« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Silencieux, je la laissais s'exprimer librement, sans riposter. Mais chaque mot était une larme que je versais. Parce que je préférais pleurer , que la blessée avec une parole, avec une vision ou avec un geste. Chaque fois qu'elle me tapait sur le buste, c'était comme un poignard qui me transperçait le coeur. Chaque coup me faisait mal émotionnellement. Mais j'endurais et je prenais le blâme, parce que j'étais le fautif. Je ne répondais rien, parce que le message était clair. Et me buter, je n'avais rien à faire qu'elle me butte. Si ça pouvait la soulagée et la défoulée pourquoi pas. À sa bille de gaz hilarant je préférais reculer pour me mettre hors de la fumée. Quand je me retournais il avait cette boite à surprise, elle avait voulue me faire exploser? Elle était vraiment en colère, je crois. Je l'esquiva du mieux que je pouvais, en prenant la fuite, mais j'aurais tellement voulue exploser pour me faire pardonner. Puis ,je décidais de la laisser partir parce qu'elle ne voulait plus rien savoir de moi . Je marchais pour m'éloigner sanglotant, essuyant chaque larme au passage avec ma main. En marchant dans les jardins, j'aperçue des corps sur le sol. Des cadavres. À cet instant, j'aurais aimer être l'un d'eux. Qui les avaient tuer ? Peu importe , et même si c'était Mina. Est-ce que j'allais la jugée pour autant , lui en vouloir parce que c'était une meurtrière ? Non ! Parce que je sais que nous avons tous une part d'ombre en nous. Nous avons tous un jour montrer ou pris une mauvaise décision , qui nous a apporté sur le chemin du mal. J'en étais la preuve, j'avais blessé et vexée la femme que j'aimais. Oui je l'aimais sans même la connaître parce que je suis un homme qui aime au coup de foudre. Qui aime au premier regard. Qui apprend à connaitre la personne après et a l'apprécier tel qu'elle est. Ensuite j entendais klaxonner, c'était la limousine . Mina avait sans doute embarquer. Moi je n'avais aucune envie d'embarqué, parce qu'elle était simplement dans le véhicule . Elle ne voulait plus que je l'approche, mais je n'avais pas vraiment le choix.. C'était soit ça ou je désertais, pour aller me balader et me défouler en peinturant une murale sur un immeuble. Merci Alfred ! Vous avez gâché une façon d'exprimer ma peine à cause de vous je vais devoir réfléchir
Dans la Limousine
Alors que j'embarquais à contre coeur dans la limousine , à ma place habituelle en silence, car au fond de moi je l'avais qu'une envie me jeter en bas de la limousine. Et qu'elle me passe dessus. Simplement parce que je ne pouvais pas revenir en arrière. Et parce qu'elle ne voulait même que je lui offre mes excuses. Je me sentais épuisé à cause de cette magie , qu'on appel l'amour qui me rend si fatigué. Si faible. Si malheureux, parce que voir le bonheur des autres me tuaient. Voir des familles réunis dans la rue de Storybrooke, me rendait malade. Parce que j'avais vraiment envie de vivre moi aussi ce bonheur, mais j'accumulais que les malheurs, les soucis et les problèmes. C'est sûr il a pire que moi ! Mais je me sentais tellement incompris de tous. Surtout de ma colocataire. Parce que oui j'avais violer son esprit , sans sa permission, mais c'était pas pour des mauvaises intentions. Elle venait me faire vivre ce que je craignais : la perdre pour le moment. Mais à cause de cette histoire, j'aurais du mal à faire les premiers pas vers n'importe quelle femme. Je revenais au point de départ avec Jasmine. J'avais fuis la princesse, parce que j'avais peur de m'engager, de faire les premiers pas. Mais avec ce qui venait de se passer, je serais toujours l'homme qui aurait peur de en marcher en premier vers une demoiselle. Après cette histoire, j'aurais peut-être besoin d'un psychologue. Parler à Park. Garder le silence et me refermer sur moi- même. Je ne sais plus ! Elle venait de me déboussolé.
Nous étions enfin arrivé à destination. Mina partait de son coté, et j'avais pris le mien. Quelque part à l'écart, loin des regards, loin de cet équipe, Loin de ce robot et toute cette guerre. Parce que je devais déjà en gérer une .La guerre entre ma tête et mon coeur. L'équipe n'allait sans doute pas comprendre. Ou simplement m'ignorer, parce que c'est pas ça qu'on fait quand qu'on a rien à battre de quelqu'un. J'avais besoin de me plonger dans une réflexion qui allait changée ma vie pour le meilleur ou le pire. Ou je m'étais réfugié pas d'importance c'est un détail. Toute façon , l'équipe était occupé à leur projet de sauver le monde.
Les méchants sont là !
Tout à coup les méchants débarquaient. C'est à ce moment là , que je décidais de refaire surface. Mon regard noisette se posait sur la scène des méchants qui arrivaient pour affronter les héros. Une scène digne des films de marvel et Dc Comics, ou les deux camps vont se confronter , mais quel serait mon camp ? Alors que j'avais rester à l'écart de tous pendant leur combat avec Ultron. J'avais pris ma décision, je jetais un dernier coup d'oeil à la femme que j'aimais et qui m'avait rejetée pour ses diverses raisons. Je n'allais plus l'approcher, ni même lui parler, ni même jouer les supers-héros, car je me sens pas comme tel . Si je serais un héros, J'aurais su la protéger de moi et mes sentiments. Mais je ferais ce qu'elle m'a demandée.
Parce que j'étais un homme soumit, qui faisait toujours les caprices des princesses. . Je serais le fautif de l'histoire, comme je l'avais été pour Jasmine. Je vais prendre tous les tords qu'elle voudrait que je prenne et assumer mes actes. Parce que dans son réaction , j'ai perçu qu'elle n'était pas la même. La preuve dans les jardins du malheur, il avait des cadavres . Elle avait commis des meurtres ? Elle était différente, simplement parce que si Mina était une tueuse. Elle m'aurait achevée , au lieu de me sauver? Non! Mais j'ai aussi perçu que je lui avais fait peur avec ma déclaration d'amour maladroite. J'étais le mauvais timing, mais j'en pouvais plus de vivre dans l'incertitude. D'être l'homme indécis entre deux femmes totalement différentes, mais qui me plaisaient pour des raisons différentes. Et être pris dans un triangle , quand vous êtes celui du milieu c'est dur sur le moral.
Mais Je me sentais vraiment coupable de l'avoir blessé. Je culpabilisais .Et je détestais faire mal , même involontairement aux personnes qui me tenait à coeur. Que j'aurais toujours cette envie sangloter , en silence. Parce que je suis aller trop vite, qu'elle a mit son armure. Et parce qu'elle n'était plus la même, donc elle n'avait rien à faire de moi et ma romance , du rêve arc-en ciel que je lui proposais.
Même si elle m'avait fait de la peine, parce que tout ce que je voulais c'était simplement lui offrir un souvenir de notre rencontre. En lui disant que je l'aimais parce que je suis un homme timide. Qui a vraiment du mal à s'exprimer, surtout avec elle. Notre première rencontre avait changé ma vie de plusieurs manières. J'avais trouvée une maison , j'avais fait la connaissance de Park et j'avais eu le coup de foudre pour Mina. J'aurais du me taire. J'étais trop tôt pour elle.
J'ai été maladroit comme je l'avais toujours été, parce que je suis gaffeur. Et j'ai tendance à toujours mettre les pieds ou il ne faut pas . M'attirer des ennuis. Me prendre des baffes sur la gueule, parce que je fais parfois l'idiot en faisant n'importe quoi. Je regrettais certaines choses, j'aurais du faire lui faire voir des licornes multicolores, comme première vision à Dyson. Il aurait peut-être préféré ça. Malheureusemet, j'avais envie de partager mes sentiments avec lui concernant Mina pour qui comprenne que j'avais vraiment envie de partager des moments à deux. Je ne voulais pas le traumatiser. En entrant, je lui écrirais un email d'excuses. Pour Overwatch, je n'avais rien fait de mal. Pour moi , elle était une femme très brillante. J'aurais aimer un peu plus la connaître, pour la trouver moins ennuyeuse, parce que peut-être quand tu l'as connais mieux, elle a peut-être un petit côté amusant. Maara le vomit c'était un incident, j'avais voulue m'excuser avec mon sourire, mais elle avait préférée me lancer de la magie. Une magie que j'avais éviter de justesse. J'irais lui trouver des nouveaux souliers pour me faire pardonner et je demanderais à Dyson de lui donner de ma part. Parce qu'il me doit bien ça, après la claque en plein visage. Parce que j'aurais pu riposter et lui mettre une pour ses paroles blessantes. Et en plus il était contre l'idée que je veule flirter avec une ses amies. Juste penser qu'il dévoile tout, qui n'accepte pas que je l'aime sincèrement. M'avait donner l'envie de laisser le héros derrière moi, et prendre le côté des vilains. Mais j'ai préféré me prendre la baffe en me taire. Faire comme si je n'avais rien entendu. Toute façon, il sera sans doute content de savoir que nous étions en froid. Il avait aussi Wonder- Woman, j'aurais pu l'apprécier, mais je me sentais jaloux . Est-ce que je leur en voulait de ne pas m'apprécier ? Pas du tout ! C'était leurs choix. Est-ce que je les détestais ? Non je trouvais seulement qui jugeait trop rapidement ma petite personne.
Finalement me faire détester par tout le monde m'avait aider à prendre ma décision. Mais quelle décision ? Celle d'être un traître , vouloir rejoindre les vilains. Peut-être qu'eux allaient me réconforter de ma peine d'amour. Et m'accepter comme je suis. M'apprécier à ma juste valeur, parce que tout ce que l'équipe de supers héros avaient fait ressentir. J'étais de me sentir exclu du groupe, à cause de mon attitude étrange. Mais moi je dois accepter leurs attitudes. Comme celui d'avoir aucune compassion pour un homme qui se cherche juste de se faire aimer, mais qu'il peut simplement fantasmer sur sa colocataire. Et l'attitude de se faire ruiner ses chances de connaitre une femme formidable. Et l'attitude de me faire balancer une boule de magie, à cause d'un vomit. La seule qui n'avait rien fait , était la petite rousse qui préférait m'ignorer. J'avais l'habitude d'être le boulet , la rapace d'un groupe. Parce que depuis toujours je suis orphelin. Que je vis ma vie en solo .
Vu que personne n'a vu cette détresse, que la solitude me tue . Que j'avais besoin de d'une main et non de jugements. Après ça veut sauver la planète ? C'était peut-être moi finalement la princesse en détresse. Qui avait besoin d'aide , et de se faire accepter. Donc leurs agissements envers moi me donnait le gout de passer du coté obscure de la force. Je n'avais pas trouver ce que j'étais venu chercher au bout du monde. Mais c'est la princesse qui aurait le dernier mot sur cette décision. Façon de parler, pour dire ça dépendra ce qu'elle est pour moi une source de ténèbres ou une source de lumière.
Pour moi, la mission a été un échec. Parce que la mission était pour moi , une manière de redevenir un sauveur de princesses. Mais cette princesse n'a pas le gout de revêtir la robe, ni même de mettre un diadème. Façon de parler. Elle avait revêtue un autre costume. Est-ce que ça me déplaisait pour pourtant parce qu'elle semblait différente de la femme qui m'avait sauvée la vie, interrompue sa pause biscuit pour moi . Celle qui avait adopter le petit chat errant que j'avais été ? Non ! Malgré la peine que je ressens au fond moi , je l'aimerais quelque soit sa personnalité. Quelques soit ses défauts et ses réactions. Tout simplement parce que quand on n'aime quelqu'un, on l'accepte comme qu'il est. Et j' espérais qu'un jour, elle pourrait le faire à son tour. Accepter que je suis un homme proche de ses sentiments. Que je suis un homme en manque d'amour. Mais que je peux être aussi , un garçon qui peut aimer la vie , qui peut être fort , parce qu'elle n'a vu que le faible. Elle a vu que le mauvais coté du scarabée . Elle ne connaissait pas l'autre côté. Celui qui à des délires farfelues. L'homme romantique qui fait des ballades en tapis volant . L'homme artiste qui chante, qui pourrait même danser avec elle. Le garçon qui veut voyager dans le monde, mais seul c'est un peu ennuyeux. Et le genre de petit copain que je pourrais être, car le séducteur, le gars qui se pavane. C'est qu'un déguisement . Une façon de cacher que je pourrais être le prince colleur , qui pourrait exaucer tous les vœux d'une princesse. J'aimerais bien qu'elle voit cet homme . Mais je lui laisserais le temps de méditer sur mes sentiments, et quand elle sera prête. Elle sera ou me retrouvée, sans doute dans un coin tranquille. Parce que je vais sans doute faire ce que je faisais le mieux : Trouver un échappatoire. Mais lequel ?
Sans regarder derrière moi, je m'approchais de l'équipe des vilains, d'un pas sûr de moi. Puis un sourire se dessinait sur mes lèvres. Terminer de faire l'idiot. Terminer de sangloter pour une princesse. Il était tant que j'explose. Mais de quel coté sera la bombe? Ceux qui me rejetaient et ne m'appréciait pas ? Ceux qui me donnerons la chance de tout détruire au nom de l'amour ? Je jetais un regard à chacun d'eux. Puis Je leur disais : J'aimerais rejoindre votre équipe, car je me sens rejeté par la femme que j'aime . Et il n'a plus rien qui me retient . La seule chose qui me retenait à cet équipe était Mina. Je fis les premiers pas en direction de LiveWire. Je lui disais : - Alors mon minou prête à me câliner ? Parce que j'ai vraiment envie de câlins moi, tu pourrais me consoler , j'ai de la peine. Je fis un clin d'oeil .J'étais à quelques centimètres d'elle. Que je me noyais dans ses prunelles électrisantes, parce que j'avais envie d'avoir un premier contact avec ma nouvelle prétendante. J'étais assez proche d'elle , pour effleurer ses lèvres. Mais je n'allais pas le faire ! Non j'avais d'autres projets pour la demoiselle et d'autres projets pour l'équipe de Supers-Héros.
Je trahissais l'équipe de supers-héros ? Ouiiii !
Attention à vos fesses petits héros !!!:
À cet instant nos regards se croisaient (Celui de Livewire et Gambit), comme le coup de foudre. Je t'apportais avec moi dans ma vision. Une hallucination qui avait l'air totalement réelle. Tu étais dans un océan, sous l'eau en train de te noyer, et je te tenais par la gorge. Mes mains dans la réalité s'était enroulée autour de celui-ci. Serrant de toutes mes forces. Puis la vision se continuait malgré ça. Je t'apportais dans les profondeurs de l'océan pour t'empêcher de respirer et remonter a la surface, cet océan de larmes était celles d'un garçon en peine d'amour.
Je ne pouvais pas pirater le cerveau de ma princesse, simplement pour lui dévoiler mes sentiments à son égard, parce que j'étais un homme timide. J'allais pirater celui de LiveWire, sans gêne. Pourquoi ? Parce que j'avais besoin de buter une femme dans ma vie , pour me défouler de ma souffrance causée par toutes celles qui m'avaient briser le coeur. On peut dire deux femmes : Jasmine et Mina. Et elle payera pour ce qu'elle a fait avec moi dans la salle de bain. M'abandonner de la sorte ça se faisait pas. Et en plus, elle n'avait même pas voulu jouer à Marco- Polo avec moi. Maintenant le petit minou va se faire apprivoiser, et la bombe va tout dévasté. Parce que mon coeur à besoin de détruire les ténèbres en moi. Pour être cet homme que j'ai toujours voulu être pour Mina : Un héros. Quand elle décidera de faire les premiers pas, vers le pardon. Elle pourrait le voir.
Donc ce qui me retient vers le bien , c'est Mina car elle sera toujours ma petite lueur d'espoir pour moi . Elle était celle qui m'a sauvée d'un empoissonnement . Celle qui a fait de moi un survivant de la mort. Je ne sauverais peut-être pas de princesse en détresse. Mais je me battrais lui montrer qui je suis..
Je disais à haute voix à l'équipe de Supers- Héros, enfin ceux qui était présents : Amusez-vous bien les amis, j'ai un minou a domestiqué.
Je trahissais l'équipe de supers-héros ? Nonnn !!!!
Maara Blackhunter
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| Avatar : Katie McGrath
| Conte : Les 5 Légendes | Dans le monde des contes, je suis : : Nightmare
Nous étions arrivés rapidement au Kremlin. Je jetais un dernier coup d'oeil à l'équipe, qui faisait face aux vilains, avant de disparaître rapidement. Ma mission, c'était de trouver Overwatch. Mais au fond, cela m'ennuyait. En fait, depuis la bataille avec la Sorcière Rouge, plus rien n'avait vraiment la même saveur... Sans doute parce que je m'étais un peu trop amusée lors de cet affrontement... Grâce aux ombres présentes un peu partout, je me glissais dans le bâtiment. Et lorsque j'entendis des bruits d'affrontement, ma mission ne me parut plus aussi importante tout d'un coup...
Calmement, je me dirigeais vers l'endroit d'où était venu les bruits, même si ceux-ci avaient cessé à présent. Et en arrivant dans la pièce, je fis face à un véritable carnage. Des hommes étaient au sol, congelés pour la plus part. L'effet kiss Cold sans aucun doute... D'ailleurs, celui-ci m'avait sans doute entendu. Rapidement, je levais les mains pour lui montrer que je ne lui voulais aucun mal. Cela parut le surprendre, mais il n'abaissa pas son canon à neige pour autant...
"Vous tentez de faire quoi là ?"
- Aaaah ! Pile l'homme que je cherchais ! M'exclamai-je avec un léger sourire. Vous savez Cold, vous m'avez impressionné... Et j'aime beaucoup votre petit projet. Je ne suis pas faite pour être avec ces nigauds de gentils... Ils sont tellement crédules qu'ils n'ont même pas senti que j'utilisais mes pouvoirs contre eux. Pathétique... Et pour vous répondre, rien justement. Je ne compte rien faire. J'aurais aimé être là quand vous avez massacré ces hommes, leur peur devait être délicieuse... J'eus un petit soupir de dépit. Tant pis... Je suis sûre que vous n'allez pas tarder à faire d'autres carnages qui seront sans doute tout aussi satisfaisant.
"Je serai curieux de savoir ce que vous proposerez pour me prouver cette curieuse mise en scène."
Clairement, je l'avais appâté. Mais sans doute qu'à cause d'Anastasia, il n'allait pas se laisser convaincre facilement. Pas grave. J'aimais bien les défis... Et montrer à quel point je pouvais être vilaine n'était pas quelque chose dont je pouvais rougir. J'étais une créature du mal, une créature de la peur et je le serais toute ma vie... Je commençais à m'en rendre compte. L'espoir et toutes ces conneries, ça n'était pas pour moi.
- Si méfiant... J'apprécie. Dis-je avec un petit sourire narquois. Vous semblez avoir perdu le Ministre... Laissez-moi aller le chercher. Et si ça peut vous rassurer, je ne baragouine pas un mot de russe. J'ai toujours préféré l'obéissance des Russes à leur langue... Proposai-je en haussant les épaules.
"Je vous en prie. Sachez que si c'est une tentative de coup bas, j'ai la main sur l'une de vos amies." Me dit-il en s'effaçant du devant de la porte qu'il cherchait sans doute à ouvrir avant mon arrivée.
- Sachez que je n'ai pas d'ami. Je ne connais pas la signification de ce mot. Répondis-je froidement avant de balancer une salve d'éclairs contre la porte.
Ce fut radical bien évidemment. Pénétrant dans la pièce, je me rendis rapidement compte que le Ministre était un homme prévoyant. Il y avait une sortie à l'arrière et alors que Cold entrait dans la pièce, je la lui montrais. Par la fenêtre, je pouvais apercevoir le Ministre entouré de policiers qui montait dans une limousine.
"Bien, je ne m'entoure que de gens comme cela." Répondit-il malgré tout, les lèvres serrées.
Manifestement, quelque chose le dérangeait. Mais je ne m'en préoccupais pas trop.
- Dommage, le Ministre s'en va... On ferait mieux d'aller s'occuper des criminels qui ont attaqué le Kremlin, qu'en pensez-vous ? Demandai-je avec un sourire en coin.
"Nous irons dans un instant. En attendant, j'ai un robot en première ligne d'attaque et un jeu immense qui les retient dans ailleurs, le temps du... "feu d'artifice". Je suis d'ailleurs surpris de vous voir ici, mais vous semblez la plus puissante de part vos ambitions. Bref, ce n'est pas le problème. J'ai besoin du ministre."
Il me cassait les pieds avec son jeu. Je n'étais pas là pour ça. Et puis j'avais horreur de suivre les règles des autres...
- Le feu d'artifice ? Les fusées ? J'ai hâte. Dis-je avec un sourire avant de soupirer. Bien... Allons chercher le Ministre.
"Je commence à vous aimer vous."
Sur ces mots, j'empruntais la sortie de secours du Ministre et dès que je fus dehors, j'envoyais des éclairs assez puissants pour assommer tous les policiers. Et accessoirement, pour bloquer une quelconque avancée de la limousine. De toute façon, quand on était assez stupide pour se mettre à l'abri avec une limousine, on ne méritait pas de réussir à partir selon moi... C'était d'une débilité monstre...
"Oui, exact. Et lorsque le feu d'artifice retentira, mon équipe, aux quatre coins de la ville, qui est déjà prête, se servira de leurs pouvoirs pour semer la terreur. Le ministre verra alors de lui même l'existence de la magie, la menace qu'elle représente, et je pourrai facilement faire passer ça pour un attentat, lorsqu'Ultron aura porté l'assaut final."
Manifestement, Cold croyait sincèrement qu'il contrôlait son équipe... Quel idiot. Puisque je les avais vu dans le centre de Moscou juste avant de venir le rejoindre, je savais de source sûre que ses vilains ne faisaient pas ce qu'il attendait d'eux. Et au fond, c'était parfaitement normal : les vilains n'obéissaient qu'à eux-mêmes. Mais Cold était trop con pour le comprendre manifestement.
Tout en parlant, nous vîmes le garde du corps du Ministre sortir de la voiture. Cold réagit bien vite, gelant son manteau pour lui servir de pare-balle avant de geler le garde du corps.
"Je vous en prie."
Bah voyons ! C'était toujours aux femmes de faire le sale boulot de toute façon...
- Mais avec plaisir ! Répondis-je avant d'ouvrir la porte et d'attraper le Ministre par le col pour le faire sortir.
L'homme était assez fier pour garder la tête haute alors qu'il mourait de peur, je le sentais. Il parlait en russe et bien évidemment, je n'y comprenais rien. C'était Anastasia l’interprète, pas moi. Quant à Cold, il attendait quelque chose. Il reste un long moment à attendre même. Sans doute l'explosion. Lui avais-je préciser que j'avais stoppé les fusées ? Je n'en étais plus certaine d'un coup. Oups.
Soudain, un éclair se fit voir devant le Kremlin.
"Qu'est-ce que... ?"
Ah. Comme moi, Cold n'y comprenait manifestement rien. Suite à l'éclair, les environs devinrent flous. C'était très étrange. Quand tout revint à la normale, il n'y avait plus les corps des policiers. Tiens donc.
- J'ai comme l'impression qu'un nouveau pion vient de faire son apparition... Murmurai-je.
Je n'étais pas certaine de savoir s'il s'agissait d'une bonne ou d'une mauvaise chose.
"Qu'avez-vous fait ?" Me demanda-t-il, méfiant en pointant son arme sur moi.
- Moi ? Rien. Je vous l'ai dit, je n'ai rien fait contre vous personnellement. Cet éclair ne portait pas mes couleurs...
"Ce n'étaient pas non plus les éclairs de Scarlet Witch." Continua-t-il, buté. "Ça a provoqué quelque chose tout autour de nous. Étonnement lorsque vous êtes arrivée. Vous vous êtes rapproché de moi pour activer quoi ? Un champs de force ?"
- Si cela c'était passé quand je suis arrivée, ça serait arrivé plus tôt. Réfléchissez un peu voyons... Comment aurais-je pu faire quoi que ce soit alors que je suis avec vous depuis un bon quart d'heure ? Répliquai-je, exaspérée.
L'éclair toujours visible dans le ciel généra alors un autre trouble. Cette fois, ce fut la limousine du Ministre qui disparut. Étrange vraiment. Puis je vis un homme quivi d'Overwatch. Ceci dit, l'homme... Bugait. Comme une image mal réglée. Il prit l'apparence de Dyson, celle de Reverse-Flash puis celle d'Anastasia et enfin celle d'Ultron, quoi que légèrement moins grand.
"Bordel Ultron que fais-tu ?!" S'énerva Cold, ce qui me fit sourire, je l'avoue.
Ultron nous regarda tour à tour. D'abord Cold, puis Overwatch et enfin moi.
"Nous avons tous été trompés. Nous ne sommes pas à Moscou."
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| Avatar : Nina Dobrev
I'VE TASTED BLOOD AND IT IS SWEET
I'VE HAD THE RUG PULLED BENEATH MY FEET
I'VE TRUSTED LIES AND TRUSTED MEN
BROKE DOWN AND PUT MYSELF BACK TOGETHER AGAIN
STARED IN THE MIRROR AND PUNCHED IT TO SHATTERS
COLLECTED THE PIECES AND PICKED OUT A DAGGER
I'VE PINCHED MY SKIN IN BETWEEN MY TO FINGERS
AND WISHED I COULD CUT SOME PARTS OFF WITH SOME SCISSORS
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| Conte : Un conte ? Pourquoi faire ? | Dans le monde des contes, je suis : : Un mystère qui évolue sans cesse.
Viens ici la boite de conserve ! J'vais te démonter pièce par pièce moi, tu vas voir !
Feat. des vacanciers comme moi (Spider-Dydy, Wonder-Jez, Anya-Watch, Black-Raven et Gambit- Ali).
.
« Vous osez me toucher, moi, qui vous suis déjà bien supérieur. Demain, vous allez plier devant les futurs chefs de ce monde. Reverse-Flash, Scarlet Witch, Magneto, Livewire et Le Joker. Vous supplierez pour notre clémence envers vos corps misérables et meurtris. Vous n'avez aucune idée de ce qui vous attend. »
– Hé la boîte de conserve ! Je l’interpelle en haussant légèrement le ton. C’est pas parce que t’es un tas de ferraille qui parle, que tu vaux mieux que nous ok ? Alors comme t’es le super vilain le plus pourriiiiii de l’univers, toi et ton blabla à la con dont tout le monde se fiche, vous allez gentiment retourner au rayon conserve du supermarché où l’autre idiot de congélateur vous a trouvé pour reprendre votre vie de merde, là ou vous l'avez laissée. Sinon, tu vas finir en pièce détachée.
A chaque fois que mon ton devient plus agressif, menaçant, le tonnerre gronde. Irritée, je récupère mon Riccardo de derrière mon dos et pose le manche par terre, pas impressionnée du tout par la saloperie parlante qui se la jouait « je suis le tout puissant ahhhh ». Gros naze !
Qui plus est, il était hors de question que je me laisse me laisse dicter ma conduite par une boite de conserve volante. Et puis quoi encore ? Il m’avait bien regardé le débile en conserve ? Pour commencer, il n’avait aucun intérêt, aucun. S’il était pas assez « évolué » pour comprendre qu’il était juste-là parce qu’un jour, un idiot c’était dit que ça serait super cool d’avoir un robot de compagnie au lieu d’un clebs comme tout le monde, c’était pas mon problème. Moi, celui qui m’intéressait vraiment, c’était l’enfoiré de clown vert que j’allais saigné, juste parce qu’il avait osé me piquer la victoire. D’ailleurs, avant que j’oublie :
– Au faite le naze, elle est où ta copine red queen hein ? J’ai un bloc de béton à lui mettre aux pieds, histoire qu’elle aille rendre visite aux petits poissons dans l’eau…
Bon. J’avais pas eu le temps de repérer un chouette coin pour lui faire prendre le flotte, et je savais toujours pas ou trouver du béton, mais c’était pas vraiment un problème. Après tout, si je trouvais un port où un pont, j’étais certaine de trouver ce que je cherchais. Et si les anciens propriétaires de ce que je voulais n’étaient pas d’humeur à coopérer, je savais exactement quoi faire. Bloup bloup. Coucou petit poisson rouge..
Dans tous les cas, la boite de conserve volante n’était pas du tout amusante. Elle comprenait rien aux blagues, QUEL NUL ! Bien sur qu’elle était drôle Jez ! D’ailleurs, je me suis empressée de le lui confirmer, en bonne camarade de jeu que je suis.
– Bien sur que tu t’améliores ! Je reprends en hochant légèrement la tête. Écoute pas la boite de conserve, elle est même pas capable de faire la différence entre sa nièce et sa sœur que j’ai mangé quand j’ai squatté chez Barbie, parce qu’il n’avait auuuuucune idée de comment faire la cuisine.
A ce propos. Sa famille était plus dans la conserve de fuit, ou de plat déjà préparé ? De légume peut-être ? Si ça se trouve, j’avais déjà mangé la moiiitié de sa famille. Un robot sans famille ça donne quoi ? Un robot démembré ! Oui, parce que j’allais lui arracher touuut ce qui dépassait. Comme les deux bras, les jambes et la tête par exemple.
« Ne fais pas attention à ce qu'il dit, il fonctionne comme son équipe de nul, parler pour provoquer, pour gagner du temps. »
« Wow c'est quoi ce truc ?! » Lâche le Dyson de droite.
« Mais c'est quoi ce bordel ?! » S’écrit le Dyson de gauche.
– Ah bein c’est pas trop tôt ! Je ronchonne mécontente. Quel arnaque ce produit, j’ai du attendre 3 heures pour avoir une pauvre petite hallucination, toute pourrie en plus.
Déçue, je regarde les deux Dyson tour à tour avant de terminer dégoûtée :
– Puis c'est quoi cette hallucination hein ? Une promo ? Un mini Dyson acheté, l’autre offert c’est ça ? Il fait la cuisine au moins le second mini Dyson ? Parce que s’il fait pas le ménage, la cuisine ou la vaisselle, IL DÉGAGE !
Pfffff. Comme si j’avais envie d’un mix d’asperge en couche-culotte dans mon hallucination. J’vais me plaindre à son créateur, c’est une honte !
Sauf qu’apparemment, c’était pas du tout une hallucination. Vu que Jez et grand-mère Dyson voyaient aussi en double. Du coup, j’avais toujours pas eu droit à mon hallucination. QUELLE HONTE !
– Quel salaud ! Je lance outrée. T’as osé me faire croire, que j’avais enfin l’hallucination que je mérite alors qu’en faite non ? TU VAS ME LE PAYER POUR CA.
Et pour commencer, il fallait dégommer les deux Dyson. C’était une bonne idée ça non ? Bon, le notre serait mort, mais ça serait pour la bonne cause ! Il serait mort en héro, c’est pas ce que cherche les super héro dans les jeux vidéos ?
– Bon alors, qui veut mourir en premier ? Je demande en levant Pedro au dessus de mon épaule. Le petit moustique numéro 1 où le petit moustique numéro 2 ? J’attends vos propositions..
A ces mots, le Dyson de gauche recule par peur. Tiens, encore une flipette. C’était le festival des trouillards aujourd’hui ou quoi ?
« Bon allez, je sais que l'un de vous deux est un copain d'Ultron, ton humour est aussi pathétique que le mien. »
« Tu penses vraiment que je suis Ultron ? Wonder Woman, je suis celui qui essaye de te séduire depuis le début. »
Ah ! Lui il dit vrai. Tout le contraire de moustique, qui passe son temps à inventer des histoires débile pour faire croire que non, il drague pas Jezabel. Comme si ont été débiles !
« Alors de un, je séduis PERSONNE. Jezabel, il serait temps que tu vois l'homme que je suis, et pas un enfant idiot en métal. »
Ça, c’était bien une excuse débile. Et le seul capable de croire qu’on avait une chance d’y croire nous aussi, c’était l’idiot de l’équipe. Idiot, qui était persuadé que dire qu’il était pas un petit garçon en couche-culotte mais une homme, le rendait plus adulte. Ah ah ah, la blague…
« Le voilà le vrai crétin ! »
– Crotte-de-bique ! Je m’exclame dégoûtée. Désolé Eduardo mais le bain de sang, ce sera pour la prochaine fois. Pardon mon chou..
Je caresse amoureusement la tête de mon arme avant de jeter un regard assassin a grand-mère Dyson. Si Alejandro était triste à cause de lui, elle allait m’entendre la fillette déguisée en araignée. Boudeuse, je tourne donc le dos à mini Dyson pour reporter mon attention ailleurs, lorsque je vois la boite de conserve faire joujou avec MON CHANGEMENT CLIMATIQUE. LE MIEN ! Ça, c’était HORS-DE-QUESTION.
– HEEE ! Je crie hors de moi. C’EST MA MAUVAISE HUMEUR QUI A TRAFIQUÉ LA MÉTÉO ALORS SI TU T’AMUSES ENCORE A FAIRE JOUJOU AVEC MA MÉTÉO, JE VAIS TE GRILLER SUR PLACE ESPÈCE DE TAS DE FERRAILLE A LA CON.
Pendant que j’avais crié sur Utron énervée, des éclairs en avaient profité pour frapper un peu partout autour de nous, chose auquel je ne prêtais aucune attention. Trop occupée à fusiller du regard, la boite de conserve pirate de météo à quelques pas de moi.
Il était hors de question que ça se passe comme ça ! Aussi, je récupère l’une de mes boites surprise tandis que Jez s’occupe de la mocheté mécanique et lorsque son attention se reporte sur moi, j’active la boite surprise après avoir tourné quelques tours de manivelle et la lui lance en criant « attrape » au dernier moment. Une fois entre ses mains, la boite surprise lui explose à la tronche et j’éclate de rire, en criant « BOOOOM » tandis que je mime l’explosion qui lui à refait le portrait.
« Ah ! Surpriiiise ! »
J’avais un don pour les surprises, même Jez était d’accord avec moi.
– C'est un beau cadeau qu'on lui a fait hein ? Je demande à Jez avec un sourire satisfait. J'espère sincèrement qu'il le reconnaîtra à sa juste valeur. Parfois, les gens sont tellement ingrats...
« Ah mais je suis d'accord ! Les jeunes de nos jours ne savent plus rien apprécié ! »
Toutes les deux, ont étaient d’accord. Ça me donnait encore plus l’impression, qu’on allait bien s’entendre elle est moi. D’autant plus, qu’il ne lui avait pas fallut longtemps pour transformer la boite de conserve en ferraille fondue. Je savais pas si avec les dégâts qu’il avait reçu il pouvait toujours être vendu à bon prix, mais j’avais bien l’intention d’essayer. On sait jamais, y avait peut-être un culte des boites de conserve quelque part dans le coin.
– Tiens tiens.. Regardez qui est là.. Je demande avec un rictus, alors que les supers vilains font leur entrée dans l’arène en plus des deux mini Dyson en trop.
Smiley était ENFIN de retour. L’heure de la vengeance avait sonné ! Et il allait dé-gus-ter…
– Toi, t’es mort ! J’annonce menaçante a Clowny. Mais avant, tu vas me payer les intérêts que tu me dois, tu m’entends ? J’aime pas les mauvais payeurs.
Et c’est à peu près à ce moment-là, que l’autre idiot de l’équipe à tenté de prendre les supers vilains pour des cons et qu’il c’est fait cramé comme une merguez. Et bien sur, il fallait qu’il atterrisse à mes pieds, A MES PIEDS !
– Ooh… c’est un cadeau pour moi ? Merci ! Je lâche à l’attention de la fille électrique flattée. Suite à quoi, mon visage se déforme sous la colère et je lève mon fidèle Gregorio au dessus de ma tête pour l’abattre sur la tête de mon futur ex colocataire, dont la tête va sans doute exploser comme une pastèque trop mure comme les autres, avant que de retrouver bloquée par mini D qui avait lancé une toile d’araignée sur mon maillet pour en dévier la trajectoire. Apparemment il était pas du même avis que moi. Aaaaargh…
« Bon ça suffit vous deux là ! »
Je lance un regard noir à mini Dyson qui en profite pour commencer son blabla dont je n’écoute pas un seul mot. La seule chose que j’entends moi, c’est :
Rien de très intéressant donc. Mais puisqu’il semblait tant vouloir garder en vie ce sale violeur d’esprit pathétique, il avait qu’a ce le garder ! J’étais pas sa nounou moi ! Et encore moins SA COPINE !
– Tien ! Je donne des coups de pieds dans le corps inerte de mon colocataire pour le pousser en direction de Dyson avant de reprendre. J’ai rien écouté de ce que tu as dit parce que c’était chiant, inutile et que j’en avais rien à faire, mais si ça t’amuse de sauver ce gros naze violeur d’esprit, t’as qu’a te le garder. ET QU’IL S’APPROCHE PLUS DE MOI.
C’était clair. S’il se retrouvait d’une façon où d’une autre près de moi, personne ne pourrait plus le sauver. Même pas mini D.
– Hé… Mais qu’est-ce que… C’est quoi ce délire ? Je demande surprise.
Durant quelques instants, tout autour de nous était devenu… étrange. Le paysage était devenu flou et lorsque tout était revenu à la normal, un des bâtiments à droite avait disparut. Il était parti où lui ? Attendez, c’était quand même pas….
– Ah non ! PAS ENCORE ! Je m’exclame hors de moi. C’était la troisième fois qu’on se foutait de ma gueule. La s’en est trop !
J’avais pas encore le responsable de cette stupide blague en face de moi, mais en attendant, j’étais totalement prête à me contenter de la boite de conserve qui venait de dévoiler la supercherie. Ses éclairs avaient crée une étrange énergie qui se rependait par vague qui changeait temporairement l’environnement. Un coup on était à New-York, un coup ont étaient dans une petite rue chinoise et plus tard, on était de retour en Russie après avoir essuyé une tempête éphémère. L’idiot qui avait monté ce coup pourri, était même pas capable de faire les choses correctement. C’était vraiment ridicule.
– Quel boulot bâclé. Je lâche à voix haute, avant que la boite de conserve ne prenne la parole.
« J'ai du mal à identifier l'origine de cette supercherie. Nous ne sommes pas à Moscou. »
– Non tu crois ? Je lance moqueuse à l’attention de la machine. Sans toi, on l’aurait jamais remarqué… CRÉTIN !
« A moins que ça ne soit pas d'ordre technologique. Ces deux là sont doués pour les hallucinations. »
Cette fois, il avait tourné le regard vers moi et le truc dégoûtant sur le sol inconscient. Ça voulait dire quoi ça hein ? De quel droit il nous mettaient tous les deux ensemble dans une seule et même phrase déjà ? Qui plus est, si c’était moi, il serait déjà mort. Il avait de la chance, que je sache pas comment utiliser mon pouvoir parce que sinon, ils seraient TOUS déjà mort. Chose que je me devais évidemment de préciser :
– Si c’était moi, tu serais plus en mesure de le dire. J’esquisse un grand sourire mauvais avant de terminer. Et avec un peu de chance, je pourrais même te le prouver dans pas longtemps…
Tout d’un coup, j’avais très envie que le pouvoir m’envahisse histoire de m’amuser un peu. On allait voir qui allait avoir le dessus sur l’autre après ça..
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Anastasia Romanov
« Men are such babies »
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| Conte : Anastasia | Dans le monde des contes, je suis : : Anastasia Romanov
Pas à Moscou ? comment ça "pas à Moscou" ? Pas à Moscou comme dans "vous n'êtes jamais allés en Russie" ou pas à Moscou comme dans "vous n'y êtes plus même si on ne dirait pas" ? Incrédule et choquée, Anya fronça les sourcils, une légère ride lui barrant le visage. Le fait d'avoir été bernée par un faux Raspoutine était bien moins hallucinant que cette révélation pour le moins ahurissante. Femme de lettres, elle manquait pourtant de mots pour décrire ce qu'elle ressentait. Ses yeux clairs balayèrent l'endroit du regard. Pourtant cela ressemblait bien à Moscou et Anya n'avait pas souvenir d'avoir quitté fait tant de route que ça avec "Raspoutine". Pour la première fois, cependant, Anastasia comprenait à quel point Dimitri avait pu avoir du mal à accepter ses deux vies, celle dans le monde des contes et celle à Storybrooke. C'était à se demander si elle ne comprenait pas non plus qu'il ait pu devenir fou car la révélation avait de quoi rendre zinzin. - On est où alors si on est pas à Moscou ? exigea-t-elle de savoir d'un ton sec sans se formaliser des politesses, rivant son regard d'acier sur le robot, la projection ou peu importe ce qu'il était. La jeune femme ne lui faisait pas spécialement confiance mais il semblait avoir des réponses qui l'intéressaient justement. Anya ne savait pas si elle avait peur ou si elle était simplement très en colère. Elle ressentait peut-être un peu des deux, à la réflexion. Mais si la crainte l'habitait, elle se garderait bien de le faire savoir à l'ennemi, s'attelant plutôt à le faire parler. Il avait l'air bien trop satisfait de son petit tour de passe passe (ou quoi que ce soit réellement) pour s'arrêter en si bon chemin dans ses révélations. Mais la réponse tardait à venir. La machine (ou peu importait ce qu'elle était exactement) semblait figée dans son expression de robot, troublé également, si tant est qu'un appareil puisse l'être. - Je ne sais pas. Le signal GPS ne répond pas, avoua-t-il de sa voix automatisée. - Eh bien faites le marcher, s'impatienta la princesse russe. Pour la première fois, elle commençait à regretter de cette engagée dans cette mission. Après tout, si elle ne savait pas où elle était, Dimitri et Abigaëlle ne le savaient pas non plus et rentrer paraissait un projet qui s'éloignait de minutes en minutes. La machine tourna ce qui lui servait de visage vers une voiture de police non loin puis reporta son attention artificielle sur la rouquine : - Conduisez. Vous allez devoir venir avec moi, j'aurai besoin de vos compétences. Nous devons trouver ce qui nous fait croire à tout ceci. Anya posa ses yeux clairs sur la voiture, impassible. Elle n'avait rien contre l'idée, dans l'absolu, mais il y avait un très léger problème : elle n'avait jamais conduit une voiture de sa vie et n'avait pas la moindre idée de comment ces appareils fonctionnaient. C'était bien leur veine. Jusqu'à présent, Anastasia avait toujours cru qu'il serait facile de se passer du permis de conduire - après tout, Storybrooke n'était pas si grande - mais le destin avait décidé de mettre à mal son hypothèse de départ. - Vous êtes un robot, autrement dit une intelligence artificielle avec un ordinateur qui vous pilote et vous demandez à ce que moi je pilote cet engin ? Hors de question, je ne sais pas faire. Mais allez y vous, c'est un modèle récent, donc elle est bardée de technologie comme vous, assura Anya en croisant les bras sur sa poitrine. L'idée de suivre un robot qu'elle ne connaissait pas ne l'enchantait déjà pas spécialement, alors elle n'allait certainement pas mettre sa vie en danger en acceptant de piloter un engin dont elle ne comprenait pas le fonctionnement. - Mon corps physique se trouve devant le Kremlin. En compagnie de vos amis. Je ne suis qu'une projection sur une machine, je ne peux pas manier le volant. Uniquement réfléchir. Anya roula des yeux, perdant patience. Evidemment, il fallait qu'elle soit assistée de quelque chose qui était là sans vraiment l'être. Heureusement, Maara / Raven s'avéra d'une aide plus précieuse dans la résolution de leur contretemps technique. En moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire, elle avait assommé Cold (dont les commentaires suffisants ne manqueraient à personne, surtout pas à Anastasia) et s'était dirigée vers le coffre de la voiture pour l'y stocké (ce qui n'était pas une mauvaise idée, Anya approuva en opinant légèrement) avant de se mettre au volant. Simple, clair et efficace. La rouquine appréciait particulièrement la démonstration de Maara et monta à côté d'elle tandis que le robot prenait place sur la banquette arrière avant de s'adresser à leur chauffeuse qui démarrait : - Essayez de sortir de la ville, ne vous arrêtez pas tant que le paysage n'a pas vraiment disparu. Anya laissa passer quelques temps durant lesquels ils roulèrent en silence avant de ne finalement s'adresser à Maara : - Au fait, merci de vous être proposée pour faire le taxi. Et assommer Cold. - Pas de quoi, répondit Maara sans quitter la route des yeux. Il commençait à m'agacer, à jacter comme ça. Anya esquissa un sourire entendu, hochant vivement la tête en signe d'approbation. - Et moi donc... Les gens particulièrement imbus d'eux-mêmes ont ce don rare de m'horripiler, commenta la jeune femme en se calant dans le fauteuil passager alors que le silence retombait dans l'habitacle. Ils roulèrent pendant peut-être une demie heure, voire plus. La notion du temps était difficile face à ce paysage étrange qu'ils traversaient. De temps en temps, Anya lançait des regards suspicieux vers Ultron qui ne pipait mot. La rouquine se méfiait même si pour le moment il semblait de leur côté ou, du moins inoffensif. Et comme il ne bougeait pas, Anya inlassablement reportait son attention sur le paysage qui défilait devant sa fenêtre, s'estompant de temps en temps, juste l'espace d'une seconde, pour dépeindre un autre décor avant de montrer à nouveau la Russie. - Je crois que j'ai vu la Tour Eiffel, juste quelques secondes, ne put s'empêcher de commenter Anya, fascinée et inquiète devant autant de technologie, si ce n'est de magie. Paris avait une saveur particulière pour elle qui se trouvait d'autant plus troublée d'en avoir eu un aperçu. Mais l'étonnement ne dura guère car soudain, alors que la voiture venait de passer devant ce qui avait tout l'air d'un générateur noir haut comme une petite maison qui ronronnait paisiblement, le décor dans son intégralité s'estompa définitivement comme si la voiture quittait progressivement un champ de force. Maara freina sur une étendue enneigée uniquement perturbée par une tempête de neige qui faisait rage. Il ne restait plus rien derrière eux de la prétendue ville qu'ils venaient de quitter. C'était comme si elle n'avait jamais été sur la carte, telle la Storybrooke qu'ils connaissaient si bien. Mais au moins la neige mordante qui les entouraient avait le mérite de clarifier une chose : ils étaient en Russie, on ne leur avait pas menti sur toute la ligne. Le robot descendit de la voiture et ouvrit le coffre pour en sortir Cold et le trainer vers l'endroit où ils avaient changé d'environnement. Il le jeta alors de l'autre côté avant de s'y rendre également. Alors le robot disparut à son tour, comme effacé du paysage d'un coup de gomme. Mais il revint, trainant toujours Cold inconscient derrière lui. - C'est une sorte de bulle dans laquelle nous sommes enfermés. Mon signal GPS nous situe au Nord de la Russie, expliqua la machine. Anya hocha la tête, un peu rassurée en dépit de la météo. - D'un côté le monde irréel et de l'autre la tempête de neige. On fait quoi ? demanda-t-elle en se tournant vers Maara. Mais l'autre jeune femme n'eut pas le temps de répondre que déjà Ultron reprenait, catégorique : - Nous devons désactiver cette chose. Elle peut être hostile. Anya haussa les épaules. Elle n'avait pas d'avis très formé sur la bulle qu'ils venaient de quitter mais elle ne lui faisait pas confiance. Le souci, c'était qu'elle ne faisait pas réellement confiance au robot non plus. - La structure noire qu'on a vue... ça m'a tout l'air d'un bon point de départ, non ? demanda-t-elle, attendant de voir ce que le robot aurait à en dire, prête à aviser au fur et à mesure. Anya avait conscience qu'elle ne pouvait pas ne pas agir. Elle espérait simplement qu'un deux ex machina l'empêcherait de commettre quelque chose de néfaste. Et justement, le ciel l'avait peut-être entendue, à moins que ce ne soit le fait de leurs oreillettes, car un vrombissement anormal de moteur ne tarda pas à se faire entendre au loin, détournant momentanément l'attention d'Anya.Ses yeux clairs suivaient à présent la limousine qu'ils avaient vue au centre d'entrainement (qui ressemblait cela dit plus à un entrepôt désaffecté) et qui, depuis, avait été équipée de réacteurs dignes de ceux d'une fusée. C'était surprenant, en plus d'être bruyant mais plutôt ingénieux et sans doute moins dangereux que tout le reste alentours. La voiture-fusée pilla violemment devant le petit groupe. Alfred en sortit précipitamment parlant toujours dans son oreillette : - Géo, renforce l'illusion, Ultron manipule nos amis. Semblant enfin aviser les deux femmes, il leur dit alors : - Ne faites pas ça, cette chose les éloigne du véritable Moscou ! Anastasia fronça les sourcils avec la désagréable impression d'avoir manqué un sinon plusieurs épisodes. L'embrouille avait probablement commencé dans les toilettes du Kremlin, qu'il soit réel ou non, quand "Raspoutine" avait fait irruption et que, sous le choc de la surprise, elle avait accepté de le suivre. Ensuite ils avaient appris qu'ils n'étaient pas véritablement à Moscou, qu'on les avait bernés, mais rien n'avait fuité quant à l'identité de la personne derrière tout ça. En fin de compte, rien n'empêchait Alfred d'avoir mis ce stratagème en place avec Géo Trouvetout. Ils avaient peut-être un plan que la Magic League comprendrait par la suite. - Alors vous proposez de faire quoi ? demanda la jeune femme. Alfred coula un regard vers la projection du robot, méfiant. - Ce truc nous observe, dit-il en desserrant à peine les dents. Anya suivit son regard, circonspecte, le visage impassible, alors que la machine s'approchait d'elle, pressante : - Aidez moi a désactiver cette machine, elle peut être hostile, répéta-t-il. Anastasia arqua un sourcil. Elle n'en laissait rien paraitre mais réfléchit à toute allure, tâchant d'assembler les pièces de cet étrange puzzle. Alfred avait été clair : le robot était un espion qui retransmettait sans doute en direct leurs faits et gestes et tentait de les utiliser pour servir sa cause. Si la bulle magico-technologique repoussait leurs ennemis, elle était effectivement hostile, mais uniquement pour le robot et ses amis. Anastasia aurait sans doute pu le comprendre plus vite, par chance, Alfred était arrivé à point nommé. Sauf à ce qu'il les manipule également, mais Anya préférait lui accorder sa confiance et chercher comment aveugler leur taupe. - Alfred, n'ayez pas peur, déclara-t-elle de cette voix rassurante qu'elle prenait pour consoler Abigaëlle. Il nous a aidés à sortir de la bulle. Il faut me faire confiance, continua la jeune femme, pesant le poids de chacun de ses mots : elle marchait sur des œufs, il ne fallait pas que le robot comprenne le double sens de ses propos. Ce truc est hostile, c'est une certitude, il faut s'en débarrasser vite. Mais... ça pourrait être dangereux, il va falloir la jouer fine... et je me rends compte que je me suis beaucoup attachée à vous alors si vous permettez... Sans attendre son avis, Anya franchit les quelques pas qui la séparaient d'Alfred et le prit dans ses bras ce qui lui permit de communiquer avec lui hors de portée des oreilles du robot : - J'ai compris, j'ai une idée, tenez vous prêt, souffla-t-elle le plus rapidement possible pour ne pas prolonger l'embrassade plus que nécessaire. Anastasia avait horreur des contacts physiques avec les inconnus, surtout les hommes. Mais elle s'y était résolue pour le bien de son plan et potentiellement de leur survie. Alfred était droit, figé et surprit mais une lueur dans ses yeux indiquait qu'il avait compris. Et Géo Trouvetout avait sans aucun doute eu vent du message puisqu'il était à l'autre bout de l'oreillette. Rassurée et par sa réaction et par l'absence de réaction du robot, Anya se tourna vers Maara : - Vous aussi, vous m'êtes devenue particulièrement proche, commenta-t-elle avant de la serrer dans ses bras à son tour. Il faut le rendre aveugle, vous pouvez faire ça, si j'en crois ce que j'ai vu de votre entrainement, glissa-t-elle alors tout bas tandis que la jeune femme lui tapoter le dos pour lui faire comprendre qu'elle savait quoi faire.
Je n'aimais pas être balancée dans des illusions. L'idée qu'une réalité puisse différer de la mienne était très désagréable. Je tournais un regard surpris vers Mina, cherchant son appuie, mais elle semblait aussi surprise que moi de ce qui était en train de ce passer. C'était plutôt marrant, parce que quand le paysage ce flouttait, j'avais l'impression de courir dans mon alo de rapidité. – Quel boulot bâclé. J'opinais de chef, croisant les bras sur ma poitrine. Ca voulait dire quoi ca ? Que quelqu'un d'encore plus puissant que nous ce foutait de notre tronche ? Si ca ce trouve c'était un dieu. Non. Je pense pas. Ils étaient pas comme ca. Je grimaçais, même eux ne savait pas d'ou venait cette surpecherie. J'étais aussi larguée que Mina, et même les mots semblaient me manquer. Noter que c'était quand même très rare ! Je lâchais un ricanement lorsque Mina le traitait de crétin. Bah quoi ? C'est pas de ma faute si elle a raison !
▬ « Bien vue Einstein ! » me moquais-je, les yeux hilare. D'ou il ce permettait d'accuser Harley et Gambit lui ? Qu'es ce qui nous disait que ca venait pas non plus de leurs équipe à eux ? Non mais parce que les surpecheries, j'en ai vue des tas et des tas. Si ca ce trouve ils avaient prit des cours de théatres et ils étaient très doués pour nous mentir ! Je trouvais ca bizarre que la légion du Destin ne faisait rien. J'avais l'impression qu'on ce retrouvait tous hébété parce ce qu'il ce passait. Moi la première. Ils faisaient ce qu'ils voulaient, mais moi je voulais me barrer de cette illusion. Je voulais la transpercer pour voir ce qui ce cachait derrière. Pas vous ? Et puis je dois avouer qu'elle donnait mal la tête à bugger comme ca ! Je m'approchais de Mina, tournant un regard noir du coin de l'oeil au super méchant. J'entrepis d'enjamber Gambit qui semblait agréable de faire la sieste par terre. Chacun son délire ! Mais ce serait cool qu'il ce réveille vite, on avait besoin de lui quand même.
▬ « Ca te dirait une petite virée ? » dis-je pleine de malice. « J'ai pas envie de rester ici pendant qu'il ce trame quelque chose ailleurs ! » ajoutais-je avec plus de conviction. Alors qu'elle semblait emballée par l'idée, j'attrapais son bras avec espièglerie. « Accroche toi ! » dis-je brutalement avec amusement, avant de l'emmener dans la vitesse qui nous portait toute les deux à travers la fausse ville. Alors que l'alo lumineux nous entourait d'un bleu électrique. Même en courant, je pouvais voir à travers la vitesse que Moscou était faux. Complétement faux. Nous atteignons la fin de l'illusion, et je me m'arrêtais en dérapant sur la neige. Provoquant une vague de flocons sur le sol. Nous étions en plein désert de la Russie, et une tempête de neige nous secouait les cheveux et agressait nos visage d'un froid mordant. J'entrepris d'élevé ma température corporelle afin de ne pas subir le froid. Et oui, j'étais un radiateur à moi toute seule ! Le blizzars ne cessait de nous secouer de gauche à droite. J'avais l'impression d'être sur un bateau !
▬ « La vache, ca les tueraient de fermer la porte du congélo ? » ironisais-je. Bah quoi ? Un peu d'humour quand même ! Je plissais les yeux, remarquant des silouhette à travers le mur de neige qui nous secouais . Il y avait Raven, Overwatch, ainsi qu'Alfred et une limousine. Je me rapprochais piqué de curiosité, repérant une voiture de police et Cold imitant parfaitement la larve des neiges sur le sol. Et ...Oh. Mais je croyais lui avoir botter les fesses à lui ! Alors que je rejoignais Anya et Maara, mes yeux lachèrent un regard assassin sur une projection d'Ultron. Mais il était partout ! Lequel était le bon que je lui crame encore une fois la tronche ? Il ce tenait près d'un boitier noir, qu projetais le faux Moscou. Au moins cette Ultron là était moins grand et imposant que l'autre. Je suis certaine que si je m'approchais de lui et que je lui cramais le torse ca allait lui faire que dalle. J'avais envie de balancer une boule de feu sur le boitier noir, afin de mettre fin à cette immense mascarade. Mais quelque chose me disait que ca serait pas une bonne idée. Ce bon sens me choquait presque. Comme quoi je faisais des progrès !
▬ « Mais je croyais l'avoir cramé lui ! » M'indignais-je, d'une mine boudeuse. Je m'approchais de lui, le visage emplit d'une colère noir. Mais il était entouré d'ombre. Je m'arrêtais brutalement, inclinant la tête sans comprendre ce qui était en train de ce passer. Je reculais en coulant un regard vers Anya. Elle allait bien. C'était le principale, j'étais contente de voir que elle et Raven n'avait aucun mal. « Mais il ce passe quoi là ? » m'étonnais-je. J'étais complétement largué. On peu revenir en arrière je vous prie ? J'étais pas prête.
« On essaye de se débarrasser de... je crois que c'est la projection du robot mais j'en suis pas totalement sûre. » Une exclamation de surprise ce formait sur mon visage. Mais je l'avais tuer le robot ! Pourquoi est-ce qu'il arrivait encore à ce projeté de la sorte ? Peu être avait-je tuer l'un de es doubles, et que le vrai était ailleurs. C'était frustrant, vraiment frustrant ! Le vent ne cessait de nous secouer tous de gauche à droite. Ca, par contre, c'était agaçant ! A croire que le vent était plus fort que nous, et essayait de nous déloger du sol. J'étais impressionnée par cette météo signé Midnight. J'adorais ce pouvoir.
« Légion du Destin, sortez de la ville. Immédiatement. » Hurla Ultron. Il appelait ses petits copains ? On faisait encore une réunion Texam ? D'accord, mais cette fois ci je prend la fraise. Ca sentait bon la fraise. Larve des neiges ce mit à gémir, et ce réveilla difficilement. Je me penchais avec un sourire carnassier.
▬ « Bah alors on a fait un gros dodo ? » M'exclamais-je en reculant de quelque pas par sécurité. « Ultron, où est Moscou ? » La vache, il suit vraiment rien de l'épisode lui!Il avait toute une saison à rattraper là. « Je crains que je ne vais pas vous répondre. Nous prendrons en charge Moscou. » répondit Ultron. Oh. Une confrontation Créateur & Créature. J'affichais une grimace. Reverse Flash débarqua avec Scarlett et le Joker. J'entrepris de faire un petit coucou au clown avec un clin d'oeil. Je suis certaine qu'une partie de sandwiche dans la neige serait divin. Bah quoi ?
▬ « Ca sent la mutinerie ! » déclarais-je à l'oreille de Mina. Donc même les méchants maintenant faisait des coups bas au autres méchants ? Même entre eux ils sont pas capable d'être fiable, c'est fou ca quand même ! Comme quoi des méchants, bah ca reste des méchants.
« Je vous ai créé. Je ne vous permets pas.. » Je veux pas dire, mais j'avais l'impression de regarder un feuilleton. Les Feux d'Ultron. Franchement, c'est con que je n'avais rien à mangé sous la mains, parce que j'étais vraiment transporté. Reverse Flash apparu, et disparu en prenant Cold avec lui. Quoi ? C'est quoi ce cliffanger ? Je veux savoir la suite moi ! Il n'a même pas laisser le temps à Ultron de dire au revoir à Cold, c'est sadique les séparations comme ca ! Bon, je veux pas dire, mais il serait peu être temps de faire quelque chose là.
▬ « Hého ! Rend moi mon méchant ! » hurlais-je à la l'endroit ou avais disparu Reverse Flash. Je me tournais vers Anya et Maara. Dyson n'était pas là. Il était ou quand on avait besoin de lui ? Il était sacrément à la ramasse quand même ! Rah, les enfants, je vous jure ! Mes yeus s'arrêtèrent sur la sorcière rouge, sur le Joker, puis sur Maara et Anya. On ne pouvait pas laisser Cold filer comme ca ! On devait le rattraper ! Je savais pas quoi faire. J'étais la seule capable d'arrêter Reverse Flash, mais je ne voulais pas laisser les autres avec des méchants aussi puissant. Je jetais un regard hésitant vers Anya. Cherchant son approbation.
« T'as l'air rapide, tu devrais t'occuper de la concurrence pendant qu'on mate les deux autres. » je lâchais un sourire un sourire mal à l'aise. J'aimais pas nous séparé, parce que je n'aimais pas les potentiels adieux. On sait jamais ce qui pouvait ce passer. Je m'étais déjà trop attaché à certaine personne pour pouvoir envisager de les perdres. Malgrès ma réticence, j'hochais la tête.
▬ « Faite attention à vous d'accord ? » leurs dis-je, avant de dispaître à mon tour, emporté par la bourrasque enneigé. Je n'avais aucune idée d'où ce trouvais Reverse Flash. Et ou il avait entrainé Cold. J'étais partis de la Russie pour remonté vers la France, passant par la Suisse. J'entrais sur le térritoire Français comme un coup de vent, slalomant entre les différentes villes, entre les voitures et les passants. Il faisait nuit. Je remontais Limoges, jusqu'au Nord, entrant à Paris pour me dirigé vers la tour Eiffel. Je courrais sur la dame de fer jusqu'à me rendre sur son antenne. La vue de Paris la nuit vertigineuse de Paris était magnifique. Je me tenais à l'antenne, le vent secouant mes cheveux, analysant la ville pour repérer la moindre trace de Flash. Mais je ne le sentais pas ici. Je lâchais un juron en redescendant la tour eiffel, courant sur sa lumière jaunâtre qui illuminait mon visage. Sautant de sa dernière patte pour retrouver le sol et m'élancer de nouveau sur le pays Français. Je traversaisl'Altlantique, mes pieds battant l'eau comme du béton jusqu'à ce que la nuit ne devienne plus clair et ne ce transforme en jour. J'arrivais à la plage New Yorkaise, remontant la robe de la statue de la liberté jusqu'à atteindre sa tête et me glisser entre deux piques de son chapeau.
▬ « Ni ici ... » pestais-je. Des touristes en bas n'avait pas remarqué ma présence, et je resdescendais de la statut verdâtre en quelque enjambé. Je parcourais les Etats-Unis, analysant chaque visage dans ma super vitesse, entrant sur le térritoire Mexicain. Je m'arrêtais quelque seconde, mes yeux furent apper par une vague de souvenir. Cette ville ressemblait à celle de San Angel. Mon cœur fut prit dans un etau, alors qu'après avoir contempler un immense arbre familier, j'entrepris de reprendre ma route. Le cœur lourd. Je traversais l'amazonie, et revint vers l'Afrique pour arpenter la mer Indienne. Ni ici. J'allais quand même pas exploité chaque pays pour le retrouver quand même ?! Mes doigts vinrent cliqueté sur mon oreillette, à la recherche de Géo. J'aurais peu être du commencé par là. « Tu peu me localiser Reverse Flash ? » lui demandais-je, entrant dans la savanne pour remonter au Nord de l'Afrique.
« Euhm, oui oui je suis à toi ! » Dit t-il distrait. Il semblait occupé. « Mon satellite detecte son mouvement vers. euh... il bouge... L'afrique... l'Egypte ! Il vient de s'arrêter en Egypte. Cherche les pyramides, on dirait qu'il est par là. » Oh l'Egypte ! C'était pas l'endroit préféré de Maria ca avec Londre ? Elle m'avait tellement parlé de l'Egypte suite à sa petite excurtion, que j'étais vivement curieuse de m'y rendre. Je traversais le désert ainsi qu'Alexandrie, pour me rendre ou ce trouvait le Sphinx. Je m'arrêtais devant, et entrepris de monter sur sa tête pour me donner un point de vue. Un brouillard de sable commençait à s'élevé, et le ciel semblait obscurcis. Le vent soufflait assez fort. De loin, j'aperçu la silouhette de Reverse Flash, les pieds encré sur le bout de la pyramide, tenant Cold par le cou dans le vide. Hum. Pas vraiment jolie ca. Je descendais du Sphinx pour me dirigé vers la Pyramide de Keops -c'est comme ca que l'appelait Maria- et remontait en direction de Flash en courant sur le marbre. Remontant les millions d'années et les quelques poussières construit par les Egyptiens. C'était déjà plus fiable qu'un immeuble. Eux, ils font des monuments qui tienne des millions d'années, et nous ont fait des immeubles qui ce casse la gueule en dix ans. C'est pas beau ?
▬ « Je suis pas certaine que ce soit la bonne solution. » Dis-je en examinant la situation, me tenant derrière Reverse Flash. « Si tu veux je peu t'en débarrasser si tu me le donne ! » lui proposais-je d'un sourire commerciale. C'était sympa comme contrat non ? Puis en plus il devenait tout bleu Cold, ca cervelle n'allait pas tarder à exploser, ce serait triste de nous tâcher. Et Monsieur Keops risquerait de revenir de Mâat pour nous hanter si ton tâchais sa belle pyramide. Les Pharaons en colère c'est pas trop mon délire. Bien que je suis certaine que je pourrais être facilement copine avec Osiris et son monde des soutterains. Ou peu être Anubis et ses goûts funéraire.
« Tu n'es qu'un misérable insecte qui court sans comprendre le sens de sa vie. Les choses te dépassent, tu n'as pas ta place dans le destin que notre légion écrit. Tout comme lui. Vas-t'en. » Est-ce que je commençais à en avoir assez d'être jugé comme une sombre idiote insouciante ? Oui. Il ne me connaissait pas. Il ne savait pas par quel chemin j'étais passé pour en arriver jusque là. Il ne me connaissait pas.
▬ « Non. Je crois qu'au contraire, c'est toi qui ne comprend pas. Si tu crois que tuer c'est comprendre le sens de la vie, alors tu n'as rien compris. Le sens de la vie c'est devoir ce battre chaque instant, chaque moment pour rester envie. » Commençais d'un œil de braise. C'est en tuant les autres qu'on ce réduit à leurs niveau. « Pourquoi ? Parce que c'est ce genre de gars qui te met des batons dans les roues. Mais c'est pas grave. Tu sais pourquoi c'est pas grave ? Parce que dans la vie, il faut ce relever. il faut ce relever et combattre. Peu importe si tu as mal. Peu importe si la douleur est trop lourde pour que tu puisse répondre au coup. Le vrai courage c'est de continuer de ce relever. Ce n'est pas en tuant que tu apprend à devenir une personne forte. c'est en l'épargnant. » Dis-je en ponctuant chaque mot avec détermination. Ce sont les obstacles qui font de nous ce que nous sommes ! Ce sont eux qui nous apprenne que dans le vie on fait des erreurs. Mais elles sont là pour nous rappeler de ne pas refaire les mêmes !
▬ « C'est quand tu perd des personnes proches, quand tu meurs plus d'une fois, quand tu te sacrifie pour ceux que tu aime, que là, là, tu comprend le vrai sens de la vie. » Dis-je en me rendant compte que je parlais de moi. Je revoyais chaque bride de mon passée sous mes yeux. « Alors ne me vient pas faire un discours sur ce que je comprend et ce que je ne comprend pas. parce que tu es loin de la vérité. » terminais-je, emplit de colère. « Et je viens de penser à un truc ...Je me fou de ton avis. » dis-je cyniquement, le défiant du regard. « Apprendre à pardonner, ca, c'est quelque chose qui te dépasse toi. »ajoutais-je d'un ton mauvais et d'un œil ardent. J'en voulais tellement à Maria. Peu être devrais-je moi aussi apprendre à pardonner. A la pardonner. Il ce mit à me rire au visage. Je le fixais, haussant les épaules. J'en attendais pas moins de sa part. Plus que jamais, j'avais l'impression d'avoir compris quelque chose d'important. Que je ne comprenais pas encore depuis que j'étais partis.
« Je n'en ai rien à faire de tes beaux sentiments, de ton faible sens des valeurs qui ne relève que la niaiserie égale à ta solitude pathétique. Nous sommes à la veille d'une toute nouvelle face du monde qui sera réécrite de nos propres mains. Cold pensait nous contrôler pour un objectif idiot, il ne connaitra que la mort. Il n'a pas de place dans ce monde. Tout comme toi. Mais toi, dans l'ancien comme dans le nouveau, tu n'as jamais eu ta place » Il m'ennuyait. Je le regardais parler avec ennuie. Les méchants, et leurs beaux discours. C'était toujours la même note. Le même ton. Et il ne me surprenait pas. Un méchant restait un méchant. Leurs caboche était tellement dur que même nos mots ne pouvait venir la fissurer. Ils leur fallait que des coups pour qu'ils comprennent. Et je me fichais de pas avoir de place. Jusqu'a maintenant, j'avais réussie à la baptir sans l'aide de personne.
▬ « C'est pas grave. Je la créerais moi même. » assurais-je avec un sourire fourbe. Consciente de la bêtise que j'allais faire. Il me regarda avec méfiance, et sans prévenir, je me jetais sur lui en lachant un hurlement de rage. Nos deux corps s'entrechoquais, perdant pieds pour basculer dans le vide. La chute nous avala alors que je me battais avec lui et que je lâchais des hurlements de luttes, tentant de l'atteindre. Ne prêtant pas attention au fait que nous étions en chute libre, sans aucune matière pour prenre appuie et nous sauver. Alors que nous continuer notre chute libre, la mains de Reverse Flash s'activa.Elle bougeait rapidement, prête à tuer. Je sentis un coup venir m'exploser en pleine dans la visage. Une douleur s'insinua lentement dans mes tempes, alors que du sang explosais dans ma vision, éclaboussant ma poitrine.
« Trop tard, tu viens de donner ton dernier souffle. » ricana Reverse Flash, alors que la douleur insupportable me précipitait au porte du néant, et qu'un liquide chaud et poisseux coulait sur mon front.
« Wonder Woman ? Wonder Woman ? Jezabel réponds, qu'est-ce qu'il y a ? JEZABEL ? » C'était la voix de Dyson. Mais je n'arrivais pas à lui répondre, et bientôt, je n'entendais plus du tout qui que se soit dans l'oreillette. Au final, au lieu de m'en faire pour les autres, j'aurais peu être du prêter plus attention à moi même. Je savais juste qu'en bas, une tempête de sable faisait rage, et que même le ciel était détraqué au point de balancer des eclairs et du tonnerre.
Dyson R. Parr
« Cours Dydy, cours ! »
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La coalition se forme pour trouver à Aster son véritable amour
| Autres Personnalités :Icare J. Skellington - Léon Adonis - Ahsoka Tano
Mon coeur battait à 100 à l'heure. Je perdais totalement le contrôle de la situation. La dernière fois que je me retrouvais dans une merde pareil, c'était Dyson qui gérait ça. Enfin... l'autre Dyson, le plus vieux. Il était sacrément déprimant et assez chiant, mais au moins lui, il savait mieux gérer que moi. Plus ou moins.
D'abord Ultron avait commencé à m'attaquer avec des doubles de moi même... avant de s'arrêter parce que lui même semblait perdu. Jusque là ce n'était pas grave. Le fait que nous n'étions pas à Moscou me rassurait grandement finalement. J'étais justement en train de me dire que ce pourquoi Apollon m'avait contacté était fichu. Finalement, si nous étions au milieu de nul part, c'est que les humains ne savaient toujours rien. Mais le groupe se sépara de nouveau, celui de nos ennemis également, et bien plus que je ne le pensais. Et lorsque j'entendis Jezabel agoniser sans répondre à mes appels... L'encre qui était dans mon sang bouillait d'angoisse.
Un moment particulier se reproduisant dans ma tête. Le coup de feu, et Lily Jones qui tombait. La seule pour laquelle j'avais eu des sentiments sincères. Nooooon, je vous vois venir, je ne suis pas tombé amoureux de Jezabel en deux jours de tentative de drague ! Mais... je m'étais attaché. Et au-delà de ça, elle était des nôtres ! Je ne supporterai pas de savoir l'un d'entre nous mort.
Devant moi il ne restait que Magneto et Livewire, avc Ultron dans leur dos, et Ali par terre, non loin de moi. Maara, Anastasia et Midnight étaient parvenu à sortir de cette fausse projection de Moscou et faisaient face à Scarlet Witch, le Joker et un mini-Ultron. Reverse-Flash avait... non, je refusais de l'admettre. Si je devais aller en Egypte pour la retrouver EN VIE, je le ferai. Cold lui... je n'avais plus compris où il se situait. Il ne semblait même plus maître des opérations.
Je m'étais avancé vers nos ennemis (après avoir mis un coup de pieds aux parties intimes d'Ali dans l'espoir qu'il se réveille).
Mais qu'est-ce que vous voulez bon sang ?! Pourquoi vous agissez sans votre chef ? Pourquoi...
Ultron avait soudainement interrompu son éclair pour faire un pas menaçant vers moi. Cold n'est pas notre chef. Il ne l'est plus. Il a formé La Légion du Destin, mais il s'avérait, ironiquement, que le Destin ne puisse pas l'accueillir.
Quel est votre fichu destin ? Vous pensez faire quoi là bordel ? Ça vous rapporte quoi de nous tuer ?
Ma voix avait vacillé. Je parlais avec colère, sans me maitriser. Parce que je ne savais plus quoi faire. J'avais passé deux mois à essayer d'être quelqu'un d'entier, d'accompli, aux yeux de tout le monde. Ce que j'avais voulu avec Magic League c'est enfin pouvoir être le héros qu'au fond, je voulais être pour les gens. Mais je n'arrivais à rien. J'avais perdu une personne de mon équipe, et je n'avais aucune idée de comment combattre nos ennemis.
Le monde de demain sera gouverné par notre Légion. Le meurtre sert à la peur, cette même peur nous apportera le pouvoir, elle agrandira la Légion. Mais ne précipite pas les choses, nous n'avons encore tué personne.
L'expression que j'avais sur le visage n'exprimait que de la haine désormais. D'une toile, je dérobais à Ali son baton de combat, et d'un bond, je sautais sur la machine dans l'espoir de lui dévisser la tête. Mais Ultron, d'un mouvement de main, s’empara du baton et me ramena au sol d'une violence qui m'avait coupé la respiration pendant cinq longues secondes.
Ah oui, personne ?! Avais-je réussi à hurler lorsque l'air regagnait mes poumons. Et quand Reverse Flash a tué mon amie, ce n'était "rien" ?!
Ultron ne répondit rien, se contentant de me fixer de son visage qui ne pouvait porter aucune émotion. Et pourtant, j'avais l'intime conviction qu'il était... surpris. Il semblait capable de répondre à tout, et à ça, il n'avait rien à dire. Au bout de trente secondes, il reculait, tournant la tête vers ses deux coéquipiers.
Vous pouvez tuer ces deux-là, ils comprendront ce qu'est la peur.
De ces mains et de ses pieds jaillirent du feu, qui permit au corps d'Ultron de prendre son envol. Il ne partit pas tout de suite, rajoutant quelques derniers mots. Reverse Flash nous trahit à son tour. Je vais le trouver.
Et il partit alors, sans rien rajouter de plus. Si je comprenais bien, ils avaient tous trahit Cold, et Reverse Flash avait renchérit en les trahissant de nouveau ? A vrai dire, je m'en foutais, s'il avait tué Jezabel, je craignais d'être animé par la même flamme qui m'avait habité la dernière fois que j'avais connu la mort près de moi : j'avais été prêt à tuer, même si cela m'avait dénaturé.
Ali Nacer
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
La première fois que tu m'as vu tu m'as gifflé, je t 'ai pris la tête. La deuxième fois aussi et tu as voulue me tuer. Mais la prochaine fois, je prendrais peut-être sans m'en rendre compte, ton coeur, si tu veux me l'offrir. Te souviens tu la première fois que tu m'as rencontrée, tu as réagis de trois manières différentes. Il avait trois règles à suivre. Le chiffre chanceux c'est peut-être trois
Après mes tentatives de drague non concluantes avec la princesse et le minou électrisant. Je peux en conclure que je suis un très mauvais séducteur, car LiveWire n'avait pas envie que je sois un violeur d'esprit. Et que je viole son cerveau à elle. Pourtant je lui offrais une baignade imaginaire gratuite. Elle décidait de m'envoyer balader avec ses éclairs bleutés, pour que je vive un rêve bleu aux pieds de Mina. Je perdis connaissance durant le voyage, car un de ses éclairs avait touché ma tête.
– Ooh… c’est un cadeau pour moi ? Merci ! Moi un cadeau, pour le moment je suis sans doute une mauvaise surprise pour la princesse, car elle était fâchée contre moi. Tout simplement que j'ai eu la maladresse de lui dire que je la trouvais à mon goût. En plus de cela , je ne suis pas une lumière parce que je me suis aperçue à la dernière minute qu'elle était un peu farouche . Merci aux cadavres dans les jardins, j'ai fini par capter ! Elle était différente de celle qui m'avait sauvée la vie à la plage . Malchanceux, dans ma chute je me suis retrouvé aux pieds de la demoiselle. À SES PIEDS , inconscient en plus. Vulnérable et à sa merci. Quoi que ça ne me dérange pas d'être dans cette mauvaise situation, parce que c'est involontairement pas de ma faute, et même je m'étais fait la promesse de ne plus l'approcher pour le bien de notre relation. Je ne pouvais pas m'empêcher de vouloir être auprès d'elle. Être aux pieds des princesses c'était tout moi. Faire leurs caprices avec plaisir. Obéir à leurs directives. Écouter. Ne pas rouspéter. Ect. Est-ce que ça me déplaisait d'être comme ça ? Non ! Parce que quand j'aurais trouvée ma princesse, elle sera ma priorité. Elle passera même avant mon propre bonheur. Il faut que j'en trouve une qui acceptera mon côté gaffeur, mes bêtises et mes délires un peu farfelues. Des délires que j'aimerais qu'elle soit complice.
Dans le fond, je suis un petit singe soumis . Donc, si un jour elle finit par me pardonner mon erreur de débutant. Parce que je suis un très mauvais séducteur. Que je ne sais jamais comment m'y prendre avec elle. Parce qu'elle a mit la barre vraiment haute et que j'aimerais être un jour à la hauteur de ses espérances. Elle fait de moi cet homme timide et maladroit. Parce que je suis le toujours avec les femmes avec un gros caractère. Elle me faisait même penser à Jasmine car elle aussi avait résisté à mes avances au début et après elle était tombé sous mon charme. Espérant que ça soit un peu la même chose pour ma colocataire. Quand elle comprendra que ce n'était pas vraiment une intention malsaine .Et qu'elle viendra faire les premiers pas vers moi, parce que moi je suis un peu traumatisé. Elle avait quand même essayer de me faire explosé avec une boite à surprise, dans les jardins. Et elle essayera sans doute de me tuer à d'autres reprises. Je me sentais vraiment mal à l'aise en sa présence, parce que je culpabilisais de faire un nouveau faux pas. Mais si un jour, elle me désire vraiment.Je pourrais envisager d'être son cadeau. Je serais prêt à m'emballer d'un papier qu'elle choisira. Me mettre un petit chou sur la tête. Et faire comme une carte musical, lui chanter sa chanson préféré. Même citer des citations, de ses films et livres préférés. Je peux même faire dans la poésie, si elle le veut. Parce que derrière mon masque de macho, qui lance des citations perverses , se cache un romantique. Parfois que je suis l'homme derrière le déguisement qui joue au prince Alibaboua , mais sous le costume je suis le vulgaire va-nu pied. Mais qui se cache derrière les traits de Gambit ? Un petit canard du nom de Calimero ? Non un idiot qui a ruiner ses chances.
Mon corps inerte était donc à ses pieds. Tombé lourdement sur le sol . Ma tête s'était cognée contre la pointe de la botte de la princesse. Je m'étais encore durement fait rejeté par une femme. Contrairement à LiveWire je ne la désirais pas vraiment. C'était plus un jeu de séduction. Parce que j'aimais bien sa provocation. Et répondre à ses répliques , je me plaisais. Je me nourrissais de l'adrénaline qu'elle me procurait, car j'aimais le feeling du risque. Sauf quand celui-ci touche personnellement mon coeur .
Donc quand j'avais pris le risque d'avouer mes sentiments , j'avais ressentis un mauvais feeling. Mais là , c'était un sale coup de sa part de la méchante de m'avoir balancé près de Harlina. Un jour, elle payera pour ce mauvais tour, car à cause de Livewire, j'avais trahit une promesse faites à moi-même. Celle de ne plus avoir de contact physique avec Mina, tant qu'elle ne sentira pas prête. Ni même avec une autre femme. Cette mauvaise expérience de tenter ma chance en amour, m'avait refroidit et troublé. Que j'aurais peur d'aborder une demoiselle, par crainte de me faire retourner de bord . Si un jour, une femme veut de moi c'est elle qui fera les premiers pas. Pour moi la séduction c'était terminé ! Je suis un homme qui tient d'habitude ses promesses.
Alors que la chute avait encore abîmer mon beau visage qui était déjà couvert de sang séché. Mon front était fendu de nouveau et à une nouvelle place.J'étais devenu à cet instant, le beau aux bois dormants. Au moins , je respirais encore, car j'étais un survivant depuis ma naissance. Alors que Mina brandissait son arme, pour me fracasser la tête. Et achever ma souffrance de l'aimer. Alors qu'elle avait une envie folle de mettre fin à mes jours. Elle aurait du attendre que je sois réveillé, je lui aurais donner la permission tout simplement ! Pourquoi ? Si ça me me permettait de me faire pardonner. Et que je pouvais crever la conscience tranquille. C'était la plus belle mort qu'elle pouvait m'offrir. Et j'ai toujours préféré mourir de la main qu'une personne qui fait vibrer mon coeur. Que de me faire tuer par un inconnu. Dans cette situation l'amour serait ma faiblesse.
Mais Spider-man décidait jouer encore au super-héros , empêchant la princesse de tuer . Parce qu'il avait sans doute rien à faire de moi ,enfin c'était ce que je percevais en sa présence. C'était sans doute sa méthode pour protéger son amie. Mina n'avait pas terminée de faire de moi son souffre douleur, parce qu'elle allait de nouveau me '' Maltraiter '' . Il a peut-être un autre terme mieux pour décrire la situation qui allait suivre. Mais je suis sure qu'au fond d'elle, elle m'aimait bien , car elle ne pouvait pas s'empêcher de faire de moi: un homme battu. Mais je trompe peut-être aussi . Mais je préférais penser ça que de me dire qu'elle me détestait réellement.
Alors que j'étais devenu son petit cadeau, elle m'offrit aussi un cadeau de sa part : des coups de pieds dans les côtes . Est-ce que ça allait me faire sortir de ma petite sieste ? Non! Parce que je préférais rêver que la réalité n'était pas celle que je croyais. Et parce que je préférais savourer ces petites attentions de tendresse. J'adorais qu'elle me maltraite physiquement. Chaque coup, était comme un mot doux pour moi. Drôle de manière de penser ? Peut-être! Mais pour me comprendre, il faut savoir que je suis un homme qui tombe amoureux avec le coup de foudre. Ce coup de foudre , je l'ai eu avec sa main qui me gifla la joue. Je pourrais sans aucun doute développer un amour plus fort pour elle avec ses coups de pieds. C'était une raison parmi tant d'autres de mon béguin ! C'était juste l'élément déclencheur, qui avait fait faire à mon coeur boom-boom.
Chaque fois qu'elle me donnait un coup de pied pour me pousser vers Dyson. Je poussais un petit gémissement. De douleur parce que j'avais tellement mal partout à force de me faire triballer dans tous les sens. De faire des vols planer à cause de Livewire. Mais je gémissais aussi parce que j'aimais ça. Mais ça elle ne sera jamais, parce que c'était mon petit secret, et je compte bien me taire cette fois-ci. J'aurais quand même voulue qu'elle est un peu de pitié de moi. Qu'elle prenne soin de moi, quelques secondes. Mon idéal de la situation, aurait été qu'elle m'offre un baiser comme dans la belle aux bois dormants, pour je termine ma sieste heureux. Je vais me contenter de ce qu'elle m'offre, car un philosophe du nom de Oscar Wilde a dit : Une femme commence par résister aux avances d'un homme. Ensuite elle l'empêche de s'enfuir. Espérant que ça soit son cas. Dans mon subconscient je l'entendais parler et entendue la fameuse phrase qui me poignarda de nouveau : Qu'il ne m'approche plus. Comme si j'avais fais exprès de tomber là. À ce moment là, j'aurais voulu qu'elle me fracasse le crâne , pour finir avec une commotion cérébral , et vivre avec la conséquence d'avoir des pertes de mémoires, pour effacer tous les moments douloureux de cette mission. Que ces moments soient physiques ou psychologiques.
Toujours dans mon profond sommeil. J'aurais espéré avoir une couverture parce que depuis ma petite baignade dans la salle de bain que je me gèlais et je voudrais une oreiller en plume, c'est beaucoup plus confortable que le sol, ou la botte de la princesse. Je sais, je suis un peu pacha ! C'est à cause que j'ai enfin trouver le palace de mes rêves en habitant chez Mina. Toute mon enfance et le début de ma vie adulte, j'avais espéré vivre dans une maison et avoir un peu de confort. C'est que j'avais trouvée chez elle: du confort. Et mon lit me manquait terriblement !
En plus cela faisait quelques jours que j'étais avec des personnes qui m'apprécient pas , ca commençait à devenir lourd pour le moral . Et en plus , je me sentais tellement fatigué. Je crois sérieusement qu'après cette mission , j'aurais besoin de répit. Pourquoi pas ? Des vacances ! Pourquoi faire un voyage avec un copain , ou se pourrait me lâcher louche, s'amuser à faire des folies, ne plus penser aux princesses , ni a aucun d'entre eux, sauf si on finit par s'apprécier un peu avant la fin de cette mission. Je pourrais aussi simplement retrouver mon lit et dormir pour le reste de l'éternité, jusqu'à qu'une jolie princesse vienne me sortir de ma malédiction. Au moins , j'aurais pu à penser à rien .Ça pourrait se faire, je pourrais demander à ma super copine Maléfique, de m'arranger le coup. Quand je dis super copine c'est sarcastique! Je suis sure qu'en échange d'un baiser , elle pourrait le faire.
Alors que j'avais peu connaissance de ce qui se passait de moi. Heureusement, mon cerveau ne pouvait plus encaisser trop de choses. Que je n'avais simplement pas envie de me retrouver dans un film de science fiction. Et que si je me mettais à discuter avec Ultron, voir des personnes en double , vivre avec des soucis métrologiques, et halluciner des choses. Je finirais par être victime d' une migraine atroce. Et en plus les hallucinations non merci ! C'est la cause de mes ennuis . C'était un peu chelou à mon gout de vivre tout ça en live. Donc faire un petit dodo me faisait du bien ! Je pourrais récupéré quelques forces et de ne pas trop sentir mon corps qui serait couvert de plaies ,d' ecchymoses et toutes les autres blessures de guerres que je pourrais avoir. Et je n'avais pas envie de me réveiller, tant que Mina était dans les parages. Je préférais l'éviter à tout prix ! Heureusement pour moi, elle partait avec sa nouvelle meilleure amie , qui m'avait enjambée quelques instant avant de se volatiliser .
Encore seul avec lui ? Pourquoi il fallait toujours que je sois pris avec Spider-Man. Il n'avait pas le gout d'être avec moi. Et moi non plus d'ailleurs, parce qu'il avait envie de déballer toutes mes fantasmes sur ma colocataire. Pour la claque et le baiser je peux comprendre ! Pour le reste, il pourrait comprendre, on appel ça de la solidarité masculine. Qu'on pourrait se soutenir entre hommes.
J'ouvris doucement les yeux, pour revenir à la réalité. De justesse je décidais de mettre ma main entre mes jambes. De lancer un regard noir à Dyson, qui s'apprêtais à me donner un coup de pied dans mon précieux jardin magique. Il en était hors de question, qui effleure celui-ci. C'était tout mon avenir qui se trouvait bien là. Donc cette partie de mon corps voulait la sainte- paix et rester intact. Donc le pied de Dyson frappait ma main. Puis je lui dis : - Je te jure si tu touches à mon précieux .. Je vais te faire exploser, donc éloigne toi de moi. Il avait pris la bonne décision et c'était éloigner. Brave petite bestiole !
Le temps que je reprenne mes esprits, j'entendis le début d'une conversation avec Dyson et un robot . La conversation tournait autour de gouverner le monde, de meurtre . Il a quelqu'un de mort ? Une amie à Dyson ? À cette phrase, j'étais pris de panique dans ma tête. Je me sentais inquiet , parce que l'araignée n'avait pas dit de prénom. Alors que je sortais mon bâton de mon manteau, pour m'en servir pour me relever , parce que j'avais du mal. Je me sentais démoli . Une toile s'en empara, sans demander ma permission. Surpris, parce que j'étais dans ma bulle en pensant qu'à la personne décédée. Un membre de notre équipe était mort. Troublé, je ne savais plus ou donner de la tête . Mon coeur se mit à débattre. Mes mains tremblaient légèrement. J'avais tellement peur qu'il soit arriver quelque chose à ma princesse. Enfin MA c'est un grand mot ! Elle n'est pas ma copine ça je ne savais. Mais j'avais l'oeil de dessus. Vous comprenez ou je veux en venir, pas obligé de vous faire un dessin. Même si j'adore faire des dessins.
Si il avait une chose que je détestais c'était d'être laissé dans l'ignorance. Qui était mort pendant que je faisais un somme ? Vous m'avez laissé dormir trop longtemps, maintenant c'est le chaos partout, surtout dans ma petite tête. Quand je me décidais enfin à vouloir vous aider, il a une demoiselle morte. C'est ça qui arrive quand les demoiselles ne veulent pas de sauveur de princesses. Elles finissent par mourir.
Maintenant il faut battre des méchants c'est ça la suite ? Moi je suis contre cette idée. Mais ce n'était pas ça que Spider man pensait, il voulait venger son amie. La vengeance ne peut pas attendre ? Le cadavre d'une demoiselle ça devrait être notre priorité. J'espérais tant que les autres soient au courant qu'un membre de notre équipe avait rendu l'âme, lui en vienne en aide. Parce que moi j'avais promis de ne plus jouer les sauveurs. Je tiens toujours ma promesse ! Et parce que j'avais d'autres ennuis. Tout ce que j'espérais c'est ma princesse soit en sécurité, et que les autres veilleraient sur elle, pour moi.
Alors que Dyson se laissait gagner par les sentiments que causaient l'amour. L'amour au sens large du thème. Parce que je ne savais toujours pas quelle demoiselle était morte. Il décidait sur un coup de tête de se laisser séduire par la vengeance, et s'attaquait a Ultron. Et la machine décidait de s'emparer de mon objet. Au moment même, je grimaçais quand Dyson atterrit sur le sol, proche de moi. J'étais toujours allongé mais conscient . Spider man laissait glisser mon bâton, qui se trouvait dans sa main . Celui-ci roulait vers moi. '' Aller mon bâton d'amour revient voir Papa. '' Je l'attrapais et le rangeait. Je compatissais à sa douleur mon ami, mais je ne pouvais rien faire, parce que le vieux et la vilaine électrisante semblait nous surveiller, quand je tournais la tête vers eux. Et en plus, Dyson avait eu de la chance. Il l'avait tellement surpris Ultron avec sa révélation sur la mort de notre amie, qu'Ultron avait lâché, Spider man. De mon côté ,je n'oserais pas provoquer le robot, en essayant de protéger Dyson en l'attaquant le robot . J'avais fait assez de bêtises comme ça.
Et en plus veux-tu bien me dire pourquoi j'aiderais quelqu'un qui a voulu me privé d'un potentiel avenir ? Je tiens à ce que mon organe masculin reste intact. Parce que je voudrais avoir une mini princesse, un jour. Ce désir personne ne pourra me l'enlever. Certainement pas Baby Spider ! Et en plus, c'est quoi son problème ? Il m'en veut encore pour le baiser et la vision perverse ? Pour le baiser ça passe ! Mais la vision , j'avais simplement le gout de me confesser. Donc ça ne se fait pas de frapper un coéquipier dans les glands. C'est une trahison pour moi ! Donc j'avais une grosse hésitation à vouloir l'aider.
Ensuite, le robot prit son envol pour retrouver son camarade en disant ces quelques mots. Je me disais dans ma tête : '' Bon débarras, un de moins comme ça je pourrais un jour, savoir qui est mort ! ''. Mais le demander à Dyson en ce moment, ça me mettait mal à l'aise. En plus il ne semblait pas d'humeur. Je vais suivre ce que ma tête me disait de faire : Me taire . J'étais tellement terrifié à l'idée de commettre une autre bêtise, que je préférais m'occuper de ma petite personne, après tout le vilain robot avait ordonner à la Stroupfette électrique de me tuer. Je suis sûre qu'elle était enthousiasme à l'idée de finir nos petits jeux . En parlant de jeu j'avais l'impression que cette mission était un jeu de cherche et trouve.
Comme je suis un gentleman, j'ai laissé LiveWire faire les premiers pas. Parce que moi je les fais plus envers une femme. T'as envie de passer du temps avec moi ? Tu viens me chercher. Elle décidait de m'envoyer un éclair à deux pousses du visage. Et en plus en prime, elle me balance une réplique en prime. . "Tu vas te réveiller l'abruti que je te fasse taire à jamais, histoire que tu nous foutes la paix !"À force de me faire dire des mots doux. En faites des insultes. Je devrais commencer à réclamer de l'argent. Je pourrais devenir riche à force de me faire dire des gros mots. Et parce que je commençais à être un peu écœurer. J'ai un putain de prénom à la fin ! Elle n'était pas capable de m'appeler mon petit amour à la place ? C'est trop demander ? En plus elle me tutoyait . La c'était trop pour moi. Surtout en ce moment, parce qu'en ce moment: J'avais besoin d'une pause avec les femmes. Donc mademoiselle, t'aurait du envoyer ton ami le vieux, pour me butter. Elle voulait que je me réveille . Je suis réveillé. J'ai simplement envie de faire semblant de dormir, pour que tu passes ton chemin et que tu me fouettes la paix. Mais non il faut que je sois son souffre douleur à elle aussi. Je me relevais. Puis je lui répliqua d'un ton furieux et je m'approchais d'elle pour l'engueuler.
'' Écoute , on va mettre des règles dans notre jeu. Un jeu ça toujours un règlement. UN. Je ne suis pas un abruti . J'ai un prénom: c'est Ali. DEUX. C'est justement ça que j'aurais du faire me taire et ne JAMAIS lui avoir avouer mes sentiments, mais toi t'es venue te mêler de ma vie sentimentale, en me balançant à ses pieds. T'es vraiment méchante . TROIS que je vous foutes la paix , c'est toi qui me cherche. Moi je veux bien te foutre la paix, te montrer mon sous-vêtement blanc, pour m'en faire un drapeau et l'agiter devant ton joli petit minois. Et hurler JE VEUX LA PAIX !!! T'a compris , Je veux mon moment de tranquillité et attendre qu'elle décide de me pardonner un jour , donc retourne à ta domination du monde et laisse moi SEUL. Au moins seul , je fais de mal à personne ''.
Ca y est ! Je pétais ma petite crise. On ne peut pas avoir la paix deux secondes. Il a toujours une folle qui débarque. J'ai eu une pensée pour Lena, je m'ennuyais de sa simplicité, et parce qu'elle n'était pas cinglée comme cette LiveWire.Elle était adorable. Et les femmes dans le genre de LiveWire sont dures à cernées et complexe. Et la mon cerveau n'avait qu'une envie se mettre sur OFF. Et je crois que j'ai eu assez de folies pour la journée. Mais je crois que le ''drapeau blanc'' ne sera suffisant pour elle et je n'avais aucune envie de me déshabiller devant elle. Elle pourrait griller comme une merguez. Donc je décidais de la bombardée avec mes cartes, qui se sortait tout seul de mon mantea d'un mouvement de main. Mais elle éclatait chacune des cartes avec des éclairs. Au contact de deux pouvoirs, ça faisaient de jolis feux artifices . Ensuite, Je décidais de prendre mon fusil dans mon dos, que j'avais toujours en ma possession. Et je décidais de lui tirer dessus en avançant vers elle. Mais elle se téléportait avant que des balles la touche. Je lui criais frustré.
'' Je sais que tu m'entends, t'as fini de jouer à cache- cache. T'es comme les autres femmes de ma vie, vous fuyez au lieu d'avoir une discussion avec moi, pour régler le mal entendue ''
Puis elle réapparais au dessus de moi et me met un coup de poing dans la tronche. Elle me frappe sur le nez. Ma tête recula vers l'arrière et mon nez se mit à saigner. À ce moment, dans un mouvement de main, une voiture à ma droite arrivait à grande vitesse vers elle, mais elle disparue pour esquiver et la voiture explosa un peu plus loin dans une explosion, prenant feu. Puis je dis '' Je crois que la réponse est Non ''.
Elle commençait vraiment à m'énerver. Et je n'avais pas trop le moral. Une membre de notre équipe était morte , une princesse m' avait fait pleurer et en plus j'avais une méchante qui voulait me tuer, mais j'allais sans doute frôler la mort pour une sixième fois. Elle se re-téléporte devant moi, je l'observais quelques secondes, elle avait des minis éclairs grésillants au bout de mes doigts. Ça voulait dire qu'elle avait envie de terminer ça rapidement. Que notre rencart était sur la fin. Puis elle décidait de me provoquer de nouveau , en disant: "Je sais pas si t'as un coeur mais il est clair que je vais me faire un plaisir de l'arrêter" Elle commençait à me parler de coeur. Un mot que j'avais du mal a digérer pour le moment. Et Livewire avait t-elle un coeur ? Je crois que oui, car même si elle joue les méchantes. C'est à cause d'un événement qui a changée sa vie, car on ne naît pas méchant, on le devient. Je ne savais pas ce qui c'était passé dans sa vie, mais je pouvais la comprendre, car j'avais eu une hésitation de choisir entre le bien et le mal. J'ai choisis le bien pour me donner la chance de connaitre l'amour, que ça soit avec Mina, Lena ou une autre. Et j'avais décidé de choisir les héros, parce que je devais me battre pour les gens que je pourrais aimer. Et me battre pour avoir la chance de me faire pardonner. Parce que j'avais envie de connaitre d'avantage ma colocataire. Elle était pour moi une sauveuse. Une lueur de lumière. Elle ne veut peut-être pas que je l'approche, que je lui parle et tout le reste. Mais peut-être qu'un jour mon amour pour elle , pourrait l'aider à battre ses démons. Moi elle m'avait aidée pour les miens. Donc si j'ai un coeur , la réponse est oui. La preuve il bat pour les gens que j'aime. Puis je lui répondis :
'' Je suis désolé de te decevoir ma jolie, mais même si tu me tues . Mon coeur ne pourra jamais cesser de battre, parce que tu ne peux pas arrêter un coeur amoureux ''.
Au même moment, je décidais de balancer plusieurs cartes sur une une bouche d'incendie pour la faire éclater. De l'eau émergeait en hauteur juste derrière la vilaine. C'était pour lui faire peur, pour qu'elle décide de s'enfuir. Mais ce n'était pas dans ses projets. Elle était un peu trop collante à mon gout ! Furieuse, elle m' envoie un éclair d'une forte intensité. Malgré ma douleur musculaire et ma blessure à ma cuisse. Je décidais de faire une roue, pour empêcher son premier éclair. Elle m'envoie un second éclair , je saute pardessus pour l'éviter. Puis un troisième d'une intensité plus forte. Je la regardais avec un sourire baveux , sur son visage on pouvait apercevoir, qu'elle était plus tendue. Elle n'aimait pas que j'arrive à les esquiver. Pour le troisième , je décidais de faire un flippe arrière pour l'esquiver.
L'eau se déversait sur le sol et s'apprêtait à toucher son talon de sa chaussure. Mais au dernier moment elle réussit à se téléporter au bon moment pour éviter l'eau. Elle réapparais par surprise derrière toi et de m'attraper par le cou son fouet électrique. Elle l'aimait bien son jouet je crois. Elle commençait à serrer de plus en plus fort, mon cou. Mon visage se crispait sous la douleur. Dans une voix saccadée, alors je m'en allais déposer ma main sur son fouet pour me libérer en me faisait exploser moi-même. Elle me dit : "T'as voulu utiliser l'eau contre moi ?" Je lui répondit : C'est pas ça ta faiblesse ma belle. À moins que ça soit moi ta faiblesse. Avoue que tu es tombé sous mon charme.
Puis elle décidait de rajouter : "Je vais te détruire !:" Je lui répondis: - Tu vas devoir attendre ton tour, parce que j'ai pleins de prétendantes qui ne veulent que ça, me détruire. Ensuite elle me balançait avec grande force contre un bâtiment. Mais pas n'importe quel bâtiment. Une boutique de lingerie fine pour femmes. Je m'envolais direction la vitrine. Sous l'impact , mon corps éclatait celle-ci . Dans mon vol plané, mes mains touchaient les murs de la boutique par accident. Le bâtiment allait exploser et s 'effondrer sur moi . Je terminais ma chute sur une table de présentation de sous-vêtements . De nouveau dans les vapes.
Alors les murs et le plafond commençait à tomber par morceaux. Il a eu un grand vent que je pouvais ressentir. Des éclairs rouges que je ne pouvais pas voir. LiveWire et moi nous étions disparurent à grande vitesse.
Ou je me trouvais ? Je ne sais pas. Qu'est-ce qui allait m'arriver? Aucune idée, mais ça ne pouvait pas être plus pire que le châtiment de se faire rejeter par la femme qu'on aime. Qu'est-ce que je faisais maintenant ? Je jouais à la princesse en détresse. On venait de me kidnapper contre ma volonté. Comment je me sentais ? En mode survie, parce que j'allais doute être en danger de mort.
Quelques instants plus tard, mes prunelles noisettes s' ouvraient , le premier visage que je vis n'était pas celui que j' espérais voir : c'était Renverse Flash. Qu'est-ce qui me voulait lui ? Elle était ou ma nouvelle prétendante qui n'avait pas envie de se baigner avec moi ? Et pourquoi je n'avais pas le droit de vivre ma peine d'amour EN PAIX
I won't stop running until the blood of everyone is not outside their bodies
Au moins tu as résisté pour tes principes. Que ce soit sur l'étendue glacée du nord ou le sable chaud d'Egypte, ton sang n'a pas perdu sa température. Dommage qu'il ne coule plus dans tes veines...
Il se tenait debout, observant avec un plaisir sombre le sang qui coulait sur sa main, tombant, par gouttes délicates, sur le sable égyptien, pour rejoindre la plus grande flaque qui s'échappait de son dos. Reverse-Flash était habité d'une terrible satisfaction. La première mort.
Ton cadavre sera la première pierre de la battisse du destin que je vais construire.
Et bientôt, il aura tout pour lui. Le monde, le temps, la magie, les Hommes, la Magic League, la Légion, les Dieux. Son plaisir démesuré l'amenait à se donner la puissance d'un titan. Nul n'égalait la vitesse qui électrifiait ses veines, grâce à cela, il serait le plus grand dominateur de la galaxie. Il commencera par Storybrooke qu'il soumettra en une poignée de secondes. Il continuera le travail de son ancien "employeur" en prenant la Russie, puis le monde, et toutes les autres planètes de cet univers, et même des autres, sur la terre des contes. Il voyagera à travers les terres, à travers les temps, à travers les dimensions. Il n'avait désormais plus aucune limite. Toutes ces pensées inondaient sa tête aussi rapidement que ses pas sur l'Océan Indien.
Mais s'il y a une chose que le speedster détestait, c'était les surprises. En deux jours de super-vitesses, il ne pouvait plus concevoir qu'on pouvait le surprendre, lui, et ses sens les plus rapides de l'histoire. Le coup qui lui avait brûlé le dos lui avait fait perdre son équilibre, et sa vitesse avait fait rebondir son corps en ricocher sur l'eau. Il sentit percuter quelques toits de bâtisses indiennes, puis russes, avant de sentir le sol glacé de l’Arctique lorsqu'il s'immobilisa.
Il prit une grande inspiration, animé par une colère immense, avant de se relever avec sa vitesse qui ne le quittait plus, plus observer autour de lui.
Qui a osé ? Lequel d'entre vous a osé frappé le nouveau et unique dieu de ces terres ?
L'instinct de survie avait fait fuir un ours blanc solitaire, mais aucune autre forme de vie ne se manifestait autour lui. Car ce n'était pas quelqu'un qui descendit du ciel, mais quelque chose. Ultron l'avait trouvé.
Qu'est-ce qui te prends d’interférer dans mes plans, machine ? Je ne suis pas dupe. De toute la légion, je suis le plus intelligent. Pourquoi l'as-tu tué ? Ce n'était pas prévu. N'oserais-tu pas nous trahir ? Je suis un titan Ultron. Comment peux-tu prétendre à la moindre égalité ou supériorité à mon égard ? Nous te tuerons nous même. Ou nos ennemis le feront, tu leur as apporté la haine. Je n'ai que faire de leur haine, ils sont faibles, ils tomberont rapidement. Tout comme toi. Veux-tu connaitre la peur, Ultron, toi qui en es privé de part ta condition de métal ? Regarde-moi tous les tuer un par un.
Reverse-Flash n'attendit pas d'avantage, et rejoignit la bulle artificielle de Moscou pour trouver les premiers qu'il trouvera. Il croisa un de leurs ennemis, le ridicule Gambit, en duel avec Livewire, qui était autrefois une des siens. Il les attrapa tous deux jusqu'à la neige de la Russie, se tenant menaçant devant eux. Un sourire mauvais étira ses lèvres. Livewire et Gambit allaient tous deux connaitre le monde des morts, comme sa première victime...
Le chaos. Un si petit mot pour décrire un gigantesque capharnaüm. Deux syllabes suffisent pour mettre un nom sur les pires angoisses de l’humanité. L’apocalypse, la Fin avec un grand F. Tellement dramatique. Pourquoi tant de pessimisme ? Why so serious ? Pourquoi voir le chaos comme une finalité ? Au contraire, il est le début. Le début de tout. Le chaos apporte la vie. Le big bang ? Chaos. La collision des astres à l’origine de la Terre ? Chaos. Ne le craignez donc pas, il est déjà en vous. Vous êtes nés grâce à lui et avec lui. Acceptez-le, laissez-le vous ouvrir les yeux sur le réel. Il vous fera dépasser les barrières établies par des individus encore plus effrayés que vous ne l’êtes. Car oui, l’Homme est un être chaotique, terrorisé par sa véritable nature. En fuyant cette dernière, il ne fait que s'entourer de chimères. Les règles, les lois, toutes ces choses qui instaurent ce fameux ordre. L’Homme s’y raccroche par peur et par facilité. Il est toujours plus rassurant de progresser en terrain connu. Et plus le grade est haut dans cette hiérarchie ordonnée, plus la peur est grande. Les maîtres tremblent, ils ont besoin de l’ordre. Comprenez, la peur est le propre des bêtes. L’Homme est arrivé à une étape charnière de son évolution. Il doit maintenant choisir entre l’animal et l’être qui surpasse sa condition. La peur est la clé, l'élément central de cette affaire. Quand l’Homme ne la connaîtra plus, il sera délivré. Il se sauvera de cet ordre étouffant, écrasant. L’ordre absolu, c’est le néant. Le vide. La mort. Devenir agent du Chaos, ou rejoindre les rangs bien agencés des esclaves des Lois. Tel est le seul et unique choix qui importe. Le Joker avait tôt fait le sien. C’était un pari pour lequel il avait misé sa vie. Après tout, life is a joke. En lui brûlait un désir différent de ceux dictés par la société humaine. L’argent, le pouvoir, la gloire… ces souhaits étaient vulgaires, inutiles et préenregistrés dans les mentalités. Des buts à atteindre qui forçaient les hommes à rester dans le cadre. Or le Clown sortait du cadre. Son projet était simple, pour ne pas dire élémentaire. Voir le monde partir en cendres. Cet objectif ne souffrait d’aucune faiblesse. Rien ni personne ne pouvait le faire renoncer, ployer ou hésiter. Pour la simple et bonne raison qu’il n’existait aucun moyen de pression. Pas le moindre chantage possible, pas la plus petite menace efficace. Le soudoyer ou le raisonner serait une perte de temps. Comment convaincre quelqu’un qui ne craint rien, pas même sa propre mort ? Comment négocier avec quelqu’un qui n’a rien si ce n’est un besoin viscéral de faire sombrer, son univers et lui-même, dans le chaos le plus total ? Comment jouer avec quelqu’un qui ne respecte pas les règles ? Toutes ces interrogations, beaucoup se les étaient posées face au criminel le plus dérangeant (et dérangé) de Gotham. Peut-être que les justiciers en herbe se les posaient aussi à l’heure actuelle. Ou peut-être pas. Qu’importe. Le principal était d’éveiller un sentiment de malaise, de perturber. En tout cas c’était ce que la dégaine et le maquillage du Joker laissaient penser. Mais au fond, qu’essayait-il de faire ? Y avait-il une vraie raison à son apparence ? Qui sait… Au fond, là était toute la force du Clown : le mystère opaque qui l’entourait ne le rendait que plus effrayant. Nul ne savait d’où il venait, quelle était la cause de ses agissements, la source de sa folie dévastatrice. Connaître les origines du mal enlèverait ce poids au creux de l’estomac, lourd de la psychose de ne pas savoir. L’inconnu effraie bien plus que les pires horreurs. Rendez le monstre humain, donnez-lui des raisons, et il perdra ce qu’il a de plus terrifiant. Le fait de ne rien savoir du Joker, de ne pas pouvoir déterminer pourquoi il est le Joker, éloignait toute possibilité de l’humaniser. Il ne dégageait aucune rancune, aucun esprit de vengeance envers quoi que ce soit. De lui n’émanait que ce bouillonnant désir de violence pure, de chaos primitif et pourtant si élaboré… Il n’était pas quelqu’un, mais quelque chose. Une entité à part entière. En ça, il était beaucoup plus menaçant que tous ces méta-humains surpuissants. Qui pouvait deviner ce qui se cachait derrière cet accoutrement grotesque et ces cicatrices ?
Sous son maquillage délavé, le Joker jubilait. Le parfum doux-amer de la trahison imprégnait l’air. Ça puait la mutinerie à plein nez. Pour Cold, cet idiot, ça tournait au vinaigre. Le Clown de Gotham était loin d’en être étonné. A vrai dire, c’était plutôt logique. Les super-vilains, comme ils se faisaient appeler, avaient un sérieux problème d’ego. La puissance leur montait vite au cerveau, comme de l’alcool fort chez un novice de la bouteille. Fidèles à eux-mêmes, les "méchants" (nous ne nous étalerons pas sur cette futile et sempiternelle distinction entre le bien et le mal) préféraient jouer en solo plutôt que partager les gains. Pourquoi se contenter d’une part lorsque l’on peut avoir tout le gâteau… Surtout si le gâteau en question était très, très appétissant. Oh rien de bien nouveau, monter une armée invincible, dominer le monde, réduire les vivants à la servitude… la vilaine routine. C’était d’un navrant. Vous me direz, l’humain est navrant. Tout comme ces trois pauvres hères, plantés tels des piquets prêts à se faire charger par une horde de buffles. Ah elle avait fière allure la Ligue des Bien-pensants. Pourquoi diable les gens avaient-ils toujours cette foutue manie de vouloir sauver le monde ? Sérieusement. Non justement, pas sérieusement. C’était eux qui prenaient les choses trop à cœur. Laissez le monde tranquille, il ne vous a rien demandé. Lâchez du lest, vous verrez que laisser l’univers courir à sa perte n’est pas un si mauvais spectacle. Il suffisait d’une bonne mise en scène, une bonne préparation en amont et… BOOM. L’apothéose chaotique. Créer dans la destruction. Tel était l’oxymore des bombes, si chères au Joker : tout détruire en produisant une explosion. Cette même destruction amènerait un renouveau. Une renaissance par le feu. C’est qu’on en deviendrait presque poète. Le Clown laissait le plaisir de la discussion à ses… partenaires d’affaire. Un peu à l’écart, l’air distant, il jouait distraitement avec une grenade. Ses pensées étaient ailleurs, fusant dans tous les sens. Un feu d’artifice de folie. Cold était enfin hors-jeu. Pas trop tôt, ses petits rictus suffisants n’étaient pas du goût du Joker. Il lui était inutile à présent, alors si quelqu’un s’en était occupé, cela faisait ça en moins dans la liste de courses. Cold représentait la médiocrité de l’Homme, tout son aspect pitoyable et minable. Monter les États-Unis contre la Russie ? Pourquoi pas. Le challenge n’était pas bien élevé, ces deux nations avaient toujours eu des différends faciles à exploiter. Mais soit, cela avait un certain intérêt. Par contre, prendre le contrôle et assouvir sa soif de pouvoir, ça, ça fichait tout en l’air. Encore un qui voulait établir son ordre. Quant à Reverse-Flash et Livewire, même combat. Une bataille d’orgueil sans autre but que de complaire les adversaires dans leur soi-disant puissance. Ils étaient capables de détruire la Terre ? Grand bien leur fasse. Qu’attendaient-ils donc pour le faire ? Ah c’est vrai : qui voudrait gouverner un tas de ruines ? Pas un pour relever l’autre. Pathétique. Leur guéguerre de mutants avait amusé un temps le Clown de Gotham, cependant cela devenait lassant. Entretuez-vous et qu’on n’en parle plus. Quelle comédie pathétique. Sans rebondissements, sans saveur. Fade. Voilà. Ils étaient d’une fadeur accablante. Faites péter deux ou trois trucs et là on en discute. Mais non, du baratin et encore plus de baratin. Si seulement ce baratin avait une profondeur… Que de l’air brassé. Ils perdaient leur temps. Ils se prenaient pour on ne savait trop quoi. Des dieux, des titans, des Invincibles. Grave erreur. Pour citer ce sympathique Tyler, nous diront qu’ils n’étaient pas exceptionnels, personne ne l’était. Ils étaient faits de la même substance organique pourrissante que tout le reste. De la poussière nous étions, à la poussière nous retournerons. Ce que nous faisions entre temps n’avait que peu d’importance. Alors autant ne pas se prendre la tête pour contrôler… contrôler quoi d’ailleurs ? Il n’y avait rien à contrôler. Le cas Magneto était sensiblement différent. L’homme-aimant avait un projet assez noble en substance. Sauver son espèce, c’était héroïque. Malheureusement, que se passerait-il s’il réussissait ? La rengaine reprendrait : dominer dominer dominer. Changez de disque, on connaît la musique. Humains ou mutants, c’était du pareil au même. Les intentions du Joker divergeaient complètement de celles de ses acolytes temporaires. Il ne méprisait pas leurs intentions, elles étaient naturelles. Il s’en moquait juste éperdument car elles étaient banales et ne lui permettraient pas d’atteindre son objectif à long terme. Il n’attendait rien de cette Ligue du Destin. C’était une distraction. Au mieux, une pièce du puzzle. Rien de plus qu’un pavé dans la mare. Il s’était servi de Cold et de son invention pour sortir de l’asile dans lequel il était enfermé. Plus exactement, Cold était venu le chercher. La réputation du Clown le précédait. Le Destin dont le Capitaine était si friand l’avait fait sourire. Un enchaînement d’erreurs. Voilà ce qu’était le destin. Et les erreurs semblaient s’accumuler pour la Ligue. Le Joker ne se sentait pas concerné. Il n’avait suivi la Compagnie des Melons que pour se rapprocher de son nouveau jouet. Le générateur de mutants. Une bien belle machine, avec d’innombrables possibilités. Imaginez le tableau une seconde : de frais méta-humains ne maîtrisant pas leurs pouvoirs, des envies de révolte enfin à leur portée… La bonne partie de rigolade que nous aurions là ! La curiosité du Clown de Gotham se faisait de plus en plus grande quant à la puissance de cette fabuleuse machine. Jusqu’où pouvait-elle aller ? A quel point pouvait-il faire mumuse avec afin de déclencher une insurrection planétaire ? Il aurait bien eu envie de prendre congé de ses camarades pour aller tester la mécanique. Toutefois, Le Joker savait pertinemment qu’il n’était pas encore en mesure d’agir seul. Everybody needs somebody. En l’occurrence, son choix se portait sur la Sorcière Rouge. Elle possédait un potentiel destructeur fort attrayant. Le chaos vibrait dans ses prunelles. Contrairement aux autres, elle lui serait encore utile. Puis, à qui raconterait-il ses mauvaises blagues ? Les murs n’avaient pas beaucoup de conversation et n’étaient pas bon public. Scarlett semblait avoir un léger sens de l'humour. D’un côté, ce n’était pas compliqué quand on avait Magneto en concurrence. Le rire et cet homme n’avaient jamais dû se croiser. Quelle tristesse. Bref, revenons à nos moutons. Ou plutôt, à nos super-zéros. Dégoupillant la grenade avec laquelle il jonglait depuis plusieurs minutes, le Clown la fit rouler jusqu’aux pieds de la demoiselle qu’il avait défiée un peu plus tôt. Tic. Tac, lança-t-il en oscillant la tête de gauche à droite. C’est l’heure du match retour. Le moment de filer à l’anglaise n’était pas encore venu. Le dénouement ne tarderait pas, néanmoins il ne fallait pas précipiter les choses, au risque de tout envoyer valser. Quoique, ce ne serait pas si mal…