« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
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PANIQUEZ PAS J'VIENS JUSTE CHERCHER UN TRUC DANS MA BOITE MP
(Et ouais du coup j'en profite pour faire un tour et mâter les profils, z'allez faire quoi pour m'en empêcher hein ?)
| Conte : Les mondes de Ralph. | Dans le monde des contes, je suis : : Vanellope Von Schweetz, ou la princesse d'un royaume de sucreries qui préfère conduire des voitures en gâteaux.
Télé. Canapé. Zapping. Harris s'ennuyait. Il avait fait le tour de la totalité des chaines de la télévision disponible chez Hope. Les livres ne l'intéressaient pas, et la rousse lui avait demandé de rester à la maison, pour ne pas qu'il créer une nouvelle apocalypse. Une, c'était déjà beaucoup. Quand elle lui avait annoncé sa mort puis sa résurrection, ainsi que celle de Judah. L'ex-roux était resté un moment figer, avant de partir long dans un fou rire. Il en était devenu rouge écrevice, surtout lorsque l'ancien Dieu était arrivé. Alors qu'Harris s'était enfin calmé, reprenant peu à peu sa respiration, imaginer le tout-puissant Judah se retrouvant aussi démuni qu'un simple mortel l'acheva presque.
Gargouillement. Faim. Frigo. Vide. Ce fut comme une catastrophe naturelle. La faim pouvait rendre le petit ourson démoniaque. Il avait regardé Mérida puis Judah avant d'annoncer la couleur.
-Faim.
Judah avait fait semblant de ne rien entendre, laissant Mérida s'occuper de son frère. L'estomac abyssal de l'ourson émit un grondement puissant. Surprenant pour sa petite taille. Alors que l'ex-Dieu alla s'asseoir dans le canapé. Harris s'était agrippé à Judah. Entourant ses membres autour des ses jambes, assis sur le sol. Comme s'il n'avait que quatre ou cinq ans. Sauf qu'il en avait une douzaine.
-Lâche! Ordonna Judah d'une voix sèche en essayant d'agiter sa jambe pour que l'enfant finisse par la libérer. Mais Harris était tenace. -Hope! Dis-lui quelque chose, n'importe quoi, fais lui lâcher ma jambe.
La rousse regardait la scène avec un sourire, laissant Judah se débrouiller seule.
-Je vais faire les courses, tu le surveilles? Harris, tu restes à la maison. -Quoi?
Elle ne lui avait pas vraiment laissé le choix, déjà arrivée à la porte d'entrée. Elle est disparue. Harris esquissa un sourire, lâcha la jambe et regarda Judah intensément. S'ensuivit un long combat de regard mais son estomac lui rappela que l'heure tournait, et qu'il n'avait toujours rien manger. Judah lui colla la télécommande dans les mains et sortit à son tour, chercher quelque chose qu'il n'aurait pas à cuisiner pour rassasier le gouffre du gamin.
Cupcake surprise. C'est ainsi qu'Harris fit laisser seul dans l'appartement. Enfin, pas totalement, seul avec son estomac toujours aussi vide. Le frigo était vide, les placards aussi, et bien qu'il était un gros mangeur, il ne savait pas cuisiner. Il huma l'air, s'entend une odeur qu'il n'avait pas décelée plus tôt. Une odeur sucrée, une odeur qu'il adorait.
Cupcake. Il était là, trônant sur la table, lui tendant presque les bras. Avec de l'imagination, on pouvait entendre le gâteau appelé l'enfant.
-Harris, mange-moi, croque-moi.
Il ne réfléchissa pas un quart de seconde, il se jeta sur le cupcake, n'attendant pas pour croquer dedans à pleine dent. Il avait faim.
Bug. Numérisation. En face de lui, la micro-onde avait quelque chose d'inhabituel. Comme un bug informatique, et ce n'était pas le seul. Le frigo, le grille-pain et tous les objets électrique en eux-mêmes buggaient. Harris avala sa bouchée, les yeux écarquiller par la surprise. Non pas celle de voir les objets faire des trucs étranges, mais celle provoquée par un courant électrique qui venait de le traverser. Il en avait lâcher le reste du cupcake avant de le reprendre et de le gober plus vite que son ombre. Une lumière bleue l'entoura ensuite, il agita les bras pour s'en débarrasser. Mais comme s'il avait pris un gros coup sur la tête, il chancela et tomba à la renverse...inconscient.
Sucre. Roux. Manger. Il se réveilla, passant la main dans ses cheveux, machinalent, puis sur son visage, encore embourber. Avant d'ouvrir de grands yeux. Ses cheveux, ils étaient plus épais. Se pourrait-il que... -Roux! Il était redevenu lui, avec son vrai visage, ses petites mains, sa belle chevelure rousse et bouclée. Sa mâchoire faillit également se décrocher en constatant de quoi il était entouré. Il était probablement mort, une nouvelle vie s'offrait à lui, un nouveau monde, même s'il aurait préféré rester en vie auprès du Mérida. Des sucres d'orge, partout, par centaines. Harris s'élança sans réfléchir et croqua dans l'un d'eux avant qu'une voix ne lui ordonne de lâcher et de ne plus croquer dans quoi que ce soit. Il constata aussi qu'il n'était pas seul.
Sugar Rush ou comment détester les sucreries à vie
Daven avait pris l'habitude de sortir un peu plus souvent, ne serait-ce que pour sortir son chien. Fantôme était juste très exigent, il voulait que son maître l'emmène de plus en plus loin en forêt ou hors de la forêt. C'est comme ça qu'il a commencé à rencontré d'autres personnes à se faire des amis et à moins culpabiliser sur la mort de la femme qu'il avait soutenu et aimé pendant très longtemps. Donc pour lui, la meilleure façon de s'ouvrir, c'était sortir et rencontrer des gens et ça, Fantôme l'avait bien compris. Aujourd'hui, c'était une énième sortie avant de retourner travaille, parce que oui, depuis quelque temps, il prenait des pauses entre midi et deux pour pouvoir aller se promener avec son chien. De toute façon il n'avait pas tellement le choix, son chien le traînait dehors la plus apr du temps. Là, il était dans les bois, en train de regarder une famille d’écureuil sortir de l'arbre pour la première fois. Il ne put s'empêcher d'avoir un sourire. C'était tellement beau la vie! Puis il atterrit près d'un grand arbre et s'empressa de s'asseoir à la base du tronc pour respirer l'air frais qui l'assaillait de toute part. C'était comme s'il était au milieu d'au ventilateur géant. Le jeune homme s'adossa correctement, ferma un instant les yeux avant de les ré-ouvrir et de regarde à sa droite quand il entendit un bruit. "D'accord ça c'est étrange, mais d'où vient ce Cupcake?" Le jeune homme le regarda fixement comme s'il s'attendait à ce qu'il disparaisse. Mais après plusieurs minutes, rien ... il avança la main et le prit avant de sourire. "Bon de toute façon, je ne risque rien, c'est pas comme si je n'étais pas un dragon dans le corps d'un homme." Le jeune homme met la pâtisserie dans sa bouche et en mange plus de la moitié du cupcake. Soudainement tout autour de lui commença à crépiter, il sentait de l'électricité dans l'air. Son téléphone commença à émettre des bugs. Daven retira l'objet de sa poche et le regarda la bouche légèrement ouverte. Il voit son chien arriver à toute allure avant de voir une lumière bleu l'envelopper et de perdre connaissance.
Daven était allongé sur le sol encore dans le gaz, il ouvrit difficilement un oeil puis l'autre ... pour finir par les refermer et se donner une bonne claque. "Mon vieux, je ne sais pas ce qu'il t'est arrivé, mais c'est grave que tu vois des sucres d'orge géant. Non, mais c'est pas comme si j'étais fan des bonbon ... c'est plutôt l'inverse d'ailleurs ..." Il soupire et tente de mettre sa main sur son front pour voir s'il n'avait pas de la fièvre ou quelque chose du genre. Mais il n'arrivait pas à atteindre son front, il fronça les sourcils et baissa les yeux sur son corps. "Qu'est-ce que ce put*** de cupcacke a bien pu me fa..." Daven se lève rapidement et poussant un rugissement digne du dragon qu'il fut. -Non mais c'est pas possible, je suis redevenue un dragon ... aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh- Il se mit à bondir de tous les côtés, tant pis pour l'odeur trop sucré qui lui assaillait le nez. Il s'approcha d'une mare pareil à du sirop d'érable et il observa son reflet. Il tenta d'abord de voler, mais comme il s'y attendait, il ne pouvait pas. Ensuite, il tentait de cracher ses magnifiques boules de plasma violette, mais rien à faire, à la place il se mettait à parler comme un homme. "Bon au moins, j'ai toujours mes sens et ma force de dragon." Il s'assit près du lac et regarda les arbres avec intérêt.
Le matin… Le matin… C'est franchement le moment de la journée le plus dur.. Bah oui c'est dur parce que c'est trop dur de se lever. 9h00 était affiché sur le cadran de mon réveil, d'un glissement de jambes, je sors de mon lit. Je marchais comme un zombie tout délabré, la nuit n'était pas super facile, comme d'habitude. En descendant, j'avais manqué de m'écraser au sol à cause d'Oliver, mon chien. Il était couché dans les marches de l'escalier, pourquoi ? Ggrrrggeglhfe, mon ventre gargouillait, j'avais faim. Je sors les céréales du placard pour m'en servir un bol. Je pris aussi le lait. Allumant la télé, je sauta dans le canapé pour ainsi bien m'installer, la routine quoi. Le chauffage à fond, entouré de couettes et de coussins, un film à la télé, je réussis à encore m'endormir… Je ne dormais pas autant quand j'étais encore un pauvre renne sans défense enfin non, j'étais trop Badass pour aider les autres, c'est quand même moi qui tirait un traîneau super lourd enfin bref. Le bol de céréale en plein dans la figure, je me réveillais, les yeux plissés je regarde l'heure, 10h00, je sursaute, j'avais complètement oublié d'aller travailler ! J'enfile mon pantalon en courant dans la maison, la brosse à dent en bouche, la chemise même pas boutonnée, ouf ! Je suis habillé ! Je prends les clefs de ma petite voiture, je descend dans les escaliers en courant manquant à nouveau de tomber. J'ouvre la portière de la voiture, m'empresse d'activer le contact. A vive allure je me dirigeais vers le zoo. Heureusement, l'ouverture du zoo n'était pas encore faites, il me restait 5 minutes pour me préparer. L'horloge sonne, 10h30. Le zoo était ouvert. Des gens entraient, d'autres sortaient. Le temps passait vite. Je somnolais devant mon repas de midi. Enfin ! La fermeture ! Je pris place dans ma voiture. Oh ? Un cupcake sur mon tableau de bord ? Mais qui aurait pu le mettre là. Je le prends, le snife. MMMmmmmh ! Carotte ! Il avait un glaçage somptueux à la carotte. S'en m'y méfier, sans rien de plus, je croque dedans tout en conduisant, puis d'un coup la voiture commençait à déconner, elle partait en vrille, je ne savais plus la conduire. La radio changeait toute les deux secondes de poste radio.
"Putain c'est quoi ce bordel ?!"
Puis un truc bleu vint m'entourer, pour ainsi tomber dans les pommes. Je me reveille, je me sentais différent.. Je ne sais pas pourquoi, j'avais la pêche ! Je me lève, pendant quelques instants je ne remarque rien puis d'un coup je sursaute. J'avais retrouvé mon corps de renne ! Je sautais dans tous les sens, puis je regarde autour de moi. Mais où suis-je ? Le monde dans lequel j'étais tombé était, tout rose, rempli de bonbons, c'est génial ! Je coure jusqu'à un grand sucre d'orge, je le lèche. MMmmmh ! C'est trop bon ! J'adore le pays où je suis ! (du moins pour le moment). Puis une chose me tape dans l'oeil un grand truc écrit en sucre.
"Sugar Rush.. C'est quoi ce truc ?! Nan mais je suis un renne qui parle ! J'adore cette journée ! ( :not: )"
Mais pourquoi suis-je tombé ici ? Qui m'a emmené ici ? Franchement, je comprends que dalle…
Hackery avait à la base dans l’idée de passer une journée normale. Enfin normale… aussi normale que l’on puisse l’espérer à Wonderland. Il ne vivait plus là-bas, que ce soit lui, Jefferson, Paige, Chess’ ou tous les autres. Ils étaient à Storybrooke mais rien à faire, les habitudes de Wonderland restaient. Aussi, sa journée normale aurait été à coup de thé hallucinogène, tasses lancées ici et là… mais tout cela n’était pas voué à arriver. En soit, Hack n’était en rien contre la folie, au contraire, il adorait cela et pouvait même se targuer d’en être le roi. Anyway… vous devez vous demander où tout ce non-sens allait mener ? Vous êtes dans l’esprit de Hackery, le lièvre de mars, rien de cela n’a de sens !
Par exemple, pourquoi est-ce qu’un délicieux gâteau – un tout petit mignon petit cupcake rose dans un joli papier vert – fichait dans son salon de thé ? Alors qu’il venait juste d’entrer, d’arriver pour sa journée de travail, le Lièvre remettait sur sa porte la pancarte fermée et reniflait le gâteau curieusement. Un coup de Chess’ ? Elle avait quelque chose à faire pardonner et lui envoyait un gâteau ? Un coup de Mary-Poil-en-L’Air Blanchette ? Elle avait mis un somnifère pour l’envoyer chez les fous ? Non… pas d’odeur de médicament. Ooooh un cadeau de sa petite Paige, sa nièce favorite, peut-être parce qu’elle était aussi la seule ? Qu’elle était adorable cette petite ! Pour la peine, il lui laissera un accès privilégié à ses thés à effets très désirables ! Ou alors… il l’aidera à em**** son père quand il sera en train de flirter avec miss Swan.
— Adorable gosse !
Guère méfiant du coup, Hackery s’installait dans l’un de ses fauteuils et croquait à pleines dents dans le gâteau. Délicieux ! Il n’en avait plus goûtés de si bons depuis Wonderland ! D’ailleurs, il l’engloutit tout rond et lâchait – oh le bougre – un rot assez sonore en se tapotant le ventre quand les choses devinrent étrange.
Il était habitué à l’étrange pourtant… mais c’était la première fois que les lumières se mettaient ainsi à clignoter autour de lui, l’électricité vibrait dans l’air et certains de ces appareils devenaient fous. — Haaaaaaaaaaa ! Ch… Chess… ? C’est toi ? S…Si c’est toi… c’est pas drôle !
Le pauvre lièvre avait bondit derrière son comptoir, tremblant de tous ses membres alors qu’un étrange courant bleu s’échappant de sa caisse enregistreuse vint l’envelopper, le faisait hurler de plus belle, avant qu’il ne tourne de l’œil, par peur ou normalement ? Nul ne saurait le dire, sans doute un peu des deux.
Quand il ouvrait les yeux à nouveau, le décor n’était plus le même. Très coloré déjà. Beaucoup de rose, des bonbons géants…
— Bonbooooons !
… et il était en train d’admirer le décor quand l’une de ses longues oreilles vint lui cacher la vue. Wait… oreille ! De sa main, il remontait le long de ses oreilles pour les découvrir d’une taille anormale pour un humain… des poils… il avait des poils partout, ses mains étaient différentes… son visage… QUOIIIII des dents, longues ! Parcourant son apparence du regard pour le reste, il découvrait d’une part qu’il avait rétrécit – ou repris sa taille de lièvre – mais surtout… il était de nouveau un LIEVRE !
— NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON RENDEZ-MOI MON CORPS SEXYYYYYYYYYY !!! JE VEUX PLUS ÊTRE TITOU LE LAPINOUUUUUUUUUUU ! CHESS RAMENE TES FESSES !
Le pauvre lièvre pleurait de dépit devant ce sort cruel, certain de voir son amie Chess derrière ça, s’arrachant les poils sous la panique. C’était quoi ce truc ?!
Depuis quelques jours j'ai une envie de manger des confiseries, avant dans mon état de lionne, on ne connaissait pas du tout, mais depuis que nous sommes arrivé ici je raffole de ces petites choses. Je me leva de bonne heure pour profiter de cette belle journée ensoleillé qui s'offrait à moi. Je ne savais pas ce que la journée allait me réservé. Décidant d'aller me promener un peu pour profiter d'acheter des pains au chocolats. En revenant de cette petite promenade, un paquet coloré était posée au bas de ma porte, qu'est ce que c 'était, peut être un petit cadeau de mon Damian. Je pris le paquet et entra chez moi pour me diriger vers la cuisine, quand j'ouvris le paquet, je tomba nez à nez (si j'ai bien compris l'expression des humains) avec un petit gâteau très coloré et je crois qu'on appelle ça un Cupcake, Mon dieu moi qui voulait gouté ces petites œuvres de la pâtisserie. M'installant sur ma chaise, je croqua dans le gateau, mon dieu, je vais remercier Damian de ce présent comme il faut, il est juste merveilleusement bon. Des bruits bizzards se fient entendre, je regarde vers ma cuisinière enfin les machines de la cuisine, qui se mirent à avoir des étincelles de partout, qu'est ce qui se passe ?? Une lumière bleu grandissant s'approcha de moi j'ai pas eu le temps de partir autre part que je fu comme aspirer. Ma tête.. qu'est ce qui c'était passée ? Damian si c'est une plaisanterie je vais te faire manger ta bêtise.. mais qu'est ce que je dis c'est pas damian qui m'enverrai un gateau bizzard. Je me reveille, je me sens bizzard enfin comme si j'était dans un autre corps. J'ouvre péniblement mes yeux et ce que je vis me suspris, on était dans un monde inconnu remplis de bonbons. J'ai voulu me relever sur mes jambes mais je me retrouve sur quatre pate, oh c'est pas vrai, je suis redevenu une lionne, mais c'est trop bien. Regardant autour de moi, je vis quatre silhouettes au loin, je me dirige vers eux et susprise de voir un petit enfant roux, une espèce de lézard enfin de grand lézard peut être un dragon de ce que j'ai pu lire dans les bouquins, un rennes qui je devrais dire que j'en ai jamais goutée quand j'était une lionne et un lapin un peu fêlé dans sa tête.
Je leur demanda : Euh vous savez où nous sommes rendu ???
Je sens que cette journée me réserve que des surprises
Jamie Skyrunner
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| Avatar : Garrett Hedlund
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- Bon les gars ... Vous arrêtez maintenant avec vos histoires de mariage avec Ava ! Vous allez lui faire peur ...
- Okay okay Jayjay ! *se tourne vers Axel* Lançons l'opération les ninjas de l'amour !
- Maiiiis moi je veux être votre témoin !
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- Et là ... l'autre kassos ... qui veut me caser avec ma cliente ! Non mais c'est comme cette manie de prôner l'amour à tout va !
- Hahah toi aussi tu as eu affaire aux ninjas de l'amour ?
| Conte : La Planète au Trésor | Dans le monde des contes, je suis : : Jim Hawkins
So shut up and drive, drive, drive. shut up and drive, drive, drive!
Plonger, laver, rincer. Poser. Recommencer. Sentir la pulpe de ses doigts ridés par la plonge le brûler légèrement. Recommencer. Encore. Jamie ne savait pas très bien ce qui l'avait prit lorsqu'il avait entreprit de refaire intégralement la vaisselle du Granny. Après tout, ce n'était pas exactement comme si il s'agissait d'un restaurant, ni d'un service digne du dernier épisode de Dowton Abbey. Peut-être une cinquantaine d'assiettes, un millier de tasse, des milliards de cuillères. Pas grand chose. ça ne faisait qu'une heure et demi qu'il frottait... Fermant les yeux, Jamie prit appui sur le rebord en métal de l'évier. La fatigue qui creusait son visage ne partait plus. Il avait essayé pourtant. Depuis qu'il était parvenu à ressortir de son appartement, et à recommencer à vivre (du moins en apparence), il avait tout fait pour se dépenser. Se crever à la tâche. Enchaîner les services. Prendre les tours de plonge de tous ses collègues. Récurer toute la cuisine. Réorganiser entièrement la réserve. Décharger le réapprovisionnement. Tout, dans l'espoir d'enfin parvenir à sombrer dans un sommeil sans rêves. Wilson connaissait la suite. Il ne se passait pas une nuit sans qu'il se retrouve à errer dans son appartement, guettant sans le vouloir le rayon de lumière sous la porte de la chambre d'ami. Dormir deux heures était devenu un miracle. Pour le reste, Jamie remerciait la caféine. Un léger vertige vint frapper ses tempes, et il resta un instant prostré de la sorte, appuyé à l'évier, ses jointures blanchissant à mesure que sa respiration ralentissait. Ce n'était rien. ça passerait. ça passait toujours. Il suffisait d'attendre. Il paraissait que le temps, ça guérissait tout. ça le faisait bien rire. Ils avaient tout le temps devant eux, Wilson et lui, désormais. ça ne guérissait rien du tout. Avec un soupir, il ouvrit les yeux. Petit Gars. Il l'avait prévenu qu'il rentrerait tard. Il lui avait préparer une quantité astronomique de chocolat chaud à réchauffer au micro-onde et une tonne de dvd, beaucoup de documentaires. En fait, tous les documentaires qui lui était tombé sous la main cette dernière semaine. La curiosité de Wilson s'éveillait tout doucement. C'était bon signe. Qu'il retrouve l'envie de découvrir des choses était très bon signe. C'était mince, certes, mais c'était lus que Jamie ne l'espérait. Il avait dévalisé la médiathèque pour donner plus de choix au petit robot. Là dedans aussi, il mettait le plus d'énergie possible. Deux heures... Désormais, il n'espérait plus que ces deux heures là. Un grognement bulbeux se fit soudain entendre dans la cuisine et Jamie fût surpris de constater à quel point son estomac était bruyant. Ce n'était pas comme si il n'avait pas prit l'habitude, après sept ans de loyaux service au Granny, de sauter un repas. Fronçant les sourcils, Jamie prit un moment avant de saisir. Ah. Un repas, oui. Trois repas.... Jamie secoua la tête. Le bac de vaisselle pas-sale-seulement-pas-sortie-des-placards-depuis-un-moment était presque vide. Il pouvait bien s'accorder une pause. Même minime. Après tout, son service était fini depuis deux heures déjà. Il se rappelait vaguement avoir entendu Sam et Ruby lui dire qu'elles s'en allaient, mais il ne se souvenait plus de si il avait répondu. Il espérait que oui. Elles s'inquiétaient déjà assez pour lui. Ce n'était pas ce qu'il voulait. Sans enlever son tablier, il relâcha enfin l'évier, la morsure de la crampe s'étirant doucement dans sa paume. Il fallait dire qu'il avait bien forcer pendant la vaisselle. Pas besoin de faire des pompes cette semaine! Faisant jouer ses doigts, il étira rapidement sa nuque, faisant craquer quelques os au passage. Tous ses muscles étaient raide, hurlant le repos et le sommeil. Jamie aurait tellement voulu le leur offrir mais visiblement, son esprit était en conflit direct avec son corps. Et contre l'esprit... Sortant de la cuisine qui embaumait le liquide vaisselle à la pomme, il fût prit d'un léger frisson. Le Granny vide était glacial. A croire que l'une des fenêtres avait été laissé ouverte. Pourtant, après avoir prit la peine de vérifier chacune d'entre elle, Jamie constata que ce n'était pas le cas. Etrange. Ou peut-être était-ce lui qui était froid? Se frictionnant doucement les bras, il se dirigea vers le comptoir, enclenchant la machine à café. Le cappuccino glissa dans la tasse en inox, embaumant délicatement l'air. Après l'addiction à la clope, l'addiction à la caféine. De mieux en mieux. Jamie ne prit même pas la peine de lever les yeux au ciel. Autant vivre avec. Pas le choix. Son regard s'assombrit un instant, avant que le bruit tonitruant cette fois vienne presque recouvrir le bruit de la machine à café. -Ouais, ouais... Le temps que le lait mousse, il pouvait bien croquer dans un financier ou un gâteau quelconque. N'importe quoi qui soit rester après cette journée plutôt calme au café. Sans vraiment regarder, Jamie souleva l'une des cloches du comptoir, saisissant le premier truc qui lui tomba sous la main. Un cupcake très coloré, trop pour être servit au Granny. En temps normal il s'en serrait aperçut. Mais au vu de son état de fatigue... Jamie croqua dans le gâteau avant de se retourner vers la machine à café. Un bout. Puis deux. Puis trois.
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L'odeur était si forte qu'elle lui brûlait le nez. C'était une agression sucrée. C'était beaucoup trop d'odeur différentes, toutes en même temps mais surtout toutes affreusement sucré. Qu'est-ce qui c'était passé? La tête de Jamie tournait, alors qu'il était à même le sol. Cela lui rappelait désagréablement une situation déjà vécu auparavant, concernant une blonde et une hystérique. Qu'est-ce qu'il avait encore fait?! Non mais ils pouvaient vraiment jamais lui foutre la paix tout ces Dieux à la con?! La colère faisant bouillir son sang acheva de le réveiller, poussant son corps vers l'avant, les nerfs à fleur de peau. Ah ils voulaient encore jouer, hein? C'était ça ce que Diane avait sous-entendant à l'Olympe? La menace de surveillance forcé s'était-elle soudain muée en réalité, l'emprisonnant dans une salle de torture olfactive? Ou était Wilson? Le pauvre allait complètement paniqué avec tant d'odeur et de.... Rose. Les yeux de Jamie se plissèrent, alors que son nez se fronçait. Non seulement c'était une horreur d'odeur mais en plus le visuel allait avec. C'était... Terrifiant. sa rétine allait brûler aussi surement que ses narines. Du rose, du blanc, des paillettes, partout. On l'avait enfermé dans la chambre d'une gamine de cinq ans ou...? Une voix douce et féminine vint le tirer de sa contemplation horrifié, lui apprenant par la même occasion qu'il n'était pas le seul torturé. Cependant, aucune trace de Wilson. Peut-être que ça n'avait pas de rapport avec les Dieux. Il était juste probablement le gars le moins chanceux de Storybrooke. Quoi que les malheureux qui l'accompagnaient n'était pas mieux lotie. Enfin... Ecarquillant les yeux, Jamie fixa la joyeuse bande qui lui faisait face. Un rêne, un dragon, une lionne et un gamin. Qui parlaient. Non, mais, qui parlaient tous. Animaux comprit. C'était quoi encore que ce délire? Saisit d'un doute, Jamie porta la main à sa poitrine, l’aplatissant sur son torse avec brutalité. Ouf! Il était encore un homme. C'était déjà ça. C'était déjà quelque chose... Baissant les yeux vers ses mains, il les observa un instant, avant de réaliser que les vêtements qu'il portait lui était familier. Rien à voir avec ce qu'il portait il y avait encore quelques secondes. Non. Ces vêtements là étaient trop grand, usé. Des bottes rapiécées jusqu'à la corne. Une large ceinture de cuir. Non.... Impossible. Portant la main à sa nuque, il ressentit brutalement une sensation cotonneuse fleurir dans son torse. Jim. Il était redevenu Jim.
Sculpteur de glace. Il faut pourtant être raisonnable. C'est pas le métier où il faut courir dans tous les sens pour satisfaire les demandes. Même si le commerce de Kris marchait calmement -généralement-, les demandeurs de sculptures de glace ne courent pas à tous les coins de rues. Pourtant cette journée était épuisante. Épuisante, et Kris commençait sérieusement à en avoir marre de toutes ces longues journées passées seul. Il était depuis une heure sur le comptoir du Granny's, à... il ne savait pas vraiment ce qu'il faisait (rien, ça s'était sûr). Peut-être attendait il le moment où tout aller s'arrêter, qu'il allait reprendre sa vie d'avant. Où tout simplement attendait-il un moment. Juste un moment. Un bon moment. C'était bien ça, les bons moments, d'après ce que Kris pouvait se souvenir. Il était presque en train de s'endormir quand on lui dit qu'il devait partir pour que le Granny's puisse fermer. Il se leva, donc, et se dirigea vers la sortie, avant que Ruby ne l'interpelle.
"-Kris ! On a laissé ça pour toi. Je ne sais pas de qui il vient, mais tu devrai aimer, c'est à base de carotte !
Kris remercia la serveuse en prenant le paquet qu'elle lui tendait, en se demandant de ça qui pouvait bien venir -il ne connaissait personne capable de décorer une boite d'une manière aussi niaise-. Il monta dans son camion, posa le paquet sur le siège d'à côté et rentra chez lui. Lorsqu'il arriva, il ne descendit pas tout de suite. Il se laissa bercé par les musique qu'émettait la radio, et prit ce que lui avait donné Ruby. La boite était ornée d'arc-en-ciels, de rubans roses, et de montagnes violettes. Se retenant de vomir, il ouvrit et vit un cupcake. Juste un cupcake sans rien d'autre. Il était orange et dégageait une douce odeur de sucre et de... carotte. Cool ! Se dit-il. Il prit la pâtisserie et la mangea longuement. Il était bon, mais beaucoup sucré au gout de Kris. Après quelques secondes après avoir fini de le manger, la radio avait des problèmes de transmission. Le pare-choc fumait et des crépitements bleus envahissaient l'esprit de Kris de bruit.
"-Qu'est-ce que... ?"
Il fut vite enveloppé dans un espèce de cocon rose et senti son corps tourner, avant de chuter. Quand il rouvrit les yeux, il était dans un monde étrange, ou TOUT était rose, à tel point que ç'en était effrayant. Kris avait connu deux endroits dans sa vie : Arendelle entièrement blanche, et la Forêt enchanté, principalement verte. Ses vêtements avaient changés. Il portait ceux qu'il avait en tant que montagnard avant la malédiction. Il regarda autour de lui : Les arbres étaient des sucres d'orges et les nuages des barbes à papa. Par les dieux... Puis il vit un petit groupe assez étrange. Son attention se porta sur l'un d'entre eux.
"-Sven ?"
Robyn W. Candy
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PANIQUEZ PAS J'VIENS JUSTE CHERCHER UN TRUC DANS MA BOITE MP
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S-U-G-A-R Jump into your racing car Say sugar rush! Sugar rush! Hey! S-U-G-A-R Jump into your racing car Say sugar rush! Hey! Sugar rush!
Sugar Rush
J'aurai dû sentir depuis le début que quelque chose allait se passer. Je ne suis jamais mon instinct, et pourtant, parfois je devrais l'écouter. Déjà, le nombre de clients à la pâtisserie avait frisé la surpopulation ce matin, à croire que tout le monde avait décidé de me harceler quand j'étais de mauvaise humeur. Ah oui, j'oubliais, je le suis toujours. Mais je sais pas, aujourd'hui j'avais vraiment pas envie qu'on me parle ou qu'on me demande des gâteaux que j'avais la flemme d'aller chercher dans l'arrière-boutique. C'était mon côté peste qui ressortait, puissance dix milles. J'avais envoyé se faire foutre les derniers clients, avait fermé vers quatorze heures et j'étais rentrée chez moi. Autre signe bizarre, la radio de ma voiture s'était bloquée sur cette chanson merdique qu'est « Barbie Girl ». Je prends énormément soin de mon véhicule, que je considère presque comme mon seul et unique ami. Alors que la radio bloque, ça aurait vraiment dû me mettre la puce à l'oreille. Je vous dis pas ma gueule quand j'ai enfin pu éteindre le moteur et offrir un peu de répit à mes oreilles ensanglantées.
Une fois dans mon studio, je m'étais affalée toute habillée sur mon lit-canapé, la tête plongée dans un cousin recouvert d'une taie d'oreiller noir. J'avais envie de hurler et de pleurer, les deux en même temps. Je me sentais incroyablement mal. Encore plus que d'habitude, je veux dire. Généralement, ma pâtisserie était le lieu que je préfère par dessus tout. J'y suis à l'aise, chez moi, en mode reine de mon royaume. Pourtant, aujourd'hui, je ne m'y étais pas sentie à l'aise. Je devais couver quelque chose pour ressentir ce genre de choses. Mon plaisir quotidien, c'est de faire vivre l'enfer aux clients, qui reviennent toujours d'ailleurs. Comme quoi, jouer les garces ça marche très bien pour les affaires. Mais là...
Je me retournais sur le dos et poussais un soupire, en me passant une main sur le visage. Stop la dépression Vané ! J'avais survécu à pleins de choses, c'était pas pour retomber dans le désespoir le plus total. Il fallait que je me concentre plutôt sur le visage de la cliente d'aujourd'hui, celle avec son horrible manteau et qui m'avait traité « d'horrible petite peste » quand je l'avais critiqué ». J'aime tellement les visages outrés des petites vieilles quand je leur dis un mot grossier. C'est mon plaisir coupable. Quoi que, pas si coupable enfaîte.
Un sourire commençait à étirer sur mes lèvres tandis que je m'asseyais quand la télévision s'alluma tout à coup. Je regardais l'écran brouillé de noir et blanc, sans bouger. J'avais vu assez de films d'horreur pour savoir que généralement, les fantômes adorent allumer les télévisions avant d'attaquer. Ou alors c'était juste que je m'étais encore assise sur la télécommande. J'ai un peu trop tendance à confondre canapé avec table basse. Je me levais pour commencer à chercher, en retournant la couverture mais ma main se stoppa. Mon cœur aussi d'ailleurs, j'en avais bien l'impression. Très lentement, la main toujours tendue, je me retournais vers la télé. L'écran était toujours en mode tempête de neige, mais un son s'en échappait. Pas le brouhaha insupportable des brouillements habituels. C'était une... musique. Et pas n'importe qu'elle musique. La chanson, celle que je ne pourrais jamais oublier, même si j'essayais.
- Jump into your racing car, just say « sugar rush » !
Je n'avais pas pu m'empêcher de chanter le refrain de la chanson, les paroles étaient tellement graver en moi que c'était comme un automatisme. Je m'approchais de l'écran, le fixant avec un mélange d’appréhension et d'excitation. Comment la chanson de mon ancien royaume pouvait passer à la télé ? Ça m'étonnerais que quelqu'un connaisse le jeu, encore moins quelqu'un qui en connaisse l'hymne.
Je posais le bout des doigts sur l'écran de la télévision. Aussitôt que mes doigts entrèrent en contact avec le verre, une sorte de courant électrique jaillit de la télé et remonta le long de mon bras. Aussitôt, je retirais ma main et m'écartais le plus vite possible. En reculant, je retombais sur mon lit, le drôle de truc bleu continuant de courir sur ma peau. J'entendis tout à coup le bruit du mixeur qui se met en marche, de même que de la musique se déversant de la chaîne Hi-Fi. Et même mon mini-aspirateur. Qui au passage, n'était pas branché. Putain, c'était quoi ces conneries encore ? L'espèce d'électricité se mit à recouvrir tout mon corps, et je le sentis monter jusqu'à mon visage. Je fermais les yeux en me demandant ce que c'était très sérieusement, et puis... bam.
Ma tête me faisait un mal de chien. Je me sentais vachement nauséeuse, comme si j'avais la gueule de bois. Mais c'était pas ça. Je me redressais en me massant la tête, les yeux encore pratiquement clos. J'avais presque peur d'ouvrir les yeux. La dernière fois qu'il m'était arrivé quelque chose comme ça, une pétasse divine m'avait transformé en mec et j'avais profité de la nouvelle poitrine du type que je ne pouvais pas voir en peinture comme oreiller. Étrangement, j'avais pas envie de recommencer.
Prenant une grande inspiration, j'ouvris un œil. Waouh ! C'était vachement rose dans le coin ! C'est dingue comme je hais cette couleur. J'avais dû me faire drogué et finir à une fête chez des gays. Ouais, sûrement. Ou alors je m'étais enfin fait chopée par la dealeuse du coin et j'étais en plein trip. D'accord, ne pas paniquer surtout si des éléphants roses débarque.
Mais non. Non. Non ? Non ! C'était pas des cookies psychédéliques ! Ou peut être, on sait jamais avec ces trucs là. Non ! C'était forcé d'être vrai ! Ça devait l'être. J'étais entourée d'arbres roses et blancs. Pas des vrais arbres, mais des sucres d'orges. Cette même forêt où un jour j'avais rencontré Ralph. J'étais à...
- Sugar rush ! Ouiiii !
J'avais hurlé en sautant comme une gamine. Attendez deux secondes... si j'étais dans un jeu vidéo, alors j'étais redevenue... je baissais les yeux sur mon corps et me sentie à deux doigts de faire une crise cardiaque. Je portais ma veste verte, celle que j'affectionnais tant. Je pensais être trop grande maintenant pour la reporter un jour. Sauf que j'étais redevenue Vanellope. J'étais redevenue une sorte d'enfant à queue de cheval et à bouille trop mignonne. Même moi, je me rendais bien compte.
Folle de joie, j'improvisais une petite danse. Finalement, les dieux des sucreries avaient entendu mes prières. Je m'étais jamais sentie aussi heureuse depuis plus de vingt-huit ans. Enfin, je rentrais chez moi. J'allais de nouveau pouvoir faire des courses de voitures, gagner, regagner et encore gagner. Je laissais derrière moi des années d'horreur, des déesses tarées, des cons sans noms et un cocker crétin. J'étais Vanellope Von Schweetz. Robyn la bipolaire, c'était enfin fini pour moi.
Je me retournais en sautillant et m'arrêtait d'un coup, en plein mouvement. C'est-à-dire un pied en l'air, les bras en mode oiseau qui veut s'envoler et sourire tellement immense que mon visage n'était pas encore habitué à exprimer le bonheur. Il y avait des gens. Et des animaux. Surtout des animaux enfaîtes. Et une drôle de bêbête. Un dragon, je crois. Ça pouvait tout aussi bien être un lézard géant. Ce qui faisait qu'un dragon, une sorte de gros chat qui devrait être une lionne, un lapin à l'air malade, un renne trop bizarre, un ado qui devait sûrement avoir envie de de tuer son coiffeur vu sa coupe de cheveux et un mec habillé comme un type de la pub de Riccola. Ah et j'oubliais, un rouquin qui mangeait avec ardeur un arbre de mon royaume. Génial, enfaîte je hais les dieux des sucreries, oubliez tout ce que j'ai dis.
- Toi le môme ! Lâche cet arbre ou je te jette dans les sables mouvants !
Il y croyait celui là ! Interdiction de manger quoi que ce soit ici. Même si moi aussi j'avais envie de bouffer, fallait savoir se contenir. Ma voix en mode gamine adorable aidait pas beaucoup par contre à jouer les grosses dures. Pourquoi on doit toujours me pourrir la vie ? Je posais mes petits poings sur mes hanches et fit les gros yeux comme je pu. Pas sûre que ça fasse très impressionnant, mais faut faire avec.
- Mais qui vous êtes ? Et comment vous êtes arrivés à Sugar Rush ?
Vu leurs têtes d'idiots, ils avaient pas vraiment l'air de savoir de quoi je parlais. Je levais les yeux vers le ciel aux nuages roses et poussais un soupire. Faudrait que je pense à faire changer cette couleur si je reste ici...
- Sugar Rush, c'est cet endroit. C'est un jeu vidéo, le meilleur de tout les temps d'ailleurs. Et moi je suis Vanellope Von Schweetz, la... présidente de Sugar Rush.
Je préfère être présidente que princesse. Ça fait mieux sur mon CV, et j'ai moyennement envie qu'on m'appelle sa Sucrerie. Ce type était un taré. Je le suis un peu aussi, d'accord, mais quand même. Moi au moins, j'ai pas sa sale gueule.
Je m'approchais de l'ado avec sa coupe des années 80 et l'attrapais le bras, en essayant de l'entraîner avec moi. Et en essayant aussi de l'attraper par le bras d'ailleurs. J'étais quand même vachement plus petite comme ça.
- Merci de vous diriger tous vers la caisse centrale et de quitter les lieux. Vous n'êtes pas les bienvenus ici, alors retournez chez vous !
Je m'obstinais, quand il y eu le bruit d'un crépitement et... bam ! Encore ! Putain, ça devenait vraiment une habitude dans le coin. Je me souvenais pas de ça. Mais quand je rouvris les yeux, je remarquais que je tenais toujours l'ado mode rebelle et que j'étais bien debout. Que ce qu'il s'était passé ? Le décor rose bonbon avait changé par contre. Les arbres de sucre étaient devenus sombres. Enfin, pas la fin du tronc. Comme des... mikados ?!? Je secouais la tête dans tout les sens, la bouche entrouverte. Je connaissais cet endroit. C'était sombre, et je m'y étais le plus rarement possible aventuré. C'était pas très réputé, la forêt des mikados. Je jetai un coup d’œil derrière moi, et vis que toutes les autres personnes, bestioles et autres étaient là aussi. Oh oh.
- Que ce que j'ai encore foutu...
Je baissais les yeux sur mes mains. Je sais pas pourquoi, mais ça sentait les bugs à fond. Et vachement le chocolat aussi, d'ailleurs.
Sugar Rush ou comment détester les sucreries à vie
"Bon Daven, respire calmement, tu es un dragon, alors tu peux te contrôler un peu non? Bon d'accord je suis un dragon, mais faut avouer qu'habituellement je ressemble plus à un gros chat. Ragh mais c'est pas possible, dans quoi je me suis encore fourrée!" Le jeune homme, enfin le dragon était à deux doigts de se taper la tête contre un arbre, enfin un sucre d'orge, mais c'est les bruits de crépitement qui le firent se retourner. Instinctivement, il se mit en position d'attaque et montra les dents, si une de ses choses, l'attaquaient, elle serait servi. Il se mit à gronder, mais se rassit avec la langue sortant de sa gueule quand des personnes et des animaux apparurent. "Mmm ... okay, donc, un gamin roux, une lionne, un lapin ... taré (?), un Renne, un montagnard et un homme ... à tiens et voilà une petite fille. Bon ... et ben je sens que ça va être marrant tout ça. Mais bordel qu'est-ce qu'on fout ici !" La petite fille commença à s'exciter toute seule sans que l'on comprenne quoi que ce soit, c'était comme si elle parlait de quelque chose et qu'eux comprenaient autre chose. "Sugar Rush? D'ou les sucreries et les trucs collants j'imagine ... sortez-moi d'ici !" Des cris intérieurs, il n'allait tout de même pas montrer son angoisse à des inconnus qui sont aussi des animaux ou deux humains. Parce que bon c'était un peu à lui de montrer qu'il n'avait pas peur étant donné qu'il était au sommet de la chaîne alimentaire. La gamine se présenta comme étant la présidente de cette contré ... "Bon pourquoi elle ne nous fait pas rentré chez nous, elle? Et puis elle est ou cette centrale de je ne sais quoi?" Le dragon poussa un soupire et la regard tenter de traîner l'autre homme vers la soit-disant sortie. Krokmou se coucha et attendit simplement que tout le monde arrête de sauter un peu partout. Après tout, il faisait chaud, il faisait beau et puis c'était accueillant comme endroit un peu collant mais accueillant. Le dragon avait à peine pensé à ça qu'il fut soudainement autre part.
Des nausées prirent le dragon de plein fouet, il était totalement chambouler! "On peut pas prévenir, non d'un chien, je sens que je vais vraiment pas aimer mon séjour au pays du sucre moi! " Il regarda les autres personnes, apparemment il n'était pas le seul à avoir eu du mal avec les téléportations. Il s'assit de nouveau sur le sol attendant que le petite se mette à dire quelque chose ou à faire quelques chose. "En tout cas, je préféré les sucre d'orge, ils étaient plus amicaux que les ... mikados? " Très curieux de nature, le dragon s'approcha d'un arbre chocolaté et regarda autour de lui avant d'en croquer un bout. Il mâcha et soupira de contentement. Ouais, finalement il l'aimait bien cette forêt. Enfin jusqu'à ce qu'il voit des espèces d'ourson étrange arriver vers lui. Là, il se mit à reculer précipitamment et se cogna contre l'homme normal. Se rendant compte qu'il avait donné un coup de queue à quelqu'un, il alla en avant tout en restant loin de ces choses. -Bordel, mais Miss-je-suis-la-présidente, vous pouvez pas faire quelque chose? Comme nous renvoyer chez nous, parce que si vous contrôlez réellement le jeu, on ferrait pas des sauts de puce d'une partie à l'autre de ce foutu monde!- Crier? Non il ne criait pas, il était plutôt en train de se retenir de bouffer une de ces choses mal-intentionné qui s'approchait un peu trop de lui.