« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Les choses qui touchait à la technologie n'était pas pour elle ou du moins c'était le vide complet. Que Tim sache l'utiliser était un sacré don même si elle n'était pas au courant qu'il passait des heures et des heures dessus pour connaître les rudiment du jeu. C'était un don incroyable à n'en point douté. La demoiselle voulait que ce charmant moignon soit plus juste envers lui-même. Mais, elle n'était peut être pas celle qui lui fera entendre raison, Timmy était quelqu'un de borné aussi a n'en point douté.
Le fait qu'elle n'allait pas à l'école avait eu un effet sur Timmy. Un sifflement visiblement, Amal pencha légère la tête sur le coté, parce qu'elle ne connaissait pas tout concept humains. Pour ne pas avoir été à l'école était peut-être un manque, elle ne côtoyait jamais personne. L'école aurait eu ce qui lui manquait. Sauf que son père avait jugé que ce n'était pas convenable et indigne d'une lady c'était bien mieux d'étudier à la maison et un précepteur lui ferait les leçons. Elle écoutait donc Moignon parler Mhh.. ca ce tenait du coup, qu'une personne puisse blesser par la parole ou faire quelques chose de pas très sympathique, ca ne lui était donc jamais arrivé puisqu'elle ne connaissait pas grand monde dans cette ville. Mais, une chose est sur, elle allait faire en sorte de remédier à tout cela. Connaître d'autres personnes surement du moins le temps d'être libre. Ohh.. oui je comprend, parfois ils peuvent faire du mal sans le vouloir, mhh.. d'accord.. une maid ? Qu'est-ce que c'est ? Oui bon ça c'était pas tombé dans l'oreille d'une sourde, elle avait soif de connaissance maintenant. Son cerveau pouvait don bien enregistrer les choses. Elle l'avait vu rougir, c'était peut-être pas la meilleure question du coup. Pardon, je ne voulais pas vous mettre dans l'embarra. Elle essayait de comprendre. Elle n'avait encore jamais boudé, ou c'était peut-être un truc qui ressemblait à un autre sentiment, frustration ? Le fait de ne pas être contente et de prendre la mouche ? Comme quand elle demandait à son père de sortir au delà du mur ? Et qu'il disait non ? Ca lui donnait envie de prendre la fuite. Chose qu'elle avait fait finalement. Sortir clandestinement. Mhh, oui je comprend mieux c'est un peu comme être frustré le fait de boudé ? Je n'ai pour le moment pas grand monde en tant qu'amis mais, j'essai de faire de mon mieux.
Puis vient la réponse sur le cinéma. Un film ? Non elle ne connaissait pas, video ? Non plus ce n'était pas des choses qu'elle avait l'habitude de voir. Image qui bougent.. mhh... elle ne voyait que des gravures dans les livres qu'elle pouvait lire. Mais du fait qu'elle avait vu le jeu de Tim bougé lui donnait un peu des vague idées. Elle hocha la tête doucement. Je ne comprend pas tout les mot mais, je vois un peu ce que cela peut-être et ça à l'air très bien comme endroit. Je ferais attention c'est promis, de toute façon, je mange toujours proprement. Parce que bon, on lui avait enseigner les bonnes manières, elle n'avait pas été élevé chez les cochons. Qu'elle planète ? Et bien je viens d'ici, des billets ? Excuse moi ça par contre, je ne sais pas ce que c'est. Elle était en train de réfléchir sur ce qui pourrait s'en rapprocher, si elle avait déjà vu quelques choses dans sa mémoire qui pourrait le relier C'est quelques choses de vert ? Elle avait vu une fois son père recevoir cela lors d'une vente d'un cheval. Ohh.. je te remercie beaucoup Moignon c'est gentil
Elle fit mine de réfléchir. Contre son grêt ? Un crime ? Mhh.. pourtant, je ne suis pas morte. Libre ? oui mais pour combien de temps encore ? Elle lui sourit doucement pour le rassurer. Ohh très bien, je vais changer mon dialecte alors, il n'y a pas de soucis, tu pourras prendre tout ce que tu voudras. Ca ne me gêne pas si ça peux te faire plaisir
Elle le trouvait adorable Tim était un super ami et roi du jeu video. Très je ferais comme ça m'enchantera alors, si j'ai envie de jouer à tel ou tel jeu. Bien sur peut-être pas toute seule.
Elle était en train de l'écouter lui aussi avait joué les princesse, elle lu sourit. Ohh toi aussi tu as fait un rôle de princesse, j'espère que tu as apprécié ? Pour Amal il n'y avait pas d'amalgame la dessus. Elle voulait juste qu'il se sent à l'aise. C'est vrai que si le prince ne daigne se montrer cela peut se montrer frustrant mais, rien ne t'empêche de te sauver seule
Elle lui sourit après lui avoir remit sa console dans les mains, elle fini par suivre la direction qu'il lui avait indiqué. Ce qu'elle aimait mangé ? elle n'en savait rien mais elle lui faisait confiance. Et bien que me conseil tu ?
Il n’était pas sûr de bien tout comprendre à Lady, l’écureuil, mais il faisait de son mieux pour suivre le mouvement de ses pensées et l’aider à trouver son chemin dans la vie. Il n’était franchement pas le plus doué dans cette histoire et certainement pas le plus pédagogue des hommes, mais il y mettait de l’envie et de la persévérance, c’était toujours ça de pris, non ? En tout cas, il faisait comme il le pouvait, sans la juger, sans la critiquer, sans se moquer. C’était normal, dans une ville comme celle-ci, que certaines personnes ne soient pas aussi à l’aise que lui. Il l’avait compris, à force. Son propre frère n’était pas toujours bien à sa place, ici. Du moins, c’était ainsi que le voyait Timothy qui se demandait, de plus en plus souvent, s’il ne devait pas emmener Bran dans son véritable monde.
Il se détourna de son bro pour se reconcentrer sur Lady. Il n’avait pas le temps de penser à Bran, même si Tim avait beaucoup de choses à se demander, à son sujet. Pour le moment, il devait faire attention à sa nouvelle amie. Alors, il essaya de trouver les mots pour s’expliquer, pour lui indiquer qu’il ne pensait pas à mal, que les amis n’étaient pas des gros traîtres, qu’il était allé un peu loin, pour le coup. Évidemment, Timmy n’avait pas l’impression d’arranger son cas et de démêler la situation. Il se perdait un peu trop souvent dans sa façon de voir les choses et de tout pardonner, tout le temps, à tout le monde. On lui avait, à peu près, fait tous les exemples qu’il venait de citer à Lady et Tim n’avait qu’à peine boudé à ces amis. Même à Charlie qui était partie. Elle était revenue, c’était tout ce qui comptait, pour lui.
Timothy acquiesça plusieurs fois, alors qu’Amalthea semblait, à peu près, avoir compris ce qu’il voulait dire. En vérité, il n’était pas certain de savoir si ses amis avaient vraiment voulu, ou non, le titiller un peu. Clairement, il ne pensait pas qu’ils essayaient de lui faire du mal, mais ça pouvait être quelque chose de pas loin, non ? Comme une envie de le provoquer, de le titiller ? Il ne savait pas trop. Quoi qu’il en était, oui, il pouvait bien avouer à Lady que ça lui avait fait un peu mal de voir son amie partir pour traîner avec d’autres mieux que lui, qu’il se demandait, maintenant, si elle recommencerait, tout en sachant pertinemment qu’il ne pourrait pas l’en empêcher, même s’il en aurait très vie. Pour ce qui était de la maid, en revanche, ça ne lui faisait pas vraiment mal, non… là, c’était clairement des provocations de son bro. Rien de méchant, juste un peu de châtiment amical, ou quelque chose comme ça. Comme… essayer de soigner un traumatisme en se confrontant au trauma.
Une maid… euh… comment dire… C’est une… servante ? au service d’une famille riche, normalement. Et ces gros pervers de mer-… bref, son métier a, un peu, été détourné et ses vêtements sont devenus très… tendancieux. Sérieux, ne m’en demande pas plus, s’il te plaît.
Non, clairement, Timothy n’était pas prêt pour parler plus en détails des maids. Rien que d’y penser, ça lui donnait envie de vomir. Il ne comprenait pas bien l’intérêt, lui, et les perversions humaines lui passaient clairement au-dessus de la tête. Si elle demandait à un de ses deux frères, peut-être qu’ils pourraient lui expliquer, mais ils n’étaient pas là pour ça. Lui, il refusait d’en dire davantage. C’était mort.
Pas grave, c’est pas ta faute. Juste, évitons le sujet des maids, c’est mieux.
Les joues rougies, Tim fixait un point invisible, devant lui, pour ne pas avoir à regarder Lady ou qui que ce fut d’autre, aux alentours. Et dire qu’à la base, il était juste venu s’amuser un peu dehors, sans penser à rien d’autre que son jeu-vidéo, en attendant que l’heure tourne et qu’il puisse aller squatter une ou deux personnes pour passer le temps.
Il n’était pas bien sûr, l’écureuil, que la frustration et la boudin étaient vraiment la même chose, mais il se contenta de hausser les épaules. Il ne savait pas comment le lui expliquer. Pour lui, c’était naturel de bouder. Personne ne réagissait quand il s’énervait un peu, personne ne le prenait au sérieux parce qu’il était incapable de hausser la voix et de proférer des centaines de gros mots. Par contre, quand il boudait… Là, en général, il commençait à attirer l’attention et ils savaient, selon son degré de boudin, s’ils étaient vraiment allés trop loin.
À l’entendre avouer qu’elle ne comprenait pas tous les mots, Timothy échappa un sourire amusé. Non pas qu’il essayait de se moquer, au contraire, il trouvait, là, une sorte de point commun étrange entre eux. Bon, ils n’avaient franchement pas le même problème, mais il savait ce que c’était lui, de voir les mots qui paraissaient évidents pour tout le monde, mais qu’il n’arrivait pas du tout à déchiffrer, lui. Alors, il se permit de pat pat doucement son épaule, pour lui dire de ne pas s’en faire. Ne pas comprendre, ça faisait partie de la vie, de toute façon, et il n’y avait rien de mieux que la pratique pour piger quelque chose.
T’en fais pas, quand tu auras expérimenté par toi-même, tu comprendras mieux. (Il fronça un peu les sourcils.) Tu prends vraiment toutes mes questions au pied de la lettre, je sais pas si c’est mignon ou contraignant, j’avoue. C’était pas une vraie question pour la planète, c’était plus… ironique ? Même si elle pourrait se poser pour de vrai, vu que tout le monde n’est pas humain, dans le coin.
Lui-même était un écureuil, il avait un chat, un canard et une grenouille dans sa famille, et son frère était une expérience qui s’apparentait à un alien. Franchement, elle pourrait venir de Mars ou de Gallifrey qu’il ne serait pas franchement choqué. Impressionné, oui, mais pas choqué. Néanmoins, elle venait bien de Terre et l’entendre dire qu’elle ne connaissait pas l’argent le força à regarder ailleurs, les lèvres pincées. Sans le moindre doute, elle avait été enfermée trop longtemps et il était sûr qu’il y avait crime. Il hocha simplement la tête, sur la question de la couleur des billets, incapable d’en dire davantage pour l’instant.
Il n’y a pas que le meurtre, comme crime, dans la vie. Le vol en est un. La séquestration, la prise d’otage, les coups et blessures, les insultes aussi, ça peut compter dedans. Si tu as été enfermée et incapable de sortir alors que tu en avais envie, alors il y a crime. C’est mal.
Point. La discussion n’était pas ouverte, Timothy savait qu’il avait raison et qu’elle avait tort. Si elle voulait s’amuser à essayer de tester l’âne buté qu’il était, il lui souhaitait bien du courage. Franchement, si elle lui demandait, il était même prêt à se jeter au poste de police pour balancer la maltraitance dont elle était la cible. Mais il ne le ferait pas contre son avis. Après tout, il avait peut-être juste mal compris, voilà.
Tu peux jouer toute seule, qu’est-ce que ça change ? ricana-t-il. L’important, c’est de s’amuser, au fond. Seule ou à dix, ça ne change rien, il faut juste se vider la tête et profiter.
Ce qu’il faisait tout le temps, lui, persuadé que s’il se vidait la tête et riait aux éclats, alors le monde, autour de lui, pourrait en faire de même. Après tout, les rires, comme les sourires, étaient contagieux. Et c’était sa façon à lui de régler les soucis des autres. Il n’était pas assez intelligent pour leur trouver de véritables solutions, alors il préférait soigner avec le rire.
Ouais, c’était cool. Même si j’ai poireauté longtemps avant qu’ils se décident à venir jouer avec moi, les autres. Mais je crois que c’était à ce moment-là, ou juste après, que j’ai rencontré… personne, oublie. C’était marrant, c’est tout ce qu’il faut retenir.
À bien y réfléchir, c’était à partir de ce jeu que Timothy avait commencé à traîner sur l’ordinateur pour chatter avec d’autres personnes, des filles, généralement. Ce à quoi il ne préférait pas penser pour l’instant, surtout si c’était pour s’arrêter sur le souvenir d’Ursula. Non. Stop. C’était mort. Next. Changer de sujet, vite, vite.
Ouais, je lui ai grave dit d’aller voir ailleurs, je voulais pas du prince, hahaha ! Les princesses ont besoin de personne !
Il était sûr et certain qu’il ne fallait pas compter sur Timothy pour épouser la cause des sexistes. Lui, il était tout l’inverse, presque persuadé que les femmes étaient mieux que les hommes, au fond. Elles le faisaient moins chier, déjà. À part sa sœur, mais c’était sa sœur, donc il pardonnait. Puis, justement, avec un modèle comme sa frangine, il ne pouvait que croire que les filles étaient plus effrayantes que les garçons. Elle faisait franchement flipper et il ne voulait pas l’embêter.
Bah, j’en sais rien, moi ! Je connais pas tes goûts. Perso, mon préféré, forcément, c’est celui à la pâte à tartiner à la noisette, parce que c’est méga bon. Mais si tu veux du salé, les paninis peuvent être à n’importe quoi, en vrai.
Rien que de parler de paninis, son ventre ronflait comme un camion qui avait du mal à grimper une côte. S’il ne se nourrissait pas très vite, il mourrait de malnutrition, si, si. Ou de torture psychologique, peut-être. Ce fut peut-être pour cette raison qu’il accéléra un peu le pas, tout en gardant un œil sur la grosse robe d’Amalthea, histoire de s’assurer qu’elle suivait le rythme, tout de même.
Tiens, regarde, c’est juste là, vraiment pas là, hein ? Hein ? Ouais, attends, je commande en premier et ensuite tu regardes la carte tranquille, mais là j’ai trop faim sérieux.
Une phrase qui fut ponctuée d’un gargouillement puissant. Alors, sans plus attendre, Timothy bondit devant le food truck et commanda deux paninis à la pâte à tartiner. Oui, juste pour lui. Et encore, il savait que dans deux heures, il aurait à nouveau envie de manger. Pendant que le cuistot, dans son camion, préparait son repas, Tim se força à ne pas le regarder faire, histoire de ne pas baver devant Lady et lui indiqua, du doigt, toute la liste de paninis, sur le côté. Elle n’avait plus qu’à choisir et il paierait.
Amalthea Vif Argent
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-Tu ne devrais pas...ce n'est pas convenable.
- ...
-Majesté...
-Laisse moi... il n'y a qu'ici que je puisse avoir ce que je désire.
| Conte : La dernière Licorne et deux coeur | Dans le monde des contes, je suis : : La licorne et lady Amalthea
Il n'était jamais vraiment évident de comprendre Amalthea dans sa tête ce n'était parfois pas très claire, elle essayait de comprendre les choses qui lui échappait totalement, elle ne connaissait rien à la technologie n'ayant jamais grandit avec. Tout était plongé dans l'obscurité, le soir les bougies étaient allumé si on pouvait dire pas étonnant qu'elle ne connaissait rien au bouton de lampe. Alors, elle essayait d'assimiler les information les emmagasinant tout ce qu'elle pouvait dans son esprit. Elle allait faire le tris plus tard de ce qu'elle pouvait garder ou non en information. Elle était ravi que Moignon lui parle de ce qu'elle ne comprenait pas. Il était vrai que même si s'était à la porter de tous cette dernière n'avait jamais vu de console jusqu'à présent Peut-être que dans l'avenir elle en utiliserait plus souvent enfin à condition qu'on lui apprenait comment il fallait jouer et déjà il fallait peut-être commencer par mettre le courant chose que pour le moment elle ne possédait pas à Hasgate et s'était pas avant des mois. Amalthea avait certain don mais elle n'en abusait pas sauf peut-être pour faire pousser des plantes un peu plus vite là, elle pouvait se permettre de tricher un peu. De toute façon ou elle se trouvait rien ne mourait réellement, tout ce qui était en plante restait fleuri éternellement comme figé dans le temps. En ce qui concernait les arbres, il y avait toujours des fruits comme son noisetier qui fournissais des noisettes tout le temps.
La jeune femme était une personne qui pouvait tenir tête mais pas pour toute les cause et elle ne connaissait pas suffisamment Tim pour lui inculquer dans son esprit qu'il avait un donc certains pour les jeux même si elle n'avait pas vu grand monde jouer à cela. Lors de ses balades clandestines. Elle pensait que c'était quelques choses de très intéressant quand le petit bonhomme avançait et sautait.
Ensuite était venu le sujet des amis ou Amalthea tentait de comprendre comment ça pouvait fonctionner comme elle n'en avait jamais eu, madame n'avait que le bras droit de son père et éventuellement sa gouvernante. Puis, bon elle commençait à voir le lien de l'amitié au travers d'Olaf, il était un brave garçon qui l'avait accueillis chez elle à bras ouvert en lui offrant même une glace. Amalthea n'avait pas adresser la parole à grand monde, elle restait méfiante sur certaines chose comme un sixième sens, La jeune femme écoutait patiemment les bon conseil du professeur Tim. Elle pouvait comprendre que parfois entre amis ils pouvaient se taquiner sans être méchant, c'était la plaisanterie. Elle lu avait même demander ce que pouvait-être une maid sans pour autant qu'elle en sache le sens. Le professeur Tim avait repris la parole Une maid… euh… comment dire… C’est une… servante ? au service d’une famille riche, normalement. Et ces gros pervers de mer-… bref, son métier a, un peu, été détourné et ses vêtements sont devenus très… tendancieux. Sérieux, ne m’en demande pas plus, s’il te plaît. Elle ne comprenait pas tout mais, elle pouvait dire que Adélaïde en était peut-être une.. prenant un air pour réfléchir. Oh...du coup Adélaïde, ma gouvernante est une maid comme elle m'aide à m'habiller au château. Sauf que elle, et bien elle à plein de vêtement Adé était quelqu'un de très bien même si elle ne parlait pas beaucoup et évitait de croiser le regard d'Amalthea. La jeune femme n'allait pas plus insister la dessus ça ne rendait pas Tim à l'aise donc ils allaient changer de sujet. Elle hocha la tête simplement.
D'ailleurs il avait prit des rougeur et il détourna rapidement le visage pour ne pas à avoir à la regarder. Elle penchant la tête légèrement en essayant de comprendre puis, il porta son attention sur le ciel comme s'il pouvait lui apporter une quelconque réponse. Avec le jeune Tim, Amalthea se sentait bien il était quelqu'un de gentil et une bonne personne. Ila vait le coeur sur la main, on pouvait compter sur lui, il était un chouette ami. Les personnes qui l'avait en tant qu'ami pouvait en être fière. Elle sourit légèrement au fait qu'il avait papater son épaule. Elle ne laissa faire. T’en fais pas, quand tu auras expérimenté par toi-même, tu comprendras mieux. Tu prends vraiment toutes mes questions au pied de la lettre, je sais pas si c’est mignon ou contraignant, j’avoue. C’était pas une vraie question pour la planète, c’était plus… ironique ? Même si elle pourrait se poser pour de vrai, vu que tout le monde n’est pas humain, dans le coin. Elle pencha la tête légèrement et sourit encore plus. Oui un jour elle allait surement comprendre beaucoup plus de chose et être plus libre des ses faits et geste surtout.
Oui je pense qu'un jour, j'en serais au stade ou je comprendrais d'avantage ce monde qui est devenu le mien et de ce fait, je m'accorderais le loisir d'apprendre plus de chose. Je comprend mieux, j'apprend vite même si c'est plutôt difficile d'être projeter dans ce monde-ci alors que chez moi c'est encore une autre époque.
En revanche, les mot de Moignon l'a fait fait réfléchir Il n’y a pas que le meurtre, comme crime, dans la vie. Le vol en est un. La séquestration, la prise d’otage, les coups et blessures, les insultes aussi, ça peut compter dedans. Si tu as été enfermée et incapable de sortir alors que tu en avais envie, alors il y a crime. C’est mal. Donc si elle suivait sa logique, ce qu'avait fait son père et Finn n'étaient pas bien et ne devait pas être à refaire. Donc... ils n'ont pas le droit de me faire ça... Même s'ils disent que c'est pour me protéger des personnes extérieur ? Parce que bon la on était pas mal dans la manipulation de l'esprit et ce n'était pas bon non plus, le pire c'est qu'elle n'avait pas rencontrer la moindre personne qui lui avait fait du mal. Tout le monde était si gentil avec elle. Amalthea était en train de mettre tout en place dans son esprit pour essayer de comprendre pour la suite ce qui était à faire ou non et ce qu'on pouvait lui faire ou non. Merci de me faire voir un peu plus clair sur le sujet.
Qu'est ce que cela changeait ? Et bien pas grand chose à dire vrai, mais elle n'avait jamais réellement jouer s'était peut-être l'occasion après tout non ? Oh je pense que cela ne changera rien, et je devrais surement me moquer éperdument des regard que l'on me jette pour m'amuser. Même si je ne connais pas réellement beaucoup de jeu. TU pourrais m'en dire les nom et m'expliquer les règles à suivre pour ne pas tricher.
les princes s'était surfait de toute manière, les princesse pouvait très bien ce défendre seule non ? Elle était une princesse et elle s'en était sorti toute seule sans que personne ne vienne à son secours. Oui je suis bien d'accord cette époque est révolu, les princesses peuvent se secourir seul et elle ne manque pas de bravoure.
Puis vient le moment de parler de gastronomie, c'est vrai qu'elle n'avait pas trop gouter les choses à part les glaces qu'Olaf avait fait ce n'était pas grande chose mais elle avait adoré. Bah, j’en sais rien, moi ! Je connais pas tes goûts. Perso, mon préféré, forcément, c’est celui à la pâte à tartiner à la noisette, parce que c’est méga bon. Mais si tu veux du salé, les paninis peuvent être à n’importe quoi, en vrai. Les gout et les couleurs étaient des choses bien différentes en soit chacun avait des préférences elle voudrait bien prendre comme lui pour voir quel gout la pate à tartiner ça avait. Intrigué elle passa sa main sur son menton. Et bien je veux bien essayer de manger, la même chose que toi, ça ne doit pas être bien mauvais bien au contraire. Ca doit être super bon. Le salé, elle essayerait surement bien plus tard. Elle avait entendu le bruit que faisait le ventre de Tim s'était plutôt étrange mais ça sonnait comme un appel. Qu'il était l'heure de manger. Cela lui faisait par moment quand elle était prise dans sa lecture et qu'elle en oubliait totalement d'aller souper. Adé venait la voir pour lui apporter son repas dans sa chambre. Amalthea n'avait pas de problème, elle savait parfaitement marcher. Sa robe était un peu lever pour laisser la place à ses pieds pas trop haut pour qu'on ne voit pas ses chevilles. Soit disant que c'était mal vu selon son père.
Arriver devant le truck, Amalthea était en train de regarder la camionette ou Tim avait prit sa commande visiblement, il avait un sacré appetit. La jeune fille était en train de lire la carte et elle avait opté finalement pour la même chose que Tim mais cette fois-ci elle seul lui suffirait. Bonjour, monsieur, je prendrais donc la même chose que... mon ami un panini à la pate à tartinet s'il vous plait.
Elle allait faire son possible pour rembourser son ami, quitte à rechercher dans le bureau interdit chez elle. Je ferais en sorte de te rembourser promis, je trouverais de quoi le faire, je te remercie Tim.
Quelques instants plus tard, ils avaient enfin leur commande pour aller s'asseoir de nouveau sur un banc, visiblement s'était tout chaud. La demoiselle croqua un crocs dans son panini et trouvait cela terriblement bon ! Mhhh.. ch.. Elle macha et avala. C'est super bon cette chose !
Le besoin de manger prenait une grande partie du cerveau et du corps de Timothy qui ne pensait pratiquement plus qu’à ça. Il savait que tout irait mieux quand il se serait rempli le ventre pour un temps. Un petit temps. Mais il se rattraperait plus tard, dans la soirée, en suppliant l’un ou l’autre de ses colocataires de bien vouloir le nourrir en quantité abondante. Il trouverait un moyen de les faire craquer, tant qu’on ne lui demandait pas de se mettre derrière les fourneaux – ce qui ne risquait pas d’arriver, sauf s’ils voulaient faire exploser l’appartement – ou de donner de l’argent. Il allait, déjà, donner pas mal de sa monnaie au food truck pour ce petit goûter improvisé. Ce n’était jamais bon de n’avoir que peu d’argent, mais de se nourrir comme quatre hommes en un seul. Mais il ne pouvait pas aller contre sa nature.
Concentré sur le chemin le plus court pour rejoindre le food truck qui n’était pas très loin de leur position, Tim oublia un peu de répondre à Amalthea. Ce qui ne voulait pas dire qu’il ne l’écoutait pas. Au contraire, il avalait chacun de ses mots et assimilait les informations, mais pour une fois, il prenait le temps de réfléchir avant de répondre. Quelque chose lui disait qu’il ne pouvait pas se laisser aller à dire n’importe quoi et qu’il devait faire très attention au moindre de ses mots. Cette histoire ne tournait pas rond, il en était persuadé. Sauf qu’il n’était pas certain de savoir comment tirer les vers du nez de la blonde. Il devait trouver un moyen détourné de lui faire comprendre les choses, sans qu’elle ne le prenne mal. Ce n’était pas une mince affaire pour un débile comme lui.
Les gargouillements de son ventre lui permettait de se concentrer ailleurs, pour ne pas être tenté de répondre trop vite. Il s’empressa de rejoindre le food truck et commanda très rapidement, pour essayer de dissimuler le malaise qui était le sien, à l’évocation de cette histoire de crime. Il était prêt à parier que la blonde était victime d’une manipulation qui la dépassait et il ne savait pas comment il pouvait la sortir de là. Bien souvent, les victimes de ce genre de maux ne comprenaient même pas l’être et ne voulaient pas, par conséquent, être sauvées de leur état. Mais il ne pouvait pas laisser Lady dans cet état. Que faire ? Il n’en avait pas la moindre idée.
Servi, Timothy s’empara de ses deux paninis et suivit Lady sur un nouveau banc, pour prendre le temps de déguster leur nourriture. Il en posa un délicatement sur ses jambes et ne bougea plus d’un pouce, conscient que ce serait un drame impensable de le laisser tomber par terre, pour lever l’autre à sa bouche. Il croqua dedans à pleines dents et mâcha lentement, ses yeux noirs braqués que Lady qui goûtait, pour la première fois de sa vie, un Graal. Il étudia très attentivement sa réaction, au premier coup de dents, et sourit un peu quand il l’entendit parler. Quand elle eut avalé et décrété que c’était super bon, Timothy se para d’un grand sourire qui dévoila ses dents pleines de pâte à tartiner.
Je te l’avais dit ! Il y a rien de mieux. De toute façon, la noisette, c’est la meilleure chose au monde.
Son jugement était totalement subjectif, mais Timmy assumait sans honte. Il était même content de croiser, de temps en temps, des personnes qui n’aimaient pas les noisettes. Au moins, elles ne lui demandaient pas de partager avec elles et il pouvait tout manger tout seul comme un grand… un grand morfale, sans le moindre doute. Son obsession pour le fruit frisait des sommets, parfois. Une seule chose pouvait encore passer avant les noisettes : les sujets graves. Timothy reposa son panini près de l’autre, sur ses jambes, et passa la langue sur ses dents, en réfléchissant au meilleur moyen de relancer la conversation.
Tu sais… Je connais pas ta vie, tout ça, mais je crois que tu devrais faire un peu plus attention à toi, commença-t-il, en regardant l’arrivée de nouveaux clients près du truck, à quelques mètres. Je sais que c’est facile à dire pour moi, parce que c’est pas moi qui le vis, tout ça. Mais quand même. Faut pas abuser des fois… sauf qu’ils abusent souvent, les autres.
Timothy s’emmêlaient un peu dans les mauvaises pensées qui lui venaient. Il ne comprenait pas comment certains pouvaient en venir à ce genre d’extrêmes. Pourquoi kidnapper quelqu’un ? Pourquoi en séquestrer d’autres ? Quel intérêt ça a, ce genre de domination mentale et physique sur des personnes « plus faibles » ? Forcément, en tant que raté, il ne pouvait pas comprendre. Il ne voulait pas comprendre. Ce n’était pas excusable, point.
Parler de protection contre le monde ou les personnes extérieures, c’est la base de la manipulation mentale, en fait. L’étape la plus évidente. (Il reprit une bouchée de son panini pour prendre le temps de réfléchir.) On veut tous protéger ceux qu’on aime, mais on ne protège personne en le gardant enfermer dans une pièce, à l’empêcher de sortir. C’est pas comme ça que ça marche, la vie. Sinon tu peux me croire, il y aurait beaucoup moins de monde dans la rue.
Tim désigna, vaguement, les clients du food truck et des passants, sur les trottoirs, puis il échappa un lourd soupir. Cette histoire était trop lourde pour un homme comme lui. Il était le débile de service, pas le héros en culotte et collant. Il savait faire rire, pas expliquer que ce n’était pas bien de priver les autres de leur liberté. Encore moins instiller un début de rébellion dans l’esprit de Lady. Et pourtant, elle en aurait bien besoin.
C’est un peu comme… ce panini. En vrai, tu aurais pu trouver ça tellement dégueu que tu serais allée vomir dans un coin. C’est le risque. C’est pas dangereux à proprement parler, mais c’est pas bon pour toi. Alors, oui, si tu étais restée chez toi, sans sortir, tu aurais été « protégée » de ce risque. Sauf que t’es sortie, t’as goûté, t’as grave kiffé. Tu vois ? Sans expérimenter la vie, en fait, on vit pas vraiment.
Il n’était pas bien certain que cette explication soit meilleure que l’autre, mais il ne voyait pas comment expliquer le problème à quelqu’un qui avait été plongée dedans depuis longtemps. Trop longtemps pour qu’elle ne comprenne les soucis d’elle-même. Sauf que ça sautait aux yeux que quelque chose ne tournait pas rond.
Enfin bref, j’imagine que ça me regarde pas, tout ça. Si t’as besoin d’un avocat, en tout cas, je connais une fille qui pourra sûrement t’aider à te venger. Juridiquement parlant, j’entends. Mais c’est comme tu le sens. Finis vite, qu’on aille jouer.
Lui-même, de son côté, s’empressa de croquer son panini, de le finir en vitesse et de passer au deuxième. Les sujets graves, ça allait bien cinq minutes, mais à un moment donné, il se devait de se remplir le ventre pour ne pas crever.
Amalthea Vif Argent
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-Laisse moi... il n'y a qu'ici que je puisse avoir ce que je désire.
| Conte : La dernière Licorne et deux coeur | Dans le monde des contes, je suis : : La licorne et lady Amalthea
La demoiselle n'avait jamais penser que ce serait aussi bien d'être dehors en compagnie sur qui elle pouvait compter bien qu'elle n'était jamais sur de qui pouvait-être ses amis. Elle faisait en sorte de prendre les choses comme elle venait pour le moment. Les personnes étaient gentille avec elle donc elle en profitait, de cette merveilleuse journée avant de retourner s'enfermer dans sa tour d'ivoire si on pouvait appeler ça ainsi. Elle pensait simplement que son père prenait soin d'elle que le monde qui l'entourait pouvait être maléfique et qu'elle était convoité. Qu'on désirait enlever Amalthea pour ses pouvoirs prodigieux. Bien qu'elle voyait que toute les personnes qu'elle avait vu pour le moment, étaient toute aussi bien les unes que les autres, elles n'étaient guère dangereuse. Surtout pas Moignon. Amalthea aurait peut-être du s'échapper depuis longtemps. Enfin elle n'était pas au bout de ses surprises pour la suite mais pour le moment tout était parfait pour elle. Elle était avec un super amie, parce que maintenant ils étaient amis. Et pour le moment, ils avaient donc décidé de se faire un panini dans un food truck, bien que la demoiselle ne savait pas ce que s'était. Bien sur elle avait soif d'aventure, de découvrir de nouvelle choses. Surtout en matière de nourriture.
Amalthea était une personne qui essayait de comprendre comment le monde extérieure fonctionnait, et ne voyait pas ce qu'il pouvait y avoir de dangereux dans ce monde là. Donc pour le moment, elle ne voyait pas son "père" comme un ennemi potentiel, elle pensait que cela était probablement normal, que c'était elle qui ne faisait pas correctement les choses. Sauf que cela ne l'arrêtait pas elle voulait toujours plus en savoir d'avantage dans le monde extérieur. Elle posait toujours un tas de question voulant avoir des réponses. C'était toujours aussi fascinant de voir les connaissances des autres. Le premier avait été Axel, qui était mignon tout plein, puis Tim qui avait le savoir de la technologie et des jeux, chose qu'elle ne connaissait pas avant. Bien qu'elle n'avait aucune connaissance dans un tel domaine, le château n'avait rien de moderne, aucune prise n'y figurait. Un jour peut-être le courant serait de mise dans Hasgate, le petit Tim serait surement l'un des premier à être au courant.
Comment étaien-ils arrivé devant ce FT, Grâce à un gargouillis, Amalthea avait tourner son regard en direction du ventre de ce dernier, il devait avoir des problèmes avec son estomac ? Il avait faim ? C'est à ce moment là, Ils s'étaient retrouver devant un food truck. LE truc que la jeune demoiselle n'avait jamais vu de sa vie. S'était tellement fascinant, c'était différent des voitures dans ce food truck, on pouvait donc mettre de la nourriture, il y avait pas mal de place. C'était ce qu'elle avait retenu en revanche, il ne roulait pas et était sur place à prendre des commandes. Comme cette idée était intéressante non pas qu'elle voulait travailler dans un food truck, non mais elle trouvait le concept fascinant. Amalthea voyait bien que quelques choses clochait avec Tim, mais elle ne voulait pas plus le mettre dans l'embarra pour cette raison qu'elle n'avait pas fait de commentaire voulant qu'il soit à l'aise. Leur repas servit Tim s'empara de leur commande puis, il suivit Amalthea et ils étaient de nouveau assis sur un banc. Prenant le temps de dégusté le panini à la noisette. Amalthea trouvait cela divinement bon. Elle n'aurait jamais pensée que les noisettes pouvaient avoir un tel gout. Il faudrait qu'elle sache en faire un jour ! Comme ça elle le fera gouter à Tim. Le regard de Moignon s'était illuminé d'un grand sourire. Je te l’avais dit ! Il y a rien de mieux. De toute façon, la noisette, c’est la meilleure chose au monde. Je ne pensais pas que la noisette pouvait servir à faire des paninis, c'est tellement bon ! Je crois que je vais essayer d'en faire un jour enfin... quand je saurais m'y prendre bien entendu ! Et je t'inviterais à en gouter avec moi. Je veux bien te croire Elle mangea un nouveau morceau tout en faisant attention de ne pas en faire couler. On sentait bien que la demoiselle avait eu une éducation assez strict au vu de comment elle mangeait son sandwich, le mangeant délicatement. S'il l'envie lui venait à Tim de venir à Hasgate, elle lui ferait préparer des sac entier de noisette pour son plaisir personnel.
Elle le regardait poser son panini, elle prit une autre bouché en l'écoutant parler. Elle sentait qu'il cherchait les bon mots pour lui parler. Tu sais… Je connais pas ta vie, tout ça, mais je crois que tu devrais faire un peu plus attention à toi Elle déglutis son morceau et lui sourit légèrement. Elle le trouvait adorable de dire cela une autre personne qui pouvait-être bienveillante à son égard, une preuve de plus que le monde extérieur n'était pas mauvais. Je sais que c’est facile à dire pour moi, parce que c’est pas moi qui le vis, tout ça. Mais quand même. Faut pas abuser des fois… sauf qu’ils abusent souvent, les autres. Je sais, et je te remercie de faire preuve de bienveillance à mon égard, ce qui prouve que le monde exterieur à Hasgate n'est pas aussi mauvais qu'on me le fait entendre. Je me rend compte que certaines personnes abuse et pour cette raison, je ferais plus attention. Merci, mais ne t'en fais pas.. je sais que ce n'est jamais évident de dire les choses mais tu as fait l'effort de le faire et c'est ce qui compte.
Parler de protection contre le monde ou les personnes extérieures, c’est la base de la manipulation mentale, en fait. L’étape la plus évidente. Elle mordit une nouvelle fois dans son panini. Ecoutant, son père voulait la modeler à son image dire que les autres lui voulait du mal pour qu'elle reste auprès de lui. Sauf que Amalthea n'était pas comme ça, elle voulait vivre sortir de ses murs être bien. Faire ce qui lui plaisait. On veut tous protéger ceux qu’on aime, mais on ne protège personne en le gardant enfermer dans une pièce, à l’empêcher de sortir. C’est pas comme ça que ça marche, la vie. Sinon tu peux me croire, il y aurait beaucoup moins de monde dans la rue. Elle hocha la tête doucement. Et c'est ainsi qu'on pousse les personnes à sortir de leur cage doré ? C'est le fait d'avoir été protéger durant si longtemps qui me pousse à découvrir les choses et prouvé ainsi que vous n'êtes pas si dangereux, vous êtes gentil et avenant. On m'a toujours dit qu'on me ferais du mal si je sortais hors cela n'a pas été le cas.
Amalthea regardait Tim désigné son panini. C’est un peu comme… ce panini. En vrai, tu aurais pu trouver ça tellement dégueu que tu serais allée vomir dans un coin. C’est le risque. C’est pas dangereux à proprement parler, mais c’est pas bon pour toi. Alors, oui, si tu étais restée chez toi, sans sortir, tu aurais été « protégée » de ce risque. Sauf que t’es sortie, t’as goûté, t’as grave kiffé. Tu vois ? Sans expérimenter la vie, en fait, on vit pas vraiment. Elle hocha, elle comprenait tout à fait. Oui c'est vrai c'est le risque que j'aurais pu prendre. Cette soif d'aventure, de risque... de sentir la joie de vivre tout ça ! J'adore ! Je vous ai rencontrer ! Toi et plein d'autres encore. j'en suis très heureuse ! Rien n'était si simple, parce qu'après... elle allait tomber dans un charmant mini sommeil pour renaître de nouveau et être dans une profonde tristesse. Mais ça ne n'est que plus tard. Mordant un nouvelle bouché.
Enfin bref, j’imagine que ça me regarde pas, tout ça. Si t’as besoin d’un avocat, en tout cas, je connais une fille qui pourra sûrement t’aider à te venger. Juridiquement parlant, j’entends. Mais c’est comme tu le sens. Finis vite, qu’on aille jouer. C'est quoi un avocat ? Et je voudrais bien savoir qui cela puisse être pour me renseigner pour la suite ? Ah parce que une fois qu'elle allait avoir ses souvenirs, elle allait se venger s'était même sur. Et consulter plusieurs avocat pour voir lequel serait le plus efficace pour ce qu'elle avait en tête. :copyright:️ 2981 12289 0
Toute cette histoire était bien trop compliquée pour Moignon, mais il trouverait bien, un jour, le moyen d’aider Lady comme elle le méritait. S’il le fallait, il irait en toucher deux mots à ses amies qui, elles, en sauraient largement plus que lui. Ne serait-ce que sur le plan juridique de la chose. Charlie était la personne parfaite pour ça et ça lui donnerait, au passage, une bonne excuse pour aller embêter la blonde et passer un peu de temps avec elle. Il pourrait, par la même occasion, lui montrer le dernier jeu qui lui plaisait tant sur son téléphone. Tout était parfait ! Il ne manquait plus qu’à se mettre au travail.
Mais pour le moment, il mangeait son dernier panini.
Une affaire bien plus importante, dans l’immédiat, que des histoires qu’il ne pourrait pas régler d’un claquement de doigts. De toute façon, il ne pouvait rien faire lui-même. Alors qu’engloutir un panini, c’était tout à fait dans ses cordes et Moignon prouvait, en quelques claquements de dents bien placés, qu’il était le meilleur dans cette catégorie. Manger, c’était sa deuxième religion, après les jeux-vidéos. Il n’y avait bien que la nourriture pour le tirer d’un jeu… et encore. Mais c’était une toute autre histoire, ça.
En tout cas, les propositions de Lady ne tombaient pas dans l’oreille d’un sourd, même si Timothy se contenta de répondre d’un hochement de tête enthousiaste, sans rien ajouter de plus. Il n’allait pas dire non à des noisettes, lui. Certainement pas. Plutôt crever que de refuser. Et s’il devait devenir le cobaye de Lady, eh bien soit ! Ça ne le dérangeait pas le moins du monde. Il goûterait tout ce qu’elle ferait avec les noisettes et lui dirait très sincèrement ce qu’il en pensait. Même si son jugement serait très certainement pollué par son amour des noisettes. Mais bon. C’était toujours ça de pris quand même.
Au moins, sans trop savoir comment, il avait plus ou moins réussi à faire entendre raison à Lady et instiller, dans son esprit perturbé par les mots d’un vilain, une once de réflexion sur le bien et le mal qui traînait dans sa vie. Il ne savait pas s’il pourrait l’aider davantage, mais il était déjà heureux de voir qu’elle comprenait ce qu’il essayait de lui dire et espérait sincèrement que ça changerait un peu les choses. Cette histoire de cage et de danger ne lui plaisait vraiment pas. Il trouverait le moyen de l’aider comme il le pourrait, même si ce n’était que par un petit moment d’évasion, une fois de temps en temps, quand Lady arrivait à échapper à son château. Dans tous les cas, il serait là.
C’est ça, la vie ! Faut sortir, pour la découvrir, et tu deviendras encore plus heureuse, je t’assure ! C’est pas en restant enfermée dans son coin, parce que quelqu’un l’a décidé pour toi, que tu as réussir à comprendre ce que c’est le bonheur, crois-moi.
Il acquiesça plusieurs fois du chef et s’empressa de finir les dernières miettes de son panini. Il regrettait presque de ne pas en avoir pris un troisième pour lui, mais il savait, au fond, qu’il pourrait se rattraper plus tard à la maison. Il trouverait bien des excuses et des regards tristes pour faire craquer Aya et lui soutirer un peu de nourriture. Sa sœur ne lui résistait pas bien longtemps, de toute façon.
Un avocat, c’est une personne super intelligente qui t’aide à avoir justice ! J’ai justement une amie super intelligente qui va devenir avocate et qui pourrait bien t’aider dans cette affaire. C’est la meilleure !
Son avis sur ses amis n’était peut-être pas très objectif, mais Timmy savait qu’il avait raison. Il ne voyait pas comment ça pouvait être autrement. Charlie avait toutes les qualités pour être la meilleure de son domaine et il croirait en elle jusqu’à la fin ! Même si, du jour au lendemain, elle décidait de changer de voie, il serait là, derrière elle, pour l’applaudir et lui dire de continuer dans la nouvelle voie qu’elle se serait choisie. Tim était toujours là pour soutenir ses amis, peu importait la situation.
Bon allez ! Fini de parler ! Mange vite avant que je te le pique ! Puis on va jouer, ça nous fera du bien, tu verras. T’apprendras ce que c’est, le chat perché, c’est vraiment trop cool. Viens !
Timothy bondit sur ses pieds, se frotta les mains sur son pantalon sans faire attention aux potentielles taches qu’il pourrait faire, et sourit à Lady. Il était bien contente de s’être fait une nouvelle amie aujourd’hui et il était persuadé qu’ils passeraient une agréable après-midi, avec les enfants du parc, à jouer à chat perché. Elle comprendrait vite, d’ailleurs, que Timothy n’était pas le plus doué à ce jeu-là et qu’il finissait souvent par bouder un peu parce qu’il perdait.