The Last Of Us 2

Agnès, elle, sembla trouver la situation, tout à fait appropriée, une demande pour aller au mal, en plein milieu d'une apocalypse zombie. Tout à fait normal. Puis, elle évoqua, le fait qu'elle aussi, aimerait y aller, mais ne savait pas avec qui :

- Tu sais, il n'y a pas besoin forcément d'un cavalier pour aller au bal lui dis-je

Après tout, aux dernières nouvelles, je ne fréquentais, personne. De toute façon, étant donné, ma dépression, je n'avais, pas forcément, eu l'occasion de faire des rencontres. Mais, je savais, que, s'il m'arrivait de retrouver quelqu'un, il y avait un petit problème, ce problème se nommait « Simba ». Il, croyait au grand amour, toussa, toussa. Il, serait peut-être temps de lui dire, que je n'allais, pas passer mon temps, à me morfondre sur le souvenir de Mufasa. Je savais, qu'il n'aurait pas voulu ça. Quoi, qu'il en soit, j'aurais largement, le temps, d'y penser en temps et en heure.
Plus nous avancions, et plus, l'odeur, se faisait pestilentielle, j’émie un grognement, j'avais l'odorat assez délicat malheureusement, étant donné, que j'avais à la levé de la malédiction, retrouvé mon flaire de lionne. Il, était donc bien plus développé, maintenant, que celui d'humains lambda dirons nous.
Et bien, évidemment, ce furent des zombies, encore et toujours. Pas de doute, leur « microbe », à Sasha et Charlie, méritait une bonne paire de baffes, pour avoir, je ne sais trop comment, réussit à crée des zombies. Quoique...Cela, me rappelait quelque chose, Tama m'avait dit, s'être battus avec de vrais zombies, il y a quelque temps. Cela, ne m'avait pas franchement étonné. Nous, étions à Storybrooke, pour nous une journée normale, c'était quand un truc bizarre pour les autres se passait.
Enfin, quoi qu'il en soit le « Sasha » hurlé par l'écureuil, me fit me retourner. Et les évènements, s'enchaînèrent assez vite, Sasha, qui se fit griffer par un zombie, l'écureuil, qui essaya tant bien que mal, de voler à son secours, mais qui sous estima le zombie. A peine, eu-je le temps de me tourner, vers Agnès, qu'elle semblait vouloir faire un câlin au zombie :

- Non, recule ! Ordonnais-je

Sauf, qu'elle ne m'écouta pas, et le zombie la mordit. Sa sœur, nous cria de nous boucher les oreilles, et mon instinct me disait de l'écouter. Et en effet, le crie qu'elle poussa, était fort en décibel. Je pensais, avoir tout vu avec mon fils, qui était quand même, très douillé, mais là...Ça, atteignait des sommets.
Aussi, la petite brune, décida-t-elle de venir trouver refuge vers sa sœur et moi même, disant que le zombie, était moche, et que, c'était pour ça que personne ne voulait lui faire de câlin. Je me retins, de justesse, de faire remarquer, que logiquement, un zombie, ce n'est pas un bisounours, généralement, on évite, de lui faire un câlin.
Le blond se tourna, vers nous, et se mit à parler sur un ton assez froid, demandant à ce que l'on évite de se faire tuer bêtement. Je ne savais s'il s'adressait à tout le groupe, ou juste à Agnès, quoi qu'il en soit, je me contentais d'hausser un sourcil. Ce, n'était pas franchement à moi, qu'il fallait dire ce genre de choses, me battre j'en avais l'habitude, j'avais fait fuir, plus d'une fois, des hyènes, un peu trop gourmande, quand, j'eus arrêté de me morfondre, sur la mort de Mufasa et Simba. C'était, d'ailleurs, à cette époque, qu'un vent de révolte, avait commencé, à naitre, dans nos rangs. Nous, en avions, assez, de la tyrannie de Scar, la nourriture se faisait de plus en plus rare, et il se gardait toujours les meilleurs morceaux pour lui et ses trois larbins. Avec Sarafina, et mes sœurs, nous avions décidé de chasser deux fois plus, et de mettre nos proie en plus, en sécurité, en cas de coup dure.
Quoi qu'il en soit, le zombie, ne fit pas long feu, et une fois, ceux présents, réduits, à néant. Nous, reprenions notre chemin, vers la mairie. L'air se mettait, à encore plus empester, si bien, que je n'arrivais plus à distinguer, quand, nous étions attaqués, ou pas, si bien, que je me fis surprendre, par un zombie. Je réussis, juste à temps, avec un feulement de rage, à l'éviter, mais, il n'allait pas s'en sortir à si bon compte. Je serrais, mon club entre mes deux mains, et eu, à nouveau, une nouvelle surprise, en regardant de plus près mes doigts, je pus y voir, des griffes. J'avais bien, fait de venir, finalement, si même les griffes rétractable, se mettaient à revenir.
Avec un léger, sourire, je lâchais, mon club, et m'avançait silencieusement derrière le zombie, à qui je tapotais l'épaule pour le faire se retourner. Et, sans lui laisser le temps de réagir, je lui assenais, un puissant coup de griffe, juste au niveau de la gorge. Lui sectionnant, la carotide :

Une, bonne chose de faites, dis-je, on peut continuer notre chemin

Je rétractais, mes griffes, et reprit tranquillement, mon club, comme, si ce qui venait de se passer, était totalement naturel. D'un côté, ça l'était pour moi. La chasse, les proie...C'était un peu mon élément naturel

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The Last Of Us 2

Je ne m'étais, jamais sentis, aussi bien, qu'aujourd'hui. Certes, nous étions en pleine apocalypse zombie, mais, j'avais enfin l'impression, d'être complète, d'être à nouveau moi. Et, je devais admettre, qu'en cet instant, je donnerais beaucoup de choses, pour retrouver mon corps de lionne. L'adrénaline, sans doute, et le fait d'avoir retrouvé, rugissement, et griffe. Me donnait, cette envie. Je, savais, que je ne devais, pas y prêter trop attention. C'était, sur le moment, mais, quand tout sera finit (vite, je l'espérais), je savais, qu'il faudrait que je laisse cette idée de côté. Je, commençais, à devenir comme Tama. N'avoir, qu'une envie, celle de repartir sur la terre des lions, et d'être à nouveau « Sarabi ». Et ça, c'était une mauvaise choses. Je devais, prendre mon mal en patience, et vivre dans l'idée, qu'un jour, oui, nous y retournerons, mais que pour le moment, je devais, continuer, à vivre avec ma condition humaine.
Pendant, que nous avancions, la pluie se mit à tomber, rendant l'odeur encore plus nauséabonde, qu'elle ne l'était déjà. L'humidité, additionné, aux restes de zombies, ne faisait pas bon ménage. Je, plissais le nez, essayant au maximum, d'éviter de trop sentir. C'était, et une bénédiction, et une malédiction, d'avoir l'odorat aussi développé. D'un côté, cela me permettait, de savoir, si la personne, en face de moi, était un potentiel ennemie, ou ami. Mais, de l’autre, les mauvaises odeurs étaient toutes amplifiés.
D'un coup, sans prévenir, un zombie déboula de nul part, et se jeta sur la féline blonde, qui réussit à lui assener un coup de râteau, et annonça qu'il était temps de se mettre en route.
Sauf, que le zombie, n'était pas aussi mort qu'elle semblait le penser. Je secouais, la tête de droite à gauche, agacée : jeune présomptueuse. Songeais-je.
Le dit zombie, se mit d'ailleurs à ramper, vers Kenshin, et à lui mordre la cheville. Ce dernier poussa d’ailleurs, un crie strident et essaya de s'en débarrasser. Malheureusement, il était déjà, mordue. Heureusement, Agnès, réussit à repousser, le mort vivant, d'un coup de batte de cricket. C'était déjà ça.
Je, n'avais pas de quoi, faire disparaître, les blessures par magie, en revanche, j'avais toujours, du désinfectant dans mon sac. Samuel, en plus d'être douillet, n'était pas la personne la plus adroite de la terre. Aussi, faisais-je en sorte, d'avoir toujours de quoi, désinfecter, une plaie, au cas où.
M'approchant, de l'écureuil, je prit le désinfectant, et m'occupait de sa plaie :

- Ça, devrait aider à cicatriser, dis-je, en revanche, je n'ai rien pour faire un bandage

La petite brune, l'aida à se relever, comme elle le pouvait, et parla de se mettre, à l’abri, sauf que le zombie, rampant, décida, cette fois-ci de s'en prendre à elle. Et à sa cheville en mauvais état, elle hurla, pendant que je m'occupais, d'expédier, notr
e ami rampant, le plus loin possible, d'un bon coup de pied. Ca, ne serait pas suffisant, je le savais, il reviendrait. C'est coriace, ces trucs là.
Et même pas trente secondes plus tard, il était de retour, s'attaquant à Sasha, qui d'ailleurs, montra l'étendue de son vocabulaire. Dont, la plupart étaient des mots, que j'aurais refusé d'entendre dans la bouche de mon fils.
La blonde, s'occupa du zombie. Sauf, qu'évidement, là, encore, il n'était pas totalement mort. J'essayais d'anticiper le moment, où il viendrait vers moi. Sauf, qu'au moment, où j'allais sauter, pour l'esquiver, il m’attrapa la cheville, et réussit à me la mordre, pendant que je tombais.
Poussant, un rugissement, de douleur, je m'emparais, de mon club, pour lui mettre un bon coup, sur la tête, ainsi qu'un bon coup de pied, dans le haut du corps, pour l'éloigner, le plus possible de moi :

- Enfoiré, sifflais-je, en me remettant debout chancelante

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