« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Si j’avais su, je serai pas venue… ouais… vraiment. Ni a Zootopie ni dans cette foutue cuisine ! C’était des malades, TOUS des malades dans cette histoire et c’était encore pour ma pomme que ça tombait… A peine j’étais rentrée dans la cuisine que les bestioles avait sursautés avant de me regardé ave un regard surpris mais un sourire ravie :
- Ooooh mademoiselle, vous venez voir si tout se passe bien pour le repas ? Vous allez voir, on vous prépare quelque chose de FA-MEUX, venez asseyez-vous ! - N… Non non ça va, je veux pas m’asseoir je veux juste savoir si la mariée est dans les parages… - Oh non non non elle est allée chercher son gâteau c’est un rituel très important vous savez ? - Oui je commence à le savoir oui…
Je commençais à être un peu impatiente tandis que les animaux continuaient à me pousser sur une chaise et à me forcer à rester assise. C’est qu’ils avaient une de ces forces ! Je déglutissais en cherchant autour de moi une aide qui ne viendrait sans doute pas. Les petites bestioles commençaient à me ramener des tonnes de trucs… j’avais bien envie de le faire remarquer que c’était dingue de préparer tout ça mais pas le gâteau mais je préférais garder ma langue pour ne pas les vexer. Après tout, tout le monde n’était pas pâtissier qui voulait…
- Tenez, commencez par ce petit toast ! Un tout petit bout, juste pour goûter, c’est pour les canapés avec le champagne. - Non non ça va, je vous assure, je suis sûre que c’est sans doute très bon mais je goûterai avec tout le monde pend…
Je venais de me faire couper la parole par un toast qu’on avait enfourné de force dans ma bouche. Je commençais à mâcher rapidement pour avaler tout en précisant avec un sourire un peu forcé :
- Ch’est fameux ! - Très bien, un peu de gâteau ? - Mais je croyais que…
Et gloups un peu de gâteau ! J’hochais la tête en mâchant pour leur montrer que j’approuvais et voilà qu’ils m’enfournait de la dinde, et des huîtres – je mangeais pas d’huîtres en plus – et encore un peu de toast et un autre gâteau, une nouvelle huître… c’était décidé ils essayaient de me tuer en m’étouffant !
- Vous trouvez ça comment ? Vous êtes la dinde ? Il manque du sel. - NON ! Non non non tout est parfait, PAR-FAIT, votre patron va être super content mais arrêtez je vous en supplie…
J’avalais avec difficulté en me relevant. J’allais vomir… j’allais vomir… y’en avait trop… Mais voilà que j’avais vu Jezabel, Amelia et la petite blondinette arriver et j’avais accueilli la nouvelle comme une bénédiction.
- Jez ?! Toi aussi t’es là ? Oh punaise je sais pas si je dois être contente ou pas parce que t’es dans le pétrin aussi… comment tu vas ? Et toi Amelia, tout va bien ?
Amélia se proposait de faire les desserts… elle était vraiment adorable mais… on vivait pas dans la même histoire visiblement… enfin j’avais l’impression que personne ne vivait dans la même histoire que moi, eux étaient si détendu. Mais après avoir vécu les choses que j’avais vécu, c’était vraiment pas du luxe de s’inquiéter surtout que c’était clairement de la bonne ce qu’on fumait… on était à zootopie avec des animaux flippés et tueurs bordel… je voulais bien qu’Amélia ai été une lionne et qu’elle trouvait ça normal mais tout de même… Je m’approchais de la blondinette aussi vite que mon corps me le permettait… Visiblement elle était ravie de me voir à son mariage… SON mariage ?! Big avait pas dit qu’il marié sa fille ?! QUOI ?!C’était ELLE sa fille ?! J’étais peut-être pas douée en animologie mais clairement une souris ne pouvait pas enfanter un humain… Y’avait un GROS truc qui clochait.
- Euuuh salut Maxine… alors oui je suis invitée à ton mariage, oui je veux être ton amie et je m’appelle Alexis.
On allait pas refuser l’amitié de la fille d’un mafieux même quand c’était une souris, pas vrai ?
- Tu... c'est TOI la fille de Mr Big... mais t'es une humaine ?! Tu viens de Strorybrooke ? Où t'as aussi un papa...mais t'as combien de papa au juste?! Et tu vas te marier avec qui ? Pourquoi ? Et pourquoi on est là nous ?
Oui ça faisait beaucoup de questions d’un coup mais en même temps, la situation l’exigeait un peu si vous voyez ce que je veux dire… Okay Storybrooke expliquait pourquoi on était là pour son mariage mais ça ne l’expliquait qu’à moitié à dire vrai… pourquoi MOI j’étais là par exemple ?! Après tout, on ne se connaissait pas, pourquoi c’était pas son papa de Storybrooke qu’on avait invité ? Et puis elle semblait aussi surprise que nous de nous voir, ce qui voulait dire que c’était pas elle qui avait choisi ses propres invités… Elle me regarda avant de répondre avec un petit rire :
- Oui je suis une humaine et j'ai habité à Storybrooke, mais avant je venais du monde des contes donc je viens du monde des contes ! J'ai deux papas ! Ici il a papa Big et à Storybrooke il y a papa Terrence, il m'a adopté mais il savait pas que mon autre papa était vivant tu sais ? Parce que on m'a pris à lui quand j'étais toute petite comme ça.
Elle me montra un tout petit espace entre ses mains. Cette fille était en fait aussi dérangé que le reste de la bande… C’était une caméra cachée ou quoi ?
- Je vais me marier avec quelqu'un, papa a dit que c'était un des meilleurs de la ville tu sais ! Et qu'on tomberai amoureux après le mariage comme lui avec maman ! Et vous êtes venu ... Je crois que vous êtes invités pour le Mariage ! Je suis contente, Amelia je la connais c'est mon amie et toi aussi tu es mon amie maintenant !
Je la regardais de manière horrifiée… Punaise… c’était un mariage arrangé… mais c’était dégueu… déjà qu’elle devait avoir quoi, 14 ans à tout péter, elle allait pas se marier comme ça non plus, si ? Je regardais Amelia pour tenter de trouver du soutien. Elle qui aimait le mariage, elle devait quand même voir que ce genre de mariage n’était pas cool… On était pas dans une caméra cachée, on était dans « mariés au premier regard » ma parole !
- Ok... donc... ok... Bon écoute si je suis ton amie il faut pas que tu fasses un mariage... tu es jeune, c'est pas le top un mariage arrangé, tu as tout le temps de trouver un vrai garçon qui veuille de toi et l'épouser par amour ok ? On est plus au 14e siècle, on se marie avec qui on veut maintenant ! Mais... mais ça veut que quoi, ton papa Big c'est ton vrai papa ? C'est à Papa Big qu'on t'a prise quand tu étais touuuute petite comme ça ?
Je remontrais le même espace avec mes doigts. Fallait que je sois sûre d’avoir bien compris, elle parlait vite et de manière confuse.
- Oui c'est ça ! Mais tu sais les enfants doivent obéir à leurs parents et moi je dois obeir à mon papa c'est important pour lui ! - Maxine... comment tu peux être le vrai enfant de ton papa? Vous n'êtes même pas de la même espèce... - Si ! Je suis une musaraigne mais je suis un peu différente c'est tout ! C'est papa qui me l'a dit il a même comparé mes yeux à ceux de maman tu sais ?
Okay elle était en blocage complet en fait… deux minutes avant elle m’avouait être une humaine et maintenant elle me sortait qu’elle était une musaraigne ? Ils lui avaient fait quoi ? Ils l’avaient bercés trop près du mur ou quoi ?
- D'aaaaaaaccord t'es une musaraigne... donc tu veux quand même te marier même si ton mari est... pas quelqu'un qui te convient ? Comment il réagirait ton autre papa, il serait content tu crois ?
J’espérais faire mouche avec l’histoire de l’autre papa et ça avait l’air de bien marché puisqu’elle ouvrit la bouche et la referma. Elle réfléchit encore un instant avant de me dire :
- Je.... Je ne sais pas. Papa m'a dit que je serai amoureuse après m'être mariée donc je serai heureuse après ! Mais tu sais, je crois que papa Terrence il est peut-être en colère contre moi parce que je ne suis pas rentrée pour le dîner la dernière fois...
Okay j’avais clairement une ouverture là…
- Bon tu sais quoi ? Je pense pas que ton papa est en colère contre toi mais je pense qu’il a très peur et qu’il sera très déçu si tu te marie sans lui demander son avis… C’est pas mieux d’avoir l’avis et l’accord de ses deux papas pour faire une chose pareille ? Tu sais, un mariage c’est pour la vie alors tu dois bien réfléchir à ce que tu fais et avoir les accords des deux papas ? Tu veux pas qu’on retourne le chercher à Storybrooke ? Comme ça en plus il pourra assister au mariage si tu veux qu’il soit là…
Je lui prenais le poignet ainsi que celui d’Amelia en poussant Jez devant nous pour qu’on sorte au plus vite. Mais voilà que les garçons déboulaient à leur tour avec des méga nounours et nous ramenait de nouveau à l’intérieur… c’est pas vrai… c’était un cauchemar…
Les jumeaux auraient bien voulu venir ébouriffer les cheveux d'Antropy (ils en avaient vraiment envie) pour la simple raison qu'ils étaient magnifiquement roux, mais ils n'en eurent pas le temps puisqu'une distraction bien plus puissante que de somptueux cheveux roux se montra alors : des cookies. Leurs cerveaux passèrent en mode "Instinct de survie". Ils avaient besoin de ces cookies. La gourmandise ayant pris le dessus sur la raison, ils attendirent toutefois que chacun s'en serve avant d'en prendre un chacun, de le manger calmement. Puis, alors qu'autour d'eux tout le monde parlait, ils agirent discrètement pour, petit à petit, sans que personne ne puisse le remarquer, glisser les cookies dans toutes les poches de leurs jeans. Dommage qu'ils n'avaient pas eu le temps de prendre leurs duffle-coats qui pourtant ne les quittaient jamais, qui aurait été bien pratique pour le transport secret de cookies secrets. Décidément, être avalés par un frigo sans y être préparés, c'était drôle mais pas pratique tout de même.
Ainsi, si tous purent profiter de cet instant où les jumeaux ne parlaient pas, ceux-ci n'avaient aucunement pris connaissance de ce qui s'était dit, remarquant à peine l'ambiance de mafia qui normalement aurait du réveiller leur esprit de policier en herbe. Vils cookies.
Ils tiquèrent néanmoins lorsqu'ils durent se séparer entre garçons et filles. Ils étaient loin d'être déçus de rester avec la personne qui a les meilleurs cheveux du monde, mais n'étaient pas très content de quitter la pâtissière guerrière qu'ils avaient appris à apprécier.
Mais pourquoi on se sépare ?! Ne prenant pas conscience des soucis d'intimité pour se changer. Nous aussi on veut monter les escaliers ! La bas ça à l'air bizarre ! MANGEZ RIEN SANS NOUS !
Alors qu'ils allaient se réjouir d'entrer dans la cuisine (bah oui, rappelez vous que leur frigo contenait une pâtisserie et qu'ils n'ont pas pu prendre de petit déjeuner convenable), le petit tigre roux poussa la porte d'à côté. Non content de les décevoir de ne pas être la porte de la cuisine, il fallut qu'elle débouche sur de la fumée de cigare.
HAAAAA C'EST HORRIBLE ! S'écrièrent-ils, comme s'ils étaient sur un engin de torture en action. Après la vente illégale d'herbe, les mafieux, finalement, Zootopie était davantage un monde fortement déplaisant qu'un monde amusant, allaient-ils commencer à croire.
Ils finirent alors le chemin vers toute une garde-robe qui leur était proposée, étrange, snob et clichée, qui n'était pas du tout du goût des jumeaux mais qui sut les amuser.
Mais vous avez pas quand même des déguisement de furet ? Parce qu'on en voulait un nous, pis après y a eu l'histoire des donuts et tout...
Prenant à peine le temps de marmonner que cela serait inapproprié pour une telle occasion, les trois rouquins furent laissés seuls pour se changer alors. Aaaah mais c'est une grande occasion ! Trop trop cool, on sera les plus beaux !
Sur ces mots, ils ne prirent pas la peine de choisir le moins moche des costumes, pour en prendre deux au hasard et se changer sans plus attendre.
Bon on ressemble à des pingouins comme ça, c'est plus le genre de mon professeur d’ailleurs, mais... Il le faut je crois ? On célèbre un mariage ou quelque chose comme ça ? Ou bien … un enterrement ? Oh oui un mariage ! Trop génial, on va chanter pour les marier ! Préférant ignorer l'option de l'enterrement, ayant eu leur dose d'images lugubres pour le mois quelques jours auparavant.
Un nounours géant -oh il y avait plein de nounours géants, remarquèrent-ils alors avec admiration et l'envie de les serrer dans leurs bras- vint les chercher, se demandant de se dépêcher.
C'est là que les jumeaux furent surpris par la perspicacité du jeu d'Antropy, alors qu'il entreprit d'aider l'un des étranges rats dans leur partie. Et qu'elle aide ! Il n'y a pas photo : les cheveux roux sont le signe de la perfection ! Ca aurait pu bien se passer (mieux encore s'ils ne fumaient pas leur poison ! Ne fumez pas, vous disent les jumeaux, c'est du poison pour rat et de l'essence de fusée !), mais voilà qu'à la mafia, on était susceptible. Perdre parce que son concurrent a été aidé n'a pas beaucoup plu, et voilà que leur ami roux se faisait menacer !
Alors là non ! On a trouvé la personne avec les meilleurs cheveux du monde, vous allez pas la manger ! ON ARRETE TOUT ON SE CALME J'AI DES COOKIES ! S'écria Duncan en en sortant deux de sa réserve secrète. Pas sûr que le coup des cookies plaise. En revanche, ça avait eu le mérite d'attirer leur attention.
Bon, tout ça là, trop compliqué pour nous, on a jamais compris pourquoi vous jouez pas juste à un jeu de carte tout bête et simple. Enfin bon. Si vous avez autre chose, on accepte ! Et si on gagne, vous nous mangez pas ! En plus apparemment y a un dîner dans votre frigo (sauf si y a une patisserie dedans) qui était vivant un jour. Finalement, ils avaient peut être écouté durant leur mission cookie.
Après un moment de silence, un ours commença enfin à parler. OK... L'autre ours le regarda pour lui répondre simplement : T'es sûr ? Oui... je crois.
Sur ces mots, le rat transgénique déclara alors : On va te laisser nous divertir. Si ça marche, je te laisse la vie sauve. Sinon tu servira de civet à la fête de ce soir. Si d'autres auraient pu en être effrayés, Derek et Duncan n'étaient même pas impressionés, se sachant capable de faire ça. Ils tournèrent la tête vers le tigre. T'inquiète pas Antropy, personne ne va nous manger !
Un rat transgénique femelle (ils devraient vraiment songer à se souvenir du nom de cet animal) arriva alors : elles sont prêtes ! Venez dans la cuisine ! Le premier range son flingue, continuant alors. Tu as dix minutes pour trouver un divertissement. Et que ce soit amusant...
Il se dirigea alors vers la cuisine, le trio roux contraint de le suivre alors qu'il faisait ses tous petits pas.
La cuisine ! Ils avaient remarqué que des compatriotes humains s'y trouvaient également, mais n'ayant pas pris le temps de s'attarder sur elles, ils ne les reconnut pas d'abord. Plutôt, ils avaient posé les yeux sur l'ensemble de la salle, non pas émerveilles par les senteurs, mais excités par une idée. Ils savaient quoi faire pour divertir le rat et assurer la vie de leur confrère poil-de-carrote.
Ils firent le tour de la cuisine, chargeant leurs bras d’ustensiles encore non utilisés, tels que des spatules, cuillères en bois, casseroles, etc... pour les distribuer aux Storybrookiens de la pièce sans en dire davantage d'abord.
Puis l'un d'entre eux monta sur une chaise pour dire à leur groupe à haute voix : Antropy et nous on va se faire bouffer ! Sauf si on trouve de quoi divertir nos très chers hôtes bien aimés dans les plus brefs délais ! Et on a ! Attention, à 3, il nous faut le meilleur des grooves Il n'en dit pas plus, descendant de sa chaise, se positionnant avec des instruments.
Ils se contentèrent de frappèrent des mains d'abord, se déhanchant doucement, fredonnant.
Sautant à pieds joins, frappant avec rythmes sur les casseroles, ils se mirent à chanter à toutes voix, le déhanché au rythme de la chanson.
This hit That ice cold Michelle Pfeiffer That white gold This one, for them hood girls Them good girls Straight masterpieces Stylin', while in Livin’ it up in the city Got Chucks on with Saint Laurent Got kiss myself I’m so pretty
Ils étaient lancés, ne pouvant plus s'arrêter, emportés dans la chanson, se trémoussant, bougeant partout où ils pouvaient aller, frappant partout où ils pouvaient frapper, alliant le geste aux paroles.
I’m too hot, hot damn ! Called a police and a fireman I’m too hot, hot damn ! Make a dragon wanna retire man I’m too hot, hot damn !
Ils virent alors Alexis qui s'était lancée dans la musique avec elle, autant à fond que les jumeaux endiablés sur l'air de Bruno Mars. Yeaaaaaah !
‘Cause Uptown Funk gon’ give it to you ‘Cause Uptown Funk gon’ give it to you ‘Cause Uptown Funk gon’ give it to you Saturday night and we in the spot Don’t believe me just watch COME ON !
Dans leur élan, ils ne virent pas vraiment ce que pensaient les animaux de l'animation. Mais ils s'en fichaient royalement ! AAAH ! Don't believe me just watch ! Ils purent voir Amelia elle aussi emporté dans l'élan, se déhanchant au rythme de la chanson, et tapant des mains. Hey ! Je connais pas du tout ce truc mais c'est cool !
Hey, hey, hey, OOH ! Stop
Wait a minute
...
Fill my cup put some liquor in it Take a sip, sign a check Julio! Get the stretch! Ride to Harlem, Hollywood, Jackson, Mississippi !
Aah ! Cela faisait bien longtemps que les jumeaux n'avaient pas passé un aussi bon moment. Rien n'égalait cet instant, enflammé par la fièvre de la danse, alors qu'ils chantaient toujours de plus en plus fort, frappaient de plus en plus fort. Nul doute : toute la maisonnée avait été envahie de l'ambiance, et, les jumeaux l'espéraient, ils étaient une majorité à danser avec eux. Mais peu importait, emportés par le groove de leur groupe.
Come on, dance Jump on it If you sexy than flaunt it If you freaky than own it Don’t brag about it, come show me Come on, dance Jump on it If you sexy than flaunt it Well it’s Saturday night and we in the spot Don’t believe me just watch DON'T BELIEVE ME JUST WATCH !
Ce fut probablement les quatre minutes les plus explosives des derniers mois pour les jumeaux, qui, plus tard, en étaient venus à regretter que Lukas ou December n'aient pas pu en être.
UPTOWN FUNK YOU UP !
Ils avaient finis les bras levés, le souffle et le coeur rapides, un immense sourire aux lèvres. Ca c'était du groove ! Vous êtes géniaux !
Ils virent au passage l'humaine qui avait été aux côtés d'Alexis, faisant enfin attention aux visages alentours. Maxine !! C'est génial de te voir ! Tu nous as manqué ! Dyson nous a pas dit que tu étais ici ! On serait à Wonderland ?
Ils en oublièrent quelque chose : la musaraigne (oh ! musaraigne, pas rat !) avait encore un verdict à rendre...
Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »
| Avatar : Alyssa Milano
Propriétaire de La Pelle à Tartes : La vie, c'est pas du gâteau mais la pâtisserie, si !
| Conte : Le Roi Lion | Dans le monde des contes, je suis : : Diku
- Tout va bien Alexis, comme tu peux le voir, je fais ce que je sais faire le mieux : la cuisine ! Salut Jezabel, ça faisait longtemps ! ajouta l'ancienne lionne en apercevant aussi La Muerte qu'elle avait rencontrée dans de bien étranges circonstances aussi. Puis elle se remit au travail. Alors qu'elle touillait, saupoudrait et goûtait, une voix fluette qu'Amelia ne connaissait que trop bien retentit dans la cuisine. L'instant d'après, Maxine entourait ses bras d'un gros câlin plein d'affection comme la pâtissière les aimait tant. Aussi ne se priva-t-elle pas de l'étreindre de toutes ses forces et de poser un baiser sur ses cheveux blonds. Amelia n'avait pas revu la demoiselle depuis des mois et comprit bientôt pourquoi : Maxine était la fameuse fille que le boss des musaraignes comptait marier en ce jour. Autant dire que ce n'était pas ce à quoi Amelia s'était attendue, même si les retrouvailles étaient plaisantes. - Désolée ma chérie, lui avait-elle répondu avec une mine contrite, je ne savais pas moi-même que j'allais venir ici en me levant ce matin et je ne sais pas si Zach et ton papa sont là parce que... eh bien je ne les connais pas, trésor. Mais je n'ai encore parlé à personne qui s'appelle Zach, pas aujourd'hui du moins. Maxine n'avait cependant pas semblé s'en attrister outre mesure, déjà trop occupée à faire connaissance avec Alexis. Un sourire aux lèvres, Amelia l'observait, n'oubliant cependant pas sa tâche culinaire pour autant, ce qui ne l'empêchait pas non plus d'écouter attentivement la conversation de plus en plus surprenante entre les deux jeunes filles. Quelque chose ne tournait vraiment pas rond, en dehors de cette histoire de cadavre, au point qu'elle coupa simplement le feu sous sa préparation pour pouvoir s'en désintéresser en toute sécurité et suivre le raisonnement d'Alexis qu'elle approuva de bout en bout. Oui, définitivement oui, il fallait s'aimer avant de se marier. Et Maxine avait encore le temps avant de prendre un époux, même si la pâtissière s'était mariée à dix-neuf ans et avait eu son premier enfant l'année suivante. Amelia ne suivait, en général, pas la norme, de toute façon. Et Maxine non plus, apparemment. Il fallait quand même être unique en son genre pour croire, quand on était aussi mignonne qu'elle, être une musaraigne. Mais puisqu'Alexis avait la situation bien en main et des arguments solides, Amelia s'était contentée de dodeliner de la tête à chaque nouvelle idée de la jeune fille brune. Et quand celle-ci eut abattu sa dernière carte, Amelia ajouta simplement : - Ca, je trouve que c'est vraiment une super idée ! Rentrons à Storybrooke chercher papa Terrence ! Puis bas, en se penchant vers Alexis, elle ajouta entre ses dents : - Et ne revenons jamais ici parce que les musaraignes ont l'air toqué de la cafetière... Amelia avait beau aimé les mariages et la belle cuisine animée dans laquelle elles se trouvaient, certains détails n'avaient pas manqué de lui échapper. On était quand même mieux chez soi, en fin de compte, avec les siens, loin de la mafia des rongeurs et des mariages forcés. C'était tellement rétrograde ! Mais cette réflexion avait rapidement été interrompue par le retour des deux terreurs rousses débarquant à l'improviste pour improviser un bœuf dans la cuisine. L'ancienne lionne les avait regardés avec des yeux tous ronds, attrapant néanmoins la spatule qu'un des garçons lui tendait avant qu'ils ne fassent la plus étrange déclaration : il fallait divertir les ours sous peine de se faire tuer. C'en était fait, l'heure était réellement grave. Alors Amelia suivit le mouvement, même si elle ne connaissait pas la chanson qui avait le mérite d'être entraînante, même si ce n'était pas Céline Dion. Elle qui aimait cuisiner en dansant et chantant, elle était servie et se doutait, en dépit de l'allure loufoque des jumeaux, que tout ceci n'était pas sans raison. Ou alors, ils étaient encore plus allumés qu'elle et c'était peut-être inquiétant. Une chose était sûre, ils y mettaient tout leur cœur ! Puis la chanson prit fin. L'heure du verdict avait sonné. Amelia était subitement beaucoup plus sérieuse, se cramponnant à sa spatule, acculée, contre le four où elle travaillait. Un ange passa. - C'était vraiment... abominable, déclara-t-il d'une voix tranquille mais menaçante. Je crois que vous m'avez transpercé les tympans. Mes oreilles ne sont pas du tout diverties. Dans ce cas... Il était tellement nonchalant que c'en était perturbant. Un vrai mafieux, un pur, un vrai. Amelia déglutit et attrapa son sac à main à tâtons, afin de ne pas détourner les yeux. Elle en sortit sa pelle à tartes toute brillante et la brandit devant elle, comme une tenniswoman attendant le smatch de son adversaire. - Tous les goûts sont dans la nature, ricana Amelia, mal à l'aise. Quelqu'un a un plat autre que courir vite et courir loin ?
Antropy Tiger
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Ed Sheerαn.
We at a party we don't wanna be at.
Tryna talk, but we can't hear ourselves.
Read your lips, I'd rather kiss 'em right back...
YOU KNOW WHAT ?
It's kinda crazy 'cause I really don't mind
And you make it better like that
| Conte : Winnie l'ourson. | Dans le monde des contes, je suis : : Tigrou.
« C'était vraiment... abominable. Je crois que vous m'avez transpercé les tympans. »
Pardon ? Comment ça, ABOMINABLE ? Non mais, même si c’était vrai on y mettait un minimum de forme et de politesse tout de même ! Un peu de décence ! Et puis c’était quoi ça, depuis quand les musaraignes avaient un talent quelconque pour la musique ? Si on avait des grands compositeurs de leur taille j’aurais revu mon jugement, mais là franchement à part boucler leur museau et faire profil bas… Elles n’avaient même pas d’oreilles en plus ! Enfin si, tous les êtres vivants en avaient même les serpents, mais elles devaient être sacrément bien planquées pour qu’il soit si insensible à un concert de ce genre. Les jumeaux avaient été excellents, je les aimais déjà eux ! Bon j’aimais beaucoup moins la tournure que ça prenait, c’était quoi cette manie d’être armé de partout ? Quand est-ce que l’Amérique rendrait illégal le port d’armes ? Ca urgeait là !
Je me reculai vers les autres, adressant un signe de la main à Maxine pour la saluer. Tiens, ça faisait super longtemps que je ne l’avais pas vu ! Elle avait disparue ? Première nouvelle ! En tout cas elle avait l’air bien en chair et en os là ! Enfin, surtout en os vu qu’on pourrait même pas gratter pour sortir un sandwich avec le peu d’épaisseur qu’elle avait… Mais elle avait l’air en bonne santé, c’était déjà ça ! Et en plus elle avait retrouvé Alexis et… Jezabel, c’était ça ? La première fois elle avait dit son prénom tellement vite que j’avais eu du mal à le comprendre. Une pelle à tarte apparue dans mon champ de vision et je haussai un sourcil surpris quant à l’utilité d’un couvert pour nous tirer d’ici.
« Tous les goûts sont dans la nature. Quelqu'un a un plat autre que courir vite et courir loin ? »
Je levai la main pour répondre à sa question – il fallait toujours répondre à une question qui était posée – en songeant qu’on pouvait toujours écraser la bestiole avec une casserole… Bon on aurait encore le problème des ours qui étaient plus grands que nous mais avec un peu de jugeotte, et de paillettes de notre amie licorne, on devrait s’en sortir non ?
« Ils auraient dû mettre du Barry White… » Déclara Nounours en secouant la tête.
« Ce sont leurs jambes le problème. » Rétorqua un de ses collègues. « Elles ne sont pas poilues, ça casse le rythme. »
Je plissai le regard, ignorant jusque là que la pilosité avait un rôle à jouer dans la rythmique. J’avais des poils roux aux jambes mais ils étaient cachés sous mon pantalon… Peut-être que la solution était de se mettre en sous-vêtements ? Je portai la main à ma ceinture avant de m’arrêter, faisant mine de réfléchir à toute allure. Ces types aimaient la musique, c’était indéniable ! Peut-être que si on ne tapait pas sur le plan de travail mais sur une vraie batterie, ça passerait mieux ?
« Montrez nous ce que donne un jeu de jambes poilus dans ce cas ? » Hasardai-je. « Je suis sûr qu'on peut se faire un battle ? Y'a tout ce qu'il faut ici pour faire de la musique ! »
Je désignai mon téléphone s’échappant de ma poche, esquissant un sourire quand l’ours fit un mouvement pour s’approcher de nous. Bon dans le doute je ne restai pas trop loin d’Amelia, elle faisiat des bons gâteaux et puis elle avait eut l’idée de prendre quelque chose pour se défendre. Pas la meilleure des idées mais c’était la seule à y avoir pensé ! J’avais l’air malin avec ma cuillère en bois... J’aurais du sauter sur la pelle à tarte.
« Stop. Finis de jouer ! »
Quel rabat-joie celui-là ! La musaraigne claqua des doigts et les ours blancs prirent tous un air triste et contrit. Oh, ils étaient punis ? c’était le moment mélodramatique qui arrivait ? Il y eut plusieurs claquements et soudain, plusieurs gros calibres apparurent entre leurs pattes pour nous viser. Euh… Euh non, c’était pas tout à fait ce que j’avais en tête pour le coup !
« On va vous faire danser à ma manière. »
Je poussai un cri en serrant ma cuillère, avant de m’arrêter en me rendant compte que personne ne criait. Okay, on devait mourir en dignes héros de série, c’était ça ? Mince, j’étais pas très doué pour les rôles sérieux… Un coup d’œil à droite : des armes. Un coup d’œil à gauche : même tableau. Tout ça parce qu’une souris n’avait pas aimé perdre ses grains de maïs ! S’il voulait, je lui trouvais un épi entier et on était quittes ! Non ? Aller, juste un… On pouvait même en faire des pop-corn s’il voulait.
Je me tournai vers Maxine, étrangement silencieuse depuis notre entrée. Et quand on la connaît, c’est évidemment suspect de sa part. Peut-être qu’elle avait de la fièvre ? Ou pire, elle avait été lobotomisée ? Non, ça serait difficile, elle avait le crâne encore plus dur que le bois. Et cruel en plus de ça ! Maxine devait rester Maxine ! C’était d’ailleurs peut-être notre seule chance ? Vu que la négociation et la musique n’avaient pas fonctionnées faute de goût de la part de nos assaillants. Je restai intimement persuadé que tout pouvait se résoudre sans violence, à voir si j’avais raison d’être un brin utopiste sur la question.
« Max… Déjà, calin ! » Je lâchai la cuillère pour la prendre dans mes bras en esquissant un couinement de satisfaction. « Ensuite, tu voudrais pas nous aider à éviter les morts le jour d’un mariage ? Ca fait des tâches sur la robe ! »
Je joignis mes mains sous mon menton en attendant une réaction, clignant des yeux au cas où ça lui permettrait de connecter plus rapidement. Les secondes nous étaient comptées ! Enfin elle s’anima, gardant ses bras autour de moi mais posant son regard sur la musaraigne.
« Mais je veux pas que vous les tuiez ce sont mes amis à moi ! C'est difficile de se faire des amis vous savez ? Si vous les tuiez ça me rendrai très très triste, et papa m'a dit que je serai heureuse en me mariant et si vous faites ça je ne serai pas du tout heureuse et papa il sera en colère je crois ! »
Wait… Elle se mariait ?! Et j’avais pas reçu de carton d’invitation ? Je lui jetai un coup d’œil outré. Et dire qu’on avait partagé jusqu’à une pokeball ensemble !
« Si vous voulez, on peut aller lui demander, il est dans son bureau à l’étage ! »
Ah, là, ça eut l’air de les couper dans leur élan ! Bon la jeune femme commença à faire quelques pas en direction de la sortie pour appliquer ses paroles – ce que j’aimais son honnêteté radicale ! – mais la souris sembla soudain reprendre vie et conscience. Peut-être un peu de culpabilité pour alléger notre peine ? Mourir dans des cuisines, il y avait quand même de meilleurs scénarios ! Celui-là ne nous vaudrait même pas un oscar, au pire quelques vues sur Youtube. Dommage, pour un massacre offert sur un plateau c’était un sacré gâchis.
« Non non, c'est bon, attends... »
Il abaissa son revolver et le tendit à l’ours à côté de lui. Qui le passa à son collègue du bout des griffes, lequel la donna rapidement au suivant et ainsi de suite en n’ayant visiblement aucune envie de la conserver.
« On peut s'arranger. Euh... Tu veux quelque chose pour ton mariage ? Tiens, regarde, j'avais prévu de te donner cette montre. » Continua la musaraigne en sortant une petite montre de sa poche. « Donnez vos montres, allez ! »
Ses subordonnés s’exécutèrent, détachant la montre à leur poignet pour la tendre devant eux. Des grosses montres. Très grandes. Un peu trop grandes pour nous à vrai dire… Mais c’était l’intention qui comptait, n’est-ce pas ?
« Mama mia, qu'elle est belle ! Regardez cette merveille ! Maxine ! »
Est-ce qu’il essayait de lui faire du gringue ? Le filou !
« Oh merci c'est gentil ! En plus je n'ai pas de montre tu sais ? Mais il faudrait la garder pour tour à l'heure au moment des cadeaux non ? Ou on peut les donner maintenant ? Mais je croyais que. C’était au moment des cadeaux... En tout cas merci c'est très gentil ! »
Et le pire ? Elle avait l’air d’être reconnaissante en prenant la montre ! C’étaient bien les filles ça, un cadeau et elles devenaient toute gentilles ! Je les aimais bien, mais ce n’était pas pour rien que je préférais l’autre bord finalement… Enfin, un seul pour le moment et il était sacrément coriace. Mais je l’aurais un jour, je l’aurais. Je l’avais eu, mais chut !
Le petit manège de l’arme passant de pattes en pattes continuait son petit bout de chemin en attendant, chacun refusant de garder plus longtemps cette dernière. Peut-être qu’ils avaient peur de se faire accuser d’avoir menacé Maxine ? Oh oh oh, bon à savoir ! Ici elle était comme le big boss en fait ! Ou sa fille, vu ce qu’elle disait… Son père était dans la maison ? Mais pourquoi elle l’avait pas dit plus tôt ! Je ne l’avais jamais rencontré, je voulais voir jusqu’à quel point il avait les cheveux longs ! Et eux continuaient leur petit manège. Ca pouvait être long si personne n’en voulait !
Jusqu’à ce que mon pote Nounours ne l’obtienne et ne se décide à me la donner. Il appuya même sur mes doigts pour que je les referme sur l’objet du délit et se recula vivement pour ne plus avoir à la toucher. Euh… Attendez… Est-ce que j’avais vraiment un flingue dans la main ?!
« MAMAN !! »
Je n’aimais pas les armes à feu. Je détestais ça, littéralement ! Aussi ouvris-je la main pour la lancer en l’air sous la surprise et le dégoût, secouant ma paume comme si elle m’avait brûlée. Le revolver fit un arc de cercle parfait – au moins dix sur dix au lancer de poids pour le coup – et alla atterrir… pile dans une casserole de sauce tomate en train de cuir ! Cent point direct et une qualification pour la finale !
D’un même mouvement tout le monde se recula pour ne pas s’en prendre dessus et il y eut un silence. Un ange passa, comme on dit, mais je ne l’avais jamais vu le chérubin avec ses plumes… Il n’y eut pas de coups de feu perdu. Un soupire rassuré s’échappa de la musaraigne.
Plus jamais d’arme dans mes mains, pitié !
« Ton père a beaucoup de chance de t’avoir. » Confia-t-il à Maxine en s’approchant d’elle. « Mais tes amis sont dangereux. Tu devrais mieux les choisir. »
Elle ouvrit la bouche pour lui répondre quelque chose, mais il se détourna déjà pour observer les cuisinières et le reste de l’attroupement.
« Où en est le repas ? Vous avez bien cuisiné ? »
Il fit signe à un des ours pour que ce dernier ne baisse la patte et lui permette de grimper dessus. Ingénieux comme système ! Il se pencha au-dessus de la marmite et y attrapa la cuillère pour goûter la sauce. Urgh, réellement ?! Il allait… Aaaah, je ne voulais pas voir ça ! Je plaquai mes mains devant mes yeux, me penchant vers mon amie pour essayer de comprendre le système… Enfin, j’espérai que ce soit Maxine parce que je n’y voyais rien.
« C'est qui lui ? Le gestionnaire du mariage ? Il goutte les plats comme ça sans invitations ? C'est pas les cuisinières qui gouttent d'habitude ? En plus il le fait sans changer la cuillère ni rien c'est pas très hygiénique... Entre l'arme à feu et maintenant ça, il serait pas en train de chercher à gâcher le repas ? »
J’avais chuchoté, ça aurait été dommage de gâcher tout un mariage à cause du buffet infesté de vermine ou de virus ! Vous imaginez s’il refilait la gastro à tous les convives ? Moi, promis, je touchais plus à un seul plat ! Même du chocolat, même si c’était bon, je saurais me retenir.
« A mon avis il veut juste savoir si c'est bon ! » Me répondit la blondinette. « J'ai jamais gouté de la nourriture avec de l'arme à feu, tu penses que ça donne une saveur spéciale ? C'est peut-être une spécialité de chez lui ? Ça doit être bon alors, il faudrait que j'essaye aussi moi non ? »
Une arme dans les mains de Maxine ? Sortez couverts.
« Je suis pas sûr que ça soit une bonne idée... Les armes à feu, ça peut vous tirer un peu l’estomac vers le bas. Un peu lourd à digérer. Promis ! On se fera des cupcakes à la place ? »
« D'accord, mais j'aimerais bien goûter quand même... Tu sais, juste pour savoir ! Tu n'as pas envie d'essayer toi ? C'est comme une expérience ! »
Il y avait des expériences plus intéressantes… Je lui apprendrais le poirier japonais la prochaine fois si elle y tenait vraiment.
« Je préfère les expériences sans revolver ! Et puis, on ne sait pas où cette arme a traîné... Vraiment, Max, tu veux prendre le risque d’être malade ? Je sais que tu as des gens pour te câliner quand tu est couchée dans ton lit mais quand même, c’est pas hyper soft. »
« Oh... C'est vrai que je n'aime pas être malade, d'habitude maman s'occupe de moi mais là, elle n'est pas la. Mais je n'aime pas trop être malade je me sent toute bizarre après. Mais alors je prendrai des armes propres ! :Chat: mais on essaiera plus tard car je crois qu'on a pas d'armes propres ici. »
« Ouais, on essayera plus tard. » Et le plus tard serait le mieux. « Quand on sera rentré à Storybrooke, on demandera à Jack de te faire un glace à l’arme à feu ! On verra s’il est d’accord et du même avis que toi. Les expériences, c’est pas toujours excellent tu sais ? C’est comme vivre en te bouchant constatent le nez, ça fini par poser un soucis non ? »
Je vous pariais deux melons qu’elle allait essayer, juste pour voir…
« Ah bon ? Je ne sais pas je n'ai jamais essayé mais ... » Elle porta les mains à son visage pour se pincer les narines. « On va voir ? »
« Pari tenu ! »
Si ça permettait qu’elle ne touche pas à la sauce au revolver, je voulais bien consentir au sacrifice de la rendre un peu ridicule. Le ridicule ne tuait pas ! Les musaraignes, si. En plus d’être pas très propres elles avaient l’air hargneuses ces petites choses… Rappel à moi-même, ne plus aider une souris à gagner aux cartes. Désolé d’avance pour la souris verte mais notre accord ne tenait plus, sauf si on pariait des dents et des bonbons. Là éventuellement ça pouvait toujours fonctionner…
Nounours se pencha vers moi, me faisant sursauter sur le côté en m’adressant alors un regard désolé :
« C'est le frère du Boss. Et il s'y connait en matière d'hygiène, il bosse dans les ménages. »
« Tu racontes n'importe quoi... » Répliqua un de ses collègues en le regardant d’un air atterré.
« Non, c'est vrai ! J'ai souvent entendu le boss lui demander de faire le ménage dans divers endroits ! »
L’autre le fixa avant de se passer une patte devant le visage et de secouer la tête. Bah quoi ? C’était pas un mal de passer le balai de temps en temps et d’aider ceux qui ne pouvaient pas ! Bon, restait juste à être sûr qu’il ne balançait pas les miettes dans le pain ou les amuse-bouches…
Ah tata la la afro circus Attendez comment ca je viens avec vous ?
Franchement, moi je les aimais bien ses ours. Ils étaient trop mega geniaux. Je continuais de me déhancher dans la voiture, jusqu'à ce qu'elle s'arrête devant une maison. Tiens, mais au fait, c'est qui l'abrutis qui avait kidnapper le soleil ? Hein ? J'eu pas le temps de dire un mot, que Maxine me kidnappa avec elle jusqu'à sa maison. Je fis coucou au ours avec un gros sourire provocateur. Tchaos les gars ! Moi je me casse ! Eh mais attendez une seconde ...FLASH ! On est partie sans Flash ! Sacrilège ! Bon après tout c'est pas comme ci on allait ce marier et avoir des enfants avec une petite fille au nom de Vleplina hein. Attendez, je me faisais vraiment des idées bizarre ! Je suis pas zoophile quand même. Non mais oh. Quoi que Nick laissait à désiré. Oh mon dieu, quelqu'un dans la foule pour me mettre une tarte ? Non ? Personne ? Pffieuh. La blondinette me traina jusqu'au bureau de son père."Ma chérie ! Viens, viens voir ton papa ! Gneh ? Qui c'est qu'a parler ? Non déconner pas, j'ai vraiment entendu une voix, je suis quand même pas folle !
▬ « Il est ou ? Je le vois pas ! Non mais j'ai vraiment entendu une muhssmlsja... » L'un des ours avait plaquer une patte sur ma bouche. Je faillais crier à l'injustice. Non mais l'autre ! Il me fou sa patte dans la tronche ! Il y pense au microbe ? Je lui jetais un coup d'oeil interrogatif, alors que de sa grosse griffe il me désigna la musaraigne assise sur le fauteuil. Ah. AHHHHH. « La vache, faut la voir, ce serait bête de s'asseoir desssus … ! » declarais-je vivement interppeler alors que nounours me lanca un regard noir. Bah quoi ? Vue ca taille, il me faisait pas peur d'abords ! Quoi que attendez, cette sourie contrôle le soleil ? Ouai bon, je me sentais impressionner un petit peu. « La vache, le coup du soleil, c'est badass ! » commentais-je, les yeux animer d'une brillance surexcité. Non mais moi aussi je veux savoir faire ca ! Imaginez avoir le contrôle sur le soleil et la lune ! Bien que Diane et Apollon risquait de pas aimer le coup du soleil et de la lune ...Ouai non au final on va laisser tomber le délire. La souris étaient l'equivalent des deux divins quand même. OH ! Imaginez si ici ils avaient des dieux grecque en animaux ! Je suis certain que Judah c'était le gros buffle avec les cheveux long naturiste ! Je me demandais si melody aurait été un thon …
▬ « Coucou ! » Fis-je à la musaraigne lorsque leur discussion déviait sur moi. Je lui fit signe de la mains avec un grand sourire.Un Pokéball ?" Scusez ? Plait il ? Il connaissait pas pokemon ? Mon visage ce décomposa, c'était un crime ca ! « Vous, vous avez ratez votre vie ! » fis-je à la musaraigne, un visage peinée et compatissant à son attention. Pourquoi je sentais la griffe sur nounours dans mon dos en mode : Une parole de plus et je te tranche en rondelle ? Je me tournais vers celui ci en croisant les bras. « Non mais tu vas baisser ca ? C'est super desagreable ! » je le jaugeais du regard, un combat de coq s'engagea entre lui et moi. Un combat de regard égale à égale, déterminé, menant un combat sans fin et ….Ahhhhh ! Je me fis tirer en arrière par Maxine. Mais j'avais pas finis ! J'étais en train de mener un combat acharner ! Remarque, le nounours qu'elle me tendait était vraiment trop beau. Je penchais la tête en le touchant du doigt, il était super doux ! "Tadaaaam !! Tu le trouve jolie ? C'est une amie, Alice qui me l'a donné ! Je l'aime beaucoup tu sais ? Et puis dedans je peux mettre plein de choses !": un sourire étirait mes traits. « c'est vrai qu'il est genial ! C'est ton espèce de baluchon ? Elle est vraiment gentille cette Alice pour te l'avoir donner. Elle doit beaucoup tenir à toi ! » déclarais-je, alors qu'elle redescendait les escaliers. Je la suivis sur ses talons – sympa la visite- alors que l'on croisait les ours avec les fleurs. Je m'arrêtais à la hauteur du premier et le pointais du doigt dans un ricanement moqueur.
▬ « Bah alors mon nounours, on ce sent flétrir ? » le provoquais-je, un visage malicieux. J'eclatais de nouveau de rire, alors que je me manquais de me faire étriper. Je bougeais trop rapidement pour ses pauvres yeux de nounours en me décalant sur le coté. Son visage manifesta une certaine surprise qui me fit de nouveau rire. « Prend en de la graine ! » ajoutais-je avant de lui faire un salut de la mains et de suivre Maxine, hilare par mes jeux de mots. Bah quoi ? C'était super bien trouver ! Oh moins moi je faisais pas de faute dans mes expressions, je m'appelais pas Maria ! Lorsque Maxine ouvrit la porte, des visages familiers occupait ma vision. Un choc s'installa pendant quelque instant sur mon visage. Je rêvais pas ? Mais genre vraiment pas ? C'était bien la tête d'Alexis dans mon champs de vision hein ? Mes yeux s'arrondir de plaisir, alors que je lui fonçais dessus à une vitesse fulgurante avant de m'arrêter au dernier moment et de la fixer avec de grands yeux joyeux. « Oh punaise ! Alexis ! Mais qu'est ce que tu fiche ici ? Nan en fait ne prend pas la peine de répondre, toi aussi ta genre cligné des yeux une seconde et ta fini ici ? » Une voix familière embellis mes oreilles d'une douce mélodie. Je me tournais vers Amelia. Oh man dieu. « AMELIA! » m'ecriais-je en arrivant en face d'elle à toute vitesse. Je me suis mise à sautiller sur place, eclatant de joie, et chopant la pelle à tarte entre mes mains. « Tu l'a encore ? J'y crois pas ! Mais ca fait super bien de vous voir ! Je me sens moins seule pour le coup ! » m'excitais-je en rendant la pelle. Il y avait du gateau là bas. Je veux du gateau. Mon attention ce perdit pour venir s'engager sur le gateau. J'allais faire quelque pas vers celui ci, mais une grosse masse de poil entra en contacte avec mon visage. Je fus propulsé vers l'arrière et attérit sur les fesses. Je lachais une plainte avant de relever la tête vers la masse copuleuse et poilu de l'ours. Ah mince, il était encore là lui ?
▬ « Salut ! » fis-je avec un sourire pas crédible. Il me prit par le col pour me relever et me planter sur mes pieds. « Mais faut que t'arrête cette habitude hein ! C'est pas comme ca que tu vas maigrir je te le dis ! Les kinders, je les ai bien sentis ! » dis-je en croisant les bras. Jusqu'a ce que je sente des mains me pousser dans le dos, je tournais la tête interppeler. « On va ou ? On s'en va déjà ? » fis-je, alors qu'une foule de Ron weasley debarquait pour nous ramener dans la pièce. J'avais mal la tête moi à force d'être trimballer de gauche à droite ! Oh mais attendez, c'était Opy là bas ? « Opyyyy ! » Hurlais-je. Je me dirigeais vers lui et levais ma mains pour lui faire un hightfive. Jusqu'à ce que les deux roux qui ce ressemblaient comme deux gouttes d'eau n'entame la musique de Brunos Mars. Je m'arrêtais, cloué sur place, en les fixants avec des yeux admiratif. Je les aimes. Je veux jouer aussi. Je peu jouer aussi ? « C'est brunos mars ! C'EST BRUNOS MARS !!! » m'excitais-je en ayant grimper sur les hanches de l'ours et en lui secouant les epaules, plantant mon visage dans le sien afin de lui hurler dans les oreilles. Il me retira de ses grosses pattes velue, alors que je restais accrocher à ses epaules comme un petit singes – il eu super du mal à me décoller l'air de rien- Je suis certaine qu'on avait même entendu un ''plouc''.
▬ « Degagez le passage ! » M'ecriais-je, chopant quelque casserole et prenant des spatules pour taper comme une elephante dessus, avec brusquerie pour donner du rythme. Je vis une musaraigne accrocher à ma spatule, et je lui fis une pichenette pour la faire voler plus loin. Non mais oh ! On m'interromps pas dans ma cadence ! Lorsque ce fut finit, le boss – enfin, le second- avait bien l'air décidé de nous buter. Enfin ca, c'était avant que Opy et l'ours ne parle de poils au niveau des jambes. Moi les seuls poils que je connaissais, c'étaient les cheveux de Judah. On est d'accord que ce sont des poils et pas des cheveux?
▬ « Ils parlent de Judah, tu crois ? » Glissais-je à Alexis. « Vous avez peur de Jerry ? Ce qui nous faut, c'est juste un gros chat. » la ramenais-je en levant le doigt avec un gros sourire. Ca plus pas au nounours qui avait sortit les flingues. Je fixais celui pointer dans ma direction, tringuée. « Wouaaah, c'est quel calibre ? » demandais-je en touchant la tampe, avant de me faire tirer en arrière par je sais pas qui dans le but de me ramener dans le cercle. Si on pouvait plus prendre des informations ! De toute manière j'avais pas peur de leur canon, ils auront pas le temps de tirer que j'aurais le temps de leur extriper leur armes ! Heureusement, Maxine leur intima de baisser les armes. Celle ci fit alors un tour de cercle de nounours avant de finir dans les mains d'Opy. Moi je la veux ! Moi moi ! Je me suis mise à effectuer des bond sur places en agitant les bras. « PAR ICI PAR ICI !! » lui criais-je. Je m'arrêtais subitement face au crie de fillette qu'il avait effectuer devant l'arme. « Attend, ta vraiment crier comme une demoiselle en detresse ? » fis-je avec des yeux ronds. Pendant un cours instant, même le nounours avec qui je faisais la guerre c'était arrêter pour le devisager lui aussi.
« j'ai bien entendu un jouet qui couine aussi ... » fit t-il. ▬ « Ah on est d'accord ! » lui dis-je. Oh, je venais de tomber d'accord avec le nounours ! Comme quoi y'avais des miracles ! Bon par contre, le pistolet était dans la sauce maintenant. Jusqu'à ce qu'on en sache un peu plus sur le sois disant frère du boss. AH. Ah. Faire le menage, dans la bouche d'un mafieux, ca faisait très très mal.D'ailleurs, je sais pas vous, mais je me sentais super étouffer avec tout ce monde dans la cuisine. Je suis comme uen gazelle moi, j'ia besoin d'espace ! « Et dite, ca vous dirait pas d'aller ailleurs ? Y'a trop de monde d'un coup, Jerry elle fou les jetons en plus ! » accusais-je la souris d'un regard inquiet. Et comme d'habitude, fallait que mon nounours vienne fourrer ses pattes là ou j'étais ! J'étais sur qu'il m'adorait en vrai.
« C'est qui Jerry ? » demanda t-il. Je lachais un cris de frustration, oh l'autre cette inculte ! « Elle parle de quel Jerry ? Si c'est Lafayette, il est mort la semaine passée. » dit t-il à Opy d'un regard. Ah. Ah. Je lachais un rire nerveux, les yeux ecarquiller et légérement effrayé. Il est marrant le nounours. C'était une blague hein ? Pitié disez moi que c'est une blague !
▬ « Wouah, elle à l'air ultra longue votre liste ! » raillais-je en lui fourrant un coup de poing dans l'epaule. Il ce tourna pour me toiser. Je perdis mon sourire et me détournais comme ci de rien était. J'ai rien fais. C'pas moi. J'ai pas frapper nounours. Nicolas et paprennelle en son témoin. Une musaraigne entra dans la cuisine.
« Il est prêt. On va pouvoir commencer. » je lachais un rire à cause de sa voix d'ecureuil, avant de le ravaler par la suite à cause du coup d'oeil de Jerry. Qui était prêt ? C'est qui il ? C'est un monsieur ? L'ours commença à me pousser vers la porte vitrée qui menait au jardin.
▬ « Lache moi tu vas m'ecraser avec ton ventre d'homer simpson ! » me plaignit-je en hurlant et en bougeant les bras. Je m'agitait pour pas me prendre la baie vitrée, et passait à travers, en jetant un regard noir à l'ours qui ce trouvait de l'autre coté. Je croisais les bras, il jouait avec mes pouvoirs le sale avortons ! « Déconne pas Teddy ! » fis-je en lui tirant la langue. Il ouvrit la baie vitrée pour les autres et les fis entré dans le jardin. Leur yeux ebahis me fis dresser un sourcil. « Bah quoi ? » demandais-je. Je me retournais à mon tour pour regarder le paysage qui me laissa sans voix. Il y avait une immense tente de dresser, avec une petite à coté. Que ceux qui ont vue le dernier Harry potter lève la mains ! Bah maintenant, vous savez à quoi ca ressemble ! Il y avait des ours en costard, super bien habillé, mais aussi des musaraignes et d'autre animaux. AU loin, il y avait un stand avec un pupitre. Je crois que c'était là qu'allait ce marier IL et maxine. En tout cas, cette déco de partout, elle arrachait ! Mes yeux ce posèrent sur l'orchestre. Et là, c'est le drame.
▬ « OH TROP COOL UN ORCHESTRE !! » m'ecriais-je, m'apprêtant à filer à vive allure vers celui ci. Je courrais dans sa direction, ayant l'intention de toucher les intruments, de jouer avec, de faire de la musique. Mais je sentis une pression au niveau de mon col, et je remarquais que je courrais sur place. Je baissais la tête surprise, avant de la tourner vers Teddy qui me tenait encore en otage. Ah mais quand je vous disais que c'était une habitude !
« Tu sais jouer d'un instrument ? C'est le grand orchestre là. » Il m'insultais ? Sisi, il m'insultait ! Je sais parfaitement jouer de l'orchestre nan méoh !
▬ « Et comment ! Je sais faire de la batterie ! » Si, j'en avais fais avec Aaron à Vegas ! Enfin, lui il faisait joujoue avec ses cartes à ce moment là, mais j'en avais fais quand même ! Je m'étais arrêter de courir, et j'avais positionner mes pieds sur les hanches du nounours, afin de m'aggripper à son bras et de faire pression en appuyant sur mes pieds pour qu'il me lache. « Eh, quézaco, tu vas me lacher oui ? » l'agressais-je, avant de passer à travers sa mains et de filer à vive allure vers l'orchestre. Je me positionnais devant la batterie, et ma vitesse avais extirper un furet qui était tombé à la renverse. Je lui pris les batons qu'il tenait entre ses mains pour les regarder avec fascination. Ahhhh, ces petits trucs familier, comme je les adorais ! « Oh mince, basil c'est cassé la jambe ! » Fis-je d'un ton theatrale en haussant les epaules. Le furet mis quelque temps avant de ce relever.
« Je m'appelle pas Basil ! » retorqua t-il. Nan mais tais toi, tu vas tout gacher !
▬ « On s'en fiche ! Fais le mort ! » lui ordonnais-je en appuyant sur sa tête pour l'empêcher de ce relever. Eh, il en avait de la force dans le crâne ! C'était peu être sa qui s'appelait la science infuse... Je lachais un grognement alors qu'il me résistait. Je m'asseyerais bien sur sa tête tiens, on verra si il sera toujours apte à ce relever ! Il finit par triompher et je lachais un cris de surprise en bondissant en arrière. Je tournais la tête vers Basil. Quelqu'un veut bien m'expliquez pourquoi on a besoin de nous au juste ? « Pourquoi vous nous retenez au fait ? Vous nous avez même pas demandez nos avis à nous si on voulait être invité ou pas ! » l'accusais-je d'un doigt menaçant. Les doigts ca peut être une sacré arme hein ! Je vous vois rire là. Dans l'oeil le doigt, vous ferez moins les malins !
« Qu'est ce que j'en sais ? Je suis juste intérimaire moi. Et tu viens de me piquer ma batterie. » Bien observer Sherlock. Et je comptais pas de la rendre ! Je me reinstallais sur le petit tabouret, en extirpant de nouveau basil. Je lachais un ricanement en son attention. Il chouinait le pauvre petit ! Attend, il est vraiment intérimaire ? AH le pauvre ! C'est encore pire que la place de stagiaire ! ▬ « Et toi tu viens de me casser les oreilles ! Allez ouste, je te vire ! » me dispustais-je, en lui faisant un signe de la mains. Oh mais attendez une seconde ...Si il est intérimaire, ca veut dire plein de choses ! Je tournais un visage sournois à son attention ? Par ici la marmaille ! J'attrapais ses epaules en le bloquant, songeuse. « Oh non attend, j'ai une idée. je te laisse jouer avec moi si tu me rend un service en échange ! » un sourire innondait mes lèvres, enigmatique. Il me fixa d'un air sceptique.
« Lequel ? » ▬ « Tu nous aide à sortir d'ici ! je suis certaine que tu connais la sortie et que tu ferais un bon petit acteurs si y'a besoin d'occuper les grosse bêbête là bas ! » fis-je en le retournant vers les ours et en les montrants du doigt. Par exemple, si on leur balançait des baguettes dans la tronches ou détournait leur attention pendant que les autres fuyaient, ca pourrait être pas mal!Il me regarda sans comprendre. Je me demandais si il était pas stupide.
« On est dans un jardin... On peut sortir de partout. » Ah bah non il était pas stupide, c'était moi qui était stupide. Je le regardais vexé, lachant une plainte d'indignation. Non mais l'autre comment il me causait ! « Tu me rends mes baguettes ? » Ah tu les veux tes baguettes ? Dans la tronche ou dans le ventre ? Une préférence ? Tu les veux vraiment ?
▬ « Nan, ca t'apprendra à être insolent ! » Et paf, au final, j'ia choisis la tête. Le baton sonna creux lorsqu'il toucha le crâne du furet. Ah beh au final , j'avais raison, il était stupide ! Je fis signe à Alexis de me rejoindre. J'attendis qu'elle vienne jusqu'à la batterie, afin de lui glisser quelque mot en privé. C'était une demi-déesse non ? Enfin un truc comme ca, elle devait certainement avoir trouvé un moyen de partir d'ici ! « Dis, t'aurais pas aviser une sortie par hasard ? » lui demandais-je.
« Ecoute, j'aimerais bien mais je sais pas comment faire … Mon pouvoir ne fonctionne pas...Le tiens oui ? Tu pense pouvoir tous nous tracter ? » Je la regardais les yeux ronds . Attendez, temps mort ! Pourquoi mes pouvoirs marchaient mais pas les siens ? Y'avais un problème là. Vous avez quatre heure, cours de philo ! Je la dévisageais légerement.
▬ « Winston on a un problème ... » Ou bien c'était youston ...Maria me contaminais. « T'es au courant que la demi-déesse ici c'est toi ? Non parce que moi les miens marches très bien et je suis pas divine ! » déclarais-je en lui refilant un coup de baton sur la tête. J'avisais les alentours, comptant le nombres de personnes qu'il y'aurait à transporter. A la rigueur, avec un moyen de transport ca aurait pu le faire ... « Trop de monde, il me faudrait les prendres deux par deux.. » grimaçais-je.
« Mais ..Mais je suis pas demi-déesse ?! Si ? Tu sais quelque chose que he sais pas ? Je suis une demi-déesse ? Bon bref...Ecoute je sais pas pourquoi ca ne marche pas mais je suis sur le coup ...Euhh.. » Elle racontait quoi là ? Je la regardais hébété.
▬ « C'est quoi cette phrase digne d'un Wonderlandien ? Comment pourrais-je savoir quelque chose que je ne sais pas moi même ? » Là c'était moi qui était paumé. Elle était sympa sa corne qui bougeait à chaque fois qu'elle parlait. La corne ? Oh mon dieu, ce costume est une turie ! J'ecarquillais les yeux, mais comment il était trop beau ! Ah mais ayez, je veux aussi un costume : Vous croyez qu'ils faisaient les loups ? Ou les renards ?
▬ « AH TROP CANON TES HABITS ! OU JE PEU TROUVER LE MEME ?? » me déconcentrais-je, touchant chaque parcelle du costume. Il était trop mega bien fait ! Alors que j'étais complétement en train de baver dessus, je vis des doigts claquer dans ma direction. Je suivis le mouvement de la tête pour regarder de nouveau le visage d'Alexis.
« hého Jez focus ! On en était à comment nous sortir de là ! » Ah oui c'est vrai ! Je secouais la tête pour me reconcentrer.
▬ « Je crois que le mieux, c'est de saisir le moment opportun pour filer ! Je suis prête à parier que le ''Il'' c'est le mari ! » Pour une fois que je savais quelque chose ! Ou alors c'était le père ? Ah ouai ca pourrait aussi être le père ! Attendez, c'est quoi ce bad trip ? Ca devient compliqué là.
Derek et Duncan ne sont que très rarement en colère. C'est d'ailleurs la première fois qu'ils apparaissent en colère. S'ils venaient de retrouver le nom de cet animal très moche, ils décidèrent d'en rester à "rat" afin de ne pas insulter la race des musaraignes. A moins que toutes les musaraignes ne soient ainsi : ne méritant rien d'autres que l'insecticide.
C'était vraiment... abominable. Je crois que vous m'avez transpercé les tympans
Les jumeaux, d'abord abasourdis, ne répondirent rien.
Tous les goûts sont dans la nature. Quelqu'un a un plat autre que courir vite et courir loin ? NON ! NON PAS "TOUS LES GOUTS SONT DANS LA NATURE" ! Il boit du ciment l'autre rat malformé ?! Parce que si "tous les goûts sont dans la nature", au vu des siens POURRIS ça serait son genre ! Passez moi une casserole je vais me le faire !
De ce qu'ils avaient retenus par la suite, était le lancer remarquable de revolver dans la sauce tomate d'Antropy (y a pas à dire, les roux ont vraiment du talent), et le lancer de Jezabel (oh la pauvre ! Les ours pensaient-ils qu'elle était un jouet ? Qu'ils sont bêtes vraiment !) à travers la vitre. Mais littéralement ! Génial ce pouvoir ! Tu pourras nous apprendre diiis ?
Sinon, le reste du temps, ils l'avaient passé à bouder. Ils n'avaient pas accepté que leur performance, qu'ils savaient simplement géniale, soit critiqué de la sorte. Et puis d'abord ce n'était même pas critique ! Le vieux rat tout moche n'avait qu'assemblé des mots de façon aussi idiote qu'il ne l'était lui, qui n'était que la conséquence de son manque total de gout. Parce que ça ne pouvait pas être autre chose : il y avait une limite aux gouts dans la nature, quand même! Le frère du "Boss" hein ? Et bien si le Boss était pire que lui, les jumeaux ne voulaient jamais le rencontrer ! Ils voulurent aller dire à Maxine qu'elle était bien trop jolie pour qu'elle soit sa fille, qu'elle avait bien trop de bon gout pour venir de ces trucs répugnants et idiots, mais ils n'en eurent pas le temps.
Le jardin donc. Il n'était pas compliqué de comprendre que le mariage avait lieu ici : la tente était somptueuse. Oui, même dans leur nuage mécontent, ils devaient bien admettre la merveille de l'endroit. Ce serait un beau mariage. Enfin, non, ça aurait pu être un beau mariage, s'il n'était pas aussi glauque et mystérieux.
Alors que Jezabel se lança sur la batterie, les jumeaux explorèrent un peu la tente. Rien ne semblait au premier abord très utile. Et à y réfléchir, ils ne voulaient même pas être ici, alors qu'il y avait tout Zootopie à découvrir.
Ils entendirent Jezabel et Alexis parler de distractions, de fuite et... Ils se figèrent d'un coup, oubliant l'épisode qui les avait chifonné. Le but ultime de leur voyage s'était présenté à eux. Ne tenant plus sur place, ils accoururent.
C'est un fureeeeet ! BONJOUR TU ES UN FURET ! Nous t'admirons animal noble ! On connait un endroit VRAIMENT trop génial, un vrai PARADIS ! Ca s'appelle Storybrooke, c'était trop cool là bas ! Viens avec nous s'il te plaiiiit !
Quoi ? Mais je suis bien ici. Je suis bien payé ! Enfin sortir de là, ça serait pas mal, mais j'ai toujours rêvé d'être acteur et c'est la chance de ma vie.
Mais Derek et Duncan n'allaient pas baisser les bras si rapidement. Le furet, le rêve de leur vie ! Ils comptaient bien s'en faire leur meilleur ami pour vivre avec lui !
Mais c'est pas la chance de ta vie du tout du tout ! Il mange des gens pour les remercier, n'ont AUCUN goûts, donc ne sauront jamais apprécier réellement ce que tu fais alors qu'on est sûr que c'est génial, ils FUMENT, et ils tuent des gens comme ils respirent. En plus l'autre rat moche pense que sa fille est une humaine, donc ils sont totalement débile ! Nous on vient d'un continent connu pour l'American Dream. Dans notre ville, tout est possible, et j'suis sur que tu pourras devenir la plus grande des stars ! Les chipmunks ont percé pour les mêmes raisons que toi tu pourras percer chez nous, j'en sur certain ! Allez viieeens !
Le furet le regarda, hésitant. Les jumeaux virent dans cette hésitation leur chance : il allait dire oui ! Mais ils avaient oublié à quel point ils sont dérangés dans cette maison ! Voilà qu'un ours vint tout gacher. Il attrapa de façon très impolie leur ami furet. Faut qu'on cause... Dit-il avant de l'emporter. On n'interrompt pas les gens comme ça Et les attraper de la sorte c'est pas bien ! Le pauvre animal gigota en protestant. Non, pitié ! Je suis un acteur ! Je veux devenir célèbre !!!.
L'ours n'en eut que faire. Alors qu'il devait en prendre compte : on ne traitait pas comme ça les grandes stars ! Pourtant, cela ne l'empêcha pas le l'emmener devant le gars du barbecue. On t'apporte une nouvelle commande dans cinq minutes !
VOUS ALLEZ PAS CUIR NOTRE MEILLEUR AMI !
Ils coururent vers eux, s'arrêtant avant devant Jezabel et Alexis : Vous parliez de distractions et de divertissements, chuchota Derek. C'est le moment, on va faire quelque chose qui est probablement dangereux.
Ils coururent donc vers l'étrange animal au barbecue, ignorant l'ours débile qui lui proposait leur ami furet.
Vous pouvez pas le faire cuir ! C'est un animal sacré, euh... symbole euh, des dieux et tout ! Bon écoutez, le mangez pas, nous on peut vous cuisiner quelque chose d'énorme ! Un plan génial ! Le seul soucis c'est que Derek & Duncan ne cuisinaient jamais. Ils demandaient toujours à Dyson ! Mais bon, il est psy après tout, pas chef cuistot, s'il en était capable, certainement eux aussi non ? Ils avaient déjà chauffé le biberon de Lukas, eh !
Le cuistot haussa un sourcil, et dit d'un fort accent italien : Mi qu'est ce que j'y fais moi ? J'y cuis ou pas ? L'ours (toujours aussi débile) répondit alors : Je ne sais pas. Je crois. Je ne préférerai pas, si j'ai le choix.
Kis qui va nou'l cuisiner le gus si j'y fais pas li Furet ?
Ah oui, quoi ? Ils tentèrent de se souvenir de toutes les images qui s'étaient infiltrées dans leurs yeux pendant qu'ils chantaient dans la cuisine. Ah ! Ils en avaient déjà mangé. Il fallait juste du papier aluminium.
Ecoutez, nous chez nous on mange pas son voisin ! Vous êtes peut être pas de la même espèce mais de la même société donc je dirai que c'est quand même du cannibalisme ! En tant qu'animaux conscient, vous ne pouvez pas manger des animaux ! En plus ça doit être TRES mauvais pour votre ligne, qui, excusez moi, n'est pas une ligne mais un ovale. Vous avez songé à devenir végétarien ? On va vous faire un truc tout simple mais super bon, bougez pas !
Ils foncèrent dans la cuisine, pour prendre tout ce dont ils avaient besoin : de la sauce béarnaise (en tout cas elle en avait tout l'air, tant à la couleur qu'à l'odeur), du papier aluminium, des épices, et un gros sac de pommes de terres.
Ils préparèrent sur un plan de travail, mettant les épices de manières subtiles sur les pommes de terres, et les envelopper chacune dans du papier aluminium. Ils emmenèrent tout au barbecue, et en mit une demie-douzaine dessus.
Et quand elles seront prête, plus qu'à ouvrir en deux et mettre la sauce dessus ! Une tuerie ! Et très simple à faire, mangez ça au lieu de manger vos poisons là.
Ils se tournèrent vers l'ours. Maintenant que vous avez à manger, on reprend notre meilleur ami ! Dit Duncan en osant le retirer des mains du gros pour mettre le furet inquiet sur son épaule.
Maintenant plus que le verdict. Et si une fois de plus ils s'avisaient à dire que c'est nul, ils allaient cramer toute la maison !
Ils jetèrent un coup d'oeil à Jezabel, voulant dire du regard "si c'est pas bon j'sais pas ce qu'ils voudront faire, préparez vous !"
A vrai dire, Maxine avait un peu de mal a suivre ce qu'il se passait. Elle c'était gentiment assise sur l'une des chaises du jardin , les narines toujours pincées,et observait la joyeuse bande de storybrookiens courir dans tous les sens. Une musaraigne passa a coté d'elle et lui proposa une coupe de champagne, qu'elle refusa poliment pour se voir offrir un jus de pomme finalement. Bien plus adapté a son age, elle n'était pas majeure aprés tout.
Jezabel faisait de la batterie, Derek et Duncan criaient sur un ours – Bobby, qui travaillait pour son père et était assez sympathique d'après elle -, quand a Alexis et Amélia, elles n'étaient pas loin, et n'avaient pas l'air très a l'aise. Pourtant leurs robes avaient l'air jolies et confortables ! Maxine baissa les yeux sur sa propre tenue et se redressa tranquillement, pour mieux regarder. Oui, ce n'était vraiment pas une tenue adapté pour un mariage. Elle relâcha son nez - parce que Antropy avait raison, ce n'était vraiment pas pratique du tout – et fit demis tour pour rentrer dans la maison, et monter les marches de l'escalier qui menait a la salle des essayages. Doucement, elle frappa a la porte et entra, avisant trois musaraignes et deux oursonnes qui prenaient le thé en discutant. Lorsqu'elle passa la tête par l'ouverture de la pote, les conversations cessèrent.
« Excusez moi je vous dérange ? Vous voulez que je revienne plus tard ? »
« Non ! Non pas du tout entre ma petite ! Qu'est ce qu'il te faut ? »
« Eh bien... mes amies sont toutes prêtes pour le mariage et comme il va bientôt avoir lieu, je me disais que je devrai peut être mettre la robe, parce qu'elle avait été faite exprés pour l'occasion ! Et je crois que si je ne la met pas maintenant, je n'aurai plus le temps après donc il faudrait que je la mette maintenant si ca ne vous embete pas trop.. »
« Mais non pas du tout ma petite ! Allez viens, monte ici et enlève tes vêtements. »
Maxine s’exécuta dans la plus grande des concentrations, son esprit concentré sur une seule chose : essayer de comprendre. Alexis ne comprenait pas, et visiblement Amelia non plus. Elle ne pouvait pas désobéir a papa, et puis ca lui faisait de la peine quand elle parlait de Storybrooke, parce que ca lui rappelait quand on l'avait enlevée a lui. Alors elle ne voulait pas lui demander encore. Il ne voulait pas les inviter, elle devait obéir même si ca la rendait triste. Elle passa la ROBE BLANCHE par dessus sa tête et laissa les oursonnes et musaraignes ajuster le tissus autour de sa poitrine et de sa taille. Tout devait être parfait.
On la fit asseoir, on la maquilla et on la coiffa avec le plus grand soin. Non loi, posé sur la commode, le nounours a dos regardait la scène de ses yeux de verre sans rien montrer de ses émotions de peluche. Lorsqu'elle fut enfin prète, elle l'attrapa, et, le tenant contre elle, descendit les marches de l'escalier pour revenir dans le jardin. Voila, la elle était prete pour le mariage, et en plus elle avait une jolie petite montre. Lorsqu'elle revint dans le jardin, une odeur agréable l'y accueillit, et elle jeta un regard vers le barbecue sur lequel chauffaient quelques pommes de terre dans du papier aluminium. Peut être qu'ils faisaient un goûté prés-mariage ? En tout cas, ca donnait faim ! Mais ce n'était pas la plus grosse de ses préocupations pour le moment.
Elle fouilla dans le nounours a dos et tira : Se faire des amis pour les nuls, qu'elle se mit a feuilleter. Elle devait trouver. Il devait bien y avoir un chapitre sur... ah voilà !
Chapitre 18 : Devenir amie avec son époux
Si vous devez vous marier dans peu de temps, voici quelques conseils que nous vous donnons afin de faire de votre futur époux, un ami. Si possible, rencontrez le avant le mariage sinon, patientez. Comme d'habitude nous vous conseillons d'adopter la technique de rencontre de « Se faire des amis pour les nuls » que vous trouverez en page 785 avec ses illustrations. Attention ! Suivez la procédure n°2, la première étant pour les parfaits inconnus.
Après vous être présenter, nous vous conseillons de parler de vos passions communes, ou d'en trouver. Un bon mariage commence par une amitié solide ! (Comprenez par la qu'elle doit être forte et non physiquement solide...). Offrez lui un cadeau ! Les cadeaux plaisent toujours et permettent a la personne ( ou la musaraigne) en face de vous d'avoir un sentiment positif envers vous !
Brusquement, Maxine se leva et se dirigea vers Amelia et Alexis.
"Dites, vous voulez bien m'aider s'il vous plait ? Je crois que j'ai un problème, j'ai pas de cadeau pour mon mari" lacha elle d'une petite voix en serrant son livre contre elle. "Enfin si, j'ai le nounours a dos et se faire des amis pour les nuls mais ce sont des cadeaux qu'on m'a fait et j n'ai pas envie de lui donner, donc je fais quoi ? Amelia, tu as déja été mariée, comment on fait après ? Dans mon livre, ils n'expliquent pas ce qu'il faut faire, juste comment devenir amie avec son marie, mais moi je voudrai bien faire comme dans les livres tu sais ? Vivre heureuse pour toujours et avoir beaucoup d'enfants, même si ils ne disent pas combien d'enfants ca fait exactement... Tu le sais toi ? Parce que tu es mariée !
Alexis E. Child
« Allez dans la Lumière. C'est au détour d'une Ombre que nous attends le Mal. »
| Avatar : Kaya Scodelario
Tu es comme tu es... mais malgré les erreurs, tu me rends parfois la vie de maman célibataire plus douce...
J’en pouvais plus… Je lâchais prise … Je savais plus vraiment si on nous voulait du mal ou pas, après tout, si on était vraiment nécessaire à un quelconque sacrifice huamin à la fin de ce mariage, pourquoi être prêt à nous éliminer à n’importe quel moment comme ils nous avaient menacé quelques secondes auparavant ? Et Maxine qui lâchait pas l’affaire de se marier au premier regard… c’était peut-être ça qui me déprimait le plus, elle était si jeune et tellement à l’ouest, elle comprenait rien de ce qui lui arrivait, j’avais envie de la secouer comme un prunier mais à quoi ça servait ? Et cette histoire de demi-déesse… Jez se plantait forcément, ne sachant pas la différence entre demi-déesse et déesse magique, c’était forcément ça… je l’espérais parce que je pense que mon cœur ne supporterait pas une nouvelle parenté…
- Euh… écoute je t’avoue que je sais pas trop… Tu ne le connais pas… lui offrir un cadeau sans le connaître n’est peut-être pas la meilleure des choses mais… Je te laisse avec Amelia, parce que je pense qu’elle en saura plus sur le sujet…
Je leur avais souris avant de m’éloigner. J’espérais que la lionne serait plus capable que moi de lui faire entendre raison mais j’avais peu d’espoir. J’espérais donc dans ce cas qu’elle puisse la conseiller au mieux pour qu’elle puisse « vivre heureuse pour toujours et avoir beaucoup d’enfants » même si pour moi elle était beaucoup trop jeune pour ça… elle était elle-même une enfant, comment voulait-elle être capable d’élever un bébé ? On était plus au Moyen Âge merde ! Je soupirais en secouant la tête de gauche à droite, perdue dans mes pensées, tout en entrant de nouveau dans la maison. Le jardin était beau, toussa toussa mais moi tout ce que je voulais, c’était rentrer chez moi. Je me refusais de voir le mariage forcée d’une gamine de 14 ans à qui on avait fait croire qu’elle était une musaraigne, ça me donnait juste envie de m’énerver, de péter un plomb mais je me sentais terriblement impuissante…
Je venais de passer devant l’arche du salon quand soudain je réagis à ce que je venais de voir du coin de l’œil et me figeait sur place. Reculant lentement, je voyais à présent très clairement le prétendu « père » de Maxine assis sur son fauteuil comme un pacha, tandis qu’un de ses ours lui faisait les ongles, un autre un massage et que le troisième jouait du violon… Ok… on était toujours en plein délire. Je me demandais même comment un ours avec de si grosses pattes pouvait jouer du violon et d’autant plus comment les deux autres parvenaient à voir ce qu’ils faisaient sans écrabouiller la musaraigne mais bon… Inspirant et expirant un grand coup, je me décidais d’entrer pour aller lui parler et tenter de comprendre ce qui se passait ou au moins de rentrer chez moi. Je « toquais » au bois de l’arche du salon pour m’annoncer et me raclais la gorge.
- Euhm… Monsieur Big ? Je suis vraiment désolée de vous déranger, c’est Alexis. Je voudrais vous parler, puis-je entrer ?
Fallait pas que j’oublie que je discutais avec un parrain de la mafia, même s’il faisait la taille de mon gros orteil. Il fit un geste désinvolte de la main et celui qui lui faisait la manucure se stoppa pour lui masser la tête tout en me regardant froidement et en ajoutant :
- Le Boss se prépare. Vous ne devez pas le déran... - Qu'elle entre. Viens... Approche... Tu es une amie à ma fille. Tu as le droit à la parole chez moi. Parle. Il n'y a pas de craintes à avoir.
Je déglutis avant de faire quelques pas dans la pièce, à bonne distante quand même du salon d’éthicienne qui se dévoilait devant moi. Pas de crainte à avoir, c’était vite dit, on avait failli crever 10 minutes plus tôt !
- Monsieur le boss… je voulais vous dire que… enfin je voulais savoir… quand est-ce que nous pourrions rentrer chez nous ? Je ne sais pas trop comment je suis arrivée ici mais ma vie est à Storybrooke, j’ai envie de rentrer chez moi et je ne sais pas comment faire… - Tu es chez toi ici. C'est ta nouvelle famille. Regarde, il y a Diego, Raphal et Bernard. - C’est Marcel, pas Bernard.
Il était sérieux là ? Il voulait vraiment faire ça ? Le big boss semblait se poser la même question.
- Il y avait Bernard...
Un autre ours venait d’agripper le fameux Bernard/Marcel qui se rendait compte de sa connerie et commençait à paniquer :
- Non mais c'est pas grave ! Marcel ça me va ! Ca me va Marcel !
Mais il avait beau crier, on le tirer en arrière et je faisais un petit signe de croix comme j’en avais vu dans les films de mafieux tandis que voyais Bernard/Marcel disparaître de mon champ de vision pour sans doute la dernière fois. Et après ça fallait pas avoir de crainte hein ?
- Penche-toi, tu es trop grande. Tiens, viens là. Qu'on lui mette un coussin.
Je regardais le coussin en me demandant si je devais me mettre à genoux et me pencher vers monsieur Big ou si je devais m’asseoir dessus. La première position me paraissant gênante et trop étrange, je m’empressais donc de me mettre plutôt assise dessus en le regardant à haute plus ou moins égale.
- Chez moi ici ? Mais c’est pas chez moi ici ! Il faut que je rentre, je vous jure, même… même si je vous aime beaucoup hein, et j’aime beaucoup votre fille et Raphal, Diego et Marcel enfin Bernard enfin… le mec qui existe plus ! Mais c’est juste que… je sais pas, je me sens pas à l’aise, je suis pas tout à fait moi… Dans mon monde, je suis un super tazer vous savez ? Je ferais une super équipe avec vos ours hein… sauf que voilà, depuis que je suis ici, mes pouvoirs ne marchent plus… Vous savez pourquoi ? - Ça doit venir de la connexion. - De la… connexion ??
Il avait eu un petit signe de la main et celui qui s’appelait Diego s’était approché de moi. Il tira un coup brusque sur le bustier de ma robe et j’étouffais un petit cri tandis qu’il me foutait sa patte à l’intérieur de la robe, descendant jusqu’au bas de mon dos à la recherche de je sais pas quoi. En attendant il avait mis sa gueule près de mon oreille pour me chuchoter :
- Je vous adore, je suis un grand fan de vos prouesses… - Hé hohohoho doucement-là, pas touche !
Je m’étais tortillée jusqu’à me dégager de son entreprise, j’allais pas me faire tripoter par un ours, fallait pas déconner ! Et c’était à moi qu’il parlait là ? Comment ça il m’adorait ? C’était pas une raison pour me toucher ! Et quelles prouesses ? Mes pouvoirs ?! L’ours se mordit les babines en regardant son boss qui repris la parole pour me « rassurer » :
- Il veut juste vérifier que tout est en ordre. On a déjà eu des soucis de dysfonctionnement par le passé. Mais tout va bien, il va trouver la solution.
Sans crier gare, l’ours remplongea sa patte dans ma robe et trifouilla jusqu’à ce qu’on attende un petit… « clic ». C’était quoi ce bordel ?! J’avais un interrupteur dans le dos ?! J’AVAIS UN INTERRUPTEUR DANS LE DOS ?! Des petites étincelles apparurent autour de mes doigts comme la première fois que mon pouvoir s’était activé et soudain les lampes de la maisons baissèrent intensité avant de se rallumer à pleine puissance comme si j’avais pompé un peu d’énergie. Dans la pièce, la télé, la radio, tout ce qui était électrique s’activa brusquement et je me mordis les lèvres pour éviter d’hurler. Mais quelque chose attira mon attention, un truc qui me donnait encore plus envie d’hurler tandis que je le regardais. C’était la chaîne d’info sur la télé qui montrait le mariage filmé du ciel. On voyait très bien les gens, les meubles dans le jardin. L’image se réduisit en petit encart en haut à droite tandis qu’une moule un peu étrange, avec juste une de ses coquille qui lui faisait comme un dossier de chaise, vêtue d’une robe rose fuschia avec beaucoup trop de maquillage sur la tronche se mit à parler :
- Nous sommes en direct comme chaque jour depuis maintenant près d'un mois. Et encore une fois, monsieur Big nous réserve de très nombreuses surprises. Ah on me dit que... attendez…
Mais la radio coupa le son de la moule et poursuivit à sa place :
- Oui, c'est évident, c'est l'émission la plus regardé de tout Zootopie. Ce qui captive avant tout les téléspectateurs c'est le nombre incroyable de... on me prévient que, je vous demande quelques instants.
A cet instant, monsieur Big ouvrit tout grand tout grand ses yeux pour la première fois. L’ours paniqua et je sentis sa patte se diriger de nouveau vers mon dos et un « clic » se refit entendre. Tout était fini. La télé se coupa, la radio aussi et possiblement mon pouvoir aussi… Les trois ours se regardèrent et Monsieur Big avaient de nouveau plissés ses yeux avant de reprendre la parole comme si de rien n’était :
- Pourquoi n'es tu pas avec Maxine ? Ma fille a besoin de ses amis en ce grand moment.
Les ours se regardèrent une nouvelle fois, ignorant si eux aussi devaient faire comme si de rien était. Pour ma part je me demandais si j’arrivais juste à faire semblant. J’avais l’impression que de l’électricité parcourait tout mon corps, mes jambes flageolait et je mis un certain temps à réussir à me remettre debout. J’étais choquée, beaucoup trop choqué pour parler, j’allais vomir. Les ours savaient quelques choses… j’avais l’impression que la musaraigne était juste juste marionnette… c’était possible ? Essayant de reprendre contenance, je tentais de sourire :
- O… Oui vous avez… raison. Je … je… je je je… Je vais retourner avec Maxine. Mais avant j’ai besoin qu’on réajuste ma robe… j’ai besoin de vous Diego…
J’avais chopé la patte de l’ours et je l’avais entraîné avec moi vers le couloir. Arrivé dans le hall je lui sortais à toute blinde :
- C’était quoi ça ? Je suis quoi moi ? Vous nous avez fait quoi ? On est dans une émission en fait ? Et… Je suis un DROÏDE ?! - Un droïde… comme dans Star Wars ? - Vous connaissez… mais c’est pas VRAI !! Enlevez moi ma robe, allez !!! HOP HOP HOP on enlève et on me passe un miroir, je veux voir ce que j’ai dans le dos !!
Un peu décontenancé, l’ours m’avait aidé mais il n’y avait pas de miroir à vue pour m’observer… mais… c’était un cauchemar… un cauchemar que j’avais l’impression d’avoir déjà plus ou moins vécu… avec mon père… Mon père biologie…
- On est pas vraiment là, pas vrai ? On est attaché à des tables d’opérations avec des fils de partout et nos corps là…c’est comme des espèces de robots avatars, c’est ça ?
Vu la tête du nounours j’allais pas en savoir plus… mais autre chose me revenait en tête…
- Le sale… le… salaud putain de merde de bordel de chiasse ! Il sait tout !!! Je vais l’écrabouiller !!!
J’avais cru qu’Antropy était un taré d’illuminé qui pensait vivre une vie à la Truman Show mais en fait non… quand il me parlait de producteur, il savait vraiment ! Comme une furie et sans prendre garde à me rhabiller, je me dirigeais en courant vers le jardin.
- TOI LA !!!
J’avais pointé Antropy du doigt en lui courant dessus. Je m’étais élancé sur lui et on avait roulé dans l’herbe, moi en sous-vêtements au-dessus de lui.
- Tu sais tout depuis le début pas vrai ?! Tu sais qu’on est pas vraiment là ? Tu sais que c’est une émissions ! Comment on rentre chez nous ?! Comment on sort de là ? Comment on se réveille ? PARLEEEUUUUUUUUH !!!
Je l’avais attrapé par le col de sa chemise et je m’étais mise à le secouer, folle de rage.
Antropy Tiger
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Ed Sheerαn.
We at a party we don't wanna be at.
Tryna talk, but we can't hear ourselves.
Read your lips, I'd rather kiss 'em right back...
YOU KNOW WHAT ?
It's kinda crazy 'cause I really don't mind
And you make it better like that
| Conte : Winnie l'ourson. | Dans le monde des contes, je suis : : Tigrou.
En général, les gens qui commençaient à m’interpeller de cette manière… Ne m’aimaient pas beaucoup. Ca soulignait assez rapidement des ennuis les rares fois où ça arrivait et je préférais quand même les éviter le plus possible. J’avais déjà failli finir dans un plat en sauce ou intoxiqué à la fumée de cigare, mon stock de vies était radicalement limité pour le coup et je n’avais pas encore repéré de points de sauvegarde… Alors on allait faire attention à ce qui risquait de m’arriver. Rapidement, je reposai le petit four que j’avais piqué sur le buffet en espérant que personne ne me gronderait pour cet acte manqué. Mais au lieu de voir débarquer un serveur mécontent, ce fut une licorne en furie qui se précipita vers moi !
« Oh Alex… IAAAAHHHHH !!! »
Le retour au sol fut assez brutal, tourne-roulant dans l’herbe sous l’élan avec lequel elle m’avait sauté dessus, je me retrouvai plaqué sur le dos avec une fille à moitié nue sur moi. N’importe quel type lambda aurait peut-être apprécié la chose mais je me contentai de la fixer avec des yeux ronds de surprise. Qu’est-ce que j’avais fait ? C’était pas moi j’étais au cinéma ! La preuve ! Enfin, je levai les paumes devant moi en signe d’innocence, attendant de plus amples explications sur un tel comportement sauvage. Si elle était intéressée s’était raté, je préférai les personnes avec moins de seins et plus de muscles… Et les cheveux un peu moins longs aussi, même si ça donnait un look de rockeur.
« Tu sais tout depuis le début pas vrai ?! Tu sais qu’on n’est pas vraiment là ? Tu sais que c’est une émission ! » Elle venait d’attraper le col de ma chemise. Je le sentais mal. Très mal. « Comment on rentre chez nous ?! Comment on sort de là ? Comment on se réveille ? PARLEEEUUUUUUUUH !!! »
Alors, message à tous les gens furieux qui espèrent obtenir des révélations de cette manière… Quand vous secouer votre interlocuteur, ça empêche de parler ! Si, clairement, j’étais en train d’en faire les frais ! Et ça faisait mal à la nuque en plus ! Je posai mes mains sur ses poignets pour la faire arrêter, interdit. Attendez, une question à la fois et pas tous en même temps… Une émission ? Genre, elle percutait enfin ? Est-ce qu’il existait sur cette planète quelqu’un qui avait la même impression que moi ?! Nooooon ?
« Ah, toi aussi tu l’as remarqué ?! » Demandai-je, un sourire aux lèvres et ce n’était pas uniquement du au fait que je la voyais clairement plus net qu’il y a quelques instants. « Genre, vraiment remarqué ? Tu te moques pas de moi ?! »
Si elle disait non, c’était une première internationale… Pour une fois les scénaristes auraient-ils prévus un rebondissement inattendu ? Ca m’en avait tout l’air !
« Ah ben ça oui je l'ai remarqué je suis un droïde avec un bouton dans le dos et on nous film à l'instant même !! T'aurais pas pu être plus explicite ?! Comment tu le savais ?! »
En même temps… Difficile d’être plus explicite ! Je l’avais quand même fait remarquer plusieurs fois mais les gens avaient cette sale manie de ne jamais m’écouter… Je ne pouvais pas les blâmer, j’avais pris l’habitude. Mais quand même, là pour le coup, je l’aimais de plus en plus ma camarade licorne ! Peut-être que j’avais enfin rencontré quelqu’un perché sur la même fréquence ? Ca serait cool, on pourrait espionner les productions d’à côté pour voir si toute la poisse était concentrée à Storybrooke ou si on pouvait trouver pire que notre ville.
« Un droïde ? Un vrai de vrai ? Oh mein got, mais c’est génial !! » Elle pouvait peut-être parler dix-huit langue et faire le café en même temps que les courses ? Ou alors elle réparait les vaisseaux intergalactiques ? « Trop cool, tu trouves pas ? Et donc… On est filmés là ? T’es sûre ? » Autant la tester pour vérifier qu’elle ne me faisait pas marcher… Difficile en étant plaqué au sol mais savait-on jamais. « Toi aussi tu les a vues, les caméras ? »
J’’avais baissé la voix, sur le ton de la confidence. Mais Alexis me fixa, entre hésitante et atterrée.
« En fait non... Toi non plus t'es au courant de rien... Elles sont où les caméras pour toi ? »
J’haussai un sourcil. Attendez, elle me prenait pour qui ? Je ne mentais jamais et n’affirmais pas sans savoir ! On pouvait me traiter de bien des choses mais sûrement pas de menteur et encore moins d’ignares. J’en savais, des choses ! J’avais lu pleins de livres et d’encyclopédies… Carlisle disait que j’adorais retenir des choses particulièrement inutiles. La vérité était que je ne savais juste pas forcément faire les liens mais que je savais ce que je savais ! Vous êtes perdus ? Ça tombe bien j’ai déjà oublié de quoi on parlait. (Vous voulez des petits-fours ?) Ah oui, de mensonge ! Ce n’est donc pas bien de mentir et j’étais particulièrement incapable de le faire en restant sérieux.
Je fronçai donc le regard en direction d’Alexis.
« Je suis au courant de pleins de trucs, comme la boutique vide où on a pris nos déguisements pour nous fondre dans la masse, ça t’as pas paru bizarre qu’elle soit là alors… Que les gens sont des animaux ? Donc ils n’ont pas besoin de se déguiser, t’as déjà vu un éléphant se faire passer pour une gazelle ? A moins d’un sacré régime ça n’aurait pas été possible. Ensuite les nounours, ils sont fans de Barry White ! Qui connaît Barry White sur la banquise ? Je veux bien qu’il porte du blanc mais ça reste un black. Ils conduisent des voitures allemandes. ALLEMANDES ! Bon le logo est flouté pour ne pas sponsoriser une marque plutôt qu’une autre et les plaques sont des fausses… Leurs téléphones ont des touches inversées et le logo est une poire. Une POIRE ! » Je désignai un iphone posé sur l’une des tables un peu plus loin. « C’est une honte pour les pommes, de mettre des poires à la place. Le jour et la nuit qui se lèvent d’un coup, ça t’as pas mis la puce à l’oreille ? Genre on contrôle le temps ici, tout va bien ! Les éclairs c’étaient un furet qui les allumaient derrière la maison quand on est arrivés. Y’a des câbles sous les tapis, j’ai failli m’en prendre un. J’ai ouvert un porte et y’avait un mur blanc derrière. La cuisine était en effervescence mais la cuillère qui reposait dans une casserole… Etait propre. Tu sais, celle à laquelle je me suis accrochée. » Plus je parlai, plus Alexis arrêtait de me serrer la chemise et se redressai, avec moi. « On nous parle d’horaire depuis tout à l’heure. Les gens se trompent dans leur texte et les autres les reprennent, ils prennent des grains de maïs pour de l’argent, l’arme qu’on m’a jeté était trop légère pour être une vraie et elle flottait dans la sauce au lieu de couler comme du métal. La musaraigne là-bas est une souris avec un faux nez – désolé madame ! – et l’autre à côté porte un micro sous sa robe… Sérieusement, qui croirait à un décolletté naturel ? Ca ressemble à des oranges ! Ah c’est des vrais ? Autant pour moi. » La musaraigne s’offusqua en tournant la tête. « On a croisé vingt-deux caméras depuis qu'on est arrivé ici, tu vois les petits trucs noirs avec une lumière rouges ? Bah s'en est ! Et plus important… Y’a le perchiste pour le son juste là. »
Je désignai le gnou en tee-shirt et bermuda qui tenait la perche à bout de pattes au niveau du toit. Quand il remarqua qu’il était dans le champ, il se dépêcha de disparaître à l’ombre de la maison et je ne le vis plus. Je parvins à me redresser face à Alexis, qui semblait clairement hésiter entre me fracasser le crâne ou bien me croire… Aller, un petit effort, l’un devait bien être plus facile que l’autre quand même !
« Mais POURQUOI t’as rien dit ?! » Me gronda la licorne. (peut-être qu'elle ne savait faire que ça ?)
« Bah… Parce que personne ne m’a demandé si on était dans une émission avant toi ! » C’était évident, non ? « C’est pas ta faute, ça arrive à tout le monde de ne pas m’écouter. »
Je lui tapotai gentiment l’épaule pour la rassurer. Qu’elle ne culpabilise pas, elle ne pouvait pas avoir que sa vie n’était qu’un scénario imaginé par des esprits tordus et voué à lui faire passer d’épisodes en épisodes les pires crasses ou les plus grandes joies. Ou l’inverse, je ne savais plus. En tout cas, une fois qu’on percutait ce qu’il se passait c’était assez facile à vivre ! Le destin n’existait pas, juste les mauvais scénaristes. Au pire on écrivait une lettre à la production et ça changeait parfois un détail ou deux. Je n’avais jamais essayé, il faudrait que je teste la prochaine fois.
Ah, et je n’oubliai pas sa question la plus importante !
« La logique voudrait qu’on finisse le film. Donc qu’on marie Maxine à son amoureux pour que l’épisode se termine et qu’on puisse profiter du générique pour s’enfuir ! »
J’attendis son approbation, détachant ma veste de costume au passage pour la lui tendre. Moi je m’en foutais qu’elle soit en sous-vêtements mais ce n’était peut-être pas le cas de tout le monde ici… Quoique, entre animaux, ils ne devaient pas s’intéresser à l’anatomie humaine. Sérieusement, qui s’intéressait à l’allure d’une mangouste ou d’un coléoptère quand on en voyait ? Personne ? Alors ça devait bien être pareil dans l’autre sens. Est-ce que j’allais demander à un éléphant de mettre une culotte car on voyait son derrière dans un zoo ? Non, chacun ses habitudes. Et nous, Storybrookiens, on portait un minimum de vêtements pour la décence humaine. Il n’y avait que dans le club de mon patron que ça semblait normal de se déshabiller sur scène…
Un petit sourire en direction de la licorne, jusqu’à ce que nous nous retrouvions plongé dans l’obscurité de la nuit… Un clignement d’yeux et de nouveau le jour et le grand soleil ! Tiens ? Je levai la tête vers le ciel quand la nuit revint à nouveau. Puis le jour. Nuit. Jour. Tournant la tête sur le côté, nous découvrîmes une sorte d’ours en train de tapoter sur une télécommande pour tenter d’arranger ça. Le bouton ne fonctionnait pas, ou alors il avait oublié de mettre des piles dedans ? Ca arrivait tout le temps. Et forcément c’était quand on en avait le plus besoin qu’on ne les trouvait jamais !
Un autre nounours tapota soudain sur nos deux épaules puis se pencha vers nous, chuchotant :
« Pour la scène de la chambre, se sera après la cérémonie… Enfin, si l’audience est au rendez-vous. »
La quoi ? Je jetai un regard à Alexis. Est-ce qu’il était en train de parler de… On était dans quel genre de série exactement ? Le rating devait pas être des masses respectées s’ils faisaient ça ! Et puis, on était le matin, aucune chance que les enfants soient couchés à cette heure ! Il y eu un silence, comme si j’essayai de communiquer par la pensée avec la licorne, avant que nous ne secouions tous les deux la tête de droite à gauche.
« Non. » « Non merci. »
Je n’avais pas signé de contrat stipulant de me retrouver dans une chambre avec une fille à moitié nue ! Alexis était mignonne, c’était sûr mais… Non merci. Une musaraigne aux épais sourcils apparus dans les mains d’un gros, très gros ours, et fronça encore plus le regard en nous voyant.
« Calmez le gringalet qu'on puisse marier ma fille ! »
Pardon ? Alors primo, je n'étais pas un gringalet ! J'étais de taille moyenne et parfaitement normal ! Et deuxio, je n’étais pas le responsable des idées tordues !
« J’ai rien fais, c’est pas moi ! » M’exclamai-je en me décalant d’un pas derrière Alexis, posant mes mains sur mes épaules pour qu’elle ne s’enfuit pas trop vite. Je n’avais plus de cuillère, donc rien pour nous défendre ! « Ce n’est pas ma faute si vous avez des accessoiristes pas très doués et que le perchiste est toujours dans le plan ! »
Deux gros nounours s’approchèrent de nous, l’un par devant et l’autre contournant ma barrière maigrichonne pour se planter dans mon dos. Pourquoi est-ce que la nature nous avait fait si petits ? Et ces trucs-là, ils ne se déplaçaient pas à quatre pattes d’habitude ?! Ils étaient vachement moins impressionnants sous forme de peluche en plus… Je les préférais largement.
« Ce sont les meilleurs qu'on a prit ! C’est vous qui ne jouez pas le jeu a fond. » « En même temps, vous l’auriez annoncé dès le départ avec le descriptif de ce qu’on devait faire, on aurait joué notre meilleur profil ! »
Je saisis la tête d’Alexis pour la tourner de profil et lui montrer à quel point elle était jolie de ce côté là ! Et puis, je n’étais pas acteur perso… J’avais certes l’habitude de suivre les lignes de texte invisibles de mon existence, mais de là à jouer dans une superproduction aussi évidente ; il y avait un sacré fossé. Je lâchai ma camarade pour lui rendre sa liberté, levant mes poings devant moi au cas où ils voudraient se battre. J’avais fais du judo quand j’étais petit, si c’était comme le vélo je devais pouvoir me rappeler comment… Rouler un tapis. Et nouer une ceinture. C’était toujours ça de pris !
« Ca suffit. » Interrompit finalement la musaraigne en se massant les tempes. « Je veux du calme pour le mariage de Maxine. Regardez, vous la faites pleurer... »
Il désigna la jeune fille en robe de mariée qui venait d’apparaître à l’extérieur, coiffée et apprêtée comme une princesse ! Je sentis un petit pincement au cœur me prendre en la voyant, reniflant d’émotions. Et je n’étais que son ami ! Mais c’était fou ce qu’une robe à froufrous vous changeait une fille… J’ignorai que Maxine pouvait se maquiller. C’était pas elle qui l’avait fait, c’est sûr, elle était trop simple et honnête pour ça. Mais ça lui allait bien, promis ! En tout cas, elle ne pleurait pas. Absolument pas.
Forcément, il fallait être triste pour pleurer. N’importe qui le savait.
« Extériorise tes sentiments ma princesse, n’ait pas honte de pleurer. Diego, montre lui. »
Le dénommé Diego eu un sursaut, ouvrant la bouche et écarquillant les yeux sous la demande soudaine. Tournant sa grosse tête de droite à gauche, je devinai clairement qu’il était en panique totale. Ah oui, pleurer sur commande ça ne se maîtrisait pas aussi facilement ! Il venait de rater son audition, son heure de gloire et peut-être la mimique qui aurait changé toute sa carrière ! Dommage. Next ?
« Toi, vas-y. » Ordonna alors la musaraigne à sourcils en me désignant. « Vas-y mon ami, montre-lui. »
Moi ? Je ne savais pas faire non plus. J’étais musicien, pas acteur ou dramaturge. Ou je ne savais pas comment ça s’appelait.
« Maxine ? » Autant aller directement à la source de l’exemple. « Pleure, s’il te plait, pour faire plaisir à… »
Je désignai la bestiole à sourcils et Maxine hocha la tête en captant que je m’adressai à elle.
« Oh, d’accord ! »
Toujours aussi serviable cette petite. J’espérai juste que le maquillage était waterproof, sinon, bonjour les photos !
Pour pleurer, il fallait être triste, tout le monde savait ca. Même si des fois, ca arrivait quand on était heureux. Mais elle ne se sentait pas assez heureuse en ce moments pour pouvoir pleurer de joie. Il y avait toujours ce bobo dans son cœur, cette douleur qui ne partait pas, comme si on lui avait enlevé quelque chose. Ca faisait mal, pourtant le médecin de famille l'avait examinée et n'avait rien trouvé de suspect au niveau de son cœur... C'était étrange, mais elle espérait que ca guérirait.
Maxine inspira profondément pour remplir ses poumons, et se mit a penser a des choses tristes. Des choses vraiment tristes, comme les chatons abandonnés, et puis sa maison qui lui manquait, et puis Terrence et Tempérence, et Zach.... Lentement, les larmes lui montèrent aux yeux et se mirent a dévaler le longs de ses joues a grosses gouttes, alors que ses épaules se mettaient a tressauter sous ses hoquets.
« uuuuuuuuh … waaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhaaaaahaaaaaaaa..... je veux rentrer a la maisooooooooooooooooooooooooooooooooooooooon... »
Cris du cœur s'il en était un. Elle garda soigneusement les bras le long du corps, pour ne pas essuyer ses yeux afin de ne pas effacer son maquillage. Pour la première fois depuis des mois, elle se laissait aller.
" Tu es chez toi Maxine. » entendit elle avant que Mr Big ne se tourne vers les invités.
Oui elle était chez elle ici, c'était sa famille. Pourtant, elle ne se sentait pas comme dans sa famille. Elle voulait retrouver Terrence et Tempérence, et Zach et sa maison, sa chambre, la chaleur rassurante de leurs bras et les paroles douces qu'on lui disait avant qu'elle ne s'endorme. Elle voulait refaire des tresses a Terrence, faire un spectacle de danse pour sa maman, travailler a l'école... toutes ces petites choses dont elle avait été privée pendant six mois lui manquaient bien plus cruellement que ce qu'elle pensait. Elle se replia sur elle même et s’accroupit en essayant d'essuyer ses joues, sans parvenir a se calmer.
« Regardez, vous l'avez fait pleurer ! Vous êtes méchant." reprit il a l'intention d'Antropy.
''Oooooh" fit la foule, choquée en jetant un regard presque peiné a Antropy, ayant une parfaite conscience du destin qui l'attendait.
Maxine releva des yeux embués de larmes vers son père, avant d'essayer de parler entre deux hoquets.
"Mais non, Antropy.... Antropy il est gentil, c'est mon ami ! Tu sais, … tu sais il était Tigrou avant, et Tigrou c'est un gentil dans le dessin animé, et puis il me laisse toujours parler sans me dire de me taire ou sans m'interrompre, et puis un jour, un jour il a partagé une glace avec moi parce qu'il faisait chaud, et on a joué a Pokémon ensemble !" dit elle avant d'a nouveau s'essuyer les joues jusqu'à ce qu'un ours ne lui tende un mouchoir avec un air désolé. Maxine l'attrapa et s’essuya les yeux avant de se moucher bruyamment et de reprendre d'une voix tremblante mais tout de même plus calme :
"Lui il est allé dans la pokéball et moi j'ai essayé de le suivre mais ca n'a pas marché.... Mais c'est un gentil tu sais ? Et il n'a pas de carte de membre du club des méchants. Parce que tous les méchants en ont une je crois ! Ca dit qu'ils sont méchants ! Mais tu sais, il y a des méchants qui sont gentils ! Evanora par exemple c'est une méchante parce que c'est Cruella mais elle est gentille, on fait du découpage et du collage ensemble pour faire des lettre de rançons ! Donc même les méchants peuvent être gentils, et Antropy c'est un gentil gentil lui ! "
Elle lui avait demandé ! Mr Big la fixa pendant quelques secondes, la bouche légèrement entre ouverte, essayant sans succcés de suivre le raisonnement de a jeune fille. Rapidement, il se mit a se masser les tempes, un geste qu'il avait souvent en sa présence, avant qu'un ours ne s'approche de lui.
"On fait quoi du tigre ?"
"Laissez moi deux minutes, je réfléchis."
Il y eut un silence. Un long silence pendant lequel on entendit pas une mouche – en costume bien évidemment – voler. Visiblement les invités étaient très respectueux pour laisser les gens réfléchir dans le plus grand silence.
"Ca y est, j'ai réfléchis." Il y eut comme une tension dans l'aire, comme si tout le monde retenait son souffle en même temps. Le Boss s'approcha de Maxine, toujours accroupie et lui tendit ses petites mains qu'elle attrapa délicatement, avant qu'il ne lève ses sourcils broussailleux vers elle.
"Ecoute Maxine. Aujourd'hui c'est un jour important pour toi. On ne sacrifiera pas tes amis. Il y a encore demain pour ça. On va te marier immédiatement pour ne pas perdre de temps, et ne pas faire chuter l'audience. Si il n'y a pas de morts, ça plombe l'ambiance. Du coup le mariage va remettre un pic d'audience."
La jeune fille hocha attentivement la tête, totalement concentrée sur ses paroles. Oui, elle comprenait. L’audience, c'était important.
"Mais je ne veux pas qu'on sacrifie mes amis demain moi ! Ca fait mal les sacrifices, et puis c'est triste parce que en général, les gens ils meurent.... et moi je ne veux pas qu'ils meurent ! Apres leurs familles et leurs amis seront tristes et beaucoup de gens seront malheureux a cause de ca donc il ne faut pas les sacrifier !"
La musaraigne l'entraina a sa suite pour se diriger vers l'autel aménagé un peu plus loin. Ca voulait dire qu'il voulait bien ne pas faire de sacrifice ? Chouette ! Autour des Storybrookiens, les animaux se jetaient des regards visiblement perdus, sans trop savoir que faire. Tuer Antropy ? Le laisser vivre ? Ou l'amener au cuistot. Devaient ils vérifier cette histoire de carte ?
"Vous attendez quoi pour lancer la musique ?"
Et le monde se remit a tourner. L'orchestre se mit en route et les invités se précipitèrent vers les places qui leurs étaient attribuées.
"MONSIEUR BIG C'EST INADMISSIBLE !" hurla une femme en arrivant. "POURQUOI ON NE M'A PAS INVITER ?"
A coté de Maxine, Mr Big leva ses sourcils et elle sentit la petite pression de sa patte sur sa main se faire un tout petit peu plus forte. Puis il se retourna ave un sourire carnassier, forcé.
"Gazelle ! Quelle joie de te voir ici... L'invitation a dû se perdre. Diego ? Pourquoi tu as perdu l'invitation ?"
"Mais boss, vous avez dit de ne pas..."
"Oui, exactement ! J'ai dit de ne pas OUBLIER de l'inviter. Maxine, tu étais là, tu t'en souviens, n'est ce pas ?" fit il en se tournant vers elle pour qu'elle confirme alors que la dite Gazelle n'avait pas l'air contente du tout.
"Oui je m'en souviens très bien !" Aprés tout elle avait une bonne mémoire. "Diego t'avais demandé si on l'invitait, parce que tu sais il aime beaucoup sa musique et je crois qu'il aimerait bien faire une photo avec elle, il a même l’application de la danse sur son portable tu sais ? Et toi, tu as dis exactement : "Non, pas Gazelle. Je ne veux pas voir une saltimbanque son genre sur ma propri... au mariage de ma fille", voilà ! »
Elle se tourna vers Gazelle et lui tendit la main avec un sourire.
"Bonjour ! Je m'appelle Maxine Big ! Tu veux être mon amie ? Tu sais, j'aime beaucoup ta musque tu sais ? Même si je ne la comprends pas tres bien.. est ce que tu chante cette chanson a chaque fois que tu tombes ? Tu dois avoir un problème d'équilibre dans ce cas je pense... il faudrait peut être voir un médecin. Tu veux aller voir le médecin ? On en a un très bien ici si tu veux !"
Gazelle lanca un regard meurtrier au Boss qui émit un couinement apeuré, avant de se tourner vers Maxine.
"Salut Max !" Elle fouilla dans son sac et en sortit un stylot avant de lui faire une dédicace sur la main. Maxine la regarda, perdue. Ca, ce n'était pas habituel. Pourquoi lui avait elle écrit sur la main c n'était pas ce qui était dans le livre ! Est ce qu'elle aussi devait lui écrire un mot sur la main ? Gazelle ne lui en laissa pas le temps, se tournant instantanément vers Mr Big pour le menacer en le pointant du sabot.
"Ca ne va pas se passer comme ça ! Soit je chante au mariage, soit il n'y a pas de mariage !"
"Ok."
Il y eut un silence. Visiblement, Gazelle était tout aussi choquée que les autres qu'il ait accepté aussi vite.
"Je suis contente qu'on ait pu en parler... Bon, Max ? Elle est où ?"
« Je suis la ! » s'écria la jeune fille en levant la main en l'air.
"Et il est où le mari ?"
On regarda autour de soit, aucuns marie en vue.
"Je ne sais pas, c'est papa qui 'la choisit, je ne sais pas a quoi il ressemble... Papa tu as une photos de lui ? Comme ca on pourrait le chercher parmis les invités ! Peut être qu'il est timide et qu'il n'ose pas sortir... ou peut être qu'il joue a cache cache ? ou alors, ce sera comme dans les dessins animés ou les films, ou il c'est fait kidnappé par des méchants et il va arriver a la derniere minute ?"
Mr Big jeta un regard a Diego, qui haussa les épaules. Visiblement il ne savait pas ou il se trouvait lui non plus.
"C'est pas grave ma princesse, ne t'inquiète pas, on va tout de même te marier." fit il avant de claquer des doigts.
"Oh.... d'accord."
Immédiatement, deux ours prirent Amélia par les épaules.
"Non, pas elle. Il lui faut un homme, un vrai." Il reclaqua des doigts et les nounours sur pattes attrapèrent Derek et Duncan, les soulevant du sol comme si ils ne pesaient rien. Le boss les regarda tour a tour, hésitant sur lequel choisir avant de jeter un regard a Maxine. "Tu as une préférence pour lequel ? Je vois double avec eux."
Maxine hésita, penchant la tête sur le coté en reflechissant, un vieux tic.
"Je ne sais pas, je ne crois pas qu'ils soient très d'accord pour qu'on se marie...Mais je les aime bien tous les deux ! Ils sont mes amis aussi ! Et puis ils font des spectacle. Moi tu sais je ne connais pas les choses du mariage; mais Amelia elle connaît, tu sais elle est mariée, et elle a même des enfants ! Alors elle doit mieux savoir que moi, elle pourrait choisir peut être ?"
La musaraigne haussa un sourcil avant de hocher la tête.