« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
J'avais été si inconsciente de penser que j'allais pouvoir en finir avec toutes ces histoires. J'avais voulu sauver ma sœur, et j'étais devenue bien plus monstrueuse que je ne l'étais déjà. J'avais tué un homme. Il avait bel et bien fait du mal à ma sœur, mais tuer quelqu'un était un acte terrible, jamais je n'aurai voulu faire ça, devenir une meurtrière. Si... j'essaie de me mentir, de voiler la réalité. J'avais voulu faire souffrir cet homme, comme lui avait fait souffrir Anna. Il y avait eu de la peur, certes. Mais aussi de la satisfaction quand son cœur avait gelé. Il n'y a que les monstres pour aimer tuer. Je devais partir, avant de recommencer.
Cet homme avait surgit du néant, sans même que je perçoive sa présence. Il était face à moi, trop prêt de moi. Mais il n'avait pas peur. Il avait pourtant dû voir ce que j'avais fais. Au lieu de me fuir, il me demandait... de rester.
- Ne jamais les perdre de vue. Tu as encore beaucoup à faire. Et si tu pars, elle mourra.
Il m'était inconnu, pourtant il avait l'air dans savoir tellement. J'aurai voulu lui demander ce qu'il voulait dire, mais il était déjà aller voir le reste des personnes, leur disant des choses que je n'entendais pas. Il se trompait, je n'avais plus rien à faire ici. Ce serait la dernière fois que je verrais Anna, j'allais partir et la laisser. Et seulement ainsi elle aura une chance de survivre.
- Ils sont à l'opposé de toi.
L'inconnu était réapparu auprès de moi. Des formes noires commençaient à apparaître, comme sorti de nul part. Des hommes... des hommes en noir. Comme celui que j'avais tué. Je sentis la panique me serrer la gorge. Ils devaient être là pour se venger. J'avais tué l'un des leurs, ils tueraient ces gens.
Avant même que je puisse faire quelque chose, quelqu'un m'attrapa la main et un jet de glace forma un bouclier glacial, nous séparant des assaillants. Je tournais la tête, interloquée. L'inconnu m'avait pris la main, et il n'avait eu aucune difficulté à contrôler ma magie à sa guise. Je ne voulais pas qu'il me touche. C'était juste une question de chance si il ne lui était rien arrivé, si la glace avait fait ce qu'il voulait...
- Sens les.
J’éprouvais un soulagement immense quand sa main lâcha la mienne. Je ne supportais ces contacts avec les autres, et encore moins avec cet homme. Mais ses paroles étaient toujours étranges, j'aurai tellement voulu qu'il s'explique, qu'il cesse de parler ainsi.
Maintenant il encourageait les autres à prendre sa main, comme si ça pouvait tous nous sauver. L'enfant, la femme blonde avec l'étrange arme et la jeune femme rousse aux manières incorrectes... et Anna. Ma sœur m'attrapa la main, en me demandant d'accepter l'aide qui m'était offerte. Je sentis mon cœur se gonfler sous un tas d'émotions. La peur de lui faire du nouveau du mal, le bonheur de la revoir et d'avoir un contact avec elle. Je la regardais, sentant mes larmes prêtes à couler de nouveau. Les hommes tout en noir étaient toujours là, dangereux. Je ne la laisserais pas risquer de se faire à nouveau tuée. J'allais la sauver, puis je la laisserais une fois que tout ça sera terminé. Elle le mérite.
Je lui serrais la main et en silence lui adressais un sourire. Il n'était pas joyeux, juste pleins d'excuses. Je n'étais pas encore prête à lui dire ce que j'avais sur le cœur. Lui parler état trop dur, je l'avais fait tellement souffrir. Agrippant les autres personnes à mon tour. Je fermais les yeux une seconde, savourant la chaleur de ma sœur prêt de moi, et quand je les rouvris, j'eus la surprise de découvrir un nouvel endroit. L'homme nous avait emmené ailleurs.
L'endroit ressemblait à une forteresse, entourée de hauts grillages. Il semblait que nous étions désormais en « Arizona ». Sûrement une contrée de cet étrange pays. J'aurai voulu plus d'explications, mais encore une fois, l'inconnu restait très évasif. Il préférait plutôt mettre en cercles des pierres, qui se mirent à bouger. Il avait donc de la magie lui aussi ? Pour nous emmener par un portail invisible, il devrait être très puissant. Je le regardais faire avec intérêt, quand les hommes en noir apparurent et se mirent à attaquer les personnes présentes.
Je ne savais plus où donner de la tête, tandis que des combats faisaient rages, que le sang coulait et que la température montait incroyablement vite. La fraîcheur de la glace me soulageait, mais j'en avais trop conscience. Je tendis les mains devant moi, prête à user de la magie si on s'approchait d'Anna. Je me tenais devant elle, cherchant à la protéger des attaques.
Un homme s'approcha, ses étranges lunettes toutes aussi noirs étaient tombés, révélant des yeux illuminés de flammes. Quelque chose n'allait pas... ces hommes voulaient quelques choses, ils étaient mauvais. Je le sentais, leur présence était douloureuse.
De la glace jaillit et toucha l'assaillant, le gelant malgré la chaleur. C'était simple, je pourrais tous facilement les avoir. Juste se concentrer sur les présences dans cet endroit, sur la chaleur... Non. C'était trop dangereux. Je ne me contrôlais pas, je risquerais de geler toute présence vivante, dont ma sœur et ces personnes. De plus le jeune homme qui semblait me connaître était lui aussi devenu aussi brûlant que le reste des hommes en noirs. Je sentais la chaleur se dégager de lui, puissante. Je ne me souvenais pas de lui. Il me disait pourtant quelque chose, j'avais l'impression de l’avoir déjà rencontré , de le connaître. Mais tout m'était flou.
Je fis un mouvement de la main et une arme semblable à celle de la jeune fille qui avait coupé la main de l'homme en noir apparut, entièrement crée de glace. Je tendis la création à Anna. Elle avait besoin de se défendre. Je savais qu'elle en était capable.
- Prends ça Anna. Je sais qu'elle est en glace, mais elle ne se brisera pas. Défends toi, il faut que... j'aide. Fais attention à toi.
Je failli la serrer dans mes bras mais me retins de justesse et me dirigeais vers le jeune homme dont la peau était devenue étrangement rouge. Son corps dégageait une chaleur incroyable, trop élevée pour un corps humain. Je passais les mains au dessus de lui, en fronçant les sourcils pour me concentrer. Si il me connaissait, je ne pouvais pas le laisser mourir. Il y avait dû se passer quelque chose, et je voulais me souvenir. Même si ma magie était instable, je me devais d'essayer. L'air autour de lui se mit à se rafraîchir, devenant presque glacial. J'essayais de faire baisser sa température corporelle, de baisser la chaleur. J'avais l'impression que ça marchait. Son corps semblait moins brûlant, sa peau redevenait plus pâle.
Avant que je puisse finir, un bruit comme un grondement du tonnerre résonna tout prêt, me faisant sursauter ? La magie s'éteignit, et je me redressais, le cœur battant. Le bruit était horrible, douloureux. Le ciel n'était pourtant pas gris, il n'y avait pas peu avoir d'orages.
Derrière le grillage se tenait un homme très grand, habillé étrangement et dont je n'arrivais pas à percevoir les traits. Entre ses mains une arme semblable à la femme blonde mais en plus imposant semblait cracher de la fumée, tel un dragon métallique.
- Que ce que vous faîtes là ?
La voix était bourrue, impressionnante. Il nous regardait un par un, son arme pointé vers nous. Il devait être le propriétaire des lieux, et des cadavres jonchant le devant de son domaine ne devait pas lui plaire.
Je m'approchais du grillage, essayant de percevoir son visage. Il pointa immédiatement son arme vers moi, et je m'arrêtais. Si c'était cette chose qui avait fait le bruit tout à l'heure, je ne voulais pas qu'il recommence.
- Que. Ce. Que. Vous. Faîtes. Là ?
Son ton était plus agressif, et il avait bien découpé chaque syllabe. Il attendait une réponse. J'étais la plus proche de lui, et si il était le propriétaire d'un tel endroit, alors il devait être un noble. Je devais être la seule reine dans les parages, ce qui faisait de moi la plus apte à lui parler.
- Messire, je suis Elsa, reine d'Arendelle. Moi même et ces personnes ici présentent sommes attaqués par d'étranges hommes dont les yeux sont des flammes et qui cherchent à nous tuer. Nous n'avons pourtant aucunement cherché la guerre contre eux et pourtant ils en ont après nous. Cet homme étrange là-bas nous a emmené ici par un portail invisible et nous sommes obligés de tuer ces hommes en noirs sur vos terres car ils ont décidés de nous suivre par un quelconque moyen depuis Storybrooke. Auriez vous l’obligeance de nous laisser entrer dans votre forteresse je vous pris pour que nous puissions nous reposer et soyez nos blessés ? Sinon, je serais dans l'obligation de créer un château de glace devant vos murailles pour pouvoir nous mettre à l'abri.
Ça faisait longtemps que je n'avais pas pratiqué la politique, mais je pense avoir réussi à convaincre cet homme aux habits loin d'être très aristocratiques. Je ne suis pas certaine de pouvoir vraiment créer un palais des glaces de nouveau.
La grande aventure, c'est de voir surgir l'inconnu
J'avais observé la jeune femme qui tentait de convaincre le gardien de prison qu'on était du bon côté et que tout ce qu'on faisait était normal. Mais ce dernier, même s'il semblait perplexe et hésitait à se servir de son arme, il avait utilisé un petit boitier pour ramener du monde.
"Tu fais quoi là?" avais-je dit en apparaissant à côté de Elsa, ce qui fit sursauter l'homme, qui cette fois ci n'hésita pas à pointer son arme sur nous.
"Laisse le."
J'avais pris Elsa par la manche et je l'avais faites reculer, pour revenir vers le groupe. L'homme nous avais menacé de ne pas bouger, sinon il ouvrait le feu. Ca n'avait aucune importance à mes yeux.
Des nombreux hommes en noirs venaient d'apparaître. J'avais mis ma main à plat au dessus du cercle de pierres le plus proche. Les pierres au centre de chaque cercles se mirent à trembler puis elles furent envoyés rapidement en direction des nouveaux arrivants. Une pour chacun qui leur transperça le coeur, les faisant tomber à terre.
"Tu n'as pas besoin de toujours utiliser ton pouvoir divin, parfois la magie suffit." avais-je dit en tournant la tête vers Elsa. On allait être tranquille quelques minutes.
"Paix & Bonheur. Gloire & Triomphe." avais-je marmonné en observant l'emplacement vide devant nous, juste à l'entrée de la forêt.
"Je ne peux pas le faire apparaître, il n'y a que toi qui le peut."
Je m'étais tourné vers Emma.
"Et c'est lui qui l'ouvrira." avais-je achevé en pointant du doigt Henry. Puis, je m'étais dirigé vers Hippolyte tout en ramassant des cailloux par terre avant d'arriver à ses côtés. Ils allaient revenir, d'autres, beaucoup d'autres. Il fallait se tenir prêt. Mais avant, il fallait qu'elle le sache, qu'elle s'en rende compte...
"Je sens sa colère, sa détresse. Il te faudra être patiente et ne pas abandonner. Il a perdu beaucoup et ça ne fait que commencer." lui avais-je chuchoté.
made by pandora.
Emma Swan*
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Jennifer Morrison
| Conte : Once upon a time | Dans le monde des contes, je suis : : la fille de Blanche et Charmant
Le type en noir ne se releva pas ,se qui était un soulagement,mais sa n'annonçais pas pour autant la fin des ennuis pour autant,je sentait que sa venait tout juste de commencer,que nous allions affronter d'autre chose ou même subir bien pire,il était trop tard pour faire demi tour a présent et puis nous n'étions plus a Storybrooke,alors nous étions coincer ici près d'un bâtiment sortie tout droit du passer,de mon passer.
Je portait mon attention sur la blonde a la robe bleu,celle qui nous avait attaquer avec son monstre de glace et qui maintenant était avec nous,c'était étrange qu'elle n'est pas plutôt choisie d'entraîner sa sœur ailleurs,au lieu de cela elle était avec nous.Je ne comprenais pas pourquoi elle avait voulue nous attaquer et je ne préférais pas poser de question pour le moment.
Notre petit moment de paix fut de courte durée car un gardien de prison venait de débarquer a son tour et il n'avait pas l'air content de nous voir,la blonde se mit a lui adresser la parole bien avant que j'ai pu faire quoi que se soit.Et bien sur c'est explications n'avait aucun sens pour le type,se qui fait qu'on allait bientôt avoir des problèmes,par chance Rafiki récupéra la reine Elsa ,il avait finit de jouer avec des cailloux apparemment.
Je l'avait entendue marmonner,j'avais juste entendue le dernier mot,mais j'avais bien sûr compris se qu'il avait dit,je fronçais les sourcils,comment pouvait-il connaitre lui aussi cette phrase ? Trop de question et trop peut de réponse tout ceci commençait a m'agacer.Il m'adressa la parole de nouveau,me parlant d'Henry instinctivement je me déplaçais vers mon fils pour me placer devant lui,il ne toucherais pas a mon fils.
"Mon fils ne fera rien du tout ,tant que vous n'aurez pas expliquer se qui se passe ,pourquoi des hommes en noir nous poursuive et pourquoi mon fils doit ouvrir quoi que se soit."
Je plaçais ma main sur l'épaule de mon fils,l'agrippant légèrement,personne ne ferait quoi que se soit a mon fils,il n'était pas un objet ou une clé.Je pointait mon arme sur l'homme mais je n'hésiterais pas a tirer sur le premier qui tenterais de me prendre mon fils,la colère montait en moi par vague et j'allais bientôt exploser.
(c) sweet.lips
Henry D. Mills
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Jared S. Gilmore
| Conte : Aucun | Dans le monde des contes, je suis : : Personne
Il y avait beaucoup trop de chose qui se passait pour Henry alors qu'ils étaient tous arriver devant cette prison... Arizona ? L'endroit de sa naissance, non ? Le gamin lança donc un regard à Emma, voulant lui demande si c'était bien à cet endroit qu'il avait pousser ses premiers cris. Mais tout s'enchaina bien vite.
En effet, des hommes en noir continuèrent d'apparaitre et Henry, dépourvu de tout pouvoir se contenta donc de se tenir à l'écart, espérant vraiment que personne ne lui ferait de mal. Il vit donc Emma dégainer son flingue et tirer entre les deux yeux de l'un des hommes en noir... Homme en noir qui s'effondra au pied d'Henry qui recula alors, paniqué :
]-Emma ? Qu'est ce que tu as fait ?
Oui, parce qu'elle ne connaissait pas du tout ce bonhomme et même s'il semblait méchant, elle n'avait pas à le tuer... Et puis soudainement, Emma se retrouva à Terre, les mains sur les oreilles, son flingue à ses côtés. Le gamin arriva donc à ses côtés, ramassant son arme, tout en demandant :
-Emma ? Ca va ?
La jeune femme se releva donc brutalement alors que l'homme qui les accompagnaient lui disait d'ouvrir quelque chose. Emma se plaça donc devant lui, disant à l'inconnu que personne ne toucherait à son fils. Ben tiens, maintenant elle le considérait comme son fils ? Le gamin la prit donc par la main, se retrouvant donc à ses côtés, avant de lui dire, calmement :
-Mais maman... Si ca se trouve, c'est le seul moyen de retourner à Storybrooke... Tu ne vas quand même pas nous faire rester là, non ? Dans tous les cas, moi, je veux retrouver maman...
Oui, bon il venait d'appeler Emma maman, juste pour voir sa réaction. Dans tous les cas, il se tourna donc vers le bonhomme qui avait animé des pierres, tout en lui demandant :
-Donc, pour retourner à Storybrooke, il faut que je donne mon sang si j'ai bien compris, non ?
Il n'attendit pas véritablement de réponse et il se retourna donc vers sa mère, en lui disant, avec un regard suppliant :
-Oh allez Emma ! On a rien à perdre, non ? Et puis je veux être un héros pour une fois, moi !
Jeremiel Othrys
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : ➹ Norman Reedus
| Conte : ➹ Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : ✲ Uriel
La grande aventure, c'est de voir surgir l'inconnu
Ca parlait sans cesse, c'était insupportable à force, sans compter qu'on allait finir par avoir de la visite, si on continuait à faire la causette. Je m'étais avancé vers Emma comme si de rien était, puis j'avais porté ma main devant ma bouche pour souffler dessus en faisant remuer mes doigts, histoire d'attirer leur attention. Un geste anodin. Puis, j'avais poussé Emma.
Au moment même où elle avait tentée de garder l'équilibre, son dos s'était cogné contre un mur qui venait d'apparaître.
"On y est enfin."
J'avais sortit de sous ma veste sans couteau un couteau que j'avais tendu à la jeune femme demi déesse qui se tenait là.
Ah! C'est chaud! Cet homme est vraiment des plus louches! Heureusement pour moi, la jeune brune lui a tranché la main de manière à rompre le contact avec mon corps. D'un coup, la chaleur qui m'envahissait et menaçait de me faire brûler et exploser s'en alla et me permit de respirer. Sans m'en rendre compte, j'avais repoussé l'homme d'un coup de poing, lacérant au passage sa poitrine et ses vêtements. C'est pas vrai. Je commence à ne plus me contrôler. Je sentis une brise froide m'envelopper. Comme la neige qu'Elsa faisait tomber quand elle paniquait. Non. Non. Ce n'est pas bon pour moi et les autres ça. Mais je dois rester fort et courageux. Ne plus avoir peur de mes pouvoirs et de ma folie pour les protéger. Mon courage les protégera. C'est peut-être ce que voulait dire cet homme? La clé de cette énigme. J'entendis le son d'un corps tombant à terre et vit la jeune brune extrayant sa lance du corps d'un autre homme en noir. Puis ce fut un coup de feu de la part de la sauveuse qui me fit voir à quel point tout ceci devenait un véritable massacre. En attendant, je dois vérifier qu'Elsa va bien. Je me dirige vers elle, lisant la peur dans ses yeux. L'homme qui nous avait emmené ici lui parlait et venait d'abbattre d'autres hommes en noir. Pas de distance avec elle, je m'avance le plus proche possible.
-Elsa? Est-ce que tu vas bien?
A son regard, je devine qu'elle est totalement perdue et brisée, sans aucune source d'espoir. Si ça se trouve, elle ne se souvient même plus de moi. Mais je veux l'aider. Quitte à perdre certaines choses. Tout d'abord, je dois la rassurer. On ne sait jamais.
-Tu es totalement perdue et je te comprends. Même moi j'ai beaucoup de mal avec mes pouvoirs quand je suis sous pression. Et cette situation est vraiment des plus étranges. Mais tu as ta soeur. Penses-y. Ok?
Je ne pense pas avoir été assez convaincant mais après plus de vingt huit années de schizophrénie, je pense avoir le droit à quelques erreurs. Même si ce n'est pas ce dont à besoin Elsa en ce moment. Je reste un instant à ses côtés, observant le reste du groupe. L'homme étrange nous protégeais et les individus de toute à l'heure gisait sur le sol, baignant dans une mare de sang. Ma respiration s'accéléra un grand coup, me remémorant les faits de bien de guerriers cruels, se battant au nom d'un drapeau, d'un idéal. Assoiffé de sang et de pouvoir. Deviendrais-je ainsi si je recommence à me battre? Je ne le veux pas. Mais ces visions d'horreur venant de mon passé reviennent me hanter de plus belle en une telle situation. Soit courageux. Je ne cesse de me répéter cette phrase pour ne pas craquer. Ne pas craquer et libérer une tempête pouvant sûrement causer d'énormes dégâts.
Ne sachant pas quoi dire d'autre à Elsa, je me retourne et voit un mur s'élever avec des inscriptions étranges. Incompréhensible pour moi en tout cas. J'appelle l'ancienne Reine pour lui montrer.
-Qu'est-ce que tu en penses? Cela a un rapport avec notre présence ici?
Réfléchir à ces inscriptions réveille en moi l'ancien aventurier que j'étais. Mais cette aventure peut aussi bien être aussi dangereuse si ce n'est pas plus que la bataille contre le Marchand de Sable. Je déglutis à cette simple pensée. Il me faut rester fort.
Hippolyte Sherman
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Shelley Hennig
Arrête de t'en faire. Je suis là maintenant, ok ?
Tu m'as vraiment manqué Peg !
| Conte : Inventé | Dans le monde des contes, je suis : : la fille d'Arès.
Angela && Loann && Henry && Elsa && Emma && Hippolyte
Un liquide chaud coula légèrement sur le sol. Hippolyte releva la tête. Elle remarqua que l’homme en noir s’était planté dans sa lance. Du sang était en train de couler de sa bouche. Hippolyte en reçut un peu sur le visage, ce qui eut pour effet de la sortir de ses pensées. Il fallait qu’elle se relève. Ce n’était pas le moment de rester inactive. Hip se releva, enleva la lance qui traversait l’homme pour ensuite l’essuyer avec les vêtements de l’homme. La jeune femme ne supportait pas avoir du sang sur son arme, celui lui rappelait qu’elle avait commis un acte horrible. Elle venait d’arracher la vie à quelqu’un. Et elle n’avait pas fait cela depuis sa mère…Hippolyte essaya de garder son calme, même si cette situation ne s’y prêtait pas vraiment. La demi-déesse observa le reste du groupe. D’après Emma, ils avaient atterris en Arizona. L’Arizona ? Qu’est-ce qu’ils foutaient là ? « L’Arizona ? Pourquoi sommes-nous aussi loin de Storybrooke ? » Mais l’homme qui les avait amené là-bas était plutôt concentré sur Elsa, qui parlait avec…un gardien de prison ? Tout s’expliquait quant à la présence de ce grillage. Ils étaient devant une prison, et Hippolyte venait de tuer un homme, c’était un comble ! Heureusement pour elle, elle n’était pas la seule à avoir tué quelqu’un aujourd’hui : Elsa, puis Emma. Et maintenant l’homme toujours inconnu. Les fameuses pierres venaient de toucher en plein cœur les nouveaux hommes en noir qui les avaient encerclés. Combien de temps cela allait-il durer ? Comment les combattre ? Comment les stopper totalement ? Apparemment, l’inconnu avait réponse à tout. Il voulait faire apparaître quelque chose, que seul Henry pourrait ouvrir, avec son sang. L’homme s’était mis à côté d’Hippo. La jeune fille écouta attentivement ses paroles. Elle ne comprenait pas vraiment ce dont il voulait parler. « La colère et la détresse de qui ? » Hip’ voulait absolument savoir de qui il parlait. Mais une autre question lui vint à l’esprit. Sauf qu’elle n’eut pas vraiment le temps de la poser. En effet l’inconnu avait poussé Emma et cette dernière, au lieu de tomber par terre fut rattraper par un mur qui n’était pas présent quelques minutes auparavant. C’était vraiment trop étrange, notamment les inscriptions qu’il y avait. La jeune femme n’avait pas réussi à les déchiffrer. En même temps, comment réfléchir dans de pareille condition ? Ce qui fut étrange aussi, c’est ce que cet homme tendait à Hippolyte, un couteau. Pourquoi ? Hippolyte le prit quand même puis posa son regard sur Henry. Elle n’avait pas mis longtemps pour comprendre à quoi ce couteau aller servir. « Bon, je vais t’aider à devenir un héros ! » Certes, sa mère, Emma n’était pas forcément d’accord avec tout ça. Mais il fallait faire un choix : Survivre ou Mourir. Pour Hippolyte, le choix était déjà fait depuis longtemps. Mais il était peut-être mieux de rassurer Emma. « Ne t’inquiète pas, je ne lui ferais pas de mal. » La jeune femme prit Henri par la main pour l’amener devant le mur. « Tu es prêt ? Tend ta main » Hippolyte attendit qu’il s’exécute puis elle le coupa assez profondément pour que le sang coule. Elle prit le bras du garçon pour coller sa main ensanglanté contre le mur. Maintenant, il était peut-être préférable de reculer. On ne sait jamais ce qu’il pouvait se passer par la suite !
love.disaster
Anna D'Arendelle
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Soso Turner :love:
HERE WE GO AGAIN
| Conte : La Reine des Neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Anna
Elle me regarda, je connaissais ce regard, c'était le même, qu'elle m'avait adressé, quand j'avais essayé de la retenir, pendant qu'elle fuyait, au bord de ce lac, qu'elle avait gelée, simplement, en posant le pied dessus. Mais, elle, n'avait rien à ne se faire pardonner. C'était moi, dans l'histoire, qui mériterais ça. C'était, ma faute, ce qui était arrivé. Si, je ne l'avais pas provoqué...Non, inutile de penser, à ça. Le passé, c'est du passé, le présent et le futur, étaient à construire, et il était, hors de question, que je la laisse, à nouveau s'éloigner. Je pris, l'autre main, de la brune, qui elle, tenait, celle de Loann, les autres firent de même, et en un instant, nous étions ailleurs. Comment, était-ce possible ? Je n'étais, plus à Storybrooke, et pourtant, je me souvenais de tout. De qui j'étais, avant et pendant la malédiction, normalement, nous ne pouvions pas quitter la ville sans perdre la mémoire. Seule, ceux qui n'avaient pas été touchés, par le sort de l'Evil Queen le pouvaient. J'aurais voulu, poser la question au nouveau type, mais, il semblait, manifestement, occupé, à mettre des pierres en cercles. Beaucoup, de gens, disaient, de moi, que j'étais bizarre, mais ils ne l'avaient sans doute, pas rencontré, parce que niveau bizarerie, il battait vraiment tous les records. Et puis, de toute façon, le combat faisait rage de tous les côtés. Nous, étions à nouveau attaqués, par des hommes en noirs. Elsa, se plaça, directement, devant moi, prête à me protéger s'il le fallait. Mais, je voulais, moi aussi, aider, la brune semblait en difficulté :
- Si seulement, j'avais une épée marmonais-je
Une épée, ou n'importe quelle arme s'en rapprochant, aurait largement, fait l'affaire. Malheureusement, il n'y avait pas ça, dans ce monde. Et je me sentais, désespérément, inutile, tandis que Loann, semblait devenir aussi brulant que les types en noirs, et qu'Elsa, essayait d'en geler un. C'est alors, qu'elle me tendit, une création en glace, semblable à l'arme de la brune. Elle ne se briserait, pas me disait-elle. C'était parfait, c'était, tout ce don, j'avais besoin. Je remerciais, ma sœur avec un sourire chaleureux. Ce, n'était pas le moment, de la prendre dans mes bras, même, si j'en mourrais d'envie. L'homme en noir, de la brune, s'empala sur la lance de cette dernière. Je détournais, les yeux. Je n'aimais pas ça. Les paroles d'une blonde que j'avais croisée, il y a peu de temps, me revinrent en mémoire :
« Il n'y a, ni bon, ni mauvais. C'est un mythe, chaque personne a une part, d'ombre et de lumière, en soit. Certains, basculent, vers leur partie sombre, d'autres restent, vers la lumière, mais à tout moment, un revirement, est possible. On, ne nait pas mauvais, on le devient. Il, y a toujours, une raison qui fait que l'on se tourne vers les ténèbres. Et, n'importe qui, peu à tout moment, être obligé de tuer. Que ce soit, pour sauver sa vie, celle d'un autre, ou protéger une personne. »
Je me rendais, à présent compte, qu'elle avait raison, aussi entrais-je à mon tour dans la bataille, pendant qu'Elsa, essayait, de faire baisser la température corporelle de Loann. Et au même moment, des gardiens arrivèrent. Elsa, passa en mode « reine d'Arendelle ». Je ne l'avais, jamais vraiment vu faire, puisque nous n'en avions pas eu l'occasion. Mais, il, n'y avait aucun doute, le rôle était fait pour elle. Le type dont on ignorait toujours le nom, récupéra ma sœur en marmonnant, je n'avais strictement, rien comprit à ce qu'il disait, et encore moins, lorsqu'il dit, qu'Henry allait devoir ouvrir une « porte » avec son sang. Cela, ne plus pas à Emma, bien sur. Mais, je pouvais, la comprendre. Si moi aussi, on disait, que le sang de mon fils devait ouvrir un truc, sans aucune explication, je ne serais pas franchement d'accord. Le reste sembla, se passer aussi vite qu'avant, Emma, se fit repousser, un mur apparu, la brune, prit le couteau que le type lui tendait, et coupa la main d'Henry et, dès que le sang toucha le mur, nous étions à nouveau ailleurs : Je voulais des explications, peu importe si au final, je me faisais envoyer sur les roses :
- Où est-ce qu'on est ? Demandais-je et surtout, pourquoi ai-je encore ma mémoire ? J'aurais dût la perdre, si ceux ayant subit la malédiciton, franchissent la ligne de la ville, ils ne se souviennent plus de qui ils sont.
Hope Bowman
« Nounours Rebelle ʕ•ᴥ•ʔ »
| Avatar : Karen Gillan
“Il était une fois un lapin grognon et une princesse rebelle qui décida de lui rendre le sourire.”
| Conte : Rebelle | Dans le monde des contes, je suis : : Merida
Quelqu'un pouvait enclencher un bouton "pause" ? Depuis quelques minutes, tout partait en sucette et je n'avais même pas le temps de réaliser que déjà, il se passait autre chose. J'avais l'impression de regarder un film en accéléré. On avait changé d'endroit. On se trouvait devant une prison, et le climat me laissait sous entendre que nous ne nous trouvions plus à Storybrooke. J'aurais bien transformé ma robe en mini-jupe tant il faisait chaud d'un seul coup, mais à peine cette idée m'effleura qu'un combat s'engagea entre Hippolyte et un homme en noir. Emma en abattit un grâce à son pistolet. Je brandis mon arc et voulus tirer à mon tour sur un ennemi, mais manque de bol, le beau mec explosa tous les types en noir avec ses cailloux. Déçue, je donnai un petit coup de pied dans le gravier avant d'aller m'asseoir sur un petit rebord en métal. Je préférais bouder dans mon coin puisque manifestement, on n'avait pas besoin de mes services.
Je m'appliquai à aiguiser la pointe d'une de mes flèches quand j'entendis un petit choc. Je levai les yeux et les écarquillai en constatant qu'un mur venait d'apparaitre au milieu de nulle part. Apparemment, c'était Emma qui avait fait ça. J'émis un sifflement agacé, voulus reprendre mon ouvrage, mais le poignard qui brillait dans la main de Hippolyte m'intrigua. Je me redressai quelque peu sur le bord de mon rebord (O_o) en la voyant écorcher le bras de Henry. C'était qui cette folle ? Elle me plaisait de plus en plus.
Le décor changea à nouveau autour de nous. Avant même que je ne m'en rende parfaitement compte, je sentis le rebord sur lequel j'étais assise perdre toute consistance. Je poussai un cri qui se termina en grognement de douleur quand je chutai brutalement sur les fesses.
"Aieeeuh !" beuglai-je.
Je me relevai tant bien que mal et me massai le bas du dos tout en affichant une grimace douloureuse.
"J'en ai vraiment marre de ce voyage improvisé. Quand j'ai fait le tour du monde avec Juju, il avait au moins la décence de prévenir avant de changer d'endroit..." marmonnai-je.
Je renversai la tête en arrière et bandai mon arc. On n'est jamais trop prudent. Face à nous se découpait un espèce de temple antique à moitié dévoré par la végétation. De l'eau affluait de chaque coté, en contrebas. La structure était imposante. Nous étions tout en bas des marches. Je levai la tête, observant les alentours d'un oeil attentif. L'aspect positif de la chose, c'était que les types en noir ne nous avait pas suivis.
Ne pas faire de bruit...
Bien entendu, il fallut que la rousse pleurnicheuse ouvre son bec pour geindre. Je lui lançai un regard noir, résistant à l'envie de lui loger une flèche entre les yeux. A la place, je lui répondis le plus aimablement possible :
"Alors ça, c'est un sacré bon raisonnement ! Bravo ! Option numéro une : on est toujours à Storybrooke. Option numéro deux : quelque chose te protège et t’empêche de perdre la mémoire. Etant donné que ta super soeur est un congélateur ambulant, elle t'a peut-être rendue givrée, ce qui fait que ton mental est hors de danger ! Ou alors, tu as tellement rien dans la tête que tu ne peux pas devenir amnésique. Ca serait une bonne option numéro trois..."
Un sourire narquois se dessina sur mes lèvres. Je la vis lever légèrement son arme de glace dans ma direction, aussi j'arquai un sourcil, la défiant d'approcher.
Cependant, j'avais plus important à faire que de donner une leçon à cette jouvencelle. Je me désintéressai d'elle pour monter quelques marches en direction de la haute porte en forme de flamme.
"A mon avis les génies, on n'est plus à Storybrooke. Et si j'en crois ce que je vois, on n'est plus sur terre non plus."
Je me retournai vers le petit groupe, m'attendant déjà à ce qu'ils me prennent pour une alien.
"J'ai fait un tour du monde, j'ai vu pas mal d'endroits, et ce genre de construction, ça ne me dit vraiment rien."
Je haussai les épaules, avant de poser les yeux sur le beau gosse qui avait voulu nous emmener ici. J'avais très envie de lui poser des questions mais comme de toutes façons, ce genre de gars ne disait jamais rien sous la torture, je préférais être pragmatique.
Je grimpai les marches deux par deux, relevant mes jupes pour ne pas me vautrer lamentablement, et une fois en haut, j'inspectai la porte en prenant garde de ne pas la toucher -on ne sait jamais. Pas de poignée. Seulement des inscriptions comme sur le mur qui était apparu devant la prison.
Je baissai mon arc et jetant un coup d'oeil par-dessus mon épaule, je demandai à la joyeuse bande :
"Quelqu'un aurait des explosifs sur lui ? Je crois qu'il faut dynamiter. Ou du C4, comme dans Stargate SG-1... A moins qu'il faille parler à la porte ?"
Je passai mon arc en travers de mon buste, rangeai ma flèche dans mon carquois et posant les mains sur les hanches dans une posture altière, je déclarai magistralement d'une voix grave :
"BELLA !"
Aucune réaction de la part de la porte, et là, nul doute, les autres allaient bel et bien me prendre pour une extra-terrestre. J'étais surement tombée sur des imbéciles qui ne connaissaient pas le Seigneur des Anneaux. C'était bien ma veine. En tous cas, "parler ami" à la porte n'avait pas fait avancer le schmilblick...
(c) Bloody Storm
Jeremiel Othrys
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : ➹ Norman Reedus
| Conte : ➹ Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : ✲ Uriel
La grande aventure, c'est de voir surgir l'inconnu
Précédemment...
Il paraît qu'elle est tombée du ciel... Une chose semblable à nulle autre. Son corps s'est fracassé contre la glace, faisant une grande fissure sur la surface du lac gelé.
Les villageois l'ont trouvés là. Ils allaient donner des coups de pioches dans la glace pour que la mer la prenne avec elle. Mais elle ouvrit les yeux et elle poussa un cri qui sembla durer une éternité. La femme tombée du ciel avait survécu.
Puis ce fut à l'enfant d'apparaître. Son corps ne tomba pas du ciel, ne se brisa pas contre la glace, non... son corps à lui se contenta de faire son apparition, en haut de la montagne gelée.
On l'amena au village et quand la jeune femme reprit connaissance plusieurs jours après, il n'y avait plus qu'eux et un immense champs de ruine tout autour. Les villageois avaient disparus la neige avait fondue, la végétation avait repris son cours. L'enfant avait disparu...
Aujourd'hui...
"Je l'ignore." avais-je répondu à la jeune femme qui m'avait demandée où on était. A dire vrai j'en avais pas la moindre idée. Ce n'était pas là qu'on aurait dû se trouver. Ce n'était pas dans ce lieu que le portail était censé nous conduire. La seconde rousse avait pris les devants en montant les marches. Inutile de la retenir, car elle ne m'aurait pas écoutée.
J'avais observé les alentours, me tenant sur mes gardes. Quelqu'un nous avait envoyé ici au lieu de l'endroit où on aurait dû être.
Un temple. On se trouvait face à un temple, mais quel temple? Je m'étais approché des marches sans pour autant les gravir. Au dessus de la porte se trouvait une inscription.
"Paix et bonheur. Gloire et triomphe."
J'avais la sensation de répéter constamment la même chose, mais c'était ce qui était inscrit, je ne faisais que le traduire pour les autres.