« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Depuis un moment, Mary Margaret était forte pour se faire de nombreux ennemis. La preuve, déjà la dénommée Caroline venait de la rembarrer méchamment. La princesse ouvrit alors la bouche puis la referma, vexée.
- Ce qui change, c'est simplement l'unité du groupe et le fait qu'on rentre tous sains et saufs...
Mais si elle voulait être le boulet du groupe, Mary Margaret lui laissait volontiers la place. Et puis de toute manière, il n'était pas temps de se battre puisque tout le monde était arrivé au château des parents de la sorcière.
La deuxième à ne pas rentrer dans l'estime de Mary Margaret fut Aloysia, qui parla de tuer l'enfant. Même pas en rêve elle toucherait à sa petite soeur. La brune se mit donc devant Regina, avant de dire, menaçante :
- La première qui ose toucher à ma demi soeur, je le carbonise !
Bon, en tout cas, comme les filles semblaient s'activer en bas, Snow se mit à monter pour dénicher des pages du livre dans la chambre de Regina. Elle redescendit donc, les pages en main, avant de voir que Regina n'allait pas bien.
- J'ai envie de rentrer à la maison, Regina. Ce n'est pas en ne bougeant pas qu'on va retrouver ces pages, non ?
Et puis si sa belle-mère voulait l'engueler, qu'elle le fasse après tout. Mais au lieu de cela, tout le groupe retourna à l'étage, devant une porte censée être dangereuse. Et c'est la troisième personne qui descendit dans l'estime de la brune qui menaça Regina. Maléfique, hein ?
La princesse se mit en travers des deux, levant les pouces, avant de dire :
- Temps morts les deux sorcières ! On n'est pas là pour tester qui est plus puissant que les autres. Surtout que certains d'entre nous ici présents n'ont aucun pouvoirs magiques. Et on va éviter de s'entre tuer parce que je pense que tout le monde a envie de rentrer, non ?
Regina lui lança alors un regard noir et Snow haussa les épaules. Bon, en tout cas, il y 'avait vraiment une véritable puissance magique puisque Ruby semblait quelque peu apeurée. L'institutrice laissa donc les sorcières entre elles, avant d'aller poser sa main sur l'épaule de sa meilleure amie, histoire de la rassurée un peu. Au moins, elle, elle ne descendait pas dans son estime...
Bon, en tout cas, Regina avait finit par réussir à ouvrir la porte, comprenant qu'elle pouvait le faire puisqu'elle était la fille de Cora. Et les femmes se retrouvèrent donc devant un trou noir, qui sentait le pain d'épices...
- Hansel et Gretel... Désolée, j'ai lu ça dans le livre d'Henry.
Bon, en tout cas, puisqu'il fallait trouver la couverture du livre, autant se dépêcher, non ? Et puis, elles ne risquaient rien à passer par ce trou noir, non ?
- Qui m'aime me suive !
Autant dire donc qu'Aloysia, Caroline et Absynthe n'allient pas la suivre. Alors qu'elle s'aventurait dans le fond noir, elle sentit quelqu'un la pousser et le fond se referma alors derrière les deux protagonistes. Merde...
- Regina, vous m'écrasez !
Ouais, elle préférait largement quand c'était elle qui tombait sur les autres, mais passons. Elle poussa donc sa belle-mère sur le côté, se relevant en époussetant ses vêtements, avant de constater qu'elles n'étaient plus dans le château de Regina, mais dans un chaumière en pain d'épices...
- Les autres sont restées là-bas ?
Bon, elle espérait au moins que Ruby, membre de la garde royale allait tout de même les mener... Quand à elle, elle se tourna pour faire face au four de la méchante sorcière qui mangeait les enfants.
- Maison en pain d'épices, sucreries... Bienvenue chez l'une de mes charmantes ennemies... - Vous savez quoi ? Ça ne m'étonne même plus que vous ayez tant d'ennemies, Regina...
La brune posa donc sa main sur la porte du four, amusée. Cora avait laissé des pages du livre, si ça se trouvait. La brune commença donc à tirer la porte vers elle, avant d'entendre une Regina, paniquée :
- Non Mary Margaret, ne touchez pas à...
La princesse se stoppa alors dans son geste, se retournant vers Regina. Sérieusement, qu'avait-elle ?
Je n'ai jamais cru en l'être humain. J'ai toujours cherché à le détruire. Puis j'en suis devenue un. Cependant, cette haine est toujours présente en moi. Puis-je pour autant m'auto-détruire ?
Mission : Le livre maudit
Absynthe ♦ co
Regina ne se rendait pas compte que malgré sa puissance, se mettre une vilaine à dos n'était pas une bonne idée, surtout au vue de son état et de la situation. Elle ne devait pas oublier que finalement, dans le groupe, elle avait quelques personnes contre elle, surtout deux. Bon, concernant Gothel, elle allait devoir gérer l'ingérable, c'est à dire cette partie d'elle qui se disait bonne et honnête ... La situation n'était pas des plus évidentes, mais il était hors de question que je devienne un de ces héros qui me faisait gerber.
"N'oublie pas. Touche-moi ... Attaque-moi ... Et quand ton gamin va naître, tu seras la mère la plus inquiète qui existe au monde car tu auras toujours peur pour ton pauvre mioche."
Qu'est-ce qu'elles font ? Elles se dirigent enfin vers cette foutue porte. Bon, y'a quoi ? Une odeur de pain d'épice ? Ne me dites pas que ... J'ai à peine le temps de penser à cette sorcière, une des vilaines, que je vois Mary-Margaret s'engouffrer, en criant une phrase qui me laissa échapper un soupir. Les voyant disparaitre, je me mis à vouloir entrer dans cette foutue chambre et je me retrouvais face à un mur. Aie ! Ca fait mal bon sang ! D'énervement, je commence à balancer des boules de feu mais elles me reviennent dessus et j'ai de la peine à les esquiver.
"C'est quoi ce bordel ?"
Je me reculais, laissant cette porte, et puisque les idiotes avaient disparu, je décidais gentiment de commencer à mettre le feu dans la maison. Balançant, au hasard, des boules de feu sur les meubles, je me sentis soudainement étrange. Un rouet venait d'apparaitre dans le fond de la salle. Je m'approchais, doucement. Non ! Pas un rouet ! Pas un rouet ! Ne t'approche pas Mal', ne t'approche pas ! Ben si ... Je m'approche, je m'approche ... Ne mets pas le doigt. Pas le doigt sur le rouet ! Mais bien sûr, je me sens irrémédiablement attirée et mon doigt se pose l'espace d'un instant sur le rouet, qui se brise et se transforme en sucre.
"C'est forcément elle ... Ce sucre ... Le pain d'épices."
Le sucre s'échappe alors dans une fumée violette et j'entends un étrange crépitement dans la cheminée. Pas de flamme, pas de bois ...
Ces femmes commençaient à lui donner la migraine. Regina venait de leur donner un avertissement important censé les protéger et la schizophrène et la grande brune voulaient à tout prix y aller. Magnifique. Alors que la brune tentait d'ouvrir la porte, la magie la repoussa. Caroline se tourna vers sa "patiente", cherchant à savoir si c'était elle qui avait fait ça. Et au vu de la réaction de la réaction de la brune, il y avait des chances. Donc la sorcière maîtrisait encore un peu ses pouvoirs, c'était sympa de le savoir...
- Oh sérieusement, rangez votre magie, ce n'est pas comme ça qu'on aura des réponses ! Grogna-t-elle.
Ses griffes la démangeaient et attendaient avec impatience de sortir... Caroline n'était pas certaine que Regina soit au courant de ce souci que les anciens grands félins semblaient avoir. Cela pourrait être utile... La Méchante Reine appela l'autre Maléfique et la mit en garde en faisant valoir qu'elle était plus forte qu'elle. Peut-être était-ce vrai, ceci dit, avoir plein de pouvoirs et ne pas pouvoir les contrôler en ce moment ne jouait pas vraiment en sa faveur. Puis il y eut un truc entre Ruby et Regina et la Méchante Reine se leva pour ouvrir la porte avec son sang. Toutes la suivirent et une odeur de pain d'épices se fit sentir dans la pièce. Alors que Mary-Margaret tentait de se la jouer cool en enjoignant les autres à la suivre, Regina passa derrière elle puis les deux femmes disparurent et la porte claqua violemment derrière elles, laissant les quatre autres femmes dans le manoir.
- Chouette, et maintenant ?
Mais Maléfique était déjà entrain de déverser sa colère sur la porte à l'aide de ses boules de feu. Jusqu'à ce qu'un rouet n'apparaisse et qu'elle ne soit attirée vers lui. Vu son conte d'origine, la sorcière ne devait rien avoir à craindre d'un simple rouet non ? Quand elle posa le doigt sur la pointe de la quenouille, celle-ci se transforma en sucre et l'odeur de sucrerie et de pain d'épices se fit plus forte encore.
- Elle ? La sorcière mangeuse d'enfants ? Elle a quoi à voir avec vous ou Regina ? Demanda Caroline, curieuse.
Quand soudain, le crépitement d'un feu se fit entendre. Caroline, intriguée, s'approcha de la cheminée où brûlait un feu qui n'était pas là auparavant. Cherchant un truc qui l'aurait allumé, la lionne vit alors le visage de Regina se former dans les flammes. Intriguée et presque captivée, l'infirmière avança sa main vers le feu. Et soudain, la voix de Regina se fit entendre.
"Sortez de la maison et dirigez-vous vers le nord. Derrière les fourrés vous nous trouvez. Dépêchez-vous, la chasse aux sorcières va débuter."
Une chasse ? Ça, c'était pour elle ! Quand le feu disparut, Caroline enjoignit tout le monde à la suivre. Elle les guida vers le nord et arrivées dans la forêt, la nuit tomba soudain. Jugeant qu'il était plus prudent de passer la nuit là plutôt que de se perdre, l'infirmière stoppa le groupe. Un bruit se fit alors entendre dans les fourrés et la lionne fit signe aux autres d'être prudente. Elle sortit les griffes et attendit de voir ce qui allait sortir, pas assez folle pour aller au devant du danger sur un terrain inconnu.
Mais que foutait elle donc dans cette situation ? C'était la question que se posait à ce moment précis la dénommée Gothel, mais, elle ne dit rien, quoiqu'elle le pensait tellement fort qu'on devrait limite l'entendre. Enfin bref, leur petite aventure continuait et donc la bande de filles étaient à présent dans la demeure de celle qui fut jadis appelé la méchante reine. Aloysia trouvait cette endroit assez glauque, mais bon, elle n'avait pas vraiment le choix de rester dans les parages.
Au bout d'un moment, Regina interdit à quiconque de s'approcher d'une fameuse porte, mais, Gothel, têtue comme une mule avait bien décidé de braver cet interdit. Mais, ce fut sa comparse Maléfique qui fut plus rapide qu'elle. Gothel poussa alors un grognement, vexé de ne pas y être allée avant. Mais bon, quand elle vit ce qui était destinée à l'ennemie de Aurore, elle fut contente au final. En effet, cette ci fut repoussé en arrière. Regina & Maléfique était même prête à user de leur pouvoir l'une contre l'autre. Calmez vous les filles, on y arrivera pas si on se disperse. reprit alors la gentille qui habitait ce corps. Mais apparemment, sa camarade ne fut pas de cet avis. Et merde, tu n'aurais pas pu les laisser, ça aurait fait un peu d'action quoi. commenta donc celle ci. Ces femmes qui vivaient dans ce corps étaient vraiment bien différentes, il n'y avait pas à dire. Mary Margaret s'était aussi interposer dans cette gué-guerre au grand dam de Gothel.
Regina ouvrit enfin la porte et une odeur de pain d'épice s'en échappa. Elle n'eut pas le temps de réagir que miss je-sais-tout intervint en montrant son savoir. Et oui, Hansel et Gretel semblaient s'être invités dans leur histoire. Super, il ne manque plus que le monde des barbapapas et on aura gagné le pompom, dit elle ensuite sarcastique. Et si on ne vous aime pas, on peut rester là ? lâcha t-elle alors disant surement ce que Absynthe pensait tout bas vu le soupir qui venait de s'échapper de sa bouche.
Mais bon, elle n'eut pas le choix de suivre la troupe. Mary Margaret était a deux point de faire une gaffe mais, Regina l'en empêcha, dommage, ça aurait pu être marrant. Mais, quelque chose d'étrange se produisit finalement. En effet, le sucre s'échappa dans une fumée violette. Aloysia eut tendance à reculer, après tout, la magie, cela ne faisait pas vraiment partit de son monde, alors que Gothel elle n'était pas effrayé une seule seconde. Disons qu'elle en avait vu d'autres.
Mais en voyant le feu crépiter si bruyamment, elle s'approcha quelque peu, et la voix de Regina retentit dans la pièce. Une chasse aux sorcières. Super, on a droit à un remake de Halloween, dit elle ensuite. Mais bon, vu qu'elle n'avait pas le choix, elle suivit tout le monde vers le nord. Et maintenant, on fait quoi ? lança t-elle.
acidbrain
HJ:
Alors, comme tu le sais, mon personnage est schyzo. Quand j'utilise le "Mère Gothel", je parle de la méchante et quand c'est simplement le "Aloysia" c'est la gentille. Pareil, chacune a son code couleur pour les paroles.
Gothel Aloysia
Si tu as des questions, n’hésite pas à me mpotter.
Méchante, oh ça oui, je l’étais toujours mais j’étais le genre de sorcière qui avait choisi de se cacher plutôt que d’affronter la dure réalité qui risquait de lui faire face si elle mettait le nez dehors. Quelques semaines avant que mon adorée ennemie qu’on nomme la Méchante Reine ne lance sa malédiction, j’avais été prévenue par sa mère Cora de ce qu’elle préparait et surtout elle était venue récupérer son livre de magie pour dieu seul sait quoi faire mais il semblerait qu’elle n’ait pas réussi à le conserver puisque la reine a pu lancer la malédiction et emmené le livre de magie avec elle. Pendant 28 ans, pendant 28 longues années, j’ai vécue sans savoir si des gens étaient encore présent dans les villages environnants ma charmante maison en pain d’épices, et les enfants ? Y avait-il encore des enfants de bas âge autour de chez moi ?
Mais c’est depuis que j’ai entendue dire qu’Hansel et Gretel avait grandit et qu’il partait à la recherche des sorcières pour les réduire à néant que la vie devenait encore plus plaisante que tuer des enfants mais ce qui est encore plus intéressant, c’est d’avoir fait prisonnier ce charmant jeune homme que j’aurais dû manger à l’époque, vous voyez de qui je parle ? Mais bien sûr, vous savez de qui je parle, non ? Hansel évidemment ! J’avais réussi à le faire prisonnier, merci à la magie et aux pouvoirs que j’ai pu acquérir grâce au livre de magie de Cora dont j’avais d’ailleurs eu l’étonnement de trouver la couverture sur le bord de ma table de chevet, je ne sais pourquoi mais m’important peu, je l’avais laissé là. Toujours endormi, je le regardais, me demandant bien ce que j’allais faire de lui mais j’attendais également que sa chère sœur vienne à ma rencontre, ça risquait d’être fort intéressant comme discussion, sans doute pensait-elle que j’étais morte, que cela avait été plaisant de faire croire à ma mort, oh oui très plaisant.
« L’heure tourne, tic tac, tic tac, le pain d’épices et au four et la douce Gretel ne loupera pas son tour. » dis-je tandis que son frère dormait à points fermés, les pieds et les mains attachés par des menottes magiques, mais alors que je me pensais tranquille, un éclat de voix se fit entendre dans ma cuisine. Qui osait donc venir contrecarrer mes plans ? Je ne laisserais personne m’empêcher d’avoir enfin la main sur l’amulette de la douce Gretel mais lorsque je fis face à celle qu’on appelait la Méchante Reine, un sourire mauvais se dessina au creux de mes lèvres tandis qu’elle se retournait et me faisais face, mes mains crépitaient de magie noire « Oh mais que me vaut la charmante visite de la Méchante Reine et sa détestable belle-fille ? », je compris par la magie double qui émanait de Regina qu’elle n’était pas au mieux de sa forme, m’approchant d’elle, je posa ma main sur son ventre avant de la retirer vivement tandis qu’un nouveau sourire se dessinait sur mon visage « Oh qu’elle charmante nouvelle, savoir que par ta grossesse, ta magie est incontrolâble me permettrait beaucoup de choses à ton égard Majesté. Mais je vois que tu as pris le temps de prévenir tes amies. » dis-je en sentant l’ancienne flamme dans la cheminée.
Je bougea légèrement la main et fit un nouveau sourire avant de me tourner vers mes deux invitées que je ne tarda pas à figer mes deux invitées surprises non désirées « Vos amies vont avoir une jolie surprise lorsqu’elles feront face à mes amies sorcières et mes charmants acolytes en sucre. », la reine leva le regard vers moi « Tu ne gagneras pas Kaira, tu penses surement avoir gagné mais ce n’est pas ce que tu crois, tu as peut être réussis à berner deux gamins en faisant croire à ta mort, tu as sans doute pu berner ma mère mais moi, tu ne peux pas et ce n’est pas en me paralysant que tu arriveras à faire grand-chose. », j’ignorais simplement que Mary Margaret avais posé son regard sur la couverture du livre de magie, soupirant, je regarda la brune « Trop de parlotte, attendons que vos amies arrivent. », bougeant la main, je les téléporta toutes les deux dans une cage menottées par magie avant de sourire narquoisement et de respirer la bonne odeur du pain d’épices « Hum…Douce odeur de sucreries n’est-ce-pas ? » et c’est dans un immense éclat de rire que je descendis dans la cave, consciente que les prochaines invitées ne tarderaient pas et l'amulette non plus.
Bon apparemment Regina venait elle aussi de ressentir cette puissance magique. Au moins je n'étais pas la seul. En tout cas elle m'expliqua par la suite que la magie de ma cape était en opposition à la sienne. Elle m'enleva la main de son épaule en disant que je ne devais plus m'approcher et ne plus là toucher. Je roulais des yeux, elle ne voulait pas que je la touche très bien ? Mais je resterais tout de même près d'elle. Elle fini tout de même par ouvrir la porte et une bonne odeur comme dans les boulangerie se fit ressentir, mais la salle était elle totalement plonger dans le noir. Mais la groupe allait rentrée dans la pièce - ou en tout cas j'allais y rentrée - quand la porte se referma brutalement et disparu. Je me retrouvais de l'autre côté du mur avec deux méchantes et demi et un lionne qui avait l'air de pas trop savoir ce qu'elle faisait l. Quand à Regina et Blanche, elles, elles se retrouvaient de l'autre côté. Pas moyen de discuter avec elle ! De plus voilà que Maléfique commença à jetée des boules de feus un peut partout dans la maison. "Pardon mais je ne pense pas que vous seriez d'accord si on se ramène chez vous pour jetée des boules de feu sur vos meubles !" Elle pouvait dire tout ce qu'elle voulait, qu'elle était une méchante ou autre, j'en avais rien à faire. En tout cas elle s'arrêta très vite en voyant un rouet un peu plus. Maléfique qui va se faire prendre à son propre piège en se piquant le doigt dessus. C'était si prévisible. Une fois le doit sur l’aiguille celui-ci se transforma en morceau de sucre. Bon la sorcière d'Hansel et Gretel ne va pas continuer longtemps son petit jeu.
Le visage de Regina apparut alors brusquement dans le feu de la chemine. Ce qui ne m'étonnais pas du tout au final. Elle nous demandait de sortir de la maison parce que la chasse au sorcière allait bientôt commencer. Bon d'accord, tout cela ne prévoyait rien de bon. Mais vraiment rien de bon. Je fini tout de même pas suivre la troupe en dehors du château. Je n'allais pas à l’intérieur toute seul et les laisser se débrouiller alors qu'elle ne connaissait pas les recoins de cette partie de la forêt enchantée. Et puis au final un peu d'action ne ferait pas de mal ? Cela me rappellera quand je combattais au côté du couple royale conter le roi George et la méchante reine. Même si au final ce n'est pas conter eux que nous allions sans doute nous battre. Cela ressemblait ... Enfin bref. Nous arrivons donc comme disait le message de Regina, vers le nord. J'entendis alors des bruits plus loin dans les buissons, comme des ricanements. Bon qu'est-ce qu'elle m'avait dit Abigail ? Restez calme et faire confiance à son instinct. Et la mon instinct me disait clairement que ce n'était pas des animaux qui se trouvaient derrière ces trucs vert. Je m'approchais alors pour voir qui cela pouvait bien être. Sans doute les sorcières ? Et bingo ! Je me faisais rejetée violemment en arrière, faisant quelques rouler boulet sur le sol avant de me relever ni vu ni connu. "Mais qu'est-ce ..." commençais-je à dire en réajustant ma robe avant que les sorcières de sortent de leur cachette. J'entendais un petit bruit dans mon dos grâce à mon ouï sur développer. Je me retournais alors voyant des monstres se rapprocher de nous. Des monstres en sucre ? Tout cela commençait à me donner faim moi ... J'en levais le capuchon de ma cape avant de défaire le nœud. "Tu veux bien me garder cela ?" demandais-je à la lionne lui donnant ma cape dans ses main "S'il y a quoi que ce soit tu auras juste à me la mettre sur le dos !" Puis je me concentrais quelque peu, détendant mes muscles avant de repenser au cours d'Abigail. Et puis je me transformais d'un seul coup en loup. J'y étais allé plus vite que les autres fois cette fois ci !
Pourquoi fallait-il toujours que Mary Margaret se fasse avoir comme une débutante lorsqu'elle débarquait dans un autre monde ? Pourquoi c'était toujours elle qui finissait emprisonnée, pieds et poings liés et sans magie pour se défendre ? Et pourquoi fallait-il que Regina soit évanouie ?
La princesse poussa donc un léger soupir, avant d'essayer de se téléporter avec Regina en dehors de leur cage. Mais évidemment, la sorcière des pains d'épices avait tout prévu. Et il était clair que si les deux filles rentraient vivantes de cet endroit, Mary Margaret demanderait plus de cours de magie à sa belle-mère...
- Attendez ! Qu'est ce que vous comptez faire ?
La dénommée Kaira se retourna alors, pour la jauger du regard. Snow la laissa faire, pas du tout impressionnée. De toute manière, Regina avait bien fait en sorte de prévenir les autres, non ?
- Je comptais récupérer un objet que Gretel m'a volé. Et pour cela, je compte user de la grossesse de Regina pour utiliser ses pouvoirs.
D'accord... C'était bien le plan le plus tordu de l'univers entier. La princesse tourna alors son regard vers sa belle-mère, toujours évanouie. Il était hors de question que quiconque ne touche au bébé. Le regard de l'institutrice se posa de nouveau sur celui de Kaira, avant de dire :
- Peut être que je peux vous aider à retrouver Gretel, j'étais une bonne pisteuse par la passé.
Mais au vu du regard de la blonde, la brune comprit bien vie que son aide n'était pas voulue...
- Je n'ai pas besoin de l'aide de Blanche-Neige.
Tant pis pour elle, alors. Elle perdait juste une occasion de retrouver la pauvre Gretel. Et puis les autres arriverait sûrement bien avant qu'elle retrouve la fillette, avec un gros loup de compagnie en plus. Bon, en tout cas, le sourire qu'elle venait de lui lancer la rendait un peu mal à l'aise et moins sûre d'elle...
- Vos amis ne tarderont pas.
Et sur ces mots, elle s'en alla alors, laissant la brunette réfléchir. Et si en les appelant, Regina les avaient menées tout droit dans un piège ?
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| Conte : blanche neige et les sept nains | Dans le monde des contes, je suis : : la méchante reine
Et dire qu’à l’origine, je voulais simplement augmenter mes pouvoirs afin que ma grossesse se passe sans encombres et voilà où ça nous avait mené. Dans la forêt enchantée et en prime avec mes pouvoirs hors de contrôle et aucun foutu livre de magie à l’horizon…Ah si y’avais bien les pages mais sans la couverture, on irait pas bien loin. Après qu’on ait traversée le portail avec Mary Margaret contre mon gré bien évidemment, je me rapprocha d’elle avant d’hurler de ne pas toucher au four et bingo, on faisait face à la dégénérée aux sucres d’orge « Tiens bonjour Kaira, tu vas bien ? », la sorcière qui me faisait face leva les yeux au ciel avant de demander pourquoi on été là « Bah je me suis dit que j’avais envie de croissant chaud et Mary Margaret aussi donc… » je fronça les sourcils « Dis moi, t’aurais pas vu un truc du genre la couverture du bouquin de magie de ma mère par hasard ? »
La sorcière aux pains d’épices ignorait simplement que j’avais prévenue les autres, enfin je le croyais vu qu’elle venait tout simplement de me prouver le contraire. Elle posa sa main sur mon ventre avant de la retirer vivement et de faire un grand sourire avant de dire qu’elle allait se servir des méfaits de ma grossesse sur mes pouvoirs pour s’en servir contre moi à mes dépends. Je la fusilla du regard « Je t’interdis de toucher à mon enfant ! », cette dernière ne tarda pas à user de la magie contre nous avant de nous dire que nos amies allaient avoir une bonne surprise, me mordant la lèvre inférieure, je m’en voulais, pas mon appel, je les avaient sans doute menées droit dans un piège.
Même mes menaces ne changèrent rien, elle nous téléporta toutes deux dans une cage, menottées par magie et au moment où je sentis l’odeur de pain sucrée, j’eu des vertiges et perdis conscience, ignorant ce qui allait se produire mais ce que je savais c’est que le bien l’emporte toujours n’est-ce-pas ?
Pouvait-elle griffer assez méchamment la schizophrène ? Sans doute, mais ce n'était pas parce que le côté méchant de cette femme s'était réveillé et risquait de les signaler à ce qui se cachait dans les fourrés qu'elle devait la cogner si ? Non, bien sûr que non. Pourtant, l'envie était là, ça, c'était vraiment certain ! Caroline en avait déjà assez d'être dans ce monde... Storybrooke lui avait apparu longtemps comme une terre étrangère mais au final, maintenant qu'elle était ailleurs, l'infirmière se rendait compte qu'elle se trouvait bien là-bas, elle s'y était habituée.
Ruby s'avança prudemment vers les fourrés et fut rejetée en arrière tandis que quatre sorcières et quatre monstres de sucre débarquaient. Caroline s'était avancée vers la jeune femme pour l'aider, mais visiblement, le petit Chaperon Rouge n'avait pas besoin d'aide. Elle confia sa cape à la lionne qui n'eut pas vraiment son mot à dire et se métamorphosa en loup. Bordel, la classe ! Elle-même aurait été ravie de pouvoir faire la même chose pour pouvoir retrouver son corps de lionne... Mais ça n'était pas au programme. La jeune femme rétracta ses griffes et plia la cape de Ruby de façon à ne pas l'abîmer. Puis alors qu'un monstre s'approchait d'elle, l'infirmière ressortit ses griffes et lui en fila un grand coup au bras, coupant celui-ci. Le sucre reforma le bras, mais la lionne avait l'impression que ça l'avait affaibli et c'était tant mieux !
- Maléfique, je crois que les sorcières, c'est un sujet que vous connaissez non ? Lança-t-elle à la brune en lui signifiant par là qu'elle la laissait s'en charger.
Elle, elle voulait jouer avec les monstres de sucre.
Nouvelle nuit dans une auberge à la lisière de la forêt. Depuis plusieurs mois Gretel était à la recherche de son frère, Hansel. Il avait disparu mystérieusement et la jeune femme suspectait les sorcières, ses plus grandes ennemies. La chasseuse se leva avant l’aube, profitant du peu de monde debout pour se laver avec l’eau commune. Elle remit son amulette offerte par son père autour du coup puis commença à se préparer. Elle enfila une tenue adaptée à la traque de sorcière, plutôt résistante et très élastique permettant une grande liberté de mouvement. Une fois habillée, elle rangea son revolver à la ceinture, ainsi que son fouet rempli de pique. A la main elle garda son arbalète, son arme de prédilection. Et évidemment, il lui restait ses poings. Gretel avait une grande aptitude au combat rapproché comme à l’utilisation des armes. La jeune femme était enfin prête. Elle descendit de la chambre de l’auberge puis se remit en route, direction la forêt. Sur le chemin, à travers les nombreux arbres, il n’y avait rien. C’était très calme. Aucune sorcière en vue, aucun monstre, aucun type louche. Cette situation trop idyllique était très louche. Aussi, Gretel décida de se tenir encore plus prête à se défendre. Elle resserra son étreinte sur son arbalète, déjà chargée, prête à lâcher une première flèche si besoin. Après plusieurs heures de marche, l’amulette commença à s’illuminer, indiquant la présence de magie. Et pour Gretel, qui dit magie dit sorcière. La chasseuse de sorcière ne pouvait que sourire face à cette nouvelle. S’il y avait des sorcières dans le coin, alors elle était sans doute sur la bonne piste pour retrouver son frère. Si elle allait au charbon, peut-être qu’elle pourrait soutirer des informations aux sorcières. Gretel prit donc la direction du combat qui semblait faire rage. En effet, elle entendait des personnes parler, des personnes se battre. Qui combattait des sorcières sans elle ? Enfin ils n’avaient peut-être pas le choix et le rôle de Gretel, ici, c’était d’aider les innocents. Alors sans se poser plus de question, Gretel s’avança vers le combat, notamment vers les sorcières car il s’agissait de ses proies préférés. A son arrivée, les sorcières se retournèrent tous, arrêtant leurs combats avec le groupe d’inconnue. Mais Gretel ne prit pas le temps de s’intéresser à la composition du groupe. « IL FAUT S’OCCUPER D’ELLE EN PREMIERE ! » hurlèrent les sorcières ensemble. Ok. Sympa. Pourquoi fallait-il toujours qu’elle soit la cible à abattre ! La jeune femme leva les yeux au ciel. « Pathétique. » Ce fut seulement une sorcière qui s’avança vers Gretel. La brune suivit son regard. Ce dernier s’était posée sur l’amulette autour du cou de Gretel. La jeune femme écouta la sorcière qui commença à ouvrir sa bouche pour y sortir des tissus de mensonge. « Oh douce Gretel, si tu me donnes cette amulette, tout ira bien, on te rendra ton frère et on vous laissera tranquille. » Gretel leva les yeux en l’air. Ca aussi c’était pathétique. « Qui oserait croire la parole d’une sorcière ? » Une question à laquelle la jeune femme n’attendait pas de réponse. De toute façon il ne lui laissa pas le temps de le faire ! Elle lui tira une flèche en plein dans son épaule, non loin de son petit cœur. La puissance de la flèche fit qu’elle transperça complètement la sorcière et vint terminer son chemin sur un des monstres de sucre. Il était blessé, mais pas mortellement. Pour les tuer, il ne fallait pas s’y prendre comme ça ! Bref, Gretel n’avait pas forcément le temps de s’intéresser aux monstres de sucre puisque la sorcière qu’elle venait de toucher voulait se venger, se défendre. Logique d’un côté ! Cependant, une nouvelle fois Gretel ne laissa pas le temps à la sorcière de mettre ses plans en action. Elle lui tira plusieurs flèches qui la blessèrent grièvement…assez pour la faire fuir ! D’ailleurs, toutes les sorcières commencèrent à prendre la fuite ! « Ah non ! » Elle n’allait pas laisser les sorcières vivre ! Malheureusement ces petites pestes étaient rapides. Gretel eut le temps, cependant, de toucher mortellement une des sorcières en lui tirant une flèche en plein cœur. Même si les sorcières n’étaient plus un problème, il restait toujours les monstres de sucre. Et vu comment se débrouillait le groupe, elles ne semblaient pas connaître la technique pour les tuer. Enfin c’était normal, personne ne le savait. Mise à part Gretel, qui malheureusement, connaissait très bien la créatrice de ces montres. La jeune femme sortit, de sa main libre, son revolver puis tira une balle en direction de la tête d’un des monstres de sucre. Il tomba lourdement au sol, mort. Un sourire se dessina sur le visage plutôt angélique de Gretel. Eh oui, elle avait l’air gentille, douce et mignonne, comme ça. Mais lorsqu’il s’agissait de sorcière, Gretel pouvait devenir un véritable petit démon, sans pitié et déterminée ! Surtout que la vie de son frère était en jeu ! D’ailleurs, avec ce combat, Gretel avait l’impression d’être sur la bonne piste ! La chasseuse se retourna vers les autres personnes qui la regardaient comme une bête de foire. « C’est pas moi la bête de foire ici ! Aidez-moi au lieu de regarder bêtement l’action ! L’astuce, c’est de les toucher à la tête ! Ça les tue directement ! » Bon, Gretel n’allait quand même pas rester en retrait. Ça ne lui ressemblait pas. Aussi, elle se tenait prête à continuer s’aider le petit groupe d’inconnu, dans l’espoir qu’elles avaient quelques informations pour sa propre recherche.