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 Et on fait tourner les serviettes (Premimi)

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Gajeel Redfox
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Gajeel Redfox

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Et on fait tourner les serviettes (Premimi) _



________________________________________ 2019-12-30, 00:26

Et on fait tourner les serviettes
Une lettre avait été déposé dans la boite aux lettres d’Erwin. Une lettre très simple, et pourtant très claire. Une lettre qui en disait beaucoup et pas assez. Si on regardait une caméra de surveillance, on ne pouvait voir qu’une ombre dans la nuit pluvieuse. Le bruit des pas ne s’entendait pas, et on ne pouvait suivre la trace de l’inconnu postier sur le sol … non … rien ne pouvait identifier l’individu avec sa cagoule… c’était en réalité n bonnet noir, mais avec le fond noir de la pluie, et les ombres … … C’était une ombre qui était venu poster une lettre à Erwin.

Dans une enveloppe blanche, avec seulement écrit « Erwin Dorian », une lettre très simple se trouvait. D’une écriture ni belle, ni moche. Pas réellement identifiable non plus parce qu’elle ressemblait à toutes les écritures du monde, et à aucune particulièrement. Sur cette lettre, quelques mots.

« Bonjour Monsieur Dorian.
Cela fait très longtemps que nous nous sommes pas revu. J’ai du malheureusement partir de ma fonction de subalterne après une épreuve qui n’est pas du à mon fait. La malédiction a modifié plus qu’une personne, et je n’ose imaginer que tu es encore le même qu’auparavant.
Je désire te revoir pour parler un peu.
Du passé pas trop quoi que.
Du présent surtout.
Du futur, peut être, même si je ne pourras plus avoir la même fonction qu’avant pour vous.
Je vous donne rendez vous au Punch & Purge, à 18h30. 
Venez seul ».


Bon … Gajeel avait totalement oublié de noter son nom à la fin de la lettre… ça arrive d’oublier … et de préciser de venir seul parce qu’il comptait parler de choses peu légal de leur passé … et pas sur que ça lui fasse plaisir que quiconque puisse entendre … en soit c’était pas une menace mais une idée pour l’aider … on ne peut pas dire que Gajeel soit très très méchant… il avait donc réussi à faire la lettre la poster, et faire sa petite vie tranquille dans ce monde de fou.

Les cours, chiant et barbant … et pourtant c’est lui le prof …. Les papiers … clairement il allait devoir essayer de trouver une secrétaire pour faire les papiers à sa place parce que ça lui prenait la tête comme un ballon et qu’il allait finir par y foutre le feu pour ensuite l’offrir à Natsu … Bref. Il avait fait toutes ses affaires et attendait Erwin à 18h30 devant le Punch & Purge.

Il se demandait bien qui était réellement son …. …. « ancien employeur » ? Comment pouvait il définir le lien qui le lier à Erwin … d’ailleurs … Erwin ne connaissait pas Gajeel en tant que lui… il avait un autre nom pour se cacher … Gaspard ? C’était pas impossible. Gabriel Gaspard Garett et Gajeel… Erwin avait donc un manque d’information pour deux de ses quatre vies …

Et pas sur qu’il se souvenait du petit de 17 ans qu’il hébergeait un peu, totalement, illégalement, et qui lui rendait des petits services pas trop méchant en échange d’un peu d’attention que Gajeel n’avait jamais eu de son père pendant la malédiction…. Oh … il se dit qu’il verra bien ce que l’avenir dira … en attendant …. Il finit par étirer son corps alors qu’il vérifiait sa propre boite aux lettres. Que des pubs… la nouvelle année allait commencer sous le signe d’une énorme pancarte « NO PUB » sur sa propriété … bonne idée.

HRP - Je te laisse dire que Gajeel le voit et s’approche sans soucis.

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Erwin Dorian
« If the crown should fit, then how can I refuse? »

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- Pour ma victoire? C'est adorable, trésor... Même si en toute modestie, je dois admettre, qu'au-delà de cela, je suis un prestigieux modèle pour mes concitoyens"
(Alexis pense-t-elle qu'il est parti trop loin? Sûrement! On approuve)

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________________________________________ 2020-01-04, 23:51 « If the crown should fit, then how can I refuse? »

Dans la balance de la destinée, le muscle ne pèse jamais autant que le cerveau.” ...

Et on fait tourner les serviettes (Premimi) Z1PhEt on fait tourner les serviettes (Premimi) Tenor


Ordinairement, lorsque l’on tentait de le contacter la majorité choisissait d’adresser leur courrier à l’office notarial de Storybrooke, la raison professionnelle justifiant leur écrit. Pour le reste, les lettres qui garnissaient sa boîte aux lettres de son domicile lui étaient très rarement adressées. La plupart portaient le nom de son épouse et renvoyaient à des invitations diverses et variées pleine de bons sentiments, des commandes, ou de la publicité. Aussi, lorsqu’il trouva la lettre posée sur sa table de salle à manger sous le regard quelque peu interrogateur de son épouse, il ne put que lui retourner son air.

- Quelqu’un t’a adressé cela, penses-tu que ça pourrait être en rapport avec ton dernier séminaire ?
- Il ne se peut. L’entête n’y figure pas.

L’écriture lui était inconnue, trop banale pour évoquer un quelconque lien certain avec l’une de ses nombreuses connaissances. L’enveloppe ne comprenait aucune fantaisie, ni aucune richesse qui méritât d’être soulignée, elle était de celles qu’on trouvait ordinairement dans les papeteries ou même dans les centres commerciaux.
Sans réelle curiosité, il découpait déjà le papier à l’aide d’un petit ouvre-lettre d'or fuselé qui ne quittait jamais sa poche. La lame d'ivoire éventra l’enveloppe d’un geste vif permettant à son propriétaire de se saisir de la lettre. Un papier blanc, courant livra la même écriture dénuée d’originalité que celle qui figurait sur l’entête.
Il la parcourut rapidement, fronçant les sourcils au gré de sa lecture. Outre la manière nerveuse de son propriétaire de coucher les mots sur le papier, il devinait un écrit rapide, au gré de ses pensées. Au point même de sauter sans vergogne du tutoiement ou vouvoiement au dépend de toutes logiques, ce qui dans d’autres circonstances l’auraient fait bondir. Le manque de savoir vivre de certains…
Une fois ce constat fait, son brillant esprit avait occulté cette préoccupation sommaire et futile de l’analyse dudit courrier pour assembler sans difficultés les éléments que suffisaient à livrer ce minuscule mot. « subalterne » « parti » « malédiction ».
S’il n’avait pas lésiné sur l’emploi de subalternes, un seul correspondait au profil de son écrivain mystérieux. Un jeune homme volontaire, perdu qui avait disparu mystérieusement peu de temps avant la rupture de la malédiction. L’enfant des rues. Il revoyait encore sa figure, sa faiblesse derrière la colère, un utile petit pion.
Et le voilà qui était de retour… Quel était son nom déjà ? Grégory… Non… Autre chose. Gaspard, voilà c’était cela, Gaspard. Sa défection l’avait surpris jadis, vexé même. N’avait-il pas déployé des moyens suffisamment rusés pour recueillir son dévouement ? Il fut tenté de froisser la lettre et d’envoyer une bonne fois pour toutes l’enfant des rues rejoindre son passé. Mais il ne le fit pas, n’esquissa même pas le moindre geste à cet effet.
Tout aussi profondément égocentrique que pouvait l’être Preminger, il n’oubliait pas une chose fondamentale : on ne disposait jamais assez de sous-fifres dévoués.
Plus bas, plus lamentable se trouvait son expéditeur aujourd'hui et mieux cela servait ses propres intérêts, l’enfant des rues ne pouvant disconvenir de la splendeur avec laquelle il avait fait grand cas de sa personne.

- Qui est-ce ? Interrogeait Georgia de l’autre côté de la table, tout en arrangeant avec goût une composition florale qu’elle destinait sûrement à l’ornement de la table principale.

Il fut tenté un bref instant de lui mentir, piqué de sa soudaine curiosité. De quel droit, se permettait-elle de questionner un roi ? Malgré tout, il devinait bien qu’elle n’y voyait aucun mal, plus presque heureuse de pouvoir discuter avec lui.

- C’est Gaspard… Mon...ancien agent de sécurité, énonça-t-il après un bref instant de réflexion sur l’ancien emploi « officiel » qu’avait du occuper ledit individu aux yeux de son épouse, j’ignore si tu as bien eu le temps de le connaître mais il est de retour en ville.

Georgia s’écarta d’un pas de son bouquet, pour jauger l’effet de son talent et lui jeta un regard par delà son épaule :

- Merveilleux !Comme quoi la gentillesse paye toujours. C’est bien gentil à lui de reprendre contact avec toi. Penses-tu le revoir ? Nous pourrions l’inviter à dîner un de ces jours.
- Probablement. Mais tu sais, ma chère, je ne suis pas certain qu’il soit disposé à nous consacrer non plus l’ensemble de son temps…

Puis il avait laissé la journée s’écouler lentement, vaquant à ses activités habituelles sans réellement se préoccuper du « rendez-vous » ou plutôt des retrouvailles qui attendaient. Il s’interrogeait néanmoins sur le retour du jeune homme dans la ville et sur les raison qui l’avaient poussé à s’enfuir et à s’extirper sans le savoir de ses griffes. Et celles qui le poussaient à le recontacter à présent. Il n’était pourtant pas parti en prison, il avait sondé celles-ci suite à sa désertion afin de vérifier qu’un trafic mineur n’avait pas eu raison de lui sans succès. Et pourtant les termes de la lettre laissaient présager un départ presque forcé. Une fuite ?
Il claqua la portière de sa dernière voiture sur le parking situé à proximité de l’heure du rendez-vous, remontant le col de fourrure de son long manteau sur son cou. Un froid vivifiant s’insinuait dans les ruelles et déjà à la tombée du jour, les lumières de la ville étaient d’un réconfort face à l’obscurité qui tombait sur Storybrooke. Il avait bien fait de prendre des gants , peste, quel temps horrifiant !
De son habituelle démarche présomptueuse, Erwin s’approcha de la bâtisse qui présentait l’inscription « Punche & Purge ». A. Et du nom sur la lettre il serait attendu à une sorte de salle de sport avec une devanture remplie d’affiches promotionnelles qui promettant « un corps d’athlète suite à un programme personnalité », le tout pour un prix défiant toute concurrence.
Visiblement c’était plus original que ça... Un l’œuvre dédié spécialement à la boxe. Moins ordinaire peut-être moins rentable si on omettait que peut-être certains habitants de la ville défoulaient leur stress de l’étrangeté dans cette salle. Au Nono serait-il épargné de la compagnie de ceux qui se re’disent malades à sculpter leur chair...
Le complexe sportif était éclairé de l’intérieur., laissant présager que quelques sportifs terminaient leurs séances.
Erwin en doutait pourtant. Le tout était de le laisser croire mais il peinait à croire que Gaspard lui aurait donné rendez-vous en plein travail.
C’était bien là pourtant, il n’y avait pas de doute possible. Et la configuration des lieux confirma, s’il y avait lieu de confirmer, ses soupçons sur l’identité de l’homme. L’endroit lui ressemblait à s’y méprendre, songea Erwin tout en poussant la porte du local. De l’odeur unique plastique du revêtement de toute salle de sport, des sacs suspendus pour inviter les boxeurs à se livrer au plaisir de cogner, la signature était complète.
Oui cela lui correspondait bien, il n’avait pas réussi à se dire épartir complètement de sa rage mais l’avait exploitée...
Devançant quelques sacs, il trouva d’ailleurs Gaspard non loin de là, le reconnut sans mal bien que les quelques années qui les séparaient avaient fortifié l’ancien adolescent. Ce dernier dut sentir sa présence car il s’avança bientôt à sa rencontre.

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Gajeel Redfox
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________________________________________ 2020-01-07, 20:24

Et on fait tourner les serviettes
Gajeel était tout de même fatigué de ses pubs… faisant une grosse boule de papier, il se prit le loisir de faire des paniers dans sa poubelle ouverte … Clairement, il n’avait pas envie de se prendre la tête aujourd’hui … « tel machin le moins cher du marché » ou autres promotions … Il trouvait ce qu’il veut quand il veut, où il veut … pas besoin de tout ça pour le savoir… Soupirant, il retourna à l’intérieur de son entreprise … qui aurait pu dire qu’il aurait sa propre entreprise un jour ? Et pas n’importe laquelle… une double entreprise ! Une entreprise proposant deux services différents … Le plus surprenant devrait peut être être la légalité de tout ça …

Non… personne n’aurait pu dire que ce gamin battu, et qui avait tué son père sans un regard en arrière, pourrait être un jour propriétaire …heureusement, les économies amassaient durant ses années loin de SB lui avait permit, et lui permettait encore, de ne pas être trop regardant. Gajeel était alors revenu ici après tout ça … après la haine et la colère … Il avait revu Levy, qui était peut être la seule qu’il voulait réellement revoir de Fairy Tail…

Mais, il ne pouvait pas oublier son passé, encore moins Erwin… C’était pour cela que quand l’homme arriva près de son entreprise, il le sentit tout de suite… N’oublions pas qu’il a un odorat de chasseur de dragon. Souriant, il s’avança de l’odeur pour être à hauteur de sa vision assez rapidement. L’homme n’avait pas changé d’un pouce … quelques rides de ci de là …mais Gajeel se souvenait que … si lui déteste son reflet, Erwin en ait amour … Evitant donc le sujet qui fache dès les débuts.

- Bonjour Monsieur Dorian, vous avez pris des rides non ?

Si … si … il venait exactement de dire ce qu’il venait de penser ne pas dire à l’instant même … il se mit à sourire en cherchant une parade … que dirait il à Levy s’il venait, en connaissance de cause, de dire quelque chose qu’il savait ne lui plairait pas … Rien … Il la laisserait bouder parce qu’elle était mignonne quand elle boude … alors bon… il se reprit.

- Je veux dire, tu sembles plus distingué avec un visage plus marqué qui vous donne un air confiant. Donc vous avez pris des rides, c’est un peu comme une mise à jour… Bref. Tu veux un café ? Un thé ? De l’eau ?

Il avait tout ça dans sa salle de sport … mais il ne pensait pas que son cher ancien patron apprécierait l’odeur de la sueur et de la transpiration. Souriant, il finit par lui faire un signe de tête pour lui montrer la porte de son bureau (qui menait donc à son appartement).

- Il y a tout ce qu’il faut chez moi. Vous n’êtes donc réellement venu accompagner ? Vous n’avez plus d’agent de la sécurité ?

Il se souvenait qu’il le suivait partout pour le protéger des gens malveillants … qui aurait fait attention à lui de toute façon … quand il le voulait il pouvait être une ombre, on l’oublie. Et son pouvoir, actuel, lui permettait de savoir que l’homme était réellement seul … pas de Ninja tapis dans l’ombre. Il alternait encore les vous et les tu .... comme un enfant qui veut dire "tu" à tout le monde mais se rappelle qu'il fallait vouvoyer pour ... le plaisir de faire chier ? Peut être ... C'est même sur ...

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Erwin Dorian

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________________________________________ 2020-01-10, 22:35 « If the crown should fit, then how can I refuse? »

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Erwin avait trouvé le jeune gamin des rues changé, modifié même. Visiblement il prenait un peu plus soin de lui, s’était fortifié avec le temps pour gagner en musculature. La boxe sûrement lui avait permis de canaliser sa souffrance et sa rage. De prime abord, il semblait presque un autre homme, plus posé, moins vif presque assagi. Cependant, des failles de ce qu’il avait été surgissaient dans ses gestes, la façon qu’il avait encore de poser sa voix, de pencher la tête.
La levée de la malédiction était passée par là et peut-être avait emporté les traumatismes passés du jeune homme. Erwin autrefois n’avait pas eu l’obtention de tous les détails sordides de l’histoire de Gaspard, il ne s’en était pas en outre préoccupé. Le dossier était classé dans son bureau consultable à l’envie si le besoin s’en présentait.
Malgré tout, le passé n’était pas aussi loin que Gaspard le souhaitait. Sinon pourquoi reprendre contact avec lui ? Peut-être faisait-il partie de ces benêts qui s’accrochaient à leur vie passée en amalgamant les événements réels avec les expériences que la malédiction avait créées ? Preminger n’avait jamais compris cette optique. L’existence faussée d’Erwin Dorian avait glissé sur lui comme une pluie d’été à la minute où il avait recouvré ses esprits. Il n’en n’avait conservé que l’essentiel : l’image d’un citoyen richissime, admiré et surtout marié avec la détentrice du royaume qu’il convoitait, le reste n’importait pas.
Il ouvrait la bouche pour saluer son ancien allié lorsque celui-ci le devança…balayant instantanément le sourire faussement élargi de Preminger.

- Que...QUOI?! !

Il avait pratiquement glapi le mot.
Dans d’autres circonstances et face à d’autres interlocuteurs, Erwin leur aurait ri au nez, aurait balayé en d’autres propos plus ou moins mesquins leurs sous-entendus grossiers avec royauté.
Que l’information lui paraisse par l’intermédiaire de Gaspard laissait présager un semblant de sincérité qui le fit trembler. Aussi loin que dans ses souvenirs, l’enfant des rues n’était aucunement cruel mais foncièrement sincère. De par son passé compliqué, il parlait peu mais parlait franchement et si ses mots sonnaient parfois trop crûment de sa bouche, ils étaient rarement faux. Mais parfois excessif.
Ses mains s’étaient naturellement portées à son cher visage à la recherche tactile d’une zone, d’un sillon. Impossible, non impossible, il contemplait un millième de fois par jour son reflet si ce n’est plus dans tous les miroirs possibles ou improvisés. Même dans l’éclat d’une cuillère, sa beauté ne s’altérait pas…
Comme pour confirmer ses craintes, Gaspard tentait vainement de se rattraper en baragouinant des compliments tous aussi plus sots les uns que les autres. Une moue dégoûtée se forma sur le visage du notaire à l’idée même qu’une ride puisse donner un visage plus...confiant ? Réellement ? Il n’en pas besoin. Se moquait-il de lui ? Il pencha la tête tachant de déceler sur le visage du boxeur un zeste d’ironie, suffisamment de méchanceté pour y voir une blague de mauvais goût.
Ca n’avait aucun sens. Aucun sens. Il avait été immunisé contre les rides toute sa vie durant. Rien n’avait froissé l’exquise finesse de ses traits en vingt-huit années, un cadeau divin évidemment. Il avait toujours vu en sa beauté, la preuve exacte de la grandeur qui l’attendait. Cela ne pouvait être vrai… Ou alors… Peut-être lui avait-t-on jeté un sort ? Un effroi nouveau le saisissait à présent, oui cela pouvait être que ça. Cette péronnelle d’Erika avait peut-être drogué son thé ? Ou peut-être que Lena… ? Non. Non. Sottises que tout cela.
Bien que ne souhaitant pas perdre définitivement la face devant son ancien allié, il mourrait d’envie de lui exiger un miroir… Il avait oublié le sien dans la boite à gants de sa voiture et s’en mordait les doigts à présent. Mais il était dans une salle de sport non ? Il suffisait d’attendre une excuse potentielle pour s’éclipser jusqu’aux vestiaires. Ainsi s’éviterait-il l’humiliation de réagir plus fort que de raison ici. Il avait un rang à tenir après tout.

- J’ignorais que cette salle de boxe dissimulait un salon de thé, qui sait encore quels trésors elle contient, ironisa-t-il plus désagréablement qu’il ne l’avait souhaité, la tête toute encore prise par ses inquiétudes dermatologiques.

Faudrait-il se résoudre à ...passer par la chirurgie esthétique ? Ciel, il ne voulait pas y penser…
Étranger aux états intermédiaires du notaire, le dénommé Gaspard souriait de cet air faussement naïf alternant entre le vouvoiement et le tutoiement indifféremment comme par bravade.
Erwin ne fut néanmoins pas mécontent qu’il proposa de rejoindre son appartement, satisfait de s’extraire de l’ambiance malsaine de la salle de sport. Il avait ces lieux en horreur. L’odeur corporelle qu’il lui semblait sentir en permanence s’infiltrer sous ses délicates narines lui rappelait la sueur qui habitait perpétuellement l’établissement.
Il s’engouffra avec presque une joie mal-déguisée dans l’escalier que le petit réduit qui a en juger par les papiers qui l’entassaient devait servir de bureau à Gaspard, pour quitter les lieux et gravir les marches.
L’appartement ne parvenait pas tout à fait à gommer l’odeur mais elle demeurait nettement plus supportable une fois arrivé au sommet.
D’un geste dédaigneux, il haussa les épaules, précédent le gamin des rues sur le pallier :

- Pourquoi serais-je donc venu accompagné ? Ai-je une raison de me défier de toi, Gaspard… ?

C’était bien plus une raillerie qu’autre chose. Il insista sur le prénom pour mieux souligner l’anonymat dans lequel la levée de la malédiction de Régina les avaient fait retomber.
Sans lui laisser l’opportunité de rebondir il enchaîna :

- Quoiqu’il est vrai que tu as disparu du jour au lendemain sans crier gare, en me laissant fort désappointé. Qui sait ce que devienne les gens lorsqu’ils nous quittent ?

Il avança jusqu’à la table basse, laissant traîner son index dessus, artificiellement songeur :

- Mais non, crois-le oui non, je n’ai pas d’agent de sécurité… Pourtant la vie est plus dangereuse à Storybrooke. Mais qui craindre réellement après tout, Gaspard ?
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________________________________________ 2020-01-22, 14:23

Et on fait tourner les serviettes
Gajeel n’avait caché à son « patron » que le plus glauque de son histoire… savoir s’il avait fait le lien avec les autres « lui », il ne s’en était que peu préoccupé … Au vue de ce qu’il faisait pour lui dans le passé, nul doute que leurs secrets étaient bien gardés entre eux. Personne n’allait dire les lourds secrets de l’autre… puisque tout deux savaient ne pas être rose … Sauf que cela, c’était dans leurs faux souvenirs …. Pouvons nous réellement blâmer Gajeel d’avoir massacré un père qui n’existe pas ? Non… pas réellement…

Cependant, la tête d’Erwin faisait sentir qu’il était toujours un filou … Son passé dans les contes ne devaient pas être plus glorieux …. Ce qui fit sourire notre chasseur de dragons… après tout, n’était il pas tous les deux pareils ? Des filous, dans un monde de filous …. Et des alliés, mieux que des ennemis… Bien que pour rester en bon terme avec Erwin, Gajeel devait apprendre à tenir sa langue … Erwin était le genre de personne susceptible. Gajeel cacha un sourire … se mordant l’intérieur de sa joue alors que la réaction de son interlocuteur était trop belle pour ne pas être remarquer.

Il n’avait pas changé sur cela, au moins, il en avait la preuve… Si Erwin avait laissé son passé dans des faux souvenirs, et l’avait laissé couler sur lui comme la pluie … comment se faisait il qu’il avait pris la réflexion de Gajeel pour argent comptant ? Un paradoxe bien paradoxal… Mais Gajeel préférait se concentrer à rester stoïque. Même dans son conte, ce trait de caractère n’avait jamais changé. Il sourit à nouveau et répondit en penchant la tête sur le côté.

- Un salon de thé, pour messire, avec un bar en inox, réfléchissante et surtout propre. De quoi y voir son reflet même dans le noir.

Gajeel connaissait l’homme, et en tout cas, comprenait qu’il allait bientôt lui faire un malaise…. Il ne préférait ne pas lui dire en des termes clairs, et le laissera tranquille par la suite…. Vieillir ça arrivait … cela faisait 6 ans que la malédiction était passé … il fallait bien changer… Arrivant à l’appartement… il ne pouvait que secouer la tête.

- Non. Juste qu’entre chez vous et ici, il y a du chemin. Je me disais juste que tu aurais pu venir accompagné… C’est tout.

Il haussa les épaules… au fond la venue, seul ou accompagné, de l’homme n’avait que peu d’importance….Juste il n’invitait pas tout le monde chez lui… C’était faux, il invitait presque tout le monde … son appartement n’était pas plus un appartement que sa salle de boxe. Une extension pratique pour dormir, mais c’est tout… Il le laissa inspecter en sortant une théière et du thé en poudre (pas en sachet quoi mais je sais plus le nom).

- On peut craindre tout le monde dans cette ville… il y a des gens plus puissant que soit, malheureusement ou heureusement, c’est bien la question la plus importante. Je connais une guilde de mage, avec des chasseurs de dragon par exemple.

Il sourit alors qu’il savait, lui, être un chasseur de dragons… mais la version Fairy Tail… ce qui lui donnait plus de pouvoir que le dessin animé du même nom.

- Je m’appelle Gajeel. Gajeel Redfox. Je suis un chasseur de dragon au cas où. Gaspard était vraiment un nom tout pourri je me demande d’où il sort.


Gabriel, Gaspard, Garrett, que des noms qui rappelait le véritable en étant très différent… Gajeel venait de l’onomatopée japonaise de « ronger » …. Et vue tout le métal qu’il ingurgitait … nul doute que ça lui allait mieux que l’ange Gabriel ou les autres noms qu’il s’était trouvé.

- Et vous ? Êtes-vous plus proche de Dorian Gray ou de Christian ?

Tout ça pour essayer de découvrir qui il était réellement et voir comment l’homme considère son passé… leur passé en commun… peut être serait il à nouveau son allié … ou alors deviendront ils ennemie ? Alors qu'il était en train de dire ça, deux chats vinrent courir dans les pattes de Erwin, pour le plaisir de faire chier. La plus jeune, Kitty -chat blanc- finit par grimper avec ses griffes sur l'épaule de Gajeel...

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HRP - Je te fais celui de la semaine soon, mais au cas où on aura celui là x'D je me suis trompée de personnage Et on fait tourner les serviettes (Premimi) 453450723


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________________________________________ 2020-01-25, 14:50 « If the crown should fit, then how can I refuse? »

Dans la balance de la destinée, le muscle ne pèse jamais autant que le cerveau.” ...

Et on fait tourner les serviettes (Premimi) TenorEt on fait tourner les serviettes (Premimi) Z1Ph

En gravissant les marches, l’esprit d’Erwin ne cessait de revenir à son état extérieur. A son corps défendant, il ne pouvait nier que les mots de son ancien homme de main le travaillaient bien plus qu’il ne l’aurait souhaité. Malgré la quasi-certitude d’une exagération de sa part, il n’oubliait pas la franchise déconcertante que le jeune homme manifestait déjà autrefois. Mais au-delà d’une effronterie déjà bien présente à l’époque et que le temps n’avait pas effacé, il savait que celui qu’il avait connu sous le nom de Gaspard lui restait dévoué. Loyal. Il avait misé sur cette certitude pour ne pas s’encombrer d’hommes de main pour lui rendre visite. Quand bien même tout ce qu’ils avaient traversés ensemble, il ne le ferait pas chanter, il en était certain. Bien trop perdant. Et même s’il ne l’avouerait jamais, il savait que le jeune homme s’était attaché à lui. Alors qu’en penser ? Il se promis de vérifier de lui-même.
En attendant, il se força à daigner s’intéresser à autre chose que lui-même… Ou du moins de s’en détacher suffisamment pour prendre connaissance des lieux. Il regretta. Ce n’était que d’une simplicité qui ne méritait pas l’intérêt. Lorsque les yeux du notaire glissait dans l’humble réduit qui servait d’abri et de domicile à Gaspard, il s’interrogea sur ses activités. Un simple club de boxe ? Ou n’était-ce qu’une simple manœuvre pour dissimuler quelque chose de bien moins orthodoxe ? Difficile de le déduire mais il ne l’avait pas contacté par simple courtoisie. Ou peut-être que si, finalement. Après tout, même s’il était trop fier pour le reconnaître, le nouveau boxeur l’appréciait. Erwin avait oeuvré en ce sens, pour acheter sa loyauté. Même si cela n’avait duré qu’un temps.

- Effectivement, c’est assez éloigné de mon domicile. Mais c’est pour ça que les voitures existent dans ce monde non ?

S’il regrettait l’opulence chic des carrosses dans lesquels il circulait autrefois lors de ses déplacements professionnels, il fallait convenir que l’automobile était bien plus pratique. Même si on abandonnait le plaisir de se faire conduire, elle se déplaçait plus vite qu’un destrier.

- Es-tu venu personnellement déposer l’enveloppe dans ma boîte aux lettres ?

C’était presque plus une affirmation qu’une question, il en était certain. Comment aurait-il pu connaître le lieu ou évaluer la distance sinon ? Même s’il ne craignait pas l’individu, cela restait inconfortable, avec la langue bien pendue de cet enfant des rues, qui sait quelle commérage aurait pu circuler ? Quoique… Gaspard était franc mais peu loquace. En tout cas, le Gaspard qu’il avait connu. Il ignorait tout de lui à présent.
Il l’observa du coin de l’oeil faire mine de préparer du thé. Il restait visiblement souvenir en lui de rares moments où il avait daigné partager une tasse avec lui. Évidemment, au regard de la marque qu’il tenait en main, il n’avait pas les moyens d’investir dans l’excellence.
Et dire qu’il allait devoir faire honneur à son hôte en ingurgitant cet infect breuvage…
Ses yeux se figèrent sur le bar en inox évoqué un peu plus tôt par Gaspard. Effectivement au milieu de cet assemblage hasardeux, il rutillait. Peut-être effectivement pouvait-il faire office de miroir. Il s’avança vers lui, faisant mine d’inspecter sa propreté, se penchant un peu pour apercevoir son reflet. Il fut néanmoins interrompu.

- Peu importe leur puissance, il n’y a personne de plus important que moi, dans cette ville, mon cher. Sais-tu pourquoi ? Au delà du pouvoir, l’esprit gagne toujours, déclama-t-il avec arrogance.

Même s’il enviait les pouvoirs d’autrui, trop orgueilleux pour l’avouer, il se sentait rassuré sur ce point. Après toutes ses années, il savait qu’aucun homme ne le valait. Ce qui lui donnait un avantage notamment.
Il manqua de hausser les épaules à la mention de chasseurs de dragons. Il n’avait aucun dragon en ville*, à quoi bon ? C’était l’exemple type de capacités inutiles. Mais cela l’intrigua néanmoins lorsque Gaspard en fit une mention particulière. Cela l’impressionnait-il ? Ou peut-être y était-il...lié ?
Il eut sa réponse naturellement, par la bouche elle-même du jeune homme ainsi que son réel prénom. Gajeel. Redfox. Un nom qui lui allait mieux sûrement que Gaspard. Plus original, avec une sonorité plus brute, moins distinguée. Un chasseur de dragons. Voilà qui expliquait ses muscles sur-développés qu’il avait toujours possédé, sa propension à la lutte, son corps d’athlète. Son côté un peu rustre aussi. Une fois dévoilé, cela n’avait rien de surprenant.

- Oh. Un métier qui n’est pas répandu par les temps qui courent . Ironisa-t-il sans réelle méchanceté. La boxe était une reconversion idéale, finalement.

Il avait évoqué une guilde, une troupe d’amis… Finalement peut-être était-il plus entouré qu’il ne l’avait cru aux premiers abords…

- Ta guilde t’a-t-elle bien accueillie ? Je suppose qu’ils ont été ravis de retrouver un de leurs membres.

Il l’avait jeté négligemment, presque avec indifférence mais attendait la réponse avec attention. S’il s’agissait de leur avenir professionnel en commun, il ne prenait jamais aucun risque. Il grava ainsi le nom de « Fairy Tail » dans son esprit, se promettant de faire les recherches en temps utile.

Il retrouva son sarcasme néanmoins lorsque Gajeel s’enquit de son identité.


- Dorian Grey ou Christian Grey ? Je suppose que cela dépend de mon interlocuteur…Je ne demande pas mieux que de te partager mon identité, Gajeel. Mais… avant tout, comme tu le sais, nous nous sommes quittés pour le moins précipitamment. Cela m’a..déçu. Je te pensais plus loyal… Alors… Je suppose que je peux attendre de toi une dose d’explications avant toutes confidences.

Non pas qu’il ait lu les aventures de Christian Grey, il était bien trop raffiné pour se perdre dans les mélendres de la décadence littéraire de ce monde, mais il n’avait pu manquer de surprendre une conversation de sa secrétaire à ce sujet avec une cliente. Il méprisait le personnage pathétique qui se cachait derrière le séducteur qui faisait pâmer certaines… Mais il ne pouvait nier être dotée d’une séduction certaine et d’un certain amour du contrôle. Quant à Dorian Grey, il bénéficiait de l’avantage de ne pas avoir besoin de vendre son âme à travers une peinture pour être épargné par le temps….
Quoique… « Mais apparemment tu as pris des rides » souffla subitement une voix dans son esprit. L’effroi s’insinuait déjà à nouveau… Il porta la main à son visage, mécaniquement, la laissait retomber après avoir effleuré le toucher lisse de sa peau lorsqu'il fut perturbé subitement par la venue de deux animaux rampants entre ses jambes. Des chats.. Sans compter cet espèce de stupide chat noir qui s’amusait à le persécuter. Il aurait été présent dans cette salle que ça ne l’aurait qu’à moitié étonné. Sale bête !Cette constatation fit corps avec la légère douleur qu'il ressentit à cet instant précis... Se pouvait-il que?
Il ramena sa main devant ses yeux et se figea à la vue de la minuscule goutte rouge qui seyait l'ongle de son index...

- Peste!

Dramatiquement, il posa son pouce contre sa joue, réprima un sursaut en constatant l'égale trace ensanglantée qu'elle lui ramena. Il avait du s'entailler par surprise!

- Peste! répéta-t-il avec hargne en secouant dramatiquement la main, Mais ne reste pas planter là, comme un empoté voyons, ramène moi un désinfectant, une serviette et un miroir! Veux-tu que je reste défiguré?

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________________________________________ 2020-01-27, 00:20

Et on fait tourner les serviettes
Gajeel observait Erwin en essayant de le comprendre, ou de voir en lui … quelqu’un d’autre … D’où venait-il réellement ? Pouvait-il le découvrir en observant ses traits du visages vieillissants ? Il se le demandait tout en se rappelant de ne pas lui poser à nouveau la question … cela faisait 6 ans … les corps changeaient forcément … dans son monde, pas réellement … mais ici Gajeel avait plus de force en s’entrainant … et savait pouvoir devenir un chat bottelé s’il ne faisait pas attention à son petit bidon … Parce que … C’était la réalité ….

Le monde d’ici était bien moins sympas sur le temps et la nourriture … heureusement pour Gajeel son régime alimentaire était toujours le même depuis 6 ans … un boulon par ci, une barre de fer par là … et hop on avale tout ça en rongeant… Ce n’était pas bien compliqué de recyclé du fer avec lui…. Un petit creux et hop tout disparait.

Gajeel sourit en parlant de voiture … il préférait les motos, et de loin … mais il était sur que le brunching de son patron n’autoriser pas ce genre de véhicule … D’ailleurs …. Il se rappelait d’un chauffeur non ? Peut être pas, il s’en fichait au fond. Il reprit.

- Je suis venu personnellement. Je n’aime pas avoir des intermédiaires entre moi et mes interlocuteurs … c’est chiant.

Franc parler ? Oui. Pourquoi avoir un intermédiaire quand on pouvait le faire comme un grand ? Très bonne question qu’il se chargera de ne pas répondre. Sur la locution, il n’avait pas changer … et lui tends qu’on ne le faisait pas chier, il ne cherchait pas à rendre la pareille. Il sourit en écoutant l’égocentrisme de son ancien patron. Il ne préféra pas lui dire.

- Je vous crois.

Il croit surtout qu’Erwin le pense … et il n’avait pas réellement envie de débattre la dessus … surtout en sachant que l’homme devait nier en bloc l’existence même des divins, des magiciens et autres puissances pouvant l’écraser par l’esprit… Il haussa les épaules…

- Ce n’est pas un métier mais un statut.

Il ne chassait pas les dragons… il avait été élevé par un dragon, et on lui avait appris à se battre pour pouvoir en tuer … ce qui n’était pas réellement la même chose. Mais encore une fois il se voyait mal lui faire le cours accélérer des chasseurs de dragons pour les nuls… peut être pourrait il imaginer plus …

- Ma guilde … pas réellement, c’est compliqué … et je n’ai pas très envie de me retrouver parmi eux pour te dire toute la vérité.

Bon … aussi il avait pris le temps d’envoyer chier tous les membres de la guilde un à un … et si certains le tienne … il ne change pas le fait qu’il ne se sentait pas bien dans la guilde … et ne voulait tout simplement pas d’eux dans sa vie, qu’il dit ….Il sourit … il connaissait les deux personnages de nom … Parce que lui, lire c’était une grosse blague … mais il ne s’arrêta pas dessus.

- Je devais voir mes capacités, je devais … ne pas être retrouvé par ma guilde. Je n’étais pas prêt à les voir, ni à faire face à ce faux passé. Ce n’était pas bien compliqué…

Il devait fuir … Surtout Levy …mais si on commence à expliquer le lien étroit (et tordu) qui menait à la relation de ses deux là … alors on n’était pas sorti de l’auberge… encore une fois … il préférait ne rien dire et passer à la suite dans un silence du tonnerre. Pas de chats noirs mais un roux et un blanc … Alors qu’il regarda les chats passaient, il sentit une odeur de métal différente. Il releva la tête pour voir Erwin … avec une micro égratinure … Il lui tendit alors une trousse de secours … il était de toute façon en train de la remplir …

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Erwin Dorian
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________________________________________ 2020-02-02, 19:44 « If the crown should fit, then how can I refuse? »

Dans la balance de la destinée, le muscle ne pèse jamais autant que le cerveau.” ...

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Même s’il essayait de feindre avoir pris avec mansuétude les remarques sur son physique, Erwin restait tout de même impatient.
D’autant qu’il ne pouvait retourner la critique à son ancien acolyte. Visiblement, le temps n’avait eu d’emprise sur le jeune homme que pour asseoir sa musculature et lui offrir un renforcement de son physique engageant. Bien évidemment, il n’était pas aussi parfait que lui mais il était malgré tout suffisamment présentable pour que le notaire ne puisse pas l’attaquer par une remarque désobligeante. Il n’était même pas sûr à vrai dire que cela parviendrait à le blesser. Il avait toujours été cet enfant sauvage déjà suffisamment torturé par la vie pour qu’une remarque fondée sur l’apparence en vienne à le faire souffrir. Ce qui constituait sûrement une qualité pour le commun des mortels, mais pas pour Preminger qui ne jurait que par les apparences.
Aussi, prit-il son mal en patience, tout en écoutant son ancien employé confirmer sa propre venue.

- Tu te souvenais du chemin, c’est intéressant. Je préférerai néanmoins que tu évites de t’y présenter à moins que je ne t’appelle. Nos liens doivent demeurer confidentiels, je ne tiens pas à ce que mon épouse te voit.

Si Georgia se souvenait vaguement du garçon, il ne voulait pas qu’elle sache qu’il lui resterait fidèle. Tout au plus rapporterait-il de leur entrevue de ce jour, qu’il lui avait posé un lapin ou l’avait à peine salué. Les agissements qu’il pouvait solliciter plus tard devaient demeurer loin de lui. Inatteignable et insoupçonnable.

- Si tu n’aimes pas les interlocuteurs, nous échangerons par téléphone sous un faux nom et des messages codés. Je me souviens que tu étais habile, plus vif d’esprit que tu ne le penses, le flatta-t-il dans l’unique but d’obtenir sa reconnaissance, je suis sûr que tu parviendras à tromper ce qu’il faudra tromper.

Néanmoins, Preminger sentait bien que le jeune homme tout aussi dévoué qu’il pouvait l’être, le mettait en doute. Se forçant à ne pas en prendre ombrage, il précisa :

- Tu es de ces forces spéciales qu’on rencontre à Storybrooke, il en existe d’autres, tu as du t’en rendre compte. Même des divins, paraît-il. Effectivement, ils sont à craindre, à se méfier. Mais l’entendue d’un pouvoir n’a d’impact que par l’intelligence qui la manie. N’oublie jamais cela.
L’homme fort sera toujours vaincu dans l’absolu par la réflexion et c'est ce qu’il te faudra éviter, Gajeel


Travailler avec un chasseur de dragons était une situation des plus curieuses, finalement. Pour lui, les dragons n’étaient que des chimères, des animaux mythiques des légendes pour enfants.. Pour Gajeel, il semblait qu’ils constituaient la réalité. Cela lui semblait incroyable, mais Storyrbrooke réalisait des choses curieuses. Il ne fallait en retenir que l’utilité que cela apportait aux temps présents : une capacité guerrière réelle.

- As-tu déjà combattu un dragon ? Interrogea-t-il d’une voix qui frisait presque l’ironie. Ou n’étais-tu que préparé à le faire lorsque la malédiction est arrivée ?

La question était posée comme s’il l’avait interrogé sur sa capacité à faire le ménage. Comme si terrasser un mastodonte ne nécessitait aucune admiration particulière ou une attention spéciale. Et pourquoi d’ailleurs ? Erwin Preminger n’était pas homme à se pâmer d’admiration pour les exploits d’autrui. Dans un autre monde, peut-être aurait-il été lui-même le meilleur chasseur de dragons. Cela était même certain. Après tout, il était meilleur que tous. Là, cependant, il avait simplement envie de savoir. Outre sa nature curieuse, cela l’informerait davantage sur la dangerosité de son homme de main. Et sûrement Gajeel apprécierait cette attention.
- Divergence d’opinions, peut-être ? Ils ne te voient pas à ta vraie valeur ? Et le poids de la malédiction change un homme, il est vrai, susurra-t-il comme un serpent autour de sa proie, parfois nos anciennes coutumes ne nous correspondent plus. Quelle est ton aspiration actuelle, mon cher ?

A ce qu’il pouvait déduire, les relations de ce dernier avec ses anciens amis étaient chaotiques. Étranges. Mais idéales pour ses propres affaires.

-Cela m'a désappointé, mon cher. Je pensais que la moindre des politesses t'aurait poussé à m'en informer. Mais visiblement, je ne t'ai pas suffisamment appris de tes erreurs. Et pourtant, j'ai nourri de si grandes ambitions à ton égard.

Si les chats n’étaient pas rentrés dans l’équation, Erwin aurait poursuivi cette brèche. Mais las, un besoin impérieux de se préoccuper de la survie de sa beauté surpassa ses intérêts politiques.
En réalité, son inconscient était parfaitement lucide quant au degré minime de son état de gravité. Ce n’était tout juste qu’une simple éraflure causée par son ongle, même pas creusée, juste superficielle.
Mais cette partie de son cerveau était incapable de s’exprimer normalement toute cloîtrée derrière des préoccupations au combien plus importante.
Aussi, l’ancien ministre arracha presque des mains la trousse de secours que lui tendait le boxeur, farfouillant avec hâte parmi les objets qu’elle contenait.

- Je ne veux pas de sparadraps, idiot ! Tu imagines l’air ridicule que cela me donnerait ? Pff

Il pesta mentalement contre l’incompétence de chacun de ses alliés, prenant avec rapidité la petite bouteille d’alcool, il l’appliqua à grand effet sur un morceau de coton qu’il imbiba totalement.
- J’espère pour toi que tes chats ne sont pas contagieux… Sait-on jamais… L’air ici est peut-être malsain, commenta-t-il tandis qu’il apposait le coton sur l'éraflure de sa joue.
Il grimaça avec théâtralité lorsque l’alcool lui picora la plaie.

- Regarde ce que ces sales bêtes me font. Je ne comprendrais jamais qu’on puisse les affectionner. C’est indocile, bête et indiscipliné. Oh, je n’ai jamais supporté cette odeur d’alcool. J’espère d’ailleurs que ça n’assèche pas la peau. Pourrais-tu avoir l’obligeance d’apporter un miroir ? Et mon thé… Comment espères-tu me remettre d’aplomb sinon ?
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________________________________________ 2020-02-05, 00:33

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Gajeel ne voyait pas le mal dans le fait de dire une vérité … Certes énoncer de cette manière … mais la vieillesse touchait tout le monde … même lui avait changé … mais il ne préférait pas le dire … Son ancien patron semblait déjà bien assez … narcisse pour se noyer dans la fontaine, sans lui rajouter la mise en lumière de ses nombreux défauts. Il haussa les épaules à l’annonce de leur « relation cachée »… Erwin avait toujours été étrange sur bien des points … celui-ci n’en était qu’un de plus.

- Cela me va. J’étais juste passé déposer la lettre de toute manière, je comptais ne pas repeindre le mur.

Bien qu’il avait de quoi faire, il pouvait repeindre tous les murs en noirs avec les bombes qu’il avait acheté sur internet pour les murs de Purge… il ne comptait pas le faire chez l’homme … et que sa femme ne sache pas son existence le désintéressé totalement … il n’avait pas réellement souvenir de lui avoir adressé un jour plus qu’un sourire … et il n’allait pas en pleurer. Il regarda l’homme alors qu’il lui fit un compliment … Si à l’époque cela fonctionner sans qu’il réfléchisse, il avait malheureusement grandit… et comprenait l’expression « brosser le chat dans le sens du poil » mieux qu’avant.

- J’ai un numéro de téléphone, je ne sais pas s’il sera suffisant, mais cela me dérange pas non plus. Faudra trouver des faux noms alors.


Gajeel ne préféra pas revenir sur les divins et autres conneries qui peuplaient SB au risque de perdre sa politesse et sa patience … Il y avait toute cette magie partout … et personne pour penser à revenir en arrière ? Retourner dans leur monde ? Non… Abruti de divinité, il préféra s’occuper de la question principale.

- J’ai souvent combattu Metalicana, mon père adoptif, et je sais que je pouvais le battre. J’ai aussi combattu un autre dragon (dont le nom m’échappe là), cependant sa force était bien plus grande que la notre, et la malédiction nous a empêchés de voir la fin du combat.

Bon… ils se faisaient laminer par le dragon avant la malédiction… Mais personne n’avait réellement besoin de le savoir … Il pensa à son père, qui avait disparu bien avant encore, et dont il ne pourrait jamais savoir la fin … Revenant sur le sujet de la guilde, Gajeel sourit.

- On va dire ça.

Ce n’était pas de la divergence d’opinion qui faisait que Gajeel restait loin … mais le fait qu’il n’avait aucune envie de retourner se mélanger à toute cette superbe mascarade de famille choisi et autres conneries. Il ne pu dire plus, ou répondre aux restes … Que l’homme était déjà en train de faire un caca nerveux pour une petite égratignure …

- Certaines choses ne changent pas ...


Dit il dans un sourire alors qu’il se déplaça pour apporter une « sur-peau » normalement, c’est un pansement transparent qui donne l’impression d’être opaque. Cependant, il permet d’être invisible sur la peau, comme une sur peau, mais aussi de désinfectés les plaies. Il lui tendit.

- L’isolation de cet endroit est parfaite, l’air y est filtré tout le temps pour éviter les effluves de Punch qui ne serait pas très agréable à sentir pour quelqu’un comme moi qui sent plus fortement que tout le monde.

Il était déjà en train de faire le thé alors que l’homme demandait un miroir … le dernier qu’il avait mis dans la salle de bain avait explosé sous le coup de ses poings … il n’en avait pas remis depuis, puisque son propre visage l’insupporter. Doucement, il montra le bar en inox d’un doigt alors qu’il posa une tasse, propre, sur un dessous de tasse, propre, avec une cuillère propre. Mais tout en gris.

- Je n’ai pas de miroirr, mais le bar est assez lisse pour ne pas trop déformer les visages.

En faite, il le faisait un peu … mais pas assez pour que Gajeel ne le recouvre pas d’un drap de temps en temps quand même le reflet de son visage dans une cuillère l’insupporte.

- Le thé de monsieur.

HRP – Deux questions, voudrait – tu que l’on rajoute Gajeel dans les liens de Georgina ? Et tu me diras le thé, je me dis que ça pourrait être ce que prends d’habitude Erwin, et que Gajeel se souviens

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________________________________________ 2020-02-09, 18:49 « If the crown should fit, then how can I refuse? »

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Preminger n’avait pas pu manquer l’incompréhension de Gajeel et ce qu’il prenait visiblement pour une lubie de sa part. Tant pis, il n’avait pas de temps à perdre en explication.

- Je ne te savais pas peintre à tes heures perdues, ricana-t-il. Mon épouse a une propension à retenir les visages des gamins un peu perdus… Autrefois, elle se souvenait encore des paysans à qui elle distribuait des vivres les jours de disette… Mais était incapable de retenir le nom d’un ambassadeur.
Je ne serais pas étonné qu’elle ait retenu quelques uns de tes traits, tout du moins.


Quelque chose avait changé chez Gajeel, il était moins vulnérable. Autrefois, un simple compliment l’aurait fait réagir… A présent, cela lui offrait une indifférence agaçante, frustrante. Il n’était pas attaché à ce garçon mais n’appréciait pas découvrir du détachement chez ses hommes de main. Chez Hyde, il pouvait tolérer un refus de dévouement, il le tenait par autre chose, mais pas pour ceux qu’il côtoyait plus fidèlement. Ils constituaient sa garde rapprochée, ses hommes de l’ombre. Ceux qu’il devait posséder complètement.

- Des faux noms ? Je peux te donner mon vrai nom… Mais pour cela, j’ai besoin de pouvoir te faire réellement confiance Gajeel. Mes enjeux dépassent les tiens, mon garçon… Alors, comment te proposes-tu de prouver ta loyauté ?

Il l’avait dit avec détachement, mais c’était une réelle question. Il n’insistait cependant pas, pour éviter de braquer le garçon. Plus il écoutait et plus il voyait en lui, un réel potentiel. Un chasseur de dragons..cela sous-entendait une réelle force, une puissance protectrice.

- Ton père adoptif était donc un dragon ? Répéta-t-il avec étonnement, comment en es-tu donc arrivé à les combattre alors ?

Ca l’intéressait réellement. Après tout, il ignorait si dans son monde, les dragons étaient les ennemis ou les alliés des humains… Il ne semblait pas que Gajeel soit une personne mauvaise dans le fond, mais rien ne présageait du contraire non plus. Après tout, ses fréquentations laissaient à désirer… Ne le côtoyait-il pas ? N’avait-il pas tué son père dans ce monde alternatif qu’ils avaient subi ?
Il n’eut bientôt plus à penser à cela, tout à sa « souffrance ». Saleté de bestioles. Il détestait réellement les chats… Et eut un relent de colère à la pique inoffensive qui s’échappa des lèvres de Gajeel

- Réellement ? Pourrais-tu avoir l’obligeance d’expliciter ta pensée ? Sourit-il faussement en saisissant la fausse-peau que lui tendait Gajeel.

Il regarda le pansement avec un presque dégoût. Il détestait poser quoique ce soit sur sa peau, cela ne manquerait pas d’altérer sa beauté… Il en oubliait presque l’égratignure sur laquelle il sanglottait quelques secondes plus tôt. Avec mauvaise grâce, il se résigna néanmoins à l’appliquer sur sa peau… Histoire de personnifier le dicton « Il faut souffrir pour être beau ». Il n’avait jamais eu besoin de souffrir auparavant. Il était né beau et avait fructifié en ce sens, sans réelle difficulté. Mais ce n’était pas donné à tous.

- Ah bon ? Tu es donc doté d’un sens olfactif plus développé ? Souleva-t-il avec doute, l’odeur de la salle de sport doit t’être insupportable, non ? Quoique… vous les sportifs, cela ne vous dégoûte guère.

Il ne haïssait pas le sport mais refusait de le porter aux gémonies ou aux nues. Ce n’était qu’un passe-temps d’entretien, rien de plus. Il récupéra la tasse de thé que lui entendait son ancien acolyte et la porta à ses lèvres.

- Oh… Je dois avouer que je suis agréablement surpris. Tu as...visiblement une bonne mémoire. Ou peut-être ai-je seulement réussi à t’apprendre le bon goût.

Ce qui équivalait de son point de vue à un compliment. Il n’en faisait que très peu, mais néanmoins il le méritait bien. Il n’aurait jamais pensé que le jeune homme puisse lui servir son thé favori… Avait-il fait des courses pour l’occasion ? Il se souvenait lui avoir offert il y a des années de cela un pot de thé, en le lui conseillant. Il espéra soudainement que cela ne soit pas le même pot…. Gajeel en aurait été capable après tout… Mais il décida de croire que non.

- Quel dommage que la présentation soit si sinistre, soupira-t-il néanmoins, ces tasses grises, ces murs sombres. Que ne fais-tu pas entrer un peu de couleurs dans cet endroit, ce serait vivifiant. Plus solaire. Plus vivant.

Son œil observateur sautait sur la pièce dépouillée avec condescendance. Trop vide, si terne. Il détestait le minimalisme...mais y décelait les symptômes d’un mal-être dissimulé, étouffé.
La révélation acheva de l’en convaincre

- Pas de miroir, avait-il glapit en faisant tressaillir sa tasse sur ses genoux

Cela suffit à le désappointer. Comment ferait-il pour vérifier son absence de rides ? Preminger se mirer dans un vulgaire bar de cuisine ? Il était au dessus de ça. Malgré son envie flagrante de céder à cette pulsion. Il se borna à boire une gorgée de son thé, pensivement. Non, non, il ne pouvait laisser subsister une telle situation à l’avenir. Comment pouvait-il envisager d’aller et venir dans un tel endroit à l’avenir sans un tel point de repère ?

- Je t’en ramènerai un, la prochaine fois, décida-t-il avec autorité, le miroir est l’oeil d’une maison, mon cher, il n’est pas bon de s’en tenir éloigner. Comment prendre soin de toi, sinon ?
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