« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
L'homme derrière les grilles n'avait pas réagi à ma demande de protection, et l'inconnu à la façon de parler si mystérieuse m'avait ramené vers le groupe, sans prendre garde aux menaces de celui qui semblait être le seigneur des lieux. Je n'avais pas pu m'empêcher de jeter un coup d’œil en arrière, ayant du mal à m'arrêter de fixer l'arme au bruit comme le tonnerre qu'il tenait entre ses mains. Ce monde était étrange, dangereux. J'avais de la magie en moi, j'étais plus qu'une simple humaine, la peur et le danger était mon quotidien. Pourtant, je trouvais cet endroit bien pire. Notre « guide » venait de tuer tout les hommes habillés de noir avec les pierres qu'il contrôlait par sa magie, pourtant personne ne semblait s'en offusquer. Ça ne me faisait rien non plus, mais les personnes venant de Storybrooke semblaient être trop facilement habituer aux meurtres et à ce genre de situations. Je ne voulais pas que ma sœur ait vécue pendant tout ce temps dans ce genre d'endroit, à côtoyer les morts et devoir tuer sans cesse pour se défendre. J'avais espéré qu'elle serait en sécurité loin de moi, qu'elle vive une vie normale. Pas... ça.
- Que ce que vous voulez dire par « pouvoir divin » ?
J'avais posé ma question à l'homme, les sourcils froncés en entendant sa façon de nommer ma magie. Elle n'avait rien de divine, elle était plutôt monstrueuse. C'était un cadeau empoisonné, une malédiction, rien d'autre. Je n'en su pas plus, l'individu ne me répondit pas, trop occupé à ramasser les pierres et s'occuper des autres personnes.
J'aurai voulu m'éloigner du groupe pour être un peu seule mais le jeune homme que j'avais sauvé de la chaleur s'approcha tout prêt de moi, essayant de me rassurer, de me parler. J'évitais autant que possible de le regarder, baissant la tête pour observer l'herbe jaunâtre à mes pieds. Je ne veux pas entendre ce qu'il dit, tout est si vrai. Il me parlais comme si il me connaissais, et sa voix me rappellait quelque chose, mais ça me fait mal. Il vient peut être de mon passé, hélas tout est encore remplis d'ombres dans mon cœur et mon esprit. Je ne veux surtout pas découvrir ce qu'il s'y cache.
Un mur apparu tout à coup, comme par magie. D'étranges symboles recouvrait la surface, comme un langage inconnu, codé. Je tentais de déchiffrer ce qu'il y avait de gravé, mais tout cela n'était pas possible à traduire pour moi. Les autres personnes s'activaient, mais je restais toujours à une distance raisonnable d'eux, même si le jeune homme était toujours à mes côtés.
- Je n'en sais rien, jamais encore je n'avais vu de tels symboles. Je n'ai aucune idée de pourquoi ce mur est apparu... je n'ai même pas idée de pourquoi je suis ici, avec vous tous...
Je sentis mon cœur se serrer de désespoir, tant j'avais peur de connaître le dénouement de tout ce qui arrivait en ce moment. Je ne voulais pas savoir, je voulais juste que tout cela se termine, que je puisse enfin partir.
Je voulu m'éloigner encore plus, pourquoi pas même tenter de partir, mais avant même que je ne puisse faire un pas, le décor changea de nouveau. L'étrange forteresse entourée de hautes grilles était désormais remplacée par un temple pratiquement recouvert par la nature devenue sauvage. Je n'avais jamais rien vu de tel de mes propres yeux, il n'y avait pas ce genre d'architecture à Arendelle. J'avais pu voir une illustration semblable à cet endroit dans un livre, lors de mon apprentissage en tant que future reine. Impossible de nier que malgré le mauvais état apparent, ce temple était superbe, grandiose même. Pourtant, il ne nous expliquait pas pourquoi nous étions désormais en ces lieux.
Anna posa la question la première, et la jeune femme rousse à l'arc lui répondit d'une façon qui m'offusqua. Au vu de ses habits, j'aurai dit qu'elle était pourtant de sang royal. Mais jamais une princesse n'aurait parlé de la sorte. Et elle n'avait surtout pas le droit de parler d'une telle façon à ma sœur.La lueur glaciale de ma magie illumina mes paumes, mais je serrais les poings en prenant sur moi , résistant à l'envie de laisser le pouvoir la geler pour ne plus jamais l'entendre parler ainsi d'Anna.
Elle se dirigea vers une porte et se mit à parler avec des mots étranges, avant de dire d'une voix forte un dernier mot, comme si celui-ci allait tout résoudre. Pourtant, la porte restait close. Je levais un sourcil en voyant qu'elle n'y arrivait pas et me dirigeais à mon tour vers la porte. L'homme qui semblait être celui nous transportant à chaque endroit expliqua que ce temple était divin. Je posais les mains sur mes hanches et me retournais vers lui, fronçant de nouveau les sourcils.
- Vous avez parlé de mes pouvoirs comme étant divins, et maintenant ce temple le serait aussi... je ne crois pas aux Dieux, je ne pense pas qu'ils existent. Mais que ce qui vous fait dire que cet endroit à quelque chose de divin ?
Je n'attendis pas sa réponse, certaine de ne pas en avoir, et tandis plutôt une main vers la porte pour poser ma paume à plat dessus. Ma peau entrait en contact avec le relief des étranges symboles, mais rien ne semblait se passer. Seule la glace commença à recouvrir la porte, comme à chaque fois que je touche un objet. Je retirais rapidement ma main et m'écartais du temple. Je ne voulais pas le geler entièrement. Surtout si je ne pouvais rien faire pour l'ouvrir.
Bien. Maintenant que nous sommes arrivé dans un endroit trop normal à mon goût, nous voilà dans un temple divin. Il s'est passé tellement de chose depuis une heure que je ne me soucie plus de savoir ce qui est normal ou pas. Je dois rester concentré pour accomplir ma mission. Même désarmé. Je vis Elsa, toujours totalement perdue mais essayant toujours de protéger sa soeur quoi qu'il arrive. Parfait. Je dois l'empêcher de sombrer encore plus bas car sinon, je m'en voudrais réellement. Je suivis Elsa, tentant tant bien que mal de la suivre. En théorie, elle m'a totalement oublié. Et rien que tout ceci me fait mal. Pas qu'elle m'ai oublié mais qu'il lui soit sûrement arrivé des choses pour qu'elle en vienne là. De leur côtés, Anna, la rousse et l'autre blonde à la lance continuait leur chemin. Je me retint de dire quoi que ce soit face à l'insolence d'une des femmes envers la soeur d'Elsa. Discrètement, je fit tomber l'archère, manipulant une brise assez puissante pour qu'elle se retrouve sur les fesses. Une farce enfantine mais justifiée. Ceci empêchera sans doute Elsa de se mettre en colère pour de bon.
Une immense porte trône au bout d'une allée somptueuse. Certes, le temple semble vieux mais il est très bien conservé. Et cette puissance. Je la ressens dans tout mon être. Quelque chose se cache ici et veut en sortir. Du moins, j'en ai l'impression. C'est ce que Lise appellerait une fissure de l'espace temps voulant s'ouvrir complètement pour laisser s'écouler sa puissance. Et quand il s'agit de dieux, je crois que l'on peut raisonnablement penser que ces "fissures" sont d'une puissance inouïe. J'entendis alors de la glace se former. D'instinct, je me retourne et vit Elsa totalement paniquée tandis que la porte se gelait. Les "fissures"... Elle sont en train de craquer! J'accours vers Elsa qui commence à vouloir des explications de la part de l'homme nous ayant emmené ici. Un pouvoir divin? Pourtant, j'étais presque sûr que ses pouvoirs étaient cosmiques! Je me serais trompé? Pas le temps de réfléchir, je sens que des ennemis ne vont pas tarder à venir à notre rencontre. Un silence règne d'un coup. Tout près d'Elsa, j'essaye de la rassurer.
-Ecoute, je sais que tu ne te souviens plus de moi. Mais on doit se faire confiance. Tu es l'un des plus beau souvenir que j'ai dans le monde des contes et il n'est pas question que je te perde une nouvelle fois. Je ne veux plus que tu redevienne un souvenir.
L'air commence à bouger autour de moi. Je suis prêt à me battre et elle doit l'être pour que nous puissions survivre. D'un coup, un homme géant apparut et répéta en boucle le même message: "Vous êtes à Paphos, un lieu protégé. Quittez cet endroit sur le champs, ou vous serez détruits". Bien. Je m'aperçoit que mon dos touche celui d'Elsa tant je ne veux pas qu'il lui arrive malheur. Quelque chose arrive. Je patiente encore quelques instant, cherchant une arme au cas où. Mais je n'ai jamais pensé à m'en procurer une depuis la fin de la malédiction.
-Soyez sur vos gardes! Quelque chose est train d'arriver. Et si ce n'est pas ici. Ce sera derrière cette porte.
J'entends la respiration rapide d'Elsa. Non, tu n'as causé aucun malheur. Tu n'es responsable de rien. Il est temps de le prouver.
-Elsa? Pourrais-tu me faire une épée? Je ne pourrais pas vous protéger sans quelque chose pour canaliser mon énergie cosmique. Et je vais me donner à fond.
D'un coup, j'eu une sorte de flash d'une demi seconde. Quelque chose. Il s'était passé quelque chose dans ma tête! Et pourquoi est-ce que la Marchand de Sable m'est apparu? Reste calme avant de ne déclencher une tempête. Ce qui risque d'arriver si je ne reste pas calme.
Emma Swan*
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| Avatar : Jennifer Morrison
| Conte : Once upon a time | Dans le monde des contes, je suis : : la fille de Blanche et Charmant
"Jouer les héros ? Ceci n'est pas un jeux Henry ! Sa peut être dangereux."
Lui disait-je après avoir légèrement buguer sur le faite qu'il m'est appeler maman mais je n'allait pas en faire une montagne après tout j'était sa mère,par contre je ferais surement une petite montagne sur le faite qu'il veuille jouer les héros,il croyait quoi ? Que se qui allait se passer allait être rigolo et qu'on s'en sortirais sans aucune égratignure ? Il était un enfant il ne comprenait pas.Mais bien sur mes protestation tombèrent dans l'oreille d'un sourd car l'autre type mystérieux me poussa mais au lieux de toucher le sol je me cogna contre un mur ,je grinçais des dents.
"Ne refaite jamais sa ou je vous colle mon poing dans la figure."
J'avais dit cela assez fort pour qu'il m'entende ,entre temps la brune qui avait oublier son respect chez elle venait de trancher le bras de mon fils et du sang s'écoulais ,je n'eu pas le temps de réagir que nous bougions encore,j'ouvris les yeux et le décors avait changer,je regardais autour de moi ,nous n'étions plus du tout au Etats Unis ou alors c'était il y a très très très longtemps,je fronçais les sourcils ,prête a demander ou nous étions et pourquoi tout le monde semblait toujours avoir sa mémoire,pour moi c'était normal je n'avais pas subit la malédiction et Henry n'était pas né a Storybrook en se qui concernait les autres je ne savait pas.Je me fit devancer par la gentille rousse.
"Magie peut être ?."
J'avais dit cela avant que Hope ne prenne la parole pour rabaisser la gentille rousse,je levais les yeux au ciel,se n'était pas le moment de se mettre a dos le reste du groupe mais apparemment elle s'en fichait royalement.Je portait mon attention sur Henry ,je m'avançais près de lui.
"Évite de jouer les héros ,tu ne sait pas se qui pourrait se passer."
Je ne rigolais pas ,je n'était plus d'humeur ,je reportait mon attention sur Rafiki qui encore une fois prononça la fameuse phrase que je connaissait puis il indiqua que nous étions près d'un temps divin,je clignais des yeux avant de les fixer sur la porte qui brillait ,Hope c'était avancer pour jouer les Gandalf,j'affichais un petit sourire quand rien ne se passa.
"Essaye Mellon peut être que la porte n'a vue le film qu'en VO."
Puis l'ambiance changea du tout au tout,quelque chose allait se passer,encore une fois je plaçais ma main sur mon arme,me tenant prête a n'importe quoi,je clignais des yeux de nouveau et une statue apparue,une statue géante d'un type que j'avais déjà vue dans mes livres d'histoires,un des dieux de l'Olympe, celui que j'avais entraperçue le jour ou j'avais disjoncter,je fronçais les sourcils avant d'hocher la tête quand le nom me revint.
"Arès."
La statue se mit a parler,enfin plutôt a répéter le même message en boucle,que nous étions a Paphos,que c'était un lieu protéger et que nous ferions mieux de déguerpir avant que quelque chose ne se passe,mais pour le moment rien ne se passa,je me mettait quand même dans une sorte de position d'attaque,le jeune garçon dont je ne connaissait toujours pas le nom nous indiqua d'être sur nos garde,sa coulait de source,je jetais un coup d’œil a Henry avant d’écouter se que disait le jeune homme,énergie cosmique ? Rien que sa ? En même temps Elsa avait un pouvoir divin,se qui était plutôt bizarre vue qu'elle n'avais pas l'air d'être une déesse.
(c) sweet.lips
Henry D. Mills
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| Avatar : Jared S. Gilmore
| Conte : Aucun | Dans le monde des contes, je suis : : Personne
Henry ne pût s'empêcher de lever les yeux au ciel lorsqu'Emma lui annonça que jouer les héros n'était pas forcément une bonne chose. Mais elle ne comprenait donc pas encore qu'ils étaient princesse et prince. Et que leur destin était de sauver toute la ville entière de Storybrooke? Alors s'il fallait donner un peu de sang pour parvenir à sauver tout le monde, ca en valait la peine... Et puis de toute manière, Emma ne pouvait plus le protéger puisqu'elle venait de se retrouver projetée contre un mur, qui venait mystérieusement d'apparaitre. Le gamin se laissa donc faire lorsqu'Hippolyte lui prit le bras pour 'ouvrir avec un coûteau. Certes, cela faisait quelque peu mal, mais le gamin voulait qu'Emma voit qu'il pouvait résister à la douleur. Alors il ne broncha pas, la magie opéra, et ils se retrouvèrent devant un temple divin. Bon...
Alors que certains essayaient d'ouvrir les portes du temple, le gamin se dirigea vers la sculpture géante qui parlait, et ne pût s'empêcher de lancer, à la suite de sa mère :
-C'est le dieu de la guerre, non ?
Et en ce qui concernait son conseil sur le fait de jouer les héros ou non, et bien c'était bien évidemment partit dans l'oreille d'un sourd. Parce que le gamin s'avança vers la porte, près d'Elsa à qui il sourit, alors qu'elle posait sa main sur la porte. Et voyant donc que cette dernière ne s'ouvrait pas, l'enfant se rappelait une phrase, de l'un de ses contes, Ali Baba et les 40 voleurs... Devait-il tenter le coup ? Alors qu'il allait prendre la parole, une créature avec plusieurs bras, non des centaines de bras, fit son apparition dans le coin. Il l'observa donc un instant, se demandant s'il allait les attaquer, mais le "truc" ne bougea pas. Rassuré, le gamin tenta donc son idée, en lâchant alors, plein d'assurance :
-Sésame, ouvre-toi !
Si ca marchait, tout le monde le proclamerait en héros !
Jeremiel Othrys
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| Avatar : ➹ Norman Reedus
| Conte : ➹ Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : ✲ Uriel
"Vous êtes à Paphos, un lieu protégé. Quittez cet endroit sur le champs, ou vous serez détruits"
J'aurai dû m'en douter. Elle n'était pas étrangère à ce qui nous arrivait. J'avais passé une main derrière mon dos et une arme était apparue. Une arbalète que j'avais chargée. Une flèche siégeais désormais dessus, prête à être envoyée vers la première personne qui quitterait ce temple.
"Il a raison, faites lui en une." avais-je dit à la jeune femme qui posait un peu trop de questions. Loann... Si javais bien entendu son nom, voulait une arme, elle n'avait qu'à lui en faire. Plus de guerriers on serait, mieux ça sera. Je m'étais approché de la jeune demi déesse.
"Votre bâton."
Il n'y avait pas de temps à perdre. Il fallait se tenir prêt. Ce n'était qu'un banal hologramme auquel il ne fallait pas prêter attention. Ce dont il fallait se méfier, c'était ce qui se passerait une fois qu'il aurait fini de parler. Ces choses agissaient comme un compte à rebours. Le temple tremblait, le sol était instable, mais ça ne semblait pas avoir d'effets sur nous.
J'avais hésité un moment, puis j'avais gravis les marches pour me rendre devant la porte. Elle était encore gelée même si des fissures commençaient à apparaître. Mais ce n'était pas la porte qui se fissurait, juste la glace. La porte avait la forme d'une flamme. Le temple était entouré d'eau et de verdure. L'indication était toujours la même et l'hologramme n'avait pas changé.
Je m'étais tourné vers les personnes présentes. Aucune serait d'une grande aide pour ouvrir ce temple. Il n'y avait pas de dieux parmi nous et seul un dieu connaissait le moyen d'entrer. Quoi qu'il en soit, on ne pouvait pas fuir. La seule issue possible était de détruire les défenses de ce lieu, car ça alerterait forcément les dieux, qui viendraient ici, pensant que quelqu'un essayait d'entrer dans le temple. L'idée ne m'enchantait pas plus que ça, mais c'était la seule solution.
"Vous êtes à Paphos, un lieu protégé. Quittez cet endroit sur le champs, ou vous serez détruits"
Ce dialogue commençait sérieusement à m'agacer. Puis tout a coup, le son se coupa, à croire que quelqu'un avait trouvé la télécommande. Les tremblements s'arrêtèrent à leur tour. J'avais jeté un oeil vers Elsa et Emma. Aucune des deux avait bougées. Ca ne pouvait donc pas être elles. Quelque chose bougea derrière moi. Je n'eu pas le temps de me retourner que je sentis une ombre me recouvrir totalement. En regardant les marches, je pouvais voir plusieurs ombres se chevauchaient. On dirait des... bras... De nombreux bras...
"Des Héca..."
Des Hécatonchires, créatures à cent bras. J'en avais encore jamais vue, mon on m'en avait longuement parlé. Ils étaient inutiles dans des guerres, car ils étaient tellement lourds, qu'ils n'arrivaient pratiquement pas à bouger, mais leurs nombreuses mains, dans un espace aussi réduit qu'ici, était un grand atout pour eux. J'avais pris le risque de me tourner. La créature venait tout juste d'apparaître et de ce fait, elle n'était pas encore totalement opérationnelle. J'avais beau pointer mon arbalète sur elle, je me doutais bien que les flèches ne suffiront pas. Ni même le bouclier de glace de la jeune femme.
"Courrez..."
Il ne restait pas grand chose d'autre à faire...
"COURREZ !!"
Hippolyte Sherman
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| Avatar : Shelley Hennig
Arrête de t'en faire. Je suis là maintenant, ok ?
Tu m'as vraiment manqué Peg !
| Conte : Inventé | Dans le monde des contes, je suis : : la fille d'Arès.
Angela && Loann && Henry && Elsa && Emma && Hippolyte
Aussitôt que la main ensanglantée d’Henry rencontra la pierre du mur, aussitôt le petit groupe changea – encore une fois – d’endroit. Là, ça ne ressemblait ni à Storybrooke, ni à l’Arizona, ni même à un état des Etats-Unis. Le lieu où ils venaient d’atterrir comme par magie ressemblait à ces lieux rempli d’histoire. Le temple ressemblait à un temple maya. En regardant autour d’elle, Hippolyte avait l’impression d’avoir atterri dans le mythique royaume perdu : L’Atlantide. Bah oui, il y avait de l’eau autour d’eux…Quoi qu’il en soit, le petit groupe semblait coincé ici. Il y avait aucune sortie, et devant eux, une porte totalement fermée. Malgré les essais de tous, la porte resta fermée. Et lorsque la blonde au pouvoir glaçant posa sa main sur la porte, l’effet voulu ne fut pas du tout atteint. Un hologramme d’Arès apparut. What ? Qu’est-ce qu’il faisait là ? Hippolyte ne put s’empêcher de beuger face à ça. Arès en géant, qui répétait sans arrêt le même refrain. De quitter les lieux au risque d’être tué. Si seulement ils pouvaient partir. « Oui. C’est bien Arès, le Dieu de la Guerre…et également mon père… » Comment pourrait-il tuer quelqu’un ? Surtout ce n’était pas vraiment Arès devant eux, seulement un hologramme. Sa réponse, Hippolyte l’eut assez rapidement car une créature débarqua de nulle part. Pourtant, vu la taille, tout le monde aurait pu la voir arriver. La créature était terrifiante. Et la jeune femme savait à peu près ce que c’était puisqu’elle faisait des études, spécialité mythologie grecque. Mais jamais elle n’aurait pensé en voir en vrai. L’inconnu avait raison il fallait partir. Se battre contre ça, c’était de la folie. La demi-déesse prit sa lance, qu’elle avait soigneusement rangée sous la forme d’un bâton, dans sa poche. Il était préférable de garder son arme avec elle, au cas où une main l’attaquerait. Elle se tourna, dos à la créature, dos au temple pour regarder l’horizon, et surtout la direction de là vers quoi ils allaient courir. Ils ne savaient même pas où ils étaient. Courir et se perdre, ce n’était pas forcément une bonne solution. Il devait y avoir une autre solution. Hippolyte se retourna vers la créature et l’hologramme d’Arès qui avait cessé de parler. Elle voulut parler à l’hologramme, sait-on jamais. Cependant, au moment où elle se retourna, une grosse pierre fonça sur elle. Merci les réflexes. Hippolyte se jeta sur le côté pour éviter de se faire écraser. Saleté de créatures mythologiques. Cela l’avait empêché de réfléchir. « Il n’y a vraiment pas un moyen de détruire cette chose ? Ou d’ouvrir cette porte ? Parce que moi, je peux pas courir et de toute façon je ne cours pas vers l’inconnu. » Oui, elle ne pouvait pas courir à cause de sa jambe qui venait à peine de guérir. Hippolyte observa Henry. Peut-être que son sang ouvrirait la porte aussi, non ? « Peut-être le sang d’Henry ? Il nous a bien amené ici, il pourrait peut-être être la clé pour ouvrir cette porte. » En tout cas, la créature ne semblait pas être très méchante. Certes, imposante, mais pas cruelle. Puis Hippolyte regarda sa lance. Elle lui avait été offerte par Arès, lui-même. Peut-être qu’elle pouvait servir de clé non ? « Ou alors, je peux peut-être essayer d’utiliser ma lance comme moyen d’ouverture ? Elle vient d’Arès. Et ce temple semble être gardé par quelque chose qui le représente. » Qui ne tente rien n’a rien. Maintenant, il fallait oser passer à côté ou en dessous de cette grosse créature. Et Hippolyte n’avait vraiment pas envie de mourir aujourd’hui.
love.disaster
Anna D'Arendelle
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| Avatar : Soso Turner :love:
HERE WE GO AGAIN
| Conte : La Reine des Neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Anna
"Alors ça, c'est un sacré bon raisonnement ! Bravo ! Option numéro une : on est toujours à Storybrooke. Option numéro deux : quelque chose te protège et t’empêche de perdre la mémoire. Etant donné que ta super soeur est un congélateur ambulant, elle t'a peut-être rendue givrée, ce qui fait que ton mental est hors de danger ! Ou alors, tu as tellement rien dans la tête que tu ne peux pas devenir amnésique. Ca serait une bonne option numéro trois...
C'était...Méchant, je ne voyais pas d'autres mots, pour le qualifier. De la méchanceté, gratuite, rien de plus. Je ne lui avait rien, fait, je ne la connaissais même pas. Quoi que...Maintenant, elle me disait, quelque chose. Je fouillais dans ma mémoire, pour me rappeller d'où je l'avais, déjà vu. Mais, je ne l'avais pas vu. Non, en réalité, on me l'avait décrite. C'était ma cousine, notre cousine, plutôt, à Elsa, et moi. Qui me l'avait décrite. J'avais, retrouvé, Raiponce, peu de temps après le levé, de la malédiction. Et, elle m'avait parlé d'une rousse, nommé « Hope Bowman ». La description, n'était pas très élogieuse. Et, cela m'étonnait, vraiment venant de Raiponce. J'avais, tenté, de défenre, cette Hope, mais, ma cousine était resté, sur ses positions « tu verras quand tu la rencontreras » m'avait-elle dit. Je devais, admettre, qu'elle, avait raison. Contrairement, à ce que j'avais pensé, au départ. Hope Bowman, était bien, telle que Raiponce me l'avait décrite. Je sentais, à côté, de moi, qu'Elsa, était offusqué. A vrai dire, cela ne m'étonnait pas. Elsa, était, très à cheval, sur le respect. Je vis, ses pommes, s'iluminer d'une lueur glacial, avant qu'elle ne sert les poings. Je lui mit, la main, sur son bras, et la remerciait du regard. Je savais, qu'elle aurait voulut, lui donner une bonne leçon, mais qu'elle se retenait, d'utiliser la magie, et je l'en remerciais. Je savais, quand à moi, parfaitement, me défendre, et il était, temps, de montrer, à cette rousse, qu'elle, ne pouvait me brimer aussi aisément, sans provoquer aucune réaction de ma part. J'attendis, qu'elle ai finit son petit manège, avec la porte. Elsa, s'avança, à son tour, et parla à l'homme qui nous avait amené ici, puis posa sa main sur la porte. Quant à moi, je m'avançais, à mon tour, et me mit face à la rouquine. Je levais, ma main droite, qui vint s'abbatre brutalement sur sa joue. J'étais moi même choquée, par mon geste. Jamais, je ne m'étais imaginé, gifler quelqu'un. Si, je n'avais, pas écouté, la petite voix, qui me soufflait, de me faire un peu plus respecter, je me serais sans doute confondu en excuse, mais ce ne fut pas le cas. Prenant, une grande inspiration, je me mit à lui parler :
- Tu ne me connais pas, et tu n'as en aucun cas le droit de me juger. Ni, même de faire preuve de méchanceté gratuite à mon égard. En fait, j'ai pitié pour toi. Tu, te crois, plus forte que tout le monde, tellement au dessus des autres, invincible. Mais, il n'en est rien. Je suis désolée, mais on ne peut pas tous avoir un bout de glace à la place du cœur comme le tiens
Étrangement, je me sentais, mieux. Plus libre, en quelque sorte. J'étais libéré, de ma colère. Certes, je l'avais passé sur cette Hope. Mais, elle l'avait cherché. Il, y a longtemps, que j'aurais dût être comme ça. Avec, une certaine personne en particulier, que je n'avais, vraiment pas hâte, de revoir, si nos chemins venaient à nouveau à se croiser. Le Prince Hans, des Iles du Sud. Avec, lui aussi, je ne serais pas gentille. Je n'avais, pas besoin, de la protection, de Kristoff ou d'Elsa. Je, saurais, m'en sortir toute seule. Au même moment, un homme géant apparut et se mit à parler :
Vous êtes à Paphos, un lieu protégé. Quittez cet endroit sur le champs, ou vous serez détruits
Emma, fronça les sourcils, et sembla réfléchir quelques instants, avant de prononcer le nom d'Arès. Le nom, ne m'était pas inconnu. Enfin, il me disait quelque chose. A nouveau, je fouillais dans ma mémoire, pour le retrouver. Ca y est, les cours d'histoires en sixième. Enfin, les soits disants cours d'histoires, puisque tout ça, n'était que de faux souvenirs. Henry me devança, demandant s'il s'agissait du Dieu de la guerre.
- Oui, c'est ça, dis-je, mais c'est tout ce dont je me souvienne. Je, ne suis pas très doué, en mythologie, avouais-je penaude. Ça, ne m'a jamais vraiment intéressé.
Une créature, avec une centaine, de bras, fit son apparition, l'inconnu, nous ordonna de courir, nous, nous regardions, tous, un peu étonné, mais nous n'eumes, pas franchement, le temps, de réagir. En effet, la créature, lança une grosse pierre dans notre direction. Je vis, la brune (la fille d'Arès, d'après, ce qu'elle avait dit), s'écarter et se jeter sur le côté, mais, à nouveau, la créature, en lança une. Dans notre direction, cette fois-ci. Instantanément, je fis comme, la brune en prenant, la main d'Elsa, à côté de moi, ainsi que celle, du fils d'Emma, à côté d'elle, pour les entrainer avec moi.
Hope Bowman
« Nounours Rebelle ʕ•ᴥ•ʔ »
| Avatar : Karen Gillan
“Il était une fois un lapin grognon et une princesse rebelle qui décida de lui rendre le sourire.”
| Conte : Rebelle | Dans le monde des contes, je suis : : Merida
La vanne d'Emma était plutôt bien trouvée. Je faillis lever la main dans sa direction pour qu'on fasse "tope-la" mais à cet instant précis, une silhouette se planta face à moi et une violente douleur enflamma ma joue. Je portai une main à mon visage, offusquée par ce geste qui n'était pas du tout mérité. Qui avait fait ça ? Qui avait osé me gifler ? A travers un brouillard de douleur, je vis la pleurnicheuse se dresser face à moi. Elle me sortit le baratin habituel de la princesse bafouée et je l'écoutai en parfaite petite fille modèle, massant ma joue en feu. C'est qu'elle avait de la force, la brindille... Je ravalai ma rancoeur, songeant qu'elle le payerait tôt ou tard, mais plutôt tôt que tard... Je la fixai d'un regard perçant, mes yeux réduits à deux fentes dans lesquels brillaient les braises de la vengeance.
Lorsqu'elle eut terminée, je me contentai de répliquer, d'un ton dédaigneux :
"Les coeurs de glace, ça te connait."
Je jetai un bref coup d'oeil à sa soeur avant de l'observer à nouveau, ajoutant à voix basse après l'avoir agrippée par le bras :
"Tu as suffisamment de boulot avec elle, alors n'essaie pas de te rassurer en te confortant de l'idée que pleins de gens sont dans son cas. Tu ne peux pas m'atteindre, petite. Règle tes problèmes avant de t'occuper de mon cas. Je l'aggrave très bien sans ton aide."
Je me tus, réfléchissant à la portée de mes paroles, à leur véritable sens, et comme j'avais plutôt l'impression de m’être emmêlée les pinceaux, je la relâchai avec un grognement méprisant.
C'est alors qu'une statue à l'effigie d'un beau mec nous apprit que nous étions à Paphos et qu'il valait mieux pour nous que nous partions. Rien d'autre que du blabla. Par principe, je ne prends jamais au sérieux les menaces d'une statue parlante. C'est juste de l’esbroufe pour effrayer les plus naifs. Cependant, la remarque de Henry me surprit. Il pensait que c'était le dieu de la guerre. Je haussai un sourcil incrédule avant d'observer la statue d'un oeil neuf et vaguement intéressé. Un dieu, hum ? Un frère, un cousin de Juju ? Un léger frisson parcourut mon échine tandis que je tendais la corde de mon arc. Je retirais tout ce que j'avais pensé : si les dieux se mêlaient à cette histoire, c'est que ça ne sentait pas bon du tout.
Hippolyte le confirma plus ou moins en avouant à tout le monde qu'elle était la fille du dieu de la guerre. Rien que ça. Eh bien, j'avais bien fait de venir. Que de révélations et il n'était même pas onze heures du matin !
Subitement, une statue appelée "hécatruc" se dressa entre nous et la porte. Super. Une créature à cent bras. Le beau mec nous conseilla de courir (très courageux, vraiment, alors qu'il avait un peu le look d'Indiana Jones version moderne), mais j'étais bien trop curieuse de connaitre la suite, et surtout, de savoir ce qui se trouvait derrière cette fichue porte. C'était comme se retrouver devant un arbre de noël entouré de cadeaux et de ne pas pouvoir les ouvrir.
Hélas, le temps n'était pas vraiment à la réflexion. Et pour cause : l'Hécatruc lança une grosse pierre sur Hippolyte qui l'évita de justesse. Cette dernière suggéra de blesser à nouveau Henry histoire de forcer le passage. Je levai les yeux au ciel.
"On ne va pas saigner le gamin comme un goret ! C'est l'élément mignon du scénario ! Si on le supprime, on ne sera plus qu'une bande de bras cassés. Il faut garder le mouflet en vie."
Voilà, ça c'était dit. Et de toutes façons, Hip Hip venait d'avoir une meilleure idée. Elle était bien à moitié divine, celle-là. Elle avait autant de réflexion que Juju. Non, j'étais méchante, elle en avait quand même un peu plus.
"Ah, là c'est mieux ! Oui, tu as raison, jette ta lance entre les jambes de l'Hécatruc, ça va exploser la porte !"
Je trépignai d'impatience. Je n'avais pas eu mon C4, mais j'aurais tout de même une explosion. C'était sans compter sur l'Hécatruc qui lança cette fois-ci un rocher sur Anna et les autres. Je me retenais de penser que c'était bien fait pour elle, mais c'était quand même dommage pour les autres. Curieusement, je songeai au dernier épisode de Under The Dome que j'avais vu. Quelqu'un aussi s'était fait écraser... C'était moche. Aplati comme une crêpe.
Je secouai la tete. Réagis un peu ! Ce n'est pas le moment de penser à une série télé ! De toutes façons, je fus bien obligée de revenir à la réalité quand je vis un rocher foncer droit sur moi, comme au ralenti. Je grimaçai d'effroi et plongeai sur le coté. Je heurtai violemment le sol couvert de pierres tandis que le rocher explosait juste à coté de moi. Je sentis la peau de mes avant-bras ainsi que de mes mains s'enflammer. Une douleur irradia tout mon épiderme. J'avais lâché mon arc dans ma chute. Il était tombé à un mètre de moi. Je rampai jusqu'à lui et refermai ma main égratignée dessus, grimaçant sous la souffrance aiguë. Ce n'était rien d'autre que des plaies superficielles, mais elles semblaient chauffées à blanc.
Je me redressai tant bien que mal, marchant sur ma robe qui m'énervait de plus en plus. Non mais quelle idée j'avais eue ! En plus, elle ne ressemblait plus à rien. Elle était à moitié déchirée. Je ramenai mon imposante chevelure en arrière d'une main et levai mon arc en direction du Hécatruc, bien décidée à en finir. Je visai son énorme tête mais baissai les bras en constatant que ses innombrables bras s'agitaient de plus en plus.
"On fait quoi ?" demandai-je, haletante. "On ne peut pas le tuer ! C'est de la pierre ! Il faudrait un marteau géant pour le détruire ! J'ai pas envie de bousiller des flèches pour des clopinettes !"
Je pris une grande inspiration et proposai d'une voix forte, même si je savais qu'on allait me prendre pour une folle :
"Il faut prier ! On est dans un temple divin ! Il faut prier pour que ça s’arrête ! On n'a qu'à faire les louages de Arès, vu que ça a l'air d’être sa résidence secondaire !"
Sans attendre de voir qui était de mon coté (sans doute personne) je baissai mon arc pour de bon, fermai les yeux et récitai avec autant de dévotion que possible :
"Notre Arès qui êtes aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne..."
Ce n'était pas de ma faute si je connaissais qu'une seule prière et que c'était de connotation chrétienne ! La dernière fois, ça avait bien fait venir Elliot... Je poursuivis avec ferveur, gardant les yeux respectueusement fermés alors que je sentais le sol trembler sous le pas lourd de l'Hécatruc. Allez Arès, sois sympa... Sors-nous de là...
(c) Bloody Storm
Emma Swan*
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Je tournais la tête pour voir que la gentille rouquine venait de gifler Hope,mieux de valait pas se mettre du mauvais côté de celle ci,je levais les yeux au ciel se n'était vraiment pas le moment de se disputer ,il y avait plus urgent que cela ,je reportait mon attention sur mon fils qui s'était a son tour avancer vers la porte,je poussait un soupire,j'avais l'impression d'être en compagnie de gamin de maternelle,je m'avançais pour tirer Henry en arrière tout en regardant la statue d'un air mauvais.
"Bravo tu est un héro."
J'avais dit cela ironiquement avant d'entendre l'homme inconnue crier qu'il fallait courir ,j'attrapais Henry et l’entraînais a ma suite en direction du petit groupe,évitant de justesse une pierre géante qui venait d'éclater par terre,j'entendit la brunette au sale manière qui était apparemment la fille d'Arès ,qu'il fallait peut être saigner mon fils encore une fois.J'allais lui répondre quand Hope me devança.
"Il n'aura plus de sang a force et a moins d'avoir une trousse de secours dans votre poche,vous laissez mon fils tranquille."
Puis elle proposa une autre idée,utilisé sa lance comme moyen d'ouverture puis Hope ajouta qu'un marteau géant ne serait pas de trop ou voir carrément prier Arès,tout ses idées étaient plutôt bonne encore fallait-il qu'elle fonctionne.Je remarquais que la statue gigotait les bras tout en s'avançant vers nous .Je n'avais rien a proposer ,je ne savait même pas si ma magie pouvais fonctionner contre une statue de se genre la .
"Ou alors on la gèle ...peut importe ...il faut une solution et vite."
Je jetait un coup d’œil a l'homme a l'arbalète,il avait l'air de connaitre l'endroit ,il n'avais pas une solution a proposer ? Je soupirais de nouveau avant de me concentrer,levant les mains et une onde blanche m'échappa des mains avant de toucher la créature ,je n'était pas sur que sa allait beaucoup nous aidez mais au moins j'aurais tenter.
"Je pris le Dieu Arès ...pour qu'il vienne nous aidez."
Autant tenter cela aussi et voir si sa marcherais ,une présence divine ne serait pas de refus.
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Henry D. Mills
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La porte ne s'était même pas ouverte lorsqu'Henry avait essayé de se la jouer Ali Baba. Il leva donc les yeux au ciel et envoya un regard noir à Hippolyte qui voulait de nouveau le saigner. Non, mais elle était maboule ou quoi ? Oui, il voulait bien jouer les héros, mais pas se vider de son sang. Et puis d'ailleurs, comme l'avait si bien dit Hope, il n'était pas un porc qu'on égorgeait... Le gamin lui lança donc un regard suspect alors qu'elle le prenait pour l'élément mignon... Mais n'avait-elle pas compris qu'il était un héros ?
Cependant, le gamin revint dans la réalité lorsqu'une claque se fit entendre. Il regarda donc, surpris, Anna gifler Merida et il s'interposa entre elles, en disant simplement :
-Mais c'est pas possible ? On croirait vraiment des gamines de maternelle ! Le seul moyen de se sortir d'ici c'est d'être unis. Alors arrêter de vous taper dessus !
Ca, c'était dit... Mais il ne pouvait pas faire grand chose d'autre puisque déjà, Anna venait de le tirer sur le côté, pour éviter une pierre que le machin à cent bras venait de lancer. Le gamin s'empara donc de la main qu'Emma lui tendait et se mit à fuir avec tout le monde, avant qu'Emma et Hope ne se mettent à prier, une fois à l'écart. Mais pour Henry, ce n'était pas vraiment le moment de prier...
-Dites, quelqu'un peut pas me faire une arme ? Moi aussi j'ai envie d'exploser des gens !
Bon en réalité, c'était simplement parce qu'il ne se sentait pas du tout utile dans cette histoire. Parce que qu'avait-il fait à part servir de clé pour amener tout le monde ici ?