« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)


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 Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte

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Robyn W. Candy
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Robyn W. Candy

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PANIQUEZ PAS J'VIENS JUSTE CHERCHER UN TRUC DANS MA BOITE MP
(Et ouais du coup j'en profite pour faire un tour et mâter les profils, z'allez faire quoi pour m'en empêcher hein ?)

| Conte : Les mondes de Ralph.
| Dans le monde des contes, je suis : : Vanellope Von Schweetz, ou la princesse d'un royaume de sucreries qui préfère conduire des voitures en gâteaux.

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________________________________________ 2015-02-25, 18:15





Keep calm, I have a Katana

J'aimais pas les souterrains. On était à Londres, c'était pas pour se perdre sous terre. Je voulais aller au parc avec les Légos géants et le sous-marin pour voir des requins. Et puis aller visiter des cimetières, et manger des spécialités locales. J'avais toujours pas pu avoir des cupcakes. Apparemment, ça vient du coin, alors je veux savoir si ils sont vraiment meilleurs que les miens.

Au début, je n'étais plus très chaude pour partir de nouveau en expédition. Je commençais à en avoir mal de ces espèces de coincées au caractère de merde. Hippolyte s'est envoyée en l'air avec son ex qu'on pensait potentiellement être le grand méchant et maintenant tout le monde est au courant. Y a pas de quoi en faire un foin quoi. De toute façon, on aurait fini par l'apprendre d'une façon ou d'une autre. Les petits yeux de bichons et les regards langoureux, tout ça... Le sourcilleux aurait plutôt dû se balader avec un pantalon, au lieu de se pavaner. C'était sa faute.

Mais de toute façon, je m'en foutais de ce que tout le monde pensait. Je suis reconnue comme une peste, et je vois pas pourquoi j'allais m'arrêter. J'étais là, j'avais ouvert ma grande gueule, et fallait faire avec. Et puis pas question que je loupe un nouveau combat alors qu'on pouvait utiliser des supers armes !

J'avais crû m'évanouir de bonheur en voyant la collection d'Egeon. Personne ne voulait jamais me laisser toucher à tout ce qui pourrait être dangereux. Je sais pas si c'est pour ma propre sécurité, ou si c'est juste pour celle des autres. J'avais ma Lucille chérie, mais l'idée de jouer avec une autre arme me rendait aussi fébrile qu'une gamine de six ans qui irait à Disneyland.

J'avais mis pas mal de temps à me décider, et mon choix s'était porté sur un katana. J'avais vu quelqu'un en avoir un une fois, dans une série avec des zombies, je crois. Ça me plaisait bien, ce petit côté « chevalier des temps modernes ».

En tout cas, j'étais drôlement contente de l'avoir. Vu la surpopulation de harpies dans le coin, c'était pratique. Je commençais franchement à en avoir ras la marmelade de ces conneries. Qui était le con ayant inventé des atrocités pareilles ? Fallait avoir une case en moins quoi !

Je ricanais à la remarque que Aryana fit aux garçons, tout en sortant le sabre de son fourreau, accroché dans mon dos. Putain, cette sensation ! C'était comme être Kill Bill ! Je sentie un frisson d'excitation remonter le long de mon corps. J'allais devoir prendre rendez-vous avec Archie en rentrant moi. Éprouver du plaisir alors qu'on est sur le point de mettre une raclée à des volailles volantes, c'est sûrement pas bon pour ma thérapie.

- Tu veux pas arrêter de reluquer ta copine et finir de buter cette harpie ? Tu la tortures là !

J'étais passée à côté d'Aaron, qui étranglait tant bien que mal la bestiole. Il pouvait pas faire comme tout le monde et lui exploser la tête ? Levant mon arme, je m'attaquais d'abord à celle qui essayant de réduire en charpie Louise. Harpie, charpie... Non, ridicule. La créature volante eu à peine le temps d'ouvrir la gueule pour brailler que la lame du katana transperça son crâne aussi facilement que si ce n'était qu'une motte de beurre.

- Waouh ! Mais c'est trop trop bien ce truc ! Lily, je te pardonnerais si tu m'en offres un à Noël !

J'aimais ma batte d'un amour sincère, mais quand même. Quand même quoi ! Grisée par toute cette excitation et totalement hystérique, je me jetai sur les harpies, sans même réfléchir. J'avais les mains qui en tremblait. Je riais énormément, aussi. Même si mes cheveux furent tirés, que je tombais au sol ou que je failli perdre un œil. C'était hilarant. Géant. Énorme. Je coupais tout ce qui passait prêt de moi, que ce soit tête, jambe, griffe, aile, pieds... ça faisait longtemps que je ne m'étais pas lâché à ce point. Tout ça parce que je pouvais facilement découper des harpies avec un katana, oui. Je vois un psy, je vous l'ai déjà dis ?

À un moment, je me rendis comte que plus rien n'attaquait. Baissant les yeux, je vis qu'il y avait pas mal de morceaux bizarres et de cadavres de volailles au sol. Je reportais plutôt mon attention sur le sabre, dont la lame était recouverte de sang et autres fluides, avec un regard emplie de fierté. Je m'en foutais que ça ne soit pas le mien. Il voulait que je l'adopte, si si.

- Elles sont toutes mortes ? Y en a pas d'autres ?

Ma vois était presque plaintive. J'avais envie de recommencer. C'était nul, si il n'y avait plus rien à découper. Et puis si l'excitation retombait, j'allais devoir dormir vingt heures.
BY .SOULMATES



Robyn: Se transforme en Gremlin
Harpies: Y a plus Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 11 4114364782 Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 11 2852471132


Louise Hollen
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He had beautiful eyes. The kind you could get lost in.. and I guess I did.

| Conte : Les douze fréres / Les cygnes sauvages
| Dans le monde des contes, je suis : : Elisa : la soeur

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________________________________________ 2015-02-26, 18:50

Les petits secrets d'Hippolyte


Louise se battait contre une harpie. Décidément, celle la semblait avoir une dent contre elle … La jeune femme esquivait les coups de griffes qu'elle voulait lui porter avec une agilité qui l’étonnait elle même. Il fallait croire que l'adrénaline aiguisait ses réflexes. Sauf que concentrée comme elle était sur son ennemie première, elle ne vit pas la seconde harpie qui fonçait dans son dos, et entendit seulement un grand cri.

D'un bond elle se retourna pour voir Aaron se jeter entre elle et une harpie et se prendre la prendre de plein fouet. Rapidement, il termina au sol, tendis que sa harpie s'écrasait un peu plus loin. La jeune femme fixa le demi dieu qui l'avait protégé, les yeux ronds, totalement choquée. Il c'était mis en danger pour elle, une simple humaine. Peut être que … peut être qu'il ne plaisantait pas … qu'il était sérieux... Mais ce n'était pas le moment de penser a ca. Aaron la prévint qu'elle avait une harpie dans son dos, et rapidement, la jeune femme fit face, sortant de la léthargie dans laquelle elle était tombée.

"Vas y Loulou ! Met lui une droite ! ''
La princesse était on ne peut plus perturbée par l'attitude d'Aaron. Il était malade d'avoir fait ça ! Se mettre en danger pour elle, mas qu'est ce qu'il avait dans la tête ? Non, décidément, ce n'était pas le moment d'y penser. Mais tout a coup, Robyn bondit sur la créature qu'elle combattait et … la trancha en morceaux. Littéralement.
- Waouh ! Mais c'est trop trop bien ce truc ! Lily, je te pardonnerais si tu m'en offres un à Noël !

Oh mon dieu … pensa la princesse en reculant, luttant contre la nausée qui l'envahissait a nouveau. Elle regarda Robyn se battre, évitant de s'approcher. Cette malade aurait pu lui couper un membre sans même le voir tellement elle était dans son délire.

Et puis … plus rien. Les harpies étaient mortes, et le petit groupe se rassembla au centre de la pièce. Et d'un coup d'oeil rapide, Louise évalua les dégâts, mais avant qu'elle ait pu demandé a Diane comment elle se sentait, elle sentit .. un léger coup de vent passer près d'elle. Puis un second. Du vent dans un souterrain ? Étrange. Inquiète, la jeune femme regarda autour d'elle et vit soudain, d'un coté Robyn, prise à la gorge par une femme qui se tenait derrière elle. (Charybe) . Celle ci lui lécha le visage, provoquant un frisson de dégoût, faisant mine de « goutter » sa proie. Peut être le faisait elle réellement...Puis soudain un cri perçant se fit entendre, si fort que la princesse plaqua ses mains sur les oreilles, tendis que quelque chose cognait contre la parois. Louise tourna la tête et vit Lily, elle aussi tenue par une femme (Scylla), dont la main était en forme de stalactite, la pointe pressée sur la gorge de la jeune femme. De la ou elle était, Louise voyait la peur dans ses yeux, alors que la créature riait stupidement.

Et soudain, d'autres rires retentirent, et une dizaines de harpies débarquèrent. Un peu plus loin apparut un homme en cape, dont le visage était dissimulé, ( Biarrée ) entouré de deux hommes et d'une femme … ( frères et sœurs ).

Biarée regarda autour de lui, faisant bouger la cape qu'il portait. Il fixa les harpies, le petit groupe … "Je crois que vous avez quelque chose qui nous intéresse." . Louise plissa les yeux, une main au fond de sa poche, cherchant une fiole bien spécifique … Elle devait gagner du temps. Lui, restait en retrait, et ses frères se dirigèrent lentement vers Artémis et Aphrodite. "si vous tentez quoi que ce soit, vous perdrez deux de vos amies... pour commencer."

Louise fit des yeux le tour de la salle, cherchant un moyen de gagner du temps. Elle devait le faire parler. « Qu'est ce que vous voulez ? » lâcha elle en fouillant discrètement dans ses poches. Biarée s'avanca vers Diane, tout en restant a bonne distance, derriere ces demis-dieux.

« Ce qu'on veut ? Ca semble évident, n'est ce pas ? » Si elle jetait sa fiole fumigène, elle pourrait bondir sur la femme qui tenait Lily et l’empêcher de lui enfoncer son pieu dans le cou. Elle risquait de se faire transpercer la main, mais comparé a une vie, étais ce réellement important ? Sauf que si elle faisait ca … Robyn risquait d'y passer. Non. Elle était impuissante. "Vous remercier, déesse Artémis et vous, déesse Aphrodite. Car sans votre venue, on n'aurait jamais obtenu aussi facilement deux armes divines." On le sentait … victorieux. Il avait l'air de savourer pleinement ce moment. Les demis dieux s'approchèrent encore de diane et aryana. "Soyez gentilles et épargnez les vies de vos amies."

Louise serra les poings, ses ongles s’enfonçant douloureusement dans sa peau. Elle était tellement inutile et faible ! Elle ne pouvait absolument rien faire, il n'y avait aucune chance. La jeune femme jeta un regard vers les déesses, avant de capter les yeux d'Aaron. Celui ci l regarda, l'air iinquiet, uis regarda Biarée avant de s'approcher doucement d'elle. "T'inquiète, je gère." Pardon ? Il disait ca dans une situation critique comme celle la ? Mais qu'est ce qu'il avait dans la tête ? Doucement il lui prit la main, glissant un Arlequin entre ses doigts. "T'en fais pas Loulou, ça va aller. Elles vont lui donner et tout ira bien".

Elle ne répondit pas, sentant sa vielle méfiance refaire surface. Comment pouvait il dire ca ? Il en avait l'air convaincu. Beaucoup moins que la princesse. Lentement, elle retira sa main et glissa le bonbon dans sa poche. Elle voulait avoir les mains libres pour pouvoir bouger rapidement en cas de besoin.


Code by ©Elle


Louise 100%
Biarée 100%
Demi dieu 1 100%
Demi dieu 2 100%
Demi déesse 100%
Charybe 100 %
Scylla 100%
Harpie x10 100%
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“ Vous ne pourrez jamais comprendre.
Tout ce que je fais, je le fais pour Elliot. ”

Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 11 554z


Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 11 XtFsyhL


| Conte : Hercule
| Dans le monde des contes, je suis : : Aphrodite

Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 11 808687arya

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Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 11 _



________________________________________ 2015-02-27, 17:39



I'm ready for fight and fate. Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 11 920691004

   
C'était le quart d'heure boucherie. Partout le combat faisait rage. Finalement, nous nous en sortions plutôt bien. Je devais admettre que les mortelles savaient se défendre. Robyn nous fit une démonstration au sabre fort intéressante. Nous eûmes à peine le temps de reprendre notre souffle qu'une nouvelle salve de harpies fit leur apparition. Désormais, nous en avions une dizaine à occire, mais cela était un moindre mal en comparaison des deux monstres à l'allure vaguement humaine qui appréhendèrent Lily et Robyn. J'entrouvris la bouche, stupéfaite que les créatures aient réussi à les maitriser si vite sans qu'on n'ait le temps de réagir. Mon instinct me commandait de les exploser à coups de Marteau, mais mon esprit m'intima de me calmer alors qu'un homme sortait de l'ombre, accompagné de deux hommes et d'une femme. Impossible de voir son visage encapuchonné. Il était drapé dans une longue cape noire plutôt ridicule. Pas besoin d’être devin pour savoir qu'il s'agissait de Briarée, flanqué de demi-dieux, et que nous venions de tomber dans un piège.

Je me mordis les lèvres et sentis le Marteau s'alourdir dans ma main. Je ne cillai pas en voyant les deux demi-dieux s'approcher d'Artémis et moi. Je les jaugeai d'un regard altier et froid, ignorant le sourire victorieux qui s'entendait dans la voix de Briarée. Evidemment, il voulait les armes divines. Rien d'étonnant à cela. Quoique... à quoi pourrait lui servir quelque chose qu'il ne pourrait tenir en main ? Travaillait-il pour un dieu à qui les armes profiteraient ? Je passai rapidement en revue la liste de mes frères et soeurs avant de secouer la tête. Liste trop longue et fastidieuse. Nous manquions de temps. Il fallait se montrer pragmatique.

Je jetai un regard à Lily qui tentait de s'extraire de l'emprise de la créature. Je voulais tant lui venir en aide mais... comment ? Je ne pouvais tenter un affront direct. Ils étaient en surnombre et détenaient la future femme de mon fils. En outre, je n'étais pas une guerrière comme ma soeur, je n'avais aucun entrainement. Le Marteau faisait tout pour moi. Je doutais que cette fois, cela soit suffisant.

Je regardai ensuite Artemis d'un air entendu. Elle avait l'air calme mais je savais qu'elle maitrisait tant bien que mal sa colère.

Bien entendu, il était hors de question de donner nos armes à ce marmot présomptueux. J'avais toujours eu en horreur la progéniture de Zeus. Elle était bien trop nombreuse et cherchait toujours à s'illustrer par des exploits ridicules. Briarée était sans nul doute le plus ambitieux et le plus dangereux de tous ses rejetons.

Tenant toujours mon Marteau, je passai un doigt sur le bracelet à mon poignet. L'idée de l'enlever pour appeler du renfort m'effleura l'esprit, mais je savais qu'en contrepartie, Lily perdrait la mémoire. Je ne pouvais me résoudre à ce genre de sacrifice. Elle n'était pas censée être là. Elle ne méritait pas ce qui lui arrivait. Ce n'était pas de sa faute, c'était celle de...

Hippolyte.

Lentement, je pivotai sur mes talons pour la dévisager. Elle était aussi angoissée que nous. Le Marteau trembla légèrement dans ma main alors que je posai les yeux sur Egéon. Il avait l'air sur ses gardes et en même temps, trop détendu. Etait-ce une impression due au stress ? Imaginai-je des choses ? Assez de mensonges. Je voulais en avoir le coeur net. C'était le moment ou jamais. Dans le feu de l'action, on ne se contrôle pas...

Ma voix claire et furibonde s'éleva dans les profondeurs du souterrain, faisant sourciller les harpies étonnées par ma réaction :

"Espèce de petite inconséquente ! J'espère que tu es fière de toi !"

Je plantai un regard féroce dans celui d'Hippolyte avant de poursuivre d'un ton véhément :

"Tu nous as conduit dans un piège ! Tu as amené deux de tes amies à une mort certaine !"

Je désignai Lily et Robyn avant de la fusiller du regard et de la gifler.

"Tu n'as AUCUNE utilité, aucune !" criai-je. "Tout a commencé par ta faute ! Sans toi, on ne serait jamais venues ici ! Je vais mettre un terme à tout ça ! Tout de suite ! Ca sera déjà une bonne chose !"

Je ne me contrôlais plus. Le Marteau faisait-il son oeuvre une fois de plus en me rendant froide et insensible ? Emportée par ma folie et ma fureur, je le levai au-dessus de ma tête, prête à l'aplatir sur Hippolyte. Alors qu'il n'était qu'à quelques centimètres de son crane, un grand "NON !" ébranla le souterrain.

Intérieurement, je soupirai de soulagement, mais extérieurement, je restai impassible. Je tournai la tête en m'apercevant que les harpies s'étaient approchées de moi d'un même élan, prêtes à me sauter dessus, tous crocs dehors. Je déglutis légèrement et pivotai ensuite vers Egéon, dont le mot venait de lui échapper. Il semblait se retenir de me réduire en pièces. Le souffle court, je murmurai avec l'ombre d'un sourire victorieux :

"Je le savais..."

Les harpies lui obéissaient. Il venait de se dévoiler. La question est : si elles sont censées être aux ordres de Briarée, comment se fait-il qu'elles répondent au son de sa voix à lui ? Je haussai un sourcil éloquent dans sa direction. Et oui mon grand, tu es fini.

"Tu as vraiment cru que j'allais tuer Hippolyte ?"
déclarai-je d'un ton doucereux. "Oh, ton père a du te dire tellement d'horreurs à mon sujet, mon pauvre Egéon..."

Il avait raison. Mais personne n'avait besoin de le savoir. Je baissai mon Marteau, car menacer Hippolyte allait bien deux minutes, surtout qu'elle avait l'air de vouloir me sauter à la gorge. Elle était suffisamment sotte et aveuglée par la colère pour croire que j'avais vraiment l'intention de l'achever. Il lui faudrait du temps pour encaisser la vérité.

"Ca suffit !" s'exclama Briarée.

Je me retournai vers lui, gardant le Marteau le long de mon corps. Il dépassa ses deux gardes du corps demi-dieux et s'immobilisa brusquement, tout en tendant les bras vers Lily et Robyn. De la fumée noirâtre s'échappait de ses doigts longs et fins. Je plissai des yeux. Depuis quand un fils de Zeus était capable d'accomplir un tel prodige ? Mes doutes s'accrurent quand je vis les créatures qui retenaient Lily et Robyn captives les relâcher pour s'éloigner de "Briarée", caquetant d'un air apeurée.

Je plissai des yeux pour tenter de voir sous sa capuche, mais il n'y avait que les ténèbres.

"Pose cette arme immédiatement ou elles finiront en tas de cendres."
ordonna-t-il.

Je pris une mine soucieuse, tout en tournant le Marteau dans ma main.

"Il y a beaucoup de choses incohérentes ici. Un menteur et un usurpateur."
dis-je en regardant tour à tour Egéon et celui qui me faisait face. "Tu es le fils de quel dieu, Briarée ?"

J'essayai d'établir un lien avec lui, mais mon charme se heurtait à un écran de fumée. Comme si... Comme s'il n'y avait rien sous la cape. Je tressaillis.

"Tu n'es peut-être le fils de personne..." murmurai-je, décontenancée.

   
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Egéon Blackstorm
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Egéon Blackstorm

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৩ On a parfois juste
besoin d'un ami
à qui murmurer à l'oreille
ce qu'on a sur le cœur. ৩

Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 11 891392paul

| Conte : Intrigue Divine ღ
| Dans le monde des contes, je suis : : Un demi dieu

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Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 11 _



________________________________________ 2015-02-27, 19:00



You and me ?



    J'avais fermé les yeux une fraction de seconde, me rendant compte de ce que je venais de faire. En jetant un coup d'oeil autour de moi, mes craintes avaient été confirmées. Les Harpies avaient déjà sorties leurs crocs, prêtent à se jeter sur la déesse. Je ne pouvais plus trouver de subterfuge, j'étais piégé. Aaron m'avait adressé un regard rempli de craintes. Lui aussi savait qu'on avait échoué. On n'était pas perdu pour autant, mais notre couverture venait de disparaître.

    Aphrodite s'était tournée vers moi et elle jubilait. Oui, j'avais vraiment cru sur le coup qu'elle serait capable de le faire. Ou plutôt j'avais été surpris par son acte. Car quand Aaron était venu me voir pour me dire qu'il fallait protéger Louise quoi qu'il arriverait, je lui avais dit de se tenir près d'elle du début à la fin. Il était censé l'empêcher d'agir sans qu'on ait pour autant besoin de la prendre pour cible. Mais je n'avais pas songé à faire de même avec Hippolyte, car je savais que les Harpies ne s'en seraient jamais prises à elle. Du coup je n'avais pas prévu cette éventualité. J'avais agis sous l'impulsion et je commençais déjà à le regretter.

    "Mon père savait reconnaître un monstre quand il en avait un en face de lui." avais-je marmonné à la déesse qui s'était rendu coupable de nombreux méfaits par le passé. Poséïdon avait eu raison de lui faire subir toutes ces choses et je n'avais qu'un seul regret, c'est qu'il n'avait pas pu aller jusqu'au bout avec elle.

    Briarée s'était mis à parler, passant devant les demis dieux et venant se placer juste devant la déesse. Il avait pointé du doigt Robyn et Lily. Des doigts qui fumaient tandis que mes créatures s'éloignaient de leurs proies. On avait déjà eu un avant goût de son pouvoir, il était inutile de tenter le diable. Aphrodite avait compris que Briarée n'était pas un demi dieu. Si elle savait tout ce qu'elle avait loupée depuis son arrivée...

    "Ca n'a pas d'importance de savoir qui il est."

    J'avais dit cela en passant devant le groupe et en rejoignant Briarée. Aaron quand à lui s'était mis un peu en retrait, ne lâchant pas Louise de la main.

    "On n'est pas obligé d'aller plus loin. Vous pouvez nous donner vos armes et on vous laissera partir."

    J'avais jeté un coup d'oeil en direction de Hippolyte. Je sentais qu'elle m'en voulait. Ca paraissait même plus qu'évident. Mais elle finirait peut-être par comprendre. Quoi qu'il en soit, je lui devais une petite explication.

    "Je ne t'ai pas mentis... Je n'ai plus les même motivations qu'à l'époque. Et tu auras beau me traiter de monstre, les véritables monstres ici, ce sont elles !" avais-je dit en pointant les déesses du doigt.

    "Tu n'as pas idées de ce qu'elles ont fait, de ce qu'elle a fait."

    J'avais porté mon attention sur Aphrodite. De toute façon tout ceci n'avait plus d'importance. La seule chose que je voulais c'était qu'on en finisse. Je m'étais tourné vers Diane.

    "On est tous ici que pour une seule et unique chose. Cet objet ne vous appartient pas. Il me revient de droit !"

    J'avais tendu la main, écartant mes doigts pour appeler le Trident. Mais bien entendu, il n'était pas venu. Elle le contrôlait. Elle pouvait le faire apparaître et elle pouvait le rendre au véritable héritier de Poséïdon.

    "Donnez moi le Trident et on vous laissera partir. Vous pourrez garder le marteau. Il ne m'est d'aucune utilité."

    J'avais besoin que du Trident pour ce que je voulais faire. Il n'était plus question de mettre à genoux les dieux, de créer une guerre divine. Mes ambitions étaient différentes et je ne pouvais pas y arriver sans cette arme. Il me la fallait et j'étais prêt à les affronter toutes les deux s'il le fallait. On était en surnombre, ça serait suicidaire de tenter quoi que ce soit contre nous. Je m'étais fait interrompre par Briarée qui avait ricanné avant de parler.

    "Elles ne sont pas enclin à te donner quoi que ce soit, n'est ce pas ?"

    Lui aussi connaissait les déesses. Il nous avait fourni toutes les informations sur elles. Il nous avait fait partager sa magie. Il nous avait permis de mettre ce plan en place. Il m'avait pour la seconde fois proposé un deal que je ne pouvais pas refuser.

    "'Tu as vraiment cru que j'allais tuer Hippolyte?' Lui peut-être, mais moi je me doutais que tu ne le ferais pas. Tu ne toucherais jamais à la fille de ton Arès d'amour, n'est ce pas, Aphrodite ?"

    Briarée s'était avancé en direction de la déesse. Il ne craignait rien, ni personne. Je savais ce qu'il valait, ce que tous les siens valaient. C'était une armée de soldats nobles, courageux et loyaux aussi bizarre que cela pouvait paraître. Je les avais rencontrés bien avant de rencontrer Hippolyte et ils étaient revenus me voir il y avait quelques temps. Leur don était inestimable. Leur connaissance et leur savoir sans limites. Et leur offrande...

    "Nous aurions préféré que Surt soit là en personne..." avait-il dit avec un échos comme si plusieurs voix parlaient d'un même élan. "...mais c'était trop dangereux de l'amener ici. Même si ça aurait été un meilleur moyen de pression. Cela dit, nous avons trouvé une solution intermédiaire."

    Lily et Robyn n'étaient plus du tout prises pour cibles. Briarée avait penché la tête vers Hippolyte et des flammes étaient apparues tout autour d'elle.

    "Le Trident ou la mort. A toi de choisir mais fait vite."

    Les flammes s'étaient approchées bien plus de Hippolyte et attaquaient déjà ses vêtements. Je sentais mon coeur battre à cent à l'heure. Je ne pouvais pas le laisser faire. Qu'il bluffait ou non, il ne pouvait pas la prendre pour cible. Je m'étais avancé et j'avais posé ma main sur son avant bras.

    "Ce n'est pas le deal. Arrête ça de suite !"

    Il s'était tourné d'un geste brusque, faisant glisser sa capuche et on pouvait enfin voir son visage. Le visage d'un homme chauve ordinaire mais avec des traces de brûlures de partout et les yeux en feu.

    "Notre deal était de les réunir, quel qu'en soit le prix ! Et nous avons besoin autant que toi du Trident pour arriver à nos fins. Mais peut-être qu'en sacrifiant plus de monde, ça les incitera à se décider plus vite et on pourra sauver ta petite garce !"

    Il avait fait un geste de la tête et les Harpies avaient poussées un cri de douleur. Leurs yeux s'étaient transformés en flammes et elles s'étaient jetées sur les déesses et les mortelles présentes ! Mes demi dieux avaient simplement battus en retraite. Super les amis ! Il me restait mes deux créatures, mais elles ne savaient pas trop comment réagir et je savais qu'elles finiraient par quitter la scène elles aussi. Quand aux Harpies elles étaient contrôlées par cette entité et Hippolyte continuait à être en proie aux flammes.

    "Non !" avais-je hurlé une nouvelle fois, tout en donnant un coup dans le dos à Briarée pour le faire chuter. Les flammes avaient dévié de leur trajectoire et n'étaient plus concentrées sur Hippolyte. Ce dernier s'était tourné vers moi, d'un air ahuris. Au moins on avait tous été surpris aujourd'hui.




Diane Moon
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Diane Moon

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Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 11 Dmia

“I love you to the moon and back”


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Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 11 _



________________________________________ 2015-02-27, 22:44

Les petits secrets d'Hippolyte
Hey, i just met you and your attacked my niece so i'm really sorry but i'm gonna killed you


Mon épaule, me lançait. Aussi, après m'être, assurée, que Robyn et (surtout) Lily, allaient bien, me décidais-je, à faire circuler, de l'énergie régénératrice, dans ma main, et à la pauser, sur mon épaule, pendant ce temps, là, Louise, se battait, contre sa harpie, tandis que Robyn, sembla se jeter dans la mêlée. J'aurais voulut crier à Louise, de faire attention, quand une harpie, fonça droit sur elle, mais je n'en eu, pas le temps, Aaron, se jeta en travers pour protéger Louise. En, voilà, un au moins, qui n'était pas un couard, pas comme Egéon. Lui, je m'en méfiais comme de la peste, il semblait beaucoup trop inactif à mon goût.

Robyn, elle semblait adorer, déchiqueter les harpies à coup de katana, pour ma part, je ne voyais, pas quel plaisir, l'on pouvait éprouver pour le carnage. Mais, je suppose que mes attributions, de déesses, y étaient pour beaucoup. J'étais celle de la chasse, j'avais donc, un profond, respect, envers n'importe quel être vivant. C'était pour cela, que j'avais beaucoup de mal, avec les bains, de sang.

Une fois, ceci finit, elle se plaignit, qu'il n'y en ai plus, je levais discrètement, les yeux au ciel, mais quel genre, de cas cette fille était-elle. Quoi qu'il en soit, mon instinct, me poussait toujours à être méfiante. Et j’eus raison, avant que nous ayons, eu le temps de réagir, Robyn et Lily, étaient prises, en otage, et pas par n'importe qui...

- Charybde et Scylla murmurais-je

Que faisaient-elles ici ? Je ne tardais pas à avoir, ma réponse, après qu'une dizaine de harpie, n'aient débarqué, un type dissimulé sous une cape, ainsi que demis dieux, et une demi déesse. Apparurent. Un, piège, nous étions, tombées, dans un piège. Mon regard, se porta sur Egéon, à qui je montrais, clairement mon mépris, un mépris, tel que je n'en avais jamais eu pour personne.

Briarée, nous fit clairement, part de ses plans, j'haussais un léger sourcil. Quoi il nous faisait le coup du monologue du méchant. « je veux dominer la terre et être le maitre du monde ». En substance, c'était ce que ça voulait dire. Il, voulait que ma sœur et moi même lui remettions, nos armes divines. Hors de question, si nous le faisions, cela signifiait, la perte de notre famille. Et je m'y refusais. J'avais plus d'une fois, eu envie de hurler sur Arès, que nous n'en étions, pas une, et qu'on passait notre temps, à se faire coups bas, sur coups bas. Mais, au fond, nous n'étions pas si différents, lui et moi. Tout, ce que nous voulions, c'était avoir une famille.

Quoi qu'il en soit, j'essayais vraiment, de contenir, ma rage. Mais, une chose, était sure, s'ils tuaient Lily et Robyn, cela ne resterait pas impuni. Je me chargerais, personnellement, de leurs cas, et s'il y avait encore, des survivants, je suis sur qu'Arès se fera une joie, de les traquer, jusqu'au dernier.

Je secouais, la tête, pourquoi avais-je de telles pensées ? Ce, n'était pas moi, ça. Non, je ne devais, en aucun cas pensé, à Robyn, et Lily morte. Je devais, trouver, un moyen pour qu'on s'en sorte toute, sans rien donner.

Je jetais un regard à Aphrodite, elle se doutait bien que mon calme n'était qu'une apparence, en réalité, je bouillonnait de colère. Mais, je ne m'attendais, surement, pas à ce qui suivit, elle se mit à crier sur Hippolyte, disant que tout était de sa faute, je clignais des yeux, totalement déboussolée, mais qu'est qu'il lui prenait ? Ce, n'était vraiment, pas le moment, de régler, ses comptes avec notre nièce, mais lorsque je la vie lever le marteau prête à s'en servir sur Hippolyte, je ne pu rester silencieuse plus longtemps :

- Aphrodite qu'est que tu fais ?

Ma panique se voyait-elle ? Aurais-je le temps de m'interposer à temps ? Avant, qu'emportée, par sa fureur, ma sœur, ne décide définitivement, de s'en prendre à notre nièce ? Fort, heureusement, un « non » retentit, stoppant ma sœur. Un coup, de bluff, c'était un coup de bluff. Je soufflais, soulagée, mais l'angoisse, était toujours omniprésente. Ainsi, donc, c'était Egéon, le traitre, je m'en étais douté. Je n'écoutais que d'une oreille, la conversation, qui suivit, j'étais en colère, terriblement, en colère. Aussi, lançais-je un regard, tel, que je n'en avais jamais lancé à personne, il était emplit, de rage, de froideur, de mépris et de dégout. Et tout ça, destiné à Egéon :

- Tu ose, nous traiter de monstres, la traiter de monstres sifflais-je. Qui est-ce qui a fait en sortes, d'attirer, trois innocentes, en plus de nous, ici, pour donner un ultimatum ? Toi, qui est-ce qui s'est servie et d'Hippolyte et d'Aphrodite ? Toi. Tu n'as pas vraiment, repoussé ma sœur, aux dernières nouvelles, quand elle te « séduisait ». Tu veux le trident ? Tu veux mon trident ? Tu pense sincèrement qu'il te revient ? Que tu le mérite ? Que tu en es digne ? Un ricanement, moqueur et sarcastique s'échappa, de mes lèvres et sinon dit moi cher neveu, ta connerie c'est de naissance ou bien tu as été bercé trop près du mur ? De nous, tous, je ne vois qu'un seul monstre, et le monstre c'est toi. Tu peux toujours courir, pour que je te donne cette arme, elle est à moi maintenant, et je ferais en sorte, qu'elle ne tombe pas entre les mains, d'un maniaque comme toi. Ni qu'elle soit utilisée à mauvaise escient.

Tout s’enchaina, trop rapidement, Briarée, prononça des phrases, n'ayant aucun sens, et il se tourna, vers Hippolyte, lui lançant un nouvel ultimatum, le trident, ou sa vie, c'est alors, que des flammes commencèrent à prendre autour de ma nièce. Tout ce que je voyais, c'était ça, ma nièce en proie au flamme, j'allais réagir, impulsivement, commander à l'eau se trouvant en dessous des sous sols de Londres, pour la diriger vers Hippolyte que le feu s'éteigne, mais heureusement, Le fils de Poséïdon, se montra utile pour une fois. Je m'occuperais de lui plus tard, nous étions, encerclées, par les harpies. Et nous devions, à tout prix nous en sortir, ou tout du moins, Aphrodite et les autres, moi, s'il m'arrivait quoi que ce soit, tant pis. Je fis immédiatement, apparaître mon arc, cherchant, une ouverture, parmi, les harpies, qui nous attaquaient. Elles, ne m’intéressais, pas, seule deux personnes comptaient, c'étaient cet enfoiré d'Egéon, et Briarée. Je ne voulais, pas tuer Egéon, Ô non, ce serait une punition, bien trop douce, pour lui. Mais, le capturer, et laisser Arès, s'en charger, était une idée plus que plaisante. En, revanche, aucune pitié pour Briarée, il avait tenté, de tuer ma nièce, et ça, c'était impardonnable, mon ouverture obtenu, j’attrapais une flèche dans mon carquois, et visant, son épaule, lançait ma flèche qui atterrit pile là où elle devait être :

- Ça, c'est pour ma nièce !

Mes yeux, étaient voilés, par la colère, personne, ne touchait aux gens, auxquels, je tenais, personne, à moins de subir ma colère. Et, ça, c'était une chose à éviter...




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Arrête de t'en faire. Je suis là maintenant, ok ?

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Tu m'as vraiment manqué Peg !


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Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 11 _



________________________________________ 2015-02-28, 14:01




Les Petits Secrets d'Hippolyte

Lily, Aryana, Diane, Louise, Robyn, Egéon && Hippolyte


« Faut te faire interner toi ! » Cette remarque était adressée à Robyn qui venait de massacrer les dernières harpies. Elle en avait fait de la viande hachée et cela semblait l’avoir amusée. En plus, en agitant son katana comme elle l’avait fait, elle aurait pu non seulement se blesser mais tuer tout le monde, même ses alliés ! Hippolyte soupira puis roula des yeux. Robyn était vraiment un cas. La demi-déesse allait reprendre la parole pour demander au groupe s’ils pouvaient continuer leur chemin. Cependant, un vent très frais lui glaça le sang. Comment cela pouvait-il être possible ? Du vent dans un souterrain ? Hippolyte haussa un sourcil en regardant autour d’elle. Et lorsqu’elle aperçut Robyn et Lily prise en otage par deux par deux créatures, l’expression du visage d’Hippolyte changea. Elle était surprise par cette situation qui semblait déjà catastrophique. Hippolyte mit ses mains sur ses oreilles lorsqu’une des créatures poussa un horrible cri. La situation devint encore plus catastrophique lorsqu’une dizaine d’harpies firent leur apparition, accompagné par un petit groupe de 4 personnes dont un avec une cape et une capuche qui cachait tout son visage. Aucun doute, cela devait être Biarée. Hippolyte resserra ses doigts autour de sa lance. Elle ne savait pas quoi faire, elle était inquiète, angoissée. Et il y avait de quoi puisque Biarée était en train de demander les armes divines des déesses. Que faire face à cette situation. Si cela ne tenait qu’à elle, Hippolyte serait soit rentré dans le tas, soit elle aurait pris les jambes à son cou. Malheureusement, elle ne pouvait pas laisser ses camarades d’expédition. Et une fois de plus, Hippolyte se détesta. S’ils étaient dans cette situation, c’était de la faute de la demi-déesse. Aphrodite ne manqua pas de lui rappeler. L’étudiante dévisagea sa tante, lui adressant un regard mélangeant incompréhension, rage et même peur ! Elle ne comprenait pas pourquoi elle s’en prenait à elle dans une pareille situation. Les paroles qu’elle lui adressait blessèrent profondément Hippolyte, qui sentait les larmes lui monter aux yeux. Elle avait compris le message. Plus jamais elle ne demanderait de l’aide à cette déesse de pacotille. Sur le moment, Hip avait envie de la tuer, elle voulait qu’elle disparaisse pour toujours, surtout lorsque Aphrodite la gifla. Personne n’avait encore jamais giflé Hippo. Elle passa la main sur sa joue rougie par la force qu’Aryana avait mise. Hippolyte avait envie de l’étriper, mais c’était plutôt elle qui allait y passer. Aphrodite la menaçait avec son arme divine, et tout le monde savait ce qu’une arme divine faisait sur une demi-déesse et même un dieu. Hippolyte était impuissante et n’arrivait même pas à sortir des sons de sa bouche. Elle ne pouvait rien faire pour éviter la colère noire de la déesse de l’amour. Lorsqu’elle vu le marteau au-dessus de sa tête, Hippo se baissa mettant ses mains vers le haut, comme pour se protéger. Mais ses mains n’arrêteraient certainement pas le coup de grâce qu’allait lui porter sa tante. Elle ferma les yeux, ne voulant pas voir le mort en face. S’il y avait bien une chose dont elle avait la phobie, c’était de la mort elle-même. Son cœur battait la chamade. Les minutes semblaient être des heures…Puis le temps s’arrêta grâce à un « non » très distinctement prononcé par Egéon. Hippolyte prit son courage à deux mains pour ouvrir les yeux et ce qu’elle vit la rendit perplexe. Les harpies s’étaient approchés d’Aphrodite et donc d’Hippolyte par la même occasion. C’était donc Egéon qui contrôlait les harpies. Hip fut déçu de cette découverte, alors qu’Aryana semblait contente. La demi-déesse la fusilla du regard, notamment lorsqu’elle avoua que ce n’était que du bluff. N’importe quoi. Hippolyte n’y croyait pas une seconde. Elle était persuadée que si elle avait pu tuer sa nièce, elle l’aurait fait sans hésitation. Une fois le marteau rangé, Hippolyte se releva, en soutenant un regard rempli de colère et de haine à sa tante. Elle la haïssait. Et ce qu’elle venait de faire semblait avoir agacée Biarée qui congédia les deux créatures pour s’occuper lui-même de Robyn et Lily. Mais ce qu’avait fait Aphrodite avait surtout énervé Egéon qui lui avait dit ses quatre vérités. Et Hippolyte ne put s’empêcher d’hocher la tête comme pour acquiescer ses paroles. Elle était déçue par lui, mais il avait tout de même raison. Et à ce moment-là, Hippolyte ne savait pas vraiment de qui elle était le plus énervé, le plus déçu. Aphrodite et Egéon arrivait au même niveau, certainement. Dans les deux cas, Hippolyte se sentait trahie, abusée, manipulée. Ses yeux étaient toujours humides. Elle se retenait de craquer. Oh, elle allait craquer mais elle ne voulait pas le faire devant tout le monde. Les dernières paroles d’Egéon étaient de trop mais celle de Diane aussi. Comment pouvait-elle défendre une femme comme Aphrodite. Cela avait beau être sa sœur, elle était la pire déesse qu’Hippolyte avait rencontrée. Mais clairement, c’était Egéon qui la décevait le plus. Il tenait absolument à avoir le trident, chose qu’il n’obtiendrait jamais. Diane n’allait pas lui céder, pour rien au monde. Et ça Biarée semblait l’avoir compris puisqu’il décida de s’en prendre à Hippolyte. Des flammes l’entourèrent comme par magie. Hippolyte lâcha sa lance qui était rapidement devenue brûlante. Et une seconde fois, la demi-déesse sentit les battements de son cœur s’accélérer. Les flammes s’approchaient de plus en plus d’elle et commençaient même à attaquer ses vêtements. Hippolyte essayait d’éteindre les petites flammes sur elle. Elle commençait une nouvelle fois à ressentir une grande peur. Elle sentait la fin proche. Et mourir brûlé vif, c’était la façon de mourir qu’Hippolyte redoutait le plus. Elle ne put s’empêcher de pousser un petit cri, signe qu’elle flippait grave. Heureusement, la peau des demi-dieux étaient plus solides, plus robuste que les mortelles et elle n’avait pas encore pris feu. Mais cela ne saurait tarder. Son cœur battait encore plus vite. Sans doute aurait-elle pu mourir d’une crise d’angoisse, d’une crise cardiaque avant de se faire brûler entièrement. Et en plus de vouloir la tuer, Biarée venait de l’insulter de garce. Si jamais elle en sortait, elle lui ferait avaler ses paroles. Grâce à l’intervention d’Egéon, les flammes se déplacèrent, allant vers Egéon. Les jambes légèrement tremblante, Hippolyte tomba au sol. Elle était soulagée d’être toujours en vie mais complètement apeuré par ce qu’elle venait de vivre. Elle se sentait faible, mais en voyant ce qui se passait, il fallait absolument qu’elle se reprenne. Hippolyte se repassa dans la tête toutes les paroles d’Aryana, de Briarée, de Diane, d’Egéon, comme pour se faire du mal. Mais l’effet recherché était de puiser dans ce qui venait de la blesser pour reprendre des forces pour en terminer une bonne fois pour toute. Hippolyte senti la colère, la rage et la tristesse la remplir. Elle prit sa lance toujours aussi brûlante – mais elle s’en fichait – puis s’avança rapidement vers Biarée en envoyant balader les harpies qui se trouvaient sur son chemin. Elle arracha la flèche paralysante de l’épaule de Biarée avec rapidité puis elle lui enfonça la flèche dans son autre épaule, afin de paralyser son autre bras, l’empêchant d’utiliser ses deux bras. « Je ne suis pas une garce ! » Elle lui colla son poing dans la figure puis décidé à en finir une bonne fois pour toute, Hippolyte utilisa sa lance comme un katana. Elle prit sa lance à deux mains, et calcula le bon angle pour que le tranchant de la pointe rencontre le cou de Biarée. Sans aucune pitié, elle le décapita, en le regardant droit dans les yeux. Sa tête roula sur le sol. Son corps tomba sur le côté. « Connard ! » Puis au bout de quelques secondes, les deux parties de Biarée prirent feu et devinrent deux tas de cendre. La jeune femme allait laisser tomber sa lance au sol mais elle sentit quelque chose se rapprocher d’elle, derrière son dos. Hippolyte se retourna, levant sa lance pour se préparer à l’attaque. S’il fallait décapiter d’autres personnes, d’autres créatures elle le ferait sans hésiter. Hip était dans une folie meurtrière. Mais Egéon les stoppa. Les harpies s’arrêtèrent, écoutant leur maître. Il leur demanda de partir, ce qu’elles firent sans broncher. Hippolyte était persuadé qu’il ferait de même, qu’Egéon partirait lui aussi mais non, il resta planter là comme un imbécile. Hippolyte changea d’arme, elle rangea sa lance puis prit l’arme à feu qu’elle avait sur elle. La demi-déesse pivota d’abord vers Aphrodite, la visant avec son arme. « Alors comme ça je suis inutile ? Si seulement ce genre d’arme pouvait te tuer, j’aurais tiré sans hésiter. Mais tu as de la chance, ce n’est pas toi qui est visée. » Elle tourna ensuite ses talons vers Egéon, pointa son arme vers lui, à hauteur de sa tête. Un coup et il était mort. Elle était prête à le faire, cependant Hippolyte n’arrivait pas à appuyer sur la gâchette. Une partie d’elle l’empêchait de faire ça. « Comment as-tu osé me trahir ainsi, m’utiliser comme tu l’as fait. Tu as abusé de moi. Qu’est-ce qui pourrait me retenir de mettre fin à ta vie ? » Elle allait craquer. Ses yeux devenaient de plus en plus humides. Mais Hippolyte inspira un grand bol d’air frais. « Pourquoi tu as fait tout ça ? Pourquoi ?! » Ces dernières paroles, elle les avait crié, montrant toute la colère qui la faisait tenir debout.


love.disaster


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Biarée : 00%
Harpies : Parties
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৩ On a parfois juste
besoin d'un ami
à qui murmurer à l'oreille
ce qu'on a sur le cœur. ৩

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Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 11 _



________________________________________ 2015-02-28, 19:43



Demain est un autre jour...



    Précédemment...

    Aaron me suivait comme un petit chien. C'était limite si quand je me retournais, je ne le voyais pas avec la langue qui pendait. Les gens qui nous voyaient passer devaient nous prendre pour des personnes bizarres. D'un côté, elles avaient raisons, on était différents d'eux.
    On venait de passer devant la grande roue et on avait rejoint l'immeuble qu'on nous avait indiqué. J'étais entré le premier, suivi de très près par Aaron qui avait regardé autour de nous, si personne nous suivait. Une fois à l'intérieur, on avait monter les quatre étages et on s'était stoppé devant une porte avec une poignée en forme de dragon. C'était là, comme on nous l'avait indiqué. J'avais toqué deux petits coups et la porte s'était ouverte toute seule. On était entré prudemment. De toute façon, on avait prévu le coup au cas où et on était venu armé.

    On venait de longer un grand couloir qui menait à une salle au fond. Il y avait un peu partout des bougies et les fenêtres étaient fermées, ainsi que les stores. Les bougies étaient la seule source de lumière mais pas de chaleur. Car il faisait extrêmement chaud ici. Soit le chauffage était poussé à fond, soit c'était autre chose.

    La porte venait de s'ouvrir et un homme vêtu d'un costard et portant des lunettes de soleil, nous avait fait signe d'entrer. A l'intérieur, la pièce était entourée de rideaux rouge bordeaux. Il y avait également des bougies et un grand tapis au sol avec un immense symbole dessiné dessus. On avait fait ce qu'on nous avait demandé. On s'était installé sur le tapis, les jambes croisées et on avait attendu le temps qu'il fallait. Plusieurs heures après, il était arrivé.

    Cet homme prétendait travailler pour le Dragon. Une personne à qui j'avait déjà eu à faire il y avait quelques années de cela. Il m'avait aidé à retrouver un bien très précieux à mes yeux. Puis, il avait disparu comme quand il était apparu. On avait chacun fait notre part du marché. Cette fois ci, il m'avait contacté pour autre chose.

    On s'était retrouvé à parler un long moment avec cet homme et on avait conclu un accord. Il ferait venir jusqu'ici les déesses et on leur prendrait le Trident. C'était tout ce qui importait. Car ce que je voulais faire depuis des années, ils le savaient et ils partagaient cette même ambition. Seul le Trident nous permettrait d'arriver au bout de nos attentes et seul l'héritier pourrait l'utiliser pour ce dessin.

    "Comprenez bien que tout ceci a été écrit à l'avance, il y a très longtemps. Nous ne pouvons changer le futur et nous souhaitons qu'être les témoins de ce qui arrivera. Depuis des milliers d'années le Dragon est présent parmi eux sans qu'ils s'en rendent compte. Il tient à garder son anonymat, pour cela qu'il fait appel à vous."

    C'était toujours de magnifiques discours et s'il y avait bien quelque chose qu'il fallait lui laisser, c'était que le Dragon ne demandait jamais rien d'impossible à réaliser et qu'il donnait toujours bien plus que ce qu'il prenait. Son don par le passé avait été d'une valeur inestimable.

    "Les Cavaliers, Dun Broch, Storybrooke... Tous les signes sont présent. La prophétie va se réaliser. Le Surt a déjà franchis les portes de la ville. Ses pouvoirs se sont activés. Les deux premières sont déjà parmi nous et la troisième est en route."

    L'homme s'était stoppé et je l'avais regardé, sentant bien qu'il n'avait pas fini de parler. C'était comme à chaque fois. A un moment, il se stoppait il était comme connecté à quelque chose d'autre, quelque chose de plus grand.

    "Nous l'avons vue. Il se tenait là, sur les plaines de Vigrid à leurs côtés. Il doit en être ainsi. C'est à vous de vous en charger et c'est à nous de vous guider. Vous devez prendre le Trident. Vous devez apporter votre pierre à l'edifice. L'avenir est déjà inscrit, nul ne peut le changer. Les dieux font route vers leur perte."


    Aujourd'hui...

    Quoi qu'il avait dit, il s'était trompé. L'avenir pouvait être changé, ou alors ce n'était pas aujourd'hui que ça devait arriver. Car je n'avais pas le Trident et l'homme du Dragon venait de tomber. A croire qu'ils n'étaient pas capables de prédirent leur propre mort, ou tout simplement qu'elles ne faisaient par partis des écirts dont ils parlaient. Je savais que m'être tourné contre lui aurait sans doute un prix. On pouvait échapper aux hommes du Dragon, mais pas au Dragon lui même.

    J'avais levé les yeux vers Hippolyte. Quoi qui m'attendait, qu'elle m'en veuille ou non, ça en valait la peine. Elle avait brandit son arme dans ma direction. Fallait s'y attendre, même si je pensais plus me prendre des coups. Mais elle avait choisie d'en finir rapidement. C'était d'abord Aphrodite qu'elle avait visée, avant de me mettre en joue.

    "Je devais essayer..."

    C'était tout ce que j'avais trouvé à dire. Je devais tenter de prendre le Trident, de faire ce que je devais faire, ce que je voulais faire, ce qu'on avait décidé de faire. Mais au dernier moment, je m'étais ravisé, je m'étais montré faible, tout ça à cause d'elle, ou plutôt pour elle. J'avais déjà essayé une fois de la chasser de ma vie, mais c'était plus simple à dire qu'à faire. Elle revenait toujours. Le destin nous poussait à revenir l'un vers l'autre. Peut-être que ça aussi c'était écrit.

    "Les sirènes."

    Je ne savais pas si Hippolyte allait tirer ou non, mais quoi qu'il en soit, je sentais que Aphrodite avait été interpellée par ce que je venais de dire. Ca se lisait sur son visage et si elle éprouvait de la peur, tant mieux pour elle.

    "Je les entends chaque soir. J'entends chaque créature marine. J'entends leur chants au loin. Elles sont en route, mais quelque chose les empêchent d'arriver jusqu'à nous. Le Trident est censé leur montrer la voie, les guider jusqu'ici. Je ne vous voulais pas de mal. Je voulais juste ce qui me revenait de droit. Il n'y aurait pas eu de blessés, ni de morts. Je voulais les faire venir, c'est tout." avais-je dit en tentant un pas vers Hippolyte.

    "Le Dragon a dit qu'aux derniers jours elles seront là. Il faut juste leur montrer la voie. Les dieux considèrent les créatures comme de simples objets qu'on créé et qu'on met dans un coin une fois qu'on en a plus besoin. Tu es la fille du maître d'Olympe. Tu t'en sors plutôt bien comparé à ce que les autres subissent. Les Harpies, les Minotaures, les Dragons... Les demi dieux. Uniquement des soldats ou des jouets."

    J'avais tourné la tête vers Aaron, puis vers Louise, Robyn et Lily. Elles aussi elles n'étaient que des pions. Tout Storybrooke n'était qu'un immense terrain de jeux pour les dieux.

    "Où sont vos chasseresses déesse Artémis ? Et vos Amazones déesse Aphrodite ? Où sont les créatures de Eris, d'Arès, d'Hadès ? Il y en a combien qui ont la chance de pouvoir jouir de la vie ? Combien d'autres sont simplement utilisées."

    Cette fois ci j'avais fait un grand pas vers Hippolyte. Je ne craignais pas la mort si elle venait d'elle. Mais elle devait ouvrir les yeux. Ils devaient tous les ouvrir et voir ce qui les attendait si ces dieux continuaient à nous diriger, à contrôler chacun de nos faits et gestes. A vouloir dominer ce qu'ils ne dominaient pas encore.

    "Elle m'a embrassée pour te rendre jalouse. Elle t'as gifflée et menacée d'une arme divine pour obtenir ce qu'elle voulait. Elle a manipulée de nombreuses personnes depuis toujours, pour arriver à ses fins. Elle a condamnée de nombreuses créatures à un avenir horrible ! Je t'ai peut-être utilisé. J'ai peut-être abusé de ta confiance, comme celle de tes amies. Mais c'est rien comparé à ce qu'elles ont fait et qu'elles continueront à faire. Quoi qu'il en soit, je pensais tout ce que je t'ai dit. Et... je ne jouais pas la comédie quand on était tous les deux au manoir. J'ai juste accepté de te faire venir. Rien de plus. Et crois moi, si ça avait été possible autrement, je ne t'aurai pas mêlée à tout ça. Je n'ai pas voulu une seule fois te demander quoi que ce soit. Je voulais que tu restes au manoir pour pas que tu ais à voir tout ça. Je ne voulais pas prendre le risque de te perdre à nouveau, mais je ne pouvais pas ne pas aller jusqu'au bout."

    Je ne voyais pas quoi ajouter de plus. J'aurai voulu la serrer, l'embrasser, mais elle m'aurait sans doute démolie. Bien que ce n'était toujours pas gagné. Quoi qu'il en soit, je ne lui mentais pas, je lui disais la vérité. Elle pouvait me voir comme j'étais vraiment. Je ne savais pas si elle m'écouterait, si elle me croirait et si elle me pardonnerait, mais je ne la mêlerai jamais plus à tout ça. J'avais tourné la tête vers Aaron.

    "Ramène les à la surface."

    Puis, j'avais regardé Louise, Robyn et Lily à tour de rôle.

    "Vous n'avez rien à craindre avec lui. Aaron ne ferait pas de mal à une mouche."

    "Sauf si elle s'en prend à Louise."

    Je n'avais pas relevé, car une fois encore, il ne partageais pas le même humour que les autres. Puis, je m'étais tourné vers Hippolyte qui tenait toujours l'arme.

    "Je sais que tu pourrais tirer et tu sais aussi que je pourrai éviter la balle avant qu'elle me touche. Mais je ne le ferai pas. La décision t'appartient. Mais décide toi vite, car ils arrivent."

    On pouvait déjà entendre du bruit au loin. Les Harpies m'obéissaient, tout comme les créatures marines qui me portaient du respect, mais certaines créatures, certaines créations des dieux, qui partageaient la même opinion que nous, ne m'obéissaient pas. Et vue leur nombre, je doutais que deux déesses pourraient en venir à bout. Ils avaient dû apprendre qu'on se trouvait là et qu'ils pouvaient prendre leur revanche. Mieux valait pour elle et pour les autres, de quitter cet endroit. Quand à moi, je serai bien plus en sécurité ici et je ne comptais pas me laisser emprisonner. Je m'étais tourné vers les déesses, faisant dos à Hippolyte.

    "A votre place je partirai. Je vais rester ici, pour les empêcher d'aller plus loin. Certains d'entres eux me sont toujours fidèles. A moins que vous préférez mettre la vie de tout le groupe en danger ?"

    Elles n'avaient pas vraiment le choix. Mieux valait me laisser là. Et puis après tout, ils avaient passés leur vie à ignorer les demi dieux, créatures et autres... M'arrêter serait me donner de l'importance et les gens comme moi ont aucune importance à leurs yeux. Qui sait, peut-être que si son père venait à mourir, Hippolyte aussi se rendrait compte qu'on est rien pour eux. Qu'on ne sera jamais rien, tant qu'ils n'auront pas besoin de nous.



Diane Moon
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Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 11 Dmia

“I love you to the moon and back”


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Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 11 _



________________________________________ 2015-02-28, 21:07

Les petits secrets d'Hippolyte
Big girls cry when they're heart are breaking

Big Girls Cry by Sia on Grooveshark


Tout, c'était passé extrêmement, vite, Hippolyte, s'était acharnée, sur Briarée, qui n'était maintenant, plus de ce monde, et elle était totalement, déboussolée, je la vie pointer, son arme sur ma sœur, avant, de s'acharner sur Egéon, elle y était attaché, elle ne le tuerait pas. Quant à moi, je fermais, les yeux. J'en avais plus qu'assez de tout ça. Je voulais m'isoler, et pleurer un bon coup, pour évacuer la pression, ou bien descendre quelques verres de whisky tiens. Cela, m'avait toujours plus ou moins aidé à me calmer les nerfs. Les gens buvaient pour oublier jusqu'au point d'être saoule, moi, cela me permettait de me calmer, comme il m'était impossible de l'être. J'écoutais, son discours, essayant de me calmer, mais je n'y arrivais pas. Aussi, une fois, arrivée à la fin, j'ouvris subitement, les yeux, laissant mes émotions prendre le dessus, j'en avais assez d'être traitée comme le monstre que je n'étais pas. Assez de me prendre les coups pour cette famille, sans rien en retour depuis des siècles, alors je craquais, je n'arrivais pas à retenir mes larmes, et pour la première fois oui, je laissais, mes faiblesses, apparaître en publique :

- LA FERME ! M'écriais-je

J'essayais de chasser mes larmes mais rien à faire, elles ne voulaient pas s'arrêter :

- Qu'est que tu crois ? Qu'on est pas moins mit de côté, parce qu'on est un dieu ? Il, faut arrêter de te comporter comme le martyre de l'histoire. Tu peux, me croire, par moment, il vaut bien mieux être ignoré que d'être intégré à cette famille, de te battre pour elle, de souffrir pour elle, de te prendre les coups pour elle, pendants des millénaires, tout ça pour rien. Pour juste te laisser, brisé, et abimée, par tout ce que tu as vécu. Tu veux savoir où sont mes chasseresses ? Elles sont mortes ! Elles ont été tuées pendant cette maudite guerre. Et c'est entièrement ma faute, qu'est que tu crois que ça me fait plaisir ? J'aurais pu en crée d'autres, j'aurais simplement pu choisir de les remplacer, comme de vulgaires joués cassé, mais il en était positivement hors de question ! Elles ont été mes seules amies, pendant de très longues amies, mes vrais amies. Quand je suis arrivée, elles étaient toutes mortes, il ne restait que Silena, ma lieutenante. Elle agonisait. Alors, je l'ai prise dans mes bras, je l'ai supplié de me pardonner, et je l'ai aidé à partir. Mais, depuis ce jour, il n'y a pas une seule journée qui passe, sans que je ne sois assaillit, par les remords. Si, je suis venu ici, c'était pour Hippolyte, uniquement pour Hippolyte. Parce que contrairement, à ce que tu pense, je l'aime. Elle, est la première nièce, que je rencontre, l'on ne pouvait, pas franchement, dire que mes frères et sœurs me tenaient au courant, quand cela concernait leurs enfants. Mais les faits sont là, Hippolyte est ma nièce, et je l'aime en tant que tel, si j'ai accepté de venir, c'était uniquement, pour elle, pour pouvoir la protéger, si les choses tournaient mal. Il, serait peut-être temps de grandir, et d'arrêter de mettre tout le monde dans le même sac. Le monde, n'est pas ou tout blanc ou tout noir, chacun a une partie d'ombre et de lumière en soit. Le tout, est d'arriver à suffisamment les maitriser, pour ne pas totalement basculer, dans l'extrême. Quant aux créatures, il se trouve, que la création, d'Hermès vie chez moi, et que je l'aime tout autant qu'Hippolyte. Ce sont peut-être les filles de mes frères, mais je les aime autant, que les miennes. Navrée de te décevoir, mais je ne suis pas aussi froide et calculatrice que tu veux que je sois !

J'avais l'impression d'avoir expulsé, tout ce que je contenais, tout ce que je gardais pour moi, depuis tant de siècles, et je n'en pouvais plus. J'étais à bout, littéralement, à bout, comme je ne l'avais jamais été. Même quand j'avais été à deux doigts de perdre Apollon. Ma résolution, était prise, quand Arès, avait voulut que je sois son bras droit. J'avais longuement, hésité avant d'accepter, et même, encore maintenant, je doutais. Ou du moins, j'avais douté. Ce, n'était plus le cas aujourd'hui. En rentrant, j'annoncerais à mon frère, que je suis pleinement, consciente de mes fonctions, et que j'étais réellement, prête à les assumer.

Je ne pouvais pas m'arrêter de pleurer, je m'étais beaucoup trop retenu, et il fallait que ça sorte, j'en aurais très certainement, pour un moment, et j'aurais aimé, avoir une présence, réconfortante à mes côté, juste pour être, là, et me montrer que je n'étais pas aussi seule, que j'en avais parfois l'impression.

Tournant, les talons, je m'enfermais, dans un mutisme obstiné, seulement brisé, par le bruit de mes sanglots, Aaron, nous montra le chemin, pour sortir des sous terrains, et nous remontâmes à la surface, puis, toujours en tête, du groupe, il nous fit avancer et en relevant la tête, je pu voir que nous étions, de retour, Là où tout avait commencé.

Me tournant, vers Hippolyte, je la fit elle aussi sortir, de ses pensées en l’appelant par son prénom, je ne savais pas comment serait notre relation après tout cela mais je voulais au moins qu'elle sache, une chose :

- Sache que tout ce que j'ai dit était vrai, si tu veux me croire ou pas, tu en as le droit. Je ne pense pas que je serais une bonne mère, aussi même si j'en ai à un moment vraiment voulut, je me suis rétracté, au dernier moment, et ai conservé ma « particularité » dirons nous. A défaut, d'être une bonne, mère, j'ai essayé d'être une bonne tante, je ne suis pas parfaite, je le sais. Mais, si tu venais, à me détester, sache que ce que j'ai dit à ton sujet, était vrai.

Je me mordit, la lèvre, ne sachant pas trop comment, réagir, ma voix était tremblante, je ne devais, pas ressembler à grand chose, le visage, baignée de larme, les cheveux en bataille, mon maquillage, qui avait probablement coulé. Mais, il fallait, ne serait-ce qu'une fois, dans ma vie, que je m'ouvre un peu plus aux membres de ma famille.




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“ Vous ne pourrez jamais comprendre.
Tout ce que je fais, je le fais pour Elliot. ”

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________________________________________ 2015-02-28, 23:45


Ne crains rien sèche tes pleurs, viens sur mon coeur, Didi jolie Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 11 2727069659

   
Quel étrange retournement de situation... Egéon avait attaqué Briarée pour défendre Hippolyte. Il tenait donc réellement à elle. Je ne l'aurais pas cru. Comme le soulignait Diane dans son discours plein de verve et de fureur, tout n'était pas tout blanc ou tout noir. Je sentais que les nerfs de ma soeur étaient en train de lacher, mais j'étais incapable de l'aider. Le mieux pour elle était de faire sortir sa rage et sa peine.

Hippolyte m'avait menacée de son arme, avant de la reporter sur Egéon. Allait-elle lui tirer dessus ? Irait-elle jusqu'à commettre l'irréparable ? Je guettai la moindre de ses réactions. Je ne cherchais ni à l'encourager ni à l'en empêcher. Rien n'est tout blanc ou tout noir. Chacun doit apprendre de ses erreurs et les surmonter.

En fait, je restais totalement sourde depuis qu'Egéon avait prononcé un mot qui m'avait fait frémir. Crispée, dérivant parmi un flot de souvenirs troubles, je ne pouvais esquisser le moindre geste. Enfin, je parvins à articuler d'un ton froid :

"Tu mens. Les sirènes ne sont plus de ce monde. Tu n'entends pas leurs voix, tu es seulement sujet à la folie. Elle touche beaucoup de monde ces temps-ci..."

Je le fusillai du regard. Désormais, j'espérais qu'Hippolyte mette un terme à sa vie. Il essayait de se faire plaindre, mais il n'était qu'un fou, en définitive. Un demi-dieu qui croyait entendre des voix. Les sirènes avaient toutes péri le jour où Poséidon avait perdu la vie. J'en mettrais ma main à couper. Puis, un doute m'assaillit. Je n'avais pas été vérifier. Je n'en avais plus eu cure. Egéon avait raison : je les avais considérées comme des jouets encombrants. Je les avais chassées de mes pensées. Cette réalité me mettait très mal à l'aise, aussi je ne répliquai rien au sujet des amazones. Je laissai le soin à ma soeur de plaider en notre faveur, de nous donner le beau role qu'elle seule possédait véritablement.

Un tremblement continu commença à ébranler le souterrain. Je levai instinctivement mon Marteau. Que se passait-il, cette fois ? Egéon nous conseilla de remonter à la surface, car nous ne serions pas de taille à affronter ce qui arrivait. Je fronçai les sourcils. En plus du reste, il nous sous-estimait...

Pour éviter de risquer encore inutilement la vie des mortelles, je suivis docilement Aaron et les autres. Juste avant de partir, je lançai un coup d'oeil à Egéon par-dessus mon épaule. Il allait vraiment rester dans ce sous-sol tout seul pour retenir ce qui "arrivait" ? Ce n'était qu'une ruse de plus pour nous éloigner d'une possible révélation. J'aurais aimé rester pour le savoir, mais c'était impossible.

Une fois à l'air libre, je mis une main en visière, le temps que ma vue s'habitue à la luminosité grisâtre du ciel londonien. Puis je me tournai vers Lily qui avait surement été chamboulé par tout ce qui venait de se passer. Je l'observai un moment avant de la prendre à part pour poser mes mains sur ses épaules tremblantes et lui dire :

"Je ne peux pas te demander d'oublier ce qu'Egéon a dit. Je ne peux pas non plus te dire que ce n'était que des mensonges. Par contre, je peux te promettre une chose : je ne te ferai jamais aucun mal. Je m'y emploie avec une méticulosité acharnée. J'ai tout mis en oeuvre pour ne jamais blesser Elliot, et tu es en tete de liste avec lui. Si le monde devait s'écrouler demain, vous seriez les deux seules personnes que j'aiderais en priorité."

Je repensai aux paroles blessantes qu'Egéon avait proférées sur ma personne. Il prétendait que les créatures et les demi-dieux n'avaient aucune espèce d'importance à mes yeux. Je laissai échapper un rire sans joie.

"Il ne comprend vraiment rien..."

Je pris une mèche de cheveux de Lily entre mes doigts pour la passer doucement derrière son oreille, avant de la regarder avec émotion.

Je me détournai d'elle en entendant les sanglots de ma soeur. Elle ne semblait pas sur le point de se calmer. Elle s'était entretenue avec Hippolyte et s'était éloignée quelque peu. Je passai devant ma nièce pour lui dire d'une voix distante :

"Je sais que tu me hais, mais je tiens à te dire que je ne t'aurais pas porté le coup fatal. Je ne suis pas aussi monstrueuse qu'Egéon le prétend. Même si nous ne nous entendons pas toutes les deux, la famille est la chose la plus précieuse au monde. Je m'excuse si je t'ai fait peur. Sincèrement."

Je m'éloignai rapidement pour rejoindre Artemis dont les épaules tressautaient. Ma soeur, si forte et si fragile à la fois. Je ne comprenais pas pour quelle raison elle pleurait. Certes, les paroles d'Egéon étaient infiniment blessantes, mais nous avions tant entendu depuis des millénaires... Cependant, j'oubliais sans cesse que ma soeur vivait à fleur de peau. Même si je ne saisissais pas l'origine de ses larmes, je voulais la consoler à tous prix, car la voir peinée me plantait un poignard en plein coeur.

Je la pris dans mes bras et la serrai avec chaleur, l'enveloppant d'une aura apaisante.

"Là, là, sèche tes pleurs. C'est fini..." murmurai-je rien que pour elle.

Je tapotai son dos entre ses omoplates, comme on le ferait à un enfant, avant de m'écarter d'elle sans pour autant m'éloigner. Là, je fis apparaitre un mouchoir brodé dans ma main -j'avais rangé mon Marteau depuis longtemps- et tamponnai les joues mouillées de ma soeur.

"Ca va aller ?" lui demandai-je.

Nous reprîmes notre route, retrouvant peu à peu la civilisation et le rythme effréné de la ville. Aaron nous conduisit devant le Beverly Wilshire, l’hôtel par lequel toute cette aventure avait commencé. J'observai la bâtisse d'un oeil soucieux avant de pivoter vers le groupe.

"On devrait s'y reposer un peu. Il n'est pas loin de midi. On prend une chambre, on fait un brin de toilette et on va faire les boutiques. Qu'est-ce que vous en dites ?"

Ma proposition semblait surréaliste après ce qui venait de se passer, mais c'était important. Vital, même.

"Ecoutez les filles... et Aaron." fis-je avec une moue. "On a eu une mauvaise journée. On peut rentrer à Storybrooke en maudissant tous mes frères et soeurs, ou on peut faire en sorte que ce mauvais jour se termine bien. C'est peut-être l'unique chance de Lily, Louise et Robyn de se trouver dans une autre ville. Je trouve ça dommage de ne pas en profiter. On avait promis les boutiques ? Eh bien, on va les faire, les boutiques !"

"Ouais..."
renchérit Aaron. "En plus faudrait que je rachète un paquet d'Arlequins..."

Il fit un clin d'oeil à Louise. Je roulai des yeux. Au moins un qui partageait mon avis.

   
Aryana : 90%
   
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pour Halloween... un déguisement...
mais ça fait mal... »


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________________________________________ 2015-03-01, 00:27



Best Friends ! :D



    J'avais retirée ma serviette de bain de sur ma tête et je m'étais séchée les cheveux avec le sèche cheveux. Je ne voulais pas attraper froid en sortant, même si on avait le droit à un magnifique grand soleil. A croire que le temps voulait nous féliciter d'avoir survécu aux Harpies, à Egéon et aux autres créatures. J'étais fière de nous, fière de chacun d'entre nous.

    Ce que m'avait dit Aryana m'avait fait le plus grand bien. Elle aimait plus que tout Elliot et elle faisait tout pour prendre soin de lui et de moi. Elle n'était peut-être pas aussi monstrueuse que ce que Egéon avait laissé entendre. Mais il avait raison sur un point. Les dieux n'étaient pas comme nous. Ils vivaient éternellement, ils ne voyaient pas les choses de la même façon et même si je savais que mon Elliot ne me voyait pas comme un simple objet qu'il balancerait un jour ou l'autre, je savais qu'on ne pourrait pas rester éternellement ensemble car...

    J'avais passée une main sur mes yeux et je m'étais regardée dans la glace en me faisant un grand sourire. Je devais sourire. J'avais passée trop de temps sous la douche cette dernière heure, à ressasser un tas de mauvaises pensées et à laisser couler les larmes. Elliot m'aimait et je l'aimais. J'avais regardée ma main et la bague qui était à mon doigt. Je ne savais pas combien d'années je pourrai vivre à ses côtés, mais je m'étais fixée pour objectif d'en profiter un maximum. Je voulais passer le plus de temps possible avec lui et avec ma fille. Plus question de partir à l'aventure sans lui.

    Aryana et Diane étaient des déesses, elles nous survivraient à tous. Mais ça ne faisait pas d'elles des monstres. On devait aussi profiter de leur présence. Egéon avait beau dire qu'elles nous avaient utilisées, on était sous leur protection. Elles avaient risquées beaucoup pour nous, même si elles avaient peu à perdre et il n'était pas question de les abandonner. Pas maintenant. Ce n'était pas leur fautes si elles étaient des déesses, comme ce n'était pas la nôtre si on était des mortelles. Mais on vivait ensemble, main dans la main.

    J'avais adressé un petit signe de la main à Louise en quittant ma chambre et en passant devant la sienne. Elle était en grande conversation avec Aaron juste devant la porte. Puis, j'étais passée devant la chambre de Hippolyte. J'avais hésitée à toquer à la porte, mais finalement, je m'étais contentée de glisser un petit mot sous cette dernière. Je ne savais pas trop comment aborder ce qui s'était passé avec elle et je savais qu'elle ne devrait pas rester seule, mais je ne voulais pas la brusquer. Depuis le jour où elle était arrivée chez moi avec ses béquilles et que je l'avais prise pour un plombier et jusqu'à aujourd'hui, on avait fait du chemin. On avait vécu de grandes choses et on avait jouée les globe trotter. J'adorais passer du temps avec elle. C'était une fille géniale.


"Amie Globe Trotter, bonjour ! :D

Ici Lily Olyphant en direct de la chambre 626. Je vais surement hésiter à toquer à ta porte, du coup j'écris ces quelques lignes au cas où, pour te glisser le mot sous la porte. Je sais que ça ne doit pas être facile ce que tu ressens et si tu veux en parler, saches que tu auras toujours une amie présente et à l'écoute pour toi.

Dans le monde d'où je viens, j'avais de grandes oreilles. Tu ne pourras jamais trouver quelqu'un qui sera autant à l'écoute que moi ! Et même maintenant qu'elles sont petites, elles captent très très bien !!! Si si, je t'assures ! :D

Surtout quand l'appel vient d'une amie... Alors imagine quand ça vient de ma meilleure amie. :D :D :D

XXX <- J'ai jamais compris pourquoi on mettait des croix pour dire bisous. Bisou bisou bisou ! Sans doute parce que c'est plus court à écrire ! Rejoins nous vite !! Y'a les boutiques à faire !! Et si quand tu seras avec nous tu me souris, je comprendrai qu'il faudra qu'on aille de l'avant. Mais si tu me fais un simple regard, on pourra s'éclipser pour parler de ce qui s'est passé. C'est comme tu le sens. Mais je suis là, tu peux compter sur moi. Tu pourras toujours compter sur moi. :D
"

    J'avais descendue l'escalier quatre à quatre et j'avais trouvée deux soeurs en grande conversation. Je n'avais pas eu envie de les déranger et je m'étais contentée de me diriger vers la porte d'entrée de l'hôtel. Bon sang que ça faisait du bien un bon bol d'air frais. J'avais posé une nouvelle fois ma main sur ma bague et je l'avais tournée dans tous les sens avec un immense sourire. Je sentais mon coeur battre à cent à l'heure. Cette aventure avait été merveilleuse et je rêvais que d'une chose, un magnifique jambon ! o_O

    Un jambon ?

    Oui, oui, un jambon ! Enfin, pas ce dont je rêvais, mais ce qui était là devant moi. Robyn arrivait au loin avec un immense jambon dans les bras. Je n'avais pas pu m'empêcher de sourire. Qu'est ce qui lui avait pris d'acheter un jambon de cette taille ? A moins qu'elle l'avait volée ! Ca ne m'aurait pas beaucoup surpris... Quoi qu'il en soit, j'étais allée vers elle avec un grand sourire.

    "Laisse moi deviner ! Tu veux t'en servir comme d'une arme ?"

    J'avais mimmé quelqu'un qui donnait un coup de jambon. C'est vrai que ça avait de l'allure, de la classe. Et Robyn avec ce jambon dans les bras, c'était juste hilarant ! Je n'avais pas pu m'empêcher de rire.

    "T'es vraiment bizarre comme fille. Et pendant que j'y pense... C'était du grand n'importe quoi quand tu nous a rejoins à Storybrooke. Je ne suis pas venue te supplier de nous accompagner. Tu n'étais pas assise sur ton sois disant trône. Dans mes souvenirs, t'étais plutôt affalée devant ta télévision à te gaver de bonbon à cause d'un certain Jamie, c'est ça ?" avais-je dit en croisant les bras et en la regardant avec un lèvement de sourcil.

    "Il est canon et gentil garçon. Tu devrais être un peu plus cool avec lui. D'ailleurs tu devrais l'être avec tout le monde. Surtout maintenant que tu as de nombreuses responsabilités, tel que le choix de la nappe, de la décoration, du menu... et je ne veux pas que des bonbons !" avais-je dit en pointant un doigt accusateur sur elle, tout en me tournant et en reprenant la route de l'hôtel.

    "En plus tu devras voir avec Hippolyte pour l'enterrement de vie de jeune fille, car comme vous allez être deux à devoir tout gérer, mieux vaut que vous vous entendiez bien avant. Organisez vous un petit repas sympa ou quelque chose de ce genre."

    Je m'étais tournée vers Robyn, avec un petit sourire en coin. J'avais très envie que ce soit elle. J'avais des fréquentations vraiment très bizarres. Mais ma vie entière était bizarre. J'avais été un éléphant aux grandes oreilles qui pouvait voler. Je sortais avec un homme et une femme en même temps et qui plus est, c'était même pas de la tromperie vue qu'il s'agissait de la même personne. Ma fille était venue au monde en seulement trois mois et sans que j'ai besoin d'accoucher. Ma meilleure amie était une demi déesse et la jeune femme que je supportais le moins était aussi l'une de celles qui comptait le plus pour moi.

    "Tu es d'accord ?" avais-je murmurée. Je n'étais pas sûre qu'elle dirait oui. Je lui avais déjà demandée beaucoup quand je lui avais proposée de venir avec nous, ici. Mais j'avais vraiment besoin d'elle à mes côtés, sans trop savoir pourquoi. Je sentais que les jours sombres allaient être encore nombreux et j'avais plus que tout envie d'être entourée par mes amies pour quand ils arriveront. On devait rester souder, même si on avait parfois du mal à se supporter.

    "Tu veux que je la fasse solennel ? Du genre... Robyn, accepterais-tu d'être ma demoiselle d'honneur ?"

    L'espace d'un instant, mon coeur avait fait un bon. Ce n'était pas ma demande, ni même sa réponse. C'était simplement cette petite voix dans ma tête. Je ne l'avais plus entendue depuis quelques jours. Elle m'avait terriblement manquée ! J'en avais les larmes aux yeux.

    "Tu es là?" avais-je murmurée en regardant tout autour de moi. Elle était là, je pouvais l'entendre. Ou du moins elle m'avait dit que tout allait bien et qu'il arrivait. Il était là, il allait venir. Ma fille venait de me prévenir. Elle... Elle quoi ? J'avais regardée mon bracelet et tandis que Robyn avait tentée de m'empêcher de le faire, je l'avais retiré.

    "Ca va ne va pas la tête ? Je ne veux pas me suicider !"

    Pourquoi Robyn pensait que je voulais me suicider mentalement ? o_O Pour qu'elle raison ?

    "Tu peux le retirer aussi. Vas y ! Elle me l'a dit !"

    On pouvait circuler sans bracelet. Comment ça se faisait ? Je me poserai la question tout à l'heure. Pour l'instant j'étais bien trop occupée à regarder autour de moi. Elle avait dit qu'il arrivait. J'étais limite en train de sautiller sur place. Mon homme était là, sans doute plus qu'à quelques mètres. Tout était parfait. Tout était véritablement parfait.



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