« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Comme à son accoutumée la jeune femme avait toujours soif de nouvelle connaissance. Le monde de l’autre côté ne pouvait pas être aussi barbare que le prétendait son père. Et oui la jeune demoiselle avait donc passé cinq jours chez un charmant jeune homme du nom d’Axel, il avait tellement à lui apprendre sur la joie de vivre et le bien être d’autrui. Elle allait surement le revoir parce qu’il lui avait suggéré qu’il y avait des fêtes qu’ils fallait fêter. Bien qu’elle n’en connaisse pas réellement encore les significations. Chez elle du moins elle ne faisait aucune d’elle pour cette raison, qu’elle avait décidé qu’à Halloween elle allait le passer avec Axel. Si toutefois elle avait la possibilité de sortir… mais, quand Amalthea était décidé rien ne pouvait l'arrêter elle trouvera toujours le moyen de sortir. Du coup en rentrant la demoiselle avait rencontrer en forêt une demoiselle très jolie mais, vouer à une certaines crainte en terme de magie. Amalthea serait la pour lui montrer que la magie n’était pas foncièrement mauvaise. Tout était une belle façon de voir le nouveau monde, mais la triste réalité la ramena au grand galop, qu’il ne fallait pas qu'elle se trouve de l’autre côté encore moins qu’elle montre l’étendu de sa magie. Les personnes allaient la convoité lui avait dit Finnigan. En revanche, il n’en parlerait pas à Haggard pour ne pas le rendre fou de rage si elle promettait de ne plus s’enfuir par la grande porte ce qu’elle avait fait. Aujourd’hui était un nouveau jour, parce qu’elle avait son passage par le jardin. Après tout elle avait promis de ne pas sortir par la grande porte jamais il n’avait été question du petit portail caché par les buisson.
C’est donc gaiement qu’elle s’y était rendu portant, elle avait prit en main un livre. Pour déjouer la vigilance du rouquin, toute en chantonnant elle s’était donc poser dans l’herbe. Le taureau avait bien à faire donc, il était retourné dans son bureau pour des transaction. Elle ne s’était pas laissé prier deux fois pour se relever et ainsi prendre le chemin qu’il fallait. Amalthea passa donc le petit portail pour se retrouver à l’air libre et ainsi pouvoir apercevoir ce que lui réservait cette journée. Elle était toujours vêtu de ses grosses robes blanche signé Agreste. Pour paraître plus discrète il fallait qu’elle pense à changer son look mais, elle ne savait pas encore comment.
Elle n’était vêtu que d’une cape cachant un peu sa robe et sa couronne. La jeune femme n’avait pas encore eu d’ennuis et heureusement pour elle parce que sinon elle n’aurait surement pas su réagir enfin de ce qu’on pouvait savoir. Elle était une princesse après tout. Les pas de la demoiselle l’ont mené vers un jeune qui avait la tête river sur quelques choses qu’elle ignorait encore à ce jour. En jeune fille curieuse qu’elle était, elle s’en était approcher c’était quelques choses de vraiment étrange - pas le jeune hein ? - la machine qu’il tenait entre ses mains. Amalthea finit par s’asseoir à côté de lui et de regarder ce qu’il pouvait bien faire. Appuyer dessus pour faire avancer le petit bonhomme dans la boite magique. Elle pencha la tête légèrement sur le côté, le petit bonhomme était en train de bouger.
-Ohhhhh quelle est cette magie ? Dieu du ciel ce petit homme est en danger. Sauvez le des monstre l'attaque :copyright:️ 2981 12289 0
Le soleil pointait le bout de son nez, à travers les gros volets qui barraient la fenêtre de sa chambre. Concentré sur le grand écran de télévision, à appuyer sur les boutons de sa manette les uns après les autres, dans un calme qu’on lui connaissait peu, Timothy se fichait pas mal du temps dehors ou de l’heure. Il avait passé les dernières heures à essayer de terminer ce jeu, d’en déceler le moindre bug embêtant, le moindre détail à rapporter aux éditeurs, le moindre faux raccord ou comportement de personnage qui ne lui plaisait pas. Tout ce qu’il pouvait noter dans un coin pour constituer un beau rapport et l’envoyer, sur demande, aux concepteurs.
Soudain, un rai de lumière vint s’écraser sur sa joue et un autre sur la télé. Tim plissa les yeux aussi fort qu’il put et tenta bien de se décaler, dans les coussins qui jonchaient le sol de sa chambre, mais rien n’y fit. Le soleil s’entêtait à le gêner et gâcher une partie de son champ de vision. Même l’écran n’arrivait pas à combattre l’attaque et, sous le coup d’une malchance comme on en voyait peu dans le monde, le jeu-vidéo eut un petit lag, à peine une seconde de latence, dans un instant suspendu dans le temps, avant de reprendre son cours.
Entre la tache lumineuse sur l’écran, la lumière qui le gênait directement sur le visage et ce petit bug inattendu, l’inévitable arriva : le personnage mourut sous les coups adverses et l’écran de game over s’afficha. Timmy eut, lui aussi, une sorte de lag étrange, quelques secondes d’immobilité parfaite. Puis, il explosa. D’un bond, il se mit debout, laissa tomber sa manette dans les coussins et prit une grande inspiration.
Mais pu-…
L’insulte de l’écureuil fut coupée net par un tonitruant « Moignon ! » qui résonna dans tout l’appartement, pour le mettre en garde de proférer la moindre insanité. Tim zieuta vers la porte de sa chambre et se demanda comment elle se démerdait, Kaeloo, pour toujours être au courant de tout. Soûlé, il éteignit tout dans sa chambre, traversa le salon sans regarder personne et s’enfuit de l’appartement. Au moins, dehors, personne ne l’emmerderait ! Néanmoins, un dernier coup d’œil à Kaeloo, avant de refermer la porte de l’appartement, lui souffla qu’il ferait mieux de ne pas faire de remous.
Trois fois plus dégoûté, encore, de ne pas avoir la paix même en s’éloignant du clan PTM, Moignon enfonça les mains dans les poches et rejoignit le centre-ville. Il aurait pu partir en forêt, mais il préféra, cette fois, rejoindre la foule. L’effervescence de la population lui donnait, parfois, l’impression qu’il pouvait se perdre dans la foule, disparaître enfin et être comme tout le monde, à ceci près que le monde entier était magique… sauf lui.
Une pensée qui le renfrogna un peu plus, alors que Timothy se calait dans un coin, pour s’asseoir sur un banc et se recroqueviller sur le petit écran de sa console portable. Se concentrer sur ses jeux le détendait et lui faisait oublier que là, dehors, à n’importe quel moment, un sorcier fou pouvait décider de tuer tout le monde. Ou d’essayer. Et qu’on pouvait, tout aussi bien, croiser des super-héros prêts à sauver la ville.
Voir le petit personnage bouger sur l’écran, s’armer d’un long bâton et sauter partout, sous le commandement de ses doigts, réussit à calmer l’écureuil. Il se concentra tant sur son combat contre un monstre puissant, ressemblant vaguement à un gros requin, qu’il en oublia le monde autour. Il ne remarqua pas, non plus, la soudaine approche d’une inconnue, jusqu’à ce qu’une voix se dépose directement dans son oreille et le fasse sursauter.
Le bond de Moignon lui fit échapper sa console. Il battit l’air des bras, essayant désespérément de rattraper son petit trésor, le cœur battant à l’idée de le voir exploser contre le trottoir. Heureusement, comme à son habitude, Tim réussit à refermer les doigts sur la console juste avant qu’elle n’atteigne le sol et soupira de soulagement. Pour ce qui était du combat, en revanche…
Non mais sérieux… cracha-t-il, les dents serrées.
À croire que le monde entier se liguait contre lui, pour qu’il ne puisse plus jouer comme il le voulait. Soûlé, Timmy se recala dans le dossier du banc et leva ses yeux noirs vers l’inconnue. Il fut frappé par la dégaine étrange de la jeune femme et, malgré lui, son regard glissa sur la grosse robe blanche. Non pas qu’il eut trouvé quoi que ce fut d’intéressant, dans cet accoutrement, mais plutôt était-ce que Moignon, dans sa vie d’avant, n’avait jamais eu le droit à une si jolie robe. Une pensée qui le fit froncer fort ses sourcils noirs et dont il préféra se détourner promptement.
C’est pas de la magie ! nia-t-il, piqué au vif dans ce qui le caractérisait le plus : un moldu jusqu’au bout des ongles. C’est qu’un jeu, rien de plus. C’est pas pour de vrai, ça. Tu vois ? (Il leva la console au niveau des yeux de l’autre.) C’est qu’une machine.
Il en avait vu et croisé des phénomènes, dans cette ville, mais des femmes pas foutues de comprendre ce qu’était une console, il n’en était pas certain. Ce qui, inévitablement, titillait le gros geek qu’il était.
T’as jamais vu une console ? Dis-moi que tu sais au moins ce qu’est un PC…
Amalthea Vif Argent
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Non mais sérieux… Elle avait remarqué qu’il n’était pas très content… pour une raison qu’elle ne saurait expliquer. Amalthea n’était qu’une novice dans le royaume de la technologie. Elle ne savait donc pas qu’elle avait faussé la partie du jeune garçon. D'où le fait surement qu’il avait serré les dents. A force il allait se faire mal pensait-elle. Serrer les dents peuvent les fragiliser.
-Vous savez de serrer les dents ainsi vous pouvez les fragiliser ?
Elle le regardait se caler contre le dossier du banc, la jeune femme remarquait qu’il avait une façon particulière de la regarder, tout le monde dans cette ville avait l’air de la regarder étrangement pourtant c’était tout à fait normal qu’elle porte une tel robe. De toute façon, dans sa garde robe, elle n’avait que cela. Juste une fois ou quand elle se trouvait chez Olaf elle avait pu s'habiller différemment. Cela l’a changeait de ses robes blanches signé Agreste. En revanche, s’il voulait des robes, elle aurait pu lui en prêter volontier. Ce n’était donc pas de la magie ? mais qu’est-ce que cela pouvait être alors ?
-Pas de la magie ? qu’est-ce que cela alors ? dit-elle innocemment. Un jeu ? comme un jeu de dés ou les échecs ?
Amalthea n’avait pas le droit de jouer au jeu de dés ce n’était pas digne d’une lady de son rang. Son père lui disait souvent que les jeu de hasard ou autre était lié au diable ce qui ne lui donnait donc jamais cette occasion. Les jeux étaient souvent lié à la colère ou à l’avarice des pêchés peu glorieux. Ce n’était donc pas vrai. Elle avait prit place à ses côtés sans être trop prêt de façon à pouvoir voir ce qu’il se passait.
-Pas vrai… donc il ne meurs pas réellement ? dit-elle puis, elle se mit à loucher légèrement en voyant la machine étrange. Machine.. d’accord. Je suis désolé je n’ai jamais vu cela.
Elle n’était pas de leur époque, enfin peut-être mais, elle était enfermé à Hasgate par la faute de son père qui était plus que protecteur à son égard.
-Nous n’avons pas les mêmes centre d'intérêt mon père, ne m’as jamais montrer ce genre de chose. Il a dû juger bon de ne pas s’attarder sur ce qui pourrait être une machine étrange. Je ne connais donc pas votre machine ou tout ce qui pourrait appartenir à cela.
Donc en d’autre terme elle ne connaissait pas les téléphone portable non plus.
-Non… c’est quoi une console ? cette chose aurait donc un nom ?... Pc… dit-elle en faisant faussement de réfléchir. Non, je ne connais pas ce qu’est un pc...C’est quelques chose de.. similaire ?
La seule chose qu’elle connaissait c'était les glaces.
-La seule chose que je connais c’est les glaces, un charmant jeune homme m’en a fait goûter c’était super bon.
Timothy avait vu son lot de choses étonnantes, de créatures étranges. Dans son monde, à lui, les moutons avaient des tentacules (même si personne ne le croyait) et une certaine grenouille se transformait en crapaud bodybuildé chaque fois qu’elle s’énervait. Pourtant, face à l’inconnue aux cheveux blancs, Timmy sentit qu’il n’était pas au bout de ses peines et qu’il tenait, là, un drôle de phénomène. Une créature qui, sans le moindre doute, n’aurait rien de compatible avec lui. Personne n’avait jamais rien de compatible avec lui, de toute façon. Même son bro Bran n’aimait pas les jeux-vidéos, c’était trop abusé.
Hein ?
Fut le seul mot presque intelligent que Timothy réussit à articuler, ou cracher, alors que l’inconnue lui parlait de ses dents. Par réflexe, l’écureuil tapota sa dentition, de l’ongle, et se demanda si ses grandes dents, ces horribles dents dont tout le monde se moquait, étaient revenues le hanter. Mais non, heureusement, l’asiatique avait une dentition parfaite, une petite rangée de dents blanches sans défaut. C’était déjà ça de gagné, en vérité, pour un gamin habitué à être traité de tous les noms à la moindre occasion.
Cette robe le perturbait car il trouvait, au fond de lui, une petite voix qui lui disait qu’elle était très jolie et qu’il aurait volontiers pu en porter une dans le même style, le jour où il s’était déguisé en princesse pour attendre son prince charmant en haut d’une tour. Une pensée qui le soûla profondément et de laquelle il préféra se détourner. À la place, Timothy sonda les détails de sa grosse jupe et en retint les moindres plis et reliefs. Il était fort à parier que dans sa prochaine histoire, une demoiselle apparaîtrait affublée d’une belle robe comme celle-ci.
Plagiat ? Ce n’était franchement pas ça qui empêchait Moignon de dessiner.
Timothy plissa fort les yeux, alors que l’inconnue lui répondait. De la magie ? Ses consoles ? Franchement, ça se saurait si Timmy le débile était magique… Personne n’y croirait, même si c’était vrai. De toute façon, il n’y avait pas plus humain que lui ! Même un poisson rouge, à Storybrooke, pouvait avoir plus de pouvoirs que lui, c’était pour dire ! Son seul pouvoir, à lui, c’était d’être le meilleur derrière une console. Sauf qu’il n’avait aucune chance et qu’il finissait toujours par perdre pour des causes qui le dépassaient.
Ouais, voilà, comme un jeu de dés ou les échecs. Mais faut pas balancer la console sur une table, hein ? (Bizarrement, il sentait que la précision était nécessaire.) Tu connais les jeux de cartes, aussi ? Et les jeux de plateaux, alors ?
Sans le moindre doute, on avait perdu Moignon dans un autre monde. Tout ce qui touchait aux jeux, en vérité, au-delà même des jeux-vidéos, c’était son domaine. Tout ce qui touchait à la culture audiovisuelle, aussi. Il pourrait lui présenter des centaines de jeux différents, juste avec un jeu de cartes, ou presque. Pour ça, sans aucun doute, Timmy avait une mémoire incroyable. Pour le reste, par contre… il fallait pas trop lui en demander, quand même.
Non, il meurt pas, il n’existe même pas. C’est juste une image.
Timothy se retint de lui dire que ce n’était pas grave et pas vraiment de sa faute, si elle n’avait jamais vu une console. Au fond, il trouvait ça étrange, mais dans une ville comme celle-ci, il ne s’en étonnait plus vraiment. Il dut, en tout cas, se retenir de lui faire une liste très précise de toutes les consoles et de leur visuel. Histoire qu’elle apprenne la leçon et que la prochaine fois, elle comprenne qui jouait à quoi.
Ouais, bah ton père, c’est un abruti. Mais tous les parents sont comme ça, t’en fais pas. Enfin, pas les miens, mais les miens, c’est des perles. Y’a pas plus gentils.
Ses parents ne l’avaient jamais empêché de jouer à ses jeux-vidéos ou dessiner ses BDs. Ils avaient compris depuis longtemps qu’il ne servait à rien de brider un enfant. Et Tim s’en sortait plutôt bien, en vérité. Il n’y avait que sa dyslexie sévère qui l’empêchait de faire les choses correctement de lui-même. Heureusement, l’écureuil avait un frère pour corriger ses fautes avant d’envoyer les planches à son éditeur.
Haha ! Haha ! HAHAHAHA !
Tim partit d’un grand rire, un poil crispé tout de même, alors que l’inconnue avouait qu’elle ne connaissait pas ce qu’était un PC. Un drame, pour lui, mais il commençait à comprendre le phénomène qui s’était posé sur le même banc que lui. Touché dans ce qu’il était de plus fondamental (un gros geek), Timothy tapota (peut-être un peu trop fort, mais il ne savait pas jauger sa force, même face à une dame) l’épaule de l’inconnue et chassa les deux/trois larmes, aux coins de ses yeux.
Les glaces, c’est cool aussi, mais je préfère les paninis. Et les noisettes. Beaucoup de noisettes. (Il rougit un peu, devant l’aveu qui lui échappait si facilement.) Mais un PC, non, ça a rien à voir avec ça. C’est beaucoup plus gros. Et ça permet pleins de choses. Mais j’imagine que tu pigeras rien, alors je vais pas insister.
Pour l’instant. Une précision qui put se lire dans son regard, alors qu’il fixait l’inconnue droit dans les yeux. Devenir professeur pour une femme qu’il ne connaissait pas, ce n’était pas ça qui allait l’arrêter. Pas immédiatement, en tout cas. Pour l’instant, Timmy ne voyait qu’une ignorante devant son monde à lui. Plus tard, oui, peut-être qu’il comprendrait l’indécence de son comportement et qu’il en rougirait à un point pas permis… après tout, Tim n’avait pas franchement l’habitude des filles.
Moi, c’est Timothy, au fait. Tu peux m’appeler Moignon, aussi, si tu veux. Tu veux essayer ?
Il leva sa console pour la lui désigner. Évidemment, il ne comptait pas lui montrer comment jouer au jeu qu’il venait de perdre, mais un jeu beaucoup plus simple, qui ne nécessitait qu’un ou deux boutons. Timmy avait de tout, sur sa carte mémoire, de toute façon. Et il surveillerait de très très près, évidemment, puisqu’il était hors de question qu’elle fasse tomber sa DS.
Amalthea Vif Argent
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Hein ? C'était le seul mot qu'il avait réussi à dire quand elle avait parler qu'il allait abimer ses dents. Amalthea n'était pas conscience du traumatise qu'aurait pu avoir ce jeune garçon. Et elle en aurait été peiné de l'apprendre. Peu de personne peuvent dire avoir une dentition parfaite ou alors que les barbiers auraient peut-être fait des prouesses. - Elle ne connait pas les dentistes, elles rester à l'ancien temps ou les barbiers étaient des dentistes - Pour ce qui était d'elle, la chance l'avait doté de dents parfaitement aligné et un sourire magnifique. La jeune femme ne savait pas ce à quoi il pouvait bien pensée mais, elle lui aurait volontiers prêter l'une de ses robes s'il désirait en porter une et ainsi trouver son prince charmant qu'il attendait. Elle serait heureuse d'inspirer des personnes.
Amalthea pouvait lui montrer que la magie existait, elle en était la preuve même. Avoir des dons de guérisseuse, elle pouvait faire disparaitre les blessures par la magie. Communiquer avec les animaux et faire demeurer le printemps ou elle résidait. Le temps n'avait pas d'impact sur elle. La seule chose qu'elle savait, c'était ce que lui disait son père que des personnes convoitait sa magie et qu'il serait dangereux qu'elle tombe entre de mauvaise main. Ne vous en faites pas cela ne m'est pas venu à l'esprit de la jeter sur une table... Je pense que cela doit-être fragile votre console. Elle connaissait certains jeux de carte moyenâgeux mais pas tout les jeux de cartes certains lui était inconnu. Et Bien oui je connais quelques jeux de carte ancien, mais je dois dire qu'on me l'apprenait en cachette, les dames de mon rang ne sont pas destiné à jouer à des jeux, mon père n'approuverais pas. Cela ne lui déplairait pas de connaître d'autre jeux de carte ou de plateaux, cela favoriserait son envie de connaître de nouvelle chose. Donc le monsieur du jeu ne mourait pas réellement. Une image, elle avait noté cela dans son esprit
Son père un abruti ? Elle se devait de le défendre et pourtant, l'envie n'y était pas cela faisait d'elle une personne mauvaise ? Non ! Elle se souvenait encore de la morsure de cette gifle sur son doux visage qui ne demandait qu'à sortir d'avantage dans le mon extérieur. Comme tout les parents ? Vous voulez dire que les autres parents font tous pareil à leur enfants ? Bien sur elle n'avait pas stipuler le fait d'avoir porter la main sur elle. Les parents de ce jeune homme devait être de bonne personne alors. Vous avez bien de la chance monsieur
Haha ! Haha ! HAHAHAHA ! Elle avait presque failli sursauter a entendre le rire du jeune homme. Elle se crispa légèrement en sentent le contact de la main de l'inconnu sur elle. Elle n'avait pas l'habitude des gestes des autres personnes, comme il avait été question avec Axel qui lui avait fait le premier câlin de son existence. Le jeune homme ne ce voulait pas menacent donc elle ne lui retira pas sa main de son épaule et le laissait faire après qu'il ait essuyer des larmes sur son doux visage. Pourquoi pleurait-il ? Il n'avait pourtant pas l'air triste au contraire. Des larmes de joie alors ?
Panini ? C'est quoi, oh les noisettes je connais ! c'est en effet très bon. Nous avons un noisetier dans notre grand jardin. Elle marqua une pause et repris. Ohh c'est plus gros que votre console, je comprend... un jour j'espère savoir ce que sera un pc.
Elle appréciait la compagnie de ce charmant jeune homme. Qui Répondait donc au nom de Timothy, elle appréciait se nom c'était très jolie. Moignon.. d'accord je trouve cela adorable, Timothy ça te va bien aussi, je suis enchantée de faire votre connaissance. Moi c'est Lady Amalthea Vif Argent, mais vous pouvez m'appeler Amalthea Heureusement que son père n'était pas là, il n'aurait sans nul doute pas accepté qu'elle donne son nom ainsi. Oh.. je peux ? Elle était en train de sourire et regarder la console de Moignon, elle l'a prit entre les mains après qu'il lui ait mit un jeu plutôt simple entre les mains. Le but était d'avancer et sauter si nécessaire. Elle était prise au jeu mais quand un méchant débarqua dans le jeu au lieu de le combattre elle était en train de le fuir. Cours ne te laisse pas t'attraper hiiiiiiiii non.. je veux pas qu'il m'attrape.
Ce n’était pas une si mauvaise idée de préciser à Timothy qu’il ne devait pas s’en faire et qu’elle ne comptait pas lancer sa belle console sur une table. Déjà, sa console était collector, donc pas touche. En plus, c’était une console, pas une carte ni un dé. Elle n’obtiendrait rien en la lançant à tout va. Elle pourrait, en revanche, vite se rendre compte que pivoter l’engin à droite ou à gauche pouvait, parfois, être utile dans les jeux adaptés. Mais ils n’en étaient pas encore là. Pour l’heure, l’écureuil préférait préciser qu’il ne fallait pas la lancer. Il aviserait ensuite.
Fragile, oui. Mais moins fragile que le petit cœur de Moignon si on osait faire du mal à sa console ou simplement la critiquer. Monsieur était un fan un peu extrême qui n’appréciait guère les critiques « infondées » à son avis. Il ne voyait, par exemple, pas pourquoi il fallait préciser que sa DS était fragile, puisque personne ne comptait la lancer par terre, n’est-ce pas ? N’est-ce pas ? Sa logique était toute à lui, sans le moindre doute, et il aurait bien du mal à s’expliquer aux autres. Il ne préférait même pas essayer.
Déjà, c’est pas si fragile que ça, répondit-il, en boudant un peu. Puis, y’a d’autres consoles qui sont hyper solides et presque incassables, hein. Même si je vois pas à quoi ça sert de s’amuser à casser des trucs…
Et pourtant, il en avait détruit des centaines de choses dans son monde à lui. Moignon était loin d’être un être délicat et très adroit, alors la plupart des choses lui échappaient des mains. Au Pays Trop Mignon, au moins, les objets ne se cassaient pas tous. La moitié d’entre eux, voire plus, finissaient par rebondir par terre, en niquant toute logique, et lui revenir en pleine gueule, comme pour se venger. La malchance de l’écureuil n’avait aucune limite.
Ton père on l’emm-…
Timothy s’arrêta juste à temps, les yeux plissés sur les insultes qu’il avait envie d’offrir à l’égard d’un père trop… trop… trop. Mais la peur de voir débarquer sa sœur pour lui en coller une et le lui faire regretter le retint à mi-phrase. Le père de l’autre, en tout cas, semblait être un gros abruti et Tim avait presque envie de le rencontrer pour lui faire vivre un enfer, comme il l’avait fait, dans son conte, en tournant Kaeloo en bourrique le jour où elle avait voulu jouer au papa et à la maman. Sans le moindre doute, Timmy savait être un enfant terrible, hyperactif et irrespectueux, en pleine crise d’adolescence. Oui, même à vingt-cinq ans.
T’as cru que t’étais unique, ou quoi ? (Ce qu’il dit sans vouloir être méchant, à la base.) Bien sûr que tous les parents sont pareils ! Il faut bien dire non, des fois, sinon les gamins font n’importe quoi. (Il leva un peu le menton, très fier de ses parents.) Ouais, j’ai de la chance. Les miens sont les meilleurs du monde ! Y’a pas plus gentils.
Au mot « parents », Tim ne pensait jamais à la famille qui, pour une raison ou une autre, l’avait abandonné dans un coin, selon les souvenirs implantés dans son esprit. Il pensait toujours à son père et sa mère adoptifs, qui avaient pris soin de lui et ne l’avaient jamais bridé. Des personnes rares, sans le moindre doute. Un modèle presque trop parfait pour arriver à l’égaler. Timmy ne comptait, de toute façon, pas devenir père un jour ! Hors de question !
Il crut bien voir, l’asiatique, que son contact ne plus pas trop à l’autre, et il ne fut pas certain de la manière dont il devait l’interpréter. Était-ce lui, le problème, ou le contact en lui-même ? Devait-il supposer que madame la fifille à son papa de haut rang ne voulait pas être touchée par un plouc comme lui ? Bizarrement, si la pensée le traversa, elle disparut bien vite. Il n’avait pas l’impression de voir ce genre de méchanceté chez l’autre et préféra penser qu’elle n’était juste pas habituée. Après tout, si elle venait d’un monde dans lequel elle était d’un rang supérieur, elle ne devait pas avoir l’habitude des contacts. Une lucidité étonnante pour un homme comme lui, sans doute, mais Tim avait vu trop de films clichés et lus de BDs clichés pour ne pas saisir le problème.
Les paninis, c’est comme des sandwichs, mais c’est chaud. (Paie ton explication.) Woah ! La chance, eh ! Moi aussi, je veux un noisetier ! (Le pauvre arbre ne passerait pas la première année, dépouillé de ses noisettes avec une folie furieuse.) Un jour, je te montrerai un PC, si tu veux, mais c’est un peu trop gros pour être déplacé dans la rue, donc pas aujourd’hui. Puis ça fait trop d’infos d’un coup et ton cerveau va tout mélanger.
Oui, bon, tout le monde n’avait pas le cerveau de Moignon et sa capacité extrême à absolument tout mettre dans un grand sac, refermer, secouer furieusement et rouvrir pour voir le bordel à l’intérieur. Mais bon. Au cas où, il préférait prendre des précautions. Lui, en cours, à cette époque lointaine avant de tout arrêter, il ne pigeait rien justement parce qu’il y avait trop d’informations d’un coup (ou pas, il était juste un peu trop con), donc voilà. C’était pour son bien.
Wow ! Lady Amalthea Vif Argent, imita-t-il, gentiment. J’peux t’appeler Lady, aussi, si tu veux, c’est mignon.
Lady, c’était mignon, oui, mais le dire à haute voix lui amena, tout de même, un peu de rose aux joues. Des fois, sa langue allait trop vite pour lui et il s’en voulut. Tant pis. En tout cas, face à « Lady Amalthea Vif Argent » son propre nom était… Moignon, quoi. Un moignon secoué sous les yeux d’une lady, haha !
La honte.
Il préféra se détourner de ces réflexions en tendant sa DS à Amalthea. Il enclencha un jeu simple et lui montra les deux boutons. Ce jeu n’utilisait que l’écran du haut, tandis que l’écran tactile était éteint. Et heureusement, pour une première fois, sinon il n’était pas certain que la blonde aurait pu comprendre où regarder. En attendant, elle se débrouillait plutôt bien, pour une première fois, jusqu’à l’apparition d’un méchant. Un petit amas de pixels maléfiques qui avança vers le protagoniste.
La panique de Lady fit exploser de rire Timothy, sur son banc, qui se tortilla un peu. Une enfant. Il était face à une enfant, en fait. Une enfant aux allures de grande personne, un peu comme lui, ou ce que l’on disait de lui dans son dos. Moignon assumait totalement son manque de maturité et n’en avait rien à péter. Alors l’immaturité de la jeune femme ne lui déplaisait pas tellement. Au moins, c’était rafraîchissant, loin des remontrances et conseils que Timothy entendait souvent.
Mais noooon, panique pas ! Regarde. (Il se pencha un peu pour tendre le doigt vers l’écran, puis lui montrer les touches.) T’as deux façons de passer. Soit tu sautes sur le méchant et ça le fait disparaître. (Mais bizarrement, il se doutait que Lady n’apprécierait pas la démarche.) Soit tu sautes sur ces cases, là. (Il appuya sur le doigt d’Amalthea pour qu’elle appuie sur la touche et que le personnage saute.) Et tu attends que l’autre passe dessous. Puis tu peux partir. Comme ça, personne t’attrape. Un peu comme… euh… le chat perché ? Tu connais ?
Le plus simple pour se faire comprendre : parler à Lady avec des mots d’enfant. Et les jeux de récré, Timothy les connaissait tous, ou presque.
Amalthea Vif Argent
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Déjà, c’est pas si fragile que ça Elle ne savait pas réellement la résistance d'une console vu qu'elle n'a apprit son existence seulement il y a quelques instant grâce à Moignon. Elle hocha la tête. Oui les gens pourrait-être pus soigneux envers les choses ou les objets. Je vous comprend, il devrait être plus soigneux, heureusement il y avait beaucoup de personne qui prenait soin des affaires. Amalthea faisait parti des personnes qui prenait soin des affaires. Déjà parce qu'on lui donnait pas souvent des cadeaux.. une fois par an et encore quand Haggard y pensait.
Effectivement, je ne vois pas ce qu'il y a d'amusant à briser les choses au contraire c'est désolant C'etait fort dommage quand les chose revenait sur soit. une certaines psy aurait dit que c'était peut-être dur au karma. Ou même un retournement de situation. Mais la malchance pouvait y être pour y être pour quelques chose. Amalthe n'avait pas compris ou il voulait en venir ou se qu'il aurait voulu dire. Mais, elle ne lui posa pas la question.
T’as cru que t’étais unique, ou quoi ? Unique ? d'un point de vu de son père elle l'était mais après dans se monde elle ne serait le dire. Et bien... selon mon père je le suis mais, je ne pourrais pas vous dire pour qu'elle raison mise à part que je possède des dons que les autres non pas forcément. Faire n'importe quoi ? Ce n'était pas dans le tempérament de cette dernière, au contraire elle était bien élevé. Elle apprenait ses leçons. L'étiquette, le protocole tout ce qu'une lady devait savoir pour être présentable. Et peut-être bonne à marier comme on pouvait le dire. Sauf que jamais au grand jamais Haggard ne la laisserait épouser quelqu'un, il voulait la garder auprès de lui pour l'éternité. Tu as de la chance alors, j'aimerais les rencontrer un jour pour voir comment peuvent être les parents aimant.
Elle appréciait les explications de Timmy, sauf peut-être sur le fait qu'elle ne savait pas ce qu'était un sandwich... elle n'en avait jamais manger. C'était une soupe ? Un gâteau ? Hmm.. et qu'est-ce qu'un.. sandwich ? c'est un gâteau ou une soupe spécial chez vous ? Elle lui sourit tendrement Si vous voulez un jour, que mon père ne se trouve pas dans le manoir, je peux vous convier à une après midi pour que vous puissiez venir prendre autant de noisette que vous désirez, même passer une journée en ma compagnie. Elle hocha la tête, elle saurait bien un jour ce qu'était un ordinateur.
Elle sourit en joignant ses mains ensemble et sourit. J'en serais ravi dans ce cas, vous pouvez m'appeler Lady cela ne me dérange nullement. Et si vous trouvez cela mignon j'en suis d'autant plus ravi. Elle sourit et le vu rougir et détourner le regard. Quelques chose ne va pas Moignon ? J'ai dit une chose qui vous a offensez ?
Amalthea était en panique devant un jeu, c'était la première fois qu'elle se montrait ainsi. Et elle ne voulait pas que le petit bonhomme se fasse mal alors elle fuyait. Timmy avait l'air de rire au moins, elle porta son regard sur lui et sourit doucement. C'était un agréable moment passé avec lui, un total inconnu qui était devenu son ami. Elle se laissait guidé par le jeune homme, elle ne voulait pas lui faire le moindre mal au méchant et suivait le deuxième conseil de moignon. Non je ne désire pas lui faire de mal je préfère l'épargner pour ma part. Puis elle senti la pression du doigt de Timmy sur le sien et le laissa faire, son petit bonhomme. Oh merci ! Le chat perché ? non je ne connais pas, je n'ai pas jouer à ce jeu, comme j'étais toute seule.
Elle continuait de jouer avec le petit bonhomme appréciant cette technologie. Quand je vais raconter cela à Dulcinée Sa jument, vu qu'elle parlait le langage animal. Je vous remercie de faire découvrir la technologie Moignon, ou je vis, il n'y a pas tout cela, je crains que si je ne serais pas sorti, je n'aurais jamais découvert tout cela.
S'il y avait bien une chose au monde que Timothy n’aimait pas, c’était la faculté des autres à êtres spéciaux alors que lui n’était que… lui. Dépouillé du moindre pouvoir, incapable de faire deux pas sans tomber, de courir trois mètres sans crever ou d’écrire quatre mots sans faire une dizaine de fautes. Il exagérait peut-être un peu, mais le tableau n’en était franchement pas loin. Dans son clan, il était le seul idiot, dépourvu de talent particulier. À part dessiner, ouais, OK. Mais tous les gamins savent dessiner et on crie pas au génie pour autant.
Alors se prendre dans la tête, avec une telle franchise, que Lady a des « dons », ça lui fit un peu de mal au cœur. À croire que l’asiatique ne croiserait jamais personne de normal, comme lui, dans ce monde-ci. C’était trop demander, apparemment. Un cadeau de Noël trop gros pour passer dans la cheminée, peut-être. Un vœu qui dépassait les capacités des étoiles filantes. À force, Moignon allait finir par croire que même un chat ou un chien, croisé dans la rue, avait plus de pouvoir que lui.
Bon, il le pensait peut-être déjà un peu.
On est tous uniques, au fond, décréta-t-il, avec un haussement d’épaules. Dons ou pas, ça change rien. Mais certaines choses sont les mêmes pour tout le monde : l’école, ça pue ; les parents, ça dit non ; les amis, ça trahit un peu mais on pardonne ; les jeux, ça détend. Enfin tu vois quoi… des vérités générales.
Ou des vérités qui ne collaient qu’à Timothy, en vérité, mais il se garda bien de le préciser. Il détestait l’école, avait dû essuyer un ou deux non de ses parents, des trahisons qui ressemblaient plus à des moqueries et les jeux… il s’agissait de sa vie, alors il ne pouvait que dire que ça détendait. Même si le reste du monde scandait à tout va que ça rendait bête et méchant. Lui, il n’y croyait pas. Il avait appris beaucoup plus de choses grâce à ses jeux que grâce à l’école. Déjà, ses jeux, au moins, ne lui crachaient pas en pleine gueule qu’il était incapable d’aligner trois mots sans se tromper.
Mon père, il travaille au cinéma. On pourra aller le voir, un jour, si tu veux. Mais faut payer ta place, hein. Il travaille pas pour du beurre !
Les parents de Tim n’étaient pas les plus riches de la ville et l’écureuil payait chacune de ses sorties au cinéma, sans jamais vouloir profiter des laisser-passer que son père lui proposait. Il savait que le vieux était trop gentil pour son bien et il ne voulait pas le laisser faire. À ce rythme, tous les amis de Timmy auraient le droit à leur place gratuite et l’écureuil ne voulait pas l’imaginer. Surtout alors que ces mêmes amis avaient largement de quoi payer.
HAHA ! Mais tu bouffes que de la soupe et des gâteaux ou quoi ? Sérieux ? Je t’emmène manger un panini quand tu veux. Je te le paie, même ! Parce que là, c’est pas possible d’être inculte à ce point-là.
La nourriture avait quelque chose de sacré, ou presque sacré, pour l’écureuil. Il bouffait au moins pour quatre et jamais de choses bien bien équilibrées. Mais il s’en fichait lui. La vie était faite pour profiter, pas pour se prendre la tête sur un job pourri, des factures pourries, à bouffer des trucs pourris. Moignon n’avait qu’un credo : s’amuser.
T’as une drôle de façon de m’inviter chez toi, haha ! dit-il, un peu gêné tout de même. Déjà, t’as plutôt intérêt à me tutoyer, parce que j’ai pas cinquante ans, moi. T’es sûre que tu veux me laisser tes noisettes ? Parce que je te jure que devant des noisettes, je ne réponds plus de rien.
S’il rougissait déjà de vouloir l’appeler Lady, même sans sous-entendu ou quoi, il rougit un peu plus à cette façon qu’elle avait de lui dire de venir faire un tour chez elle. Après tout, ils ne se connaissaient pas et elle restait une fille. Moignon n’avait jamais été doué avec les filles. Par contre, il gérait totalement ses amis. Alors il décida de dire que Lady était son amie, sans s’attarder sur l’étrange remake de La belle et le clochard qu’ils étaient en train de produire.
Nah, tout va bien, t’en fais pas.
Il écarta son inquiétude d’un revers de main et lui présenta plutôt son jeu-vidéo. Maintenant qu’il avait décidé de penser que Lady était son amie, alors il n’avait plus les mêmes réticences face à sa proximité. Ce n’était plus une fille, c’était juste Lady, une noob qu’il devait éduquer. Alors, il lui montra de quelle façon passer le méchant sans le tuer, parce qu’il sentait qu’elle ne voudrait jamais lui sauter dessus. Et ce, même s’il avait plus ou moins fait exprès de ne pas utiliser le mot tuer.
Étonnamment, l’entendre dire qu’elle était toute seule jeta un courant d’air froid dans le corps de Moignon. Il ne voulait pas imaginer ce que devait être une vie de solitude, loin des jeux aussi basiques que le chat perché. Lui-même, en vérité, s’il n’avait pas été adopté, aurait pu finir dans le même cas de figure que Lady. Et c’était ce qui le perturbait le plus : que pour une fois, dans ses deux vies, il ait eu assez de chance pour ne pas finir malheureux.
Le chat perché, c’est un jeu pour les enfants. Il y a le chat, c’est celui qui court après les autres et qui doit les toucher. Mais si ceux qui courent ne touchent plus le sol, donc ils se perchent sur un truc. Genre sur ce banc, tu vois, si je lève les jambes. (Ce qu’il ne fit pas, ayant trop peur de tomber.) Eh bah ils sont perchés et le chat n’a pas le droit de les toucher. Si t’es touchée, tu deviens chat. Et ainsi de suite, tu vois. Tu connais aucun jeu ?
Il ne pouvait pas l’imaginer, lui, alors qu’il avait passé ses deux vies à jouer, jouer, et jouer. Même si sa vie du monde des contes déformait chacun des jeux d’enfants pour des choses un peu plus… violentes. Après tout, Coin-Coin était allé directement au paradis puis en enfer, à cause d’une marelle.
T’es comme une princesse dans son château en fait ! (Il rit un peu, pour détendre l’atmosphère.) T’auras bien un prince pour venir te libérer, un jour ! J’suis sûr que sans moi, t’aurais fini par découvrir ce qu’est une console, t’en fais pas. En attendant, tu m’as donné faim et je veux un panini.
Moignon bondit sur ses jambes, s’étira un peu (ce qui lui fit un mal de chien, mais il essaya de le cacher) et tendit une main à Lady. Autant pour reprendre sa console que pour l’aider à se lever. Ce devait pas être franchement pratique tous les jours de porter une robe pareille.
Tu viens, Lady ?
Amalthea Vif Argent
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Anne Hathaway
-Tu ne devrais pas...ce n'est pas convenable.
- ...
-Majesté...
-Laisse moi... il n'y a qu'ici que je puisse avoir ce que je désire.
| Conte : La dernière Licorne et deux coeur | Dans le monde des contes, je suis : : La licorne et lady Amalthea
Amalthea avait été éduqué dans ce but là d'utiliser ses don juste pour le bon vouloir de son père, elle ne savait pas que cela pouvait blesser des personnes de ne pas avoir de dons. Ce n'était pas son attention de blesser, elle ressentait qu'il était une bonne personne. Il était d'agréable compagnie. Il avait raison, chaque personne étaient unique et avait ses traits de particularité. Oui vous avez raison, nous sommes tous unique, vous aussi vous avez des dons même si vous ne le voyez pas, je suis incapable de faire ce que vous faites, vous savez jouer à la perfection à la console moi je n'ai pas votre talent la technologie ce n'était pas son fort, elle n'en avait jamais vu avant cela et Tim avait l'air d'être un pro. Ce monde n'était pas toujours fait pour elle, elle était une étrangère total. Elle ne demandait qu'à en apprendre d'avantage. Je n'ai jamais été a l'école mais je vous crois, les parents disent non... mmhh d'accord, en revanche... comment ça, les amis ça trahit ? Vous coryez que si on a un ami il peut nous trahir ? Elle n'en avait déjà pas beaucoup alors le fait qu'il pouvait la trahir, elle sentait son cœur se serrer. On pardonnait tout dépendait la trahison et comment pardonner à son ami. Elle devait donc se méfier de chaque personne qui pouvait-être dans cette ville ? Certains pourrait donc la dénoncer et elle serait ramener dans le domaine d'Hasgate pour y rester ? Non ! elle ne le désirait pas... pas maintenant alors qu'elle avait tant à découvrir. Elle garda de lui en parler.
Le cinéma ? C'était quoi le cinéma ? Excusez moi Tim c'est quoi le cinéma ? Chez elle a part le piano ou un phonographe, elle n'avait pas grand chose dans sa demeure. Donc on pouvait voir la joie que c'était à Hasgate hein ? Payer ma place ? d'accord, je veux bien mais il faudra que je prenne dans les casettes de mon père. Elle n'avait pas de monnaie sur elle. parce qu'elle était en fuite et que c'était peut être le cadet de ses soucis. sauf que madame n'avait pour le moment pas la notion de l'argent donc elle pourrait donner une caisse pleine d'or sans réellement le savoir Comment on fait pour payer une place ?
Elle ne savait pas réellement ce qu'était tout les nourritures de ce monde, elle découvrait les choses petit à petit. Je.. d'accord, je ne connais pas tout de votre monde, disons que j'étais un peu prisonnière de Hasgate et je ne pouvait pas en sortir, le monde extérieur, je ne connais pas réellement c'est tout nouveau pour moi. Il fallait donc payer pour tout dans ce monde, respirer était aussi payable ? Amalthea était tout de même contente de connaitre de nouvelle chose à manger même si ce fameux panini était quelques chose d'étrange pour le moment.
Amalthea lui sourit. Je n'ai pas beaucoup de personne qui vienne chez moi alors si je peux vous en faire profiter Elle rougit légèrement, elle ne voulait pas l'offenser à le vouvoyer c'était quelques choses qu'elle avait toujours fait. Très bien je vais te.. tutoyer, je ne voulais pas t'offenser en parant ainsi c'est juste ce qu'on m'a apprit Mais elle allait faire l'effort de de le faire. Oui je suis sur, cela ne me gêne pas tu peux en prendre autant que tu voudra si cela te fait plaisir.
Amalthea considérait donc Moignon comme un ami, mais il n'allait pas la trahir, il lui expliquait comment ça se passait en général. La demoiselle était en train d'apprendre comment jouer sous les bon conseil de son nouvel ami. La demoiselle n'avait pas encore cette notion qu'était les sentiments d'amour. Cela lui faisait du bien d'avoir de la compagnie.
Oh je vois, c'était une chose que je ne connaissais pas étant donné que je n'ai personne avec qui jouer. C'est un jeu intéressant, tu pense que les personnes comme nous pouvons encore y jouer ? Vu que tu parle d'enfants mais, je ne le suis plus. Elle avait raté pas mal de chose au cour de son existence, elle ne connait pas les pratiques des jeux.
Elle lui sourit, vu comme ca effectivement elle l'était un peu. Oh oui, je suis en quelques sorte comme cela, il est vrai que je n'ai guère le choix et que j'ai été prisonnière pendant de nombreuse années. Un prince ? Elle sourit. Je n'ai pas spécialement besoin d'un prince pour être secouru, peut-être que cette personne ne sera même pas un héro. Mais sans toi je n'aurais pas appris de la même façon.
Amalthea le regarda bondir sur ses jambes puis sourit en voyant qu'il lui tendait la main, qu'elle prit d'ailleurs volontiers puis elle lui tendit sa console qu'elle posa soigneusement dans la main de son propriétaire.
Je viens avec plaisir Moignon, tiens je te rend ta console et tu vois, je ne l'ai pas abimer.
Et ils partirent à la découverte du panini sacré, un nouveau repas a découvrir.
Timothy ne répondit rien, sur ses soi-disant dons, conscient qu’elle ne comprenait pas ce qu’elle disait. Jouer à la console, c’était à la portée du premier gamin qu’on laisserait faire. Il n’avait besoin d’aucun don pour faire ce qu’il faisait. D’ailleurs, ce n’était pas tant un don qu’un entraînement intensif. Il avait passé des heures et des heures et des heures à jour à toutes sortes de jeux-vidéos, heureusement que ça lui servait à quelque chose maintenant ! Il ne manquerait plus que Tim fut assez nul pour être toujours aussi pourri dans un jeu, même après tant d’années à jouer.
De toute façon, Moignon avait une estime de lui tellement basse que rien de ce que pourrait dire Lady ne changerait quelque chose à ça. Si même son bro n’arrivait pas à lui faire entendre raison, ce n’était malheureusement pas une inconnue qui allait réussir sur ce sujet-là. Avec beaucoup, beaucoup, beaucoup d’acharnement, peut-être qu’un jour, quelqu’un y arriverait. Ce n’était franchement pas le cas pour le moment et Timmy continuait de croire qu’il était juste un gros naze sans le moindre pouvoir et que personne ne pouvait le comprendre, ça, puisqu’ils étaient tous bordés de pouvoirs jusqu’au cou.
Lady n’était jamais allée à l’école et Timothy ne put s’empêcher d’échapper un sifflement admiratif. Ça, il aurait bien aimé, aussi, mais à une époque, on ne lui demandait pas son avis. Encore qu’il avait eu le droit de quitter l’école très tôt, parce que ses parents n’étaient pas des bourreaux et avaient très vite compris que c’était une corvée impossible, pour lui. Ce n’était pas donné à tout le monde de piger qu’un gamin forcé de faire ce qu’il déteste, au plus profond de son âme, ça ne peut pas s’épanouir. Mais tout de même, il aurait préféré n’y avoir jamais mis un pied ! Quoi que… sans l’école, il n’aurait jamais rencontré Bran, Charlie, Willie ou même Isuzu. Et ça, il ne voulait pas l’imaginer.
Imagine rien de mal ! C’était une façon de parler, je parle pas de vraiment trahir. Je parlais de faire un petit coup pas très sympa, genre… euh… une blague qui ressemble à une moquerie ? Se détourner de ses amis pour traîner avec d’autres sans plus parler aux premiers ? Pousser son ami dans une situation hyper stressante ? Le forcer à faire face à une maid alors qu’il déteste les maids ? Euh… Oublie ce que je viens de dire. (Il rougit de plus belle.) C’est pas des vraies trahisons. Mais disons un truc que tes amis font et te donnent très envie de bouder.
Timothy était un professionnel du boudin. Il boudait absolument tout le temps et son avis, sur la question, n’était peut-être pas le meilleur à donner à Lady, mais bon. Il avait une définition bien à lui de l’amitié et ne voyait pas le mal de la même façon que les autres. D’ailleurs, tout ce qu’il venait de lui donner, en exemple, il l’avait subi et avait fini par tout pardonner. Même s’il boudait à outrance, Timmy ne le faisait jamais bien longtemps et pardonnait plus vite, à ses amis, qu’il ne voulait le leur faire croire.
Le cinéma… (Il ne savait pas comment l’expliquer.) Tu vois ce qu’est un film ? Une vidéo ? Des images qui bougent et racontent une histoire ? Bon, bah, un cinéma, c’est le lieu dans lequel tu peux regarder des films sur un écran géant, avec un son de dingue et des sièges plus ou moins confortables. Tu peux grignoter, en même temps, mais faut faire attention à pas en foutre partout, hein ! Parce qu’après c’est mon vieux qui nettoie et c’est franchement pas un chien, quoi, un peu de respect.
Oui, Timmy avait du mal à supporter les spectateurs qui venaient foutre la merde dans le cinéma de son père. Parce que les films et son père avaient le droit à un peu plus de respect que des idiots qui mâchouillent hyper fort et en foutent partout, sans piger une seule situation du film qu’ils regardent qu’à moitié.
Comment on paie ? Mais tu débarques de quelle planète, toi ? rigola-t-il, en plissant fort les yeux. Tu prends quelques billets, c’est pas très cher, et tu les donnes au guichetier, qui te donnera une place de cinéma en échange. C’est pas compliqué. Bon. (Il se mordilla les lèvres, quelques secondes, avant de se décider.) La prochaine fois, je t’emmène au cinéma et je te paie ta première place pour te montrer.
Un dessin-animé. Ils iraient voir un dessin-animé. Parce que Timothy était prêt à parier que Lady n’était franchement pas prête à regarder un film de zombies, de guerre, d’intrigues ou un policier, ou un peu tous les films qu’il regardait. Un dessin-animé, avec une salle bourrée de gamins qui réagiraient, sans le moindre doute, exactement comme elle, ce serait beaucoup mieux.
Prisonnière ? Tu sais que retenir quelqu’un contre son gré, c’est un crime ? (Il était sûr que non.) Tant que tu es libre, maintenant, j’imagine que c’est le plus important. (Il sourit et tapota son épaule, pour la rassurer.) Je suis pas offensé, va ! Mais tutoyer, c’est ce que les amis font, tu sais. Gardons le vouvoiement pour les vieux, c’est mieux. En attendant, j’entends ça comme une promesse, donc faudra pas se plaindre si je te pique toutes les noisettes.
Timothy rit un peu, conscient que même son addiction à ce fruit à coque ne saurait pas le rendre dingue au point de tout bouffer tout seul. Il avait un minimum de retenue, tout de même ! Mais c’était plus drôle d’assurer le contraire et il voulait, un peu étrangement, détendre Lady pour qu’elle ne pense pas à ces années d’enfermement. Une pensée qui ne plaisait pas à Tim et hérissa ses poils, sur sa nuque.
Laisse personne te dire que tu es trop grande pour faire ce que tu as envie de faire, Lady, assura Tim, avec sérieux. Si t’as envie de jouer à chat, personne n’a le droit de t’en empêcher. Les gens jugeront peut-être, hein, parce qu’ils adorent ça, juger comme s’ils étaient meilleurs que toi, mais franchement : les gens, tu les emm-… euh… tu t’en fiches de leur avis. Tu fais ta vie et puis c’est tout. On mange et je t’emmène jouer à chat, si tu veux, je connais deux/trois gamins qui seront ravis.
Avec une vie comme la sienne, il était sûr et certain que Tim ne pouvait qu’être le genre à faire ce qu’il voulait sans écouter les critiques. Les autres passaient leur temps à lui dire qu’il devait devenir plus mature, cesser d’être un gamin et arrêter de jouer à des jeux-vidéos à longueur de temps. Il avait décidé qu’il ne ferait que ce qu’il voulait faire et tant pis pour les autres. C’était sa vie à lui, pas la leur.
Haha ! T’en fais pas ! Je comprends ! Pour jouer, une fois, moi aussi, j’ai fait la princesse coincée en haut de sa tour, à attendre que le prince daigne pointer son nez. Et je l’ai bien envoyé ch-… bouler. (Il rougit, conscient qu’il venait d’avouer s’être travesti.) Mais c’était qu’un jeu, hein. C’était pour de faux.
Tim referma les doigts sur ceux d’Amalthea et se fit la réflexion que jouer à chat, ce serait un peu compliqué, avec sa grosse robe, mais il ne voyait pas ce qu’ils pourraient faire contre ça. Tant pis. De toute façon, les gamins, ça ne court pas très vite.
J’en doutais pas, va. Merci, je la range. Et c’est par là, madame. (Il pointa une direction du doigt.) Pas très très loin, en fait. Ils font de bons paninis, dans un camion qui s’arrête près d’un parc.
On pouvait compter sur lui pour connaître toutes les bonnes adresses pour se remplir le ventre à bas prix, en kiffant un max. Bon, par contre, il fallait faire une grosse croix bien grosse sur l’équilibre et le « manger sain ». Tim n’était franchement pas le genre à faire attention à ça. Un miracle qu’il ne soit pas obèse, depuis le temps.
T’aimes manger quoi ? Que je te conseille un panini que tu aimeras, sinon ça sert à rien.