de tenir les rennes. Elle n’était pas la conquête pour rien. Tout en regardant les autres elle avait compté 4 chevaux...hmmm… Les quatre cavaliers de l’apocalypse ? Bon cela dit dans le sens inverse, ils allaient redonner la couleur dans les royaumes restant et ils n’étaient pas que quatre. L’amusement était libéré bien qu'il fallait encore résister le roi des souris n’était pas encore battu. Le second royaume à sauver était celui de la glace. Jb avait fait des prouesse avec son grand bâton. c’était impressionnant. Il lui avait demandé d’accrocher l’étoile au sommet “Bien sur ! mais comment ? ” Il lui avait fait un merveilleux cadeau et pour ca elle ne pouvait pas ne pas l’adorer. Il lui avait accordé des ailes de glaces. Et cette fois-ci, elle pouvait les utiliser cette sensation était grisante. “ J’y vais de ce pas ” Les déployant pour prendre son envol et ainsi déposer cette étoile sur ce joli sapin. Le plus beau des cadeaux c’étaient le fait de pouvoir voler, virevoltant dans le ciel. Dewenty fini par redescendre sur terre pour donner un baiser sur la joue de JB en étant sur la pointe des pieds “Merci, infiniment”
Les autres monde avait encore besoin d’eux. Comment y aller ? la question ne se posait même pas pour Dewenty, le peu de temps qu’il lui restait à en profiter même si elle savait qu’elle allait retrouver ses ailes un jour… Elle profita de cet instant pour y aller en volant de ses propres ailes. Chacun remonta sur leur chevaux à bascule. Olaf était donc tout seul sur le cheval blanc à bascule. Elle savourait le vent qui frôlait son visage, quand elle remarqua bien avant tout le monde le désastre. Une fois arrivé au monde des fleurs, Dewenty avait vu que tout était dévasté, les chauves souris étaient donc passé par là elles aussi, les pieds de l’anges touchaient le sol ainsi que ce des chevaux à bascule. Pétoncle arriva en courant dans leur direction “ ooooh mes amis… le roi des souris est devenu complètement fou !” A ses mots elle le pris dans ses bras rapidement, ça lui faisait plaisir qu’il était encore là “Que c’est-il passé ? Pourquoi ?” On pouvait sentir la pointe de tristesse dans le regard de la jeune femme tout était détruit à cause du roi.
Pétoncle avait encore l’air tout bouleversé, pauvre petit… avant de reprendre « il s’est vengé car notre gardien vous a rejoint... toutes fleures sont dévastées ! Il nous a mis au défi de nous soulever mais on a pas osé... on a préféré se laisser écraser » Dewenty s’était reculé, il sourit simplement, ça faisait mal au coeur et s’était presque étrange, on sentait bien qu’ils étaient le fruit de la création de Marie. Pétoncle se tourne rapidement cherchant un peu partout avant de dire finalement. « Je cherche ma sœur, Marguerite mais je ne la trouve pas. Elle est sans doute en train de tenter de sauver les fleurs » L’ange lui répondit avec conviction "Ne t'en fais pas pétoncle ... On va t'aider ... Il ne nous fait pas peur... On va vous protéger mai pour ça on a besoin de vous tous.. à plusieurs on peut faire des miracles" La jeune femme sentait cette atmosphère particulière, son regard se porta sur Marie quelques instants. "Pétoncle on trouvera ta sœur, on va la sauver et les fleurs aussi, Marie... Nous avons besoin de toi tu es la seule qui peut y arriver et être assez puissante. Il te crains et c'est pour ça qu'il réagit ainsi, je peux monter une armée mais c'est toi qui a le pouvoir d'accomplir les choses tu peux le faire ait confiance en toi impose toi, Marguerite compte sur toi et nous sommes la pour t'aider mes ailes te protégerons "
Marie était en train de se tortiller les mains pas très à l’aise avant de dire « euuuh d’accord ... je veux bien essayer d’avoir confiance en moi mais je ne suis pas comme toi... dans le vrai monde tu es une belle femme, forte, comme Anastasia ou Jessie... moi je ne suis qu’une enfant après tout... je suis plus habituée à me taire et respecter les adultes... » Dewenty s’était rapidement approché d’elle se montrant maternelle et chaleureuse. "détrompe toi marie, je n'ai pas toujours été une femme forte, d'ailleurs je ne suis même pas humaine... je suis une manticore une créature chimérique... j'ai dû apprendre à me débrouiller seule, a quelques mois à peine j'ai été capturé par des humains qui n'ont pas été très gentils avec moi, me faisant du mal" Posant doucement sa main sur la joue de marie, s’était une période assez dur de sa vie qui lui avait laissé pas mal de cicatrices sur son corps que seul quelques personnes les ont vu. “ J'ai eu peur, et j'étais seule, j'ai su me libérer pour m'imposer, au fond de moi j'ai puisé cette énergie pour affronter ses humains ils étaient bien plus grand que moi... mais j'ai réussi si tu trouve la force. avec le temps... j'ai appris à faire confiance aux autres et compter sur mes amis, on peut être une dur... mais seule on ne peux pas faire grand chose tu as cette capacité regarde tout ce que tu as pu créer... un monde à toi, que tu peux modeler, tu as cette force Marie je te le garantis"
La jeune Marie sourit petit à petit vraiment émue, ayant les larmes aux yeux et prend Dewenty dans ses bras pour pleurer contre elle. L’ange caressa doucement ses cheveux « merci ! » Pleurant encore quelques secondes puis se reprend très vite en reculant, Dewenty avait remarqué qu’elle allait beaucoup mieux et que le spectacle allait commencer. Marie prit les pans de sa jupe pour les soulever, non elle ne va pas faire du french cancan ! Son pied frappa le sol… Les plantes qui étaient cassés étaient en train de repousser et rajouter de la couleur ! Pendant ce temps que Marie tapait du pied de façon positive, heureusement qu’elle avait pas de talons aiguille parce que ça allait être la merde des petits trous, des petits trous… Bref ! Pendant que Marie faisait son potager Quelques chose se passait d’étrange avec Anya. Le regarde de l’ange avait été interpellé rapidement
“Anya ? ça va ?” Anya avait la boussole dans ses mains. “Demande plutôt à... je sais pas si on peut encore appeler ça une boussole, en fait.” Sur sa phrase elle s’était rapidement approcher pour regarder la boussole sans pour autant parler à l’objet… “Oh... Pourquoi elle réagit comme ça ? ça a commencé quand ?"
“Je sais pas trop, avant que j'y prête attention j'étais un peu occupée par les lions à changer en chat ou le petit concert à improviser.” fini par dire Anya, sur ça Dewenty était en train de réfléchir “Hmm, mais, dès que Marie à taper du pied elle s’est mit à réagir plus ?” “Ouais... peut-être à ce moment-là. Je l'avais pas en mains tout le temps parce que c'est pas très pratique mais j'ai senti un truc qui clochait donc je l'ai sortie. Enfin bon avec le feu de l'action, ça chauffait tout court et partout, dur de s'en rendre compte pile au bon moment.”
Plus elle réfléchissait et elle regardait ce que pouvait bien indiqué cette fameuse aiguille, la réponse était devant elle ... Marie. De fil en aiguille tout était en train de s’éclairer pour elle, cette boussole indiquait simplement les personnes qui avait besoin de se trouver, l’aiguille était en train de chauffer tout en pointant Marie. Elle était en train de faire des étincelles et elle finit par disparaître “Je pense avoir trouvé ce qui cloche chez cette boussole, elle indique les personnes qui doivent avoir besoin de se trouver… Marie ayant pris conscience de cela… la boussole n’a plus raison d’être et…” La boussole laissa place à des figurines -de Anastasia et sa famille- ainsi que le panneau - référence au film Anastasia quand elle devient elle même qui dit “poissonnerie” dans un sens et “St Pétersbourg” de l’autre-
“Attends un peu mais c'est moi ça !” dit Anya, “c'est toi ? et tout ses petits personnage, ils sont si chou un panneau ?” “Oui. Et toute ma famille disparue. Que des roux. Le panneau... c'est une longue histoire. Tu crois qu'on a le temps ?” “Oh je suis désolé...mais vous avez tous des couleurs de cheveux très joli... et je ne crois pas qu'on ai suffisamment le temps... mais crois moi... sorti d'ici on aura cette discussion si... tu veux m'en dire plus sur toi ?” “Pourquoi pas ?” dit-elle en souriant “La version courte, si jamais j'oublie, c'est que le panneau indique le moment où j'ai pris le contrôle de ma destinée. C'est à ça que servent les panneaux, non ?” “je n'y manquerais pas de te le rappeler un jour, effectivement ça indique le chemin à suivre, je suis contente que tu ais pris ce chemin alors.”
Quelques instant plus tard Pétoncle venait avec Marguerite par chance elle allait bien. Dewenty était en train de froncer les sourcils pourquoi d'énormes paniers ? Ils ont été chercher le lionceau pour elle ? Ah non s’était des paniers en osiers avec une poudre plutôt étrange ! De la cock ! Ah nan la cocaïne c’est pas jaune… Dewenty huma le parfum et éternua du pollen ! - Elle aurait été fine si ca aurait été de la cock moi je vous dit…- Marguerite c’est mise à sourire.
« J’étais allée récupérer le pollen... pour éviter que les fleurs meurent ! » Sur ses dirent Pétoncle tend son panier à Dewenty « tu nous aides ? »
Sur ses mots Dewenty hocha la tête rapidement, faire un dernier envole dans les cieux ? Elle ne manquerait cela pour rien au monde. "Ohhhh Bien entendu que je vais vous aider ! je suis aussi rapide que l'éclair, le pollen sera répandu avant de dire ouf” Prenant les paniers, la jeune femme prit son envole ses ailes de glace brillaient avec les rayons de soleil. Elle survol tout le monde des fleurs autant de fois qu’elle le désirait reprenant chaque fois du pollen dans les paniers pour les semer et ainsi les faire de nouveaux pousser. Elle replant aussi des fleurs sur les maisons dans les rues les champs ainsi que sur les habits des habitants leur redonnant leur splendide couleur. Tout se mit à fleurir et récupérer leur couleur. Dewenty était en train de planer dans les airs sentant les odeurs de fleur fraîche le royaume des fleurs étaient de nouveau florissant.
C’est la veille de Noël. Un temps de mystères, d’attente, qui sait ce qui pourrait arriver ?
Dans le monde des fleurs … tout le monde applaudissait et Olaf se jetait des fleurs à lui-même… il n’avait préféré ne pas commenter la mort … et pour dire vrai, quelque chose dans sa tête avait fait un filtre pour ne pas y penser … Ah ça non… il n’allait pas penser à la mort avant de très longuuuuuues années. Il avait dit à Marie que l’on pouvait être adulte et avoir une âme d’enfant … il avait oublié de lui préciser qu’il était peut être l’adulte le moins adulte de la création… et que filtrer ce genre d’information lui était nécessaire … d’ailleurs … il avait filtré pas mal d’information pour le moment …. Parce qu’il ne voulait pas de guerre ou de haine, ou de tristesse, alors il prenait tout une chose à la fois … là … ils étaient acclamés par tout le monde, Pétoncle, qu’il ne connaissait pas non plus, lui faisait des grands au revoir alors que le petit groupe repartit sur les chevaux à bascule ….
Direction …. LE MONDE DES SUCRERIE. N’était-ce pas là où il avait été au tout début ? Pas impossible … il réfléchit alors et se disait que c’était une bonne fin que de finir par le début … sans réfléchir au fait que les autres n’y avait peut être pas encore mis les pieds … après tout … lui n’avait vu que ce monde là et le château avant d’être envoyé dans le cirque …. Mhhh… Cela fait parti des centaines de choses qui sont relégué à « réfléchir plus tard » dans les petits compartiments mentaux de notre bonhomme de neige.
De là-haut… Olaf pouvait voir que le monde vers lequel il se dirigeait …. Etait le seul à être encore triste et terne … foi de l’équipe des super colors men et women, ils allaient faire de cette endroit un lieu trop cool… comme JB dans le monde des glaces ! Ils allaient faire tout pareil encore et POUF plein de couleur ! C’était la décision d’Olaf … Arrivé, Olaf sauta rapidement au sol, en s’étalant en plusieurs morceaux pour se refaire aussi vite …il avait envie de monter à nouveau sur le cheval à bascule pour se jeter encore. C’était marrant.
Il ne le fit pas cependant … car de son regard vif, il remarqua que tout le monde était réfugié dans les maisons…. Tremblant et les regardant depuis certainement un lieu servant de refuge… Ils se réfugiaient de quoi ? Il n’y avait pas un radis dehors … bien qu’Olaf préférait les carottes aux radis… Mais c’était une autre histoire et on n’a pas le temps de l’écouter … Olaf savait que les chauves-souris qui étaient passé par les autres royaumes devaient être venu ici… quand on veut faire le vilain, on le fait jusqu’au bout … BOU les vilains !
Olaf observait les visages présents … ou se cachant, et leur faisait des coucous depuis le bas des maisons… pourquoi ne sortaient-ils pas ? Ce n’était pas grave … si personne ne venait à lui, alors il allait se faire entendre et il allait venir vers les autres. Il se mit à parler très fort.
- Coucou, vous pouvez sortir. Le cache-cache est fini et on a gagné !
Il sautillait tout en parlant ce qui … d’un point de vue extérieur devait être bien différent de ce qu’il s’imaginait… essayait de sautiller et de parler en même temps, tout cela est bien compliqué…. Il vit une petite fille à la fenêtre ! Avec des tresses nouées par des fils en bonbon… la jeune fille ouvrait prudemment la fenêtre, mais Olaf l’avait vu… il entendit même sa voix.
- Ils sont partis ?
A l’intérieur … une voix qu’Olaf reconnu se mit à crier.
- Sucrine, referme cette fenêtre ils doivent encore être là !
C’était la boulangère, pâtissière … ou qu’importe quel était son travail réellement … ce qui comptait c’est que c’était la femme qui l’avait aidé au tout début … lui offrant une chaise pour pouvoir s’assoir et attendre le roi des rats… même si le roi des rats était en faite le méchant … Il s’avère qu’il avait fait ce qu’il avait promis, et Olaf ne pensait pas une seule seconde que la femme ne soit pas honnête. Elle lui avait jamais menti après tout. Olaf arracha sa tête pour la porter à bout de bras vers la fenêtre.
- Moi je suis là !
L’enfant reposa alors une nouvelle fois la question…Oui, lui était là… mais est ce qu’ils étaient partis. Olaf pensait bien qu’elle devait parler des méchantes chauves souris et ne comprenait pas réellement pourquoi elle posait une nouvelle fois la question… la voix de sa mère au loin le poussait à vouloir calmer sa peur … la peur c’était caca pour tout le monde.
- Y a plus personne ! Ne t en fais pas. Je peux avoir un calin !
Bon ce n’était pas réellement vrai … ils étaient tous là … Mais … il n’y avait pas de méchant dans le lot … même Aster n’était pas méchant …juste en manque de câlin … Olaf irait voir pour l’embêter très prochainement. D’abord il demanderait peut être à Anna, parce que s’il ne se trompait pas … l’homme était son patron … Il avait besoin de plus d’information….
Sucrine se mit à regarder le ciel, autant qu’elle le pouvait. Elle n’était pas du tout rassuré … Olaf avait donc raison… elle avait peur de ceux qui les avaient attaqués aussi … Il aurait tant voulu passer le corps par la fenêtre pour la câliner … Alors qu’il regarda aussi le ciel, la fée Dragée arriva.
- Vous êtes là ! Je suis soulagée de vous revoir, on vient de m’annoncer que le roi des souris et ses gardes étaient passés au dessus du royaume ! Comme ils ont détruit les autres, j’ai accouru aussi vite que j’ai pu mais je vois que rien de grave n’est arrivé... je pense que tu l’as terriblement affaibli Marie ! Il n’a même plus la force de se battre...
Bon bah voilà, il n’avait pas eu tord en disant que c’était le roi des souris dont les gens avaient peur … mais il avait peut être oublié de le mentionner à voix haute … Pouf compartiment « c’est trop tard ». Il vit alors la boulangère apparaitre à la fenêtre. Chic Chic, se releva pour faire le fière. Il fit même des coucous avec sa tête remise à sa place. La boulangère elle, inquiète, fit un câlin à Sucrine qui semblait être sa fille.
Olaf se tourna vers la fée Dragée pour lui faire un très grand sourire … après tout, lui ne l’avait jamais rencontré… ni la mère Gimgembre d’ailleurs … lui il ne connaissait réellement de ce monde que Quenotte, et encore personne ne lui avait expliqué cette histoire de souris blanche, et le roi des souris.
- Bonjour. Cela signifie qu'il reste plus qu'à aller faire un câlin au roi pour qu'il soit de meilleures humeurs ?
Il s’approcha de Marie avec un grand sourire. N’était-ce pas évident que tout aller bien se terminer pour tout le monde ?
- Tu as réussi à aider tout le monde. Même la dame là... elle est très gentille tu sais, elle m'a aidé à ne pas m'inquiéter pour Jessie... Mais il faudrait que tu fasses de la magie ici aussi non ?
La boulangère paru gêné alors qu’Olaf parlait sans aucune haine pour quiconque dans sa voix. Lui ne lui en voulait pas… même pas un peu. Se fut la fée Dragée qui la rassura doucement.
- Nous faisons tous des choses que nous regrettons lorsqu’on nous tyrannise
Olaf aurait bien voulu dire que Tyranniser c’était pas gentil, mais il préféra se taire … Se taire ? Pas réellement … mais il avait l’impression qu’il ne devait pas parler en ce moment précis … La Fée Dragée était compréhensive et c’était le mieux pour une fin prospère. Marie dit alors :
- Ouais... il est temps de s’amuser ici aussi ! Toi qui dis toujours qu’on peut garder une âme d’enfant même adulte, tu m’aides ?
Il sourit à Marie en laissant tout le reste en arrière. Il se mit à sauter partout avec des idées pleins la tête pour jouer avec des friandises. On ne joue pas avec la nourriture normalement … mais là comme la neige était mangeable il faisait une exception. Elle fit apparaitre deux grosses sucettes, ultra colorées pour montrer un exemple. Il en prit une et s’approcha de la boulangère qui avait été gêné. Il se cacha le visage derrière la sucette avant de dire.
- Vous venez on s'amuse tous ensemble ? Je vois bien ... plein de couleur ici, et des choses à manger ... Et des bras en chocolat au lait !
Il tendait la sucette et réfléchissait à voix haute… il essayait de comprendre le tout et sourit en repensant à ce qu’avait dit la Fée Dragée. Fallait-il forcer le dire pour que les gens comprennent qu’Olaf était l’inverse de rancunier …. Après tout, il ne serait pas ami avec la plupart des gens si c’étaient le cas.
- Puis, le pardon ça sert à ça. On se pardonne tous et on sourit s'il vous plait, c'est comme ça qu'on gagnera notre happy end... et j'adore les fins heureuses !
Marie éclata de rire alors qu’il était en train de faire des grands gestes encore pour égayer son propos. Elle le prit même dans ses bras alors qu’Olaf en profita tout simplement. La petite fille aussi se mit à rire … et Olaf trouvait que c’était le plus beau son que le monde eut donné à entendre… bien qu’écouter Anya chanter n’était pas mal non plus … La boulangère reprit :
- Je pars mettre la main à la pâte pour vous aider ! - Si vous avez besoin de sucre je suis en sucre.
Cette phrase dit, elle disparu dans sa maison, mais Olaf ne doutait pas un seul instant qu’elle soit en train d’aider à sa manière… La Fée Dragée s’envola pour saupoudrer du sucre glace sur les maisons. Tout le monde avait sa spécialité, ses compétences et ses connaissances… et si Olaf ne savait clairement pas cuire un œuf, alors encore moins faire des gâteaux … il était sur de pouvoir au moins rendre le sourire aux gens …. Il fallait absolument qu’il le dise à Gabriel… qu’il avait réussi… une fois de plus… Sans se vanter bien sur, mais avoir raison ferait du bien à n’importe qui…Marie commença alors à imaginer plein de choses. Olaf cria pendant qu’il récupérait le sucre glace dans son chapeau pour en jeter contre les murs.
- Des pinatas ! Des pinatas ! Tu sais les machins que l’on casse…. Même si je n’aime pas les casser, c’est triste … mais si ce sont des pinatas, des gros lamas tout plein de couleur, et quand tu touches, il crache des bombes de couleur et boom et boom et …
Il continua à énumérer des choses et d’autres… certaines de ses choses se créèrent sous les yeux d’Olaf, d’autres étaient inédit. Des arbres en barbe à papa, des pavés en smarties… Olaf proposait, Marie faisait. C’était la magie de la nourriture magique ! Au fur et à mesure, le monde des sucreries reprenait de la couleur… C’était super, et Olaf ne se privait pas pour rendre la couleur plus vite. Il envoyait encore des bouts de son corps partout. Il toquait aux fenêtres et aux portes pour que les gens sortent. Il chantait des chansons pas logique sur des pavés smarties avec l’air de pirouette cacahuète. Le lieu était presque fini…
Une fontaine en chocolat se construisit par la magie de l’imagination … et devant cette fontaine naquit des tout petits marshmallows qui sautaient dans le chocolat !!! Olaf s’approcha rapidement pour les prendre dans ses bras et en suivre plusieurs qui sautillaient gaiment devant lui. Tout le monde acclamait Marie et leur groupe de jouets…. Il était le seul friandise, mais tant pis. Il était aussi un jouet, il venait de le décréter. Les gens sortaient pour voir, contempler ce nouveau monde. Ils étaient émerveillés devant la couleur. Alors qu’il sautait encore de partout … il se stoppa pour s’approcher de la Fée Dragée… une des caisses mentales de « A réfléchir plus tard » venait de céder sous le poids écrasant de sa culpabilité… dedans se trouvait Deliora et Lullaby… ainsi qu’un roi des souris. Il pencha la tête sur le côté et se mit à frotter son pied sur le sol de manière gêné.
- Dites … vous avez dit que le roi il était faible … ça veut dire qu’il va mourir lui aussi ?
Ouais … parce qu’en réalité, il avait vu la mort du père de Givre … et bon, même s’il ne le connaissait pas du tout … Une mort pour un être aussi doux qu’Olaf était un mort … Et ne lui demandait surtout pas ce qu’il ferait si un de ses amis venait à mourir … parce qu’il ne peut le concevoir ou l’imaginer … si un de ses amis meurt … Non. Pas y penser il avait dit. Posant pour la première fois les yeux sur le visage de la Fée Dragée… il pu y voir une réponse claire… et ça lui plaisait pas des masses…
Code par Hiyorin
Aster Spleaster
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| Conte : Les 5 légendes | Dans le monde des contes, je suis : : Le Lapin de Pâques
Le monde des sucreries était lui aussi sauvé, tout le monde applaudissait, tout le monde était heureux mais il demeurait un point d’ombre au tableau : Le château principal qui lui était d’une couleur rouge terne. La fée Dragée s’approcha de Marie et lui posa la main sur l’épaule :
« il est temps d’affronter tes démons Marie et de redevenir celle que tu es pour nous... »
Plus facile à dire qu’a faire, Marie ne semblait pas rassuré tout d’un coup, se remettant même à douter
- On a tous nos démons Marie, Mais personne n'est seul, toi non plus. On sera là pour t'aider autant qu'on le peut.
Affronter ses démons c’était quelque chose de personnel, et il en savait quelque chose. Ce n’était pas pour rien que lorsqu’ils étaient venus le chercher pour affronter Pitch la toute première fois, il avait dit ne pas être intéressé par leur bataille. Néanmoins, avec un peu d’aide, on pouvait faire des miracles, et de l’aide c’était justement ce qu’il fallait à Marie. Cette dernière déglutie et reprit :
« De toute façon il n’y a pas le choix, n’est-ce pas ? »
Elle s’approcha de son cheval à bascule afin de reprendre la route, tandis-que la Fée Dragée voletait à ses côtés.
« On sera avec toi jusque la toute fin »
Le décollage se fit de nouveau, cette fois-ci direction le château. Le dégradé était flagrant, autour d’eux tout était coloré à l’exception de la forteresse et de son monde. Une fois qu’ils eurent atterrit dans l’enceinte du château, la première chose qui sauta aux yeux d’Aster furent les soldats de plombs gisant inerte au sol. Les portes du château étaient ouvertes, et La Fée Dragée, La Mère Gingembre, Le Gardien des Fleurs et Givre avec la canne de ded moroz étaient également présent, prêt à en découdre avec le Roi Mysha. Cette fois-ci, il fût bien évidemment plus facile d’y entrer et d’accéder dans la salle du trône où se trouvaient en tout cinq trône : un grand, et quatre petits chacun correspondant aux quatres royaumes exactement comme au cirque. Sur le plus grand, qui lui était d’une couleur doré se trouvait le Roi des Souris qui leur adressa un sourire goguenard, mais ça se voyait gros comme une maison que c’était tout ce qu’il lui restait tant il paraissait affaiblit
« et bien et bien... il semblerait que nous ayons des invités... »
- C'est finit.
Pas bonjour, ni merde ni rien. Aster n’était pas du genre à tergiverser. Pour lui ils étaient là dans un but, et il était temps que le Roi Mysha comprenne qu’il avait perdu la partie.
« Il faut que vous le rendiez mon trône ! » Lui dit Marie
« Si tu le veux, prends le ! Mais encore faudrait-il que tu sois à la hauteur... regarde ton physique, ton corps change et devient immonde, n’importe quelle autre fille serait plus jolie que toi... sans compter ton intelligence plus qu amoindrie... tu n’es rien Marie, tu ne mérite rien ! »
Elle déglutit, pendant qu’Aster essayait vraiment de rester calme. C’est pas que l’espèce de rat lui tapait grave sur le système mais un peu quand même. Qu’est que c’était que ce méchant au rabais ? Tout ce dont il semblait être capable, c’était de rabaisser une fillette. Ça lui procurait quoi exactement comme plaisir ? Si ça avait été quelqu’un de l’âge de Marie, à la limite il aurait compris. Les gamins avaient une tendance à se jalouser entre eux et à s’envoyer ce genre de pique mesquine, mais là même pas.
Aster n’était quelqu’un de diplomate. Arrondir les angles, ça le saoulait plus qu’autre chose. Et si il n’était pas piloté par l’Espoir, très certainement que son émotion pilote eu été La Colère. Au sein des gardiens, s’il fallait désigner quelqu’un pour toujours faire comprendre les choses en douceur nul doute que Sab était le candidat idéale. Mais ce n’était pas Sab, qui était là c’était lui et il allait falloir composer avec son caractère et son côté bourrin :
- Oh ta gueule. Dit-il à bout. Tu veux qu'on aille sur le terrain du physique et de l'intelligence ? Tu t'es vu ? Si tout ce que tu sais faire, c'est tenter de rabaisser une gamine qui est mal dans sa peau c'est que niveau point de q.i tu dois pas en avoir des masses. J'ai connus un type qui lui savait manipuler les gens en jouant avec leurs peurs, niveau challenge à côté il y a pas photo t'es rien du tout. T'as déjà perdu alors tu essaye de la faire douter. Mais c'est toi qui ne mérite absolument rien.
Peu importe, si ça lui écorchait la bouche de le reconnaître, Pitch était quand même un sacré adversaire. Noirceur, était un fin stratège et savait parfaitement placer les bon pions sur un échiquier. Sans Frost, il les aurait sûrement eu la dernière fois ça ne faisait aucun doute. Marie hocha la tête, reprenant confiance en elle :
« il a raison ! Personne ne devrait rabaissé. Aucun être humain ne mérite ça. Et tu sais quoi Mysha ? Je suis belle... »
Il eu un sursaut et mit la main sur son coeur
« Je suis intelligente »
Il mit sa seconde main sur son coeur
« Je suis importante »
Il essaya de se lever, manquant d’air et tituba. Marie ne se laissa pas démonter et s’avança bien droite, la tête haute vers lui :
« Tu as toujours été le méchant reflet dans mon miroir. Celui qui me faisait douter »
Mysha s’en alla, ou plutôt il se métamorphosa en une Marie beaucoup moins jolie, les cheveux en pagailles et l’air totalement paniqué. Ce n’était clairement pas lui au commande, tandis-qu’il redevenait normale :
« Mais aujourd’hui c’est fini. Je vais apprendre à m’aimer. Je vais comprendre que je ne peux pas plaire à tout le monde, mais que ce n’est pas grave car je plairai à ceux qui me ressemble » Elle leur adressa un sourire « Je deviendrai une adulte responsable mais je n’aurai plus peur de garder ma part de folie et de rêve. Car un adulte surmonte ses peurs, ses deuils, croit en ses capacités et en ses rêves. »
Le Roi des souris tomba à terre et Marie le regarda en souriant
« En somme... j’ai plus besoin de toi et de tous les doutes que tu me donnais. Je saurai mener ma barque, merci et j’accepterai mes peurs. »
Elle se tourna vers lui :
« Il te reste un ou deux de tes supers oeufs non ? »
Aster ma regarda surprise, elle n’avait pas été avec eux pourtant quand ils l’avaient découvert. Mais un sourire prit rapidement place sur son visage, au fond ça ne l’étonnait pas vraiment :
- J'dois avoir ça en stock.
« Cool! Après toi ! » Lui dit-elle en souriant
Alors là, avec un immense plaisir. Et alors que Marie lui montrait Mysha qui semblait limite sur le point d’exploser, Aster ne se fit pas prier pour lui balancer les œufs colorés dessus, bariolant ainsi l’ex Roi qui s’observa complètement terrifié. D’un coup, il s’éleva dans les airs et explosa dans un grand jet de lumière, les obligeant tous à fermer les yeux pour ne pas être totalement aveuglé. En les rouvrant, la seule chose visible fût dans un premier temps de la fumée colorée, avant que celle-ci ne se dissipe pour laisser à une seconde Marie fantomatique. Cette dernière était très jolie, très forte et sur d’elle. Une sorte de « bonne » version de Marie, celle qui était bien vu. Elle sourit à la vrai Marie et entra dans son corps. Celle-ci inspira un grand coup, et un jolie diadème apparu sur sa tête :
« On dirait que je suis la reine...pour de bon. » Dit-elle avec un sourire
- On dirait bien. Répondit-il avant de sourire. Tu vois je te l'avais dit : suffisait d'arranger les finitions et tu serais le plus jolie oeuf de Pâques qui existe
Marie plissa les yeux, les mains sur les hanches et un sourire en coin
« C’est moi que t’appelle oeuf de Pâques ?! »
Elle éclata de rire et fonça dans ses bras :
« Merci »
Elle écarta les bras afin de faire un câlin collectif auquel il se prêta sans broncher
« Merci à tous ! Mon parrain avait tellement raison... »
Elle se tourna, avant de se stoper brutalement, observant le Casse Noisette qu’elle avait faillit prendre dans ses bras également et rougit brusquement
« Oh... je suis désolée ... je crois qu’on a pas eu vraiment l’occasion de se présenter et... je suis désolée de vous avoir casser... »
« Ce n’est pas grave Majesté ! Il n’a pas tort vous savez... vous ... vous êtes très jolie... » Reprit-il tout en rougissant également, alors que les joues de Marie, se rapprochaient d’une teinte lui faisant bizarrement penser à celle des cheveux d’Anya. Le Casse-Noisette s’inclina coupant court à cet élan de gaucherie faisant légèrement lever les yeux d’Aster « je suis votre humble serviteur ! »
Le château reprit ses véritables couleurs, de même que les trônes permettant à Marie de s’extirper de cette situation gênante. Les gardiens des royaumes, l’amenèrent derrière le sien de même que le restant du groupe afin de lui montrer le portrait de deux personnes :
« Ce monde est votre monde » Commença le Gardien des Fleurs
« Et vos parents y ont leur place » Poursuivit la Mère Gingembre
« Ils sont avec vous... » Ajouta La Fée Dragée
« ... Maintenant et à jamais. » Termina Givre
Elle les prit dans ses bras, avant que le groupe n’aille se mettre à l’un des balcons du château, permettant de voir que tout le monde semblait heureux et faire la fête. Des « Vive la Reine » étaient scandés d’un peu partout. Marie eu alors un sourire plein de fierté mais néanmoins légèrement teinté de tristesse.
« je pense qu’il est désormais temps de rentrer et d’affronter le monde réel n’est ce pas ? »
- Après, tout ce qu'il s'est passé ici. Ça ne devrait être qu'une bouchée de pain. Il prit un air pensif et reprit. Tu n'as jamais songé à rester ici ?
« Oooh que si, j’y ai pensé plus d’une fois ! Mais... »
« Il n’est pas bon de vivre dans les rêves... »
Quenotte ou plutôt Blanche, venait de terminer cette phrase. Et Aster remarqua qu’elle aussi avait changé. Exit les habits de soldats, a la place elle portait un pantalon de corsaire en cuire rouge, ainsi qu’une chemise blanche et des bottes. Marie se tourna vers lui souriante
« Voilà elle a tout dit ! »
L’ex lapin hocha simplement la tête, comprenant parfaitement où Blanche voulait en venir.
« Pour repartir, vous devez retourner là où tout a commencer... » Intervint La Fée Dragée
«Je sais ! La première fois que je suis venue ici... en route ! » Leur dit Marie après réflexion.
Le groupe prit la route, direction la forêt de neige et de sapins, là-bas se trouvait un arbre à l’allure bizarre, comme s’il était déraciné et à l’intérieur du tronc se trouvait une espèce de porte avec une serrure étrange.
« Je pense que c’est Anya qui a ta clé, Marie ! »
Marie, prit sa clé à Anastasia et avant de l’enfoncer regarda tout le monde, serrant sa clé contre son coeur :
« Merci à tous... du fond du cœur... vous m’avez tant appris durant cette aventure... vous êtes des vrais anges gardiens ... »
Elle se tourna vers les quatre gardiens, Blanche et Casse Noisette
« Je reviendrai vite. Je compte sur vous pour être des gardiens irréprochables, toujours au service de vos peuples. Casse Noisette, je vous laisse reconstituer l’armée des soldats de bois qui remplaceront ces horribles soldats de plombs. Vous serez le capitaine. Faites en sorte qu’aucun nouveau monstre ne vienne mettre notre beau monde en péril! »
Les gardiens hochèrent la tête avec un sourire comme pour lui en faire la promesse et elle s’avança vers Casse-Noisette pour lui faire un baiser furtif sur la joue les faisant rougirent tous les deux, alors qu’elle se tournait vers Blanche en lui tendant son diadème
« Pendant mon absence, je veux que tu t’occupe de mon trône. Il t’étais destiné depuis longtemps. Ne laisse plus jamais personne te faire entrer dans un moule alors que tu es différente ! »
« C’est promis ! » Répondit Blanche en souriant
L’espace d’un instant, Blanche tout comme Mysha auparavant changea laissant place à une petite fille aux cheveux blonds : Marie. Tout comme il avait été l’incarnation de ses doutes d’adolescente, Blanche était celle de l’enfance de Marie. Le Casse-Noisette lui, eu l’air triste et se contenta simplement de prononcer le prénom de la jeune fille :
« Marie... »
Cette dernière se tourna vers lui et l’observa
« Ce n’est pas encore notre véritable rencontre mais ce sont nos prémisses. Notre temps viendra un jour »
Quant à lui, il était simplement la personnification de l’amour. Mais pas l’amour que l’on a en tant qu’enfant, celui qui la faisait devenir une femme, ce qu’il y avait après le stade de l’adolescence.
Elle plaça ensuite sa clé dans la serrure, avant de prendre la main d’Aster. Quant à lui, il attrapa celle de Dewenty, et ainsi de suite jusqu’à ce que tout le monde se tienne la main :
« On est prêts ? » Lui demanda-t-elle
« Quand tu voudras. »
Prenant son courage à deux mains, Mary tourna la clé et subitement...Tout devient noire...
Jessie James
« Jessie never gives up, Jessie finds a way! »
Elle va être sympa cette mairie, j'le sens bien... On va s'entendre copains comme cochons...
Edition Août-Septembre 2020
| Conte : Toy Story | Dans le monde des contes, je suis : : Jessie, l'écuyère
Quand elle se réveillait, Anastasia n'aimait pas se lever immédiatement, préférant flemmarder parfois un quart d'heure tout entier avant de commencer la journée. Cette fois, pourtant, elle ne se rappela pas s'être couchée, se souvenant par contre très bien de toutes les folles aventures vécues au pays des jouets qui avaient commencé après son avant-dernier réveil (s'il avait bien existé) quand les souris avaient dérobé leurs affaires. C'était sans doute lié alors la jeune femme ne s'inquiéta pas. A Storybrooke et dans les alentours, c'était pas comme si ça n'arrivait pas fréquemment qu'on ne puisse pas tout expliquer. C'était embêtant, certes, surtout quand on aime particulièrement avoir des réponses, mais Anya avait appris à faire avec. En revanche, se rappelant qu'elle partageait sa chambre avec Dewenty, elle fit un effort pour ne pas tarder à ouvrir les yeux et s'assurer qu'elle allait bien. - J'sais pas si on a réellement dormi alors je vais juste te demander si ça va bien, commença la rouquine quand elle eut la certitude que Dewenty ne dormait plus non plus. - Hmmm oui... Ça va j'ai juste les muscles engourdis et toi, tu vas bien ? répondit sa camarade de chambre. - Oui. J'ai l'impression d'avoir bien dormi tout en ayant la certitude de ne pas avoir réellement dormi. On devrait aller voir les autres. On a quand même une victoire à célébrer, annonça la jeune femme en sautant de son lit pour se diriger vers la porte. - Oui nous avons gagné, et j'ai le même ressenti que toi... Une victoire est à célébrer, ajouta la jeune femme avec un sourire dans lequel Anya trouva quelque chose d'un peu faux mais décida de ne pas chercher. Je m'en serai douté que mes ailes des glaces ne seraient plus là, commenta Dewenty après avoir passé une main dans son dos. - Elles étaient jolies, c'est vrai, mais je crois que dans la vie normale elles auraient pu être gênantes. Et puis imagine si elles avaient fondu en été ? Peut-être qu'elles étaient suffisamment magiques pour que ça n'arrive pas, mais ça ne voulait pas dire qu'elles n'auraient pas fini par casser après un choc malencontreux au supermarché ou à l'arrêt de bus. Anastasia avait l'impression de faire une jolie poupée mais elle n'avait pas la grâce et l'attitude pour en être une à plein temps et s'estimait heureuse de ne pas avoir cassé mais encore plus d'être redevenue elle-même. La porcelaine, c'est mieux en service à thé ou en bibelot qu'en être vivant, quand même. De son côté, Dewenty avait reconsidéré l'idée de garder ses ailes : - Hmm effectivement ça aurait été problématique... J'aurais dû vivre dans un climat plus froid et ... Je n'aime pas tellement le froid... Anya lui sourit. En tant que Russe, elle résistait un peu mieux aux températures hivernales que d'autres mais ça serait une histoire pour une autre fois car les deux jeunes femmes venaient de sortir dans le couloir pour retrouver les autres, plus ou moins ahuris par cette aventure qui avait l'air de n'avoir été qu'un rêve mais qui, et tout le monde devait s'en douter, n'en était pas réellement un. Ils s'observèrent d'un air entendu avant de descendre pour découvrir le somptueux petit-déjeuner préparé par une Marie bien différente de celle de la veille. - Ca tombe bien, j'ai vraiment faim ! commenta Anastasia sans se faire prier pour s'installer et goûter aux thés, spécialités russes qu'elle ne mangeait pas si souvent que ça et un peu à tout le reste aussi.
Ils mangèrent dans la joie et la bonne humeur puis vint le moment de se rhabiller (par bonheur dans des tenues plus traditionnelles quand on vit dans le Maine et que c'est l'hiver) puis de partir. Mais avant cela, Marie avait tenu à leur faire un cadeau. Après Jessie, ce fut Anastasia qui reçut le sien et qui l'ouvrit pour y découvrir une boussole. Mais pas n'importe laquelle, car il s'agissait de la boussole qu'elle avait trouvée dans son œuf. Clairement, ça n'allait pas servir tous les jours mais l'objet était de très belle facture et Marie semblait fière de la lui offrir : - C’est pour te rappeler d’où tu viens, où tu vas et surtout à quel point tu es capable d’aider les autres à se réaliser, c’est ce que tu m’as aidée à faire. C'était quand même une sacrée déclaration, songea la rouquine que ce genre de moments ne mettait pas réellement à l'aise. Elle rendit néanmoins son sourire à Marie et l'étreignit pour la remercier : - Je ne l'oublierai pas, t'en fais pas. Prends soin de toi. Je suis persuadée que des tas de bonnes choses t'attendent. Marie hocha la tête et sourit, pas forcément avec conviction alors que pourtant son Casse-Noisette charmant, ou du moins une version humanisée du jouet, fit son apparition pour réparer l'horloge. Comme quoi, ça avait été une bonne idée de la casser en premier lieu, songea Anya qui n'était pas la personne la plus romantique au monde mais trouva cet heureux hasard digne de la période qu'ils célébraient. C'était une belle image de fin avant de suivre Drosselmeyer qui les raccompagnaient chez eux. Anastasia n'arrivait toujours pas à savoir ce qu'elle pensait réellement de lui - sans doute qu'elle l'appréciait quand même, bien qu'elle ne lui dirait jamais ouvertement. Au moment de le saluer lui aussi, Anya lui serra vivement la main, de cette poigne un peu brusque dont aucune leçon sur l'étiquette ne la séparerait. - Je vais pas vous mentir, j'ai pas forcément besoin que nos chemins se recroisent tout de suite. Mais je suis quand même contente de vous avoir aidé et que ça n'ait pris que quelques heures chez nous. Drosselmeyer éclata de rire avant de lui répondre : - Je n’en attendais pas moins de vous. Je suis ravi pour ma part d’avoir fait votre connaissance ! Et il le pensait, ça se voyait. Mais hors de question qu'elle ne rétorque une réciproque. Comme il leur avait montré le chemin, Anya le suivit, de même que les autres, et quand ils eurent traversé le portait invisible vers le monde de Marie et de tous les autres, ils constatèrent tous que leur œuf était en miettes. Cela n'affecta pas réellement Anastasia, d'autant que le cadeau qu'elle avait reçu faisait office de remplacement mais Axel, lui, avait l'air de prendre ce fait plus à cœur. Anya fit la moue, désolée pour lui et s'approcha d'Axel, posa sa main sur son épaule pour signaler sa présence : - Ca va aller ? Tu sais... c'est pas grave si l'œuf est cassé. C'était la clé du monde de Marie dont on avait besoin pour l'aider et on l"a aidée, c'est ça que tu dois garder comme souvenir. Axel s'affairait consciencieusement à ramasser tous les bris d'œuf mais tourna un regard et ses bras vers elle en répondant : - Oui ça va aller. Je suis triste c'est tout. Ca se voyait mais Anya ne lui fit pas l'affront de le faire remarquer. A la place, elle l'accueillit contre elle pour une étreinte. Même si la rouquine resta plutôt raide pendant tout le temps qu'elle dura, elle sentit que ça lui faisait du bien. Puis elle croisa le regard d'Aster et une idée lui vint. Toujours avec Axel dans les bras elle demanda : - Dites Aster, vous faites toujours du chocolat, non ? Alors... même si c'est pas pareil, peut-être que vous pourriez refaire celui d'Axel mais en comestible ? - Si j'me fait pas chiper le projet en cours de route. Il y a moyen, répondit le chocolatier qui faisait sans aucun doute référence à sa collaboratrice. - Merci pour lui, répliqua Anya avant qu'Axel ne lui rende sa liberté de mouvement. Il était temps de rentrer, mine de rien. La jeune femme s'approcha de Jean-Balthazar, le coéquipier qu'elle connaissait le moins bien et commença sa tournée de politesses : - Le moins que l'on puisse dire c'est que vous avez y faire avec les sceptre magique. Ravie de vous avoir rencontré. A une prochaine peut-être et joyeuses fêtes. Et merci pour le sucre d'orge, ajouta la rouquine en se retournant après quelques pas déjà dans le sens inverse. Sur sa route, la jeune femme pressa une nouvelle fois l'épaule d'Axel en signe d'amitié, se doutant qu'elle le reverrait rapidement. Elle souhaita également de très bonnes fêtes à Aster qui avait l'air plus indifférent que certains de la natalité puis retourna auprès de Dewenty : - Merci d'avoir été ma partenaire de chambre et de ne pas avoir ronflé. Je vais rentrer mais si tu y tiens toujours, je te raconterais l'histoire que tu as aperçue sur la boussole, assura la jeune femme. En dernier, Anastasia alla souhaiter de bonnes fêtes à Jessie puis ajouta d'un air entendu : - J'imagine qu'on se recroisera bientôt au bureau.
***
- Déjà ? s'étonna Dimitri quand sa fiancée arriva seulement quelques heures après son départ. Ca fait rapide pour une mission, observa-t-il. - Longue histoire, commenta Anya en allant faire un bisou à Abigaëlle qui parut un peu déçue de ne plus voir sa maman en princesse mais à la fois enchantée de son retour. On était dans un autre monde qui n'est pas totalement synchronisé au nôtre. De mon point de vue je suis partie une bonne journée mais je suis bien contente que ça ait été moins long pour vous. On va pouvoir fêter Noël tous ensemble. C'était une perspective qui réjouissait Anastasia plus qu'elle ne l'aurait admis. Des Noëls heureux, elle en avait eu, mais la plupart étaient très lointains, de vagues souvenirs imprécis comme le sont ceux des enfants de la petite fille qu'elle était. Mais maintenant Anya avait de nouveau une famille et elle comptait bien en profiter autant que possible.
Dewenty Maanteekor
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Impératrice Aishwarya Rai <3
Que le spectacle commence...
| Conte : Folklore & Mythes | Dans le monde des contes, je suis : : Manticore
Ils avaient donc repris le chemin du retour, Dewenty avait prit la main d’Aster et ainsi de suite. La jeune femme était donc prête à dire au revoir à ses ailes de glace. Puis c’était le noir complet… En ouvrant les yeux la manticore était dans des draps chaud. Elle fixait le plafond. Elle avait rêvé ? Mettant ses mains en l’air sa peau n’avait plus l’air de briller comme l’ange qu’elle était. Sa peau était de nouveau normal. Dewenty lâcha un profond soupire, et répondit au question d’Anya. C’était une sensation plutôt étrange, on aurait dit qu’elle n’avait même pas fermer les yeux. Sauf qu’elle n’était pas fatigué c’était vraiment très étrange. Les autres les attendaient surement en bas. Elle était donc sorti rapidement du lit passant, une main dans son dos. Les ailes n’y figurait donc plus… un manque qui l’a rendait triste. Elle voulait seulement le masquer de son visage. Sauf que quand on te retirait une part de soit… c’était dur de rester de marbre. Une nouvelle fois, elle les perdaient mais, elle avait pu voler pour la dernière fois.
Rejoignant les autres en bas, ils avaient l’air tous d’avoir fait le même rêve… - c’est une hallucination collective … - Dewenty leur sourit, Marie, avait donc préparer le petit déjeuner, humant les bonnes odeur, sentant une odeur de viande. Elle était la seule à avoir été un animal carnivore cela dit. Elle allait peut-être prendre quelques choses de plus humain ?
Le petit déjeuner c’était dérouler dan la joie et la bonne humeur, c’était plutôt amusant d’être un humain, même si elle ne l’était pas à part entière. Ses équipiers reçurent tous des présent, elle ne semblait pas avoir quoi que ce soit.. pourtant, elle n’était pas jalouse, pour elle, avoir eu ses ailes avaient été le plus beau des cadeaux qu’elle pouvait avoir. Dewenty avait pu voler le temps de quelques minutes, planer sentir encore le vent frôler ses joues. Elle sentir néanmoins une présence et son odeur de la trompait pas. "je vous remercierai jamais assez monsieur drosselmeyer .. j'ai pu voler ... Pendant quelques instants..." Drosselmeyer était effectivement derrière elle lui souriant gentiment avant de lui dire. « je suis ravi de te l’entendre dire... il est toujours difficile d’être privée d’une fonction qui fait partie intégrante de sa personnalité... »
Et encore il ne savait pas à quel point c’était un manque pour elle, qu’on lui prive de ses ailes était l’une des choses les plus dur qu’elle avait eu à subir. Elle était une créature ailées, elle pouvait planer autant qu’elle le désirait étant sous sa forme de manticore. L’une des raison pour laquelle, elle n’avait pas réussi à s’accepter en tant qu’humaine. Pourtant maintenant, elle avait l’air un peu plus sereine. " oui... C'est assez difficile je l'admets. C'est ce qui me permettait de me déplacer plus rapidement en tant que.. manticore... Mais je ne les aient pas totalement perdu elles sont toujours dans mon cœur... Et le fait que j'ai pu... Voler me comble de bonheur... Vous m'avez tellement apporté..." Elle lui rendait son sourire. Monsieur Drosselmeyer posa une main sur son épaule "Et ce qui est dans ton coeur ne meurt jamais vraiment" Il avait raison, elle avait été l’une des créatures les plus impressionnante au monde… même en étant pas une manticore… Elle l’était au fond d’elle. Drosselmeyer lui fit un clin d’oeil tout en sortant une petite enveloppe de son veston. Cette enveloppe avait fait tilt à la jeune femme qui était d’une même papier que la lettre reçu la veille. Dewenty prit l’enveloppe dans la main, elle était cachetée. Pour compliquer la chose cet homme charmant la posa de sa main droite, pour mettre sa main gauche au dessus, comme pour faire un sandwich. Cela dit… un tel sandwich autrefois elle n’aurait pas cracher dessus… Oui on sait, elle n’est plus une manticore. Dewenty avait sourit et comprenait son geste d’affection pour elle. "C'est mon petit cadeau. J'ai demandé à Marie de te l'offrir personnellement. Mais je compte sur toi pour ne pas l'ouvrir avant d'être retournée dans ton monde d'accord ? J'aimerai que tu me fasses un petit plaisir avant cela..."
Dewenty lui sourit tendrement, et hocha la tête, elle avait finalement elle aussi eu un présent de la part de monsieur Drosselmeyer, et en main propre Hochant la tête doucement, elle allait suivre et ne l’ouvrir qu’après être retourner dans leur monde. " je... Merci ... Je ne l'ouvrirais que dans mon monde alors..." Affichant un radieux sourire. " vous êtes l'une des seuls personnes pour qui je rendrais un service... Que désirez vous monsieur drosselmeyer ? " La regardant droit dans les yeux, pendant un court instant et surtout de son seul oeil valide. Ce regard on aurait dit qu’il était en train de scruter son âme en lui disant finalement. "Quand vous rentrerez chez vous... pensez bien sur le chemin à tout ce que vous avez vécu, d'accord ? Pensez à qui vous êtes réellement, à qui vous voulez être, pensez à la force mais aussi aux faiblesses que vous ont donné le fait d'être humaine, gardez l'esprit ouvert et le coeur au chaud, d'accord ?" Penser à autant de choses ? On va dire qu’elle le pensait généralement au quotidien…
Elle savait pertinemment qu’au fond d’elle, elle était une manticore aussi dangereuse que imprévisible. Avec une grandeur impressionnante, mais elle était aussi une humaine, certes de petite taille, avec un charme fou, une voix enjôleuse et un regard de braise. Elle avait apprit à connaître son corps, éprouvé des émotions qu’elle n’aurait jamais pensée ressentir. Etre humaine permettait d’être plu sensible et faible… mais cela donnait la possibilité de compter sur des personnes qu’on pouvait appeler amis. Elle était Dewenty, une part d’elle était la manticore et l’autre part qu’elle avait apprit à aimé durant cette mission la part humaine. Elle hocha la tête en souriant “Je le ferais je vous le promet Monsieur Drosselmeyer, merci pour tout…” Le prenant une dernière fois dans ses bras “Merci pour ce noël merveilleux, j’espère vous revoir un jour et je ne voue oublierait pas, ni vous ni Marie… ni les habitants de ce monde”
L’heure pour eux étaient venu de partir, la charmante petite troupe s’étaient mit en route au fur et à mesure qu’ils avançaient Dewenty était en train d’entendre des craquements celui de son oeuf surement. Les mot de Drossel lui revenait en mémoire et elle pensa à ce qui lui avait dit, l’oeuf la seul chose qui les reliait encore à ce monde fabuleux venait de se briser quand enfin il se retrouvent l’autre côté de la porte invisible. La clef se brisa elle aussi… Tout était donc fini ?
Puis, arrivé sur SB, Dewenty se sentait bizarre, elle était prise de vertiges. Son rythme était en train de s'accélérer, son coeur battait beaucoup plus rapidement… C’était affreux pour elle, bien que ça ne durera pas longtemps. Sentant une douleur dans son dos, c’était une sensation plus qu’étrange… Elle serra les dents. Cette douleur était plu précise, et d’un coup des ailes noir apparut dans son dos ! Ses ailes d'antan était revenu dans son dos. Des ailes noir avec sur ses plumes des léger tons dorée. Le temps qu’elle reprennent son équilibre, les bougea doucement pour les déployer dans toute sa grandeur avant de les rétracter. Se mordillant la lèvre remerciant intérieurement Drosselmeyer, décachetant la lettre pour lire les derniers mot qu’elle avait eu de Drosselmeyer. Ses ailes restaient en place, et elle finit par lire les derniers mot de Drosselmeyer : “Joyeux noel, mes amitiés. Drosselmeyer” Elle finit par porter la lettre contre sa poitrine “Merci Infiniment.” Elle ne pouvait pas rêver mieux comme cadeau de noel. Les au revoir étaient enfin la aussi, du moins pour cette soirée. Elle salua tout le monde et répondit joyeusement à Anya “J’y compte bien savoir la suite de cette histoire peut-être pas tout de suite, mais je saurais te trouver le moment venu”
Déployant ses grandes ailes noire, elle n’allait pas manquer ce moment pour ne pas les essayer. Etant déjà habituer à cette sensation pour elle voler était devenu un jeu d’enfant donnant une impulsion, elle s’était hissé dans le ciel, remarquant d’ailleurs au passage qu’il y avait deux lune, l’une était blanche et l’autre était noire. Planant dans le ciel ceci lui parut plus qu’étrange. Surtout si des personnes étaient superstitieuse… en voyant Dewenty dans le ciel avec ses ailes, la fin du monde était proche ? Les hommes volant étaient la ? On pense bien entendu au tour du monde en quatre vingt jours.
Une fois arrivé devant chez elle, la jeune femme atterrit sur son perron, Dewenty entra ou elle venait de découvrir un Leo déjà en manque d’amour… Levant les yeux au ciel, elle avait disparu pourtant que 50 minutes voir 1h comme elle était parti à l’avance… Et c’est qui avait failli perdre la vie ? C’était elle. Enfin finalement elle n’avait pas réellement risquer grand chose. Mais s’était un peu plus profond il paraissait déçu qu’elle n’ai pas été la pour qu’il puisse la présenter à sa famille… sa guilde. Pourtant, elle était bien la, s’approchant de lui pour lui donner un baiser tendre et rempli d’amour. Monsieur semblait aussi jaloux qu’elle se soit fait belle pour les autres et pas pour lui. “Leo… je n’aime que toi et personne d’autre, je suis la pour noel… donc nous pouvons aller voir tes amis pour passer noel avec eux” Déposant un baiser sur ses lèvres. Tout était parfait elle avait retrouvé ses ailes, son amour… même si le cas des deux lunes étaient étrange.