« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Personne n'ouvrait, malgré mes cris. Qu'elle idiote j'étais aussi, d'avoir pensé que la personne qui nous avait sûrement envoyé le monstre aux centaines de bras allait nous accueillir dans ce temple aussi facilement. Moi-même, j'avais quelques temps plus tôt voulu blesser les personnes présentes en envoyant les combattre un bonhomme de neige géant. Qu'elle ironie de voir que maintenant, je faisais partie si l'on peut dire de ce groupe, attaquée moi aussi. Je prenais la place de la proie, et je me sentais horrible d'avoir tenté de tuer ces gens qui ne m'avaient rien fait et ne cherchait pas à me tuer. Du moins, pas encore. La petite voix cruelle qui se tapissait dans les ténèbres de mon esprit n'avait pas pu s'empêcher de se réveiller et de murmurer ses sombres paroles. Et si... et si tout cela n'était qu'un piège ? Pour me faire... quelque chose. Il y avait comme une barrière mentale, mais tout mon corps était empli de terreur pure. J'avais peur d'une chose dont je n'arrivais pas à me souvenir.
Je secouais la tête en tentant de penser à autre chose. Anna était là, elle ne chercherait jamais à me faire de mal. La tornade créée par Loann me rappela que je ne pouvais pas me morfondre dans mon coin, qu'un combat faisait rage. Le monstre ne mourut malheureusement pas, mais je le vis tout de même vaciller sous la puissance du souffle d'air. Je me relevais pour me mettre à courir comme le jeune homme me le criait, mais la menace fut stoppée quand l'une des créatures explosa, faisant comme pleuvoir de la poussière grisâtre.Un homme était apparu. Encore. Mais c'était quelqu'un que nous avions déjà vu, mais pas en chair en os. C'était ce dieu, Arès. Bien vivant, semblait-il. Et bien plus impressionnant que lorsque qu'il n'était qu'une apparition géante. Même d'où j'étais, et pourtant j'étais assez éloignée, je pouvais ressentir l'aura de puissance qui se dégageait de lui. Les dieux étaient donc vraiment réels ? J'avais du mal à y croire, toujours. Ou plutôt était-ce que je ne voulais pas y croire.
Des explications approfondies auraient été la bienvenue, mais il semblait qu'encore, tout ne devait être que énigmes. L'étrange homme qui avait pourtant été écrasé par la pierre ne répondait toujours pas à mes questions, et parlais encore une fois avec sa façon si particulière d'éviter les réponses directes. Je me faisais une raison, je n'aurai jamais mes réponses.
Mais son expression changea et je le vis prendre son arme. Ils sont là avec nous... voulait-il dire que les hommes en noirs allaient de nouveau nous attaquer ? Je me mis à regarder tout autour de moi, à la recherche éventuelle d'une présence tout autour de nous. Comme si il sentait la bataille à venir, mon pouvoir illumina mes paumes. Je n'avais même pas pensé à lui, et voilà qu'il n'en faisait qu'à sa tête. Au même moment, je senti quelque chose chauffer mon dos. J'étais toujours prêt de la grande porte et quand je me retournais, je vis que la glace avait prise une teinte rougeâtre, comme... chauffée ?
Je n'eus pas l'occasion de me pencher plus sur la question. Tout le monde s'agitait, la menace grandissant, même si on ne voyait toujours rien. Peut être qu'il n'y avait rien, que l'inconnu se trompait. À peine j'eus terminé d'avoir cette pensée que des jets de flammes apparurent dans le vide, se dirigeant vers nous. Les même que lorsque nous étions à la forteresse entourée de clôtures. Je jetai un coup d’œil à Anna pour voir si elle allait bien et m'éloignais de la porte pour te tenter de trouver où étaient cachés nos adversaires. D'étranges lueurs bleues, comme des flammes animées, se mirent à apparaître. Je les regardais, stupéfaite, et je me rendis compte tout à coup que où se trouvaient les flammes, des formes humaines commençaient à apparaître. Les hommes en noirs, c'était bien eux. Ils nous avaient retrouvés.
Avant que je puisse aider la rousse à l'arc, un jet de flamme se dirigea vers moi et les autres personnes présentes. Je sentis quelqu'un me pousser, et je me retrouvais au sol. Anna allait bien, heureusement. C'était elle qui venait de me pousser, empêchant le feu de me toucher. Je me relevais tant bien que mal, la tête me tournant un peu sous le choc. Ma sœur n'y allait pas de ma main morte ! Je jetai un regard aux alentours, cherchant de nouveaux les hommes en noirs. Les étranges feux bleus n'apparaissait pas toujours, ce qui était gênant. À croire qu'ils n'étaient que là pour la jeune femme au caractère incroyable.... Du feu se dirigea de nouveau vers moi, et avant qu'il ne m’atteigne, je tendis la main, ma magie jaillissant pour barrer la route au feu. La glace eu le dessus, et une étrange sculpture tomba au sol. J'avais gelé le feu. Quelque chose se produit à quelques mètres de moi, je vis l'air se brouiller. Tout à coup la silhouette d'un ennemi apparu, et sans attendre, je le visais. La glace le toucha, et son corps tout entier devint un sculpture de glace. Comme le premier que j'avais combattu, son état entraîna la mort. Plus je combattais, plus mon pouvoir semblait propice à tuer. Pour le moment, ce n'était pas un problème. Plus je pourrais tuer vite, plus ça serait un avantage.
Avant de me faire attaquer de nouveau, je me retournais vers le dieu . Il ne faisait rien... pourquoi il ne faisait rien, si il était un dieu ?
- S'il vous plaît, aidez nous. Laissez nous entrer. Si vous êtes vraiment un dieu, alors ce temple devrait être le votre, et il vous suffit de nous ouvrir pour qu'on puisse se mettre à l'abri. Je vous en supplie... selon cet homme, cette femme et moi avons un pouvoir divin, ça devrait être une raison évidente pour nous ouvrir, n'est-ce pas ? Nous... nous avons d'une certaine façon les même pouvoirs !
Je bafouillais, je le savais bien, mais je devais tenter quelque chose. Ces hommes de noirs vêtus étaient une menace, et si il était réellement un dieu, il nous aiderait. Ou alors, c'est que j'avais eu raison, les dieux n'étaient pas réels.
Le gardien était mort, ma fille sauvée et maintenant le groupe avait à me donner des explications claires. Certaines choses ne peuvent être pardonnées, celle ci en fait partie. Ce lieu était un havre de paix et il venaient de le bafouer. D'une certaine façons, je fus apaisé par la présence d'Hippolyte. Les aurais je tuer sinon ? Je ne sais pas. Après que j'eus crier donc pour avoir mes explications tous prirent la parole. Hippolyte commença par me demander de me calmer, sur un ton dur. Je ne lui répondis que d'un regard tout aussi dur. Certes je n'avais pas le droit de m'en vouloir, de me tenir tête, mais pas cette fois là. Puis elle le demanda cette fois ci moins sûre d'elle. Je suppose qu'elle avait peur de moi, je la comprends même si d'une certaine façon j'en suis peiné. Juste après elle m'informa que le responsable était l'homme à l'arbalète, ce que chacun approuva.
Et alors que chacun accusait l'homme présumé coupable je fus témoin de leurs réactions à tous et certains en étaient même très étrange. Je ne faisais que parler, certes j'étais en colère mais légèrement. Je suis plus curieux mais certaines choses doivent être respectés, le monde a un équilibre que ces immigrés ont pour l'instant assez rompu. Je n'avais fais que crier pour qu'il s'en aille, ils avaient tous l'air de savoir qu'ils n'avaient pas intérêt à trop la ramener. Tant mieux, je ne voulais pour l'instant pas leur faire du mal, juste les questionner. Ainsi, lorsqu'une des filles me palpa le biceps, je ni fis que la regarder avec sérieux. Il semblerait que ce soit la nouvelle copine d'Hadès, je la plaignis intérieurement.
Puis ce fut au tour de m'intéresser au mystérieux arbalétrier. Il se défendait très mal. Il était bien trop visible qu'il cachait quelque chose. Il parla d'ailleurs d'une " Elle " et du fait qu'il ne faisait que tous nous protéger. De plus, il parlait d'ouvrir la voie sans compter le manque de respect auquel il faisait part. Mais surtout il voulait entrer dans le temple ? Navré garçon mais non ... Je m'apprêta à le questionner quand la glace qui recouvrit le temple tourna au cramoisi. Mais qu'est qu'il se passe ? Les habitants de Storybrook avaient un don pour apporter les ennuis, ceux là ! Dans mon monde en plus, le monde où se trouvait tout ceux à qui je tenais. Je n'avais rien dis pour leur arrivée sur Terre, mais là venir comme ça sur un lieu divin et ouvrir la voie ... Ca ne me plaisait vraiment pas. Enfouissant encore de la colère, je ne pus qu'assister à de nouvelles attaques, cette fois ci des boules de feu.
Ils étaient invisibles et avaient eux aussi réussi à venir en ce lieu. Ils avaient attaquaient de toutes parts, chaque membre du groupe se défendant comme il put. Je décida à les laisser faire, pour être vraiment sûr qu'ils ne simulaient pas. Entre l'homme qui joue les mystérieux et la jeune femme qui avait résister au cavalier, j'avais largement de quoi me méfier. Finalement certains m'implorèrent de les aider, les emmener en ce temple construit par mes pères. Je poussa un soupir. La récréation avait durée assez longtemps. Des feux follets étaient apparus et je décida de commencer à agir en voyant le groupe se débrouiller. Cette fois ci, il était temps de devenir sérieux. Il me fallait réagir en tant que nouveau maître de l'Olympe. En un instant, je me décida. J'allais m'en servir pour la première fois. Alors sans rien dire et sans un bruit, le sceptre que je tenais dans ma main droite se changea. Il se transforma. Je détenais désormais cette arme qui avait jadis étaient le symbole d'un tyran. En mon poing, se tenait désormais l'Eclair originel, celle que possédait jadis l'ancien Roi de l'Olympe. Elle crépitait, je sentais en ma paume tout son pouvoir. De son immaculée couleur , l'Eclair prit une dimension avoisinant les quarante centimètres. Ma nouvelle arme je leva en l'air tout en entendant les plaintes des partenaires d'Hyppolite. Je cria de nouveau, mon cri devint encore plus fort, plus puissant :
CELA SUFFIT !
A mon appel, à mon ordre la foudre répondit, obéit. D'un flash éblouissant elle tomba au sol dans un grondement monstrueux. La foudre parcourut tout le sol, ne blessant aucun des camarades de mon enfant. La foudre avait recouvert le sol mais chaque membre de ce groupe, Hippolyte comprit, fut enfermé dans une cage faite de foudre divine. Assemblés de manière à ce que soit rassemblés mère et fils, sœurs, hommes ensembles et ma fille avec la compagne de mon frère. Les laissant être surpris, je leva ma main et devant le temple apparut quatre hommes. Tous se ressemblant, ils étaient mes soldats. De leurs deux mètres, ils regardèrent le groupe, armés de leurs armure grecque antique dorés, de leurs cheveux blonds ainsi que de leurs yeux bleus azurs. Je restais encore calme, ils combattraient les mages, je devais pour l'instant avoir des réponses. De plus, je ne voulais pas qu'Hippolyte me voit me battre, me voit succomber de nouveau à cette haine. Je pointa alors l'Eclair vers celui qui semblait être la cause tout ça :
QUI ES TU ? QUEL EST TON BUT ? DE QUI PARLES TU ?
Je criais à nouveau. Je devais être intimidant, je devais savoir. Sans qu'il n'ait le temps de répondre je regarda alors celle se proclamant déesse :
ET TOI ? TU TE DIS DONC DEESSE ?
Je souffla alors. Mes guerriers combattraient ces hommes boules de feu. Donc je pouvais au moins avoir le temps d'avoir mes réponses. Cette fois ci je me mit à parler d'une voix calme et sérieuse, les regardant chacun leurs tour :
Fini de jouer, vous allez tout me dire surtout toi le blondinet.
Je ne souhaitais pas d'autre surprise. Je leur fis face devant mes soldats, les observant tous.
Mes paumes me font souffrir. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas déployé autant de puissance d'un coup. Et ça me fait mal. Cette souffrance me montre à quel point combattre est une chose difficile. Mais il faut le faire pour survivre. Quitte à céder à la haine et au désespoir. Voyant que le monstre a été réduit en cendres, je me relève péniblement, voulant à tout prix rejoindre Elsa. Il ne faut pas la laisser seule. Plus jamais. Ma tête tournait tandis que des disputes éclatèrent entre le nouveau venu, le dieu Arès et le reste du groupe. Un nouveau flash me parvint et d'un coup, je fut aux côtés d'Elsa sans trop savoir comment. Qu'est-ce qu'il m'arrive? Je suis en train... de perdre quelque chose. Quelque chose de précieux. J'essaye tant bien que mal d'écouter ce que les personnes ont à dire, approuvant le fait que c'est bel et bien l'homme à l'arbalète qui nous avait emmenés ici.
Mais la suite des événements ne furent pas rassurants. Des hommes en noir attaquaient dans l'ombre, nous obligeant à utiliser tous les artifices à notre disposition pour nous défendre et riposter du mieux possible. La rousse put grâce à des feux follets abattre un homme tandis qu'Elsa en gela un autre sur place. Je m'apprêtais à me défendre quand une boule de feu me manqua d'un cheveux tandis qu'une autre m'éblouit et faillit encore une fois m'emporter le bras. Ma chair fut mordue par la gerbe de flammes qui s'écrasa sur le sol au loin. La panique s'empara de moi en un instant. Qu'il est loin le temps où j'avais l'habitude du champ de bataille! Je me relève et vois des éclairs apparaître tandis qu'une grande énergie ampli désormais les lieux. Les fissures de nouveau. Des soldats apparurent, prêt à combattre tel des soldats Spartiates. Nous sommes dorénavant emprisonnés.
Les flash recommencent. Et cette fois-ci, Max est devant moi, souriant. Je pousse un cri en tombant à terre. Le vent recommence à souffler de plus belle, pouvant devenir une tempête d'un moment à l'autre.
-Qu'est-ce que tu fais ici? criais-je paniqué
-Je viens te prévenir d'un petit problème.
Encore un flash. Max disparait pour apparaître devant moi, prêt de mon visage. Mon crâne me fait mal. Une force étrangère se brise en moi, sans que je n'arrive à en identifier la source.
-Ca fait mal hein? Et ce n'est que le début! Vois-tu, lorsque je t'ai libéré de l'oppression, j'ai rendu tes souvenirs inviolables. Personne ne pouvait te les retirer.
-Je ne comprends pas... Tu m'as rendu service? Ce n'est pas dans tes habitudes!
-Mais comment pourrais-je supporter que tu m'oublies? Je suis aussi le fruit de ton imagination Choupi! Moi qui t'ais tant aimé? Mais maintenant, mes pouvoirs ont manifesté leurs limites! Et tu sais ce que ça veut dire? dit-il comme si tout n'étais qu'un jeu.
Je n'osais rien dire. Je parlais à une illusion. C'est certains. Mais j'ai peur de ce qu'elle peut révéler sur mon état mental. Je sens le vent devenir de plus en plus fort. Plus violent, et plus féroce. Mais d'un coup, un souvenir me revint. Celui de ma première rencontre avec Messire Hubert. Attend? C'est ça la menace dont il parle? Cette menace que l'a dit Messire Hubert il a des années?
-Loann. Tu as de la haine ancrée au plus profond de toi, tu ne veux pas être différent. La haine des autres t'a torturé au plus profond de ton être. Mais il ne faut pas que tu cèdes. Je vais t'aider à maîtriser tes pouvoirs, et je vais t'aider à combattre cette colère. Te donner de bon souvenirs, que tu garderas au fond de ton coeur. Mais si jamais tu les perds, il ne restera rien de plus que ta haine. Ce pouvoir te consumera.
Non! Je ne veux pas! Je ne veux plus manifester cette haine au fond de moi! Je ne veux pas... Elsa doit elle aussi voir qu'elle peut se contrôler. Je veux lui montrer tout ça. Peu à peu, Max me devient inconnu puis, il ne devient rien de plus qu'un homme... Qui est apparut devant moi? J'ai encore perdu quelque chose d'important. Et je dois me dépêcher de rentrer à Storybrooke.
Jeremiel Othrys
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Juste après que Emma m'avait sauvée, je m'étais retrouvé enfermé dans une cage... Saleté de dieu ! Et dire que j'étais persuadé que ça serait Hadès le maître d'Olympe et non Arès. Les choses avaient pas mal changés entre ce que je savais et ce qui était. Mais une chose était sûre, quitte à lui montrer réellement qui j'étais, je ne comptais pas rester enfermer. Quoi qu'il en soit, l'apparition de ces gardes olympiens nous avait permis d'avoir la paix concernant les hommes en noir. Etrangement, ils s'étaient même arrêtés d'attaquer. Sans doute pour préparer quelque chose d'autre. Quand au monsieur, il voulait des réponses. Il allait donc en avoir...
"Elle ne se dit pas déesse, elle est une déesse. Comme Emma Swan et certains autres sorciers de leur monde. C'est juste que tu as les yeux bien trop fermées pour le voir."
Il était impressionnant avec ses soldats, mais si les hommes en noirs se montraient, leur nombre pourrait tout autant l'impressionner. Je savais pour eux, je me doutais qu'ils nous tomberaient dessus, mais ce que j'ignorais, c'était qu'ils nous conduiraient jusqu'ici. A savoir si c'était eux ou quelqu'un d'autre. Je me le répétais sans cesse, ce n'était pas le bon temple et je ne voyais pas du tout pourquoi on nous avait conduit ici. Les quinze temples qui peuplaient cet univers symbolisaient chacun un dieu différent. Quinze dieux, quinze temples. Celui où on devait se rendre n'était pas le temple de miss casse pied, et pourtant on était là.
"Ecoute, ils vont sans doute tenter quelque chose et même si ok, tes amis sont très impressionnant je doute que ça suffise. Laisse nous entrer dans le temple, nous mettre à l'abri et ensuite on pourra discuter."
Une fois dans le temple on sera non seulement en sécurité, mais on aura peut être aussi la réponse de pourquoi ce temple et pas un autre. Dans mes souvenirs, vue ce qui était écrit dans les livres, il s'agit du temple du savoir, même si il est normalement totalement vide. Mais il y avait sans doute un savoir de caché dedans. Quelque chose qui intéressait ces personnes, tout comme une chose qui pourrait nous intéresser, voir nous sauver. Il fallait entrer coûte que coûte et même si aucun homme pouvait en franchir la porte, ni même un dieu, il fallait le forcer à nous ouvrir, voir le faire sois même...
J'avais jeté un oeil autour de moi. Il y avait la glace sur la porte, les hommes en noir de caché, les feux follets encore en l'air... rien qui pourrait nous aider à entrer. J'avais regardé toutes les personnes présentent. Puis, mon regard c'était posé sur Henry... Le sang... Avant de regarder Hippolyte.
"Son sang coule dans tes veines..."
Beaucoup de choses étaient différentes, trop de choses, mais là ça jouait à notre avantage. Il n'était pas le seul à pouvoir nous faire entrer...
"N'oublie pas ce que je t'ai dit..." avais-je dit dit à Hippolyte de loin, avant de me tourner vers Arès. Elle pouvait nous ouvrir la porte et on aurait sans doute besoin d'elle ensuite pour nous aider à le calmer. Car avant d'ouvrir, il fallait déjà pouvoir se libérer et je ne voyais qu'une seule méthode.
J'avais jeté un regard vers les feux follets, leur commandant de foncer droit sur la glace qui recouvrait la porte. Ils briseraient la glace mais pas la porte, laissant le champs libre à Hippolyte pour nous l'ouvrir. Je m'étais tourné ensuite vers Anna, en lui indiquant sa soeur du regard. Une fois le maître d'Olympe pris au dépourvu, c'est là qu'ils en profiteront pour nous attaquer. Ils le craignent lui, mais pas nous. Une barrière de glace nous protégera suffisament longtemps pour nous permettre d'entrer dans le temple. Puis, je m'étais tourné vers Emma et une petite phrase était arrivée à ses oreilles sans que personne ne puisse l'entendre... "Il ne peut pas mourir..." Elle avait une arme, elle pourrait le surprendre si il venait à tenter de nous stopper... Ca nous laisserait quelques minutes le temps qu'il revienne... Arès n'était pas mortel, mais il n'aurait pas d'autres choix que de se régénérer si on venait à le tuer... Une petite ouverte c'était toujours ça de prit. Enfin, mon regard c'était porté sur Arès. Tout était prêt, il ne restait plus qu'à agir et la dernière chose, c'était moi qui devrait la faire.
"Je ne suis pas ton ennemi..."
J'avais fermé les yeux, me concentrant et cette fois ci je n'avais pas d'autres choix que d'utiliser mes pouvoirs. Il devait sentir ma force, sentir mon aurat et avoir une partie des réponses. J'étais sûr que ça finirait mal, mais il aurait dû ouvrir la porte. J'aurai pu l'attaquer, mais les hommes en noir auraient fait de même. Ils avaient plus d'un tour dans leur sac et nous aussi... Hippolyte, Anna, Emma... Chacune avait un rôle à jouer sur notre tentative d'entrer dans le temple. Il fallait que ça se passe bien et vite. Une fois mon maximum atteint, j'avais ouvert les yeux et les barrières d'éclairs étaient tombées en poussière, tandis que j'avais failli tomber par terre. Trop de puissance, trop d'énergie... Ca n'avait eu que pour effet de m'affaiblir grandement. Je ne pourrais plus faire grand chose pour le moment. Etrangement, c'est là qu'un humain ordinaire se serait mis à... prier. Mais je n'étais pas un humain ordinaire et je n'avais pas de dieu à prier.
"Plus... que 2..." avais-je marmonné pour moi même.
Hippolyte Sherman
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| Avatar : Shelley Hennig
Arrête de t'en faire. Je suis là maintenant, ok ?
Tu m'as vraiment manqué Peg !
| Conte : Inventé | Dans le monde des contes, je suis : : la fille d'Arès.
Angela && Loann && Henry && Elsa && Emma && Hippolyte
Le dieu de la guerre était vraiment en colère. Il avait une voix puissante, une carrure imposante. Et l’arme qu’il tenait dans sa main était très dangereuse : L’éclair de Zeus. Elle s’était agrandit et Arès l’avait levé en l’air, comme pour invoquer quelque chose. Et ils eurent rapidement l’occasion de voir ce qu’il venait de faire apparaître ! Un flash aveugla tout le monde. Hippolyte se protégea les yeux en mettant son bras devant. Et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle retrouva doucement la vue : une cage. La demi-déesse regarda autour d’elle. Le vent semblait soufflé de plus en plus fort. Il s’agissait certainement de Loann. D’ailleurs, il était au sol, comme si quelque chose n’allait pas. Il était enfermé avec l’inconnu. La gentille rouquine était avec la reine des neiges, et Emma avec Henri. Hippolyte, elle, était enfermé avec Hope. Non pas qu’elle n’aimait pas la compagnie de la rouquine rebelle, mais cet emprisonnement lui était insupportable. Hippolyte évita de poser des mains aux barreaux. Par contre, elle n’allait pas hésiter à ouvrir sa bouche pour clairement faire comprendre à son père que c’était totalement idiot ce qu’il faisait là ! « D’abord tu m’abandonnes, puis maintenant tu m’enfermes dans une cage ? Quel genre de père es-tu ? » Oui, ça pouvait faire mal ce genre de parole. Mais elle ne supportait pas cette situation. Et il fallait qu’il le comprenne. Cette situation l’emmerdait tellement qu’elle avait parlé, ou du moins crié alors que l’inconnu et son père étaient en pleine conversation. Hippolyte se calma légèrement. Il le fallait parce que les conséquences pourraient être dramatiques si elle se mettait en colère. Et ça, son père le savait. La jeune femme écouta l’inconnu qui venait de s’adresser à elle. Le sang d’Arès coulait dans ses veines. Immédiatement, son idée d’ouvrir la porte avec son arme refit surface. Sauf qu’elle décida de changer quelque peu sa première idée. Il fallait utiliser son sang, comme avec Henri. Mais comment sortir de cette cage ? Hippolyte n’en n’avait aucune. La rouquine rebelle non plus. Mais l’inconnu avait plus d’un tour dans son sac. Qui était-il ? Cette question lui brûlait les lèvres, et n’arrêtait pas d’envahir ses pensées. Comme par magie, les barrières divines furent réduites en cendre. Comment cela était-il possible ? Qu’importe. Il n’y avait pas de temps à perdre. Il fallait entrer dans ce temple. Et si ce n’était pas Arès qui allait leur ouvrir le passage, Hippolyte le ferait. « Désolée ! » Son désolé était adressé à son père. Oui, elle s’excusait d’agir comme bon lui semblait. Elle s’excusait d’avance car elle savait que son père n’allait pas apprécier. Aussitôt dit, Hippolyte se précipita vers la porte qui avait décongelé. La demi-déesse prit sa lance et se coupa la main. Grimaçant légèrement, elle posa sa main sur la porte. Mais rien ne se produisit. Crotte. Qu’avait-elle oublié ? Qu’est-ce qu’il n’allait pas ? La jeune femme décida de poser sa lance sur la porte. Mais toujours rien. C’est à ce moment-là qu’elle se souvint des paroles de l’inconnu…ces paroles qu’ils répétaient sans arrêt. « Paix et Bonheur. Gloire et Triomphe. » Toujours rien. Hip commençait à prendre espoir. Elle tourna la tête afin de regarder ce qu’il se passait derrière. Et c’est en observant son père que la solution lui vint à l’esprit. C’était un temple grec, il fallait lui parler en grec, évidemment ! La main et la lance toujours contre la porte, Hippolyte décida d’essayer en grec ancien. « Ειρήνη και ευτυχία, δόξα και θρίαμβος » Merci les cours de Grec Ancien au lycée. Elle qui avait toujours pensé que c’était inutile, et bien non ! Mais est-ce que ça allait fonctionner ? …
love.disaster
Emma Swan*
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| Avatar : Jennifer Morrison
| Conte : Once upon a time | Dans le monde des contes, je suis : : la fille de Blanche et Charmant
Plus je suivais la conversation plus je me disait qu'ils avaient surement tous du fumer quelque chose de pas claire car Elsa venait de balancer qu'elle et moi avions un pouvoir divin,peut être que la glace lui était monter au cerveau et qu'elle commençais a délirer,je tournais la tête pour la fixer du regard comme si elle était folle avant de reporter mon attention sur Arès qui lui venait de sortir un éclaire et de le faire grandir,surement celui de Zeus,si jamais il l'utilisais nous passerions surement un sale quart d'heure.
En tout les cas il avait ramener du renfort car les hommes en noirs était occuper avec les soldat qu'avait fait apparaitre le dieu de la guerre.Puis sans même qu'on est eu le temps de réagir nous étions a présent enfermer dans une cage,je me rapprochais d'Henry pour qu'il ne touche pas ladite cage.Puis tournais mon regard vers l'homme mystère ,enregistrent que lui aussi me disait déesse ,ils avait tous péter un plomb ?.
"Mais je n'ai rien de divin ...Elijah m'en aurait parler la première fois que je l'ai vue ..ou même Judah quand je l'ai vue aussi ..enfin Hadès me l'aurait dit...je suis juste magique mais c'est tout."
Je secouais la tête puis me tût ,j’aperçus le jeune homme qui lui aussi semblait en plein délire,puis j'entendis l'homme mystère me parler,m'indiquant qu'Arès ne pouvais pas mourir,je fronçais les sourcils,avant de jeter un coup d’œil a mon arme avant de regarder Arès,sa ferait peut être une bonne distraction,je bougeais le bras pour pointer mon arme en direction du Dieu de la guerre avant de baisser mon bras,il n'était pas question que j'ai le dieu de la guerre sur le dos,sa serait suicidaire et je ne l'était pas.
Puis la cage disparue enfin ,il allait falloir qu'on rentre de nouveau en action,je fixais du regard l'homme étranger qui lui avait faillis se retrouver au sol,il avait l'air mal en point,allait-il bientôt mourir ? Pas le temps de chercher des réponses ,je me tournais vers la jeune demi déesse qui c'était précipiter sur la porte,je vérifiais combien de cartouche il me restait avant de me préparer mentalement si jamais on devait encore se battre contre les hommes en noir.
(c) sweet.lips
Anna D'Arendelle
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HERE WE GO AGAIN
| Conte : La Reine des Neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Anna
Is it a dream ? All the ones I have loved calling out my name. The sun warms my face All the days of my life, I see them passing me by
Une chose, était sure, on ne rigolait plus. Arès, semblait très en colère, et il semblait menaçant. Une chose, était clair, il n'était, pas le dieu de la guerre pour des prunes. Il brandit, une arme, qui ressemblait à des éclairs, j'essayais de fouiller au plus profond de ma mémoire, pour me rappeler, de ce que c'était, et ce fut finalement, le flash. L'éclair de Zeus. Je déglutis, péniblement, ce truc, était affreusement, dangereux, et les dieux, n'avaient jamais été des tendres. Enfin, du moins, dans ce que je me souvenais, des mythes que nous avions abordés en cours d'histoire et de littérature. J'espérais, qu'il y avait une part de « mythe » justement, et que le fait, que nous soyons avec sa fille, fasse en sorte, qu'il ne nous carbonise pas, avec son éclair géant. Je, n'avais, pas très envie de me prendre la foudre. Pas, alors, que je venais de retrouver Elsa. Et puis, un flash lumineux, nous aveugla, et je me retrouvais, dans une cage, avec Elsa. Arès se mis à lui crier dessus, et je n'aimais pas son ton, c'était comme s'il sous entendait, qu'elle disait ça, uniquement pour se faire mousser. Je fronçais les sourcils et me mit à crier à peu près aussi fort que lui :
- ELSA NE SE DIT RIEN DU TOUT ! JE VOUS INTERDIT DE LUI PARLER SUR CE TON !
J'inspirais profondément pour me calmer et reprit d'une voix un peu plus posée :
- Tout ce que nous savons, c'est qu'Elsa, a un dont, elle peu contrôler la glace, c'est un dont de naissance, elle est la seule à l'avoir dans notre famille. Personne, ne l'a eu avant elle. Nous ignorons, d'où il vient. Alors, pourquoi ne pourrait-il pas être divin ?
Je le défiais du regard, pas sure que ça soit, une bonne idée, mais personne, n'avait le droit, de s'en prendre à Elsa, et de sous entendre, qu'elle racontait un mensonge juste pour se faire bien voir :
- Êtes vous donc, à ce point orgueilleux, pour penser, que seule les « dieux » peuvent avoir un dont, divin ? Vous connaissez tout sur la magie et ses origines peut-être ?
Elsa, à côté de moi, s'agitait et me faisait signe de me taire, je savais, qu'elle craignait, pour ma vie, mais je m'en moquais, je n'avais plus rien à perdre. Elsa, durant toute ma vie, c'est toi qui as voulu me protéger, à présent, c'était mon tour. Néanmoins, je passais, mentalement, en revus, les déesses, du panthéon grec et me décidait à prier Artémis. Ils étaient frères et sœurs, dans la mythologie, avec Arès. Qui sait, peut-être étaient-ils, super proche, et que si elle apparaissait, devant nous, elle saurait le calmer. Je secouais, la tête, je divaguais. Emma, elle protesta, elle affirmait, n'avoir rien de divin, sinon Hadès, l'aurait remarqué. Peut-être que Hadès, n'avait pas su le voir. Après, tout, Arès aussi était un dieu, et il semblait, trouver cette histoire ridicule. Moi, j'y croyais. Cela, expliquerait, l'origine, des pouvoirs de ma sœur, et pourquoi elle était la seule à les avoir. Petite, j'avais, un jour vu mes parents, consulter l'arbre généalogique, de notre famille, je les avaies entendu mentionner, des mots tels que « personne », « elle est la seule » « aucun autre cas avant ». Bon, d'un côté, notre cousine Raiponce, avait aussi des pouvoirs, avec ses cheveux. Mais, d'après, ce que, j'avais compris, c'était encore différent. Ce, serait dût à une fleur, que ma tante avait bût en infusion ou quelque chose comme ça, quand elle était enceinte. Mais, pour mes parents, je n'avais, alors, pas comprit, pourquoi, ils épluchaient les registres royaux. Aujourd'hui, cela prenait tout son sens, ils essayaient, de déceler, si les pouvoirs d'Elsa avaient une origine. C'est pour cela, que je croyais, ce que l'homme étrange disait. Il, avait été clairement, établit, qu'il, n'y avait jamais eu d'antécédent avant Elsa, dans notre famille. Cela, voulait forcément dire quelque chose :
- Traitez moi d'idiote, de rêveuse, ou de naïve, dis-je à Arès, mais moi j'y crois, peu importe ce que vous en pensez
La cage, disparu soudainement, je jetais un regard à la brune, la demi déesse, la porte était ouverte, puis je me tournais vers ma sœur :
- Elsa, si tu nous crée une barrière de glace, nous aurons le temps d'entrer dans le temple, avant que les hommes en noir nous atteignent
Je lui attrapais, ses deux, mains, froides, que je serrais dans les miennes, qui semblaient étrangement chaude : - Elsa, je sais que tu peux le faire, je crois en toi, j'ai confiance en toi
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Jeremiel Othrys
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Pendant que la jeune femme rouspétait, la porte était en train de s'ouvrir. La jeune femme avait tout compris et elle avait réussi à nous faire entrer. Du moins, pour le moment on attendait encore devant, mais ce n'était plus qu'une question de secondes. J'avais pris le temps de bien respirer, pour retrouver mon calme petit à petit et ma concentration. Mon énergie revenait petit à petit.
Tenir tête ainsi au maître d'Olympe, c'était quelque chose de magique à voir. Pour une petite femme qui ne semblait pas en avoir dans le ventre, elle savait s'imposer. Je lui avais adressé un petit sourire, quand j'avais sentis mes forces revenir. Puis, je m'étais approché de la porte du temple, tout en jetant un regard en coin à Arès, avec un petit sourire en coin, lui aussi. Il s'en était pris plein la tronche. Je n'avais rien contre lui, mais je n'aimais pas son côté gueulard.
Mon arbalète était toujours accrochée à mon dos, quand j'avais passé ma main dessus afin de la prendre. Ensuite, je l'avais laissée à l'entrée du temple, les armes n'étaient pas les bienvenues dans ce genre d'endroit et j'avais été le premier à en franchir la porte, passant devant la demi déesse. D'ailleurs une fois devant elle, je lui avais fait un petit clin d'oeil.
"Bien joué..." avais-je murmuré avant de me retrouver nez à nez avec une immense salle et des sorties à tous les coins, menant à de grands couloirs. Là où on était, tout était vide, à croire que ça n'avait jamais habité. J'avais humé l'air, je savais où me dirigeait et je me doutais que lui aussi le saurait...
Henry D. Mills
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Les choses se compliquaient vraiment... D'abord, il y avait eu les attaques des hommes en noir. Henry s'était caché derrière Emma qui l'avait protégé, avant que le méchant dieu de la guerre ne se mette enfin en colère et finisse par les mettre en cage, littéralement. Toujours avec Emma, Henry allait donc toucher les barres d'éclair. Mais bien évidemment, sa mère l'en empêcha. Comment allaient-ils donc sortir de là ?
-C'est pas juste... Moi je voulais juste faire l'opération Blanche-Neige et je me retrouve coincé avec des adultes même pas drôles...
Le gamin croisa donc ses bras sur sa poitrine, blessé dans son égo, avant que les barres en éclair ne tombent. Ils étaient libres et... Il fallait s'élancer dans le temple qu'Hippolyte venait d'ouvrir... Ok, c'était de plus en plus étrange ce truc... Le gamin se mit de même à courir pour suivre Emma, avant de se retrouver dans un genre de hall d'entrée, avec plein de directions. Sérieusement, ils n'étaient pas plus avancés maintenant...
Ma tête tourne. Et des voix m'incite à la guerre. Encore des voix. De la haine que je dois refouler. Tout se passa très vite. J'eu à peine le temps de me relever et d'essayer de me concentrer de nouveau sur ma tâche que la cage d'éclair disparut d'un coup et la porte put enfin s'ouvrir grâce à la fille d'Arès. Je sens encore mes souvenirs se perdre. Et cette perte me pèse sur le coeur mais je ne peux plus savoir pourquoi. Mais il me reste encore Elsa. Je dois survivre et rester auprès d'elle. L'aider à combattre sa peur. Maintenant, je comprends pourquoi l'homme étrange me parlait de courage. Il m'en faudra, pour aider tous le monde tout en restant le plus sain d'esprit possible. "Ils ont voulu me tuer..." Non, ce n'est pas vrai! "Ils m'ont menti..." Du calme. Tu dois rester calme. Une boule de feu fusa sur Elsa et Anna. En un geste, je put éteindre la flamme en baissant la pression de l'air. Mais mon pouvoir s'emballe et une lame d'air faillit taillader la Reine des Neiges et Anna. J'au tout juste le temps de la diriger en l'air, éclatant quelques rochers au passage qui faillirent nous toucher de plein fouet. Je tente de rattraper mon coup réduisant les rochers en poussière. Mon bras fut tailladé ainsi que mon dos. Je sens que je vais beaucoup souffrir avant de sombrer dans la démence. Mais je ne veux pas. C'est tout simplement inconcevable que je puisse finir tel un monstre. Étouffant une plainte, je jette un oeil rapide à Elsa et Anna.
-Vous allez bien?
Un flash. Encore. Puis nous fûmes devant la porte, j'avais prit la main d'Anna et Elsa afin qu'elles puissent entrer. Mais la mélancolie me vient. Je deviens triste pour un événement que j'ai oublié! Je sentis des larmes couler le long de mes joues. Je me retourne pour faire face à Elsa. Dois-je lui dire dans quel état je suis? Non. Elle a un fardeau bien trop lourd pour l'instant. Mais si je deviens un monstre? Elle ne le supportera pas. Pas du tout. Mais ce sera la seule et unique façon de lui montrer à quel point elle reste humaine malgré ses pouvoirs. Je m'approche d'elle, le regard sans doute paniqué. Il faut que je lui dise si tout veux marcher.
-Je... Je suis en train de perdre mes souvenirs en ce moment même. Et... Toute à l'heure. Je t'ai dit que tu étais l'un des plus beau souvenirs que j'ai eu. Mais maintenant, je ne veux pas tout perdre. Je déglutis en pensant à ce que j'allais dire ensuite.Dès que je perdrais tous mes souvenirs, je deviendrais un monstre. Un véritable monstre emplit de haine. Mais je ne veux pas devenir ce monstre. Alors... Je ferais tout pour ne pas vous toucher. Et si Arès veut me tuer, qu'il le fasse. dis-je en regardant le Dieu devant moi.
J'ai l'impression de lui imposer un lourd fardeau. Car rien n'est plus dur que de voir quelqu'un mourir sous ses yeux. Mais je n'aime pas du tout ce que je ressens en ce moment même. Cette haine qui me ronge et veut hurler. Mais elle hurle en moi. Pour mieux me détruire. Empoignant mon épée je commence à suivre l'homme mystérieux. Celui qui a réussi à déployer cette force contre les cages d'éclairs. De long couloirs s'offrent à nous et je ne sais pas où aller. "Ils te mentent!" Cette phrase se répète en boucle dans mon esprit. Je crois reconnaître qui me dit ça. Mais je ne peux plus dire son nom.