« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Statut : impératrice de Russie (irp) et MJ (irl) donc autant vous dire qu'elle craint pas grand chose Pouvoir : parler russe très très vite et avec une grosse voix pour faire peur aux gens tout en les profilant Signe particulier : elle est rousse Taux de princesse attitude : 100 %
Regina Mills-Locksley
Statut : ex Méchante Reine reconvertie en maquerelle puis barmaid (irp) et choix du MJ irl... La méchante de l'histoire devrait lui rappeler des souvenirs... Pouvoirs : les boules de feu et la propension à trouver des gants Signes particuliers : ne porte actuellement pas de gants Taux de méchante reine attitude : 39 %
Zack Zuzio
Statut : oiseau qui parle que pour faire la morale (irp) et gagnante d'un jeu que tout le monde a oublié (irl) Pouvoirs : le sarcasme et un faible pour Prue Halliwell Signe particulier : ne fait pas son âge Taux d'ornithologie : 100 %
Jefferson Hatters
Statut : Chapelier fou qui se drogue (irp) et revenante qui a gagné sa place en dépensant seulement 1 000 étoiles (irl) Pouvoirs : majoritairement en panne mais peut faire du thé à la LSD Signe particulier : atteint de folie furieuse Taux de wonderlandisme : 100 %
Ali Nacer
Statut : Prince Ali, oui c'est bien, Ali blablabla (irp) et gagnante du défi de votes numéro 1 vu qu'elle a toujours le cul bordé de nouilles aux dés (irl) Pouvoirs : se déshabille plus vite que son ombre et parle aux tapis Signe particulier : aime pécho de la princesse Taux de Prince des voleurs : 100 %
Derek & Duncan Byrom
Statut : The Wonder Twins (irp) et le dernier gagnant du 2e défi (irl) Pouvoirs : donner l'impression d'être dédoublé alors que pas du tout Signe particulier : rouquins tarés Taux de wonderlandisme : 200 %
Virginia & Wolf
Spoilers...
Anastasia Romanov
« Men are such babies »
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| Conte : Anastasia | Dans le monde des contes, je suis : : Anastasia Romanov
27 août 2018 In a far, far away land... Dans le 4e Royaume en fait Dans la Prison du Mémorial
- J'sais pas vous, mais moi j'ai un peu le temps long, commenta l'un des trolls, assis sur son tas de paille, dans la cellule qu'il partageait avec sa fille et ses fils. De l'autre côté de la pièce, depuis son autre cellule, l'affreuse belle-mère - et reine, accessoirement - lui lança un regard glacial et plein de snobisme alors qu'elle aussi était assise sur un tas de paille. - Patience mes mochetés, il sera bien là, assura-t-elle non sans majesté avant de caresser la tête de son golden retriever. Si vous vous demandez qui est ce "il", vous êtes intelligents. Il s'agissait bien sûr du prince Wendell, héritier du 4e Royaume, qui s'apprêtait à monter sur le trône, justement. Mais avant cela, il avait entrepris un périple de 13 jours au travers des 8 royaumes alentours et, histoire de rajouter des chiffres dans cette phrase, il faisait 27 degrés précisément. Le Prince était un homme bon, mais de là à dire qu'il était particulièrement futé, c'était peut-être se montrer trop optimiste. Aussi, il ne se méfiait pas de l'affreuse belle-mère qui était la sienne et ne dérogea pas au protocole : il stipulait que le Prince se rende à la Prison du Mémorial et c'était justement là qu'il allait. Quand il arriva, Wendell était bien sûr entouré de sa garde royale, mais celle-ci ne put pas grand chose. Il faut dire qu'ouvrir la porte de la cellule où l'affreuse belle-mère était enfermée pour lui serrer la main n'était peut-être pas une très bonne idée - mais c'était une idée polie, et Wendell était poli. Sa belle-mère, par contre, n'hésita pas un instant. Elle lança son chien à toute allure en direction du prince qui glapit mais n'esquiva pas. Quand le chien posa ses deux pattes sur le torse du jeune homme... quelque chose se produisit : une lueur dorée enveloppa les deux êtres. Quand elle se dissipa, le chien était devenu homme et l'homme chien. Pourquoi ? Comment ? Qui aurait pu éviter ça ? Vous êtes en droit de vous poser ces questions pertinentes auxquelles les réponses sont extrêmement simples. Premièrement, personne n'avait pensé à affubler l'affreuse belle-mère de gants anti-magie (ça, c'était gratuit). Deuxièmement, l'affreuse belle-mère qui était évidemment une sorcière (bah oui, on est dans un conte, y a un moment c'est toujours un peu la même chose) en avait profité pour ensorceler son chien de sorte que... Troisièmement, quand il avait touché le prince, leurs âmes avaient été échangé. Le but de la belle-mère était évidemment de régner à la place de Wendell, encore une fois parce que ce genre de méchant n'est pas ultra novateur, en principe. - J'espère que tu aimes les chiens, prince Wendell, parce qu'on peut dire que maintenant tu vas avoir une vie de chien, commenta la reine avant de se détourner du chien-prince pour s'occuper de son golden retriever qui avait pris forme humaine et était totalement perdu. Maintenant qu'elle était libre, l'affreuse belle-mère eut tôt fait de mettre KO la garde royale puis de libérer ses copains les trolls. Mais ce qu'elle avait peut-être mal calculé c'était que Wendell tiendrait autant à se vie et ne resterait pas là sagement à remuer la queue (de chien). Bien au contraire, il s'enfuit dans les couloirs étroits de la maison, bien décidé à mourir un autre jour. - Rattrapons-le ! cria l'affreuse belle-mère en se hâtant. - Oh ça va on est dans une prison c'est pas comme s'il pouvait s'échapper ! s'écria le roi des trolls. Vous ne le savez peut-être pas, mais c'est pas pratique de courir en robe et talons. La belle-mère se fit donc rapidement distancée par le chien et sa télékinésie ricocha contre les murs en pierre. Cependant, il semblait que la chance était de son côté : Wendell avait couru tout droit dans un cul de sac, celui dans lequel était entreposé le vieux miroir magique au mur de la belle-mère. L'homme devenu chien s'y cogna et... disparu de l'autre côté du miroir sans que ça n'ait jamais été prévu ! - Bah alors ? Qu'est-ce que vous attendez pour le suivre et me le ramener ? vociféra la reine à l'adresse des trolls qui avaient bêtement suivi le mouvement et était déjà essoufflés. - Bah c'est qu'on sait pas trop où ça conduit ce machin ! fit remarquer le plus téméraire des trolls. - Je voudrais pas me mêler de ce qui me regarde pas... quoique si, en fait, mais moi je vois absolument aucune objection à aller voir,, intervint un homme derrière les barreaux de sa propre cellule. L'affreuse belle-mère le toisa, la bouche pincée. Elle renifla bruyamment. - Qui êtes-vous ? - Moi ? je suis un très gentil garçon emprisonné par erreur. Mais voyant que la reine n'était pas dupe, l'homme fit luire ses yeux d'une lueur dorée qui éveilla son intérêt. Elle avait compris ce qu'il était réellement. Et ça pouvait lui servir. Alors l'affreuse belle-mère lui fit promettre de la servir sans poser de questions. Pour faire court, contrairement à ce post, il accepta et se jeta non pas dans la gueule du loup mais au travers du miroir magique...
Le même jour Storybrooke Salle de bains d'Anastasia Romanov
Anya venait de se brosser les dents, comme le fait chaque matin chaque personne qui a un soupçon d'hygiène. Il était près de 9h et elle ne tarderait pas à filer au poste de police prendre son service. La rouquine se détourna de son miroir pour attraper sa brosse à cheveux. Quand elle reposa les yeux sur ce qui aurait dû être un miroir et un lavabo, elle trouva un homme en face d'elle. Il l'observait d'un sourire carnassier qui avait vraiment quelque chose de malsain et allait probablement dire quelque chose de tout aussi glauque quand Anya leva sa brossa : - Attention, je suis armée ! déclara-t-elle, farouche. - Hmm ! J'adore ! commenta l'homme en se pourléchant les babines. Vous n'auriez pas vu un chien ? Si la question prit Anastasia de cours, elle n'eut guère le temps de répondre : attirer par tout ce remue ménage, Hoover était venue aboyer à la porte de la salle de bains. Et l'homme juste en face commença à faire de même avant de se tourner vers l'humaine et dire : - Non, elle non plus elle sait pas.
Jefferson T. Hatters
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
Il faisait beau, il faisait chaud, il sirotait un cocktail à l’ananas allongé sur un transat, sur la plage de Copacabana et deux magnifiques apollons, façon de parler, étaient entrain de lui préparer deux rails de crystal meth., une douce musique d’électro retentissant derrière eux. Que pouvait il demander de plus ? Rien du tout ! Jefferson était heureux, véritablement heureux, et même apaisé. Un petit sourire au lèvre alors qu’il jouait avec la grande paille jaune et le petit parasol. Depuis quand n’avait il pas eu ce sentiment de plénitude complète ? Jamais. Il n’arrivait jamais au 100% de son échelle de contentement, étant souvent vers les 90%. Il manquait toujours dix petits pourcents, qui faisait tout la différence, ces dix petits pourcents qui ne reviendrait jamais, qui marquait dans son âme les souffrances qu’il avait eu. Même s’il voulait tourner la page, même s’il voulait oublier son passé, il ne pourrait pas car en plus de l’avoir gravé dans sa chaire, il était gravé dans son âme, au plus profond, au fer rouge. Alors là, il était au septième ciel, ne ressentant aucunes douleurs morales, mentales, corporelles, et sans même avoir touché à la drogue vu qu’elle se trouvait sur la table derrière lui. Il ne comprenait pas totalement comment il était arrivé dans cet endroit paradisiaque mais il aimait ça ! Peut être qu’Apollon, le véritable, lui avait fait une surprise et l’avait envoyé ici pour qu’il puisse, justement, passer à autre chose. Il y avait la malédiction, pendant vingt huit ans, à voir et entendre tout sans avoir la chance de repartir du bon pied. Puis il y avait eu l’après malédiction, un an complet dans l’errance et le désespoir, une autre année où il avait voulu voir le monde, sa nature de voyageur le poussant à tout explorer et trois autres années où il était partagé entre toutes les émotions possibles et inimaginables. Il n’arrivait pas à savoir si tourner la page pourrait le faire avancer d’un meilleur pas et surtout quel but atteindrait il maintenant ? Il n’avait rien à faire concrètement à Storybrook, il ne détestait plus cette ville comme avant, mais ce n’était pas non plus le plus bel endroit de la galaxie. Il avait une mission, que la Reine Blanche lui avait confié, juste après l’avoir sauvé de sa terrible geôle. Il devait être le fer de lance de la révolution pour remettre le pays des merveilles dans le bon sens, eut il eu un sens un jour ! Il ne savait pas, il n’avait jamais su s’il le ferait car il n’aimait pas Wonderland. Toutes ses souffrances venaient de ce pays de malheur et il ne voyait pas l’utilité d’apporter sa pierre à l’édifice. Or petit à petit, parce qu’il était coincé, il y prit goût, se jetant corps et âme dans la bataille. Il n’avait pas cette sensation à Storybrook, de se dire qu’un jour, il pourrait y faire quelque chose de grand, de beau et d’ailleurs il ne le comprenait pas. Comment pouvait il penser ça de Wonderland alors qu’il haïssait ces terres ?
Le destin ne lui avait pas encore révélé tous les secrets de son existence, préférant le laisser dans le brouillard, sur son chemin, alors qu’il s'évertuait à hurler qu’il savait où il menerait sa barque, à crier que plus jamais, il ne ferait les mêmes erreurs, qu’il aurait les même comportements. Plus jamais il ne se laisserait avoir par le lièvre de Mars, plus jamais il ne se laisserait avoir par Regina, plus jamais il ne subirait des tortures infâmes, plus jamais il ne se laisserait avoir par Wonderland, plus jamais il ne se laisserait avoir par n’importe quel monde et n’importe quel personne lui demandant un service pourtant c’est ce qu’il allait faire, sans savoir le pourquoi du comment, parce que le destin avait avec la mort, le même passe temps, s’amuser avec leur marionnette Jefferson. Regardant l'océan, dont les vagues mouillaient doucement le sable blanc, il baissa ses lunettes de soleil en regardant une chose au loin. Des rouleaux étaient entrain de se former, et d’avancer à galop vers lui. Se levant d’un bond de son transat, faisant tomber la serviette, il se retrouva en tenue d’Adam devant ce qui semblait être un immense tsunami. Hurlant aussi fort qu’il pouvait, ne voyant même pas que les personnes qui étaient là quelques minutes avant, avaient disparu, il essaya de courir, mais ses pieds s’enfoncèrent dans le sol, lui bloquant totalement les jambes. Se retournant, la vague, qui devait bien faire plus d’une quinzaine de mètre était à quelques pas de lui. Il allait se la prendre. Ne pouvait il pas avoir cinq minutes de bonheur ? Quand elle s’éclata sur la grève, le bruit fut assourdissant et quelques instants après, la vague le frappa de plein fouet. La douleur était immense, comme si toutes ses années de tortures étaient réunis en un point. Il hurla mais l’eau s’engouffra dans sa bouche, dans ses poumons, alors qu’il faisait des mouvements de bras, pour essayer de remonter. “Tu voulais aller aux enfers mon amour, mais tu n’en as pas besoin !” Ses yeux étaient totalement écarquillés quand sous l’eau, sa femme apparue, rayonnante de bonheur. Ses poumons le brûlaient, l’air commençait à manquer à son cerveau et il tendit les bras pour toucher ce bonheur qu’il n’avait plus. Mais au lieu de le prendre avec lui, de l'emmener voir son amie la mort, elle sortit une immense faux, dégoulinante de sang, qui s’abattit sur sa nuque.
“Haaaaaaaaaa” Un hurlement digne d’une banshee résonna dans la chambre du manoir. S’étant redressé comme un diable dans sa boite, Jefferson toucha immédiatement sa nuque, son torse, ses jambes. Il était trempe, mais de sueur. Il venait de faire un cauchemar, comme quasiment toutes les nuits, mais celui ci, était particulièrement violent. Essayant de reprendre sa respiration, il passa sa main sur son visage, essayant d’effacer la tête de Priscillia en ange de la mort. Les réflexions qu’il s’était fait dans son rêve étaient fondées, mais totalement éclipsé par la fin atroce qu’il avait connu. N’y pensant plus, il regarda son réveil. 9h. Bien, pour une fois, il ne s’était pas réveillé en plein milieu de la nuit. Se rejetant en arrière sur l’immense matelas, il fixa le lustre du plafond. Arriverait il à passer au delà de sa défunte femme ? Heureusement, son téléphone sonna pour le sortir de la question qu’il se posait en boucle depuis quelques temps. “Hum ?” “Je ne te réveilles pas ?” “Non non, l’esprit de ma femme s’en est chargée.” River, qui se trouvait au bout du fil, laissa passer deux minutes de silence avant de reprendre. “Un déjeuner au restaurant avec Stella ça te tentes ?” “A midi ?” “Non un déjeuner c’est en pleine nuit ! Bon sang Jeff, oui à midi ! 12h30 pour être précis !” Ricanant sur son portable, il hésita pendant un moment. “Bon allez ! Franchement faire des trucs le midi … c’est mieux le soir justement ! Y a plus de possibilités !” “Ouais c’est ça ! Allez à toute !” Le signe du bouton rouge s’alluma sur l’écran et le silence revint dans la pièce. Soupirant, il regretta immédiatement d’avoir accepté. Il n’était pas du matin, c’était bien connu, qu’il préférait la nuit noir à l’éclatant soleil. Sauf qu’il savait, qu’avec ses deux amis, il arriverait à effacer son rêve qui tournait en boucle dans sa tête. Se levant comme un zombie, il se rendit mollement dans la salle de bain. Prendre une bonne douche, qui dérivera certainement en bain, lui permettra de se détendre et de pouvoir attaquer avec vigueur sa journée qu’il voyait comme plutôt bonne. Mais d’abord, il allait se passer le visage sous l’eau froide, glacée. Levant les yeux au miroir, un sourire plutôt sadique se dessina. Et si au lieu, de se détendre tout seul, comme une limande dans sa grande baignoire, il le faisait en bonne compagnie. Allumant toutes les lumières de la pièce, connaissant parfaitement la peur de son petit fantôme, il posa ses deux mains sur le miroir de la pièce. Elle allait l'engueuler, le frapper très certainement, mais c’était pour ça qu’il l’appelait. “Ma petit Mary ! As tu envie d’une bonne bouteille de whisky ? J’en ai reçu une très bonne d’un client content de sa commande de chapeau.” Le miroir commença à bouger alors qu’il n’avait même pas commencé à faire véritablement son invocation. Un peu surpris, mais pensant que peut être, ils avaient eu la même idée, il continua avant de pousser un deuxième hurlement puissant. A la place du visage gracieux de Mary, un espèce de troll était apparu. “Oh t’as raté ton masque de beauté ou quoi ?”
S’approchant un peu, il hurla une troisième fois, comme on dit jamais deux sans trois, quand le troll sorti du miroir. Mais qui dit sortie, dit aussi atterrisage, et qu’il lui tomba dessus, dans un bruit sourd. Sous le poids de l’animal, Jefferson tomba en arrière. Dans une contorsion totalement tordue, le chapelier arriva à sortir de sous cette chose avant de recommencer à hurler. Qu’est ce qu’une mocheté comme ça venait faire dans sa salle de bain. Regardant autour de lui pour trouver une arme adéquate, il attrapa son gel douche ushuaia à la papaye et le lança à la tête du troll, ne s’attendant pas qu’il réplique en lui envoyant son pot de brosses à dent et de dentifrice. Esquivant, Jeff ne se prit que le dentifrice dessus. “Mais qu’est ce que tu fous ici ?” Sa voix commençait à partir dans les aiguës, et finit dans des sommets quand le troll se jeta sur lui, l’attrapant par le cou, mettant sa main poisseuse sur sa cicatrice. “IL EST OU LE PRINCE” “DANS TON CUL” Oui, Jefferson n’avait pas réellement les mêmes réflexes que la plupart des individus normaux. Au lieu de répondre un je ne sais pas, il préféra répondre par la provocation. Après l’avoir cogner contre le mur, sous les protestations de Jeff, ce dernier se mua dans le silence en écoutant la réponse du troll, qui le lâcha par la même occasion. “Ben non … il n’y est pas.” Ouvrant grand les yeux, il éclata de rire en voyant le troll se tourner en essayant de se penchant en regardant vraiment ses fesses. Un fou rire comme il en avait eu rarement ces derniers temps. Les larmes au yeux, il répéta pour lui même la phrase qu’il venait de dire en montrant le troll. Ok là, il avait vraiment fait sa journée, mais il sursauta quand le troll se mit à hurler, décidément, ce n’était plus la Crazy House mais les Hauts de Hurle-vents. Essayant de calmer son fou rire, il se recula un peu plus, touchant le mur quand le troll décida de refaire le décor de sa salle de bain en jetant tout au sol, arrachant même le rideau de la baignoire. Jefferson n’eut le temps de rien dire que le Troll dégonda la porte pour sortir comme une furie dans le couloir. “Whesh dégage de là ! Va t’en ! Y a pas de prince ici que des rois ! OH PUTAIN MAIS MON MANOIR MERDE …TU VAS PAYER PENDANT LONGTEMPS D’AVOIR OSER TOUCHER A LA CRAZY HOUSE” La colère avait remplacé la rigolade, et Jefferson beugla de rage à chaque fois que le troll essayait d’ouvrir une porte, encore plus quand il rentra dans son atelier de couture. “VA NIQUER TES MORTS ! NAN PAS MES CHAPEAUX !” On ne saurait distinguer la furie tant Jeff rentra brutalement dans la pièce, essayant de sauver quelques créations de la violence destructrice du troll. Il lui lança toutes les choses qui lui tombait sous les mains. Des bobines de fils, des aiguilles, des cahiers, des stylos mais le troll ne bougea même pas d’un millimètre de sa trajectoire. Courant, glissant, il se jeta sur l’armoire qui était dans la visière du troll pour attraper et sauver son haut de forme fétiche qu’il plaça sur sa tête.
Soufflant une petite seconde en voyant qu’il n’avait rien, comparé au reste de son atelier, la rage gonfla dans la poitrine du chapelier. “JE VAIS TE TUER ! TOI ET TOUTE TA FAMILLE ET JE VAIS FAIRE UN RITUEL SATANISTE AVEC TES TRIPES”. Suivant le troll qui descendait les escaliers en courant, il chopa au passage sa grande paire de ciseau, qui reflétait le visage d’un fou furieux. Sautant les marches deux par deux, sautant même par dessus la rambarde, il entendit le bruit de la destruction, ses meubles se fracassant au sol, de la porte d’entrée se casser. “PUTAIN! TU VAS CRAMER DANS LES FLAMMES DE MA COLERE” Arrivant au rez de chaussé, il vu que le troll prenait la fuite. S'arrêtant quelques minutes devant le hall d’entrée, il pencha la tête sur le côté. Oh le saligot, il lui avait volé un tableau peint par Apollon. Alors là, la goutte d’eau venait de déborder du vase bien trop plein. Attrapant son long manteau en cuir sur le porte vêtement, plutôt d’un geste machinal que d’un véritable intérêt pour sa nudité caché heureusement par son boxer noir, il sauta directement des balustres car passer par les escaliers c’est ringard. Lui qui était apathique quelques minutes avant, sortait une énergie folle de son chapeau. Courant à toute allure à travers la forêt, il arriva à retrouver la trace de celui qui allait lui faire vivre une aventure inimaginable. “Je vais faire un chapeau de ta peau et je le donnerais à Regina ! Les couleurs iront bien ensemble” Les neurones de Jefferson venaient de rentrer dans une sorte de surchauffe, trop d'adrénaline d’un coup, ils n’y étaient plus habitués. Il continua de beugler des insultes au troll qui se stoppa devant une maison, qu’il allait encore saccager. “Alors espèce de sac de pus ? Qu’est ce que tu vas faire maintenant !” Profitant de cette petite pause pour prendre son souffle, il fouilla machinalement dans la poche de son manteau. Quand ses doigts touchèrent le tissu doux de la soie, il commença à se calmer, comme un enfant retrouvant son doudou. Le mettant directement autour de sa cicatrice qui lui faisait mal à cause de ce gros abruti de troll, il observa les lieux . Il se trouvait dans la forêt enchanté, mais pas n’importe où, au niveau de l’autre demeure immense, celle du prince Ali. Alors, dans un élan altruiste, pour une fois, mais surtout pour récupérer son tableau, Jefferson suiva le troll. Et peut être qu’il lui rendrait gentillement, vu qu’il cherchait un prince et qu’Ali en était un.
D’humeur plutôt gaie ce matin, Zach sifflotait tout en pédalant sur son vélo. L’avantage de son logement était qu’il était plutôt proche du commissariat, il profitait du beau temps de l’été pour laisser la voiture de côté et faire un peu d’exercice. Équipé de son casque, de coudières, de genouillères et d’un gilet jaune, il était heureux sur sa bicyclette. Était-ce le beau temps ? La joie de la routine bien installée ? Peu importe, il souriait. Arrivé au poste, il posa son vélo, et avant de rentrer dans le commissariat il se dirigea vers le café à quelques pas. Cela faisait parti de sa routine. Leur café était plutôt bon, et son serveur habituel arrivait ENFIN à la faire comme il l’aimait.
Seulement, quand il passa la porte du café ce matin-là, il sentit quelque chose. Il eut un mauvais pressentiment, sa routine allait être bousculé…A bas les boulots d’été ! Quelle était cette petite jeune qui remplaçait son serveur ?? Il soupira en se rapprochant du comptoir, priant fort pour qu’elle ne rate pas sa boisson. Elle l’accueilli d’un sourire agaçant. Bonjour ! Qu’est ce que je peux vous servir ? Ce sera un café, moyen, pas grand ni petit, servi légèrement chaud, pas trop chaud, ni tiède. Très… Teuteuteu ce n’est pas fini ! Vous rajouterais à cela juste un nuage de lait, une demie-cuillère de sucre roux, pas blanc. Un demi-centilitre de sirop de caramel, juste aromatisé. Et évitez d’écorcher mon nom sur le gobelet, c’est Zach Z-A-C-H, et non ZAK comme l’a écrit une fois votre abruti de collègue. La serveuse de moucha pas, mais son air exaspéré continua d’énerver un peu plus Zach. Il régla son café, et quelques (longues) minutes plus tard il l’eut enfin en main. Sans un merci, il sortit.
Il s’arrêta devant et goûta le café. AAAahhhh !! Il se brûla la langue. Voilà, TROP chaud ! Il était prêt à retourner dans le café dire deux mots à la serveuse, quand il se fit soudainement bousculer par une personne. Avant qu’il ait eu le temps de reprendre ses esprits, deux personnes réellement affreuses et ignobles le bousculèrent aussi, et renversèrent son café. La boisson se versa sur ses chaussures, et une minuscule goutte atterrie sur sa chemise. S’en était trop. Il hurla. Non mais dites donc !!! Vous avez vu ce que vous avez fait ? Vous ne pourriez pas faire attention ? Vous avez ruiné ma chemise, et renversé mon succulent café !! Voyant que cela ne servait à rien puisque les deux affreux continuaient à courir derrière la jeune femme, il se mit à courir derrière eux pour les rattraper. Heyyy je vous parle !! Vous allez me payer le pressing c’est moi qui vous le dis !! Je….kof kof kof. Il s’arrêta au bout de quelques mètres, totalement essoufflé. Le vélo ne suffisait apparemment pas.
Il reprit un instant son souffle, et se dit qu’il fallait arrêter ses affreux, pour ce qu’ils lui avaient fait, et accessoirement parce qu’ils courraient derrière une jeune femme. Il héla les passants. Appelez la police !! Des passants le regardèrent, interloqué. Ah non attendez, je suis la police ! Le café l’avait chamboulé. Mais il me faut du renfort. Il sortit son téléphone, et composa le numéro de sa collègue Anya. Deux sonneries, puis elle décrocha. "Zach ? Qu'est-ce qu’il se passe ? C'est urgent urgent ? Parce que j'ai un type qui est sorti de mon miroir là" Zach entendit un mec râler en arrière-plan "Le type il a un prénom et c'est Wolf" "Oui Anya y a une fille qui se fait poursuivre…Attend quoi ? Comment ça d'un miroir ?" "Bah je sais pas trop. Il a des propos pas hyper cohérents. Apparemment il cherche des trolls et un chien prince ou un prince chien"
Zach eut soudainement un blanc…puis observa au loin les deux affreux, qui seraient bientôt en dehors de sa vue….des trolls…des trolls ?? "Allo ? T'es encore là ? " Zach hurla dans le téléphone "Des trolls ??!! Anya c'est quoi ce désordre?? Ça existe pas les trolls !!" "Bah... On est à Storybrooke" Il soupira. C’était vrai, il avait failli oublier ce détail. "Cette ville est vraiment folle...bref dis à ton gars que s'il cherche des trolls yen a deux qui poursuivent une fille dans les rues et qui renversent des cafés sur les gens. Incroyable ce manque de décence." "Aha ça doit être les miens ? Vous pouvez leur demander s'ils sont moches ou tres moches ? Que je vérifie. Et la fille ? elle est comment la fille ? " "Ils sont plutôt d'une monstruosité terriblement affreuse. Quelle honte de la nature, j'en suis choqué. La fille ? Brune" Zach entendit Anya rouspéter, puis des bruits vraiment dérangeants, jusqu’à entendre Wolf plus clairement au téléphone. "C'est eux alors, c'est bon, on arrive. Ça vous laisse le temps d'obtenir le numéro de la demoiselle. J'aime bien les brunes, surtout avec de l'aneth." Il raccrocha alors brutalement, et Zach regarda de manière stupéfaite son téléphone, tout en secouant la tête. "Wolf ? quelle idée de s’appeler comme cela !"
(c) crackle bones
Ali Nacer
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
Enfermé dans mon bureau, au décor oriental . J'avais cette envie de me retrouver seul, parce que je culpabilisais . Parce que je craignais de perdre l'avenir que nous étions promis lors de notre voyage en Arabie, quand je lui avais offert mon royaume, en lui offrant cet alliance qui devait appartenir a La Princesse des milles et une nuit, autrefois. Cette bague appartenait à présent a Laureline, parce que Jasmine avait refusée de la porter a son doigt, comme symbole de pardon.. Elle portait autour de son annulaire gauche, le royaume désertique,ce n'était pas une métaphore, Agrabah était bien prisonnier de cette bague , qui était aussi la promesse de notre avenir. Un avenir qui grandissait dans son ventre depuis quatre mois. Elle était enceinte de deux embryons dont j'étais le père biologique. Un père qui suivait les traces de son propre père.. Parce que lui aussi avait un passé nébuleux avec les femmes. C'était sans doute de sa faute.. comme la faute de mes ancêtres si j'étais maudit..Parce que après quelques recherches pertinentes dans des grimoires, anciens parchemins de mon royaume, le premier Coeur pur de notre histoire, avait été maudit par une malédiction, accomplit par une puissante sorcière du sable. Une sorcière du sable, comme Sadira , donc la naissance de Kenza n'était peut-être pas le fruit du hasard. Mais une naissance prophétique..
Tourmenté par mon pêché, j'étais assis confortablement dans mon fauteuil de velour tigré, derrière mon bureau. Entre mes mains, je tenais un tissus stincellant et dorée, que je collais contre mon nez pour sentir ce parfum vanille qui était toujours imprégné dessus. Ce parfum appartenait a ma femme, pas ma favorite . Cet essence qui m'avait ensorcelée, et qui m'avait guidé vers un mauvais chemin..Le chemin de mentir. Parce que quand j'étais revenu de mon aventure du Royaume des morts, quelques jours après mon beau père, le Sultan m'avait convoqué pour une rencontre, pour m'annoncer qu'il était temps pour moi de lui succéder , de porter le Turban et les armoiries de la famille Royale. Mais je m'étais retrouvé coincé dans la chambre de Jasmine, et nous avions céder tous les deux a la tentation de cette chimie trop puissante. Nous avions coucher ensemble.. Par la même occasion, elle m'avait offert sa virginité. Et moi je lui avais offert un miracle inattendu. Le temps filait, mais le temps pour nous s'était figé, j'avais donc fait mon vagabond pour une nuit.. Je n'étais pas revenu dormir au Palais. Mais ça m'arrivait souvent de dormir ailleurs, donc pas d'inquiétudes. Je me réfugiais souvent au manoir de Mina ou même sur mon bateau royal qui se trouvait au port. Donc Laureline, n'avait aucun soupçon de mon aventure..
Le lendemain matin de cette aventure, c'était aujourd'hui ..J'étais entré vers six heures , j'avais fait mon train-train quotidien . Et vers huit et demi heures , je m'étais réfugier dans mon bureau pour penser. Dans celui-ci je me mémorisais ses souvenirs de cette soirée en reniflant cette versace, que portait Jasmine. J'avais aussi voler son bracelet porte bonheur. En souvenir, elle m'avait volé ma chevalière qui donnait accès a ma demeure, et ses passages secrets. Je lui avais laissé mon calbut pour qu'elle fasse comme moi. Revoir chaque détails croustillants de notre folie nocturne. Mais tout a coup, j'entendais un bruit.. Je jetais un coup d'oeil, à Kenza qui etait présente dans la pièce, elle était dans son parc avec mon petit singe, en train de jouer avec ses peluches et le hochet que Noa, notre marraine fée lui avait fabriquer. Je sentais des mains se glisser sensuellement sur mes épaules. Et je sentais des lèvres parcourir le long de mon cou . Puis une odeur familière de vanille venait chatouiller mes narines. Je murmurais- Jasmine..
C'était bien elle, elle était venue réclamée son bracelet et sa robe. Elle avait empruntée un passage secret qui se trouvait camoufler par un tableau du désert du Sahara. Sans parler, parce que nos corps parlaient a notre place, on se jetait comme deux félins en rûtent, sur le bureau pour forniquer de nouveau. Elle en dessous, et moi au dessus. Je soulevais sa robe légère d'été, parce qu'on n'avait pas le temps pour les pré-miliaires . C'était risqué ! On devait se dépêcher et on devait le faire en silence pour alerter personne. On s'embrassait avec fougue et a pleine bouche pour commencer. Ensuite, Jasmine se plaçait pour qu'on passe a l'acte, et que je retire le dernier rempart qui me séparait de l'instant de bonheur qui m'attendait. Je commençais a dérouler ma ceinture de ruban de mon pantalon bouffant, car je portais ma tenue princière, et je devais me dévêtir a mon tour quand..
Soudainement, une créature hideuse sortait de mon miroir accrochée a non mur du fond. Une créature qui nous coupait toute envie d'avoir du plaisir. Je regardais Jasmine qui se trouvait en sous-vêtements en dentelles , toujours allongée sur le bureau. - T'as invitée une copine Princesse ? Jasmine rouspétait sèchement : - Pas du tout ! Je dois déjà te partager avec Laureline c'est suffisant ! Je me redressais confus, ne préférant pas répondre a cette réplique véridique . J'aidais ma femme, a se remettre debout et a présent , on se retrouvait donc en face d'un Troll qui venait m'empêcher de pecho..et ruiner un moment de plaisir.
Connaisseurs des créatures magiques, parce qu'a Agrabah c'était très fréquents de rencontrer des êtres d'une autre race. Je savais qu'il s'agissait d'un troll, mais c'était la première fois que j'en rencontrais un. Mais je ne savais pas qu'il avait le don de traverser les miroirs..Même si je connaissais les légendes qu'on racontait des mondes du miroir. Malheureusement, cette créature s'invitait dans mon Palais de façon prématurée. Parce que je m'apprêtais a passer à l'acte avec Jasmine. Donc le troll dérangeait légérement ma tentative de m'envoyer par terre sur la carpette. Je la foudroyais du regard, c'était ma facon polie de lui dire de revenir plus tard , quand j'aurais du temps pour lui consacrer. Mais la créature ne semblait pas de cet avis..Elle semblait même perdue parce qu'elle observait dans tous les sens, la pièce ou on était. La créature s'approchait de nous. Craintif , je levais une main vers elle, prêt a utiliser ma magie contre celle-ci. Surtout que celle-ci était armée d'une massue. En la voyant, elle me faisait penser a mon ami Viking, Krane lui aussi utilisait cet arme , même qui avait une relation particulière avec celle-ci. Pour essayer de rassurer le troll, qui semblait être une femme, à cause de son habillement parce que d'apparence corporelle, on n'aurait pas différencier son sexe. Mais elle décidait de m'adresser la parole, on pouvait confirmer que c'était une demoiselle.
Elle me disait : C'est quel royaume ? Y a pas de panneau de bienvenue. Juste avec cette question, ça venait me confirmer que la pauvre bête, était vraiment perdue. Parce que depuis quand dans un Palais on trouvait des panneaux de bienvenues a part dans un bébé shower ? Et pour cela, il était un peu tôt pour celui de mes jumeaux. Donc non je n'avais pas de panneau de bienvenue dans ce monde suspendu a mes plafonds de salons.
Elle me demandait ensuite, nous étions dans quel royaume ? Elle cherchait donc un royaume, mais pauvre elle ! Elle était comme moi prisonnière qu'un royaume qui ne lui appartenait pas..Elle était loin de chez elle. Comment je devais lui annoncer cette tragique nouvelle ? Comment elle allait le prendre ? Va t-elle devenir furieuse .. Est-ce que j'allais devoir la réconforter ? Est-ce qu'une troll ca se console comme une Princesse ? Je prenais mon air confus. - Je suis navré de vous apprendre, que le panneau de bienvenue est à la rentrée de la frontière ,vous sortez de mon Palais jusqu'à la route, vous tournez a votre gauche..et vous continuez tout droit pendant un moment.. car en ce moment vous etes dans un Palais. Mon Palais ..Pas un royaume..On est a Storybrooke, mais la pancarte que je vous verrez, vous le confirmera..
Je m'approchais a ce moment du Parc de mon bébé. Celle-ci regardait la créature comme émerveillée de découvrir une nouvelle chose de la vie, car c'était une enfant très curieuse, malgré son jeune âge. Elle allait sans doute avoir le même rêve que ses parents , vouloir voir le monde. Elle gazouillait, jouant avec un bout de sa couverture entre ses mains, restant calme. Toute façon elle ne craignait rien, j'étais là ! Couchée , dans le parc de ma petite, il avait aussi ma capucine Amira qui se redressait, intriguée par la situation. Et elle décidait de grimper sur moi et de se faufiler discrètement sous mon turban pour se cacher, parce qu'elle n'appréciait pas trop la venue de cet intrus. Le Troll ne semblait pas l'avoir remarquée. parce qu'elle regardait Kenza, Pourquoi ?
Puis elle m'adressait de nouveau la parole : Storybrooke ? Jamais entendu parler. C'est tout pourri comme n.... Ooohhh. J'approuvais Storybrooke c'était un nom horrible, comme la ville d'ailleurs. Agrabah contrairement a Storybrooke, c'était un paradis ! J'observais la créature , pendant ce temps là, Jasmine se rapprochait de moi me prenant discrètement la main.Une main que je serrais fortement, parce que je n'étais pas rassurer parce qu'elle semblait avoir une illumination et elle souriait ,meme si ca ressemblait à une grimace. Et ça c'était jamais bon signe, une femme qui grimaçait de la sorte. Avec un murmure révérencieux elle disait : Le 10e Royaume ! C'est çaaa ! Elle parlait du 10e Royaume, peut-etre que Storybrooke s'appelait comme ça chez elle. Après tout, moi dans mon propre Royaume, nous avions huit régions, huit capitales dont Agrabah était l'une de celle-ci. Mais j'étais curieux d'en savoir plus, après tout en tant que Sultan, et aventurier qui désirait voir et connaître le monde. Je devais m'intéressé aux autres Royaumes et Peuples. Le 10 royaume c est quoi pour vous ?! Elle répondait donc a ma question et la réponse était particulière . Le signe que la prophétie disait vrai... Et qu'on va pouvoir vous envahir quand j'aurai retrouver le chien prince ou prince chien, je sais plus ce qu'il est exactement. Elle parlait de prophétie. Il avait l'habitude de ce sujet parce qu'il était plus même une prophétie ..Son bébé en était une aussi. Elle parlait d"envahir la ville, ça par contre ce n'était pas ses affaires, c'était plus le rôle de la police et des dirigeants de cette ville a s'occuper de cette future invasion de Trolls. Parce que moi tant qu'il n'avait pas de créatures hideuses qui squattaient son Palais et que Laureline ne s'occupait pas du souci des trolls parce qu'elle était enceinte, et il était hors de question qu'elle mette sa vie et celles de mes embryons en jeu., tout irait pour le mieux ! Puis elle parlait de Prince chien..
Leur Royaume était gouverné par un canin ? Laureline serait heureuse de découvrir cette découverte..Elle qui adorait les chiens. Mais bon toute cette histoire, Je n'étais pas concerné , surtout que je n'avais pas croiser de Prince canin, depuis mon retour dans le monde non dessiné. Même si cette prophétie m'intriguait beaucoup , que cette envie de vouloir être mêler a tout ça prenait naissant aux mots - Une Prophétie. Je soupirais un instant avant de me murmurer a moi- même : Pourquoi il faut que je sois mêler toujours a une prophétie moi ..Un rictus se dessinait sur mes lèvres.
Puis je continuais -Ca me dérange pas que vous envahissez la ville avec vos copains..mais ici il n'a pas de chien ..sauf celui de ma maîtresse .. c'est une femelle et non un Prince.. Dans le Palais, dans les étages supérieures , parce que nous étions au rez chaussé. Dans la chambre pourpre, appartement privé de Laureline , devait se trouver Ve. Notre chienne de compagnie..Même si j'avais une préférence pour les félins sauvages ou les petits singes. Donc si vous venez bien je peux vous guider jusqu'a l'extérieur au panneau de bienvenue, pour que vous envahissez la ville et non mon Palais. Après tout, mon Palais était deja bien rempli a cause des occupants, les gouvernantes et tout le personnel. Et c'était un Palais..Pas un hôtel ! Mais dans le troll toisait , méfiante puis elle va regardait Jasmine et disait : OK mais elle, elle vient pas. Je ne comprenais pas , elle ne voulait pas qu'elle aille ou? Je m en allais nul part moi, sauf aller reconduire cette troll a la sortie de mon domaine.
Sans crier gare elle souffler une poudre dorée sur la Princesse. Surpris je n avais pas eu le temps de réagir en l'empêchant, de faire subir a ma femme un sortilège du sommeil. Elle s effondrait donc dans mes bras, endormie a cause de cette poudre magique. Qui devait être de la poudre de pavot. Maléfique, une sorcière avec qui j'avais eu une liaison un peu particulière dans le passé, en utilisant souvent sur ses victimes. Cette poudre n avait rien de dangereux, comme le charme du sommeil dont il fallait un baiser d'amour sincère pour rompe le sort. Je prenais donc dans mes bras ma Princesse pour ensuite la déposée délicatement sur le canapé de la pièce. Prenant le soin de la couvrir avec une couverture de laine, pour pas qu'elle ait froid, vue qu'elle était dénudé. Je déposais un baiser sur ses lèvres, sans réaction. Je passais une main sur son poignet pour prendre son pouls, son coeur battait encore a mon plus grand soulagement..
Ensuite, la Troll se tournait vers Kenza, mon bébé sorcière et disait : Ca aussi, ça vient pas. et elle s’apprêtait à lancer de la poudre aussi. Mais elle n'avait pas eu le temps qu'elle fut interrompue par ma magie dorée..Qui téléportait mon enfant, enveloppée dans sa couverture ailleurs, loin de toute cette agitation. Mais surtout, en sécurité avec quelqu'un qui pourrait s'occuper d'elle, pendant que je réglais ce souci de visiteur clandestin dans mon Palais. Frustré, après ma nouvelle amie , je lui disais sèchement : -Touche a mon bébé, je te promet que ton Prince chien tu le ne trouveras jamais et ta Prophétie se réalisera jamais. Je n'étais pas une menace en l'air. Quand il s'agissait de Kenza s'était du sérieux. On ne touchait pas a ma fin heureuse.. Parce que Shadow pourrait prendre prendre possession de moi.
Sans me prévenir, ma nouvelle camarade, m entrainait sans cérémonie me kidnappait, sans témoin parce que le personnel ne semblait pas remarquer sa présence. Mon meilleur ami passait quelques jours a la Fermette des Thorsons , sans doute a aider a Krane pour sa grande déclaration d'amour, envers sa femme.. Laureline était aller faire des courses avec Olivia. Donc personne n'était là pour sauver un Sultan en détresse,en train de se faire enlevée de force, par le bras. Elle me traînait, jusqu'à l'extérieur de mon domaine magique. Dehors, on ne voyait plus le Palais, mais une maison a l'apparence d'un Taudis. On avançait rapidement, vers la rue. Là je pouvais apercevoir Jefferson, mon voisin de Palais,qui habitait a dix minutes de chez moi a pieds. Il courrait après un Troll en direction du centre ville . Le troll qui poursuivait avait un tableau sous le bras. Étrange ! Son Troll était un voleur, et le mien de kidnappeur de Roi. La troll semblait reconnaître son congénère et disait tout haut : Si Papa va dans ce sens c'est qu'il a flairer le chien !Et elle continuait de m entraîner dans sa course. Qu'on finissait par rattraper Jeff et le fameux Papa Troll. Une conversation entre voisins s'en suit ..Parlant de tout et de rien. Après tout nous étions devenus des amis, a force de se fréquenter . Il m'empruntait souvent des bricoles. Nous prenons souvent le thé ensemble.Il était le dealer de thé du beau frère de mon meilleur ami. Je l'invitait a mes bals costumés, et lui a ses orgies. C'était comme ça qu'on s'était connu et durant une soirée bien arrosée, entre les petits cocktails et les dégustations de nourritures d'origine Wonderlandienne, j'avais revue Sadira ma sorcière bien aimée et j'avais eu envie de faire comme certaons, j'avais donc conçue Kenza dans un petit coin, sur une carpette de son manoir.
Ali ! Bordel toi aussi tu en as un ! Ce petit bâtard vient de faire Hiroshima dans mon manoir et en plus il a osé me volé un tableau d'Apollon ! Putain un tableau d'Apollon quoi ! Je me mettais a rire, parce que Jefferson était un type aussi étrange que moi , la preuve il possédais un tableau d'Apollon. Un jour, je devrais lui proposer de lui offrir une peinture de moi, il voudrait peut-être. Par contre le pourquoi, il avait ce tableau n'importe peu, car c'était ses affaires personnels : '' Oui, le mien m'a empêchée de conclure avec ma femme, en plus elle m'a kidnappée, elle ne voulait pas même que j'apporte ma fille avec moi '' A ce moment là , on pouvait voir une petite queue dépassée de mon Turban. C'était Amira qui jouait a cache-cache. Elle allait peut-être utile pour nous aider a sortir de nos ennuis. Après tout, Amira n'était pas un animal comme les autres..Jeff penchait la tête sur le coté, et sourirait a cause de l'apparition du singe, puis très vite il se mettait de nouveau être à nouveau en colère en parlant fort."Ils faut qu'on les poursuivent ! C'est pas pour la ville, je m'en fous ! Mais il ne peut pas partir comme ça avec mon tableau ! Il faut qu'on se venge !" J’enchaînais: Partir ? Je ne crois pas qui font partir..Il cherche un Prince chien..et se croit au 10 eme Royaume. Ils ne sont pas si méchants..Parce qu'ils ont endormie ma femme. Il aurait pu tenter de la tuer..ou saccager mon Palais..Mais non, je crois qu'elle m'aime bien . Et elle a peut-etre remarquer que j'étais un bon parti. Mais oui on est mieux de les suivre..surtout que cette histoire ca sent la Princesse..Au mot Princesse, je me mordillais la lèvre inférieure retombant quelques secondes dans mes rêveries, jusqu'à ce que Jeff reparle: "Ah oui ... le mien cherchait un prince ... maintenant que tu le dis c'est peut être toi !" [...] "Pas si méchant ? Sérieux ? Si tu voyais les dégats ... et puis il a failli me tuer quand il est arrivé ! Ou alors on a pas la même définition du mot méchant, ce qui est fort possible" C'était probable que cette histoire de Prince chien, après tout j'avais le don de métamorphoser en animaux, même en créatures légendaires, donc devenir un chien n'était pas un problème. En plus ma Troll m'avait parlée de prophétie. J'étais un héro a prophétie. Par contre je ne veux pas décevoir personne ,mais je ne suis plus Prince, maintenant. Je vais bientot me faire couronner Sultan. Je t'inviterais on va faire un grand bal, pour le couronnement. Le père de Jasmine prend sa retraite , donc il me succède sa place, vu que j'étais son héritier au Trône vu que sa fille n'a pas d'enfant et que nous sommes marier. Par contre le problème c'est que je n'ai pas envoyé d'invitations a des trolls pour le couronnement. Et pour ton manoir Ne t'inquiete pas pour tes dégâts.. a notre retour..Je vais t'aider a réparer tout ca d'un souhait .. "Oh félicitation Ali ! Je ne savais pas ! Du coup tu as trouvé un moyen de retourner à Agrabah ?"Normal ! T'as vu les mochetés ? Même au couronnement de Regina y avait des gens plus beau et pourtant ... vu les pourritures que c'était ..Ali ! Quel voisin formidable fais tu ! Parce qu'il a même saccagé mon atelier à chapeau ! Des salopards, comme tous les trolls " ''Mercii , Non pas encore , Agrabah est toujours prisonnier de la bague de fiançailles de ma maîtresse, Mais Sullivan m'a prêté des grimoires dont je continue mes recherches pour délivrer mon Royaume , ou simplement pénétrer a l'intérieur de cette bague . Je garde espoir, un jour je retrouvais mon chez moi. Oui tu as raison ces trolls ne sont pas très jolis, je te l'accorde c'est vrai que les gens au mariage de Regina et Robin étaient beaux.. surtout le témoin du mari ''
Je lui faisais un clin d'oeil parce que le témoin c'était moi..On continuait la conversation du mariage un petit moment , parce que les mariages s'étaient un sujet captivant..Surtout pour moi qui avait failli être marier quatre fois, donc un mariage qui avait duré et que les mariages s'étaient tous retrouver avec un Aladdin en fuite le Jour J.
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Regina Mills
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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Mirror mirror on the wall, who the baddest of them all ?
| Conte : blanche neige et les sept nains | Dans le monde des contes, je suis : : la méchante reine
« Rhoooo mais LA FERME ! » hurlais-je en frappant de toutes mes forces sur ce fichu réveil. J’étais pas contre un réveil, clairement pas, ça aide souvent les réveils, surtout à se réveiller, ce qui est clairement le principe d’un réveil soit dit en passant mais là, je sais pas, c’est peut être le fait qu’il soit gros et moche, et qu’il fasse le bruit d’un chat qu’on égorge. Ouais, bref, au final, il vint à terminer son voyage au travers de ma fenêtre ouverte dans un grand fracas sur le sol carrelée de la devanture du Manoir. Après un nouveau soupir, je me lève et me rends dans la salle d’eau avant de prendre une douche. Ça allait -en tout cas je l’espère- me calmer les nerfs. Après une bonne douche, qui m’avait à moitié détendue, je m’habille d’une de mes tenues habituelles -enfin légèrement changée depuis mon passage de maquerelle à barmaid- et me rends à ma coiffeuse pour prendre le temps de me maquiller et surtout de coiffer mes cheveux encore humide.
D’un mouvement de la main -ouais, c’est cool la magie surtout quand t’as la flemme de lever ton gros cul de ta chaise- j’enclenche la chaîne hifi et très rapidement mon attention se porte sur une chanson que je connais bien, à force de l’avoir entendue et adorée. Montant le son, je commence à chantonner tout en me coiffant et en me maquillant « You’re lost in the broken town…A queen without a crown… » J’attrape mon fer à frisé pour me boucler les cheveux avant de chantonner une partie du refrain « Mirror mirror on the wall…The most WICKED of them all… » Alors que je croise mon propre regard dans le miroir, voilà qu’un Golden Retriever en sort avant de tomber droit sur moi, ses pattes sur ma poitrine. Me faisant joliment tombée en arrière. Je lève les deux mains, surprise de cette apparition soudaine que je n’avais aucunement vue venir. C’est ma chienne qui allait pas être contente. Ouais vous connaissez ma Lola.
« ooooooh, t’es qui toi ? T’es pas ma Lola. Fais gaffe, elle risque de te mordre. » Je le regarde avec des yeux ronds. Le chien se met à aboyer mais pas un aboiement comme j’entends, genre c’est pas le chien du voisin qui aboie d’un aboiement strident qui veut sans doute dire « donne moi de la bouffe, je suis mal nourri », non… c’est comme si ce chien là tentait de me parler. Il me fixe dans les yeux en plus, ça en devrait presque effrayant « Je parle pas le Wouaf hein…Attends deux secondes. » Je me relève en poussant le chien parce qu’il pèse quand même son poids et me dirige vers mon armoire avant d’en sortir le livre de magie de ma mère « Y’a bien un truc qui peut m’aider là dedans. Maman avait toujours la solution » et ça me fait mal de l’admettre, je l’avoue. Au final, je feuillette, je feuillette mais rien. Soupirant, je manque de peu de faire subir au bouquin le même destin néfaste que mon réveil mais bon.
« Si y’a pas de solutions dans ce fichu bouquin, c’est que tu viens pas de ce monde toi et encore moins de la forêt enchantée, je le saurais sinon… » J’aurais dû lire les petites lignes sur la notice de Storybrooke avant de créer la ville surtout faire attention à tous les problèmes qui peuvent s’ajouter après la rupture de la malédiction comme les chiens qui aboient afin de parler. Ou encore les abrutis finis qui trouvent pas mieux que de t’inviter dans un train bizarre -ouais, ça m’a traumatisée je crois-. Le chien semble tout triste que je n’ai pas trouvé de solutions. Je me mords la lèvre inférieure, consciente que je me trouvais encore pied nus et avec un seul oeil maquillé. Voilà que le cabot monte sur ma coiffeuse et me fait tomber tous mes affaires, manquant de peu de faire tomber la coiffeuse et tente de rentrer dans le miroir. Enfin, ouais il tente juste parce que ça ne voulait pas marcher apparemment « Eh oh, calme toi. Je vais trouver un moyen de t’aider mais si t’essaie encore, tu vas finir par rentrer dans le mur. »
Et j’avais pas envie d’avoir un chien écrasé dans ma chambre, ça pue en plus une fois que c’est mort et c’était pas mon envie actuelle. Il couine. De dépit. Ouais. Et voilà qu’il s’enfuit par la porte de la chambre. Je pousse un nouveau soupir avant d’être à la limite d’hurler « Eh mais attends moi ! C’pas possible ça ! » en passant devant le miroir du couloir, je me rends compte de l’état actuel dans lequel je me trouve et d’un mouvement de main, un nuage de fumée violet m’entoure avant que je ne me retrouve parfaitement vêtue, maquillée et coiffée. Je descends au rez-de-chaussée où je retrouve le fameux chien qui tente de prendre un stylo sur la table en bois verni de mon bureau mais sans succès, puis bon, ça se saurait si les chiens savaient écrire non ? Heureusement que Robin était parti promener Lola. Je ressens l’angoisse du chien et m’approche de la porte d’entrée avant de l’ouvrir vu qu’il arrête pas de gratter.
Et il part encore en courant. Oh le chien, j’ai pas envie de courir de bon matin comme ça ! Il court et finit par s’arrêter avant de me regarder en mode « tu viens ou tu te plantes là ? » Je soupire et le suit avant qu’on ne se dirige vers le centre ville de Storybrooke. Et voilà qu’il ralentit. Il semble chercher quelque chose mais n’a pas l’air de trop savoir quoi « Qu’est-ce-que tu as ? » Pas de réponse. « Ah c’est vrai… Tu parles le wouaf. » Il se mets à couiner quand je lui demande ça avant que je ne me fasse bousculer par une bonne femme accompagné de deux trolls. Et le chien se planque derrière une poubelle en les voyant. Je commençais déjà à saturer de bon matin là, j’avais pas encore mon café hein « Eh oh, je suis pas Regina la grande sœur hein. Je fais pas SOS mon chien a besoin d’aide. Et bandes d’ignorants, on bouscule pas les gens comme ça. ! » j’ai d’ailleurs jamais compris le principe de cette émission, le gamin, tu l’envoies dans une maison de correction ou tu le dégages de chez toi et basta quoi. Il a l’air terrorisé le chien en plus. Genre grand yeux tout globuleux comme le chapotté dans Shrek, les yeux qui me font trop craqué, bref je m’égare là.
Balayant le paysage du regard, je me rends compte que la fille aussi s’est cachée derrière la poubelle. ils jouent à cache cache ou quoi ? Et c’est qu’elle a l’air coupable la pauvre fille en plus. Et rapidement, je pose mon regard sur Anya qui passe accompagnée d’un homme que je ne connais pas et qui ne tarde pas à me demander ce que je fiche derrière une poubelle et noter l’humour de ma réponse « Regina ? Mais qu'est-ce que vous faites derrière une poubelle ?! »« A votre avis ? Qu’est-ce-qu’on fait derrière une poubelle ? » Grand moment de silence. « Y’a un chien là-bas derrière qui a besoin de mon aide, enfin j’crois. Et elle je sais pas… »« Vous êtes nombreux derrière cette... Oooh ! mais qu'est-ce que je vois là ! Mademoiselle vous êtes à croquer. » dit-il à la gamine « Vous êtes pas mal non plus mais trop vieille. » Non mais oh ? Et le respect ? Il connaît pas lui ?! Et il fait aïe, apparemment Anya l’a doucement frappé dans les côtes d’après ce que j’ai cru voir.
« Le chien il serait pas sorti d’un truc dont il devrait pas sortir…genre un miroir ? » « OUAIS SI ! Il est sorti de mon miroir et il a failli me casser deux côtes en plus ! » « Brillant ! Anastasia vous êtes fabuleuse, si je m'écoutais je vous embrasserais mais je préfère les brunes et vous êtes mariée. Y a plus qu'à retrouver les trolls et on peut tous rentrer faire un bon repas ! » Hein ? Des trolls ? Quoi ? Sérieux. Nan mais Regina suit un peu putain. « Depuis quand y’a des trolls à Storybeooke ?! C’est pas la fête du string hein! » « Non c'est juste Storybrooke. Je dois rejoindre un collègue qui en sait plus. Puisque vous êtes là et que vous êtes une sorcière, ça vous dit ? Juste au cas où. » J’hausse les épaules « Ouais…Toute façon, pour l’instant, j’avais rien d’autre à faire. » Et là tout le monde croit que je m’occupe jamais de Daniel mais il passe la journée avec Robin !
Anastasia Romanov
« Men are such babies »
| Avatar : Ashley Clements
| Conte : Anastasia | Dans le monde des contes, je suis : : Anastasia Romanov
- Vous n'auriez pas un peu d'aneth ? Ou de laurier ? Eventuellement de la coriandre mais j'aime pas trop. Anastasia était tout bonnement si-dé-rée. L'homme qui était sorti de son miroir et répondait au nom de Wolf avait rapidement investi sa cuisine et ouvert tous les placards, prêt, manifestement à faire ripaille. La jeune femme ne savait pas d'où il pouvait bien venir mais elle avait rapidement compris qu'il lui manquait un quart d'heure de cuisson. - J'ai faim, Anastasia, j'ai tellement faim ! Il me faudrait un beau filet ou un ENORME carré d'agneau. Mais je ne suis pas un goinfre, ou alors si, je suis un goinfre, un ENORME goinfre. En fait je crois bien que j'ai un appétit de loup mais pas d'inquiétude, Anastasia, ce n'est pas moi qui ait dévoré cette pauvre bergère l'autre jour. Wolf parlait beaucoup. Jusqu'à présent Anya n'avait que pu lui donner son prénom et le nom de la ville. Elle, par contre, avait appris des tas de choses sur son invité surprise qui poursuivait des trolls qui poursuivaient un prince. - J'ai pas encore fait les courses cette semaine, finit-elle par soupirer. Quelques instants plus tard, la rouquine se détournait de la mine dépitée de Wolf pour répondre à un appel de son collègue Zack Zuzio. La suite, vous la connaissez.
Actuellement
Même si elle n'était pas certaine de tout comprendre, Anastasia avait accepté de venir aider Zack et c'était sur le chemin que les renforts qu'elle et Wolf constituaient (le jeune homme avait en effet décrété qu'il serait de la partie et... Anya n'avait rien pu y changer) qu'ils avaient croisé le chemin d'une fin équipe comme on en voit rarement : Regina Mills, l'ancienne méchante reine et maire de la ville, un chien froussard et une jeune femme. Le groupe se mit en route vers la géolocalisation de Zazu et comme Anastasia n'aimait pas les silences trop longs, elle raviva la conversation : - On se connait, non ? demanda-t-elle à la jeune femme aux cheveux coupés à la garçonne. Je veux dire, pas personnellement, mais on s'est déjà vu. Vous travaillez chez Granny's, non ? La jeune femme opina. - Je m'appelle Virginia et je travaille chez Granny's depuis... toujours, en tout cas c'est ce dont j'ai l'impression avec le sort... C'est pas important, se reprit-elle en adressant un sourire amical à Regina. D'ordinaire il ne m'arrive rien de spécial, sauf aujourd'hui. Anya arqua un sourcil et l'invita à poursuivre. - J'étais en train de me brosser les dents quand un troll est sorti du miroir de la salle de bains. J'ai hurlé et je lui ai craché mon dentifrice au visage mais le plus étrange c'est qu'il a essayé de voler mes chaussures alors j'ai dû fuir et... voilà, quand j'ai aperçu les poubelles et la foule matinale ça m'a paru une bonne idée de les semer comme ça. Virginia haussa les épaules puis enfonça ses mains dans les poches de sa veste en jeans. Wolf, lui, ne la quittait pas des yeux. Ils n'étaient plus qu'à quelques mètres de Zack, que la jeune femme apercevait déjà, quand un troll, chargé d'un tableau, percuta Anastasia de plein fouet tandis que le golden retriever apeuré se terrait dans les jupes de Regina - ou quelque soit sa tenue, c'est une métaphore. Le troll ne sembla pourtant pas le voir et poursuivit son chemin, abandonnant le tableau volé aux pieds du petit groupe. Intriguée, Anya le ramassa et l'examina un instant avant de relever les yeux : deux hommes, un qu'elle ne connaissait pas et Ali Nacer de la Magic League fonçaient droit sur eux. Décidément, c'était la journée. La rouquine saisit la main amicale de l'homme qu'elle ne connaissait pas et qui avait donc pillé pour ne pas la percuter lui aussi. De son côté, Zack arrivait en trombes également. Quant au troll, il continuait de courir. - Cette immondice m'a attaqué moi et mon manoir ! Il faut le rattraper sinon il va détruire la ville ! lui apprit son "sauveur". Anya allait lui répondre qu'il était tombé sur la bonne personne mais l'homme ne lui en donna pas le temps. Il venait de croiser le regard de Regina et ajouta : - Ah ben en fait non ... je m'en fous ! Demandez à Regina elle a toujours la solution à tout. Zack, entre temps, était arrivé, après lui avoir fait de grands signes et l'avoir interpellée pour se manifester. - Aie ! quel choc ! commenta-t-il. Ca va ? Quelles affreuses petites monstruosités ignobles et surtout dénuées de savoir vivre. Là-dessus, Anastasia ne pouvait qu'acquiescer. - C'était ton troll qui m'a percutée ? demanda-t-elle à son collègue. - Non je ne crois pas que c'était le mien celui là, les deux autres sont partis dans l'autre direction. - Ca fait beaucoup de trolls pour une seule ville, si tu veux mon avis, marmonna Anya. A l'arrière plan de toute cette conversation, Wolf faisait des annonces à la délicieuse Virginia sous le charme de laquelle il était visiblement tombé. Anya le foudroya du regard. Ils avaient plus urgent à faire, non ? Apparemment, ils n'étaient pas les seuls dans ce cas-là : les jumeaux Byrom, qu'Anastasia avait rencontrés des années plus tôt lors d'une aventure similaire. Ils saluèrent leurs amis (car il semblait connaitre à peu près tout le groupe) avec entrain, surtout le jeune homme à moitié habillé qu'Anastasia ne connaissait pas. Puis ils reprirent un air grave et demandèrent : - Nous cherchons un homme, ou peut être une femme, ou peut être les deux, et peut être même que c'était un chien avant, on est pas très sûrs. - C'est très important, il est parti avant qu'on ait pu lui apprendre l'utilisation de la fenêtre ! Anya arqua un sourcil. Ca devenait vraiment trop bizarre. Hésitante, elle demanda : - C'était pas plutôt un troll, à tout hasard ? La jeune femme expliqua alors que toutes les personnes réunies semblaient en avoir croisées. Quant à Wolf, il rebondit sur l'autre point : - Nous avons retrouvé le chien ! Y a plus qu'à rentrer, si possible avec les trolls sinon leur maman sera pas très contente. C'est qu'on a fait pas mal de route, précisa-t-il, très sérieux. Anastasia se tourna vers lui, sceptique. - Et vous comptez faire ça comment ? En claquant des doigts ? - Voyons Anastasia, ne soyez pas si sarcastique. J'ai un haricot magique à six vœux, comme tout le monde ! D'ailleurs, c'est pour ça que j'étais en prison mais ça c'est une autre histoire, c'est vraiment pas important. Virginia avait pourtant ouvert de grands yeux et avait changé de position dans le cercle de discussion. Elle observait cependant comme nombre d'entre eux le haricot vert clair et luisant que Wolf avait dans sa paume. Et puis soudain le haricot disparut de la main de Wolf qui balbutia, pris au dépourvu. En fait, personne n'avait calculé l'homme à moitié vêtu qui se glissait d'abord derrière Regina pour lui lancer une pique bien sentie puis derrière Anastasia pour lui glisser un mot compatissant et finalement derrière Wolf pour dérober le haricot. On aurait dit un ninja. - Ça c'est le prix pour la réparation du manoir et aussi un peu pour ce que Régina m'a fait subir ! Une sorte de compensation ! Même si il en faudrait des dizaines pour que je puisse retrouver un semblant de vie normale ! Je veux retrouver mon essence, mon supplément d'âme, ma propre magie ! s'écria-t-il. L'homme fut brièvement enveloppé dans une lueur dorée puis Wolf reprit la parole, renfrogné : - Ce qui me dérange un peu dans votre procédé c'est que je ne vous avais pas fait cadeau de mon bien ! - Vous pensez que ça a marché ? demanda Virginia. - Evidemment que ça a marché ! C'est un haricot magique ! Ca fonctionne toujours... Mais il y a toujours un prix à payer avec les souhaits. L'homme ne semblait pourtant pas effrayé et Anya, bien qu'intéressée de savoir quelle magie il avait demandé à retrouver déclara : - Je ne sais pas de quels pouvoirs vous êtes sensé disposer mais je n'ai pas confiance, surtout s'il y a un prix à payer pour utiliser vos pouvoirs mais... Peut-être que nous pourrions utiliser les 5 souhaits restants pour quelque chose de plus utile ? Tout en parlant, Anya tendit la main. Elle ne s'attendait pas à récupérer le haricot aussi facilement, pourtant il lui donna avec toute la bonne volonté du monde. Anya ferma ses doigts blancs dessus et se tourna vers Wolf. - Si je comprends bien il reste cinq vœux et puisqu'ils ne sont pas gratuits, il vaut mieux ne rien souhaiter de personnel. Wolf acquiesça non sans un regard noir en direction du voleur. - Mais vous avez l'air de dire qu'il pourrait nous ramener chez nous et vous voulez ramener le chien. Parce que vous venez du même endroit ? - Dans le mille ! Nous venons du Quatrième Royaume. Vous connaissez ? C'est très connu ! Plus que le Troisième et que le Septième, en tout cas. Anya fit signe qu'elle ne connaissait pas, ce qui semblait être le cas de tout le monde. Puis elle se tourna vers Regina et demanda : - Vous disiez que le chien a un souci, non ? On pourrait peut-être arranger ça en lui demandant, ajouta la rouquine en lui tendant le haricot. Son idée était que Regina formule le vœu de pouvoir communiquer avec leur ami canin. Juste au cas où. Ensuite, il restait de quoi renvoyer tout le monde dans le Quatrième Royaume. L'ancienne reine comprit très bien l'idée et l'accepta. Ivre de bonheur, le chien aboya et apprit à Regina qu'il s'appelait Wendell et qu'il était en danger. Les autres, cependant, entendaient toujours des aboiements. Quant à Regina, elle rendit le haricot à Anastasia, ce qui sembla agacer Wolf. Et comme si cela ne suffisait pas, les trolls, apparemment réunis, avaient retrouvé leur trace. On aurait pu s'arrêter là pour leur demander vers quoi ils avaient couru un peu plus tôt mais leur air patibulaire ne donnait pas cette envie. Du coup, on ne saura peut-être jamais jusqu'où ils avaient couru dans la ville et l'étendue des dégâts qu'ils avaient causé. On pouvait cependant supposer qu'ils n'étaient pas très futés car celui qui courait après les chaussures de Virginia n'avait pas été si difficile à semer. On pouvait peut-être conclure que ces trolls disposaient d'une intelligence limitée. Par contre, ils avaient des yeux, qui ne tardèrent pas à se poser sur Wendell. C'était le moment de tenter quelque chose. Sans réfléchir, Anastasia demanda : - Je fais le vœu que les trolls oublient ce qu'ils cherchent. Et je fais le vœu de renvoyer Wendell à l'endroit précis d'où il vient.
Reprenant son souffle alors que le troll s’était arrêté lui aussi, Jefferson regarda le palais d’Ali se matérialiser tandis que son propriétaire sortait en trombe, poursuivant aussi un troll. Décidément… est ce que Storybrook avait organisé une journée troll et que personne n’avait été mis au courant ? Vraiment le service animation laissé à désirer. Mettant ses mains sur ses hanches, il se rendit compte qu’Ali avait la maman troll et une sorte de soulagement un peu malsain passa dans son esprit. Les dégâts que le bébé avait fait étaient considérables, alors les parents, il n’osait imaginer. Pointant un doigt accusateur contre les créatures, il commença à parler à Ali. Or Jefferson était connu pour être quelqu’un extrêmement bavard. S'épanchent sur ses mésaventures, il écarquilla les yeux en comprenant dans quel position était son voisin. “Ils ont le chic pour arriver au bon moment ..” Parce qu’au final, ce n’était pas très éloigné de ce qu’il envisageait de faire avec Mary. Chassant cette pensée de son esprit, il entendit un petit bruit qui lui fit pencher la tête sur le coté. Ali avait un singe sur la tête. Si le chapelier ne le connaissait pas, il aurait trouvé ça étrange, et de mauvais goût, mais pour Ali, c’était normal. Cependant cette apparition ne fit que baisser temporairement la colère du chapelier qui reprit de plus belle dans ses paroles. “Bon, nous reprendrons cette discussion passionnée plus tard ! Il faut retrouver ces enflures !”
Mettant correctement son manteau en place, Jefferson fit un signe de la tête à Ali pour prendre la direction que les trolls avaient prit, celle du centre ville. Courant à petites foulées, ils arrivèrent une dizaine de minutes après. Observant les alentours, il remarqua alors de l'agitation à sa gauche et sursauta même quand les trolls déboulèrent d’un angle de rue en fonçant droit sur un petit groupe. Immédiatement, les deux hommes se rendirent sur place et Jefferson en bon gentleman tendit la main à la jeune femme qui avait été projeté au sol. Une fois debout, il jeta vite fait un coup d’oeil pour voir si elle n’était pas blessée. Se retournant vers le reste des personnes, il se figea dans ses paroles en voyant Regina. Voila, tout s’expliquait, la situation était claire comme de l’eau de roche, c’était la faute à l’ancienne mairesse. Heureusement que les jumeaux choisirent ce moment pour intervenir car Jefferson était à deux doigts d’accuser sans aucune forme de procès la sorcière. “Les petits D !” Ils avaient salué tout le monde d’un geste de la main, mais lui avait eu droit à un câlin et ça il aimait beaucoup. Un sourire paternel se dessina sur le visage de l’homme, chose que peu de personnes avaient vu tandis qu’il enserra dans ses bras les deux garçons. Sa colère semblait fondre comme neige au soleil alors qu’il ébouriffa les cheveux des rouquins avant de reprendre le fil de la conversation. Sa curiosité avait été réveillé, et maintenant qu’il avait récupéré son tableau, il était plus enclin à vouloir comprendre la finalité de ces choses. “Avant toute chose, quelques présentations ne feraient pas de mal pour les gens que nous connaissons pas. Je suis Jefferson le chapelier et comme vous avez pu le voir, un troll est rentré par un miroir de ma salle de bain pour tout détruire et en plus me voler un tableau d’Apollon !” Après les alcooliques anonymes, un nouveau groupe de paroles venait de se créer, les Miroirisés Anonymes, les personnes ayant des miroirs laissant passer des choses étranges. D’ailleurs il en toucherait vraiment deux mots à Mary. Une fois les présentations faites, Jeff observa ceux qu’il ne connaissait pas, essayant de faire travailler sa mémoire en pensant aux fiches réalisés sur les habitants de la ville pendant la malédiction. Décidément, il y avait bien trop de policiers dans cette ville pour son plus grand bien et son interêt se portait sur Zach. Il l’avait déjà croisé au commissariat sans réellement y faire attention mais plus maintenant, pensant qu’il avait trouvé dans le jeune homme, une nouvelle arme pour faire craquer Brooke.
Regardant la jeune femme qu’il avait aidé à relever, qui s’appellait donc Anastasia, sans doute la princesse russe du même conte, il eut un petit sourire à sa remarque. Du piquant et du sarcasme, il allait forcément l’apprécier. Plissant les yeux quand l’homme parla de haricot magique, il eut du mal à y croire avant qu’il ne le sorte de sa poche, l’exposant devant tout le monde. Jefferson avait de l’expérience, il avait beaucoup voyagé, effectué un nombre incalculable de missions et il savait que l’homme ne mentait pas. Ce qu’il avait dans la main était bien un précieux légume, qu’il convoitait tant depuis que Regina avait lancé la malédiction. Changeant totalement de comportements, comme un caméléon, Jefferson arriva à se calquer totalement dans le décor, se faisant même oublier du reste du groupe. Voila la clé pour résoudre tous ses soucis, voilà la clé de la libération de son esprit. Comme à l’époque où il était engagé par Rumplestikin pour voler des objets précieux, il détourna d’abord l’attention avant de commettre son forfait. “Oh mais nous sommes tous ici en prison grâce à notre chère Regina ! Elle a confondu fin heureuse et torture éternelle mais c’est ça de faire de la magie quand on est pas raccordé entièrement à l’électricité là haut.” Montrant de son doigt sa tête, un sourire étrange flottait sur son visage. Jouant parfaitement le fou, le dérangé d’esprit, il s’amusa à regarder le ciel, les oiseaux, les plantes tout en s’avançant vers son but. “Il faudra vous reposer, une collision avec un troll n’est jamais sans conséquence.” S’il s’était mis dans la peau d’un acteur de théâtre, il ne disait pas que des mensonges, et son ton compatissant n’était pas feint. Puis enfin, il se positionna derrière sa cible, qui ignorait qu’elle avait été prise pour cible jusqu'à ce que Jeff, dans une habileté redoutable passe son bras devant Wolf et attrapa avec doigté le petit haricot. Dès que ses doigts touchaient le légume, il ferma sa main et fit un bond en arrière, se reculant le plus possible du groupe. Enfin il allait pouvoir retrouver ce qui lui manquait le plus, ce qui pourrait faire qu’il quitterait pendant un temps ce monde de malheur. Tendant le bras devant lui, comme s’il tenait une arme, son visage reflétait toute la folie qu’il pouvait avoir véritablement, mais ses yeux montrèrent la souffrance réelle dans laquelle il était plongé quotidiennement. Hoquetant à la fin de sa phrase, il connaissait le mécanisme des haricots et il savait qu’il ne pourrait pas tout arrangé mais il avait un plan. Il prononça son voeu, sibyllin, mais le penser fortement. Une lumière doré sorti de sa main et une fumée l’enveloppa pendant quelques instants. Son souffle se coupa et la cicatrice de son gorge lui brûla intensément, comme si on lui avait mit un collier au fer rouge autour. Les larmes lui montèrent au yeux mais il était près à tout pour retrouver son pouvoir. Puis tout s'arrêta aussi vite que ça avait commencé et il regarda avec intensité quand Virigina demanda si ça avait marché. Il souffla un oui dans son foulard alors qu’il sera et desserra sa main qui était entourée d’une sorte de légère fumée violette. “J’ai déjà payé mon tribut Wolf ! Je ne fais qu’obtenir que la monnaie de ma pièce.” Oh oui, il avait toujours l’impression qu’il était la poupée barbie du destin. Celle que l’on arrache la tête, les cheveux, que l’on écartèle, que l’on tape sur le sol parce qu’elle ne veut pas épouser Ken et surtout parce que c’est drôle. Il reconnaissait avoir fait des choses mauvaises, il n’était pas un saint, il ne l’avait jamais caché, mais il avait toujours estimé que c’était trop par rapport à ses péchés, que la balance, dès sa naissance avait un large déséquilibre en sa défaveur. Pas étonnant que par la suite, il n’aille pas dans le bon sens lui même, comprenant que de toute façon, quoi qu’il pourrait faire, il était condamnée à être damnée pour l’éternité.
“Pour votre gouverne, je n’ai fait que ravoir ce que je possédais avant ! Certes je suis égocentrique mais pas mégalomane, contrairement à certaines d’entre nous ici.” Son regard se posa lourdement sur Regina qui était occupé avec le chien. Oui, Jefferson n’avait pas demandé plus que ce qu’il cherchait depuis une quarantaine d’année, sa magie de transport. Elle faisait parti intégrante de lui, mais quelque chose l’a bloquait, l’avait enfermé dans une cage. D’abord Priscillia et Grâce, puis la décapitation et enfin la torture, le chapelier n’avait pas supporté et même s’il vivait comme si de rien n‘était, son syndrome de stress post traumatique s’en était ressenti dans son pouvoir, jusqu’à l’annihiler totalement. Comme dans le rêve, peut être prémonitoire qu’il avait fait le matin même, il se sentait bien, apaisé, enfin tranquille, si bien qu’il rendit avec un grand sourire le haricot magique. Des années qu’il n’avait pas connu cette sensation, il planait alors qu’il n’avait rien pris comme drogue, la magie recoulant enfin dans ses veines qui n'attendaient que ça. Se détournant de la conversation groupée vu qu’il n’y avait plus que des aboiements, et qu’il préférait les chats aux chiens, il sentit l’air bougeait dans son dos. Son sourire ne s’était pas enlevé de son visage et grandit encore en voyant les jumeaux l’applaudir. Se mordant la lèvre pour ne pas répondre tout de suite, il préférait garder le secret et surtout attendre la régénération complète de ses pouvoirs, ne pouvant imaginer autre chose. Préférant leur demander comment ils allaient, vu qu’il ne les avait pas vu depuis un petit moment, c’est à dire au moins une semaine, il hocha la tête, satisfait de leur réponse. Il aimait les jumeaux depuis la première fois qu’il les avait vu à Wonderland. Ils lui avaient apporté un peu de paix et de joie dans le moment le plus sombre de sa vie, et rien que pour cela, il ne pouvait que les apprécier. Il les avait pris en amour, comblant un peu le vide qu’il avait dans son coeur depuis que Regina lui avait éclaté la bulle de déni dans laquelle il était depuis la mort de sa femme et de sa fille. Soulagé de savoir qu’ils allaient bien, que le fameux invité surprise n’avait endommagé qu’une simple vitre et pas autre chose, il leur expliqua mystérieusement que la prochaine fois il viendrait. Maintenant qu’il avait retrouvé sa magie de transport, il ne les laisserait plus seul face aux dangers, revoyant toujours dans son esprit leurs airs apeurés face à la reine rouge. Il entendit son téléphone sonner et il comprit que les rouquins n’avaient pas attendu et pas comprit qu’il parlait de plus tard. “Ce n’est pas le moment ! Mais je vous promets que je vous le montrerais, vous me connaissez !” Il avait pu voir la triste mine et son coeur se serra. Il n’aimait pas décevoir Derek et Duncan mais ce n’était clairement pas le moment, même si son envie de partir loin d’ici le tentait de plus en plus. Imitant les deux adolescents, Jefferson leva un sourcil quand un miroir apparut, comme ça, au milieu de la rue. Un voyage dans un autre monde, voila l'intérêt du grand voyageur qu’il était enfin réveillé. Mettant le bras devant les jumeaux, il préféra les faire passer derrière lui, comme il avait toujours fait. “Allons y Alonzo!”
Totalement revigoré, Jefferson secoua les épaules alors que le souhait d'Anastasia se réalisait, les enveloppant tous dans une fumée qui les déposa dans l'autre monde. Observant les alentours, il jeta un coup d’oeil aux autres. Bien entendu il avait fallu que Regina vienne aussi, et il fit une petite grimace. Elle allait encore vouloir conquérir le royaume et blabalbalba fin heureuse et blablablbaab evil queen et blabalbalab evil boobs. Trop concentré sur ce que l’ancienne mairesse allait faire, il ne remarqua pas à temps le bruit de craquement mais heureusement Derek attrapa le bout de bois avant qu’il ne s’écrase sur son frère et inversement quelques secondes après. Comblant la distance qui le séparait d’eux, il les observa attentivement. “Est ce que ça va ?”" - Niquel ! - Et grâce à nous, le panneau aussi va bien !" Heureusement plus de peur que de mal, mais Jefferson n’était pas objectif envers les tweedle, craignant toujours pour eux, pire qu’un papa poule. Rassuré, le chapelier ticqua en comprenant enfin l’endroit dans lequel ils se trouvaient. Un prison. Heureusement pas derrière les barreaux mais juste dans le couloir. “Tu vois Brooke, il faut croire que les dieux t’ont entendu ...” Murmurant cette phrase pour lui même, en se remémorant une conversation qu’il avait eu avec le policier qui ne faisait que l’enfermer, à croire que Regina lui avait mis exprès un garde schourne pour lui rappeler sa captivité à Wonderland, il desserra un peu le noeud de son foulard, sentant les prémices de l’angoisse l’envahir à nouveau. “On ne mange pas dans une prison …” La voix du chapelier était tremblante alors qu’il posa une main sur l’épaule de Duncan, qui lui lança un petit regard qui lui sous entendait qu’il avait comprit de quoi il faisait référence “On devrait pouvoir !". Il les avait connu en prison d’ailleurs, et sa révolte envers la monarchie de Wonderland n’avait fait que s'accroître en voyant le traitement qu’ils avaient eu, un peu meilleur que le sien, mais tout de même horrible. Ne relevant pas leur phrase, ne voulant pas réouvrir le traumatisme qu’ils avaient vécu, il s’en prit plutôt à Wolf qui parla comme si tout allait bien. “Sérieux ? Vous pensez à bouffer alors qu’on vient de se faire emprisonner sans même avoir rien fait ?” Passablement irrité, Jefferson fit un tour dans la cellule, calculant toutes les possibilités d’évasion mais il ne put élaborer plus rapidement un plan car les jumeaux avaient engagé la conversation avec l’autre prisonnier. Arrivant à temps pour les empêcher de faire une bêtise, il posa à nouveau la main sur l’épaule, mais de Derek cette fois ci, tout en lui faisant les gros yeux. Quand il entendit le petit cri poussé par l’autre jumeau, Jefferson ouvrit les yeux en grand. “Oh le batard !” Se jetant directement sur le rouquin pour le libérer de là, il égratigna l’homme avec ces ciseaux, mais ce qui le fit lâcher, c’est les clés qu’il avait maintenant dans la main. Mais ce n’était pas tout, comme lui avait subtilisé le haricot magique, Acorn vola le miroir qui les avait fait venir ici. Plus perturbé par la tête des rouquins que par l’agitation qui régnait, il leva les yeux au ciel quand il commença à entendre les premières plaintes. “C’est bon, on va rentrer chez nous, vous avez vraiment pas le sens de la fête.” Se tournant vers les rouquins, il se voulait rassurant. “Ce n’est pas de votre faute, vous avez voulu bien agir et vous avez bien fait ! C’est ce gars qui vous as dupé, c’est lui le seul responsable de la situation” avant d’ajouter en murmurant sans qu’ils l’entendent “Et Regina.” Après avoir été rassuré, les jumeaux retrouvent toutes leurs fougues et hurlèrent à en faire saigner le tympan de Jefferson qui se recula d’un pas tout en rigolant. “Mais que fait la police ? Ah bah elle se fait kidnapper… Vraiment on se demande comment est fait le recrutement …”
Le point positif de cet embroglio était que même s'ils étaient en prison, le prisonnier leur avait montré la voie, et qu’ils allaient pouvoir enfin sortir de cet endroit, ce que Jeff ne se pria pas de faire. En voyant le panneau, il fit un doigt d’honneur ! “Visiblement ils ont des gens aussi intelligents et rempli d’humour que Brooke dans cet endroit !” Ricanant à son tacle, un peu déçu d’ailleurs que le principal intéressé ne soit pas là pour l’entendre, et s'énerver tout seul, il observa les lieux. Une forêt des plus normal mais surtout une rivière, immense, qui débouchait en un grand lac sur laquelle naviguait en père pénard les trolls. Levant un sourcil à l’évocation de son nom, il hocha la tête par la négative. “D2, je veux bien que mes ciseaux soient plus tranchant que la moyenne et qu’ils peuvent fissurer des os, mais pas le bois ! ça va les émousser.”"Et est-ce qu'on peut trouver des grands os pour les couper et faire une barque alors ?" Souriant sadiquement en se tournant vers sa victime préférée. “Grand os je sais pas, mais gros on a ce qu’il faut.” C’était bien sur faux, même lui pouffa en y pensant, parce que Regina était quand même bien foutu, c’était d’ailleurs la seule chose qu’il lui reconnaissait. Les jumeaux étaient en train de traficoter à ses cotés quand il aperçut une barque de pécheur un peu en amont de la rivière. Se précipitant sur le bord, il hurla en faisant des grands gestes. “Oh hé du bateau !” L’entendant, mais surtout voyant ce grand individu, toujours en boxer et manteau, le pêcheur fit virer sa barque vers la grève.” On peut savoir depuis quand les bûcherons ont des ciseaux et pas des haches ?” Levant l’autre sourcil, il se retourna vers les jumeaux pour voir qu’ils ne l’avaient pas écoutés, jouant plutôt qu’autre chose avec sa paire de ciseau qu’il considérait plus comme une arme qu’un véritable ciseau. “Ne vous coupez pas surtout !” Se préoccupant plus du pécheur, il changea du tout au tout le ton de sa voix. “Oh mon cher Monsieur, si vous saviez ce que ces deux là peuvent faire avec des ciseaux ! Ce sont des magiciens de la robotique !” Il n’avait pas pratiqué depuis longtemps car à Storybrook l’argent était roi et la malédiction, pour compenser ses souffrances lui en avait donné des tonnes et des tonnes, mais ici, il avait l’impression de se sentir comme dans la forêt enchanté, comme un poisson dans l’eau. "Cependant ils n'ont là que du bois ! Dites moi par hasard, vous ne pourriez pas nous aider ?" “La roboquoi?” Visiblement, il avait raison de penser que ce royaume s'apparentaient plus à la forêt enchanté qu’à Storybrook ou même au monde en noir et blanc. “ça dépend ! Vous aider comment et je gagne quoi?” Le chapelier savait parfaitement quoi faire dans cette situation, l’ayant vécu des dizaines et des dizaines de fois, car avant de faire de sa passion pour les chapeaux une activité lucrative, il avait été pendant au moins quinze ans, une sorte de négociateur. "Nos amis ont été kidnappés par d'affreuses créatures ! Nous voulons passer la rivière pour les sauver" La voix emplie d’inquiétude alors qu’en réalité il s’en fichait, Jefferson était bon pour être en lice à la prochaine remise des Oscars. “C'est pas mon problème... Je pourrais bien, certes, vous aider à traverser…” dit-il pensif. “Mais ce serait pas gratuit”, ajouta-il avec un sourire qui affichait de très mauvaises dents. Hochant de la tête, il se tourna vers le reste de ses camarades. “"Y en a qui ont des trucs à lui donner ? Moi j'ai des billets mais j'suis pas sur que ça lui serve ..." Effectivement, il avait regardé dans les poches de son manteau, et il n’avait que des billets. Bon il avait aussi quelques sachets de drogues, un briquet, un calpin et des bonbons mais ce n’était certainement pas suffisant pour le pécheur. C’est Anastasia qui brisa le bruit des murmures et des questionnements.” On peut lui donner le haricot magique. Il reste la moitié des voeux.” Frottant sa chevelure désordonné, Jefferson fit une petite moue. “Hum, c'est pas un peu trop cher pour une simple traversé ? Personne n'a rien d'autre ? "” Mais au lieu qu’on lui réponde sur les biens, Anastasia répliqua et Wolf s’emporta.” “Est-ce qu'on est vraiment en train de déterminer le prix de la vie de mon collègue Zack et de celle de Virginia là ?” “Mais quelle genre de personne es tu donc ?” Haussant les épaules, en affichant un visage qui s’en foutait vraiment, il ne prit même pas la peine de répliquer, ils ne comprendraient pas, l’essence même du contrat. “Moi j'ai volé rien de plus que ce haricot et ma prochaine étape c'est voler le coeur de Virginia alors c'est vrai que je suis un peu pressé de la retrouver.” Et après on lui faisait comprendre qu’il perdait du temps sur des futilités ! Ce fut à son tour d’être agacé, en envoyant un regard noir à Wolf. "Et bien vous dites de moi mais au final vous ne pensez aussi qu'au prix, la récompense ... celle de choper la jolie fille et pas à l'autre partie ! "Croisant les bras autour de sa poitrine, il se retourna vers le pécheur qui attendait tranquillement. “Ne vous inquiétez pas, ça arrive.” En parlant d’arrivage, Wolf marcha jusqu’a ses côtés, tendant sa main contenant le haricot qu’il avait prit à Anya. “Attends” Pour la deuxième fois de la journée, le chapelier lui vola le légume tout en disant d’un air professionnel.”"Il faut lui donner une fois après avoir traversé ! On ne va pas non plus se faire avoir comme des bleus !" “Bien vu l’ami !” Sérieusement, il aurait eu honte s’il avait fait ça, c’était la base même de la chose, ne pas échanger avant d’avoir eu le service.”Voila un haricot magique qui permet de réaliser tous les souhaits même les plus inimaginable ! Je vous propre un contrat ! Vous m'aidez moi et mes amis à franchir la rivière et vous pourrez faire un voeu avec le légume ! Qu’en pensez vous ?” Le silence se fit, et seul le bruit de l’eau clapotait contre les rochers résonnait. Laissant le temps, Jefferson fit un sourire entendu au pécheur qui s'exclama après mûre réflexion. “Montez. On garde bien les mains et les pieds à l'intérieur de l'embarcation et on se dépêche, les sardines vont pas m'attendre toute la journée.’
Se tournant vers le petit groupe, il leva le pouce en l’air, signe de victoire tandis que Wolf leur faisait signe de venir embarquer. Tout le monde était sur le bateau, tout le monde ou presque, vu qu’Ali s'obstinait à ne pas vouloir venir. Levant les yeux au ciel, dépité, Jefferson sortit du bateau tout en disant. “Deux secondes, je m’occupe du problème.” Il aimait bien Ali, il l’appréciait véritablement mais parfois il l’insupportait et actuellement c’était le cas. Il connaissait son problème avec l’eau, mais il y avait des priorités. Sautant de la barque avec grâce, il se dirigea vers le prince qui pleurnichait. Sans un bruit, toujours en ninja et avec une force qui surprit tout le monde, Jefferson envoya un crochet du droit au Prince qui tomba KO immédiatement. Ce n’était pas parce qu’il ne montrait pas ses atouts sportifs, qu’il aimait se prélasser comme une limace qu’il n’était pas fort. La boxe l’avait tenu en vie pendant la malédiction, se défoulant comme il le pouvait sur les sacs accrochaient dans sa salle de sport. “Désolé mon pote, tu me revaudras ça !” Endormi comme les princesses qu’il aimait attraper dans les couloirs, Jefferson, dans une contraction de muscle, jetta Ali sur son épaule pour le porter jusqu’à la barque. “On va le mettre au milieu. Vous pouvez mettre vos pieds dessus, il sentira rien.” Plaçant délicatement, paradoxe quand on voyait la frappe qu’il avait fait, le corps du Prince, il se plaça à coté des jumeaux. Regardant que tout le monde était là, il haussa les épaules en devinant certains regards de jugement. “Quoi ? Vous auriez préféré le laisser sur le bord ? Ali n’aime pas l’eau, même dans une baignoire il ne se met pas, c’était la seule solution. Je n’aime pas non plus la violence, je ne suis pas comme un de ses vikings qui traine en ville mais là, c’est un cas de force majeure.” "Oooh ! C'est très bienveillant ! On dira à Ali que tu l'as sauvé ! "Le pêcheur fit partir la barque et le voyage commença enfin. Un peu de calme dans toute cette agitation ne pouvait leur faire que du bien. Enfin ça, ce n’était sans compter que trois wonderlanienns très bavard se trouvaient à bord. “Tu crois qu'il faut lui donner à manger ?” “Il est assommé Duncan, il ne peut pas manger ! Mais dites vous avez faim ou quoi ? Tout à l’heure vous m’avez assuré que vous avez mangé, mais je n’ai pas l’impression !” Suspicieux, son regard se fit un peu plus perçant tandis que les jumeaux essayaient de se justifier. "Bah oui, on a tout le temps faim ! -Comme tout le monde, non ? " Non ! il faut être rassasier pendant un moment ! Si ce n’est pas le cas ce n’est pas normal !” "-On est rassasié un petit moment quand on a mangé ! -Et après on a faim !"Tout en surveillant qu’Ali ne s’étouffe pas ou surtout ne se reveille pas, il fouilla dans sa poche et tendis aux jumeaux deux sucettes. “Tenez, ça calmera vos estomacs sur pattes !” "MERCI SUPER JEFF !". Pendant ce temps là, on pouvait entendre l'aboiement du chien sans doute était il en discussion intense avec Regina. La traversé dura une dizaine de minutes, et quand le bateau cogna contre la Rive, il regarda Ali qui commençait à reprendre connaissance. Sans attendre, il l’attrapa à nouveau et le déposa au sol tout en faisant bien attention de ne pas tomber, il ne voulait pas d’une apocalypse. Observant les alentours, il vu un grand panneau de bois ou était écrit REPAIRE SECRET DES TROLLS 2KM DANS CETTE DIRECTION ! Pas forcément étonné, il pointa le panneau du doigt à Wolf avant de retourner vers la barque. Le contrat était rempli, et le pécheur avait fait son voeu, tout était bien dans le meilleur des mondes. Or l’homme ne voulait en aucun rendre le haricot, Jeff le voyait comme le nez au milieu de la figure. “Mon bon Monsieur, il est temps de me rendre mon haricot !” “Non c’est le mien, vous me l’avez donné, il est à moi, en entier.” “Tututut, ne faites pas l’enfant ! Le contrat stipule un voeu, et pas plus !” “Quel contrat ? Il n’y a rien d’écrit !” Avec un sourire sadique, Jefferson sorti le fameux calepin de sa poche et le montra au pécheur, incrédule. Il avait tellement bien détourné l’attention de son client, qu’il n’avait pas vu qu’il avait noté toute la discussion, comme il le faisait avant. “Allez, maintenant on rend le haricot sans faire d’histoire et on s’en va.” Bien entendu, le pécheur ne l’entendait pas de cette oreille là, et il le serra précieusement dans sa main. Pas patient pour un sou, et encore sous l’adrénaline du coup de poing qu’il avait donné, Jeff se jeta sur le pauvre homme et une bagarre violente éclata. Et comme dit à la fin c’est toujours les allemands qui gagne, l’adage pouvait aussi être attribuer au chapelier, et dans un cri de victoire, il arriva à arracher le bien des mains du pécheur. Dans son geste, il perdit l’équilibre et chuta lourdement sur ses fesses, la douleur remontant jusque dans son dos. N’ayant toujours pas d’habits sur lui, les égratignures et les blessures avaient été un peu plus violente, mais il avait gagné. ‘Pff, il va falloir désinfecter tout ça !” Sans même un regard pour l’homme qui sanglotait, il se releva, dans toute sa splendeur et rattrapa le groupe qui avait un peu avancé. “Wolf !” L’homme se retourna et Jeff lui donna le haricot en lui faisant un clin d’oeil. “Surtout de rien !” S’élançant en avant, son manteau volant dans les airs, il passa en tête du groupe. Quelques dizaines de minutes de marche après, et il se stoppa net, encore un panneau qui indiquait la route, et ironiquement il dit : “VOUS ETES ARRIVES AU REPAIRE SECRET DES TROLLS” “Oh c’est tellement gentil à eux de nous indiquer le chemin ... franchement fallait pas se donner cette peine !”