« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Je ne pouvais pas m'arrêter de rire. C'était plus fort que moi. Quand un fou rire vous prend, il est difficile de le stopper, surtout quand la raison est celle qui se trouve devant moi.
"Arrête! Tu es vraiment sérieuse là? Toi? Tu fais un truc dans le dos de Arès? Oulala, tu vie dangereusement Artémis, fait attention, tu pourrais devenir un chouilla rebelle."
Le plus amusant c'est qu'il y avait le gringalet avec elle. Son petit chien qui la suivait de partout et qu'elle considérait comme son frère préféré. Quand à l'autre... Oh non, ça aussi je n'en revenais pas.
"En plus tu mets Dolos dans la confidence? Là tu m'achèves!"
C'était de plus en plus hilarant. Artémis, Apollon et Dolos, trio de choc. Il ne manquait plus que... Je m'étais tourné vers Erythie.
"Salut."
Voilà qui était fait... Puis, vers les deux autres, tout en me retenant de rire une fois encore.
"Bon, sérieusement, je ne regrette pas d'être venu, je sens que ça va être méga amusant. Et tout ce beau monde va t'accompagner sur Barbapapa Land? La planète aux milles et un fou rires? C'est excellent!"
Elle ne pouvait pas être sérieuse. Mais bon, attendons voir. Je suis sûr que j'aurai encore de nombreuses occasions de rire. Je m'étais mis un peu en retrait, le temps d'écouter chacun blablater sur la raison qui l'a poussé à rejoindre la communauté des femmes chastes et prudes que Artémis essaye de recréer...
Diane Moon
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“I love you to the moon and back”
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J'étais prête, prête à agir. Cette fois-ci, il était hors de question que je reste sur le banc de touche, agitée de remords. C'était fini, tout ça. Comme l'on pouvait s'y attendre, ce n'étais pas moi, qui était venue vers elle, mais Aphrodite qui était venu, vers moi, peu de temps après sa résurrection. Je l'avais, vu sur le pas de la porte, alors, que j'allais partir en ville, pour un rendez vous important. Je m'étais, instantanément, figée. La voir, ici, devant moi, bien réel, avait quelque chose de surréaliste. Nous, nous étions jaugés du regard pendant quelques minutes, jusqu'à ce que je ne me mette à dévaler l'escalier en larme et à lui sauter dans les bras. Elle m'avait manquée, terriblement manquée, et j'étais tellement heureuse de la revoir, que j'avais, pour le coup, annulé mon rendez-vous. Et, était à la place, partie boire, un chocolat en compagnie de ma sœur, chez Granny. J'avais vidé mon sac, tout ce que je ressentais, tous mes doutes, toutes mes craintes, mes peurs...Absolument, tout, y était passé. Tout, y comprit, ce que je lui cachais depuis des années. J'étais, au courant depuis le début, pour le père de son enfant. Dionysos m'avait mise dans la confidence. Si, elle m'en a voulu, elle ne me l'a pas montré, non, elle a préféré me parler d'un problème...Plus grave dirons nous. Je sut enfin pour cette histoire de temple dont m'avait parlé d'Hipployte. Je l'écoutais, je l'écoutais attentivement. Il, y avait une carte m'avait-elle, dit, cette carte, indique la présence d'un titan, dans notre univers. Et sur cette planète, elle voulait que j'aille. Arès, voulait la détruire, elle non, elle voulait savoir, qui était le titan, dans notre univers. Mais, elle était déjà, occupé de son côté, du coup, c'est à moi qu'elle avait demandé d'y aller. Incognito, m'avait-elle précisé. J'avais accepté, une menace, semblait planer sur nous tous, et quand je dit nous, je ne parlais pas uniquement, de ma famille, mais des gens de cette ville. Je songeais, aux rencontres que j'avais faites : Pitch, Diana, Lena, Agnès, Louise et tant d'autres. Il, était hors de question, que je laisse quelque chose leur arriver. Je tenais à eux, autant que je tenais à ma famille. Et, ce n'était pas peu dire, pour moi, que tout le voit comme une asociale. Alors, j'avais dit oui, j'avais accepté la requête d'Aphrodite. Et, j'avais réfléchi, à, qui prendre avec moi. Apollon, déjà, viendrait. La dernière fois, que quelque chose de cette ampleur, s'était préparé, notre séparation, m'avait valut, vingt et une longue année, d'incertitudes. À espérer, qu'il soit, toujours en vie. Et, je, ne l'avais retrouvé que trop récemment, pour que ça recommence. J'avais pris, mon temps, j'avais bien, réfléchit, pesé le pour et le contre, et mon choix, s'était finalement porté, sur Erythie, et un autre de mes frères : Dolos. Je ne le connaissais pas vraiment, je ne savais, pas ce qu'il pourrait donner. Mais, en tant que maître des illusions, il pourrait nous être fort utile. Surtout, sachant, que je commençais tout juste à maîtriser le trident de Poséidon. Une, certaine divinité celtique, m'avait donné un petit coup de main, à grand coup d'affrontement entre nos deux caractères. Mais, au final, cela avait été payant. J'avais mon arc, et mes flèches, mais ils ne suffiraient pas à eux seule, j'avais indéniablement besoin d'aide. Et, nous étions là, le jour J. Rassemblé, dans notre jardin à Apo et moi :
- Tout le monde est prêt ? Je veux être, certaine que vous êtes au courant que cette mission, est dangereuse. Nous agissons, dans le dos d'Arès, et s'il l'apprend...Il risque de ne pas apprécier, il pourrait y avoir des sanctions, vous en êtes tous conscient ?
De simples hochement de tête, furent mes réponse, immédiatement, je nous téléportais tous, sur cette planète. Mais, en arrivant, nous avions un comité d'accueil : Hadès ??? Mais qu'est qu'il fichait là ? Il, n'était pas sensé être mort ? Enfin, peu importe, il était vivant, et j'étais vraiment heureuse de le revoir....Jusqu'à ce qu'il ouvre la bouche. Là, je n'étais plus du tout, heureuse de le revoir. Je voyais, mes deux frères, s'agiter derrière moi, probablement prêt à en découdre avec Hadès, mais je levais la main, pour les stopper. Quand à moi, je dévisageais calmement, mon frère. Et me mit à sourire :
- Tu es vivant
Mon sourire heureux s'évanouit en un instant, je m'approchais de lui, tout aussi calmement. Et quelque chose qui me fit plaisir traversa son regard, une lueur de panique. La dernière fois, que j'avais fait ça, je l'avais baffé, il devait se douter, que je m'apprêtais, à le frapper à nouveau, et que cette fois-ci ça ne serait pas une petite baffe :
- T'aurais pas pu le dire plus tôt espèce d'abruti?! C'est quoi votre problème à Arès et toi ? Vous êtes des handicapés de la technologie ? Vous savez pas vous servir d'un téléphone ? Il y a toujours la poste, si vous savez pas taper un texto. Ça prend, pas trois heures d'écrire une putain de lettre !
Sur-ces bonnes paroles, j'armais mon poing droit, et le balançais dans la figure, d'Hadès. Un « crack » se fit entendre. Ce bruit, me fit sursauter, c'était impossible, jamais je n'aurais pu lui casser le nez, on était des dieux, c'est pas un simple petit coup de poing, qui arriverait à faire une telle chose. À moins... A moins que...
- Noooon, dis-je en me mettant à rire c'est pas vrai c'est la meilleure de l'année celle là. Devinez quoi, dis-je en me tournant vers mes frères et Erythie : le graaaaand Hadès, le maitre des enfers, est devenu un mortel sans aucun pouvoir
C'était vraiment trop drôle, j'avais du mal à respirer tellement je riais. Hadès, mortel, Hadès, monsieur « prosterne toi mortel, je suis un dieu », n'avait plus ni aucun pouvoir, ni son immortalité. Et la tête qu'il tirait à cet instant, valait tous les trésors du monde :
- Allé Hadès, dit « cheeeze », lançais-je en sortant mon portable et en le prenant en photo. Je suis sure que la photo plaira beaucoup à Aphro.
Je rangeais mon portable, dans mon sac en bandoulière, prête à envoyer la photo, dès que j'aurais du réseau
- Tu, te moque de nous, mais, ce n'est pas nous les boulet dans l'histoire, Ô mon frère, c'est toi
Ça commençait à bien saigner, et il ne pouvait plus se régénérer :
Si tu arrêtes, de te croire supérieur, à tout le monde, et que pour une fois, tu la ferme. Pas de remarques, d'aucunes sortes que ce soit, je pourrais éventuellement, envisager, le fait de réparer ce nez cassé. Dans, le cas contraire, tant pis pour toi, nous, on fait ce qu'on a à faire, et toi...Toi, on te laisse vaquer à tes occupations dis-je avec un geste nonchalant de la main
Puis, mon regard se durcit tandis que je le plantais droit dans le sien :
- Tu ne me connais pas Hadès, tu ne sais rien de moi, de quelle est ma vrai personnalité, tout ce que tu sais c'est que j'ai toujours bien voulut montrer. Alors, tu n'as, aucun droit de jugement. Dans, ce cas là, je peux tout aussi bien dire, que tu es crétin arrogant, doublé d'un con, et d'un putain d'égoïste à tendance narcissique. De plus, je n'ai pas de comptes à rendre à Arès, je lui ai peut-être, fait serment d'allégeance et de loyauté. Mais, soyons, réaliste, j'ai mon propre libre arbitre, Zeus l'a toujours su, je n'hésiterais pas une seule seconde à n'en faire qu'à ma tête, si je juge la cause juste. Il, se méfiait de moi. Arès, ne me connait pas bien, mais, s'il y a une chose, que vous avez tous besoin, d'apprendre à mon sujet, c'est que je suis une forte tête. Vous, avez d'ailleurs, presque tous, beaucoup de choses à apprendre à mon sujet, je suis très loin d'être celle que vous imaginez. Vous, feriez bien, de vous en rendre compte, maintenant, avant de vous en mordre les doigts, plus tard. Prêter, serment d'allégeance, ne veut pas dire obéir aveuglément aux ordres. Je suis comme la nature, je n'ai pas de maitre, je suis sauvage comme cette dernière. Et, si l'on me force, si l'on m'oblige à quoi que ce soit, l'on peut être sure, de ne plus jamais me revoir
Je me détournais de lui, retournant, vers le groupe que j'avais composé. Apo', avait l'air d'halluciné, Dolos, se retenait manifestement de rire, et Erythie...Erythie, semblait assez contente, qu'Hadès s'en soit pris plein la tronche. Eh bien, oui, je voulais bien être gentille, compréhensive, et tout ce qu'on voulait. Il, ne fallait pas oublier, à la base, que mon caractère, avait plus tendance à la dureté, qu'à la douceur. Pitch, et moi avions un genre d'accord, chacun de notre côté, nous faisions des efforts, moi avec les dieux et lui avec les gardiens, et en échange, j'avais donné ma parole, que je l'aiderais à trouver la personne la plus importante pour lui. Je voulais bien faire, l'effort, de me montrer plus « sociable » avec ma famille, mais avec Hadès, ça ne passait pas. Nos, caractères, étaient tout simplement incompatible. Je n'arrivais même pas à croire, que j'avais pu ne serait-ce qu'une seule seconde, être heureuse de le revoir. Pitch...Je repensais, aux paroles de la gardienne, Toothiana... Je secouais la tête non, elle se trompait, je n'étais PAS amoureuse de lui. J'avais fait vœu de ne jamais tomber amoureuse. J'étais immortelle, cela voulait dire, voir ceux auxquels ont tien, disparaître, et soit non. J'avais toujours, forgée une carapace autour de mon cœur, et avait formé, cette image de déesse vierge, très à cheval sur ses principes, pour, expliquer aux autres, pourquoi, je refusais d'être amoureuse. L'amour, ça fait souffrir, et j'avais déjà eu mon lot de souffrance, je n'en voulais pas plus, c'était hors de question, jamais. Et puis...Si, Aphrodite, n'avait rien remarqué, c'était forcément, que la gardienne se trompait. Oui, c'était ça, il n'y avait pas d'autres explications. Aphrodite, ne se serait, absolument, pas gêner, pour me le faire remarquer, si j'étais amoureuse. Pour, elle, je pense que cela aurait limite, été comme si elle attendait cela toute sa vie, me voir enfin tomber amoureuse. De toute façon, j'avais d'autres préoccupations, bien plus grave que celle là. Et, encore une fois, je le répétais, Pitch et moi, n'étions que de simples amis, cela n'allait pas plus loin.
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La collocation mise en place par Artémis se passait à merveille, tout le monde semblait s'adapter à sa manière et je n'étais pas malheureux de ne pas me retrouver seul. Seulement, je savais qu'en revenant parmi tout ce beau monde, je n'allais pas pour autant connaître soudainement le calme et la sérénité. Si des êtres divins sont dans le coin, il faut toujours s'attendre à quelques rebondissements... Et autant dire que je n'étais pas déçu.
Artémis ne chômait pas. Elle m'avait fait part de toutes ces choses qu'on lui avait raconté, cette planète, cette carte... je n'y comprenais rien. Déjà, cette histoire de cavaliers, j'avais mis un certain temps avant de vraiment l'intégrer, alors tout ce qui venait s'ajouter au-dessus en plus... Il ne faut pas trop m'en demander. Mais je l'écoutais, comme toujours, parce que je sais que si elle y porte un minimum d'attention, à ces choses qui se bousculent, c'est qu'elles ont de l'importance. Alors quand elle était rentrée de nouveau, me faisant part d'une histoire de titan ou de quelque chose dans ce genre – et par ailleurs, elle avait vu Aphrodite ? Et moi, j'avais pas le droit ? Je veux dire, c'est pas comme si ça faisait plus de 22 ans mais quand même... Bref. Artété n'eut même pas besoin de demander pour que je me joigne à elle. Pas question que je la laisse partir seule... et quand je dis seule, c'est sans moi, parce que les autres qu'elle peut amener avec elle ne comptent évidemment pas.
Dolos, ce fabuleux Dolos, était de la partie, et je ne put m'empêcher de sourire. Je savais qu'Arès n'était pas au courant de cette expédition, que nous n'étions même pas supposés le faire puisqu'il n'était pas d'accord avec le concept, mais ça me plaisait. Enfin... Je souhaitais éviter les conflits au maximum mais ça ne m'empêche pas d'avoir envie de me distraire. Mon arc m'avait servit pendant pas mal d'années, si je ne l'utilisais pas il allait finir par rouiller ce serait dommage. Oh... tiens. Une nymphe aussi. La dernière... J'aime bien les nymphes... Hum, c'est vrai, téléportation.
L'endroit aurait du être désert, mais ce foutu Hadès était toujours là où on ne l'attendait pas. Depuis longtemps je n'avais pas eu l'occasion de le voir... Surtout sous cette forme. Il était jeune, chevelu, avec un sourire toujours aussi dérangeant à cause de ses grandes dents... Mais ce n'est pas de sa faute. Tous les dieux ne sont pas aussi bien foutu comme moi, sur tous les points. Je ne lui en voulais pas. Juste un peu, de nous avoir laissé, moi et d'autres de nos frères et sœurs, dans une boucle temporelle ou nulle victoire ou défaite n'était possible et dans laquelle je serai encore coincé si cavaliers il n'y avait pas eu... Je lui souri par politesse, vu que tout le monde le croyait mort, mais bon, fallait s'attendre à ce qu'il revienne. Comme les cafards, ça se laisse pas faire ces trucs là. J'aurai bien aimer lui refaire le portrait par pure affection, mais Artémis était déjà en train de s'en charger, et j'observais à côté avec un air de fierté très prononcé. Ma petite sœur... Ma petite sœur... Qu'est-ce que je pouvais l'aimer celle-là !
La suite me fit tiquer. Humain ? Hadès ? Je n'écoutais plus que d'une oreille les paroles de ma sœur, dévisageant alors l'ancien roi de l'Olympe. Qu'un être divin redevienne... mortel, c'était rare. Très rare. C'était d'ailleurs très bien comme ça. D'après les événements qui s'étaient produits, ce n'était pas non plus étonnant à ce point, puisqu'il avait « prit cher »... Mais ça restait choquant. Perturbant. Je n'avais même pas vu ça venir. Que faisait-il là alors ? Il ne pouvait pas vraiment leur venir en aide, sans ses pouvoirs. Si fragile, en plus. Je me tournais rapidement vers Dolos mais mon attention se reporta bien vite sur le duo toujours en action. Artété venait d'entrer en mode... en mode Artété pas contente. J'ai toujours fais en sorte de ne pas la réveiller sous cette « forme » étrange, mystérieuse, trop difficile à contrôler parce qu'elle a tendance à me foutre les jetons quand elle se met en rogne. Là, c'est différent, vu qu'elle ne s'énerve pas sur moi. Ça reste assez impressionnant de l'entendre employé ce ton en particulier, elle qui se contrôle plutôt bien en général.
Je la laissais finir tout en étant un peu sur le cul, je dois l'avouer. J'aime bien être le seul à comprendre comment elle est vraiment, c'est mon petit honneur personnel, mais apparemment elle est prête à leur montrer à tous ce qui se cache là-dessous. D'ailleurs, elle doit vraiment être à fond pour se lâcher autant. Quelque chose la perturbe sans doute tout au fond, ça se voit à la tête qu'elle fait maintenant. Elle a tout lâcher sur Hadès mais ce n'est pas ce à quoi elle pensait à l'instant. Je fronce les sourcils, deux secondes à peine, puis reprend contenance. Ce n'est pas le moment de poser des questions ou de se dire « Ouh c'est mal ce qu'on fait, rentrons à la maison et allons faire des muffins pour nous faire pardonner. » Non, parce qu'Arté avait raison. Le libre arbitre, ils en avaient. Il ne devait peut-être pas désobéir, mais on ne leur avait pas interdit de venir, ce n'était juste apparemment pas conseillé... Grosse différence.
Me rapprochant d'Hadès en tapotant l'épaule de ma sœur au passage, je sors un mouchoir de ma poche – c'est un outil indispensable en cas de sortie – et le tend au pauvre blessé, penchant légèrement la tête sur le côté.
« Sacrée nana, hein ? » J'esquive de manière anticiper la claque que je peux potentiellement me prendre de la part d'Artémis tout en continuant de parler. « J'aime toujours pas tes cheveux. Mais le rouge est une couleur qui te va bien. Tu devrais penser à faire une teinture, peut-être... Aphro a bien eu les cheveux roses... Ouais, pense au rouge. Franchement. »
M'étirant tranquillement, je me retourne vers le reste du groupe. Y'en a deux que je connais pas. J'ignore si c'est normal... Elle doit avoir des amis dont j'ignore l'existence. C'est frustrant. Je connais pas assez de gens.
« Sérieusement, c'est pas une blague Gabriel. » Nath' se souvenait parfaitement de la tête de son ami quand il s'était téléporté dans sa demeure, aussi excité qu'un gamin en lui disant « enfiles ta combi' mon gars, on va sur la lune et dans l'espace . » D'accord, à premier vu, l'autre avait eu raison de croire qu'il se foutait de sa tête, mais ensuite, le dieu lui avait tout expliqué. Artémis qui l'avait appelé pour convenir d'un rendez vous. Le dudit rendez vous à coté d'un bon earl grey, les souvenirs, la famille, les discussions de l'Olympe et ensuite ça. Le fait d'enfin servir à quelque chose, de devancer Arès et d'avoir toutes les gloires pour avoir réduit en cendre Papy Chronos. Enfin, la déesse des chasseresses n'avait pas dit ça comme ça, mais Dolos avait bien entendu comprit ces paroles dans ce sens.
Tout comme Diane, Nath' avait toujours été à l'écart des autres. Enfin lui c'était surtout parce qu'il mourrait sans cesse, et que ces frères et sœurs en avaient assez de ses facecies. Mais au fond, il n'était pas réellement mauvais. Juste mesquin, très mesquin, et assez égoïste. Sauf que les cavaliers avaient remué quelque chose au fond, qu'il avait eu peur. Peur pas seulement pour lui, de perdre sa magnifique apparence et là, ça aurait été le drame. Non, il avait craint pour Morrigan, sa jumelle. Il avait souffert pour Aphrodite, quand il avait apprit sa mort et sa résurrection par Diane. Bref, il avait prit conscience que la situation était assez extrême, et que si personnes ne faisaient rien, qu' Arès attendait sagement que Papy Chronos débarque pour discuter autour d'un verre de whyski pour parler fin du monde, tout ce qu'il avait connu disparaîtrait. Et même eux, les dieux.
Alors forcément, qui de son entourage était le plus amène à faire un voyage comme ça ? Dès qu'ils s'étaient quittés, il avait foncé chez Gabriel. Forcément, déjà le fait d'aller dans l'espace le rendait comme un gamin, et il fallait qu'il partage ça, mais surtout, il savait aussi qu'il était puissant. Et où cas où les choses tourneraient mal, style attaque de monstres verts dévoreurs de cervelles, l'ange comme il s'amusait à l'appeler pourrait être utile. Toute une discussion avait suivit, et finalement, Nath' devinait bien qu'il était aussi excité que lui. Il lui avait dit où et quand se rejoindre, qui serait de la partie et maintenant ils y étaient.
Sauf qu'il y avait un invité surprise et pas des moindres. Hadès, le dieu des enfers, celui qui fait cuire les saucisses avec son doigt et qui donne naissance au dieu de la Renaissance. Encaissant ce qu'il était en train de dire, rigolant comme une baleine, Nath' soupira grandement. Bien sur qu'il était au courant des conséquences, mais voilà, au moins eux, se bougeaient le popotin. Alors quand Artémis commença à sortir de ses gonds, la petite moue qu'il avait se transforma en un grand rictus. Et quand il se prit une baffe magistrale, c'était le clou du spectacle.
« Faut croire qu'on a pas besoin d'aller sur Barbapapaland, étant donné que pour les fous rires, tu viens de nous en donner à tous. Merci beaucoup cher frère. » Un simple humain ? Intéressant, très intéressant même. « Tu devrais te lancer dans une carrière de comique, tu as le potentiel pour. Mais bon avant, Apo' a raison sur tes cheveux. Si tu veux je connais un coiffeur très bien dans cette ville. Il pourra essayer d'arranger le fait que tu ressembles à une femme. »
Souriant à Apollon, Nath' marcha un petit peu tout en se grattant la tête. « Et bien, je penses qu'on doit attendre les ordres de la Miss, parce que si on attend le relooking d' Hadès, on est mal parti. » Se retournant vers celui qui faisait moins belle figure qu'avant, Nath' ne put s’empêcher de lui envoyer un sourire carnassier. « Tu as prit tes cachets contre le mal des transports ? Non parce que ça serait idiot que tu vomisses sur ta magnifique tunique pendant le trajet. » Et hop, petite vengeance sur le hahaha tu as prit Dolos ça m'achève .. Marchant quelques pas pour se rendre à coté de Gabriel, il ne put faire qu'un clin d’œil à la nymphe qui se trouvait à ces cotés. « On est au complet où on a encore des invités surprises du type d'Hadès qui vont encore arriver ? » Sous entendu : y a des mortels dans le coin qui vont rejoindre la mission Appolon où on peut lancer le décollage de la fusée ?
Tout avait commencer avec l'apparition de Nathanaël,j'était près a partir bosser quand il était soudain apparue pour me demander de venir avec lui dans l'espace ,je l'avais fixer du regard avant de simplement dire."Faut que t'arrête la drogue ,sa t'arrange pas le cerveau."Mais apparemment le dieu était très sérieux sur cette histoire d'espace ,il me parla même de la raison pourquoi ils y allaient.Plus les explications avançaient plus je me disait que se ne serait peut être pas une mauvaise idée d'allez traîner ailleurs ,après tout Storybrooke commençait a me taper sur les nerfs et puis l'espace sa pouvait être fun."Je te préviens si y'a pas de fusée ,je te frappe."
Je me retrouvais donc en compagnie de dieux et d'une nymphe,je fis presque la grimace quand je reconnue l'autre cinglée qui c'était ramener a poil a la piscine mais j'avais appris en grandissant a ne jamais montrer la moindre émotion,surtout a des gens que je ne connaissait pas.En tout les cas j'était entourée d'être divins,sa se sentais et puis surtout Nath' m'avais dit qu'ils y auraient son frère et sa sœur de présent et surtout apparemment un inviter surprise vue la tête que faisaient Nath' ,il n'avais pas été prévue au voyage.Je regardais l'autre dieu qui rigolais comme une saucisse,je le détaillais,apparemment il n'était pas vraiment aimer des autres et vue se qu'il venait de dire ,on pouvais comprendre pourquoi.
J'en levais presque les yeux au ciel,des dieux qui se chamaillaient comme des gamins de cinq ans parce qu'ils voulaient tous jouer avec le même tracteur en plastique,c'était d'un ridicule et d'un pathétique que je demandais pourquoi je restait présent.L'autre Jesus Grec saignait du nez a présent,Nathanaël et l'autre dieu blond se foutait de sa tête,sa promettais d'être une longue journée.J'en profitait pour sortir une chupa chup's au coca-cola avant de la mettre dans ma bouche ,je n'allais pas rejoindre le reste du groupe dans le cassage de dieu ,je préférais rester en retrait et attendre qu'on se décident enfin a se bouger.
Puis Nathanaël revint a mes côtés je le regardais et j'entendit le Dieu blond qui ressemblais plutôt a un viking demander se qu'on faisait maintenant,ils allaient surement pas se retrouver autour d'un feu a manger des marshmallow griller et chanter des chansons paillarde sa c'était sur.Je faisait la liste des dieux présent dans ma tête,Artémis c'était la blonde qui avait coller un pain a l'autre,qui se prénommait donc Hadès aka le Dieu des enfers,plutôt cool.Il y avait donc Nathanaël aussi mais sa je le savait déjà puis le viking blond,je le fixais du regard ,le regardant de haut en bas,peut être Apollon ,après tout le mec était du type canon donc sa ne pouvais être que lui,il n'avais pas l'air d'être un bourrin pour être Arès et puis il était blond comme Artémis et ils avaient l'air beaucoup plus proche que le reste donc mon choix se penchais plus du côté d’Apollon.
Je retirais la sucette de ma bouche et regardais Nathanaël."Moi je dit qu'on est parée au décollage,si sa se trouve l'invitée surprise est planqué dans la soute a bagage."Je remettais ma sucette dans la bouche,affichant un léger rictus amusée,je changeais mes chaussures pour des moon boots et les montrais a Nath'."Elle est ou ta combi ? Ta pas trouver la bonne de la marque Hugo Boss c'est sa ?."Je lui tendait au passage une sucette chupa chup's si jamais il en voulait une,après tout même si j'était entourée de Dieu ,y'avais quand même Nath' qui me tiendrais compagnie.
« [...] Les événements de début septembre continue d'alarmer la population, malgré les autorités qui cherchent à rassurer les habitants, affirmant que le Cavalier n'est plus parmi nous [...] Malgré tout, la présence du Cavalier indique vraisemblablement l'existence d'un titan nommé Chronos, une menace destructrice [...] la présence de Dieux au sein de même de Storybrooke a été confirmée. Ils ont une apparence humaine et vivent incognito parmi nous. Cependant, nos journalistes travaillent à leur identification afin d'obtenir des explications [...] Qui sont ces dieux ? Quelle menace pèse sur Storybrooke, et quelle est son envergure ? [...] Le monde des contes est lui aussi menacé par l'existence de Chronos [...] Nous sommes ceux venant d'un autre monde ; mais malgré tout, Storybrooke est notre refuge désormais. [...] Les dieux : amis ou ennemis ? Devons-nous les combattre ou leur faire confiance pour la sécurité de notre ville ? »
Antalpy avait passé la nuit dans son bureau, comme souvent, à revoir au peigne fin chaque article concernant les dieux, chaque dossier qu'il trouvait concernant les croyances humaines sur les dieux grecques, Chronos et le Cavalier de l'Apocalypse -et autant dire qu'il y en avait un paquet. La presse ne s'était pas gênée pour fouiner partout à la recherche de la moindre information sur une menace d'une si grande envergure, pour la plus grande fierté d'Antalpy, qui menait son équipe avec dureté et stratégie. Le dernier gros article en date s'intitulait : « Les Dieux sont parmi nous !amis ou ennemis ? ». Il avait été question de l'implication des divinités présentes dans le quotidien de Storybrooke. Quelle influence avaient-ils sur la population ? Qui étaient-ils ? Les hommes de pouvoir locaux ? Des individus lambdas privilégiant la discrétion ? Assoiffés de pouvoir ou indifférent à la cause des habitants de la ville ? Tant de questions qui étaient restées pour la plupart sans réponse, au grand dam d'Antalpy. Quelques rares journalistes avaient tenté d'aborder les dieux identifiés, mais soit ils s'étaient fait rembarrer, soit ils s'étaient laissés intimider par la puissance de ces êtres mystérieux. Ce qui avait d'ailleurs provoqué la colère d'Antalpy, au point qu'il avait décidé de prendre les choses en main. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas été sur le terrain, hormis pour les grands événements comme le bal de Noël qui approchait à grands pas. L'essentiel de son travail se passait derrière son bureau, au milieu des dossiers en cours. Et parfois, la possibilité de sortir quérir l'actualité alléchante lui manquait ; alors c'était l'occasion rêvée de se relancer dans ce jeu dangereux. Il avait récemment entendu parler d'une mystérieuse expédition à des années lumières de Storybrooke -et cela très littéralement. Bien sûr, il n'allait pas se défiler lorsqu'une telle opportunité se présentait ; c'était l'occasion d'approcher les Dieux, d'obtenir autant d'informations qu'il en était capable sur le problème Chronos et surtout, de s'impliquer personnellement afin d'avoir une meilleure vision des événements. Quite à se mettre en danger, d'ailleurs ; à part son travail, il n'avait rien à perdre. Il était sûr qu'au terme de cette aventure, il pourrait remplir le Daily Mirror durant des mois. Avec toutes ces recherches, il n'avait pas beaucoup dormi, hormis de courtes siestes à quelques moments de la nuit ; mais malgré cela, il se sentait plutôt en forme. Il troqua son costume impeccable pour des vêtements confortables -mais tout aussi impeccables, avant de faire le tour de ses poches, vérifiant s'il avait sur lui tout le petit matériel du journaliste d'investigation : calepin, stylo, appareil photo de poche et spray au poivre -les reporter, spécialement les paparazzis, n'étaient jamais trop prudents quant à l'agressivité des gens qu'ils abordent... quoi qu'Antalpy eut un petit sourire sarcastique. Ce n'était pas avec un spray au poivre qu'il allait neutraliser une bande de dieux chauffés à blanc. Mais l'avantage, c'était qu'il n'en avait rien à faire de son statut « d'humain ordinaire » ; le plus important, c'était ce qui allait se passer. Haussant les épaules, il enfila une veste isolante avant de jouer avec le couteau de poche qui ne le quittait jamais -un piètre remplacement à ses griffes de tigre...-, avant de sortir dans la rue rejoindre ceux qu'il allait accompagner.
**********
C'était donc cela les dieux ? Caché dans la pénombre d'une ruelle près de l'endroit où les divins s'étaient donnés rendez-vous, Antalpy guettait le bon moment pour se manifester. Ce n'était pas exactement facile, étant donné qu'il ne savait pas comment les aborder. Il s'attendait à trouver des êtres lumineux, dont la puissance se manifestait par une aura mystérieuse ; mais à sa grande surprise, le groupe ressemblait plus à Monsieur et Madame tout le monde en train de se préparer à aller camper. Il y reconnaissait certains visages ; un certain Nathanaël Dolosy, l'homme aux affaires douteuses, pour le plus grand plaisir d'Antalpy, était un dieu ? Voilà qui d'une certaine manière ne le surprenait pas. Les autres, il les avait peut-être croisé ici et là, au hasard des rues ; mais les deux qui se ressemblaient le plus, il ne les avait jamais vu. Soudain, la jeune femme blonde prononça le moment de partir, et Antalpy n'eut que le temps de saisir l'épaule de l'autre demoiselle avant d'être transporté avec les autres. Étrange. Il se sentait curieusement troublé. Non pas par le changement de décor, qui ne fit que le sonner à la surface, mais en profondeur, il avait l'impression que quelque chose avait changé.
« Excusez-moi mademoiselle, je voulais simplement vous demander le chemin vers la mairie mais il semblerait que je me sois fait embarquer avec vous dans votre petite aventure... »
Il était même troublé au point de trahir en parti qu'il savait très bien que ce groupe n'était pas là pour faire du camping. Au point que l'arrivée d'Antalpy se retrouva éclipsée par un autre homme aux airs efféminés, qui passa les cinq minutes suivantes à se faire incendier par le reste des convives. L'ancien tigre ne put d'ailleurs empêcher un sourire carnassier envahir son visage lorsque la dénommée Artémis lui envoya une patate dans la figure. C'était ça les dieux ? Sérieusement ? Une bonne vieille famille à l'ancienne, avec des problèmes un poil plus destructeurs que la famille lambda -Chronos, en l'occurence... Antalpy restait silencieux, préférant attendre que sa présence soit remarqué plus tard, ou alors attendant le bon moment pour intervenir. Il ne faisait que retenir un maximum d'informations en restant attentif à la conversation. Hadès le Dieu des Enfers ; celui qui se faisait laminer par les autres alors qu'il était censé faire parti des plus puissants, était vraisemblablement devenu mortel. Dolos ; de toute évidence Nathanaël Dolosy. Le nom de famille était quand même transparent, mais Antalpy n'avait jamais fait le lien auparavant entre Dolos, le dieu de la mythologie grecque, et Dolosy, étrangement. Artémis, Déesse de la Chasse ; une dame au sacré caractère, et Antalpy nota sans même l'aide de son calepin qu'il valait mieux ne pas la contrarier. Mentions spéciales d'Arès, de Zeus et « d'Aphro », probablement Aphrodite. Une belle et grande famille. Antalpy regretta un instant de ne pas avoir emporté avec lui l'encyclopédie de la mythologie grecque, histoire de ne pas avoir à retenir par coeur les caractéristiques principales de chacun. Les trois derniers par contre n'avait pas été identifiés dans la conversation, le premier étant un jeune homme aux cheveux noirs et au caractère visiblement agaçant, à l'image du dénommé Dolos ; le deuxième, un grand type qui ressemblait presque trait pour trait à Artémis ; et la jeune fille près de laquelle Antalpy restait fermement campé.
« On est au complet où on a encore des invités surprises du type d'Hadès qui vont encore arriver ? »
Antalpy eut un sourire. Il s'avança sans se démonter à la vue de tous, indifférent à l'impression qu'il allait bien pouvoir laisser sur ces êtres dont il ne savait pas encore assez. Il hocha la tête et lança d'une voix neutre :
« Ici l'invité surprise dont vous parler. Antalpy Khan. J'aurais été ravi de vous dire que je suis ici par hasard et par accident, mais je suis certain qu'au moins l'un d'entre vous est capable de savoir aussitôt que je suis un menteur. Alors disons que dans votre petite escapade dont j'ai entendu parler récemment, je représente les habitants de Storybrooke, dont le sort semble vous laisser totalement indifférent, même si je peux me tromper. En tant que directeur général du Daily Mirror, c'est mon travail de les tenir au courant, et avec l'événement lié au Cavalier et à Chronos, cette aventure me semblait appropriée pour obtenir de précieuses informations, quelles que soient les conséquences. »
Lui qui pensait avoir à faire à des être lumineux et maniérés ayant un discours plus élevé que le sien, il avait presque -presque- l'impression que ses paroles étaient dénaturées et qu'il aurait dû s'exprimer plus familièrement. Mais après tout, il s'exprimait toujours ainsi, alors, pourquoi changer ?
Hadès Bowman
« A la recherche, du Contrat Perdu ! »
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« ROAD MIAM TRIP !!! »
« Préparez le château,
on arrive ! »
Autobiographie : Moi, à nu pour vous
Nombre de mots : 69666
Publication : bientôt Co-écrit par Sasha Hale & Desmond Blake
| Conte : Hercule ϟ | Dans le monde des contes, je suis : : ☣ Hadès ☣ l'unique dieu des Enfers. ϟ
Qu'elle bande d'ingrat ! Et ça se disait frères et soeurs ? Si on ne pouvait même plus plaisanter sans s'en prendre une. J'avais fusillé du regard Apollon quand il m'avait tendu un mouchoir. Il me prenait pour quoi? J'avais tout ce qu'il me fallait sur moi. De la poche de mon pantalon, j'avais sortit un assortiment de petites fioles, cherchant laquelle était la bonne. J'en avais fait une ration chez Yzma dès que j'étais devenu mortel. Elle m'avait prévenue qu'elle n'était pas très douée dans l'étiquetage, mais quand j'avais testé les fioles sur diverses personnes, il n'y en avait que deux qui avaient produits des effets secondaires.
J'avais avalé cul sec le contenu de la rose, avec indiqué dessus "respiration". Oui, c'était une drôle de façon d'étiqueter les fioles, mais celle ci réglait tous les problèmes de narines. Ca pouvait même réparer un nez. C'était toujours mieux que rien et à défaut de pouvoir se régénérer sois même, il fallait bien en passer par là. Il avait fallu quelques minutes, notament le temps que Antalgie se présente, pour que les effets se produisent. Mon nez était à nouveau intact. Je l'avais trifouillé avec ma main pour voir s'il naviguait correctement. Un coup à gauche, un coup à droite. J'avais inspiré pronfondément. Tout était parfait. J'en avais profité pour fusiler du regarde Artémis qui avait osé faire cette chose !
"J'ai pas l'impression qu'on ait besoin de la presse pour s'occuper de nos affaires. Dit lui." avais-je dit à Artémis. Après tout c'était à elle de gérer ce genre de choses vue que "papa" Arès n'était pas là. A moins bien sûr qu'elle préférait reléguer ça à son frère, comme elle aimait si bien le faire. En parlant de lui, il n'avait pas trop changé. Rester bloquer aussi longtemps à Olympe ça lui avais permis de ne pas bouger d'un poil. Bien qu'on ne bougeais pas beaucoup, nous, les dieux, ou anciens dieux, ou... prochainement à nouveau dieu tout puissant avec pleins de pouvoirs !
"T'as changé un truc, non? C'est quoi?"
J'avais regardé Apopo de bas en haut. Il avait un truc de différent. Oh mais oui, c'était ça! Je lui avais fait un grand sourire.
"Je sais! Tu es libre! Ca doit être bizarre pour toi de pouvoir enfin respirer l'air frais? De voir la rosée du matin en te réveillant? Bien qu'on dort jamais, mais bon... Enfin, je suis content de te revoir. Tu ne peux pas savoir à quel point cette vision de toi et de Artémis vous prenant dans les bras, vous faisant des poutoux m'avait manqué..."
J'avais gardé mon sourire, tout en me tournant vers Dolos et en mettant mon doigt dans ma bouche pour mimer quelqu'un qui vaumissait. Puis, j'avais tapé dans mes mains.
"Bon, c'est pas tout ça, mais Arté... C'est pas que ton monologue m'a ennuyé, bien qu'un tout petit peu, mais on pourrait y aller? Et sans le type du torchon. Tu savais qu'il avait fait un article sur nous? 'Les Dieux sont parmi nous !' Avec une majuscule au mot 'Dieux'. Au moins il nous considére véritablement comme les êtres supérieurs que nous sommes et non comme de simples statues qui ne bougent pas et que les bêtes mortels idôlatres. Ca vous arrivait dans le monde des contes, non?"
Leur monde était pathétique, tout comme la plupart d'entre eux. Je m'étais approché de Dolos. Je me sentais étrangement bien plus en sécurité près de lui. C'était un homme séduisant, grand, fort et... Non, je blaguais. C'était juste qu'à côté de lui je paraissais moins petit qu'à côté de Apollon. Pourquoi il était si grand ce gringalet?
J'ai suivis Diane, je ne sais pas réellement pourquoi, ai-je réellement envie qu'il y est encore des dieux, je ne sais pas non plus, mais quand Artémis m'a demandé devenir, j'ai tout de suite accepté, je voulais faire partie de la croisade. Alors je suis allée au rendez-vous, cependant j'avoue que je ne m'attendais pas du tout à voir Apollon et Dolos, généralement, ce ne sont pas forcément les premiers à partir à l'assaut. Puis j'ai vu Gabe et là j'avoue que j'ai un peu avalé de travers, d'accord je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l’intuition que je ne dois en aucun cas m'approcher de Monsieur, je n'ai pas envie de finir en croquette pour poisson ou pour chien je ne sais plus trop. Bref, tout le monde est prêt à partir quand soudainement quelqu'un me prend par le bras, je n'ai pas le temps de faire un mouvement pour me détacher que je me retrouve dans une autre dimension. Je me retourne vers la personne qui s'est agrippé à moi et je lui souris, je ne suis en veut pas, je ne vois pas pourquoi je lui en voudrais. Après tout, tout le monde c'est que c'est à nos risques et périls et dans la compagnie tout le monde me connaît. Enfin tout le monde sauf le gros matou, quoi j'y peu rien si je sais que c'est un gros chat.
-Ce n'est rien, la prochaine fois, il te suffira de demander. Je n'ai encore jamais mordu pers...
Je ne finis pas ma phrase, car j'ai entendu une voix que je croyais ne plus entendre. Hadès, la personne que j'ai le plus aimé quand j'étais au jardin pour sa conversation et son amabilité. La personne que j'ai le plus pleuré aussi dans la maison. Je le regarde, le fixe et ma mâchoire se serre quand il me sort que "salut", j'ai envie de lui sauter dessus, de l'attacher et ensuite de le fouetter, mais Artémis me passe devant et je souris à son coup. J'aime ça!
-Je n'ai jamais mordu personne, mais je ne sais pas pourquoi j'ai l'impression que ça va commencer.
Je serre les dents, continue d'écouter tout le monde parler, mais mon regard reste fixer sur cet homme que je pensais gentil et sincère. Trahison hurle mon âme, mais je me contente de m'approcher de lui et de le sourire ... machiavéliquement. S'il pense que je vais lui laisser passer ce "Salut" comme s'il ne me connaissait pas, il se met le doigt dans l'oeil jusqu'au coude. Je le regarde et m'arrête à seulement quelques pas de lui.
-C'est vrai que tu t'es vachement efféminé Hadès, avant tu étais plus virile, plus .. je ne sais pas, tu avais ce petit quelque chose qui faut que l'on sentait que tu étais fort. Maintenant sincèrement tu ne fais plus peur à personne, tu n'es plus qu'un petit enfant à qui on aurait pris ça sucette.
Je lui crache à la figure et continue ma route vers le temple que l'on voit, il faut froid, je ne vois pratiquement pas de végétation et j'ai envie d'aller le plus loin possible de tous ses dieux à l'égo-surdimensionné.
-Vous je ne sais pas ce que vous fêtes, mais moi je rentre à l'intérieur, je n'ai pas envie de finir en statut de glace! Et franchement l'environnement me donne tout sauf envie de rester dehors.
Je les regarde et rentre dans le temple, temple d'Apollon il n'y a rien, c'est vide et sans saveur tout le contraire du Dieu de la Beauté et de la Musique!
Diane Moon
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| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Artémis la déesse de la chasse et de la lune herself (même si je viens du monde réel)
Je pataugeais dans l'imbécilité, vraiment. Je poussais, un soupir, et essayait de me calmer. Adoptant, une attitude, un poil plus menaçante. Apo', le savait, c'était quand, j'étais le plus calme, que j'étais la plus dangereuse. Je fis apparaître, mon arc en argent, dans ma main, droite et posais, mon regard sur le premier homme :
- Vous, je ne peux pas vous tuer, bien que j'ignore, qui vous êtes, et ce que vous êtes, je sais néanmoins, une chose. Si, vous avez un quelconque, intérêt, aux yeux de Dolos, c'est que vous êtes quelqu'un de puissant, et qu'il est assez difficile de vous tuer, je ne pense donc, pas qu'une de mes deux « armes » puisse, avoir un quelconque effet, sur vous. D'ailleurs, tant que j'y pense Dolos, tu serais aimable, à l'avenir, de ne pas inviter tous tes copains, lors d'une mission de cette envergure, on ne fait pas un pique nique champêtre, c'est sérieux, beaucoup, de choses, peuvent, dépendre, de notre réussite ou de notre échec. Vous, en revanche, dis-je en me tournant, vers le journaliste, je pourrais vous tuer dis-je en promenant, ma main, sur la corde de mon arc. Il, suffirait d'une flèche, une seule flèche, bien placé, et vous n'êtes plus de ce monde. Et vous savez quoi ? Il, se trouve que je ne rate jamais ma cible.
Je pinçais la corde, tout en le regardant droit dans les yeux :
- Si, je vois le moindre, article, ou même la moindre petite mention, de ce qu'il va se passer ici, vous pouvez être sure, que je le ferais, sans la moindre hésitation. Mes flèches, tuent, peu importe l'endroit où elles sont plantés, tout être, n'étant pas divin. Ais-je, été suffisamment, clair monsieur Khan ?
Je l’espérais pour lui, je savais, me montrer extrêmement, impitoyable, quand la situation l'exigeait,
- Toi, tu me fatigue dis-je à Hadès, je ne sais même pas pourquoi, tu es là, j'ai très envie de te laisser, en plan, ici, histoire de ne plus t'avoir sur le dos. Tu, es une vrai plaie. J'espère, sincèrement, quand tout ça, sera finit, ne plus jamais te revoir
Quoi qu'il en soit, nous, nous devions, d'avancer, nous n'étions, pas encore arrivé, à destination, je nous avais téléporté dans l'espace, mais pas à notre destination finale :
- Nous, devons nous téléporter à nouveau, Erythie, vous là, le meilleur copain de Dolos, et vous monsieur Khan, ainsi que toi Hadès, vous devez attraper la main de l'un de nous trois, seule un Dieu, peu vous téléporter. Nous, allons sur une autre planète, celle-ci, n'était que notre point de départ
Planète, où je n'avais soit dit en passant, jamais mit les pieds de toute ma vie, je n'avais, aucune idée de ce qui nous attendait, et je n'aimais pas ça. Mais, si, cela pouvait nous aider d'une quelconque manière, à arrêter Chronos, j'étais prête à le faire. Sortant, un élastique, de ma poche, j'en profitais, pour attacher mes boucles blondes en un chignon, si je devais magner mon arc ou le trident, je préférais, ne pas les avoir dans la figure. Tout, le monde, fit ce que j'avais dit, sauf Hadès bien évidemment, avec un soupir d'agacement, je lui attrapais la main,
- Vous êtes prêt ? L'endroit où nous allons se nomme Patroos
C'était le signale, aussi tôt, mes frères ainsi que moi même nous téléportions, sur la dite planète. Lâchant, la main d'Hadès, j'aperçus, au loin le temple d'Apollon. Je, n'y avais jamais mit les pieds de ma vie :
- Ah et tant que j'y pense, monsieur Khan, le sort des habitants de votre ville, ne m'est pas indifférent, contrairement à ce que vous avez l'air de penser. J'aime P...Les mortels me repris-je.
Pourquoi, est-ce que son, nom n'arrêtait pas d'apparaitre dans mes pensées ? Pourquoi, n'arrêtais-je pas de penser à Pitch d'ailleurs ? Et pourquoi, est-ce que j'allais additionner, aimer à son nom ? Ça commençait à devenir agaçant. Depuis, que j'avais parlé à cette gardienne, mon esprit était embrouillé. J'avais, vraiment besoin de voir Aphro, elle, au moins, pourrait clairement me dire que je n'éprouvais rien pour lui. Je secouais la tête, ce n'était vraiment, pas le moment, de penser à cela, j'avais vraiment, d'autres préoccupations. Nous étions, sur une planète de glace, heureusement, j'avais mon manteau, et mon foulard autour du cou. Devant, nous se dressait le temple d'Apollon. Hippolyte, m'avait raconté, son aventure à Paphos, si, nous ne faisions, pas attention, cela risquait de se dérouler de la même façon. Sauf, qu'Erythie, décida, d'y entrer tête baissé. J'avais, beaucoup d'affections, pour elle, et pour les nymphes en générale, mais, là, il y avait, vraiment, des flèches qui se perdaient. Reste, calme, Arté, ne t'énerve pas, cela ne servirait à rien :
Quittez ce lieu immédiatement ou vous serez détruit!
Je levais la tête, pour apercevoir, un hologramme, d'Arès. Formidable....S'il, n'était pas déjà, au courant de ce qu'il se passait, maintenant il l'était. La terre se mit à trembler, et un serpent, géant, en glace, apparut, sortant du temple. Gé...nial. Le seul petit problème, était qu'il se dirigeait, droit sur la personne, la plus proche, à savoir Hadès...Qui, n'avait plus de pouvoir :
- Attention ! Criais-je à l'intention de mon frère en le poussant, de toutes mes forces
Sauf, que maintenant, je n'avais plus le temps de me pousser, et c'est moi qui prit le coup, à sa place. Roulant, parterre, je finit tant bien que mal, par me relever, le trident, apparût, directement, dans ma main, un peu comme s'il avait sa propre conscience :
- Qu'est que je disais, niveau boulet. C'est dans ces moments, là, que tu aurais pu nous être utile, si, tu, étais encore divin. Ton arme divine, aurait été pas mal
Le feu d'Hadès, aurait effectivement, pu nous être utile. Sauf, qu'étant donné, qu'il n'était plus un dieu, je n'avais aucune idée, de ce qu'étais devenu son arme
L'hologramme, de mon frère, ne cessait de répéter, la même chose, ce qui devenait quelque peu agaçant :
- Merci, Arès, je pense qu'on a comprit, dis-je légèrement ironique
Oui, il ne pouvait, pas m'entendre, oui, c'était un hologramme, mais, l'effet, écho, me tapait légèrement sur les nerfs
- Reste, là, et ne bouge pas, dis-je à Hadès.
Je, n'allais certainement, pas lui dire, que le croire mort, m'avait mit un coup au morale, et que, je n'avais pas envie que ça recommence. Enquiquineur ou non, il restait quand même mon frère...Malheureusement
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what could it be worse ?
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Apollon, dieu de la divination, des arts, de la lumière.
Peu m'importait que Dolos ait ramené un de ses « amis », ou que ce journaliste se soit incrusté sans autorisation. Je me contentais de les regarder l'un après l'autre, haussant les épaules, laissant Artémis gérer ses invités imprévus. Néanmoins, j'insistais sur ce Antalpy. Qu'il se permette de désobéir à ma sœur et c'est à moi qu'il aurait à faire... Et il n'avait pas envie. Vraiment pas envie. L'autre humain présent aux côtés de Dolos semblait en tout cas plus débrouillard et moins prise de tête. Ça m'allait. On avait déjà assez d'Hadès à surveiller. D'ailleurs j'ignorais gentiment ce dernier. Déjà, il avait refusé mon mouchoir, ce qui n'était pas très très gentil, n'est-ce pas ? Puis ces remarques... Je me mordais la langue pour ne pas le gifler. Après tout, au fond, je savais que ce qu'il avait fait pour Olympe était... bien ? Zeus ne pouvait pas rester le roi. Il n'était pas fait pour ça. Bien des choses s'étaient maintenant passées, bien des années s'étaient écoulées... Des frères, des sœurs étaient tombées, certains évaporés, Hadès s'en étant tiré sans avoir à subir cette guerre finalement. Mais Arès avait été mit sur le trône et on ne pouvait pas dire qu'il s'agissait d'une mauvaise nouvelle. Je n'arrivais pas vraiment à en vouloir au dieu des enfers... Lui aussi en prenait actuellement pour son grade. Il était humain. Pourtant, une aura divine tournait toujours autour de lui mais c'était... différent.
A peine arrivés sur cette nouvelle planète où nous venions de nous téléporter – ça fait beaucoup de voyages, quand même – je me sentis... à l'aise. Perturbé, pourtant. Je connaissais cet endroit. Je le connaissais bien même. Mon temple se trouve ici. Mes sourcils se froncent et je me tourne dans tous les sens. Cette glace... n'est pas supposée être présente. Il n'y a pas de glace à cet endroit. Il n'y en a jamais eu. J'avais envie de les avertir mais la nymphe réagit trop rapidement. Stupide... Tellement stupide... Mes dents se serrent et je sors mon arc immédiatement. Il est interdit aux dieux d'entrer dans les temples et leur présence ici n'était pas innocente, il y allait certainement avoir une incidence à cet acte irréfléchi. L'hologramme d'Arés apparaît et je lâche un juron. Bien sûr qu'il ne fallait pas rester... Mais il était déjà trop tard. Désolé frérot, on a pas trop le choix.
A l'écart avec Dolos, son ami et Antalpy, je me place devant et observe la créature venant de sortir du temple, repoussant la nymphe avec lui. Le python se mouvait, prêt à attaquer, pas amical pour un sou. Il était différent, lui aussi, tout comme Patroos. Il n'est pas supposé être fait de glace. Pas du tout. Mon cerveau fonctionne à vitesse maximal pendant que Diane tentait de sauver les miches d'Hadès. Sans me retourner, je m'adressais aux trois encore derrière moi.
« Toi. » Je ne connais pas son prénom c'est pas de ma faute. « Ton feu ne servira à rien pour le détruire. Mais va sur le côté et tente de le distraire. Dolos, va avec lui. »
Peu importe qu'ils n'aiment pas se faire donner des ordres, j'étais sans doute le mieux placé pour en donner actuellement. Puis les explications sur le pourquoi du comment je savais qu'il avait des supers pouvoirs magiques, elles attendraient. Je suis le dieu de la divination, à un moment.
« Antalpy, vous allez chercher Erythie... Hum c'est celle qui est par terre, là-bas. Et essayer de vous prendre le moins de coups possibles. »
Sans plus attendre, je bande mon arc et lance ma flèche dans la direction de la bête afin d'attirer son attention et de laisser le temps aux autres d'aller à leurs 'postes'. Puis une autre. Je me déplace rapidement, tentant de me rapprocher à porter de voix d'Artémis, mais le Python est rapide, lui aussi et semble ne pas apprécier que j'ai tenté de l'égratigner. Je prépare une troisième attaque mais l'animal profite de mon ralentissement dans ma course pour me projeter plus en arrière, me faisant chuter. Merde.
Néanmoins, il se lasse vite de ma personne. Peut-être que Dolos et son pote ont bien fait ce que je leur ai demandé, au final. Ce moment de répit me laisse le temps de me relever et de chercher ma jumelle du regard. Tout en me rapprochant d'elle et Hadès, je remarque le trident dans sa main. L'arme qu'elle a récupéré le jour même où je suis revenu.
« Arté, il faut que tu l'utilises ! Maintenant ! »