« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
L'équipe s'était reformée pour, au final, se défaire tout aussi rapidement sinon encore plus. Pour l'heure, la couverture d'Anastasia et Maara n'avait pas mené à des actions concrètes, seulement des sourires, des hochements de tête et quelques questions. Mais au moins la jeune femme avait-elle compris les consignes d'évacuation émises quelques instants plus tôt. Le capitaine Cold s'était aussi éclipsé, ce qu'Anastasia avait trouvé étrange mais bien moins préoccupant que la horde de superméchants qui avait investi les lieux, bientôt suivis par une horde de drones. Un frisson parcourut l'échine de la jeune femme. La partie avait commencé, il ne restait qu'à espérer que ces gadgets seraient efficaces. Anastasia compta une dizaine de drones, ce qui était largement suffisamment. Quelques coups d'œil lui apprirent que SpiderDyson et... l'autre, en fait, elle n'avait aucune idée du héros qu'il pouvait bien incarner, avaient suffisamment à faire : ces drones étaient pour elle, c'en était une certitude. Ni une ni deux, Anastasia enfila ses lunettes magiques (qui étaient, en fait, dotée d'une technologie avancée et donc parfaitement normales) et scanna la pièce du regard. Elles repérèrent un point rouge sur chacun des appareils et ne tardèrent pas à afficher : "SIGNAL WIFI CRYPTE" devant les yeux de la jeune russe. Evidemment. C'eut été bien trop facile de pirater autant d'appareils en un seul battement de cil. Jusqu'ici, Anya n'était pas surprise. Elle s'empara de la clé USB qui avait été fournie dans son kit de justicière et l'inséra dans un port sur son bras gauche qui venait de clignoter pour lui signaler son existence (une fonction au demeurant bien pratique), se demandant si elle était devenue un ordinateur vivant ou non. Elle aurait certainement l'occasion de creuser cette question plus tard. Pour l'heure, la salle des fêtes s'était transformée en une sacrée pagaille. Les drones tiraient de façon désorganisée, ce qui était autant une chance qu'une déveine, frôlant les deux hommes de la bande ainsi que les pieds d'Anastasia, qui avait bondi en arrière de justesse, le souffle court. Elle ne tenait pas particulièrement à savoir ce que le contact entre sa chair et leurs tirs auraient pu donner. - Over décryptage de la connexion wifi, ordonna-t-elle à sa machine quand elle fut suffisamment à couvert pour avoir le temps de réfléchir. Dès cet instant, les drones, se sentant sans doute menacés (même s'ils n'avaient pas de conscience), verrouillèrent leur cible sur elle. C'était certes une excellente chose pour ses coéquipiers, mais c'en était une moins bonne pour elle. Du coin de l'œil, elle voyait cependant que le petit ordinateur sur son bras gauche n'avait de cesse de mouliner. Elle n'avait donc qu'à entrer dans le ballet infernal des drones. Et par chance, elle avait eu le temps d'observer la configuration de la pièce avant le combat, si bien qu'elle trouva rapidement comment se positionner et se repositionner sans cesse pour causer le moins de dégâts possibles. Le souffle de la jeune femme se faisait de plus en plus court à mesure de sa température corporelle et son rythme cardiaque augmentaient sous l'effort. Mais elle eut le plaisir de constater que certains des tirs avaient été déviés en direction d'une femme aux cheveux peroxydés dont elle ne voulait connaitre ni le nom, ni l'étendue des pouvoirs. Seule importait l'ouverture que cette distraction importune créait pour son allié, quel que soit nom. Pas le temps cependant de s'appesantir sur cette petite victoire car la guerre était loin d'être gagnée. Cependant, Anastasia nota que l'écran de son ordinateur intégré avait fini par afficher quelque chose :
MOT DE PASSE CRYPTE : 3 14 14 12 2 14 11 3 11 4 6 8 14 13 2 20 17 18 4
Anastasia fronça les sourcils, ses méninges tournant à plein régime pendant que l'ordinateur faisait de même pour poursuivre l'intrusion. Malheureusement, il prenait beaucoup de temps, ce qu'ils n'avaient clairement pas. Sans attendre son reste, la jeune femme se mit à couvert, jetant toujours un œil par dessus son épaule pour vérifier que les drones ne l'avaient pas dans le colimateur, et réfléchit. L'ordinateur n'avait réussi qu'à lui donner un maigre indice :
1 = B
Apparemment, ce serait à elle de faire tout le boulot.
Voyons voir... Si 1 = B alors 0 = A. Donc 2 = C et ainsi de suite... Si seulement j'avais de quoi noter...
La jeune femme regarda par dessus son épaule. La voie semblait libre. Puis son regard se porta sur l'escalier qu'elle avait descendu un peu plus tôt, libre également. Anastasia se rappelait d'avoir vu des serviettes en papier à l'étage. C'était un peu comme des feuilles, non ? En bonne interprète qu'elle était, elle avait par ailleurs, pensé à emporter un bic avec elle, des fois qu'elle doive véritablement travailler. Sans tergiverser davantage, la rouquine s'élança, roulant sur le côté et courant à toute allure pour éviter les tirs. Elle ne prit pas attention au souffle qui lui manquait et se précipita sur une poignée de serviettes avant de plonger à couvert sous une table, le temps de travailler en paix et sécurité. Quelques instants plus tard, elle saisissait le mot de passe :
DOOM COLD LEGION CURSE
Aussitôt, le décryptage du mini ordinateur prit fin. Il affichait à présent le panneau de commande des drones dont la jeune femme s'empara aussitôt. Sans attendre davantage, Anastasia les désactiva en appuyant sur le bouton rouge. L'instant d'après, ils se figeaient dans l'espace avant de tomber lourdement sur le sol et de se briser. Un sourire satisfait naquit sur les lèvres roses d'Anya. Mais très vite, elle s'aperçut que le drone mère était encore actif, sans doute protégé par davantage de sécurités. Fronçant les sourcils, Anastasia sortit de l'ombre et se plaça bien en évidence devant la balustrade, les bras écartés. Elle l'attendait et le drone ne tarda pas à la verrouiller comme cible quand elle avait verrouillé son regard acier sur lui. Au dernier moment, Anastasia plongea sur le côté tandis que le tir du drone se répercutait sur lui-même en le déstabilisant. La jeune femme en profita pour l'attraper au vol et le fracasser de toutes ses forces contre le mur. Pour faire bonne mesure, une fois qu'il gisait par terre, elle le piétina avant de se frotter les mains, satisfaite. Malheureusement, dans son ultime résistance, le drone avait touché Spiderman de plein fouet. Anastasia avait à peine eu le temps de savourer sa victoire qu'elle le vit s'effondrer au sol tandis que son assaillant prenait l'avantage. Anya jura en russe avant d'aviser la carcasse du drone. Elle s'en empara et la lança de toutes ses forces en direction de... la personne qui attaquait SpiderDyson, espérant donner à son allié l'occasion de reprendre le dessus. Et comme apparemment la chance était de son côté, la carcasse heurta l'homme à l'arrière du crâne, le sonnant légèrement pendant que Dyson pouvait profiter de cette opportunité. Voilà qui était bien mieux.
Dyson : 90 %
Maara Blackhunter
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| Avatar : Katie McGrath
| Conte : Les 5 Légendes | Dans le monde des contes, je suis : : Nightmare
La situation me semblait assez désespérée... Je n'étais pas certaine que Dyson ait pensé que Cold pourrait en venir à créer des super-méchants pour dévoiler ses projets... C'était un plan très risqué avec tellement de paramètres incontrôlables qu'il me semblait véritablement mauvais. Parce que déjà, il fallait que les volontaires survivent au changement. Ensuite, il fallait pouvoir les contrôler un minimum ou au moins garantir leur loyauté. Mais eux ayant des pouvoirs, rien n'était moins sûr. Après tout, ils n'avaient plus besoin de Cold pour se venger à présent... Et encore fallait-il que la transformation ne se retourne pas contre eux. Enfin bref. Pour moi, c'était très mauvais tout ça.
Je montais la garde pendant qu'Anastasia avertissait les autres. Puis l'enfer commença. La Magic League fut transportée en plein dans la réception par la Légion et la phase 2 du plan fut simple à comprendre : un combat gentils/méchants pour montrer que la magie existait et qu'on pouvait faire pas mal de dégâts. C'était simpliste, mais très efficace à mon sens. Il n'y avait rien de tel que la peur pour pousser les gens à commettre des actes irréfléchis et j'étais une spécialiste là-dessus ! Heureusement, Spider Man évacua rapidement la salle, avant que l'affrontement ne débute. Avec Anastasia, nous en profitâmes pour disparaître nous aussi, conservant ainsi notre identité. Nous retrouvâmes les autres une fois vêtues de nos costumes.
Je ne pus pas longtemps regarder tout ce beau monde... Parce que je fus téléportée par un éclair rouge. Scarlet Witch était mon adversaire apparemment. Ce qui me semblait idiot. De ce que j'en savais, nos pouvoirs étaient relativement similaires... Et on luttait plus facilement contre quelqu'un qui n'avait pas les mêmes pouvoirs que soi. Ceci dit, quand je me retrouvais en plein désert de glace, cela n'avait plus grande importance. J'étais trop loin des autres. Alors que j'observais le paysage à la recherche de la Sorcière Rouge, je ne trouvais qu'une porte, au beau milieu du champ. Méfiante, je la détruisis au moyen d'éclair. Ce n'était pas forcément l'entrée en matière la plus fine que j'ai pu faire, mais je n'avais pas vraiment le temps pour la discrétion. Et puis, nous étions en plein désert... Ce qui avait le don de m'étonner d'ailleurs. Pourquoi ici et pas en pleine ville ?
L'intérieur était une salle très vaste, du genre de celle d'une usine. Peut-être qu'il s'agissait d'une ancienne usine cachée d'ailleurs... Quoi qu'il en soit, je notais les différentes caisses et machines qui pourraient s'avérer aussi utiles que dangereuses. Face à moi se trouvait un escalier que j'empruntai avec prudence, notant au passage que la chaleur était plus importante ici. Et au milieu se trouvait Scarlet Witch qui m'attendait paisiblement.
"Bienvenue à la maison. Je te sers du thé ?" Dit-elle avec un mauvais rictus.
- Non, je te remercie, le thé rouge, c'est pas ce que je préfère. Je suis adepte du café noir moi de toute façon. Répondis-je avec sarcasme.
En vérité, le café n'était pas forcément ma boisson préférée, mais bon, elle n'était pas censée le savoir. Les civilités s'arrêtèrent là, à croire que nous partagions un peu plus que des pouvoirs similaires : l'horreur des mondanités. Scarlet lança vers moi une espèce de lasso rouge comme son pouvoir qui m'attrapa avant de me balancer contre le mur. Merde. Je pris quelques secondes pour me remettre du choc avant de répliquer avec le coup qui avait bien fonctionné contre Dyson. Je créais un éclair noir énorme avant de le balancer vers Scarlet. Au beau milieu de sa course, mon éclair se sépara en une multitude de petits éclairs qui touchèrent Scarlet, ce qui me permit d'aller m'entourer d'ombre pour disparaître. Quant à la Sorcière, elle s'entoura elle aussi d'un bouclier une fois le choc surmonté et disparut.
Soupirant en me disant que ça serait franchement dur parce que nous avions apparemment une façon de penser similaire, je mis un peu de temps avant de sortir de ma cachette d'ombres. Je sortis mon bâton d'onyx et le chargeai d'énergie avant de le frapper durement contre le sol, créant ainsi une onde de choc qui, je l'espérais en tout cas, allait faire tomber Scarlet et me dévoiler où celle-ci se trouvait. Cela fonctionna. Scarlet tomba au sol mais répliqua bien vite en me lançant un éclair rouge. Du moins était-ce ce dont j'avais l'impression. En sentant le mur de glace tomber derrière moi, je compris qu'elle m'avait loupé exprès. Pour que je sois ensevelie sous la glace. Manque de pot pour elle, j'étais rapide, sans doute parce que j'étais un ancien cheval... Quoi qu'il en soit, je parvins à éviter le plus gros mais fut tout de même blessé par des éclats de glace. Bordel ce que ça faisait mal !
Et j'en avais plus qu'accès. Il était temps de sortir mon coup de maître. Sans perdre un instant, je fis appel à mon pouvoir sur la peur. Cela prit du temps, parce que cette folle semblait ne rien craindre. Mais je finis par trouver quelque chose de très utile et qui parviendrait sans doute à la déstabiliser assez. Son frère. Elle avait perdu son frère. Et je me fis un plaisir de lui rappeler l'angoisse qu'elle avait vécu. Et cela fonctionna. Tout en la mettant en colère.
"Tu ne m'aura pas comme ça." Siffla-t-elle, furieuse.
J'eus un petit sourire. Sans doute pas mais c'était beau à voir. Scarlet lutta un bon moment avant de se défaire de mon emprise. Et elle contre-attaqua tout de suite en guise de représailles. Sans perdre un instant, elle me lança plein de rayons. Mais contrairement à ce qu'elle avait pu faire avant, ceux-là étaient très puissants. Si bien que lorsque l'un d'eux me toucha, je finis encastrée dans le mur opposé. Bordel de... ! Ce que ça faisait mal !
"Encore une affreuse performance c'est pas de chance." Ironisa-t-elle.
Une fois remise du choc, je me relevai pour lui faire face, un sourire moqueur aux lèvres.
- On a tellement peu d'imagination qu'on pique les répliques des dessins animés ?
"Il faut bien vous étudier au scalpel pour mieux vous démanteler." Répondit-elle, ce qui me fit lever les yeux au ciel.
Sérieusement, elle osait l'ouvrir alors qu'elle venait de ce même monde ?[/color]
- J'avais cru comprendre que votre petite organisation regroupait la vermine du monde des contes, on m'aurait menti ? Dis-je avec sarcasme.
"C'est bien, tu t'es renseignée à la bonne enseigne."
Elle en avait d'autres des répliques débiles toutes faites ? Ça devenait lassant... Sur ce, nous nous mîmes à lancer toutes les deux un puissant rayon. Noir pour moi, rouge pour elle, les deux se rencontrant avec fracas et s'affrontant avec force. Nous étions véritablement trop semblables dans nos façons d'agir. Et sans doute aussi de puissances comparables. Nous luttâmes autant l'une que l'autre, mais le rayon finit par se relâcher, nous envoyant l'une et l'autre à chaque extrémité de la salle. La douleur de ce renvoi d'énergie me fit grimacer sous ma capuche.
- Je savais les méchants débiles sur certains points, mais vouloir exterminer des gens qui viennent du même monde que soi, ce n'est même plus de la débilité à ce compte-là... Attaquai-je alors verbalement, histoire de gagner un peu de temps.
"Ce n'est pas mon compte. J'ai mes raisons de prendre part à ceci. Comme tu as certainement les tiennes de vouloir jouer aux débiles masqués."
Ouais... Y avait une chose que je détestais encore plus que les gentils héros mielleux. C'étaient les méchants intelligents. Bordel ! On aurait formé un trop bon duo si j'avais décidé de partir de l'autre côté ! C'en était presque rageant !
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| Avatar : Nina Dobrev
I'VE TASTED BLOOD AND IT IS SWEET
I'VE HAD THE RUG PULLED BENEATH MY FEET
I'VE TRUSTED LIES AND TRUSTED MEN
BROKE DOWN AND PUT MYSELF BACK TOGETHER AGAIN
STARED IN THE MIRROR AND PUNCHED IT TO SHATTERS
COLLECTED THE PIECES AND PICKED OUT A DAGGER
I'VE PINCHED MY SKIN IN BETWEEN MY TO FINGERS
AND WISHED I COULD CUT SOME PARTS OFF WITH SOME SCISSORS
« ... »
| Conte : Un conte ? Pourquoi faire ? | Dans le monde des contes, je suis : : Un mystère qui évolue sans cesse.
ENTRE PSYCHOCLOWNY ET MOI, CA VA FAIRE DES ETINCELLES !!!
Et comme on va faire péter des trucs, ça va faire BOOOM aussi. HA HA !!
Feat. des vacanciers comme moi (Spider-Dydy, Wonder-Jez, Anya-Watch, Black-Raven et Gambit- Ali).
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Ce type était pas net. Ça se voyait à sa tête de clown. Il avait des cheveux verts, un sourire dessiné avec du rouge à lèvre par-dessus ses cicatrices, et un visage maquillé en blanc. Et même s’il m’emmerdait avec tout son blabla qui menait à rien (et surtout pas à mon amusement personnel), je devais bien reconnaître qu’il avait l’air complètement taré. Et c’était connu, les tarés savaient s’amuser. Et si c’était pas le cas, on pouvait toujours trouvé le moyen de s’amuser avec. Dans tous les cas, c’était toujours plus intéressant que de courir après un vieux croûton de 300 pige entouré d’une bande de gorille débile même pas capable de localiser leur culs avec une carte, et qui parlait même pas la bonne langue en plus ! Puis si grand-mère Dyson voulait son ministre, il avait qu’à aller se le chercher lui-même d’abord ! Moi, j’étais pas sa boniche.
« Un point à chaque tête qui tombe. Que le pire gagne. »
Avant de me dire ça, il avait pointé du doigt la fenêtre derrière moi, c’était penché pour regarder les participants à la fête prendre la fuite, puis il avait siffloté en fouillant énergiquement dans ses poches avant d’en sortir des fumigènes qu’il avait balancé au milieu de la foule ce qui les avaient fait paniqué. Puis il avait sauté, me laissant seule comme une conne à l’étage. Ça, c’était vraiment pas du jeu.
– Très bien, comme tu veux Green Bobo. Mais t’as pas intérêt à gagner tu m’entends ? Sinon, J’TE BUTE ! Je termine menaçante, en criant bien fort pour qu’il m’entende.
C’est vrai quoi ! Il était hors de question, que je laisse un amateur me voler la vedette aussi facilement. Après tout, j’avais des générations et des générations de connaissance dans le domaine de l’assassinat et de la stratégie à ma disposition ! En plus, j’avais des super gadget pour m’aider dans ma tache. Je ne pouvais que gagner. Quand à lui, ma victoire prouverait juste que c’était qu’un loozer qui n’avait AUCUNE chance. C’était pas un scoop, mais tout le monde n’était pas encore au courant. Du coup, fallait que ce soit bien clair pour tous. J’étais la meilleure et les autres étaient NULS.
Une fois la menace faite, je saute par la fenêtre avant d’atterrir avec souplesse plusieurs étages en bas. Grâce aux nombreuses zones d’obscurité sur notre terrain de jeu, j'étais capable de me déplacer dans l’ombre sans me faire repérer. Cependant, y avait quand même un petit problème dans tout ça. Avec mon costume aussi sexy et stylé soit-il, j’avais peu de chance de passer inaperçu au milieu de cette foule. Et moi, j’avais envie de la disperser cette foule. De la faire sauté même ! Et pour ça, il fallait que j’aille au milieu pour y déposer une de mes adorables et attachantes petites boites surprises...
Du coup, alors qu’il avait déjà commencé la tuerie de son côté, j'ai usé de mon pouvoir d’ombre à l'abri des regards, pour disparaître. Puis, je me je me suis approchée de la foule en chantonnant et en trottinant toute heureuse, avant de déposer quelques boites surprise à des endroits bien stratégiques et grouillant de monde. Avec le bruit extérieur, la mélodie qui s’échappait des boites passaient presque inaperçu. Mais les gens étaient stupides de toute façon. Alors même si quelqu’un s'apercevait qu'il y avait une boite à musique par terre, il dirait rien. Et ça, ça me facilitait grandement les choses.
Après ça, je me sui installée à un endroit stratégique. J’avais pris mes deux flingues et j’avais tiré dans le tas. Chacun de mes tires étaient précis, le but étant de viser la tête, le cœur, voit même de tirer dans la jambe pour ensuite achever ma victime. Et comme j’étais chanceuse, quelques brebis égarées et des idiots de la sécurité, venaient aussi se perdre dans mes filets. Bien évidemment, je les avaient tous dévivantés. Pas tous de la même manière certes, parce qu’il y avait des pizzas, des picasso et des troués, mais c’était du pareil au même de toute façon. Et puis, j’étais une professionnelle après tout ! Quelle image ça aurait donné de moi, si j’avais fais le travaille à moitié hein ? C’était impensable.
– Hush little baby, don’t say a world. Momma’s gonna kill for you the whole damn world.And if they don’t laugh at our jokes, momma’s gonna stab out their goddamn throats...
Puisque ma cachette était parfaite à cause de ma vue bien dégagée sur la cours et des nombreuses zones d’ombre dans lesquelles je pouvais me dissimuler en cas de problème, j’enchaînais sans me soucier de quoi que ce soit, les meurtres en chantant tandis que je riais sans retenu lorsqu’un nouvelle explosion retentissait parmi les rescapés du massacres. De temps en temps, je balançais une de mes billes de gaz dans le tas, déclenchant tour à tour des éclats de rire incontrôlés et des hallucinations, sans jamais cesser de tirer sur nos cibles.
Finalement, c’était beaucoup plus amusant que les vacances que j’avais en tête. Seulement, au fur et à mesure que les cadavres s’empilaient sur le sol et que la source de notre défie s’épuisait, je me rendais compte, que green clowny n’était pas juste un idiot débutant qui voulait faire ses preuves. Non, il savait ce qu’il faisait. Et ça, c’était pas bon pour moi, parce que je voulais gagner, je devais gagner !!! Il n’y avait qu’une possibilité, c’était que je gagne, gagne, QUE JE GAGNE !!! Donc, pour que je gagne, il fallait qu’il crève. Et c’est à ce moment-là, que le vrai jeu a commencé.
– Attention Cruella d'Enfer ! Balle en approche ! Esquive ! Je crie à une femme habillée d’un manteau de fourrure foncé qui courait en talon aiguille un peu plus loin.
Un homme qui devait sans doute être son mari c’était arrêté en réalisant que la femme c’était écroulée à terre, une balle entre les deux yeux. Et s’il était assez idiot pour faire ça, c’était forcément qu’il voulait mourir ! Aussi, je pose le doigt sur la gâchette prête à tirer lorsque l’homme tombe à terre, raid mort. Le tricheur !!! C’ETAIT LE MIEN D’ABORD !
– Héééééé !!! GREENY B, C'ETAIT MON BOBO STUPIDE D'ADORD ! !! J’avais crié ça sans me soucier qu’on l’entendre. De toute façon, il était le seul à avoir la capacité de me voir comme de m’entendre. Et c’est sans doute pour ça, qu’il avait choisie de répondre à ma protestation avec une balle tiré dans ma direction. Mais c’était raté… Chose que je me suis empressée de partager avec lui.
– TU M’AS RATE GROS NAZE ! Je crie moqueuse avant de terminer. MÊME UNE GRAND-MERE AVEC DES LUNETTES DOUBLE FOYER, FERAIT MIEUX QUE TOI LOOZER !!!
Et pour bien illustrer mon propos, j’ai fait le signe du l sur mon front. Puis j’ai quitté ma place en urgence en prenant soin de m’éloigner assez, pour ne pas être touchée pas des débris de l’explosif qu’il avait envoyé dans ma direction.
– RATE, RATE, RATEEEEEEEE !!!
Je lui tire la langue et cours me cacher dans une zone d’ombre avant de me déplacer en toute discrétion, le privant de son avantage sur les autres. A savoir, me repérer. Puis, lorsque je suis assez prêt pour me le faire et me mettre à l’abri au cas où, je me dévoile à nouveau à sa vue et crie :
– T’es mort Green Peace. Wa-Tcha !
Et là, j’ai commencé à tiré sur ma cible, détournant un flingue de temps en temps, pour tirer sur l'un des derniers survivants de notre défi. C’était pas un clown qui allait m’apprendre mon métier non mais !
– Alors, tu capitules ou je te grille sur place ?
Et bien évidement, il a pas capitulé. Au lieu de ça, il a riposté et notre petite gueguerre a continué jusqu’à ce qu’il n’y ait plus personne. C’était pas la fin de notre petit défi du coup ?
– POUUUUUUCE !!!! Je crie sans sortir de ma cachette à l’attention de Clowny. J’ai rien de blanc pour signaler la fin de notre combat, mais comme y a plus personne de vivant, je devrais pas en avoir besoin. Alors tu tires plus hein ? Même si toi aussi, ça te dérangerais pas de me faire sauter le caisson histoire de confirmer ta victoire.
Quoi ? J’avais dis que ça me dérangerait pas de lui faire sauter le caisson, pas que j'allais le faire !
Je rengaine mes deux flingues et m’approche des cadavres éparpillés sur le sol. Maintenant, ils nous restaient plus qu’à compter. Et c'était pas la partie la plus amusante du défi. Allez !1… 2…3… Pfff.
Je m'étais écarté du capitaine Cold, prenant le soin de m'éloigner de son regard et de reprendre mon apparence initiale. J'avais l'impression que ma nouvelle couverture allait servir. Mais avant que je ne puisse comprendre ce qui venait de ce passer, a tenue soyeuse fut revêtue pour redevenir mon costume initiale. Je jetais un coup d'oeil réprobateur à Overwatch, mais elle et Raven avait reprit leurs formes initiale également. Devant nous ce dressait le portrait d'autres personnes aux capacités égalant les notres. J'inclinais la tête, mon oreille eu juste le temps de capter le nom de cette organisation, avant que ma respiration ne soit coupé et qu'un choc ne me propulse au delà de la réception. Une main ferme entourait ma gorge, alors qu'un tourbillon de lumière nous enveloppait, mon ravisseur et moi même. Je ne comprenais pas, j'étais pas en train de courir ! Sa poigne ferme était en train de me voler l'air. Mes mainss agrippèrent les siennes dans le but de m'en défaire. Ah c'est comme ca ? J'observais son visage dissous sous un masque. Le lâche. Je pris soin de faire passer ma gorge à travers ses mains pour me défaire de son emprise. Il fut surprit, et avant qu'il ne puisse comprendre ce qui ce passait, je rebondis sur le sol et fonçais droit sur lui.
Les rues de Moscou défilaient à vive allure, et j'entrepris d'escalader le plus grand building en courant sur les parois des vitres, emmenant min adversaire le plus loin possible, et surtout, le plus haut. Une danse lumineuse, trop flou pour l'oeil des passants, s'engagea à travers la ville. Je m'arrêtais sur le toit de l'immeuble, analysant mon concurrent. Il pouvait courir comme moi ! C'est pas juste ! Il m'a volé mon pouvoir ! Je suis unique d'abord ! En plus c'est quoi ce costume jaune canaris ? Il est défendeur des ornithologues ou quoi ? On dirait un poussin géant ! Je tenais encore ma gorge, des yeux fusilleurs détaillant mon adversaire avec attention. C'était pas juste. J'aimais pas quand quelqu'un pouvait faire la même chose que moi. Ca lançait un marché concurrentiel, et je détestais que la possibilité d'être meilleur que moi puisse exister. J'adressais un coup d'oeil alerte vers les passants en bas, trèèèèèèèès bas de l'immeuble qui vaguait à leurs occupation sans nous avoir vue. J'effectuais une moue de petite fille blessé. Il état hors de question que ce gars soit plus rapide que moi ! Ma mains au feu ! Attendez, je suis résistante au feu, ca va poser problème …
▬ « Quoi ? Nan c'est pas juste, tu peu pas être comme moi ! » m'écriais-je, agitant les mains, désapprouvant totalement cette situation. Je ne m'attendais pas à ce que cela puisse être possible. Et surtout, maintenant je savais ce que ca faisait qu'en j'emportais quelqu'un dans ma super vitesse... C'est vrai que sur le coup on ce demande quand même ce qui ce passe.
« Tu veux être unique ? Viens prouver que tu me surpasse. » c'était de la provocation ! On est d'accord ? Je peu donc lui casser la gueule en toute sérénité hein ? Dans ce cas il avait intêret à appeler son assurance, j'étais pas certaine qu'elle puisse couvrir les blessures qui allait suivre ! Je lachais un hurlement de rage, et me jetais sur lui. Non mais, j'acceptais tout simplement pas cette nouvelle, elle me passait en travers de la gorge comme un jambon crue. J'étais certaine qu'il savait pas faire le tour du monde en dix seconde chrono ! Mon corps entrait en collision avec le sien, et nous dévalions de nouveau le building en sens inverse, avant de me réceptionner pour poursuivre ma course dans le périphérique de Moscou. Il m'assena un coup de point qui eu vite fait de me déstabiliser. Je bondis pour évité une voiture, me servant de son capot comme trempoline pour attraper mon assaillant et le propulser vers la plage. J'abattis sa tête dans le sable, avec un peu de chance un crabe lui attraperait le pif. Reverse Flash – qu'elle nom débile sérieux, est-ce que je me proclame Super Jezabel moi ? Bah non. Ce releva à toute vitesse – vitesse que je pu apercevoir avec lenteur- et m'attrapa par la taille. Je tentais de me défaire de sa prise en me laissant passer à travers ses bras.
Mes pieds touchèrent l'eau, et et suivirent l'infâme dans le but de le rattraper. Oui je cours sur l'eau, problème ? J'attrapais son bras, dans le but de lui assener un nouveau coup. Mes jointures touchèrent sa joue, et il lâcha un couinement. Bien fait ! Je fis demi-tour et me propulsa sur lui. Nous nous donnions un coup mutuellement et notre course à sillonné les mers ce termina lorsque mes pieds touchèrent brutalement un sol plus dur. Je n'avais pas prévu une réception aussi brutale. Je perdis pieds et entrainait mon ennemie dans le sable. J'effectuais quelque roulade avant de m'arrêter pour de bon, face dans le sable. Une douleur parcourait mon corps. L'adrénaline le gardait actif. Je relevais la tête en crachant des grains de sable qui c' était aventurés dans ma bouche. Buuuurk ! C'était comme avaler de la farine ! Dégueulasse ! Et en plus c'était salée ! J'effectuais des mouvements de la mains sur ma langue dans le but de dérobé les grains de sable. Dentiste s'il vous plait ! Dentiiiiiste ! Oh, mon ennemie était debout.
▬ « Tu veux pas abandonner ? J'ai pas envie de te décevoir. » ricanais-je. Bon, je dois avouer qu'avoir un adversaire à sa taille avait quelque chose d'excitant. Enfin quelqu'un qui tenait le rythme !
« Tu veux être la seule à posséder cette super-vitesse alors que tu la gaspille dans une vie si niaise de héroïne ou je-ne-sais quoi d'autre dans ton existence. Moi j'ai un but, cette nouvelle capacité qui anime mes veines servent une cause, une ambition. Rejoins la Légion du Destin, tu as mieux à y faire, votre combat est aussi ridicule que vain. » C'était un entretien d'embauche ? J'avais réussis le test ? Non mais parce que d'habitude les entretiens d'embauche ca ce passe mal. Je le fixais quelque instant, élucidant ce que le coté de la force obscur avait à m'offrir.
▬ « Ta un costume de Wonder Woman dans la légion du coté obscur ? Non ? Alors j'viens pas. » refusais-je, sérieuse, balayant le sujet d'un revers de la mains. Non mais faut pas ce moquer de mémé dans les orties. Ah la rigueur, on peu pousser pépé sur le bas coté. Si costume de Wonder Woman y'a pas, alors c'est pas interessant. Il est nulle le coté obscurs! Je croyais qu'ils avaient au moins des cookies ! Des flammes lèchèrent mes doigts, bouillonnante, crépitante, n'attendant qu'une chose : venir brûler la chaire tendre et vif de ce monsieur Flash. Il pouvait peu être courir vite, mais il lui manquait franchement du matos sous le capot. Enfin, après je suis pas non plus aller vérifier hein … je lançais la boule de feu dans sa direction, avant de disparaître dans ma vitesse. La boule de feu fut détruite par des éclairs rougêatre qui ce mouvait dans ma direction. Le grésillement bruyant parvint à m'aider à en évité quelque unes, mais pas toute. La surprise fut encore plus grande que le choc éclectique qui me catapulta sur le sable. Je lâchais un grognement bestiale alors que mon corps étaient parcouru de courant électrique. Ca grillait et en plus j'étais parcouru de tremblement malgrès moi. Ma peau fumait. Je me relevais, pas contente du tout.
▬ « Wouah attend comment tu fais ca ? C'est nulle, j'aimerais bien savoir le faire ! » me plaignis-je, boudeuse. Non mais c'était trop cool ! Il faisait comment pour choper ses éclairs ? Fallais que j'essaie. Quand je l'aurais mis au tapis !
« Si tout n'est qu'une question d'artifice et de couleur pour toi, tu ferais mieux de capituler, tu n'as pas l'étoffe nécessaire pour votre pseudo-justice ou pour comprendre la notre. Vous n'êtes rien de plus que des égarés qui n'ont pas su trouver leur place dans ce monde étranger. N'essaies pas de perturber ceux qui l'ont trouvé, tu n'y arriveras pas. » Mais il allait comprendre quand j'étais pas ici pour trouver un emploi au seins de son organisation ? Il quitta sa position pour arriver dans ma direction. Je vis sa mains ce refermer pour venir ce propulser dans ma direction, formant un poing lumineux et entouré d'éclairs. Je l'évitais en me penchant en arrière, la couleurs jaunâtre de ses actions rejetais une lumière doré sur mon visage. Je laissais le choc parcourir ses traits, alors qu'un mauvais rictus relevait mes lèvres et que je lui assenais un coup dans les tempes. Je me baissais pour faire tournoyer mon pieds et déséquilibré les siens dans un croche patte. Le sol ce déroba sous ses pieds et il tomba sur le sol. Il ce releva à la suite et je pris mon lasso pour attraper sa taille.
▬ « En fait je m'en fiche. Là tout de suite, ce que je veux, c'est gagné contre toi. » répondit-je d'un ton moqueur, animé d'une malice mauvaise dans mon regard. Par contre, j'avais pas prévu ce qui allait suivre. Un sourire fière encadrait mon visage, avant qu'il ne s'éteigne alors qu'il partit à toute vitesse vers l'avant et que je comprenne que le lasso le suivait de prêt. La force avec laquelle mes pieds décolla du sol me fit pousser un hurlement. Mon corps traina sur le sol, alors que je me prenais les fourrés, la saleté, le sable dans la tronche. Des branches d'arbre me griffèrent le visage, et les rochers m'entaillait quelque partit du corps. Il me trainait sur une longue durée comme ceci, alors que je tentais maladroitement de me remettre debout pour le stopper. Je sentais la chaleur naître au niveau de mon ventre, mais je ne craignais pas le feu. Une personne normal aurait été brûler vif depuis longtemps. « Mais ….Stoope,rfcn zj » une feuille d'aventura dans ma bouche pour m'empêcher d'hurler. Bwaaaah, y'avais eu un scarabé dessus ! Ca avait mauvais goût ! J'allais vomir. Je crachais la feuille, alors je voyais des ronces approché à midi. « NAHHH STOP STOP STOP ! » m'ecriais-je en m'agitant. Du coin de l'oeil, j'avisais un rocher. Toujours en train d'essayer de me défaire de ma position de larve, le lançais mes pieds vers la gauche et pris appuie sur le rocher pour me relever.
▬ « AH ! BOUM BABY ! » ricanais-je. « Oh oh... » perdit-je espoir aussitôt, lorsque deux arbres entrelacé, laissant une minable petite fente comme passage, arriva à toute vitesse. Une idée germa dans mon esprit, et mes pieds ce posèrent à plat sur l'écorce de ses deux arbres. Mon ennemie fut stoppé dans sa course lorsque je tirais d'un coup sec. J'en profitais pour le faire valser contre une parois rocheuse de toutes mes forces, criant sous l'effort. Ma respiration saccadé ne m'aidait pas des masses, et une fatigue enivrante alourdissait mes muscles. Je repris mon lassos que je rangeais, le corps couvert d’égratignure, et m'approchais du pseudo Reverse Flash. Il faisait moins le malin hein ? Ta pis mon gars ! Il ce releva pour m'observer. Une tension naissante rendait l'atmosphère lourde. Il avait l'air d'avoir mal. Son visage était déformé par la douleur qui secouait probablement ses muscles. J'observais alors quelque chose qui me laissa quelque seconde pantoise. Son bras c'était plier dans un sens complétement contre nature. Vous savez, un peu comme quand vous vous déboité un truc. On aurait cru une barbie désarticulé. La vache, c'était dégueulasse ! Le bras ce remit tout seul en place. Je me sentis blêmir.
▬ « Alors ca c'est morbide et glauque. C'est pas cool. » gémit-je, horrifié. Cette vision allait me poursuivre toute ma vie.
« La rapidité de mes yeux me donnent la possibilité de percevoir l'aura qui se dégage des émotions. L'aura du cœur, et du cerveau. Toi c'est différent. Je ne peux savoir qui tu es, mais pour une raison ou un autre, ton coeur est vide, si tu en as un. Tu es pathétique, tu cherche l'apparence et la gloire, tu dois être de ceux qui pensent être bien entourés alors qu'au fond tu n'es qu'une unique anomalie qu'on ne comprendra jamais. » La dureté des paroles me fit l'effet d'un coup de couteau placé en plein cœur. Et je savais de quoi je parlais. Je l'avais déjà fait. Je secouais la tête, non. Je voyais ce qu'il essayait de faire. Et c'était un non catégorique. Je n'avais peu être pas de cœur, mais je n'étais pas une anomalie ! Je sentais mon sang s'activé dans mes veines. Je titubais en reculant, alors qu'il disparu pour venir courir autour de moi, me prenant au piège dans un tourbillon lumineux. J'avisais son reflet, sur la défensive. Il finit par ce figer, et je ne comprenais pas très bien ce qui était en train de ce passer. Il finit par ce découpé, et bientôt, il n'était plus seuls. J'étais prise au piège dans un cercle formé par des Reverse Flash. Comment avait t-il fait ca ? La surprise ce lisait sur mon visage.
« C'est ce qui te rendras aveugle sur ce qui t'entoure réellement. Qui tu es, où vas-tu ? Tu ne le sauras jamais vraiment. Finalement... même la Légion du Destin pourrait difficilement t'accueillir. Tu ne seras accueillie nulle part avec sincérité. Ceux qui le font... c'est pour tous les artifices que tu cherches.. » Je ne pouvais pas me laisser atteindre comme ca ! La colère commençait à me frapper les veines. Ma poitrine brûlait d'un sentiment douloureux. Mon esprit ce refermait peu à peu sur un sentiment sombre qui me nouait la gorge.
▬ « Ce n'est pas vrai ! » m'ecriais-je, fonçant dans un de ses reflets en espérant que ce soit lui. Ma mains vint frapper son visage, mais elle passa à travers celui ci. Un grognement rageur sortit de ma bouche. Aussitôt, la colère sourde m'emmena sur un autre reflet. « Montre toi lâche ! » hurlais-je, mais une nouvelle fois, mes doigts effleurèrent le vide. Je n'ai pas choisis d'être comme ca ! Je n'y étais pour rien ! A chaque illusion que je tentais d'atteindre, elle disparaissaient et réaparassaient.
« Et toi voilà, exigeant que le monde vienne à toi, sans prendre le temps de venir le chercher toi même. » Un coup me toucha le visage, et je titubais en me tenant le nez. Sa faisait mal. J'étais confuse, et j'avais l'impression que la douleur tapais à mes tempes. La rage écumait de mon visage. Mes prunelles bleus s’enflammèrent. Comme à chaque fois que je perdais le contrôle. Des flammes léchèrent mes pupilles. Je me dirigeais en hurlant sur un nouveau reflet, toujours dans l'espoir de le toucher lui. Mais je le loupais encore, et un nouveau coup vint me ceuillir assez fort pour que je ne tombe à la renverse. La douleur qui placardait ma tête obscurcis ma vision pendant un labs de temps, alors qu'il continuait de me poignarder avec des mots. Je n'étais pas différente. J'étais normal ! Je revoyais Maria m'accabler pour les même chose. Je revoyais l'accident, avec le bébé entubé et le petit garçon qui avait perdu ses jambes par ma faute. Je revoyais Emily m'assener de coups parce que j'avais été stupide. Je me relevais difficilement. Mon regard abritait une envie meurtrière.
▬ « Tu ne sais pas de quoi tu parle, tu ne me connais pas ! » Lachais-je, les dents sérrés. Je pris mon lasso autour de moi, et effectuait un cercle qui vint toucher toute les illusions, jusqu'à décelé le vrai. Il l'esquiva au dernier moment et l'attrapa en suite d'une main ferme, me bloquant dans mon attaque.
« Tout ce lit sur ton visage, tu es cette personne inutile pour elle même, et qui ne servira que les autres qui ne se gêneront pas pour se servir de toi. Toute ta vie n'est qu'illusion, voilà pourquoi tu cherches les apparences, car l'esthétique de ta vie est aussi misérable que toi. Tu es seule. Voilà pourquoi tu ne peux pas combattre. » Je tirais désespérément sur le lassos. Les mots me faisaient davantage plus mal que les coups. Je tirais comme une forcené. Il n'avait pas raison. Il n'avait pas raison ! Je détestais cette pars de vérité. Celle ou je m'étais sacrifié de nombreuses fois pour beaucoup de monde sans que ca ne les affectes particulièrement. Mon expression était mauvaise. Très mauvaise. Et la rage commençait à prendre possession de mes mouvements. Je me remémorais les entraînements d'Emily. Je sentais les flammes lécher mes doigts. Elle attendait de ce répartir autour de moi, de détruire le sujet de mon accablement. Je sentais mon corps entier crépité, brûlant. Et je savais le contrôler. Peu être qu'avant, ce flux de feu ce serait libéré et aurait fait des dégats extrême. Mais plus maintenant. Et une chose est sur : Je pouvais le relâcher sans faire un nombre incalculable de victime.
▬ « NON ! NON NON ! » les poings sérrés, j'effectuais le même geste que Wonder Woman, lâchant un cercle de flamme qui fit exploser tout ce qui m'entourait. Le cris de rage s'échappa de mes poumons par la même occasion. Reverse Flash ce prit le mur de flamme et fut propulsé dans les airs. Les flammes mangèrent les arbres, avalèrent le sol, et rongeait le corps de Reverse Flash. Ma respiration était saccadé, fatigué. Mais la colère animant mon regard me contrôlait. D'un nouveau hurlement, je me jetais sur mon ennemie et lui assenais plusieurs coup de poing. Ca faisait du bien. J'y mettais de toute mes forces, et chaque coups étaient comme un soulagement. Le délicieux goût de la vengeance s'insinuait et faisait ronronner mon esprit. Un dernier coup, et il réussit à m'en assener un autre pour me propulser en arrière. Je me réceptionnais tant bien que mal. Je redressais les yeux dans sa direction, alors qu'une distance nous séparait. Une chose était sur, je le voulais mort.
Ca ne m'était encore jamais arrivé. Je n'étais pas de ceux qui tuait les gens de sang froid. J'avais une bonté naïve et manipulable. Mais plus jamais. Plus jamais personne ne m'atteindra ! D'un cris, je décollais du sol en courant de toute mes forces, arpentant la forêt et brûlant tout sur mon passage. Je le voyais approcher, et j'avais la convictions que j'allais le détruire, lui assener le coups qui faisait mal, contre toute les paroles qu'ils m'avaient dite. Contre toute les paroles que tout le monde m'a dite ! La force et la colère me brûlait le ventre.
Nos deux corps entraient en collision. L'explosion illumina le ciel d'un champignon. La force de cette explosion me fit voler dans le sens opposé de mon ennemie. Je me sentais glissé sur l'eau, comme ci quelqu'un m'avait poussé et que plus rien n'arriverait à m'arrêter. Mon corps glissait sur quelque chose de plus dur, avant de heurté un arbre, prêt de la pancarte qui annonçait l'entré de la ville de Moscou. La douleur de la collision hurlaient dans mes muscles, et ma tête était tellement confuse que j'avais beaucoup de mal à m'en remettre. Il était préférable que je reste quelque instant ainsi. Allonger par terre. Je me remettais de mes émotions. De ses émotions. De ce sentiment de vouloir détruire l'objet de vos nuisances. Je respirais bruyamment, me redressant à quatre pour cracher l'eau qui avait réussit à s'infiltré dans mes poumons.
J'étais sale, trempé, et couverte de sable. Les gens vint à ma rencontre, sans comprendre d'ou je sortais. Je tournais la tête, mais je me rendais compte que l'ile n'était pas ici. Ou avait-je été ? Quelque part dans le globe ? Je ne m'étais pas rendu compte que je m'étais trouvé aussi loin. Je me relevais en titubant, refusant l'aide, et m'écartais des passants pour pouvoir disparaître dans un tourbillon de lumière. Je reviens à l'intérieur de la salle de réception. L'expression de mon visage était assez clair : Le premier qui me cherchait allait subir le même sort que ce Reverse Flash. Je n'étais plus d'humeur. Mon regard devint noir et dévisagea chaque personne dans la salle. Les flammes continuèrent de dévorer mes prunelles, effrayants sans doute le peu de personne restante. C'était la première fois que je découvrais ce sentiment appeler Haine. Et il était dévastateur.
Ali Nacer
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
On joue à chat ? Tu chasses le rat et s'apprivoise le chat
Ces femmes vont finir par me tuer ! Il faut toujours que je tombe sur une folle. Au lieu de tomber sur la bonne. Elle est ou ma princesse en détresse? Je vais devoir me contenter de toi. Rendez-vous dans la salle de bain pour notre rencart.
Le décompte de la bombe est déclenchée
Échappatoire un mot qui pourrait décrire le mieux ma vie depuis toujours. Je me suis toujours trouvé une excuse pour fuir mes soucis de coeur. Parce que je ne suis plus le courageux héros qui avait sauver le royaume d'Agrabah. Malgré moi je devais remercier Dyson, car il avait scellé d'une toile ,le frigo d'alcool, car boire , vouloir voyager , m'isoler dans mon coin quand je me trouvais avec les autres était une manière de fuir le potentiel que j'avais enfuis au fond de moi. Ma plus grande force était aussi ma plus grande faiblesse : mes sentiments.
Donc si vous croyez que je suis ce prince qui se pavane, en séduisant des femmes avec mon physique de beau gosse , mon sourire, et mes belles paroles. Je suis désolé de vous décevoir mais le Prince Ali n'existait que durant la malédiction et aujourd'hui ce n'ai qu'un masque, car quand mes souvenirs de Jasmine sont revenus, ma douleur m'a tellement rongé que je me suis refermé sur moi-même. Devenant une nouvelle personne. Personnellement entre elle et moi, je crois que c'est moi qui en a le plus souffert.
Donc au lieu de juger, apprenez à connaitre la personne, au lieu de la rejetée . Oui c'est que je ressentais de cette équipe, surtout de la part de Wonder Woman ,qui semblait amusé de me faire la vie dure. Je ne suis pas peut-être le mec qui travaille en équipe, qui fait n'importe quoi de ma peau comme se mettre tout nu, je bois peut-être mais c'est tout ça c'était un échappatoire. Parce que je préfère ne pas avoir les idées claires, surtout que je vivais depuis plusieurs mois dans l'incertitude. Je m'accrochais à cette petite lueur d'espoir.
Le seul qui pouvait me comprendre, était mon compagnon de route, il connaissait mes envies par rapport a ma vision, mes secrets par rapport à l'email. Donc il connaissait aussi ma force. Il était le seul qui croyait en moi. Il savait j'avais du potentiel. Mais j'attendais seulement le bon moment pour que tout que mes sentiments refoulées prennent le contrôle et que tout EXPLOSE, pour que je retrouve le courageux héros, car tout ce qui reste de cet homme était son sens du sacrifice.
*** Donc comment se passait mon trajet en compagnie de Dyson ? Tranquille assit sur la banquette arrière de la limousine, lisant le comic con que j'avais dérobé comme souvenir dans le bureau. J'avais aussi décidé de charger le fusil que j'avais pris à un des hommes armés que j'avais assommés. Et vider quelques chargeurs de balles dans une mes poches. Pourquoi ? Parce que faire exploser pleins petites balles pourraient faire de jolis feux d'artifices.
*** Princesse en détresse
Dans le plus grand silence, je suivais Dyson et l'équipe était enfin réunis ,mais il manquait quelqu'un. Il manquait Mina. C'est à ce moment là, que les battements de mon coeur s'accéléraient. Que la panique prit le contrôle sur moi, je m'inquiétais. Je sais , elle est débrouillarde, puissante,imaginative, avec un brin de folies. Mais c'était plus fort que moi, la situation me mettait sur les nerfs. J'étais en colère contre moi, car je ne pouvais pas veiller sur elle. J'avais peur qu'il lui arrive un truc pas net. Je n'avais qu'une envie partir à sa recherche. Pour voir si la princesse M n'était pas détresse. Je sais qu'elle serait gérée toute seule, mais je voulais m'en assurer.
Vous me donner le mot pour m'embêter
Mais non malchanceux que je suis, il fallait toujours de quelqu'un gâche mon plaisir de me retrouver avec ma colocataire. C'était frustrant à la fin ! C'est à ce moment là , Captain Cold arrivait faire son petit numéro et sortant son gros gun de son manteau pour le pointer sur nous. C'est à cet instant que Baby Spider décidait de jouer les héros et de courir vers une alarme d'incendie .
À cet instant, que je glissais ma main dans une poche et prendre dans ma paume de main des billes prêtes à être lancer et exploser. Mais j'ai du me retenir parce que la cavalerie se pointait dans un nuage rouge. J'aimais bien la magie. J'adorerais les spectacles, mais j'ai acheté aucun ticket. Donc non merci ! il a une héroïne disparue.
Puis il eu cette scène de baratin. Dans ma tête, il eut cette pensée : Mais dépêchez vous, il a une princesse en détresse qui est en tête en tête avec un autre que moi. Jaloux . Que je n'avais qu'une envie faire tout exploser et donner une belle raclée à ma vilaine, car j'étais convaincu que j'allais tomber sur une femme. C'était inévitable. Quand ta un problème avec les femmes et tu en attires toujours une mais que c'est pas la bonne.
*** Jouer à chat ? Je ne serais pas ton rat !
Tout à coup, l'équipe disparue dont moi pour se rendre ailleurs. Je vous jure si c'est une autre malédiction, je vous tuerais tous ! Parce que je ne vais pas survivre si je dois en revivre une. Soulagé, c'était beaucoup moins pire. Juste une nana qui voulait un rencart improvisé . Puis l'équipe se divisait de nouveau, il ne restait que moi, baby spider et Overwatch.
*** Le combat commençait et la bombe electrisante apparue devant moi instannément dans un petit nuage bleuté et électrisant. J'aimais bien son entrée, c'est spectaculaire. J'en conclus, qu'elle avait envie de jouer avec moi ? T'a un jeu à proposer ? Moi j'aime le poker, c'est moi qui distribue les cartes de mon destin. Parce que j'ai envie pour une fois, de ne être pas le mec en posture de soumission. Et en plus en te regardant,on voit toute suite que tu as envie de dominer. Et toi c'est quoi ta proposition de jeu ? Amusé parce qu'elle semblait aimer s'amuser. Je ne pouvais m'empêcher de sourire en coin, parce que je suis le mec qui a soif de risques. Et parfois je suis enfantin.Je n'avais pas peur de jouer avec ma vie, car tous les jours il était une lutte pour survivre. J'ai toujours survécu. Reculant de quelques pas vivement. Je l'analysais, pensant que je pourrais couper le courant de la résidence. Pour réduire sa puissance. Pour faire diversion sur mon projet. Je décidais de lui lancer une petite crack amusante, mais totalement véridique.
-Alors t'a envie de jouer avec moi ? Choisis ton jeu mais Si tu me proposes le chat et la souris. Je suis désolé je joue déjà à ce jeu avec une demoiselle J'ai eu une pensée pour Mina . Et c'est un jeu qui me plait pas.
-Je peux être plus électrique ! Disait-elle en riant narquoisement avant de reprendre. -Je vais te cramer.
- Me cramer, Je vois que tu aimes ça quand c'est chaud et torride !
C'était ça ton jeu? Me cramer ? Mauvais jeu ! Parce que moi j'ai envie de rentré retrouver ma fée ,j'ai envie d'un autre rencart, parce que j'ai des choses a régler et j'ai qu'une envie aller'' buter du clown,'' même si au fond de moi, je ne savais pas qui était l'adversaire de Mina. Mais tout le monde en avait un, elle aussi . Et en plus parce qu'il a de la chance et pas moi .
Je décide donc de faire dos à la vilaine pour piquer une course et trouvé ce générateur, mais avec ses fouets elle enroule mes chevilles. Je tombe solidement sur le sol, me cognant la tête . Mon front se fendit dans le haut, laissant un peu de sang coulé. Je serrais des dents. Puis elle me traînait dans sa direction. Mon corps glissait tout le long sur le sol.J'essais de m' agripper à ce que je pouvais, mais il avait rien dans le coin à quoi s' agripper, pour résister. Mais vu que j'aimais bien provoquer et que je ne pouvais m' empêcher de trouver la situation amusante d'être le jouet d'une vilaine.
- Je vois que tu n'as pas envie de me partager avec l'autre demoiselle. Je prend ça pour un compliment, par contre les fouets c'est radical comme truc si tu as envie de moi. Et je fais jamais des choses le premier soir, donc les fouets ça sera pour un prochain rencart.
Allongé sur le ventre au sol, je pouvais me tourner de bord pour lui faire face. Je la regardais de haut avec mon regard noisette. Je lui fis un clin d'oeil. Provoquer, vouloir des ennuis et risquer ma peau c'était tout moi. Est-ce que je suis suicidaire ? Peut-être un peu, mais j'ai quoi a perdre ? Rien car , je ne sais même pas si on tient réellement à moi. Et c'est une réponse que j'attendais sans succès.
-T'a pas envie de prendre un verre avant pour faire connaissance. Pour que tu puisses me parler pourquoi tu es devenue une vilaine. Moi la misère des gens ça m'intéresse, car je suis sur qu'on pourrait se trouver des points communs. En plus j'ai un restant de bouteille dans mon manteau ? T'en a envie ?
tu commences à me taper sur le système là, tu peux arrêter de parler ?"
La demoiselle était écœurer de m'entendre . C'était plutôt drôle mais par contre elle était décidément comme toutes ses femmes que j'ai dans ma vie. Vous êtes têtues, vous êtes jamais satisfaites, et vous fouettez de mes envies. Ça ne marchera pas elle et moi ! Moi je suis un homme qui aime les préliminaires, les petits jeux coquins, et bavarder avant de passer à l'acte . Dommage pour elle parce que tu étais quand même attirante. En plus elle a les prunelles toutes scintillantes de ma couleur préférée.Je peux voir un brin de folie dans ses yeux. Et en plus ses mèches de cheveux sont blanches, comme Malicia. Et en plus en ce moment , j'ai le gros béguin pour les cheveux colorés. Tu serais mon genre de femmes physiquement, car la seule qui est une exception à cette règle était Lena. Qui possédait un autre charme qui m'attirait.
Si mon coeur n'était pas déjà comblé par mes princesses. Et que j'étais un méchant dans une bande dessinée, on aurait pu tenter notre chance. Donc j'espère que elle va me câliner, parce que moi j'aurais du mal à la taper. C'est quand même une nana ! Mais je crois que elle est plus du genre à sortir le fouet que faire des câlins. Donc je vais devoir taper son petit cul à contre coeur, car frapper une femme c'est pas mon genre et d'habitude c'est le contraire, c'est moi qui prend les baffes.
** Une méchante électrique qui aime les jeux tordus
Pour me faire payer mes paroles de séducteur, car elle semblait être une femme susceptible et farouche. Elle décidait d'enrouler ses lianes d' électricités autour de mes jambes, pour essayer de m 'électrocuter. Mon visage se crispait sous la douleur, et mon corps tremblait. Mais j'étais capable de résister et d'endurer malgré ma préférence de mourir par la foudre. Que de crever par empoisonnement, comme il y a quelques mois de cela. Heureusement depuis ce jour, la mort me faisait plus peur. J'avais accepté qu'elle fasse partie de ma vie. Mais j'avais envie de riposter. Donc avec le pouvoir des gants, les balles de fusil que j'avais vider dans mes poches, venaient se ranger dans les paumes de mes mains et je décidais de bombarder la demoiselle. Chaque balle qui touchait Livewire explosait à son contact. Et les balles qui touchait le visage de la femme, lui brûlait légèrement la peau en contact avec l'objet. Je venais d 'abîmer son adorable minois. Sur le visage de la mutante, elle pouvait lire une colère noire. Elle allait sans doute se venger , et j'allais sans doute souffrir. Mais est-ce que j'avais peur de souffrir ? Non , car l'amour c'est la plus souffrance pour moi . Donc elle pouvait me torturer tant qu'elle voulait Je résisterais, simplement parce que ce n'était pas de la façon que je veux finir ma vie. Je veux mourir en me sacrifiant pour une princesse.
*** Alors que je me relevais pour accomplir ma première idée. Elle me prit de nouveau dans ses filets. Elle enroulait de nouveau mon corps de son cordage. Est-ce que je dois prendre ça comme un signe d'affection qu'elle semblait aimer ça m'attacher ? Et qu'est-ce qui la poussait à s'en prendre à moi ? Pourquoi elle m'avait choisie au lieu de se choisir un autre adversaire? Tant de questions , mais comme d'habitude, je n'aurais jamais les réponses. Tout simplement parce que c'est une femme. Et les femmes préfèrent me laisser dans l'ignorance. Me laisser espérer. Me laisser rêver. Ces lianes me serraient, me coupant le souffle. Mais je laissais échapper un dernier cri de détresse, même si celui ne servait à rien, car ma sauveuse n'était pas là. Mon corps était pris de tremblements. Je fermais doucement les paupières. Prêt à renoncer, à lâcher prise. Simplement parce que je préférais l'échappatoire. Je finis par être à genoux devant elle en posture de soumission. Elle attendait que mon coeur flanche. Mais mon coeur était ma plus grande force, donc même si ma tête voulait que je laisse tomber. Mon coeur allait endurer jusqu'au bout. Parce que ma tête et mon coeur ne seront jamais en accord. *** À ce moment là, qu'elle fut distraite parce que des balles d'un drone. Des balles qui passaient à quelques centimètres de sa tête. Lui effleurait l'oreille droite. Les battements de mon coeur étaient au ralenti. Je pensais aux dernières personnes que j'aimais : les petites femmes de ma vie : Nylla, Park, Lena , Mina et même Thalia, car même si elle était mon ex fiancé. Elle aurait toujours la place du premier amour de ma vie. Puis les cordes électriques disparues. Mon coeur se remit en marche. Légèrement étourdis, je décidais de me relever malgré tout et rapidement pour prendre la fuite vers une nouvelle idée.
Un peu plus loin, dos à la folle furieuse qui en voulait à ma peau sans raison valable. Tout simplement parce que toutes les femmes sont cinglées dans leur tête, sauf ma petite fée et cette Overwatch dont je suis redevable, pour avoir sauvé mon joli fessier. LiveWire décidait de me lancer des éclairs qui venait me frapper . Sous l'impact je m'envolais dans les airs. Mais j'étais habille de mon corps et dans les airs je fis une pirouette qui me permettait de retomber sur mes pieds. J'avais l'habitude des cascades, c'était un de mes talents qui m'avait souvent sauver la peau à Agrabah. Ayant mal au dos à cause des éclairs, je décidais de filer à toute allure vers la salle de bain. Toute façon je savais qu'elle allait me suivre. Elle était tombée sous mon charme.
Rencart sanglant dans la salle de bain
La vilaine disparue d'ou elle était pour parcourir les prises de courants de la résidence. Pendant que je pénètrais dans la salle de bain. Au même moment, ou j'allais lui lancer une replique dans le genre: T'as envie de pécho avec moi, voila c'est ta chance , on est enfin seul, car je venais de voir son reflet dans le miroir en face de moi. D'un éclair bleutée, pour alertée sa présence, elle éclatait le miroir dans tous les sens. Pour me protéger du verre , je mis mes bras en croix devant mon visage. Mais un morceau pointu du miroir, venait se loger dans ma cuisse de justesse pour ne pas couper les artères principaux.
Que je m'apprêtait a hurler ma vie. Je ne pouvais pas me retourner, ni même attaquer pour le moment, car ma tête se penchait vers l'arrière. Elle venait de m'attraper par le cou avec son fameux fouet. Souffle coupé. Elle serrait mon coup comme un étau. Je ne pouvais presque plus respirer. Je commençais voir flou devant moi. Heureusement que mon cou était couvert de tissus, car son pouvoir m'aurait brûlée la peau. Mais en reculant légèrement à cause qu'elle me tirait par arrière, vers elle. Le morceau de verre s' enfonçait d'avantage sous la pression, déchirant mon muscle :vaste intérieur ,de ma cuisse. Je me serrais les dents sous la douleur intense, car je ne pouvais pas hurler.Je ressentais une brûlure à cause de ma blessure. Alors que j'empoignais d'une main le morceau de verre, pour l'enlever brusquement de ma chair.Le sang se mit à couler sur ma cuisse, car le morceau servait de bouchon pour empêcher le saignement. Mais je ne voulais pas nuire à la mission, donc j'allais me la jouer discret et endurer.Endurer ce que la vie m'offre : des blessures et des épreuves.
Rat Docile, Chatte dominante
J'étais encore dans une position de soumission. Ou la maudite femme dominait. Décidément les femmes aimaient avoir le contrôle sur ma vie. Je déposais mes mains sur le lavabo en face de moi. Sous mon contact, la porcelaine éclatait, comme la tuyauterie. Laissant de l'eau sortir en abondance. Effrayée, Livewire se volatilisait à travers les prises de courant, car elle était en état de vulnérabilité vis à vis de ses pouvoirs.
Une finale mystérieuse
Mais elle décidait de réapparaître avant de me regarder, puis elle me dit de sa petite voix provocatrice : "Oh oh Gambit, alors c'est déjà terminé ?"
Trempé, un morceau de verre ensanglanté dans la main. Je faisais quelques pas vers l'avant en boitant, à cause de ma blessure. Puis je lui disais d'un ton sérieux.
-Mon minou ça ne sera jamais terminé entre toi et moi, car tu ne réussiras jamais a m' enlevé ce qui me tiens le plus a coeur , et sache que ce n'ai pas ma vie .
Puis je sortais un gadget de mon manteau : Le bâton. L'activa. Le cogna sauvagement contre le plancher. Il a eut une onde de choc, que même le plafond en tremblait. Tout ce qui se trouvait dans la salle de bain éclatait en morceaux et l'eau inondait la pièce. Laissant un désordre monstrueux. Mais que sont devenus le héros et la vilaine ?
Anastasia Romanov
« Men are such babies »
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| Conte : Anastasia | Dans le monde des contes, je suis : : Anastasia Romanov
Anastasia était redescendue, cherchant à prêter main forte à ses acolytes. Mais comment ? Elle n'avait ni pouvoirs, ni gadgets badass de superhéros et son ordinateur portable ne trouvait rien à pirater. Ses yeux, en revanche, se posèrent sur Cold qu'elle eut tout juste le temps d'apercevoir dans l'embrasure de la porte avant qu'il ne disparaisse dans l'ombre d'un pas déterminé. Un éclair déterminé passa dans ses yeux qu'elle reposa sur ses coéquipiers. Ils avaient la situation en main. Plus ou moins. Une chose était certaine, ils ne semblaient pas avoir besoin d'elle dont les compétences limitées en corps à corps pourraient faire plus de dégâts qu'autre chose. Alors elle s'élança, elle aussi, d'un pas déterminé dans la nuit noire. Une fois hors de la salle de fête, Anastasia activa son gadget qui lui rendit une apparence civile. Il faudrait qu'elle pense à en féliciter l'inventeur, d'ailleurs. Mais plus tard. Pour l'heure seul comptait Cold et sa destination. Anastasia ne tarda pas à l'apercevoir en train de monter dans un taxi. Alors la jeune femme n'hésita pas, sortant de l'ombre pour lui signaler sa présence d'un geste de la main. Une interprète, c'était toujours utile, non ? Cold semblait de cet avis car il lui fit signe de le rejoindre. Quelques instants plus tard, Anastasia avait pris place sur la banquette arrière, juste à côté de lui. - Où est votre assistante ? demanda-t-il, à la fois badin et curieux. - Malade, répliqua la jeune femme sans ciller. Les canapés au saumon sans doute. Vous savez ce que c'est les assistants de nos jours... ajouta la jeune femme en roulant ostensiblement des yeux avant d'étouffer un soupir. Par chance, Anya était bonne comédienne. Enfant, elle avait eu l'occasion de monter quelques pièces avec ses sœurs et son père et, manifestement, cette qualité s'avérait utile dans sa vie d'adulte. Cold, en tout cas, avait avalé le bobard tout rond. Haussant les épaules, il reprit d'un ton dénué d'intérêt réel : - Espérons que les médecins de ce pays sont fiables... Pouvez-vous demander à notre chauffeur de suivre le convoi du ministre qui vient juste de quitter la rue ? La jeune femme acquiesça et se pencha vers le conducteur pour lui répéter scrupuleusement l'injonction. Aussitôt, le taxi démarra sans poser davantage de questions. Professionnel jusqu'au bout. - Dites moi, reprit Cold non sans intérêt après quelques instants de silence. Lors de l'alerte incendie, tout le monde s'est enfui assez loin. Mais avez-vous pu voir ce qu'il se passait à l'intérieur ? Ou... entendre ? Anastasia l'observa quelques instants. Parce qu'elle était loin d'être stupide, la jeune femme comprit très vite où il voulait en venir. Et cela tombait, c'était exactement de ce genre de phénomène dont elle avait envie de parler. Quitte à faire route avec cet... homme, autant que le voyage soit productif, non ? - Eh bien..., commença-t-elle d'un ton incertain, triturant ses doigts pour simuler un malaise. Je dois vous avouer que j'ai préféré penser à ma vie avant de chercher à comprendre ce qu'il se passait... Néanmoins, j'ai cru voir... Non, c'est stupide, laissez tomber, coupa-t-elle abruptement en croisant les jambes dans une attitude volontaire de repli. Cold haussa les sourcils, de plus en plus intéressé. Exactement ce que la rouquine avait souhaité provoqué. A présent, il allait boire ses paroles et peut-être même se confier davantage si Anastasia parvenait à se montrer suffisamment ingénue voire charmeuse. Non pas que l'idée lui plut, bien au contraire. Mais sauver le monde impliquait nécessairement des sacrifices. Et s'il avait le droit de la regarder un peu, il n'aurait certainement pas celui de la toucher. - Vous avez cru voir ? Voir quoi ? questionna-t-il, pressant, incapable de masquer son impatience et sa délectation. - J'ai cru voir des choses..., reprit Anastasia, pesant le poids de chaque mots qu'elle utilisait. Des gens... surnaturels. Comme les héros de bande-dessinée mais... pour du vrai. Cold esquissa un large sourire et cala son dos sur le dossier de la banquette, serein et satisfait. - Donc je peux espérer que d'autres auront vu le spectacle, conclut-il. Je commence déjà à gagner. La vibration inopportune de son téléphone empêcha Anastasia de le questionner davantage. Mais ce n'était que partie remise car l'homme avait bel et bien capté le regard intrigué, presque admiratif, qu'elle avait pu lui lancer. Pour l'heure, il semblait avoir reçu une bonne nouvelle, ce qui ne présageait rien de bon. - Parfait. Active Ultron, et nous verrons ensuite. Lance les tests, intima-t-il à son interlocuteur avant de couper court à la communication pour ranger le téléphone dans la poche intérieure de son veston. Alors Cold se tourna à nouveau vers Anastasia, l'air satisfait. - Nous boirons à la santé de votre assistante avec le ministre lui-même, un peu de piratage et notre voiture a été annoncée. Vous êtes prête à lui parler ? - Evidemment que je suis prête ! répondit abruptement la rouquine, une pointe de défiance et de snobisme dans la voix. Dans les faits, Anya n'avait jamais collaboré avec des personnages aussi haut placé. Mais ça, Cold n'avait pas besoin de le savoir. La jeune femme avait quelque peu embelli son CV pour l'occasion, juste histoire de, et ne craignait pas de s'adresser au numéro 2 du gouvernement. Elle n'était pas Grande Duchesse de toutes les Russies pour rien, après tout ! Mais elle était également une jeune femme curieuse qui avait bien noté le nom évoqué : Ultron. Cela ne lui disait rien, c'est pourquoi elle s'empressa d'activer son téléphone pour lancer une recherche internet. Quelques informations sur ce personnage ne serait sans doute pas superflues. Très vite, la jeune femme trouva la page Wikipédia du personnage qui le décrivait comme suit : "Ultron est un super-vilain robotique appartenant à l'univers Marvel de la société Marvel Comics." Autrement dit, il n'était pas une bonne nouvelle. Du tout. Anastasia dénicha également quelques pages de cinéma relatant les aventures de certains Avengers ainsi que quelques images qui ne donnaient pas spécialement envie de lui faire un câlin. Aussi préféra-t-elle ranger son téléphone et remettre le problème à plus tard. Pour le moment, Ultron ne lui voulait aucun mal. D'un ton nonchalant, elle engagea de nouveau la conversation : - Dites moi... Je ne voudrais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, je ne suis que votre employée après tout mais... Je ne peux m'empêcher de remarquer qu'Ultron... c'est un nom de personnage fictif si je ne m'abuse... Anastasia l'observait à la dérobée, jouant la carte de la femme ingénue et potiche qui ne connait rien à rien et ne comprend rien à rien aussi, par la même occasion. C'était là une image des femmes qu'elle abhorrait, mais quelque chose lui disait que ce pseudo mâle alpha aimait particulièrement ce type de gourdes. Une chose était certaine : il était ravi qu'elle pose la question. - Exact, comme Captain Cold.. ou Reverse Flash, que vous avez vu au laboratoire, et tous les autres. Nous avons voulu créer une armée à l'image des comics. Ces fictions possèdent des ressources redoutables. Les personnes surnaturelles que vous avez aperçues viennent de Storybrooke. Je m'étais attendu à recevoir des opposants. Venir masqué avec la même idée que moi c'est ingénieux, je ne sais donc pas qui ils sont... Mais avec ça, je saurai les anéantir. Lorsqu'ils auront foutu un carnage monstre à l'aide de pouvoirs extraordinaires, ils auront fait tout le boulot pour révéler la magie au monde. - C'est un plan ingénieux, concéda Anastasia d'un ton détaché. Sauf s'ils se montrent ingénieux et n'utilisent pas leurs pouvoirs. Elle, après tout, n'en avait pas, ce qui ne l'avait pas empêchée de venir à bout des drones. Cold lui fit un clin d'œil complice et poursuivit : - J'ai toute une armée qu'ils ne peuvent combattre en ayant leurs pouvoirs, alors sans... je ne pense même pas qu'ils essaient. Ce ne sont rien de plus que des gens sans but qui veulent répondre à l'appel de l’héroïsme pour accomplir ce qui est bien, ils n'ont aucune valeur. Enfin, juste assez de valeur pour m'aider dans mes plans grâce à leur incapacité. Suffisant, Cold avait l'air très sûr de lui. Il aurait mérité deux ou trois coups de poing dans le nez, mais cette perspective réjouissante devrait attendre, elle aussi. - Des héros et de l'abnégation, donc ? Mais qu'est-ce donc que cette... Storybrooke ? dont vous parliez ? Je n'ai jamais entendu parler d'une ville où vivrait des habitants pourvus de pouvoirs. Anya fronçait à présent les sourcils, tâchant de paraitre confuse mais intéressée. Plus il parlerait et plus elle en saurait pour le contrer. - Une ville qui a atterri dans ce monde il y a trois décennies, remplie de personnages que ce monde considère comme fictif, mais qui vivaient dans d'autres mondes. Vous pouvez donc imaginer qu'avec toutes ces histoires, il y a des milliers de héros clichés qui vivent là-bas. Nos ennemis en sont la preuve, expliqua-t-il, professoral. - Des personnages fictifs..., répéta Anya, semblant réfléchir à ce qu'il disait. Vous êtes donc en train de dire que... Blanche-Neige et le Petit-Poucet sont vos adversaires ? C'est grotesque. Ils n'ont aucune chance contre vous. Minauderie, quand tu nous tiens... Pour un peu, elle aurait vanté ses muscles et son génie mais avait peur de se trahir en allant trop loin dans son interprétation. - Vous avez trouvé les mots justes, acquiesça Cold. Le trajet se poursuivit en silence jusqu'au Kremlin, destination qui surprit leur chauffeur qui n'en oublia pas de rouler, cependant. Grâce au piratage évoqué précédemment, la voiture parvint à se faufiler derrière celle du ministre qui sortit bientôt de son véhicule, entouré de gardes du corps. Il pénétra dans le bâtiment d'un pas hâtif mais s'arrêta rapidement quand il remarqua Cold et Anastasia qui le suivaient. Dans un russe impeccable teinté d'accent moscovite, il demanda : - Qui êtes vous ? Cold se pencha à l'oreille d'Anastasia et demanda : - Dîtes lui que nous savons ce qu'il s'est passé au gala. Nous en connaissons les responsables. Anastasia acquiesça poliment avant de s'avancer vers le ministre d'un pas tranquille et altier, les mains jointes sur son bas ventre : - Bonsoir, Monsieur le ministre. Je sais ce qui s'est passé au gala et l'homme à côté de moi est responsable de tout ça. Je peux vous aider à l'arrêter mais il va falloir me faire confiance. Un regard vers Cold lui apprit qu'elle avait eu raison d'agir : il ne comprenait pas un traitre mot de ce qu'elle racontait. Malheureusement, elle n'avait pu en dire davantage pour qu'il ne se doute pas qu'elle ne transmettait pas exactement les bonnes informations. Cold n'était certes pas russophone mais il n'était pas stupide. Il aurait compris en entendant une tirade de dix minutes qu'elle le menait en bateau. Le ministre observa Anya un moment, ses gardes sur la défensive. - Ce n'est pas nous les responsables, précisez le bien, ils n'ont pas l'air très rapides intellectuellement, demanda alors Cold, perdant quelque peu de sa superbe. - Naturellement, répondit Anya avec un grand sourire. Puis elle reporta son attention sur Medvedev : - Officiellement, Monsieur Cold n'est pas responsable. Le meilleur moyen de l'arrêter, c'est de lui faire croire que vous êtes de son côté et très intéressé par ses projets et les coupables idéaux qu'il va vous présenter. Oh et... asseyez vous avant de l'écouter, juste au cas où, précisa-t-elle sans savoir s'il était apte à entendre l'histoire que Cold ne manquerait pas de conter. Le ministre fit alors signe à ses gardes qu'il allait recevoir Cold et Anastasia mais leur fit comprendre de rester vigilant. Il entraina alors ses invités à sa suite.
Dyson R. Parr
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| Crédits :Eilyam | Avatar : Tom Holland
| Métier : Aventurier, super-héros, en contrat de libraire chez Alexis et vendeur de chocolat chez Aster... et surfeur parfois
| Conte :Les Indestructibles | Dans le monde des contes, je suis :Dashiell Robert "Dash" Parr
La coalition se forme pour trouver à Aster son véritable amour
| Autres Personnalités :Icare J. Skellington - Léon Adonis - Ahsoka Tano
Hooked on a feeling se mit en route dans le MP3 de mon costume, alors que les combats faisaient déjà rage. J'avais perdu deux personnes, la troisième fuyait des drones meurtriers, le quatrième avait Livewire aux trousses. Il me restait Magneto, que je ne quittais pas des yeux. Au rythme du Ooga Chaka je dirigeais mes pas vers, dans une concentration intense, attendant de voir si l'aimant géant allait se décider à me montrer ses pouvoirs en premier. Voyant que non, je levais mes bras avec furtivité, pour lui coller les mains au pantalon.
Oops. Une bonne chose de faite, haha !
Magnechou haussa un sourcil, toujours avec un grand calme. Charles devrait te voir. Il comprendrait que j'ai raison quand je dis que l'espèce humaine est mentalement peu évoluée.
J'haussai les épaules, nonchalant. Eh bien c'est mon jour de chance, je suis pas un humain ! Sans attendre davantage, il reçut une troisième toile sur la bouche. Je suis un lapin, qui joue les araignées !
Derrière nous, je pus brièvement voir Overwatch, devant une pluie de balles lancées par les drones qui faisaient un bruit monstre (si on ne comptait pas le bruit que faisait Gambit et sa nouvelle petite-amie électrique). Magneto observait la même chose, et je pus soudainement voir deux drones quitter Overwatch pour se prendre à moi, ayant tourné dans un angle impossible. Un coup d'oeil plein de reproche à Magneto, avant de me lancer au plafond. Les drones levaient leur canon, qui atteignirent Magneto en cours de route, comme prévu. Toujours sans bouger, il s'était contenter de les ejecter tout autour de lui, en en déviant une pour arracher les toiles qui l'encombraient.
Je revins au sol, position défensive, tout en esquivant la pluie de drones qui venaient de se faire désactiver par Overwatch. J'en profitais, tendant les bras pour en attraper deux avec mes toiles pour les lancer sur Magnechou, espérant que ça soit une distraction suffisante pour pouvoir l'atteindre et le frapper.
Tu aurais pu être un X-Men, Spider-Rabbit. Tout à fait le même genre de clown qui se donne en spectacle.
D'un simple lever de main, les drones stoppèrent leur course pour foncer violemment vers moi. Le choc me coupait le souffle brusquement pendant quelques secondes, alors que je glissais sur plusieurs mètres. Décidé à ne pas être seul dans ma chute, je fis en sorte d'être accompagné : j'envoyais une toile sur ses pieds, pour tirer dessus et le faire tomber à son tour. Haha, tellement ridicule. Désolé j'suis bien mieux qu'un X-Men !
Quelques débris métallique vinrent voler devant lui, créant un bouclier protecteur pendant quelques secondes, le temps qu'il puisse se relever tranquille. J'aurai plutôt dit que tu es pire qu'eux, en fait. Sa vision masqué par son bouclier de fortune, je pus attaquer en toute discrétion, le surprenant derrière sa protection de métal, me balançant sur une toile que je tenais à deux mains, les deux pieds tendus vers son visage.
Mais je fus de nouveau arrêté dans ma course. Quoi ?! Il pouvait aussi controler les gens ? Je sentais rapidement que j'étais suspendu dans les airs par ma tête... Merde ! Le MP3, cet enfoiré s'en prenait à mon.... AAAH ! Il ramena brutalement ma tête contre le sol, pour écraser mon crâne sur le sol. Le MP3 s'abimait trop près de ma boite crânienne. Aaah putain ! T'es en train de niquer ma chanson ! Non seulement il me bousillait tout le matos, mais en plus la musique commençait à perdre en volume et en netteté. Il n'avait donc aucun respect ?
Je vais me répéter, mais tu es réellement pire qu'un X-Men. Tu serais pas un cousin éloigné d'un certain Deadpool par hasard?
J'agitais les bras comme un dératé, lançant mes toiles à tout va sans prendre le temps de voir ce que je tirais. J'entendis simplement derrière Magneto une fenêtre se briser avant que... Woooooooow ! J'avais touché quelque chose, et les noeuds de mes toiles m'avaient fait voltiger vers l'extérieur, là où la toile était accrochée, ayant distrait Magneto et son emprise. Je le percutais d'ailleurs de plein fouet, avant de rencontrer le mur, toi, absolument serré contre lui. Je sentais même sa respiration.
Pour votre gouverne, j'ai bien un ancien coq dans ma famille, mais je ne connais pas de poules personnellement, et encore moins des mortes. Sinon... je vous embrasserai bien, mais j'suis pas sur que ça serait très approprié.
Et sans attendre davantage, je levai le genou dans son entre-jambe, le faisant serrer les dents de douleur. Mais dis donc, ton slip est pas en fer, je suis déçu.
Sous l'agacement, il me donna un lourd coup de tête qui m'avait légèrement sonné. Je tombai, la douleur de sa précédente attaque et ce coup-ci résonnaient désormais dans tous les os de ma tête, prête à exploser. J'aurai préféré les embrassades, ça aurait été moins douloureux je pense! Et malgré tout, j'avais réussi à rire.
Je vis simplement Magneto lever les bras, alors qu'une voiture entière traversait le mur derrière lui pour s'écraser sur mes jambes, réveillant une grande douleur (que j'aurai pensé plus forte, venant d'une voiture) dans tout mon corps. Je glissai sur plusieurs mètres, avant de voir Magneto disparaitre dans un nuage rouge.
Sale lache. J'ai gagné.
Bah oui, il a deserté !
Maara Blackhunter
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| Avatar : Katie McGrath
| Conte : Les 5 Légendes | Dans le monde des contes, je suis : : Nightmare
Scarlet me regarda sans vraiment me regarder. C'était franchement étrange. J'avais l'impression qu'elle était ailleurs en fait. Comme si elle écoutait quelque chose à l'intérieur de sa tête. Puis elle disparut dans un éclair rouge. Tiens donc. À la place de Scarlet, il ne restait qu'un mp3 au sol. J'avais le choix. Le ramasser ou pas. C'était vite fait. J'étais trop curieuse pour laisser ça au sol. Une fois les écouteurs mis dans mes oreilles, la voix de John Cold résonna. C'était ce connard qui avait encore une fois tout prévu... "Le jeu de l'or mortel". Sympa le titre... Très con déjà...
"Je parie que tes amis on fait beaucoup de dégâts. Toi aussi surement, mais toi c'est moins... important, tu n'étais pas exposé aux regards des russes. Et pourtant ton rôle sera majeur ici : si tu as encore d'énergie pour te lever après l'attaque de ma sorcière, bonne chance pour ça, tu auras l'occasion de jouer un petit jeu, pour sauver la vie d'innocents. Ecoute bien, mais comprends vite, car tu n'auras pas beaucoup de temps avant que je demande à mon équipe de démarrer le plan que j'ai concocté. Je demanderai au Joker s'il peut lâcher un gaz, pour endormir de pauvres innocents... s'il ne les tue pas, ça serait fâcheux pour le reste. Et ensuite, le jeu commencera. Arriverez-vous à tout arrêter sans que vous ne dévoiliez la magie à leur réveil ? Ou garderez vous le secret de ce qui est si important pour vous, en laissant la Russie tomber ? Ça m'est égal, dans les deux cas mon objectif est atteint. Cherche les pastilles couleur or dans l’entrepôt. Ce sont les indices. Comprends les bien, c'est un travail d'équipe. Tu ne veux pas gâcher le travail dès le début, n'est-ce pas ?"
Connard... J'avais une grande envie de fracasser le mp3 au sol. Mais je décidais d'être raisonnable et je rangeai le mp3 dans l'une de mes poches histoire de le conserver à l'abri. On ne pouvait jamais savoir, ça pouvait toujours servir... Puis je me mis en quête des pastilles en partant à leur recherche sur la gauche. Grâce à mes pouvoirs, je parvins à les trouver rapidement puisqu'elles brillaient dans mes ténèbres. L'une était sur un bazooka auquel je préférais ne pas toucher et elle était reliée à un fil à une autre pastille qui était sur un cahier. Doucement, je pris le cahier et l'ouvris, espérant que je parviendrais rapidement à la fin de ce jeu qui me gonflait déjà.
"Bien trouvé. Attention, la pastille n'était pas sur le bazooka, je n'allais pas te montrer tout, tout de suite ! C'était... dedans ! Ne trouves-tu pas ce jeu si excitant ? Que diable y-a-il dans un bazooka chargé ?"
Cette phrase sur la page de garde du cahier me fit voir rouge. Décidément, celui-là, quand je l'aurais dans mes filets, je me ferais un plaisir de faire remonter toutes ses peurs à la surface, quitte à le faire mourir de peur ! Cela ne m'était jamais encore arrivé, mais il y avait une première fois à tout... En grommelant, je déchargeai le bazooka. Sur le missile rouillé était écrit une phrase : "DERNIERE PAGE". En levant les yeux au ciel, j'ouvris le cahier à la dernière page.
"Tu y es ! Dernier indice et tu auras terminé 1/6 du puzzle, réfléchis bien, tu n'auras rien d'autres pour cette partie. Imagine cette munition en plus grand. En bien, bien, bien plus grand. En plus gros, en plus grand, en plus... explosif. Ca resemble à quoi dis donc ? Trouve, et tu sauras où les chercher ! P.S. : ce jeu est si bon... que tu pourras avoir un autre indice sur place, si tu galère. Mais ne t'acharne pas. Tu pourras empêcher ça... mais le reste ?"
Ce type n'était pas qu'un simple abruti. Il était complètement psychotique et ne méritait que l'asile. Je mis un peu de temps avant de trouver ce dont il me parlait. Ce mec allait lancer des fusées sur la capitale ?! Mais d'où ?!!! Fouillant le bureau, je trouvais une carte avec un endroit non loin entouré en brillant. Ce cinglé y avait même laissé une phrase !
"Ce n'est qu'à 1 kilomètre d'ici. (ne t'inquiète pas ils dorment. Le seront-ils pour toujours ?)"
Jurant à voix haute, je repris mon apparence normale et sortit dans le froid. J'avais horreur du froid ! Ça me rappelait Frost en plus. C'était franchement irritant et ça n'améliorait pas mon humeur. Ceci dit, le froid était une bonne motivation supplémentaire pour me manier les fesses d'arriver à bon port ! Je tombais sur une station spatiale. En y pénétrant, je trouvais la salle de projection où un film tournait mais où personne n'était là. Je fis un tour rapide mais ne trouvais personne. Puis je sortis sur la zone de lancement. 10 fusées. Et des grosses lettres et pastilles dorées.
"FAITES ATTENTION. NOS PAUVRES GENS SONT LA DEDANS, UN BEAU MELANGE ENTRE DES FUSEES ET DES MISSILES. UTILISE LES ENERGIES DE TON EQUIPEMENT AVEC RAPIDITE ET SANS PRECISION, CA PEUT ETRE INTERESSANT DE VOIR COMMENT CA REAGIT A L'EXPLOSIF ! DESTINATION MOSCOU... AVEC LES PROCHAINES PASTILLES ! N'OUBLIE PAS DE CHERCHER LA BONNE FUSEE, TU AURAS UN INDICE."
J'eus à peine le temps de me mettre à couvert que trois fusées s'élevaient déjà. MERDE !!! Foutu Cold !
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| Avatar : Nina Dobrev
I'VE TASTED BLOOD AND IT IS SWEET
I'VE HAD THE RUG PULLED BENEATH MY FEET
I'VE TRUSTED LIES AND TRUSTED MEN
BROKE DOWN AND PUT MYSELF BACK TOGETHER AGAIN
STARED IN THE MIRROR AND PUNCHED IT TO SHATTERS
COLLECTED THE PIECES AND PICKED OUT A DAGGER
I'VE PINCHED MY SKIN IN BETWEEN MY TO FINGERS
AND WISHED I COULD CUT SOME PARTS OFF WITH SOME SCISSORS
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| Conte : Un conte ? Pourquoi faire ? | Dans le monde des contes, je suis : : Un mystère qui évolue sans cesse.
Feat. des vacanciers comme moi (Spider-Dydy, Wonder-Jez, Anya-Watch, Black-Raven et Gambit- Ali).
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– Espèce de… Aaaarrh T’ES VRAIMENT NUL !!!
Oui j’étais rancunière. Et alors ? J’avais perdu le défi d’une balle et tout ça pour quoi ? Parce que cet enfoiré de GreenGay avait osé me piquer MON BOBO SUICIDAIRE ?! LE MIEN ! Non mais vous y croyez vous ? En tout cas, il était hors de question qu’il s’en sorte comme ça. Non non non monsieur, il allait falloir payer la note maintenant ! Qui plus est, je l’avais bien prévenu un peu plus tôt. S’il gagnait, il finirait avec un trou entre les deux yeux, juste là. Attendez, j’avais vraiment précisé la façon dont il allait mourir où pas ? Parce que si ça se trouve, j’avais pas donné d’indication particulière ce qui me laissait le choix de faire ce que je voulais ! Surtout que la torture, c’était quand même mon rayon. Rayon, rayon... Ah ah ! J’ai une idée ! Et si je le faisais jouer à « attrape les rayons mortelle avec la tête » pour le délire ? Vous croyez que ce serait aussi amusant que ça en a l’air ? Parce que j’ai jamais essayé perso. Du coup… on tente ? Hein ? Hein ? HEIN ??
– Dit voir mon pote, ça te dirait de jouer à un nouveau jeu avec moi ? Je demande d’une voix mielleuse. Tu vas voir, je suis sûre que tu vas A-DO-RER !
Je saute sur place et tape dans mes mains, excitée. Si avec ça, il comprenait pas que j’avais eu une idée diaboliquement géniale et qu’il devait à tout prix l’essayer pour me divertir et mourir sous mes yeux dans d’atroce souffrance - du moins je l’espérais-, il allait sérieusement falloir qu'il révise les bases. A savoir, que JE décide qui va mourir et que SI je veux qu’il meurt, IL MEURT ! Un point c’est tout.
– Bon. Tu m’énerves ! Je m’exclame finalement avant de dégainer mes flingues et de les pointer sur lui. Du coup, je vais décider pour toi et tu sais quoi ? Ça sera un jeu en plusieurs parties. Parti 1 : esquive Bill !!!
Et à l’instant même où j’appuie sur la détente pour le cribler de balle (juste assez pour en faire un gruyère semi vivant, que je puisse le maintenir en vie assez longtemps pour continuer la torture encore un peu), ce mauvais joueur, disparaît de mon champ de vision dans un éclair rouge. POUF ! Comme ça ! Et les bonnes manières, hein ? Elles étaient où ? Ses parents lui avait jamais apprit que pour faire plaisir à une fille belle, originale et complètement incontrôlable comme moi, il fallait répondre aux moindres de ses désirs les plus sanglants et tordues soit-ils ? Surtout s’il s’agissait de mourir dans d’atroce souffrance ? Pfff.
– Hééééééé !!!! Revient ici gros naze, j’en ai pas fini avec toi !
Pas de réponse, ni de manifestation ou signe quelconque de sa part. Démotivée, je reprends :
– Pffffff c’est nul. Les sourcils froncés, je tape du pied mécontent écrasant par la même occasion le cadavre de quelqu’un, avant de reprendre sérieuse. Tu veux pas revenir ici plutôt, que je te bute comme je l’avais prévu avant Green machin ? Parce que si tu le fais, je te promets que je te découperais pas en morceau vivant. Ou juste un tout petit peu.
Quoi ? J’avais été super sympa de lui offrir une mort rapide et sans douleur hein ? Et lui, comment il osait me remercier ? En fuyant la queue entre les jambes ! Queue qui n’y resterait d’ailleurs pas longtemps, une fois que je lui aurais mis la main dessus. Quel ingrat ! Au faite..
– Ah oui, j’oubliais ! Et comme tu t’es enfuie comme une grosse flipette, j’vais aussi devoir t’écorcher vif, lorsque je te retrouverais. Mais tu comprends j’imagine ? Après tout, il y a des intérêts à payer en cas de retard, c'est toujours comme ça.
A ce moment-là, mon regard est attiré sur des lumières au loin. Sans doute des fusées éclairantes. Elles étaient aux nombres de trois. C’était sans doute un autre de ses défis à la con, mais si je voulais lui mettre la main dessus, j’avais pas le choix. De toute façon, tout ce qui se trouverait sur mon chemin, finirait cramer. J’étais pas d’humeur à plaisanter, pas après le coup terrible qu’il m’avait fait.
– Alors hum… Je réfléchie un instant à la direction à prendre avant de finalement chanter, Am, stram, gram, Pic et pic et colégram, Bour et bour et ratatam, Am, stram, gram.
C’était quand même plus simple. Une petite comptine d’élimination et hop, le choix était fait. Et il c’était porté sur la voix du milieux. Maintenant, il me manquait plus que l’avis du roi et de la reine.
– Mais comme la reine et le roi ne le veulent pas ça ne sera pas toi au bout de 3 ! 1, 2, 3
Ooooh… on leur avait déjà dit qu’ils étaient chiants ces deux-là ? Parce que selon eux, je devais prendre le chemin de droite plutôt. Du coup, je prenais quel direction ? Milieu ou droite ? Oh et puis zut ! On prend le chemin de droite ! Avec un peu de chance on tombera sur le roi et la reine et quik ! Fini le roi et la reine, a plus !
Sautillant en chantant une chanson inventée sur le tas, je m’avance dans les allées du jardin jusqu’à ce que je me retrouve dans un cul de sac. Un cul de sac avec une trappe ouverte et une grosse flèche peinte en doré pour montrer son existence. Au cas où je sois bien trop débile pour la voir, j’imagine. Sauf que je ne l’étais pas d’accord ?! Et que c’était très vexant tout ça. Aussi, je pris grand soin de déposer une de mes adorables petites boites surprise (chuuut, dites pas de méchanceté hein ? Elles sont très susceptibles.) juste devant elle, me promettant que la personne qui avait osé en placer une là et celle qui en avait eu l’idée recevraient la leurs aussi, avant de sauter dans le trou et de me retrouver après un longue et super glissade en toboggan, sur un échiquier géant.
– Oooooh…
Je regarde ma place sur l’échiquier géant ( tout au bout à gauche à la place d’une tour) et pousse un soupire de lassitude à l'idée de devoir participer à une partie d’échec plan plan, déjà que j’y jouais pas avant, lorsque l’un des pions blancs d’en face avance d’une case tout seule. Ensuite, la reine ennemie tourne la tête vers moi, m’adresse un signe de la main pour me saluer, avant de lancer dans ma direction une lance qui atterrie à mes pieds juste après avoir détruit le pion devant moi.
J’étais comme l’ancienne Mina devant une pâtisserie, ça c’était amusant, ça, ça donnait envie de participer ! Une boite surprise à la main, je la tournais entre mes doigts, imaginant les dégâts que je pourrais faire à l’équipe d’en face, lorsque mon regard tombe sur un papier planté au bout du pique de la lance, écrit au feutre doré. C’était plutôt joli, mais le type avait clairement un problème. Soit c’était une fille qui s’assumait pas, soit il avait piqué le feutre à un mioche parce qu'il avait plus d'encre dans le sien. Et que c'était un bouffon (quoi, je rajoute des trucs et alors ?). Dans tous les cas, ça promettait d’être…
Bravo, vous avez trouvé votre étape d'un jeu qui a commencé avec des futurs-morts lancés dans des missiles géants, que vous avez surement vu au loin. Vous voilà dans votre partie du jeu, si vous gagnez, la suite vous sera bien plus marrante que si vous perdez... et mourrez. Le but est simple, défoncez le roi adverse. Les tours peuvent se déplacer sur les cases devant, derrière, à gauche et à droite d'autant de cases qu'ils veulent. Demandez à votre nouvelle armée de bouger, elle le fera toute seule selon les règles qui leur sont assignées... mais attention, cette version est plus... exotique. Ma reine psychopathe vous l'a surement prouvé. Bon jeu !
– … chiant. Pfff.
Je pousse un soupire de lassitude. Il me prenait pour qui ? L’ancienne Mina peut-être ? Il croyait que j’avais du temps à perdre avec ce genre de connerie ? J’avais juste envie de m’amuser moi, de détruire toutes les pièces ennemies et alliées, pas juste de regarder des pions se fracasser les uns les autres et d’en détruire deux trois au passage pour avoir le roi d’en face ! Puisque c’était comme ça, j’allais devoir improviser.
– Ok les filles ! Vous êtes prêtes ? Hu dada hu ! J’active ma boite surprise puis utilise mon pouvoir de lévitation pour sauter sur le dos du cheval, puis sur la tête de son cavalier lorsque celui-ci essaie de me planter avant d’utiliser l’élan offert par le cheval qui s’agite pour me faire tomber, pour sauter et balancer ma bombe le plus loin possible dans le camp d’en face. Ensuite, je retombe par terre avec souplesse et me déporte sur le côté, juste à temps pour éviter quelques couteaux lancés dans ma direction. Apparemment, les pièces de ce jeu savaient pas s’amuser. Pas grave, j’étais prête à m’amuser pour eux.
Je n'avais pas la conviction d'être débarrassée de mon ennemie. Je me rendais compte à présent que ce Captain Cold avait bien choisie son œuvre avant de la mettre en place. Chacun d'entre nous ce devait d'affronter un égal aux pouvoirs plus élevés que les nôtres. Alors que j'avais coulé un regard vers Dyson, ma vue n'en fut que distraite ailleurs. Si l'exaltation de la situation venait de me perdre, je ne fis aucun effort pour masqué la mauvaise humeur affichée dans mon regard. J'aperçu au loin des éclairs furtifs. Mon attention en était toute retenue. Je me déplaçais lentement en plissant les yeux, vivement intéressée. Ce colories d'éclairs qui parcourait l'horizon m'animait d'un mépris féroce. Je pensais l'avoir mis hors d'états de nuire ! Quelque part à l'autre bout du globe. En train de ce faire embrocher par une tribu de femme sauvage, par exemple. Mais pourquoi est-ce que ça ce passerait ainsi ? Équipé de la super vitesse, il pouvait revenir comme bond lui semblait. Ce n'était qu'un appel en mon attention pour que je le déloge de son occupation.
La fureur parcourait mes veines pour venir alimenter mon cœur. Si il aurait du battre dans ma poitrine, il ce serait lancé dans une course effréné. Je me suis mise à compter dans ma tête le nombre de secondes que Reverse Flash effectuait pour passer dans mon champs de vision. Il parcourait l'horizon en débauchant de la gauche, pour venir disparaître vers la droite. Encore et encore. Onze secondes. Onze secondes pour apparaître et disparaître. Je lâchais un ricanement mauvais. Il lui fallait onze seconde pour effectuer le tour du monde. Ca tombe bien, il ne m'en fallait que dix. Malgré le raffut qui semblait prendre part dans mon dos, j'observais les pas de mon ennemi avec plus d'étude et d'attention. Le temps ralentis, m'offrant une vue d'ensemble sur le parcours de Reverse Flash. Ses pas frappait lourdement sur le sol. J'étais confuse. Moi même je ne prenais pas autant d'appuie sur le sol lorsque je le parcourais. Je veillais toujours à effectuer de pas léger afin que la course en soit d'autant plus rapide. Il ce donnait de l’élan ?
« Est-ce que ais-je enfin réussi à accéder à l'oreillette de mademoiselle Wonder Woman ? » Hein ? Je relevais la tête pour sortir de ma contemplation, ignorant les éclairs rougeâtre qui commençait à faire naître un halo lumineux à l'horizon. La ou le ciel et la terre semblait ce toucher en parfaite symbiose. Je regardais autour de moi, croyant d'abord que quelqu'un m'adressait la parole dans mon entourage. Puis, je compris que la voix vint de l'oreillette. Oups. On ne pouvait pas avoir la lumière à tout les étages non plus ! Une pointe de méfiance naissait dans mon regard. Il n'avait pas vraiment une voix hostile. Donc ce n'était pas Captain cold ni l'un de ses acolytes !
▬ « A qui ai-je l'honneur ? » Demandais-je. Je pense que si quelqu'un ce trouvait dans les parages, il pourrait facilement me confondre avec une folle d'asile complètement barré, effectuant la conversation avec elle même. Je trouvais que les oreillettes avaient un coté cool. Cela me rappelait de nombreux films d'espionnage. Et j'adorais l'espionnage.
« AH ! J'ai enfin réussi ! Géo Trouvetou à l'appareil, celui au nom ridicule, vous vous souvenez ? » Un sourire espiègle relevait mes lèvres, jouant avec une malice qui remplissait mes prunelles bleutés. Géo trouvetout ! Non, franchement, son nom de famille était à plaindre, le pauvre monsieur. Un ricanement franchit mes lèvres pour toute réponse. Il devait reprocher le mail dans lequel j'ai pris plaisir dans une annotation. Comme quoi en nom de famille, on pouvait faire mieux. « Il me semble que c'est vous qui pouvez courir rapidement. Est-ce vous que mon satellite détecte en train de tourner autour du monde comme ça ? Si vous continuez vous allez causer la fin du monde ! » Hé, c'est quoi ces accusations non fondés là ? C'était pas moi d'abords, c'était l'autre abruti ! Attendez, comment ça causer la fin du monde ? Ah. Ah tout s'éclairait. Usain Bolt n'effectuait pas le tour de la terre par plaisir ou pour pratiquer l'athlétisme. Juste pour causer la fin du monde. Encore une fois, tout va bien. Ça aurait du me mettre la puce à l'oreille.
▬ « La fin du monde rien que ça...Non ce n'est pas moi. C'est notre nouvel ami. Reverse Flash. » répondit-je en désignant l'autre abruti comme si Géo ce trouvait à mes cotés. Il courait vraiment mal en plus. Il s'y prenait comme un manchot. Je croisais les bras rembrunit. Marmonnant dans ma barbe. Alors que mon interlocuteur semblait encore une fois au bord d'une crise cardiaque, je notais la panique qui perçait dans sa voix.
« Votre... c'est ironique n'est-ce pas ? C'est un de vos ennemis ? Dyson ne m'a jamais mentionné quelqu'un comme ça. Si vous ne l'arrêtez pas, il y a de forte chance que la moitié de la population mondiale rencontre Mars. Et l'autre moitié, Mercure, ou le soleil, je dirais. Vous savez à quelle vitesse tourne la Terre ? 1700km/h. Ce que... ce que Revers Flash tente de faire, c'est arrêter cette course en courant de l'autre sens, et il est en train de réussir, nous somme passé à 1699,9km/h. A l'arrêt total... je ne vous fait pas de dessin, vous visualisez bien l'élan que vous avez quand vous freinez une voiture, n'est-ce pas. A l'échelle de la planète, c'est beaucoup plus grave. » J'essayais de rentrée ce surplein d'information technique qui semblait coincer au bord de mon esprit. Je comprenais pas grand chose à ses mots scientifiques. C'est peu être pour ca que je me retrouvais la bouche grande ouverte, prête à gober les mouches, et les yeux au bord d'une implosion confuse. En gros, ca craignait. J'examinais le parcours de mon cher ami, comprenant ce que ca voulait dire.
Ca voulait dire que j'allais devoir effectuer le même chemin mais dans l'autre sens. Si mon cerveau aurait pu effectuer une chute mortel, il serait tomber jusque dans mon estomac. Voir dans les reins. L'excitation parcourait mon échines, et fit bouillir mes veines d'impatience, creusant un large sourire au niveau de mes joues. J'allais courir pour faire tourner la terre ! Vous imaginez ? Ca c'était quelque chose ! Quelque chose de géant. J'aspirais à ca. Mes pieds battaient le sol d'impatience, appliquant le sentiment qui m'animait.
▬ « Je m'en occupe ! » déclaraisje, décollant du sol pour m'enfoncer dans un tunnel bleutée. Quittant la salle de réception et ses parasites.
« Essayez de ne pas rayer des pays de la carte ! » Mais non, bien sur que non ! On savait tous que j'étais très prudente. Je prierais à la personne qui vient de pouffer d'aller cordialement ce faire voir ! Je sentis la connexion ce brisé à cause de ma course. Géo avait disparu de mon esprit. Je m'engouffrais dans un tourbillon de lumière, lancée dans une rapidité qui m'appartenait seule. Le vent fouettait mon visage comme pour approuver ma course. Si tout était calme les premières secondes, passant des paysages chaud aux paysages froid, au ville les plus lumineuse aux compagnes les plus sombres, un trait de lumière jaunâtre s'approcha dans ma direction. Comme un train lancer en pleine vitesse. Ma bague ce déplia en bouclier que je postais face à mon visage. Mon but était de le cogner assez fort pour qu'il puisse aller dire bonjour au vipère du désert Australien. Alors que je préparais mon bouclier et que j'effectuais un mouvement circulaire dans le but de le toucher, il manœuvra autrement. Mon bouclier traversa son corps, et je sentais que ma peau ne rentrait pas en contacte avec la sienne. Il passa à travers moi avec la facilité d'un gamin de maternelle. J'hallucine ! Une frustration animait mon visage. C'était aussi MON POUVOIR ca !
▬ « TRICHEUR ! VOLEUR ! » grognais-je, continuant ainsi sur la duré en replongeant dans mon parcours. Je n'avais aucune vue sur la terre, mais à mon avis, ca devait être un sacrée bordel olympique. J'étais certaine qu'elle tournait d'avant en arrière, la pauvre. Je passais au désert Africain, aux jungles amazoniennes. Manquant de me prendre une feuille de palmier dans la tronche au passage. Je m'emmêlais un peu les pinceaux dans les grandes lianes, avant de recourir sur les landes plates de l'Écosse. Puis, l'éclairs jaune revint dans mon champs de vision. Un sourire machiavélique étirait mes traits. Cette fois mon coco, je ne te louperais pas. Alors que je voyais son visage s'approcher, il ce déporta un peu plus au nord. HEHO ! Ça c'était pas non plus du jeux. Quoi que, il semblait m'avoir remarqué, puisqu'il revint vers moi. Dangereusement même. Comprenant ce qu'il tentait de faire, je laissais des flammes apparaître à chaque parcelle de mon corps, le recouvrant comme un bouclier. Reverse Flash qui avait eu l'intention de me bousculer passa à travers moi. Il percuta les flammes qui c'était accroché à lui. Les brûlures qui léchèrent chaque parcelle de sa peau lui fit faire un mauvais pas, et il tomba dans la mer, au large du Japon. Je pu apercevoir qu'il percuta une pauvre baleine au passage, avant de disparaître de ma vision.
▬ « Paix à ton âme, Mobydick. » Fis-je d'un signe de tête. Maintenant que ce gros débile était dans les tréfonds de l'océan, j'allais pouvoir rééquilibrer les choses et rétablir la bonne vitesse de la terre ! Mes pas ce faisaient lourd, comme pour emporter la terre dans mon élan. Par moment, mes pieds fouettaient l’océan, projetant des vagues et des courants derrière moi. Je pouvais tout voir. De l'Inde au Canada. Du Japon au Texas. Des petites îles comme les Bahamas et Hawaï, au grand désert blanc et glacé de l'Antarctique. Je sentais que cette course qui me coûtait un effort incommensurable allait m’éreinter de fatigue. Je n'osais même pas m'arrêter, de peur de défaillir. Alors que le monde, la terre, n'avait plus aucun secret pour moi, j'activais mon oreillette sur la fréquences de Géo. « Géo, encore combien de kilomètres ? » Demandais-je. Je passais dans la grande ville de New York, puis fit un petit détour par Paris. Prenez l'Air Jezabel, elle fait des merveilles. De quoi provoquer la jalousie des agences de voyage. Je m'arrêtais dans la Sahara, les poumons en feu. Je pris quelque seconde pour reprendre mon souffle, alors que les grains de sable brûlant du désert s'accrochait à mes pieds.
« La vitesse de la Terre était descendue à 1699,87km/h, mais elle est désormais à 1699,89km/h. Vous avez stoppé quelques tours de Reverse-Flash ce qui vous a aidé. Il est d'ailleurs passé d'une vitesse de 11 secondes par tour du monde à 15 secondes. La situation est à votre avantage. » Aha ah j'étais la plus rapide. Cette révélation me faisait l'office d'une bonne douche froide. C'est pas que je crevais de chaud ici, mais un peu quand même. Je trépignais sur le sable. Je suis la plus rapide. Tratralalère.
▬ « AH ! Je suis la plus rapide, je suis la plus rapide ! Elle dit quoi maintenant la grosse pastèque jaune ? » dit-je d'un ton plein d’entrain.
« Oula, il a recommencé à courir. » C'était pas une bonne réponse, ca.
▬ « Quoi ? » Dit-je, les sens en alertes. Je fouillais le paysage du regard, à la recherche d'une lumière jaune ou rouge. J'avais encore du mal à définir avec qu'elle couleur sa vitesse ce jouait. Alors que mon regard ce posait sur un halo rouge, je n'eu cependant pas le temps de réagir. Je lâchais un cris de surprise, prise en traître. Il me percuta de plein fouet, et je sentis mon corps voler dans les airs avant de venir s'éclater contre une paroi rocheuse du désert. La douleur vint exploser un peu partout dans mon corps, alors que je retombais sur le sol, confuse. Je me relevais difficilement, avant de vacillé de nouveau sur le sol. Je serrais les dents sous cette vive douleur poignante, et me relevais avec plus d'effort et d'acharnement. Pendant que Géo m'hurlait dans les oreilles pour savoir si j'étais toujours apte. Je me teint au rocher, avalant quelque goulée d'air frais, et éloignant l'étourdissement qui faisait déraillé quelque neurones de mon esprit.
« Coincez le au niveau de la Chine, il donne de forts coups dans la muraille comme point d'encrage à son élan . » Entendit-je dans mon oreille. Pouah. Et en plus, il avait besoin d'élan. Il était vraiment lent, un escargot. Un limaçon. Une limace. Une larve ! J'avais pas besoin de tricher, moi. J'hochais la tête, il était temps d'arrêter le bébé Flash.
▬ « Compris ! » m’exécutais-je, comme un bon petit soldat. Mes pieds projetèrent un tourbillon de sable lorsque je disparu du Sahara. J'avais quitté le désert chaud pour remonter vers l'Italie, longer la Russie pour m'engouffrer par la Turquie, remonté par le Kazakhstan, passer la frontière de la Mongolie et redescendre vers la Chine. J'arrivais sur la grande muraille, me postant au sommet d'une tour pour aviser ma Némésis. Le vent fouettait mes cheveux, et parcourait ma peau, provoquant une délicieuse sensation d'air frais. Puis, j'aperçu une lueur rouge s'approcher. Je descendis de la muraille pour laisser une distance respectable afin de pouvoir le cueillir comme il ce doit. Je croisais les bras, un sourcil relevé. Effectivement, il joint les pieds dans une parfaite synchronisation, à plat sur le mur et poussa de toute ses forces, ce projetant en avant pour acquérir plus de vitesse. Je me lançais à mon tour ( et pas besoin de mur, moi.) pour lancer dans sa direction. Lorsque je vis parfaitement son visage ce rapprocher du miens, je croisais mes poignets au niveau de mon visage, afin de me protéger du choque avec mes brassards. Faire comme Wonder Woman c'était vraiment cool et jouissif ! Je tenais à le préciser ! Le choc de cette collision me projeta à l'opposé de la chine. Je sentais mon corps effectuer des bonds et des ricochets, revenant à la case départ. L'impacte était tellement violent, qu'au bout d'un moment je fus projeté dans l'eau avec une force violente.
Je ne savais pas trop dans quel coin du globe je venais d'atterrir, mais l'eau était glacé. Ce fut le cadavre d'un bateau naufragé – une partie à la surface, une autre sous l'eau, qui me stoppa. Je percutais la coque en la fracassant, créant un trou béant par là ou j'étais passée. Je lâchais un juron alors que l'avant du bateau sombrais dans l'eau, et que l'arrière était levé droit vers le ciel, parfaitement pleine air. Je relevais la tête à la surface, sonnée. Des étoiles apparaissaient dans mon champs de vision, et il me semblait que le bateau tournoyait de gauche à droite. Ou alors, c'était moi qui tentait de recouvrir mes esprits. Trempée, je me relevais en titubant, avisant un coups d’œil craintif vers l'avant du bateau qui offrait un précipice vertigineux dans les abysses de l’océan. Je me penchais pour observer le cimetière de bateau qui croupissait au fond de la mer. C'est moi ou ça ressemblait au triangle des Bermudes ce truc ?
La dernière chose que j'avais aperçu quand j'étais entré en collision avec Reverse Flash, c'était les flammes qui léchait la végétation de la muraille. Au moins, on avait pas abimés la gentille muraille ! Je me bougeais – parce que c'est pas tout, mais j'ai un méchant à buter, pour m'aventurer dans la carcasse du bateau. Y'avais même un trésors. Je sortis par une fente qui creusait le bois, pour attérir sur une plage. Il y avait des carcasses de bateau partout, et même des avions. Pas de doute, c'était bien le triangle des bermudes. J'avisais mon adversaire qui m'avait suivie. Il ce mit me rire au visage. Je plissais les yeux, pourquoi il ce marrait comme un tordu l'autre ? Il semblait prendre plaisir. Pourquoi cette abruti rigolait comme un macaque ? Quelque chose n'allait pas.
▬ « Tu n'es qu'une distraction ... » Finit-je par comprendre. A ce moment précis, mon esprit était en alerte. Une panique prit place dans mon regard. Il me considéra quelque seconde, impressionné. Il m'inspirait une haine qui brûlait à l'intérieur de ma poitrine. Comme une flamme qui ce ravivait à son contact. Je n'oubliais pas ce qu'il m'avait dit. Ses mots étaient encore douloureux, marqués au fer rouge. Plus j'y pensais, plus je le voyais rire, et plus la vengeance traçais un chemin dans mon esprit, nourrissant une colère sourde.
« Et bien, dire que j'allais te faire tout un discours te montrant ta haine aveugle qui ne te permet pas de réfléchir à la réalité des choses... tu me gâche toute mon éloquence. Enfin... après tout tu es toujours ici, sans savoir de quoi tu es distraite. Sans savoir de quoi tous tes amis sont distraits. » Alors que je le placardais d'un regard noir et ardent. Les flammes léchaient mes doigts, recroquevillé dans un poings que je gardais serrés, dans le but de ne pas craquer et de les lui balancer en pleine face. Je fulminais. Je serrais les dents, mais à ses dernières paroles, ce fut comme un déclic qui me sortit de mon désire brûlant de vengeance. Sans savoir de quoi mes amis étaient distrait ? J'écarquillais les yeux. Je devais repartir. Quitte à l'abandonner. A le quitter des yeux. Mais pour mieux le retrouver, et accroître ce désire meurtrier à son égard.
▬ « Non... » laissais-je échapper d'un souffle. Mes pieds réagissaient plus vite que mes pensées. Je quittais l'île en courant sur l’océan, le parcourant pour remonter au niveau de l'Afrique, et passer par les pays soviétiques afin de retrouver Moscou. « Géo, qu'es ce qui ce passe ? » Demandais-je pendant ma course. Bizarrement, je le recevais. Peu être avait-il trouver un moyen de me parler durant ma course.
« Il y a une concentration anormale de... de.. je sais pas, une concentration d'énergie dans le désert glacé de la Russie. » cria t-il, paniqué. Mauvais signe. Surtout si il paniquait. J'entrais dans la Russie, déviant ma trajectoire qui était Moscou pour remonter un peu plus au Nord.
▬ « Je m'y rend ! » répondit-je, atteignant le désert glacé. Mes pieds battaient dans la neige, et j'arrivais devant un entrepôt. Je m'arrêtais, jetant un regard autour de moi pour être sur d'être seule, et non suivie par Flash. Je passais à travers le mur. C'était une vieille usine, à l'intérieur. J'inclinais la tête de curiosité, lorsque mes yeux tombèrent sur l'étrange forme robotique au milieu de la pièce. Un cadeau de mon ami Reverse-Flash ? Un clic ce fit entendre. Je sentais mon souffle ce couper sous la tension. Les clics, c'étaient pas bon. Le robot s'activa, et sa tête ce tourna vers moi. Oh oh. « Et merde ... » lâchais-je. Automatiquement, mon doigt vint appuyer sur le bouton de mes oreillettes afin d'avoir mon équipe en fréquence. « On a un problème de mon coté. Un très très gros problème. » Les alertais-je. Le bruit mécanique émanant du robot me fit tourner la tête dans sa direction par surprise. Le temps que je comprenne ce qui ce passait, il était déjà trop tard. Mon premier réflexe fut de me protéger le visage avec mes brassards en croisant mes poignets. Le robot me percuta dans une vitesse brutale. Mes pieds quittaient le sol alors que je traversais le mur de l'usine et que mon dos fut projeté par une roche enneigé. Je tombais sur le sol, abasourdis, désarçonné par la violence de l'impact.