« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
“La réalité est une illusion, l'univers un holograme”
Avec tous ces zombies, Aloysius avait l'impression de revenir trois aou quatre ans en arrière, enfermé dans ce fichu jeu vidéo et entouré d'incapable terrorisés à l'idée de se faire dévorer. Pour autant, il devait bien s'avouer que cette nouvelle équipe semblat plus dégourdie, notamment Soreth qui avait des bons réflexes et Dyson était d'une aide précieuse malgré ses maladresses qui lui manquaient de mourir toutes les dix minutes d'intervalles.
Ils étaient à présent sur le toit à observer un robot géant et Aloysius se demandait quelle était la personne qui povait avoir le mauvais goût de créer un personnage aussi grotesque, accompagné de son costume bleu ciel et de son drapeau des Etats-Unis. Apparamment, le géant de fer était un auto-portrait que certains n'eurent aucun mal à reconnaître. Le lion savait que s'il souhaitait agir, c'était dès à présent. Ils étaient sur le toit, personne ne pouvait s'enfuir et comme il s'était placé sur le haut, près du para-tonnerre, il avait l'opportunité de voir tout le monde en contrebas. Il avait donné des instructions tout en montant, poussan les plus âgés à aider les plus jeune à se mettre en rang pour monter sur le robot. Dans le brouhaha et la cohue, personne ne s'intéressait donc à ce qu'il faisait et il en avait profité pour sortir sa statuette une nouvelle fois et appuyer dessus. A sa grande surprise et à sa grande déception rien ne se produisit pourtant. Deux options s'offraient alors à lui, soit elle ne fonctionnait que dans cette cave, soit elle avait servie à invoquer les zombies qui étaient désormais présents et enlevait donc le pouvoir de la statuette. Une chose était sûre, il devait maintenant se soucier de savoir s'il allait monter sur ce machin ou non.
D'un pas rapide, ou du moins aussi rapide que le permettait une avancée sur un toit bondé de monde, il se dirigea vers la jeune Mabel, une demoiselle qui semblait plutôt énergique et qui lui rappelait par certains aspect d'une jeune femme de Storybrooke. La demoiselle semblait bien connaître la perosnne à l'intérieur du robot et s'il devait se fier à quelqu'un, il avait l'impression que c'était peut-être à elle qu'il devait faire confiance, malgré ses yeux vides d'intelligence.
- Vous lui faîtes confiance ? - Il est émotionnellement instable... mais il essaiera toujours de me sauver alors on peut lui faire conscience pour ça.
D'accord donc ils avaient sans doute affaire à un maniaque...
- Je reste avec vous au cas où il tenterait quelque chose de déplacé. - Oooh quel gentleman ! Mais il essaiera toujours quelque chose de déplacé, j'ai l'habitude.
Il lui avait sourit complice, appréciant le compliment malgré ces véritables intentions. Il se fichait éperdument de ce qui pourrait arriver à la jeune fille mais dans la mesure où Gidéon semblait avoir un certain penchant pour elle, il ne lui arriverait rien tant qu'il serait avec Mabel. La main mécanique s'approcha d'eux et le groupe monta dessus petit à petit avant que la main ne revienne vers le torse et qu'une porte s'ouvre afin de leur laisser un passage. Un escalier en colimaçon les mena vers le crane. A l'intérieur, Gidéon tentait tant bien que mal de diriger le robot. Aloysius avait bien vu que le monstre mécanique avait agité à plusieurs reprise la jambe tandis que la main s'avançait vers eux, pour empêcher l’ascension des zombies.
- Ces idiots sont trop lourds tous ensemble, ils vont me bousiller mes circuiiits !
Il tourna brusquement la tête vers le groupe :
- Vous êtes tous là?! Je venais aider les gens importants moi !
Il fallait bien avouer qu'il y avait foule dans le crane de l'instrument, les élèves étaient nombreux et semblaient courroucée de la réaction égoïste du petit gros présent dans la cabine. Aloysius esquissa un léger sourire amusé. Apparemment, en plus d'être maniaque, il avait un égo surdimensionné et un besoin de reconnaissance. Cela allait être drôle.
- Et bien disons qu'en brassant large vous avez aussi pris les gens importants, félicitations ! - On va être beaucoup trop lourd là, je propose que certains sortent pour faire diversion, je vous paye le restaurant ensuite. Si vous survivez mais bon, vous avez fait face à un démon y a 4 ans, c'est pas la mort.
Le lion arqua un sourcil, assez impressioné par l'impolitesse avec laquelle cet être abominable était près à envoyer les gens à la mort... en les payant. Rien de plus vulgaire. D'un pas souple, il se dirgera vers le poste de commande et observa la vue à travers les yeux du Gidéon géant :
- Je pense que notre poids ne changera rien... Les jambes sont articulées par elles-mêmes et notre poids est concentré dans la tête... que nous soyons trois ou vingt, cela sera ne changera pas grand chose... vous avez peut-être besoin d'aide pour piloter ? - J'ai construit ce robot géant à 13 ans, moi monsieur !
Il avait l'air plutôt mécontent, au plus grand plaisir du psychiatre. Le monstre de métal tangua alors dangereusement et Gidéon poussa un cri aigu.
- Dipper, arrête de crier ! - C'est toi qui viens de crier, crétin. Il s'est passé quoi ?
Pour toute réponse, il tenta de bouger les jambes mais le robot le reproduisit pas ses mouvements pour autant. Seuls la tête et les bras bougeaient.
- Oh noooon ! Ils ont bousillé les circuits des jambes ! - Je ne comprends pas ! Les zombies autour de ce manoir, on avait découvert qu'ils voulaient nous prévenir du danger qui les avait tué. Et ils sont si violent maintenant !
Tout se figea alors brusquement dans sa tête. Tout était devenu extrêmement silencieux malgré le bruit ambiant. La concentration accrue, Aloysius était à mi-chemin entre la réalité et son palais mental. Les pièces du puzzle se mettaient dangereusement en place. Après un moment de complète immobilité, le lion se tourna lentement vers Dyson et l'observa sans rien dire pendant plusieurs secondes avant de se décider enfin à prendre la parole :
- Je descends dans les jambes pour voir si cela peut encore se réparer... Dyson ? Vous venez avec moi? On ne sera pas trop de deux et je sais que nous formons une bonne équipe... - Aucun soucis ! Vous et moi, comme au bon vieux temps ! Enfin c'était avec l'ancien Dyson mais j'ai tout son vécu alors je vous apprécie de la même façon.
Il lui lança un sourire amical avant de se tourner vers la foule :
- Les autres, restez ici et tâchez d'aider ce brave Gidéon...
Il lui tapa deux fois grassement sur l'épaule, le tassant sans manière au passage. Un geste dégrandant volontaire en quelque sorte.
- Je vous laisse garder la boutique mon grand, par où pouvons-nous descendre ? - D'accord monsieur l'ingénieur de Storybrooke. Vous avez l'ascenseur à côté de l'entrée par laquelle vous êtes passés, ça descend aux jambes, faites attention et aggravez pas notre situation !
Pour toute réponse il lui lança un clin d'oeil qui signifiait qu'il se moquait ouvertement de lui. Puis, avec un regard plus grave, il se tourna vers le Scooby Gang et Soreth. Il était primordial qu'il ne les mêle pas à tout cela :
- Je compte sur vous pour rester ici et veiller à ce que tout se passe bien ? Nous nous occupons de la situation, tout va bien aller, ne vous en faites pas.
Il s'engouffra dans l’ascenseur avec Dyson tandis que les portes se refermaient. Le jeune homme était toujours aussi joyeux. De son côté, il se concentrait.
- Je suis content de vous revoir, je me rends compte que nos discussions m'ont manqué, ma vie est tellement chaotique depuis un an... J'aurais aimé vous revoir dans d'autres circonstances, j'avoue. Je suis désolé de ne pas être venu vous voir, de temps en temps. - Je suis très content de vous revoir également Dyson... cela fait effectivement un petit mais ne vous excusez pas, la vie est parfois bien compliqué et la votre a semblé bien chamboulée ces derniers temps... et nous voilà ici à présent... - J'aimerais bien qu'elle ne soit pas aussi chaotique... Je commence sortir avec quelqu'un et il faut qu'on tente de m'assassiner, c'est vraiment génial...
Il soupira et secoua la tête avant de reprendre :
- J'ai pas à vous importuner avec mes problèmes, vous ne devez pas vraiment avoir envie d'être ici non plus. Si on sort d'ici vivant, je vous inviterai à dîner. Ca fait deux mois que je n'ai pas cuisiné vu que rien ne fonctionne avec moi ici, ça me manque.
Il lui sourit et Aloysius lui rendit son sourire, comprenant parfaitement son besoin de cuisiner. Pour autant, il ne se départissait pas de la tâche qui l'attendait.
- J'ai un plan Dyson... et j'aimerai que vous me fassiez confiance pour le mener à bien. Je peux compte sur vous ?
Les portes de l’ascenceur s'ouvrirent brusquement sur... des zombies. La jambe avait déjà un énorme trou qui avait permit aux monstres de s'y engouffrer. Ils abîmaient à présent les circuits électriques mais leur regard s'était braqué sur eux.
- A mon signal, vous déviez entièrement sur la droite en courant. Prêt ? Go !
Le jeune homme eu une ou deux secondes d'hésitations avant de s’élancer comme le lui avait demandé son mentor. Afin de vérifier sa théorie, Aloysius était partie dans le sens opposé à celui de l'ancien lapin. Comme il s'y attendait, les zombies foncèrent droit sur Dyson, le laissant totalement tranquille. Un sourire mauvais apparut sur ses lèvres et avec calme, il s'approcha de l'endroit où Dyson était parti en courant et s'accrocha à la structure métallique, se rapprochant de l'endroit où Dyson était sans pur autant lui offrir une main secourable, lui qui était encerclé par les zombies en contrebas.
- Je suis désolé Dyson. Mais à présent il va falloir tout me dire ou je ne crains de ne pouvoir vous aider... - Tout vous dire ? De quoi vous parlez ?
Le jeune homme ne semblait pas du tout savoir de quoi le psychiatre voulait parler. Le temps pressait pourtant pour lui et le lion ne se départi pas de son calme :
- Vous êtes le spectre Dyson. Il est apparut en même temps que vous, au même endroit et les zombies ne cherche qu'à protéger les autres de la malédiction qu'ils ont vécu. Pourtant, comme la si bien dit la douce Daphné, aujourd'hui plutôt que de nous protéger, ils nous ont attaqué. C'est pas nous qu'ils veulent... c'est vous. La preuve en est à présent. Je vous aiderai uniquement si vous m'expliquez...
Le jeune homme ouvrit grand les yeux :
- QUOI ? Aloysius, ça n'a aucun sens, bien sûr que non ! Durant nos enquêtes, on a déjà aperçu le spectre alors que j'étais là ! Une fois, c'était un faux, certes, mais les autres fois, c'était vraiment lui. Je suis persuadé que quelqu'un se cache derrière le spectre mais ça n'est pas moi voyons ! Pourquoi vous pensez que c'est moi ? Nos discussions étaient amicales ! - A quoi ressemblait le spectre quand vous étiez là ?
Il ne se départissait toujours pas de son calme. Oui, le jeune homme était un être plaisant mais s'il devait le perdre pour arriver à ses fins, il n'était peut-être pas uen si grande perte... L'intérêt était surtout de savoir à quel point le jeune homme en avait conscience, s'il n'était qu'une marionnette ou véritable instigateur.
- Une apparition noire, translucide, comme une sorte de drap noir déchiré et des bras squelettiques.- Et vous n'avez jamais pu l'attraper ? - On a essayé pendant longtemps, mais non, jamais. Qu'est-ce que ça prouve ? - Pour l'instant rien, je dois bien l'avouer, mais la plus grande preuve nous l'avons tous deux sous les yeux. D'un geste théâtral, il lui montra les zombies. Je vous apprécie Dyson, je vous ai toujours fortement apprécié, vous étiez un élève brillant et je veux vous aider comme je l'ai autrefois fait. Les autres n'en sauront rien si cela vous semble plus simple mais comprenait que je ne peux vous laisser faire du mal au reste d'entre nous si vous ne m'aidez pas... de quoi son malade les gens touchés par le spectre ? -Je vous assure que je n'ai rien de mauvais ! J'ai retrouvé mon frère, je peux pas lui faire du mal, enfin ! De quoi ils sont malades ? C'est pas très grave d'après les médecins, c'est un gros rhume qui ne s'en va pas.
Le lion hésita un moment avant de finalement tendre son bras vers le jeune homme et le tirer de la foule de zombies. Arrivé à sa hauteur, d'une poximité notable, le psychiatre le regarda droit dans les yeux avant de lui préciser :
- Une chose est certaine, vous les attirez, alors que faisons nous pour les éloigner ? - Euuuh bonne question.
Spectre ou pas, il allait falloir faire mieux que cela s'ils souhaiter avancer.
crackle bones
Eternalys N. Dystopia
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I'VE TASTED BLOOD AND IT IS SWEET
I'VE HAD THE RUG PULLED BENEATH MY FEET
I'VE TRUSTED LIES AND TRUSTED MEN
BROKE DOWN AND PUT MYSELF BACK TOGETHER AGAIN
STARED IN THE MIRROR AND PUNCHED IT TO SHATTERS
COLLECTED THE PIECES AND PICKED OUT A DAGGER
I'VE PINCHED MY SKIN IN BETWEEN MY TO FINGERS
AND WISHED I COULD CUT SOME PARTS OFF WITH SOME SCISSORS
« ... »
| Conte : Un conte ? Pourquoi faire ? | Dans le monde des contes, je suis : : Un mystère qui évolue sans cesse.
Feat. Des victimes de la folie du mj de cette mission insensée.
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Finalement, quelqu’un c’est bougé les fesses pour agir.
Ce qui nous a permis de ne pas avoir à attendre plus longtemps que le petit groupe de zombie près du bateau double en nombre, et ne devienne vite incontrôlable.
Cependant, n’ayant pas peur de la noyade, les créatures n’ont pas tardé à nous suivre dans l’eau. Et l’un des notre, Mouse, c’est même fait attrapé par l’un d’eux. Les zombies n’étaient peut être pas très rapide, mais il était assez nombreux pour nous poser problème. Et s’ils continuaient à apporter leur poids mort à l’embarcation, il y avait de forte chance pour qu’on ralentisse considérablement, voir qu’on coule avec eux. Et ça, ce n’était pas une option.
- Aaaaah merde… Pendant que celui qui s’appel Ali (et dont le nom me parait vaguement familier) et sa copine s’occupe de libérer Mouse, je m’emplois à décrocher à coup de pied dans la figure, l’invité indésirable qui c’est accroché au rebord du bateau.
S’il y avait bien une chose que l’on pouvait dire sur ces créatures, c’est qu’elle n’était pas du genre à lâcher prise facilement. Puisque « immunisé » contre la douleur et se fichant éperdument de perdre un morceau en route, ces créatures continuaient ce qu’elle avait à faire jusqu’à ce qu’elle n’en soit plus capable. Et pour que ce soit le cas, j’i du y mettre du mien et saisir la créature par les épaules avant de la pousser de toutes mes forces en arrière.
Du moins, c’est ce que je croyais. Car en réalité, il est fort possible que la créature ait choisie de ne pas insister d’avantage. Pourtant, le vieux McCroquette était en difficulté. C’était – on pouvait dire – le moment rêver pour attaquer en nombre. Mais les zombies entassés et flottant au dessus de l’eau ne semblait pas vouloir bouger. Comme si la zone en elle-même avait un effet de repousse sur eux. Avait-il peur de quelque chose ? Ou quelque chose (voir quelqu’un) les empêcher t-ils d’aller plus loin ?
Il manquerait plus que ça. Que quelqu’un contrôle ces trucs.
Puis Ali c’est soudain mis à délirer. J’ai pu remarquer un peu plus tôt qu’il n’était pas très à l’aise avec l’eau. Sa copine a essayé de le calmer car visiblement, les voyages en bateau avaient tendance à le rendre nerveux. A moins que son angoisse, ne soit liée à un traumatisme ancien. Voir récent. Dans tous les cas, le fait que Mouse soit attaqué l’avait visiblement sortie de ses pensées. Puisque temporairement, il a reprit le dessus sur sa peur et a sauvé la mise de l’un des membres de notre équipe.
Seulement, le fait de se retrouver isolé au milieu de ce lac avait visiblement fait ressortir ses démons intérieurs. Et dans ses paroles qui parlaient visiblement de sa mort prochaine, quelque chose avait attiré mon attention. Celui ou il parlait de se faire pardonner de quelqu’un. Et quelque chose me disait que ce quelqu’un, c’était moi.
Puis un tourbillon au loin est apparut. Nous attirant vers lui avec force. Alors qu’Ali a changé de registre pour la paranoïa, j’essaie de réfléchir à une solution pour nous sortir de là. Malheureusement, je n’ai pas eu le temps de réfléchir beaucoup, puisque le spectre a fini par se manifester et à attaquer. Après avoir constaté que les zombies essayaient de nous éloigner de lui.
- Il est tenace cet enfoiré-là ! Je m’exclame les sourcils froncés, énervée. Très bien. Puisque c’est comme ça, on va devoir lui apprendre les bonnes manières.
La rouquine Laureline, dont le petit ami venait de tomber de la barque aussitôt changé de comportement du tout au tout. Prête à attaquer le spectre qui l’avait visiblement pris pour cible, elle fend l’air de sa rame, mais le spectre plus rapide, a attrapé au vol l’instrument et a soulevé la jeune femme dans les air pour la placer au dessus de l’eau.
- T’es pas un spectre toi hein ? Oh non, sûrement pas. Je termine avec un rictus aux lèvres.
Je commençais sérieusement à douter que ce « spectre » en soit vraiment un. Bien sur, il y avait toujours la possibilité que les règles dans les cartoons pour eux, ne soit pas les mêmes que dans mon monde. Mais… le fait qu’il puisse agir de cette façon me donnait d’avantage l’impression que cette chose dissimulée sous l’identité du spectre était soit de création humaine, soit une créature voulant cacher sa véritable nature. Il y avait aussi la possibilité que quelqu’un manipule nos esprits pour nous montrer quelque chose d’inexistant, mais cette théorie ne paraissait pas la plus sensée. Même si tout était possible.
Au final, Laureline avait fini par tomber à l’eau. Et le spectre avait alors changé de victime. Et si combattre dans des situations improbable n’était pas un problème pour moi (d’ailleurs cette scène me semblait étrangement familière sans que je ne puisse dire pourquoi), je devais bien admettre que face à un « spectre » doté d’une force surhumaine et capable de voler à toute vitesse… j’étais inévitablement en position de faiblesse. Ce qui n’arrangeait en rien mon humeur déjà massacrante, bien au contraire.
- Pas la peine de te donner tout ce mal mon grand, tu ne m’auras pas aussi facilement.
Puisque le combat n’était pas en ma faveur, tout ce qu’il me restait à faire était de parer. Parer chacune de ses attaques et autres tentatives jusqu’à ce que je trouve comment nous sortir de là et récupérer les autres. Mais alors que j'était sur le point de me faire avoir par le spectre, le bateau tanguant dangereusement à cause des vagues déchaînées et de mon attention qui commençait à faiblir une nouvelle fois, quelque chose a attaqué le montre.
Le gloutosaure sans doute. Ce qui voulait dire, que je n’avais pas fini d’en entendre parler.
- Eh merde, je suis foutue.
Et pas qu’un peu..
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Laureline G. D'Arelaune
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« Tu oses flirter avec une fille devant moi ?! »
« Tu restes mon Prince, quoiqu'il arrive... »
| Conte : Valérian & Laureline╰☆╮Enchanted Ѽ | Dans le monde des contes, je suis : : Laureline/Giselle
Ali et Laureline était toujours accrochés sur le dos du monstre marin. Celui-ci filait à travers l’eau glacée et ne semblait pas vouloir stopper sa fuite effrénée. Il devait lutter contre la douleur que sa plaie lui infligait pour continuer à avancer à cette vitesse. La rousse n’avait aucune idée d’où ils les emmenaient, tout ce qu’elle savait ce qu’il les éloignait dangereusement de leurs compagnons.
Le couple essayait de ne pas glisser du dos plein d’écailles, rendu glissant par tant d’eau. Ali était toujours un peu sonné et Laureline priait pour qu’il ne tombe pas dans l’inconscience. Tous deux auraient sûrement plus appréciés cette petite balade inimaginable si la situation n’était pas aussi tendue, entre Ali qui restait choqué de sa quasi-noyade et Nessie qui saignait à grosses gouttes. En effet, au bout de quelques minutes, la créature marine sembla diminua le rythme de sa course. Sa blessure devait l’épuiser.
Laureline se pencha, tout en serrant ses jambes sur les écailles pour éviter de tomber, puis elle caressa la bête tout en lui disant de se calmer. La rousse dut presque hurler ses paroles car les vagues se fracassant contre le corps de Nessie créait un vacarme assourdissant. Ainsi penchée, Laureline put apercevoir une terre se dessiner à l’horizon. Une sorte d’île en plein milieu du lac. Nessie les y emmena en quelques secondes et alors, la créature s’étala de tout son long sur la côte. Le couple fit éjecté du dos de la bête en atterrirent plus loin. La rousse vérifia l’état de son fiancé avant de foncer aux côtés du monstre marin. Le voir dans cet état était une pure torture. Aucun animal ne méritait de souffrir. Laureline vint tout près de la tête de l’animal et observa avec effroi que son souffle était irrégulier, il peinait à respirer. Ses paupières se refermaient involontairement. Nessie était en train de mourir. Les yeux bleus de la rousse se remplirent de larmes. Il n’avait fallu que quelques minutes pour qu’un lien fort se crée entre le monstre et elle. Laureline s’était toujours très bien entendu avec les animaux, ils semblaient l’aimer autant qu’elle adorait leur présence. Cela lui fendait le cœur de voir la créature agonisait ainsi, c’était de la faute de la rousse et elle sentait une culpabilité l’envahir.
- Ça va aller Nessie, tu vas t’en sortir.
Laureline vit du sang couler de la plaie au cou de la créature. Elle en avait sans doute déjà perdue trop, il fallait faire pression sur la blessure. D’Arelaune se dévêtit encore une fois. Il lui faudrait d’autres habits après ce qu’elle allait faire. La rousse prit sa robe dans sa main et vint escalader le bras avant de Nessie en se faisant le plus légèrement possible. Son pied dérapa plusieurs fois sur les écailles glissantes mais elle parvint à atteindre la blessure. Elle appuya sa robe contre la plaie sanglante. Le tissu bleu de son vêtement se teinta immédiatement d’une couleur pourpre inquiétante. La rousse fit pression autant qu’elle put pour empêcher l’écoulement.
- Ali ! Vient m’aider je t’en supplie !
Mais son fiancé n’eut pas le temps de la rejoindre. Le vibrement d’un moteur attira leur attention, à son bord, une seule personne qui leur était inconnue. Le regard de Laureline croisa celui d’Ali, ils échangèrent un hochement de tête. Pas question d’abandonner Nessie. Si la personne se montrait hostile, Laureline lui collerait volontiers son poing sur le coin du nez. Mais il était impensable pour elle de laisser la créature seule. La rousse sourit tristement à son fiancé, elle était heureuse qu’il respecte son attachement à la créature. Laureline descendit prudemment, laissant sa robe à présente rouge sang sur la plaie de Nessie. Elle faisait face au nouveau venu avec dignité malgré le fait qu’elle ne portait que ces sous-vêtements. C’était un vieil homme, une fois descendu de son bateau, il se précipita vers le couple en jetant des regards affolés à la créature agonisante.
- Par le ciel ! Il existe ! Que s’est-il passé ? Demanda-t-il avec de la préoccupation dans la voix. - Attaque de spectre. Répondit Laureline après avoir réfléchi au fait de confier ses informations à l’inconnu. Vous pouvez l’aider ? Fit-elle avec une pointe d’espoir dans la voix. - De spectre ? Vous l’avez vu ? S’empressa de demander le vieil homme.
Laureline ne répondit pas à ses questions inutiles, si elle disait avoir vu le spectre c’est qu’elle l’avait vu. L’homme se pencha vers la blessure sanguinolente de Nessie. Son cou était ouvert sur plusieurs mètres et Laureline avait sembla appliqué sa robe comme compresse sur la partie saignant le plus. L’inconnu afficha un visage accablé et défaitiste ce qui fit durcir l’expression de Laureline.
- Il… a perdu beaucoup de sang. Des artères importantes ont été ouvertes.
Magnifique démonstration de ce qui saute aux yeux. La rousse se retint de lui faire remarquer l’inutilité de ses paroles. Elle était trop préoccupée par l’état de Nessie pour le lancer dans une nouvelle bagarre.
- Pouvez-vous le sauver ? Demanda-t-elle d’une voix dure. Je vous en supplie si vous pouvez tenter quelques chose tentez-le ! Cette fois-ci sa demande sonna plus comme un ordre.
L’homme sembla réfléchir. Une ride d’inquiétude barrait son front. D’un coup, il sembla prendre une décision, ses paroles furent rapides et précises. La rousse fut soulager, peut-être que Nessie ne passerait pas l’arme à gauche aujourd’hui.
- S’il vous plaît, dans la cale du bateau, il y a des bâches, allez en prendre deux. Je vais surveiller son état.
Laureline acquiesça d’un hochement de tête. Elle attrapa Ali par le bras et l’entraînant en courant vers le bateau. Les bâches devaient sans doute être lourdes et elle avait besoin de son aide pour les porter. Le Prince semblait toujours un peu étourdi et la rousse se demanda s’il la cause en était son séjour en eau glacée ou le fait qu’elle soit quasiment nue. Elle ne prit pas le temps de demander à Ali, ils n’avaient pas le temps de se lancer dans ce genre de conversation. En quelques secondes, ils atteignirent le bateau, la rousse s’engouffra en premier dans la cale et commença à soulever la première bâche. Mais quand Ali pénétra lui aussi à l’intérieur, la cale se referma dans un claquement. Le couple se retrouva dans le noir complet.
- Ali qu’est-ce que t’as fais ? Pourquoi ça s’est refermé ! Elle soupira bruyamment. - Pourquoi ça doit toujours être de ma faute, chaque fois qu'il arrive un imprévu. J'ai rien fait pour une fois. Je suis coupable de rien. C'est surement le vent. - Empoté de fiancé. Murmura-t-elle pour elle-même. - Quoi tu oses me parler comme Jasmine, comment tu m'as traité ?
Laureline soupira et se pinça l'arête du nez. Elle ne releva pas la remarque de son fiancé, il avait décidément un problème pour différencier boutade et remarque méchante. La mention de Jasmine l'avait énervée et il fallait mieux qu'elle se taise. En tâtonnant la paroi elle parvint à trouver la trappe. Mais elle eut beau la frapper, la tirer, la cale ne s’ouvrit pas. La rousse râla de nouveau. Ali ne pouvait faire attention avec son gros derrière. Son postérieur avait sûrement pousser la trappe quand il était descendu dans la cale. Laureline soupira.
- Trouvons quelque chose pour faire levier. Ordonna-t-elle un peu sèchement. - Trouve le toi-même ton levier, moi je ne fais plus rien chaque fois tu me blâmes, après tout je suis un empoté de mari. Dit Ali vexé, et d'une voix faible.
La rousse avait encore une fois une quantité de chose à dire sur cette remarque, comme le fait qu'il n'était pas son mari car il était encore marié à Princesse Jasmine, cheveux bruns et yeux de biches. Elle se mordit la lèvre et ravala sa colère. L’état de Nessie l’angoissait énormément, et elle sentait une colère monter en elle. Il était sûr qu’Ali se prendrait d’autres réflexions si la créature ne s’en sortait pas, même s’il n’était pour rien. La rousse cherchait activement un objet pouvant les délivrer. Ses yeux aveugles, elle touchait du bout du doigts toutes sortes de choses en tentant de deviner si cela pouvait les aider ou non. Soudain au loin, la voix du vieil homme leur hurla :
- Qu’est-ce que vous faites ?! Dépêchez-vous, son état est critique !
Cela mit Laureline encore plus en couleur. Elle émit une respiration rauque comme un taureau qui s’apprêtait à charger. Ses mains étaient moites et tremblaient légèrement. Elle avait autant de colère en elle que de peur. Ses entrailles se serrèrent. Elle posa la main du son ventre et expira longuement. Il ne fallait pas infliger trop de stress à ses bébés. C’était très dur car depuis le début de cette journée étrange, le stress avait été le maître mot. Après s’être calmée, la rousse reprit sa recherche aveugle. Elle effleura soudain la main d’Ali dans le noir. Leurs doigts s’entrecroisèrent. Ali perçut sûrement l’angoisse de sa fiancée. Laureline serra un peu plus ses doigts avant que des bruits de pas sur le bateau remette son cerveau à l’affût. Elle lâcha la main de son homme et se précipita vers la trappe. Mais dans le noir, son pied droit se prit dans un câble ou quelque chose qui y ressemblait et elle tomba vers l’avant et sa tête heurta une paroi. Elle jura dans sa barbe et se frottant le coin de la tête. Elle aurait sûrement un affreux bleu. D’Arelaune tapa violemment contre la cale, se faisant par la même occasion des bleus sur les phalanges.
- Ouvrez-nous ! Maintenant ! - Si tu veux rester en vie, la ferme ! Lui répondit une voix fort peu sympathique. - Ouvrez-nous ! Répéta la rousse ignorant l’avertissement. Et c’est moi qui vous laisse la vie sauve ! Finit-il d’une voix menaçante.
La situation commençait sérieusement à l’agacer et elle se sentit inutile enfermée dans cette cale. Ali n’était malheureusement pas d’un grand secours sans sa magie de génie. Tous deux étaient pris au piège comme des rats dans une cage. Laureline détestait se sentir impuissante et faible comme ça.
- Ooooh, je vais vraiment avoir peur d’une rousse, au secours ! Fit la voix en ricanant avec ironie.
Ça y est, Laureline était entrée dans sa plus grande colère. L’insolence dont la voix faisait preuve avait fini de faire monter la haine dans l’esprit de la rousse. Son angoisse et le peu de peur qu’elle ressentait avait été balayées par cette rage noire.
- Ouvrez et on verra bien qui gagne à mains nues, espèce de lâche ! Sérieusement ? C’est la manière la plus nulle que je n’ai jamais vu pour emprisonner quelqu’un !
La tactique de D’Arelaune était maintenant de tenter de mettre en colère la personne à qui appartenait cette voix. Ainsi il y aurait peut-être une chance qu’il ouvre la cale pour venir faire taire la rousse. Et alors elle le cognerait avec toute la force et la colère qu’elle avait en elle. Ce petit prétentieux ravalerait bien vite son insolence.
- La plus nulle ? Et pourtant, tu es enfermée là, sans pouvoir sortir.
Laureline se mordit la lèvre pour se retenir de hurler à cet insolent de fermer sa grande bouche. Elle soupira et tenta de se calmer et de trouver une repartie potable.
- Les vrais criminels vont preuve d'ingéniosité, ils ne ferment pas une trappe ! Vous faites pitié… - Moi, je suis libre, vous faites pitié. Et vous avez pas fini...
Il avait malheureusement raison. Et sa phrase n’annonçait rien de bon pour le couple, ni pour Nessie. Laureline priait pour que la créature tienne bon. D’ailleurs, la voix du vieil homme résonna derrière loin derrière la paroi :
- La créature s’affaiblit, pourquoi vous... Hé ! Qui êtes-vous ? Où sont-ils ?
Alors le bateau se mit en mouvement. Laureline frappe contre la cale mais rien ne bougea davantage. Elle hurla et frappa la paroi avec son poings. Une des ses phalanges, déjà blessée par son précédent coup, craqua cette fois-ci, sûrement brisée.
- Ali, on vient d’être kidnappés. - Tant mieux comme ça, on va pouvoir se vider le cœur et se dire nos quatre vérités en attendant Mina vienne me sauver encore la vie. En attendant tu devras te calmer parce que tu ne penses même pas a mes bébés en agissant sur un coup de tête. T'es imprudente ! Sadira au moins elle faisait attention a Kenza dans son ventre. Elle l'a même abandonnée par amour pour la protéger de ma belle mère et de mon frère.
Ce fut la goutte de trop pour Laureline, à l'aveugle, elle leva sa main et l'abattit au hasard dans le noir. Les bouts de ses doigts effleurèrent les cheveux d'Ali. Elle hurla d'avoir raté sa cible. Le reste de leur séjour dans la cale allait être un véritable enfer pour Ali.
Ali Nacer
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
Chaque fois que je choisissais une prétendante, le destin me faisait croiser le chemin d'une femme qui avait un caractère semblable a celui de ma Princesse. Un caractère qui faisait parfois des flammèches avec le mien. Ce qui menait souvent a des conflits comme celui-ci. J'aimais ma favorite de tout mon coeur , même plus que ma véritable femme, mais ma maitresse manquait souvent de délicatesse envers moi. Et je détestais cela ! Parce que je trouvais ses paroles tout simplement blessantes. Et des paroles blessantes j'en avais été victime toute ma vie de va nu pied. Maintenant, que j'avais un statut de Prince, il n'était plus question que j'accepte sans dire mes ressentis envers ces mots. Parce que prendre le blâme pour tout, même pour la moindre bétise commençait a devenir lourd pour le coeur.Plus que je culpabilisais a cause du blâme des autres, plus que mon coeur se souillait. Plus que l'ombre en moi voulait prendre le contrôle du héros.
Mes mots a son égard avaient été cruels. Surtout qu'elle ne supportait pas être comparée à ma femme et ma sorcière bien aimée avec qui je l'avais trompée, parce que Laureline n'arrivait pas réussit a me donner d'héritier au trône. C'était essentiel pour un Dauphin d'avoir un successeur de sang. Mais Aujourd'hui, elle avait la chance de porter en elle, ma descendance après plusieurs tentatives non concluantes. Elle avait même la chance de porter a son annulaire, un royaume. Ce n'était pas au sens figuré ! Mais en étant imprudente en provoquant une personne potentiellement dangereuse, elle mettait tout un royaume en péril. Elle mettait tout notre avenir en péril , parce que mon futur c'était avec elle et les enfants, que je voulais le construire.
Malgré ma tentative maladroite, je lui faire comprendre mon ressentis sur la situation. Elle décidait de me tordre le coeur en m'offrant la conséquence de mes paroles. Froidement elle me disait : Insinue encore une fois que je suis pas digne d'être la mère de tes enfants, et je m'en vais , tu ne les verras jamais. À cette parole, le silence régnait. Elle voulait me priver de ma fin heureuse.À ce moment là, j'étais en train d'agoniser dans ma tête. Des perles chaudes glissaient le long de mes joues froides . Moi qui m'avait promis de ne jamais pleurer pour une autre femme a part Mina. J'avais trahis une nouvelle promesse. D'un revers de manche mouillée, j'essuyais mes larmes. À mes pieds, parce que je m'étais assis sur une caisse en bois, parce que je me sentais étourdie, j'attrapais une corde malgré les tremblements de mon corps. Je grelottais, mais j'avais cette envie de commencer a tresser comme mes bracelets de cheveux a mes poignets, cette corde. Puis pour terminer mon oeuvre, je faisais un noeud coulant. Ensuite, je mettais la corde autour de mon cou, mais tout à coup elle se précipitait vers moi, son poings frôlait ma mèche rayé avec une teinte de gris. Souvenir de ma transformation en raton-laveur, à cause de mon meilleur ami qui avait souhaiter un animal de compagnie. Qu'est-ce qu'elle foutait ? Elle voulait me tabasser alors que sa phrase était beaucoup plus blessante que la mienne.
- Bébé ..Je me mettais a tousser, essayant de remettre mon souffle. Si tu as l'intention de me tuer en me tabassant..Ne t'inquiète pas .. Je re-toussais Je suis déjà en train d'exaucer ton voeu en mettant fin a mes jours.Mes paupières commençaient a se fermer tranquillement, ma tête penchait vers l'arrière. J'étais en train de m'endormir..Mais soudainement j'entendais a coté de moi, boom. Ce qui me sortait de mon sommeil. Bordel ! Je ne pouvais pas mettre fin a mes jours tranquille, sans qu'elle mette la vie de mes jumeaux en péril. Elle venait de tomber a côté de moi. Puis quelques instants après, j'entendais crack et je l'entendais gémir de douleur. Et dire qu'elle s'était brisée un doigt.
- Bébé si ta envie de te faire mal, brise toi une cheville , tu sais que tes mains sont essentiels dans notre vie de couple. J'enlevais mon nouveau collier de mon cou et je quittais ma caisse de bois, pour me mettre a quatre pattes pour chercher ma princesse en détresse. J'avançais jusqu'à elle, puis je lui disais calmement: Bébé je m'excuse..Pardonne moi ..Je vais essayer d'examiner ton doigts. Je m'allongeais a ses cotés, nichant ma tête sur sa poitrine cherchant pardon, réconfortant et chaleur. Je collais mon corps glacial et humide a cause de mes vêtements toujours trempés. Je ressentais sa chaleur humaine, mais insuffisante pour me réchauffer. Elle pouvait sentir les frissons de mon corps contre le sien. - Bébé.. j'ai tellement froid..
Je prenais sa main blessée, touchant doucement ses doigts, pour trouver son doigt cassé. Trouvé ! En effet au toucher il était fracturé. J'approchais son doigt de ma bouche, déposant un baiser, mais rien ne fonctionnait.Parce qu'à l'habitude mes bisous étaient magiques.Elle pouvait sentir que mes lèvres étaient froides et que même mon souffle était hivernale quand je lui disais c'est quelques mots saccadés - Mon am..our mon bai..ser n'e..st pas mag..ique ic..i.
Elle savait ce que ca signifiait, ma magie de génie ne pourrait pas la soignée. Je mettais sa main a l'emplacement de mon coeur et cela avait été mon dernier geste a son égard. Elle pouvait ressentir sous la paume, que mon coeur semblait être ralenti. Les battements de celui-ci était espacés. Tu ne pouvais pas le voir, mais mon teint avait perdu sa couleur caramel pour une couleur vanille. Mes lèvres avaient pris une teinte bleuet. Ma chevelure ébène était en train de se cristalliser a cause la baisse température de mon corps. En plus la chaleur ne régnait pas dans cette cale. Dans le silence on entendait ma respiration saccadée . Mon corps entier grelottait .Mes paupières étaient closes..
Paniquée, Laureline se relevait et cherchait quelque chose d'utile , elle trouvait un bâche de plastique qu'elle ramenait proche de mon corps en convulsion. J'étais en état d’hypothermie. Elle le déroulait. Elle m'enlevait mon costume de génie mouillé , gardant juste mon slip bleuté et mes bijoux, parce que ceux ci étaient indispensable a ma vie. Elle laissait de coté mon linge et elle s'allongeait sur moi pour faire un peau a peau. D'une main elle tirait sur la couverture de plastique, pour nous couvrir et garder toute la chaleur dans notre cocon d'amour.. Combien de temps nous avions passer collés en petites tenues ? Assez longtemps pour que je me sente épanouis et que le parfum de ma douce soit imprégner sur ma peau. Et que je reprenne un léger teint métisse. Pour ensuite, que je puisse ouvrir mes yeux pour découvrir de nouveau que nous étions toujours piégés dans l’obscurité.
Je passais ma main dans la chevelure flamboyante. Je glissais mon autre sur ses fesses pour caresser la dentelle de sa petite culotte. Un rictus se dessinait sur mes lèvres, parce que contre mon ventre, je sentais les petites vagues de mes petits embryons bouger dans la bedaine de leur mère. Je lui murmurais d'une voix pleins d'amour :- Ne t'inquiète pas ma Galaxie , je vais nous sortir de là. Et à notre retour, je ferais tout ce que tu désires de moi pour me faire pardonner, ma mauvaise attitude.
On se relevait parce que vu que Mina ne semblait pas venir a notre secours a mon grand désespoir et qu'elle serait fait un plaisir de buter notre agresseur.Je devais prendre les choses en main vu que ma fiancée était blessée a la main et que je devais faire un homme charmant . Je prenais ma petite caisse de bois que je lançais contre une parois du mur, pour ensuite prendre un morceau de bois. Je prenais ensuite ma corde a pendre. Avec les deux accessoires, je les frottais ensemble pour faire de la friction. Une flamme prenait vie.. Mais la corde s'enflammait rapidement..Trop même que le reste de la cale prenait feu, sans que je puisse réagir vu qu'on avait rien pour éteindre le brasier. C'était même catastrophique , je voulais de la chaleur mais pas autant que ça !
On devait sortir de là ,avant de périr dans l'incendie que je venais de causer. Par réflexe de héros, je prenais notre ancienne couverture, pour couvrir Laureline pour la protégée des flammes et la fumée. - Tu vois la tu peux dire c'est de ma faute et que je suis juste un empoté. C'était pour faire un peu d'humour avant notre mort. Au même moment, on entendait crac au bout de la pièce.Les flammes avaient cassées un morceau du plafond. Un morceau s'était effondré..Heureusement on était loin ! Mais j'étais satisfait de mon plan s’improviser parce que même quand je foutais le bordel, que je causais des ennuis il avait toujours de l'espoir . - Bébé ! Je toussais a cause de la fumée. - Je sais que je t'ai dis des choses horribles mais tu dois me faire confiance. Je prenais sa main, et je nous guidais vers l'ouverture. Je traversais les flammes avec ma dulcinée, essayant de la protégé le mieux que je pouvais en me mettant devant le feu. On avait du mal a voir devant nous. On toussait a cause de la fumée . J'aidais Laureline a passer pardessus les obstacles. Lentement, on avait réussis a se frayer un chemin. A l'ouverture, je prenais Laureline dans mes bras pour la soulever. Je l'aidais jusqu'à temps qu'elle soit sain et sauf.
Mais alors que c'était a mon tour d'escalader et mettre mes mains sur le rebord pour m'agripper, un morceau de bois me tombait sur le bras. Je serrais des dents sous la douleur. Et mais mon bras s'enflammait. Je me mettais a hurler sous la souffrance, laissant le rebord, tombant par l'arrière pour finir ma chute sur le sol au milieu des flammes. Encore une fois, j'allais sans doute mourir mais ça n'avait pas d'importance. Laureline et mes jumeaux étaient hors des flammes. Je roulais mon bras sur le sol pour éteindre les flammes. Épuisé, en sueur je me relevais avec détermination, utilisant mes dernières forces pour me sortir de la . Pourquoi ne pas avoir abandonner ? Parce que tout le monde le savait, j'étais devenu un lâche cherchant toujours un échappatoire a mes soucis de vie. Mais cette fois , je ne le serais pas parce que j'avais besoin de prouver a Laureline que je pouvais etre un mari exemplaire, mes jumeaux , Olivia avaient besoin d'un père. Darcy serait trop malheureux de perdre son meilleur ami et Kenza me manquait terriblement !!
Laureline était penchée, me tendait la main. Un bras en moins, parce qu'il me brûlait d'une facon intense, que je pouvais a peine le bouger. J'attrapais la main de ma dulcinée, elle me tirait de toutes ses forces. Je m'aidais avec mes jambes pour me propulser vers la sortie. Sorti de la cale infernale, je m'allongeais quelques instants pour me remettre de mes émotions, reprendre mon souffle en me passant une main dans le visage pour détacher les mèches collées a ma peau. Laureline était assise a mes cotés. Je me redressais pour m’asseoir, regardant mon bras blessé. Mais la peau de mon bras n'était aucunement brûlée. Impossible ! Trop de théories dans ma tête se bousculaient.. Ma guérison était dut a quoi ? Une hallucination, L'amour, Ma magie , le spectre qui avait touché , ou l'eau du lac avait des capacités magiques pouvant guérir ..La douleur avait disparue.
Je me rapprochais de ma princesse, du bout des doigts je caressais sa joue pour la rassurer qu'à partir de maintenant j'allais prendre les choses en main. S'accrochait mon visage de celui de ma dulcinée pour l'embrasser avec passion. Mon autre main se posait sur le ventre de Laureline , c'était plus fort que moi j'étais accro ! Accro a mes deux embryons ..Je décollais ma bouche de la sienne, avec regret . Je me relevais, aidant Laureline a faire de même. - Bébé reste près de moi, et ne joue pas les héroïnes si te plait ! J’espérais qu'elle ne ferait pas parce que chaque fois qu'elle jouait les héroïnes ça me fracassait..Que ça me rendait même méchant ..Même fou par moment. Et en plus, elle était blessée et ne pouvait pas la soigner. Et au fond de moi ca me faisait de la peine, parce qu'elle avait un gros bleu sur le côté droit du front et un doigt brisé, par ma faute.- Je t'explique mon plan, tu restes a l'écart..Je bute le méchant ..Ensuite on fouille le bateau pour te soigner.. On retrouve Mina . On retrouve Nessie pour savoir si elle a survécu.. Pour ensuite retrouver le reste du groupe, parce que je veux rentrer a la maison avec toi et revoir les enfants. Et relaxer avec toi sur notre tapis. Je prenais sa main non blessée partant a la recherche d'une arme..
Trouvé! Arme en main, un harpon je l'avais prise, parce que cet arme me faisait penser a mon ami le Viking et en ce moment j'avais envie d'embrocher du méchant pour avoir gâché mon dimanche. Sachant ou celui-ci se trouvait.. Dans la cabine du capitaine sans hésitation. Après tout qui contrôlait ce bateau qui naviguait sur le lac. Discrètement et sans bruit, je disais a Laureline de rester en arrière de moi pour la garder hors de danger. Et je pénétrais dans la cabine pour apercevoir un type, encapuchonné dans un long vêtement noir, donc on ne pouvait pas voir son identité, même pas son visage ! La personne pestait contre ses commandes, parce que le bateau s'affaiblissait à cause de mon 'incendie sous nos pieds.
Dyson R. Parr
« Cours Dydy, cours ! »
| Crédits :Eilyam | Avatar : Tom Holland
| Métier : Aventurier, super-héros, en contrat de libraire chez Alexis et vendeur de chocolat chez Aster... et surfeur parfois
| Conte :Les Indestructibles | Dans le monde des contes, je suis :Dashiell Robert "Dash" Parr
La coalition se forme pour trouver à Aster son véritable amour
| Autres Personnalités :Icare J. Skellington - Léon Adonis - Ahsoka Tano
Et moi dont. En espérant qu'un jour vos forces de l'ordre comprennent que je n'ai rien de méchant.
J'avais au moins eu le privilège de pouvoir monter dans la Mystery Machine aux côtés de Sammy et Scooby, qui roulait devant la voiture du FBI.
Faut pas leur en vouloir, on a tous un rapport particulier avec les forces surnaturelles étrangères, expliqua Daphné, mais surtout avec les morts.
J'ai accidentellement réveillé des zombies devant les agents du FBI y a 4 ans, souligna Dipper, amusé. Et on a un jour séjourné dans un manoir entouré de zombies, continua Véra, et habité par des... Chats-Garou ! Dirent-ils à l'unisson.
J'eus un sourire amusé. J'avais vu ce film, j'en avais un vague souvenir. C'était l'ancien Dyson qui l'avait vu en réalité, à Storybrooke, alors que son... notre fils avait bientôt 2 ans. La relation que j'avais avec l'ancien Dyson est assez... particulière. Il y a des parts de lui que je considère comme étant moi également. Et d'autres que j'identifiais comme une autre personne, voilà pourquoi je le distinguais de moi en parlant de lui à la troisième personne. On était mélangés pendant 6 mois, les mois qui ont suivis la mort de Lily Jones dont il était amoureux (et qui était pour moi une très précieuse amie). Sa dépression lui faisait perdre son identité, tandis que de multiples chocs dans sa vie me réveillaient dans sa tête. On était, pendant un moment, sujet à une vraie TDI, entre moi, "original" et lui, crée par la malédiction. Mais il avait sa part d'authenticité. Je n'ai pas gardé certains de ces souvenirs, preuve que durant ces parties de son existence, ce n'était pas moi, mais juste lui, à part entière. C'était une vraie personne que la vie a finit par effacer. Il n'est jamais vraiment né, jamais vraiment mort.
Je me souviens parfaitement de ses sessions avec Aloysius Black, je présume que notre mentor nous a forgé tous les deux. Moi même, je n'étais pas identique à celui que j'étais dans la Forêt Enchantée. J'ai grandit, et appris de l'existence. Je me souviens de la naissance de Lukas, mais j'ai beaucoup de mal à me souvenir de sa course poursuite avec ses... nos amis dans le pays lorsque Lukas s'est fait kidnappé. Je ne me souviens pas de la mort de Lily Jones. C'est lui qui l'a vécu, pas moi. Et je me souviens généralement des bons moments.
C'est pour ça que je préférais m'appeler Lucky, mais que je gardais Dyson dans mon identité. J'étais une personne à part entière, tout en étant plusieurs facettes de mon identité. Je suis le Dyson de la malédiction, le Oswald d'avant la malédiction, et celui qui a appris des deux. Lucky.
Pardon. Ces paragraphes ont du être chiants à lire, et certains ont peut être même lu en diagonale. Dommage. J'ai fait genre "je m'égare dans mes pensées dans un moment tragique et nostalgique pour attirer la fascination" mais en fait c'était un indice. Enfin, moi j'en sais rien, c'est le joueur qui écrit tout ça.
On a finit par arriver à l'endroit de la forêt où je suis arrivé à Gravity Falls. Ils s'étaient tous retournés vers moi, après avoir regardé longuement le lieu, sans rien dire, comme s'ils attendaient une grande information révélatrice de plus, pour les aider à savoir ce qu'ils devaient regarder.
Bah... c'est tout. Si j'avais autre chose à vous dire, ça fait longtemps que je vous les aurais dites, je comprends la méfiance. Mais vous en fait de l'entêtement, et ça devient ridicule, lançai-je dans un soupir légèrement agacé. Les deux agents ne relevèrent pas, même si je pouvais deviner leurs regards mécontents alors qu'ils m'étaient de dos en train de chercher des indices. Autour de moi, mes nouveaux amis se retenaient d'en rire.
Mmmh... il n'y a rien, en effet, conclut l'agent Powers après de longues minutes d'investigations, aidé par son collègue et le Scooby Gang.
Tiens je suis surpris, c'est... ce que je vous dis depuis le début.
10 MAI 2018 - MINUIT
Ils m'avaient enfin libéré. Et c'était un réel soulagement de ne plus se sentir en prison. Et pourtant... j'étais toujours enfermé. Et pas seulement parce qu'un dôme était placé autour de Gravity Falls. Je n'étais pas chez moi, et c'était sans doute ingrat de se plaindre de pouvoir avoir une sorte de vie après la mort. Mais c'était peut être plus dur comme ça. Sans doute fallait-il l'expérimenter pour vraiment le savoir. Vivre arracher de son foyer et des siens, c'était pas agréable.
Fort heureusement, les gens étaient agréables. Dans la journée, j'avais pu explorer la ville, et les habitants de Gravity Falls étaient vraiment sympas avec moi. Et j'avais trouvé un endroit où dormir, puisque les jumeaux Pines m'avaient accueilli volontiers chez eux, avec Mouse et Mélodie, sa petite amie, qui tenaient le musée. Comme Stanley et Stanford Pines n'étaient plus ici (morts avec le monde m'avaient appris les jumeaux avec tristesse, c'est assez... choquant quand on a vu le dessin animé), il y avait des chambres en plus, et j'avais pu emménager dans l'une d'elles.
Mais pour ma première nuit à Graivity Falls hors prison, je n'étais pas dans ma nouvelle chambre. Pas encore. Puisque le Scooby Gang m'emmenait, accompagnés de Mouse, Mélodie, Wendy, Dipper et Mabel, dans la forêt.
Attendez, rappelez moi pourquoi on retourne là-bas ? Il n'y avait rien avant, pourquoi vous pensez qu'il yu aura quelque chose maintenant ? Les films d'horreurs se passent la nuit... fit Mouse en plissant les yeux, regardant au loin et dans le vide, sur un ton mystérieux, ce qui fit rire sa copine. Scooby Doo et Sammy déglutirent. Eux ne riaient pas, au contraire. Il n'y avait rien le jour ! Précisa Fred. Mais la nuit, le monde est très différent. Spécialement à Gravity Falls, la ville du mystère. En fait, à Gravity Falls, les mystères sont là tout le temps, jour ou nuit, souligna Dipper. Mais les choses les plus sombres préfèrent la nuit. Et on parle bien sûr du SPECTRE ! S'écria Mabel en allumant une lampe torche sous son visage pour se donner un aspect effrayant.
Sammy et Scooby Doo trébuchèrent dans le van sous la peur.
Nous en revanche, nous n'avons pas toujours vécu à Gravity Falls, précisa Daphné. Et nous sommes habitués à mener des enquêtes nocturnes. Même lorsque nos "monstres" n'étaient que des criminels déguisés, termina Véra.
Je restais sceptique, mais ça tenait la route. Ca ne coûtait rien de vérifier, et devant le mystère de mon arrivée et de celle du spectre, ce n'était pas comme si nous avions pleins de pistes différentes. C'est comme ça qu'on s'était retrouvés, à minuit, dans la forêt de Gravity Falls, là où moi et mes lunettes avons atterris. De nuit, l'endroit avait quelque chose en plus... d'étrange. Et pourtant, ma première impression en courant à travers celle-ci le jour de mon arrivée était déjà étrange. Mais, dans un monde de dessin animé, elle n'était pas si flippante. Sauf pour quelqu'un pour qui cet univers était ordinaire.
Pourquoi les monstres choisissent toujours les endroits les moins rassurants et les plus sombres ? Ils ne peuvent pas choisir un restaurant éclairé ? Tremblait Sammy. Oh oui ! Avec des Scooby Snacks ! Son ami canin n'était pas moins serein.
AAAH !
En sursautant, on s'était tous retournés vers Daphné. Oh, désolée si je vous ai fait peur, j'ai cru que quelque chose m'avait touché, mais c'était une branche d'arbre, se justifia-t-elle, gênée.
Euh... Daphnée ? commença Wendy en tremblant à son tour. COURS ! Appuyai-je.
Elle tourna un visage inquiet vers le spectre qui venait de sortir d'une porte bleue qui s'était matérialisée dans les airs en disparaissant derrière lui. Bien sûr, elle ne se fit pas prier pour courir. Comme nous tous, et surtout Sammy et Scooby qui étaient en tête de file.
Lucky attention ! M'avertit Mabel juste à temps pour me permettre de me jeter au sol pour éviter le spectre, plus rapide que moi, qui avait tenté de me frapper avec ses griffes squelettiques. Je déglutis en le voyant revenir vers moi. Je sautais avec l’agilité qu'il me restait pour me remettre sur pieds. Il n'attaquait que moi, pas les autres. Ce truc n'était pas venu avec moi. Il était venu contre moi. Et merde.
Je tentais de fuir dans l'autre sens mais j'avais finit par être rattrapé. Il ferma sa main sur le col de mon tee-shirt, m'élevant pour m'emporter à travers les bois, alors que j'entendais les cris des autres qui m'appelaient. Des cris qui se faisaient de plus en plus lointains.
Lâche moi ! Finalement, je m'étais assez débattu pour me défaire de son emprise, retombant au sol. Il ne perdit pas de temps, puisqu'il revint à la charge, mais je fus assez réactif pour sauter, m'accrocher à une branche et passer au dessus de sa tête, lui donnant un coup de pied au passage.
Le spectre me regarda un instant, avant de se baisser sur le sol, et y graver quelque chose. Des mots. Le spectre écrivait. Je fronçais les sourcils, tout en restant sur ma défensive. S'il écrivait quelque chose de magique, je me préparais à tout ce qui pouvait surgir sans prévenir.
Mais finalement, il revint vers moi, mains en avant pour m'attraper une fois de plus. Je pus esquiver et lui mettre une droite au passage. Ca ne l'étourdissait à peine, mais il finit par battre en retraite. Une ouverture bleue sépara l'air devant lui, et il s'y engouffra rapidement avant de disparaitre.
Ramenant le regard vers son message, je fronçais les sourcils pour essayer de lire ce qu'il avait écrit.
Je m'étais évanoui.
**********
MAINTENANT
Ok, je devais être sincère, j'étais un peu sous le choc. Aloysius m'avait laissé en proie aux zombies pendant un long moment, en m'accusant d'être le spectre qui m'attaque, moi et la ville, depuis deux mois. Je sais que je lui ai très peu rendu visite depuis ma transformation l'an passé, et je m'en voulais pour ça -je m'en étais d'ailleurs sincèrement excusé. Mais il restait un ami pour moi, je ne comprenais pas comment et pourquoi m'avait-il accusé de la sorte, en étant prêt à m'exposer à un tel danger. Soreth m'avait soulagé en me révélant que grâce à lui, Chris et Regina, j'étais encore en vie. Je ne voulais pas la perdre maintenant.
Soreth. Je voulais le voir. J'avais besoin de le voir. Et pas d'être au milieu d'une horde de zombie qui me pourchassait, avec un ami qui avait fini par m'accorder sa confiance mais difficilement, je sentais encore de la méfiance. Je détestais ce sentiment. Et après deux mois loin des miens, c'était pire. Je ne voulais vraiment pas qu'on se mette de nouveau à me pointer du doigt comme la source des dangers de la zone. L'accusation d'Aloysius c'était la goutte de trop je crois. Toute cette situation m'agaçait. Les habitants de cette ville avaient beau être agréables avec moi, ils n'étaient pas ma famille. Seulement de très bon amis. Mais j'avais besoin de ma famille.
Une chose est certaine, vous les attirez, alors que faisons nous pour les éloigner ? Euuuh bonne question.
YIIIIIHAAAA ! Retentit une voix lointaine que je reconnaissais. Et qu'il était bon d'entendre.
On commença également à entendre le bruit d'une voiturette. Une voiturette de golf plus précisément, au bord de laquelle j'avais souvent eu l'occasion de monter durant mon séjour ici. Un sourire se dessina donc sur mes lèvres en voyant Wendy et Pacifica au bord de cette voiture à vitesse maximale, qui fonçait sur les zombies pour les renverser violemment sans aucune délicatesse.
Besoin d'un UBER de l'Apocalypse ? Pas de problème, l'apocalypse c'est courant chez nous, on est préparé ! Allez montez ! Annonça Wendy sur un ton fier et vainqueur lorsqu'elle s'arrêta brusquement devant nous. A ses côtés, Pacifica s'accrochait à tout ce qu'elle pouvait, pas sereine du tout quant à la vitesse à laquelle elles allaient. Je me suis dit que vous aviez besoin d'aide... et Wendy est bien plus efficace pour ça. J'te l'fais pas dire ! Merci beaucoup les filles, vous nous sauvez, fis-je rapidement, soulagé, tandis que je montais à l'arrière du véhicule, laissant Aloy prendre place à côté de moi. Accrochez vous mesdames et messieurs, AIR CORDUROY VA DECOLER SUR UNE PISTE DE ZOMBIES ! Direction la grosse patte de Gidéon. Température locale : Mortelle !
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Aloysius Black
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Sweet dreams are made of this...
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“La réalité est une illusion, l'univers un holograme”
Alors que Wendy fendait la foule des zombies en arrachant des bras et des gens au passage, Aloysius était perdu dans ses pensées, contrarié. Il n'avait pas réussi à faire à Dyson ce qu'il voulait lui faire dire, pourtant il avait l'intime conviction qu'il n'était pas loin de la vérité. reste à savoir si son ancien élève se foutait tout bonnement de lui ou s'il y avait plus... comme un dédoublement de personnalté.
- Bon euh, vous tenez vraiment à retourner dans ce robot ? Ecoutez, vous êtes nouveau, Gideon craint un peu. Il a l'air d'avoir fait fuir les zombies, ils sont en sécurité là, je vous ramène en ville ?
La rouquine l'avait brusquement sorti de sa réflexion. Elle semblait apprécier autant Gidéon que lui etil semblait effectivement maîtriser la situation maintenant que le lion y prêtait attention. Les bras levés, le robot semblait toujours en proie à ses blessures mais finalement délesté de la horde qui s'éloignait désormais lentement en direction du lac, comme si les monstres avaient une impression désagréable face au géant de fer. Toujours persuadé que la raison incombait plus à Dyson qu'au robot, le psychiatre garda le silence. Il était logique d'imaginer qu'à présent que le jeune homme avait été arraché à la structure, ils n'avaient plus de raison d'attaquer.
- L’une d’entre vous aurait elle un portable ? Ce serait bien de les prévenir qu’ils n’ont plus à nous attendre... mais...
Il se tourna vers le jeune homme avec un sourire :
- Je suis d’accord avec nos deux sauveuses... le robot est en suffisamment mauvais état pour y rajouter du poids... et puis tentons de gagner du temps pour comprendre ce qu’il vous arrive... Lucky.
Le choix du prénom était volontaire. C'était la première fois qu'il lui accordait l'identité qu'il s'était choisi, une façon de lui montrer qu'il avait désormais plus confiance en lui, une mascarade nécessaire s'il voulait comprendre ce qui se tramait derrière la tête du lapin. La blondinette soupira avant de dégainer son téléphone pour prévenir le reste de la troupe. Il n'était pas poli de leur faire croire qu'ils étaient toujours en train de réparer la jambe sur laquelle ils tenaient tous, surtout quand Aloysius leur avait intimé de ne pas bouger. De son côté, Lucky consentit d'un hochement de tête avant de préciser à "Pacifica" apparemment, de demander aux autres de se dépêcher.
- Ok, essayons d'en finir rapidement. - C'est parti !
La jeune adulte se remit en route en conduisant son bolide avec une brutalité certaine qui aurait fait tourner l'estomac de n'importe qui et qui se termina par un écart violent de la voiturette de la route.
- Bordel, c'était quoi ça ?
Apparemment, quelque chose venait de surprendre la rouquine au point de la faire sursauter et perdre le contrôle de son véhicule. L'oreille affûté, Aloysius tourna raidement la tête vers la gauche, dans la même direction que sa conductrice tandis que Pacifica s'impatientait :
- Ooooh, sors de cette forêt Wendy !!!
Le ton était autoritaire mais l'impolitesse de la demoiselle lui sembla le cadet de ses soucis lorsque le lion apperçu un mouvement furtif, une silhouette qui semblait courir au loin dans les bois... Intriguée, la rouquine se détacha et sorti du véhicule sous la colère de la blondinette :
- Wendy, qu'est-ce que tu fiches ? - Attendez.
La demoiselle se dirigea vers un fourré et s'accroupit brusquement pour ramasser quelque chose. Piqué dans sa curosité à son tour, Aloysius sorti de la voiturette d'un pas souple pour aller observer le bout de papier que la jeune femme tenait dans ses mains.
- Impossible... c'est une photocopie d'un des journaux de Dipper. Cette société n'existe plus depuis 4 ans normalement. - Quel genre de société ? - C'étaient des types qui effaçaient la mémoire des gens qui voyaient des phénomènes bizarres dans la ville. Mais après l'attaque de Bill, on était tous au courant de la nature étrange de Gravity Falls. De toute façon, Dipper et Mabel ont mis un terme à leur organisation bien avant tout ça. La société de l'oeil immaculé... Leur machine a permis de tuer Bill dans la tête de Stan, mais elle n'existe plus. - Et pourtant, ce feuillet n'a pas pu apparaître par hasard... qui en faisait partie? - Des boulets de la ville dont j'ai même pas retenu le nom. Y'avait le père de Gidéon et Toby, le journaliste raté avec eux je crois.
Un sourire malicieux et triomphant s'étira sur ses lèvres. Il voyait très bien qui était Toby, un petit bonhomme laid à faire peur et à l'air ahuri et complètement débile qui semblait en proie à certains fantasme concernant une journaliste à la plastique plutôt généreuse. Un homme plutôt facile à manipuler en somme... sa prochaine cible.
- Et bien allons rendre visite à Toby.
Il lança un sourire complice à Wendy, bien décidé à tirer les choses au clair.
crackle bones
Eternalys N. Dystopia
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I'VE TASTED BLOOD AND IT IS SWEET
I'VE HAD THE RUG PULLED BENEATH MY FEET
I'VE TRUSTED LIES AND TRUSTED MEN
BROKE DOWN AND PUT MYSELF BACK TOGETHER AGAIN
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| Conte : Un conte ? Pourquoi faire ? | Dans le monde des contes, je suis : : Un mystère qui évolue sans cesse.
Feat. Des victimes de la folie du mj de cette mission insensée.
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Heureusement pour moi, le vieillard au pansement sur la barde n’a pas était aussi insupportable qu’il aurait pu l’être une fois confronté à ce fameux gloutosaure.
Il était fort probablement cependant, que la présence du spectre y soit en grande partie pour quelque chose ce qui, sans que cela ne m’enchante pour autant, le rendait légèrement plus sympathique à mes yeux. Cependant, le gloutosaure malgré son imposante stature et ses dents bien aiguisées n’avait pas eu la moindre chance face au spectre. Spectre qui sans la moindre pitié, avait profondément entaillé la peau de la créature qui souffrante, avait prit la fuite avec les deux derniers membres du groupe sur son dos.
Ce qui forcément, posait un gros problème. Ca allait être pratique de les retrouver tiens.
- Ah non mais vraiment… Je commence à l’attention du spectre qui se retourne pour nous faire face. Quand t’as décidé d’emmerder quelqu’un tu y vas à fond toi hein ? T’as vu ce que t’as fait Ducon ? T’as blessé la petite copine du vieux McCroquette et à cause de ça, elle s’est tiré avec deux des membres de notre équipe. T’es vraiment qu’un crétin.
Qui plus est, il était fort probable que la blessure du goutosaure lui soit fatale. Ce qui, sans m’atteindre autant que je ne l’aurais pensé (étrangement), ne rendait pas l’option plus appréciable pour autant. Alors, il ne restait plus qu’une solution. Se débarrasser rapidement du « spectre » avant de partir à la recherche des autres membres du groupe. Mais pour ça, il allait falloir trouver un moyen de se débarrasser de l’emmerdeur volant. Et ce n’était pas avec l’aide du vieux McCroquette qu’on allait y arriver.
Le pseudo spectre a finalement tenté une nouvelle approche. Cependant cette fois, je n’étais pas la cible de l’attaque. S’il avait été un minimum intelligent, le spectre aurait attaqué le vieux McCroquette qui, sans être forcément une proie facile - quoi que sans doute plus facile que moi – était plus légère au niveau de la masse corporelle. Cependant, la dite « créature » avait visiblement décidé de s’attaquer au pauvre Mouse qui, bien qu’incapable de fuir, avait fini entre les mains de la créature qui peinait réellement à le soulever. La scène en elle-même aurait pu être hilarante à voir, si pour moi elle n’avait pas était des plus pathétique. Tendis que la créature lévite avec peine pour quitter le bateau Mouse dans ses filets, je lève les yeux au ciel, pousse un soupire de lassitude puis récupère une des rame du bateau avant de m’approcher de la créature, de bien viser (geste dont la stupidité ne m’avait pas traversé l’esprit et qui me paraissait étrangement acceptable) et de lui donner un coup de rame dans le dos.
Le coup en lui-même n’était pas très fort. Après tout, je n’allais pas gaspiller mes forces avec un spectre qui n’en avait sans doute que le nom, tout ça parce qu’il était stupide et n’avait même pas était doté de la moitié d’un cerveau. Néanmoins, cela avait suffit à lui faire lâcher Mouse qui est retombé sur le planché du bateau.
- Ca va ? Je demande à mon compagnon au crâne étrange après avoir posé la rame sur l’épaule. Un conseil, mettez vous à l’abri. Il semblerait que notre invité surprise n’ait pas aimé ma petite intervention. Pourtant, le voir projeter à l’avant comme ça moi… j’ai trouvé ça marrant.
Enfin presque marrant. Sans doute que l’image en elle-même était trop cartoonesque pour que je sois capable de l’apprécier réellement. Dans tous les cas, le spectre a une fois encore choisie de me prendre pour cible après ça. Et sans surprise, il n’arrivait pas à grand-chose une nouvelle fois. Même si la situation en elle-même commençait sérieusement à me peser sur le système.
- Pourquoi tu as essayé de l’embarquer hein ? Je demande sans pour attendre de réponse de la part du spectre. C’était totalement stupide… pourquoi lui ? Et pourquoi tenter de le porter ? Si tu voulais le balancer à l’eau (je me jette à terre pour esquiver le spectre et me relève rapidement après) tu pouvais très bien lui foncer dessus ou le pousser, non tu l’as pris avec toi pourquoi ? Tu voulais l’emmener quelque part ? Cette fois, je saute sur le côté et reprend irritée. Non mais tu vois pas que j’essaie de réfléchir débile ?
Il était presque impossible de réfléchir avec les interventions incessantes du spectre, tant celui-ci semblait motivé à m’attraper. Pourtant, cela ne m’empêchait pas de continuer d’essayer. Il ne voulait sans doute pas jeter Mouse à l’eau. Si ça avait été le cas, le « spectre » était réellement stupide puisqu’il y avait des moyens beaucoup moins contraignant pour arriver à ses fins. Il ne l’avait pas non plus attaqué à proprement parler. Il n’avait pas été menaçant, il lui avait juste foncé dessus pour l’attraper et tenter de l’emmener avec lui. Mais…. Hééé !!
Je n’ai visiblement pas droit au temps de pause. Nous étions trois sur ce bateau et toute son attention était entièrement reportée sur moi. Cette fois, il m’a presque frôlé. Heureusement pour moi, j’ai été assez rapide pour l’esquiver une nouvelle fois. Cependant, ce petit jeu commençait à devenir lassant. D’autant plus, qu’il ne semble pas avoir de fin.
Tout du moins, tant qu’il n’avait pas attrapé la rame que j’ai dans les mains pour m’attirer a lui dans un même temps.
Ô Joie, j’avais droit à un rencard avec un spectre au rabai.
Et pas n’importe quel rencard. Le genre bien étrange dont on ne comprend absolument rien et qui nous rend malade à la fin. Ma tête entre ses mains, des lettres commence à apparaître dans mon esprit. Et au fur et à mesure qu’elles se forment dans ma tête, je prends conscience que quelque chose ne va pas. Je me sens toute drôle.
A genoux sur le pont, je reprend ma respiration pendant que le spectre nous lâche enfin la grappe. Visiblement, il tenait à faire passer un message, et c’était moi qu’il avait choisie pour le faire. Je me souvenais de chaque lettre, comme s’il les avait gravé dans mon esprit.
ZUT IUXVY KYZ G YZUXEHXUUQK OR G BURK BUY GSKY
Génial, on me l'avait pas encore faite celle la..
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Ali Nacer
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
Nous sommes ce que nous choisissons d’être, vous souvenez de ses mots ? En septembre 2017, j'avais décidé que je voulais être le héros que j'étais destiné a être. Je voulais être un sauveur de royaumes. Mais pour être ce héros, je devais avoir une motivation.. Quelle plus belle motivation que l'amour ! Mais avant d'être un héros j'étais avant tout , un mari et un père .
Et cela implique de grandes responsabilités. Comme celle de devoir sacrifier ma vie, pour que celle de ma femme et mes embryons. C'était pour cette raison, que j'avais ordonner a Laureline de rester en arrière de moi pour être celui qui prendrait les risques devant ce sombre inconnu qui était notre agresseur.
Harpon a la main, je devais garder une arme dans ma main pour nous défendre, mais je devais tenter une approche vers notre kidnappeur. Je murmurais a ma fiancée quelques mots, tout en la dévorant de haut en bas avec envie. Parce qu'elle était toujours peu vêtue, comme moi d'ailleurs. C'était un peu étrange comme situation ! D'une petite culotte noire en dentelle et d'un soutif du meme tissus et couleur. elle m'aguichait plus que notre agresseur. Mais dommage que je devais m'occuper d'un vilain..Au lieu de m'occuper de ma galaxie. En plus, elle était toute en sueur, a cause de la chaleur des flammes. Sa crinière de feu était tout emmêlée et ondulée à cause du sauvetage d'Ali, prince en détresse ! Elle avait toujours les fleurs de cristaux incrustées dans sa chevelure. Dans cet accoutrement, mon petit soldat avait du mal a résister..
Mais je devais me remettre en tête que c'était moi qui devait être un soldat et non mon jardin secret. Mon regard chocolaté descendait le long de ses longues jambes félines, jusqu'à ses pieds. Elle portait toujours ses escarpins bleus. Un sourire en coin se dessinait au coin de mes lèvres, j'avais un plan. - Bébé enleve tes talons hauts. Il me fallait quelque chose pour attirer l'attention du vilain et moi j'avais toujours rêver de lancer des souliers de femmes dans la tronche de quelqu'un. Laureline s'exécutait, mais quand elle se penchait pour enlever les escarpins. C'était un supplice de lever les yeux vers le haut. Parce que j'avais un magnifique décor devait moi. Aller Ali ressaisit toi , tu pêcheras quand le méchant sera neutralisé ! Laureline parassait donc moins grande ce qui me plaisait énormément. Elle tenait donc ses escarpins dans ses mains. Je prenais donc le premier..Talon en l'air, je le lançais de toute mes forces pour tenter de l'assomer. Mais le Karma (Les dés) était contre moi et je ratais mon coup. La pantouze frôlait l'oreille du vilain avant de finir inscruter dans le mur d'en face. J'avais a présent toute son attention, même un peu trop...
Quand je prenais la deuxième pantouze pour avoir une deuxième chance, l'agresseur se précipitait sur nous. Interceptant mon bras, posant sa main sur mon bracelet doré, me serrant le bras pour que je lâche la chaussure. Je grimaçais parce que mon bracelet s'enfoncait dans ma peau écrasant mes veines. Le pantouze tombait sur le sol, dans un bruit lourd. Il nous poussait violament pour nous faire chuter sur le plancher brûlant, parce que sous nous, le feu se propageait.
Laureline tombait en premier parce qu'elle fut propulser par arrière a cause de mon poids. Je chutais ensuite a quelques centimètres d'elle sur le dos. Mais sans me soucier de l'étranger,précipiter dans l'action, je me roulais vers Laureline, les larmes aux yeux. Ayant tellement peur pour elle et notre grossesse. Parce que toute cette aventure pourrait avoir un impact sur celle-ci , même si mes embryons étaient des survivants comme leur père et s'accrochaient sans doute très fort au corps de leur mère. Je déposais une main tremblante sous le menton de ma douce pour m'assurer qu'elle était toujours vivante, parce que ses paupières étaient fermées. Elle l'était encore.. Puis je vérifiais d'un regard rapide, si du sang ne coulait pas le long de ses cuisses pour me rassurer qu'elle ne ferait pas une fausse couche et ou que le placenta ne soit pas déplacée. Heureusement, il n'avait rien d'inquiétant de ce coté là, pas de saignements. Je déposais un baiser sur le nombril de Laureline, passant une main rassurante pour sentir les petites vagues de mes bébés. - Accrochez vous mes amours..Maman c'est une combattante et Papa va vous protéger.
Durant la chute, le harpon m'était glissé des mains tombant un peu plus loin. Je me relevais malgré la douleur et la fatigue de mon corps pouvait ressentir avec toutes ses épreuves. Je n'avais pas dit mon dernier mot ! En plus cet inconnu sans visage caché qui avait un look a la Voldemort m'empêchait de m'épanouir, durant mon dimanche. Je me précipitais vers lui, pour me jeter sur lui mais vu que j'avais pris le temps de me réoccuper de ma fiancée. Il avait vu mon coup venir et m'attrapait par les épaules pour me plaquer brusquement sur le mur le plus proche. Mon visage se crispaient a cause de l'impact. Mes poings se refermaient, se contractaient..Si j'aurais eu ma magie ça aurait été si simple.. Et Laureline aurait eu vengeance en souhaitant ce qu'elle désirait.
Les femmes m'avaient appris quelque chose au cours de mon parcours. Ta envie de te débarrasser d'un connard ? Frappe dans l'endroit vulnérable ! Frappe dans l'endroit vulnérable ! Je levais donc mon genou avec élan. Donnant un coup dans l'entre jambe de cet étranger qui était bien un homme c'était confirmé ! Celui-ci par réflexe me frappait de plein fouet dans le visage, plus précisément sa droite me fendait ma lèvre inférieur. Un filament de sang coulait le long de mon menton. Mais j'avais vécu pire comme coup , après tout on avait déjà voulu me fracasser la tête comme une pastèque avec une batte. Le vilain reculait de quelques pars, se tordant de douleur se tenant l'entre jambe. J'étais donc libre de mes mouvements , je décidais donc de faire une pirouette pour me rapprocher de notre agresseur, et avec élan lui offrir un coup pied sur le coté du visage, avec agressivité. Le méchant vacillait quelques instants, avant de se ressaisir et d'aracher du mur un manche en métal avec lequel il me menaçait .. Alors que moi j'avais eu le mauvais réfléxe de regarder Laureline pour voir si elle reprenait connaissance pour lui dire de fuir, parce que la situation dégénérait. Sauver sa vie avant la mienne était le plus important. Mais au moment, ou je m'assurais encore une fois de son état..Je me prenais un coup violent sur la tête. Tombant inerte sur le sol devant le malfaiteur.. Et sous les hurlements de Laureline qui venait de voir mon corps s'éfronder, parce qu'elle avait repris connaissance.
Insconcient ligoté comme ma femme d'ailleurs qui était aussi attachée , mais vivante et non blessée. Avait-elle combattue ? Ou s'était-elle laisser faire pour sauver nos vies et celle de nos enfants ? Je ne savais pas ! J'ouvrais les paupières difficilement..J'avais un mal de crâne et je saignais sans doute a la tête. Je me débattais lègèrement pour comprendre qui n avait pas de moyens de nous défaire. Donc tout ce qui me restait a faire était discuter avec le méchant qui essayait de gerer les commandes .
vous voulez de l'aide pour les commandes ?
Contentez vous de rester des otages, vous." On peut savoir pourquoi vous avez besoin de nous comme otage? Parce que vous venez de Storybrooke.
Vous etes mal renseigné..Moi j'ai jamais demander de venir a Storybrooke..On ma kidnapper de mon royaume..Donc vous pouvez me liberer .. La demoiselle et moi..
Le mechant soupirait "Arrêtez de jouer avec les mots,vous venez de Storybrooke, ça ne change rien." Pourquoi vous intéressez a cette ville?
"Parce que le spectre s'interesse à vous !"
Il ricanait "Ce qu'i veut... j'en sais rien, mais je compte bien le savoir !" -Donc on est des abats pour votre spectre ? Et on va ou comme ca..vous savez ou le trouver votre spectre?
Son rire était sarcastique et accentué "Vous me prenez pour un idiot ? vous comptez vraiment sur le fait que je vous révèle tout mon plan ?"
Ouii vous etes un VRAI méchant vous allez déballer votre plan. Il a juste les amateurs qui ne devoile pas leurs plans
"C'est vous l'amateur, vous êtes pathétique si vous croyez m'avoir comme ça... " le bateau est en train de couler ! Normal, vous avez incendié le fond, .
Le type retournait vers nous, et nous menacait de sa barre de fer.
"Levez vous, on est bientôt arrivé à la rive, on finira les derniers mètres à pieds. Notre cave vous attend, et après... à nous Gravity Falls !" - Notre Cave?
"Oh oui, vous allez plus voir la lumière du jour avant un moment... comme toute cette ville très bientôt en fait."
Le méchant nous dirigeait dans l'eau avant que le bateau ne coule. Laureline m'aidait a arriver à la rive parce que j'avais peur et l'eau arrivait jusqu'a notre nuque. Sur la rive un véhicule attendait, avec quelqu'un dans la même tenue que notre ravisseur au volant... Ca y est une secte nous avait kidnapper.
Laureline G. D'Arelaune
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| Conte : Valérian & Laureline╰☆╮Enchanted Ѽ | Dans le monde des contes, je suis : : Laureline/Giselle
La colère de Laureline était vite retombée. Ali paraissait parfois ingrat et odieux mais c’était un homme bon et tendre au fond. Sa vision de la réalité était seulement troublée par ses craintes et ses blessures. C’était pour cela qu’il disait parfois des choses horribles. Laureline le savait mais elle ne pouvait malheureusement pas empêcher sa colère de monter à chaque fois que son fiancé lâchait une remarque. Mais rapidement, la rousse voyait le Prince déprimer et alors elle redevenait la plus gentille des fiancées. Dans le noir de la cale, elle ne voyait pas ce qu’Ali faisait mais au son de sa voix, triste et aussi inaudible qu’un souffle, elle comprit que le Prince rentrait dans un de ces fameux moments de dépression. Il était déprimé et gelé. Le couple alluma un feu, ce qui n’était pas vraiment recommandé quand on est enfermé dans une cale de bateau, mais Laureline préférait courir le risque de brûler vive plutôt que de voir l’homme de sa vie mourir d’hypothermie sans qu’elle puisse rien faire. Ils se réchauffèrent ainsi, la rousse enveloppa Ali d’une bâche plastique pour tenter de garder la chaleur de son corps frigorifié.
Laureline avait brisé son majeur, qu’elle avait fêlé en frappant les parois de la cale. Une douleur lancinante parcourait sa main mais elle tentait d’en faire abstraction. L’intérieur de sa tête résonnait et elle avait du mal à se concentrer. Et elle n’eut pas besoin de le faire, Ali prit pour la première fois les choses en main. Il avait vaincu sa léthargie et sa passivité. Sa personnalité d’héro était de nouveau sortie et ce fut un immense soulagement pour la rousse, qui se dit qu’elle pouvait enfin cessée de tout porter à bout de bras. Elle avait beau être forte, elle avait besoin de soutient.
Ali la fit sortit par le trou que le plafond effondré avait formé. Le Prince sortit à son tour, mais pas sans se brûler le bras, Laureline dut l’aider à passer par la fente de bois incandescent. Le couple se trouva enfin dehors. La rousse prit une grande bouffée d’air et toussa pour évacuer la fumée de ses poumons.
Ali trouva un harpon comme arme et ordonna à sa fiancée de rester derrière, pour une fois, elle obéit sans rechigner. La rousse tiqua tout de même, quand il lui demanda de retirer ses talons. En effet, elle avait gardé par miracle ses deux escarpins bleus. Une sangle les retenait sur ses pieds. Et Laureline avait la compétence peu commune de savoir courir et se battre en talons hauts. Mais elle fit confiance à Ali et retira ses chaussures. Elle se sentit vraiment nue sans elles. Mais au final, D’Arelaune fut bien contente de les avoir enlevées, quand elle se retrouve propulser en arrière et qu’elle tomba lourdement sur le sol du bateau. Au moins, elle n’avait pas de cheville brisée ou foulée à cause de ses talons. Une petite douleur se fit sentir au bas de son dos, mais c’était un petit bobo parmi tant d’autres, elle n’y fit pas plus attention. D’ailleurs, sa tête rousse avait encore une fois cognée contre les parois du bateau. Décidément, son crâne ne cessait de vouloir faire la bise au bateau. Laureline était sonnée, la réalité semblait dédoublée sous ses yeux. Les bruits étaient sourds à ces oreilles. Ses sens se stabilisèrent juste à temps pour voir Ali se faire violemment assommé. La rousse cria. Elle s’en voudrait si son fiancé gardait des séquelles de ce coup à la tête. Elle aurait pu le protéger.
Leur ravisseur attacha la rousse à une chaise avec de solides cordes. D’Arelaune n’eut pas la force de se débattre. Ses bras semblaient mous et sa tête tournait comme une toupie. La meilleure défense qu’elle aurait pu employer était de vomir sur son agresseur. A y réfléchir, elle aurait peut-être dû le faire.
Ali échangea avec le kidnappeur sous les yeux intrigués de Laureline. Le couple allait servir d’appâts, et être jeté en pâture au spectre. Celui même qui avait blessé Nessie. Le regard de Laureline se fit plus dur. Elle allait botter les fesses de ce type, du spectre et allait sauver son monstre marin.
- Oh oui, vous allez plus voir la lumière du jour avant un moment... comme toute cette ville très bientôt en fait.
La rousse serra les dents, celui qui la gardera enfermée n’était pas né. C’était une lionne, un félin sauvage, personne ne la mettait en cage. Le ravisseur détacha Laureline pour venir pousser le couple vers l’eau. La rive était proche et des adultes avaient pieds. Mais Ali tremblait de peur, la noyade l’obsédait. Avec dignité, la rousse garda la tête haute, elle prit la main de son fiancé et ils se glissèrent de l’eau froide. D’Arelaune avança rapidement à travers les vagues, elle tirait son Prince pour qu’il ne se laisse pas terroriser par le bleu mouvant. L’eau leur arrivait à la nuque mais le niveau baissa rapidement au fur et à mesure qu’ils avançaient en direction de la terre ferme. Le couple arriva à la rive, où un véhicule les attendait, au volant, un type avec la même tenue que le ravisseur. C’était une véritable organisation de méchants psychopathes. On fit monter le couple dans la voiture. Le véhicule démarra et s’élança dans des petites routes près des arbres, la végétation rendait la voiture invisible. Peu de temps après, le véhicule s’arrêta en pleine nature. Laureline observa les environs, aucun signe d’une planque de méchants. Pourquoi s’étaient-ils stoppés ici ? Tous descendirent de la voiture et des hommes vinrent soulever un rocher sous lequel se cachait une trappe. Voilà leur planque, pensa Laureline. C’était très ingénieux. On ouvrit la trappe et alors un escalier se dessina dans l’obscurité. On ne voyait pas où il débouchait. - Allez, descendez. Leur ordonna un homme.
Non, hors de question que Laureline descende là-dedans. Si la rousse et Ali entraient, ils n’en ressortaient plus et personne ne pourra venir les sauver. D’Arelaune était juste devant les escaliers, Ali était juste derrière elle. C’était donc à la rousse de descendre en premier. Une peur l’envahit. Elle ne voulait pas descendre dans l’obscurité. Laureline secoua la tête et refusa d’avancer. - Hé, la rouquine, tu ferais mieux de te dépêcher.
On lui écrasa le bras avec force. La rousse savait qu’on pouvait lui faire encore plus mal. Mais la douleur l’effrayait moins que cet escalier semblant descendre vers les enfers. Laureline ne bougea pas d’un pouce. Qu’ils lui broient le bras !
- Tu veux que tes amis aillent mal ? Non j'imagine, alors descends.
Laureline ne craignait pas qu’on la menace, mais sa peur redoubla quand l’homme menaça ses amis. Elle ne voulait pas que quelqu’un souffre à cause d’elle, de son entêtement. La rousse devait protéger les autres. A contre cœur, Laureline fit un pas, puis un autre. Elle descendit les marches, sentant son estomac se nouer de plus en plus. Ali la suivit, derrière lui leurs ravisseurs. Elle ne pouvait pas reculer. Soudain, la trappe se referma. Pour la énième fois Laureline se retrouva dans le noir. Prudemment, elle continua de descendre. Son pied buta une ou deux fois mais elle ne tomba pas. Après quelques secondes, une faible lumière apparue en contre bas. Les yeux de Laureline prirent cette lueur pour une agression. Ses pupilles étaient plus habituées à la noirceur qu’à la lumière. La rousse finit sa descente et aperçut une porte, qu’une petite fenêtre trouait. La lumière venait de l’autre côté de cette fenêtre. La lueur était jaune et vacillante.
- Ouvre là. Ordonna-ton à Laureline. - Qu’il y a t-il derrière ? Demanda la rousse avec angoisse.
Cela pouvait paraître stupide comme question. Pourtant, une multitude de choses pouvait se tenir derrière cette porte. Laureline voulait savoir un minimum où elle mettait les pieds. On lui répondit on ne peut plus vaguement.
- Tout le cœur de l'opération.
Elle ne fut évidemment pas satisfaite de cette réponse mais elle savait qu’on ne lui en dirait pas plus. Avec avoir poussée un soupir, Laureline posa sa main sur la poignée, puis prudemment, elle ouvrit la porte. Son cœur battait la chamade. Qu’allait-elle découvrir ? Ce fut une salle ronde et éclairée de bougies qui apparue devant ses yeux. Le mur devant Laureline arborait un logo peint à l’aide de peinture rouge. Une fois toute la petite troupe à l’intérieur de la pièce, on indiqua deux chaises au couple.
- Je préfère rester debout merci. Fit la rousse avec un air de défi dans la voix.
Elle ne pouvait pas rester sage longtemps, son caractère teigneux reprenait tout le temps le dessus. Un homme s’approcha d’elle, menaçant, très menaçant. Mais la rousse ne fut pas impressionnée. Les gros baraqués qui la menaçaient elle en faisait son affaire. - Je te préviens, tu vas regretter si tu n'obéis pas. - J’aimerais bien voir ça. Déclara Laureline en lançant un regard mauvais au type. Elle oubliait encore une fois que deux êtres grandissaient en elle.
Le type porta rapidement une main à son cou avant qu’elle puisse l’intercepter. Quelque chose de froid, de très froid se pressa contre sa gorge. C’était tellement gelé que devenant brûlant. Sa peau la piqua et Laureline du serrer les dents pour ne pas lâcher un cri. Elle se débattit mais eut peur de se faire arracher la peau, comme qu’on colle sa langue sur un stalactite. Le type la lâcha enfin et elle recula d’un pas, tentant de calmer sa respiration. Elle ne porta pas sa main à son cou, ne savant pas dans quel état sa peau se trouvait. Tout en s’asseyant sur cette foutue chaise, elle lançant un regard noir à son agresseur. Un regard qui disait qu’elle se vengerait et que sa douleur serait le double de la rousse. D’ailleurs, elle ne put se retenir de prononcer sa menace à voix haute. Le type se baissa vers elle.
- Que crois tu pouvoir faire pour te venger, hein ? - Oh, j’ai une très grande imagination, ne t’inquiètes pas pour ça je vais trouver. Lâcha la rousse en souriant presque de manière carnassière. - Ton âme a le temps de s’essouffler et de disparaître avant que tu ne trouve un moyen efficace pour te venger. La rousse arqua un sourcil. Voilà qu’il se mettait à causer comme Shakespeare. - Tu fais poète en plus de méchant machiavélique ? Lança-t-elle avec insolence. - Tu n'as aucune idée de ce qu'il se passe ici et tu veux me faire croire que tu vas réussir à te venger. Tu es pathétique. Ces mots ne touchèrent en aucun cas l’égo de la rousse. - Vas-y sous-estime moi. Ma vengeance n'en sera que plus délicieuse. Elle se tassa ensuite au fond de sa chaise et détourna le regard pour signifier que cette petite joute verbale était close.
Le type attacha les bras et les jambes de Laureline à la chaise. Ali se trouvait lui aussi assit, mais de l’autre côté de la pièce, dans le dos de la rousse. Cela la frustrait de ne pas garder un œil sur lui. Elle croisait les doigts pour qu’ils ne lui fassent aucun mal. Il y avait beaucoup de mouvements dans la pièce, autour d’eux mais la rousse ne voyait pas ce qu’ils faisaient. Qu’est-ce qu’il se passait ici ? Était-ce une espèce de secte affiliée aux Illuminatis ?
Petit à petit, la vision de Laureline s’obscurcit. Elle arrivait de moins en moins à distinguer les détails de la pièce, pour rapidement, elle ne vit plus la salle du tout. Tout devint noir devant ses yeux. On plutôt ses yeux ne voyaient que du noir.
- Wow qu'est-ce que vous avez fait à mes yeux ?! S’écria-t-elle. - Oh mais on ne fait rien à tes yeux. Lui répondit-on. - C'est bizarre parce que j'étais pas aveugle y'a deux minutes. Fit-elle insolente. Qu'est-ce que vous faites ?! - Tais-toi. Il te dit quoi ? - Il ? Qui il ? Demanda Laureline complètement perdue. Parlait-il d’Ali ? - Celui qui est à côté de toi en train de te parler, idiote ! Laureline afficha une moue intriguée et encore plus perdue. Elle n’entendait aucune voix à part celle de type dont elle voulait se venger. - Donc je dois être sourde d'une oreille en plus d'être à moitié aveugle ! J'entends que toi gros débile, sinon je demanderais pas ! Hurla-t-elle en s’énervant. Elle perdait ses sens un par un, c’était effrayant, même pour elle. - Raah, ramène lui la bougie sous le nez. Fit-il à un de ses comparses sans doute. Elle n’est pas assez concentrée cette peste!Au moins Laureline avait la satisfaction d’énerver le type.
Alors la rousse sentit une chaleur près de son visage et une fumée vint s’engouffrer dans ses narines. Elle secoua la tête puis toussa. Ils étaient assez stupides pour lui faire sniffer de la fumée de bougie.
- Dégagez ça de mon visage !
Laureline entendit alors une nouvelle voix, celle d’un homme.
- Qu'est-ce que... Me dites pas que c'est elle que vous avez prise !
Quelqu’un pesta tout en semblant se contenir pour ne pas faire trop de bruit. La rousse n’y fit pas attention car elle était concentrée sur autre chose. Elle sentait ses sensations changées. Elle était assise et pourtant, elle sentait maintenant qu’elle était en position allongée. Laureline fut trop concentrée sur cette drôle de sensation pour encore une fois lancer une réplique insolente.
- Alors ?! Lui fit le ravisseur. Tu t’es débouchée les oreilles là ? Laureline réussit à lui faire un vague signe de tête signifiant oui. - Et donc ? lui dit-il, sèchement. T'es muette maintenant ? Il dit quoi ? - Pourquoi diable est-ce que vous me ramenez celle-ci ? Demanda la nouvelle voix que seule Laureline semblait entendre. - Il demande pourquoi vous me ramenez moi. Traduit docilement la rousse. - Bah… pour te supprimer une bonne fois pour toute et lui donner l’accès. Comme prévu. - Pour exécuter le plan. Dit la rousse à la voix sans visage. Et parce que je lui fais peur, il doit me tuer pour pouvoir dormir de nouveau la nuit. Fit Laureline en souriant. - Pardon ? Reprit la voix. Par tous les ciels de l'enfer, pourquoi vous pensez que c'est elle ? - Oui pourquoi vous pensez que c'est moi ?! Enfin vous pensez que je suis qui au juste ? Fit Laureline à son ravisseur. - Hein ? Mais bordel vous êtes combien ?! C'est la princesse arabe qu'il fallait à la place ? La rousse ne comprenait pas ce qu’elle venait faire dans cette histoire et encore moins ce que cette petite princesse gâtée de Jasmine venait faire là. - Jasmine aurait été plus docile c'est clair... C'est une carpette cette fille… Lâcha Laureline avec mépris. - Jasmine ? Ton mec s'appelle Jasmine ? Quoi ? Il venait d’y avoir un énorme quiproquo. - Hein ? Non ! Je... Hey les gars franchement faut être plus clair que ça si vous voulez des résultats efficaces ! Prenez vous un coach en kidnapping ou en secte maléfique je ne sais pas mais là c'est frustrant pour moi. - Si vous voulez redevenir les démons que vous étiez avant, dépêchez vous, et avec la bonne personne ! S’impatienta la voix. D’un coup, la vue revint à Laureline. Ces ravisseurs étaient devant elle. - Qu’est-ce qu’il te dit ? - Trouvez la bonne personne bande d'incapables. Elle leva les mains en l’air. Je ne suis que la messagère. Fit-elle d’une voix innocente.
Son cerveau était de nouveau en ébullition. La voix avait bien dit « démons ». Ce mot n’était pas synonyme de bonnes choses. De très mauvais évènements allaient pleuvoir sur cette ville et sur ces habitants, c’était certain. Le type porta sa main à la gorge de la rousse.
- Vous êtes combien ? - Je ne sais pas de quoi vous parlez. Déclara Laureline, c’était la vérité. - Alors, ça va mal se passer pour vous...
Eternalys N. Dystopia
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AND WISHED I COULD CUT SOME PARTS OFF WITH SOME SCISSORS
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| Conte : Un conte ? Pourquoi faire ? | Dans le monde des contes, je suis : : Un mystère qui évolue sans cesse.
Feat. Des victimes de la folie du mj de cette mission insensée.
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« Hep, réveillez vous ! »
Cette mélodie tourne inlassablement dans ma tête. Mélodie qui me semblait familière, sans pour autant que je sois capable d’expliquer pourquoi. Puis, une voix a fini par se faire entendre. Au départ, celle-ci était comme étouffée. Puis petit à petit, la voix est devenue plus claire et plus forte et c’est à ce moment-là, que j’ai réalisé ce qui était entrain de se passer. Le vieux me secouait comme un prunier et ça me gonflait. Alors, j’ai réagis comme n’importe quel personne normalement constituée. J’ai ouvert les yeux et je lui ai donné un coup de poing dans le buste pour qu’il arrête de me gonfler.
« Bah dis donc, je sais pas ce qu'il y a dans ta tête, mais ça l'a fait flipper ! »
Visiblement, je n’avais pas tapé assez fort. Non seulement il me secouait comme un prunier pour me réveiller, mais en plus, il balançait des répliques à la con qu’il trouvait drôle avec ça. J’en avait de la chance dit-donc…
- Ah ah la bonne blague, je commence irritée alors que je relève doucement le buste pour m’asseoir sur le bateau. Dixit le type qui se balade avec un pansement sur la barbe. Maintenant foutez la paix à ma folie intérieure et dite moi ce que j'ai loupé. Tout le monde va bien ?
« Donne moi un raison pour ne pas avoir de pansement, hein ? »
Non mais il était sérieux ? Parce que de lui-même, ça ne lui sautait pas aux yeux ? Il n’avait pas de raison de se dire que porter un pansement sur une barbe c’était débile ? Et puis… pourquoi seulement une raison hein ? Pourquoi pas plus ? J’avais largement de quoi faire une liste voir un top 5 s’il préférait quelque chose de plus court. Mais bon, puisqu’il en voulait une, autant lui donner la meilleure.
- Attendez, laissez moi réfléchir 2 secondes… Parce que vous avez l’air d’un con déjà. Mais je dirais - et c’est inclus dans ma raison principale - que c’est le genre de chose que pourrait faire un type mentalement instable ce qui accessoirement, fait de vous un type louche dont tout le monde se méfie parce que justement personne n’a jamais fait ça. Je me relève lentement et essuie mes mains sur mon pantalon.
Ce n’était pas forcément la meilleure des raisons, mais elle était tout à fait valable à mes yeux. Et puis, ça lui servait à quoi sérieusement hein ? Un pansement sur la barbe ? A rien.
« Tout va bien ! Je crois. »
Je lève les yeux au ciel et pousse un soupire lorsque mon regard tombe sur Mouse qui se touche tout le corps pour voir s’il est entier. Non mais vraiment… A croire qu’ils le faisaient exprès tous les deux.
- Ok le serial tripoteur, l’inspection est terminée ? Tout est en place ? Je demande à l’intéressé las avant de reprendre une fois qu’il a terminé. Bon alors, qu’est-ce qu...
« Oh, tes amis ! Ils sont partis sur le monstre ! »
Cette fois c’était officiel, quelqu’un me détestait vraiment. J’ignorais pourquoi, sans doute avais-je fais du mal à cette personne par le passé. En tout cas, les faits étaient là. Quelqu’un me détestait assez, pour que je me retrouve coincée avec ces deux-là. De vraies lumières. J’en avais de la chance…
- O.K, d’accord… J’imagine que ça veut dire que je n’ai rien loupé du tout. Bon…
A ce moment-là, deux solutions se présentaient à nous. Soit ont partaient à trois à la recherche des autres membres disparut de notre groupe, soit ont retrouvaient les autres pour ensuite partir à la recherche des deux disparus. Sur le coup, j’étais d’avantage attirée par l’idée de partir à la recherche de la rouquine et de son copain sur le champ. Parce qu’ils avaient disparut depuis un certain temps, et qu’ils pouvaient leur arriver n’importe quoi sans qu’aucun de nous ne puisse rien y faire. Ils étaient seuls et s’ils avaient besoin d’aide, ils ne pouvaient comptez que sur eux. Néanmoins, ils nous fallaient un plan. Et avec ça…
- On ferait mieux d’aller voir si ceux coincés au manoir vont bien. On s’occupera des autres membres de notre groupe ensuite.
Ce n’était pas forcément la meilleure solution, mais quelques paires de bras en plus ne pouvaient pas nous faire de mal.
- Si ces créatures nous ont aidées, j’imagine qu’elles n’ont pas fait de mal aux autres. Je reprends en pleine réflexion pendant que le vieux McCroquette nous ramène près de la berge. Je commence à croire, que ces créatures ont voulut nous isoler voir même, nous éloigner de quelque chose… du spectre sans doute vu ce qui c’est passé là-bas.
Mon raisonnement était tout à fait plausible. D’ailleurs, à l’approche de la berge le vieux McCroquette a crié « Attention ! » à cause des zombies qui rentrait tous dans l'eau, sauf qu'aucun d'eux n'a fait attention à nous.
Comme si ont ne les intéressaient plus.
« Ok. Alors allons-y ! »
Le vieux McCroquette a rapproché le bateau de la berge sans prendre en compte les possibles zombies encore dans le coin, sait-on jamais, puis il nous a rejoint avant de nous lancer un petit « Alors, dépêchez vous, j'en vois déjà ! » avant de sauter dans l’eau. Sérieusement, si ce type n’était pas fou, il était clairement suicidaire. Même si pour le coup, il s’en sortait beaucoup trop bien..
Une part de moi avait envie de lui dire « je vous déteste ». Pas seulement parce qu’il était fou ou qu’il m’avait gonflé avec le goutosaure, mais parce qu’il me donnait des envies de meurtres. Ce type était irritant, suicidaire et inconscient. Et pire que tout, il avait une chance insolente. Parce que aucun zombie ne lui avait sauté dessus. C’était quoi son truc hein ? Une patte de lapin ?
Après avoir levé les yeux au ciel et adressé un regard d’encouragement à notre autre compagnon Mouse, je saute à mon tour dans l'eau pour rejoindre la terre ferme. Et après avoir marché en direction du Manoir, nous avons eu le loisir de remarquer la présence d’une mocheté robotique à l’apparence d’un petit blond joufflu avec la coupe d’Elvis. Et à tous les coups, le propriétaire du robot avait exactement la même tronche..
- Et bien… A ce que je vois vous vous êtes bien amusé ici aussi.. Désolé pour le retard, ont a eu quelques petits problèmes en chemin. Et à voir vos têtes, j’imagine que vus n’avez vu ni la rouquine, ni son copain dans le coin… eh merde. En réalité, ce n’était pas si surprenant que ça. Après tout, les retrouver ici aurait été trop beau pour être vrai. Cette sensation étrange de danger ne m’avait pas quittée. J’avais la mauvaise impression qu’ils leur étaient arrivés quelque chose et pour l’instant, nous ne pouvions rien faire pour les aider. Même si je savais déjà où chercher. Ont les a perdu après que Bélphégor ait décidé que le harcèlement, ce n’était pas suffisant. Et oui, on sait, le goutosaure existe. C’est bon, on peut clore le sujet maintenant ?
Il était préférable de prendre les devant au cas ou le vieux McCroquette ait décidé de le préciser une énième fois.
« Bien sûr qu'il existe, vous croyez que je suis fou ? »
- Il y a de ça oui… Mais surtout, vous me gonflez. Ça vous va ?
Qu’est-ce qu’il ne comprenait pas dans « on peut clore le sujet maintenant ? ». C’était le fait de plus parler du sujet en question qui posait problème ? Parce qu’il était obsédé par la créature ? Et alors ?
« Il semblerait que vous ayez vécu des aventures bien plus palpitantes que les miennes... »
Oui, visiblement…
- C’est ce qu’il semble en effet. Qu’est-ce qu’il c’est passé ici ?
La question en elle-même n’avait pas réellement besoin de réponse. Il n’était pas difficile de comprendre que les zombies avaient réussi à rentrer à l’intérieur du bâtiment et qu’un robot était sans doute arrivé pour sauver la situation. Enfin sauver…. C’était vite dit si vous voulez mon avis.
En tout cas, le frère de Dyson a l’air blasé lorsqu'il répond à ma question.
« On a du supporter la crise d’égo ridicule de Gidéon… Et tenter de l’aider avec son problème de robot géant… Sans grand succès. Je crois d’ailleurs qu’il était sur le point de nous mettre dehors, le sms de Pacifica est arrivé à point nommé… »
Après quoi, il esquisse un rictus moqueur avant de me demander.
« Toujours aussi passionnant ?... »
Je lève une nouvelle fois les yeux au ciel et après avoir poussé un énième soupire, je reprends à son attention.
- Aux dernières nouvelles, je ne vous ai pas demandé de me raconter le dernier livre que vous avez lu, mais ce qui vous est arrivé. Alors que ce soit passionnant ou pas, on s’en fou un peu. Vous n’êtes pas d’accord ?
Je prends un petit temps de pause avant de reprendre.
- Très bien, donc voilà ce que vous avez loupés. Quand nous avons voulut vous rejoindre, des zombies sont sortis du lac. On a fuit, j’ai tenté de faire diversion pour que les autres membres du groupes puissent vous rejoindre à l’intérieur, mais ça à foiré. Suite à quoi, on est tombé sur le vieux McCroquette qui nous a prit en stop et fait monté à bord de son bateau et au bout d’un moment, les zombies ont arrêté de nous suivre. Puis un tourbillon c’est formé, Bélphégor à débarqué, il nous a attaqué et… Je m’arrête en plein récits songeant à une chose. Et si Belphégor était d’une façon ou d’une autre lié au tourbillon ? C’était un peu étrange qu’il soit apparut de nulle part et qu’il ait disparut aussi sec, juste après que le fameux spectre se soit tiré non ?
- Je commence à me demander s’il n’est pas relié d’une quelconque façon à ce tourbillon qui nous a empêché de fuir.
Le frère de Dyson commence alors, pensif.
« Les gens d’ici ont vraiment l’air de redouter ce fameux spectre… Mais très peu semble réellement savoir de quoi il est capable… (Son ton devient ironique) Et comme je n’ai pas encore eu la délicieuse occasion de le rencontrer…. »
Il se passe alors une main dans les cheveux et reprend un peu moins acerbe.
« S’il était capable de tout cela, il aurait déjà fait bien plus de dégâts sur Gravity Falls, non ? Ca ne pouvait pas être une heureusement coïncidence, ou quelque chose comme ça ? »
Bien qu’il me donnait aussi des envies de meurtres, il n’avait pas tord sur un point. Si le spectre ou quoi que soit cette chose était liée à la formation de ce tourbillon alors, il aurait été capable de faire d’avantage de dégât à Gravity Falls. Cependant, il était important de noter que nous ne connaissions pas ses projets non plus. Ce qui revenait à dire, qu’on ne savait absolument rien sur rien le concernant.
- C’est une possibilité oui, je lui réponds simplement. Mais le fait est, que nous ne savons rien de lui. Il est possible qu’il soit lié au tourbillon, comme il est possible, qu’il ne le soit pas. Et s’il l’est, cela ne veut pas forcément dire que son but premier et de s’en prendre à Gravity Falls. Il peut le faire plus tard, comme il peut ne rien tenter contre.
Je prends un petit temps de pause avant de reprendre.
- Tout ce que je sais, c’est que les zombies ont visiblement essayés de nous éloigner de lui et/ou du tourbillon qui menaçait de nous engloutir. Et que le Goutosaure à était gravement blessé par le Spectre en essayant de le combattre ce qui à mené à la disparition des deux autres membres de notre groupe qui se trouvait sur la créature à ce moment-là. Suite à quoi, le spectre m’a attaqué, puis il a du en avoir marre de foiré toute ses tentatives puisqu’il s’en est prit à Mouse qu’il a essayé d’emporter avec lui. Du moins, c’est l’impression que j’ai eue.
Le frère de Dyson fronce les sourcils et je le laisse prendre la parole.
« Peut-être cherche-t-il a nous séparer par crainte qu’on ne parvienne à l’arrêter ?... Ou alors, Mouse sait peut-être quelque chose qui nous serait utile. Il a l’air d’avoir une façon bien à lui de penser… Lui poser la question à l’occasion pourrait peut-être nous servir ? »
C’était fort possible en effet. Tout comme le vieux McCroquette, Mouse n’était pas à sous estimer pour moi.
- En tout cas, je reprends finalement d’un ton détaché. Ça c’est terminé avec ces mains sur ma tête et un message incompréhensible gravé dans mon esprit.
Je termine avant de me baisser et d’écrire le message transmit par le Spectre par terre.
- Je ne sais pas ce que ça veut dire, mais c’est sans doute important.
Soreth se penche à son tour pour étudier le message au sol. Il secoue la tête désemparé avant de dire.
« Ça n’a…Absolument aucun sens ? S’il cherchait à nous faire parvenir quelque chose, pourquoi le faire de manière si… Obscure ? »
Sa question n’était pas stupide, loin de là. Au contraire, j’efface le message sans prendre la peine de m’assurer que tout le monde là bien vu. Après tout, s’il était codé, c’était sans doute pour une bonne raison.
- Et bien, je vois plusieurs solutions à ça. Et pour moi les plus plausibles seraient que 1) Le message à était crypté car une personne parmis nous ne joue pas franc jeu et ne doit pas en connaître le contenue. 2 ) La créature ne communique que de cette façon, même si j’ai de très gros doute là-dessus. 3 ) Ce message ne nous est pas réellement destiné ce qui nous place dans la position des messagers.
Et l’idée d’être un pion dans une partie d’échec ne me plaisait absolument pas.
- Je déteste ne pas savoir ce qui se trame et ne pas avoir plus de réponse à fournir. Pire encore, il se pourrait que l’on soit manipulé depuis le début et ça…
Je n’avais pas besoin d’en dire davantage pour démontrer ce que l’idée m’inspirait. Le fait que je sois en colère suffisait largement.
« Si l’un d’entre nous joue réellement double jeu… » Reprend Soreth avec un air plus sombre. « Je n’ai absolument aucune idée de qui il pourrait s’agir. On a tous l’air assez perturbé par notre arrivée dans ce monde, même s’il est possible qu’il est fait semblant… Et si nous n’étions que de simples messagers, à qui d’autre le Spectre pourrait-il demander de l’aide ? »
Pourquoi l’espion devrait-il avoir conscience d’en être un ? S’il ignorait sa condition, son efficacité serait optimale. Puisqu’il n’aurait pas conscience d’en être un, il n’aurait pas peur d’être démasqué et ses réactions seraient non jouées. Authentique. Qui plus est, il serait plus difficile voir impossible, de le démasquer à temps.
- Je l’ignore. Il y a beaucoup trop d’inconnu dans cette histoire. Je lui répond, après avoir décidé de ne pas évoquer la possibilité d’un espion qui s’ignore dans nos rang. Non sûre, que quelqu’un ne joue pas franc jeu avec nous.
Je fronce les sourcils et reprends en pleine réflexion.
- En réalité, il est possible que l’on détienne déjà la solution pour le décrypter sans en avoir conscience. Quand aux possibles autres inconnus dans l’équation, vu les réactions liées à notre arrivé à Gravity Falls et ce qui nous est arrivés depuis le début, je ne serais pas surprise si d’autres emmerdeurs finissaient par faire leur apparition bientôt.
A ces mots, le frère de Dyson acquiesce d’un signe de la tête.
« Ca promet. Et si leur objectif premier était de nous diviser, ils sont sur la bonne voie… »
Encore une fois, il n’avait pas tord. Mais je n’avais pas l’intention de rester les bras croisés à attendre que les choses me tombent dessus. J’avais bien l’intention de retrouver les autres et montrer à tous ceux qui se mettraient sur mon chemin, que je n’étais pas une simple demoiselle en détresse. J’étais un ombre. Et même sans mes pouvoirs, je restais redoutable.
Et je n’étais pas la seule dans ce cas..
- C'est vrai. Dans ce cas, ont va leurs faire regretter d'avoir croisé notre chemin. Vous êtes avec moi ?
« Evidemment. » Il confirme avec un sourire franc. « On va leur faire regretter de nous avoir amener ici. »
- Montrons leurs, de quoi les habitants de Storybrooke sont capables. J’esquisse un rictus mauvais lorsque Dipper attire notre attention. Il venait de trouver plusieurs brindilles cassées, mais elle n’était pas dans la direction des zombies, ni de la ville. Quelqu’un d’autre était-là.
« Pacifica disait dans son texto qu’ils ont vu quelqu’un avant d’aller en ville. On devrait peut-être les rejoindre… Quelque chose se passe, je sais pas trop quoi, mais ça n’a rien de bon. »