« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Alors qu' Agnès avait voulu montrer à Ken qu'ils allaient survivre tous les deux .. ce dernier était parti en courant dans une petite ruelle sombre en lui disant qu'il y avait un truc. Mais non, il n'y avait pas de truc, c'était dans sa tête et Agnès soupira car toutes les personnes présentes suivaient maintenant l'écureuil. "Mais non, il faut pas aller là ... c'est souvent comme ça qu'on meurt .. dans la petite ruelle sombre on se attaquer.." Visiblement il fallait aller sauver le soldat Kenshin. Soufflant Agnès allait partir de l'autre coté de la rue, dans un endroit beaucoup plus clair, quand elle sentit qu'on lui attrapa le poignet. C'était Charlie qui gentillement d'un signe de tête lui ordonna de les suivre. Bon c'est sur que si elle était restée toute seule, qui sait ce qui se serait passé. "Merci".
Rapidement l'écureuil fut retrouvé et les remontrances commencèrent à tomber. Un petit sourire nacquit sur ses lèvres, pour une fois que ce n'était pas elle qu'on engueulait. Se rapprochant à son tour, elle lui donna alors un petit coup de pied dans les genoux, pas trop fort pour lui faire mal, mais assez pour qu'il comprenne son erreur. "T'es débile ou quoi ... c'est toi même qui m'a dit que dans un jeu vidéo, c'est toujours comme ça qu'on meurt. Et puis c'est pas que dans les jeux, regarde tu aurais pu très bien te faire ouvrir les boyaux par une horde de zombie qui t'aurait attiré dans un piège comme un rat."
Faisant la moue, elle se rendit compte que le comparatif avec le rat était peut être méchant. Après tout, Ken était un ancien écureuil, de la préhistoire en plus, les rats étaient peut être ses cousins éloignés. Penchant la tête sur le coté, elle secoua la tête. Se n'était pas le moment de faire ça. Effectivement un immense bruit résonna au fond de la ruelle. "Voila, je l'avais dit, on vas tous mourir et par ta faute en plus." Il y avait toutes sortes de bruits, des grognements mais aussi des bruits métalliques. Se mettant sur la pointe des pieds, Agnès aperçut une porte au fond. C'est alors qu'elle entendit Edith hurler un "courez" violent. Ne perdant pas de temps, lui faisant plus que confiance, Agnès prit la direction opposée, serrant fortement sa batte contre elle.
Elle courrait, et courrait sans regarder où elle allait tellement que la peur lui faisait monter l'adrénaline. Jusqu'au moment fatidique ou sa légendaire maladresse prit le dessus, elle trébucha sur le trottoir s'étalant de tout son long. Heureusement qu'elle avait eu le réflexe de lâcher son arme, sinon elle était bonne pour faire un remake d'empalement. Se mordant les lèvres tellement la douleur était violente, elle avait les larmes aux yeux. Sa cheville devait sans doute être foulée. Géniale, vraiment géniale, elle n'était bonne à rien et se faisait mal toute seule, en se prenant bien la honte. Elle l'avait toujours dit qu'elle était nulle, et maintenant elle avait la confirmation. Elle allait être un poids pour les autres, qui étaient entrain d'arriver vers elle.
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It never got better than that night! That was supposed to be the beginning of my life! All that promise and fucking optimism! That feeling that we could take on the whole universe! It was a big lie! Nothing happened!
ft les gens & les zombies
Kenshin n'était pas fou. Hyperactif, hyperémotif, hyperempathique, et des tas de trucs en « hyper », peut-être. Mais pas fou. Parmi toutes les choses existantes à Storybrooke, il n'y en avait qu'une seule capable de le faire courir ainsi dans une ruelle au hasard, sans réfléchir, sans faire preuve de prudence. Après tout, comme l'avait si bien dit Agnès, il avait une expérience notoire des apocalypses zombies grâce à sa passion sans envergure pour les jeux vidéos. Il savait quelle arme était la meilleure, quelle stratégie adopter, quelle formation prendre, quel objectif viser. Mais il fallait aussi prendre en compte le fait que dans le corps de Kenshin, il y avait un personnage tristement connu pour son amour éternel et infatigable pour... les noisettes. Il pouvait repérer des noisettes empaquetés dans un emballage hermétique à des kilomètres de distance rien qu'à leur odeur. Un talent, ou une malédiction, ça dépendait des moments. C'est ainsi qu'il fonça dans la ruelle et plongea dans la poubelle fraîchement remplie sans la moindre hésitation, farfouillant dans les déchets pour trouver son trésor jusqu'à tomber sur trois paquets de noisettes fraîches pas même ouverts. Oui, oui, vous avez bien lu. Kenshin venait de mettre en danger le groupe entier, qui l'avait suivi, pour trois pauvres paquets de noisettes. Et tout cela totalement inconsciemment. Sortant du conteneur, son trésor entre ses bras, il se dirigea vers Shasha, qui arriva soudainement à sa hauteur et lui saisit les épaules, l'air à la fois inquiète et en colère.
« Mais... Mais... des noisettes... »
Ouvrant de grands yeux surpris et larmoyants, il se crispa légèrement, à la fois attristé qu'on lui fasse des reproches et curieusement frissonnant par le contact physique de Sasha. C'était électrisant. Son air se fit plus sérieux, glissant sa trouvaille au fond de ses poches, il approuva d'un geste de la tête avant de mimer le geste où l'on frappe la batte sur la paume de sa main, mais se retint néanmoins de le faire pour de vrai, considérant que la batte en question était entourée de barbelées... Agnès s'approcha à son tour, et lui fit savoir son propre mécontentement.
« Vous avez raison... Sasha, Agnès, je suis désolé, ça ne se reproduira plus. Mais Agnès, tu l'as dit toi-même non ? On est pas dans un jeu là.. Et aussi douloureux que ça puisse être de le reconnaître, je n'ai pas les mêmes réactions IRL que dans mon salon ou même au laser-game. Et puis, Scrat. »
Il n'en fallait pas plus pour Kenshin pour définir LE problème présent dans sa tête. Il en était arrivé au point où il considérait Scrat comme une double-personnalité, s'auto-qualifiant de malade mental alors qu'en réalité, ce n'était que sa nature qui refaisait surface de temps en temps -au final, comme tous les autres, il n'était que le résultat du mish-mash entre son lui du monde des contes et son lui du mond réel. Puis, alors qu'il s'apprêtait à sauter dans les bras de Sasha -un réflexe d'écureuil un poil affecteux...-, celle-ci lui saisit la main pour l'entraîner derrière elle dans la continuité du petit chemin, suivit par son double et la petite bande d'infortunés. L'ancien écureuil jeta un regard vers celle qui semblait être une ex-prédatrice, qui ne semblait pas franchement ravie d'avoir eu à faire un détour pour des noisettes concassées, et qui avait l'air d'avoir envie de lui mettre trois baffes en travers du visage pour le corriger.
« Dîtes, la mairie c'est pas par là-b... »
Non parce que pour un voyage laser-game mairie, ça le surprenait que le chemin soit si long ; à moins que la carte ait été carrément modifiée par Elliot, qui selon Sasha, était parfaitement capable de créer de vrais zombies... alors pourquoi pas éloigner la mairie ? Ou les forcer à tourner en rond un petit moment ? Dans tous les cas, il fut interrompu par un grand bruit métallique. Visiblement, des zombies avaient trouvé leur chemin jusqu'à eux, et il n'eut pas le temps de crier qu'il fut déjà emporté par le rythme de course de Sasha, qui lui tenait toujours fermement la main. Concentre-toi là-dessus, Kenshin. Pas la peine de paniquer. Oui, car à l'intérieur de lui, c'était l'anarchie totale. Il avait envie de hurler, courir dans tous les sens et sauter partout comme un cinglé fraîchement sorti de l'asile. Mais bien heureusement, avoir sa main dans celle de Sasha dégageait une chaleur nouvelle à l'intérieur de lui. Dans une telle situation d'urgence, toute trace de gêne ou de sentiment de stupidité avait quitté son corps, au profit d'une sérénité outrageuse. Il n'avait pas le temps ni l'énergie de rougir et de balbutier. Don't let go of my hand. Un peu plus loin, Agnès s'effondra sur le sol, se prenant une telle raclée que Kenshin s'inquiéta si elle ne s'était pas assommée pour de bon. Il connaissait Agnès pour une maladresse qu'il partageait avec elle ; alors les rires ne viendraient jamais de lui. Au contraire, il poussa un petit cri de surprise, avant de foncer vers elle et de se laisser tomber sur ses genoux pour la saisir et lui permettre de se redresser, Lucille posée à côté de lui.
« Agnès ça va ?! C'est pas le moment de dormir, tu sais, on se reposera à la fin de la partie ! »
Il avait tenté une petite touche d'humour pour la rassurer, et pour se rassurer du même coup. Sauf que derrière la petite troupe, les zombies allaient pas tarder à débarquer, et il n'était pas encore temps ni de se reposer, ni de perdre son sang froid. Repoussant au plus profond de lui-même l'envie de se barrer dare-dare en laissant tout le monde sur place, il passa le bras d'Agnès derrière ses épaules et la saisit par la taille, l'aidant à se relever malgré un léger boitement problématique.
« Shasha ! Un coup de main ! »
Il essayait tant bien que mal de servir à quelque chose malgré ses propres bêtises qui avaient failli coûter la vie de toute le monde... mais il ne pouvait décemment pas porter Agnès, Lucille et la batte de cricket tout en même temps.
« T'inquiètes pas Agnès ! » murmura-t-il près de son oreille. « On sera pas les boulets du coin, pas cette fois-ci. »
C'est avec conviction qu'il prononça cette dernière phrase, emprunt du désir de ne pas devenir celui qui condamnerait tous les autres, et de le permettre à Agnès également.
Lucy était toujours embarqué dans un drôle de laser-game, entre rêve et réalité. Elle n'aimait pas vraiment ça mais, pourtant, elle restait là et se décidait à avancer, coûte que coûte, vers la mairie, objectif final de cette mission. Le seul problème? Elle n'était pas seule et devait se taper des "boulets" avec elle. Certains ne l'étaient pas comme les deux initiateurs de ce jeu ou l'ancienne lionne. Mais il y avait des cas: la jeune femme et son ami, apparemment ancien écureuil. Lucy se décida à se moquer d'eux mais ça ne dura pas bien longtemps.
En effet, les zombies les envahissaient et chacun devait commencer à se débrouiller seul. Lucy estompa les moqueries et autre avant de se décider à avancer. Mais l’écureuil se faufila dans une ruelle, suivi par tous bien évidemment. Lucy se doutait bien que la mairie n'était pas par là mais autant suivre,non?
Chacun suivit d'ailleurs derrière l'ancienne chatte. Lorsqu'ils furent tous là, des disputes éclatèrent et Lucy se retint de rire bien évidemment. Chacun y allait de son argument pour expliquer que c'était mal de partir seul et le pauvre écureuil se défendait du mieux possible. La femme qui les avait accueilli l'entraîna dans une ruelle et tous suivirent. Étrangement, ils s'éloignaient de la mairie...
Une des jeunes femmes tomba à terre et Lucy décida de laisser les autres s'en occuper. En plus, elle avait l'air très amie avec l'ancien écureuil, alors... Elle attendit que tout recommence, bien évidemment. Que tout le monde reprenne son chemin, quoi. Son seul souhait? Etre tranquille, rentrer retrouver son confort et ne pas se battre avec ses fichus zombies.
(c) Spinelsuns
April King
« Long live the queen »
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BENIT SOIT LE FRUIT
And don't tell me what to do
and don't telle me what to say
| Conte : Le Roi Lion | Dans le monde des contes, je suis : : Sarabi
- Des, noisettes, nous risquons nos vies pour des noisettes ??
C'était grosso modo, ce que j'avais eu envie de dire, à l'écureuil, néanmoins, il se faisait, déjà, assez réprimandé, comme ça. Pas la peine, de remuer le couteau dans la plaie. Je me contentais, d'un soupire. Et de croiser, mes bras sur ma poitrine, en lui jetant un regard réprobateur. Encore, mon côté « mère » qui ressortait. Je devais, arrêter de l'appliquer à tout le monde. Et, le réserver, uniquement pour ma famille. Néanmoins, sa manière de parler de lui, me fit légèrement tiquer. Tout comme moi, il avait tendance, à faire un comparatif, entre ses deux personnalités. Apparemment, « Scart » était, ce qu'il était dans le monde des contes. Et, à voir, sa manière d'en parler. On, aurait, dit, qu'il pensait, souffrir d'une maladie mentale ou je ne sais quoi. Aussi, me décidais-je à prendre la parole :
- C'est peut-être facile, à dire, car il est vrai que je ne vous connais pas. Je, ne sais, pas, quel est votre personnalité. Ni, comment, a été votre « vécut » de la malédiction. Mais, il y a une chose, que je sais. « Scrat », fait partie intégralement de vous. Vous, ne pouvez pas, le chasser définitivement. C’était pareil pour moi. Il, y avait « April » et « Sarabi ». Je détestais April. Je la jugeais, faible, inutile. Elle, n'avait pas cherché, à s'en sortir, une fois la malédiction levée. Et finalement, j'ai appris, à accepter, ces deux parts de moi. Tant, que je serais ici, tant que je serais humaine. Elles, continueront, à coexister. Et, il en va, de même pour vous.
Je n’eus, pas franchement, le temps, de continuer, que déjà, des bruits, étranges se faisaient, entendre, j'essayais, de sentir s'il s'agissait de zombies. Mais, l'air, empestait, tellement, qu'il, m’était, totalement, impossible, de savoir, si c'était le cas ou pas. A nouveau, j’émis, un grognement, se rapprochant, plus celui d'un animal, que d'un humain. Je n'aimais, pas ça, cela, ne me disait, vraiment, rien de bon. Serrant, mon club de golf, dans mes deux mains. J'étais, prête à me défendre, au cas où, un quelconque, mort vivant, venait à arriver. C'est alors qu'un « courrez » retentis. Instinctivement, la petite brune, se mit à détaller, pour finir, par se ramasser sur le trottoir. C'est pas vrai, eux, il fallait, vraiment, pas les amener dans la savane. Ils, ne survivraient pas deux secondes. Je secouais, la tête, je, n'étais pas très gentille, ni très patiente. Contrairement, à d'habitude. C'était, mes instincts, de prédatrice, qui reprenaient le dessus. J'avais, l'habitude, d'être celle qui chassait, et non l'inverse. Me retrouver, dans la situation de proie, mettait mes nerfs à rude épreuve. Et, je ne comptais, que sur mon côté lionne, pour m'en sortir. C'est alors, que je les vit, approcher, des zombies. Tout le monde, se mit en position, d'attaque, enfin , tout le monde sauf, l'écureuil, et la brune. Et manque, de chance, c'est justement, sur eux, que se précipitait le premier zombie. Je voulut crier, pour les avertir, sauf que le bruit qui sortie, de ma bouche, n'avait absolument, rien d'un crie humain. Instinctivement, je plaquais, mes deux mains, sur ma bouche, abasourdit. Je venais, de rugir. Je venais, de pousser un foutu rugissement. On peut, dire, qu'il s'était fait attendre celui-là. Depuis, le temps, que j'espérais, le retrouver. Enfin, cela, eu au moins, l'avantage, de déstabiliser le zombie. Laissant, la blondinette s'en charger. Pour ma part, je m'approchais, de la brune. Agnès, d'après ce que j'avais comprit. Sa cheville, était gonflé, mais heureusement, n'était ni cassé, ni foulé. C'était, déjà, une bonne nouvelle :
Il, ne faut pas rester là, dis-je, avançons !
J'aidais, Agnès, à se relever, et me plaçait instinctivement, de manière à lui servir de béquille. Je, voyais, les autres, s'occuper encore des zombies, puis, nous prenions, tous, la direction, de la mairie. Nous, avions, encore du chemin, à faire, mieux, valait, éviter de trop trainer, pour notre, propre, sécurité.
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Sasha Hale-Bowman
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To the right, To the left We will fight to the death! To the edge of the earth It's a brave new world From the last to the first
Sasha ne dit rien a propos de cette histoire de double personnalité car elle même était le parfait exemple,après tout elle pouvait se séparer en deux sans problème mais peut de gens savait que elle et l'autre blond était en faite la même personne,tout comme la plupart de ne savait pas qu'ils étaient des démons,seul les êtres divins pouvais le deviner rapidement.
Ils étaient près a marcher plus loin quand un grand bruit résonna dans la ruelle,elle agrippa le katana plus fort,ses jointure blanchirent,elle n'avait pas peur,mais elle n'était pas non plus complètement rassurer.Le blond se tourna vers elle ,il n'eut même pas besoin d'ouvrir la bouche qu'elle savait déjà les questions qu'il voulais posez mais se n'était pas le moment de papoter au fond du ruelle,autour d'une poubelle.La soeur d'Agnès leur dit de courir et ladite Agnès se mit a courir avant de se casser la gueule royalement au sol,Charlie poussa un soupire et Sasha observa Ken' s'éloigner pour allez aider la petite brune,elle devrait peut être en faire de même n'est ce pas ? C'était la chose a faire ,sauver les gens en cas de danger et les aider en cas de blessure.
Mais les deux démons ne bougèrent pas d'un centimètre,sauver les mortelles n'était pas dans leur vocabulaire,c'était même pas envisageable,elle tourna la tête pour regarder son double quand elle entendit Kenshin lui demander de l'aider avec Agnès,bien sûr ,il fallait qu'il lui demande avec un surnom et il fallait que se soit lui et pas une autre personne ,comment voulez vous rester en retrait si la personne que vous apprécier le plus vous demande de l'aide,elle s'avança vers eux mais un rugissement d'avertissement retentis dans la ruelle ,elle tourna la tête vers l'ancienne lionne qui elle même était surprise d'avoir émit un tel bruit,c'était plutôt cool mais sa n'avais pas l'air d'être l'opinion de l'ex lionne.
"Vous êtes les choses les plus laide que j'ai vue de ma vie ...et croyez moi je connais l'Hydre et Cerbère.
Sasha tourna la tête pour remarquer des zombies s'avancer vers Ken' et Agnès mais avant qu'elle n'ait pu réagir l'ex lionne était déjà entrain de couper la tête d'un des zombies qui c'était approcher de trop près.Les deux démons affichèrent un petit sourire avant de reprendre la route en direction de la mairie,s'éloignant le plus possible du groupe de zombies qui était derrière eux.Ils étaient a présent dans une autre rue avec que des maisons autour d'eux,elles semblait vide.
"On ferait mieux de rentrer dans l'une d'elle pour qu'on regarde la cheville de madame casse coup ..."
Elle n'attendit même pas une réponse qu'elle défonça la porte de la maison la plus proche avant d'entrer a l'intérieur,suivit de près par le blond ,ils firent le tour du rez de chaussée,sa semblais vide.Elle donna le katana au blond pour qu'il aillent fouiller l'étage du dessus.Elle se mit a farfouiller partout mais il n'y avait rien qui ressemblais a une trousse de secoure,même pas un pansement,elle ouvrit un dernier placard et trouva un truc qui brillait ,une boite de pilulle contre la douleur.
"On se croirait presque dans Left 4 Dead,sans les cocktails molotov et les Boomer."
Elle prit un verre qu'elle remplis d'eau avant de retourner près des autres ,elle tendis le verre d'eau a Agnès tout en tendant la boite de pilule puis elle se tourna rapidement,ne lui laissant pas le temps de la remercier,elle n'avait pas envie de se faire remercier,déjà qu'aider une simple mortelle était proche de la limite alors se faire remercier était un pas de plus vers la ligne de non retour ,elle monta les escaliers pour rejoindre son double,lui au moins il n'avait pas besoin de quoi que se soit.
"Si ...je voudrais bien une pizza."Sa sœur afficha un sourire a cela."Si on s'en sort ,on ira dévaliser la pizzeria pour le moment on se contente de survivre..."
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Athénaïs du Chestershire
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| Conte : Alice au pays des merveilles | Dans le monde des contes, je suis : : The Moon in the sky !
Se retournant sur le trottoir, Agnès se laissait envahir par toutes les émotions négatives que son pauvre petit corps pouvait contenir. Voila, par sa faute, tout le monde allait mourir manger par des zombies. Génial, vraiment génial. Les yeux embués, elle ne remarqua même pas que Kenshin et Edith venaient de courir pour voir si elle ne s'était pas assommée. C'est le bruit d'un zombie qui approche qui fit lever la tête de la brune. Plissant les yeux, elle remarqua qu'il tendait les bras vers eux deux. « Mais il veut juste un calin ». Voila l'explication qui sortit de la bouche de la jeune fille. Mais oui bien sur, allons tous se faire caliner par un zombie. De toute façon, la lionne lui régla son compte, alors qu'elle sentit que Ken' et la jolie dame aux jolies cheveux l'aidaient à marcher.
Soufflant rapidement, Agnès essayait de ne pas trop s'appuyer sur ses deux soutiens. « Je suis désolée de t'avoir engueuler Ken', je sais que c'est pas toi. » Baissant la tête, la jeune fille pensa que c'était le dieu des licornes et des animaux qui l'a punissait pour avoir crier sur son ami. C'était bien fait pour sa tête, après tout ce n'était pas la faute de Ken' si Scrat était un petit animal beaucoup trop hyperactif pour le scientifique.
Regardant l'ancienne lionne, Agnès était quand même très impressionnée par le rugissement qu'elle avait poussé. « C'était vous la chef des lions n'est ce pas ? Parce que franchement vous gérez. » C'était sa façon de la remercier de l'avoir aidé par rapport aux zombies. Et oui, si la lionne n'était pas arrivée, que ce serait il passé ? Edith était trop loin pour attaquer les zombies, et Ken' s'occupait d'elle. Quand à l'autre fille, Agnès venait de lui tirer la langue alors qu'elle faisait un truc avec ses chaussures ce qui prouvait qu'elle lui avait été d'une grande aide.
Marchant tant bien que mal, Sasha proposa de rentrer dans l'une des maisons. Oui, c'était une bonne idée, Agnès hocha activement la tête. Même pas le temps de dire ouf, que la porte fut défoncé. Les jumeaux partirent inspecter la maison pendant que Ken l'amenait au plus proche canapé. Agnès s'affala dedans avec un grand soupir de contentement. Edith, inquiète arriva rapidement pour l'examiner. « Je vais bien, reposes toi un peu, toi aussi. » Attrapant la main de sa sœur, elle l'obligea à s’asseoir à ses cotés pour reprendre des forces. Quelques minutes après, Sasha lui tendit un verre d'eau avec des petites pilules. Immédiatement Agnès se mit sur la défensive. Non, les médicaments c'est le mal. Il ne fallait pas qu'elle les prenne sinon elle allait devenir comme les zombies dehors.
Cependant, Edith usa de tout son pouvoir sur elle pour la rassurer, lui disant qu'ainsi elle pourrait mieux avancer, Agnès fit une grimace et avaler le comprimé. Se posant un peu plus dans le canapé, la jeune fille commença à réfléchir. « Je veux bien qu'on aille à la mairie, mais normalement on aurait déjà du l'atteindre .. j'ai l'impression qu'on tourne en rond. » Tapotant le dos de l'écureuil, Agnès s'amusait de rien, même si le fait que la ville s'étire selon son bon vouloir l'intriguer au plus haut point. « Qui est Elliot ? Enfin qui est il pour pouvoir faire une chose comme ça ? » Agnès avait sans doute dit tout haut ce que certains pensaient tous bas. Et puis sincèrement, elle voulait savoir qui était ce jeune homme qui pouvait créer des morts vivants et modifier la ville comme ça.
Le temps passa, les connaissances s'approfondirent et la cheville d' Agnès qui était toujours enflée lui faisait moins mal. « Bon, je penses qu'on peut y aller, je penses que les médicaments font un peu effet. Alors au temps recommencer à marcher. » La petite troupe reprit le chemin inverse, et sortit de la maison. Apparemment il n'y avait pas que la ville qui était extensive, le temps aussi était étrange. De gros nuages étaient en train d'apparaître au loin. « Vala', il manquait plus que la pluie. On devrait se dépêcher .. ou prendre un zombie comme parapluie. » Et le groupe prit la route centrale de la ville, qui bizarrement n’arrêtait pas de s'étirer à l'infini.
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ft les gens & les zombies
De tout le temps que le groupe passa à se démener pour se mettre à l'abri, Kenshin retournait les paroles de celle qui semblait être une lionne dans sa tête, indécis. Il avait toujours considéré Scrat comme une tare, même si sans Scrat, Kenshin n'existerait pas. Mais maintenant qu'il était humain, qu'il avait passé vingt-huit dans la peau d'un homme austère, il n'avait pas envie de redevenir le cinglé de service idiot et sans espoir du monde des contes... Ce ne fut que son rugissement soudain qui le tira de sa rêverie, tandis qu'il se crispa tellement que ça en devint visible, digne d'un dessin animé. On aurait dit une statue de glace avec la grimace la plus improbable du monde. Le fameux gémissement étouffé à la Scrat s'échappa de sa gorge, et tout se déroula autour de lui sans qu'il n'en ait conscience, agrippé à Agnès. Rugissement 2.0, tête de zombie qui roule sur le sol, des gouttes de sang qui viennent tapisser sa belle chemise impeccable. Enfin, autrefois impeccable. Yerk.
« Aucun problème Agnès, je l'avais mérité. »
Il parvint enfin à se rétablir et se dégeler, et le groupe commença à bouger le long des rues, jusqu'à parvenir dans une autre ruelle où Sasha défonça une porte sans la moindre hésitation. Admiratif, les yeux de Kenshin se mirent à briller de mille feux, tandis qu'il s'imagina porter Sasha dans ses bras en mode princesse et défoncer une porte comme un héros aux valeurs sûres doté d'un sourire colgate et d'une aura de badassitude absolue. Tu vois Scrat, le jour où t'arrives à ce niveau, je serai tout à fait disposé à te donner de la crédibilité. Parce que pour l'instant, t'as que de la débilité. Ils entrèrent dans la maison curieusement inhabitée, et chacun vaqua à ses occupations ; Kenshin aida Agnès à s'installer sur le canapé avec l'aide d'Edith, Sasha et Charlie partirent explorer la maison à la recherche d'utilités, et les deux femmes félines s'assurèrent qu'il n'y avait pas de zombie surprise ou qui les avait suivi à l'intérieur. Et tandis que les deux soeurs s'entre-rassurèrent, l'ancien écureuil scruta nerveusement la femme lionne, et sorti son paquet de noisettes pour en grignoter quelques-unes, avant de prendre son courage à deux mains et de s'avancer vers elle.
« Vous savez... Je ne sais même pas si vous vous souvenez de ce que vous m'avez dit tout à l'heure... » Il se racla la gorge. Il devait reconnaître que Scrat ou non, ses compétences sociales n'étaient vraiment pas au point. Mais au moins, son hyperactivité déjantée avait fichu le camp quelques instants, lui permettant de conserver un relatif calme apparent. « Mais ça m'a fait réfléchir. Dans l'idée que si j'ai bien compris, vous étiez une lionne. Une créature d'une puissance rare et doté d'un tempérament et d'une intelligence. » Il fit une pause, effrayé de paraître insolent. « Moi, j'étais Scrat. C'est l'écureuil préhistorique le plus stupide, lâche et égocentrique que le monde ait porté et qui a un don miraculeux pour se sortir de toute situation mortelle au détriment ou au profit de ceux qui l'entoure. Il a fallu que je passe vingt-huit ans comme un humain pour m'en rendre compte. Alors je suis heureux que vous soyez capable de vous accepter sous vos deux formes mais... » Il acquiesça d'un air sûr, pour une fois. « Je ne suis pas prêt à faire ce sacrifice. »
Et sur ces mots, il retourna auprès d'Agnès, l'air distrait et maladroit, comme à son habitude, bien qu'il gardait une oreille tendue pour Sasha, en cas de besoin. Elle fit alors mention du jeu vidéo Left 4 Dead, qui tilta automatiquement dans l'esprit de Kenshin. Il se sentait plus comme dans The Last of Us ; et il espéra soudain trouver du gros scotch et un ciseau, histoire de fabriquer quelques couteaux de fortune. Quoiqu'en y réfléchissant, garder le ciseau tel quel faisait une arme tranchante des plus honorables.
« Elliot Sandman, c'est un ami à moi. Il est le gérant du laser game, et on passe beaucoup de temps à jouer aux jeux vidéos dans ma maison. Enfin, un peu moins depuis qu'il a eu un enfant... » Bien sûr, Kenshin n'était pas au courant de ce qu'était vraiment Elliot, soit, un Dieu, ou demi-Dieu, tout comme il ne semblait pas percuter que Sasha elle-même n'était pas tout à fait humaine. Il croyait qu'elle venait simplement du monde réel, sans avoir l'air de savoir qu'elle était surtout une démone et que son « frère » Charlie était en réalité la même personne. Et il osait considérer Scrat comme une autre personnalité... « Sasha a l'air de savoir qu'Elliot est capable de créer un tel « jeu », mais honnêtement, je n'arrive pas à croire que quelqu'un puisse avoir une telle puissance. »
Agnès fit remarquer qu'elle se sentait mieux, et le petit groupe s'extirpa du bâtiment, tandis que Kenshin se sentit à nouveau très mal à l'aise. Il piétinait sur place, poussait régulièrement des petits cris étouffés quand une ombre bougeait un peu trop à son goût, et collait Sasha et Charlie comme la glue, masquant difficilement son trouble. Allait-il mourir ? Signaient-ils leur arrêt de mort ? Est-ce que cette mission signifiait que sa vie allait se terminer ? Pour la première fois depuis très longtemps, Kenshin se vit soudainement face à la réalité. Il n'était plus dans un jeu en first person shooter face à des zombies assoiffés de sang ; il était un écureuil maladroit à la merci de zombies sanguinaires. Et l'un d'eux semblait particulièrement enclin à lui faire un câlin, à quelques mètres, se dirigeant vers le petit groupe les bras tendus.
« NOOOON Pas de câlin ! »
C'est pas à toi que je veux faire des câlins! Kenshin plaqua une main sur sa bouche pour retenir cette étrange phrase qui venait de lui traverser l'esprit. Depuis tout à l'heure, hormis de bref coups d'oeil ici et là, ses yeux n'avaient jamais quitté la silhouette de Sasha. Sasha. C'est pour ça qu'il se comportait comme un idiot autour d'elle ? C'est pour ça qu'il faisait des yeux de merlan frit depuis le début de cette aventure ? Scraaaaat... Quelqu'un hurla soudainement. COURREZ ! Courir ! Encore ! En face d'eux, un groupe de zombies trop câlins se faisait plus épais, bloquant de plus en plus la rue, et leur laissant donc une chance de plus en plus petite de prendre ce chemin pour rejoindre la mairie. Et tandis qu'ils courraient, Kenshin tenant Lucille d'une main et soutenant tant bien que mal Agnès de l'autre pour éviter de la perdre en route, ils parvinrent à passer, frôlant tout juste les doigts ensanglantés de leurs ennemis. Ils mirent une distance sûre entre eux et ces derniers, jusqu'à pouvoir reprendre leur souffle sur une petite place. L'ancien écureuil respirait comme un dingue. Pendant que les autres reprenaient leurs esprits, lui n'en pouvait plus de cette hyperactivité qui faisait battre son coeur à une vitesse folle. Ses mains tremblaient, et l'adrénaline parcourait son corps comme un circuit électrique. Mais ce qui était formidable avec l'adrénaline, c'était qu'il supprimait tous ce qui n'était pas nécessaire à la survie, et parmi ces choses, il y avait le questionnement, le doute incessant. Et alors que les premières gouttes de pluie tombèrent du ciel, comme annoncées par Agnès un peu plus tôt, Kenshin se dirigea d'un pas ferme et rapide vers Sasha et lui saisit les mains avant de chercher son regard, de s'y perdre et de pratiquement hurler sans réfléchir :
« SASHA ! VEUX-TU VENIR AU BAL DE NOËL AVEC MOI ?! »
J'aimais bien la petite brune, Agnès, elle avait un côté, vraiment attendrissant, qui faisait, ressortir, mon côté « maman ». Je lui fis, un sourire amusée, en guise de réponse à sa question. La chef, des lions. Oui, on peut dire ça, je pense. Tout, en l'aidant, à avancer, aidé, de l'écureuil, Sasha, proposa de rentrer dans l'une des maisons. J'hochais la tête, en signe d'accord, et avant de dire, ouf, elle avait déjà défoncé la porte. Un, par un, nous la suivions, entrant à l'intérieur de l'habitation. Heureusement, nous n'étions, pas dans la zone, où j'habitais. Je ne pense pas, que mes voisins, auraient beaucoup apprécié, que l'on défonce l'une de leur porte, et que l'on squate leur maison. En particulier, si j'étais incluse dans le lot. Je laissais, l'écureuil, et la sœur de la petite brune, s'occuper d'elle. Pendant, ce temps, je fis signe, à l'ex chat, de me suivre pour inspecter, s'il n'y avait pas de zombies, dans les parages. Usant, pour ce faire, de mon statut d'animal « roi de la savane » enfin, reine plutôt en ce qui me concernait. L'inspection, terminée, je revins, dans le salon, et vis l'écureuil, s'approcher de moi. Il me parla, au sujet de ce que je lui avait dit tout à l'heure. Évoquant, mon statut de lionne, ma puissance. J’eus envie de rire. Oh, oui, j'étais tellement puissante, que j'avais laissé Scar, monté sur le trône, sans agir. Trop, obnubilé, par ma peine. Je ne me l'étais jamais pardonné. Je laissais, quelques minutes, s'écouler, le temps de me plonger dans mes souvenirs, et émit finalement un son moqueur. Il, n'était pas destiné à l'écureuil, non, en réalité, il m'était plutôt destiné, à moi même :
- Juste, une petite question : Est-ce que vous connaissez le roi lion ? Je vais vous faire un résumé vite fait. Ça raconte, comme son nom l'indique l'histoire d'un lion. Ce lion, se nomme Simba. Au début, Simba est un lionceau espiègle, qui n'a qu'une hâte devenir roi, sans connaître toutes les responsabilités, qui incombent, à la tâche. Malheureusement, ça ne dure pas. Le père de Simba, a un frère, un frère rongé par la jalousie, et qui va jusqu'à tuer, son propre frère, et dire à son neveu, que ce qui est arrivé est de sa faute, pour devenir roi. Le disney, ne s'attarde pas sur le règne du dit frère, l'on voit juste une scène, où il annonce, la mort de son frère et de Simba aux lionnes, l'on montre quelques instants, la peine de l'épouse et la mère, et de la meilleure amie, puis on le voit monter sur le trône. La mère, de Simba, on en parle très peu. On, ne dit pas, qu'elle l'a laissé monté sur le trône, sans rien faire, alors qu'elle était encore reine, on ne montre rien, du désespoir qui l'anime, ni du fait qu'elle laisse les hyènes et son beau frère, régner en tyran, parce qu'elle n'a pas la force de se battre, parce qu'elle est trop faible, pour s'opposer à lui. Qu'elle, ne cherche même pas à savoir ce qu'il c'est passé, comment sont-ils morts, parce qu'elle est tout simplement anéantis !
J'avais limite crié ce dernier mot, la voix tremblante. Je chassais une larme, qui coulait sur ma joue, et après avoir prit une grande respiration, je reprit :
- Je le sais, car, cette lionne, cette mère, c'était moi. Alors, non, je n'étais pas puissante, je n'ai rien fait pour les miens
Je me tournais vers Agnès, et avec un sourire triste je lui dit : - Tu m'as demandé si j'étais la chef des lions, je l'étais, j'étais la reine de la terre des lions, Sarabi, c'était mon nom. Mais, je ne mérite pas ce titre, je n'aurais jamais dût laissé Scar, prendre la place de Mufasa. C'est moi, qui aurait dût le faire. Et, j'aurais dût insisté, au près de lui, qu'il me dise comment mon mari et mon fils, étaient morts. J'aurais peut-être su comme ça, qu'il avait tué le premier, et qu'il mentait au sujet du second, qu'il, était toujours vivant
Je me détournais, d'eux, et partit m'appuyer, contre un mur, les bras croisés sur ma poitrine, fermant, les yeux, pour chasser ces mauvais souvenirs. Safi, et Diky m'avaient dit qu'elles ne m'en voulaient pas, pour ce qui c'était passé. Safi, avait même été plutôt contente, que j'encourage, Nala à partir, loin de la terre des lions, pour chercher de l'aide. Ce qu'elle ignorait, c'était que j'avais aussi dit, à sa fille, de ne pas revenir si elle ne trouvait pas l'aide nécessaire. Et, que petit, à petit, j'encouragerais les autres lionnes, à le faire aussi, ainsi que ma famille. Mes sœurs, mes beau frères, mes neveux et nièces. Quand, à moi, j'étais prête à affronter Scar, à le destituer, si ça marchait, notre terre, redeviendrait, celle qu'elle avait été avant, et très probablement, aurais-je choisit l'un des neveux ou l'une de mes nièces, pour devenir le futur roi ou la futur reine, de la terre des lions. Si ça ne marchait pas, je savais, par quoi cela se solderait. Je serais, très probablement, allé rejoindre, Mufasa dans la mort. Notre passé commun, ne serait pas un frein aux ambitions de Scar. Je sais, parfaitement, qu'il ne m'avait jamais pardonné, le fait que je me sois détourné de lui, et que je sois tombé amoureuse de Mufasa.
La petite brune, fit savoir qu'elle se sentait mieux, aussi, nous remettions nous en route, sauf qu'évidement, nous avions un comité d'accueil. Des zombies, formidable. Mon attitude changea du tout au tout, et n'avait plus grand chose d'humaine, à vrai dire. J'étais redevenu une lionne, une lionne en pleine chasse, une lueur animale animait mon regard. Quelqu'un se mit à hurler « courrez », et tout le monde, se mit à le faire, moi y comprit. Mais, j'étais nettement plus rapide qu'avant. Il, semblerait, qu'il n'y ait pas que le rugissement que j'ai retrouvé, mais aussi, ma rapidité. Une fois, très loin des zombies, peu après que quasiment tout le monde ait retrouvé son souffle. L'écureuil, se mit à crier à l'adresse de Sasha, si elle voulait venir au bal avec lui. Instinctivement, j'éclatais de rire. Ca, n'avait tellement rien à faire là, que c'était vraiment à mourir de rire : - Vous, vous absentez pour aller chercher des noisettes alors qu'on est en pleine apocalypse zombie, et vous demandez à une fille de vous accompagner au bal, alors qu'on vient à peine d'échapper, à un groupe de zombie justement. Vous, êtes un sacré numéro. Mais, vous savez quoi je vous aime bien.
Je secouais la tête de droite à gauche avec un sourire amusé :
- Allez, avançons, nous avons encore du chemin à faire avant d'arriver à la mairie
Nous étions, encore loin du centre, en fait, nous arrivions, prêt de chez moi. Je me retins, de débarquer, dans ma maison, pour voir, s'il n'était rien arrivé à Samuel et Krystal. Il, avait retrouvé ses griffes, et elle était bien plus lionne qu'humaine. Ils, ne risquaient rien. De toute façon, au pire, je leur avait dit qu'en cas de danger, qu'ils aillent ou chez une de mes sœurs ou chez Anita.
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Lucy Fer-Cat
« Le chat maléfique de Cendrillon»
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| Conte : Cendrillon | Dans le monde des contes, je suis : : Lucifer
La jeune ancienne chatte vit que tout le monde se précipitait au chevet de la jeune femme qui était tombé à terre. Parfait... Elle espérait juste que ça ne dure pas éternellement évidemment. Chacun tenta de la rassurer et tout, sauf Lucy, resté en retrait. Enfin tout le monde sembla vouloir se remettre en marche, du moins, c'était ce qu'elle croyait car une des deux personnes qui lui avait accueilli prit une autre ruelle et y défonça la porte de la maison. Eh bien bravo. Evidemment, la jeune fille s'en fichait bien, elle avait elle-même fait pas mal de bêtises dans cette ville alors... Mais bon c'était pas un super exemple. En attendant, chacun entra dans la maison et fila de son côté. Les deux qui les avaient accueillis filèrent en haut, les deux autres décidèrent d'aider la plus jeune et Lucy se fit embarquer par l'ex-lionne pour un check des zombies présents ou non dans le coin. Lucy la suivit et fit ce qu'elle lui demandait. Après tout, c'était une lionne censée être reine d'après ce qu'elle savait ou comprenait.
D'ailleurs à leur retour auprès des autres celle-ci entreprit d'expliquer qui elle était et dans quel conte. Lucy écouta tout sans vraiment prendre des notes, elle s'en fichait bien que l'ex-lionne soit reine ou pas, elle notait juste que c'était aussi une féline. En plus, elle avait retrouvé son rugissement. Après son récit, elle fila se mettre contre un mur, assez meurtrie par tout ça. Depuis le début de leur aventure, Lucy n'avait pas dit grand chose, concentrée dans le jeu. Elle dit donc à ce moment:
-Eh bien très intéressant, tout ça!
Mais elle se doutait bien que personne ne l'entendrait ou ne l'écouterait... De toute façon, le jeu allait reprendre,non? La plus jeune dit qu'elle allait mieux . Aussi ils se remirent en route bien évidemment. Le comité d'accueil était des zombies bien sûr. Juste de quoi bien les relancer, quoi! Quelqu'un cria de courir et l'ancienne chatte ne se fit pas prier pour le faire, comme tout le monde. Par la suite, alors qu'ils étaient loin des zombies et qu'ils reprenaient leur souffle, écureuil cria à la blonde de venir au bal avec lui. C'était bien le moment de faire ça... L'ex lionne le remarqua aussi et se décida à lui faire des reproches de nouveau avant de dire qu'elle l'aimait bien. Lucy se décida à sourire et à suivre la marche sans rien dire de nouveau, juste en observant les querelles qu'elle ne provoquait même pas en rabaissant les autres. La lionne secoua la tête et ajouta qu'ils devaient avancer car ils avaient encore du chemin à faire.
Ils se remirent donc en route. Lucy ne connaissait pas bien ce coin de la ville et espérait qu'ils ne passent pas près du manoir des Trémaine. En tout cas, ils passèrent près de chez la lionne d'après les réactions de cette dernière. Enfin, tant qu'ils avançaient... Lucy tenait son rateau bien en main et avançait droit devant. Elle les fit avancer d'encore quatre kilomètres vers la mairie. Elle ne connaissait pas le quartier et espérait prendre la bonne direction. Après ces kilomètres, elle dit à tous:
-J'espère que vous savez où on va car je suis perdue dans ce quartier,moi!
(c) Spinelsuns
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Sasha Hale-Bowman
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Ksenia Solo
We were happy and it was all ... a lie
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Panique (le démon vert)
To the right, To the left We will fight to the death! To the edge of the earth It's a brave new world From the last to the first
Ils redescendirent les escaliers pour rejoindre les autres,ils arrivèrent au beau milieu du monologue de l'ex lionne ,ils n'avaient pas trop suivit de quoi sa parlais mais sa parlait de lion donc sa devait être l'histoire de la lionne peut être ,la brune se tourna vers son double qui lui suivait l'histoire en silence,elle secoua la tête avant d'attendre que tout soit terminer ,elle refit un tour dans la cuisine pour voir si elle n'avait rien rater avant de revenir sur ses pas,le monologue semblait être partis sur une note triste mais Sasha resta neutre,la tristesse n'était pas quelque chose qu'elle ou son double pouvait ressentir ,ils étaient des démons,ils n'avaient pas d'âme et encore moins des sentiments,enfin c'était compliquer.
Puis Agnès annonça qu'elle se sentait mieux donc ils quittèrent tous la maison ,une fois a l'extérieur se fut le moment de reprendre la course car les zombies étaient de retour.Après quelque minutes ils ralentirent un peut ,Sasha en profita pour voir si tout le monde était toujours la ,le blond était a ses côtés.Elle s’apprêtait a lui adresser la parole quand Ken' s'avança a toutes vitesse vers elle pour lui prendre les mains et pour lui crier son invitation au bal de noël.Elle entendit le blond ricaner derrière elle,elle leva les yeux au ciel avant de lui donner un coup de pied dans entre les jambes,pendant qu'il s'en remettais elle tourna la tête vers Kenshin avec un grand sourire au lèvre.
"Bien sur ...je ne suis pas sur de savoir se qu'on fait a un bal mais je serait ravis d'y allez avec toi mais c'est pas vraiment le moment de parler de cela ,on en reparle après que tout cela soit terminer."
Elle lui fit une bise sur le front avant de remarquer que les zombies s'avançais de nouveau vers eux donc elle lui lâcha les mains avant de pousser le blond avec elle en direction du zombie qui était le plus en avant ,elle s’apprêta a lui donner un coup de katana mais elle ne fut pas assez rapide ,le zombie la frappa en première dans l'épaule tout en la griffant et contrairement a d'habitude sa faisait mal,elle lâcha un grognement de douleur ,faisant tomber son katana au passage que le blond s'empressa de ramasser.
"Quel idée aussi d'y allez la tête la première comme cela ! On est pas invincible en plus ,si on crève a cause de toi ,j'attendrais qu'on soit en enfer pour t'étrangler."
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