Surnom(s) → Cheetos
Age → 35 ans

Occupation / Emploi → Marchand à la boutique de Donuts

Votre personnage est-il tiré d'un conte ? : Zootopie
Si oui, lequel et qui est-il dedans ? : Benjamin Clawhauser

Connaissez-vous Benjamin, alias, Cheetos, le type qui se cache derrière le comptoir de la boutique à Donuts et qui grignote à longueur de journée ? Un blondinet pas bien grand, les joues rondes comme des pâtisseries, on le confondrait avec la marchandise. Et bien vous n'allez peut-être pas me croire mais l'autre jour, je l'ai vu offrir à un gendarme une vingtaine de Donuts fourrés à la noisette, de quoi nourrir la gendarmerie et toute une famille d'écureuil. Et tout ça, accrochez vous bien, parce que le type avait un prénom qui commençait par un D! Benjamin, il a un cœur en pâte à chou, c'est ce que tout le monde pense ici et croyez-moi ça va finir par lui causer des ennuis. On pourrait pas lui donner d'âge, à croire que manger des gâteaux à longueur de journée ça vous rajeunit, ou alors il a découvert le secret bien gardé du Donuts de jouvence. Je donnerais cher pour savoir ce qui se trame dans la vie d'un mec aussi naïf et gentil, on ne peut pas porter son sourire du lundi au dimanche sans que ça cache quelque chose. Pour sûr un mec comme lui n'aurait jamais pu être flic, même s'il lui arrive parfois pour une raison mystérieuse de se prendre pour la Police du beignet :

« Halte là, montrez-moi votre papier cuisson vil Donuts mal chocolatés. Tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous ! On a pas idée de se promener comme ça les fraises à l'air Monsieur, il y a des petites mûres innocentes dans cette ville ! »

Au moins, ça fait rire les gamins qui passent leur temps à s'empiffrer gratuitement, bonbons offerts par la maison. Difficile d'en vouloir à Benji, avec sa tête de chaton sorti du panier, même son boss a abandonné l'idée de le virer. Pourtant, sa maladresse et sa gourmandise ont fait bien des victimes au sein de la boutique. Avec ses retards à répétition il collectionne les avertissements, à croire qu'il en cherche un plus rare que les autres ou qu'il n'a toujours pas compris comment brancher son réveil. La seule chose qu'il a de branché ce sont les airs-pods dans ses oreilles. Si parfois il donne l'impression d'être ailleurs c'est qu'il est parti trop loin sur la galaxie ''Gazelle'' sa chanteuse pop préférée et la c'est déjà trop tard, personne n'est à l'abri d'un karaoké ou d'une chorégraphie. Voila le portrait d'un mec rond, le genre de stéréotype réconfortant et douillet, c'est comme ça qu'on l'imagine. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'en grattant un peu j'ai découvert que ce type avait fait de la prison. Je vous en dis pas plus mais la cicatrice en forme de guépard qu'il a sur le bras en dit long sur son passé et c'est pas celui d'un gentil chaton gourmand...

C'est aujourd'hui le jour fatidique, celui où les rêves se réalisent ou s'anéantissent. Plus que jamais Benjamin doute, mais ce n'est pas le moment de faire marche arrière. Quoi qu'il advienne pendant ces quelques secondes d'éternité, il sera là où il doit être, sur scène. Les portes s'ouvrent, les auditions vont commencées d'une minute à l'autre et pour une fois Benjamin n'est pas en retard. Il a mis sa plus belle tenue pour l'événement, un costume fait sur mesure avec ses dernières économies. Il se sent presque beau dans cette nouvelle peau, mais la panique le gagne lorsqu'il croise le regard moqueur des autres Guépards. Habillés décontractés et bodybuildés comme s'ils allaient à la plage, ils savent que leur physique les avantagera par rapport à lui. « Pourquoi chercher à ressembler à tout le monde ? Montre leur qui tu es, ils découvriront un être exceptionnel. » Ce furent les dernières paroles d'encouragement de son amie Judy avant qu'il ne passe les portes des auditions pour la comédie musicale la plus populaire du moment ''Edward aux pattes de loutre ''.

Le rôle principal semblait taillé pour lui, l'histoire d'un gamin pas comme les autres, qui se bat pour être aimé. Toute sa vie Benjamin avait été discriminé car, trop gros, trop lent, trop sensible. Ses parents, tous deux officiers de police, rêvaient pour lui d'une vie pleine d'action. Mais, Benjamin, ne souhaitait qu'une chose, dévorer la vie en chanson. Pour eux, il fit beaucoup de sacrifices, car il les aimait plus que tout au monde et voulait les rendre fiers. Après l'école, alors que ses camarades jouaient au foot-biche, Benjamin devait suivre de rudes entraînements : maniement des griffes, boxe, course et régime draconien. Un programme intitulé '' Les clés de la virilité, par Cheetah Joe'' c'est de la qu'il tint son surnom ''Cheetos''. Épuisé par tous ces entraînements, le petit guépard se réfugiait souvent dans les arbres. Là-haut il s'imprégnait du chant des oiseaux qui lui apprirent les gammes et le solfège. Il s'entraîna durant de longues années en cachette à l'art du chant, du piano et de la danse. En cela il excellait réellement, mais l'école, le 'programme', l'armée, impossible d'y échapper. Telle était la trajectoire suivie par son père, son grand-père et son arrière-grand père avant lui. Sur le blason familial, il était inscrit '' Anciens prédateurs, combattants pour la paix.'' Bien que conservatrice la cause des Clawhauser était juste. Contre toute attente, l'armée lui inculqua des valeurs essentielles à la survie dans le monde extérieur. Sa troupe était constituée d'animaux aussi passionnants qu'hétéroclites, mâles, femelles, hermaphrodites, asexués, handicapés, souris ou même éléphants, tous unis dans un but commun, protéger et servir Zootopie.

Après son service Benjamin fit un premier pas vers son but en rejoignant la grande ville. Cette nouvelle vie s'annonçait pleine de surprises. Il fut d'abord assigné au poste de réceptionniste dans le plus prestigieux commissariat de Zootopie, une fierté pour ses parents qui le voyaient déjà prendre du galon et, peut-être un jour, la place du chef. En attendant à part se goinfrer de donuts et regarder des clips de Gazelle il n'y avait pas grand-chose à faire à la réception. Jusqu'au jour où l'inspectrice Judy Hopps fit son apparition dans l'affaire des "Hurleurs Nocturnes". Ravagée par un sérum capable de ramener n'importe quel animal à l'état sauvage, Zootopie devint le centre d'un conflit racial. Jamais il n'y eut autant de peur et de haine envers les "prédateurs". Benjamin fut recalé aux archives, plus que jamais honteux de sa condition. Quand toute cette histoire fut terminée, il se jura de ne plus se laisser abattre de la sorte et entreprit, encouragé par sa nouvelle amie aux grandes oreilles, de réaliser son rêve.

Et c'est là, sur scène qu'il se retrouve aujourd'hui. Un pas devant l'autre et enfin, le vide. Mais, pas n'importe quel vide, pas celui auquel il s'attendait. Coup de théâtre, mais pas d'applaudissements. À peine eut-il le temps d'ouvrir la voix qu'il disparut, emporté dans les oubliettes d'un vortex magique.

Ce soir-là, un ciel d'orage rythmait les battements de cœur de Benjamin. Du bout des doigts il tenta de saisir le tonnerre. Il aurait pu s'en servir pour aiguiser les barreaux de sa cage, faire un feu de camp et cuire des marshmallows. Le souvenir des campings en forêt lui donna un frisson électrique. Quelle désagréablement sensation de rêver de liberté en prison. Assis en face de lui, il y avait ce type muet qui lui servait de compagnon de cellule. Jamais en dix ans il n'avait prononcé le moindre mot et n'en restait pas moins un homme passionnant. Ses cicatrices, ses tatouages, son air paisible et chacune de ses rides constituaient pour Benjamin une échappatoire plus précieuse que n'importe quel livre. Pirate, voleur ou boulanger, ses mains étaient sèches, ses yeux doux et sa barbe piquante. Son histoire commençait par une enfance heureuse, se terminait par une amitié brisée et sans aucun doute un assassinat. C'était en tout cas l’hypothèse favorite de Benjamin. Il faut dire qu'en matière de trahison le blondinet en connaissait un rayon. Il avait passé sa vie à suivre les mauvaises personnes. Sans parents, sans amis, sans travail, difficile de faire plus vulnérable que Benjamin Clawhauser. Un garçon comme lui était une proie facile pour les gangs qui sévissaient dans l'ombre de Storybrooke.

A vingt deux ans, avec son air de gamin des rues, sa naïveté et sa discrétion, il ne tarda pas à taper dans l’œil des « Guépards ». C'était soit ça, soit continuer à errer sans but, autant vous dire qu'il n'hésita pas une seconde à rejoindre cette nouvelle famille. La Meute, c'est ainsi que s’appelaient entre eux les garçons sauvages, était un groupe de gangsters anonymes et discrets. Ils chassaient dans l'obscurité les proies les plus fragiles, leur faisait boire beaucoup d'alcool et les marquait au fer blanc pour qu'ils se sentent appartenir au groupe. Pour la première fois de sa vie, auprès de ces nouveaux frères, Benjamin avait la sensation d'avoir trouvé sa place. Il ne fallut pas longtemps avant qu'il n'accepte le rôle de pigeon que le gang lui avait réservé. Son job était de glisser dans le verre de personnes désignées, une mystérieuse drogue dont il ignorait la dangerosité. Ces pilules contenaient un sérum de servilité capable de rendre un lion aussi doux qu'un agneau. Les Guépards droguèrent et manipulèrent bon nombre de personnes, s'infiltrant dans les banques sur invitation, pillant les coffres sans causer le moindre éclat. C'était une idée de génie, avant que tout ne vire au drame et qu'un homme soit tué. Le sérum était en apparence inoffensif, mais une trop forte dose pouvait avoir un effet désastreux sur une personne fragile. Le gang s'était bien gardé d'en informer Benjamin, qui, ce jour là, avait été envoyé en première ligne pour essuyer les peaux cassées. Menottes aux poignets, blessé dans son peu d'amour propre et dans sa maigre confiance en l'humanité, Benjamin ne s'était jamais senti aussi seul.

Dix années dernières les barreaux ne suffirent pas à calmer la haine de Benjamin. Il se fit discret et joua la carte de l'oreille attentive pour mieux cerner les prisonniers autour de lui. Toute alliance serait bonne à prendre pour survivre et devenir plus fort. En apparence, Benjamin était un agneau chétif, mais au plus profond de son être sommeillait un animal sauvage prêt à bondir. Il n'attendait qu'un signe, sa libération.

Alors qu'il se faisait battre pour la millièmes fois aux cartes par son compagnon de cellule, celui-ci décida qu'il était grand temps de rompre le silence. Une voix grave et solennelle raisonna avec le tonnerre, faisant sursauter le jeune homme qui tomba à la renverse « Écoute la symphonie du vent dans les branches et le claquement des gouttes de pluie sur le rebord de la fenêtre. De même qu'il y a de l'espace entre les mots, il y a de la musique dans le silence. » Ce furent les premières et dernières paroles du mystérieux prisonnier. À ces mots, les grilles de la cellule s'ouvrirent pour lui rendre sa liberté et il s'en allât comme il était apparut, sans un bruit. Le cœur de Benjamin se mit à battre très fort. Il ferma les yeux, concentra tout son corps et toute son âme à l'écoute de la mélodie. C'est alors qu'un puissant tremblement s'empara du jeune homme. Chacune des gouttes d'eau tombées sur le sol raisonnait en lui comme un souvenir. Benjamin s'écroula, bousculé par une tornade de sensations. Enfin le tonnerre se tût et la pluie cessa, laissant place à un soleil radieux.

Le souffle coupé, Benjamin regarda son reflet dans le miroir. Des larmes libératrices coulèrent le long de ses joues et il s'écroula de nouveau dans un immense fou rire. On aurait pu croire qu'il était en train de devenir fou, mais en vérité il ne s'était jamais senti aussi vivant. Étalé sur le sol il fixa le plafond pendant de longues minutes durant lesquelles il retraça un par un les événements de sa vie antérieure. Il était à présent entièrement lui, ou presque, car il lui manquait encore un dernier élément. Timidement le jeune homme ouvrit la voix et comme pour l'accompagner dans cette résurrection, les oiseaux se mirent eux aussi à chanter. Benjamin était enfin bel et bien redevenu lui-même, poils et griffes en moins, mais sa voix, elle, n'avait pas changé.

Le jour de sa libération arriva et sur le seuil de ce nouvel horizon, il se jura de retrouver Judy, de faire profil bas et d'accomplir sa vengeance.

A ce jour, Benjamin n'a toujours pas retrouvé le moindre signe de Judy , ni d'aucun autre habitant de Zootopie. Sorti de prison depuis plusieurs années maintenant, il se fait discret, vaguant de petits boulots en petits boulots à la recherche d'indices lui permettant de découvrir le sort des habitants de son conte. À Storybrooke personne ne sait réellement qui il est, sinon le gentil vendeur de donuts. Lorsque des curieux lui posent des questions sur son passé, l'ancien guépard évite toujours de parler de la prison, par crainte qu'on ne se mette en travers de son plan ou qu'on ne juge cette part honteuse de son histoire. Retrouver les membres du gang des Guépards n'allait pas non plus être une mince affaire. Tout comme lui, ils avaient été victimes de la malédiction et de sa fin. Qui étaient-ils aujourd'hui? Benjamin mourrait d'envie de le savoir, ce n'était plus une simple question de revanche, il voulait connaître le vrai visage de ceux qu'il avait aimé comme sa propre famille et qui l'avait abandonné. Cela lui permettrait peut-être de trouver un sens à son histoire et de comprendre pour quelle raison cette malédiction l'avait dirigé ici, à Storybrooke.

Quel rôle aurait-il à jouer dans le grand dessein des dieux ? Il avait entendu parlé de certaines choses, mais les mots titans, mondes parallèles et voyage dans le temps se mélangeaient dans sa tête et il ne savait plus quoi en penser. Ne suis-je qu'une simple marionnette, un personnage de ''conte'' ? Un être supérieur dans une autre de ces réalités nous a-t-il donné vie et pour quelle raison ? Ce sadique avait-il de grandes oreilles, une petite moustache, des dents tranchantes ? Autant de questions sans réponse et de délires sans queue ni tête occupaient son esprit comme des petits pop-corn éclatant à longueur de journée. De tous les mystères dont regorgeait encore cette ville, la lune noire apparut depuis peu rendait Benjamin particulièrement nerveux. Quelque chose était en train de se tramer et il ne resterait pas les bras croiser à attendre qu'une autre malédiction lui tombe sur la tête. Deux vies et une amnésie, c'était suffisant pour devenir complètement cinglé, mais il gardait la tête sur les épaules, même si parfois, en gribouillant frénétiquement sur les murs de sa chambre, il lui arrivait d'en douter...

Tibulo

Administration → Célébrité de votre Avatar : Aaron Paul → Est-ce un poste vacant ? : Pas vacant → Multicompte ? : Mon premier compte rp depuis 8 ans Entre nous → Pseudo / Prénom : Juline / Tibulo → Comment l’avez vous découvert : En cherchant sur google un forum rpg Disney et c'est le premier lien qui est apparut → Si vous deviez choisir entre héros, vilain, magique, prince(sse), ancien animal, rebelle ou divin pour votre team vous choisiriez quoi ? : Ancien Animal *GraaoOOuuur* → Le mot de la fin : Je suis hyper motivée et exaltée et aussi un peu pommée. Merci encore à ceux qui m'ont répondu dans la partie question j'ai trop peur de faire des bourdes mais je sais que je peux compter sur vous, la je viens de me souvenir comment mettre un avatar déjà c'est bien

Bienvenue à toi sur le forum ! On va bien t’accueillir t'en fais pas J'ai vu tes petites questions dans la partie dédiée (parce que je vois tout ici ) du coup je suis ravi que tu ais trouvé un personnage à ton goût ! Et puis bon Zootopie quoi
Bon courage pour écrire ta fiche !

Oooooh ce personnage est tellement choupi J'aime Et très bon choix d'avatar Ça colle trop bien

Ah le rp c'est comme le vélo t'en fait pas ça va revenir tout seul Puis si t'as des questions n'hésite pas on est là

En tout cas je te souhaite la bienvenue parmi nous Et bon courage pour l'écriture de ta fiche

Bienvenue officiellement parmi nous alors !! Tu vas voir, c'est le forum idéal pour se remettre au rp !

J'adore ton choix de personnage et d'avatar, c'est canon ! Bon courage pour la rédaction de ta fiche ! J'ai hâte de la lire dans son intégralité !

Citation :

la je viens de me souvenir comment mettre un avatar déjà c'est bien

C'est un bon début ! Tu verras, le reste reviendra bien vite aussi !

Content de te voir si vite arriver avec ton personnage du coup bienvenue officiellement je l'avais déjà dit : j'adore voir le retour de Zootopie sur le forum
ton avatar n'est pas aux dimensions demandées (200x320 ou 400x640 pixels) mais si tu veux, ne touche à rien je file t'en faire un dans la journée

Merci merci à tous les quatre Je suis tellement motivée là goooo Et en vrai j'ai vraiment l'impression que peu de choses ont changé dans le monde des forums rpg, les smileys sont toujours les même, les rplayeurs toujours les meilleurs personnes, c'est le feu Ah si j'ai vu un truc qui a changé c'est les avatars multiples, ça je connaissais pas du tout meuh c'est trop bien !!

Dyson ohalala mais qu'est ce que j'ai fais c'est zarbi je me souviens que pour mettre un avatar il faut aller sur un hébergeur d'image et copier coller un lien non dans le profil ? J'ai fais dimension 200x320 [edit je me suis bien gourée en fait c'est pas bon ), si tu as le temps je suis preneuse pour un avatar c'est beaucoup trop gentil merci

Bienvenu parmi nous tu vas voir, on se remets vite dans le bain bonne chance pour ta fiche, au plaisir de te croiser en rp

Bienvenue sur le forum.   Wow ce choix d acteur pour ce personnage est juste parfait je trouve. Un marchand de donut   Ca donne faim . Bonne rédaction de fiche

Aaaah alors je crois savoir d'où vient le bug, je reviens pour voir ça

Alooors il me semble que c'est l'endroit où tu as mis l'url de l'image ça a toujours posé problème
pour mettre ton avatar tu as trois propositions :
Envoyer l'avatar depuis votre ordinateur : (pour les fichiers sur ton ordi, à ne pas faire parce que très souvent ça va juste dire que le fichier est trop lourd )
Envoyer l'avatar à partir d'une URL : (à ne pas faire non plus parce que... y a souvent des problèmes, et je pense que ici, c'est à cause de ça que y a un problème de taille tu as mis l'url ici ? )
Lier l'avatar à partir d'un autre site : Et c'est là qu'il est préférable de mettre l'url de l'image