« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Another night with ours little star...

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Another night with ours little star... _



________________________________________ 2015-11-12, 19:15

Comme chaque soir depuis ces dix dernières années, j'admirais le ciel nocturne, et comme tous les soirs depuis ma rencontre avec Diane, j'appréciais la placide beauté de l'astre lunaire qui dominait le ciel noir d'encre, berçant doucement Storybrooke dans un lit composé d'ombre fluide. Oui, je profitais du sentiment de calme qui s'échappait de tout mon être alors que je sentais la ville éclairée autour de moi et le doux murmure de l'hiver contre ma peau. Cela faisait onze années, onze années depuis ma première rencontre avec la femme qui allait changer ma vision des choses sur... Sur tout ce que j'avais vécut, la personne qui avait été là dans les meilleurs moments comme les pires, celle qui m'avait permit d'aimer alors que je pensais n'avoir qu'un cœur de glace, celle qui avait illuminé mes ténèbres, mais non pas en brûlant telle le resplendissant soleil, mais en drapant mon cœur dans un voile lumineux et argenté qui avait apaisé mes douleurs tel un baume. Cela semblait s'être déroulé il y a une éternité de cela, onze années n'étaient pas grand chose lorsque l'on est immortel mais... Je devais avouer que tout s'étaient enchaînés depuis ma rencontre avec Diane, tellement d'histoires et de souvenirs, de rires et de larmes. Tout avait bien changé... Et maintenant, je me sentais en paix, en paix avec moi-même, en paix avec le monde, juste... Calme et reposé, heureux. Incroyablement heureux.
Car Pitch ne regardait pas lune seul ce soir, depuis plus de quatre maintenant, il n'avait jamais été véritablement seul pour son plus grand plaisir.

"Est-ce que tonton Pollon est là?"

Pitch sourit, alors que son fils, son fils (il avait encore du mal à se rendre compte par moment) se tenait sur ses épaules dans un costume à sa taille, et le fossoyeur sourit. Aujourd'hui était le grand bal de noël, une tradition désormais, où toute la famille pouvait venir. Alors nous étions tous sur la route.
Pitch tenait la main de Diane, marchant lentement vers la Mairie, bien sûr nous pouvions facilement nous téléporter directement sur le lieu mais, où étais le plaisir ans cela? Comme ses deux parents, Orion adorait la nuit et la lune, à quatre ans il voulait déjà tout connaitre sur les étoiles et la lune, c'était un adorable enfant qui avait hérité des cheveux blonds de sa mère et de ses yeux bleus, mais des traits de son père. Sa naissance avait été une nouvelle étape dans notre relation, Diane... Diane avait eut terriblement peur pour cette nouvelle vie, le passé ne l'avait pas sourit, entre son expérience avec les enfants de Poséidon et... Sa défunte nièce. Mais nous avions traversé cette épreuve, ensemble, comme tout ce que la vie nous avait donné comme épreuves. Et elle savait, nous savions, que cette nouvelle vie serait protégé de la malédiction qui semblait planer sur la famille divine. Orion était notre petite étoile, son nom était bien le nom d'une galaxie après tout, et nous l'aimions de tout notre cœur. Pitch serra légèrement plus fort la main de sa bien aimée, lui offrant un sourire alors qu'Orion jouait avec les cheveux de son père:

"Bien sûr, mais maman va surement devoir le surveillé comme l'année dernière."

Diane leva les cieux au ciel en souriant, elle était... Magnifique, comme toujours, resplendissante comme l'astre qu'elle représentait et... Malgré tout ce temps, je la trouvais plus belle que le premier jour, lorsque je lui avais avouer mes sentiments il y a si longtemps de cela... Je ne savais pas où est-ce que notre relation allait aboutir, maintenant, il suffisait que je vois mon fils sourire pour faire de moi l'homme le plus heureux de la planète, il était tellement vivant, et j'étais... Nous étions tellement fier de lui. Oui, nous étions heureux, véritablement heureux depuis plusieurs années déjà. Je ne savais pas si je devais remercier Sand pour ce rêve où non. J'avais enfin fait la "paix" avec les gardiens, cela avait prit du temps, beaucoup de temps, mais... Même Orion avait été émerveillé par les premières neiges d'hiver, et même si Jack se méfiait encore de moins... Il n'avait pas sut résister bien longtemps à l'innocence enfantine du petit blond.
Et enfin, nous étions arrivés à la mairie, éblouissante de couleur et de lumière, rayonnante de joie. Les yeux d'Orion s'illuminèrent devant les décorations, il adorait noël comme chaque enfant de son âge. Et Pitch le fit descendre de ses épaules alors qu'Orion attrapa une main de son père et de sa mère pour les entraîner vers la grande salle, Pitch laissa échapper un léger rire alors que la famille entra dans la salle de bal, suivant leurs fils qui s'émerveilla devant les lumières et le nombre de personne présente.
Cette soirée allait être.. Magique. Je le savais déjà, j'étais entouré par ceux que j'aimais, et pour la première fois depuis bien longtemps... La ville semblait être véritablement en paix... Et cela me rendait heureux.

Pitch regarda son fils et passa une main dans ses cheveux avant de se tourner vers Diane et de l'embrasser tendrement sur les lèvres avant de lui murmurer avec un grand sourire:

"Joyeux noël mon Amour."

Oui, cette nuit allait être un doux rêve éveillé...


Diane Moon
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Another night with ours little star... _



________________________________________ 2015-11-13, 21:49

Another Night With Our Little Star
Silent Night, Holly Night...And Terminator


Futur Hypothétique


Devant le miroir de la chambre, je me tournais une dernière fois sur moi même, avant d'inspirer un bon coup. Ce, n'était pas la première fois que je me rendais au bal de noël. Pour être tout à fait exact, ça faisait maintenant dix ans que je le faisais. La première fois, Apollon m'y avait traîné. Un sourire nostalgique etira mes lèvres à cette pensée. Onze ans à présent que j'habitais à Storybrooke. Je, n'étais jamais resté aussi longtemps au même endroit. Ma vie de nomade avait été définitivement scellé. Onze an de vie à Storybrooke, et neuf ans, que la plupart de mes frères et sœurs étaient revenus. Nous avions fait face à de nombreuses choses au cours de ces années, mais nous, nous en étions sortie. Les filles, avaient grandit, que ce soit Louise, ou Alexis chacune avait finit par prendre son envole, Peggy était retourné avec Hermès, et ne restait plus qu'Apollon et moi. Seule dans notre grande maison. J'avais eu un léger pincement au cœur, en voyant la fin de notre petite colocation. Ca avait été des années de pure bonheur, que de les avoir à mes côtés. Elles, n'étaient pas loin, et l'on se rendait très souvent visite je le savais, mais tout de même. Je pouvais associé ces années passé avec elles, tous ensemble dans notre grande maison comme les plus belles de ma vie. Mais, toutes les bonnes choses ont une fin. Louise, était maintenant mariée à Sebastian, et avait un fils de huit ans dont j'étais la marraine baptisé Siegrfied.

Mais, aujourd'hui, je n'étais pas malheureuse, bien au contraire. Je vivais avec le seule homme, qui avait réellement su toucher mon cœur....Et l'enfant qui symbolisait cet amour. Orion, mon fils, notre fils de quatre ans. Je, n'aurais jamais cru cela possible. J'avais toujours, affirmé haut et fort, que je n'aurais jamais d'enfants de manière biologique. Pas, que je ne le souhaitais pas, bien au contraire. J'avais déjà par le passé ressentis cette envie de maternité, au plus profond de mon être. Alors, j'avais crée mes cinq filles, qui décéderaient bien des millénaires plus tard. J'avais cru, que cela mettrait un terme à tout désir de l'être à nouveau, mais j'avais tort. Ça avait recommencé, après notre « aventure » dans le passé. Eleanor, avait fait naître des sentiments contradictoire en moi. Et il y avait eu ce moment là, où « l'instinct maternel » avait reprit le dessus, quand j'avais fait barrage entre la petite et sa mère. Je, ne m'en étais pas rendu compte, tout de suite, il fallait dire, que la joie d'avoir mon frère avec moi, avait prit le dessus. J'avais été trop éprouvée, et était bien trop heureuse, de le voir, pour songer à autre chose, qu'à lui.

Malheureusement, ce qui devait arriver, arriva, et il me fallut un bon mois, avant d'éprouver à nouveau cette sensation. Ça, c'était réellement, déclenché au moment où Alexis, avait disparu sans laisser de trace, j'avais agit en mère, qui avait eu peur pour sa fille. Alors, j'avais refoulé mon désir, de maternité, de donner la vie à un enfant, mon enfant. Pour me concentrer sur Louise, Peggy et Alexis. Tout, c'était bien passé par la suite, il s'était à nouveau enterré au plus profond de mon être, et je ne risquais pas de revenir en me découvrant enceinte d'un demi dieu en revenant de chez Pitch, les fois où je passais la nuit chez lui. Je n'en éprouvais pas le désir. Mais, les années, passant, il avait refait surface, plus violemment, pour s'enterrer de nouveau. Ça, ne pouvait plus durer, je devais en parler à quelqu'un, à mon compagnon de préférence. Prenant mon courage à deux mains, décidant pour une fois de ne pas fuir, c'est le 23 Septembre, 2018, que j'étais allé le trouver pour lui expliquer ma situation. J'attendais son « non » catégorique. Il, avait déjà deux filles, pas besoin d'avoir un enfant supplémentaire. Ou tout du moins, c'était ce dont je me persuadais au fond. Qu'il écrase totalement, ce désir, cette envie, ce caprice. Afin, de repartir sur de nouvelles bases, et que je me reconstruise enfin sans.

Sauf, qu'il ne l'avait pas fait bien au contraire. Il m'aimait, m'avait-il dit, et si je le désirais vraiment, il n'était pas contre. Alors, j'avais abaissé toutes mes défenses, face à lui, je lui avait dit ce qu'il en retournait exactement. Oui, j'en avait envie, mais non je ne le pouvais pas. Trop de vie innocentes, avaient été prises à force de nous côtoyer, nous les divins. Nous étions la définition, d'une malédiction. Alors, je refusais de mettre à nouveau une vie en danger. J'avais perdu Hippolyte, j'avais perdu une nièce, j'avais été incapable de la protéger jusqu'au bout. Alors, avec mon propre enfant...Non, définitivement non. Pas avec tout ce qu'il se préparait. Et il avait accepté, simplement, il avait accepté. C'était peut-être à ce moment, là que j'avais réellement su, que je ne pourrais jamais, aimer quelqu'un d'autres. Cinq millions d'années à le trouver, et il n'était pas question, que je le laisse partir.

Nous avions, surmonter énormément d'épreuves, ensemble pour que finalement, tout se finisse. J'avais du mal à y croire. Étions nous finalement réellement en paix ? Toutes ces guerres, toutes ces pertes étaient-elles réellement derrière nous ? Il, avait fallut du temps pour m'y adapter, pour nous y adapter. Je m'imposais après tout, toujours énormément de barrière, faisant des blocage par moi même. Et ça Apollon, l'avait bien compris. C'était quelque part un peu grâce à lui que tout ça, était arrivé. Il, était venu me voir, on en avait longuement discuté, une vrai conversation à cœur ouvert, entre jumeaux, comme il nous arrivait parfois de le faire, quand l'un en avait un peu trop gros sur le cœur justement. On, était toujours là l'un pour l'autre, on se connaissait sur le bout des doigts, jusqu'à notre pire craintes, les plus enfouis, celles que personne ne devine. « Et si tu prenais le temps de vivre pour toi un peu » m'avait-il dit. J'avais soupiré, il avait raison, mais c'était dure, de changer après autant d'années. Quoi qu'il en soit, j'avais médité à ses paroles. Un peu plus rapidement, que d'habitude, et j'en avais conclu, qu'il était grand temps pour moi, de me bouger. Je devais arrêter de vivre dans le passé, et me concentrer sur le présent. Mon jumeau avait raison, comme toujours, me dirait-il.

Alors, à nouveau, j'avais prit mon courage à demain, et j'étais allé trouver Pitch, pour en discuter avant. Pas question, de faire les choses derrière son dos, et puis il fallait être deux pour vouloir ce genre de choses. On a parlé, longuement, et on s'est mit d'accord. Puis, c'est arrivé. J'avais bataillé sec tout le long de ma grossesses. Certains ne voyaient pas d'un très bon œil cette naissance, le fruit de l'union d'un sorcier et d'une déesse, qu'est que cela donnerait ? J'avais été parfaitement clair, et intimidante sur ce point. Le premier qui tenterait quoi que ce soit, aurait à faire à moi. Cela, avait suffit à apaiser la plupart des esprits. Il, ne valait mieux pas tenter quoi que ce soit, contre le bras droit du maître d'Olympe. Pendant toutes ces années, je n'avais jamais quitté ce poste. Apollon, en assurait à présent la pleine fonction. Suite à tous ces affrontements, Arès avait périt. Un deuil de plus, pour notre famille. Au fond, je me disais que ce n'était peut-être pas une mauvaise chose, qui sait, peut-être étaient-ils réunit lui et sa fille. C'était ce que je m'étais dit à ce moment là, pour ne pas sombrer. Je m'étais accroché à cette idée, celle qu'il n'aurait pas droit à Téménos, mais à quelque chose de meilleur, et qu'Hippolyte serait là.

Et puisqu'on parlait d'Apollon il avait été intenable, en particulier pour le choix du prénom « si c'est un garçon il doit s’appeler Apollon junior » avait-il décrété. Je me souviens avoir haussé un sourcil avant de lâcher un « certainement pas » définitif. Apollon junior et puis quoi encore, il n'avait qu'à avoir un fils et l’appeler lui même Apollon junior, si tant est que celle qui partageait sa vie accepte un nom aussi stupide, ce dont je doutais. A vrai dire, nos choix avaient été très rapide. S'il s'agissait d'une fille, ce serait Aryana, s'il s'agissait d'un garçon ce serait Orion. Et ce fut finalement le second choix. Mon frère avait éclaté de rire à la naissance, quand il avait su que c'était un garçon. Il fallait dire, que l'on m'imaginait souvent, comme une vierge farouchement féminine dans la mythologie, et il est vrai que mes créatures avaient été féminine et non masculine. Aussi...pouvais-je comprendre son amusement. Même si j'avais personnellement juste levé les yeux au ciel, quel crétin. Louise, avait été d'une grande aide durant cette période. Il fallait dire, que mon côté « flippé » comme adorait l’appeler Apollon, ne me quittait jamais réellement.

Ses aptitudes, ne s'étaient pas déclaré tout de suite, on avait d'abord songé, qu'il s'agissait d'un « simple » demi dieu. Il avait l'air d'avoir la physiologie d'un demi dieu, mais arrivé à deux ans, on avait vite comprit, qu'il n'en était pas un, lorsque je l'avais surprit à tenter de manipuler du sable noir. Il avait hérité ses aptitudes de son père, c'était une chose certaine. Restait à voir par la suite, s'il avait également, prit de moi. Je, n'avais pas à m'en faire pour sa longévité. En héritant des aptitudes de son père, je savais que tout comme nous. Il, avait l'éternité devant lui. Cela m'avait enlevé une très gros poids du cœur. Je refusais de voir mon petit garçon partir alors que nous, nous devions demeurer.

Aujourd'hui à 4 ans, Orion se révélait être un enfant très vif d'esprit, et extrêmement curieux, il voulait tout savoir, et bien évidemment, adorait les histoires. Il était dans sa période « pourquoi », et ça m'amusait de le voir agir avec les autres. Je n'étais pas très charitable, je l'avoue parce que je l'encourageais dans cette voie là. Particulièrement avec son oncle et sa tante. C'était un réel plaisir, de les voir se dépatouiller avec, pendant que je dissimulais tant bien que mal, le grand sourire qui étirait mes lèvres à ce moment là.

Sa plus grande passion, résidait en les astres. Forcément, quand on apprends que maman est la lune et que tonton est le soleil, ça fascine. J'avais aussi eu droit à la demande de visite sur la lune d'ailleurs. Bon sang qu'est qu'ils avaient tous à vouloir y aller ? Oh Apollon, avait rit encore une fois, et je m'étais promit de le lui faire regretter, encore une fois. C'était bon de voir, que notre relation n'avait pas changé d'un iota. Toujours, soudé, ou à nous chamailler, comme deux grands gamins. Pour rien au monde, je ne désirerais que ça change, bien au contraire. J'étais pleinement heureuse aujourd'hui. J'avais l'impression d'être libéré d'un poids, un fardeau que j'aurais traîné pendant cinq millions d'années.

Terminant d'arranger mes cheveux en chignon, tournant sur moi même afin qu'il n'y ai aucun faux plie sur ma robe -j'avais horreur de ça- je me décidais finalement à rejoindre Pitch et Orion, prêt pour aller au bal. Mes doigts entrelacés à ceux de l'homme que j'aimais, je marchais tranquillement, sur le chemin nous menant à la grande salle des fêtes de la ville. Me contentant d'apprécier le vent jouant dans mes cheveux. Je n'avais pas prit de veste, d'un côté, je ne ressentais pas les fluctuations de température :

"Est-ce que tonton Pollon est là?"

Je levais les yeux au ciel juste pour la forme, mon sourire me trahissait de toute façon. Évidemment, que cette andouille serait là. Il ne manquerait pas une occasion de se montrer :

- Oui malheureusement, il sera là, mais si on pouvait éviter que ça ne devienne comme l'année dernière....

Apollon et Jack Frost réunit au même endroit, ça avait été tout sauf une bonne idée, ils avaient passé la soirée à se lancer des paris totalement stupide. Et au finale, la salle avait finit par se changer en un remake du château d'Elsa dans « Frozen » si j'avais pu, je crois que je les aurait tué tous les deux. Mais, j'avais prit sur moi, me contentant d'en prendre chacun par une oreille et de tirer les dites oreilles en même temps, voilà de quoi leur remettre les idées en place.

Nous arrivâmes finalement, devant la salle des fêtes, évidemment Orion était émerveillé, lui qui adorait Noël, ça m'avait d'ailleurs beaucoup fait rire, quand on connaissait le passif de son père avec cette fête. Et puis, on ne pouvait pas dire qu'il n'était pas gâté. L'avantage d'avoir une grande famille, c'était qu'évidemment, il y avait plus de cadeaux. Il, ne se fit d'ailleurs pas prié pour nous entraîner à sa suite, dans la grande salle, les yeux brillants devant les décorations :

- Joyeux Noël à toi
aussi soufflais-je à Pitch qui venait de m'attirer pour un baiser. Je repensais avec amusement, à quel point c'était laborieux auparavant. Il, avait fallut pas mal de temps, avant que je n'arrête de me sentir affreusement ridicule à chaque fois que j'étais avec lui. Mais à présent, ça faisait Onze ans, qu'on se connaissait, on vivait ensemble, et nous avions Orion, je crois que ce serait stupide de me sentir encore gênée. La maternité, m'avait également permit de mûrir un peu plus. Elle avait finit ce que les nombreuses épreuves que j'avais traversé avaient commencé. L'ancienne Artémis, qui doutait sans cesse avait laissé place à une femme, une déesse plus sure d'elle. Qui sait quand prendre les bonnes décisions et n'hésite pas à taper du poing sur la table, quand il le faut, et n'hésite pas à dire clairement sa manière de penser quand quelque chose la dérange, sans pour autant entrer dans le conflit. Un duo de « Bwaaah » me fit me détacher de Pitch, et je me retournais pour donner une claque derrière la tête de mon frère, apparut aux côtés de son neveu, et l'investigateur de tout ça :

- Ça fait mal geignis mon double

- Comme si tu n'avais pas l'habitude depuis le temps rétorquais-je moqueuse

- De toute façon ce n'est pas toi que je suis venu voir tu es trop méchante, non je suis venu pour mon neveu préféré


- Bah évidemment, il est prêt à faire toutes les bêtises que tu lui enseigne, comme le gribouillage sur mon pick up à la bombe de peinture. Tu as l'intention d'en faire un futur délinquant ?

- Je tentais d'éveiller ses sens artistiques
se défendit Apollon, dit lui Orion, de toute façon reprit-il à l'adresse de son neveu maman est trop coincée pour comprendre ça, c'est comme l'expression que Jack t'as apprise c'etait quoi déjà...T'as les goules t'as les bombes

- C'est t'as les boules, t'as les glandes t'as les crottes de nez qui pendent le corrigeais-je et oui maman n'est pas aussi « coincée » que ça apparemment terminais-je avec un charmant sourire devant l'air pantois de mon frère jumeau. Le tout avant de me diriger tranquillement, vers le buffet afin d'y prendre une flûte de champagne, que je portais à mes lèvres avant de balayer la salle du regard afin de retrouver Pitch, qui s'était éclipsé le temps de nos chamailleries avec Apo'. Je plissais des yeux voyant un type bizarre se diriger droit devant lui avant de tout bonnement se mettre à l'attaquer non mais je rêve.

Je préférais enrayer tout mouvement de panique et tout combat, Pitch serait prêt à directement rappliquer et bon sang on était le jour de Noël. C'était sensé être le jour le plus « normal » de l'année, si on commençait à se faire attaquer par des armoires à glaces sortie d'on ne sait où. Je m'étais téléporté directement derrière l'homme avant de lui tapoter l'épaule, une fois retourné je lui lançais le contenu de ma flûte au visage :

- Tenez prenez de l'alcool il parait que ça détend dis-je toujours avec le même sourire

Ce à quoi je ne m'attendais pas en revanche, ce fut aux étincelles que cela provoqua sur son visage, qu'est que c'était que ce truc ?



made by pandora.



HJ : Donc on a Terminator en guest qui a décider d'attaquer Brioche et faut s'en débarrasser, Diane lui a déjà balancé du champagne à la figure ça a provoqué un léger cour-circuit, il va finir hs. Plus jamais je ferais de pari débiles Another night with ours little star... 453450723
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Another night with ours little star... _



________________________________________ 2015-11-16, 22:09

Pitch se tourna vers son beau-frère, souriant, il ne l'admettrait jamais mais le fossoyeur trouvait les interactions entre Diane et sont frère... Amusante. Il n'y avait pas d'autre mot, ils avaient cette alchimie des plus étranges mais pourtant attachantes que seul des frères et sœurs pouvaient avoir. Et puis Apollon était l'une des rares personnes au monde à qui je confierais Orion sans hésitation, nous avions eut des débuts... Houleux, pour être gentil, oui, il avait tenter de me tuer en apprenant mes sentiments pour sa sœur. C'était la bonne époque, je pouvais me défendre au moins, là, j'étais obligé de subir ces terribles blagues dés qu'il venait voir Orion. Ha, souvenirs souvenirs, mais plus sérieusement, j'étais venu à grandement apprécier mon beau-frère, il était une bonne personne au fond, et c'était ce qui importait maintenant.
Mais s'il pouvait éviter d'apprendre à Orion à taguer les voitures, cela arrangerait beaucoup de monde. Surtout quand je savais que Jack avait quelque chose à voir dans toute cette histoire, je suppose qu'il avait toujours décidé de ne pas me faire confiance, ce qui était parfaitement normal, mais... Il n'avait pas tenter de détruire l'enfance d'Orion, comme tous les autres gardiens, et j'étais vraiment reconnaissant envers eux pour ne pas avoir exclut mon enfant. Je savais qu'ils ne le feraient pas mais... Après tout, ne serait-ce pas le meilleur moyen de se venger de moi? Mais... Ils avaient été meilleur que cela, pour le bien de tout le monde.
Le fossoyeur leva un sourcil dubitatif à la mention du nom de Jack, comme toujours, et surtout à la réplique de Diane... Vous voyez, c'était ce genre de choses qui arrivaient lorsqu'ils étaient tous les deux. Mais passons.
Le fossoyeur sourit légèrement en faisait un mouvement de tête à son beau-frère avant de partir vers le buffet, prenant un coupe de champagne et saluant quelques connaissances au passage, la soirée était belle, et je pouvais voir Aryana et le Shérif sur la piste de dance un peu plus loin, tout le monde semblait passer un bon moment un trop bon moment. J'espérais que rien n'allait venir gâcher cette soirée, Storybrooke n'était pas la plus calme des villes après tout, mais aujourd'hui je tenais particulièrement à ce que cette soirée se déroule sans encombres, simplement car Orion adorait noël et que c'était la première fois qu'il participait à une fête aussi grande. Et personne, personne, ne vient gâcher le bonheur de mon fils sans en subir les conséquences.
Pitch sirota une gorgée de champagne en regardant les danseurs lorsqu'un mouvement lui attira son attention, un homme en noir à l'air peu commode s'approchait de lui en bousculant plusieurs personnes, ces intentions étaient... Et bien, disons qu'il n'était pas très subtil par rapport à son approche. Et bien, qu'est-ce qu'un imbécile comme lui me voulait un soir de noël? Misère, je suppose qu'il y en avait toujours un pour venir gâcher l'ambiance. J'allais devoir le faire sortir discrètement, car le projeter un travers un mur semblait un peu trop... Brusque pour une soirée de noël. Peut-être le faire disparaître dans un portail?
Mais avant que le fossoyeur n'ait le temps de faire quoique ce soir, Diane apparut derrière l'imbécile et posa une main sur son épaule avant de lui vider une flûte de champagne sur le visage.

-Tenez prenez de l'alcool il parait que ça détend.

Le fossoyeur sourit en voyant Diane venir l'aider aussi rapidement, la scène attira quelques regards curieux mais sans plus, ce qui gêna légèrement plus était les étincelles qui s'échappèrent du visage de l'homme louche et Pitch l'observa de plus prêt. Pour avoir longuement côtoyer Eve après notre retour du manoir je savais que cette chose n'était pas humaine, un robot? Mais qui enverrait des robots pour s'occuper de moi un jour de noël? C'était... Un peu stupide, je devais l'avouer, mais inquiétant tout de même, Pitch plissa les yeux avant de se mettre aux côtés de Diane, je savais qu'un simple robot n'était pas une menace pour ma famille, mais il valait mieux être prudent, je ne miserais pas la vie de mon fils sur une stupide idée. Pitch donna sa coupe de champagne à Diane avant de l'embrasser sur la joue et de dire:

"Merci mon Amour, veille sur Orion quelques instants, je reviens vite."

Le Roi des Cauchemars laissa un regard lourd de conséquence au robot avant de claquer des doigts, les faisant tous les deux disparaître de la salle de bal avant de réapparaître dehors, dans une petite ruelle avoisinante. Le fossoyeur fit apparaître l'individu robotique à ses côtés et l'attrapa par le crâne, l'observant légèrement un court instant, avant de soupirer et de lui broyer sa tête de métal avec la main. Le corps du robot laissa échapper un crissement terrible et ses membres tressautèrent un dernier moment avant de s'éteindre définitivement, Pitch laissa tomber le corps mécanique contre un arbre voisin et... Observa aux alentours. Autour de lui se trouvait plusieurs grains de sable d'or ainsi que... Les restes d'un autre robot fondu? Je reconnaissais cette méthode, c'était Louise et mon bon vieil ennemi Sable. Pitch sourit en reconnaissant la manière de faire des deux, Louise était un grande amie de Diane, qui était devenue (à sa plus grande surprise) la marraine de Siegfried, leurs enfants. Et du coup Sable et moi nous étions venu à... Nous revoir plus souvent que nécessaire. Cependant, nous n'étions pas idiots, nous avions enterré la hache de guerre il y a des années de cela, mais cela ne voulait pas dire que je ne prenais pas des pincettes avec lui. Pour le bien de tout le monde.
Cependant, deux robots du même type m'avait attaqué moi et un autre gardien... Cela devenait légèrement plus qu'une simple coïncidence. Pitch se passa une main sur le visage avant de soupirer et de se téléporter de nouveau devant l'entrée de la salle pour rejoindre Diane de nouveau. Pitch s'arrêta un instant pour regarder Diane et Louise surveiller Orion et Siegfried, qui semblaient parler des cadeaux qu'allait leurs apporter le père noël. Le fossoyeur sourit devant la scène, les deux enfants s'entendaient bien malgré la différence d'âge, et je n'allais pas lui retirer un ami simplement parce que j'avais un... "léger différent" avec son père. En parlant de ce dernier, Sable était aussi en train d'observer son fils jouer avec le mien, et son visage reflétait mon expression, de la joie teinté d'une certaine fierté. Le fossoyeur s'approcha de son ancien ennemi, faisait léviter une flûte de champagne jusqu'à sa main, Sable détacha son regard de son fils pour regarder Pitch alors que ce dernier prit place à ses côtés.

"Ne t'en fait pas. Je viens en paix, et puis tu sais bien que nos femmes nous feraient regretter le moindre geste de travers ce soir. D'ailleurs Louise est très belle ce soir."

Le croque-mort prit une gorgée de champagne avant de sourire et de regarder les deux enfants jouer ensemble, un leger sourire prit place sur les lèvres du Roi des cauchemars, d'une certaine manière j'étais heureux de voir que nos deux enfants étaient amis, malgré ce que j'avais fais...

"Mais je ne suis pas ici pour parler du bon vieux temps, Sable, je viens juste t'informer que tu n'es pas le seul a avoir un léger problème avec de grilles pain ambulants ce soir. Et Orion adore noël, donc restons tous les deux sur nos gardes, d'accord. Je pense que pour la première fois de ma vie j'ai envie que noël se déroule sans encombre. "

Car je voulais que ma famille passe un bon noël. Car je voulais voir Orion sourire en même temps que Diane. Car, enfin, je comprenais à quel point les fêtes des gardiens étaient importantes, et l'erreur que j'avais faillit commettre en tentant de les détruire...


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________________________________________ 2015-11-19, 03:01

Another Night With Our Little Star
Silent Night, Holly Night...And An Allien


Bon, nous avions manifestement à faire à un robot, c'était la conclusion à laquelle, j'étais arrivé, en voyant les étincelles provoqués au contacte du liquide. Pitch s'approcha de moi, afin de me rendre mon verre, je le remerciais d'un sourire, avant qu'il ne m'embrasse sur la joue

"Merci mon Amour, veille sur Orion quelques instants, je reviens vite."

- Ne traîne pas trop dis-je simplement, avant de retourner dans la direction de notre fils, et de mon frère, qui semblaient avoir été rejoint par le troisième mousquetaires. Apparemment, Louise et Sebastian devaient être arrivé aussi. Je levais, les yeux au ciel, en entendant Apollon, leur raconter une de nos aventures où la partie de ses exploits étaient largement enjolivés, je ne résistais pas à nouveau, à l'envie de le taquiner un peu :

- Tu ne devineras jamais ce qui m'est arrivé hier soir, figure toi queHier soir, Dark Vador est venu sur Terre de la planète Vulcain et il m'a dit que si je n'invitais pas Lorraine, il ferait fondre ma cervelle !

Les enfants semblaient fasciné par cette aventure rocambolesque monté de toute pièce, tandis-que mon frère décidait de se mettre au niveau de l'âge de son neveu et de me tirer la langue, ce à quoi, je répondit exactement de la même manière, les yeux pétillants d'amusement :

- Vous voyez les garçons leur dis-je ça, c'est le genre d'histoire que tonton Apo' adore raconter. Eh ben vous savez quoi, je vous met au défit d'en raconter une comme ça tous les deux. A la fin, on ira voir Jack et on lui demandera d'élire la meilleure des quatre.

Il, n'en fallut pas plus pour que les deux garnements s'empressent de se mettre au travail. Mon, regard se porta sur Siegfried, me ramenant il y a de cela huit ans en arrière, le jour de sa naissance :

2017

Je l'avais compris, sûrement bien avant tout le monde, et Apollon aussi l'avait compris. Ce, n'était pas une grossesse normale que Louise, était en train de vivre. J'avais voulut rejeter cette théorie au loin. Me dire, que Sebastian était réellement, le père « biologique » de cet enfant. Mais, j'avais dût me rendre à l'évidence :

- Grossesse divine, lâchais-je d'une voix blanche à l'adresse de mon frère le livre, que j'avais emprunté dans la bibliothèque de la cité, entre mes mains tremblante.

J'avais voulut hurler, j'avais voulut tout casser, j'avais voulu allé faire la peau à celui de mes frères, qui l'avait mise dans cet état, mais Apollon, avait su me raisonner, comme toujours. Il, avait réussit à me calmer, il m'avait aider à libérer ma colère, sans qu'elle ne soit trop dévastatrice. Alors, j'avais fait une promesse, à Louise, à son enfant à venir et à moi même. Celle d'être là, jusqu'au bout, de ne jamais les abandonner, et surtout, surtout, celle qu'elle serait vivante pour voir son fils grandir.

Et le jour de l'accouchement, était arrivé. Je, ne savais pas comment, ça se passait. Je veux dire, j'avais lu des livre à ce sujet, mais concrètement, je n'avais jamais assisté à la naissance d'un enfant né de l'union d'un dieu et d'une mortelle, autrement dit un demi dieu. Tout, ce que je savais, c'était qu'ils n'avaient jamais une vie facile. Mais, ce fut affreux à vivre, psychologiquement parlant. J'étais resté là, à faire les cents pas comme un lion en cage, demandant sans cesse comment ça se présentait. Les infirmières qui passaient avaient bien tenté de rester évasive, mais elles avaient rapidement, compris que je ne me contenterais pas d'un simple « nous avons la situation sous contrôle », c'était de Louise dont nous parlions, celle que je considérais comme étant l'équivalent d'une petite sœur à mes yeux. Et les grandes sœurs devaient protégé, les petites sœurs, c'était dans l'ordre naturel des choses.

Néanmoins, j'avais rapidement dût me calmer, lorsque j'avais vu Sebastian, totalement déboussoler, arriver. J'avais prit sur moi, faisant fit des convenances et des barrières que je m'imposais, afin de l'étreindre. Je, ne le montrais peut-être pas assez, mais, je l'appréciais, réellement. Comme un ami, un très bon ami. Mon entourage, était bien souvent exclusivement féminin. Déformation professionnelle, dirons, nous, je m'étais toujours sentie plus à l'aise avec des filles, que des hommes. Mais, pour autant, depuis Storybrooke, depuis tout ce qui m'était arrivé, je laissais, entrer des hommes dans mon cercle relationnel, les considérant comme de vrais amis. C'était le cas là. Mais, je restais toujours un peu gauche dans ma manière de faire. Même si, honnêtement, c'était beaucoup mieux, que lors de mes débuts laborieux, avec mes colocataires. Je l'avais emmené d'autorité s'asseoir, avant de lui tendre un café afin de reprendre des forces. Louise allait avoir besoin de nous.

Et enfin, nous avions pu la voir, ils étaient sain et sauf, tous les deux. Un poids immense m'avait quitté. Et, je me sentais vidée. Littéralement, et quand, Louise me mit le nourrisson dans les bras, me demandant d'être la marraine, je sentis malgré moi, ma gorge se serrer. Avant de voir mon regard se poser sur la touffe de cheveux...noire. Je savais donc à qui allé faire la peau au cas où. Je pouvais le sentir, le bébé n'étais pas « normal » il était divin. Je, ne m'étais pas trompé. Alors doucement, même s'il ne me comprenait pas encore, je lui fit passer un message, une promesse que seule lui et moi pouvions entendre :

Tu vas voir, je vais être une super tatie, je serais là à chaque instant de ta vie. Comme j'aurais dût l'être avec ton frère. Mais ça, je le gardais, pour moi, et uniquement pour moi.

2025

Voir les enfants s'amuser, étaient un véritable bonheur, les voilà, à présent qui discutaient avec passion, des cadeaux qu'ils avaient commandés pour noël. Ils, ne les avaient pas encore reçu, parce que c'était un peu une tradition entre nos deux familles. Les deux petits étaient liés aux gardiens, aussi, avait-il été instauré que c'était le 25 au soir, que les deux les recevaient, directement de la main, du gardien chargé de tout ça. J'avais été très émue, que malgré les différences, avec son père, Orion, y ai aussi droit. J'avouais m'être retenue, de verser une larme. C'était également, le plus beau cadeau que l'on pouvait faire à une mère.

Sortant, de mes pensées ne pu m'empêcher de glousser, lorsqu'Orion décréta très sérieusement qu'il avait demandé un arc « pour faire comme maman » :

- Je crois que tu es encore un peu petit pour ça
lui dis-je amusé, attends encore deux ans et je te promet, qu'on demandera à tonton Phaïstos de t'en faire un rien que pour toi. J'avais expressément, demandé à ce que ce cadeau ne soit pas prit en compte, s'il souhaitait manier l'arc, je voulais, pouvoir être là, pour demander à mon frère de le lui fabriquer.

- Vrai de vrai ? Demanda mon fils

- Vrai de vrai assurais-je avec aplomb, avant de lui déposer un baiser sur la joue, pour le laisser en compagnie de son cousin, même si pour lui, c'était plus son meilleur ami. J'avais eu un peu peur, au début, qu'ils ne s'entendent pas, mais Siegfried avait tenue parole. Encore plus lorsqu'il avait su, que ce n'était pas une fille.

Les surveillants du coin de l'oeil, j'en profitais pour rejoindre mon double. J'avais une surprise pour lui, ce soir, mais ce n'était pas encore le moment, il nous ferait le paon pendant toute la soirée s'il le savait....

2021 Avril


Je, n'en revenais, pas d'avoir la tête plongée dans un bouquin de prénoms pour enfants, je n'aurais jamais cru que cela possible. Mais, je voulais un prénom qui rappellerait autant Pitch que moi, que l'enfant soit un garçon ou une fille. J'avais refusé de savoir, je voulais avoir la surprise, lorsqu'il serait là

- Arrête de te prendre la tête, Didi, tu as un prénom tout trouvé si c'est un garçon


Houlà, je sentais la bêtise pointer le bout de son nez, aussi décidais-je d'ignorer superbement mon frère jumeau, pour, ainsi clairement lui signifier que je n'entrerais pas dans son jeu. Hors de question. Devant mon mutisme, cette andouille décida tout de même de reprendre :

- Si c'est un garçon il doit s’appeler Apollon junior


- Certainement pas rétorquais-je, et puis quoi encore ? Tu n'es pas sensé être le dieu des arts dit moi ? Non, parce que je remet de plus en des goûts en question. L'affreux vase grecque dans le couloir juste devant l'escalier à la coloc, L'armée d'Apollon et maintenant Apollon junior. Dit moi tu es sur que le séjour dans la boucle temporelle ne t'as pas grillé les neurones ?

Je le laissais s'indigner dissimulant mon sourire en me replongeant dans le livre. La vérité, c'était que j'avais voulut rendre un hommage à mon frère et à ma sœur, pour les second prénom, s'il s'agissait d'une fille, ce serait Aryana et pour un garçon Phoebus. Mais, bien évidemment, ce devait rester secret. Aussi, seule Pitch et moi étions au courant. Même pas Louise. J'avais eu du mal, à ne rien lui dire, mais j'avais tenu bon, et j'étais fier de moi. Ce devait être une surprise.

2025


J'avais tout prévus, si je n'avais, jamais rien dit à Apollon, c'était parce que, j'avais une demande très particulière à lui faire. Je, n'étais pas très au fait, de toute ces histoires de parrain et marraine. Mais, je savais que s'il devait nous arriver quelque chose avec Pitch, je souhaiterais, que ce soit avec lui, qu'Orion aille. Alors, je voulais, ce soir, lui demander d'être son parrain, et par la même occasion, lui révéler le second prénom de son neveu. J'y tenais vraiment, ça pouvait paraître stupide. Mais, pour moi, c'était l'ultime preuve d'amour, d'une sœur à son frère jumeau. Nous avions, partagé tellement, de choses ensemble, traversé tellement d'épreuves, je lui devait au moins cela :

- Je vais me rechercher du champagne, ma coupe est vide, surveille moi ces deux monstres, et ne leur apprends rien de stupide
terminais-je en pointant un index menaçant en direction de mon jumeau. De loin, je pouvais voir Pitch, qui s'approchait de Sebastian afin de discuter avec lui, avant que les deux ne se séparent. Je revins, pour ma part aux côtés de l'homme que j'aimais, le sourire aux lèvres :

- On peu dire, que le début de soirée fut mouvementé
commentais-je mais au moins cela n'a pas eu l'air de trop perturber Orion, regarde le, il s'amuse comme si de rien n'était

Un hurlement se fit entendre tandis qu'une créature sortie tout droit d'un film de science fiction futuriste, venait de faire son apparition, sortant du plafond :

- Nom de Zeus jurais-je ça ne va pas recommencer

Oui, « Nom de Zeus » pour moi, c'était une injure. Vu comment, était le vrai Zeus, on pouvait largement, me comprendre. Quoi qu'il en soit, lui aussi, semblait avoir jeté son dévolu sur Pitch. Ah non, cette fois-je j'étais encore moins d'accord. Me plaçant en bouclier droit devant lui je m'approchais de la créature la fusillant du regard :

- Toi tu vas m'écouter et tu fait comme dans l'infanterie : tu te tire ailleurs

Non mais vraiment, il avait choisit la mauvaise personne à qui s'attaquer ce soir, surtout qu'il ne semblait vraiment pas disposé à partir, non à la place, il avait l'air d'avoir jeté son dévolu sur mon cavalier. D'accord...Il, était tant pour moi de passer en mode « déesse de la chasse ». Faisant, immédiatement je fit apparaître mon arc. L'alien, sembla comprendre ce qu'il se passait, puisque rapidement, il prit la tangente. Ah il, était rapide, je devais le reconnaître mais pas assez pour moi. Courant, sans le quitter des yeux je sautais sur le rebord, du buffet afin de m'en servir comme tremplin, Avant de faire apparaître une flèche d'argent, et de bander mon arc, avant de tirer droit en direction de l'oeil de ma cible. Qui finit, par pousser un râle avant de rendre l'arme très rapidement. Les flèche étaient mortels, pour quiconque n'était pas de nature divine :

- Continuez votre fête mesdames et messieurs, tout est son contrôle dis-je tout sourire à l'ensemble des gens présent.

D'un claquement de doigt, je fit disparaître, le corps de ma « proie », avant de me diriger tranquillement, en direction de Pitch, Apollon, et Orion. Même pas une éclaboussure, sur ma robe immaculée :

- Bien avant qu'il y ai une autre mauvaise surprise, monsieur Black m'accorderiez vous cette danse ? Demandais-je en entendant un air de valse.



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Another night with ours little star... _



________________________________________ 2015-11-24, 23:23

2017

Pitch... Était habituellement à l'aise dans les hôpitaux, principalement parce qu'il n'y allait jamais en tant que patient mais parce qu'il avait connu des milliers de gens avec la simple phobie d'entrée dans un hôpital. Donc le fossoyeur était en terrain "connu" s'il pouvait se le permettre. Et pourtant, lorsque le Roi des Cauchemars se téléporta à l'extérieur avant de rentrer, il n'osa pas dépasser le hall d’accueil. Pourquoi?
Parce que se pointer à l’accouchement d'un de ses anciens pires ennemis n'était pas le meilleur moyen de remonter l'ambiance, surtout avec mon apparence de faucheur, si j'étais vraiment, vraiment méchant je pouvais simplement changer mon apparence et entrer en douce dans la salle d'opération, mais il y avait une limite à ne pas franchir. Mais passons, je ne savais... Pas réellement pourquoi j'étais venu, je savais que je n'avais pas ma place en ce lieu maintenant? Alors pourquoi? Parce que je pouvais sentir la peur de Sable jusqu'à l'autre bout du continent, et que misère, je ne voulais plus la sentir. Beaucoup de choses nous séparait lui et moi, une éternité de guerre et de haine entre autre, mais bon sang, il était l'un des rares gardiens pour lequel j'avais un début de sympathie et l'une des rares personnes que je n'imaginais pas avoir peur, c'était surprenant, dérangeant même. Et heureusement que Diane était là pour le rassurer, car je n'avais qu'à fermer les yeux pour sentir la peur de Louise et du médecin (un minuscule grain de sable noir lui permit de supprimer la panique naissance qui commencer à le tourmenter, mais cela deviendra un autre secret de Storybrooke), cet accouchement... Cet accouchement était un véritable cauchemar, et venant de ma part cela signifiait quelque chose. Et pourtant, je ne pouvais rien faire pour aider qui que ce soit, aucun dieu et gardien n'allait pouvoir aider Louise en ce moment, et c'était un terrible rappel que malgré tous les pouvoirs qu'une personne pouvait avoir, il y aurait toujours une situation où il sera impuissant.
Pitch resta silencieux, se servant des ombres pour observer Diane apportant un café à un Sable... Entièrement perdu, terrifié, bon sang, on parlait de l'adversaire qui m'avait jeté un regard de défi alors que je faisais disparaître de l’existence, je ne l'avais jamais vu avoir peur, jamais, alors c'était... Terrifiant. Et les minutes paraissaient des heures maintenant, tout semblait plus long lorsque la peur nous prenait le cœur, pas vrai? Mais je connaissais la peur, et je pouvais affirmer une chose.
Chaque cauchemar se terminait par le réveil.
Pitch sourit légèrement alors qu'il sortit de l’hôpital, sifflotant un air joyeux, tout s'était bien passé, Louise avait été très courageuse... Ce gosse allait avoir une magnifique enfance, sans cauchemars, cadeau de ma part, et avec Diane pour marraine, qu'est-ce qui pourrait mal se passer? Je pouvais voir le nuage de peur qui planait autour du couple se dissiper comme la brume lors du levée du soleil. Parfois, cela faisait incroyablement du bien de voir que tout pouvait bien se terminer...

2025

- On peu dire, que le début de soirée fut mouvementé, mais au moins cela n'a pas eu l'air de trop perturber Orion, regarde le, il s'amuse comme si de rien n'était

Pitch regarda son fils jouer avec les autres enfants en souriant, oui, parfois un enfant avait le pouvoir de s'amuser en n'importe quelles circonstances, vous envoyé un raz de marée de sable noir sur la ville? Bah, ils vont faire une bataille de boule de neige et s'amuser, les garnements.

"Par expérience, je sais que les enfants ont le pouvoir de s'amuser sans ce soucier de ce qui se passe autour d'eux."

La phrase avait été dites avec un léger sourire en coin, j'espérais qu'Orion puisse toujours s'amuser ainsi, restant loin des problèmes d'adultes et de divins pendant toute son enfance. Ainsi que des robots tueurs qui s'amusait à gâcher les fêtes, haaa, c'était terrible ça. Cela faisait la... 3eme fois? 4eme en comptant la plante carnivore que Louise avait réduite en modèle réduit. Il fallait bien un peu d'animation à Storybrooke en même temps, sinon c'était trop facile. Ha, ma chère et tendre avait jurer sur son frère, il était temps que je m'éloigne d'un pas, juste au cas où. Le fossoyeur leva un sourcil dubitatif lorsque Diane prit appuie le buffet pour mieux coller une flèche d'argent dans le robot, un tir parfait bien sûr, et Pitch fut suffisamment rapide pour rattraper les plats qui avait chuté suite au saut de Diane avec un peu de sable noir et il les reposa rapidement sur les tables, je pensais qu'il fallait être discret lors de cette fête? Enfin je dis ça, je ne dis rien. J'étais certains que mon sourire en disait bien assez.

"Elle est trop forte maman..."

Pitch ria et passa une main dans les cheveux de son fils pour l'ébouriffer gentiment, il pouvait voir les étoiles briller dans les yeux de l'enfant alors que sa mère était la plus cool des mamans (et ce n'était pas négociable, désolé Louise).

"Tu vois Apollon, c'est comme ça qu'il faut faire pour avoir la classe. Tu devrais essayer un jour."

Mon beau frère m'envoya un regard oscillant entre la menace et le "gnagnagna" d'un enfant de trois ans qui fit sourire Pitch plus qu'autre chose, mais Diane avait raison et il était temps que nous dansions, cela faisait trop longtemps que nous n'avions pas profité d'une danse à deux, bien sûr, je savais qu'il était fort peut probable que la sono se mette à passer du classique en plein milieu de bal de noël, ou du jazz, mais j'étais certain que la personne derrière la sono était compétente.
Le fossoyeur, qui avait passé un bras sous celui de Diane pour l’amener vers la piste de dance, s'arrêta soudainement alors qu'il reconnu les première notes de la chanson qui venait de commencer, cela le ramena plusieurs années en arrière, lors d'un voyage qui s'était plutôt moyennement déroulé, mais bon sang, cette chanson m'avait collé de bien trop prêt à mon gout.

♫♫♫♫♫

Les deux danseurs se regardèrent avant de sourire alors que Pitch aussi les épaules, il était certain d'avoir entendu un cri de joie vers le fond de la salle, probablement Callio, pour ne citer qu'elle. Mais cette chanson était parfaite, même si elle était pas dans mon registre habituelle, mais après tout, j'avais prouvé que je pouvais changer, n'est-ce pas, alors dansons maintenant!
Pitch attrapa la main de Diane avant de la regarder droit dans ses beaux yeux bleus et de lui faire un clin d’œil joueur, et de lui faire une légère révérence, et sans prévenir, Pitch leva les bras et fit gentiment tourner la déesse de la chasse en l'attirant contre lui, lui faisait un baiser sur la joue avant de la faire tourner dans l'autre sens de nouveau, le sorcier tapa du sol avec son pied et attrapa de nouveau la main de Diane du bout des doigts, alors que les deux amoureux commencèrent à faire des rondes tout en se tenant par la main, et dans leurs sillages se leva une petite particule de sable noir qui vint se déposer sous eux, les faisant léviter et s'élevé. Les deux danseurs flottaient donc sur une fine plateforme de sable noir, et Pitch ria au éclat alors que le couple réalisa plusieurs passes sans interruption, et le fossoyeur ne quitta pas sa compagne du regard un seul instant, leurs pas étaient en parfaite symbiose, entraînés par des années d'intimités sur la piste de danse, de rire et de sourire franc et tendre qui avait battis leurs relations, et alors que la musique s'approcha (déjà...) de la fin, Pitch attrapa Diane par la taille et la fit basculer avant de plonger son regard pétillant de malice et de joie dans le sien et de l'embrasser tendrement dans le même mouvement...
Les deux danseurs descendirent de leur petit nuage pour se poser au sol, accueillant Orion qui venait nous dire qu'il voulait apprendre à danser comme nous en rentrant, et Pitch regarda l'ensemble de la scène avec un sourire en coin...
Oui... Parfois cela faisait tellement plaisir de voir que tout pouvait bien se terminer...


Diane Moon
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Another night with ours little star... Dmia

“I love you to the moon and back”


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Another night with ours little star... _



________________________________________ 2015-11-29, 03:08

Another Night With Our Little Star
I'm Fine Don't Worry


Mon cœur venait de rater un battement, à l'entente de la musique. Cela me ramena de nombreuses années en arrière, lors d'un voyage, particulièrement...Déplaisant dirons nous. Le Mexique, les pouvoirs bloqués, ou tout du moins décidant de marcher, quand ça leur chantait. La mort. Un frisson, désagréable, me parcouru l’échine en y repensant. Pour autant, je suivis, Pitch sur la piste de danse sans broncher. Il, y a bien longtemps, que j'avais laissé le passé me rattraper. Et pour ça je devais remercier Apollon. Il, avait eu des techniques...Original, dirons nous, mais au moins, elles avaient fonctionnes.

Olympe, 03 Janvier 2016

Croisant les bras sur ma poitrine, je regardais une dernière fois l'océan d'Olympe. C'était donc, bel et bien finit. Plus de Poséidon, il ne reviendrait pas sur Olympe, il ne reviendrait pas du tout. Je, n'arrivais pas à savoir, si j'étais heureuse ou bien malheureuse. Au fond, je savais que je pleurais la perte d'un grand frère, même si je n'en montrais rien et que je restais de marbre. Mais d'un autre côté. Je, ne voulais réellement, plus le voir, et n'avoir plus rien à faire à lui. Alors, je dirais que j'étais entre les deux.

Poussant un profond soupire, je m'apprêtais à partir, rejoindre les autres qui étaient déjà entré dans la cité, quand une voix me sortie de mes pensées :

- Regarde Didi, c'est de la même couleur que ta robe

- De quoi est-ce que tu...

Un hurlement, plus tard, et je me retrouvais la tête totalement hors de l'eau. Apollon, venait littéralement, de me jeter dedans. Et en plus, il en riait cet imbécile. Autant, dire que mon humeur à moi, était plutôt, mauvaise et que je n'attendis pas une seule seconde pour le lui faire savoir :

- Non mais je peux savoir ce qu'il t'as pris espèce de crétin ? On, ne jette pas les gens dans l'eau comme ça !

- Tu verrais ta tête rétorqua-t-il moqueur

Qu'il se moque de moi, ne m'avait très clairement, pas plu, aussi avec un cri de rage, m'étais-je mise à l'éclabousser. Il, n'y avait pas de raison, pour que cette andouille ne soit pas aussi trempé....Sauf, que j'avais oublié, que dans ces moments là, mon frère était tout sauf sérieux, alors après avoir enlevé, chaussure, et veste, de costume, s'était-il reculé...Pour faire une bombe dans l'eau, m'éclaboussant encore plus au passage. J'ignorais, quand exactement, l'amusement, avait prit le dessus, sur le désir de vengeance, mais on était là, tous les deux, à rire comme des enfants, à nous éclabousser, à tenter de couler l'autre. Et bon sang, qu'est que ça faisait du bien, pour une fois, de totalement, oublier ses problèmes, de n'être qu'Artémis et Apollon, une sœur et son frère en train de s'amuser. Nous, n'étions plus des dieux, nous n'étions plus le maître d'Olympe et son second. Nous, étions juste nous

- Apollon, tu es le roi des imbéciles. Mais surtout, ne change jamais rien

Je me souviens m'être approché de lui, pour le serrer dans mes bras. Notre complicité, avait encore évolué, la séparation, l'année écoulée, Chronos. Tellement de choses, qui faisaient que nous devions, nous serrer les coudes, plus que jamais. Et, que peu importe, ce que nous aurions à traverser encore, on resterait soudé.

2025, bal

Je me laissais, porter par la musique, par la danse, c'était comme si, le monde entier, avait disparu, ne restait que Pitch, et moi. Je souris néanmoins, en repensant à tout à l'heure. Ma sœur, nous avait fait, un signe de main, auquel j'avais répondu. Avant de me pencher vers Orion, qui fixait le ventre de sa tante avec beaucoup d’insistance. Il, fallait dire, que contrairement, aux enfants de son âge, lui ce n'était ni un petit frère, ni une petite sœur, qu'il demandait. Non, c'était un cousin ou une cousine. Alors, quand je lui avait appris que tatie Arya, attendait un bébé, ça avait été assez amusant, de le voir demander, tout le temps, quand est-ce que le bébé serait là. Je, n'étais pas sur, qu'Aphrodite ai été du même avis que moi d'ailleurs. Mais, elle savait, ce que c'était, d'avoir un enfant en bas âge. Elle, était déjà passé par là.

Lentement, alors que la musique se finissait, je revins petit à petit à la réalité, profitant, néanmoins, des derniers moments, de magie lorsque les lèvres, de celui que j'aimais, touchèrent les miennes. Je levais, juste mon indexe de manière menaçante à l'intention de mon frère, afin d'enrayer toute tentative de moqueries. Je, le connaissais, bien, un peu trop même. Il, n'hésiterait pas une seconde. Il, pouvait aussi, faire preuve de sérieux, quand il le souhaitait, mais hélas, ce n'était pas la majorité du temps.

Je sourit, franchement à Orion, lorsqu'il s'avança vers nous, annonçant qu'il voulait apprendre à danser de la même façon :

- On t'apprendras, promit dis-je mais tu sais, ton oncle aussi, peu le faire. On dirait pas comme ça, mais c'est un très bon danseur.

J'étais bien placé, pour le savoir, vu toutes les fois où nous avions dansé tous les deux. Je me moquais, de ses goûts, mais je ne pouvais, pas nié qu'il avait pas mal de talent. La danse, et la musique, notamment, le piano en faisaient partis.

Secouant la tête, je me décidait finalement, à engager la discussion avec Louise. Enfin, jusqu'à Orion, ne tire sur ma robe, de manière insistante, me baissant à sa hauteur, je l'interrogeais du regard :

- Maman, regarde il y a Sasha, Ondine et Pierre

Arquant un sourcil, -et tentant par la même occasion de me rappeler qui étaient ces trois là-, je jetais un regard dans la direction, que notre fils avec Pitch, pointait. Et évidemment, mon visage, se décomposa immédiatement. Je me souvenais, maintenant de qui il s'agissait. Elliot, en bon cousin qu'il était, avait décidé d'initier Orion, aux jeux vidéos -En réalité je l'avais toujours soupçonné, de faire ça, parce que Neil, était une catastrophe à ce genre de choses. J'avais un peu fait la grimace je l'avoue. Du coup, il avait commencé, par les « bases » d'après lui. A savoir, Pokemon. Hélas, pour son père, et pour moi, du haut de ses quatre ans, notre petit garçon, en était devenu un fan, inconditionnel. Et, j'avais passé, suffisamment, de temps à le regarder jouer, pour savoir, ce qui se préparait :

- Bon travail, d'équipe annonçais-je à mon frère et mon compagnon : Apollon, tu te charge de la rouquine, Pitch de celui à la casquette. Orion et moi, on se charge de tête de porc épique. Oh, et mon amour, s'il te plaît, subtilité dis-je à l'adresse de Pitch, évite de traumatiser ce pauvre garçon, on chercher juste à les faire partir d'accord ? Et puis, ça rendrait Orion triste.

Je ponctuais ma phrase, d'un baiser sur la joue, avant de prendre Orion, dans mes bras, et de nous diriger droit, vers tête de Porc épique -ou Pierre, puisque tel était son nom- :

- Bonjour, excusez moi dis-je avec un sourire, vous êtes à un bal, et faire un combat de Pokemon, n'est pas du tout une bonne idée, d'un point de vu sociale. Prenez plutôt, du temps, pour faire de nouvelles rencontres. Je veux dire, vous n'allez pas rester dresseur pokemon toute votre vie, d'un point de vu situation, financière, ça risque d'être un peu juste non ? Mais vous savez, moi je ne crois pas qu'il y ait de bonnes ou de mauvaises situations. Moi, si je devais résumer ma vie, aujourd'hui avec vous, je dirais que c'est d´abord des rencontres, des gens qui m'ont tendu la main peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j'étais seul chez moi. Et c'est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée. Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l'interlocuteur en face, je dirais le miroir qui vous aide à avancer.
Alors ce n'est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire j'ai pu, et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie, je ne suis qu'amour. Et finalement quand beaucoup de gens aujourd'hui me disent : « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? » eh bien je leur réponds très simplement, je leur dis : « C'est ce goût de l´amour », ce goût donc, qui m'a poussé aujourd'hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi.

Le jeune homme devant moi, semblait complètement perdu. Et tant mieux, d'ailleurs, c'était le but recherché. Caser, des phrases sans queue ni tête, monter tout un monologue ne voulant strictement, rien dire, pour l'embrouiller, tout ça, pour fixer son attention, ailleurs, pendant que Pitch, et Apollon, s'occupaient des deux autres. J'avais totalement, renoncé, à l'idée d'avoir un bal calme. De toute façon, nous étions à Storybrooke. Je crois que même, la pauvre April, avait finit par jeter l'éponge. Je l'admirais. Elle, avait surmonté, le décès de mon frère avec une force, que peu de personnes auraient eu. Je savais, qu'elle avait aimé Arès, qu'ils avaient fait un bout de chemin, ensemble, et qu'ils avaient pensés, leurs blessures mutuellement. Malheureusement, il était partit, plus vite, qu'on l'aurait tous souhaité.

Laissant, mes sentiments, personnels, de côté, je me retournais, à nouveau vers le jeune homme, avant de refaire un jolie sourire et de reprendre :

- Où en étais-je déjà ? Ah oui, tout ça pour dire que il est fan dis-je en désignant, mon fils, toujours dans mes bras. Vous voudriez bien lui signer ça ? Demandais-je en faisant apparaître une carte pokemon, suivit d'un stylo. C'est Noël, après tout.

En un rien de temps, le combat était enrayé, et Orion avait un autographe. Le reposant, à terre, je lui tendis la carte, qu'il regarda, comme s'il s'agissait du saint graal. Le tout, avant de se jeter à mon cou. Je retins, mes larmes, à grand peine. Je, crois que je n'avais, pas été aussi émue, depuis le jour de sa naissance.

Olympe, 6 Juin 2021

L’inactivité, me pesait. Déjà, que j'avais tout l'air d'un cachalot échoué sur la plage, alors si en plus, je devait, rester chez moi à ne rien faire, j'allais réellement devenir folle. J'avais besoin d'activité. J'étais là déesse de la chasse, j'avais besoin de bouger. Fort heureusement, mes hormones de grossesses, n'influaient pas sur mes capacités divines de base. Non, en fait, j'évitais soigneusement, d'utiliser la manipulation naturel, depuis la fois où j'avais utilisé des racines en voulant, protéger Aphrodite, pour tentant d'immobiliser notre ennemi, elles s'étaient retrouvé à jouer les Boa Constrictor sur ma sœur, et évidemment, je n'avais rien trouvé de plus intelligent à dire sur le moment que « oops ? » Si elle, m'en avait voulut, elle n'en avait rien dit, et honnêtement, je l'en remerciais énormément. Depuis, j'avais cessé, d'utiliser mes pouvoirs.

Mais voilà, plus de mission, et maintenant, plus le droit, d'assister aux réunions. Apollon, me croyait-il mourante ? Je, n'étais pas en sucre et comptait bien le prouver, aussi, m'étais-je téléporté, directement sur Olympe :

Arté ? Qu'est que tu fais là ? S'était étonné mon jumeau

- Mon job dis-je sèchement,
je suis ton second non ? Alors, laisse moi, assumer mes responsabilités

- Mais, Didi tu as vu ton état ?

- Je suis enceinte Apollon, pas en train d'agoniser

Le soucis, c'est que le ton avait commencé, à monter entre nous, évidemment, nos frères et sœurs, présent, avaient vite prit la poudre d'escampette. Une réelle, dispute, entre nous deux, était quelque chose d'aussi rare, que dangereux. On, en venait pas au mains, mais disons, qu'on avait une certaine tendance à crier très fort, et à taper là où ça faisait mal, on va dire. Évidemment, ça se finissait, par des larmes, et des excuses interminable. Et le calme plat pour les 5000 prochaines années au moins. Le soucis, c'est que là, ça a un peu, accéléré ce qui était prévus pour dans deux semaines seulement :

- Apo' articulais-je le bébé arrive

- Quoi maintenant ?

- Non dans trois jours, oui évidemment, maintenant !

J'étais mauvaise, et je m'en rendais compte. Le pire, étant peut-être, que je n'arrivais, pas à ne pas l'être. C'est donc un Apollon totalement paniqué -les hommes étaient vraiment des petites natures- qui m'avait téléporté, jusque dans mon ancienne chambre à la coloc. Demandant, ce qu'il pouvait faire. Je lui avait donc, demandé -ou plutôt ordonné- d’appeler Aphrodite. Dans ce genre de moment, on a l'impression, que l'on n'arriveras à rien seule. Et, la présence, de ma sœur, qui avait déjà vécu une expérience similaire, me rassurerait.

Le travail avait été long, et cela n'avait strictement rien, d'une partie de plaisir. Contrairement, aux idée reçus, oui les déesses aussi souffraient, en donnant la vie. Ce, n'était pas réservé aux mortelles uniquement. Mais, lorsque j'avais croisé, pour la première fois, le regard de mon fils, tout ça fut bien loin.

2025, bal

Je m'étais légèrement, isolée, j'avais besoin de réfléchir un peu. Malgré, le fait que tous nos soucis, d'il y a dix ans, me paraissaient bien lointain, il m'arrivait encore de me mettre volontairement à l'écart afin de laisser libre cour à mes pensées. On, avait abordé, la discussion « mariage » avec Apollon, il y a pas si longtemps, je ne savais même plus, comment on en était arrivé là, à la base, nous parlions de Neil -j'avais enfin réussit à pleinement accepter leur relation à tous les deux- et puis, de but en blanc, allez savoir pourquoi il m'avait demandé, si je comptais me marier. Je, me souviens, avoir répondu, que je n'en savais trop rien. J'y songeais, mais, était-ce vraiment nécessaire ? Je, n'avais toujours vu le mariage que comme une formalité. Je regardais, toujours les futur mariée d'un œil critique, ne comprenant pas, pourquoi elles faisaient toute une histoire de cet événement. Surtout, que dans le passé, elles étaient vendu comme du bétail, par ce simple engagement. Alors, non, je n'avais jamais, vu la « magie » derrière tout ça. Pour moi, il, n'y en avait pas. De plus, je ne me voyais pas avec la longue robe blanche, et tout le tralalala. Je, n'imaginais, même pas de cérémonie. J'étais quelqu'un de discret, et me voyait mal, inviter mon cercle de connaissance -qui s'était largement agrandit au fil des années- à une cérémonie en grande pompe. Ça, ne me disait rien.

Poussant un léger soupire, je sentis, soudainement, une présence derrière moi. Pas besoin, de me retourner. Auparavant, c'était mon frère qui l'envoyait, mais notre relation, évoluant, il avait finit, par sentir quand j'étais troublé, aussi bien que si nous avions partagé le même lien, que j'avais avec Apollon :

- Tu, n'avais pas besoin de venir tu sais dis-je doucement, il n'y a rien d'alarmant, j'avais juste besoin, d'un peu de calme, histoire de faire le trie dans mes pensées.

On appelait ça mon "cafard annuel" entre nous -le nom était d'Apollon et je l'avais pour une fois bien aimé- ça m'arrivait souvent, à la période de Noël, et ça ne durait jamais très longtemps, voilà pourquoi, je n'avais pas voulu, que Pitch se dérange à venir voir si tout allait bien.



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________________________________________ 2015-12-02, 21:13

J'étais certain que notre fils ferait un excellent danseur si jamais il décidait de s'y mettre, cela allait être presque naturel pour lui, et même, il avait surement les deux meilleurs professeurs du monde pour lui apprendre, et beaucoup de temps devant lui. Le dieu de la danse même, enfin je supposais que mon beau-frère l'était. Oui, il devait l'être. Mais passons, parce que bien sûr, le bal ne pouvait pas rester normal le temps d'une danse, bien sûr, mais je m'en doutais après tout. Nous étions à Storybrooke, et tout arrivait à Storybrooke, donc nous avions simplement devant nous l'un des trios favori d'Orion, j'ai nommé Sacha, Ondine et... Heu... Pierre? Oui, c'était ça Pierre. Personnellement je n'y connaissais rien à Pokemon, voir même au jeux vidéos, alors je n'avais nullement exprimé de désaccord lorsque Elliot avait petit à petit convertit ma petite tête blonde à l'univers coloré de Pikachu et de ses compagnons, et je n'avais rien contre, vraiment, l'esthétique de certaine de ses créatures pouvaient parfaitement être l'oeuvre d'un de mes cauchemars. Branette principalement, excepté pour son nom, elle était une petite créature cauchemardesque à souhait. Mais passons, le trio était là, et surement prêt à balancer leurs pokéball à travers tout le hall, ce qui était une... Mauvaise idée. Un duel en plein milieu de la salle allait mal se terminer, même si cela ferait extrêmement plaisir à Orion, j'en étais certain.

- Bon travail, d'équipe, Apollon, tu te charge de la rouquine, Pitch de celui à la casquette. Orion et moi, on se charge de tête de porc épique. Oh, et mon amour, s'il te plaît, évite de traumatiser ce pauvre garçon, on chercher juste à les faire partir d'accord ? Et puis, ça rendrait Orion triste.

Pitch haussa un sourcil dubitatif à Diane avant de secouer la tête de gauche à droite et de dire:

"Voyons mon amour, tu sais bien que la subtilité cela me connait."

Lorsque je le voulais, ce qui n'était pas souvent, mais cela m'arrivait bien sûr. Bon certes, j'avais un peu rasé quelque manoir maudit par-ci par-là, tuer quelques magiciens qui avaient la grosse tête, mais rien de bien terrible depuis plusieurs années déjà. Et puis c'était noël, un très bon noël même, alors pourquoi j'irais tout gâcher en expulsant ce trio un peu inconscient par les fenêtres? Non, ce n'était pas mon genre.
Enfin pas ce soir en tout cas.
Pitch croisa les mains dans son dos avant de s'approcher du jeune dresseur pokemon qui venait de faire jongler sa pokeball, Pitch créa un petit nuage de sable noir qui arrêta le projectile en plein vol avant de le faire léviter jusqu'à lui, regardant la sphère rouge et blanche d'un œil curieux, ceci attira le regard de Sacha qui s'approcha du fossoyeur, ce dernier lança négligemment la pokeball alors que le jeune dresseur l'attrapa en plein vol avant de déglutir péniblement. Alors le Roi Cauchemar plongea son regard dans celui de Sacha et celui-ci fit un pas en arrière instinctivement.

"Tu sais qui je suis."

Le dresseur rangea sa pokeball d'une main tremblante et hocha difficilement la tête, Pitch lui offrit un sourire qui ne promettait rien de bon avant de dire au jeune imbécile un seul mot, c'est tout ce dont il avait besoin pour être efficace, après tout.

"Sors."

Sacha hocha rapidement la tête, blanchissant à vue d’œil, avant de remettre sa casquette correctement et de se diriger vers la sortie la plus proche sans se retourner. Pitch se détendit, bien, voilà une bonne chose de faite. Le fossoyeur se retourna et son cœur fondit instantanément devant le regard de Diane alors qu'Orion était pendu à son cou, heureux comme jamais. C'était un tableau touchant, très touchant, et j'avais presque envie de venir les serrer dans mes bras tous les deux pour leurs dire à quel point je les aimais. C'était des scènes comme celle-ci qui illuminaient mes jours désormais, et je n'avais jamais été aussi heureux que depuis la naissance d'Orion... J'étais tellement chanceux...

Plus tard, alors que Pitch aperçut l'absence de sa compagne et s'éloigna d'Orion (tout en le surveillant avec son sable, comme il le faisait toujours, nous n'étions jamais trop prudent), il rejoignit Diane sur le balcon, devinant qu'elle était troublée. Ne me demander pas comment, je ne saurais vous répondre, mais je savais lorsque quelque chose tracassait Diane, je le savais juste. C'était aussi simple et complexe que cela. Cependant, je n'aimais pas la laisser trop longtemps seule, je savais ce que la solitude pouvait faire sur un esprit anxieux, et noël n'était pas le jour des tristes pensées.

Tu, n'avais pas besoin de venir tu sais, il n'y a rien d'alarmant, j'avais juste besoin, d'un peu de calme, histoire de faire le trie dans mes pensées.

Pitch ne fit aucun commentaire, s'approchant doucement de sa compagne avant de poser sa main sur la sienne pour l'entourer tendrement, le fossoyeur leva les yeux vers la Lune, magnifique comme chaque soir, et le couple savoura le silence durant quelques minutes, pas de paroles, juste le contact de nos mains et nos yeux perdus dans l'infinité de l'espace. C'était reposant, un moment d'intimité qui était devenu presque trop rare depuis la naissance de notre fils, que nous aimions de tout notre cœur.
Malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin.

"Tu penses au mariage, n'est-ce pas?"

D'après son expression, j'avais vu juste, c'était un petit coup de chance de ma part, mais il n'y avait pas grand chose d'autre qui pouvait la tracasser après dix ans de relation, je savais que c'était encore un sujet sensible pour elle, pour de nombreuses raisons. Pitch posa son autre main pour capturer celle de sa compagne et se tourna vers elle, la regardant avec un tendre sourire que seul elle et Orion connaissaient. Il était temps que je sois franc avec elle.

"Mon amour, regardes moi, tu as déjà fais de moi l'homme le plus heureux au monde. Alors pourquoi aurais-je besoin d'autre chose? Je sais que l'amour que tu me portes, que notre amour, n'a pas besoin de cette simple formalité. Je suis déjà comblé par l'enfant que tu m'as donné, par ta simple présence. Alors qu'importe une cérémonie solennelle et conforme, je préfère faire la fête avec toi, jusqu'à la fin des temps"

Et le fossoyeur ponctua cette promesse en attirant Diane dans ses bras, sentant ses cheveux blonds chatouiller son visage, et le Roi Cauchemar devait avouer que ce simple contact remplaçant des centaines de cérémonie.
Bon sang, qu'est-ce que je l'aimais.
Toujours dans son étreinte, le fossoyeur laissa échaper un léger sourire avant de dire:

"Tu veux rentrer? J'ai légèrement peur que Apollon ai dragué Ondine sans faire exprès, et que si Orion voit l'une de ses héroïnes préférées bavé sur son Oncle cela risque de le marquer à vie."


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________________________________________ 2015-12-07, 01:58

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Pitch, fit mouche en un rien de temps, et mit le doigt sur le problème. Le mariage, cette foutu institution, qui avait bien trop souvent tendance à me parasiter l'esprit. Je, me doutais, bien, qu'il n'attendait rien de moi, de ce côté là, et il me le confirma. On, avait déjà tant vécu ensemble, et puis Orion, était déjà le symbole que nous, nous aimions. Pour autant, parfois j'avais cette peur irrationnelle, que tout ce que j'avais construit, pourrait tout d'un coup s'écrouler aussi facilement, qu'un vulgaire château de carte :

- Je sais, que je ne devrais pas tracasser pour ça. Mais, tu vois, j'ai passé ma vie entière à fuir. Avec Apollon, on traversait les âges, nous mêlant aux mortels, pour fuir le fait, que notre frère était un tyran. En arrivant, à Storybrooke, c'est mon passé, que j'ai cherché à fuir, après, ce sont tous ceux qui m'étaient cher que j'ai fuit. J'ai cette...Stupide, tendance à faire l'autruche, et à prendre mes jambes à mon cou, à la moindre difficulté. Et ça, ce que j'ai construit avec toi, j'ai cette angoisse absolument ridicule, que je pourrais le perdre d'une minute à l'autre. Il, ne pourra rien y avoir de pire, que Chronos, mais c'est la première fois, que je m'établit réellement quelque part. Que, j'ai une famille, une vrai famille, et je veux pas la perdre.

Etais-je réellement en train de parler de mes craintes avec le gardien de la peur ? La situation, était assez cocasse quand on y repensait. Généralement, c'était tout à fait, le genre de conversation, que l'on évitait avec lui. L'idée me fit sourire. Je me contentais, de simplement, fermer les yeux, profitant, de l'étreinte, que l'on partageait tous les deux. Avec la naissance, d'Orion, il avait fallut faire de nombreuses concession. Notamment, celle que les moments, à deux, comme celui-ci, devenaient rare. Je, ne regrettais, pour autant, en rien sa naissance. Je l'avais voulut. Toutes, ces années, à devoir faire une croix, sur ce désire de maternité, refusant de me montrer, égoïste, et quand enfin, nous avions réussit, toute menace avait été écarté, j'avais pu avoir ce que je désirais tellement. Alors, pour rien au monde, je ne regretterais la naissance de mon petit garçon.

Je, sentis Pitch, s'agiter en santant, les soubresaut de mon corps. A vrai dire, j'essayais à grand peine, de dissimuler un début de fou rire. Sa dernière remarque, n'était pas resté, sans effet. Mais imaginer, Ondine, en train de baver mon frère...L'image qui s'imposait dans mon esprit était des plus comiques. Pitch, sembla d'ailleurs se rassurer lorsqu'il entendit un hoquet ressemblant plus à celui d'un rire, que de quelqu'un qui fondait en larme. Je restais plusieurs minutes comme ça, à évacuer la pression, en riant simplement. Avant d'essuyer, les larmes qui étaient apparus aux coins des mes yeux, à cause de ça :

- fabuleuse réception, je n'avais pas vu autant d'amour depuis que Narcisse s'était découvert lui même, dis-je en pointant mon pouce en direction de l'intérieur où je pu voir mon frère tenter d'apprendre à danser à son neveu, évidemment, la boutade visait mon jumeau. Quant à mon fils, et son apprentissage de la danse, il se débrouillait d'ailleurs se débrouillait plutôt bien, pour quelqu'un de son âge. Immédiatement, une bouffée de fierté m'envahis :

- Non, on va rester dis-je finalement, je lui ai promit que dès qu'il serait assez grand, on l’emmènerait au bal, avec nous. Il, va avoir 5 ans, c'est la première année où il y va vraiment. Je, ne veux pas lui gâcher la soirée dis-je faisant référence à Orion.

D'un mouvement, vif, je me levais, rassemblant les pans, de ma robe, tout en faisant bien attention, à ne pas la froisser, et prit la main de l'homme que j'aimais dans la mienne, avant de lui sourire. A peine avions, nous fait un pas, à l'intérieur, que notre fils se dirigea droit dans notre direction, oubliant totalement son oncle, pour nous dire, tout exciter, qu'il apprenait à danser, pour faire comme nous :

- On poursuivra ton apprentissage à la maison, dis-je en échangeant un sourire complice avec son père.

Il, n'y avait aucun autre incident, qui se profilait à l'horizon, aussi décidais-je, d'aller me chercher à nouveau une coupe de champagne. Le tout, en ignorant parfaitement, la pique de mon frère, me disant d'y aller « molo sur l'alcool », ça ne faisait que la seconde de la soirée, et de toute façon, ça n'avait absolument, aucun effet sur mon organisme. J'en profitais, également, pour prendre une part de buche, afin de l'apporter à Orion. Je, savais parfaitement, que celle au trois chocolat, lui faisait de l'oeil depuis que nous étions arrivés. Je m'apprêtais, d'ailleurs, à demander à Pitch, s'il souhaitait, lui aussi, quelque chose. Tant, que j'étais au buffet autant en profiter. Sauf, que quelque chose, d'absolument, pas prévu, arriva. Au volant, d'une voiture, bousculant, tout le monde, arrivait, une bande de lapin crétin. A vrai, dire, si ça n'avait été qu'un tout petit peu de tapage, je ne m'en serais, pas préoccupé. Mais, ils fonçaient, droit sur Orion, qui était en train de s'amuser avec Siegfried.

L'instinct, de protection, reprenant, le dessus. Mon premier réflexe, avant même, de sortir mon arc. Ce, fut la téléportation. J'arrivais, juste devant les garçons, avant de les prendre tous les deux par la main. Et de les amener à l'autre bout de la salle :

- Surtout ne bougez pas, leur ordonnais-je

Vu mon air, sérieux, les garçons, ne bronchèrent pas. A nouveau, je me téléportais, mais pour arriver, juste devant, les rongeurs au cerveau atrophié, et leur voiture téléguidé. Sans, leur laisser, le moindre temps de réaction, je posais mon pied, sur l'engin motorisé, ce qui eu pour effet, de l'arrêter. J'étais, en colère, très en colère. Terminator, l'alien et les Pokemon ça passait encore, mais que mon filleul et mon fils aient faillit, être blessé, là, non clairement pas :

- La télécommande ordonnais-je d'un air implacable tout en tendant ma main ouverte dans leur direction

Ils, ne se firent pas prier, à peine l'eus-je en main, que je la serrais, dans ma poigne, jusqu'à ce qu'elle ne se brise :

- Disparaissez ordonnais-je menaçante

Là, non plus, ils ne se firent pas prier, et prirent la poudre d'escampette

Je vais me calmer
dis-je mentalement à l'adresse de mon frère.

Quittant, le bal, je me téléportais, directement, en direction de la forêt, m'enfonçant, un peu plus dedans à chaque pas. Je, la connaissais par cœur, elle était mon domaine, mon territoire. Ma tenue, changea également. Ma robe de bal, fut remplacé, par une tenue approprié, de même que mes escarpins à talons, qui laissèrent leur place à une confortable, pair de boots. Il, fallait que je m'aère l'esprit, que je me défoule, que je fasse quelque chose. Pas question, qu'ils voient leur marraine et mère, dans cet état. Particulièrement, le soir de Noël, rien ne devait le leur gâcher. C'était la double, promesse, que je m'étais faite, à la naissance de chacun. Mon soucis, c'était l'empathie, je ressentais, toujours les choses plus intensément que les autres, à cause de ce don, et il arrivait, que oui. Je fasse une montagne de pas grand chose.



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________________________________________ 2015-12-13, 20:53

Le fossoyeur fut surpris de sentir les soubresaut de sa bien-aimée, il relâcha son étreinte, légèrement inquiet de sa réaction, avant de se détendre et de sourire légèrement en voyant que mon commentaire avait fait mouche, le Roi Cauchemar laissa échapper un léger rire à son tour, qui fut entraîné par le fou rire de Diane, et cela durant plusieurs minutes le couple ne put que rire sans s'arrêter, dés que Pitch pensait reprendre le contrôle de ses émotions, il croisait le regard de Diane et tentait vainement d’étouffer le rire qui revenait, en vain. Aussi étrange que cela pouvait paraître venant de ma part, cela faisait du bien de rire sans retenu un fois de temps en temps. Je n'avais pas besoin de me cacher et de me retenir avec elle, nous parlions toujours à cœur ouvert, sans retenu ni image, c'était l'une des rares personnes au monde avec qui je pouvais partager un rire aussi franc et honnête, et c'était surement cela qui le rendait plus beau encore.
Le fossoyeur reprit une grande respiration avant de remettre sa cravate correctement, toujours avec un grand sourire sur ses lèvres, et de suivre Diane sans hésitation... Pour tomber sur une scène étonnamment touchante, mon beau frère en train de danser avec mon fils, Orion. Et les deux se débrouillaient bien, c'était normal pour Apollon, mais... Orion était vraiment adorable, et petite tête blonde pleine d’énergie et de rêve enfantin, et je voulais protéger ses rêves et ce sourire, je comprenais mieux encore les buts des gardiens désormais, personne ne devait effacer se sourire comme j'avais tenté de le faire lors de la dernière guerre contre les gardiens, mais... Il ne fallait pas oublier que la peur avait son importance quand même. Mais... Orion savait déjà cela, mon sable noir n'avait pas d'effet sur lui, il le maîtrisait déjà et savait naturellement s'en protéger. J'étais... Incroyablement fier de lui.
Le Roi Cauchemar attrapa la main de la femme de son cœur en la suivant, regardant Orion quitter son oncle pour revenir vers nous, toujours aussi brillant et souriant, et Diane avait raison, nous continuerons son éducation de danseur à la maison, nous avions la place après tout. Mais enfin, la soirée semblait battre son plein malgré les différents accidents (qui étaient choses commune à Storybrooke, donc pas de dérangement) tout le monde s'amusait et riait, Pitch regarda une voiture petite voiture bousculer certaine personne, et au volant de cette voiture ce trouvait des... lapins? Hum. Je blâmais Jeff sur ce coup, tout le monde savait que les lapins du Wonderland avaient certaine habitudes inhabituelles pour des lapins, cela aurait pût bien se passer si la dîtes voiture ne se dirigeait pas directement sur mon fils et sur celui de Sable, et Pitch n'eut même pas le temps de se téléporter que Diane était déjà sur le coup et... Aussi en colère que moi. Elle mit les enfants en sécurité et Pitch jugea prudent de se téléporter aux côtés des enfants, la déesse lunaire se chargea rapidement de faire déguerpir ce groupe de lapin stupide avant de disparaître de nouveau. Le fossoyeur soupira légèrement, sachant déjà où est-ce qu'elle était aller pour se calmer un peu, Pitch sentit une petite main prendre la sienne et baissa le regard pour tomber sur les yeux légèrement troublé de son fils.

"Pourquoi Maman est en colère? "

Pitch s'accroupit au niveau de son fils avant de lui sourire tendrement et de passer une main dans ses cheveux blonds, le geste le fit légèrement rire et le calma légèrement, puis Pitch lui dit:

"Parce que tu es ce qu'elle a de plus précieux au monde, et qu'elle ne veut pas te perdre. Alors elle a juste eut un petit peu peur, ne t'en fais pas, je vais la chercher. Reste avec ton oncle, je n'en ai pas pour longtemps."

Pitch se releva et fit un mouvement de tête à Apollon, qui lui répondu en souriant, puis le fossoyeur se téléporta dans une forêt qu'il connaissait bien, c'était souvent la même, Diane avait l'habitude de s'isoler pour se calmer les nerfs de temps à autre, et j'allais... L'aider dans cette opération. Le visage du fossoyeur se fendit d'un sourire malicieux alors qu'il s’éleva au-dessus des arbres grâce à un nuage de sable noir, sa sombre silhouette se détacha sur la pleine lune alors qu'il fit apparaître sa faux en amplifiant sa voix magiquement pour que al déesse de la chasse puis l'entendre:

"Besoin d'une distraction mon Amour? Pourquoi pas une petite revanche, au nom du bon vieux temps. Et ne t'en fais pas, ton frère veille sur Orion et tu sais à quel point il peut-être collant avec son neveu."

Légèrement envahissant de temps à autre, mais bon, je suppose que c'est dans sa nature.
Le ton du fossoyeur était joueur, légèrement moqueur mais c'était avec un esprit bon enfant qu'il venait de prononcer cette phrase, après tout, le tableau était pratiquement le même, sauf que nous avions plus de dix ans de relation derrière nous et un enfant qui faisait notre bonheur. En fait, bien des choses avaient changées, mais cela rendait le défi encore meilleur.
Pitch claque des doigts et fit apparaître plusieurs Chevaux cauchemardesques qui hennirent de joie avant de s'enfoncer dans les bois, ce n'était pas un véritable problème pour ma chère et tendre, mais après tout, il fallait bien commencer par quelque chose. N'est-ce pas?


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________________________________________ 2015-12-18, 02:20

Another Night With Our Little Star
Keep Calm And Don't Do Stupid Things


Tout à mon énervement, je n'avais pas prêté attention à l'endroit où mes pas me menaient. Mais, cette clairière, ce tronc d'arbre. C'était exactement, ceux de notre première rencontre avec Pitch. Un sourire, nostalgique étira mes lèvres, en songeant au chemin que nous avions fait depuis. Je me rappelais, encore, après qu'il se soit rendu compte de son erreur, et que j'ai décidé de l'épargner pourquoi je faisais ça. Sur le moment, je m'étais contenté de lui répondre que tuer pour tuer ne m'intéressait pas. Il y avait de cela, mais...J'avais surtout sentie que nous n'étions pas tout à fait différent. Nos âmes été brisées, la solitude rongeait notre âme. J'avais tout perdu, et si l'on m'avait rendu ma moitié d'âme, l'on m'avait enlevée ma sœur bien aimée, je le croyais pour toujours. Je, ne lui en avait jamais parlé. S'en doutait-il ? Très probablement, après plus de dix ans de relations, il avait apprit à me connaître aussi bien qu'Apollon en cinq millions d'années. Ça n'avait pas vraiment, plu à mon frère d'ailleurs. Il, s’enorgueillissait toujours d'être celui qui me connaissait sur le bout des doigts. Je me souviendrais toujours de la fois, où il avait décidé d'interroger Pitch, sur mes goûts, et mes habitudes, certains qu'il était celui qui en savait le plus. Je, n'en avait rien su, jusqu'à ce que Louise, ne m'appelle en me disant que mon frère allait sûrement fait une bêtise. J'étais donc retourné chez moi, alors que j'étais en mission -confié par Apollon je précise- à la recherche d'un objet divin potentiellement dangereux. Pour les retrouver à se chamailler comme deux gamins. Je m'étais contenté de me pincer l’arête du nez, avant de m'avancer et de tirer l'oreille de mon frère, qui avait tout arrêté penaud, et de crier sur Pitch. Et bien sur, interceptant les pensées et le regard d'Apo' digne d'un enfant de six ans en train de dire à son camarade que c'est pas lui que la maitresse enguirlande, je l'avais tout bonnement fusillé du regard, avant de repartir en disant qu'ils me fatiguaient aussi bien l'un que l'autre.

Par la suite, j'avais refusé de leur adresser la parole, pour autre chose que les affaires d'Olympe avec mon frère, et tout court pour Pitch pendant deux bonnes semaines. Aujourd'hui ça me faisait rire, mais sur le moment, j'avais été réellement agacée. Je m'apprêtais à rebrousser chemin, et continuer à m'enfoncer dans les bois, quand une voix retentit me sortant de mes pensées

"Besoin d'une distraction mon Amour? Pourquoi pas une petite revanche, au nom du bon vieux temps. Et ne t'en fais pas, ton frère veille sur Orion et tu sais à quel point il peut-être collant avec son neveu."

Un large sourire, étira mes lèvres, c'était comme notre première rencontre mais avec onze ans de relation derrière. Quant à Apollon...Malheureusement, on pouvait dire, qu'il était le type même du beau frère et de l'oncle envahissant. « C'est ça le soucis quand tu as un frère jumeau » avais-je dit, avec une grimace d'excuse à Pitch, lorsqu'après que j'ai décidé d'aller vivre avec lui, moins de 48h plus tard, Apollon avait débarqué, plus envahissant que jamais. Avec la naissance d'Orion ça avait été encore pire, j'avais dût finir par le chasser littéralement, pour qu'il arrête d'être tout le temps là, même quand je l’allaitait.

- Parce que tu pense réellement, pouvoir y arriver rétorquais-je amusée, tu oublis que je suis sur mon terrain ici

Sans plus attendre, je filais en direction des bois. Ses chevaux de sable noir, très certainement à mes trousses. Je crois, qu'il était plus que temps, de montrer de quoi j'étais capable. J'avais la lune, et la nature de mon côté. Tapie dans les fourret, j'attendis patiemment, que les chevaux s'approche. Tentant, certainement, de se fier à mes craintes. Un sourire en coin se dessina à nouveau sur mon visage, ils pouvaient toujours tenter, mais...Ils n'y arriveraient pas.

Rapidement, je me téléportais, devant eux, et sans leur laisser, un instant de répit, les pourfendaient, d'une flèche d'argent chacun, les faisant ainsi disparaître.

- Vraiment Pitch, je suis déçus rétorquais-je avec une moue, j'attendais bien mieux de ta part.

Rien de mieux que de le piquer un peu dans son orgueil, pour pimenter la partie. De nouveau, je disparu, dans la forêt. M'enfonçant un peu plus dans les bois, hors des sentiers de randonnes habituels. J'avais une idée bien précise en tête. Et ça, malheureusement, Pitch ne s'en doutait pas. Il, me connaissait assez bien pour savoir ce qui me tracassait, mes craintes concernant l'avenir. Mais, ce que je m'apprêtais, à faire. Même Apollon, n'aurait pas pu le prévoir. De temps, en temps, il m'arrivait de me laisser volontairement à sa vue, à découvert, avant de disparaître à nouveau, m'enfonçant toujours de plus en plus jusqu'au cœur de la forêt. C'était beaucoup, moins drôle, si je ne lui donnait pas un petit coup de pouce de temps en temps.

Amusée, je finit par me dissimuler dans l'ombre du tronc d'un arbre. Le voyant approcher, toujours sur son nuage de sable noir. C'était le moment ou jamais. D'un simple geste, les racines sortirent de terre, lui agrippant les mollets. Il finirait par se dégager, je n'y avait pas mit toute ma puissance. Mais, j'avais juste assez de temps, pour faire ce que je voulais :

- Il me semblait pourtant t'avoir déjà dit que l'on ne chassait pas la déesse de la chasse
dis-je m'approchant de lui voyons voir, qu'est que je vais bien pouvoir faire de toi repris-je me tapotant, le menton avec mon indexe d'un air pensif, le mieux serait sans doute que je te remercie pour cette petite distraction dis-je m'approchant encore plus mais....Ça serait beaucoup trop facile et tu es capable de beaucoup mieux que ça, et je le sais, dis-je à son oreille. Alors...Attrape moi si tu peux conclus-je en disparaissant dans un éclat de rire, tandis-qu'il était très certainement, en train de se dégager.

A vrai dire, je voulais l’amener exactement à notre point de départ. Je savais, où et comment je voulais finir la soirée. Et, c'était avec lui à l'endroit même où nous, nous étions rencontré la première fois, dans cette clairière, au clair de lune.



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