« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Tout se passa à une extrême vitesse alors qu'il disait à Judah d'aller se plaindre au grand manitou. Gabriel se fit éjecter contre un mur. Il allait aller vers lui quand il fut stopper dans sa course au milieu de la salle. Détournant son regard de son ami, il le posa sur son frère. Appollon hurlait de douleur, devenant à nouveau un tas de cendre alors qu' Artémis avait touché la créature. Nath' devait se concentrer, réfléchir. Bien sur, tout n'était qu'illusion, le bordel lui était apparu car la planète c'était en quelque sorte calqué sur son esprit. Essayant de faire abstraction des cris de sa sœur, il donna son soutien mental à Gabriel pour faire stopper les petites manigances des lieux.
Forcément, cela n'était pas du goût de tout le monde, et comme l'avait si bien fait remarqué Posipy, d'autres monstres arrivaient en renfort. Ouvrant les yeux, il vu Apopo qui s'était retransformé avancer vers la plus grosse des créatures. Et après, on disait que c'était lui l’inconscient. Ce qui arriva arriva, il se fit percuter par la créature qui mourra en même temps que lui. Parce que oui, Dolos comprenait ce qui était en train d'arriver. Sauf qu'un imprévu se glissa dans la bataille, pour sa plus grande joie. Depuis le début, un sourire sincère se colla sur son visage, alors qu'il voyait la déesse s'approchait d'eux, marteau à la main. « La plus belle arrive !» avait il soufflé alors que son sourire se transforma en rictus quand il remarqua la tête de Judah.
« Tu croyais être tranquille avec la rouquine hein ? » Sauf que le moment n'était pas à l'humour, car Aphro' se trouvait dans une mauvaise posture après avoir imité Thor. Ce fut Judah qui se précipita à son aide. Nath' secoua la tête, avançant précautionneusement vers Antalpy. « Pour vous répondre, ne croyez pas tout ce que les livres disent sur moi, ils mentent vraiment beaucoup. » Son sourire charmeur se brisa quand il remarqua que des silhouettes s'approcha de lui. Les bestioles aussi s'étaient calmés, sentant que la réunion de famille allait tourner au vinaigre. « Oh misère ... » Pas que cela lui rappelait que des bons souvenirs, mais voir Poséidon et Hera devant lui, l'indiquait qu'il fallait fuir, immédiatement. Après tout, combien de fois était il tombé par leur main, parce que soi disant ils faisaient ça pour son bien, pour qu'il comprenne qu'emmerder les autres dieux n'étaient pas un passe temps ?
« Tiens Popo, comment ça va depuis la dernière fois ? T'a la mine du dimanche dis moi ... » Il avait dit ça tout en se déplaçant légèrement, derrière le tigre, mais il se figea entièrement quand il aperçut une autre silhouette. « Non non, pas toi. » Là, ce n'était pas normal, vraiment pas. Elle ne devait pas être réellement morte. Il l'avait juste tué pour voir Freyja, elle avait ressuscité, elle ne pouvait se trouvait là. Et ses yeux, ils étaient vitreux, pas comme ceux des autres. Ses jambes désobéirent à son cerveau, et il s'avança vers le spectre de sa jumelle. « Oh Eris, arrête de nous la jouer poisson mort sur une étale, reviens ici, de suite, avec moi. » Sa voix était tombé dans les octaves inférieurs, et même si sa phrase se voulait humoristiques, on pouvait sentir pour la première fois, une certaine détresse. Il ne remarqua même pas Hermès, qui était dans le même état que la déesse. S’approchant encore, il tendit la main vers sa joue, mais cette dernière se recula. Ils se reculèrent tous en même temps, alors que la vieille femme apparut.
Nath' était en train de bouillir intérieurement, de rage, de colère, de frustration. Il voulait se jeter sur elle, lui demander des comptes. Qu'est ce qu'Eris faisait ici ? Non, elle était bien vivante, il l'avait vu sur l'Olympe, il l'avait senti quelques jours avant cette fichu mission. Il devait avoir des réponses, immédiatement. Il allait s'avancer vers elle, quand elle disparut à nouveau, quand le décor se changea pour être celui de Storybrook. « Non mais raaah c'est pas possible. » Sa rage avait fusé dans cette phrase, alors qu'il shoota violemment dans un rocher qui parti au loin. Non, il devait retourner au sanctuaire, pas pour lui, mais pour elle. Sauf qu’apparemment, les fantômes les avaient suivit jusqu'ici. Nath' se précipita sur celui de sa sœur, mais elle disparut à nouveau dans le néant alors qu'il entendait que Diane parlait tout seule. Il serra ses poings jusqu'à ce que ses jointures en deviennent blanches. En réalité, il était lui même livide, presque aussi blanc que les fantômes qu'ils avaient vu quelques minutes plutôt.
Il se retourna brusquement quand il entendit la dernière phrase, alors que la vieille dame était revenu. Oui, il avait eu raison depuis le début. C'était Gaïa, la mère de tous les dieux, de toutes les créatures. Se fichant de l'avis des autres, qu'Artémis est retrouvée le trident, que Popo et Zeus soient derrière elle qu' Erythie parle d'Arès, il fonça sur celle qu'il avait vu en premier, le seul à vouloir la suivre sur le sanctuaire. « Qu'est ce que ça signifie,hein ? Ou est elle ? Pourquoi ? Elle n'était pas vraiment morte quand je l'ai fait .. ;» Tout se mélangeait, la colère, la tristesse, la fatigue. Gaïa posa un regard presque attendrit sur le dieu essayant d'apaiser ses souffrances. Sa voix et ses traits étaient durs, ayant changer dès l'apparition des spectres, mais ils se radoucirent un peu, alors qu'elle ne parlait toujours. « Pourquoi il n'y a qu'avec moi que vous êtes muette ? Déja dans la ruelle, et puis après. Je parles pour deux c'est ça ? »
Passant une main sur son visage, il se devait de reprendre contenance. Immédiatement le masque qu'il avait au début de l'aventure se plaqua sur son visage, il aurait tout à loisir de le laisser tomber chez lui. « Entre nous, Arès est peut être vieux mais pas idiot. Il doit l'avoir senti, il doit même déjà être en chemin. D'ailleurs, je suis persuadé que ces trois là sont venus voir la correction qu'il va nous infliger. Ah moins que justement, Maman Gaïa soit là pour nous couvrir. » Comme elle l'a toujours fait pensa t'il doucement, lui souriant même. « Mais après tout, nous n'avons rien fait de mal. Nous voulons juste aider et nous rendre utile, n'est ce pas Artémis ? ».
Dolos: 70% Bestiole: 60%
Eloise A. St-James
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Elle pénétra dans la grotte, revêtue de sa tenue de guerrière et surtout, de son bouclier. L’égide était visible cette fois, car elle l’avait activé. Ainsi protégée des armes divines, au cas où l’un des membres de sa famille débarquerait, et intraçable grâce au pouvoir de l’armure, la brune était parée à toutes éventualités, comme souvent.
En prenant des petits couloirs, elle tomba sur la pièce centrale. Au fond de celle-ci se trouvait un homme, torse nu et surtout, enchaîné. Un sourire cruel prit naissance sur les lèvres de la jeune femme. Hermès en avait pris plein la tête, son torse couvert de blessures et d’ecchymoses le prouvait largement. Mais cet idiot avait persisté à se taire. À ne pas lui dire ce qu’elle voulait.
Un vieil homme apparut alors, saluant la brunette d’un signe de tête. Puis sur son ordre, il s’approcha d’Hermès et il tendit la main vers lui, paume ouverte. Hermès hurla, agrandissant au passage le sourire de la femme. Puis son cœur apparut dans la paume du vieil homme. Le vieux referma le poing, réduisant le cœur du dieu en cendre. Avec un dernier soubresaut, la tête du grand Hermès retomba, inerte. C’était fait.
Un gémissement fit tourner la tête de la jeune femme. Une autre personne était attachée au mur par les poignets. Une jeune femme aux cheveux châtains pendait lamentablement sur le mur. La brune se rapprocha d’elle, son sourire machiavélique aux lèvres. Elle tendit le bras et effleura la joue de sa sœur avec la baguette magique qu’elle avait trouvée quelque temps auparavant. Eris ne sembla pas apprécier la caresse, quel dommage…
- Alors petite sœur, toi aussi tu vas continuer à te taire ? Tu as vu le sort d’Hermès, ta vie vaut-elle vraiment ce silence ? Susurra-t-elle à la déesse. Il serait pourtant plus simple que tu me dises ce que je veux savoir…
N’obtenant pas de réponse, elle décida de laisser la déesse tranquille quelque temps, en compagnie du corps défunt d’Hermès. Sur son ordre, le vieil homme la suivit vers la sortie de la grotte.
- Yen Sid, tu peux disposer… Dit-elle tout en claquant les doigts.
Le vieil homme disparut et la brune contempla quelques instants le ciel sombre, éclairé seulement par les étoiles. Des nuages approchaient, ce qui fit sourire la jeune femme.
- Bien… Il est temps d’aller voir cette ville d’un peu plus près… Dit-elle en disparaissant à son tour.
Le coup avait été plus violent que prévu. Debout, affrontant les créatures du regard sans plus s'attarder sur les Dieux qui l'entouraient, Antalpy commençait à voir trouble, tandis que des étoiles apparaissaient dans sa vision. Tout s'enchaîna devant ses yeux sans qu'il ne capte vraiment ce qu'il se passait. Il s'appuya contre la pierre, essayant de percevoir la suite des événements, mais le choc ne lui permettait que de percevoir quelques mots ici et là. « Aphrodite. » « Tu es vivante ? » « Eris. » « Les livres mentent beaucoup. » « Zeus. » « Je ne serai pas la plus faible. » « Arès. » « J'ai été heureuse de vous rencontrer. » « Gaïa. » Une foule de créatures divines se groupaient devant Antalpy, qui se tenait tant bien que mal à l'écart, incapable de reprendre contenance. D'un geste lent, il passa la main derrière son crâne, et ne fut pas surpris de voir quelques gouttes de sang colorer sa main d'un rouge enivrant. C'était seulement maintenant qu'il subissait le contrecoup ? Quelle ironie, lui qui avait montré un déchaînement de férocité à travers toute l'aventure, il se retrouvait planté dans le décor comme un vulgaire sapin. Serrant les dents, il leva les yeux vers le ciel, cherchant un point fixe sur lequel s'accrocher pour ne pas sombrer dans l'inconscience. Il était hors de question de faire preuve de faiblesse, surtout dans un moment pareil. Des visages, des ombres, des cris, de la frustration, un mélange d'allégresse et de drame familial. Antalpy respira à fond. Il devait retenir un maximum d'informations, malgré son état. Il le devait. C'était une question de vie ou de mort. Il devait savoir. C'était pour cela qu'il était venu, non ?
*****************************
La tour de l'horloge indiquait une heure du matin, bien que l'ancien tigre n'avait aucune idée de la date exacte. Le groupe s'était retrouvé à nouveau à Storybrooke quelques instants plus tôt, sans qu'Antalpy ne sache vraiment comment, bien qu'il soupçonnait la téléportation. D'une certaine manière, il était redevable à Dolos, le Dieu de la Fourberie, car ce dernier aurait très bien pu le laisser sur place, vu l'état dans lequel se trouvait Shere Khan. Mais à la place, cette étrange divinité l'avait ramené ici, avec tout le monde. Alors il s'était contenté de quitter le groupe sans un mot, laissant seulement derrière lui un regard pour Erythie, et un geste de la tête pour Nathanaël et son étrange ami à la sucette, avant de parcourir les rues en solitaire. Antalpy avait besoin de respirer. L'aventure avait été longue et éreintante, et de ce fait, il se laissa tomber sur un banc dans le silence de la nuit. Des décorations de Noël parcouraient les rues, lumières clignotantes, pâles imitations du ciel étoilé. Soupirant, l'ancien tigre ne sentait même plus le froid de l'hiver qui le perçait de toute part, et il glissa sa main dans sa poche, sortant le calepin qu'il avait gardé sur lui durant le voyage. Partout, des notes étaient griffonnées, des mots-clés stratégiques écrits à chaque fois que l'attention des Dieux n'était pas portée sur lui. Ce calepin était un trésor, le meilleur ami d'Antalpy, et ne le quittait jamais, car il contenait à lui seul les plus précieuses informations du monde. Sur la dernière page, écrits en tremblant, s'étalaient quatre lettres : GAÏA. Guerre. Affrontement. Immortel. Allégeance ? Gaïa, la mère de toute chose vivante. Les livres mentent beaucoup. Était-elle vraiment ce que dépeignaient les livres qu'avait lu Antalpy ? Il n'était pas réellement sûr de ce qu'il savait, mais une chose était sûre, il devait s'en tenir aux faits. C'était la seule chose objective qu'il pouvait se permettre de croire. Il n'avait pas encore découvert quel était l'élément le plus important de cette quête épique qu'il venait de traverser. Mais au moins, il avait suffisamment de contenu pour écrire un article du tonnerre, et de s'approcher autant qu'il en était capable de la vérité. En attendant, il se leva, et termina le chemin qui le séparait encore de sa maison, dans la rue aisée de la ville. Ouvrant la porte, il eut l'étrange impression que rien n'avait bougé depuis des semaines. Certes, il passait presque tout son temps au bureau, mais là, la poussière avait commencé à envahir le territoire. Le silence était total, et pour la première fois depuis longtemps, Antalpy se sentit aussi vide que les lieux où il entrait. La fatigue, les blessures, ce coup du lapin qui lui jouait encore des tours. C'était simplement cela. Sans plus de réflexion, il se dirigea dans la cuisine, où se trouvait le nécessaire pour se soigner au maximum. Il espérait ne pas avoir eu de commotion cérébrale, et que la douleur n'était que dûe au choc. Après tout, dans moins de vingt-quatre heures s'il en croyait son calendrier, il avait rendez-vous avec Mademoiselle Peggy pour se jouer du maire. À cette pensée, un sourire délicieux s'étala sur son visage. Il avait du pain sur la planche. Alors, les dieux, amis ou ennemis?
J'était prêt a retourner dans la bataille ,me débarrasser enfin des créatures mais je n'en n'eut pas le temps car une petit blondinette venait d’apparaître et c'était attaquer au deux créatures et vue le nom que lui donna Hadès sa ne pouvait être qu'une déesse,encore une,Aphrodite la fameuse déesse de l'amour,elle ressemblait surtout a une mini princesse avec son gros marteau ,qui n'avais même pas fait comme Mjolnir avec son effet boomerang ,il c'était juste contenter de s'envoler pour attaquer,je levais les yeux au ciel,c'était pas malin sa.
Puis je remarquais que d'autre personnes étaient présentes mais ils avaient tous l'air de zombies dans un clip de Michael Jackson plutôt que vivant,je dévisageais le blond que Nath avait appeler Popo ,je supposait donc que c'était Poséidon,il ressemblait a un mec sortie de chez GQ plutôt qu'au Dieu des mers mais bon Nath aussi ressemblais a un mec de chez GQ donc je me disait que c'était surement de famille.Apparemment tout les autre dieux présent était mort se qui expliquait pourquoi ils n'avaient pas l'air en forme ,c'était pour cela qu'on était venue ? Une réunion de famille divine ?.
"Et moi qui croyait qu'on n'était pas venue pour un pique nique champêtre, a la place on a le droit a une belle réunion de famille,c'est touchant."
Mon ton était sarcastique,mais Nath ne me répondit pas il était trop occuper a parler avec une des déesse morte,Eris,sa jumelle donc et je remarquais facilement que mon ami était en pleine détresse en voyant sa jumelle morte,je me contentait de le regarder agir,je ne savait pas comment réagir,alors je restait silencieux attendant qu'il arrête de courir après sa jumelle.Je décidais aussi que si jamais on retournais a Storybrooke de ne pas le laisser tout seul,même si je m'en fichais royalement je me devait de rester a ses côtés ,il était mon seul "ami" et le laisser tomber était quelque peut hors de question.
Avant même qu'on puissent reprendre le combat nous étions de retour a Storybrooke,il était tard et tout le monde devait être coucher,tant mieux sa éviterais les petits curieux.J'entendis Artémis parler toute seule,apparemment elle avait parler a sa mère,Gaïa donc,je ne me demandais même pas pourquoi je ne pouvais pas la voir,un titan n'avait pas besoin de se préoccuper de ma petite personne ,même si Chaos réagit vaguement quand je pense a Gaïa il ne se passa rien d'autre.
Je remarque que le journaliste du journal de Mickey me regarde ,je sait qu'il va partir alors je lui fait un vague signe de main avec ma sucette,je continue d'écouter ses penser une fois qu'il est chez lui ,il semble secouer mais surtout content d'aller au bal pour allez embêter le maire,c'est tellement pathétique que je décide de lever mes boucliers mentale avant de reporter mon attention sur les autres,je reste silencieux au côté de Nath',je ne compte pas le quitter d'une semelle pour le moment surtout après l'épisode "Eris",je remet ma sucette en bouche et attend de voir se qui va se passer maintenant.
(c) sweet.lips
Connor Williams*
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| Conte : Intrigue divine | Dans le monde des contes, je suis : : Arés/Mars
Jeremiel était Uriel. Uriel était le nom de l'enfant de Chronos que j'avais vu. Jeremiel est un enfant de Chronos. Mais il ne serait pas celui que j'ai vu ? Mais qui était cet enfant. Chronos avait crée des dieux et leur aurait donnés une forme infantile, ce que nous n'avions pas mais combien y avait de dieux nouvelle génération en plus des déesses magiques. Décidément, notre race commençait à s'étendre trop rapidement à mon goût. Ma soeur me lança donc un regard plus qu'éloquent avant de dire ce que je ne savais trop; le temps nous était compté.
Puis avant de comprendre quoi que soit, cette soeur que j'aimais tellement me joua un tour. Elle m'avait charmé comme elle l'avait fait avec de multitudes hommes. Je comprenais ses intentions mais j'avais toujours pensé qu'il existerait cette barrière, celle qui l'empêchait de faire cela, celle qui soutenait notre lien. Bien sûr il y avait eu des fois où des choses auraient pu se produire mais toujours sous le plan d'un jeu, rien de vraiment sérieux. Je me trompais apparemment. Je me trompe souvent ces temps ci.
Alors que je restais immobile quelques secondes, je vis Jeremiel qui exultait sans vraiment de retenue ou alors très mal cachée. Le " sortilège " d'Aphrodite avait plus de pouvoir sur moi et ce pour une bonne raison. Mais elle était partie, il est trop tard.
Puis alors Jeremiel sortit son commentaire qu'il attendait tant de dire. Je souriais, sentant l'envie de lui faire gouter le divin goût du sol d'Olympe ou plutôt des murs. Bref, de lui mettre mon poing dans ma figure. Je l'avais surestimé. Me levant de mon siège, il confirma mes inquiétudes. Je descendis alors des marches avant de m'arrêter à côté de lui :
" Si aucun de mes frères et sœurs ne revient , ce n'est pas Storybrook mais leur univers que je réduirais en cendres. Quitte à m'allier à Chronos ou un autre tyran avide et dégénéré "
Puis je fis un pas avant de sourire mettant fin au visage froid et déterminé que je montrais : " Quand ma sœur Artémis reviendra, tu devras lui signaler ta présence et lui détailler tes activités, tes découvertes. Si elle ne revient pas alors aucun de nous n'aura d'avenir ... "
Je repris alors mon visage ferme et continua ma marche appelant toute l'Armée d'Olympe, les créatures enfermées en Olympe et préparai l'Armée d'Immortels quand je fus aspiré dans un micro monde à part. Là, je fis face à une jeune fille toutes chamboulée. Je lui face avec mon épée que je venais de faire apparaître; elle avait réussi cela sans que je la repère mais je ne ressentais rien. J'écoutais tout de même ce qu'elle avait à me dire, bien que pressé par ce qu'elle avait à dire. Je l'écoutais en la regardant dans ces yeux qui me semblait si familier ne faisait aucunement attention à son apparence débraillée. Elle pleurait, semblait avoir des connaissances sur le futur.
" Ca a déjà commencé " ? Parlait elle de notre destruction ? ... Non impossible ! Cependant alors qu'elle disparaissait, je sentis quelque chose d'étrange. Un des miens venait de disparaître, définitivement. Il s'agissait d'Hermès. Paniqué je sortis la carte, et vis le point d'Hermès s'effacer ainsi que celui d'Eris en ressentant de façon synchronisée le même ressenti pour elle que pour Hermès. Je devais d'abord y aller, les autres n'étaient plus en danger. Ils venaient de revenir à Storybrook, c'est donc sans aucune once d'hésitation que je me téléporta et perçut horrifié les deux cadavres de mon petit frère et de cette soeur qui m'avait aidé à sa façon. Posant un genoux à terre, je fermai à chacun leurs yeux, les faisant ainsi transporter de la façon la plus digne vers l'Olympe. Mais comment cela était possible ? Seul une arme divine peut nous tuer ? La fourche ? Je dois mettre ceci au clair, parler à Hadès, plus tard.
Alors la foudre tomba en face du groupe sortit du Sanctuaire. C'était moi. Alors une fois le flash de l'éclair disparut, ils purent ainsi confirmer que c'était bel et bien moi. Ne m'occupant pas des autres; je me dirigeais vers mes frères et sœurs, observant au passage que Dolos était prêt à encaisser une sacrée raclée. Je les pris alors tous dans mes bras très rapidement en chuchotant : " Heureux de vous voir en vie "
Reculant de quelques pas, je les regarda avec un visage certainement attristé :
" Eris et Hermès ... sont morts "
Mon ton était grave, fataliste. Je fus ravi de voir que les deux autres armes divines étaient là mais ça signifiait alors que ... la magie ? La magie les avait tués?
Le tonnerre gronda et alors je me mis à crier, d'un cri si puissant que toute la ville entendit :
" AUX MEURTRIERS DE MON FRERE ET DE MA SOEUR, JE VOUS DIS CECI : JE VOUS TROUVERAIS, JE SERAIS VOTRE PIRE CAUCHEMAR ET JE VOUS SAIGNERAIS COMME DES PORCS "
La pluie tomba alors de façon torrentielle, regardant de nouveau mes frères et sœurs, je repris la parole : " Je vous appellerais sur vos téléphones pour l'enterrement "
Une fois fini, j'entrai dans l'esprit d'Artémis, lui indiquant la présence d'un objet dans la poche de son pantalon, lui indiquant qu'une fois qu'elle l'aurait vu, elle devrait le brûler. Après tout je n'étais pas stupide, tout ceci n'était qu'un vaste plan longuement préparé, il n'y en avait aucun doute.
Puis cette fille, ce qu'elle avait dit ... Mais Hermès et Eris venaient de mourir. Je les vengerais, je leur rendrais justice.