« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Je ne sais, pas exactement, combien de temps j'étais restée dans cette position, tout ce que je savais, c'est qu'en me relevant, et me regardant, dans le miroire, j'avais vraiment une mine affreuse. Je pense, que l'on m'aurait prise pour un monstre tout droit sortie d'un film d'horreur. Aussi, entrepris-je, d'essayer de m'arranger un peu. Mais, un coup frappé à ma porte, attira mon attention. Juste après, c'est La voix de Louise, qui retentit, me demandant d'une voix timide, si je pouvais lui ouvrir. Après, quelques secondes d'hésitations, je décidais à le faire.
J'aimais beaucoup Louise, mais malgré ce sentiment, je n'avais pas spécialement, envie qu'elle me voit dans l'état où j'étais. Je perdais rarement, mon sang froid, et la maitrise de mes émotions, mais je suppose, que ne plus ressentir la présence de mon frère, l'éloignement, plus tout, ce que nous avions vécu depuis que nous avions posé les pieds sur le sol londonien, n'aidait pas.
J'avais toujours tout intériorisé, je le faisais depuis des siècles. Je, ne laissais que très rarement, mes émotions, transparaitre. C'était un moyen de me protéger. Voilà, pourquoi, avais-je sans cesse une attitude quasi glaciale, et n'étais-je pas la personne que l'on avait le plus envie d'aborder dans la rue.
La porte, ouverte, j'essayais au maximum, d'adopter, une attitude, un peu plus digne, ce à quoi je ne m'attendis pas en revanche, fut à ce qu'elle me prenne dans ses bras. Il me fallut quelques secondes, pour me détendre, et annuler la crispation, qui avait pris place dans tous mes membres. C'était, généralement, ce qu'il se passait, quand quelqu'un d'autres que mon frère ou ma sœur, me prenait dans ses bras, je pouvais ajouter trois autres personnes, à présent, avec qui j'étais plutôt à l'aise, Louise, en faisait partis.
Je, ne m’attendais, pas à ce qu'elle vienne me trouver, pour essayer de me réconforter, honnêtement, ce n'était pas quelque chose dont j'avais l'habitude. Mais, je me rendais, compte, à présent, j'avais des amis, des amis sur qui je pouvais compter, sans avoir peur, de montrer celle que j'étais réellement, et ça faisait vraiment chaud au cœur.
Je la remerciais, sincèrement, cela venait du fond du cœur, et finalement, elle partit. Quant à moi, j'entrepris de me rendre un peu plus présentable, j'avais l'intention, de faire une petite visite de ce manoir, ou plutôt une reconnaissance des lieux, pour une futur visite. Je, ne l'avais pas faite le premier soir, et je comptais bien me rattraper.
Une fois, ma douche et mes habits propres enfilés, je fouillais, dans mon sac à la recherche d'un élastique, pour attacher mes cheveux. Et, en fouillant dans toute les poches, je finit, par tomber, sur un sachet de course, fermé, avec un mot accroché dessus. Je reconnaissais, l'écriture de mon frère : « en cas de déprime» était-il marqué , ouvrant le sac, je découvris, une bonne part du stock, de sucrerie de la maison.
J'avais, parfois, l’impression, d'être comme une enfant, depuis que je vivais, avec d'autres personnes, je découvrais, sans cesse de nouvelles choses. Et, c'est ainsi, que j'avais découvert, que laisser, Apollon, allé faire les courses, avec les filles et sans moi, était une mauvaise idée. Ils, étaient revenus, avec ce que j'avais marqué sur la liste, mais également, avec un stock impressionnant, de bonbons, chocolats ou que sais-je encore. Le désespoir, qui s'était affiché sur mon visage à ce moment, là valait tous les trésors du monde d'après mon frère.
J'avais refusé, d'y toucher, par principe. Mais, j'avais oublié qu'être têtu, était un traits de caractère, que nous avions en commun, avec mon jumeau. Il, était manifestement, décidé à m'en faire manger, coute, que coute.
Je poussais, un soupire, résigné, je supposais, qu'une barre d'une des tablettes de chocolats, ne me ferait pas de mal. Aussi, en pris-je, une, et rangeait, le reste dans le sac en plastique, que je fermais. Et rangeais, à nouveau dans mon sac, que je pris avec moi.
Le manoir, était grand, et comportait deux autres étages, en plus de celui-ci, n'importe qui, n'ayant pas le sens de l'orientation, aurait pu s'y perdre. Heureusement, ce n'était pas mon cas, mais n'ayant surement pas le temps de tout explorer, je me décidais de me contenter, de l'étage où j'étais.
Après, avoir passé en revue, diverses pièces, (un simple coup d’œil, ma mémoire ferait le reste pour retenir, les emplacement, et le contenue), je me décidais finalement, à revenir à ma chambre, Aaron, était positionné, devant, il m'annonça, que l'on m'attendait dans la grande salle. J'hochais, la tête, et me dirigeais vers les escaliers, tandis qu'il se dirigeait, vers la porte de quelqu'un d'autres. Durant, le trajet, jeu tout le temps, pour faire, ce que je faisais généralement, en présence de ma famille, afficher cette attitude, fermée, glaciale et distante, presque hautaine. Cela, faisait un moment, que je ne l'avais plus fait, mais au vu des récents évènements, pas question, que je laisse mes émotions prendre le dessus
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Poséïdon
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| Conte : Hercule ϟ | Dans le monde des contes, je suis : : ☣ Intrigue divine ☣ Je suis le dieu des Océans ! ϟ
C'était la fin. Je venais de me noyer. Des vitres de ma cité perdue au fond des océans, je voyais les lumières des cieux venir se frotter contre les vagues. Avec ces dieux au dessus de nos têtes, il fallait s'y attendre, qu'un jour ou l'autre tout s'écroule. Le ciel venait de tomber.
A la surface, l'aurore courait après la nuit, les pleurs couraient après les rires, les anciens couraient après le temps. Ils ne prennaient jamais un instant pour simplement vivre, pour regarder les merveilles qui nous entouraient. Ici, au fond de mon océan, dans ma cité érigée dans un corail aussi brillant et nacré que l'argent, je prenais mon temps, mais le sablier venait d'arriver au bout.
"Seigneur Poséïdon."
Leur monde finissait toujours par me rattraper. Je m'étais tourné vers Timée, mon fidèle serviteur, attendant de savoir pour qu'elle raison il se trouvait là, devant moi, le genoux à terre, la tête penchée.
"La garde olympienne vient de franchir nos portes."
J'avais plissé les yeux, puis je l'avais ignoré, me dirigeant vers le dôme qui se tenait sur une excroissance du corail dans lequel était batis le palais. J'avais posé mes mains dessus et la brume qui l'emplissait venait de disparaître, me laissant voir une maquette de ma Cité et quelque chose tournoyant à l'intérieur. Puis, je les avais entendu entrer et j'avais retiré mes mains, faisant apparaître mon Trident.
"Seigneur Poséïdon, nous avons ordre de Zeus de fouiller la Cité pour retrouver la déesse Aphrodite."
Je les avais observés. Une dizaine de soldats prêt à tout pour obéïr à leur maître. Si elle se trouvait dans ces lieux, je l'aurai livrée sans la moindre hésitation, avec un grand sourire aux lèvres. Mais elle ne l'était pas. Leurs recherches à Atlantica étaient inutiles. J'avais vue Timée tourner la tête vers mon fils qui venait d'entrer et j'en avais fait de même. Les gardes avaient suivis mon regard.
"Je t'avais ordonné de rester dans tes quartiers !"
Mais Egéon était comme moi, quelqu'un qui n'aimait pas obéïr aux ordres.
"Tout le monde s'agite. Je voulais être près d'elle."
Il était encore si jeune, si innocent et pas du tout prêt à faire ce pour quoi je l'avais créé. Un des gardes avait observé le demi dieu et il s'était approché d'un pas. Je lui avais fait face tandis que Egéon s'était dirigé vers le dôme.
"Soit. Faites le tour de ma Cité, mais vous ne la trouverez pas."
Le garde avait hoché la tête et fait demi tour avec ses soldats. Mais en passant devant Egéon, ils l'avaient vue poser ses mains sur le dôme et la brume avait disparue, laissant entrevoir la sirène qui se trouvait là. Le chef des gardes s'était approché, la contemplant d'un peu trop près. Puis, quelqu'un parla derrière lui.
"Qu'est ce donc, seigneur Poséïdon ?"
J'avais une nouvelle fois plissé les yeux et observé la nouvelle venue. Une Grée. Ils avaient fait entrer une Grée dans ma cité ! Je m'étais adressé à Egéon, lui demandant de s'éloigner du dôme et de venir vers moi. La brume avait retrouvée sa place, Egéon m'avait rejoint. Mais la Grée avait avancée son unique oeil vers le dôme et la brume s'était une nouvelle fois dissipée.
"Allez vous en." avais-je dit d'une voix calme et assurée, mais elle n'avait pas bougée, continuant à fixer la sirène. Les gardes ne comprenaient pas ce qu'il se passait, car elle seule pouvait voir ce que cela signifiait. Elle avait tournée son oeil dans ma direction. Je savais qu'elle connaissait désormais mon secret et je n'avais pas hésité une seule seconde à le trancher avec mon Trident. Son corps gissait au sol quand les gardes avaient sortis leur épée et que je les avais tous réduits en écume d'un simple geste de la main.
"Père?"
Je m'étais approché de Egéon, posant mes mains sur ses épaules.
"Ce n'est rien. Je vais devoir monter sur Olympe, régler cette affaire. Timée va te mettre à l'abri."
Une fois Egéon et Timée partit, j'avais observé le dôme, puis je m'étais tourné vers la baie vitrer. Mon Royaume, mon havre de paix. Je sentais la fin arrivée. J'avais levé mon Trident et quand je l'avais fait cogner le sol pour la dernière fois, les vitres de ma cité avaient explosées, emportant tout avec elles et je m'étais retrouvé dans la grande salle du trône de Zeus. J'avais jeté un regard vers Apollon et Héphaïstos qui étaient déjà là. Puis vers Zeus, qui n'avait sans doute pas encore eu le temps d'entendre les lamentations des deux autres Grée. Quand je m'étais tourné vers ce qu'ils regardaient, je vis Hadès, puis plus rien...
Egéon Blackstorm
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৩ On a parfois juste
besoin d'un ami
à qui murmurer à l'oreille
ce qu'on a sur le cœur. ৩
| Conte : Intrigue Divine ღ | Dans le monde des contes, je suis : : Un demi dieu
"On a tous subi de lourds dégâts aujourd'hui. Agenor et Alexis étaient avec nous depuis un long moment. On ne pouvait pas savoir qu'ils nous trahiraient."
avais-je dit en regardant Diane. Elle avait sauvée la vie du groupe en les faisant revenir au lieu d'attaquer le manoir qui avait été réduit en cendres quelques minutes après.
"Avec Aaron, on a décidé qu'il serait bien plus prudent de ne plus s'attaquer au groupe pour le moment. Car ils vont être sur leurs gardes."
Cette fois ci j'avais regardé vers Louise. Etait-elle encore septique à notre sujet? On avait tous beaucoup morflé aujourd'hui. Si j'étais un traitre, si Aaron en était un, on n'aurait pas eu des blessures nous aussi. On se serait contenté de les envoyer tous à la mort et le problème aurait été réglé. Mais surtout, on savait que des déesses étaient avec, on aurait pas fait exploser une maison dans le but de tuer Diane, car elle serait forcément revenue et se serait vengée. Ca aurait juste été suicidaire.
"Vous pouvez passer la nuit ici, si vous le souhaitez. Il est un peu tard pour rentrer."
C'était bien mieux pour eux de rentrer à Storybrooke. Une fois fait, avec Aaron, on lancera une attaque de front face à Briarée. Car s'il sait que les déesses rentrent, il ne s'attendra pas à une attaque. Il sera beaucoup moins sur ses gardes. C'est le plan parfait, même si je me doutais que les filles ne rentreraient pas chez elles. Je m'étais approché de Hippolyte.
"J'aimerai te parler ce soir, avant que tu partes." lui avais-je murmuré avant de quitter la pièce.
Aryana Cloud-Sandman
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“ Vous ne pourrez jamais comprendre.
Tout ce que je fais, je le fais pour Elliot. ”
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Aphrodite
Je fermai les yeux sur le triste bilan de toute cette histoire. Deux traitres, une guerre ouverte avec ma nièce, et les remontrances de ma soeur. La douche que je venais de prendre ne m'aidait pas à y voir plus clair. Comment en était-on arrivé là ? J'étais restée silencieuse quand Hippolyte m'avait poussée sur le canapé. Je comprenais les raisons de sa colère. J'aurais réagi pareil si la situation avait été inversée. Comment lui faire comprendre que je n'y pouvais rien ? Non, c'était un mensonge. Il fallait que j'enlève mes œillères. Les problèmes, je les provoquais. Je devais cesser de chercher des boucs émissaires.
Et Artemis qui voulait toujours tout comprendre... J'étais trop lasse pour lui expliquer mes motivations. Ou trop embrouillée. Après tout, je ne savais pas exactement ce qui me poussait à charmer Egéon. Ce besoin de plaire constamment avait déclenché de nombreuses guerres par le passé. A croire que j'aimais jouer avec le feu.
J'avais quitté la pièce après la sortie en furie d'Hippolyte. J'avais éprouvé le besoin de rester seule un moment avec mes pensées. Puis, Aaron était venu frapper à ma porte pour m'annoncer qu'une réunion était prévue au rez-de-chaussée. J'avais enfilé un déshabillé en soie aux motifs vaguement chinois -opaque, bien entendu - et gardé mes cheveux attachés en un chignon lâche. Puis j'avais descendu le grand escalier de marbre pour me diriger dans le salon, où tout le monde était déjà rassemblé. J'évitai soigneusement de m'approcher trop près de Hippolyte. Inutile de déclencher une tempete de plus. Je me plaçai entre Lily et Robyn qui se lançaient de drôles de regards, puis croisai les bras pour observer Egéon, qui, en bon orateur, entama aussitôt son monologue. J'écoutais attentivement ses idées, avant de soupirer. Il voulait voir Hippolyte en privé. Bien sur. Comme il sentait que j'étais un peu distante, il voulait se rapprocher d'elle. Ou alors, j'étais simplement mesquine. Peut-être qu'il désirait sincèrement que les choses s'arrangent avec elle. "Il faut que tu arrêtes de croire qu'on va plier bagages à la moindre difficulté." déclarai-je d'un ton réprobateur. "On est là jusqu'au bout, quoi qu'il advienne. Par contre, je suis d'accord sur le fait qu'il faut améliorer notre plan d'attaque. Les "hommes" de Briarée sont très rusés. On doit mieux se préparer."
J'avais déjà réfléchi à cette idée, aussi je l'exposai en m'avançant d'un pas. La soie ondula autour de mes pieds, sur le sol dans un froissement soyeux.
"Si on se rend à leur QG, on ne doit pas commettre d'erreur. On doit agir vite et bien. Je n'ai qu'une seule solution à proposer pour que notre attaque soit un succès : Artemis, Hippolyte et moi. Personne d'autre."
Un grand silence accueillit mes paroles. Je pris une grande inspiration et poursuivis, en me tournant vers les trois mortelles :
"Je sais que vous avez envie d'aider, mais on ne peut pas se battre et vous protéger en même temps. C'est trop dangereux. Lily, tu as bien vu aujourd'hui à quel point c'était risqué. Et vous, Robyn et Louise. Sans le bons sens d'Artemis, vous auriez explosé dans le manoir. Le mieux est de rentrer à Storybrooke, comme l'a suggéré Egéon, mais uniquement pour vous ramener. Ensuite, ma soeur et Hippolyte feront le chemin inverse en ma compagnie."
J'évitai leurs regards presque meurtriers pour me tourner vers Aaron. J'avais vraiment le don de me faire des amis...
"Dis-nous où est le QG de Briarée. Je suis persuadée que tu le sais mais que tu ne veux pas le dire. Ca serait vraiment dommage que j'use de mon charme pour te persuader de l'avouer."
Mon visage perdit toute douceur tandis que je m'approchais de lui. J'entendais déjà Hippolyte dire que j'avais le feu aux fesses, ou que sais-je encore... En attendant, elle ne pouvait pas forcer un homme à révéler ses plus noirs secrets simplement en le regardant, elle. Aaron avala tout rond le bonbon qu'il était en train de manger et me dévisagea, anxieux.
"C'est... dans les bas-fonds de la ville." dit-il d'un ton précipité. "Sous la grande roue. Mais c'est hyper dangereux, même pour une déesse aussi sexy que toi."
Son regard frénétique alla de moi à Louise et il ajouta en vitesse :
"Enfin elle est sexy, mais toi t'es la plus chaude, Loulou !"
Je restai stoïque face à cette remarque. Chacun ses gouts, n'est-ce pas ? Je décroisai les bras et repris d'un ton pondéré :
"Bien. On se rendra donc là-bas, après avoir fait une escale pour déposer Lily, Louise et Robyn à Storybrooke."
L'affaire était entendue. Aaron n'avait pas l'air tellement d'accord, mais il pouvait très bien suivre sa dulcinée jusqu'au Maine pour fonder une famille et devenir propriétaire d'une charmante maison avec une véranda. Je n'allais pas l'en empêcher.
Après une hésitation, je m'approchai d'Hippolyte pour lui dire à voix basse :
"Je ne pense pas que ça soit une très bonne idée que tu ailles voir seule Egéon."
Son regard s'enflamma, aussi je m'empressai d'ajouter, avec une once d'agacement :
"Je ne vais pas t'accompagner et te tenir la main. Je dis juste qu'en raison des sentiments que tu as éprouvés pour lui, ton jugement risque d’être faussé. Il nous faut plus d'informations sur Briarée. Alors essaie de mettre ta rancune de coté. On travaille en équipe."
Je m'attendais presque à ce qu'elle me crache au visage. Si elle m'attaquait de nouveau, je n'aurais pas d'autre choix que de la corriger, cette fois. Je voulais bien être gentille, mais ma patience commençait à atteindre ses limites.
Aryana : 90%
Hippolyte Sherman
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| Avatar : Shelley Hennig
Arrête de t'en faire. Je suis là maintenant, ok ?
Tu m'as vraiment manqué Peg !
| Conte : Inventé | Dans le monde des contes, je suis : : la fille d'Arès.
Rapidement Hippolyte avait retiré sa main de celle de sa tante. Ce n’était pas le moment de la retenir contre son gré. Cependant, la demi-déesse n’eut pas vraiment le choix. Elle écouta le monologue de Diane. Hip était au courant qu’elle n’était plus avec lui. Mais elle ne savait pas pourquoi elle se montrait autant jalouse. Peut-être simplement parce qu’Hippolyte avait énormément partagé avec lui, qu’elle serait toujours attaché à lui, qu’il resterait malheureusement toujours gravé en elle. Qu’importe les raisons, Hippolyte ne pouvait pas contrôler ses émotions, c’était plus fort qu’elle. La jeune femme était impulsive. La demi-déesse soupira légèrement face à la remarque saignante de Diane qui souhaitait qu’elles grandissent. Puis elle l’observa partir, montant les nombreuses marches. Louise ne put s’empêcher de l’ouvrir pour féliciter Hippolyte et Aryana. La jeune femme leva sa main pour lui faire signe de se taire. « Commence pas toi ! » Hippolyte suivit Louise silencieusement. Mais elle tourna rapidement dans un autre couloir pour regagner sa chambre. Là, elle avait juste besoin de faire une pause, un break. Elle s’installa sur son lit, s’asseyant en tailleur. Elle prit son I-pop et mit ses écouteurs dans les oreilles. A cet instant-là, Hip se sentait totalement coupée du monde. Les problèmes étaient mis de côté et elle profitait de ce petit moment de recueillement. Elle se laissa tomber en arrière puis ferma les yeux. … C’est Aaron qui la réveilla brusquement en la secouant légèrement. La demi-déesse prit violemment le poignet d’Aaron puis ouvrit les yeux. C’était un réflexe, pensant que quelqu’un s’attaquait à elle. Mais voyant que ce n’était que son cousin, elle le lâcha rapidement avant d’enlever les écouteurs. « Quoi ? » Aaron lui expliqua rapidement qu’il y avait une réunion dans le grand salon et qu’elle devait s’y rendre. Hippolyte reprit ses esprits et se leva, afin de descendre en bas. Elle n’adressa aucun mot à Aaron qui de toute façon ne l’avait pas suivi. Il était parti chercher les autres. Hip n’était pas convaincu par cette réunion. Réunir tout le monde alors qu’il y avait des tensions n’était pas forcément une bonne idée. Mais la demi-déesse s’y rendit sans trop broncher. Il fallait juste éviter de la chercher et tout se passerait bien. Hippolyte resta debout, croisant les bras contre sa poitrine. Elle écouta Egéon exposer la situation, sans afficher une quelconque émotion. Hip préférait rester neutre, voire presque froide. Diane semblait avoir opté pour la même manière d’être. Assurément les tensions n’étaient pas parties ! Puis Egéon se tourna vers Hip’ puis s’approcha d’elle. Parler ce soir avant qu’elles partent ? Depuis quand était-il question qu’elles retournent à Storybrooke. La jeune femme fronça les sourcils en gardant ses bras croisés. « Ouais. » C’était sa réponse pour Egéon. Elle n’eut pas vraiment le temps de rajouter autre chose puisque Aryana prit la parole. Cette fois-ci Hippolyte était d’accord avec sa tante, avec le discours qu’elle tenait. Il fallait qu’il arrête de penser que les filles allaient retourner à Storybrooke en laissant un potentiel danger derrière elles. Ensuite, son idée de laisser les mortelles à Storybrooke était excellente. Il fallait éviter de risquer leur vie. Elles étaient moins résistantes, même si elles étaient combattives, courageuses et débrouillarde…Hippolyte n’avait pas envie que Louise, Robyn ou Lily perde sa vie à cause d’elle ! Lorsqu’Aryana commença à draguer Aaron pour lui tirer les verts du nez, Hippolyte ne put s’empêcher de lâcher un petit soupir et de rouler des yeux. Incroyable. La jeune femme allait retourner dans sa chambre pour éviter de dire quelque chose de méchant. Mais Aryana s’approcha de la demi-déesse. Qu’est-ce qu’elle voulait ? Allait-elle la chercher une nouvelle fois ? Mieux vaut pour elle que non. Hippolyte planta son regard dans le sien, tout en l’écoutant parler. Elle décroisa ses bras. Elle mit ses mains sur ses hanches et fronça de nouveau les sourcils. « Je me passerais bien de tes remarques. Et si tu veux qu’on travaille en équipe, évite de jouer les allumeuses avec tout le monde. » Oui, c’était ce comportement qui embêtait Hippolyte et encore plus lorsqu’elle le faisait envers Egéon. Sans même attendre une quelconque réaction de la déesse de l’amour, Hippolyte tourna les talons afin de regagner sa chambre. Il fallait qu’elle se douche. Sa petite sieste n’était pas du tout prévue et l’avait empêché de se doucher. Hip se dirigea vers la salle de bain. Elle se déshabilla puis entra dans la douche. Elle laissa couler l’eau chaude sur l’intégralité de son corps, frottant sur sa griffure au bras pour enlever le sang séché. Cette harpie avait les griffes aiguisées ! Et malgré la résistance que lui donnait sa condition de demi-déesse, sa blessure n'avait pas cicatrisée. Mais qu'importe, cette blessure n'était que superficielle, ça cicatriserait avec le temps. Soudain, Hippolyte entendit toquer à la porte. « Deux minutes, j’arrive ! » Elle coupa l’eau, sortit rapidement de la douche, s’enroulant dans une serviette. Ses cheveux gouttait mais tant pis. La demi-déesse entrouvrit la porte. C’était Egéon. Elle se recula pour lui ouvrir complètement la porte. « Va-y entre. Fais comme chez toi. » Bon ok, il était chez lui. Hippolyte retourna dans la salle de bain. « Je continue ma douche si ça te dérange pas. » Et puis même si cela le dérangeait, tant pis, Hip voulait terminer sa douche, car là elle avait les cheveux pas vraiment lavés, simplement mouillé. Il ne fallait pas qu’il fasse le timide. Il pouvait lui parler à la porte. Hippolyte laissa tomber sa serviette puis entra dans la douche. La jeune femme ré-ouvrit les robinets, laissant l’eau couler de nouveau. « Qu’est-ce que tu veux me dire ? » avait-elle demandé assez fort pour qu’Egéon puisse entendre. Elle ne savait pas vraiment où il était. L’avait-il suivi jusqu’à la petite porte de la salle de bain ? Ou bien était-il resté dans la chambre ?
love.disaster
Hippolyte : 95%
Lily Olyphant
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| Avatar : Lucy Hale ♥
« Copain Grand Sourire ! »
« T'inquiètes Elliot, c'est
pour Halloween... un déguisement...
mais ça fait mal... »
| Conte : Dumbo ϟ | Dans le monde des contes, je suis : : ☣ Dumbo ☣ l'éléphant qui sait voler. ϟ
J'avais repris une bonne douche juste après être revenue de la salle à manger. Je n'étais pas très sûre que je voulais faire partie de la suite. Ce qui importait pour moi maintenant, c'était de me laver, de me frotter et de faire partir toute cette crace, tout en vérifiant plusieurs fois d'affilés que la chaise tenait bien devant la porte et que la clef était bel et bien dans la serrure.
J'avais aussi mis une serviette par terre et un vêtement sur la poignée de porte pour cacher la serrure. On ne pouvait ni entrer, ni me voir, j'étais tranquille ! Une fois ma douche finie, je m'étais essuyée, j'avais quittée la baignoire et je m'étais dirigée vers le grand miroir. J'avais pris mes habits, je m'étais habillée et j'avais regardée quelques instants mon reflet. Je me sentais totalement épuisée et pourtant la douche avait pour effet de me ressourcer. Peut-être que j'aurai dû en prendre une bien froide au lieu de bien chaude. Mais la chaleur me rappelait quand ma maman me berçait. J'avais laissée échapper un petit sourire. Elle était bien loin cette époque où j'étais un adorable petit éléphant aux grandes oreilles. Aujourd'hui je n'étais plus que la fille qui avait été embrassée par une autre fille dans cette salle de bain !
Le pire dans tout ça, c'était que j'avais bien aimé. Je n'étais pas mon genre et elle n'était pas mon genre non plus. D'ailleurs je n'avais pas de genre de filles. Je préfèrais les garçons, les mâles sexy et musclés, les grands dadets... Je n'avais jamais été attirée par les petites blondes capricieuses! Ni par les garçons manquées qui sentent le bonbon à longueur de temps! Je n'étais pas non plus attirée par les jeunes femmes brunes avec de magnifiques cheveux, des lèvres bien dessinées et un regard qui ferait fondre n'importe quel mortel, voir même immortel. Non, je n'étais pas attirée par Robyn, ni par Ellie. Pourtant, j'aurai bien eu envie de prendre ce fichu téléphone qui traînait dans ma chambre pour l'appeler et lui dire que si, j'étais attiré par elle. Mais c'était mal d'être attiré par la femme qu'on aimait ?
J'avais quittée la salle de bain et je m'étais dirigée vers la chambre de Robyn. Sans frapper j'étais entrée dedans et je l'avais vue en train de fouiller dans un sac. Ca lui appartenait ? Quoi qu'il en soit, je n'étais pas venu ici dans le but de l'espionner, mais pour une tout autre raison. J'avais croisée les bras et je l'avais observée bien droit dans les yeux. Enfin, dans le dos. Dans...
"Robyn ! Tu peux te retourner quand je te parle ?"
Parce que regarder son dos ça n'avait rien d'impressionnant. Ce que j'avais à lui dire était important et je ne voulais pas perdre de temps. Mais elle semblait totalement occupée par la recherche de je ne savais trop quoi, dans son sac à dos. Je m'étais dirigée vers elle et j'avais agrippé son bras pour la forcer à se redresser et à se tourner. Une fois de face, je lui avais dit ce que j'étais venu lui dire. On avait discutées longuement, puis j'étais retournée dans ma chambre et j'avais passé une très bonne nuit...
Enfin c'était ce qui aurait dû se passer...
Mais à dire vrai, quand je l'avais forcée à se redresser et à se retourner, allez savoir pourquoi, j'avais plaqué mes mains sur ses joues et je l'avais embrassée bien plus passionnement qu'elle l'avait fait. C'était pas juste un dépôt de lèvres, non, là c'était un recommandé avec accusé de réception et j'avais pris toutes les assurances qui allaient avec !
Puis, je m'étais reculée et là allez savoir pourquoi, je n'avais pas pu m'empêcher de rire. Je venais d'embrasser Robyn ! Je l'avais fait ! Je m'étais jetée à son coup et je lui avais... roulé une pelle ! C'était comme ça qu'on disait quand on se la jouait badass. Oh mon dieu, j'étais badass ! J'étais véritablement devenue une badass ! Et en plus, j'avais survécue. Ca c'était surprenant. Comme quoi elle avait dû apprécier le baiser.
"Tu te rends compte ? Je l'ai fait ! Je me suis jetée à ton coup et je t'ai embrassé ! Et wouah !!"
Pas wouah son baiser... Enfin si, wouah son baiser, mais aussi tout simplement wouah, car wouah quoi ! C'était juste wouah ! J'étais tout excitée et je lui avais pris la main pour l'emmener avec moi jusqu'au lit. o_O Là, je m'étais assise dessus, juste à côté d'elle, car je l'avais tirée par la main pour la faire s'asseoir. D'ailleurs, j'avais toujours sa main dans la mienne et je l'observais bien droit dans les yeux avec un très grand sourire.
"Je t'ai embrassée et ça en jettait ! C'était trop bien ! Tu sais, c'est pas si compliqué que ça d'embrasser une autre fille. Il suffit de mettre sa tête entre tes mains et d'approcher tes lèvres. C'est un peu comme avec un garçon, mais plus doux. Après, peut être qu'avec l'expérience ça devient moins doux, ou plus excitant. Faut voir. Mais déjà là c'était pas mal du tout?!"
Je ne savais pas si c'était une question ou non.
"Merci ! Sans toi j'y serais jamais arrivée !"
Ca c'était sûr...
"Je crois que je suis prête maintenant." avais-je dit tout en lâchant sa main et en me relevant. J'étais prête. J'étais véritablement prête ! Je pouvais le faire ! Oh que oui, je pouvais le faire. Je la regardais avec toujours cette même intensité dans le regard. Est ce qu'elle me trouvait prête elle aussi ?
"Si embrasser une fille est si facile, le reste doit être pareil !"
J'étais catégorique ! Oui ! En rentrant, il y aurait le reste avec... Ellie ! J'étais trop heureuse ! Moi qui pensait que ça me choquerait d'embrasser une autre fille, mais non. Bien que j'avais déjà embrassée Ellie, mais c'était pas pareil. Ce que je voulais, c'était savoir si ça ferait la même sensation avec une autre et c'était absolument pas le cas ! C'était juste excitant, mais rien de plus ! Je voulais Ellie, juste Ellie !
Diane Moon
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| Avatar : Claire Holt + Mia Talerico pour Le Berceau de la vie
“I love you to the moon and back”
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Artémis la déesse de la chasse et de la lune herself (même si je viens du monde réel)
Mon visage, était de marbre, tandis que je laissais, les autres parler, manifestement, Egéon, ignorait qu'Alexis, et Agénor étaient des traitres, je lui aurais bien volontiers, dit qu'à l'avenir ça serait bien, qu'il consulte le curriculum vitae, de ses potentiels, alliés, histoire de voir s'ils avaient pas des antécédents de trahisons, mais je m’abstins. Au fond, ils n'avaient fait que ce que mes frères et sœurs avaient aussi fait : les trahir. Comme, un réflexe, je posais ma main, sur mon ventre. Non, c'était définitif, je n'aurais jamais d'enfants. Quand, je voyais, tout cela, tout ce gâchis, il, en étai hors de question. Je pouvais être une tante, et encore, je me posais, des questions, vu ce qu'il se passait dernièrement, mais une mère, je ne pensais pas pouvoir l'être. Je, n'étais pas taillé pour cela. Tout, ce que j'espérais, était que dans ce lot, de nombreux demis dieux, il n'y en est pas, venant d'Apollon, parce que je me sentirais, vraiment mal si c'était le cas.
Aphrodite, refusa tout bonnement, de plier bagage, j'aurais largement, je l'avoue préféré, laissé Arès, s'en charger. Je, ne pense, pas que Briarée, et ses copains, auraient fait les malins, devant mon frère, et sa colère. Quoi, qu'il en soit, j'admettais, également, qu'une partie de moi, ne voulait pas l'embêter avec tout ça. Il, avait déjà suffisamment, à faire avec la menace de Chronos qui planait au dessus de nos têtes, et à essayer de faire en sorte que l'on forme tous une belle et grande famille. En vain, bien évidement, on ne serait jamais une véritable, famille, il y aurait toujours, des lutes de pouvoirs, et, c'était ce qui me faisait de plus en plus m'éloigner, de la citée, et de ce qu'il s'y passait. Je préférais, ma vie à Storybrooke, loin des conflits familiaux.
Je criais souvent, haut et fort que je ne pouvais pas voir en peinture certains de mes frères et sœurs. C'était faux, en réalité, je me forçais, à les détester, pour ne pas souffrir. Je, ne voulais, plus m'attacher à eux. Alors, je les rejetais, tout simplement. C'était mon mécanisme de défense.
Aphrodite, dit ensuite qu'il était préférable, de ramener les mortelles à Storybrooke, je ne pouvais que l'approuver. J'étais, en colère et contre elle, et contre Hippolyte, mais cela ne m'empêchait, pas de voir, quand une idée n'était pas stupide :
- Aphrodite a raison, repris-je, je ne remet pas en cause votre aptitude à vous défendre, mais il vaut mieux pour vous, que vous restiez en dehors de nos affaires de famille. Généralement, ça se finit, par des morts, et des blessés. Alors, mieux vaut éviter que ça soit l'une de vous trois.
J'avais dit ça, sur un ton neutre, sans afficher aucune émotion, j'avais laissé, ma sœur, s'occuper d'Aaron, sans rien dire. L'endroit du Q.G de Briarée, révélé, c'était tout ce dont, j'avais besoin. Sans, un mot, ni un regard en arrière, je tournais, les talons, et repartait en haut. J'étais en colère, et n'avait aucunement, l'intention, de rester plus longtemps en leur compagnie. Si, elles voulaient jouer, les gamines avec Hippolyte, ce serait sans moi.
Revenant, un instant dans ma chambre, pour enlever certaines choses de mon sac (ma trousse de toilette, ainsi que ma panoplie d’élastique pour les cheveux). Je repris, mon observation, de l'étage, du manoir. J'entrais finalement, dans la bibliothèque. Elle, n'était certes, pas aussi fournit, que celle d'Olympe, mais au moins, ici n'y avait-il pas Socrate, ni Athéna pour se disputer, pendant que j'essayais d'étudier un livre, à l'autre bout. Athéna, ou n'importe quel autre de mes frères et sœurs, d'ailleurs. Je, m'étais d'ailleurs souvent, dit que l'on devrait installer un nouveau système, pour la bibliothèque, cela éviterait pas mal de conflit
Laissant, mes doigts courir, sur les livres, anciens, je décidais, finalement, de repartir, et d'explorer, le bas du manoir. Nous, n'avions vu, que le grand salon, et la cuisine, après tout.
Entendant, des échos de voix, venant de la chambre d'Hippolyte, je me contentais, d'hausser les épaules, et de reprendre mon chemin.
Après, avoir exploré, plusieurs pièces, un bruit attira mon attention, un bruit d'eau, cela ressemblait, au bruit d'une fontaine. Continuant, mon chemin, dans la direction, d'où ça venait, je finit, par arriver là où je voulais, la pièce, était spacieuse. Contrairement, au reste, du manoir, ce n'était pas du parquet, qu'il y avait, je ne savais pas exactement, ce que c'était comme, matière, néanmoins, le son de mes talons raisonnait bien dessus. Aussi, décidais-je de m'asseoir, sur l'un des bancs pour enlever mes chaussures. En face, de moi, se trouvait un grand bassin d'intérieur.
Je prêtais, bien attention, à ce qu'il n'y ai personne. Aaron, et Egéon, ainsi qu'Hippolyte et Aphrodite, n'avaient pas besoin de savoir. Mais, j'avais besoin d'un peu d'apaisement, et le contacte, avec l'eau je l'avais remarqué, le faisait. Je, n'avais, pas, d'élément, de nature, à porté de main, pour arrêter toutes les émotions que je ressentais, de faire un sac de nœud, aussi, cette option, était-elle, la meilleure.
Délicatement, je plongeais, la pointe, puis un pied entier, l'un après l'autre. Immédiatement, le contacte, me fit du bien, je ressentais, le même genre de sensation, que lorsque j'étais, en pleine forêt, à Storybrooke. Je fermais, les yeux, n'écoutant plus que le bruit de la fontaine murale, tout en laissant, mes pieds dans l'eau. J'étais dans ma bulle tout simplement, je ne prêtais, plus aucune attention, à ce qui m'entourait. Et, ça faisait vraiment beaucoup de bien.
made by pandora.
Egéon Blackstorm
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| Avatar : Paul Wesley
৩ On a parfois juste
besoin d'un ami
à qui murmurer à l'oreille
ce qu'on a sur le cœur. ৩
| Conte : Intrigue Divine ღ | Dans le monde des contes, je suis : : Un demi dieu
Après avoir refermé le dossier sur Aphrodite, j'avais levé les yeux vers l'homme qui me l'avait déposé. Il se tenait bien droit, dans son costume trois pièces et il attendait que je lui dise si oui ou non j'étais d'accord avec sa proposition. J'avais froncé les sourcils. Je me posais moi même la question.
"Pourquoi elle ?"
Elles allaient être deux. Si le choix devait se porter sur l'une d'entres elles, j'aurai préféré Artémis. Bien qu'avec Aphrodite ça serait forcément plus facile. Mais peut-être qu'ils avaient peur que je prenne une chose que je désirais plus que tout, sans pour autant servir leurs intérêts en retour. C'était tentant ce marché, mais c'était l'autre qui m'intéressait.
"En imaginant que j'accepte, j'aimerai une garantie. Quelque chose qui me confirme que j'aurai bien ce que je veux au final."
A chacune de mes questions, l'homme avait la réponse. Et à chaque fois, elle me contentait. A croire que c'était véritablement trop beau pour être vrai. J'avais une nouvelle fois regardé vers les dossiers avant qu'il m'en tende un dernier. Je l'avais pris et en l'ouvrant, j'avais vue quelque chose que je ne voulais pas voir. Je l'avais refermé aussi sec et je lui avais rendu.
"Pas question !"
Il m'avait observé un petit moment, avant d'ouvrir le dossier dans ses mains et de le regarder avec grande intention. Quoi qu'il dirait, ma réponse serait non. J'avais déjà beaucoup donné par le passé concernant cette histoire et ils avaient acceptés que ce soit la dernière fois.
"J'aimerai beaucoup vous répondre que nous trouverons un autre arrangement, mais le temps nous est compté. Et à moins que vous ayez un autre moyen de les faire venir, elle aura un rôle à jouer."
Maintenant...
J'avais levé les yeux vers elle. Elle portait pour simple vêtement une serviette de bain. Ca ne semblait pas la déranger plus que ça que j'arrive à ce moment là. Elle m'avait fait entrer et elle avait pris la décision de finir sa douche, me laissant dans sa chambre. Puis, elle s'était mise à me parler et je m'étais avancé à proximité de la porte afin d'entendre ce qu'elle me disait.
J'étais resté muet à sa question. J'hésitais à entrer ou à rester là, voir simplement à sortir. Peut-être que cette discussion était inutile et que c'était simplement une mauvaise idée. J'entendais l'eau couler. Ce n'était pas la première fois que j'entendais l'eau couler quand elle était sous la douche. Elle avait fait exprès ? Elle voulait me rappeler certains moments de notre passé en commun ? Cette fois ci il ne serait pas question de casser une nouvelle fois tout l'équipement qui permettait de maintenir le combiné contre le mur.
L'évocation de se souvenir m'avait fait sourire et peut-être aussi un peu rougir. Ce qui n'était pas dans mes habitudes. J'avais secoué la tête et je m'étais approché un peu plus près de la porte. Je l'entendais se savonner. C'était tout autant excitant que perturbant. J'avais posé ma main sur la poignée. J'allais l'ouvrir, je le sentais. Je voulais l'ouvrir, mais c'était vraiment pas une bonne idée. Je m'étais du coup ravisé et j'avais posé ma main tout contre la porte, fermant quelques instants les yeux. Puis, j'avais pris une grande inspiration et je m'étais reculé, croisant les bras.
"Je le pensais. Vous devriez partir, ça serait mieux pour vous toutes. Même si je me doute que tu refuseras cette possibilité."
Mais la fuite était une bonne chose parfois. De toute façon les déesses semblaient être assez matures pour prendre la décision de ne pas continuer. Du moins pas avec des mortelles ou une demi déesse dans leurs pattes. Après tout c'était juste d'elles dont on avait besoin pour la suite.
"Et... Je suis désolé... Je sais que je te l'ai déjà dit, mais je veux vraiment que tu comprennes que je le suis. Aussi bien pour ce qui s'est passé que pour... Je suis désolé."
Hippolyte Sherman
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| Avatar : Shelley Hennig
Arrête de t'en faire. Je suis là maintenant, ok ?
Tu m'as vraiment manqué Peg !
| Conte : Inventé | Dans le monde des contes, je suis : : la fille d'Arès.
Hippolyte tourna la tête afin d’observer s’il était rentré ou non dans la salle de bain. Elle fut légèrement déçue de ne pas le voir dans la salle de bain. Mais elle n’allait pas en faire toute une histoire. La demi-déesse termina sa douche assez rapidement. Elle écouta attentivement les paroles d’Egéon sans pour autant lui répondre. Elle ferma les robinets et sorti de la douche. Elle prit un peignoir qu’elle mit puis une serviette qu’elle enroula dans ses cheveux. Puis la jeune femme sortit de la salle de bain. Egéon était toujours présent et elle, elle était toujours peu vêtue. Qu’importe, il l’avait déjà vu dans le plus simple appareil alors il n’allait pas faire le timide ! En tout cas, Hippolyte ne jouait pas ce rôle. Egéon avait les bras croisé et tentait de garder un air plutôt détachée de la situation dans laquelle il se trouvait. « Tu devrais changer de disque, c'est usant à force. On a compris que tu voulais qu’on parte. Par contre, toi tu n’as pas compris qu’on ne te laisserait pas. » Hippolyte s’avança vers son sac pour en sortir un peigne. Puis elle se dirigea vers le miroir de la chambre. Elle pencha la tête en avant pour retirer la serviette dans ses cheveux puis se redressa rapidement. « On ne va pas laisser une menace aussi grande planer. Il faut y mettre fin et maintenant ! Et même si tu es plutôt fort, tu n’y arriveras pas tout seul ni avec ton acolyte. Qui sait, peut-être est-ce aussi un traitre ? » Hippolyte se retint de continuer ses interrogations. Elle avait failli dire qu’il pouvait être lui aussi un traitre. Après tout, c’était assez compliqué de voir qui était dans le bon camp dans ce bordel. Mais elle ravala sa salive et ferma sa bouche. La jeune femme commença à se démêler les cheveux jusqu’au moment où les paroles d’Egéon lui revint à l’esprit. Elle s’arrêta brusquement. « Attends… » Hippolyte tourna les talons pour faire face à Egéon, elle se rapprocha doucement de lui. « Qu’est-ce que tu as dit tout à l’heure ? Tu es désolée ... "Aussi bien pour ce qui s’est passé que pour…" … Que pour quoi Egéon ? » Hippolyte était presque sûre qu’il lui cachait quelque chose. Il fallait qu’elle lui tire les vers de nez. Cependant, Hippolyte n’était pas Aryana. Jouer la séduction pour obtenir ce qu’elle voulait ce n’était pas vraiment son truc. Pour obtenir quelque chose, Hippolyte préférait la bagarre, la peur, les menaces. La jeune femme posa sa main sur les bras croisés d’Egéon. « Qu’est-ce que tu ne me dis pas ? » Hippolyte essayait de se montrer plutôt gentille mais sa patience avait des limites.
love.disaster
Hippolyte : 95%
Louise Hollen
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| Avatar : Rachel Mcadams
He had beautiful eyes. The kind you could get lost in.. and I guess I did.
| Conte : Les douze fréres / Les cygnes sauvages | Dans le monde des contes, je suis : : Elisa : la soeur
Elle était entrée dans le salon et c''était automatiquement postée prés d'une bibliothèque, adossée au bois, les bras croisés. Egeon commença un petit discourt auquel elle ne prêta que moyennement attention. Il était facile de dire qu'Alexis et Agenor étaient des traîtres maintenant qu’ils étaient morts. Cela n’expliquait en rien cette histoire de dossiers. Peut être Egeon n'était il pas au courant ? Et puis les chambres .. non, tout cela était trop flou. "Avec Aaron, on a décidé qu'il serait bien plus prudent de ne plus s'attaquer au groupe pour le moment. Car ils vont être sur leurs gardes."
Egeon fixa la jeune femme, qui soutint le regard sans broncher. Quel fin tacticien, non mais vraiment … Qu'est ce qu'il voulait ? La convaincre de sa bonne foi ? Personne n'avait été avec eux deux cet après midi … Mais elle leur laissa le bénéfice du doute, comme depuis le début. Non, elle n'avait pas confiance en eux, mais pourtant... Il le fallait bien un minimum non ? Ils auraient pu les attaquer pendant la nuit ou les empoisonner …
Rentrer ? Il voulait encore les renvoyer a Storybrook ? Il avait fait l'école du rire ou quoi ? Heureusement, Aryana lui expliqua qu'il était hors de question qu'elles partent. Le sourire entendu de la princesse se décomposa lorsqu'elle entendit la suite du discourt de la déesse. Silence de mort. Louise tourna les yeux vers Diane, attendant qu'elle les défende, qu'elle raconte a sa sœur qu'elle étaient parfaitement capable de se débrouiller seuls. Mais contrairement a ses plans, Diane l'approuva.
Louise l'observa rapidement. Il n'était pas difficile de voir qu'elle avait remis sa carapace. Reste Zen Lou, reste zen. Pense a .. a ce que tu veux mais reste calme. Ce n'est pas en t’énervant que tu arrivera a quelque chose. Elle comprenait leur point de vue, si elle avait été a leur place, elle aurait certainement fait la même chose. Mais personne, pas même des déesses ne décideraient de ce qu'elle ferait a sa place. Elle avait assez été brimée dans sa vie pour vouloir se laisser faire de la sorte.
Elle prit soudain la parole. « Bon, j'ai bien compris que vous vouliez nous ramener nous, pauvres mortelles, a Storybrook. Mais que ce soit claire, pour moi, il est hors de question que je vous laisse. Je suis parfaitement capable de me défendre toute seule, j'ai pas besoin que vous me protégiez. Jusqu’à nouvel ordre, je suis libre de mes choix et consciente que je peux mourir. ». Elle fit une pause pour reprendre sa respiration, puis continua. « Je sais que vous voulez nous protéger, qu'on est moins fortes que vous. Mais je refuse de me laisser dicter ma conduite, surtout si cela implique d'abandonner mes amies. Et même si ce sont des déesses qui me l'ordonnent. Ce sont vos histoires de famille ? Eh bien je suis désolée, mais maintenant on est impliquées. Quel sorte d'amie serais je si je reculait a la moindre difficulté, au moindre danger ? Mettez vous a nos places. Qu'est ce que vous feriez si vous étiez dans notre situation ? Vous n'avez pas a choisir pour nous, a nous imposer vos choix. Donc moi, je reste. ».
La princesse les regarda tour a tour dans les yeux, décidée, avant de se ré adosser à la bibliothèque. Hors de question de partir. Elle était on ne peu plus têtue, et une fois quelle avait décidée quelque chose, elle s'y tenait coûte que coûte. Diane, Aryana et Hip' n'allaient peut être pas apprécier, mais elle ne se renierai pas pour leur faire plaisir. Elle ne les laisserai pas tomber comme ca. Elle ne se laisserait pas faire.
Elle vit Aryana s'approcher d'Aaron, et une seconde après, elle obtenait le lieu du QG de Biarée. Sauf que la victime ne put s'empecher, en voyant Louise qui souriait de sa dernière réplique, d'ajouter "Enfin elle est sexy, mais toi t'es la plus chaude, Loulou !". Loulou ? Sans se retenir, la princesse se mit une claque sur le front et baissa la tête. Non mais quel boulet ce type !Mais quel crétin !
Puis Hipp et elle discutèrent, et tout le monde se dispersa. La princesse resta un moment immobile, puis alla dans la cuisine pour manger quelque chose. Rapidement, elle se fit un sandwich et le mastiqua lentement, perdu dans ses pensées. Devait elle interroger clairement Egeon ? Sur les dossiers ? Si ils devaient se battre cotes a cotes le lendemain, il valait certainement mieux tout mettre a plat... Oui, elle irai le voir plus tard dans la soirée.
Tranquillement, elle remit son bazar en place, puis se réfugia dans sa chambre. Affalée dans son lit, a recoudre le manteau de Jeff avec un kit de couture qui ne la quittait jamais depuis sa rencontre avec Gautier, elle se mit a réfléchir. Comment faire pour faire comprendre aux déesses qu'elle était utile ? Après tout, c'était elle qui avait trouvé les dossiers ! Dans la biblioth... La jeune femme se redressa d'un bond. Mais oui ! Le passage secret ! Elle était en train de chercher l'entrée quand Aaron avait débarqué. Bon, cette fois elle prendrai ses précautions.
Louise se leva, attacha ses cheveux en une queue de cheval haute, prit trois fiole et sortit. La princesse se faufila dans les couloirs, silencieuse comme une ombre. Elle mit un certain temps avant de pouvoir retrouver la bonne porte – merci a son sens de l'orientation défaillant -mais finit par entrer dans la bibliothèque dont elle referma soigneusement les battants derrière elle. Louise s'approcha des meubles, et se mit fouiller les livres. Non, ce n'était pas possible que ce soit aussi simple. Réfléchit, réfléchit, réfléchit !s'ordonna elle mentalement en essayant de revoir sa première fois ou elle avait vu le battant se rouvrir. Non, il n'y avait rien, pas le moindre indice. Rhaaa mais c'est pas possible !
La princesse commença a fouiller les livres, a les bouger, les tirer. C'est stupide, se dit elle. Ca ne marchera jama... Ah bah si, ca marche. Finalement ... Louise venait de tirer un livre s'intitulant L'Atlantide, enclenchant un mécanisme complexe qui lui ouvrit le passage. Je suis trop forte ! Vive moi ! Pensa elle en découvrant un escalier souterrain. Louise jeta un regard derrière elle, au cas ou il y aurait eu quelqu'un, puis s'engagea dans le passage. Au début, elle fut éclairée par la lumière de la bibliothèque, mais rapidement, le mur se ferma et elle se trouva ans le noir complet. Sa respiration se bloqua et elle cessa d'avancer, paniquée.
Le noir. Elle avait peur du noir. Une peur panique. Pourquoi diable n'avait elle pas prit de lampe de poche dans son kit de survie ? Tout cela lui rappelait trop de mauvaises choses. Joshua, les journées, les nuits qu'elle passait plongée dans l'obscurité, attachée un mur dont les chaînes en fer meurtrissaient a chair. Et sa tentative. Ou les ténèbres et le froid l'avaient prises, jusqu'à ce qu'elle aille se réfugier dans l'esprit de Nathanaël... Se retenant de pleurer, elle s'appuya sur le mur et se laissa glisser au sol, ramenant ses jambes contre elle. Elle avait peur. Trop peur. Et son téléphone état resté dans sa chambre. Lentement, elle se mit a se balancer, le visage enfouis dans ses bras, masquant ses larmes, quand soudain, sa main effleura quelque chose de froid et lisse. Instantanément une lumière bleu-verte apparu, produite par de nombreux cristaux incrustés dans le mur, donnant à l'endroit une ambiance presque surnaturelle.
La princesse se releva, et soupira, puis continua a descendre, poussée par la curiosité. Ce n'était pas une petite crise d'angoisse qui allait la faire reculer, si ? Elle continua a avancer, les marches de pierre, proprement taillées au début, devinrent plus anguleuses, moins régulières … Il devait y avoir pas mal de passages secrets dans cette maison. Rien que celle de la cheminée pour celui qu'elle empruntait, ca faisait deux. Les constructeurs ne c'étaient certainement pas arrêté a ça !
Elle descendit profondément, et arriva enfin au bas des marches. Je dois être bien en dessous des fondations de la maison.... Louise observa autour d'elle, et se trouva face a deux couloirs qui s’enfonçaient dans les ténèbres. Le premier était gardé par deux statues en forme d'hippocampes, tandis que l'autre ne l'était pas. Mais au sol, on voyait des traces d'eau qui en provenait. La princesse hésita une seconde avant de s’engager dans le second tunnel. Il y avait eut un passage récemment.
La lumière continuait a apparaître au fur et a mesure, et plus elle s'enfonçait dans le tunnel, plus elle entendait le clapotis de l'eau. Autre fait étrange, elle remarqua que les traces qu'elle suivait grossissaient au fur et a mesure de son avancée, devenaient plus imposantes... Soit une bestiole très grande avait rétrécie en quittant le tunnel, soit quelque chose de petit avait grossit en y entrant. Autant dire que ça ne changeait pas grand chose. « Bon bah on a Hulk qui se balade sous les fondations de la maisons, super... » murmura elle dans le silence, pour se rassurer par le son de sa propre voix.
Elle aperçut enfin une source, de laquelle … rien ne sortait. Intiguée, Louise s'approcha rapidement et se pencha au dessus de l'eau. Qu'est ce que c'est que ca … plissant les yeux, elle aperçut quelque chose qui bougeait au loin … un poisson ? Ca ressemblait a .. une anguille … La princesse se pencha encore une peu … « Qu'est ce que tu fais la ? » Surprise par la voix, elle faillit tomber dans le bassin mais se retint juste a temps, puis se retourna d'un bond. Aaron la regardait. Et zut ! Évidemment, il fallait que ce soit lui !
« Je me balade. Et toi ? ». elle recula légèrement, méfiante. Mais le jeune homme se contenta de s'asseoir sur le rebord, d'enlever ses chaussures et de plonger ses pieds dans l'eau sous l'air ahurie de Louise. Elle qui s'attendait a se faire engueuler !
« J'adore venir la, ca a un coté très romantique... » La jeune femme leva les yeux au ciel et s'installa a coté de lui, gardant tout de même une certaine distance de sécurité entre eux. Il ne manquerait plus qu'il veuille l'embrasser a nouveau tiens ! « Un jour faudra vraiment que tu arretes tes blagues stupides hein … ». Fixant la chose qui bougeait, elle lâcha finalement, en la désignant du doigt. « C'est quoi ca là ba ? ». le jeune homme regarda a son tour puis eut un sourire énigmatique. « c'est qu'un animal qui traîne là. Rien de bien grave! T'en fais pas, je suis là pour te protéger au cas où... ». Mais bien sur ... un simple animal qu'on gardait enfermer dans un lieu secret ? Tatata, ca ne se passerait pas comme ca. « C'est quoi comme animal ? Je peux le voir ? »