« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
| | | Evénement #11 : Sugar Rush [Fe] | |
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Auteur | Message |
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Jamie Skyrunner « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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- Bon les gars ... Vous arrêtez maintenant avec vos histoires de mariage avec Ava ! Vous allez lui faire peur ...
- Okay okay Jayjay ! *se tourne vers Axel* Lançons l'opération les ninjas de l'amour !
- Maiiiis moi je veux être votre témoin !
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- Et là ... l'autre kassos ... qui veut me caser avec ma cliente ! Non mais c'est comme cette manie de prôner l'amour à tout va !
- Hahah toi aussi tu as eu affaire aux ninjas de l'amour ?
| Conte : La Planète au Trésor | Dans le monde des contes, je suis : : Jim Hawkins
| Cadavres : 735
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________________________________________ 2014-12-19, 21:34 |
| Princesse, montagnard et dragon en détresse! Anomalie. Il l'avait traiter d'anomalie. Il l'avait fait pleurer. Et malgré son apparence, Jamie n'avait plus vu que Robyn, enfant, terrifiée au milieu du réfectoire. Un souvenir même pas réel mais qui avait pour lui une signification atroce, violente. C'était la chose la plus injuste qu'il avait vécu de sa vie, tout ce qui l'avait "changé" en Chevalier Servant, tout ce qu'il avait juré un jour de réparer aux yeux du monde -et qu'il avait en partie payé à coup de pâtisseries volantes et d'estime de lui perdue aux détours d'une veste... Et ça venait juste de se reproduire devant ses yeux. Et ça avait été trop. ça avait traverser ses veines comme un éclair, réveiller une haine tenue cachée au fond de son être. Mais pour la première fois depuis... Depuis la mort d'Aphrodite, pour la première fois... Il avait ressenti de la gratitude à sentir ce feu envahir ses veines. Parce qu'à cet instant, Jamie aurait tout donné pour traverser la pièce et éclater la tête de cette chose immonde qui se prétendait roi. Mais évidement, son corps ne l'avait pas entendu de cette oreille. Son regard s'était figé sur le visage de la petite fille en larmes menottée, son souffle s'était comprimé dans ses poumons, et il était tombé en catatonie. Figé. Bloqué. Encore. On l'avait poussé en avant et ça avait fait redémarrer la machine. Sa mâchoire s'était crispée d'elle même, tandis qu'on emmenait Robyn en arrière, et que le dragon disparaissait de son champs de vision, de manière verticale. Le petit roi était retourné s'asseoir et le petit roux s'était vu asséner un coup violent dans le dos. Le coup de coude parti de lui même, mais le donut ne sembla pas réagir plus que cela, sans doute que la crème pâtissière qui recouvra la veste de Jamie avait absorbé tout le choc de l'impact. Étrangement, cela lui rappelait sa première rencontre avec un zombi, et il sentait monté en lui ce même désir de combattre en corps à corps qu'alors. Il dût cependant respirer profondément pour éviter une nouvelle catatonie. Mais... Cela lui sembla déjà différent. Parce que... Pour cette fois... Il n'avait pas envie de refréner cette envie. Pour cette fois, cela lui semblait justifié. Utile. Nécessaire. C'était personnel cette fois. Escorté à l'extérieur, il fit mine de se laisser faire. Plus vite ces blagues sur pâtes les laisseraient, plus vite ils pourraient agir. Le petit roux explosa de colère dès que les hautes portes se refermèrent et Jamie le laissa faire, évaluant la hauteur des portes. Sur Alpha du Centaure, il avait apprit à escalader des falaises plus grandes, avec les têtes brûlées de son 'gang'. Mais ça avait quand même nécessité de l'équipement. Or là, ils n'avaient rien. Il allait devoir faire preuve d'imagination. Et d'un peu de jugeote. - Bha là mon grand, c'est toi et moi contre le reste du monde, enfin contre ses trucs sucrés. Tu me dis hein, si je peux en manger, ce sera avec plaisir.Jamie acquiesça, c'était même plutôt une probabilité prochaine. - On rentre, on trouve les cachots, on libère tout le monde, et on met une raclée au roi machin truc.Abaissant les yeux, il croisa ceux, un peu dilaté, du petit roux. Ils avaient quelque chose... D'animal. Jamie fut loin d'en être effrayé. En fait, il était plutôt content d'avoir avec lui quelqu'un qui pensait comme lui. - Je vois qu'on a la même idée.Il eut un sourire complice pour le petit gars, avant de se baisser à sa hauteur. - T'as toujours ma boucle d'oreille? Ok, pendant que je crochète la porte, j'ai besoin que tu nous trouves quelques trucs, tu veux bien? expliqua-t-il calmement en récupérant sa boucle d'oreille des mains du petit. C'est Harris ton nom hein? Alors Harris, il faut que tu me trouves un objet assez lourd pour être lancé pour faire du bruit, genre une grosse pierre ou n'importe quoi d'équivalent d'ici. Prends en plusieurs et reviens ici.Le petit gars hocha la tête, partant aussitôt. Jamie eue un sourire, il était sûr que ce petit était un vrai petit diable. Et à cet instant, c'était exactement ce dont il avait besoin. Parfait. Se retournant, Jamie fourragea rapidement dans sa queue de cheval, en tirant une épingle à peine plus épaisse qu'une arrête. Sur Alpha du Centaure, cela lui avait d'abord valu des quolibets en tout genre, mais rapidement, il était devenu l'un des petits malfrats les plus connus de son village. Tout les endroits réputés clos avait reçu sa visite. Parfois simplement par bravade. En attendant, cela lui avait fait un très bon entrainement. Fléchissant les genoux, il se mit à la hauteur de la serrure, commençant à triturer les rouages de la grande porte en bonbons. Il espérait simplement que ces rouages n'étaient pas en chocolat ou tout autres trucs fragiles. Quoi que... Il avait bien crocheter du cristal une fois. C'était une sensation étrange. Cette adrénaline dans ses veines. Cela lui a fait tellement peur ces derniers temps. Adrénaline des cauchemars. Adrénaline des souvenirs. Mais celle-ci... Cette adrénaline. Elle était différente. Elle ne provenait pas... D'une forme ou une autre de douleur. Non. Celle là provenait d'un monde que son corps n'avait pas oublié. Cette adrénaline était bonne. Elle était productive. Elle était vivante, pas moribonde. C'était une adrénaline qui poussait à créer, faire, vivre, agir. Et ça n'avait rien à voir avec le reste. Rien à voir avec les crises dans son appartement. Rien à voir avec la peur. Au contraire... La serrure céda au moment où Harris revenait, les bras chargés de Ferreros Rocher et de Rafaello, gros comme des noix de cocos pour certain. - Super! Ok, maintenant tu me promets de pas me lâcher d'accord? Je compte sur toi, y a plus que nous pour les trouver là.Le petit acquiesça si sérieusement que Jamie ne pût s'empêcher de tendre le poing pour qu'Harris choque le sien. - Alors c'est parti, fit-il en ouvrant délicatement la porte. Niveau 1, le Hall d'entrée. |
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Invité Invité
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________________________________________ 2014-12-21, 23:25 |
| J'étais tout content. C'était mieux que dans mes rêves. On m'avait promis la vengeance, et c'était tellement génial ! J'avais déjà tuer beaucoup de monde pour garder mon statue de roi, mais cette fois, c'était milles fois mieux. Je n'arrivais même pas à rester en place tant j'étais excité. Les deux indésirables avaient été jetés dehors, Vanellope était maîtrisée et mes deux futurs gardes du corps attendaient sagement dans leur cachot. Ils allaient finir par faire ce que je voulais. Tout le monde finissait par le faire. Il n'y avait que cette petite peste et son ami le gros balourd pour faire échouer mes plans, mais cette fois, tout était encore plus élaboré ! Ils étaient dans MON vidéo. Aucune chance de s'en sortir. Un peu de mise à jour, et j'en ferais tout ce que je voulais. Un dragon et un voyageur du froid, ça ne devrait pas trop poser de problème. Oh, que ça serait chouette de les avoir prêt de moi tout le temps ! Je serais peut être toujours petit, mais on ne me chercherait plus jamais ! Je serais... invincible ! Enfin !
- Oups !
J'étais tellement à fond dans mes rêves que je m'étais debout sur mon trône et j'étais tombé. Je me mis à rire, en me rappelant de mon plan ultime. J'allais tout exploser. King Candy, le meilleur souverain de Sugar Rush ! Et puis pourquoi pas de cette ville, d'où j'avais dû les faire se téléporter ? Ça pourrait être intéressant. Oh oui ! Tellement ! Un roi doit toujours avoir des idées de grandeur ! Pourquoi je n'y avais pas pensé plus tôt ? J'étais un génie ! Mais il fallait qu'avant je pose quelques questions.
Je me redressais et époussetais mon costume, avant de faire un grand sourire. Mes gardes s'en fichaient, mais j'avais rarement été aussi heureux de toute ma vie ! Je me mis à improviser une petite danse. J'étais tellement bon danseur aussi... c'était idiot que Vanellope ne m'aime pas plus. J'étais tellement bon en tout. Surtout en course automobile, mais que ce que je danse bien !
- Je vais voir notre invitée ! Surveillez bien la salle au cas où des indésirables se montrent !
Je quittais la salle de trône en sautillant joyeusement. Pour rejoindre les cachots, il fallait passer par de longs couloirs, dont les murs étaient recouverts de tableaux à mon effigie. J'étais vraiment fait pour être roi. Vanellope ne poserait pas aussi bien que moi. Elle n'était qu'une anomalie. Et puis elle ne sourit jamais. Vraiment, elle n'est pas faîte pour ça. Elle aurait plutôt dû me remercier, au lieu de tenter de me tuer. Qu'elle enfant malpolie !
Je chantonnais l'air de Sugar Rush quand j'arrivais dans le hall. Je me stoppais d'un coup, en ouvrant soudainement la bouche en grand. Ce n'était pas prévu ! Absolument pas ! Personne ne pouvait faire ça, c'était interdit ! C'était... c'était...
- Vous... vous n'avez pas le droit ! C'est mon château, je suis le roi ! Personne ne rentre chez moi !
Les indésirables étaient là. Comment avaient-ils pu s'introduire dans mon palais ? C'était interdit... Je restais figé pendant quelques secondes alors qu'ils se rapprochaient dangereusement de moi, mais je fis demi-tour à toute vitesse, en me mettant à courir le plus vite possible. Il me fallait ma voiture, des gardes !
- Des intrus ! Des intrus ! Des intrus dans le hall ! Viiiiiiitttteeee ! Venez me sauver !
Je sentis tout à coup quelque chose me frapper violemment dans le dos, et je tombais au sol, sur le ventre. Ils m'agressaient... moi ! Je ne me retournais même pas, et me remis sur pied en quatrième vitesse, avant de repartir en courant pour rejoindre la salle de trône.
- Sauvez moi !!!!!!!
Ils avaient intérêt à m'entendre et venir attraper ces horribles anomalies vite ! Mon plan était censé être parfait ! |
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Harris Bowman « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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________________________________________ 2014-12-22, 23:25 |
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Atteindre le Hall, ce ne fut pas trop compliqué, ils y étaient parvenu sans trop de difficulté. En revanche, Harris n'avait pas vu arriver le roi, qu'a cela ne tienne, il allait pouvoir lui montrer le fond de sa pensée.
-Usurpateur! L'orgueil n'est jamais bon conseiller, des royaumes tombent par orgueil...
Comme Mort'du, mais ce n'était pas le sujet, enfin il n'y avait rien à ajouter à dire vrai. parler ne servait à rien, agir était beaucoup plus intéressant. Harris serra ses petits poings, fronça les sourcils, prenant son regard de prédateur et s'approcha dangereusement du roi, se délectant de la peur qui se lisait sur le visage de l'usurpateur. Mais celui-ci, trop lâche pour affronter le danger lui-même, se tourna aussitôt et partit en courant.
-Couard! Fit Harris avant d'apercevoir au sol, sans trop savoir ce que cela y faisait, une grosse Jawbreaker, aussi appelée vulgairement couille de mammouth. Elle était toute blanche avec quelques taches de colorants rouge, bleu et vert parsemées un peu partout.
Harris n'hésita pas à prendre la grosse boule de sucre entre ses mains et la lancée sur monsieur grosse tête qui tomba avant d'appeler des secours. Il se mit à courir, vers les cachots. En tout cas, il l'espérait. Il entendit soudainement des cris grave, ils étaient plusieurs, mais impossible de définir un chiffre précis. L'un d'entre eux, un oréo, visiblement plus rapide que les autres, arriva face à eux. Harris freina sec et s'arrêta à deux centimètres de l'oréo. Celui-ci beugla un ordre sec et court mais Harris ne s'en préoccupa que peu. Il fallait dire que l'oréo avait dit stop après qu'Harris s'immobilisa.
-Tu me laisses pas trop le choix...je commence justement...à avoir...faim.
Au mieux, il serait juste un peu banni après ça, considéré comme un criminel, assassin d'oréo. Rechercher dans tous Storybrook pour qu'on lui fasse passer le supplice du marshmallow grillé...sauf qu'Harris n'était pas une sucrerie. Certes il sentirait un peu le grillé, quoique s'il s d'un jeu vidéo, il n'y ait aucune odeur...ou pas.
Harris se jeta sur l'oro, et le mangea, sans même s'excuser au préalable. Les dégâts collatéraux, il y en avait souvent, et même si n'était pas entièrement de la faute de l'oréo, il n'avait pas eu l'embarra du choix quant à ces agissements. Et puis il ne devait rendre de compte à personne. Il se remit à courir à toute allure, faisant confiance à son instinct et son odorat, qui, mine de rien, s'était bien accru avec ses transformations en ours au fil du temps. Les murs se ressemblaient, il y avait partout des portraits du faux roi gros nez, la décoration était vraiment d'un mauvais gout alarmant.
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Jamie Skyrunner « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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________________________________________ 2014-12-23, 22:39 |
| Un délinquant au pays des bonbons. Voir le petit bonhomme dévorer à lui tout seul tout un Oréo parlant avait quelque chose de fascinant, si bien que Jamie en oublia un instant ce qu'il était en train de faire. D'une façon complètement improbable, il avait l'impression de revivre un moment d'Alpha du Centaure, mais c'était comme si il était sous acide. Gâteaux parlants, couleurs flashy, et Roi crétin à tête aussi ronde qu'un cratère de lune. Secouant la tête, Jamie se concentra à nouveau sur le noeud qui faisait autour du torse maigrichon de cet absurde souverain. C'en était presque drôle, comme tout dans ce monde depuis qu'ils avaient été... Emportés ici, lui et les autres. Tout ici était aussi dangereux que la version zombis de Storybrooke, mais rien ne semblait sérieux. Ni les ours en gélatines, ni les sables mouvants nesquick, ni les Oréos, ni... ça. Comment ce truc pouvait être aussi absurde? C'était au moins permis? Jamie observa la grosse tête dodelinante du roi assommé par Harris. Ridicule. Il n'y avait pas d'autres mots. Même Doppler avait plus d'assurance que ce... Machin. Pensant au professeur, Jamie eut une véritable bouffée de nostalgie, alors qu'il doublait le noeud qui devait retenir le crétin à une colonne sucrée. Ces réflexes, issus des tréfonds des ruelles d'Alpha du Centaure. Les bagarres de gang, qui allaient en escalade jusqu'à finir mal. Les crochetages, les vols. Les petits larcins. Même si tout ça était illégal et en contradiction pleine et entière avec la personne qu'il était à Storybrooke, cela réchauffait le coeur de Jim. Au moins n'était-il pas mort pour de bon. Harris avait bien visé, la boule avait rebondi sur le front dégarni du machin, et devenait déjà bleuâtre. Jamie aimait d'avance ce petit gars. Il semblait animé d'un feu vivace, voir vaguement hyperactif. Cela plaisait à Jamie. Et d'une certaine façon, cela l'aidait. Devoir gardé un oeil sur lui le détournait de... ça. De cette pulsation derrière son sang. De cette ombre dans son esprit. De cette adrénaline qui coulait doucement et sûrement dans ses veines, tirant presque vers une forme de peur. De cette envie de... Jamie ferma les yeux. ça restait fragile. ça restait compliqué. Mais pour la première fois depuis le Cavalier, il avait un but précis en tête et une bonne façon d'user de cette adrénaline. ça restait effrayant, et il guettait chaque signe d'arrêt de son corps. Il comptait les respirations, expirant longuement. Mais ne pas se focaliser sur cet... Afflux. Cela l'aidait à ne pas en avoir peur. Cela l'aidait à ne pas la voir venir. Et peut-être que cela l'aiderait à réussir quelque chose de bien, cette fois. Serrant un peu sèchement le dernier noeud, il prit le plus gros ferreros qu'Harris lui avait donner et le fourra entre les dents du roi débile, avant de se relever. - Harris!Le petite boule d'énergie rousse filait comme une flèche à l'autre bout du couloir, ne laissant de l'Oréo que des morceaux éparses et Jamie se mit à courir à son tour. Il n'avait plus d'aussi longues jambes qu'à Storybrooke, mais il pesait aussi beaucoup moins lourd, ce qui lui permit de rattraper Harris après quelques tournants. A nouveau, il posa une main sur l'épaule du petit, le faisant ralentir. A le voir renifler en l'air, il comprit qu'il avait apparemment un avantage sur lui. - T'arrives à les localiser? demanda-t-il en touchant son nez, pas plus étonné que cela qu'un enfant ai un odorat ultra développé -après tout, il était bien dans un monde entièrement fait de sucre. Harris eut une sorte de moue concentrée, et Jamie le plaqua soudain contre l'un des murs proches. Un bruit de pas arrivait au coin du mur. Rapidement, il posa son doigt sur ses lèvres, avant de s'accroupir pour longer le mur, suivit de près par Harris. Les pas, militairement calculés, s'approchaient et Jamie osa un bref regard au coin de la colonne meringuée. Un escadron de pâtisseries venait vers eux. Jamie eut un juron, avant de revenir se plaquer contre le mur. D'un signe de tête, il fit comprendre à Harris qu'il était temps d'user des ferreros trouvés à l'extérieur. Levant trois doigts, il fit silencieusement le décompte, avant de déverser les boules rondes sur le sol. Les oréos tombèrent comme des dominos, se cassant même en deux pour certains, pour le plus grand plaisir de Jamie, qui se lança dans le tas pour finaliser le travail. Se battre contre des gâteaux au cacao étaient extrêmement bizarre. L'impact n'était pas du tout comme Jamie l'avait prévu, et il transperça littéralement le premier gâteau qu'il frappa. C'était beaucoup plus mou qu'un humain mais c'était aussi beaucoup plus épais. Ce qui rendait l'extraction du poing un peu compliqué. Il dût batailler un petit moment pour retirer son poing de la crème blanche qui reliait les deux parties chocolatés, usant au final de son pied, finissant par fendre en deux ledit gâteau. Il fût donc bien plus pragmatique avec le reste du bataillon: un coup sec de haut en bas ou un coup de pied serait amplement suffisant. Quand le douzième gâteau tomba finalement au sol, dévoré en partie par Harris, Jamie était couvert de poudre de chocolat de haut en bas. Une trace couvrait entièrement sa joue, malgré tout ses efforts pour l'effacer, et il eut une grimace, en secouant ses mains poisseuses. ça lui rappelait étrangement une certaine après-midi dans une certaine pâtisserie. Et du même coup, son but. - T'arrives encore à les sentir avec tout ce chocolat en l'air? demanda-t-il à Harris, dont le ventre commençait à gonflé légèrement. Le petit eut une moue explicite, avant de désigner à Jamie un objet derrière lui. Objet qui se révéla assez utile. Le plan du château. En douze mètres sur quatorze. Au milieu du couloir. Au dessus de trois escaliers, deux montants et un descendant. - D'accord...L'énorme rond "Vous êtes ici" eut le don non négligeable d'exaspéré Jamie. Il commençait à vraiment comprendre que Robyn soit devenu aussi acide et pragmatique. Et puis tout ce rose... Même les titres des lieux étaient inscrits en rose fluo! Jamie commençait à croire que ses yeux risquaient de fondre à trop se concentrer sur ces lettres acidulés quand il repéra enfin les cachots. Et la salle de torture. Les yeux de Jamie s'écarquillèrent, tandis que son coeur ratait un battement. Salle de torture? De torture? Des flashs envahirent son esprit alors que l'incohérence d'un tel lieu dans un tel univers lui sautait à la gorge. La violence, la haine, la douleur. La torture. Le visage d'Hermès vint flotter derrière ses pupilles et Jamie du prendre un moment pour reprendre une respiration correcte. Il sentit même le petit roux venir lui frôler la jambe, comme si il avait senti le problème jaillir de sa poitrine. Après un moment, il ouvrit les yeux, souriant à Harris. - ça te dit de sauver une princesse?Il le dit d'un ton bas, mais presque joyeux. Il faisait vraiment de son mieux, mais ce n'était pas simple. Même si il le devait. Aussi incroyable que ça puisse sembler, l'idée d'aller sauver Robyn était à cet instant la seule chose qui maintenant l'équilibre de son esprit. Robyn, venir équilibre la balance de son existence? Si on lui avait dit ça un jour... Jamie était persuadé que Robyn serait dans cette salle de torture. Après le discours que le roi dingo avait proférer, il était sûr et certain qu'il ne pourrait pas laisser "simplement" Robyn-Vané-Truc (il faudrait vraiment qu'il lui demande d'écrire son prénom une fois) en paix dans les cachots. Aussi prit-il l'escalier descendant mais en tâchant de partir le plus à droite possible. Après avoir parcouru une volée de marches, un long mur s'étala devant eux, une porte de couleur bleu menthe à chaque extrémité des marches. Jamie ouvrit la plus proche. Elle n'était pas verrouillé, si bien qu'Harris et lui se retrouvèrent dans un couloir sombre et marron, tout sauf accueillant. L'absence de bruit n'aidant absolument pas à rendre l'endroit amical. Prudemment, il s’avança dans le couloirs, laissant Harris le devancer en courant. Si chaque porte qu'ils voyaient étaient une cellule, il ne devait pas être trop compliqué de trouver la bonne. - Robyn? lança-t-il avec prudence, avant de jeter un coup d'oeil dans la première cellule. Sa voix se répercuta sur une espèce de banc en réglisse, vide. Il passa à la seconde porte, répétant le prénom, plus fort. Il allait passer à la troisième quand la voix d'Harris se mit à crier le prénom de Vanellope. Jamie sentit une bouffé de soulagement lui comprimer la poitrine, reportant à plus tard le soin d'analyser le moindre sentiment ressenti à Candy-Land. - Tu l'as trouvé?!Harris eut un hochement de tête vigoureux, accroché aux barreaux de la cellule. Jamie le rejoignit aussitôt, avant de comprendre que quelque chose n'allait pas. Robyn n'avait pas fait le moindre bruit. Pas d'exclamation à leurs entrées, pas de réponses à son prénom. Rien. Pas plus qu'elle ne se tourna vers eux quand Jamie fût enfin aux côtés d'Harris. - Robyn! ça va?!Pas de bruit, pas de mouvement. Jamie en eut un mal de coeur déchirant. Certes, cette apparence de gamine le faisait doucement rire. Elle était si peu probable, au regard de qui elle était à ses yeux, aux yeux de Storybrooke. Mais la posture qu'elle adoptait à cet instant, ce regard vers le sol, cet... Abattement. La main de Jamie se serra autour du barreau de la cellule. - T'inquiète pas Robyn, on va te sortir de là. Ce débile de roi est assommé quelque part dans un des couloirs en haut. Il ne te fera pas de mal.Tout en parlant, il s'était mit au niveau de la serrure, reprenant sa boucle d'oreille et son épingle entre ses doigts. Du coin de l'oeil, il fit comprendre à Harris qu'il devait lui parler. Raconter n'importe quoi. ça importait peu. Pour la première fois, Jamie avait vraiment, vraiment besoin d'entendre la voix de cette peste. Même si c'était pour l'insulter. Il était prêt à tout prendre. |
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Robyn W. Candy « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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PANIQUEZ PAS J'VIENS JUSTE CHERCHER UN TRUC DANS MA BOITE MP
(Et ouais du coup j'en profite pour faire un tour et mâter les profils, z'allez faire quoi pour m'en empêcher hein ?)
| Conte : Les mondes de Ralph. | Dans le monde des contes, je suis : : Vanellope Von Schweetz, ou la princesse d'un royaume de sucreries qui préfère conduire des voitures en gâteaux.
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________________________________________ 2014-12-27, 22:50 |
| Laisse moi mourir en paix... ah bah non enfaite ! Ça faisait mal. Tellement mal. Je n'avais connu que ça, toute ma vie. Les moqueries, les méchancetés... on avait voulu me tuer et j'étais devenue une cinglée. Je ne l'ai jamais nié, ça. Je le dis moi même, quelque chose ne va pas bien dans ma tête. Pas de problème, je l'utilise comme une arme. Je préfère nettement être la méchante de service que la victime. Tout sauf cette petite fille toujours seule. Et qui pleurs. Je continue peut être à être totalement seule, mais au moins, je ne pleurs plus.
Alors que ce que je foutais là ? Assise dans une cellule, les yeux rougis, le cœur gros ? Comme... avant. C'était ça alors ? J'allais mourir, tuée par un malade accro au rose bonbon ? Putain ! J'aurai dû le savoir depuis le début que j'allais mourir comme ça ! C'est tout ce que je méritais. Une fin à mon image. Seule et détestée. Rien à foutre.
Je sentis tout à coup un sanglot secouer mon corps et sans que je puisse faire quoi que ce soit, les larmes se remirent à couler, sans s'arrêter. Mon propre corps me trahissait ! Je voulais jouer les durs, mais j'avais peur. C'était pire que l'orphelinat, que les cafards. J'allais être assassinée, et personne n'allait me regretter. Non mais pourquoi je pensais à ça maintenant ? J'avais bousillé la vie de pleins de monde, et j'avais des regrets ? Même Ralph n'était pas là pour moi, depuis longtemps. Il était la seule personne que j'aimais réellement, et lui aussi m'avait abandonné. Je l'avais cherché... et je le regrettais. Grandement. Même tout ce que j'avais fait subir à Jamie. Si je le détestais autant, je crois que c'est parce qu'il a été le seul à être un tant soit peu gentil avec moi.
Merde... voilà que je m'excusais. Ça servait à quoi, de toute façon, il allait me laisser crever. Autant que j'y passe. Je manquerais à personne, et j'ai déjà trop subit. Je joue les emmerdeuses, mais connaître encore de telles horreurs, je ne pourrais pas le supporter. Y a un moment où tout explose. C'était le moment pour moi.
J'entendais les bruits de pas résonner dans les couloirs, et je me forçais à stopper mes larmes, les yeux rivés sur le sol. Je ne voulais pas que ça se voit trop. Ce... fatalisme. Ce connard d'usurpateur allait m'emmener pour me couper la tête, autant éviter de fondre en larmes. Je ne voulais pas lui donner ce plaisir.
J'attendais la voix aiguë de sa Sucrerie prononcer sa sentence, prête à l'entendre. Peut être qu'il ne ferait que m'effacer du jeu. Une mort rapide, pas trop sale. Je préférais ça que la décapitation. Mais surtout, j'avais franchement hâte que ce cauchemar se termine. Adieu monde cruel... profite bien de la vie sans moi. Et que quelqu'un reprenne ma pâtisserie. Quelqu'un de gentil avec elle. Je l'ai trop fait souffrir la pauvre, elle a besoin de plus de douceur.
Mais ce n'était pas la voix du mal en rose que j'entendais. Au début, je pensais que c'était une hallucination , dû à mon espèce de rédemption. Mais non. C'était celle de... Jamie. Et Harris. Que ce qu'ils foutaient ici ? Pourquoi ils étaient pas partis sauver leur peau ? Je restais sans bouger, sans même tourner les yeux vers eux. Juste à les écouter. Merde. Pourquoi ils ne me laissaient pas mourir tranquille ? Ils ne me doivent rien. Au contraire, surtout Jamie. Lui, il devrait avoir très envie de me zigouiller. Pourquoi il était aussi... gentil alors ? C'est vrai, c'est un cocker... mais je croyais qu'il ne l'était plus. Ce type est vraiment pas croyable. Foutu chevalier servant. Qui veut me sauver. Bah merde alors...
- Non mais t'es trop con ou tu le fais exprès ? Arrête de jouer les saint-bernard ! J'ai pas besoin de toi de toute façon. Laisse moi crever comme une grande fille dans cette cellule.
Je m'étais relevée d'un coup et tourné vers lui, alors qu'il avait enfin ouvert la porte de la cellule. Je lui avais adressé un regard méchant, les poings sur les hanches. J'avais les jambes qui tremblaient un peu et la tête qui tournait de m'être levée si vite, mais je ne dis rien. Juste le défier du regard. Avec ma gueule de gamine, ça devait pas être très impressionnant. Mais ça devrait quand même lui rappeler des certaines retrouvailles dans une pâtisserie.
Je poussais un soupire, retirais mes poings et m'approchais de Jamie, en levant les yeux vers lui. Il était beaucoup trop grand, même comme ça. C'était chiant, franchement. Et puis j'étais censée être la plus vieille. Ça le faisait pas du tout.
- Merci. Je crois que j'avais besoin de retrouver mes habitudes. Je ne peux pas mourir, il faut que je continue à te pourrir la vie.
Je lui adressais un petit sourire moqueur. Il n'avait sûrement pas idée d'à quel point j'avais été proche de la mort. C'était dingue combien ma vie était lié à ce cocker aux yeux de chien battu.
- Mais je te déteste quand même, te fais pas trop d'illusions. Et ta coupe de cheveux est vraiment atroce. Je te donnerais le nom d'un bon coiffeur. C'est cadeau, t'inquiète.
Je fis un plus grand sourire et passais à côté de lui en lui adressant un regard taquin. Fallait pas non plus qu'il se fasse trop d'illusions. Et surtout, qu'il ne sache pas à quel point, pour le coup, je lui était reconnaissante.
- Bravo à toi le rouquin ! Merci de ne pas m'avoir laissé crever là-dedans.
Je tapotais l'épaule de Harris, lui adressant aussi un sourire, mais plus joyeux et fier. J'aimais vraiment de plus en plus ce petit. Il me rappelait un peu l'ancienne Vanellope. En plus masculin. Et plus roux aussi.
- Bon. On a pas le temps de bavasser ou de jouer les sentimentaux. Tout le monde met ses problèmes de côté, et on va sauver les deux autres idiots. J'ai entendu les oréos les mettre en cellule. C'est notre nouvel objectif, alors on fonce !
Je leur fis un signe de la main, à deux doigts de leur sortir une réplique tout droit sortie de « 300 » mais que je retins. Pas la peine de montrer que j'aimais un film avec pleins de types au torse à l'air tout huileux. J'ai une réputation.
Je me mis à courir vers le couloir sombre, en surveillant les alentours. Je ne voulais pas voir un garde débarquer à tout le moment. C'est qu'ils seraient franchement pas content de me voir hors de mon cachot. D'ailleurs ça me faisait penser à un truc...
- Vous avez vraiment assommé sa Sucrerie ? Non mais sérieux ?
J'avais murmuré, en me retenant de rire. J'avais encore un peu mal à la gorge à force d'avoir pleuré, et ça serait surtout un bon moyen pour rameuter les troupes. Mais c'était drôle. J'aurai bien voulu voir ça.
Je passais la tête dans l'angle d'un couloir pour vérifier que la voie était libre avant de me glisser dans un autre tunnel aménagé, à la recherche de la prison officielle. Plus nous avancions, plus les décorations devenaient roses et pleins de bonbons. Par tout les haribos de la terre... je détestais vraiment cette couleur.
- On y est.
Les cellules. Pas dur de le voir, sur la grande porte rose il y avait écrit « prison ». Pourquoi moi j'avais pas eu le droit à ça hein ? J'entrouvris légèrement la porte pour chercher d'éventuels traces de d'Oréos tueurs, mais rien à signaler. C'était presque trop facile.
Je me précipitais vers les cellules et regardais entre les barreaux en me mettant sur la pointe des pieds pour voir, jusqu'à tomber sur le montagnard et le dragon. Ils avaient pas vraiment l'air d'apprécier la vie en captivité, les pauvres choupinoux.
- Psss ! On est venu vous sauver ! Attendez deux secondes !
Vu leurs têtes, ils avaient l'air surpris de le voir. Bah allez-y, cachez votre joie. Je reposais les pieds sur le sol et me tournais vers Jamie et Harris. Il fallait qu'on fasse vite, j'en avais franchement marre de cet endroit. Putain... j'en étais carrément arrivé à détester mon propre royaume.
- Faut qu'on force la serrure. Vu qu'apparemment tu es un délinquant en plus d'être un défenseur des demoiselles en détresse, je te laisse faire Skyrunner.
C'était quand même surprenant. Je croyais qu'il était un cocker, pas un hooligan. Comme quoi on en apprend tout les jours. Qu'il se dépêche, c'est tout ce qu'il faut en ce moment. Je le regardais en tapotant nerveusement du pied jouer avec le mécanisme. Il était doué avec sa boucle d'oreille quand même. Il avait une boucle d'oreille... j'avais envie de pouffer tant c'était ridicule. Je me demandais très sérieusement qu'il avait été dans son ancienne vie. Cosette peut être ? Un cliquettement se fit entendre. Il avait réussi ! Mais oas que. Une alarme s'était déclenché tout à coup. Un truc à vous arracher les tympans tellement c'est atroce. Je fis la grimace et posais mes mains sur mes oreilles. Merde ! Ce connard avait piégé la cellule ! Il préférait un lézard que moi ? J'étais déçue là...
- Faut qu'on déguerpisse, vite ! Que tout le monde sorte, ou on va se faire attaquer par une bande de gâteaux à la crème !
J'avais hurlé pour me faire entendre et ouvert en même temps la porte. Fallait vraiment qu'on parte là, je voulais pas devenir sourde. Et tout à coup, plus du tout mourir. J'ai la chance qui me sourit pour une fois, on pourrait pas me faire plaisir un peu ? |
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Invité Invité
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________________________________________ 2014-12-29, 00:51 |
| Enfermé, il était enfermé avec le montagnard et il n'y avait aucune issus. Le jeune homme n'aimait pas être enfermé et aimait sa liberté et être ainsi dans une cage le m'était mal à l'aise. Il avait l'impression de devenir claustrophobe. Tout parce qu'une gamine n'arrivait pas à contrôler ses foutus pouvoir. Daven serra les dents et se retint de foncer dans les murs pour faire un trou.
-Si je reste encore longtemps ici, je vais pêter un cable. Et pourquoi il s'intéresse tant à nous l'autre abruti. Si je pouvais cracher mon plasma j'aurais une chance mais là ... Ragh je deteste être sans défense comme ça. Comme tu fais pour être si serein? Tu as déjà était enfermé comme ça ou quoi?
Daven frissonna en se rappelant le regard qu'avait eut Sa Sucrerie sur lui. Il n'aimait pas du tout ce regard, tout comme celui qu'il avait eut quand il avait posé les yeux sur la Mini présidente. Peut-être qu'elle avait ses tords, mais on ne regardait jamais les femmes de cette façon. Même les minis présidentes. Soudain, avec son ouïs super fine, il entendit des pas arrivaient dans leur direction.
-Quelqu'un arrive et d'après les pas précipités, je dirais que c'est la cavalerie qui vient nous aider. Enfin du moins j'espère parce que je commence sérieusement à m’ankyloser dans cette cellule minuscule pour un dragon.
Daven se rapprocha de la grille et soupira de soulagement quand les trois personnes arrivèrent devant lui. Il les laissa ouvrir la porte et il se précipita sur la Mini-Présidente, la soulevant dans les airs pour savoir si elle était blessée ou pas. Il avait peut-être l'air stupide aux yeux de la petite, mais si l'autre taré avait touché un seul cheveux de sa petitesse, il allait sérieusement le regretter. Le dragon entendit soudainement un bruit de pas précipité et regarda en arrière, juste à tant pour voir une lance être lancé sur lui. Il poussa tout le monde sur le sol et poussa un rugissement de colère quand il sentit sa chair se déchirer sous la lame.
-Merde ! Foutu Curdent! Décampons, vite!
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Invité Invité
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________________________________________ 2014-12-29, 14:33 |
| Frozen is coming with me on Sugar Rush Kris n’en revenait pas. Sa Sucrerie était… rien du tout. Un gamin à la tête aussi grosse que son égo et la taille aussi grande que son intelligence. Et ce truc stupide avait fait de la vie de Tit’ Miss un enfer d’après ce que Kris avait compris, et avait recommencé. Puis, avec un ton et un regard extrêmement pervers, il avait violemment enfermé le dragon et lui-même dans la prison du château. Kris se précipita sur les barreaux espérant qu’ils étaient fait de réglisse -dans ce monde ça n’avait rien d’étonnant !- mais étaient bel et bien solides. Il soupira et alla s’assoir au fond de la cellule. Il allait croupir ici, sans même avoir retrouvé Anna, Elsa, Olaf ou même ses parents de pierre, et avait en prime perdu son frère à nouveau. Sa vie n’avait plus rien de rose depuis le moment où Anna s’était faite gelé le cœur. A partir de cet instant, il accumulait les problèmes. La perte de son frère, l’annonce officielle du mariage de celle qu’il aimait avec l’autre idiot, la malédiction, la solitude, puis… ça. Ca allait finir comme ça, vraiment ? Tandis que le montagnard était assis calmement se remémorant sa toute première fois dans une cellule dans la forêt enchantée, la dragon-chat qui était dans sa cellule trépignait d’impatience, tournant sans cesse dans cette espace réduit. ▬ Comme tu fais pour être si serein? Tu as déjà était enfermé comme ça ou quoi? ▬Ouaip ! Je me suis fait piégé par la méchante reine qui elle la cause de nos soucis. Mais je ne suis pas serein parce que j’ai déjà vécu cette situation, mais parce que je me dis que ma vie ne peux pas être pire que…Le dragon l’interrompit pour signaler l’arrivée de quelqu’un. Comme annoncé, Tit’Miss, Coupe d’Ado, et Rouquin Surexcité virent les libérés. Mais quand la cellule s’ouvrit, une alarme retentissante se fit entendre. Sans avoir le temps de les remercier, ils se précipitèrent vers la sortie, parcourant de nombreux couloirs et escaliers. Coupe d’Ado et Rouquin Surexcité menaient, l’air d’arriver à se repérer. Dans leur précipitation, ils ne firent pas attention et tombèrent nez à nez avec des oréos. Encore. Ils ne pouvaient pas faire demi-tour, étant encerclés. Ils durent traverser. Ils tapèrent dans tous les sens -hormis Rouquin Surexcité qui… les mangeait- et Kris reçut un coup de lance dans la côte. Une montée de douleur monta dans tout son corps. La plaie lui brulait, mais il n’avait d’autre choix que de continuer. Ils passèrent mais encore dix étaient derrière eux. D’autre allaient surement arriver. ▬ Vous ne connaissez pas un accès RAPIDE vers la sortie ? Ca serait vachement utile ! |
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Harris Bowman « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Cadavres : 96
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________________________________________ 2014-12-29, 21:28 |
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Sauver une princesse, oui, ça parlait à Harris. Et puis même si c'était en fait une présidente comme elle l'avait si bien fait savoir. Harris sourit à Jay.
-Ouai.
Le couloir était assez peu accueillant, pendant que Jay cherchait Robyn dans les premières cellules, Harris courait de cellules en cellules, sautant pour apercevoir la présidente. Il la trouva enfin dans sa cellule.
-VANELOPPE ! ...JAMIE !
Harris sourit. Ha oui, sa sucrerie...
-Oui.
Il n'en était pas peu fier en réalité. Robyn pris les devants pour trouver les autres captifs. Mais en ouvrant la cellule, ils venaient de déclencher l'alarme. Elle avait un son strident et désagréable. Vaneloppe n'avait pas eu besoin de lui redire de courir, il se précipita comme les autres, la cavalerie n'allait pas mettre longtemps à arriver. Harris fut soudainement poussé sous le sol, il s'était mis en boule et roula jusqu'au mur pour arrêter sa course, tête en bas, jambe sur le mur. Il vit le dragon se faire attaquer à l'envers. Il se tortilla et se remit debout en fonçant sur les oréos, dans sa tête, un télépathe aurait pu entendre "this is spartaaa", mais il ne fit aucun bruit. Il esquiva habilement une lance puis sauta sur l'Oreo pour le dévorer. Le grand blond, Kris, fit toucher peu de temps après qu'il ait terminé son oréocide volontaire. Merde.
franchement, ils auraient pu être vigilant, ils venaient à peine de sortir de prison qu'ils se fraisent blesser. Harris soupira, avec eux, ça n'allait pas être une évasion évidente. Il se tourna vers le dragon et Kris.
-ça va aller? Ne faut pas traîner ici.
Harris se souvenait à peu près du chemin qu'ils avaient emprunté pour entrer dans le palais et faisait de son mieux pour conduire les évadés hors du palais, il s'arrêta net en se retrouvant face à un sérieux dilemme. Devant lui, la couloir se séparait en deux, et il ne savait pas vraiment lequel prendre.
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Jamie Skyrunner « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Garrett Hedlund
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- Bon les gars ... Vous arrêtez maintenant avec vos histoires de mariage avec Ava ! Vous allez lui faire peur ...
- Okay okay Jayjay ! *se tourne vers Axel* Lançons l'opération les ninjas de l'amour !
- Maiiiis moi je veux être votre témoin !
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- Et là ... l'autre kassos ... qui veut me caser avec ma cliente ! Non mais c'est comme cette manie de prôner l'amour à tout va !
- Hahah toi aussi tu as eu affaire aux ninjas de l'amour ?
| Conte : La Planète au Trésor | Dans le monde des contes, je suis : : Jim Hawkins
| Cadavres : 735
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________________________________________ 2014-12-30, 19:33 |
| Délinquant Chanceux, Sucrerie Over, Princesse Dingo : SUGAR RUSH BABY Une alarme! Evidement il fallait qu'il y ai une foutue alarme sur la porte en réglisse des prisons de ce royaume de dingo! D'ailleurs il faudrait vraiment qu'il parle à Robyn de la simplicité de ces serrures... Même si maintenant, il devait bien avouer qu'il n'avait pas vraiment le temps. L'alarme ne s'arrêtait pas, et les oréos ne semblaient pas vouloir arrêter d'affluer. Plus Jamie lançait de regard en arrière, plus il avait l'impression d'en voir s'amasser derrière lui, et Harris n'était plus de taille pour tous les dévorés. Pour ne rien arranger, ils avaient réussi à blesser les deux prisonniers, et Jamie commençait à prendre plus au sérieux ces ennemis... chocolatés. Ok, ils n'avaient toujours aucune crédibilité à ses yeux mais ils avaient des armes cette fois-ci et il n'était pas vraiment ravi à l'idée d'imaginer l'une de ces lances lui chatouiller la peau. L'adrénaline était tellement forte dans son sang qu'il dépassa littéralement Harris, l'attrapant pour le mettre sur son dos. Le petit eue le bon réflexe, s'accrocher à lui comme un sac à dos ouistiti, et Jamie fit signe aux autres de le suivre à gauche. Dans les films, ils prenaient toujours à droite, et c'était rare que ça finisse bien. Allez savoir où ça les mènerait eux. L'alarme résonnait toujours, semblant rythmé son sang, ses pulsations, et l'afflux. Jamie n'y pensait plus. Il courait parce que c'était la seule chose à faire, et parce qu'il se concentrait tout entier à tous les faire sortir en un morceau à peu près intact de ce royaume de dingue. - On s'écarte! s'écria-t-il soudain à l'intention des autres, saisit d'une idée en passant devant l'un des gros vases ressemblant à des Mings, mais fait de pâtes à cookies. Faisant son possible pour ne pas désarçonner Harris, il prit le plus gros à sa droite, et le lança sur l'escadron. La réaction fut à peu près la même qu'auparavant, la première ligne s’effondra, bloquant le passage, ralentissant le cheminement des autres. Un sourire féroce étira ses lèvres, ses gènes de délinquant absolument ravis de faire leur grand retour. Et il devait l'avouer, Jamie était assez content de les voir refaire surface. C'était... Amusant. Attrapant l'épaule du blond costaud, il le força à se retourner, tandis qu'il criait au reste du groupe de continuer à courir. Certes, ça les ralentirait, mais ce serait loin de les stopper. Juste de quoi ne plus être à porté de lances... Sauf peut-être pour le dragon. Avec une cible aussi énorme, il aurait fallut être très maladroit il faut dire. Est-ce qu'ils avaient parcourus autant de chemin en cherchant les cachots? Jamie avait perdu la notion du temps, mais ces couloirs lui paraissait atrocement longs. Et si finalement, cela avait été à droite? Si il s'était trompé? Le doute commençait à doucement empoisonner son sang, et le souffle commençait à lui faire défaut quand une boule chocolatée vint roulé devant eux, au coude du couloir. Accompagné d'un braillement digne d'un môme de six ans. Sa Sucrerie s'était visiblement réveillée, et hurlait comme un enfant, chouinant qu'on vienne à son aide. Jamie ressenti un plaisir absolue à l'entendre pleurnicher. Mais il ne prit pas la peine de s'attarder dessus. Ou plutôt... - On s'écarte! fit-il alors qu'ils arrivaient à hauteur de l'otage. La grande porte, la sortie! ajouta-t-il en faisant descendre Harris de ses épaules, pour saisir un autre objet à balancer à la tête de l'armée chocolaté. Son choix fût vite fait. Avec un plaisir dingue, il saisit l'un des bustes en guimauves représentant le tyran, le fracassant sur l'infanterie d'Oréos. Le cri de Sa Sucrerie fut presque déchirant, et Jamie aurait sans doute aimé en profiter plus longtemps, mais cela n'avait pas été le but de la manoeuvre. Alors que la queue du Dragon disparaissait dans l'embrasure de la porte, maintenue ouverte par le montagnard, Jamie attrapant le coude Robyn. Elle s'était arrêté en voyant le roi dingo, et c'était le but que Jamie avait poursuivit. Qu'elle le voit. Déchu. Oui, c'était une horrible peste, et oui, elle restait insupportable. Mais si lui avait pu voir, qui sait, son père déchu... Malgré tout le reste, il en aurait été secrètement ravie, parce que secrètement, il en avait besoin. Il ne prétendait pas connaître Robyn. Mais il pensait que pour ce qui était des blessures profondes, il comprenait. Et que les humains réagissaient tous plus ou moins pareil. Peu importe qu'elle soit une personnage de jeux, ou lui un alien. Avec l'aide du montagnard, ils parvinrent à fermer les hautes portes, alors que le dragon et Harris -qui pendait aux branches plus qu'il n'aidait à le porter- ramenaient un arbre de sucre d'orge de l'un des étangs proche. Rapidement, ils bloquèrent les immenses portes roses mais l'alarme ne cessait de hurler, et comme tout bon château, celui de Robyn ne faisait pas exception, celui-ci ne comptait pas seulement une armée à pieds. Des pics, sortes de Mikados surmontés de fraises tagadas, fusèrent soudain dans leur direction et tous se mirent à crier d'un commun accord qu'il fallait courir. Ce qu'ils firent, aussitôt. Les traits arrivaient jusqu'à une distance presque alarmante, mais soudain, des dunes de sucre furent visible et le groupe se rassembla derrière l'une d'elle, continuant cependant à courir, par sécurité sans doute. Après une bonne douzaine de minutes de courses, ils finirent cependant par s'arrêter, à bout de souffle. Non seulement ils n'en pouvaient plus, mais il devenait certain qu'ils n'avaient aucune réelle idée d'où ils allaient. De pure fatigue, Jamie se laissa tomber à genoux. Crevé mais profondément satisfait. Il eut même une sorte de rire, alors que chacun reprenait son souffle. Oui, il était satisfait. Pleinement. Et même... Même, il devait avouer qu'il s'était bien amusé. Mais très vite, il redevint sérieux, croisant le regard de Robyn. Sortis d'affaires, certes. Mais sortie du jeu? Pas encore... |
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Robyn W. Candy « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Jennifer Lawrence.
PANIQUEZ PAS J'VIENS JUSTE CHERCHER UN TRUC DANS MA BOITE MP
(Et ouais du coup j'en profite pour faire un tour et mâter les profils, z'allez faire quoi pour m'en empêcher hein ?)
| Conte : Les mondes de Ralph. | Dans le monde des contes, je suis : : Vanellope Von Schweetz, ou la princesse d'un royaume de sucreries qui préfère conduire des voitures en gâteaux.
| Cadavres : 963
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________________________________________ 2015-01-04, 21:32 |
| Laisse moi mourir en paix... ah bah non enfaite ! On était sortis. Sortis ! Un peu amochés pour certains et traumatisés pour d'autres, mais vivants ! J'avais rarement été aussi heureuse de toute ma vie. Je ne voulais plus jamais remettre un seul pied dans ce palais maudit. Qui aurait dû être le mien en plus. J'avais envie de pleurer tant je me sentais soulagée. C'était la fin de ce cauchemar rose bonbon... quoi qu'on en était pas encore totalement sorti. Enfaîte, on était toujours dans la merde. Et merdeuh !
Je me mis à faire les cents pas, en serrant les poings et les dents toutes aussi serrées. Il fallait trouver un moyen de foutre le camp, avant que l'autre psychopathe se ramène avec son armée. Je voulais partir. C'était triste. C'était mon royaume, j'étais la princesse que tout le monde aimait. J'avais voulu qu'une chose toute ma vie, c'était de retourner à Sugar Rush pour redevenir Vanellope. Mais au final, personne n'en voulait, de la princesse Von Schweetz. J'avais vraiment été trop conne de penser que tout allait un jour redevenir à la normale pour moi, que j'allais reprendre les courses automobiles et revoir Ralph. Toutes mes espérances s'étaient écroulées. Putain, que ce que ça faisait mal ! Fallait que je reparte à zéro, que je me fasse une raison. Le passé était terminé pour moi.
- Repartir à zéro ! Mais oui c'est ça ! J'ai été trop conne, j'ai compris maintenant !
J'avais poussé une exclamation qui avait fait sursauter les autres. La solution pour retourner à Storybrooke, elle était là depuis le début. C'était simple. Trop simple. Non mais j'étais une imbécile, c'était pas possible ! Je m'approchais de Harris et lui prit la main. Ça faisait vraiment très très très longtemps que je n'avais pas pris la main de quelqu'un. J'aimais vraiment beaucoup ce gamin. C'était bien le seul d'ailleurs.
- Il faut que tout le monde se touche ! Prenez vous la main, la patte, la tentacule... n'importe quoi ! Il faut juste que vous vous touchiez !
J'avais pas trop envie qu'on se fasse des papouilles, mais le contact était obligatoire si je voulais tous les téléporter. Ou au moins essayer. Je ne me contrôlais pas, mais je devais essayer. Vu le bruit derrière nous, les ennemis devaient pas être très loin, et on n'aurait pas le temps d'arriver là où je voulais aller sans tomber dessus. Je n'avais pas le temps non plus pour aller faire construire une voiture à la fabrique. Donc on va pas chipoter, et on fait avec les moyens du bord.
- Fermez les yeux, ne vous lâchez pas et évitez de me parler ou de vomir, merci bien.
Une fois que tout le monde fut bien accroché les uns aux autres, je fermais les yeux et je me concentrais. J'avais bien réussi quand tout le monde avait failli crever dans le chocolat mouvant. J'étais stressée, ça devait pas aider. Il fallait juste... se concentrer. Je visualisais mentalement la ligne au sol, le grand panneau et les estrades sur les côtés... j'étais tant de fois passée par là. C'était ma victoire. Combien de fois j'avais passé cette ligne, victorieuse ? Plus que tout le monde en tout cas. Et maintenant, il fallait que je gagne de nouveau.
Une sensation de vide m'envahit tout à coup, suivi d'un flash lumineux que je perçu à travers mes paupières. Que j’entrouvris prudemment une fois que tout eu l'air de se calmer. Bah merde alors ! J'avais réussi ! Et en plus tout le monde était arrivé en un seul morceau, ce qui était plutôt une bonne chose aussi.
- C'est la ligne d'arrivée du jeu. Sugar Rush est un jeu de course automobile, et pour gagner, il faut passer la ligne d'arrivée.
Ok, ça s'était logique. Mais j'avais peur que le montagnard ne comprenne pas trop de quoi je voulais parler. Il avait pas l'air d'être un foudre de guerre. Autant lui expliquer avec des mots simples.
- Je crois que pour remettre le jeu à zéro, il faut qu'on passe la ligne. Si ça marche, il y a des chances qu'on puisse retourner à Storybrooke. Je crois. Je suis pas sûre à 100%, mais au moins, j'ai un plan. Et vu que je suis la seule princesse du coin, vous allez tous obéir, fissa !
J'avais même pas la moitié d'un plan enfaîte. Mais je n'avais que ça en tête. Ça avait bien marché une fois, ça pouvait de nouveau marcher. J'espère. Je m'approchais de la large ligne rose et blanche, et pris une grande inspiration. Est-ce que je voulais vraiment partir ? C'était dur quand même. Je n'avais pas ma place à Storybrooke. J'étais un mouton noir là-bas. Mais ici... j'étais aussi une anomalie. N'importe où j'irai, je serais toujours seule. Peut être que je devrais un jour penser à changer carrément de monde.
- Stop ! Pas un geste de plus !
Je m'étais retournée pour me retrouver face à sa Sucrerie, ses flics comestibles et son armée. Merde ! Il était aller beaucoup plus vite que prévu ! Je sentis tout l'intérieur de mon corps se tordre à sa vue. J'en étais paralysée. Il allait m'emmener en prison. J'allais y retourner, puis me faire désintégrer. Peut être qu'au final, c'était ça mon destin. Mourir dans mon jeu vidéo que j'aimais tant. Je me forçais à détourner la tête et je vis les autres prêt de moi. Il allait sûrement les tuer aussi. Et même si j'étais principalement une garce, je ne pouvais pas les laisser mourir.
Je sentis un sourire moqueur étirer mes lèvres, et je levais une main pour faire un doigt d'honneur à ce dictateur. Robyn Candy n'a jamais été du genre à apprécier les menaces.
- Je t'emmerde. On se tire, passez vite la ligne !
Je leur avais hurlé la dernière phrase et je m'étais élancée jusqu'à la ligne. Ils avaient intérêt à suivre... j'entendis sa Sucrerie hurler quelque chose, mais ses cris furent brouillés dès que je passais la marque au sol. Un grand flash lumineux m'aveugla, e tout à coup, ce fut le noir.
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