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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
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 Evénement #98 : Miroir magique au mur [Fe]

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Zach Zuzio
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Zach Zuzio

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| Conte : Le Roi Lion
| Dans le monde des contes, je suis : : Zazu, le majordome royal

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Evénement #98 : Miroir magique au mur [Fe] - Page 2 _



________________________________________ 2018-08-12, 19:56


Miroir magique au mur

Des fétichistes de chaussures à l'haleine puante

Pouf ! En l’espace d’un instant, voilà qu’ils se retrouvaient tous dans un endroit inconnu, qui était apparemment une prison, dans un de ces autres mondes. Zach savait que certaines personnes retournaient parfois dans des mondes…magiques, mais il ne pensait pas que cela lui arriverait un jour. Il n’était pas toujours très à l’aise avec la magie, et quand il avait vu ce Wolf sortir un haricot magique, il avait légèrement paniqué. D’autant plus quand il s’était retrouvé dans les mains de Hatters, qui n’était pas un homme des plus fréquentables. Zach avait finalement un peu soufflé quand le haricot s’était retrouvé dans les mains d’Anya. Erreur.

Zach avançait légèrement en retrait du groupe, sur ses gardes. Il n’eut pas le temps d’intervenir quand les jumeaux s’emparèrent de la clé et quand le prisonnier s’enfuit. Décidément ces deux-là étaient bien impulsifs. Zach secoua la tête en se pinçant le nez, prêt à leur faire une remontrance. Mais avec cette diversion, il avait baissé sa garde, et cesser de surveiller ses arrières. En un rien de temps, il se retrouva avec une monstruosité face à lui, et s’endormit d’un coup sec.

Zach ne sentit pas le trajet passer. A vrai dire, il eut l’impression d’avoir été assommé seulement l’espace d’un instant. Il se réveilla dans un sursaut, mais il était bloqué dans ses mouvements.
Il était en position semi-allongé, et il était attaché. Il avait la bouche pâteuse, mais ne pouvait rien y faire, car il avait un écarteur dans la bouche, qui la maintenait en position ouverte. Il ne pouvait émettre que des sons incompréhensibles. Il s’agitait sur sa chaise, se secouant dans l’espoir de briser les attaches, mais bien évidemment en vain.
Il regarda autour de lui, il aperçut Virginia. Elle dormait encore, et était aussi attachée sur une chaise, qui faisait extrêmement penser à une chaise de dentiste.
La chaise de dentiste, classique. Seulement ce ne serait pas cela qui impressionnerait Zach, il n’avait aucun souci avec les soins dentaires. Ils étaient très importants pour maintenir une bouche en pleine santé, siège de nombreuses bactéries.

Il continua à scruter la pièce, et observa qu’elle était jonchée de paires de chaussures. Des dizaines de paires de chaussures. Cela pouvait certainement expliquer l’odeur nauséabonde de la pièce. Zach était maintenant encore plus appeuré que pour le coup de la chaise du dentiste. Quelle sorte de psychopathe collectionnait les paires de chaussures ?? Il remarqua d’ailleurs que Virginia était pieds-nus. Il jeta un coup d’œil à ses propres pieds, et aperçut alors lesdit psychopathes, ainsi que probablement la deuxième cause de l’odeur nauséabonde de la salle.

Trois trolls, qu’il avait aperçus dans les rues de Storybrooke, étaient penchés sur les chaussures de Zach, en train de discuter.
Finalement on a bien fait de l'emmener aussi, elles sont pas mal, faudra juste retirer les tâches !
Ils commencèrent à les tripoter, et à les renifler. Zach écarquilla les yeux, stupéfait. Il commença à secouer les pieds, mais les trolls lui retirèrent ses chaussures. Il n’eut pas le temps de réagir, un troll approcha son visage du sien. Beurk, de près ils étaient encore plus terribles. Et, oh comble de l’horreur, leur haleine était des plus insupportables.
Et si on jouait au dentiste maintenant ? Sois-tu réponds à nos questions et on te tue après, soit on te tue avant et tu réponds à nos questions après.
- Bill, ça marche pas la deuxième option, il sera déjà mort.
Le dénommé Bill qui semblait dénué d’intelligence lui retira alors l’écarteur qu’il avait en bouche.
- Bon bah il répond à nos questions avant et on le tue après dans ce cas.
Zach fit un ou deux mouvements buccaux pour détendre ses muscles, avant de se mettre à hurler.
tu interviens déjà ou tu attends la question ?
"Mais ça va pas bien non !! Libérez-moi tout de suite !! Vous pouvez vous les carrer où je pense vos réponses !! et rendez-moi mes chaussures, psychopathes rétifistes !"
"Il pense à quel endroit d'après toi ?"
"Aucune idée et c'est pas important. La reine nous avait pas dit que le 10e royaume existait. Papa est pas d'accord qu'on ait juste la moitié du 4e quand tout sera fini. On va avoir le 10e pour nous tous seuls et il va nous donner des réponses !"
Le troll prit en main une fraise de dentiste, et menaça Zach. Celui-ci enfonça le plus possible sa tête dans la chaise.
"Ooooh lâchez ça vous aller vous blesser"
Bill souffla à sa soeur : J'crois qu'il est bête, il n’a pas compris que c'est LUI qu'on va blesser s'il répond pas.
D'une voix normale il reprit : "OU. EST. LA. PORTE. POUR. ALLER. AU. 10E. ROYAUME ?"
"Le 10eme quoi ?? vous n'interrogez pas la bonne personne je ne vois pas du tout de quoi vous voulez parler !"

Bill n’eut pas le loisir de sortir une réplique intelligente. Régina sortit de l’ombre.
"Pour une fois que je peux être utile ! "
Elle utilisa alors ses pouvoirs sur les trolls, et les projeta contre le mur. Ils tombèrent alors sur le sol, ensevelit sous les chaussures. Puis elle se tourna vers Zach et Virginia, et d’un nuage de fumée violette fit disparaître leurs chaînes.
Wolf se dirigea vers Virginia apparemment préoccupé par son état, et Anya se dirigea vers Zach pour l’aider à se relever.
"Ca va aller ?"
Zach se releva d’un coup et sauta dans les bras de sa collègue, soulagé.
"Oui ça va mieux maintenant".
Il se recula et ramassa ses chaussures pour les remettre, soupirant à la vue des tâches.
"Ils ont une haleine terrible, c'était affreux, quelle torture !"
Anya grimaça : "Je te crois sur parole. Tu sais pourquoi ils vous ont enlevé ?"
"J'ai rien compris, ils cherchent apparemment une porte vers un royaume...le 8, non attend le 10. Bref du charabia, ils sont pas nets."
Wolf intervint "Si je peux me permettre il existe chez les trolls une prophétie qui mentionne une 10e royaume qui serait par delà le 9e - ce qui est assez logique. "
"Ils pensent peut-être que c'est Storybrooke ce fameux royaume légendaire ? "
"Attendez il existerait 10 royaumes en tout c'est ce vous baragouinez ? On est où là d'abord ??"
"Moi je baragouine rien, je vous traduis une prophétie ! On est dans le repaire des trolls du 4e royaume. On a fait pas mal de kilomètres pour venir vous récupérer" - se tournant vers Virginia : "Mais ça valait le coup ! "
Zach les regarda, sceptique, mais certes. Supposons que tout cela était vrai.
"Ok le quatrième royaume...et bref, en quoi le dixième royaume les intéresse ?"
"Ca je sais pas mais les trolls aiment envahir des terres donc je suppose que c'est ça. "

C'est alors qu'une des personnes du groupe que Zach ne connaissait pas intervint.
"Vous avez raison, pendant que je sympathisais avec la créature, qui a envahi mon bureau. Elle m'a confiée qu'elle désirait envahir Storybrooke"
"Super, merci pour cette précision....euh...votre nom m'a échappé"
''Ali, mais vous pouvez m'appeler Sultan '' répondit-il en prenant un petit air hautain.
"Très bien, je m'en tiendrais à Ali si cela vous va."

Zach se retourna, et souffla un grand coup. Ils étaient apparemment dans un royaume infesté de trolls qui voulaient envahir Storybrooke et ils n'avaient plus moyen de rentrer chez eux s'il avait tout saisi. Parfait. Qu'elle serait la prochaine nouvelle ?


(c) crackle bones



Ali Nacer
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Ali Nacer

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| Conte : Aladdin
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Evénement #98 : Miroir magique au mur [Fe] - Page 2 _



________________________________________ 2018-08-13, 09:18


       
Miroir magique au mur !

Ali & des boulets

       
 


Je m'ennuyais Royalement ! On m'avait empêcher de m'amuser avec mon épouse. On s'était introduit dans mon Palais sans invitation. Et c'était inacceptable !   À partir maintenant de bannirait tous les miroirs de ma demeure. Que ma cour royale n'approuve ou pas . C'était des instruments magiques et maléfiques. Ce n'était pas à cause de la créature, que je pensais cela. Mais parce que ses accessoires pourraient servir a mon demi frère, pour m'espionner et se servir de mes petits moments de faiblesses pour capturer mon enfant. Le pourquoi, elle n'était jamais bien loin de moi. Parce qu'elle était convoitée par les sorciers du sable. Une autre raison, pourquoi je n'appréciais pas les miroirs. Ceux-ci étaient fabriquer avec du sable. Je n'haissais pas le sable, mais il était un peu trop présent dans ma vie.  Mais pourquoi avoir des miroirs dans ma maison ? Parce que dans mes temps libres, je cherchais le moyen de transférer Agrabah, de la bague a un miroir. Pour pouvoir retourner dans ma citée dorée, avec mon peuple et ma famille. Parce que je savais que les miroirs avaient la capacité a lui nous faire voyager dans le monde des contes. Mais sans succès, la bague semblait protégée d'un puissant sortilège. Mais je n'abandonnerais pas, j'avais d'autres options pour retrouver mes Huit Royaumes. Mais en ce jour, les miroirs étaient totalement inutiles pour moi.   Jusqu'à ce que je croise celui qui allait me capturer contre mon consentement..

Je m'ennuyais Royalement ! Parce qu'à part la discussion sur les mariages, avec mon voisin de Palais. Qui était aussi le parrain de mon bébé hybride. Cette poursuite pour rattraper deux trolls, n'avait rien de passionnant. Même si je m'étais porté volontaire, pour sauver mon ami dans sa détresse émotionnelle, a cause de cette peinture d'un homme qui affectionnait trop,  contre le voleur . Mais je ne le faisais pas pour aider mon prochain comme autrefois, mais parce que Jefferson était de ma famille. Parce que le ''Aladdin le sauveur'' n'existait plus à cause d'elle..

Devant moi se trouvait Regina. Une femme pour qui j'avais une certaine rancoeur malgré le fait que j'avais été témoin de son mari a leur mariage. Mais je l'avais fait pour Robin. Et parce que je voulais me redonner espoir d'un jour avoir ce fameux rêve bleu, qui me donnerait cette fin ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. Parce que pourquoi elle aurait le droit a son véritable amour et moi j'avais due attendre cinq ans ?  Parce qu'elle avait arrachée Agrabah. Mais est-ce que j'allais me venger d'un souhait? Non ! Parce que la vengeance a un prix a payer..Un prix que je ne paierais pas parce que je suis un voleur. Mais un jour, je lui dérobais quelque chose qui lui tient à coeur, car durant plusieurs années, je ne trouvais plus l'épanouissement et le gout de vivre. Mais heureusement, une ombre m'avait giflée pour supplier la faucheuse de mettre fin a mes jours. Parce qu'à ce moment, il n'avait plus d'espoir et mon coeur s'éteignait..Elle avait mis un pansement sur la blessure que la méchante Reine m'avait causée. 

Et depuis ce jour, ma vie avait pris une autre tournure. Mais il me fallut quand même cinq ans, pour rêver de nouveau, a une réalité a bleu. Et avoir des retrouvailles entre Jasmine et moi.Et pouvoir écrire un nouveau chapitre a notre romance. Donc j'étais mécontent de voir cette femme. Mais je préférais faire semblant que sa présence n'avait aucun impact sur mon moral. 

Même chose, pour l'amie de ma favorite, parce que je la croisais un peu trop souvent. Elle n'était pas aussi amusante que son mari avec qui j'avais vécu une aventure particulière. La rouquine et moi ont se croisaient souvent au poste police, quand j'allais rendre visite a ma maîtresse,(Enfin seconde épouse vue qu'elle portait mes enfants a présent dans son ventre.  ) et voler quelques donuts au passage. C'était sans doute pour cette raison que j'avais pris un peu de bedaine. On se croisaient aussi involontairement  pour des aventures hors de notre contrôle dans lesquelles on était impliqués contre notre gré. Sa présence ne me plaisait pas, parce qu'elle était trop impliquée dans la vie de Laureline. Mais pour faire mon indifférent, je prenais mon air hautain, gardant le silence et analysant les autres personnes présentes. Trois types que je ne connaissais pas, donc deux identiques  qui me faisait légèrement sourire, parce que c'était des jumeaux. Et qui me ramenait  a penser a cette joie que je ressentirais dans six mois, quand les miens vont naître. 

Par contre Amira, ma petite capucine quittait sa cachette, descendant le long de ma tête pour se percher sur mon épaule. Elle était vêtue d'un tu-tu turquoise,  d'un collier diamantée a son cou. Elle montrait les crocs aux femmes présentes dans le groupe. Pourquoi ? Elle n'appréciait pas  les têtes couronnées féminines. Je n'avais pas l'intention de la punir pour son attitude. Je faisais juste m'éloignée en lui caressant du bout des doigts , la tête pour la calmer.

La suite des événements, n 'avait rien d'impressionnants et je m'ennuyais royalement encore une fois. Des animaux parlants, ça faisait parti de mon quotidien. Et en plus cet animal c'était encore un canin, en quelques semaines j'avais croisé deux chiens qui faisaient la discussion. Et comme mon voisin, je préférais les félins..Pas des petits chatons ordinaires. C'était pour cette raison, que dans mon Palais il avait des panthères tachetées et un tigre se promenaient en toute liberté dans les couloirs de la demeure. Il avait eu le droit aussi a toute une agitation devant ce haricot à souhaits, qui ne m’interpellait pas. Les souhaits ne m'excitaient plus comme autrefois. Mais me faisait plus un pincement au coeur, parce que encore une fois, j'ai eu une pensée mélancolique pour Agrabah, qui était la citée des souhaits. Et dont ce genre d'ingrédient magique était très fréquents au bazar, ou sur le marché noir. Mais cet haricot n'allait rien changer a ma vie, il me ramènerait pas mon pays désertique.  Contrairement a Jefferson qui avait exaucer un souhait . Moi je n'avais pas de souhaits, car à présent les souhaits c'étaient moi..

Alors que mon attention se portait plus sur mon singe, que sur l'animation en face de moi. Même les seins de Regina n'était pas a la hauteur pour me divertir. J'aurais pu en profiter pour filer, et retourner a mon Palais pour offrir un baiser magique a Jasmine pour la réveillée de son charme de sommeil, avant qu'on la découvre,car même si nous étions marier légalement par un contrat, à cause du passée. Notre liaison était secrète pour ma cour royale et mon harem. Et je pourrais aller récupérée mon enfant que j'avais téléportée chez son grand père par alliance. Sans aucun doute, Kenza était apparue dans le salon, du père de Jasmine. Un homme en qui j'avais confiance, et qui allait prendre soin, même jouer avec mon bébé en attendant..Parce que je ne me sentais pas concerné par leur histoire de Trolls, de dix ème royaumes et tout le reste..Je voulais retourner a ma vie princière. Mais à cause d'un amatrice en matière de souhaits, je me trouvais piégé avec Amira. 

Et je me retrouvais en prison, avec la petite troupe mais aussi un type qui avait l'apparence de Quasimodo. Malgré ma présence en prison je n'avais pas une grosse scène de Calimero j'étais resté calme. Je m'étais installé encore en éloignement, laissant les autres se salir les mains pour me sortir du trou.  Non je n'avais jamais fait de prison a Storybrooke, parce que Laureline couvrait tous mes délits. L'avantage de sortir avec une policière, quand t'es un criminel. Il n'avait pas juste ma connaissance pour les prisons. J'étais le Roi des serrures..Il avait aussi une autre technique que je connaissais. Mais dans mon cas, un petit tour de magie aurait pu être suffisant. Mais personne m'avait demandé mon aide, donc je les laissais se démerder. Et je m'assoyais sagement sur une chaise peu confortable de la pièce Jusqu'à ce que les rouquins libèrent tout le monde..même ce voleur de miroir que je surnommais Quasimodo.

Ensuite, il avait eu cet événement de panneaux, peu très extravagant et divertissant pour moi. En plus c'était décevant, il n'avait pas de panneau qui indiquait..La sortie pour retourner a Storybrooke. On continuait donc notre chemin jusqu'à cette rivière, et encore une fois je laissais les autres se salir les mains, à ma place et trouver des solutions. Je suivais comme un petit mouton..Jusqu'à ce moment, ou on devait embarqué dans une barque. C'était à ce moment, là que je commençais a râler et a me justifier. Il était hors question que je monte dans une chaloupe, surtout à cause de mon traumatise du passé quand on m'avait jeter en bas d'une falaise avec un boulet attaché a ma cheville. Depuis ce jour, j'avais une peur noire de cet élément.Et il a quelques semaines, dans le monde du cartoon, j'avais été forcé de fuir des goules, sur une chaloupe. Même si cette fois là c'était différent , parce que je m'étais retrouvé avec une double tentation  qui était la femme de mon pote Viking sur qui je kiffais toujours en sa présence et il avait aussi ma seconde femme: Laureline. Donc j'avais trouvé la motivation, d'embarquer, mais là aucune tentation de me fera céder a mettre un pied , ni meme a toucher d'un doigt cette embarcation qui  me menait droit encore a une noyade. Parce que durant mon aventure, dans le royaume des morts, j'étais tombé a l'eau a cause d'un sosie de mon frère, un spectre qui m'avait poussé vers l'enfer. Heureusement, Laureline m'avait repêchée avec l'aide de Nessie, un monstre marin et elle m'avait fait le bouche a bouche. Et présentement, dans notre chaloupe du moment, si je tombais ou qu'on me bousculait parce qu'il a des personnes malsaines a bord. Le seul qui me sauverait était Jefferson. Parce que dans le groupe s'était le seul que j'appréciais pour le moment. Il avait une dernière raison, pourquoi je ne montais pas ,   c'était ma prophétie.

 Alors que je faisais ma crise de Calimero, et que j'avais l'intention de trouver un détour pour les rejoindre ou même un compagnon volant comme un tapis pour prendre la voie des airs, et non la voie nautique. Au lieu de ça, Jefferson sortait de la barque  Croyant qui allait tenter de me raisonner, ce qui n'aurait servit à rien parce que j'étais borné. Et donner l' ordre d'embarquer dans leur bateau peu rassurant,  a un Sultan ça ne se faisait simplement pas sans être puni. Dans ma tronche, il me donnait un crochet du droit, au même Amira sautait par terre, au moment je m’effondrais avant le chapelier me soutienne pour ne pas que je m'écrase au sol comme une carpette. Il me prenait ensuite,pour me mettre sur son épaule. Pour lui je devais peser une plume, parce que j'étais un petit format d'homme. Amira suivait en arrière, et sautait a son tour dans la barque, pendant que mon ami me déposait en plein centre, proche des jumeaux, qui voulait faire manger un inconscient, qui n'avait pas connaissance du trajet sur le cauchemar de sa vie..À la seule connaissance que j'aurais..serait vos pieds qui saliraient ma tunique royale.  Donc prenez garde ceux qui me prendrait pour un pouf ! Parce que contrairement, aux trolls ne voleraient pas vos chaussures, mais je vous couperais les pieds. Pendant le trajet, la capucine mangeait des bonbons qu'elle avait dérobée dans les poches du manteau du chapelier. Qui ne lui dérangeait guère parce qu'il était habituée au comportement étrange de la bête. Ensuite elle s'allongeait sur mon torse..

Contre la Rive, je reprenais doucement conscience grimaçant, espérant que mon voisin n'avait pas abîmer mon joli minois avec son coup. Même si je pouvais me soigner, ou même le remodeler à cause de mon pouvoir. Mais  au moins il n'avait pas briser mon gros pif ! Alors que j'ouvrais les paupières, la première personne que je voyais était un beau brun qui m'agrippait , et me soulevait de nouveau comme une Princesse, avant de me remettre sur pieds pour la suite du voyage. Amira s'était de nouveau faufiler dans mon turban.  Je suivais mon camarade d'aventure, qui prenait la tête de la marche jusqu'à l'entrée du repère des Trolls. 

Dans ce repère, deux d'entres nous avaient été capturés pour une histoire de souliers. Mais Regina prit la situation en main. Puis il avait eu cet instant de tranquillité, ou plusieurs discutaient de la situation. Écoutant d'une oreille discrète, j'interrompue leur discussion pour une précision. Et je fis une courte présentation, avec ce type qui avait l'apparence et l'attitude d'un larbin de Roi.  Je recommençais de nouveau a m'ennuyer royalement. Vu que l'ambiance était trop calme a mon gout, je m'assoyais sur le sol . 

Amira profitait de ce moment, pour quitter sa cachette, et dégourdir ses pattes..Elle allait réclamée d'autres friandises a Monsieur Bonbon, et ensuite elle disparaissait de ma vue. Je ne m'inquiétais pas, car elle avait l'habitude de s'aventurer et revenir par la suite. Elle le faisait souvent en compagnie de Noa.

Quelques minutes plus tard,elle m'avait dénichée un souvenir de ce monde. Parce que tous les royaumes que je visitais, je devais ramener une bricole pour ma collection , qui étaient exposer dans ma salle du trône. Je lui sourirais, passant ma main sur sa tête pour une caresse. Je descendais ma main pour des grattouilles dans son cou. Elle lâchait échapper des petits cris de joie. Elle était heureuse de satisfaire son maître. Elle remontait sur moi pour se nicher dans ma nuque se frottait tel un chaton. Je me tortillais légèrement en riant parce qu'elle me chatouillait. Puis elle se calmait.. pour que je puisse admirer le trésor qu'elle m'avait ramenée.

 C'était des ballerines orientales, que portait les nobles ou même les Djinns, comme moi. Intrigué c'était bien la seule chose qui avait captée mon attention depuis mon arrivée dans ce Royaume.  Je savourais la beauté de ses sandales lutines, je les collais contre moi les berçant, comme un nourrisson.  Ensuite, Je les frottais contre mon visage, leurs offrant un baiser chaque fois que j'effleurais ma bouche, avec. Puis je les descendais , en  caressant chaque partie de  mon corps avec ces chaussures. Je fermais les paupières, me mordillant la lèvre inférieure. Je me sentais épanouit en leur présence.  Je remontais les chaussures, a mon nez ..Je les reniflais . Ses ballerines avaient un parfum agréable. Elles sentaient la vanille.. Cet essence qui ne me quittait plus depuis cette nuit ou Jasmine et moi avions consumer notre mariage, grace a l'offrande qu'elle m'avait offert: sa virginité.  Puis j'ouvrais légèrement, les yeux,pour photographier ces accessoires pour ne jamais les oublier. Je fixais donc avec amour et désir, ses chaussures qui m' hypnotisaient, qui me faisait me  re-mémorisait le moment ou je faisais glisser sensuellement entre mes doigts et tout le long du corps caramélisée de  ma princesse, sa versace, pour lui enlevée et entamer la suite.  Une versace aussi scintillante et pailletée que ses ballerines. J'avais envie que celle-ci fasse l'amour a mes pieds. J'enlevais donc mes propres ballerines blanches. Quand ce fameux Wolf, m’interrompit mon excitation. C'était quoi leur problème a ses visiteurs du quatrième royaume ? Il ne voulait pas que j'atteigne le septième royaume du plaisir, aujourd'hui. Ils s'étaient donner le mot ?  Il me disait: Si j'étais vous je ferais pas ça.  

Sans lui jeter le moindre regard, parce que mes prunelles couleur désertique, ne pouvaient pas rompe le contact avec l'âme soeur de mes pieds. Je lui demandais : Pourquoi ? Mais en vrai son opinion n'avait pas d'importance. Rien je ne pourrais m'empêcher de jouir en glissant mes orteils au fond de ses souliers. Surtout que certains objets et moi nous avions une romance de déja écrite. Je me sentais obsédé ,  de ses ballerines..Aussi dépendant que ma dépendance a la Princesse. Ce fameux Wolf, était devait être un loup garou avec le prénom qui portait, mais je m'en foutais royalement, pouvait remarquer  que : Voilà, les chaussures ont déjà commencé leur effet. Il faut partir maintenant avant que les trolls ne se réveillent !

Qui se réveille ses trolls, je les ferais disparaître dans cette rivière d'un claquement de doigts, si m'empêchaient de ressentir l'orgasme , et la douceur du tissus de ses pantoufles contre ma peau, quand j'allais les enfiler, ou si il voulait toucher à mes chaussures.  J'étais en transe hypnotique. Que le loup garou, s'empara de force de mon avant bras, en me tirant pour me relever, et m’entraîner vers la sortie, suivit du groupe. Je me débattais : - C'est un ordre, lâche moi sinon je vous couperais la tête, j'ai le droit , ce n'est pas une manière de traiter un Sultan, donc laisse moi ,pour que j' enfile ses pantoufles.

 Parfois j'étais très arrogant, et ne pensant pas aux conséquences de paroles. Surtout quand j'étais ensorcelé. Ce n'était pas la première fois ! Parce que les mauvais sorts voulaient développer une histoire d'amour avec moi. Le loup ne rouspétait pas , sachant que j'étais sous un charme. Mais moi j'étais très sérieux, et s' il survirait comme Jefferson au coupage de tête. Je contacterais Sullivan, mon sorcier psychopathe de poche qui pratiquait la magie noire avec sa jumelle. Je lui demanderais qui jete un maléfice sur son clan de lycans , les condamnant a être loups sauf les jours de pleine lune. Il me lâchait,et s'éloignait de moi..Bon petit loup domestiqué!

Panffoufles en mains ! Je m’assoyais sur un rocher, pour revêtir ses chaussures dans mes pieds, poussant un peu gémissement d'extase. Des frissons me parcourait le corps, faisant levé mon poil de bras. Je sentais une sensation, comme si on m'avait drogué à l’invincibilité. Au même moment , la russe qui se proclamait chef du clan: On devrait se lancer à la poursuite du voleur de miroir, non ? Poursuivre un voleur c'était dans les compétences. Tout simplement, parce que penser comme un voleur, c'était dans mes veines depuis des décennies. Et il n'avait pas meilleur que moi, j'étais le Roi des voleurs. À ce moment, je claquais des doigts, une fumée dorée m'enveloppait. Puis elle se dissipait quelque secondes après.. Je m'étais changé,  portant à présent une longue tunique bleue nuit, avec une cape qui traînait jusqu'au sol. Mon visage était masquée par un voile. On ne voyait que mes magnifiques yeux bridés. Cette tenue appartenait a mon père Cassim, chef des quarantaines voleurs. Le clan de voleurs ne plus rechercher de mes huit royaumes. Amira était allongée dans le creu de mon cou endormie..

Je me levais d'un bond, enthousiasme a par chasse pour recruter ce Quasimodo comme quarante un ème voleur. - Allons a la  poursuite de votre voleur Princesse, espérant que je pourrais avoir une compensation de votre part si je capture votre voleur.  Je lui faisais un clin d'oeil. Je me retournais vivement vers ce loup domestiqué qui semblait savoir tout sur tout et qui était comme un guide pour notre petite troupe, quand des pancartes n'indiquaient pas notre chemin. Parce qu'en ce moment, il n'avait aucun panneau avec une flèche qui nous indiquait voleur par ici..tourner a droite voleur par là, continuer d'avancer voleur a 2 km. -vous avez une idee ou il se cache ? Existait-il une falaise ou je pourrais prononcer sésame ouvre toi..et un passage allait se dévoiler a nous pour découvrir  le repère du voleur? Wolf s'exclamait a la petite troupe: Pas du tout mais je connais un raccourci, suivez-moi ! Le groupe suivait notre guide, qui nous mentait sans doute, quand il disait qui ne savait pas ou se trouvait le voleur, car il devait sans doute le pister avec son odorat de lycan. 


Wolf   prenait la main de Virginia qui  rouspétait parce qu'elle aimait  pas les démonstrations publiques du loup. Pauvre lui , il était sans doute tomber amoureux du même genre de femmes que moi.  Des femmes avec du caractère et légèrement indépendantes, et pas très démonstrative , même fermées aux avances de leurs prétendants.  Mais savez vous ce que ca occasionne des femmes qui agissent de cette manière chez la gente masculine ? On ressent un vide qui a besoin d'être comblé..On devient un homme qui ne peut pas se satisfaire qu'à une femme, pour se sentir s'épanouit. 

Le Golden  restait  dans les jupes de Regina .. Attention Robin ta de la concurrence ! Un jour ce chien deviendra Prince. Le loup nous amenait devant une foret où il y avait encore une  pancarte : BIENVENUE DANS LA FORET DES HARICOTS - PRENEZ GARDE AUX GEANTS. Ce royaume avait un gros budget pour les panneaux d'affichages.  

La forêt de légumes, d'apparence n'était pas rassurante. Elle était sinistre, les arbres étaient dépourvu de feuilles. On aurait dit qu'un incendie avait ravagée cette forêt. On pouvait voir des racines de ronces s'entremêlées entre elles. On pouvait aussi voir des tiges haricots touchées le ciel orageux.  Et pour rajouter une touche de beauté déjà existante a ce bois digne des films d'horreur, il avait des géants qui descendraient des cieux pour  déclarer une nouvelle guerre, entre le humain et ogres. Et nous tuer en nous marchant dessus de leurs gros pieds. Quelle magnifique mort ! Une mort qui n'était pas la mienne, parce que je connaissais ma fin.

.Oui je devais mourir un jour de tempête comme celui-ci, mais j'étais très loin de la rivière qui devait être de sang. Et ma lampe était en sécurité et cachée au 10 royaume, Storybrooke.. Et c'était le seul moyen de me faire périr. Parce que j'étais devenu immortel. Une pluie battante tombait sur nous. Nous allons être trempés assez rapidement. C'était merveilleux et fabuleux même si  Virginia désapprouvait la situation et qu'elle agissait comme une trouillarde en refusant de  pénétrer dans le bois car elle disait : Hors de question qu'on passe par là.  J'enlevais mon capuchon, pour savourer cette pluie ,qui me faisait sentir irrésistible , avec ma chevelure ébène qui frisottait. Ma  tenue qui se moulait se collant a mon corps. Je passais une main dans mes cheveux pour ramener mes mèches tombantes dans mon visage vers arrière. Je fixais Jefferson lui faisant des jeux de sourcils pervers - Aller emène toi et amène les rouquins avec toi..laissons les trouillards en arrière ! Comme si des géants ca pouvait arrêter un être aussi puissant que moi.  

En ce moment , j'avais un surplus d'assurance et mes conséquences de mes actes, paroles je n'avais aucune importante a mes yeux aveuglés  par le courage. Levant mes bras vers le ciel, une fumée dorée m'enveloppait de nouveau. À ce moment là, Amira sautait sur  l'épaule  Jefferson  qui était le plus proche de moi. Quand la fumée vaporeuse, se dissipait, mon corps grandissait..devenant de plus en plus gigantesque, prenant la taille d'un géant. Le groupe se reculait pour éviter de se faire écraser.  C'était une démonstration, que les géants n'étaient pas de taille. Puis dans un bruit lourd et bruyant je tapais  des mains pour reprendre ma forme humaine.  - Vous êtes convaincu là, je suis aussi puissant qu'un titan.  Puis j'entamais la marche, que le groupe suive ou pas.. Je m’enfonçais dans la forêt gambadant comme un enfant. Le groupe avait finalement décidé de que j'étais le berger et eux les moutons, ils suivaient. Puis quelques instants après, je m'arrêtais net devant une pierre tombale, je lui jetais un coup rapide, mais j'avais remarqué le nom gravé dessus. Je me mettais a crier en pointant le tombeau : - Regardez je viens de trouver Jack le courageux, il est mort c'est pas merveilleux comme nouvelle, on va tous mourir..enfin vous sauf Jefferson et moi  parce qu'on est des survivants..et la mort ne viendra jamais a bout de nous..  Je sautais sur la pierre tombale dansant ,me déhanchant sans retenu parce que les arabes étaient connu pour d'être excellents danseurs, et sans respect pour le mort, je me mettais a crier après mon voisin:  Voisin de Palais ca te tente qu'on pille une tombe, Jack cache peut-être des haricots magiques dans son cercueil, on pourrait voir les mondes qu'on veut.. 

À ce moment là, plus personne me voyait.. Mon corps était devenu invisible, aux yeux de tous. Amira levait la tête, s'agitant sur l'épaule de Jefferson qui jouait avec une branche, qui avait ramassé en chemin . Wolf, qui était ma nounou attitré ,commençait  à me courir après pour me surveiller pendant que le reste du groupe avance plus prudemment..et a pas de mich-mich.Ali ? ALI ! Ne me dites pas que vous avez enfilé les chaussures des trolls ! Je ne répondais pas !

À ce moment là, on entendait boom..Regina venait de trébucher dans de la boue. Le Prince chien aboyait vers la direction de Jefferson qui s'exclamait: OH MY GOD! Pas les evils boobs . En éclatant de rire.. La poitrine de la Reine avait amortie sa chute.Elle était tombée a cause d'une branche qui lui avait un croche pied. La même branche que le chapelier tenait dans ses mains auparavant, mais qui avait offert a l'être invisible pour que tous les deux profitons de cette petite vengeance pour ce qu'elle lui avait fait subir durant ses années cauchemardesques. Amira applaudissait la scène de ses petites pattes. J’espérais qu'elle aurait honte, comme j'avais eu honte quand le Prince Mohamed , m'avait basculé dans la boue autrefois.  Parce que pour lui j'étais un raté de la vie !

La nounou louve,  continuait de me chercher en disant : Ali je sais que vous vous sentez puissant dans ces chaussures mais rien n'est plus éloigné de la vérité. Toutes les possessions des trolls sont mauvaises et dangereuses. Aliiii, où êtes vous ? 

Tout a coup je redevenais visible pour tout le monde. Je me trouvais aux cotés du Chapelier. Surpris..J'avais trop abusé de la magie du plaisir. Je me sentais vider comme cette nuit, quand j'avais offert la finale a la Princesse ..Je  sentais l'adrénaline me quitter. Puis je me mettais a râler après mes ballerines. Puis je levais les yeux vers le loup disant sèchement: - Je suis là, vous êtes content les chaussures ne fonctionnent plus..Vous êtes comme ce Troll, vous êtes de briseurs de plaisir.Et  arrête de me surveiller comme un enfant. Je ne suis plus un petit garçon maintenant .. Aller vous occuper de votre demoiselle peureuse.. Puis il me répondait en m'expliquant : Coucou ! Ah je m'occuperai d'elle mais plus tard. La batterie est déchargée, elles n'ont pas eu le temps de se recharger. Ces petites coquines ne fonctionnent pas longtemps si on ne les laisse pas se reposer.Maintenant il faut vous en débarrasser sinon vous n'en serez bientôt plus capable. Il s'approchait de moi, en se penchant vers mes pieds. Je souriais parce qu'il se prosternait devant moi, mais pour la mauvaise raison. Il voulait me confisquer mon jouet. Et mon camarade Viking m'avait appris une leçon de la vie :  Ne cède jamais tes jouets, si tu n'en pas envie. Je ne baissais pas mon regard vers nous en signe de soumission et de faiblesse. Non je ne lui donnerais pas mes pantoufles ! Si il le voulait , il allait devoir faire accomplir mon défi - Embrasser mes pieds, je vous donnerais les chaussures..Vous n'etes pas game n'est-ce que pas..Je garde donc les souliers.  Je les enlevais, pour les garder dans mes mains. Amira descendait de Jefferson pour repasser sur moi. Elle se recouchait derrière ma nuque, et je remettais mon capuchon en cachant de nouveau mon visage tel un bandit.

On s'enfonçait donc toujours dans la forêt de légumes, quand le loup Alpha s'exclamait:Dépêchez vous ils ont des chiens ! Il parlait des Trolls, qui nous avaient rattrapés. En ce moment, on pourrait se croire dans le Seigneur des anneaux, quand les orques en ont après la communauté de l'anneau. Donc notre communauté de la chaussure, se mettait a courir a travers les tiges et les ronces. Heureusement, j'avais l'habitude de fuir et de me balader pied nu. Cette situation me rappelait les moments ou je fuyais pour éviter la garde royale. On courrait jusqu'à une autre rivière..et par hasard la malchance était avec nous, il avait une nouvelle barque.. Pourquoi on ne trouvait jamais de tapis auprès des cours d'eau? Sur cette barque, il avait Quasimodo le voleur qui ramait , le miroir était la aussi. Je rangeais les chaussures dans ma tenue. Et me retournait vers Jefferson , un sourire confus. -Prêt pour un Crochet gauche ? 

       
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Evénement #98 : Miroir magique au mur [Fe] - Page 2 _



________________________________________ 2018-08-13, 22:43



Quelques minutes plus tôt, dans la bateau.

Je pose mon regard sur le chien. Wendell. Il fallait qu’on en apprenne plus sur lui. C’était important. Après tout ce qui venait de se passer, je m’étais rendue compte que je savais rien de lui. Posant mon regard sur le chien, je prends finalement la parole pour lui parler, ce qui est assurément logique vu que quand on prends la parole, c’est pour parler à quelqu’un « Qui t’as transformé en chien ? » « Ma méchante belle-mère. Elle a ensorcelé son golden retriever pour que nous échangions nos corps quand il m'a touché. Je crois qu'elle a fait ça pour récupérer mon royaume car je suis sensé être bientôt couronné. » « Oh, c’est pour ça que…tu es venu à Storybrooke ? » « Non mon arrivée est un pur hasard. J'ai couru pour lui échapper, je me suis cogné contre et miroir et je suis apparu... par ton miroir. D''ailleurs, permets moi de te dire que tu n'es pas une domestique très douée. » Pardon ? Depuis quand j’ai l’air d’une domestique moi ? Je fais les gros yeux avant de reprendre la parole « Eh oh, je suis pas une domestique, je suis une reine ! » enfin je l’étais, enfin je le suis, au bref, vous avez compris le principe.

« Ca se voit pas... Mais c'est pas ce qui importe : ce qui importe c'est de me ramener au château pour inverser le sort tout en évitant les trolls qui sont à la botte de la reine. Nous courons un grave danger. » Ça se voit pas nia nia nia…Bon on avais donc du chemin sur la planche, ou du pain, je sais plus.

Present time.


Ali m’exaspère, j’ai envie de lui mettre des tartes et de le faire redescendre de son pied d’estale. Il n’est rien du tout. Il se croit surpuissant mais il suffit que je lui mette un gentil coup de pied dans les parties intimes et on verra s’il fait toujours le fier, monsieur se croit le grand messi a faire tomber les gens dans la boue, ce qui d’ailleurs m’a sacrément mise en rogne et ça, il va rapidement le comprendre. M’entourant d’un nuage de fumée violet, je me retrouve vêtue comme précédemment mais de toute beauté. Ali pensait me tromper avec cette branche mais je suis pas née de la première pluie espèce de débile, ce genre de choses, je l’ai connu bien avant toi. Je m’approche de lui et plonge ma main dans sa poitrine alors que nous sommes au bord de la rivière où notre voleur de miroir s’enfuit à bord d’une barque. Fronçant les sourcils, mon regard rempli de haine, je le fusille du regard.

« Ecoute moi bien sombre crétin ! Tu n’es rien, tu n’es qu’au vaurien, tu ne sauras jamais rien. Alors redescends de ton pied d’estale et retrouve la place qui est la tienne, tu n’es pas surpuissant et ne t’avises pas de t’attaquer à des gens plus puissant que toi qui se retiennent de t’arracher la tête. Je connais plus de sortilèges que tu n’en connaitras jamais. Je suis capable de te briser le cou d’un mouvement de la main avant que tu es pu dire « ouf » »

Je commence à serrer son coeur.

« La prochaine fois que tu tentes quoi que ce soit contre moi, parce que oui ton petit jeu d’invisibilité ne trompe personne, ou que tu pètes encore plus haut que ton cul je te jure que je t’arrache le coeur et que je le réduis en cendres devant tes yeux et tes petites manies de casse burnes ne feront pas long feu face à moi, c’est bien clair ?! »

Je sors ma main de sa poitrine et m’essuie les mains comme si j’avais touché quelque chose de sale avant de reprendre contenance. Et avant même qu’il ne tente quoi que ce soit, je lui mets une droite bien placée, ce qui l’assomme avant de le ligoter magiquement et de le faire disparaître dans un nuage de fumée violet pour le faire réapparaitre sur la petite péniche que nous avions dégotés. « Quelle femme ! Ça m’excite ! » Un léger sourire né sur mon visage « Eh dis donc, on se calme, il paraît que mon mari mord. » Mais alors que nous sommes en train d’embarquer sur cette touche humoristique, les trolls débarquent et commencent à nous rattraper et ils essaient de monter sur la barque. Virginia armée de ces rames tentent de les arrêter. Je me place à l’arrière du bateau et usant de ma télékinésie, j’en envoie plusieurs valser plus loin avant d’utiliser mes boules de feu comme un mur, créant ainsi un mur de flammes que les trolls ne peuvent pas traverser.

« Waouh, vous êtes enflammée vous ! Moi aussi je mords si vous voulez... Mais attention, je mords gentiment ! » Un nouveau sourire né sur mon visage. Wolf s’approche d’Ali et tourne le regard vers moi « Vous l’avez pas tué hein ? » « Oh non, j’en meurs d’envie c’est vrai mais non, je l’ai juste assez assommé pour qu’il nous lache un peu et qu’il arrête de se prendre pour le Messi. » « Dans ce cas… » Wolf se penche et récupère les chaussures aux pieds d’Ali avant de les jeter dans l’eau. « Mieux vaut s'en débarrasser maintenant avant d'avoir de très gros ennuis. Ca pourrait être très laid - plus que les trolls qui le sont déjà assez. » dit-il en se tournant à nouveau vers moi. Assise, je regarde Wendell qui est couché à mes pieds avant de poser mon regard sur les autres et prends finalement la parole « Wendell a été ensorcelé par sa méchante belle-mère » et non, vous allez pas me sortir le « on dirait quelqu’un » parce que je vous éclate compris ? Anya ne dit rien mais vu la lueur malicieuse dans son regard, je comprends rapidement ce qu’elle pense « Pourquoi la belle-mère ferait-elle ça ? » demande Virginia « Bah parce qu’elle est méchante et jalouse et qu’elle voulait récupérer le trône de son beau-fils. » « c est pas le plan le plus original mais elle a l air puissante si elle peut exécuter un sort pareil. Non? » Je me mords la lèvre inférieure « ouais...elle a l'air de connaître des sortilèges que même ma mère ne connaissait pas. » « Ça promet. Vous avez appris autre chose? » « Qu’on est en grand danger. »
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Anastasia Romanov
« Men are such babies »

Anastasia Romanov

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Evénement #98 : Miroir magique au mur [Fe] - Page 2 _



________________________________________ 2018-08-14, 14:20 « Men are such babies »

- Super, en fait, ça change pas de d'habitude, commenta Anastasia, un peu blasée.
La rouquine se releva ensuite pour s'accouder à la proue du petit bateau où se trouvait également Virginia. Le reste de l'équipe, lui, prenait ses quartiers de l'embarcation. Les jumeaux étaient restés sur le pont mais Anastasia les connaissait suffisamment pour imaginer qu'ils retournaient le bateau de fond en comble. Quant à Ali.. C'était quand même la seconde fois de la journée, nota Anya, avant de concentrer son attention sur la serveuse qui, elle, était en mesure de faire la conversation.
- On dirait que finalement il vous en arrive des choses, plaisanta Anya, le regard malicieux.
Virginia changea de position en soupirant.
- En fait, je ne sais pas trop si ça me p... Attendez, c'est quoi ça ? demanda-t-elle en fronçant les sourcils.
Anastasia se tourna à son tour pour observer Wolf, toujours à la barre. Le jeune homme, lui, observait les deux femmes, l'air au moins aussi surpris qu'elles.
- Bah... c'est ma queue ! s'écria-t-il.
- Comment ça "votre queue" ? répéta Virginia.
- Oui, ma queue ! Vous n'avez jamais vu de queue ou quoi ?
Pendant que Wolf s'impatiente, il me paraît essentiel d'apporter une précision à notre affaire : il s'agit évidemment d'une queue de loup et non d'un autre appendice qui, certes, parfois, est appelé de la même façon. L'appendice, en l'occurrence, était aussi noir que les cheveux de Wolf et dépassait légèrement de l'arrière de son pantalon.
- Vous voulez la toucher ? offrit le loup.
Anastasia vit nettement que Virginia était suffisamment fascinée pour répondre positivement à l'invitation alors elle ajouta :
- Je crois que je vais vous laisser et faire un tour dans la cale.
Wolf ne la calcula pas mais tandis qu'elle descendait la rouquine l'entendit s'écrier :
- Dans le sens du poil, voyons ! Venez je vais vous montrer. Tiens, toi, le grand toux, t'as l'air d'avoir le pied marin alors tu conduis !
Elle put train bien s'imaginer Virginia bafouillant quelques excuses et devina qu'un des jumeaux était à présent à la barre du bateau.
On faisait, au final, assez rapidement le tour du bateau qu'ils avaient emprunté un peu sans demander la permission. Anastasia remonta sur le pont où elle trouva Wolf en pleine lecture d'un bouquin de psychologie intitulé "Comment contrôler sa faim". Elle écarquilla les yeux mais ne pipa mot.

***

Midi sonna. Les estomacs commencèrent à se manifester. Or, au beau milieu d'une rivière, on ne trouvait pas de supermarchés. En revanche, Anastasia avait suffisamment de fois observé Dimitri en train de préparer ses hameçons qu'elle fut en mesure de reproduire plutôt fidèlement le procédé. Il ne resta alors qu'à le préparer dans la minuscule cuisine de la cale.
Le repas sembla requinqué tout le monde, même si Ali n'avait toujours pas le pied marin. Wolf répartit les tâches de sorte que la vaisselle et le ménage ne prennent pas tout l'après-midi (ils avaient quand même un voleur à rattraper et il ne fallait pas perdre cet objectif de vue) puis alla se brosser les dents car il tenait particulièrement à son hygiène dentaire.
Sur le pont, Wendell continuait de snober Regina - puisqu'elle était la seule à le comprendre, c'était elle qui profitait le plus de ses réflexions de petit prince pourri gâté - et l'un des jumeaux tenait toujours la barre.
Très loin d'ici, la méchante belle-mère renouvelait ses promesses au roi des trolls (celui qui avait agressé Jefferson mais n'avait pas pris la peine de se présenter) en les invitant à la patience, une vertu que cette espèce n'a jamais possédée en quantités suffisantes. La reine continuait aussi à chercher désespérément Wendell que, bizarrement, son miroir ne parvenait pas à parfaitement localisé. Il le savait pourtant entouré de 8 personnes aux auras masquées (par qui ? pourquoi ? comme il était meilleur pour répondre à la question "miroir magique au mur, qui a beauté parfaite et pure" il n'en savait rien) impossibles à déchiffrer, même par sa grande magie et par Wolf. La seule chose qu'elle apprit fut que leur embarcation se dirigeait droit dans leur direction (ce qui était pratique - pour la méchante reine, du moins).
Quant aux enfants trolls, ils avaient finalement trouvé une barque et suivait l'embarcation de notre groupe en chantant Saturday Night Fever, parce que pourquoi pas. Ils disposaient cependant d'une simple barque qui ne permettait pas de combler totalement la distance qui les séparait du groupe de Wendell.
Wolf, pour en revenir à lui, était dans la salle de bains à nettoyer ses quenottes avec soin. Mais comme ça faisait un moment qu'il étaient enfermé (en fait, Wolf avait également décidé de s'apprêter pour séduire Virginia) Anastasia se permit de frapper à la porte :
- Wolf ? Tout va bien là-dedans ?
- Tout va très bien Anastasia, je ne fais rien de spécial mais ça prend du temps ! s'écria-t-il.
C'était alors vrai. Mais la seconde d'après, la surface du miroir accroché au-dessus du lavabo se troubla et laissa place au visage fermé de l'affreuse belle-mère.
- Oh bon dieu ! Mais on vous a jamais appris à laisser les gens tranquilles ?! s'écria le lycan.
Anya entendit cette exclamation et réitéra sa question :
- Vous êtes sûr que ça va ?
- Merveilleusement bien ! C'est la beauté de mon reflet qui m'a surprise ! rétorqua Wolf.
Et l'affreuse belle-mère de reprendre :
- Vous avez juré de m'obéir. Vous êtes sous mon contrôle.
Il protesta, ce qu'Anastasia entendit également. Elle n'entendit cependant pas la question qui suivit :
- Pourquoi ne puis-je voir vos compagnons ? Quelle magie les protège donc ?
- Il n'y a aucune magie dans tout ça, je vous assure ! se défendit Wolf qui, pour le coup, ne comprenait honnêtement pas ce que lui chantait l'affreuse belle-mère.
Anya ne perçut pas toute la conversation mais nota distinctement le terme "magie" ce qui éveilla sa méfiance. C'en était assez : la jeune femme ouvrit grand la porte et exigea une réponse :
- Vous êtes vraiment sûr que vous... Attendez mais c'est quoi ce look ?! s'écria la jeune femme.
Wolf était, en effet, un brin trop élégant pour la mission qui leur avait été confiée. Il posa son index sur sa bouche, intimant à Anya d'être discrète.
- Chuut Anastasia, ça fait partie de mon plan de séduction pour Virginia. La magie de l'amour, tout ça, tout ça. Tenez, je l'ai lu là-dedans, ça faisait partie de ma thérapie pour calmer mon appétit. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser...
Wolf contourna Anya en lui remettant un autre livre de psychologie en main. Elle se demandait où il avait bien pu trouver ça et qui lui avait donné l'idée de suivre une thérapie mais préféra ne pas demander.
En retournant sur le pont elle croisa l'un des jumeaux qui pénétrait dans une cabine.
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Evénement #98 : Miroir magique au mur [Fe] - Page 2 _



________________________________________ 2018-08-15, 02:31

MIROIR MAGIQUE AU MUR
The Wonder Twins & The Wonder Hatter & The Wonder People
A L'ABORDAGE !
SORTEZ LES MOUSSAILLONS ET JETEZ LES VOILES !
A BABORD !
A TRIBORD !
A BRIBORD !

Demander aux jumeaux de tenir la barre du bateau, et les voilà qu'ils considéraient déjà qu'ils avaient un métier en plus. J'suis capitaine-pompier-mécanicien-constructeur-playboy m'dame !
Playboy c'est quelqu'un a la piscine qui a dit ça, alors c'est surement un métier, même si on est pas sur de ça.

Dans tous les cas, capitaine, c'était idéal pour raconter des histoires ! Ils allaient en raconter plein à James, qui pourra donc oublier tout ce qui le rend triste, grâce à tous ce qu'ils auraient à lui dire !

Il n'y avait pas mieux pour les rendre heureux. En réalité, si, il y avait toujours mieux, vu que tout les rendait super heureux en permanence. Mais pour chaque chose, ils considéraient à chaque fois atteindre le niveau maximum de joie, mais ce niveau maximum ne semblait pas exister avec eux.

Ce niveau très élevé de joie baissa cependant quand ils réalisèrent que les meilleures choses avaient une fin, et qu'ils n'allaient pas être capitaine 24h/24 sans pause ni arrêt.

Mais ce n'était pas grave qu'ils ne puissent pas être le capitaine du bateau éternellement. Ils avaient d'autres projets, bien plus important ! Emménager ! Maintenant qu'ils étaient sur la bateau, c'était évident pour eux : ils allaient chercher deux matelas, des oreillers, et créer leur chambre avec Jefferson ! C'est donc avec cet objectif, celui de s'installer de façon permanente dans cette nouvelle maison avec le chapelier, qu'ils explorèrent le bateau pour piquer deux matelas et se trimbaler avec en quête de l'endroit où Jefferson s'était installé.

Mais il y avait un petit inconvénient à ce bateau dont ils étaient désormais les capitaines : le plafond était très très très très très très petit ! Pourtant, les jumeaux avaient une taille très arrangeante ! 1 mètre 94 c'était tout à fait ordinaire ! Il était plus qu'étonnant que la hauteur du plafond ne soit pas adaptée à eux ! Et alors qu'ils allaient rentrer dans une cabine, pensant pouvoir y trouver leur futur résidence avec Jeff, ce qui devait arriver arriva : Derek, plus grand d'un centimètre, cogna fortement le bois du faux plafond, là où une trappe s'ouvrit sous le choc de la rencontre.

AH
NON
ON A PAS CASSÉ !
C'ETAIT DEJA CASSÉ !
ON VA REPARER !
QUE PERSONNE NE SORTE, LE BATEAU VA COULER !
ALERTE AU ROUGE RISQUE MORTEL IMMINENT !


De la même façon que les panneaux plus tôt, un petit coffret assez joli tomba de l'ouverture nouvelle formée (bien qu'il s'agissait d'une trappe, prévue donc pour s'ouvrir), tomba au sol, attirant l'attention totale des jumeaux injustement trop grands pour cet environnement. Le petit coffret étant en bois, avec une vitre en verre pour pouvoir voir son contenu. Le cadre qui entourait le contenu était d'ailleurs très joli !
En bas, un petit écriteau venait apporter quelques indications : "LE POISSON OR DE LA RIVIERE D'OR c'est la magie qui prendra corps, tout ce qui brille peut être d'or." Bien sûr, il ne manquèrent pas l'indication plus pas, en tout petit. "un poisson magique à n'utiliser qu'en cas de problème financier.

En effet, dans le coffret, derrière la vitre, il avait un gros poisson entièrement en or ! Alors, les jumeaux regardèrent l'écriteau pendant un moment,avant de froncer les sourcils. Ce devait être vraiment pas bon !

Un poisson en or ?
Quelle idée !
Ca passe avec aucune sauce !
Quels goûts culinaires atroces !


Ils levèrent la tête, pour voir Anastasia plus loin, qui était en train de remonter. Alors, ils décidèrent de la retenir pour constater leur nouvelle découverte.

Peut être que tu aimes le poisson en or ?
A mon avis c'est pas pour manger. Je peux voir ? Supposa-t-elle en s'arrêtant dans son élan, et les regardant avec surprise.

Sans broncher, les jumeaux lui tendirent l'objet, pas du coup convaincu de la chose.

Ils veulent qu'on mange ça si on est pauvre !
Quelle idée !


Anya lut alors l'écriteau, en commentant à haute voix : Ca dit "c'est la magie qui prendra corps, tout ce qui brille peut être d'or" mais il y a aussi une annotation en tout petit... "un poisson magique à n'utiliser qu'en cas de problèmes financiers". Ouais, c'est clairement pas à manger. J'serais vous, j'y toucherais pas davantage.

Oui ! dirent-ils, très déterminés. On doit pas toucher, parce qu'on a pas de problème financiers !

Et surtout, ils se devaient de montrer cette chose particulière à Jefferson ! Il serait trop fier d'eux du trésor qu'ils avaient trouvé ! Alors qu'Anya remonta sur le pont après avoir redonné le coffret aux jumeaux, ceci la suivirent, et ramassèrent un petit marteau qui avait du tomber avec. Quelle idée aussi ! Ca pouvait casser le verre, c'était très fragile !

Tu crois que Wolf il est pauvre ? Demanda l'un des jumeaux quand ils rattrapèrent Anya, se disant qu'il aimerait peut être, s'il est pauvre, ce qui n'était pas le cas des tornades rousses.

J'en sais rien, vous pouvez lui demander s'il n'est pas trop occupé à courtiser Virginia.

Ils ne se firent donc pas prier, avant d'aller voir Jefferson, ils se mirent à chercher avec motivation Wolf -ou Virginia, si elle était avec lui-. Quand ils le trouvèrent (pour les jumeaux, ce bateau était plus grand que le titanic mais non, donc c'était tout de même rapide), ils s'empressèrent donc de foncer vers lui, mais ne furent accueilli que par une expression agacée.

Vous ne voyez pas que je suis un peu occupé là ? demanda-t-il en parlant de Virginia.

On nous a dit que vous courtisiez Virginia !
Peut être qu'elle aime les trucs en or ?
On a un truc en or !


D'abord, il eut l'air méfiant, mais finit par consentir à se lever pour répondre sur un ton nonchalant. Allez y, faites voir au cas où.

Du coup, lorsque les jumeaux lui montrèrent le poisson, tous fiers d'eux, Wolf prit le temps d'examiner la plaquette avant de reprendre la parole. J'ai pas confiance, doit y avoir un prix à payer pas cool.

Un prix ? Etonnant vu que c'était déjà de l'argent ! Plus ou moins, en tout cas.

Alors, refusant de garder l'objet, Wolf précipita le poisson vers les jumeaux bien trop rapidement, qui finit donc sa chute sur le sol, cassant la vitre sous le regard triste des Tweedles. Eux qui étaient si fiers de pouvoir montrer le trésor singulier au chapelier !

Bon bah, c'est cassé.

Alors que l'homme loup tourna les talons aussitôt, les jumeaux se ruèrent sur le poisson d'or libéré, avec encore l'espoir de le montrer à leur père spirituel (clin d'oeil Jeff. Toi aussi Chris, qui lit cette mission, qui s'engage à avoir deux beaux fils spirituel dans ce ship). C'est Derek qui prit donc le poisson avec sa main droite, et celle-ci se mit alors aussitôt à briller d'une couleur dorée sous l'oeil fasciné des jumeaux. Ca ne dura que quelques secondes, mais assez pour les laisser admiratifs.

C'est à ce moment là qu'Anastasia redescendit pour les trouver.

Remontez, on va pas tarder à accoster, Wolf vient de repérer le bateau d'Acorn.

ANYA REGARDE CA ! S'écria-t-il, encore fier de lui. Il toucha alors de nouveau le poisson, mais les jumeaux furent bien déçu de voir que ça n'avait plus aucun effet.

Hoo ça fait plus, c'est cassé ! On pouvait entendre une vraie tristesse : qu'allaient-ils montrer à Jefferson ? Ils étaient tellement déçus d'eux !

Bah quoi ? IL s'est rien passé, c'est juste... Oh je vois vous avez sorti le poisson de son tableau, je suis sûre que ça va nous créer des ennuis.

Alors que Derek mit le poisson dans la poche de son duffle coat, les jumeaux suivirent Anya dans les escaliers, sans voir que la rampe tourna au doré lorsque le premier sujet de cette phrase (t'as vu comment j'évite de répéter Derek, héhéhéhé) posa sa main dessus.

Bah non, ça marche plus ! Répondit Duncan à propos des ennuis dont parlait Anya.

Alors, lorsqu'enfin le groupe sorti du bateau, il put voir un homme qui n'avait rien à voir avec leur Acorn, qui se trouvait pourtant sur le bateau d'Acorn. Figurez vous qu'on peut se tenir sur un bateau qui portait le nom de quelqu'un d'autre ! Dingue ! Aberrant !

HALTE LA !
OBJECTION VOTRE HONNEUR !
VOUS AVEZ LE DROIT DE GARDER LE SILENCE !
VEUILLEZ NOUER LES ENCRES ET JETER LES VOILES !
TOUT CE QUE VOUS DIREZ SERA RETENU CONTRE LE MUR LES MAINS EN L'AIR !
CE BATEAU N'EST PAS A VOUS !
PRIS LA MAIN DANS LE SAC PEEEEEETIT VOYOUUUU.


L'imposteur les regardait comme s'ils étaient fous. Espèces d'asperges, bien sûr qu'il est à moi ! Je viens de l'acheter contre une carriole et des carottes ! Tenez, j'ai encore le contrat de vente.

Pour prouver ses dires, il sortit ledit contrat pour le montrer aux jumeaux qui l'examinèrent avec méfiance et sérieux.

Avez vous une preuve que ces carottes étaient en règle monsieur ?
OBJECTION VOTRE HONNEUR !
Objection accordée.
VOUS N'ETES PAS ACORN !
Je suis sûr que c'était des carottes vendues sur le marché noir !
CONTREBANDIER !


Evidemment que je suis pas Acorn ! Je suis Gérard ! J'aurais pas acheté un truc à moi même, ça n'a aucun sens !
Il n'a pas tort. Mais ça, les jumeaux n'en étaient pas aussi certains.

Ah ouais ? Alors pourquoi on appelle encore ce bâteau "Bâteau d'Acorn" et pas bâteau de Gérard ?
AHAH ! PEEEETIT VOYOUUU !
Quand est-ce que vous avez acheté ce bateau ?


Y a dix minutes, grands dadets ! Et votre Acorn il est parti par là bas pour aller vendre son miroir parce que moi j'en voulais pas.

Vous vous êtes fait arnaqué mon grand ! Un miroir c'est bien plus joli qu'un bateau d'Acorn !
Sur Ebay ça coute super cher ! Voulez vous qu'on aille chercher ce miroir pour vous le vendre afin de réparer votre erreur ?


Mais les jumeaux se ravisèrent soudainement, après une rapide reflexion. Ils cherchaient justement un miroir ! Pour retrouver Storybrooke... et James !

Ah sauf que mes talents d'inspecteur me disent que c'est surement notre miroir vers Storybrooke !
Désolé monsieur, je vous annonce avec regret que vous n'aurez pas de miroir !


Gérard ne répondit pas, se contentant de les regarder de travers avant de partir. Et personne n'eux le temps de répliquer puisque les trolls étaient revenus ! Et la scène se passait très vite, en réalité. Bien plus vite que ce que les jumeaux imaginaient d'ailleurs. Le groupe devait à tout prix éviter que les trolls ne kidnappe Wendell, le prince chien.
Heureusement, les jumeaux étaient à peu près la représentation de géniaux. Ils furent donc très efficace en combat. Duncan en frappa un, et le poussa vers Derek pour qu'il l'achève. Crochet du gauche en imitant le meilleur chapelier et... le troll se transforma en or.

Bah ça !

Et pas le temps de dire ouf, puisque, dans la précipitation, Wendell sauta dans les bras de Derek et... se transforma entièrement en or.

AH IL SERVAIT A CA LE POISSON !
JEFF ON A TROUVE UN SUPER POISSON EN OR !

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Evénement #98 : Miroir magique au mur [Fe] - Page 2 _



________________________________________ 2018-08-15, 11:28


       
Miroir magique au mur !

Ali & des boulets

       
 


Contre mon gré, on m'avait embarqué sur le bateau. Heureusement pour moi, on n'avait pas tenter de me noyer, et si ça aurait été le cas. Tout le monde aurait  sur la conscience la mort  d'un enfant. Un bébé pour plus précision.  Parce que ce que personne ne savait sauf les personnes intimement lier a moi, mon secret.  Ma sorcière bien aimée , avait empoisonnée mon coeur et celui de notre progéniture avec une malédiction. La souffrance et l'éloignement nous tuaient a petit feu, car nous étions âmes soeurs. Donc plus que je resterais dans son royaume, plus que cela avait un impact.  Mais vu  que la méchante Reine n'avait aucun scrupule.Parce que sa rédemption n'était qu'un mensonge. Elle aurait pu très bien en profiter pour commettre mon meurtre, sans se soucier encore des impacts, après tout elle avait fait couler tant de sang..Elle avait tuer même des enfants.  Donc les conséquences  ma mort aurait sur la vie de mon entourage, ne lui ferait rien.  Parce qu'elle n'avait aucune compassion. Son coeur était souillée par les cendres qu'elle laissait sur son chemin.Si elle avait prise la décision de mettre un terme a ma vie, parce qu'il avait seulement trois méthodes de me tuer malgré mon immortalité:  Le coeur, la lampe et le poison de la malédiction.   Mes enfants se retrouveraient sans père, et le parrain(Jefferson) aurait eu l'héritage d'une portée et d'un harem de femmes. 

Tout  le long de la randonnée en bateau, j'étais allongé inconscient dans un coin. C'était pas plus mal parce que je n'aurais pas de crise de panique a cause de ma peur. Et je ne croisais pas cette méchante Reine, parce que ce qu'elle avait fait à mon égard était impardonnable. Surtout que ce n'était pas ma faute, les chaussures dont on s'étaient débarrassées m'avaient ensorcelées. Mais elle payera un jour pour ce qu'elle m'avait fait, parce que si j'étais un vaurien, elle était toujours une méchante Reine qui méritait de perdre cette fin heureuse qu'elle ne méritait pas..Et mériterait jamais. Surtout qu'en m'enlevant mon coeur de la poitrine, chose qui n'aurait pas du arriver, parce que mon coeur était particulier. Mais ce royaume devait avoir un impact sur ma magie..J'avais pu me sentir bien quelque instant , ne ressentait plus mes tourments intérieurs. Elle me serrait le coeur, me faisant me prosterner devant elle, en me pliant, je me crispais de douleur. Alors que mon statut était le même que le sien..Et que nous étions semblables , elle et moi parce qu'elle était descendante d'une fille de meunier et moi fils de voleur. On avait eu accès a la couronne a cause d'un mariage.

Donc elle était aussi vaurienne que moi dans un sens ! Mais en me serrant mon coeur, elle ne faisait pas seulement du mal a moi..Mais a un être semblable a Daniel, à cause du lien avec mon enfant. Donc ca prouvait qu'elle serait méchante a tout jamais..   Elle me remettait le coeur a son emplacement, me menaçant.. J'avais retenu la leçon,  j'allais l'ignorée tout le long du voyage,  après tout elle n'était rien et surtout pas ma Reine. Donc je n'allais jamais la vénérer, si elle s'était ce qu'elle voulait. Elle n'était meme pas ma mairesse, parce que Storybrooke ce n'était pas chez moi, ca ne le serait jamais.

 Mais un jour son heure viendra et je ferais un souhait , après tout un Djinn avait le choix de son libre arbitre, entre le mal et le bien..Mais si  ma race était plus tentée par les ténébres , car en devenant génie..J'étais considéré comme un démon, tel écrit dans les légendes de mon pays.

Arriver sur la nouvelle Rive, ma nounou venait me voir alors que j'ouvrais les paupières alors  que je me sentais étourdi et j'avais cette envie de vomir. Mon teint avait perdu en couleur. C'était peut-être le mal marin ou peut-être pas. Amira était qui était couché a mes pieds se redressait puis elle venait me voir, elle grimpait sur moi pour se nicher dans son endroit habituel, comprenant que c'était l'heure du départ. Assis et ligoté , Wolf me disait : Je coupe les cordes si et seulement si vous coulez pas le bateau avec tout votre stress.  Je faisais signe de la tête que je ne coulerais pas le bateau..et ça aurait été bête de le faire surtout quand  une de tes craintes était l'eau. Il coupait donc mes liens..Et je pouvais monter sur le pont, me tenant sur tout qui pouvait servir d'appuis a cause de mes étourdissements. Je quittais donc le bateau pour poser pied a terre.. me souciant même pas des jumeaux qui avaient un chien en or dans leurs bras..Sans doute une bêtise.
 
Ensuite, on s'enfonçait encore dans un bois pendant plusieurs heures, je restais silencieux tout le long r marchant aux cotés de Zach. On pistait toujours le voleur de miroir. Un miroir qui fallait retrouver absolument..L'après midi passait rapidement, et rendu au soir on s'installait un petit campement pour camper sous les étoiles. Le confort de mon Palais me manquait, mais ce n'était pas la première fois que je dormais dehors. Pendant que les gens discutaient autour du feu. Je m'étais trouvé un coin tranquille et à l'écart , pour m'enrouler dans ma cape et endormir jusqu'au lendemain matin, avec Amira couché sur mon ventre. 

Le lendemain matin, un odeurs d'oeufs en train de cuire, venait me chatouiller les narines me réveillant. Je me réveillais, me redressant pour m'approcher de notre cuisiner . Annatasia, était très matinale, était déjà aux cotés de Wolf qui préparait le déjeuner pour tous. Cerné , même si j'avais dormi plus que les autres. Le loup avait l'air réveillé depuis plus longtemps car il me disait  :Ah bah c'est pas trop tôt ! Vous êtes enfin debout ! Vous avez louper le meilleur. Ah oui j'avais manqué quoi ? Une Princesse qui s'était perdue , des nymphes des bois ? Amira était perché son épaule, regardait les oeufs avec envie, mais elle sortait une sucette de son tu-tu avant de le porter a sa petite gueule. Elle avait sans doute fait les poches a Jeff cette nuit. Wolf nous racontait ses péripéties de cette nuit:  Le hibou qui faisait sa déclaration d'amour à la chouette - c'était endiablé -, le renard qui est passé par ce petit buisson là-bas aux alentours de 4h du matin. Il poursuivait une poule d'eau mais l'histoire ne dit pas s'il l'a rattrapée. Ensuite c'est toute une famille de sangliers qui est venue dire bonjour mais vous dormiez encore. Regardez ! Les traces sont presque encore fraîches ! Oh... et les oeufs sont cuits ! LE PETIT DÉJEUNER EST SERVI ! Rien de bien d'impressionnant, il avait seulement fait la connaissance des petits amis de Blanche  Neige. A à la dernière phrase, le reste du groupe se levait pour finir déguster les oeufs..Qui avaient dénicher ou au juste ? La poule d'eau lui avait un cadeau d'oeufs avant  de se sauver du renard ? Peu importe ! Je donnais ma part de mon repas a mon singe n'ayant pas faim.  Elle dévorait sa nourriture, pour ensuite me remercier d'un câlin en serrant mon cou entre ses pattes. 

Ensuite notre cuisiner commençait à faire des sandwichs en disant : La journée va être longue et comme on est nombreux je dis pas non à un coup de main ! Mais ou il avait pris cette nourriture.. Mystère , on le sera jamais. Il voulait un coup de main, autrefois j'aurais dit oui, mais il n'était pas question que je me salisse les mains aujourd'hui sauf si je pouvais empoisonné le sandwich, avec un venin d'une plante mortel que j'aurais trouvé dans la forêt. Il avait une autre raison, du pourquoi je n'aidais pas..Gouttant au luxe, c'était le boulot des  gouvernantes de faire a manger, pour l'aristocrate que j'étais devenu. Annatasia qui avait l'habitude aider tout le monde, et qui ne dirait jamais non pour faire de la cuisine après tout son mari n'avait été un cuisiner dans sa vie..

Elle avait donc une attirance pour ça. Elle aidait le loup ..Comme Jeff d'ailleurs il faisait  des sandwichs avec ses bébés jumeaux aussi en disant "De la bouffe ? TOUJOURS".  Zazu lui s'occupait a ses petites occupations. Pendant ce temps là, j'étais parti observer les traces des animaux ayant rien d'autre de bien passionnant a faire, toujours façon je préférais snober tout le monde, ayant hâte de retrouver ce voleur, pour retourner a ma vie princière. Et retrouver mon bébé qui me manquait..Mais j'étais rassurée, elle était avec ma belle famille, qui l'a considérait comme leur un membre de leur famille. Laureline et sa bedaine me manquait aussi..Et elle devait se douter qu'il avait une bonne raison pour ma disparition. Et elle savait que je m'absentais souvent plusieurs jours sans avertir personne..Vu que le Palais n'était pas ma seule demeure.

Quelques instants après, on se remettait en route, sandwichs a la main. Je donnais une partie a ma capucine qui se retrouvait sur une de mes épaules. Je ne mangeais toujours pas..L'appetit n'était pas au rendez-vous.  Je continuais de suivre le groupe dans le bois , jusqu'à la rencontre d'une clocharde qui réclamait : A vot' bon coeur m'sieur, dames ! ESt-ce que vous auriez pas un petit quelque chose à caler sous ma dent ? Cette vieille dame,  me rappelait mon ancienne vie de mendiant. Pincement au coeur, a cause de ce souvenir je lui tendais mon restant de nourriture avec plaisir. - Tenez Madame ! Elle le prenait le sandwich et me disait: - Puisque vous avez eu bon coeur, je vais vous aider moi aussi. Car je sais qui vous chercher. Son compliment m'arrachait un sourire. Elle disait que j'avais bon coeur, c'était le cas , je n'étais pas comme cette méchante Reine. La mendiante, qui n'en était pas une pour moi , car elle était plus une personne qui n'avait pas eu de chance dans la vie, ou une méchante Reine lui avait peut-être gâchée sa vie.La vieille  prenait un air mystérieux avant de poursuivre: Acorn est passé par le chemin principal qui coupe la forêt, celui là même que vous empruntez. Mais si vous continuez de lui, vous serez en danger !

Son air me faisait  reculer légèrement, parce que les vieilles dames avec cet air était sans doute une sorcière qui prenait cette apparence pour berner les passants, surtout que mystérieusement, elle connaissait le prénom de notre voleur. Il était aussi célèbre que moi?Ou elle était de mèche avec lui et c'était un piège.   Et j'étais méfiant parce qu'une sorcière du sable avait déjà fait le coup de prendre une apparence différente pour gagner ma confiance et ensuite me prendre ce qui m'était le plus précieux: Kenza.

 Et en plus, c'était très fréquent, des vieilles sorcières dans ce monde prenez l'exemple de la sorcière que la Belle et la bête..ou même Narissa , la belle mère maléfique de Gisele , cette princesse qu'on a jamais retrouvée d'ailleurs.  Mais curieux de savoir le danger qui nous guettait:  En danger, il se trouve quoi sur ce chemin ?Elle se penchait vers moi et murmurait : C'est la forêt du chasseur et vous êtes déjà dans son viseur. Il ne loupe jamais sa cible.  M'appréciant pas son approche, Amira lui montrait les crocs. Et moi je mettais mes mains devant moi, pour tenter de lui faire signe que je ne voulais pas d'avantage de rapprochements avec cette sorcière. 

Elle parlait d'un chasseur qui me faisait penser a celui de Blanche Neige. Ça n'aurait pu etre aussi une version de Robin des bois, vu que celui-ci ne n'arrêtait jamais sa cible. Il était un chasseur de richesses  non?  Et ça se pouvait très bien qui existait des nouvelles versions de nous dans un autre monde après tout j'avais rencontré la tombe de Jack le courageux, dans une forêt d'haricots. Voulant en savoir plus : Ce chasseur vous savez son prenom? Elle connaissait le voleur, donc pourquoi pas le chasseur. Elle me disait : Crois-moi jeune homme c'est pas son prénom que tu veux connaitre ! Elle  mordait  dans le sandwich et partait en disant : Passez par les bois, ça le prendra par surprise ! Mystérieuse comme mendiante, surtout qu'est-ce que je pourrais vouloir  connaître de plus que le prénom de ce chasseur? Détail ! Je consultais le groupe:  On fait quoi ?On écoute la vieille dame?Wolf , chef et guide de notre groupe disait:  Je sens rien de suspect chez elle et je connais ce chasseur. Si la reine l'a lancé à nos trousses, on ferait mieux de suivre son conseil ! Donc le chasseur était donc a nos trousses, à cause d'un Sosi de Regina. Il ne ratait jamais sa cible en plus.. Je n'avais pas envie d'être sa proie surtout que je tenais précieusement a mon coeur qui me protégeait de mon alter ego..de mon ombre et mais peut-être pas de ma mort. Donc pas question que mon coeur finisse dans une boite...On prenait donc le chemin indiqué par la vieille dame , s enfonçant d'avantage dans le bois. 



       
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Jefferson T. Hatters
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Evénement #98 : Miroir magique au mur [Fe] - Page 2 _



________________________________________ 2018-08-16, 03:35


Miroir magique au mur !

Jefferson & pleins de gens !



Jefferson cligna plusieurs fois des yeux en voyant ce que les jumeaux venaient de faire. Depuis quand ils faisaient une parfaite imitation du roi Midas ? A transformer ce qu’ils touchaient en or ? Curieux et surtout inquiet pour eux, il se rapprocha immédiatement, tendant les bras vers eux pour qu’ils déposent Wendell dessus. Pliant les jambes, il n’eut pas de doute sur le fait que c’était bien de l’or. “Et bien les garçons, vous ne faites pas les choses à moitié !” Posant le chien au sol, il s’accroupit tout en mordant ses lèvres en entendant la phrase des rouquins. “Est ce qu’il est mort ?” “Non non, ne vous en faites pas ! Il est juste en or, on a encore jamais vu quelqu’un mourir parce qu’il était en or.” Après tout, Jeff connaissait parfaitement leur logique, et il savait faire en sorte de ne pas les inquiétez, de toujours leurs montrer le côté positif de la chose. “Et puis, il n’a plus besoin d’aller chez le toiletteur ! C’est une bonne chose !” "Ah trop génial ! Merci Jeff !" Tournant sa tête il leva son pouce aux jumeaux, qui avaient retrouvé le sourire et leurs énergies si fabuleuse. Toquant dessus, le bruit que faisait le labrador était plein. Il y avait deux possibilités. Soit une couche d’or recouvert le chien, ce dernier étant vivant en dessous, simplement prisonnier. Soit il s’était transformé entièrement en bloc d’or et là, les conséquences seraient plus grave. Déja pour le chien qui n’avait rien demandé, et surtout pour le prince s’y trouvant dedans. Se grattant la tête pour réfléchir, il se tourna vers Regina. "La dresseuse canine est appelé à la barre ! Est ce que tu peux toujours communiquer avec lui ou il va finir définitivement dans le coffre fort d'Ebenezer ?" “Je .. J’en … sais rien ..”S’il avait de l’influence sur les jumeaux, l’inverse était aussi vrai, faisant ressortir cette facette wonderlaniennien que le chapelier caché plus ou moins bien. Voilà qu’il se mettait lui aussi à parler comme s’il se trouvait dans un tribunal. La question fit mouche, intéressant toute la petite troupe qui se rapprocha, regardant l’ancienne méchante reine posant la main sur le chien pour essayer de communiquer avec lui. Un signe négatif de la tête permit de comprendre qu’il n’y avait pour le moment rien à faire. “Bon, ce n’est pas grave ! On va le garder, sa méchante belle mère aura sans doute la solution. Par contre, je le prends pas, je préfère les chats à porter ...” Jefferson avait bien appuyé sur le mot méchante en fixant Regina. Avec ce qu’elle avait fait à Ali, elle venait de prouver qu’on ne pouvait pas compter sur elle. Oui Ali était chiant, lui ayant même prit sa place de Drama Queen, pour dire le niveau, mais c’était comme ça. Chacun ici avait ses défauts et ses qualités, il fallait les accepter pour vivre en communauté, et il savait exactement ce que c’était. Passant à côté de son ami, il posa une main sur son épaule. “T’en fais pas mon pote, on est tous passé par là à un moment donné. Arrachage de coeur, coupage de tête, enlèvement de globes oculaires .. ”


La nuit tombait dans la forêt et le petit groupe s’activa à sécuriser les lieux et à faire en sorte qu’il devienne un endroit convenable. Jefferson avait apporté quelques branches de bois mais il se préoccupait plus des jumeaux que du reste. Ils étaient assis directement sur le sol, entrain de regarder les étoiles. Cette vision lui rappela quand il les avait installé pendant un moment chez lui, dans sa chaumière. Ils sortaient la nuit, se mettre sur les lattes de bois pour discuter avec les constellations et le chat du cheshire.“ Ce soir je vous chanterais une chanson pour vous endormir ! La journée a été longue et difficile, ça vous changera les idées.” "Ouaiiiis ! On chantera avec toi" “Oui, et après au dodo !”"On peut dormir tard quand même ?" Jeff leva les yeux au ciel avec un sourire attendrissant. Ils n’avaient pas changé d’un poil, comme quand il devait les coucher dans leurs lits mais qu’ils voulaient continuer à l’écouter raconter les aventures qu’il avait eu dans la forêt enchanté. “Un petit peu ! Mais il faut être raisonnable, je sens que demain va être pire qu’aujourd’hui et qu’après demain serait encore plus pire que demain. “"Mais non ! Demain on va gagner, alors demain sera encore mieux !" C’était cet optimisme qui l’aimait, cet optimisme qui avait contrer le pessimisme dans lequel il se trouvait quand il avait croisé la route des Tweedles. “Forcément, nous sommes une équipe de gagnants !” "Une équipe de gagnants !" Il avait l’impression d’entendre de l’écho, et son sourire s’agrandit. “Vous vous souvenez ?” Jefferson regarder les jumeaux dans les yeux. Enfin il essaya d’abord de mettre un oeil sur Dereck et un autre sur Duncan mais une vive douleur le rappela à l’ordre. Reculant sa tête pour avoir les deux dans son champ de vision, il s'exclama en même temps qu’eux. “A bat la maudite grosse tête !” Levant le poing comme lors de la révolution, il les attrapa finalement pour les enserrer dans ses bras. “Promettez moi une chose les twins ! Si jamais il m’arrive quelque chose, vous continuez d’accord ?” Depuis quelque temps il avait un ressenti, le même pressentiment qu’il avait eu avant que Regina ne vienne le trouver dans sa chaumière de la forêt enchanté et quand on voyait comment tout avait fini, il avait du soucis à se faire. "Quelque chose ? Il t'arrivera quoi ?"Il n’y avait pas que l’optimisme qu’il appréciait, la naïveté faisait aussi parti de ces aspects qu’il aimait, qui lui donnait envie de les protéger contre toutes les forces du mal. “Rien, on ne sait pas, on ne sait plus, mais promettez moi ! Jurez moi que si un danger trop fort nous tombe dessus vous vous enfuirez dès que je vous le dirais !” Il les avait a nouveau attraper par les épaules, une main pour chacun des garçons. "D'accord !" "On fuira avec toi !” Ils n’avaient pas compris et c’était sans doute mieux ainsi. Jefferson n’avait pas envie de devoir expliquer qu’il se prévoyait un destin funeste, toujours dans cette veine de sombritude qu’il pouvait avoir. “Restez sage, je vais faire un tour.”

Embrassant le front de l’un et puis de l’autre, il reporta son attention sur le petit groupe, en particulier sur un homme. Wolf. Il était assis au coin du feu, et la curiosité du chapelier le poussa à s'asseoir à ses côtés. D’abord silencieux, il se tourna vers lui. “Est ce que je peux te poser quelques questions ?” Le loup prit conscience de qui se trouvait à coté de lui, il hocha la tête. “Pour commencer, vous tous n'arrêtez pas de dire royaume mais est ce que cela ne veut tout simplement pas dire monde ?” Wolf regarda Jeff, étonné par sa question dont le sens principal lui échappé, comme à toutes personnes sains d’esprits. “Oui, sans doute, ce sont des mondes comme les autres !” Il n’était pas satisfait de la réponse ! Pourtant la question était simple. Les royaumes, du 1e au 10e appartenaient ils tous au même monde ou formaient ils une galaxie ? Voila,c’était simple comme de l’eau de roche. “Ceci t’aidera plus.” Haussant un sourcil, Jeff pris avec soin la carte que Wolf sorti de sa poche. Il l’observa attentivement, mémorisant les points qu’il jugeait important. Il avait l’habitude des cartes, et son sens de l’orientation était aussi affûté qu’une boussole. Sa magie de transport l’avait emmener dans une multitude d’endroits où il avait du s’adapter à la situation, comme aujourd’hui. C’était pour cela, qu’au final, il n’était pas plus étonné de ce qu’il vivait. La coupure de Storybrook n’était qu’une pause dans les lignes de son histoire qu’il comptait bien reprendre en main. “Chaque royaume est dirigé par une personne différente, un peu comme quand tu as un panier de pommes et que tu donnes une pomme par personne.” Les métaphores alimentaires rentraient dans la catégorie des arguments loufoques que Jefferson appréciait. Souriant à Wolf, il hocha la tête à ses explications, alors qu’il sentait dans son dos deux souffles chauds. Anastasia et Virginia s’étaient invitées, suivant avec intérêt la main de Wolf, qui montrait l’endroit du campement. “Et t'as des noms ? Tu connais certains souverains ? Comment ça marche ?” La machine à question Jefferson était lancée et personne ne pouvait l’arrêter. “... Non, je ne les connais pas et puis y en a pas un pour mettre à la place de l’autre ! Tous pourris comme la viande que l’on oublie au soleil. Ils sont tous méchants avec moi, avec mon espèce ...” Regardant avec étonnement, il pencha la tête sur le coté. “Ton espèce ? Mais de quelle espèce tu es ?Bah un loup ! ça s’entend au prénom et ça se voit aussi !” Il pouvait bien sentir le regard de dédain qui lui lançait, mais quand Jeff passait en mode voyageur, il se fichait de l’air qu’il pouvait avoir. “Mais je suis gentil moi ! Je ne mange plus ! Je suis en thérapie pour apprendre à calmer ma faim.” Gloussant en tournant la tête vers les jumeaux, pensant qu’il les enverrait bien là bas un ou deux jours pour voir si les soignants étaient des bons, il plissa néanmoins les sourcils. "Ouais mais le loup c'est un animal ... et toi tu es un humain ... avec une queue de loup ... mais un humain quand même !" “Gnigniagnia animal … C’est bon c’est fini l’interrogatoire ? J’aimerais bien manger tranquillement … ce n’est pas bon de manger en étant contrarié car l’estomac se noue et les aliments ont du mal à passer. Après ça fait des crampes et pour dormir ce n’est pas top !” Gardant son regard sur lui, il fit une petite moue sceptique. Si Wolf se justifiait de la sorte cela voulait dire que les autres n’était pas aussi agréable qu’il en avait l’air. Puis, les mauvais travers ressortent toujours un jour … Restant silencieux quelques minutes, il reprit de plus belles, avec le même entrain. “Et justement, quel est la différence entre ce royaume là et Storybrook ?" “Comment le saurais je ? Je n’y suis jamais allé … et le nom ne donne pas envie ..il est pourri'. Jeff ne pouvait qu’acquissait la dernière phrase du loup. Vraiment Storybrook … “Story-Brook …” En décomposant le mot pour lui, comme il s’amusait à le faire de temps à autre, il se heurta au mot Brook. Un sourire passa sur son visage en pensant à tout ce qu’il allait raconter à Candice. Il pouvait imaginer la déception de la jeune femme de ne pas avoir pu participer à cette aventure. Des trolls, des princesses, des haricots magiques, c’était sur qu’elle aurait adoré, plus que les zombies et il aurait aimé l’avoir à ses cotés. Il avait les jumeaux, et Ali mais ce n’était pas pareil. Il n’avait pas ce lien, cette complicité à toute épreuve qu’il avait trouvé chez elle. Mais qui disait Candice, disait Chris, et il n’avait pas envie de se torturer les méninges ce soir … si seulement il savait ce qui l’attendait dans quelques minutes … “Sinon le coté culturel il est comment ? Y a des fêtes particulières ? Des religions sacrés, interdites ? Quel est la structure de pensée de l’imaginaire dans cette partie du monde ?'Euh … je dirais que tout va se passer au niveau local … Sinon lors d’un couronnement, le prince ou la princesse fait le tour de tous les royaumes pour se présenter, un peu comme une belle dinde que l’on montre à ses invités pour les impressionner.” Il pouvait sentir dans sa voix qu’il en savait beaucoup plus mais qu’il ne dirait plus rien ce soir en ce qui concernait ce monde. “Pourquoi toutes ses questions ?” Parce que je suis un grand voyageur ! J’ai parcouru des milliers de monde différents et j’adore tout en connaître. Puis j’aime bien me renseigner sur l’endroit dans lequel je me trouve, c’est plus confortable !” “Pour un grand voyageur, tu as une drôle de tenue …” Baissant les yeux sur son torse, il remarqua qu’effectivement, il était toujours en boxer. Il n’avait même plus capté, tant que ça ne le dérangeait pas d’être comme ça. Puis son manteau était plutôt épais, alors il n’avait pas froid. “J’ai été dérangé par un troll pendant ma toilette et il ne m’a pas laissé le temps de finir … Normalement je suis habillé beaucoup plus classe ! Je suis chapelier ! La mode ça me connait.” Faisant un petit geste de la main, il laissa enfin Wolf tranquille.

Marchant entre les personnes, il observa toutes les personnes, les mains dans les poches. La lune était haute, signe qu’il était tard et certains dormaient déja. Se posant contre un arbre un peu à l’écart, il souffla pour la première fois. S’il n’était jamais contre une aventure, il espérait qu’une chose qu’elle se finisse au plus vite. Il n’avait pas encore récupéré totalement des supers vacances de la mort que Candice avaient organisés et il n’aspirait qu’à une chose, se reposer dans son jacuzzi, et sans zombie cette fois. « Tu dors pas toi non plus alors ? Je peux m’asseoir ?” Levant immédiatement la tête, mettant son torse en arrière dans une position défensive, Jefferson devisagea Regina en faisant une moue de colère.”Avant de parler ..” Silencieux, chose rare chez le chapelier pour être relevé, il ramena ses jambes sur sa poitrine, comme pour se mettre dans un cocon protecteur, il regardait étonné, les vêtements qu’elle lui fit apparaître. Ne lâchant pas la brune du regard, un peu comme quand une araignée se trouve dans une pièce, il s’habilla rapidement, tout en levant un sourcil quand elle se prit la tête dans ses mains, totalement abattu. « J’ai craqué tout à l’heure.” Tout à l’heure, elle parlait certainement de ce qu’elle avait subir à Ali. Ricanant, se délectant de ce qu’il voyait et de ce qu’il entendait, il lui sorti, philosophiquement. "On retombe tous dans nos travers un jour ou l’autre" Il n’avait qu’a voir comment il se comportait depuis quelques années, et surtout depuis quelques mois. Il était pire qu’avant. Un mélange entre le Jefferson d’avant la mort de Priscilla, et de pendant la guerre wonderlanienne. Ce fut au tour de Regina de ricaner en l’entendant dire, comprenant très bien qu’il parlait pour eux deux. « Et dire que j’espère depuis longtemps pouvoir faire disparaître à jamais cette partie de ma vie. » Bizarrement, Jefferson ne fit rien, son visage devenant de plus en plus pâle au fur et à mesure que les souvenirs refaisaient surface. "Je sais .. moi aussi .. “ « Mais elle revient toujours au galop. » Il lui avait coupé la parole ne pouvant s’en empêcher et la fin de la phrase accentua son malaise. “Tu t'en souviens ? Quand je t'ai demandé de les enlever .... mes souvenirs ...?" Son regard se perdit au loin, accroché dans les flammes du feu qui était entrain de s’éteindre. « Oui. Je m’en souviens et je...je suis désolée de tout ça... » Un hoquet bizarre, bruit entre le rire fou et un sanglot étouffé sortit pour seul réponse de la bouche du chapelier. Désolée ? Elle était désolée ? Il avait une belle jambe avec ça. Fermant ses paupières avec ses deux index, il n’arrivait pas à faire partir la conclusion de son remue méninge qu’il avait fait depuis plus de trente ans. Il devait lui dire, tant pis. "En réalité je te dois plus que je ne veux bien me le faire croire. Tu as détruit ma vie comme tu l’a sauvé.""Que veux tu dire ? " Il sentait l’incompréhension dans sa voix et il lui aussi, se demandait pourquoi il lui disait ça. Il avait tourné en boucle et en boucle, à cause des jumeaux, qui lui disait toujours de voir le côté positif de la chose. "Si tu n'étais pas arrivé, si tu ne m'avais pas montré ce lièvre avec ton sadisme pour rigoler de ma souffrance, je ne serais jamais sorti de ma bulle, de mon délire. Tu as éclaté la protection que j'avais mis autour de moi pour ne pas me rendre compte de la perte de Priscilla et Grâce."Faisant une pause, alors qu’il se revoyait, à genou devant Regina, complètement abattu par ce qu’elle lui disait. Il essaya de calmer les tremblements de ses mains en s’accrochant à sa chemise, mais c’était son corps entier qui se secouait. "Si tu n'avais pas fait ta méchante reine, je serais toujours probablement à croire que ma fille grandit, et que ma femme s'épanouit alors qu'elles gisent au fin fond de la terre de Wonderland, réduit en cendre par ma faute quand Décember m’a ramené.” La folie gagnait petit à petit du terrain dans son esprit, n’arrivant plus à contrôler ni ses mouvements, ni sa voix , qui devint aussi dur que du téflon.

"Par contre …”Il laissa la voix en suspens alors qu’il se rapprochait du visage de Regina, un sourire mauvais et sadique se dessinant sur le sien. Il se tourna, de trois quarts, pour lui faire face, posant brutalement sa main sur l’arbre. "Je te hais toujours pour ton coup de pute que tu m'a fais à Wonderland" Ses yeux n’étaient plus qu’un feu ardent de colère, de haine et de rage. Tout son corps n’aspirait qu’a une chose, faire souffrir Regina là maintenant tout de suite, au pied de cet immense chêne. "Jeff ... Jeff tu me fais peur là ! Oui, le chapelier pouvait être effrayant quand il perdait le contrôle. Peu avait vu son visage, mais ils avaient garder en mémoire la personnification de la folie pouvant s'attendre à tout de ça part. Il voulait l’étrangler, la voir suffoquer, voir son visage devenir de plus en plus rouge avant de perdre sa couleur immédiatement, voir ses yeux convulser, se retourner dans leurs orbites pour finalement devenir vitreux. “Cora ça te dit quelque chose ?” Il avait sifflé le nom de son bourreau comme si on lui brûlait la langue, chose qu’il connaissait par ailleurs. « Dit donc Chapelier, combien de fois devrais je te dire que je ne suis pas ma mère ? » Le calme de Regina contrastait énormément avec la folie de Jefferson. "Ah voila .. je savais bien qu'il y avait un lien de parenté avec cette salope !" "Ouais, malheureusement, celle qui aime couper les têtes et la même personne qui m’à élevée." C’est sans doute enchaînement des mots couper des têtes qui fit que Jefferson s’éloigna rapidement de Regina, comme si elle allait sortir une hâche de ses Evils Boobs. Tombant sur ses fesses dans un bruit sourd, il eut une moue boudeuse, presque enfantine. “Merci de me rappeler ce merveilleux moment !” “Et je déteste cette idée !” Riant aux éclats, mais pas de joie, ses yeux se mirent à faire un tour, partant en l’air avant de revenir vers la sorcière. Denouant son foulard, sa cicatrice était plus luisante que jamais. “Tu vois .. quand tu m'as "oublié"' après avoir bousillé son labryitnhe à l'anglaise' Pouffant à sa vanne, parce qu’il fallait quand même avoir de l’humour même dans les pires moments, il reprit immédiatement. "Elle a pensé que ça serait plus utile de me décapiter avant de me poser des questions … C’est sur que mon corps fait toujours obstruction à ce que ma bouche veut dire ..."Ma mère était cinglée.” “Ah qui le dit tu ? Tu sais quoi, me voir coupé en deux ne lui a pas suffit ! elle m'a enfermé pendant deux ans et j'ai subit toutes les tortures de la création ...Le livre les 1001 façon de torturer édité chez Gallimard à été écrit grâce à ma contribution personnelle et je ne touche aucun Royalties !"« Je regrette de t’avoir laissée la bas. Si je pouvais arranger les choses qu’elle a pu faire, je te jure que je le ferais. » “C’est trop tard” Haussant les épaules, se jetant sur le dos, il regarda le ciel étoilé. Oui c’était trop tard, le mal était fait et rien ne pourrait changer. « Je... désolée. » Jefferson n’entendait plus Regina, il était parti dans son monde, celui de la destruction et de la désolation. "Wonderland est en danger, Wonderland est détraqué, Wonderland est cassé, Wonderland est ruiné" « Jeff… Jefferson ... » Son nom entra dans son oreille, touchant son égo surdimensionné, qui avait une raison bien présente d’être comme ça. Se tournant sur le ventre, puis dans une contorsion, il se mit face à la jeune femme. Il ne pouvait soutenir son regard sans se rappeler la cruauté qu’elle avait fait preuve pour lui faire comprendre qu’il ne reverrait plus jamais Priscilla et que Grâce était morte dans son ventre. "Regina, si tu savais, moi aussi j'ai voulu oublié, tout oublié, et même ta malédiction n'a rien fait" "Tu voudrais oublier ? Si je pouvais empêcher certains de tes souvenirs de te tourmenter, tu accepterais ? " Haussant ses sourcils à s’en faire mal, il secoua la tête. "Je ne peux pas, Rumpl' l'a dit ! Lors de notre petite réunion de crise à notre arrivée ! Tu as Alzheimer ou quoi ?” L’ancienne mairesse ne répondit pas, essayant de sonder l’esprit de Jefferson. "C'est ça qui est drôle ... tu m'avais déjà fait cette proposition ... j'avais accepté comme un idiot et un lâche que je suis .. résultat tu as récupéré ton père ou ton je ne sais quoi et je me suis fais décapité entre autres.. Puis Storybrooke est arrivé, nouvelle utopie pour quelqu'un comme moi mais là non plus ça n'a pas marché ... et j'ai reperdu la tête .. 28 ans d'errance dans le plus noirs des mondes... " Forcément, il n’était rien pour elle, pourquoi se souviendrait elle d’une discussion ? Elle avait ruiné la vie de milliers de personnes Jefferson n’était pas une exception .. enfin … Se redressant, il plia ses jambes en tailleur avant de désigner sa tête, tapant le doigt dessus comme l’expression qui signifiait qu’il était taré.

” Là dedans, Rumpl l'a dit .. il y a quelque chose qui protège ma mémoire ...Rien ne peut y faire, ta magie aurait servi à rien si tu avais tenu ta parole la première fois" Il pouvait l’entendre soupirer, aurait elle vraiment des remords ? Une fiole apparu dans ses mains, éveillant l'intérêt du Jefferson .Une potion d’amnésie… “Aucuns sorts, aucune magie ne peut contrer ce qui l'entoure. Ma malédiction est de me souvenir, de tout, en permanence, pas de répis pour le chapelier fou" A la tête de la brune, il comprit qu’elle ne le croyait pas et un sourire mauvais, désespéré passa sur ses lèvres. Croyait elle vraiment qu’il n’avait rien fait ? Il était allé voir toutes ses relations, tous les sorciers qu’il connaissait, tous les magiciens de la terre, et il n’y avait rien. “Si tu changes d’avis, tu sais ou me trouver. Et... tu sais un jour j’ai dépassé mon maître. » Comme pour lui prouver qu’elle avait tord, non sans espérer un petit peu, il attrapa la bouteille d'amnésie, en déboucha le flacon et avala son contenu en entier. Immédiatement, ses yeux se voilèrent d’un film blanc, tandis que les liaisons entre le cortex de la mémoire et le reste de son cerveau se brisaient petit à petit. Pendant une minute, il ne pensait plus, il ne savait plus, il n’était plus. Une page blanche, neuve, qui n’attendait que d’avoir une nouvelle histoire. Mais comme un film en accéléré, ses souvenirs réapparaissaient les un après les autres, de son enfance à l’âge adulte. Le dernier souvenir traumatisant étant son enfermement dans une salle remplie de sang et de zombie voulant le tuer. Heureusement que Chris était arrivé à ce moment là, sinon il aurait servi de pâte à la sauce bolognaise. L’image de l’homme enfonçant la porte se grava dans sa rétine avant de s’effacer pour laisser place à la réalité, signe qu’il avait repris une activité normale de mémorisation. “C’était bien mais je crois que je vais vomir …” Trop de sensations en trop peu de temps, son corps n’était pas loin de lâcher, mais il tient bon, mettant sa main devant sa bouche. « Je suis désolée Jeff… Rumple est mort. Et aucun sort n’est jamais infaillible. Regarde même ma puissante malédiction avait une faille. » Faille qui de toute façon ne lui aurait rien fait vu qu’elle n’avait pas marché sur lui. Ne le relevant pas, il se plaça dos contre l’arbre, à côté de Regina, pour reprendre son souffle. "On est tous maudits dans cet univers ! Tu est rattaché à un coté sombre que rien n'enlèvera. Je suis condamnée à ne jamais oublier." "Je peux t’avouer quelque chose ? "La brune fit apparaître un miroir qui refleta ces deux âmes en peine. “Vas y, au point ou on en est …" "La personne que je déteste le plus, c’est moi-même ...encore plus que mon reflet dans le miroir." Ce que renvoyait le miroir à Regina était le sourire du chapelier qui s’agrandissait et du regard encore emplaint de folie..” Heureux de savoir ça”. Il posa finalement sa tête sur son épaule, soupirant tous les malheurs du monde “En réalité, nous sommes deux ma chère, nous sommes deux !" Oh oui, Jefferson se haïssait, peut être même plus que Cora, peut être même plus que le lièvre. Son malheur, il ne le devait qu’à lui même et à personne d’autre. Il jouait avec la mort, il avait toujours flirtait avec elle comme un adolescent romantique en quête de sensation forte. C’était lui qui avait entraîné ce qu’il aimait le plus dans ce chaos, et il recommençait, toujours et encore, à se détruire. "Miroir...miroir...mon beau miroir... " “Dit moi qui est la plus belle ! Pour que je puisse aller lui arracher le coeur ” Quelques minutes passèrent, ou le chapelier et la méchante reine restèrent comme ça, sans bouger, perdu dans leurs pensés. Puis sans prévenir, Jefferson se leva, époussetant sa veste et ses vêtements. "Je t'en voudrais à jamais Regina ! Mais je ne peux m'empêcher de penser que c'est une partie du prix que j'ai payé pour t'avoir trompé avec Victor." C’était un fait qu’il ne pouvait nier. En acceptant d’amener le docteur Frankenstein, il avait été un élément fondamental du plan de Rumpl’ pour détruire Regina. S’il avait refusé la manigance, jamais tout ceci se serait réalisé. Il avait une grosse part de responsabilité dans l’état de la femme et il savait., il l’avait accepté. Un silence se posa entre les deux, avant qu’il ne le brise tout en haussant les épaules."Mais bon, je trouve que la dette est quand même beaucoup plus cher ... tu n'as perdu qu'une personne et moi deux ! C'est pas du jeu !"

Forcément la nuit qu’il passa était mauvaise, sans doute pire que d’habitude, même s’il était déjà haut dans le niveau de la pourriture. Debout avant tout le monde, il était parti faire un tour sans rien trouvé d'extravagant, et l’ennui commençait déja à le gagner. Wolf qui se réveilla lui aussi aux aurores, suivit par Anastasia. Quelques heures après, le reste du groupe était debout, en route pour de nouvelles aventures. Et elles commencèrent rapidement, et avec encore une dose d’intensité folle. Après Ali et la clocharde qui prévenait d’un soi disant chasseur, le petit groupe se trouvait dans des bois de contrefaçons; Exit la mignonne petite forêt toute charmante et bonjour la glauquerie. Jefferson en avait vu des choses dans sa vie, et là, il pouvait clairement sentir qu’il allait droit dans la gueule du loup. Ne lâchant pas les jumeaux de vue, il se retourna plusieurs fois, il avait l’impression qu’on l’appelait. Non pourtant, aucunes des personnes présentes n’avaient dit son nom. Plus ils s’enfonçaient et plus il faisait sombre, une véritable ambiance malsaine. Frissonnant, il serra son manteau sur lui alors qu’il entendait des gémissements s’élevant des arbres. Il connaissait ses bruits, ceux des plaintes et des lamentations. Elles avaient bercés ses nuits dans les cachots du pays des merveilles et rien que de les réentendre, il n’avait qu’une envie, se mettre en boule et se boucher les oreilles.Se tournant vers Regina, il annonça avec un sourire goguenard et un petit cercle de la main. “Tiens tiens il ne manquerait plus que des coeurs et la déco' serait parfaite !" Cette dernière comprit à quoi il voulait faire allusion, se souvenant de cette salle empli de coeur. Puis il se tourna vers le sherpa. “Wolf ? C’est quoi cet endroit ?” Il réponda sybilinement par la forêt est magique vous allez entendre des choses, mais cette réponse était loin de satisfaire Jeff, surtout que le décor ne faisait s’aggraver. Il y avait maintenant des amulettes et des lapins morts pendu aux branches des arbres centenaires. Virignia n’était pas rassurée, enfin personne ne l’était mais elle osa aller contre Wolf ! “Eh vous savez vraiment où vous nous emmenez là ?” qui lui répliqua, "Vous permettez ? Je me fis à mon odorat là ! “C’est bizarre parce que moi non plus je ne le sens pas … et niveau truc bizarre je m’y connais ..” Moi non plus” “J’entends la voix de Sadira … c’est étrange comme délires d’entendre des voix !” Le pas se fit plus pressant et le groupe un peu plus resserré. Une pancarte sauvage apparu avec écrit en gros TOUT INTRUS SERA CONSIDERE COMME BRACONNIER. Bien, de mieux en mieux, ils allaient être descendu comme des lapins. D’ailleurs plus ils avançaient et plus leurs cadavres étaient nombreux dans les arbres. “Jefferson !” Se stoppant net alors que le groupe avançait, le chapelier cligna plusieurs fois des yeux. Il avait mal entendu ce n’était pas possible. “Jefferson !” Non ..cette voix … il ne pouvait pas l’oublier, elle était gravée au fer rouge dans son conduit auditif. “Priscillia !” Se retournant, il commença à s’éloigner du groupe. Les larmes avaient déjà rempli ses yeux alors qu’un fou espoir s’empara de son cerveau, sans doute envahit par la magie de cet endroit. S’il l’entendait, c’est qu’elle devait être là. “Je vais te sortir de là Ty' et nous allons rentrer à la maison !” S'arrêtant dans sa foulée, il se figea. Cette phrase … c’était la même qu’elle lui avait dit quand elle avait trouvé la montre du lièvre, cassant la boucle infernale dans laquelle il était piégé. “Mon amour ! Tout vas bien, je t’ai enfin retrouvé…tu n’as plus rien à craindre....” Apeuré, affolé même, alors que les images du drame qui allait se produire se coller sur ses yeux, son regard tomba sur un lapin mort, pendu. “Bonjour Hatters !” Ses yeux s’ouvrirent en grand, autant que possible. Le lapin venait de parler avec la voix du lièvre. Non le lapin était un lièvre. La rage qu’il avait eu quelques heures en face de Regina se quadrupla et il se jeta sur l’arbre pour attraper l’animal, totalement perdu dans un brouillard sans fin. “Il est armé ! Cycy fuit !” L’image était clair dans son esprit et il revoyait la flèche partir de l’arbalète. “Tu sais Tarrant, je vais te donner un conseil d’ami … Regarde bien ta femme pour la dernière fois, imprime toi dans ta petite tête le sentiment d’amour parce que tu ne le ressentiras plus jamais … pourquoi ? Parce que j’anéantirais un par un les choses qui te tiennent à coeur … et ça commence maintenant !” S’en était trop pour le chapelier, entre cette nuit et maintenant, sa conscience explosa en mille et un morceau. Hurlant à la mort en se prenant la tête, il répétait inlassablement le prénom de femme qu’il entendait agoniser, avant de tomber au sol, pris par une crise de démence intense. Pendant quelques minutes, qui lui paraissaient des heures, il était hanté par le pire des démons possible. Heureusement, une petite lumière arriva jusqu'au chaos de son âme pour essayer de le refaire prendre conscience. Les jumeaux criaient sur le chapelier, arrivant à le toucher malgré les gestes immenses, désordonnés, qu’il faisait. La voix des rouquins était comme une corde sur laquelle il grimpait pour faire surface, s’élevant de l’enfer dans lequelle il était tombé, tête la première. Puis il s'occupait aussi de son chapeau, chose qui importait beaucoup aux yeux de celui qui broyait le sol avec ses mains de rage. [Si jamais vous voulez rajouter encore un truc les jumeaux n'hésitez pas ]

Le groupe avait avancé, n’entendant certainement que les cris du chapelier, mais pourquoi s’en préoccupait il était fou après tout. Une dizaine de minutes après, un autre point de repère était placardé sur un arbre. TOUT BRACONNIER SERA EXECUTE SUR ORDRE DU CHASSEUR. De toute façon, ça ne pouvait finir que comme ça ...Jefferson et les jumeaux, qui avaient rattrapé le groupe, examinèrent la pancarte. Le brun, pâle, les cheveux en bataille, des cernes violettes sous ses yeux rouges ne se départit pas de son humour. “Non mais c'est bon ... les vois d’outre tombes ..les lapins morts et maintenant ça !!! Elle est ou Brigitte Bardot hein ? ... j'vais la chercher j’en ai marre de cet endroit !" Il entendit Anastasia rigoler à sa blague alors qu’il prenait la direction opposée avant de revenir sur ses pas. Ils marchèrent encore et encore pendant au moins une bonne grosse demi heure. Jeff, qui essayait de ne pas entendre la voix de Priscilla qui la suivait, souria doucement quand Ali s’approcha. “Comment va tu ?” Le coin de sa lèvre se retroussa un peu, en une esquisse de sourire amicale. “Bien pourquoi devrais je me sentir mal ? Je vais très bien ! Frais comme un gardon !” Même s’il avait l’habitude de mentir, son corps le trahissait et son regard fatigué balayait les environs. “Ne me raconte pas de mensonges.. Les menteurs je connais ça..J'en suis un .” “Ne t’en fait vraiment pas ! J’ai eu .. un petit passage à vide, mais c’est bon !” Levant la main devant Ali, il n’avait pas envie de discuter plus, signe qu’effectivement quelque chose n’allait pas. Prenant une bouteille d’eau qui allait avec les sandwichs, il fouilla dans la poche de son manteau à la recherche d’un petit sachet. Grognant, il le trouva dans la poche intérieur qu’il avait cousu. Ce n’était pas grand chose, mais assez pour que le sang du chapelier soit à nouveau empli de drogue. Il valait mieux pour tout le monde et surtout pour lui même. Des hennissements de chevaux retentirent dans la forêt redevenu silencieuse. Le groupe se regarda et ils décidèrent d’aller à leur rencontre. Enfin, quelque chose apparut entre les arbres. Des roulottes sortirent de la brume et un camp se dessina. Un camp de gitans plus précisément. Gitans qui, à la vue du raffut que le groupe faisait, remercions aussi Jefferson et ses magnifiques cordes vocales habités à hurlé pour la discrétion, les attendaient, ne leur laissant même pas une chance de se cacher derrière les arbres. Or au lieu de s’attendre à des menaces de mort, un des gitans les appela de la main. “Venez donc manger avec nous !” Enfin menace … le ton de la voix n’était pas très amicale et ne laissez pas beaucoup de possibilités. Avant de se jeter dans la gueule du loup, le loup justement, rassembla ses ouailles pour les avertir du danger. “Ce sont des gitans braconniers. Ils n'hésiteront pas à nous tuer. Ne refusez rien de ce qu'ils vous donnent mais ne mangez ni ne buvez pas tant que vous ne les avez pas vus faire.” Jefferson leva les yeux au ciel, avant de se tourner vers les jumeaux. “On ne mange rien c’est compris ! C’est sans doute empoisonné pour nous faire mourir doucement et après nous exposer comme les lapins. La seule nourriture qui entre dans votre bouche sont les sandwichs et notre eau.” Suivant bien sagement derrière les autres, Jefferson était à l’affut de la moindre chose. Ses sens étaient décuplés, toujours la même chose après sa crise, surtout là. L’écho de la voix de sa femme était bien présent dans son tympan et il devait redoubler de concentration pour le faire partir; Se posant enfin autour du feu, il regarda les personnes présentes. Regina observait les gens, tout comme lui. Puis Ali vint s'asseoir à ses cotés, et Amira sauta sur le chapelier. Caressant le singe, il se mordit la lèvre avant de se pencher vers son ami pour lui chuchoter. "Je le sens pas ce Wolf ... il nous cache des trucs ... j'en suis sur ... mon sens de manipulateur est tourne boulé et ça c'est le signe d'une manipulation externe à ma personne !" Non vraiment, il ‘n'avait pas confiance au brun à queue de loup. Il ne répondait pas à toutes ses questions, restait évasif sur certains sujets et il avait l’air de trop connaître l’endroit pour être honnête. Puis il n’appréciait pas forcément comment il lui parlait, mais ça c’était une autre histoire. “Restons sur nos gardes ! Gardons le à l’oeil !” Ali avait raison, il ne fallait pas lui tourner le dos. Tirant sa nuque vers le haut, dans un mouvement de recherche, il vérifia que les jumeaux allaient bien. Il s n’étaient pas loin de Zazu, le policier.

“Psst” Haussant le sourcil gauche, il regarda de coté pour voir d’ou le bruit venait. Une vieille femme était juste dans sa diagonale. “Ça te dirait de connaitre ton avenir ?” Haussant le deuxième sourcil, son visage repris quelques couleurs devant cette proposition. Se levant sans faire de bruit, ne respectant pas les consignes de Wolf qui n’en perdait pas une, petit clin d’oeil que Jeff lui fit au passage, il se rendit à l’écart, devant une roulotte ou une table était disposé. Regardant le décor, il poussa un petit cri en sentant qu’on lui tirait les cheveux. La vieille lui avait coupé une mèche de cheveu qu’elle jeta dans une coupelle pour y mettre le feu. Il entendait de loin la voix de Brooky lui dire qu’il serait responsable si le feu se propageait aux roulottes parce que c’était sa mèche de cheveux qui était à l’origine de l’incendie. Inhalant les fumées toxiques, la gitanne commença à tirer les cartes au chapelier, attentif comme tout. “Je vois le fou !” Il aurait pu rigoler si quelques instants auparavant il n’avait pas atteint les sommets de la folie. De plus, Jeff n’était pas un novice en cartes, sa mère de la forêt enchanté lui ayant appris toutes les significations. Le mat ou le fou, seule carte sans numéro, lame 0 du paquet. Carte très puissante dans le pont du Tarot, il représente habituellement un nouveau commencement,et forcément la fin de quelque chose mais dans l'inconscience. Le fou avance dans la vie sans se soucier du danger. Cette carte, il savait qu’elle était pour lui, même le dessin le représentait. Un homme tenant un bâton dans la main droite et un baluchon sur son épaule, avançant vers la droite d'un pas décidé pour explorer des pays inconnus. Il regarde vers le ciel... Il ne semble pas se soucier de savoir où il place les pieds, ni de savoir où il va...Jeff se gratta la tête, à l’endroit où la gitane lui avait coupé la mèche. Le cycle de souffrance dans lequel il était enfermé depuis tant d’années allait il s’arrêter ? Non, il n’en avait pas espoir, mais il savait aussi une chose, que le fou laissait présager d’importantes décisions ) prendre, très difficile avec une option négative dans la balance.. Non, il allait attendre de voir les autres cartes pour tirer une conclusion sur son avenir. Il regarda la deuxième carte avec attention, mais ticqua sur les paroles de la gitane. “Et l'ami du fou, le Lourdeau.” Plissant les yeux, il pencha la tête pour regarder. Le lourdeau, elle avait une façon particulière de présenter le pendu. Cette carte ne le rassurait pas du tout, mais alors pas du tout du tout. Instinctivement il porta sa main à son cou. Si le fou pouvait avoir une signification double, oscillant entre l’amusement et le désespoir, le pendu était plus radical. Cette carte était la symbolisation de l'incapacité à faire les choses, l'impuissance, le sentiment d'être "pieds et poings liés" face à une situation qui n'est pas maîtrisée. Il ne maitrisait pas sa vie, il n’avait plus le contrôle dessus depuis bien trop longtemps, se laissant porter par les flots plutot que d’essayer de nager contre le courant. Mais surtout, l’autre signification qu’il craignait était celle du renoncement. Il devait renoncer, abandonner pour pouvoir continuer. Etait il seulement prêt à le faire ? Se mordant la lèvre fortement, il attendit le verdict de la troisième carte. “Ils sont rejoints enfin par le Bouffon.” “Ah non ! Le bouffon c'est le fou et on ne peut pas le tirer deux fois ! Là c’est l’amoureux ! Respectez un peu les cartes !” S’en était trop pour le joueur qu’était le chapelier. Il détestait ne pas respecter les significations. Si les cartes avaient des noms c’était pour une raison évidente, pas pour qu’on en dise n’importe quoi. L’amoureux … Jefferson attrapa la carte pour la fixer péniblement. L’amoureux. La dernière fois qu’il avait vraiment été amoureux c’était de Priscilla. Depuis sa mort, il n’avait jamais plus connu ce sentiment, ne voulant pas le connaître surtout. Mais la carte, malgré l’ange de l’amour au dessus d’un amoureux transi ne signifiait pas forcément l’amour mais à nouveau le choix. Tout comme dans la parabole d'Hercule au carrefour, il devra choisir entre le vice et la vertu, entre la route gauche qui mène aux enfers et la route de droite qui mène aux champs de bienheureux. Une seule conduit au bonheur réel, il faut savoir choisir et Jefferson ne voulait pas choisir, préférant aller au milieu, sur le terre plein central. “Vous êtes une impostrice ! Vous allez voir quand je vais le dire au dieu de la divination ! ça va barder pour vous !” Légèrement sur les nerfs, malgré la drogue qu’il avait pris, il se décala pour laisser Virginia faire pareil. D’ailleurs ce n’est qu'à ce moment qu’il remarqua sa présence. Boudant, les bras croisés, il attendait de voir si elle faisait pareil avec elle … ou si c’est lui qu’elle avait voulu prendre pour un con. Dommage que le tarot fasse parti de ses jeux de cartes favoris. Au lieu des cartes, elle fit les lignes de la main. “Tu as beaucoup de colère en toi. Tu t'efforces de dissimuler qui tu es. Pourtant une destinée grandiose t'attend dont la source remonte à bien longtemps.'” Virginia était sceptique tout comme le chapelier. “Je ne suis qu'une modeste serveuse, je ne vois pas ce qu'il pourrait m'arriver de fabuleux.” “Tu n'as jamais pardonné à ta mère de t'avoir abandonnée.” “Powpowpow … pardon.” Bon d’accord, ça lui avait échappé mais il était entré dans l’histoire comme s’il regardait une bonne série. “Ecoutez, au risque de me répéter, ça ne m'intéresse pas de savoir mon avenir.” Et sans ajouter un mot, Virginia retourna à sa place auprès du feu. Jefferson regarda la voyante, faisant bouger sa mâchoire de droite à gauche en souriant. “Je vous remercie pour le sous entendu du malade mental, mais sachez une chose ! Les arts divinatoires ne sont pas à la porté de n’importe quel crétin … Mais merci encore pour le petit moment de divertissement, j’en avais bien besoin.” Sans laisser le temps de répondre à la gitane qui avait un sourire mystérieux, il alla se placer à coté de Virginia.[color:67f7=680073] “Ça va ?” “Oui … ça va … cette vieille chouette raconte juste des bêtises." "Ouais ... elle a dit que la carte du pendu s'appelait le lourdeau et celui de l’amoureux le bouffon … c’est n’importe quoi ! Et je suis persuadé qu’elle ne sait même pas les significations. C’est une menteuse ... je vais le dire à Apollon ! .”"Tout à fait. Est-ce que j'ai l'air en colère ? franchement ? Absolument pas !” Jefferson rigola dans son foulard, car si, la jeune femme avait dit cette phrase en lui criant les derniers mots. Virginia se vexa rapidement, croisant les bras sur sa poitrine. Doucement, il soupira, en penchant la tête vers elle." Viriginia, nous avons tous une destinée. Vous en prendrez le chemin quand vous penserez que c'est le bon moment !" Parfois il arrivait à Jefferson de faire preuve de douceur, alors qu’il posait la main sur l’épaule de Virginia en lui renvoyant un sourire sympathique et sincère.



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Evénement #98 : Miroir magique au mur [Fe] - Page 2 _



________________________________________ 2018-08-16, 21:01


Miroir magique au mur

Une diversion chez les gitans

Choqué ! Choqué de se retrouver là où il était, dans ces « royaumes », alors que ce matin encore il vaquait à sa routine tranquillement. Ce n’étais pas bon de perturber sa routine. Choqué aussi par certains comportements de ces camarades, ou plutôt de ces personnes avec qui il était en aventure, ne nous avançons pas trop vite pour les appeler ne serait-ce que coéquipier (excepté pour sa collègue, bien entendu).

Dans le bateau il avait donc décidé de s’isoler, et de n’adresser la parole à personne. Il avait lui aussi fouillé un peu les cabines, et avec un grand ravissement avait trouvé une brosse à dents encore emballée, et un savon. Enfin, il pourrait avoir un minimum d’hygiène ! Un peu de normalité. Il se fit donc un brin de toilette, avant de retourner sur le pont et de se poser dans un coin à l’écart.

Puis il y avait eu ce super moment de camping à la belle étoile. Mais quelle idée ! Quand ils retrouveraient ce miroir, il serait le premier à se jeter dedans, non sans avoir dis deux mots à cet Acorn avant.
Lorsqu’il avait compris qu’ils devaient dormir en extérieur, il avait passablement rouspété, s’assurant que les autres discernaient bien son agacement. Dormir en dehors, jamais il ne l’avait fait en tant qu’humain, il était habitué à son petit confort.
Il se résigna tout de même, une fois que tout le monde était couché. Il s’installa, mais après s’être tourné, retourné, re-re-tourné, le sommeil ne venait toujours pas.
Wolf sembla le remarquer, et le héla
"Eh psssit, tu veux voir un terrier de lapin ?"
Zach fit mine de ne pas entendre, puis finalement leva les yeux au ciel et se leva. Après tout pourquoi pas, au point où il en était. Il se rapprocha de Wolf, traînant un peu les pieds. "Pourquoi pas allons-y, un peu de culture et découverte youhou !" d'un air franchement ironique.
Son nouveau guide de la nature avait lui l’air super enthousiaste.
"Regardez ! C'est suffisamment grand pour y faire vivre une famille entière ! Hmmm avec un peu de moutarde ça serait délicieux ! "
Zach se pencha pour regarder, mais à part un grand trou noir, il ne vit rien de bien folichon. "C'est sur, c'est sur.... Attendez, vous comptez les chasser la ??"
"Bien sûr que non : Là ils dorment ce serait de la triche et ce serait même pas marrant. "
"ah... Rassurant" Il y eut un moment de silence, avant qu’il reprenne "Et sinon vous dormez jamais vous ?"
"Éventuellement j'avais pensé à le faire mais la forêt est tellement passionnante et vous ne dormez pas non plus. Un citadin comme vous, faut bien que je le surveille. "
"Que vous êtes charmant... Mais vous savez je me débrouille bien seul."
Sur ces mots il retourna s’allonger au sol, essayant une nouvelle fois de trouver une position un minima confortable pour dormir. Un bruit se fit soudainement entendre dans les buissons, il sursauta. Il se leva, et se rapprocha, l’air de rien, de l’endroit où était positionné Wolf. Celui-ci lui adressa un sourire sarcastique avant de s’allonger dans l’herbe. Zach s’installa à son tour, et contre toute attente réussit à dormir un peu.

Le lendemain matin il fut réveillé par l’odeur du petit déjeuner. Il bailla, s’étira, se rapprocha du cuisinier.
"Vous avez dépouillé quel animal pour récupérer ces œufs ?"
"J'ai vendu votre montre à la fermière qui passait par là. "
"Quoiii ?? Mais vous allez pas bien vous !! Vous avez intérêt à me la retrouver ! Non mais je rêve !!"
"Donner c'est donner, reprendre c'est voler. "
Zach ne souhaita pas répondre à cette réponse infantile, et s’éloigna en rouspétant, et en râlant.

Il avait suivi le groupe sur le chemin, avait observé l’échange entre Ali et la mendiante, et avait alors compris qu’ils devaient s’enfoncer dans un bois on ne peut plus suspect.
"Alors là si vous croyez que je vais vous suivre dans ce coupe-gorge, vous vous fourrez le doigt dans l’œil jusqu’au coude ! "
Anya se retourna. "Tu sais si on n’y va pas tu rentreras jamais à Storybrooke."
"Mais ce chemin a l'air quand même plus sympa" dit-il en la suppliant presque, en désignant celui qu'ils suivaient en premier lieu. "Je.... Rahhhhh très bien, allons y. Ai-je vraiment un seul choix dans cette aventure ??"

**************

Voilà que la compagnie était maintenant dans le camp des gitans. Zach resta debout un moment, observant leurs hôtes, peu confiant, et observant leur installation. C’est ainsi qu’il aperçu dans un coin des cages, dans lesquelles étaient enfermés des oiseaux.
Intrigué, il se rapprocha, pour les observer. Il ne connaissait pas ces espèces. Et quelle ne fut pas sa surprise quand soudainement l’un des oiseaux, apparemment une femelle, se mit à lui parler.
"S'il te plait, s'il te plait ! Libère nous sinon ils vont nous manger ! j'ai six oisillons à nourrir, ils mourront de faim si je ne reviens pas !"
Il regarda autour de lui, halluciné. Il était bien seul près des cages.
"ça y est, je manque de nourriture et fatigue, et j entend des voix !"
"Tu n'es pas fou ! Les oiseaux parlent dans ce royaume, c'est bien connu ! "
Zach rigola, nerveusement. Évidemment, quelle question ! Il soupira, puis finalement se résina une nouvelle fois. Après tout il s’ennuyait dans ce camp, et au pire il aurait libéré une consœur.

Seulement, les cages étaient bien visibles de tout le camp. Impossible de l’ouvrir sans se faire repérer. Il fallait faire diversion. Il balaya le camp du regard, quand une idée lui vint. Il voyait exactement quelles personnes seraient parfaites pour faire une diversion et attirer les regards…
Il se rapprocha donc des jumeaux, qui étaient assis sur un tronc. Il s’assit à côté d’eux, et se mit à chuchoter.
"Hey les copies ça vous dit une mission secrète ?" Il leur désigna les six cages au loin. "j'ai des oiseaux à libérer, mais il faut être super discret."
D’un regard très déterminé, semblant prêts pour cette mission, ils répondirent :
"Alors ! On va chercher les ciseaux de Jeff et on coupe la cage !"
"Non non non ! J’irai ouvrir les cages. J’ai besoin que vous fassiez diversion. Vous voyez les gitans là-bas ? "
D’un coup de tête il désigna un groupe près du coin repas, qui jouaient de la musique. Il y avait en instruments un banjo, un tambourin, une flûte.
"Tu veux qu'on coupe les gitans ?" répondirent-ils en le regardant bizarrement.
Zach se demanda soudainement si c’était une bonne idée de les avoir sollicité…mais il prit son mal en patience. Ils comprenaient vite, mais il fallait leur expliquer longtemps.
"Pas du tout ! Quelle idée ! Non allez les voir, et dansez, chantez, faites un spectacle, du bruit, des acrobaties.... Peu importe, mais en sorte que tout le monde dans le campement vous regarde. Que vous soyez les stars du soir."
Ils firent un salut militaire "Si le sort de l'univers en dépend, nous acceptons cette mission !"

Zach les regarda se rapprocher du groupe de musiciens, pendant que lui se dirigeait vers les cages discrètement. Les jumeaux demandèrent avec entrain aux gitans s’ils pouvaient eux aussi faire un peu de musiques.
Celui qui tenait le banjo leur passa sans rechigner. "Ah ça j'aime ! On vous écoute, notre hospitalité vaut bien une chanson !"
L’un des jumeaux prit le banjo, et ils s’écrièrent. "MUSIQUE !". Ils entamèrent une chanson que tout le monde ne pouvait que connaître, tellement elle était passée et repassée en radio. "DE-SPA-CI-TO…"
Ils prenaient leur performance très au sérieux, malgré le fait que le banjo n’était pas très juste, étant donné qu’ils en jouaient comme on joue d’une guitare. Ils chantaient forts, couvrant l’instrument. Toutefois, Zach remarqua que leur espagnol n’était pas si mal. Etonnants ces garçons.

La diversion avait marché : tout le monde regardait les deux rouquins. Les gitans se levèrent pour danser, en tapant dans leurs mains. Wolf invita Virginia sur la piste, Anya suivit, Ali se leva aussi pour se déchanger, tout comme Jeff qui sortait de on ne sait où. Chacun avec un style spécial. Même Zach se déhancha un peu, avant de reprendre son sérieux et d’achever sa mission.
Il se retourna vers les cages, et ouvrit la cage de l’oiselle, qui s’envola directement. Puis il regarda les autres cages, et d’en son élan entreprit de les ouvrir une par une. Au moment où il allait libérer le cinquième oiseau, il entendit : AU VOLEUR
Il se retourna, et vit la voyante qui fendait la foule en le pointant de son long doigt noueux. Oups, grillé. Il se mit alors à courir, et jeta un œil derrière lui. La voyante tenait une coupelle dans sa main, semblant lancer un sort. Il entendit les jumeaux crier un "EXPERLIARMUS" dans l'espoir de l'empêcher de lancer son sort sur lui.

L’ensemble de la compagnie le rattrapa et couru avec lui. Zach ne se retourna plus et couru tout droit, ne voulant pas voir si les gitans leur courraient derrière ou même ne plus voir la tête de l’affreuse voyante.
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Evénement #98 : Miroir magique au mur [Fe] - Page 2 _



________________________________________ 2018-08-17, 01:21




Après une discussion avec Jeff et un allé simple dans la gueule du loup en suivant Zach sur le camp des gitans, nous voilà tout bonnement en train de courir. Voyez la pleinitude actuelle que je suis en train de ressentir et surtout le non-sens que possède cette magnifique phrase mais que j’ai eu envie d’écrire. Au final, après avoir libéré les oiseaux et surtout après que j’ai regardé tout le monde danser sur une chanson que je ne nommerais pas tellement elle m’a pourrie mon été dernier, nous nous mettons à courir pour échapper à cette horde de fou furieux. J’étais pas au courant qu’on participait au marathon de paris là… « Dites, ça vous dis pas de vous téléporter ? Je dis ça comme ça, c’est juste plus rapide. » c’est surtout que je suis trop sûre de moi et que je suis certaine que ça va marcher « Ça se tente ! » mais au moment où sa main se pose dans la mienne et que je tente de tous nous téléporter, il ne se passe rien. Ah la saloperie de limitation de pouvoirs dans ce royaume pourri !

mon regard se pose rapidement sur un archer qui se trouve parmi les gitans et qui semble être en train de les butter un à un. Sympa, on a un copain « Soucis de téléportation ! » « Alors on cours ! » Je me mets à courir à grande vitesse, il fallait qu’on leur mette de la distance et j’espérais que tout le monde suivait derrière « Anya ! Le chasseur ! Il s’occupe des gitans ! » « Et après, ce sera juste nous, je pense ! » Anya se met à courir plus rapidement accélérant à mon tour la course. 200 mètres après, on peut enfin s’arrêter avant que je ne pose mon regard sur le chapelier « Euh Jeff… » Ses cheveux avaient virés blond platine et étaient longs jusqu’après ses épaules. Il se prends pour Madonna ou quoi ? « C’est sûrement un coup des gitans. » Ouais et t’as pas une solut’ toi au lieu de blablater comme ça ? On s’en est un peu douté quand même, Jeff’ s’est pas dit, allez je vais me faire le coupe à Raiponce, un peu de jugeote quand même !

« Et comment on fait pour contrer ce type de sort ? » « Ah bah aucune idée, je suis pas une sorcière moi. Je constate juste. Vous avez pas un sort, vous ? » Ouais en fait, appart aboyer, le loup, il sert à rien. « Bah si j’ai des sorts mais ça marche pas ! C’est bien pour ça que je vous demande non ?! » Raah, désespérant ce chien. « Vous pouvez faire apparaître des élastiques ? » O.o Je bouge légèrement la main et fais apparaître un paquet d’élastiques dans un nuage de fumée violet avant de les tendre à Wolf. « REGINA SAUVE MOI ! AU NOM DU SACRO SAINT L’OREAL » Calmos Jeff. « Super ! On peut vous faire des tresses ! » Je le regarde, surprise et légèrement dépitée aussi. « Au moins on marchera pas sur vos cheveux... Pendant un moment, je crois pas que ça ait prévu de s'arrêter. Ils sont déjà en bas de votre dos ! » « Des tresses ? » « Bah oui, pour par marcher dessus ! Et si on s'y met à deux, vous à gauche et moi à droite ce sera vite fait ! » « Eh bah allons-y alors. » Et voilà Raiponce a deux jolies tresses. C’est avec un léger sourire que je sors mon portable avant de faire une jolie photo que je garde en réserve, juste au cas où Evénement #98 : Miroir magique au mur [Fe] - Page 2 332879724

Nous voilà repartis, Jeff avec les cheveux au milieu des cuisses. Et BAM ! Ça fait comme dans bienvenue chez les ch’tis quand Philippe Abbrams passe le panneau « bienvenue dans le nord pas de calais ». Il se mets à pleuvoir mais pas la petite pluie pépère, le pchhhhhhh très fort et bien chiant « On peut pas continuer sous cette pluie battante ! Faut faire quelque chose ! » Très rapidement, mon regard se pose sur une cabane non loin de nous, du genre, la chaumière des sept nains. Je lève les yeux au ciel mais hurle sous le vacarme de la pluie « allons nous abriter dans la cabane ! » Arrivés devant la porte, mon regard se pose sur le panneau qui trône là « BIENVENUE DANS LA CABANE DE LA REINE BLANCHE » Je pose mon regard sur les jumeaux qui tenaient Wendell dans leurs bras (ouais j’ai opté pour les jumeaux) avant que Wolf ne prenne la parole « Oh quel dommage que le prince soit dans cet état ! Sa grand-mère a vécu dans cette cabane ! » Je pousse la porte avant de toussoter sous la poussière omniprésente mais en tout cas, tout semblait très ordonnée, juste inhabité depuis longtemps.

Wolf d’un air émerveillé, brise le silence « C'est merveilleux, c'est tout un pan de l'histoire du royaume qu'on redécouvre ! Personne ne se souvenait de l'emplacement de cette cabane. » « Qui était la Reine Blanche ? » demandais-je avant de faire apparaître une boule de feu dans le creux de ma main, étant rapidement mise en garde par Wolf « Pas trop, rappelez vous que quelqu'un nous court après ! Mais c’est vrai qu’avec la pluie battante, on voie pas grand chose. » « Oh je sais ! » Je m’approche de la porte avant de lever les deux mains et qu’une lueur violette n’entoure toute la cabane avant de faire de même avec la porte « Sort de protection mis en place, on ne risque rien. » « C'était l'une des plus grandes reines que le royaume ait connu, une des cinq femmes qui changèrent le monde. » répondis finalement Wolf à ma première question « Comment ça une des cinq femmes ? » finie par demander Virginia.

« Blanche et quatre autres reines ont unifié nos terres. Elles y apportèrent la paix et fondèrent les 5 premiers royaumes. C'est la reine Blanche qui a fondé le 4e royaume, celui où nous sommes actuellement. Mais elle est morte depuis longtemps maintenant. Les autres aussi, d’ailleurs. » « Et la belle-mère du prince, comment elle est arrivée là elle ? » « Un mariage pas si heureux que ça et une grosse envie de pouvoir. Enfin je suppose. Je m'intéresse pas trop à la royauté moderne. Faudrait demander à Wendell mais il est actuellement indisposé. » « Ça, c’est clair ! » J’avais soudainement une impression de déjà-vu. Quand j’avais épousé Léopold, c’était par obligation avant de me rendre compte que c’était le seul moyen de me venger de Blanche, de me venger de la mort de Daniel. C’était surtout la seule façon qu’avait trouvé ma mère pour me faire accéder au pouvoir. « J’ai une putain de sensation de déjà-vu. » « C'est bizarre mais moi aussi ... pourquoi j'ai l'impression que tout recommence ? ... Putain j'ai mal au cou … » « Je ne vois pas de quoi vous parlez. » « Non rien…laissez-tomber. » « Blanche… » Jefferson qui semblait désespéré trouve quand même le moyen de sourire « Enfin un espoir ! Les Blanche sont toujours des êtres formidables ! Mirana est la reine Blanche de Wonderland. C'est elle qui m'a délivré de ma torture ... Peut être que ça fera pareil ici ! »

« Si on l’a retrouve ! Il a dit qu’elles n’étaient plus là. » « Oui, aux dernières nouvelles elle elle est morte et enterrée depuis une bonne quarantaine d’années. » « Ah…bon qui a faim ? » « PREUMS ! » je souris en voyant Wolf presque se ruer sur moi, nan je déconne « Miranna n’est pas morte ! » « Je sais pas qui est votre Miranna mais ma reine Blanche à moi je vous assure, elle est morte avec obsèques nationales et tout le bazar. » Je bouge légèrement la main et fais apparaître de la bonne nourriture pour tout le monde et des lasagnes pour moi. Faut pas me refuser mes lasagnes, sinon je mords Evénement #98 : Miroir magique au mur [Fe] - Page 2 2852471132 « Miaaam une cuisse de poulet juteuse, exactement ce que je voulais ! » « C’est vrai que ça creuse de courir autant ! » Je pose mon regard sur Jeff qui peut à présent marcher sur ses cheveux qui sont sans doute déjà plus long que Raiponce. Le repas terminé, je me rends dans la salle d’eau pour me passer un peu d’eau sur le visage. Fermant la porte derrière moi, j’ouvre le robinet d’eau avant de lever le regard sur le miroir qui se brouille.

Mon reflet je veux dire. Il ondule, comme si mes yeux n’étaient pas ceux qui voulaient voir. Mon reflet se brouille quelques instants, me faisant voir dans le miroir le reflet d’une femme vêtue comme je l’étais jadis, aussi gracieuse et sexy qu’une Evil Queen, cependant, je comprends très vite que ce n’est aucunement mon reflet parce que personne peut me battre niveau Evil Boobs Evénement #98 : Miroir magique au mur [Fe] - Page 2 2852471132 ils sont bien garnis et pas ceux du reflet. « C’est quoi ce bordel ?! » Mon regard se pose à nouveau sur le miroir où tout est redevenu normal. Anya passe la tête par la porte « Un souci ? » Je fais un signe négatif de la tête, je regarde le miroir, Anya, à nouveau le miroir puis finalement Anya « Non c’est…je…non rien…Ça va » dis-je avec un sourire faussement forcé « OK, si vous le dites. » Elle tourne les talons. Je m’avance vers le miroir avant de regarder mon reflet droit dans les yeux « Je suis sûre que le chapelier m’a fait sniffer un truc… »

Je fronce les sourcils, remets le bouton de mon chemisier qui s’était déboutonné et sors de la salle de bain avant de retourner auprès des autres « J’ai envie d’un whisky ! » je bouge légèrement la main et fait apparaître un verre avec une bouteille « Ouf, ça fonctionne ça au moins. » je regarde les autres « Bah faites pas cette tête, je suis barmaid je vous rappelle avant d’être sorcière. » Je me sers un verre « A la santé de la pétasse qui veut prendre le contrôle sur ce royaume ! » et je vide d’une traite le verre.
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Anastasia Romanov
« Men are such babies »

Anastasia Romanov

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________________________________________ 2018-08-17, 20:38 « Men are such babies »

Zack avait paru tout particulièrement content de ne pas dormir deux fois de suite à la belle étoile et sa collègue s'en était amusée. Elle ne le connaissait pas encore très bien mais avait déjà pu noter, grâce au début de cette aventure, qu'il était unique en son genre.
La jeune femme avait refusé le whisky proposé par Regina. Ca, c'était plutôt un truc pour son fiancé mais comme il n'était pas là... il valait mieux ne pas trop laisser son esprit vagabonder auprès d'Abigaëlle et Dimitri. Ils allaient bien, Anya pouvait en être certaine. Comme bien des gens avant elle dans cette aventure, elle s'était assise à côté de Wolf pour faire un brin de causette avant de dormir.
- Comment ça se fait que vous savez autant de choses sur ce royaume ? demanda-t-elle assez rapidement. Les raccourcis, la magie des gitans, ça fait pas mal pour un seul loup quand même.
- Oh j'ai du flair, Anastasia. Littéralement. Et pour le reste : tout le monde ici connait la magie des gitans. Ce n'est pas parce que vous ne connaissez pas que ça doit être le cas de tous !
Anya voulut bien l'admettre. Mais une question la taraudait encore.
- Si vous dites qu'ils sont si puissants, pourquoi avez vous accepté que la voyante lise votre avenir ? Je vous ai vu, juste avant la ronde, appuya la rouquine.
- Oh mais elle ne m'a pas laissé le choix ! Si ça n'avait tenu qu'à moi, personne ne se serait fait lire les lignes, tirer les cartes ou analysé le marc de thé. Regardez où ça l'a mené ! ajouta Wolf avec un geste de la tête en direction de Jefferson.
- Elle vous a prédit quelque chose d'intéressant ?
Le loup haussa les épaules. Il se concentra afin de se souvenir des termes exacts qu'elle avait employés et récita finalement :
- "Je vois la mort, je vois une jeune femme mourir le corps en pièces. Je vois également un bûcher. C'est toi qu'on y fera brûler. Tu n'es pas ce que tu sembles être. Tu es un loup en vérité". Mais ce sont des conneries, assurément, ajouta Wolf, convaincu.
Il se tourna ensuite vers Virginia.
- Et vous ? Elle vous a dit quoi la voyante ?
La jeune femme se renfrogna.
- Du blabla sur ma grande destinée de serveuse et l'abandon de ma mère. Rien d'intéressant, vraiment, assura la jeune femme.
- Quand est-ce que votre mère vous a abandonnée ? demanda Wolf, sincèrement intéressé.
- Elle est partie quand j'avais sept ans. Elle est juste partie, c'est tout. C'est pour mon père que ça a été difficile même s'ils étaient très mal assortis. Ca ne pouvait pas coller entre eux. Ils n'auraient jamais dû se marier. Enfin bref, ça remonte à si longtemps de toute façon.
- Et où est-elle aujourd'hui ? tenta néanmoins le loup.
- Je n'en sais rien. Et honnêtement ça m'est égal.
Virginia était catégorique mais Wolf demanda tout de même - bien qu'Anya le lui aurait déconseillé :
- Mais vous ne vous demandez pas à quoi...
- Elle aurait pu reprendre contact avec moi mais elle ne l'a pas fait ! coupa la jeune femme. Elle ne voulait pas de moi alors je ne vais pas perdre mon énergie à penser à une personne qui ne s'intéresse pas à moi.
Wolf trouva plus judicieux de laisser quelques instants passer avant d'ajouter, très doux :
- Vous allez sûrement accomplir quelque chose d'extraordinaire.
La nuit aidant peut-être, Virginia répondit pour la première fois nettement à sa tentative de flirt en demandant, suave :
- Ah oui ? et comment vous savez ça ?
Anastasia décida qu'il était temps d'aller voir ailleurs si elle y était mais entendit tout de même ce qui suivit :
- Parce que votre souffrance est profonde.
Cette remarqua agaça Virginia qui reprit de plus belle :
- Oh je vous en prie ! ils se sont juste séparés ! Personne ne se sépare donc jamais chez vous ?
- Bien sûr que non ! Soit on vit dans le bonheur éternel, soit on meurt frappé par une terrible malédiction.
- OK, je vais me coucher, annonça la rouquine.
Ni Virginia ni Wolf ne réagirent. Ils étaient bien trop occupés à débattre.

Quelle ne fut pas la surprise de toute la compagnie quand ils ouvrirent les yeux le lendemain peu après l'aurore et qu'ils s'aperçurent que leurs couchages étaient presque ensevelis sous la chevelure blonde et sale de Jefferson. Il était justement en train d'émerger à son tour.
- Jefferson, ne paniquez pas, commença Anya, mais vos cheveux ont bien poussé cette nuit. Merci pour la couverture, d'ailleurs.
Il valait peut-être mieux essayer d'en rire, même s'ils montaient à présent aussi les escaliers qui menaient au grenier de la chaumière.
- Gneeeu .... Oh mon dieu ... Comment ça ne paniquez pas ... Je peux faire concurrence à Raiponce et même si j'aime gagner tous mes défis la c'est totalement abusé. ..
Anya lui adressa une grimace compatissante mais n'eut pas le temps d'en dire plus qu'il reprenait déjà :
- Je sais ! j'ai la solution !
Il observa tout le monde avait un air fou et dit :
- Je vais y mettre le feu !
Anya fit de gros yeux. Ca, c'était hors de question. Il était malade ou quoi ?
- Je propose qu'on commence par sortir d'ici, d'accord ?
- On s'en fout ! J'ai inventé la pyromanie involontaire comme nouveau concept ! J'ai l'habitude du feu ! Alors donnez moi des putains d'allumettes !
Surtout ne lui en donnez pas, songea la jeune femme. Ce qui tomba bien, c'était qu'il n'y en avait pas dans la chaumière et Regina eut la bonne idée de trouver la pyromanie dangereuse.
Moins d'une demi-heure plus tard, la troupe était prête à se remettre en route. Comme les cheveux de Jefferson pesaient de plus en plus lourd, Derek et Duncan les portaient avec toutes les précautions du monde, comme on aurait aidé une mariée avec sa traine... sauf que les cheveux de Jefferson grouillaient de feuilles mortes et autres joyeusetés de la nature.
Ils n'avaient pas fait cent mètres qu'un oiseau se posa sur une branche d'arbre et commença à chanter pour attirer l'attention du groupe. Zack la reconnut et s'approcha de l'arbre :
- Tiens, une tête familière ! Tu as retrouvé tes oisillons ?
- Oui, merci ! Et comme tu m'as sauvée je vais te dire comment couper les cheveux de ton ami.
- Wesh balance parce que là j'ai le cou qui craque comme une couture le long du corset qui retient les Evils Boobs ! s'écria Jefferson, au bout de sa vie.
- Cette forêt abrite un bûcheron qui possède une hache magique. La légende dit que rien n'a jamais pu lui résister.
- Ne trainons pas alors ! s'écria Wolf en prenant Wendell sous le bras, prêt à partir au petit trop.
Jefferson était plus sceptique.
- Non mais sérieux ? un bûcheron ? une hache magique ? Vous m'avez pris pour une princesse en détresse ?
Anastasia se retint de dire que, princesse ou pas, il était en détresse.
- Sinon, il est où le bûcheron ? Parce que comment dire... Moi je m'en fous, enfin non, mais là je vais envahir votre royaume avec mes cheveux... J'espère qu'il est pas loin loin... Toujours pour vous hein !
L'oiselle n'eut pas le temps de répondre, pas que plus quiconque. Wolf, le doigt posé sur ses lèvres, intima le silence au groupe :
- Chut ! Je sens quelqu'un ! Le chasseur ne doit pas être loin. Il faut vite se mettre en route et en silence !
Facile à dire, songea la jeune femme en coulant un regard à Raiponce 2.0.
- Tu devrais retrouver tes oisillons, on s'occupe du reste, conseilla-t-elle à l'oiselle messagère qui s'envola.
- Je peux vous cacher ! offrit le loup en sentant Jefferson près à lui refaire le portrait si ses cheveux lui en donnaient la force. Le chasseur est très fort mais il n'a pas l'odorat d'un loup. Je vous cache, je le balade un peu en forêt et je reviens demain. Allez, commençons par le prince !
Sans attendre, il commença à creuser un trou sous le regard perplexe d'Anastasia. Elle n'avait pas envie de passer une journée là-dessous et se doutait que c'était pareil pour les autres - notamment son collègue amoureux du confort moderne.
- ... Vous êtes sûr de votre coup ?
- Eh bien à moins que Jefferson puisse courir, je ne vois pas de meilleure solution le temps de semer le chasseur et de chercher la hache magique !
La rouquine n'avait rien de mieux à suggérer là, tout de suite, en effet. Et, au final, tout le groupe se retrouva occupé à débattre du bien fondé de cette idée, si bien que personne ne fit plus attention aux bruits de la forêt - Wolf y compris, puisqu'il avait le nez à moitié dans la terre pour mieux creuser.
En fin de compte, le chasseur n'eut même pas besoin d'armer son arc. Il n'eut qu'à se baisser et attraper les cheveux qui trainaient par terre. Et comme il n'avait pas la force de ramener autant de cheveux - et une personne - plus d'autres victimes, il se contenta de tirer avec force cette drôle de prise pendant que Jefferson hurlait de douleur.
Le reste du groupe, lui, était bien impuissant.
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