« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
J'avais sur la table devant moi, les plans de ce qui pourrait être mon école de Princesse. C'était des plans dessinés à la vas vite. Je n'étais ni experte en dessin, ni experte en architecture. Et comme je ne disposais pas de locaux, j'avais imaginé moi même, en partant de rien, à quoi cela pourrait ressembler. C'était pas vraiment ça, mais ce que je voulais réellement en tant que salles s'y trouvait.
Je me demandais combien tout cela pourrait bien coûter. Et surtout, où je trouverais des financements. Il était inutile d'aller une nouvelle fois voir le Maire, car ce dernier refusait toujours de financer mes projets. Ce n'était pas le Maire idéal qu'on avait à la tête de la Mairie. Les anciens étaient tellement mieux ! Et puis, beaucoup plus à l'écoute des besoins des Reines en détresse !
« Je vais mettre une salle des fêtes au coeur du château. T'en penses quoi ? » demandais-je à Francis, ma Salamandre qui se tenait là sur la table.
Il passait son temps à ingurgiter des biscuits secs que Anna avait laissée trainer dans l'armoire à gâteaux. Je me demandais si elle comptait les manger ou pas. Mais de toute façon, elle pourrait toujours faire des gâteaux. C'était bien mieux que ces choses industrielles.
A ce moment là, je fus interrompue par la porte qui sonna. Jetant un oeil à Francis, je posais mon crayon afin de me lever, dans ma belle robe bleue, pour me diriger vers la porte d'entrée.
« J'espère que tu as pensé aux biscuits. Il n'y en a plus du tout. » dis-je en ouvrant la porte à Anna.
Cela dit... ce n'était pas elle. J'observais le jeune homme qui se tenait là. Est-ce que c'était un ouvrier ? Ils venaient souvent frapper à la porte en ce moment pour vérifier diverses choses. Oh oui ! Ca devait être le réparateur de la machine à laver !
« C'est dans la salle de bain. Donnez vous la peine d'entrer. » lui dis-je en le faisant entrer dans l'appartement et en me dirigeant vers la salle de bain sans prendre le temps de lui demander si il était effectivement l'ouvrier qu'on attendait.
Car si j'étais à l'appartement ce matin, c'était parce que Anna ne pouvait pas y êter. Il fallait qu'elle aille faire les courses et elle devait passer à divers endroits. Je pensais qu'elle était rentrée plus tôt, mais à dire vrai, ce n'était pas elle, mais l'ouvrier. Déjà que je l'attendais, autant qu'il se mette à la tâcche de suite. Je lui indiquais par conséquent la machine à laver.
« Elle ne tourne plus depuis hier. Je pense que c'est un soucis de tombour. Enfin, de quelque chose à l'intérieur. »
Je croisais les bras, attendant qu'il commence. D'ailleurs, je me demandais comment il allait s'en sortir sans outils. Pourquoi tous les ouvriers de la ville étaient des incompétents ?
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Olaf était tout content. Il avait trouvé un parfait petit cadeau pour Matthew. Oh pas que Matthew en manque, il s’en doutait bien … mais il aimait faire des cadeaux au petit, et en profiter pour lui voler trois ou 36545636589 câlins au passage. Parce qu’il en avait envie, et qu’il ne pouvait pas demander autant de câlin à la plupart des adultes de cette ville. Il était donc, la devant le lieu d’habitation d’Anna, avec un sac sur le dos, et un cadeau à l’intérieur.
Un magnifique Kigurumi citrouille, pour une petite citrouille… parce qu’Halloween arrive et qu’en plus ça sentait aussi bon le sapin de Noêl qui approche. Il était donc prêt à sonner, tout content de lui. Il tenait ses sangles de sac à dos comme un enfant impatient d’aller à l’école pour la première fois. Il allait laisser Anna ouvrir et lui sauter dans les bras
Sauf que ce n’était pas Anna.
Et que notre Olaf national se figea comme un iceberg et observa Elsa sans dire un mot. Il aurait bien voulu dire qu’il n’avait pas de biscuit mais rien ne sortit de sa petite tête. Puis, il se fit kidnapper. Comment appelleriez vous ça vous ? Il écouta ce qu’elle disait sur la machine et ne compris pas un mot … Il resta silencieux à la regarder alors qu’il se faisait violence pour ne pas pleurer. Olaf papillonna plusieurs fois des yeux en observant la machine à laver. Il n’était pas réparateur de machine à laver. Il ne faisait même pas sa lessive chez lui mais dans un lavoto plus loin dans la rue. Il posa son sac doucement et en sortit de l’intérieur un petit élastique.
C’est que, petit ange, il avait les cheveux long en ce moment, alors il fit un espèce de petit kiki au dessus de sa tête pour éviter que cela ne tombe sur ses yeux.
- Je … je … je vais essayer.
Il s’approcha de la machine en ayant aucune idée de ce qu’il devait faire… et il avait un Nokia en téléphone alors il ne pourrait pas aller sur internet. Il observa l’objet et repose les yeux sur Elsa, de ses petits yeux brillants qui feraient fondre tout le monde… parce qu’on pouvait y voire de la douceur, de la chaleur, beaucoup de bonté et d’amour. Il observa Elsa.
- Je… je sais pas faire … j’étais venu pour … Cadeau.
Oui, il manque des mots dans sa phrase mais il avait envie de partir en courant… et se cacher … Elsa pourrait il l’aimer dans ce corps ? Il en doutait, il n’était plus lui? Mais il en avait tellement envie … Il avait tout simplement peur d’être rejeter par Elsa… Qu’importe ce que dit Anna, il en avait peur.
- Dé… désolé Elsa….
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J'observais le jeune homme de la tête aux pieds. Il avait dit qu'il allait essayer de réparer la machine. Mais à première vue, il ne faisait pas ce qu'il fallait. Enfin il n'avait pas ce qu'il fallait. Je l'avais compris d'entrée de jeu, sans outils, ça allait être compliqué. Je me demandais à qui Anna avait fait appel. De quelle compagnie faisait-il partit ?
Puis, il s'était mis à parler avec des moitiés de phrase. Apparemment il ne savait pas faire. Mais ça, je l'avais compris toute seule ! Il disait être venu pour cadeau. Ne voulait-il pas dire pour travail ? C'était un immigré ? C'est vrai qu'il ne parlait pas beaucoup. Et qu'est ce qu'il avait comme cheveux. Il aurait du se couper les mèches, ça ne lui tomberait pas sur le visage. Peut-être qu'il n'avait pas assez d'argent pour aller au coiffeur. Si il réparait la machine, j'étais sûre que Anna lui donnerait un bon pourboire.
J'allais lui répondre quelque chose, mais je fus coupée dans mon élan. Il venait de m’appeler Elsa ? Juste Elsa ? Ca me perturbait quand quelqu'un m'appelait pas mon prénom, alors qu'on ne se connait pas. Je préférais de loin qu'on y mette les formes. Je n'aimais pas être trop familière avec les gens. Ca cassait tout le côté noble de la royauté. Ici, on vivait beaucoup trop comme des sauvages !
« Hum... » débutais-je. « Vous aurez un cadeau si vous réparez la machine à laver. Après tout c'est votre travail, n'est ce pas ? » lui demandais-je.
J'avais beau chercher sur ses habits, je ne voyais pas le logo de son entreprise. Ce n'était pas obligatoire ce genre de choses ?
« Et je préfère que vous m'appeliez Madame d'Arendelle. C'est de là où je viens, mais c'est aussi mon Royaume. » lui précisais-je.
Il fallait qu'il sache qu'il était dans l'appartement d'une Reine. Même si chez Anna ça ressemblait plus à un appartement ordinaire. Mais c'était elle qui ne désirait pas vivre comme son rang le lui imposait. Ce n'était pas grave après tout, car je n'étais que de passage ici. Puis, ça me sauta aux yeux !
« Nom d'un flocon ! » m'exclamais-je. « Vous n'êtes pas le réparateur ? »
Ca expliquait pourquoi il n'avait pas de logo de son entreprise sur lui. Mais dans ce cas, c'était qui ? Et qu'est ce qu'il faisait chez moi ?
« Vous êtes un cambrioleur ? » lui demandais-je, avant de me rendre compte que si s'en était réellement un, il n'aurait pas toqué à la porte... « Vous ne vous y connaissez pas du tout en machine à laver, c'est ça ? »
Je soupirais. J'avais attendu tout ce temps pour rien...
« Mais que faites vous ici ? Pourquoi vous avez sonné à notre porte ? Et surtout, pourquoi vous êtes dans ma salle de bain ? »
J'avais déjà un début de réponse dans le fait que je l'avais moi même laissé entrer. Mais pourquoi avait-il joué le jeu jusqu'à maintenant ? Je le fixais, attendant sa réponse...
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Olaf n’était pas sur qu’il ne devait pas partir en courant et trouver Anna pour pleurer toutes les larmes de son corps dans ses bras … Le regard d’Elsa sur lui … C’était dérangeant, dans le sens où il savait qu’elle ne le voyait pas lui, mais quelqu’un d’autre. Et il était en train de se batailler mentalement à savoir s’il allait lui dire aussi. Partir et fuir, lui dire et pleurer …
Trouver Anna était THE solution au problème qui était en train de le faire fondre de honte en cet instant … Observant Elsa il se mit à rougir quand elle lui proposa un cadeau s’il réparait la machine. Il ne voulait pas quémander un cadeau lui, cela n’avait jamais été dans ses plans.
Il aurait bien voulu lui dire qu’il savait pour Arendelle…. Tout son coeur lui disait de lui dire alors qu’il sentait qu’il allait peut être pleurer dans pas longtemps. Il se retiens. Inspirant calmement pour une fois.
- Non je suis …
Essaya t il de dire quand elle comprit qu’il n’était pas le réparateur … mais c’était bien trop bas pour qu’elle l’entende, ou alors ne s’arrête pour l’accuser d’être un … un quoi ? Lui ? Hein ? Il releva les yeux vers elle en papillonna des yeux et en essayant de sourire doucement.
- Non… je ne sais pas faire … les machines à laver…
Ni les machines tout court…il pouvait cuisiner quelque chose à base de carottes, ça il arrivait le plus souvent à le faire avec beaucoup de chance et de patience, mais sinon … non … Les machines à laver ce n’était pas sa tasse de thé…
- j’ai … j’ai un cadeau pour Matthew …. Et … tu … je voulais t’aider. Essayer au moins.
Il rougissait encore plus, toujours avec sa petite coiffure dérangeante et ses cheveux en arrière, pour se baisser et prendre son sac. Il en sortit un petit habit à la taille de Matthew sous forme de citrouille.
- Je suis content de te voir …
Même s’il savait dans un coin de sa tête qu’Elsa ne le reconnaissait pas … après tout Elsa, il ne l’avait jamais appelé … comment déjà Dame d’Arendelle ? Non… C’était Elsa. Sa petite Elsa à lui qui lui faisait des câlins … et il en avait horriblement envie d’un maintenant …..
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J'ouvris grand les yeux ! Nom d'un bonhomme de neige ! Ce pauvre garçon, je l'avais pris pour le réparateur alors qu'en réalité il venait voir Anna. Je ne savais plus où me mettre. Mais pourquoi il ne m'avait rien dit ?
« Je suis vraiment désolé ! » lui dis-je.
Il avait en plus un cadeau avec lui, pour Matthew. C'était un petit habit en forme de citrouille qui était en plus très mignon.
« Vous auriez dû me dire que vous n'étiez pas le réparateur ! »
Je ne l'aurais pas traité de la sorte si il me l'avait dit. Du coup, au lieu de le laisser là, dans la salle de bain, je lui avais indiqué la cuisine. Il fallait que je me fasse pardonner.
« Venez, je vais vous préparer quelque chose à boire. » lui précisais-je.
Une fois dans la cuisine, j'avais ouvert le frigo pour lui servir quelque chose de froid, mais je m'étais vite rendu compte qu'il ne restait plus grand chose. Anna était partie aux courses. C'était pas étonnant que le frigo se retrouvait vide.
« Il me reste du lait de poule. »
Je ne savais pas si il aimait cela ou non. Les gens ne semblaient pas trop aimer ce genre de choses. Pourtant c'était très bon. En tout cas, j'avais sortit la brique du frigo et j'avais pris un verre. Puis, je l'avais remplis et je l'avais posé devant le jeune homme, sur la table.
« C'est un magnifique cadeau. Je suis sûr que Matthew sera ravis. Tout comme Anna, d'ailleurs. »
J'étais totalement emballé par l'idée. A une exception prête... parce que d'un seul coup, ça venait de me sauter aux yeux. Qui faisait des cadeaux comme ça ?Et puis comment se faisait-il qu'un jeune homme lui, de l'âge de Anna environ, venait ici, chez elle, avec un cadeau pour Matthew ?
« Hum... alors comme ça vous connaissez ma soeur, Anna ? » débutais-je.
Parce que oui, si il venait la voir elle, et en plus avec un cadeau pour son fils, c'était que... il sortait avec elle ? Et elle ne m'avait rien dit ?!
« Vous travaillez où ? Vous avez une bonne situation ? »
Il fallait bien que je sache à qui j'avais à faire, et si c'était un partit convenable pour ma soeur. En tout cas, elle et moi, on aurait une discussion à son retour. Je ne comprenais pas qu'elle voyait des gens sans me le dire. Il était grand temps que je vienne loger chez elle, afin de surveiller un peu ses fréquentations.
« Je préfère vous le dire de suite, ma soeur n'est pas du genre à épouser quelqu'un qu'elle ne connait pas. Il faudra être patient. Apprendre à la connaître, la respecter, et surtout, être accepté. » dis-je en plissant un peu les yeux, avant de faire apparaître un petit sourire, car je ne voulais pas me montrer trop agressive d'entrée de jeu.
Mais si il comptait sortir avec elle, il devait être quelqu'un de convenable à tous les points, et ne pas se précipiter pour l'épouser. Et en plus de tout ça, il fallait être accepté. Accepté par la soeur de Anna. Moi.
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Elsa ne l’aidait CLAIREMENT PAS à se détendre, il avait l’impression d’être … Fini… Qu’une petite tâche sur un meuble qui suffirait de gratter pour qu’elle parte. Il avait été caché par des bibelots, mais maintenant que la poussière était partit, il ne restait plus que lui… et il n’avait pas envie d’être gratter alors il se faisait tout petit à sa manière bien à lui. Quand elle s’excusa il releva la tête et fit non de la tête.
- Ce n’est pas grave !
Debout, il passait d’un pied sur l’autre avec toute la douceur qu’on lui connait. Comme un enfant qui a comprit qu’il avait fait une bêtise. Il ne voulait pas qu’elle s’en veuille à cause de lui.
- Je n’ai pas osé… et je me suis dis que si je pouvais aider au moins un peu alors c’était pas si grave que ça.
Et il serait partit pour se cacher sous sa couette sans que jamais Elsa ne sache qui il était… et il se serait maudit de pas lui avoir dit … mais il n’oserait pas y retourner ..; toutes les excuses étaient bonnes pour ne pas lui dire tout de suite qui il était, malgré le fait qu’il en crevé d’envie. Il la suivit dans la cuisine alors qu’il reprit son sac doucement. Il regarda le lait de poule. Il n’était pas sur d’en avoir déjà bu. Il savait que c’était quelque chose que l’on boit à Noel, mais il n’en buvait jamais … surtout parce qu’il ne comprenait pas ce que c’était. Les poules ça faisaient pas de lait. L’observation du verre lui permit de ne pas penser à son Elsa tellement à porter de câlin. Puis il sourit.
- j’espère que ça lui plaira oui ! Je l’ai trouvé quand je marchais au centre commercial et je me suis dit que Matthew irait parfaitement dedans, on aura encore plus envie de lui faire de gros câlin !
Parce que, qui n’avait pas envie de câliner ce gamin ? Tout le monde devait voir en Matthew ce que voyait Axel… soit l’adorable enfant d’un personne qu’il adore. Et ça suffit pour qu’il l’aime tout autant !
- Oui je la connais !
Il allait lui dire quelque chose, il ne savait même pas quoi lui même incapable de mentir à Elsa, mais elle lui demanda le reste. D’un grand sourire, il était prêt à répondre à ce genre de question, ça ne le déranger pas du tout.
- Je travaille au glacier, je fais les glaces et je les vends. Je pense que j’ai une bonne situation, je suis ni à la rue, ni sans travail, et j’ai des amis alors j’imagine que ça me fait être en bonne situation non ?
Il n’était pas sur de ce que voulait dire être « en bonne situation » après tout, pour lui, qui allait toujours bien même quand ce n’était pas vraiment le cas, la bonne situation était d’être heureux. Et il l’était. Olaf n’insista pas plus dessus cependant en sentant que ce n’était pas la bonne définition de cette demande. Olaf pencha la tête sur le côté quand elle parla d’Anna et réfélchit.
- Pourtant, elle était prête à épouser Hans non ? Mais je suis tout à fait d’accord avec toi. Hans était un vilain pas beau, et il lui a fait mal au coeur. Il lui faut quelqu’un de gentil, de drôle, de calme mais aussi d’impulsif, puis quelqu’un qui la couvrira d’amour ! Elle a pas voulu me raconter ce qui était arrivé au papa de Mattew mais je suis sur que notre Anna elle va dépasser tout ça et qu’elle trouvera l’amour à nouveau.
Il était loiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin (oui beaucoup de i) de se douter qu’Elsa était en train de sous entendre que lui allait sortir avec Anna, ou voulait sortir avec elle. Il était tellement loin que cela ne faisait même pas un début de chemin dans sa tête. Sortir avec quelqu’un ? Olaf ? Cela pourrait arriver peut être un jour, quand les poules auront des dents et feront vraiment du lait peut être …
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| Conte : La Reine des Neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Elsa
Sur le moment, un doute traversa mon esprit. Est-ce qu'il était possible que ce jeune homme qui se tenait face à moi était en réalité Olaf, mon bonhomme de neige ? Celui que j'avais créé pour Anna quand on était petites, et qui est devenu une réalité lorsque j'ai quitté Arendelle ?
En remettant toutes les informations en place, depuis son arrivée dans l'appartement, il me tutoyait comme si on se connaissait depuis longtemps. Il m'avait également appelé par mon prénom. Qui plus est, il prétendait travailler chez un glacier et il connaissait toute l'histoire de ma soeur à Arendelle. Et le summum de tout... il aimait les gros câlins.
Un sourire illumina mon visage. D'abord de surprise, puis de joie.
« Olaf... ? » laissais-je échapper ravie. « J'ignorais que tu étais à Storybrooke. Tu étais où pendant tout ce temps ? »
J'avais une foule de questions à lui poser, mais quelque chose me perturbait au plus haut point. Il était un jeune homme. Un jeune homme fait de chair et d'os. Comment cela était-il possible ?
« Tu es... » débutais-je en le détaillant de haut en bas. « Magnifique ! »
J'avais créé un bonhomme de neige et un sort en avait fait un beau jeune homme, tout a fait charmant !
Il me fallait beaucoup d'efforts pour détacher mon regard de lui. J'étais totalement subjugué par celui qui se trouvait face à moi. C'est fou ce que la magie pouvait accomplir et celle de Regina, aussi mauvaise qu'elle soit, elle pouvait accomplir de grandes choses. Il était réel. Encore plus que quand je l'avais créé ! Et est-ce que Anna le savait ?
« Quand Anna va savoir que tu es là, elle sautera de joie ! » m'exclamais-je.
Elle tenait beaucoup à son bonhomme de neige. Quand on était petites, elle venait chaque jour me réveiller pour me demander de lui en créer un. On avait passé tellement de bons hivers ensemble...
Je portais mes mains à mes joues, n'en revenant toujours pas. Puis, je portais une nouvelle fois mon attention sur la petite tenue qu'il avait acheté à Matthew.
« Elle est vraiment magnifique. » dis-je. « Ca signifie que tu savais depuis longtemps pour Matthew ? Mais pourquoi avoir attendu aujourd'hui pour venir ? »
Je ne lui laissais pas en placer une. Et tout en parlant, des pensées me vinrent. Il devait adorer la glace ! Mais on n'en avait pas dans le congélateur. Au lieu de le laisser boire le lait de poule que je lui avais servis, j'avais pris un autre verre que j'avais posé devant lui.
« Tiens, tu aimeras mieux ça. » lui dis-je tout en utilisant mon pouvoir et ma main afin de faire glisser de mes doigts des petits glaçons dans le verre.
De la glace pilée. J'avais pris ensuite du sirop de fraise que j'avais légèrement fait couler dessus. Une préparation maison rien que pour lui, même si le sirop, lui, était industriel. Une fois fait, j'avais avancé le verre jusqu'à lui.
« Tu veux une paille ? » lui demandais-je. « Ou une cuillère, plutôt ? »
Je m'emballais tellement que j'étais heureuse. J'avais la sensation que le temps s'était arrêté. Oh mais peut-être que ce n'était pas à boire qu'il voulait ?! Tout en l'observant, une autre pensée me vint à l'esprit. Et si en réalité ce qu'il voulait, c'était tout simplement...
« Olaf ? » débutais-je avec un petit sourire, tout ouvrant légèrement mes bras. « Tu veux un gros câlin ? »
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| Conte : La reine des neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Olaf
Savoir qui on est, c’était une chose… l’entendre dire par la personne qui était sa créatrice, mais aussi son amie dans son coeur, mais aussi tout plein de chose autres qui était tout simplement impossible à définir, en était une autre… alors quand elle dit son prénom, il se figea et l’observa alors qu’il rentra un peu sa tête dans ses épaules. Avait il hoché la tête pour dire oui ? Certainement. L’avait elle vu ? Peut être pas. Il rougit aussi. Il rougit de toutes ses joues (mais si mais si c’est possible) et observa Elsa alors qu’il répondit
- J’étais là …
Il avait dit cela comme un murmure, un faible son… qui avait une teinte d’excuse dans sa voix. Il ne voulait pas la déranger… il ne voulait pas l’embêter … et quand elle commença à dire « tu es … » il avait envie de se cacher sous la table et de ne plus en sortir. Il était humain, il n’était plus un petit bonhomme de neige… Il rougit et quand elle dit qu’il était magnifique il eu l’impression que toute la pression du monde venait de partir de ses épaules pour aller voir ailleurs. Il papillonna des yeux plusieurs fois.
- Moi ?
Il se montra même du doigt… On l’avait traité de beaucoup de choses le long de sa vie. Et il avait eu beaucoup de chance de tomber sur des gens biens la plupart du temps … mais jamais, oh grand jamais on ne lui avait dit qu’il était magnifique … il rougissait de plus belle alors qu’il avait bien envie de lui retourner le compliment, mais tout le monde savait qu’il aimait Elsa et Anna et qu’il ne pouvait que les trouvait les femmes les plus belles de toute la ville. Il rougit encore mais ne lâchait jamais Elsa des yeux alors qu’il cachait ses mains tremblantes sous la table.
- Elle l’a su récemment, mais je lui ai demandé de rien dire pour que je puisse venir moi même …
Il savait qui était les soeurs depuis longtemps. Il le savait dans son petit coeur, et surtout parce qu’elle n’avait pas réellement changer depuis Arendelle… lui … il n’était plus du tout la même chose. Il n’était même plus la même espèce. Il essayait de parler, mais il n’était pas sur que la jeune femme entende réellement ce qu’il disait. Il voulait bien de la glace et la prit avec plaisir même s’il devait la manger avec les doigts. Observant toujours Elsa, il pencha la tête quand elle l’appela à nouveau. Elle ouvrit les bras … et Olaf n’eut pas le temps de la laisser finir sa phrase qu’il s’était déjà lever pour prendre la jeune femme dans les bras.
D’un point de vue extérieur, on pourrait croire que c’était un homme-enfant en train de faire un câlin à quelqu’un qu’il appréciait. D’un point de vue intérieur c’était exactement ça. Olaf ne serrait pas la jeune femme très fort, mais il se cala dans ses bras et n’avait plus du tout envie d’y bouger !
- Je … je suis désolée de ne pas être venu plus tôt. J’ai eu peur de dérange, je ne voulais pas être un poids ou un fardeau alors je me trouvais des excuses toutes petites pour ne pas venir. Je suis plus exactement un bonhomme de neige…. Et j’avais peur.
Bien sur, une fois dans ses bras, il ne se souvenait même pas de pourquoi il avait peur. Bien sur qu’Elsa accepterait sa nouvelle forme, parce que c’était Elsa. Et qu’elle était la reine en plus d’être son amie. Et qu’il avait déjà eu des câlins de sa part, plein, et qu’il était donc naturel qu’ils soient toujours amis même ici. La peur était quelque chose d’illogique, et Olaf le savait … mais il n’avait pas envie d’y penser alors qu’il préférait ne penser qu’à faire le meilleur des câlins qu’il avait en stock !
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Libérant Olaf de notre étreinte, j'en avais profité pour l'observer une nouvelle fois de bas en haut. Il était tellement différent du bonhomme de neige de l'époque. Du moins dans son apparence physique, car pour sa façon d'être, il lui ressemblait comme deux gouttes d'eau. Ca m'avait toujours étonnée d'avoir réussi à créer un bonhomme de neige vivant, en souvenir de notre enfance à Anna et à moi. Le voir ainsi, aujourd'hui, en humain, ça me surprenait d'avantage. Je me demandais ce que ma magie était capable d'accomplir de plus.
« On va organiser une grande fête ! » m'exclamais-je.
Il m'avait dit que Anna était déjà au courant de sa présence ici. Mais ce n'était pas une raison. On devait fêter ces retrouvailles comme il se devait ! Anna serait présente. Tout comme Matthew. Ainsi que Franço...cis ! Ma salamandre, et pas le dieu qui ne daignait pas donner de nouvelles ces derniers temps.
« Tu sais quoi ? On va aller faire des emplettes ! » ajoutais-je.
Il allait falloir prendre un peu de tout. Et j'en profiterais pour refaire un stock de lait de poule, car il n'y en avait presque plus à la maison.
Ouvrant la porte de l'appartement, on avais rejoins l'entrée de l'immeuble. Une fois dans la rue, la lumière du jour atterrit doucement sur ma peau. Quand je sentis sa chaleur s'emparer de moi, je me sentis réellement bien. C'était une belle journée, de belles retrouvailles, et...
« Nom d'un glaçon, Olaf ! » m'exclamais-je en faisant apparaître un petit nuage au dessus de sa tête qui se mit à faire tomber de la neige sur le jeune homme.
Je lui avais proposé de sortir sous le soleil, sans même prêter attention au fait qu'il n'avait plus son petit nuage au dessus de sa tête. Il pouvait à tout moment fondre. Et... ou pas en réalité.
« Tu n'en as plus besoin, c'est ça ? » lui dis-je avec un petit sourire gênée.
Je lui avais fait tomber de la neige dessus pour rien. Sans plus attendre, le nuage avait disparu et je m'étais approché pour essayer d'essuyer la neige qui se trouvait déjà sur ses cheveux et ses épaules.
« Je suis désolé. J'ai cru que tu en aurais besoin... »
Fallait que je réfléchisse un peu plus avant d'agir. Maintenant qu'il était un humain, ce n'était plus le bonhomme de neige que j'avais connu. Et sans doute que désormais, il pouvait vivre pleinement sa saison préférée, à savoir l'été.
« Viens, on va aller dans ce magasin. » dis-je en indiquant la petite supérette à quelque pas de l'appartement.
Je ne savais pas trop quoi prendre. Il fallait de quoi faire un gâteau, mais je n'étais pas spécialement douée en cuisine. On pourrait passer à la pâtisserie en prendre un déjà préparé. On devait aussi prendre de la boisson. Il y avait toute sorte de laits végétaux ici. On allait forcément trouver notre bonheur. D'ailleurs, je me demandais ce que Olaf aimait. On avait tellement de temps à rattraper !
« Le Froid est pour moi le Prix de la Liberté. » entendis-je derrière moi.
J'osais à peine tourner la tête. On venait de franchir les portes du magasin et de passer devant deux trois rayons, que déjà j'entendais des paroles de la Reine des Neiges. Il y avait tout un étalage de poupées à mon effigie, et voilà qu'une petite fille en avait actionnée une.
« Bonjour je m’appelle Olaf, et j’aime les gros calins ! » entendis-je une seconde fois.
Cette fois ci c'était sur un autre étendart, un père qui venait d'actionner une peluche Olaf. Voilà ! C'était exactement pour cette raison que je ne voulais pas aller dans les magasins en fin d'année. Les jouets Reine des Neiges débordaient, et ils étaient juste... ridicule.
« On prend ce qu'il nous faut, et on s'en va. » précisais-je à Olaf.
Je me demandais si lui aussi était exaspéré par tout ce merchandising sur nous. Et sur le fait que certaines personnes malintentionné, avaient jugées utile de faire un film sur nous. Je me demandais comment qu'ils avaient eu toutes ces informations. Sans doute que quelqu'un avait parlé. Et la fin était tellement absurde. Totalement à l'opposé de ce qui s'était réellement passé dans notre monde.
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Tout le monde aurait pu penser à la chanson Libérée Délivrée quand on lit la première réponse de ce rp, mais Olaf n’était pas comme ça … il n’avait eu aucune envie d’être libéré ….. et encore plus, il n’avait eu aucunement l’impression d’être priver de liberté en faisant enfin un câlin à la jeune femme. Enfin était le mot…. Il pouvait enfin faire un câlin à Elsa… et c’était le plus important pour lui. Il gardait les yeux sur elle et pencha la tête quand elle parla de grande fête … il aurait voulu l’arrêter, lui dire que c’était peut être un peu trop tard pour des fêtes de retrouvailles …. Mais on parlait d’Elsa, et tout comme Anna quand elles avaient une idée en tête elle ne l’avait pas autre part … Olaf fit juste un signe de tête positif avec un grand sourire pour dire qu’il serait là pour aider.
Il n’avait pas beaucoup de sous sur lui, alors là encore, il aurait voulu lui dire … de plus ses finances après le rachat du glacier laisser clairement à désirer …. Mais d’un sourire il accepta tout cela. Il ne pouvait pas dire Non à Elsa de toute façon…il la rembourserait d’une manière ou d’une autre à un moment donné. La suivant jusqu’à l’extérieur, il souriait comme un bien heureux. Il attendait et profiter de la chaleur étrange de cette journée. Puis d’un coup, il sentit de la neige sur sa tête alors qu’Elsa semblait paniqué.
Olaf aurait pu rire. Beaucoup de personne aurait rigolé à cela. Pas lui. Il faisait un sourire tendre alors qu’il se jeta dans les bras d’Elsa pour un câlin rapide mais remplit de cet amour qu’il portait pour la jeune femme.
- Non je n’en ai plus besoin, mais il me fait très plaisir.
Tout comme la première fois, son nuage personnel était un cadeau que la jeune femme lui faisait par amour et tendresse, et il ne pouvait que l’aimer de tout son petit coeur. Il ne voulait pas qu’elle pense qu’il puisse ne pas apprécier. Suivant Elsa il continua de sourire encore alors qu’il arriva dans le magasin…
S’arrêtant pour voir les jouets à l’effigie de son amie, Olaf eu les yeux pétillants quand il comprit que les poupées pouvaient parler. C’était vraiment trop cool. Plein de mini Elsa, de mini Anna, et même des mini kristoff !! Olaf regarda Elsa alors qu’il prit sous son bras une peluche à son effigie. Il n’aimait pas toutes les peluches de la terre, mais celle qui avait un jolie visage, et était bien faite, et ne faisait donc pas peur… Il n’avait pas beaucoup de sous, mais comme il se nourrissait de carotte et de chocolat au lait, c’était pas difficile de pouvoir acheter tout ce qu’il veut… Olaf observa la petite qui jouait avec la poupée Elsa qui chantait et il fit un signe de tête vers Elsa. La petite fit tomber la poupée alors qu’elle resta figer devant son idole à ses côtés.
- Elsa … je crois que tu as une fan !
Olaf ne s’approcha pas plus. Il savait qu’au vue de sa forme humaine, s’il s’approchait de la jeune enfant et qu’il demandait un câlin, son père allait le regarder de travers et croire des choses vilaines sur lui… ou même il risquerait de faire pleurer l’enfant et il n’en avait pas envie. Il sourit encore plus et s’approcha d’Elsa pour lui prendre la main en faisant un sourire.
- Tu veux pas lui faire un câlin ?
Dit il en penchant la tête sur le côté de sa manière si particulière et bien à lui…