Surnom(s) → Il est très attaché à son prénom, au point de ne répondre à quasi aucun des sobriquets qu’on a pu lui donner. Pourtant, plus jeune, sa mère le surnommait affectueusement Tintin, mais c’est un secret qu’il emportera dans la tombe. Le plus classique Val fut souvent utilisé lors de ses années d’errance en compagnie de son frère et du groupe qui les a recueilli.
Age → Vingt-huit ans.

Occupation / Emploi → Il se rêvait écrivain, mais il tint davantage du journaliste à présent - à chercher inlassablement des preuves pour faire tomber Umbrella, pour montrer le véritable visage de la firme au grand jour.

Votre personnage est-il tiré d'un conte ? : Plutôt d’un jeu, il est étroitement lié à Resident Evil.
Si oui, lequel et qui est-il dedans ? : Un visage anonyme, une des victimes des ravages d’Umbrella. Mais il est aussi le frère de Léonard, et c’est là l’important.

Caractère → Plus jeune, l'adage passionné et passionnant lui collait à la peau ; Valentin était bien loin d'être dans la demi-mesure : emporté de nature, il vivait tout à cent pour cent. On pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert : ses sourcils froncés trahissaient sa colère, son grand sourire révélait toute sa joie, les larmes qui coulaient sur ses joues montraient toute sa tristesse... Mais en grandissant, il apprit à être plus mesuré, à contrôler ses émotions : maintenant, c'est tout juste s'il hausse un sourcil à l'annonce d'une mauvaise nouvelle - il a appris que les hauts et les bas faisaient partie intégrante de la vie, et peu importe ses réactions rien ne changera. Peut-être frôle-t-il le pessimisme mais cela lui permet de ne jamais avoir des attentes trop hautes. Malgré cela, il reste encore un moyen de le voir hors de lui : il suffit de s'en prendre à son petit frère, la seule famille qui lui reste : celui qui osera toucher à l'un de ses cheveux n'est pas prêt aux conséquences que cela entraînera... Protecteur à outrance, il n'hésitera pas à se mettre en danger si cela permet à Léo de s'en sortir sans une égratignure - plus jeune, il avait l'habitude de porter ses coquards fièrement, puisqu'ils prouvaient qu'il faisait un frère idéal, combatif au possible et capable de défendre les siens ; la chose ne s'est pas atténuée au fil du temps : au contraire, des suites de sa longue absence, il a l'impression qu'il doit redoubler d'efforts pour faire ses preuves et regagner ses galons perdus le long du chemin... S'il est seul, il peut se montrer particulièrement fonceur et tête brûlée, du genre à agir sans réfléchir : s'il tient une piste, il se lancera corps et âme à sa poursuite, pour ne pas lui laisser le temps de refroidir, pour pouvoir progresser vers son but ultime. Oh, cette attitude limite suicidaire a bien failli lui coûter la vie à plusieurs reprises et pourtant, il est toujours là. Un peu comme le chiendent, il est tenace et il est très difficile de se débarrasser de lui. Pourtant, il est loin d'être bête : il sait se transformer en véritable animal sociable s'il a quelque chose à y gagner en retour... Ses années à côtoyer le milieu journaliste lui ont permis de se tisser un réseau, petit à petit : il s'est abîmé la santé à le parcourir de long en large pour accumuler les preuves et témoignages à l'encontre d'Umbrella, et maintenant, il s'en sert pour retrouver la trace de son petit frère - le frangin qu'il a laissé de côté pendant si longtemps...

Une Particularité ? → Si son petit frère fume, c’est sûrement de son fait : après tout, il n’a jamais été du genre à se refuser une cigarette… Et il est loin d’être un modèle. ✘ A l'instar de son frangin, il conserve toujours un carnet sur lui : Léo avait le dessin, lui l’écriture. S’il avait pour habitude de rédiger poèmes et nouvelles, maintenant il en a fait une sorte de journal afin d’y consigner tout ce qui lui arrive - parfois, il a des pertes de mémoires, des absences de plusieurs heures… Parfois, il oublie le passé, au point de n’avoir que des images floues de son cadet et ça, il le refuse. ✘ Afin d’avoir toujours une trace de lui, il a la date de naissance de son frère tatoué en chiffres romains délicats juste au dessus de sa clavicule droite - le tatouage est discret au possible, parce qu’il le garde jalousement, rien que pour lui. ✘ Son flanc gauche est couvert de cicatrices et de traces de brûlures passées qui remontent jusqu’à la base de sa nuque - comme quoi, jouer avec Umbrella est loin d’être l’idée du siècle… ✘ Pendant plusieurs années, il a joué de la batterie : si les choses s’étaient déroulées autrement, il aurait peut-être pu monter un groupe avec son frère. ✘ Il est lui aussi bilingue, et parle aussi bien l’anglais que le français. ✘ Malgré lui, il éprouve une forte rancœur envers sa mère pour les avoir abandonnés ainsi... Il s'est promis de ne jamais faire la même erreur et de toujours être présent pour Léo. ... Force est de constater que la chose fut un échec cuisant, et il espère encore pouvoir rattraper le temps perdu.

Des pouvoirs ? → Du fait de sa cohabitation forcée avec les restes d’une âme malmenée, il a écopé de quelques dons qu’il est loin de maîtriser à la perfection :

Psychokinésie :
► Il lui arrive de faire se mouvoir des objets : des portes qui claquent, des assiettes qui volent, des chaises qui glissent et se déplacent, des pierres qui lévitent doucement, des escaliers qui grincent sans raison… S’il est dans les parages, ce sera probablement de sa faute. Il n’a aucune emprise sur ses phénomènes, et se contente de les subir, bon gré mal gré. De même, il n’est pas surprenant d’entendre des coups portés sur les murs, sans qu’il n’existe une explication concrète à leur manifestation… Mais ça gêne davantage ses voisins que lui -preuve que l'on se fait à tout, même aux choses les plus inhabituelles.

Blessures inexpliquées :
► Ses conquêtes d’un soir rapportent souvent d’avoir des marques étranges sur le corps : allant de simples éraflures, cela peut parfois se manifester par des griffures plus profondes, des bleus voire même des morsures. Il n’en est pourtant pas à l’origine… Du moins, pas consciemment.

Intangibilité passagère :
► Parfois, il peut devenir impalpable, tout simplement : les objets qu'il tenait quelques secondes plus tôt lui échappent, traversant ses mains pour tomber au sol. Dans les moments là, il reste encore visible aux yeux de tous, mais le moindre contact est prohibé, plus rien ne le touche ni l'atteint... Enfin, cela se vérifie sur le plan physique. Comme pour le reste, il est incapable de contrôler ces crises passagères, se contentant de les subir et d'attendre que ça passe, que les choses reviennent à la normale.

Peut-être aurait-il pu avoir une vie normale, du moins, le début le fut : Valentin était un enfant espiègle, attentionné et (relativement) obéissant mais toujours partant pour faire une blague. Malgré tout, ses yeux d'enfant virent les changements dans la relation de ses parents, mais il ne voulait y croire ; il choisit d'en faire abstraction. Et lorsqu'on lui annonça la venue d'un petit frère, il ne cacha pas sa joie : enfin, il aurait quelqu'un à ses côtés ! Quelqu'un avec qui tout partager, les hauts et les bas, les moments de tristesse et de joie, et aussi, quelqu'un qui serait toujours là. Avec lui. Il espérait aussi que cette nouvelle changerait les choses, que ses parents resteraient ensemble...

Mais sur ce point-ci, il se berça une fois encore d'illusions : il vécut le départ de sa mère comme une véritable trahison, et se promit de ne plus jamais penser à elle. Plus jamais. Elle préférait l'aventure ? Soit. Qu'elle en profite, il n'avait pas besoin d'elle après tout. Du haut de ses onze ans, il changea et devint un peu plus mature, plus responsable, aussi : il le fallait bien, son père travaillait jusqu'à très tard, et il devait s'occuper de Léonard - chose qu'il faisait avec plaisir et, en grandissant, les deux frères devinrent très complices, il n'était pas rare que l'un finisse la phrase de l'autre, de les voir rire doucement même dans les moments de silence. La petite famille n'était que trois, mais la vie était belle.

Le soir où tout bascula continue encore de le hanter. Pourtant, ça avait bien commencé : ils avaient rassemblé le strict minimum pour survivre - sans oublier quelques objets réconfortants pour le plus jeune, comme son doudou - et ils quittèrent l'abri tout relatif que constituait leur maison pour rejoindre le laboratoire où travaillait leur père. Mais leur chemin fut truffé d'embûches, et Léo finit par être mordu par l'une des créatures qui hantaient à présent les rues. De rage, Valentin le tua avant de retourner auprès de son cadet, pansant rapidement la plaie comme il le pouvait avant de le prendre dans ses bras, le berçant.

« Shhh... Tout va bien se passer, ça va aller... »

Il répétait cette phrase, encore et encore, mais ses yeux larmoyants étaient rivés sur son père, scrutant ses réactions, cherchant à savoir ce qu'ils devaient faire à présent. C'était pas juste. Il aurait dû être celui blessé, pas Léo... Il s'en voulait. Ils finirent par repartir, se dirigeant vers les égouts qui étaient à présent gardés par des hommes d'Umbrella comme le prouvait le logo rouge et blanc qui ornait leur tenue. Les choses dégénérèrent et leur père fut abattu.

« NON !!! »

Repoussant Léo pour qu'il reste caché derrière lui, il eut le réflexe de se jeter sur l'un des soldats... Mais l'autre n'eut aucun scrupule à s'en prendre à un enfant, et le frappa, l'assommant sur le coup. Lorsqu'il reprit connaissance, son propre père rampait vers lui en poussant des grognements gutturaux, et Léo avait tout simplement... Disparu. Un hurlement rageur lui échappa - tant pis s'il se mettait en danger, il venait de tout perdre - tandis qu'il se relevait en catastrophe pour prendre la fuite. En chemin, il rencontra un survivant qui le prit en pitié, et lui prêta main forte. Ils parvinrent à quitter la ville avant sa destruction. Mais Valentin garda une profonde rancœur à l'encontre de l'entreprise.

Il continua à vivre avec un sentiment de vide. Les années passèrent, et il les utilisa pour rassembler le plus d'informations possibles sur Umbrella, parvenant même à mettre la main sur un de leur complexe camouflé en vieille bâtisse abandonnée. Il savait qu'ils continuaient leurs expériences sur les morts, jouant de leurs virus et il s'était préparé en conséquence, emportant un masque à gaz avec lui. Mais ici, la corporation avait d'autres objectifs en vue : ils s'intéressaient à ce qu'il se passait après la mort, torturant leurs cobayes pour les laisser partir dans des états de troubles, d'angoisse et de colère incroyable. Comme s'ils cherchaient la formule magique pour créer des esprits à foison - peut-être que les morts-vivants n'étaient plus suffisant. Valentin en avait bien trop vu, ses sentiments prirent le dessus et il fonça pour détruire le plus de choses possibles, pour foutre en l'air leurs recherches. S'acharner sur le compteur fut la faute de trop, et lorsque tout se retrouva plongé dans le noir du fait de courts-circuits, les hurlements se poursuivirent, gagnants même en intensité. Perdu, il retourna auprès des sujets tests, essayant de les libérer en méprisant totalement les arcs électriques qui parcouraient parfois leurs corps... Jusqu'à se prendre une décharge. Les cris se turent, l'homme qu'il tentait d'aider se tut, et les installations explosèrent. Le corps de Valentin fut traversé d'arcs d'une blancheur surnaturelle, et il crut mourir.

Les secours lui sauvèrent la vie : les nuages chimiques noirs s'élevant des restes du bâtiment leur avait mis la puce à l'oreille. Encore une fois, il fut le seul survivant, mais son corps tout entier le lançait, le brûlait ; le côté gauche plus encore que le reste. Et, juste avant de sombrer dans une inconscience salutaire, il lui sembla apercevoir de fin filets de fumée violacées... Etait-ce la fin ?

Pas de parents à déclarer, mais un petit frère à protéger. Ils passèrent une partie de leur vie - la majeure partie de leur vie, même - en orphelinat. Bien souvent séparés par les gouvernantes, de part leur âge et leurs capacités extraordinaires à faire des bêtises lorsqu'ils étaient réunis, ils parvenaient encore à se retrouver à la tombée de la nuit, à sortir en douce pour se raconter leur journée respective, et rattraper le temps qu'on leur prenait. Et, un beau jour, une famille commença les démarches pour adopter Léo... Et ça, il en était hors de question. Sans réfléchir davantage, les deux garçons réunirent leurs maigres possessions et s'éclipsèrent en douce sans demander leurs restes.

Les premiers jours furent compliqués, mais ils eurent la chance de tomber sur un groupe de marginaux et d'hippies qui ne leur posèrent aucune question - sinon celle de connaître leurs prénoms respectifs - et leur permirent de vivre avec eux. Ils ne restaient jamais trop longtemps au même endroit, utilisant les trains de marchandises comme moyen de locomotion, visitant état après état, survivant à l'aide des jobs dont personne ne voulaient. Valentin se voyait bien continuer ainsi pour toujours, mais son petit frère commençait à se lasser : il n'aimait plus passer sa vie à voyager et, étant le plus jeune de la joyeuse bande, il manquait de contacts appropriés, d'amis de son âge. Leur parenthèse dorée semblait prendre fin.

Décidant de respecter les envies de Léo et voulant le protéger - après tout, une telle vie présentait toujours des dangers - il demanda à la bande de lui laisser une semaine. Et ils retrouvèrent l'adresse de leurs grand-parents maternels, qui furent surpris de leur coup de fil mais acceptèrent de les recevoir. Le trajet les occupa un moment, et Valentin ne passa que deux jours en leur compagnie, mais ce fut amplement suffisant pour savoir qu'ici, son frangin serait bien traité... voir même chouchouté. Et c'était tout ce qui comptait. Il profita de leur hospitalité, avant de regagner la route, promettant d'envoyer des cartes postales et des souvenirs de tous les endroits qu'il visiterait à l'avenir, et de repasser pour les fêtes. C'était mieux ainsi, n'est-ce pas ?

La fin de la malédiction lui donna l'impression de sortir d'un rêve fiévreux, ne lui laissant que des images éparses d'une vie fantasmée qui s'effaçait déjà. Il se détesta pour y avoir cru pendant si longtemps, et quitta l'endroit dans lequel il se trouvait sans demander son reste, persuadé que rien ne le retenait ici, abandonnant son frère sans même le savoir - comment aurait-il pu y penser ? Il le croyait mort.

Il lui fallut du temps, pour se reconstruire. Il lui fallut du temps pour se persuadé qu'il s'agissait bien de la vraie vie à présent, et pas d'un énième délire. Puisqu'il ne savait rien faire d'autre, il se remit à pister Umbrella, reprenant ses objectifs passés et souhaitant plus que jamais de les voir tomber. Usant de ses talents d'écrivain pour se frayer un passage, pour consigner des informations et se créer un réseau.

Et, un beau jour, l'un de ses contacts se pointa avec un photo, lui demandant s'il reconnaissait la personne du cliché. Et s'il l'observa un moment, sentant des larmes lui monter aux yeux... Il fut sûr de lui : il s'agissait de Léonard. De son petit Léo. Il était toujours en vie.

... Et ils avaient tant de choses à rattraper, en sept ans. Il lui fallut quelques mois supplémentaires pour savoir où il se trouvait précisément et, en ce début du mois de Novembre 2020, il regagnait Storybrooke, une ville qu'il pensait n'avoir jamais existé...

️ @jenesaispas

Administration → Célébrité de votre Avatar : Oliver Jackson-Cohen → Est-ce un poste vacant ? : ça aurait pu... Mais non. → Multicompte ? : Oui. Entre nous → Pseudo / Prénom : Dusty. → Votre avis sur le forum : → Comment l’avez vous découvert : → Si vous deviez choisir entre héros, vilain, magique, prince(sse), ancien animal, rebelle ou divin pour votre team vous choisiriez quoi ? : Rebelle, comme mon petit frère. → Le mot de la fin :

Oh un personnage intéressant J'adoooore ses deux dons
Et ce choix de célébrité J'ai tellement aimé Peter Quint

RE BIENVENUEEEEE
& bonne continuation pour ta fiche

re-bienvenu parmi nous !

   MAIS 

J'en ai maaaaarre de vous  Re bienvenue

Je ne suis pas super familière avec l'univers de Resident Evil bien que ça soit une licence qui a bercé mon enfance, mais je crois voir qui est Léon et ton personnage à l'air prometteur !

Rebienvenue et bon courage pour le reste de ta fiche

Violette : Oh, merci ! Tout le mérite revient à Morgane, c'est elle qui m'a guidé - et qui me guide encore !

Depuis le temps que je voulais le rejouer, j'ai enfin trouver de quelle façon l'incarner ! Mais ouiiii, il joue si bien ! J'aime tellement les saisons de The Haunting omg.

J'espère que la suite continuera de te plaire !

Skyler : Merci !

Dazai : Respiiiire, ça va bien se passer ! Je suis juste un gros gamin.

Merci !

Dipper : Ouuuh, faut pas me dire ça un jour je vais vraiment finir par venir t'embêter avec tous les jeux que j'ai fait, qu'on les ai en commun ou non. Aaah, Léonard est différent de Léon, c'est un tout autre personnage ! On a vraiment repris certains éléments des jeux pour inclure des persos tous beaux tous neufs ! J'espère être à la hauteur maintenant.

Merci beaucoup ! Hâte de pouvoir découvrir et accueillir ton DC comme il se doit en passant.

Moi aussi je suis trop fan des The Haunting

En tout cas, j'ai hâte de lire la suite et je viendrais peut-être te quémander un lien Même si actuellement j'ai 0 idées

AAAAAAAAHHHHHH TELLEMENT HEUREUSE DE TE VOIR ENFIN Tu sais quel amour je porte sur Valentin et sur cet acteur Je suis vraiment contente que ce soit toi qui joue ce lien important pour mon Léonard Je sens déjà que notre rp va être déprimant, ça va être bien
On va faire des trucs de malade avec ce conte

Et t'en fais pas Leo je le développe pas mal du côté de Chris et avec Léonard aussi bien sur. Je ne suis juste pas née pour être MJ alors faut s'attendre à une mission

Et Dipper désolé pour la confusion J'aurai du choisir un prénom plus différent que celui de Leon j'avais pas réfléchis Mon perso est totalement inventé Leon est .. libre

BIENVENUE EN TOUT CAS GRANDE PERCHE

Je préfère largement cet avatar à l'autre là Très largement même

Bon je connais absolument pas l'univers, mais balec on trouvera quand même un lien pour ne casser notre chaîne de liens entre tous nos comptes
Re-bienvenue par ici en tout cas